Récits pornographiques

Mardi 21 février 2017 2 21 /02 /Fév /2017 14:39

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Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

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Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Vendredi 10 février 2017 5 10 /02 /Fév /2017 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Il a posé ses mains sur ma tête et il se laisse sucer le zizi … oui, là, ce n'est pas une queue, une bite, un braquemard, c'est seulement un zizi … un petit zizi attendrissant … pas vraiment recroquevillé, mais détendu, tranquille … il se laisse sucer le zizi, et ça ne l'excite même pas, ça ne le fait même pas bander, même pas frémir entre ma langue et mon palais … et c'est tant mieux, parce que, pour l'instant, ça me va, qu'il reste comme ça … Je me régale … et je salive abondamment … Quand je l'ai bien sucé, quand je l'ai tété tout mon soûl, je le sors délicatement de ma bouche, lui donnant quelques ultimes coups de langue pour essuyer ma salive, et je me relève. Il me sourit encore:

- C'était bien ?

- Hhhmmm, oui.

- On va se coucher ?

- Oui.

- Tu vas mettre quoi, pour la nuit ? T'as amené quelque chose ?

- Oui … des nuisettes.

- Montre.

 

 Je sors de mon sac ma nuisette noire, très courte et en voile transparent, et celle couleur crème, hyper moulante. Il me montre la noire:

- Mets celle-là !

 

Il me regarde l'enfiler, sifflote entre ses dents, et il m'ouvre la porte. Je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre à chaque pas. La crème hydratante ! Quand nous entrons dans la chambre, Domi ronfle, allongé à poil sur le ventre. Il dort déjà. Denis me demande:

- Tu veux dormir au milieu ou au bord ?

- Au milieu, entre vous.

 

Je me glisse sous la couette et je m'allonge en chien de fusil, à moitié sur le ventre, serré contre Domi, mon bras passé sur son dos. Il ne réagit pas. Je sens Denis se coller à moi et glisser lui aussi son bras entre mon torse et le flanc de Domi. Coincé entre mes deux mecs … entre mes deux hommes … entre mes deux amants … hhhmmmm … je suis bien, entre mes deux hommes. Mes deux hommes qui m'ont baisé, tous les deux … et qui, demain, vont encore me baiser. Je glisse ma jambe sur celles de Domi. Dans son sommeil, il se tourne à demi sur le côté, lui aussi en chien de fusil. Nous voilà tous les trois emboîtés l'un dans l'autre. Après la frénésie de sexe de ce soir, ce moment de calme, de douceur, de tendresse, même … j'adore. Je caresse doucement le torse de Domi, descendant peu à peu ma main jusque sur son bas ventre et je prends son sexe entre mes doigts. Evidemment, il est au repos, un peu ratatiné … son gland effleure le matelas. Mais il ne s'en rend pas compte, et il dort toujours, apparemment assommé, sans doute un peu par l'alcool, un peu par cette longue virée au grand air, un peu par nos séances de baise et ses éjaculations. Je passe mon autre bras derrière moi et, à tâtons, je cherche la bite de Denis. Il devine ce que je veux et, pour m'aider, il recule son bassin. Ah, voilà ! Lui aussi est un peu mou, mais pas vraiment au repos. Je lui pétris délicatement le gland. Un sexe dans chaque main ! Les sexes que j'ai sucés et qui me sont entrés dedans, les sexes avec lesquels mes deux amants m'ont sailli et fécondé. 

 

Dans un demi sommeil, je me remémore toute cette soirée, depuis mon entrée dans cet appartement … l'arrivée, les uns après les autres, des quatre mâles qui allaient me baiser … la découverte de leurs sexes … leur premier contact avec mes lèvres, avec ma bouche … cette sodomie sur l'îlot central de la cuisine … et sur le canapé … ce repas, tout le monde la bite à l'air ... la séance de godage au rouleau à pâtisserie … la traversée de la ville en voiture, une bite dans chaque main … l'arrivée chez Jeannot et la rencontre avec six inconnus à qui Denis m'offre … les quatre qui me prennent chacun à leur tour, et tirent leur coup … la traversée de M. à pied et cette espèce de parcours du combattant émaillé de défis, d' "épreuves" de cul, de baise en pleine vile, tellement excitantes … cette course avec les flics au cul … cette ultime baise à la Plage, sous les yeux des jeunes … et notre retour ici … et …

 

Le sommeil me gagne … je m'endors …

 

Je me réveille … je ne sais pas au bout de combien de temps. Malgré ma position, Denis est en train de me grimper dessus. J'ôte mon bras du dos de Dominique et mon genou de sa jambe, et je m'allonge complètement à plat ventre. J'écarte les jambes et Denis s'allonge sur moi. Il glisse sa main entre son ventre et mes fesses et je le sens manipuler son sexe. Il va encore me prendre ! Putain, il bande encore ! Je passe mes mains derrière moi, j'empoigne mes fesses et je m'ouvre à la pénétration de son membre. Il m'arrache un halètement quand il loge son gland dans mon anus. Et de nouveau, il s'enfonce lentement. La crème hydratante qu'il m'a fourrée dans le cul et l'humidité résiduelle de mes lavements de tout à l'heure me lubrifient suffisamment. Et puis l'élasticité des muscles de mon anus lui permettent de s'introduire en moi sans difficulté. Je le sens à nouveau vraiment très raide. Décidément, mon cul l'inspire ! Je n'en reviens pas de le faire bander comme ça. Voilà son pubis contre mon coccyx. Je sens ses poils qui me chatouillent le pourtour de la rondelle. Je remonte mes mains et je croise mes avant bras sous ma joue. Vas-y, mec, fais moi ce que tu veux. Use de mon cul. Prends ton plaisir. Il finit de s'affaler sur moi. Il m'écrase sous son poids. Je sens son ventre peser sur mes reins, son torse sur mon dos. Les poils de ses cuisses contre mes cuisses ouvertes. J'adore ça, me faire écraser, aplatir par un mec vautré sur moi. J'adore ça, avoir les cuisses ouvertes pour accueillir un mâle. Il pose sa tête entre mes omoplates et sur ma nuque. Vas-y, Denis, baise-moi encore ! Mais non, il ne bouge pas. Ou à peine. Il oscille imperceptiblement du bassin, comme pour parfaire sa pénétration, sa position. Je sens son souffle, chaud, sur mon cou et sur ma joue. Hhhmmmm, ça aussi, j'aime ! C'est à la fois sexuel et tendre. Me voilà planté, cloué, punaisé sur ce matelas par un mec qui m'a enfoncé sa queue dans le cul ! Sa bouche contre mon oreille, il souffle:

- Fais-moi comme l'autre jour …

-  Comme l'autre jour ?

- Oui, à la ferme, chez Jean-Claude … tu m'avais serré la queue avec ton cul … tu te rappelles ?

 

Ah oui ! C'est à lui, que j'avais fait ça ? Je me concentre et je m'efforce de contracter mon sphincter sur sa queue. Mais j'ai la rondelle tellement détendue que je dois m'y reprendre à plusieurs fois. Il murmure:

- Tu veux pas ?

- Si, si. Attends. J'ai les muscles trop relâchés. Il faut que j'arrive à les contracter. Ça va venir.

 

Je le sens qui pose sa bouche, tiède et humide, au coin de mon épaule, et qui attend. Ça vient. Je sens que ça vient. Peu à peu, j'arrive à contracter mon anus de plus en plus fort. Je commence à bien sentir sa hampe dans mon étui. Lui aussi doit commencer à sentir mes contractions. Il se met à ronronner. Il me mordille la base du cou, le lobe de mon oreille, il me lèche, il me tète … Puis, la bouche toujours contre mon oreille, il souffle:

- Rhââ, putain ! Quel cul ! QUEL CUL !

 

Dominique bouge à côté de nous. Il se tourne sur le côté, face à moi, son genou contre ma cuisse. Une lumière, restée allumée dans le couloir, atténue l'obscurité de la chambre, et à un reflet dans un de ses yeux, je me rends compte qu'il me regarde. On l'a réveillé ? Pourtant nous sommes vraiment silencieux, et pratiquement immobiles. Il remarque Denis, couché sur moi, et il sourit. Tout en continuant de presser en rythme le membre de Denis avec mon cul, je tends ma main vers le bas ventre de Domi. Il se tourne un peu et soulève sa cuisse pour me faciliter l'accès à son sexe. Je le saisis. Toujours au repos. Je lui palpe le gland, je lui caresse la verge. Je me reconcentre sur ce que je fais à Denis. J'ai sa queue en érection en moi ! Son gland épanoui, enfoui dans la tiédeur humide de mes chairs. Domi approche son visage du mien, presque à me toucher:

- Il te … ?

 

Ces deux mots suffisent: il veut savoir si son copain est en train de m'enculer. Je cligne des yeux et je hoche la tête: 

- Oui, il m'encule !

 

Il sourit, comme satisfait de savoir que son pote est en train de m'enculer. Il ferme les yeux et, après quelques secondes, il se remet à ronfler. A mon tour je ferme les yeux. Dans ma main, j'ai le sexe d'un de mes mâles, et dans mon cul, il y a la bite en érection de mon autre mâle … est-ce que, cette fois, il va prendre son pied … est-ce que, cette fois .. il … va … me …

 

 

J'ouvre les yeux. Le jour filtre à travers les lames du volet roulant. Je suis bien, à moitié en chien de fusil, j'ai chaud. Et j'ai un début d'érection. Tiens, Domi n'est plus là, à côté de moi. Mais je sens Denis, derrière moi … contre moi. Ah oui, au fait, hier soir … non, ce n'était pas hier soir … c'était cette nuit … avant que je m'endorme, il était couché sur moi, sa bite dans mon cul … il m'a fait quoi, au juste ? Il m'a baisé ? Il a joui ? Une fois endormi, je ne me suis plus rendu compte de rien. Je glisse une main entre mes cuisses, jusqu'à ma rondelle. Je tâte du bout des doigts. C'est sec. La crème hydratante a pénétré et je ne sens aucune trace humide. Mais Denis m'a quand même peut-être injecté une dose de sperme. J'ai peut-être encore ça au fond du ventre. Je me retourne face à lui. Couché sur le côté, il dort encore profondément, je le sens à sa respiration. Aujourd'hui, on va recommencer, tous les quatre. Ils vont encore me baiser … toute la journée … tous les trois. A moins que Yann déclare forfait. On va faire quoi ? On va baiser ici, ou on va aller baiser je ne sais où ? Si c'est dehors, j'espère qu'il ne fera pas trop froid. Je glisse ma main vers son ventre. Là, sous sa cuisse, je sens sa queue. Je la prends entre mes doigts. Il ne bouge pas, et continue de ronfler doucement. J'aimerais bien qu'ils m'amènent encore à des types, comme hier chez Jeannot. J'aimerais bien qu'ils me fassent encore couvrir par des inconnus. Où on pourrait aller, pour trouver des mecs à qui ils pourraient me prêter ? On est samedi et il y a le marché, place de la Halle. Ouais, mais on peut pas faire ça là, au milieu du marché. Ou alors, il faudrait trouver … je sais pas … une camionnette de commerçant … ou un couloir d'immeuble … ou alors, il y a le centre commercial, un peu en dehors de la ville … et le parking … ouais, mais là, il y a plein de caméras … Et puis, on verra bien, je vais me laisser guider par eux. Ce sera la surprise. Cette fois, je bande vraiment. 

 

Je me glisse sous la couette, jusqu'à avoir la tête au niveau du bassin de Denis. Dans cette position, sa bite (son zizi !), est cachée sous sa cuisse … Je pose ma main sur son genou, et je le pousse. Ça ne le réveille pas. Voilà, son petit oiseau est là. J'avance ma tête, et je le prends dans ma bouche. Hhhmmmm, ce que c'est agréable, de sucer une petite quéquette au réveil ! Elle a un goût de … non, pas de sperme … seulement … seulement un peu de mon mucus anal séché … Oui, c'est ça … avec, peut-être, un peu de gel douche … ou de crème hydratante … A mon avis, cette nuit, il n'a pas joui … s'il avait éjaculé, sa queue aurait le goût du sperme. 

 

Cette fois - ah putain, il dort encore, je l'entends ronfler doucement – cette fois, je sens sa queue frémir sur ma langue … oui, elle gonfle ! Ah putain, il se met à bander en dormant ! Oh oui, dors ! Je vais te tailler une pipe ! Tout en le suçant, je glisse ma main entre ses cuisses et j'effleure ses couilles. Elles pendent dans leurs bourses. Elles sont toutes chaudes et à travers la peau de ses bourses, je sens ses deux grosses olives bouger. Hhmmmm ! Je les prends au creux de ma main. J'aime tellement les bites ! J'aime tellement les sucer ! Quelles merveilles ! Tiens, celle-ci, elle sait où elle est … toute seule ! Elle n'a pas besoin de son … de son mec, de son propriétaire, pour sentir qu'elle est bien dans la tiédeur humide de ma bouche, et que je lui fais du bien … elle réagit, elle répond toute seule, comme une grande … Et oui, parce qu'en plus, elle est de plus en plus grande … dans ma bouche ! Je t'aime, toi, la bite à Denis. Je t'aime parce que tu t'es déjà introduite plusieurs fois en moi et que j'aime ça ! Déjà l'autre fois, chez Jean-Claude, tu étais entrée plusieurs fois dans moi … dans ma bouche et dans mon cul … et tu y avais déchargé des doses de sperme. Je t'aime parce que, hier, tu as recommencé, ici, pendant le repas, et qu'ensuite, sur ce banc au bord de la rivière, tu t'es de nouveau laissée aller au fond de mon ventre … tu m'as fécondé … 

 

Denis grogne et bascule sur le dos. Je l'ai réveillé ? Non. Il se contente, par réflexe, de se gratter un peu les poils du pubis, et il se remet à ronfler. Quand il a bougé, sa queue a glissé toute seule hors de ma bouche. Je me soulève au-dessus de son ventre, et je remets sa queue au chaud entre ma langue et mon palais. Je la suce, je la tète, je la pompe doucement, goûtant le plaisir d'avoir ce cylindre de chair tiède, doux et vivant en moi. Elle se décalotte peu à peu et j'enfonce son gland aussi loin que je peux dans ma bouche. 

 

- Hhhhhmmmm ! Qu'est-ce tu fous ?

 

Denis a grogné. Cette fois, il est réveillé, et il ronchonne. Qu'est-ce que je fous ? Je te suce, je te taille une pipe, mec ! A tâtons, il cherche ma tête, la trouve. Il pose sa main sur mes cheveux et il me caresse. Maintenant qu'il est réveillé, il bande de plus en plus nettement. Il a ronchonné, mais maintenant, ça lui plaît bien, d'être réveillé par une turlute. Alors, toujours caché sous la couette, je m'installe entre ses jambes, à genoux, les fesses posées sur mes talons et courbé au-dessus de son ventre … et j'accentue ma fellation. Tout en le suçant, je lui caresse le ventre, le torse. Hhhmmm, ça y est, on va encore baiser ! L'excitation me gagne. J'hésite … je le fais jouir dans ma bouche, ou dans mon cul ? J'ai bien envie de sentir son sperme s'étaler sur ma langue et s'écouler dans mon œsophage … mais j'aimerais bien aussi qu'il éjacule au fond de mon ventre … Et si ils me prenaient tous les deux en même temps, avec Domi ! Un qui me tire dans la bouche et l'autre dans le cul ! Où il est Domi ? Je gémis … Et j'entends Denis dire quelque chose … mais je ne comprends pas, sa voix est étouffée par la couette. Alors, je la soulève tout en sortant son sexe de ma bouche:

- T'as dit quoi ?

- J'ai dit "arrête de me sucer et pose ton cul sur ma queue".

 

Ah oui ! Je finis de rejeter la couette et je l'enjambe ... à califourchon au-dessus de son ventre, les genoux de part et d'autre de son bassin. Il me regarde en souriant. Quand j'ai le cul au-dessus de son sexe, je le saisis et je le dresse à la verticale. Denis soulève sa tête pour assister, entre mes cuisses, à la pénétration de son membre dans mon fourreau. J'abaisse lentement mon cul en guidant sa bite en direction de mon anus. Ah, voilà ! J'ai son gland contre ma rondelle ! Je descends lentement. Ah putain ! Son gland tout chaud dans mon sphincter ! Je reste quelques secondes comme ça, immobile, jouissant du bonheur de ce début de pénétration. Puis je finis de m'empaler, lentement … Hhhmmmm, je sens son sexe coulisser dans ma rondelle. Voilà ! Mes fesses reposent sur son ventre. J'oscille un peu du bassin pour ingurgiter complètement sa queue et je me cambre. Ah putain, ce que c'est bon, d'être assis sur cette bite ! Je me penche en avant et je pose mes mains sur son torse. Je bouge mon cul pour bien le sentir en moi. Il me regarde, il me sourit ... il pose ses mains sur mes genoux et les remonte le long de mes cuisses, jusqu'à mes aines … il les glisse sous ma nuisette et me caresse les hanches, la taille, le bas ventre. Moi aussi, je bande. Je le sens qui bouge son bassin sous moi.

 

- T'arrête jamais, hein ?

- Quoi ?

- T'arrête jamais … t'en a jamais assez … il te faut tout le temps une bite dans le cul …

- …

- Un mec, ça te suffirait pas …

- Un mec ?

- Oui, avoir seulement un mec, un copain, un homme … un seul mec, ça te suffirait pas …

- Ça dépend … si il assure …

- Mouais … je crois pas …

- Pourquoi ?

- Je crois pas qu'un seul mec suffise pour te satisfaire … et puis, t'aime trop te faire prendre par plusieurs mecs … pas vrai ?

- Oui, j'aime ça.

- Tu vois … 

 

Je me redresse et je me mets à monter et descendre mon cul. Je sens sa queue aller et venir en moi. Ça a l'air de lui faire de l'effet. 

 

- Et … t'as jamais pensé à faire ça … pour de l'argent ?

 

Nous y revoilà. Je me demandais quand il remettrait ça sur le tapis. Voyons où il veut en venir:

- … à faire ça pour de l'argent ?

- Oui, à faire la pute, quoi … comme l'autre, le Jacky, il t'a proposé …

- Ben non. Je m'en fous, de l'argent … j'en ai pas besoin … ce que je veux, c'est seulement me faire baiser …

- Oui, mais, si tu faisais la pute, tu serais sûr d'avoir tout le temps des mecs qui viennent te baiser … alors que sans ça, c'est aléatoire … t'es pas toujours sûr de trouver des mecs …

- Ouais, peut-être … c'est vrai que pour le moment, je suis pas toujours sûr de trouver des mecs … mais ça va sûrement changer …

- Comment ça ..

- Ben oui, je débute, si tu veux … je sais pas si je t'ai dit, mais mon premier mec, la première fois où j'ai baisé avec un mec, c'était seulement début juillet, c'est-à-dire il y a seulement un peu plus de trois mois … depuis, ça a été très vite .. je m'en suis fait pas mal, des mecs … 

- Tu sais combien ?

- Non.

- A peu près …

- A peu près ? Je sais pas … une quarantaine … déjà, une trentaine à mon gangbang … et … les huit blacks à l'hôtel … les trois routiers … tu vois, ça fait déjà plus de quarante … je t'avais raconté, la première fois où je me suis fait baiser par plusieurs mecs ? C'était avec les trois routiers, au bord de l'autoroute … 

- Ouais, chez Jean-Claude, tu nous as raconté …

- Tu vois ? Tout ça en moins de quatre mois …

- ...

- Mais ce qui m'a fait vraiment … basculer … c'est les huit blacks, à l'hôtel. Là, c'était début septembre. Et ceux-là, c'est pas moi qui les ai cherchés, c'est eux qui m'ont trouvé … oh la la, c'est eux qui m'ont … c'est avec eux que j'ai … c'est eux qui m'ont rendu accro à … à me faire prendre à la chaîne … ah putain, se faire baiser par plusieurs mecs, les uns derrière les autres … je te dis pas ! C'est vraiment là que ça a été la révélation, pour moi … Après, me faire baiser dans un gangbang géant, c'était devenu une évidence, pour moi. C'est pour ça que j'ai pas hésité quand Philippe me l'a proposé … et ensuite, il y a eu les cinq types à L.F., deux jours plus tard …

 

Ça m'excite de me remémorer tous les coups de bites que j'ai pris. Tout en parlant, j'ai passée une main derrière moi, je l'ai glissée entre ses cuisses et je lui tripote les couilles. Il me coupe la parole:

- Ah bon ? Les cinq mecs à L.F., je savais pas. Deux jours après ton gangbang ? Cinq mecs ?

- Ouais. Et quelques jours après eux, y'a eu Nicolas, un autre mec du gangbang, qui a voulu me revoir pour que je lui taille une pipe … ben lui, c'était il y a juste une semaine … 

- Mais … il y a une semaine ... on avait pas déjà pris rendez-vous, tous les deux ?

- Ben oui … peut-être …  pourquoi ?

- Nan, comme ça … je … je pensais pas que tu verrais un autre mec entre temps …

- Ben si. T'étais pas censé avoir l'exclusivité … alors, tu vois, avec ces cinq là et les quatre de chez Jeannot, je suis plutôt à une cinquantaine de mecs qui me sont passés dessus … ça commence à faire du monde … et certains de ces mecs qui m'ont déjà baisé, ils veulent recommencer, comme Nicolas ... et toi ... et Yann … tu vois, de proche en proche, et avec le bouche à oreille, je devrais pas manquer de bites à soulager …

 

Il ricane:

- Ouais, t'as raison … mais du coup, faire le tapin, ça va être non …

- J'ai pas dit ça. 

- Ah bon ? T'es pas vraiment contre ?

- Je sais pas … faut que je réfléchisse … 

- Mmm Mmm ! En tout cas, moi j'aurais peut-être déjà des clients pour toi …

- Ah bon ? Encore les mecs de chez Jeannot ?

- Non non … pas les mecs de chez Jeannot …

- Qui, alors ?

 

Il arbore un sourire mystérieux. J'insiste:

- Vas-y, raconte …

- Le jeune … le jeune de la Plage … tu sais, celui qui m'a demandé mon téléphone …

- Je m'en doutais …

- Ouais. Il dit qu'il peut réunir des potes à lui … qui seraient prêts à te … baiser.

- Mais … des potes de son âge ? Ils ont quoi ... la vingtaine à tout casser … 

- Lui, non, il a vingt-trois ans, je crois. Les autres, avec qui il était, oui, ils ont dans les dix-neuf, vingt ans … mais c'est pas avec eux qu'il veut faire ça. Il fait partie d'une autre bande … des mecs plus âgés, apparemment … Il va leur en parler, et il doit me rappeler … 

- Ah ouais ? C'est marrant, celui-là, quand il m'a dit au revoir, j'ai senti qu'il était prêt à me demander quelque chose, mais il s'est dégonflé.

- Nan, c'est pas ça, il a préféré me demander à moi. Quand il m'a pris à part, il m'a dit « Je vous demande à vous, comme Marin, il est à vous et que c'est vous qui décidez si vous le prêtez ou non … ». Tu vois, il croyait que c'était moi … enfin, nous, qui décidions. Je m'excuse, hein, on venait de leur dire ça, aux jeunes ... que t'étais à nous …

- T'excuses pas, ça me va …

- Quoi …

- Ça … que vous disiez aux autres que je suis à vous … ça me plaît … ça me plaît d'être à vous … ça me plaît que vous me dirigiez, que vous décidiez … que vous me traitiez comme ça … comme un objet … comme votre … jouet … ça me plaît que vous me prêtiez à d'autres mecs … et lui, le jeune, là, si il te demande, tu voudras bien me prêter à lui et à sa bande de potes ?

- T'as envie ?

- Oui

- Tu sais même pas qui c'est !

 

C'est plus fort que moi, j'éclate de rire. Alors lui ! Il participe à un gangbang d'une trentaine de types dont je ne connais … si on peut dire … dont je ne connais que l'organisateur et le propriétaire des lieux … lui-même, pas plus tard  qu'hier soir, m'entraîne dans un troquet pour me faire tringler par des types que je n'ai jamais vus … et là, il s'étonne que j'aie envie de me faire sauter par d'autres inconnus. Je reprends sur le même ton que lui:

- "Tu sais même pas qui c'est !". Je m'en fous, Denis, de connaître ou pas les mecs qui me baisent. Je vous connaissais pas non plus, vous, les vingt cinq ou trente mecs de mon gangbang .. ni tes potes de chez Jeannot. Qu'est-ce que je risque, avec ce mec de la Plage et sa bande ? Qu'ils me violent ? Hhmmmm, comme mes huit blacks à l'hôtel ? Ah si ! Ce que je risque c'est que ça soit des casseurs de pédé, et qu'ils me cassent la gueule. Alors, il faudra seulement que tu m'accompagnes, avec Domi et Yann.

- Ben oui, faudra qu'on veille sur notre … jouet. Faudrait quand même pas qu'ils l'abîment …

- Il t'a dit combien ils seront, ses potes, au jeune ?

- Ah, t'es un cas, toi alors … non, il m'a pas dit combien ils seront … tu sais, je suis même pas sûr qu'il va m'appeler …

 

La porte de la chambre s'ouvre et Domi entre. Il est déjà habillé:

- Ah, vous êtes réveillés, à ce que je vois. Denis, je crois qu'il y a un truc qui a sonné dans ton bureau … plusieurs fois

- Ah, merde ! Ça doit être mon téléphone pro. Qu'est-ce qu'ils me veulent ? Dis, tu peux me l'amener, s'il te plaît ? Il est dans ma mallette. Tu peux l'ouvrir …

 

Pendant que Domi disparaît, Denis se remet à me peloter. Pendant notre conversation, j'avais ralenti mon va et vient sur sa queue. Je m'y remets avec plus de conviction. Domi revient et tend son téléphone à Denis. Il pianote sur son écran, et:

- Ah merde, c'est mon patron. Faut que je l'appelle. Je m'excuse …

 

Je continue d'aller et venir sur son pieu, et il pianote de nouveau:

- Allô ? Salut, Michel ... Non, vas-y, qu'est-ce qui se passe ? … Hein ? ! ? ! Tu déconnes … Quand ça ? 

 

Ça aussi, ça me plaît: aller et venir sur sa bite pendant qu'il parle avec son patron. Il le sait, son patron, qu'il baise un mec, le Denis ? Le téléphone à l'oreille, il me caresse distraitement la cuisse de sa main libre:

- Mais … qui c'est qu'a … Ah putain, les cons ! … Ouais … Nan, tu penses bien, hier, en partant, on leur a bien expliqué … ouais … ouais, on a même mis un énorme panneau "Pas toucher ce terminal sans nous" … Si, demande à Nadir … Bon, alors … Ah, putain ! … Ouais, j'm'en doute … Ouais, mais ça me fait chier, j'avais prévu des trucs, ce week-end …

 

Ça oui, il avait prévu "des trucs". Il en a même un, assis sur sa queue, "un truc". Je continue de le baiser, mais il n'est plus vraiment avec moi. Par contre, Domi, oui: il s'est agenouillé au bord du futon, à côté de moi, et, une main posée sur mon ventre, sous ma nuisette, il est en train de me peloter le cul, suivant mes mouvements de va et vient sur la bite de son pote. Il se penche et me souffle à l'oreille:

- T'arrête jamais, hein …

 

La même réflexion que Denis, tout à l'heure ! Il approche ses doigts de ma rondelle. Il va me doigter pendant que Denis m'encule ? Denis poursuit avec son patron:

- Ben ouais … ça me fait chier, Michel … ouais, bien sûr, je comprends … Ouais, en voiture, on met autour de cinq heures et demie, à chaque fois … Ouais … Bon, ben tu me rappelles, alors ? … OK, à tout'

 

Il pose son téléphone:

- Putain ! Ils me font chier ces cons !

 

Domi, une main toujours sur mon cul, et une sur mon ventre:

- Un souci, on dirait …

- Ouais. Y'a un con de la boîte chez qui on bosse en ce moment qui a fait une connerie. Il a planté le système …

- T'es toujours sur ton affaire d'hypermarché ? Je ne sais plus où ?

- Ouais. C'est à Saint-Etienne … une plate-forme logistique qui alimente dans les cent cinquante moyennes et grands surfaces. Ça fait des mois qu'on bosse là-dessus avec Nadir et un autre collègue … on leur change entièrement leur système informatique … mais fallait surtout pas qu'ils activent le nouveau réseau pendant que l'ancien tourne … Nous, on fait nos tests la nuit, quand l'ancien réseau est en mode " off " … Et là, y'a un con qu'a voulu voir ce qu'on avait fait et qui a activé le nouveau terminal …

- Et alors ?

- Ben alors, il a tout planté. Le système comprend plus rien, si tu veux … Y'a plus rien qui marche, ni le nouveau, ni l'ancien réseau … plus de commandes des magasins, plus de commandes vers les fournisseurs … la compta H.S. … le planning des livraisons pareil … tous les camions bloqués … bref, le bordel ! 

- Ils peuvent pas remettre tout ça en route ? 

 

Denis s'est remis à me peloter, lui aussi.

- Ça se reboote pas comme un PC. On va devoir y aller. Mon patron, Michel, il arrive pas à joindre Nadir. Alors, il va venir avec moi. Mais Saint-Etienne, c'est pas la porte à côté, et il faut que ça redémarre le plus vite possible … en tout cas avant lundi … bon, ma poule, c'est foutu, pour ce week-end … mais Domi et Yann, ils vont continuer à s'occuper de toi …

 

Domi secoue la tête:

- Moi, aujourd'hui, je peux pas, Denis … je t'avais dit, j'ai un boulot à rendre impérativement lundi … je suis en retard, faut que je m'y mette … Et puis Yann … il est pas bien … je crois que tu pourras pas non plus compter sur lui ..

- Qu'est-ce qu'il a ?

- La gueule de bois, déjà … et la crève … et peut-être même la chiasse …

- Bon, ben, désolé, ma poule … ton week-end de cul s'arrête là …

 

Putain, en principe, c'était parti pour trois jours de baise avec quatre mecs et ça s'arrête là, au bout d'une demie journée. Je m'étais déjà fait tout un cinéma sur ce que ça allait être, de vivre vingt quatre heures sur vingt quatre avec ces quatre types, de faire ma salope avec eux, d'être à leur disposition à tout moment, de passer de l'un à l'autre au gré de leurs envies et de leur excitations, de me faire prendre partout et dans toutes les positions dans cet appartement et ailleurs … Si il était allé là-bas, à Saint-Etienne, en voiture avec Nadir, je lui aurais proposé de les accompagner. Je me serais occupé d'eux pendant le trajet, et ensuite à leur hôtel – je suppose qu'ils vont à l'hôtel - , mais si c'est avec son patron, je pense que c'est même pas la peine d'y penser. Alors, en finir pour en finir, autant que ce soit en beauté. Je secoue la tête:

- Non, il s'arrête pas là. Baisez-moi tous les deux … maintenant.

- Co … comment ça, tous les deux …

- Baisez-moi tous les deux … enculez-moi ensemble … fourrez-moi vos deux bites en même temps …

- Tu .. tu veux dire … 

- Je veux dire que je veux une double sodomie.

- Ben … j'ai jamais fait ça. Et toi, Domi, t'as déjà fait une double sodomie ?

- Non, moi non plus … Et toi, Marin, t'as déjà fait ça ?

- Oh que oui, il a déjà fait ça !

 

Denis ne m'a pas laissé le temps de répondre. Il poursuit:

- … et pas qu'un peu ! L'autre jour, à la ferme, tu t'en es pris combien à la suite, des doubles sodos ?

- Quatre. 

- QUATRE fois ! Il s'est fait enculer par deux bites à la fois QUATRE fois de suite ! Et les derniers, j'peux te dire que c'était des sacrés morceaux ! J't'ai pas montré les vidéos, Domi ?

- Non, pas celles-là …

- T'es sûr que tu veux ça, ma poule ?

 

Je hoche la tête. Oui, je veux ça. Deux d'un coup ! Si ça doit s'arrêter là, ce week-end, qu'ils me baisent tous les deux en même temps ! Il y en a visiblement un autre qui veut ça: Domi s'est relevé et il est déjà en train d'ôter son pantalon. Il n'a pas attendu que son pote me dise oui. J'ai arrêté d'aller et venir sur la bite de Denis. Bien assis sur son ventre, sa queue bien enfoncée au fond de mon cul, je me suis redressé. Pendant que Domi passe sa chemise par-dessus sa tête, et je lui tripote la queue. Il commence à bander. L'idée de me prendre en sandwich, sans doute. Maintenant complètement à poil – ah non, il a gardé ses chaussettes - debout à côté du lit, il me regarde d'un drôle d'air. Je lève les yeux sur lui:

- Domi, il faudrait que tu ailles chercher mon lubrifiant. Il doit encore être dans la poche de mon blouson. Je l'ai laissé sur un fauteuil, il me semble …

 

Il hésite, regarde ma main qui lui palpe la bite. Ah OK, il attend que je le laisse tranquille. Je lâche sa queue et il fait aussitôt demi-tour pour quitter la chambre. Je me penche de nouveau au-dessus de Denis, et je change de position. J'allonge mes jambes de part et d'autre des siennes et je me couche sur lui. Appuyé sur les coudes, ma figure au-dessus de la sienne, je bouge mon bassin:

- Ça te gêne, de m'enculer avec Domi ?

- N… non.

- Moi, j'en ai une furieuse envie.

 

Tout en bougeant mon bassin, en faisant aller et venir mon cul sur sa queue, j'approche mon visage du sien et je pose mes lèvres sur son cou juste sous son oreille:

- Vous allez me baiser tous les deux, hein …

 

Il hoche la tête:

- Oui

- Je veux vos deux queues dans mon cul.

- … 

- Et vous allez jouir tous les deux dans mon  cul …

- ...

 

Domi est de retour. Inutile de lui préciser ce que je veux. J'entends déjà le plop du bouchon de mon flacon de lubrifiant, et, presque aussitôt, le bruit mouillé du gel qui sort du tube. J'écarte bien les cuisses. Denis a aussi compris ce qui se passe … il m'empoigne les fesses et me les ouvre pour faciliter la tâche à Domi. Je sens la fraîcheur du gel sur ma rondelle. Domi:

- Attention, Denis, je vais … je vais lui en mettre aussi dedans …

- Vas-y, mec.

 

Oui, pour me mettre du gel lubrifiant jusque dans le cul, il va devoir me rentrer ses doigts contre la queue de Denis. Ah yess ! Ça y est, il m'a rentré un doigt … Il le fait aller et venir … Il le sort … Nouveau bruit du gel qu'il extrait du tube … et de nouveau son doigt … non, SES doigts. 

- J'te fais mal, Marin ?

- Non. Vas-y. Doigte moi encore … il faut me détendre les muscles …

- Et toi, Denis … ça va ?

- Ça va, mec. Tu m'excites, Domi …

- Arrête tes conneries.

 

Il y va plus vigoureusement. Ils font les malins, mais je perçois quand même comme une gêne. M'enculer ou se faire sucer l'un devant l'autre, ça va, ils assument, mais là … toucher la bite à son pote … ça doit être la première fois qu'ils se touchent comme ça, ces deux-là. Et tout à l'heure, ils vont être queue contre queue, gland contre gland … et j'espère bien qu'ils vont finir avec leurs deux glands baignant dans le mélange de leurs spermes. Plus intimes que ça, c'est pas possible. Tête baissé au-dessus de celle de Denis, je ferme les yeux. Oh, putain, j'aime ça. Dans un instant, je vais encore me prendre DEUX bites dans le cul ! Accouplé avec deux mâles ! Sailli par deux mecs en même temps ! Je ne peux retenir un gémissement. Domi sort ses doigts de mon cul, et j'entends mon flacon de lubrifiant tomber sur le sol.

 

Je sens le matelas s'enfoncer entre mes pieds. Ça y est, Domi va venir sur moi … Denis me tient toujours les fesses et me les écarte. Je sens les genoux de Domi venir se poser contre les miens sur le matelas … et il s'appuie d'une main à côté de mon épaule … Ah, voilà, je sens ses cuisses qui effleurent l'intérieur des miennes … il est en train de s'étendre au-dessus de moi … sa main, contre ma fesse … il guide sa bite … Oh, putain, oui, je sens son gland contre mon anus … contre la verge de Denis … il glisse … il n'arrive pas à s'insinuer entre la verge de son pote et le bord de ma rondelle … il se remet en position … il force … ça résiste un peu … et d'un seul coup, je sens sa bite qui entre ! Ah, la vache ! Je me sens ouvert, forcé par ces deux sexes gonflés … Domi cramponne toujours sa queue .. entre mes fesses, je sens sa main qui serre sa verge pour la raidir et la maintenir en place … Il s'enfonce … il s'enfonce … Oh putain, ça y est, j'ai leurs deux bites dans le cul ! J'ai deux mecs qui me baisent ! Je halète … Domi lâche sa queue et finit de s'affaler sur moi . Ça y est, me voilà pris en sandwich entre mes deux mâles ! Ah, j'aime ça … coincé, écrasé entre deux types qui me baisent ! Là, je me sens tellement ... tellement femelle ! Saillie par deux mâles en même temps ! Viande à bites ! Réceptacle à queues ! Vide couilles ! Domi, sa bouche contre mon oreille:

- Ça va, ma poule ? 

 

Je hoche la tête "Oh oui, ça va !"

 

- T'as pas mal ?

 

Je secoue la tête "Oh non, j'ai pas mal ! "

 

- Et toi, Denis ?

- Ça va, mec … ça va même très bien !

- Moi aussi … Putain, c'est la première fois pour moi !

 

Doucement, précautionneusement, il se met à bouger son bassin et à sortir lentement sa queue … il s'arrête .. et re-rentre … Je le sens haleter contre mon oreille. Il recommence … sort un peu plus … et re-rentre … Sous moi, Denis respire par la bouche … le va et vient de Domi contre sa queue a l'air de lui faire beaucoup d'effet. Domi prend de plus en plus d'assurance et se met à aller et venir plus franchement, avec plus d'amplitude … Ah putain, je sens vraiment bien leurs queues qui me forcent, qui me dilatent la rondelle … Mentalement, je les visualise, au fond de mon cul … la bite de Denis, immobile, pressée, écrasée, aplatie par celle de Domi qui glisse, qui coulisse en moi … leurs deux glands qui se frottent, compressés l'un contre l'autre par mon rectum inondé de lubrifiant et sans doute aussi par leurs liqueurs pré-éjaculatoires … Domi se met à me lécher l'oreille, puis à me la mordiller … il gémit:

- Ah putaiiiin … ah puuuuutaiiiin, quel cul d'enfer !

 

Il halète de plus en plus fort:

- Je vais … je vais … je vais … ah puuutaiiiin … je vais jouir !

 

Encore deux va et vient et soudain, il s'enfonce en moi et s'immobilise:

- AaaaahhhAAAAaaaaaHHHhhhaaaaAAAAAhhhaaaaaaaaaa !

 

Je … je le sens ! Il jouit ! Je le sens éjaculer ! Je sens sa queue gonfler, pulser à chaque éjaculation … Il me remplit de sperme … il m'insémine ! Et soudain, sous moi, je sens le ventre de Denis se contracter contre mon ventre, en même temps qu'il se met, lui aussi à haleter … Le sperme chaud de Domi lui inonde le gland .. et ça déclenche son orgasme … Les mains crispées dans le gras de mes hanches, il jouit à son tour … Ah, les mecs ! Ah les mecs ! Je vous aime ! Baisez-moi ! Fécondez-moi ! Là, il y a des millions de microscopiques bestioles qui grouillent dans mes entrailles à la recherche d'un ovule à fertiliser. Allez-y, je suis une femelle, faites-moi des petits ! Ah, putain, quel bonheur ! Quelle volupté ! Baisé et inséminé par deux mâles en même temps ! 

 

Sous moi, entre le ventre de Denis et le mien, je sens ma queue qui baigne dans … je ne sais quoi ... Je n'ai pas joui, pourtant … et vu la quantité, ce n'est pas seulement de la "mouille" … la pression de ces deux bites contre ma prostate en a sans doute fait sortir un peu de sperme … 

 

Ils soufflent, ils halètent tous les deux ... je sens que leurs deux orgasmes sont très puissants, exceptionnels ... Ils ne sont plus que deux bites qui jouissent, qui explosent et qui crachent leur sperme au fond d'un cul ... d'un seul et même cul ... C'est Denis qui se met à rire le premier. Il a fini d'éjaculer, et je sens son ventre se secouer sous mon ventre … Ça déclenche le rire de Dominique qui se laisse complètement aller sur moi, tel un corps mort. Il me donne un coup de langue sur l'oreille, m'embrasse dans le cou, et:

- Ça va, ma poule . T'as pris ton pied ?

- Non.

- Ah bon ? Nous, oui … hein, Denis ?

- Ah ouais ! Et quel pied !

- T'es content quand même, ma poule ?

- Oh oui ! Merci … mes hommes … mes mâles ... Merci à vos queues ...

 

Ils rient et reprennent leur souffle. La pression contre les muscles de mon anus diminue … leurs queues sont en train de ramollir … 

 

Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! C'est le téléphone de Denis, resté sur le lit pendant nos ébats. Denis le cherche à tâtons, le trouve, et:

- Ouais, Michel ! …. Ouais … Ah bon ? … Où ça ? … bon … ouais … très bien … Ouais, ben là, j'étais justement en train de me préparer …

 

Le menteur ! Je lève les yeux sur lui. Il me sourit, me fait un clin d'œil et poursuit:

- OK … Ouais, je l'attends … à tout' !

 

Il repose son téléphone:

- Bon, va falloir que je me prépare vraiment, les mecs … Avec mon patron, on va descendre à Saint-Etienne en avion. C'est le PDG du groupe pour qui on bosse qui met son avion perso à notre disposition … on part d'Orly. Ils envoient une moto-taxi me chercher. Elle est là dans vingt minutes, il paraît. 

 

Je me redresse un peu au-dessus de lui et je le regarde:

- Et tu reviens quand ?

- Ben, je sais pas combien de temps ça va nous prendre … surtout si y'a pas Nadir. Michel, mon patron, c'est surtout un commercial … il est pas trop technique, alors il ne va pas être très efficace … Alors, je sais pas … et puis, tant qu'à être là-bas, après, je vais sûrement rester jusqu'à la fin de la semaine … histoire d'avancer … Je reviendrai sûrement seulement le week-end prochain …

 

Dominique bascule sur le côté. Je sens - et j'entends - sa queue sortir de mon cul dans un bruit mouillé. Denis me tapote l'épaule:

- Allez, descends, s'il te plaît … vous étiez lourds, tous les deux …

 

Domi s'écarte et, à mon tour, je bascule à côté de Denis. Il se tourne vers moi:

- Tu vas faire quoi, alors ?

- Je vais rentrer chez moi.

- Tu reviendras ?

- Sans doute … un de ces jours …

- Et … ce week-end, tu vas …tu vas encore chercher des mecs ? Tu vas essayer de te faire encore baiser ?

- Ça, je sais pas … mais ce que je sais, là, tout de suite …

 

Je me redresse, et je m'accroupis sur le lit, entre eux deux:

- Bougez pas !

 

Ils me regardent, surpris. Je me glisse jusqu'au milieu du lit, à hauteur de leurs bassins, et je me penche sur le ventre de Denis:

- Tu vas pas partir comme ça, avec la queue pleine de sperme …

 

Et je prends sa bite dans la bouche. Elle est toute molle, et elle est enduite du mélange de leurs spermes et de gel lubrifiant. Hhhmmmm, j'adore faire ça ! Tout en la suçant, je fais signe à Domi d'approcher. Il sourit et vient coller sa hanche contre celle de Denis. Tous les deux s'accoudent pour me regarder faire, un sourire aux lèvres. Une fois la bite de Denis nettoyée, je m'occupe de celle de Dominique. Sous moi, je sens leurs semences commencer à s'écouler de mon cul dans un bruit de bulles. Je glisse ma main sous ma rondelle …pas uniquement pour ne pas souiller le futon de Denis. Quand la queue de Domi est nickel, je me redresse, je remonte ma main de sous mon cul et j'y mets l'autre. Je tends ma main pleine de sperme vers mes deux amants et je la leur montre. Ils me regardent, se demandant visiblement ce que je fais. Alors, je lape le contenu de ma main et je me lèche consciencieusement les doigts. Dominique s'écroule sur le dos en se marrant, tandis que Denis, toujours accoudé, secoue la tête d'un air désabusé. Je recommence avec mon autre main. Denis:

- Putain, t'aime vraiment ça, hein …

- Ouais.

- Quelle salope … bouffeuse de jute !

- Ouais.

- Bon. Allez, faut que je passe à la douche. L'autre va bientôt arriver, avec sa moto. Tu te doucheras ici, Domi ?

- Non … je saute dans mon froc et je redescends chez moi.

 

Les voilà debout tous les deux. Denis disparaît vers la salle d'eau. En sortant de la chambre, ses vêtements sous le bras, Domi me lance:

- Tiens, au fait, il y a des croissants. Je suis allé en acheter pendant que vous dormiez.

- Merci. 

 

Je me lève à mon tour. J'hésite un instant: je rejoins Denis sous la douche ? Non, j'ai faim ... croissants. Dans le salon, Yann, la tronche en biais, le teint verdâtre, est vautré sur le canapé, une tasse  la main.

- Salut.

- Salut.

 

Domi, tout en s'habillant: 

- Marin, si tu veux te faire un café, la machine est là-bas … j'ai laissé les dosettes à côté. T'en veux un, Yann ?

- Eeeeuuuuuuuuurrrrrrk !

- Un croissant, alors ?

- Eeeeuuuuuuuuurrrrrrk !

 

Domi se marre:

- Petite nature.

 

Je lui demande:

- Et toi, Domi, t'en veux, un café ?

- J'en ai déjà pris un tout à l'heure, mais je veux bien.

 

J'en prépare deux. Pendant que les tasses se remplissent, je m'assois sur un des tabourets à côté de l'îlot central de la cuisine. Oh putain, j'ai encore la rondelle humide. Je n'ai pas dû me vider complètement, tout à l'heure. Tant pis, j'essuierai le tabouret plus tard. Je plonge la main dans l'énorme sac de croissants et j'en attaque un premier. C'est Domi, une fois rhabillé, qui m'apporte mon café avant de s'envoyer d'une seule bouchée la moitié d'un croissant:

- Putain, ça m'a donné la dalle …

 

Il termine son croissant, avale une gorgée de café, et:

- Tu reviendras ? Demain, je pourrais peut-être me débrouiller pour me lébérer un moment ...

- Je … je sais pas …

- Ah bon ? Mais … ça t'a plu, la soirée d'hier et … et ce matin …

- Ah oui … c'était super … surtout hier soir … mais … pour l'avenir, ça dépendra de ce que Denis me proposera … Denis ou toi, d'ailleurs …  

- Ah ! OK ! Tu voudrais pas recommencer la même chose …

- Voilà, il y a de ça. Et puis, je ne sais déjà pas ce que je vais faire demain, ou après-demain, ou dans trois jours … alors, dans une semaine ou dans quinze jours, je peux pas prévoir …

- Ouais, compris … pas de routine …

- Voilà.

- Bon. J'y vais. Peut-être à plus, alors …

- Ouais.

 

Il hésite, me regarde, finit par s'approcher, me tend la main, change d'avis, se penche et m'embrasse sur la joue:

- Bon, salut ma poule. J'espère que tu reviendras.

 

Pendant ce temps, Yann s'est levé péniblement et a enfilé son manteau. Domi hésite encore et se dirige vers l'entrée. Yann passe à côté de moi et me tend la main:

- Bon, à un de ces jours … peut-être …

 

Domi:

- Tu veux que je te remmène chez toi, Yann ?

- Nan. Ça va aller, je peux conduire.

- OK.

 

On se serre la main, et il emboîte le pas à Domi. J'entends la porte se refermer … clac ! Je continue à descendre des croissants en sirotant mon café. Après quelques minutes, Denis sort de la salle d'eau, habillé, rasé et s'engouffre dans son bureau. Il en ressort, sa mallette à la main et vient la poser sur son îlot de cuisine:

- Ils sont partis ?

- Ouais.

- Comment il allait, Yann ?

- Apparemment assez bien pour rentrer chez lui tout seul.

- Bon.

 

Il se fait couler un café, et, tout en dévorant un croissant:

- Alors, t'as décidé ? Tu reviens quand ?

- Je sais pas. Ça dépendra de ton emploi du temps  … et du mien …

- Mais … t'as rien contre …

- Oh non, j'ai rien contre, mais c'est les événements qui décideront … la preuve, t'avais prévu trois jours, presque quatre, et ça a duré moins de vingt quatre heures …

- Bah ouais. Tu regrettes ?

- Je regrette que ça s'arrête ... mais pour ce qu'on a fait ... oh non ! 

 - Je …

 

Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz ! La sonnette de l'interphone. Il va répondre. Je l'entends, dans son entrée:

- Oui ?

- …

- OK. Je descends. Je suis là dans une minute.

- …

 

Il revient:

- C'est ma moto. Faut que j'y aille … bon, t'as la salle d'eau pour toit tout seul … Tu fermeras en partant ? Tu remets la clef au même endroit …

 

Il se ravise:

- … euh, non. Mets la plutôt dans la boîte à lettres de Domi … dans le hall d'entrée. C'est le numéro 215.

- OK.

 

Il avale son café, puis

- Bon, ben … salut, ma poule …

 

Comme Domi, il s'approche, hésite, et finit par m'embrasser sur les joues:

- On se rappelle, hein …

- D'accord.

 

Il pioche un autre croissant dans le sac, récupère sa mallette et disparaît dans son entrée. Clac ! La porte.

 

Je finis mon café. C'est en allant mettre ma tasse dans le lave-vaisselle, que mon regard tombe sur la pendulette du four. Elle marque un peu plus de neuf heures et demie ! Je n'en reviens pas. Elle est à l'heure ? Je croyais qu'il était plus de onze heures ! Je retourne dans la chambre pour en avoir le cœur net. Le radio-réveil à côté du lit marque la même heure. Alors, on s'est réveillés à quelle heure ? 

 

Bon, une douche, et je rentre. Mais, en me dirigeant vers la salle d'eau, une sensation de fraîcheur humide, du côté de ma rondelle, me fait changer d'avis. Comme après mon gangbang chez Jean-Claude et ma journée chez le gros Robert, j'ai bien envie de repartir avec le cul encore souillé de sperme. Là, j'ai évacué le plus gros, mais je sens qu'il s'en écoule encore un peu quand je bouge, quand je marche. Je passe ma main dans ma raie. Ah oui, il y en a encore pas mal ! Deux mecs qui éjaculent ... et ils ont dû m'envoyer ça loin dans le ventre ! Allez, c'est décidé, je rentre comme ça. Ça me plaît beaucoup de garder en moi la trace de la jouissance des mecs qui m'ont baisé. Tout excité à l'idée de me balader une fois de plus les miches enspermées, je me dépêche de m'habiller. Je remets ma minijupe en jean: elle a été pas mal tachée de jus de bites au cours de la soirée, et même si ça a séché, ça me plaît. Est-ce que je mets un string, ou une petite culotte ? Non, ça épongerait, et j'ai envie de sentir ce cocktail visqueux m'engluer les fesses et le haut des cuisses. Je ramasse vite fait dans mon sac toute ma lingerie et mes accessoires, je fais le tour de l'appart pour vérifier si je n'oublie rien, et je me mets en route.

 

En parcourant le long couloir qui dessert ce quatrième étage, je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre au rythme de mes pas. Décidément, j'ai bien fait, j'adore cette sensation ! L'ascenseur est à l'étage. C'est vrai, il faut que je m'arrête au rez-de-chaussée pour mettre la clé de Denis dans la boîte de Domi. Au troisième, l'ascenseur s'arrête. Aïe ! Je vais me retrouver avec un voisin de Denis … ou une voisine. Quand la porte s'ouvre, c'est un type d'une soixantaine d'année qui apparaît, avec un chien tenu en laisse … un Jack Russell, il me semble. Quand il m'aperçoit, le type ne peut retenir une grimace de stupeur. Il hésite, retient son chien qui commençait à monter dans l'ascenseur. Mais comme je me recule au fond de la cabine pour leur faire de la place, il n'ose pas battre en retraite. Je lui souris:

- Bonjour.

 

Il marmonne je ne sais quoi et monte en prenant bien soin de rester loin de moi. L'ascenseur démarre. Il baisse les yeux, le nez collé à la porte, et n'ose pas me dévisager ouvertement, mais je sens qu'il me regarde en sournois, par en dessous. Son chien, plus direct, tire sur sa laisse en remuant la queue pour venir me renifler. Il a sûrement perçu les odeurs de sperme qui se dégagent de mon cul, et il viendrait bien me fourrer sa truffe entre les cuisses pour faire connaissance. Mais son maître, agacé, le tire brusquement à ses pieds. Lui aussi a peut-être senti le délicat fumet de sperme qui émane de mon entrecuisse. Rez-de-chaussée. Le type sort précipitamment et s'empresse vers la porte d'entrée de l'immeuble. Il se retourne pour voir si je le suis. Cette fois, il me scrute plus ouvertement. Regard désapprobateur. J'attends qu'il s'éloigne pour glisser la clé de Denis dans la boîte à lettres de Dominique. Inutile que ce type sache avec qui je fréquente dans cet immeuble. Voilà, c'est fait. Je cherche l'escalier qui descend au sous-sol.

 

A la suite de ma journée chez les paumés de L.F., j'avais pris la précaution de me mettre une alèse dans mon coffre pour épargner mon siège après mes prochaines séances de cul. Il faut dire que j'avais eu un peu de mal à le nettoyer le lendemain de mon gang bang chez Jean-Claude et ma journée chez le gros Robert à L.F.. Alors, avant de me mettre au volant, j'installe cette protection. Quand je sors du parking souterrain, j'ai un instant d'hésitation. Et si je faisais un tour en ville pour revoir de jour les endroits où je suis passé avec mes mecs cette nuit ! Allez, c'est parti !

 

La minijupe remontée à l'angle de mes cuisses et de mon bassin, la bite qui dépasse de l'ourlet, je commence au plus près, par l'avenue où Domi avait commencé à me baiser dans un massif du terre plein central. C'est vrai qu'au milieu de ces fleurs, ce n'était vraiment pas discret. Je m'engage ensuite sur l'avenue qui conduit à la place François 1er. Il y a pas mal de circulation et du monde sur les trottoirs. Le portail du cabinet d'avocats est fermée et la cour est vide. Je fais le tour de la place et je longe le square. Il est ouvert et des gamins jouent sur le toboggan, surveillés par leurs mères. Quand je pense que je me suis fait fourrer là par Denis, appuyé à cet arbre ! Ensuite, le dédale des sens uniques m'oblige à faire un grand tour dans le quartier résidentiel, un peu moins animé que le centre ville. Je finis par me retrouver au bas de la rue Saint-Jean, que je remonte à petite vitesse. Je m'arrête deux secondes devant le "Saint Jeannot". Apparemment, il n'est pas encore ouvert. Etonnant. Là, derrière cette vitrine pas très nette, j'ai taillé une pipe à Jacky, et là-haut, à l'étage, je me suis fait baiser par quatre types, pendant que mes mecs attendaient en bas qu'ils aient fini de me faire mon affaire.

 

Je redémarre et, place de la cathédrale, je bifurque dans une rue tortueuse. La rue du Général de Gaulle étant piétonnière, je ne peux pas retourner voir cette parfumerie devant laquelle j'ai taillé une pipe à Dominique. Impossible aussi de m'engager vers la Halle pour passer sur le Pont Vieux ou sur le quai qui longe le port de plaisance: c'est jour de marché et il y a des camelots partout. Je poursuis donc jusqu'au parc de la Plage, et je fais un tour sur le parking. Il y a déjà pas mal de voitures garées là, et je croise je ne sais combien de joggueurs et de cyclistes qui font leur exercice matinal. Mais j'aperçois au loin une table de ping pong. Celle où Domi m'a baisé ? Je ne suis pas sûr. Dans l'obscurité, je n'ai pas pu repérer où elle était. En tout cas, un promeneur matinal aura sans doute eu la surprise de découvrir là un string et une poignée de capotes. Il aura sans doute imaginé qu'une fille ou une femme se sera fait fourrer ici. Voilà, maintenant, je vais rentrer. Sur mon trajet vers chez moi, je passe place des fainéants. Des ados y font du skate et, sur le banc où j'ai masturbé Dominique, deux clodos, une canette à la main, picolent. 

 

Je finis de rentrer à petite vitesse avec toujours le même plaisir de circuler dans cette tenue indécente au milieu du trafic. Sous moi, je sens une tache tiède s'agrandir peu à peu. Loi de me gêner, ça me procure un plaisir aussi cérébral que sensuel. Tout de même, je dois vraiment être pervers, pour aimer à ce point garder en moi la semence de mes amants, pour aimer à ce point la sentir me souiller l'anus, les fesses, les cuisses … Quand j'arrive dans ma rue, je croise ma voisine, Yolaine, qui part en voiture. Dommage, ça m'aurait bien plu de la provoquer encore en lui annonçant que, depuis hier soir, je me suis fait baiser par huit hommes !

 

à suivre ...

 

 

 


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Vendredi 10 février 2017 5 10 /02 /Fév /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Les flics qui nous avaient chopés ont été obligés de nous libérer pour aller courir après les racailles incendiaires du Grand Val, et d'un seul coup, avec Domi, on se trouve un peu désappointés. Il demande:

- Bon, ben … on essaye de retrouver les autres ?

- Ouais. Appelle les. J'ai pas de téléphone.

 

Il sort son smartphone, pianote, et:

- Denis ? C'est Dominique … ouais … si, si, on s'est fait choper … ouais, par les flics … si, mais ils nous ont relâchés … ouais, parce que y'a du baston au Grand Val, des voitures cramées et les pompiers qui se font caillasser … les flics aussi, alors ils avaient d'autres chats à fouetter … ouais … on vous racontera. Vous êtes où ? … Où ? Ah ouais, je connais … Non, attendez-nous là-bas, on vous rejoint … Ouais … à tout' !

 

Il se tourne vers moi:

- Ils sont à la Plage. Ils nous attendent. 

 

La Plage, je connais aussi. C'est un petit parc, aménagé au bord de la rivière avec une plage de sable, des jeux pour enfants, des tables de pique nique, des tables de ping pong, etc. L'été, il y a pas mal de monde. A cette époque, et surtout à cette heure de la nuit, ça doit être désert. On se met en route. On entend au loin un concert de sirènes: le lent Piiiiiin poooon des pompiers et celui, plus nerveux de la police. Il me prend le bras:

- Ça va ?

- Ouais, ça va.

- T'as eu peur ?

- Sur le coup, oui, quand le flic nous a surpris en nous mettant sa lampe dans les yeux. Après, non. C'est bizarre, mais me faire arrêter, me faire embarquer, je m'en foutais … 

- Moi pareil.

 

Au moment où nous nous apprêtons à traverser l'avenue, une voiture banalisée, gyrophare sur le tableau de bord, arrive à fond du centre ville, sirène hurlante. Domi:

- Ça doit être la BAC. Ça doit vraiment chier, au Grand Val.

 

Nous traversons. Une explosion retentit du côté de la cité. Nous nous engageons dans une petite rue. Nouvelle sirène de police. Cette fois, c'est un fourgon de gendarmerie qui passe à fond sur l'avenue. Nous repartons, silencieusement, bras dessus, bras dessous, chacun dans ses pensées. Au bout d'un moment, Domi demande:

- Tu penses à quoi ?

- A tout ça … à cette soirée … aux mecs de chez Jeannot … à cette virée de cul en ville …

- Ça te plaît cette … virée de cul en ville ?

- Ah oui … déjà, je rêvais depuis longtemps de me balader en trav en ville … mais dans la journée … alors là, c'est déjà bien … et puis nos arrêts pour des coup de bite, alors ça … c'est top !

- Ah bon ? Tu rêvais de te balader en ville … comme ça … en pleine journée ?

- Ouais.

- Ben, on n'aurait qu'à faire ça dimanche, par exemple. Demain je peux pas. Mais dimanche, je peux me débrouiller … on demande à Denis si ça lui va …

- Oui, mais c'est pas possible …

- Pourquoi ?

- Tu m'as regardé ? La nuit, ça va, si les gens ne me regardent pas de trop près, je peux faire illusion comme gonzesse. Mais en plein jour … avec ma tronche …

-  Oui, c'est vrai que, de visage, tu ne fais pas vraiment efféminé … mais autrement, t'as vu ? Le premier flic, il t'avait vraiment pris pour une gonzesse, au début.

- Ouais. D'ailleurs, c'est pour ça qu'il ne m'a pas fouillé, au départ. Et après, quand il a vu que j'étais un mec, il m'a fait une palpation, mais pas complète. Et son chef, le dénommé Marco, au début, il voulait pas me fouiller … mais après, il a carrément changé d'avis et il m'a même peloté.

- Ah ouais, j'ai vu ! Et il te matait sacrément, en te pelotant. Ça t'a fait quoi, qu'il te passe les mains comme ça, partout, jusque entre les cuisses ? Attends ! Me dis pas ! Je suis sûr que ça t'a plu !

- Ouais, ça m'a plu ! Hey ! Sa main entre mes cuisses … tout en haut ! Ouaaaaah ! Je me suis même mis à fantasmer qu'ils me baisent, tous les trois, debout contre leur bagnole …

- Les flics ?

- Ben oui. Ça m'aurait plu qu'ils me prennent, accroché à toi par les menottes …

- Ha ha ! Putain, t'es jamais rassasié, toi ! T'as encore le feu au cul ?

- Le feu, non. C'est pas à ce point, notre cavalcade m'a un peu calmé, mais j'ai encore envie … t'as pas fini de me baiser, tout à l'heure, dans les fleurs sur l'avenue … et je voudrais bien que tu finisses …

- T'es vraiment … un morfale … mais alors, qu'est-ce qui pourrait te calmer ?

- Que je jouisse.

- Ah bon  ?

- Oui. C'est pour ça que j'ai pas voulu que Denis me branle, quand on était sur le port.

- Ah, OK.

- Et avant de jouir, je voudrais bien que tu finisses de me baiser … 

- Maintenant ?

- Si tu veux … ou tout à l'heure, chez Denis …

 

Il reste silencieux un moment, puis:

- On va déjà voir avec eux ce qu'on fait … si on rentre ou si on continue …

 

Moins de dix minutes après, nous arrivons à l'entrée du petit parking aux abords de la Plage. Il y a une voiture, garée dans l'ombre. Nous passons devant un bâtiment bas et nous contournons la barrière à l'entrée de la Plage. Là, pas le moindre réverbère, mais dans l'obscurité, nous distinguons la tache plus claire de la bande de sable qui sert de plage. Devant nous, des ombres bougent autour de formes qui doivent être des jeux pour gamins, genre toboggan et cabanes. Mais ce n'est pas Yann et Denis, ou alors pas tous seuls, parce qu'il y a au moins trois ou quatre personnes, là, qui manipulent des smartphones. Coup de sifflet, sur notre gauche:

- Hé ! Domi ! On est là !

 

Deux ombres. C'est Yann et Denis:

- Venez, on est près des tables de ping pong.

 

On les suit. Denis:

- Alors ! Racontez.

 

Il fait plus froid qu'en début de soirée. La proximité de la rivière doit y être pour beaucoup. Je m'assois sur le bout d'une des tables en ciment et on raconte … la cavalcade, la cachette dans le jardin, le flic qui nous surprend, les menottes, l'arrivée de la voiture, la fouille au corps … et enfin la libération. Yann et Denis écoutent tout en ponctuant notre récit de « ah ouais, le flic à pied … », « y'a pas que vous … », « attendez, on va aussi vous raconter », etc. Quand on a fini, Yann enchaîne:

- Hé ! Si vous avez pu vous tirer, sur l'avenue, c'est grâce à moi, hein !

 

On dirait qu'il est dégrisé. Sa cavalcade pour échapper au flic l'a sans doute dessoûlé. Il poursuit: 

- Ouais, quand j'ai vu le flic qu'était assis derrière, descendre presque en marche pour vous courir après, je leur ai gueulé « bande d'enculés ! » et j'ai balancé ma bouteille sur leur bagnole. Le flic qu'était descendu, il s'est mis à nous courir après, mais les deux autres, devant, ils ont pas eu le temps de descendre. Quand ils vous ont vus traverser l'avenue, ils ont redémarré pour aller faire demi-tour et vous courir au cul. Nous, on a distancé le flic qui nous courait après … heureusement que c'était pas un flic de la BAC. Ceux-là, ils ont l'entraînement. Mais l'autre, là, avec toute la bière et le pastis qu'il doit s'envoyer …

 

Denis poursuit:

- Ouais, après, on s'est séparés. Alors, le flic, il m'a un peu suivi, mais il a vite renoncé … et il est reparti dans l'autre sens … derrière vous, quoi. C'est comme ça qu'il vous a eus …

 

Domi:

- Du coup, si t'as balancé ta bouteille, t'as plus de flotte, Yann …

- Non. T'as soif ?

- Ouais. La course, les émotions …

- Ben non, désolé, ma bouteille, elle s'est crachée sur l'avenue.

- Pas grave.

- Attends, c'est des jeunes, là-bas. J'vais leur demander si ils auraient pas une canette à nous passer ...

- Non, laisse tomber, ça peut attendre.

 

Mais le voilà parti. Denis:

- Bon. On rentre ?

 

Domi pose une main sur ma cuisse:

- Euh … attends … Marin, il est pas encore rassasié.

- Ah bon ? T'as encore le feu au cul ? Ça t'a pas calmé, ta séance avec les flics ? Et ça peut pas attendre qu'on soit rentrés ?

 

C'est Domi qui répond:

- Faut croire … et puis, moi aussi, j'ai envie, maintenant.

- Pffff ! Vous êtes chiés, les mecs !

- Hey, Denis ! Toi, t'as tiré ton coup sur le port … alors, tu permets ?

 

L'autre bougonne je ne sais quoi. Yann revient. Dans l'ombre, un reflet métallique luit dans sa main:

- Tiens, Domi. Ils sont sympas, les jeunes. C'est de la bière. Ils ont pas voulu que je les paie. 

 

J'entends le pschitt quand Dominique arrache la languette. Il me tend la canette:

- T'en veux ?

 

Oui j'en veux, je crève aussi de soif. En effet, c'est de la bière. Je rends la canette à Domi. Yann:

- Bon. On fait quoi, on rentre ?

 

Denis, sur un ton désagréable:

- Non, on rentre pas. Marin veut ENCORE se faire baiser ! ICI ! Enfin, je suppose …

 

Domi:

- Ici, ça te va, Marin ?

- Oui, ça me va.

 

Le voilà devant moi, entre mes mollets qui pendent de la table. Je l'entends qui pose la canette à côté de moi, sur le ciment. Il passe une main derrière mes reins et se colle contre moi, joue contre joue. Je le prends par la nuque, et je le sens qui cherche ma main, qui la trouve, qui l'attire vers son ventre. Je soulève son pull et je glisse ma main entre sa ceinture et son ventre. C'est chaud, là-dedans … les poils de son pubis … je lui caresse le ventre … sa verge maintenant … sa queue pend la tête en bas dans son pantalon … déjà un peu gonflée … je la parcours du bout des doigts … je souffle dans son oreille:

- Tu bandes déjà ?

- Je bande ENCORE … j'ai presque pas débandé, même pendant la course avec les flics au cul … C'est pour ça, maintenant, j'ai besoin que tu me soulages …

 

Soulager les hommes et leur bite ! Depuis que j'ai franchi le pas, avec les mecs, les soulager, c'est devenu … une vocation, une mission … Bien sûr, me faire baiser, ou tailler une pipe, ça me procure un plaisir sexuel, physique et cérébral, mais il y a autre chose … quand un type prend son pied, quand il éjacule dans mon ventre ou dans ma gorge, je ressens une intense satisfaction … la satisfaction d'avoir fait quelque chose d'important POUR LUI … la satisfaction du devoir accompli … Oui, oui … Oh, avant d'en arriver là, j'adore les exciter, les mecs. J'adore leur faire monter la pression dans le bas ventre. J'adore les mettre dans un tel état qu'ils n'ont d'autre issue que de s'accoupler avec moi et de m'inséminer, mais une fois qu'ils ont déchargé leur jouissance en moi, je les sens tellement … apaisés, soulagés, qu'il me semble les avoir délivrés de ce qui leur taraudait l'entrejambe … Alors oui, soulager des mâles, c'est une mission … c'est MA mission.

 

Et là, tout de suite, ma mission, c'est soulager Domi. Je saisis son sexe, je le redresse délicatement, et je commence à le masturber. Sa queue grossit encore, et durcit dans ma main. Elle me bave un truc tiède contre le poignet. Il me pelote le cul, puis il glisse sa main dans la ceinture de ma minijupe, au niveau de mes reins. Heureusement qu'elle est en toile stretch. Il plonge ses doigts dans ma raie. Bien qu'elle soit assez extensible, la toile de ma jupe l'empêche de descendre plus bas. Hhhhmm, je vais encore me prendre un coup de queue ! Et cette fois, il va m'inséminer ! Je ronronne dans son cou:

- Tu vas tirer ton coup, cette fois, hein …

- Oui.

 

Mon anus frissonne. Un type qui me dit qu'il va me baiser et me féconder, aussi sec, je tombe amoureux … s'ils sont deux, je tombe amoureux des deux … s'ils sont dix … Alors je l'embrasse, juste sous l'oreille. Denis et Yann se sont un peu éloignés, en attendant que Domi me fasse mon affaire. Je les devine tout près de nous, appuyés contre la table où je suis assis. Ils parlent à voix basse. A son souffle dans mon cou, à la nervosité croissante de ses caresses, je sens l'excitation de Domi monter. Il doit avoir un besoin impérieux de se vider les couilles. Rapidement, il passe ses mains sous mes fesses et m'attire vers le bord de la table:

- Descends de là, et enlève ton string.

 

Je me laisse glisser au sol. Il s'écarte et, pendant qu'une fois encore, j'ôte mon string, je le devine, dans la pénombre, qui ouvre sa braguette, et sort sa queue. Je pose mon string sur la table, je m'empresse de m'accroupir devant lui et, à tâtons, je cherche son sexe. Le voilà ! Gonflé, raide et dur ! Je le masturbe deux ou trois fois, et je le prends dans ma bouche. Ô toi, la BITE ! Tu vas t'enfoncer dans mon cul et tu vas m'injecter ta semence au fond du ventre ! Je sens Domi se pencher, me prendre sous les aisselles et m'inciter à me relever. Il est pressé. Je sors sa queue de ma bouche et je me relève. Sa bouche contre mon oreille, il me souffle:

- Tu veux que je te prenne debout en levrette, ou sur la table ?

- Sur le dos, sur la table …

- Vas-y, alors, allonge-toi.

 

Je remonte ma jupe sur mes fesses et je me hisse sur le ciment froid. Il est déjà contre moi. Je m'accoude. Ça m'aurait bien plu de le regarder pendant qu'il me baise, mais il fait vraiment très noir. Je ne distingue qu'une ombre qui de détache sur le fond gris du ciel. Il passe ses mains sous mes fesses et m'attire à lui. Je croise mes chevilles derrière ses reins. Voilà ! Sa queue contre mon anus ! Ça m'arrache un halètement. Il s'enfonce en moi. Je me laisse aller complètement en arrière, les mains croisées sous ma nuque. Il commence à aller et venir. Soudain, un éclair bleuâtre nous balaie et s'éteint. A côté de nous, la voix de Yann:

- Dites … vous voulez pas que j'appelle les jeunes là-bas ? Ceux qui m'ont filé la bière …

 

L'éclair lumineux a fait sursauter Domi:

- Pourquoi faire ?

- Je sais pas … pour qu'ils vous regardent. Ça vous dit ?

- Je m'en fous.

- Et toi, Marin …

- Ouais, si tu veux… mais tu demandes leur âge, avant … et pas de photos, hein … préviens-les.

- OK, OK.

 

Il s'éloigne. Et il me semble que Denis l'accompagne. Domi continue d'aller et venir lentement. C'est marrant, évidemment, ça me plaît bien qu'ils aillent chercher ces jeunes, mais ça ne me trouble pas plus que ça, qu'ils viennent nous regarder baiser. C'est presque devenu un truc normal, pour moi . Dominique, c'est pareil, ça n'a pas l'air de le gêner. Pourtant, pour lui, on ne peut pas dire que ce soit une habitude. En plus, ce sera dans le noir, alors ils ne verront pas grand chose. Je regarde dans la direction des jeux pour enfants où les jeunes picolaient tout à l'heure. La discussion dure un bon moment. Je vois, de temps à autre, la lumière de smartphones découper des silhouettes en ombres chinoises. Si ça se trouve c'est Denis qui vérifie leurs papiers, comme il l'a fait avec les trois jeunes du Grand Val ! Et puis je vois un faisceau lumineux se braquer dans notre direction et se balancer de droite à gauche, balayant le sol et grossissant peu à peu. Ils arrivent ! Qui ? Seulement Denis et Yann, ou les jeunes avec eux ?

 

Voilà le faisceau lumineux sur nous … enfin, sur moi. La voix de Denis:

- Bon, voilà … lui, le ventre à l'air sur la table, c'est Marin. C'est lui qu'on baise. Et lui, là, c'est Dominique.

 

Yessss ! Ils en ont convaincu au moins un, puisque Denis fait les présentations. J'entends des gloussements et des murmures. Ils sont plusieurs. Très bien ! Un frisson de plaisir me parcourt le corps. Le faisceau lumineux balaie rapidement les alentours et j'ai le temps d'apercevoir … quatre silhouettes, en plus de celle de Yann. Domi, sans arrêter d'aller et venir, leur lance:

- Salut !

- Salut …

- Salut …

- Salut …

 

Deux, trois, quatre voix hésitantes ont répondu. La lumière est maintenant sur mon ventre et sur celui de Domi. Denis:

- Vous voyez ? Il est en train de l'enculer. Vous pouvez approcher, hein …

 

Un silence lui répond. Ils doivent être en train de regarder. Je perçois des mouvements: ils approchent. L'obscurité doit les rassurer. J'aimerais bien les voir, ces jeunes. Ils sont combien ? Il n'y a que des mecs ? A quoi ils ressemblent ? Ils ont quel âge ? C'est vraiment des jeunes ? Dans quel genre ? Ça les excite, de nous regarder baiser ? Est-ce que les garçons profitent de l'obscurité pour se palucher ? Ça a un côté frustrant de ne pas les voir, mais c'est quand même excitant de savoir que là, autour de nous, il y a quatre paires d'yeux qui me matent pendant que je me fais baiser. Domi, les mains sur ma taille, va et vient en moi lentement sous la lumière bleutée du smartphone de Denis. Je me redresse un peu et je m'appuie sur les coudes. De Domi, je ne vois que ses mains, autour de ma taille, et son ventre qui entre et sort du faisceau de lumière à chacun de ses allers et retours entre mes cuisses. De temps à autre, Denis m'éclaire la tronche, avant de braquer à nouveau son téléphone sur notre coït. Je m'affale à nouveau sur le dos, et Domi me baise comme ça un bon moment. Tout le monde est silencieux et je les imagine, les yeux braqués sur le sexe de Domi qui entre et sort de mon cul. On n'entend que le bruissement de la nature autour de nous et, dans le lointain, les rumeurs de la ville. Je me demande à quoi ils pensent, tous autant qu'ils sont.  Et ce qu'ils font de leurs mains … J'espère que ça les excite, de nous regarder. 

 

- Si ça vous dit, les jeunes, vous pouvez aussi vous le faire … vous pouvez le baiser …

 

C'est Yann. Ah yes ! A son tour, il m'offre à des mecs … Ah putain, Yann ! C'est con, je n'envisageais même pas que ces jeunes puissent aussi me baiser ! Je les imaginais seulement en train de nous regarder dans le noir … Mais bien sûr qu'ils peuvent aussi me baiser ! Et ceux-là, je ne sais même pas à quoi ils ressemblent ! Je ne suis même pas sûr qu'ils ne soient que quatre. C'est un plaisir intense de voir des mecs faire la queue pour me fourrer, chacun leur tour, mais là, la perspective de me faire prendre comme ça, dans le noir, par des inconnus que je ne vois même pas, ça me … une espèce de boule d'envie, de désir, m'étreint le ventre, et mon anus se contracte spontanément deux ou trois fois … Je me redresse à nouveau, je m'appuie sur les coudes, et je lance:

- Il a raison, vous aussi, vous pouvez me baiser, si ça vous dit !

 

Des gloussements, des murmures ... Un des jeunes a dû poser une question que je n'ai pas entendue, parce que Denis répond:

- Non, c'est pas des conneries, vous pouvez aussi vous le taper si vous avez envie. Il se laissera faire, vous verrez. En début de soirée, on l'a amené dans un café, rue Saint Jean. Y'avait six types, il les connaissait pas,  il était même pas au courant qu'on l'avait amené là pour que ces mecs le baisent … on lui avait rien dit … et ben, ça fait rien, il s'est laissé faire, et y'en a quatre qui lui sont passés dessus. 

- …

- Oui, "passés dessus" … ils l'ont enculé, niqué, baisé, quoi ! L'un après l'autre …

- …

- Non , ils l'ont pas forcé, j't'assure ! Quand il a compris qu'on l'avait amené là pour que ces mecs le baisent, il  a pas protesté, il a même pas posé de question…

- …

- Bien sûr qu'il s'est laissé faire … c'est même lui qui leur a sauté à la bite et qui s'est mis à les sucer DANS le bar … et après, quand un des mecs a voulu l'emmener dans une salle à l'étage pour l'enculer, tu l'aurais vu monter l'escalier quatre à quatre … y'avait urgence … c'est même lui qu'a entraîné les autres mecs pour qu'ils montent aussi le baiser …

- …

- Ouais, exactement. 

- …

- Ah non, non, il fait pas ça pour de l'argent … seulement parce que il aime ça. Alors, c'est plus une espèce de … de paillasse, qu'une pute …

 

Sur mes hanches, la pression des mains de Domi se fait plus forte. Je m'allonge de nouveau complètement sur la table, les mains croisées sous ma nuque.  Je perçois encore des murmures, puis de nouveau Denis:

- Hein ? Vas-y, parle plus fort, j'ai pas compris. Tu sais, tu peux parler devant lui … ça le gêne pas …

 

Toussotement, puis:

- Et … c'est … c'est vous qui l'avez amené dans ce café pour qu'il se fasse … baiser ?

- Ben oui.

- Et vous … vous l'aviez pas … prévenu ?

- Ben non.

 

Celui-là, il a l'air de douter de ce que Denis lui dit. Mais j'en entends quand même pouffer. Le curieux poursuit:

- Mais il est … il est avec qui ? Je comprends pas. 

- Comment ça ?

- Ben oui, il est avec le monsieur qui est en train de … le baiser ?

- Avec Dominique, tu veux dire ?

 

Le faisceau lumineux sur le ventre de Domi.

 

- Oui. Il est avec Dominique ? C'est son … copain ?

- Ah ! Je vois ce que tu veux dire. 

 

J'entends Denis rire doucement:

- Hé hé hé, oui, on peut dire qu'il est avec Dominique … mais il est aussi avec Yann …

 

Le rayon lumineux brièvement sur Yann.

 

- … et il est aussi avec moi. En fait, il est avec nous trois.

- Ah bon ?

- Oui, on le baise tous les trois, si c'est ce que tu veux savoir. On se le partage, quoi. On  peut même dire qu'il est à nous trois… pas vrai, ma poule ?

 

Il me braque sa lumière sur la figure. Je suis scotché … " il est à nous trois " ! Au fond de moi, quelque chose me souffle que ce n'est pas exactement ça … je ne suis pas à eux trois ... pas seulement à eux trois. Je suis … je suis à n'importe quel mec qui a envie de tirer un coup. Je suis à tout le monde. C'est de là que doit venir l'expression "fille publique". JE SUIS une fille publique. Mais la façon dont Denis explique la situation à ces jeunes, même si c'est pour les bluffer, ça remue quelque chose en moi … " il est à nous trois " ! Pour lui, je suis seulement une sorte d'objet, de jouet sexuel ! J'adore ça ! Denis insiste:

- Hein ? C'est vrai ou pas, que t'es à nous trois ?

 

Je me redresse un peu et je hoche la tête: « Oui, je suis à vous trois ! ». Satisfait que je confirme, Denis enchaîne:

- Tu vois ? Alors on fait de lui ce qu'on veut: on le baise quand on veut … tous les trois. On le baise où on veut. Si on veut, on peut même le faire baiser par d'autres mecs, comme ce soir, dans le café rue Saint Jean. Tu vois ? Si on décide, on peut le prêter à d'autres mecs, quoi. Alors, si ça vous dit, on vous le prête. Si vous voulez le baiser, il se laissera faire.

 

Ah putain, Denis ! Je me doute bien que tout ça, c'est parce que tu as envie de renouveler avec ces jeunes la séance de chez Jeannot, mais ça me bouleverse, ce que tu leur dis, à ces jeunes ! Ça, que vous me baisiez quand vous voulez et où vous voulez, je le sais, et j'aime ça … mais le reste … « Il est à nous trois », « On en fait ce qu'on veut », « On peut le faire baiser par d'autres mecs », « on vous le prête » … je réalise qu'en effet, c'est tout à fait ça ! Jusqu'ici, ça n'avait été expressément formulé ni par l'un d'entre vous, ni par moi, mais maintenant, t'entendre le dire … Waouhhhh ! Je me sens envahi d'une griserie, d'une délicieuse ivresse …

 

Un toussotement dans le noir, et une voix … juvénile:

- Hem hem ! Mais euh … comment … comment il s'appelle, déjà ?

- Marin.

- Euh oui … m'sieur … Marin … vous … vous nous connaissez pas, avec mes copains, et … et vous seriez d'accord pour que …

- Mais … t'es pas bien ? Tu vas quand même pas …

 

C'est une autre voix, tout aussi juvénile, qui proteste. Le premier lui coupe la parole:

- Mais attends … je … je demande, seulement … 

- Ouais, c'est ça … tu "demandes seulement" …

- Mais hé … lâche-moi, merde … j'ai pas dit que j'allais le faire … Hein, m'sieur, vous … vous seriez d'accord pour que … pour que quelqu'un vous … quelqu'un que vous connaissez pas … vous …

 

Je me redresse et je m'accoude sur la table.

- … pour que quelqu'un que je ne connais pas me baise ? Oui, je te l'ai dit, si tu en as envie, tu peux me baiser. Tiens …

 

Denis m'a laissé sa lumière sur la figure. Appuyé sur un coude, je fouille la poche de mon blouson, j'en sors les quelques capotes qui me restent, et je les étale sur la table à côté de mon string. Murmures véhéments, cette fois. Je n'entends pas ce qu'ils se disent, mais, d'évidence, l'un d'entre eux râle à voix basse après celui qui a posé des questions. Les mains de Dominique remontent un peu et m'enserrent la taille. J'interromps les jeunes qui sont en train de s'engueuler à voix basses:

- Hey ! Vous engueulez pas ! Si l'un de vous a envie de tirer un coup, qu'il se gêne pas ! Un ou plusieurs … Y'a des capotes, alors vous pouvez y aller en sécurité. Mais vous engueulez pas !

- Voilà ! Me fais pas chier, toi !

 

C'est la voix de celui qui m'a interrogé qui cloue le bec à l'autre. Denis renchérit:

- Ben ouais, c'est pas à toi de décider si ton pote le baise ou pas. T'es pas son père … ni son grand frère … T'es son grand frère ?

- Non, j'suis pas son grand frère, mais moi, j'me barre ! J'vous attends à la bagnole ! Tu viens, Chris ?

- Euh … non. Moi, j'reste. Je regarde.

 

Chris ! Ils étaient donc au moins trois: celui qui m'a questionné, celui qui râle, et ce Chris.

- OK, OK ! Ben amusez-vous bien, les mecs !

 

Le râleur crache son dernier venin, et je devine son ombre qui s'éloigne en direction du parking. Je m'allonge de nouveau sur la table. Alors, ils vont se décider, ceux qui restent ? C'est Denis qui réagit:

- Alors ? T'as envie de te le faire, ou pas ?

- Euh, ben … c'était seulement pour savoir …

- Ah ? T'es sûr ?

- Ben … oui, m'sieur.

 

Oui, mais il a hésité. Ça doit vraiment le démanger, mais il est pris entre l'envie de profiter de l'occasion et la peur, ou la honte de faire ça devant ses copains … Alors, Dominique, qui avait continué d'aller et venir lentement en moi en attendant que les jeunes se décident, se met à me bourrer plus vigoureusement. C'est seulement maintenant que je réalise … j'ai l'impression que … oui … à la pression de ses mains sur moi, à la façon dont il me fourrait en écoutant cette discussion sans intervenir … ça l'excitait, que je m'offre à ces jeunes ! Soudain, il glisse ses mains sous mes reins, il me soulève et, dans le même mouvement, il m'attire un peu plus au bord de la table. J'ai maintenant les fesses à moitié en dehors du plateau de ciment. Et il se courbe au-dessus de moi, m'obligeant à replier mes cuisses sur mon ventre. Je sens la toile de son pantalon contre mes fesses. Les mains sous mes aisselles, il me bourre à grands coups de queue. Je sens ses couilles qui me touchent la raie à intervalles réguliers. Il halète et grogne en me bourrant de plus en plus violemment, comme s'il cherchait à entrer tout entier en moi. Oh putain, Domi, vas-y, baise-moi ! Tête en arrière, je me mets à gémir sans retenue. La lumière de Denis nous balaie tous les deux.

 

- Vous entendez ? Il aime ça, hein . Là, il prend son pied !

 

Bien qu'il ait parlé doucement, la voix de Denis a retenti dans le silence de la nuit.

 

- Chhhhhhhttt !

 

C'est Domi qui réclame le silence. Et aussitôt, il me fout un grand coup de reins … et reste collé à moi … et halète deux ou trois fois … reprend son élan et me refout un grand coup de reins … et reste collé à moi … et halète … Ma parole, il jouit ! Il est en train d'éjaculer ! Oh oui ! Il ressort un peu … et re-rentre en grognant … et reste collé à moi … et cette fois, il ne bouge plus et, sa queue tout au fond de mon cul, il se vide les couilles, il décharge, il me remplit de sperme ! Je sens les pulsations de sa verge dans mon anus. Son grognement s'est transformé en un long râle modulé, entrecoupé de halètements. Ah, quel pied, il se prend ! Voilà, c'est ça que j'aime ! Que les mecs prennent leur pied comme ça ! Je m'aperçois que j'ai passé mes mains derrière sa tête et que je l'attire contre moi … Il halète encore, mais on dirait que ça se calme, du côté de ma rondelle … ça se calme, mais je me sens … humide, mouillé, même, de ce côté là. Il reprend son souffle, et soudain, il se met à rire … Il se met à rire … se penche sur moi, me colle un baiser sur la joue … et il se redresse.  

 

Il est de nouveau dans l'ombre et le smartphone de Denis n'éclaire plus que moi. Les deux mains calées derrière mes genoux, le ventre collé à mes fesses, Domi maintient mes cuisses à la verticale et me redonne un coup de reins … dans un bruit mouillé. C'est sûr, j'ai le cul plein de sperme. Je croise de nouveau les mains derrière ma nuque et je redresse la tête autant que je peux. Il m'écarte largement les cuisses, et sort presque entièrement son sexe de mon cul, exhibant aux spectateurs notre coït ... notre coït mouillé et sans doute luisant de foutre. Je suis sûr qu'il prend un plaisir particulier à leur montrer qu'il m'a inséminé, fécondé de sa semence. Le faisceau lumineux se concentre justement là, sur mon entrecuisses. Je me sens tellement indécent, impudique, dans cette position, les cuisses largement ouvertes, le sexe, le ventre et l'entrejambe souillé offerts aux regards … tel une femelle fière d'avoir été inséminée par son mâle ... comblée ... j'adore ça ! Non seulement d'être exposé d'une façon aussi impudique aux regards de ces spectateurs, mais aussi que mon amant, mon mâle leur exhibe mon anus, encore occupé par son sexe et débordant de liqueur séminale !

 

Domi me redonne un coup de queue et ressort aussitôt, gardant seulement son gland juste à l'entrée de mon fourreau. Je sens cette liqueur tiède et visqueuse commencer à s'écouler lentement sur mes fesses. Etendu ainsi sur cette table, exposé seul, sous cette lumière crue, aux regards lubriques de spectateurs invisibles, je me sens comme une victime volontaire et docile, livrée aux débauches sexuelles de quelque sabbat nocturne. Une espèce d'ivresse me gagne. Là, ça me plairait tellement que d'autres participants viennent maintenant mêler en moi leur semence à celle de Domi. Nouveau coup de queue … encore plus trempé, dégoulinant, que les précédents … Je me redresse, je m'appuie sur un coude et je tends la main vers mon ventre. Je glisse mes doigts entre mes cuisses … la queue de Domi, là, à l'entrée de mon cul … sa queue trempée de sperme … mon anus, lui aussi souillé de semence … Nouveau coup de bite … C'est plus fort que moi:

- Venez … venez me baiser, vous aussi, les jeunes … allez … s'il vous plaît … prenez-moi … baisez-moi !

 

Je retombe sur le dos. Des murmures, des gloussements dans le noir. Domi se remet à aller et venir, toujours en maintenant mes cuisses écartées. Bien qu'il ait tiré son coup, je le sens toujours aussi dur en moi. Il ne débande pas. Pourquoi ils ne viennent pas ? J'insiste:

- Alors ! Venez ! Yann ! Denis ! Vous aussi, baisez-moi encore ! Et vous, les jeunes … mettez une capote … y'en a plein … et baisez-moi !

 

Des rires … un long silence … puis la voix de Domi:

- Bon, ben, ils n'ont pas l'air décidé. On dirait que c'est fini pour ce soir …

 

Il me remet quelques coups de bite … puis il me prévient:

- Attention, je sors et je vais te lâcher les jambes …

- Attends, Domi !

 

Il s'immobilise. Je me redresse un peu:

- S'il te plaît, continue de m'enculer comme ça … si y'a plus personne, je vais me … je vais me branler.

 

Il hésite une fraction de seconde, puis, assurant sa prise derrière mes genoux, il se remet à aller et venir. J'empoigne ma bite et je commence à me masturber. Ça va très très vite ! Tout ce sexe, depuis le début de la soirée … et ces bites qui me sont entrées dedans … SEPT BITES ! Non, HUIT BITES … j'allais oublier Nadir … et nos étapes de cul en pleine ville … cette course poursuite avec les flics … les mains de ce chef de patrouille qui me pelote les cuisses … et pour finir cet ultime coup de queue de Dominique, sur ce ciment froid et dur, et sous le regard de spectateurs invisibles … dans une contraction presque douloureuse de mon périnée, de mon anus et de ma prostate, je jouis … Domi accompagne mon orgasme de puissants coups de queue … En me tordant sur cette table, je m'entends haleter, gémir … Ah putain, quel pied ! Enfin, essoufflé, je me calme … je lâche mon sexe. J'ai du sperme plein la main. Domi:

- Ça y est ? 

- Oui.

- Je peux te laisser ?

- Oui.

- Attention … 

 

Il sort lentement de moi et, tandis que je me redresse, ne reposant plus que des reins sur cette table, délicatement, il descend mes jambes jusqu'à ce que mes pieds touchent le sol. Le voilà debout devant moi. Dans la lueur du smartphone de Denis, qui ne sait plus trop quoi éclairer, je devine Domi qui remballe sa queue dans son pantalon. Je m'approche, je pose un baiser sur sa joue, et:

- Merci, Domi.

 

Il se contente de rire. J'ai un peu les jambes en coton, et, d'un seul coup, j'ai froid. Je pose la main sur le bras de Denis:

- Dis, t'as encore des mouchoirs ?

- Ouais. Attends.

 

Il fouille sa poche et me donne sa pochette. J'essuie ma main et, à tâtons, je cherche les traces de sperme que j'ai répandu sur ma jupe. Puis je m'essuie grossièrement la semence de Domi qui déborde de mon cul. Quand j'ai terminé, Denis:

- Bon … on peut y aller, cette fois ?

 

Apparemment, c'est à moi qu'il s'adresse.

- Ouais. Je commence à avoir froid.

- Bon, les jeunes … on vous laisse …

 

Murmures. La lumière de Denis balaie rapidement des pieds, des jambes et des ventres que je ne reconnais pas, et je vois qu'il serre la main à un des jeunes. Bon, alors tournée de poignées de mains. Quand je serre celle du troisième, je sens qu'il la garde un peu plus longtemps que nécessaire dans la sienne, et:

- Euh … m… Mar… Marin ? Je … je … 

 

Il veut me dire ou me demander quelque chose, celui-ci … J'attends, mais il lâche ma main, et:

- … bon, au revoir …

- Oui, au revoir.

 

Il a renoncé, mais, dans un flash, la lumière de Denis se braque sur nous et s'éteint aussitôt:

- Qu'est-ce qui se passe ?

 

Apparemment, Denis s'étonne. J'ai eu tout juste le temps d'apercevoir la tête du jeune … peut-être pas si jeune que je l'imaginais, finalement. 

- Hein … qu'est-ce qui se passe, Marin ?

- Euh … rien ! Euh, je … je peux vous demander quelque chose, m'sieur ?

 

Le jeune s'est empressé de s'adresser à Denis:

- Ouais, qu'est-ce tu veux ?

- Euh … je … vous … venez un peu par là, s'il vous plaît ?

 

Je les devine qui s'éloignent dans le noir, et je les entends murmurer à cinq ou six mètres de nous. Il veut lui demander quoi ? Ça discute longuement, là-bas. Pendant que je serre la main des autres jeunes, une lueur de smartphone découpe en ombre chinoise la silhouette de Denis. La lueur s'éteint, puis la voix de Denis résonne:

- Bon, c'est tout ?

- Oui.

- Allez, salut.

- Salut, m'sieur … et merci.

 

Denis nous rejoint pendant qu'on devine les ombres des jeunes qui s'éloignent. Nous nous mettons en route et je prends Denis par le bras:

- Il te voulait quoi ?

- Il voulait mon numéro de téléphone.

- Ah bon ? Pour quoi faire ?

- D'après toi …

- Je sais pas …

- Ben, c'est sûrement pas pour que je lui donne des cours de maths…

- Mais encore ?

- Tu verras bien … 

- Ah bon, je verrai ? Ça me concerne ? 

- …

- Dis, ça me concerne ? Raconte …

- Non ! Mais, de toute façon, tu verras, j'te dis …

- Hey, vas-y, mec, raconte !

 

C'est Yann qui intervient. Ça doit l'intriguer autant que moi. Denis:

- Nan ! Mais … vous verrez bien, j'vous dis !

- Oh, t'es chié, Denis ! C'est quoi, ces cachotteries ?

 

C'est maintenant Dominique qui s'en mêle … et qui insiste:

- Il veut baiser Marin ? 

- … 

- Il veut le baiser ?

- Rhâââ, putain ! J'vous dirai pas, de toute façon ! Alors, pas la peine d'insister.

 

Poussée d'adrénaline. Qu'est-ce qui se trame ? Il veut me baiser, ce jeune ? Ça a dû lui donner envie, de me voir me faire fourrer par Domi, mais il a pas osé le faire ou même le dire devant ses potes … Mais si c'est ça, je ne vois pas pourquoi Denis fait tant de mystères. Il y a sûrement autre chose. Et comme, de toute évidence, ça me concerne, ça ne peut être qu'une histoire de cul ! Dans le fond, puisque "de toute façon " je verrai bien, comme dit Denis, ça ne me déplaît pas de ne pas savoir tout de suite ce que ce jeune me réserve. 

 

Nous pressons un peu le pas. La température a dû pas mal baisser depuis le début de la soirée, et marcher me réchauffe. Je tire sur le bas de ma jupette pour me couvrir les cuisses autant que je peux. D'un seul coup, je réalise:

- Merde ! J'ai laissé mon string et mes capotes sur la table !

 

Dominique:

- Tu veux que j'aille les chercher ?

- Non. C'est pas grave, j'en ai d'autres.

 

On est trop loin, maintenant, et je ne suis pas à un string près … ni à une poignée de capotes. Et puis, c'est tellement agréable de me balader le paquet en liberté sous ma jupette. Yann engage la conversation à propos des jeunes de la Plage. D'après lui, qui a pas mal discuté avec eux, ils se retrouvent souvent là à vider des bières et à fumer des pétards. Ce soir, ils n'étaient que quatre à cause du froid, mais surtout parce que, réussite au bac oblige, leur bande habituelle a commencé à se disperser dans des facs et des écoles supérieures, et certains fréquentent maintenant d'autres jeunes et d'autres lieux. Au printemps dernier, ils se retrouvaient là jusqu'à une vingtaine, garçons et filles. Je me trompe, ou, mine de rien, il est en train d'établir un rapport entre ces réunions de jeunes et de possibles histoires de cul me concernant ? Sans en avoir l'air, il doit essayer de tirer les vers du nez à Denis. Mais l'autre ne réagit toujours pas. 

 

La discussion roule ensuite sur les lascars de chez Jeannot et sur la proposition du dénommé Jacky de me mettre au tapin. Tous les trois voudraient bien savoir si je compte accepter. Yann et Domi, on dirait que ça les amuserait que je me fasse maquer par ce type. Denis, en revanche, cette éventualité ne lui plaît pas du tout. Mais il ne veut pas expliquer pourquoi, il reste ambigu. J'en arrive à me demander si il n'aurait pas aussi eu l'idée de me mettre au tapin. D'ailleurs, plus ça va, plus je me dis que la séance chez Jeannot, c'était en quelque sorte un galop d'essai, histoire de voir comment je réagirais. J'élude leurs questions trop précises. Moi aussi, je reste ambigu. D'abord parce que je n'en sais rien encore, si j'ai envie de faire le tapin. Un quart d'heure ou vingt minutes plus tard, nous arrivons à l'entrée de la résidence de Denis et Dominique. Seules deux ou trois fenêtres sont éclairées dans l'immeuble de Denis. 

 

Quand l'ascenseur démarre, Yann devient soudainement livide. Il va vomir ! Je me recule … jusque contre Domi, qui en profite pour me prendre par les hanches et se coller le bas ventre contre mes fesses. Denis:

- Hey, Yann ! Retiens-toi ! J'ai pas envie que tu dégueules dans l'ascenseur …

- T'inquiète, ça va aller …

 

En effet, il arrive à se retenir. Mais dès que la porte de Denis est ouverte, il se précipite et s'enferme dans les toilettes. Pendant qu'il se soulage l'estomac, Denis:

- Bon, ça va, vous ?

- Ça va.

- Oui.

- Vous voulez prendre quelque chose ? Moi, je me fais un café.

 

Domi en prend un aussi, et j'opte pour de l'eau gazeuse. C'est Domi qui remarque, en jetant un coup d'œil par la fenêtre:

- Tiens, on dirait que ça brûle encore au Grand Val.

 

En effet, on aperçoit au loin la lueur de flammes qui se reflètent sur les murs et les fenêtres des immeubles, ainsi que les flashes bleutés de gyrophares. Nous sortons sur le balcon. Je m'appuie au garde corps, et cette fois, c'est Denis qui vient se plaquer contre moi et m'enserre de ses bras. Domi regarde le spectacle un moment avec nous, puis:

- Bon, faut que je passe à la salle d'eau. Vous voulez y aller ?

 

Denis:

- Vas-y, toi. On ira après. Tu dors ici, ou tu rentres chez toi ?

- Je dors ici. Pourquoi ?

- Nan, comme ça … C'est bien, y'a largement la place pour nous quatre sur mon futon.

 

Hhhmmmm, une nuit au lit avec mes trois mecs ! J'aime. Même si ce n'est que pour dormir. Mais je vais surtout pouvoir leur tripoter la queue pendant qu'ils dorment … et peut-être même les sucer … Domi est rentré dans le séjour. Soudain, je sens Denis poser sa bouche dans mon cou. Il m'embrasse la nuque et me caresse tendrement le torse et le ventre:

- Hhhmmm, t'es pas le premier mec avec qui je baise, mais toi, t'es … t'es … hhhmmm !

 

Il m'embrasse avec fougue. Je passe ma main derrière sa nuque et, à mon tour, je le caresse. Il reprend:

- T'as le cul le plus … le plus … à ce point là, c'est même pas "accueillant", qu'il faut dire … t'as le cul le plus … goinfre … le cul le plus … glouton … j'ai jamais vu ça … il t'en faut toujours plus … et encore, et encore … t'as pas de limites … puuuutaiiiin !

 

Il s'excite. Brusquement, il s'écarte un peu de moi et je le sens fourrager entre son ventre et mes fesses. Puis il me pose une main sur la nuque et me presse pour que je me penche en avant, au-dessus de la rambarde:

- Ecarte un peu les jambes !

 

Il a sorti sa queue et il va me prendre là ! Ça va, je n'ai pas de string. Je me retiens au muret de ciment, et j'écarte les jambes. Il relève ma jupette et il me pénètre d'un seul coup ! Après mon orgasme sur cette table de ping pong et notre longue marche sur le chemin du retour, mon anus s'est spontanément refermé, resserré, contracté. Alors, je la sens très bien, sa bite, et putain, elle est raide ! Heureusement, j'ai le rectum encore suffisamment lubrifié … sans doute des restes de la semence de Dominique. Mais au lieu de me ramoner, il reste planté au fond de moi, immobile … et il se remet à m'embrasser le cou. Hhmmm, c'est très agréable, d'être là, sur ce balcon, à regarder au loin le Grand Val enfiévré pendant que le reste de la ville dort, avec un mâle qui me bécote et m'enlace tendrement, sa bite fourrée au fond de mon cul … Nous restons collés comme ça l'un à l'autre – l'un DANS l'autre – un long moment. Mais le froid a raison de moi:

- J'ai froid, Denis.

 

Un dernier baiser dans mon cou, et il se retire. Il remballe sa bite et nous rentrons. Il me prend la main:

- Tu vas à la salle d'eau ?

- Oui.

 

Yann est sorti des toilettes et, allongé sur le canapé, il dort déjà en ronflant. Denis le couvre avec son blouson. Bon, nous ne serons que trois au lit, cette nuit. Domi, à poil et les cheveux mouillés, sort de la salle d'eau. Au moment où je m'apprête à y entrer, Denis se tourne vers moi:

- J'ai un truc à faire dans le bureau. Vas-y. Je pourrai te rejoindre ?

- Bien sûr.

 

Je me déshabille et je m'installe sous le grand pommeau de douche. L'eau, presque brûlante, me réchauffe. Avant que Denis me rejoigne, il faut que je me lave le cul. Si je passais la nuit seul, ça ne me gênerait pas de garder un peu du sperme de Domi dans le ventre, mais là, avec eux deux dans le lit, je préfère être clean … J'actionne la commande de la douchette cylindrique, je me la fourre dans le cul et je m'administre un premier lavement. J'ai bien fait de le faire avant que Denis arrive: je n'ai pas que du sperme dans le cul. Mon dernier lavement remonte à hier soir, quand je suis arrivé chez Denis, et là, il commençait à être temps de recommencer. Heureusement, ce n'est pas trop grave. Je finis juste quand Denis entre à son tour. Pendant qu'il se déshabille, je m'aperçois non seulement qu'il me reluque, mais aussi que sa queue est encore très gonflée. Il me rejoint sous le grand pommeau de douche et, de nouveau, il se colle à moi. Il me pelote et me caresse longuement sous le flot fumant. Il bande de plus en plus. Je saisis son sexe et, doucement, je le masturbe. Puis il s'écarte, il saisit le gel douche, s'en verse une dose dans la main et me tend le flacon. Pendant qu'il commence à me savonner, je presse à mon tour le bidon et je l'enduis de cette crème onctueuse que je fais mousser, insistant sur son sexe et ses couilles. Puis, collés l'un à l'autre, nous nous frottons délicatement mutuellement … ou plutôt, nous nous caressons avec cette mousse parfumée. C'est très sensuel et agréable. Je bande aussi. Bientôt, il me fait tourner, dos à lui, et, sa main entre mes fesses, il me frotte la raie, faisant glisser le bout de ses doigts savonneux sur ma rondelle. Je la sens qui s'ouvre de nouveau sous cette caresse, sollicitant, réclamant une nouvelle pénétration. Il est de plus en plus insistant. Alors, je me laisse tomber à quatre pattes sur le carrelage, cuisses écartées et reins cambrés et je tourne la tête vers lui, tel une chatte en chaleurs réclamant à son mâle une nouvelle saillie. 

 

Il s'agenouille à côté de moi et recommence à faire coulisser le bout de ses doigts entre mes fesses, s'attardant ostensiblement au niveau de mon anneau. Ça me fait un effet terrible ! Je m'effondre, le cul toujours en l'air, la tête reposant sur mes avant bras croisés sur le carrelage. Je sens ma caverne s'ouvrir, béer, attendant que le mâle y introduise son vit … ou ses doigts … ou sa langue … bref, qu'il m'introduise ce qu'il veut, mais qu'il m'introduise quelque chose ! Je gémis, je miaule, je feule … Enfin, il m'enfonce ses doigts ! Oh la laaaa ! Je me mords la lèvre pour ne pas crier. L'eau chaude ruisselle sur moi, l'eau chaude s'introduit en moi à travers l'entonnoir formé par ses doigts. Il me ramone, il me fourrage, il me fouille … et soudain, il sort ses doigts:

- Bouge pas !

 

Une main posée sur mes reins, je le sens faire … je ne sais quoi … et puis j'entends l'espèce de pshiiiiiitt de la douchette cylindrique. Il va me la mettre dans le cul ! Oooooh ouiiiii ! Je sens ses jets fins et puissants passer sur ma fesse, puis le contact de son extrémité contre ma rondelle ! Je me suis fait ça tout seul il y a un instant, mais là, que lui me le fasse … waouhhh ! J'écarte encore un peu les genoux, et je le sens qui, de sa main libre, me presse, m'écarte une fesse … et il m'enfonce la douchette dans le fourreau ! Whoooo, putaiiiiiiiin, ce que c'est bon !

 

- Ça va ? J'te fais pas mal ?

 

Je secoue la tête « Oh non, tu ne me fais pas mal ! ». Il fait aller et venir le cylindre dans mon étui qui se remplit, qui se gorge d'eau chaude. Je la sens ressortir en flots tièdes et s'écouler le long de mes cuisses. Il joue comme ça un bon moment, puis il extrait l'objet de mon cul et le laisse retomber le long de la paroi. Il va me faire quoi ? Il va me prendre encore une fois ? Ses deux mains sur mes fesses. Il les écarte … et aussitôt, c'est sa tronche qu'il me colle dans la raie, sa bouche plaquée contre ma rondelle dans un baiser sexuel torride. Je sens sa barbe de deux jours  me gratter le périnée, et le souffle de son nez, dans ma raie, juste au-dessus de ma fleur. Oh putain, il me bouffe le cul ! Il a déjà sa langue dans mon sphincter. Ça me rend dingue. Je gémis. Il lâche mes fesses et se met à me pétrir les hanches, tout en bougeant sa langue en moi. J'aime me faire enculer, j'aime avoir une bite, un sexe d'homme dans mon cul, mais ça, c'est … indescriptible. Une langue, ça bouge, c'est mobile, c'est vivant, ça grouille, ça s'agite … on dirait une petite bestiole tiède, mouillée, excitée, qui essaye de se cacher dans son terrier. Mais ce terrier, c'est mon cul ! Ça me fait d'autant plus d'effet que les nombreux coups de bites que j'ai reçus ce soir m'ont rendu la pastille hyper sensible. Je halète de plaisir. Je l'entends, je le sens reprendre son souffle de temps à autre … Il s'excite, lui aussi … Alors, au bout d'un moment, sans doute n'y tenant plus, il se redresse et je le sens avancer ses genoux jusque entre mes mollets, me prendre par les hanches, poser son gland contre ma rondelle entrouverte … et me pénétrer. Encore ! 

 

- Ah, putain, ce CUL !

 

Il glisse très lentement en moi … Je le sais, je le sens … là, il est en train de regarder sa bite qui s'enfonce peu à peu dans mon fourreau. Parce qu'en plus de la simple jouissance physique, sensuelle, sexuelle, le spectacle de son membre qui pénètre mes chairs lui procure un intense plaisir cérébral: il me prend, il me possède … je suis à lui ! J'ai le cœur qui bat. Oui, parce que, de mon côté, je ressens, comme en miroir, à la fois le plaisir physique de cette sodomie, la fierté de susciter un tel désir chez ce mec, et la volupté de m'abandonner sans réserve à lui … de me donner à ce mâle … c'est MON mâle … Il va et vient, lentement, sous l'averse fumante qui tombe de la douche. Il promène ses mains sur mes fesses, sur mes hanches, sur mes reins … il grogne, il ronronne … 

 

- Ce cul ! Ce CUL ! Puuuutaiiiiiiiin !

 

Et soudainement, alors qu'il est presque complètement sorti de moi, il me fout un grand coup de reins et vient faire claquer son ventre contre mes fesses … il se recule … et recommence … se recule encore … et sort son sexe de moi:

- Allez, ma poule, on va se coucher ?

 

Quoi, c'est tout ? Il se relève déjà. Je me remets à quatre pattes:

- Tu tires pas ton coup ?

- Non. Je l'ai déjà tiré deux fois, ce soir …

- Mais t'as encore envie … tu bandes comme un âne.

- Ouais, mais ça va. C'est tout pour aujourd'hui. Allez viens. Je peux arrêter la douche ?

 

Je m'assieds sur le carrelage et je le regarde. Il a attrapé un grand drap de bain et il commence à s'essuyer, sa bite tendue à l'horizontale. Peu à peu, je la voix baisser le nez. Il débande Pas la peine d'insister. Je me lève et je ferme la douche. Il arrête de se sécher, m'enveloppe dans sa serviette et me frictionne:

- T'inquiète, demain, j'te baiserai encore, et je tirerai mon coup. Faut en garder pour demain … J'ai une crème hydratante. Ça te dit ?

- Fais voir …

 

Il me la montre, sur une tablette. Pendant que je lis l'étiquette, il finit de me sécher. Puis il me prend le flacon de crème, s'en verse une dose dans la main, et commence à me l'étaler sur les bras. Décidément, il est vraiment aux petits soins pour moi. Ça aussi, c'est très agréable. En plus, cette crème est légèrement parfumée. Pendant qu'il tourne autour de moi en m'enduisant le corps, je regarde son sexe, maintenant tout mou, et qui ballotte entre ses cuisses. Je tends la main et je l'effleure, le suivant à chacun de ses déplacements. Puis il me fait pivoter face à lui et, ses mains passées derrière moi, il m'étale la crème sur les fesses, me les masse, me les pétrit … je l'enserre de mes bras, la joue posée sur son épaule … il me glisse ses doigts dans la raie … passe et repasse sur ma fleur … hhhmmmm … il m'empoigne une fesse d'une main, me l'écarte … et il plaque un doigt sur ma rondelle … un doigt plein de crème … il s'amuse, presse son doigt contre ma fleur … le retire … le presse à nouveau … je halète … Vas-y, mets-le moi, ce doigt ! Ah putain, ça y est, il me l'enfonce ! Ah la vache ! La crème qu'il me rentre dans le cul diffuse une espèce de douce chaleur dans le sphincter. Je gémis. Il me ramone quelques secondes, puis sort son doigt. Hhhmmmmm !

 

Il me lâche et s'écarte de moi, un petit sourire aux lèvres. Quand je le vois reboucher le flacon, je tombe à genoux devant lui et, mes mains sur ses hanches, je le maintiens sur place avant qu'il ait eu le temps d'aller reposer cette crème sur l'étagère. De lui-même, il s'immobilise. J'avance ma tête et je donne un coup de langue sur son gland. Je lève les yeux sur lui. Il me regarde et me sourit. Il sait ce que je veux, et il est d'accord. J'ouvre la bouche, et je prends son  sexe entre mes lèvres. Hhmmmm, j'adore ! Un sexe au repos, comme ça, dans ma bouche … un régal ! Là, ce n'est pas pour lui que je fais ça. C'est pour moi. C'est un tel plaisir sensuel, de sentir ce petit oiseau tout mignon, tout chaud, sur ma langue … un petit oiseau qui a l'air si innocent dans cet état … mais dont je sais de quelle furie il est capable quand il est excité ! Oui, il est capable de grossir, de durcir … il est capable de se redresser et de se tendre … il est capable de s'introduire en force dans mes chairs … il est capable d'y aller et venir longuement, puissamment et de me donner du plaisir … et surtout, il est capable de m'injecter cette liqueur … cette liqueur miraculeuse … cette liqueur de vie …

à suivre ...
Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 11 janvier 2017 3 11 /01 /Jan /2017 01:30

Ils se regardent, hésitent. Denis:

- Allons par là, on verra bien.

 

Suivi de Yann, il se met en marche vers l'extrémité du pont, en direction de la place de la Halle. Je sors mon string encore humide de la poche de mon blouson et je le secoue pour le dérouler. Au moment où je me penche pour le remettre, Dominique pose une main sur mon épaule:

- Tu crois que ça vaut le coup ?

- Le coup de quoi ?

- De le remettre. Tu ne veux pas rester comme ça ?

- T'as raison.

 

Ah oui, me balader comme ça, sans rien sous ma minijupe, ça doit être top. Et puis, même si c'est déjà un plaisir en soi d'ôter son string au moment de se faire prendre par un mec, être prêt en permanence à recevoir un coup de queue, ça me plaît. Alors je le refourre au fond de ma poche, je prends Domi par le bras et nous rejoignons les deux autres. Au bout du pont, nous tournons à gauche. Les deux types – mes "sauveteurs" – ont continué tout droit vers la Halle. Nous nous engageons sur la rampe qui descend sur le quai au bord de la rivière. Là, il fait vraiment sombre. Les réverbères de l'avenue sur l'autre rive et les lampadaires faiblards du Pont Vieux donnent quand même un peu de lumière. On distingue la masse de la péniche-restaurant amarrée là. La salle principale est dans le noir et seuls, deux hublots, presque au ras de l'eau, sont éclairés. Le service est terminé et le personnel doit être en train de ranger la cuisine. Devant nous, la silhouette de Yann s'approche du portillon de la passerelle. J'entends la poignée grincer. Il essaye d'entrer. Mais apparemment, c'est fermé à clef. On le rejoint. Il nous souffle:

- C'est con, c'est fermé. Sinon, on se serait marré !

 

"On se serait marré" ! Avec du personnel encore à bord ? Décidément, il aime ce genre de plan. Je ne vois que l'espèce de terrasse ouverte pour nous livrer à des ébats, au risque de nous faire surprendre, puisque c'est le seul accès au restau. Nous continuons. C'est vraiment le pied, de me balader comme ça, les miches et la bite à l'air. Je n'ai pas complètement redescendu ma jupe sur le haut de mes cuisses, et j'ai le paquet qui dépasse carrément et ma bite qui ballotte entre mes cuisses. J'adore ! J'ai envie de carrément ôter ma minijupe. Bras dessus, bras dessous avec Domi, nous suivons Denis et Yann à quelques pas. 

 

Soudain, je sens Dominique dégager son bras du mien et sa main se poser sur mes reins … puis descendre sur mes fesses. Je passe mon bras sur ses épaules et je le presse contre moi pour lui signifier que ça me plaît et qu'il peut continuer. Encouragé, il insinue sa main ENTRE mes fesses. Oh la la ! Je le sens glisser un de ses doigts – son majeur, je suppose - dans ma raie en direction de ma fleur. Un frisson de plaisir me parcourt de la nuque aux genoux. Je fais mon possible pour m'ouvrir à son exploration, mais en marchant, ce n'est pas facile. En tout cas, j'ai bien fait de ne pas remettre mon string, même si ça ne serait pas un obstacle bien gênant. Hhhmmm, il sait y faire, le salaud !

 

Je n'y tiens plus, je m'arrête. Il stoppe aussi et se colle à moi. Maintenant, bien campé sur mes deux pieds, je peux écarter les jambes. Il passe le bout de son doigt sur ma rondelle encore humide de lubrifiant. Ouh la laaaa ! Je la sens réagir indépendamment de ma volonté … comme si elle cherchait à s'ouvrir, à béer pour le gober au passage. Je me tourne face à Domi, mes deux bras autour de son cou, et je soulève un peu ma cuisse. Vas-y, fourre-moi ton doigt ! Ah, voilà, il l'enfonce ! Je halète. De son autre main, il me pétrit la fesse. Son doigt tout au fond de moi, il le remue. La bouche contre son oreille, je gémis. Oh putaiiiiiiiiin, ce que j'aime ça ! Je me colle à lui et j'enroule ma jambe autour de la sienne. Il sort un peu son doigt et me le remet … avec un deuxième ! Oh oui ! Oh oui ! Il recommence, et cette fois, il me fourre trois doigts ! Il n'a même pas besoin de forcer, ça rentre tout seul … et ça ne me fait pas mal, comme si mon cul, à force d'avoir accueilli toute la soirée des doigts et des bites, s'était complètement détendu, dilaté, ouvert … J'ôte mon bras droit de ses épaules, je le glisse entre nous, et je descends ma main vers son sexe. Il me laisse faire, rentre son ventre. Je lui palpe le paquet. Il bande encore. A tâtons, je cherche son zip et, tant bien que mal, j'ouvre sa braguette. Il fait aller et venir ses doigts dans mon cul. Je fourre ma main dans sa braguette. Sa queue ! J'ai sa queue dans la main. Je la caresse, puis je l'empoigne, et je commence à le masturber. Hhmmmm, Domi, Domi ! Tu me rends dingue !

 

- Qu'est-ce vous foutez ?

 

C'est la voix de Denis, revenu sur ses pas. Il approche et il nous découvre, collés l'un à l'autre.

 

- Qu'est-ce tu lui fais ? Tu le doigte ?

 

Malgré la pénombre, il a saisi la scène. Domi hoche la tête:

- Mmmm ! Il est ouvert … comme une bouche de métro. Tiens, touche !

 

Je sens Denis s'approcher, poser une main sur ma fesse, tout contre la main de Domi qui me pétrit … puis la glisser dans ma raie … Quand les doigts de Denis arrivent près de mon fourreau, Domi sort les siens, et l'autre prend sa place … d'abord un doigt … puis un autre … Il s'esclaffe:

- Ah oui, la vache !

 

Trois doigts, maintenant … comme Domi. Denis glisse sa main libre entre mon ventre et celui de Dominique … et me cramponne … et me ramone … Oh la laaa ! Me voilà coincé entre mes deux mecs qui s'amusent avec mon cul ! Je continue de branler Domi, la joue posée sur son épaule, haletant et gémissant, les lèvres contre son cou. Lui me pétrit maintenant les deux fesses et les ouvre à la perquisition de son pote. Son pote … à ses doigts de plus en plus raides en moi, aux mouvements convulsifs de son poignet, je le sens s'exciter. Soudain:

- Tiens-le Domi !

 

Il sort ses doigts de mon cul et je le sens s'agiter derrière moi. Bruit de son zip qu'il descend. Il va sortir sa queue ! Bruit de tissu … puis quelque chose de chaud contre ma fesse … de chaud et humide … son gland ! Il va m'enculer ! Son gland entre mes fesses que Domi écarte. Son gland, chaud et humide contre ma fleur ! Il va m'enculer ! Il va M'EN     CU     LER ! Hhmmmm, dans les bras de l'un, que je suis en train de branler, je vais me faire baiser par l'autre ! Ah putain, ça y est, il est en moi ! Je sens sa bite dans mon cul ! Il se colle à moi et se met à aller et venir. Il me baise ! Il me baise ! Oh puuuutaiiiiiiin ! Je gémis de plus belle. Une onde de volupté, de bien être m'envahit. Je me suis fait enculer combien de fois, ce soir ? Il n'y a aucun doute, c'est vraiment ÇA que je veux ! Etre un objet de plaisir pour les mâles … un jouet sexuel entre leurs mains … être totalement à leur disposition … à tout moment … je veux qu'ils se servent de moi pour satisfaire leurs besoins sexuels, pour assouvir leurs désirs … je veux qu'ils utilisent mon cul et ma bouche pour soulager leurs sexes et décharger leurs trop-pleins de sperme … 

 

Pris de vertige, je m'abandonne complètement à mes deux amants, soumis comme un pantin, docile comme une poupée de silicone … mais une poupée vivante, chaude, excitée et jamais rassasiée … et qui manifeste aux mâles qui la baisent la jouissance que leurs sexes lui procurent … Denis me bourre à grands coups de reins, nous secouant, Dominique et moi. Je cramponne toujours sa queue, à Dominique, et je le branle au rythme des coups de boutoir de l'autre. Denis, c'est sûr, cette fois, il va jouir ! Je le sens, il ne se maîtrise plus. Avant longtemps, c'est sa bite qui prendra les commandes et il ne pourra plus résister. Ah, si ils pouvaient éjaculer tous les deux ! Denis dans mon ventre et Domi contre mon poignet. 

 

- Putain ! Viens par là !

 

Après un grand coup de bite, Denis s'est retiré. Brutalement. Les mains sur mes hanches, il m'attire, il me décolle de Dominique. Tout en reposant mon pied au sol, je lâche la queue de Dominique et je sors ma main de sa braguette. Denis me pousse devant lui, précipitamment. Ma minijupe retroussée sur mes reins, j'ai les fesses et la bite à l'air. Je jette un coup d'œil derrière moi. Entre les pans de son blouson, je vois la queue de Denis, raide, qui se balance de droite à gauche au rythme de ses pas. J'aperçois même un long filament d'excitation qui pend de son gland luisant jusque sur son genou. Nous arrivons aux pontons du petit port de plaisance. Vide. Pas un bateau. Yann est là, assis sur le dossier d'un banc, et il tète encore sa bouteille de vodka déjà à moitié vide. Ici, il y a davantage de lumière venant des puissants réverbères de l'avenue de la Poste, de l'autre côté de la rivière, et des lampadaires du pont de la Halle, devant nous, juste au-dessus du dernier ponton du port. Tiens, des voitures passent sur le pont, en direction de la place de la Halle. 

 

- Fous-toi à genoux sur le banc !

 

Denis me pousse encore. Je m'agenouille à côté de Yann, et je pose les mains sur le dossier. Yann me regarde, l'œil vague:

- Toi, ma poule, tu vas t'faire enculer !

 

Fort de ce constat, il ricane, complètement bourré. La main de Denis sur mes reins:

- Descends un peu ton cul. t'es trop haut.

 

Glissant mes genoux sur le banc, j'écarte les cuisses et j'abaisse mon bassin.

- C'est bon. Bouge plus.

 

Je me courbe en avant, au-dessus de ce dossier et je me cambre. Je sens sa main qui guide son sexe entre mes fesses … son gland de nouveau contre ma fleur … et … il me pénètre. Ah putain ! Ce que j'aime ça, un mec qui enfonce son sexe en moi ! Ses mains sur mes hanches, il recommence à aller et venir. Soudain, au-dessus de nous, des phares trouent l'obscurité et un moteur démarre ! Juste au-dessus de nous ! Je réalise que, là-haut, à trois mètres à peine au-dessus, il y a une espèce de parking, ou plutôt quelques places de stationnement. Pour éclairer comme ça, cette voiture devait être garée perpendiculairement au quai où nous sommes. En fait, seul une espèce de buisson de … je ne sais quoi couvre le talus entre le port et ce parking. Si le conducteur de cette voiture a jeté un coup d'œil en contrebas, il nous a vus ! Frisson de plaisir rétrospectif. En plus, il peut circuler des gens à pied, sur ce parking. Pendant que Denis me fourre, je vais tâcher de surveiller le haut de ce talus. 

 

Je tourne la tête sur le côté. Domi, évidemment, nous a suivis. Un peu en retrait, il nous regarde et me sourit. Denis souffle bruyamment par la bouche. C'est sûr, parti comme il est, il va jouir ! Cette fois, je vais vraiment me faire inséminer ! Ici, sur le port de plaisance de M. ! Ce sera la première fois que je me serais fait baiser … mais VRAIMENT BAISER … en pleine ville ! Pourquoi ça m'excite autant ? La ville, autour de nous, bruit de toutes les rumeurs de la nuit … la pétarade d'un scooter, au loin … le sourd ronron d'une voiture sur le pont – je vois même ses phares défiler entre les barreaux de ciment de la rambarde - … le souffle pneumatique d'un bus sur l'avenue … la brise, légère, qui remue les feuilles de ce buisson, au-dessus de nous … et moi … moi, avec une queue en érection dans le cul … une queue qui va me féconder le ventre dans un instant ! Putain, que la vie est belle ! Il me fourre lentement, il me bourre … méthodiquement … je sens qu'il déguste les sensations de son gland qui me fouille les entrailles … et celles de sa verge qui coulisse dans mon rectum … et celles de ses couilles qui viennent effleurer mon périnée … Je ferme les yeux pour goûter, moi aussi, ce coït, cette saillie … Ce que j'aimerais, maintenant, c'est que Domi me donne sa queue à sucer. Lui tailler une pipe pendant que Denis m'encule … hhhmmmm ! Au moment où je rouvre les yeux pour chercher Dominique et lui demander sa queue, Denis me donne une petite claque sur une fesse:

- Bon ! Maintenant, descends du banc … tu vas t'asseoir sur ma queue !

 

Il s'est retiré en disant ça, et il attend que je descende du banc. Il a ouvert son pantalon et en a écarté les deux pans. D'une main, il serre sa queue fermement, comme pour s'empêcher d'éjaculer, et de l'autre, il retient son pantalon. Dominique est là, à côté de nous, un pied sur le banc, et il se pétrit le paquet à travers la toile de son pantalon. Dès que j'ai libéré la place, Denis descend son pantalon sur ses cuisses, s'assoit et me fait signe:

- Tourne ! Tourne-moi le dos !

 

Je me tourne et je recule, jusqu'à avoir ses jambes entre les miennes. Je pose mes mains sur le banc, de part et d'autre de ses genoux et je commence à abaisser mon cul au-dessus de sa bite. De sa main libre, il me guide. Voilà, de nouveau son gland dans mon anus. Je me laisse descendre. Je le sens qui s'enfonce en moi. Ooooh, putain ! Voilà, je suis assis sur lui, mes fesses contre son ventre, mes cuisses sur les siennes. Au moment où je m'apprête à entamer un va et vient sur son pieu, il m'enserre de ses bras, colle sa tête entre mes omoplates, et:

- Bouge plus ! Ouaaaaaaahhhh !

 

Je m'immobilise et je me laisse aller en arrière, le forçant à s'appuyer au dossier du banc. La joue contre mon dos, il ronronne de plaisir. Moi aussi, je suis bien là, serré entre ses bras, empalé sur sa queue, les cuisses écartées, la bite à l'air, offert, indécent, viande à bite plantée sur la queue de son amant du moment. Le gel lubrifiant qui a débordé de mon cul me procure une délicieuse sensation de fraîcheur autour de l'anus et jusque sur le périnée et le bord de mes fesses. Je bande, moi aussi. Il desserre son étreinte et se met à me caresser les flancs, les hanches, les cuisses … l'intérieur des cuisses … et peu à peu, une de ses mains se rapproche de mes couilles … les effleure … hhhmmmm … remonte et se pose sur ma bite … la saisit et commence à me masturber. Je lui empoigne le poignet et je l'écarte:

- Ah non ! Me fais pas ça !

- Ah bon ? T'as pas envie ? 

- Pas maintenant.

- OK, OK !

 

Il n'insiste pas et continue de me caresser, le nez enfoui dans mon blouson. Je le sens remuer imperceptiblement son bassin et son ventre sous moi. Il doit faire bouger sa queue comme ça dans mon cul, pour affermir son érection, pour entretenir son excitation. Si je l'avais laissé me branler, j'aurais joui tout de suite, tellement je suis excité. Mon excitation serait retombée, et je n'aurais plus eu autant de plaisir à me faire baiser encore et encore. Là, j'ai envie qu'on continue longtemps notre périple de bites et de cul en nous baladant. J'ai envie de me faire niquer partout en ville. Dominique se pétrit toujours le paquet. Je tends la main vers lui:

- Viens, toi. Je vais te sucer.

 

Il ne se le fait pas dire deux fois. Il ôte son pied du banc et vient se placer devant moi, les jambes de part et d'autre de celles de Denis, les genoux entre les miens. Je pose une main à plat sur son ventre pendant que, de lui même, il ouvre sa braguette et sort sa queue et ses couilles. Il est décalotté et il bande déjà pas mal. Je prends sa queue dans ma main et, mes yeux dans les siens, je lui applique deux ou trois va et vient. Je vais te sucer, Domi, pendant que l'autre m'encule ! Son gland me bave un peu de liqueur sur le poignet. Je me penche en avant et, d'un coup de langue, j'essuie son gland. Je sens ce fluide visqueux me lubrifier les lèvres. Normalement, ça sert à lubrifier la chatte d'une femelle ! Encore quelques coups de langue tout autour de son gland, et j'enfourne sa bite dans ma bouche. C'est tellement bon ! C'est chaud, c'est doux, c'est un peu caoutchouteux … et c'est vivant ! C'est un SEXE, c'est un organe reproducteur, c'est un appareil génital, que j'ai dans la bouche ! Ses couilles dans le creux de ma main, je commence à le pomper. Hhhmmmm ! 

 

Ce qui se passe ce soir, c'est … aussi fort, aussi puissant .. que mon gangbang chez Jean-Claude. Il y a déjà eu cette … séance chez Jeanneau … où ils m'ont offert … offert et livré à des inconnus … non pas contre mon gré, mais sans m'avoir demandé mon avis … offert et livré à ces inconnus POUR QU'ILS ME BAISENT ! Merci, les mecs ! Merci de m'avoir emmené là-bas sans me dire ce qui m'attendait ! Merci de m'avoir offert à ces types ! Merci de m'avoir fait baiser par ces inconnus ! J'aime ça ! Et maintenant, il y a cette … virée … cette virée de … de BAISE EN VILLE ! Improbable virée, inattendue virée, entrecoupée de coups de bites ! Si Nadir ne s'était pas pris le chou avec le type en survêtement, nous serions sans doute rentrés en voiture avec lui, directement. Au lieu de ça, nous traînons dans les rues et, d'étape en étape, mes mecs se font sucer et m'enculent ! Là, ils ne sont que deux – j'ai l'impression que je ne peux plus compter sur Yann -, ils ne sont que deux, mais, planté sur le dard de l'un et la queue de l'autre dans la bouche, je ressens une impression de plénitude, de volupté totale … Je cherche les mains de Domi, et je les attire sur ma tête. Voilà comme j'aime sucer un mec … ses mains sur ma tête … tout comme j'aime qu'un mec qui me prend en levrette me tienne par les hanches ou par la taille … sensation d'être possédé, d'appartenir à celui qui fourre son sexe en moi … sensation d'être réduit à l'état d'objet sexuel, de sextoy dans lequel le mâle prend son plaisir … Là, je suis le sextoy que Denis et Dominique se partagent, chacun avec sa bite au chaud dans un de mes orifices …

 

- SiiiiiiiIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiiiiiIIIIFFFFLLL !

 

Un puissant coup de sifflet vient de retentir à côté de nous. Puis:

- Hey !!! Les jeunes ! On est là !

 

C'est Yann qui braille comme ça. Je sens Dominique se tourner pour voir ce qui se passe derrière lui. Il rit:

- Les revoilà, ceux-là !

 

Denis, haletant contre mon dos:

- Qui ça ? Les jeunes de tout à l'heure ?

- Ouais.

 

Venant de l'autre côté de la rivière, j'entends d'autres cris, mais je ne saisis pas ce qui se dit. Sans cesser de sucer Dominique, j'essaie de pencher la tête pour voir où ils sont, mais il me masque la vue et, accentuant la pression de ses mains sur ma tête, il m'ordonne:

- Continue de me sucer, toi !

 

Qu'est-ce qu'ils foutent là ? Tout à l'heure, ils partaient en direction du Grand Val, et les voilà revenus par ici. Ils ont dû rebrousser chemin. Yann:

- Tiens, ils arrivent …

 

Derrière moi, j'entends Denis haleter et geindre. Et sous moi, je sens sa queue bouger dans mon cul. Il jouit ? Des rires, des éclats de voix résonnent sur le pont et, du coin de l'œil, je vois apparaître trois silhouettes au-dessus de la rambarde. En effet, c'est nos trois jeunes de tout à l'heure. Les voilà arrêtés sur le pont, juste au-dessus du dernier ponton du port:

- Alors ! Ça baise encore, là en bas ?

 

C'est la voix de Driss. Yann:

- Ouais ! Venez !

- Nan ! On fait juste regarder ! Faut qu'on r'parte ! Qu'est-ce vous lui faîtes, là, à c'te salope ?

- C'te salope, elle est assise sur la bite à Denis, et elle taille une pipe à Dominique ! Mais … descendez avec nous !

- 'taiiiiin ! Mais nan, on descend pas ! On r'part !

- Tant pis.

- Hey, messieurs ! Vous avez vu ? Y'a deux mecs qui baisent une tapette en bas !

 

A qui il s'adresse, maintenant, ce con ? Cette fois, je sors la bite de Domi de ma bouche et je tourne carrément la tête, tout en continuant de le masturber. Deux autres têtes apparaissent au-dessus de la rambarde, venant visiblement de l'autre côté de la chaussée. Les trois jeunes s'écartent pour faire place aux nouveaux venus. Ah non, ce n'est pas des nouveaux venus. Je reconnais la tête de mes deux "sauveteurs" de tout à l'heure. Ça va, ceux-là nous ont déjà vus à l'œuvre. Quand même, ça aurait pu être n'importe qui d'autre. Un des deux nous fait signe de la main:

- Encore vous ? C'est bien, c'est plus discret, là !

 

C'est vrai, il nous avait conseillé d'aller faire ça dans un endroit plus discret. Enfin, plus discret … si l'autre zigotto de Driss n'avait pas ouvert sa grande gueule. D'ailleurs, il s'étonne, le Driss:

- Pourquoi … vous les connaissez, les mecs en bas ?

- Non, on les connaît pas, mais tout à l'heure, on les a déjà vus … en train de faire à peu près la même chose sur l'autre pont.

- Ah ouais ? Sur … sur le pont … là-bas ? SUR le pont ?

- Oui, SUR le pont, SUR le Pont Vieux.

- Ah, les cons !

 

Il se marre, mais, à son ton, je sens encore bluffé. Il reprend:

- Bon, faut qu'on s'casse ! Bonne baise, les pédés !

 

Et il s'éloigne, suivi de ses deux acolytes. 

 

- Bonne fin de soirée, Messieurs !

 

C'est un des deux types qui nous fait encore signe de la main en prenant la même direction que les jeunes. Yann, Domi et moi, d'une seule voix:

- Merci !

 

C'est à cet instant que Denis se lâche. Et ben non, ce que je sentais dans mon cul tout à l'heure, ce n'était pas son orgasme. Son orgasme, c'est maintenant ! Ah la vache ! Il m'a de nouveau enserré le torse de ses deux bras, il a collé sa joue contre mon dos et il se met à pousser un véritable râle entrecoupé de halètements "Râaah ! Aah ! Aah ! Aah ! Râaah ! Râaah ! Aah ! Aah ! Râaaaaah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Râaahaaahaaaaahaaaaaaaaaaah ! Aah ! Aah ! Aah ! " et je sens sa queue s'agiter dans ma rondelle, comme si elle pulsait ! Ah, putain, il est en train de m'injecter sa semence ! Je m'aperçois que, sous le coup de l'émotion, j'ai inconsciemment accentué ma masturbation de la queue Dominique. La queue de Dominique ! Je l'attire vers moi brutalement et je le reprends dans la bouche. Hhhmmm, ça y est, Denis me répand sa crème dans le ventre ! Cette espèce de pulsation dans mon anus, c'est sa bite qui crache … Je sens … je sens … dans mon rectum, je sens que … que ça baigne … sa queue semble glisser davantage … non, pas glisser, il ne la bouge pas, sa queue … mais elle semble … oui, c'est ça, elle semble baigner dans quelque chose … dans son sperme ! Je pompe fiévreusement Domi. Là, je voudrais bien que, lui aussi, il me répande sa jute sur la langue … là, maintenant, tout de suite ! Quelque chose, au fond de ma tête me souffle que c'en serait fini de notre virée de cul en ville, mais ça ne fait rien, je veux qu'il me féconde la gorge ! Allez, Dominique, laisse-toi aller ! Jouis ! Tire ton coup ! Mais il résiste. Et non seulement il résiste, mais il me repousse:

- Hop hop  hop ! Arrête ! Arrête !

 

Il recule son bassin, il recule ses pieds, il s'éloigne de moi en compressant sa queue. Il se courbe un peu en deux et souffle à petites bouffées par la bouche:

- Fff ! Fff ! Fff ! Fff ! Fff ! Fff ! Ffffffffffffff ! Ah la vache ! C'était limite ! J'ai failli … Ah la vache !

- Fallait rester ! Pourquoi t'es pas resté ?

- Hé hé hééé ! Non non non ! On n'a pas fini notre … tournée.

- Ouais, ben moi, ça y est ! J'ai fini !

 

C'est Denis qui revient à lui. Il desserre son étreinte, passe ses mains derrière moi et se met à me caresser, ou plutôt à me masser la nuque et même les épaules à travers mon blouson:

- Ça y est, ma poule ! T'as senti ? Je t'ai … j'ai joui.

- Oui, j'ai senti.

- Ça te dérange pas ?

- Ben … non. Au contraire.

 

Il rit, et m'attire contre lui. Je me laisse aller en arrière, ma tête sur son épaule, ma joue contre la sienne. Il me caresse maintenant le ventre, les cuisses, et aventure sa main vers ma bite. Je la repousse encore. Voilà, c'est fait ! Je me suis VRAIMENT fait baiser en ville. D'accord, on a fait ça dans un coin plutôt tranquille, mais on pouvait sentir la présence, autour de nous, de tout un monde en mouvement … Mon excitation, mon envie de me faire inonder la gorge sont un peu retombées. Dominique est en train de remettre sa bite dans son pantalon. Il nous regarde:

- On y va ?

- Allez, ma poule.

 

Denis me tapote les cuisses. Il veut que je me relève. Je m'appuie des deux mains sur le bord du banc et, lentement, je soulève mon cul. Je sens sa queue sortir de moi dans un  bruit mouillé. Elle est déjà un peu molle. Je me redresse complètement et je me retourne. Toujours assis, Denis commence à remonter son pantalon en se tortillant. Je l'arrête:

- Attends ! Deux secondes …

 

Surpris, il suspend son mouvement. J'approche, je m'accroupis entre ses jambes et je me penche sur son ventre. Il me sourit. Je crois qu'il a compris ce que je vais faire. Je sens sa semence s'écouler de mon cul. Je prends sa queue dans ma bouche. Hhmmmm, elle est déjà un peu flasque, et elle a le goût du sperme, du gel lubrifiant et de mon mucus anal ! Elle a un goût de partie de cul, quoi ! J'adore !

- Hou hou hou houuuuu ! Doucement. Elle est hyper sensible !

 

Denis essaie de repousser ma tête. Je presse sa verge entre mes lèvres, je tourne le bout de ma langue tout autour de son gland, je le tète … Ce que c'est agréable, une bite molle, une bite qui vient de tirer un coup, comme ça, dans ma bouche ! Il se laisse faire, une main sur ma tête, puis:

- Allez, laisse, maintenant !

 

Je la sors de ma bouche et je me redresse:

- Merci, Denis.

 

Il rit, se lève et finit de remonter son pantalon:

- Merci pour quoi ? Pour t'avoir laissé me nettoyer la queue ?

- Oui. Et puis merci de m'avoir baisé.

- Ha ha ha ! Bon. En route ?

- En route.

 

Je redescends ma jupe sur mes fesses et sur le haut de mes cuisses. Denis:

- Ça va, Yann ?

 

Yann descend du banc, trébuche, manque de s'étaler, et reprend son équilibre:

- Ouais, ça va.

 

Nous démarrons. Je sens mes fesses glisser encore plus l'une sur l'autre, et quelque chose de tiède commence à descendre le long de ma cuisse. Ce que Denis m'a injecté continue de ressortir. Un peu, ça va, j'aime ça, mais pour me balader en ville, ça va être gênant. Je m'arrête:

- Vous n'auriez pas un mouchoir en papier ?

 

Denis fouille sa poche et en sort un petit paquet:

- Tiens.

 

Je m'éponge sous le regard hilare de mes trois mecs, et je jette le mouchoir souillé dans la rivière:

- A manger pour les poissons.

 

Denis:

- Tu remets pas ton string ?

- Non.

 

Il se marre. Domi sourit. Nous passons sous le pont. Arrivés au pied de la rampe qui remonte du port de plaisance vers la rue, Dominique se tourne vers Denis:

- On fait quoi ? On continue ?

- Nan, faut remonter maintenant. Plus loin, sur le quai, c'est le coin des junkies. Ils vont vouloir nous taxer du fric, et ils peuvent être violents. On n'a qu'à commencer à aller vers chez moi.

- OK.

 

Je lisse ma jupe sur mes fesses et nous abordons le pont de la Halle. Dès que nous y sommes, Denis nous arrête:

- Regardez !

 

Il nous montre le quai, en contrebas. Dans l'obscurité, on voit deux points rouges … non, trois … et la lueur bleutée caractéristique de smartphones.

- C'est les junkies. Les points rouges, c'est le bout de leurs clopes ou de leurs pétards. 

 

Il me passe un bras sur les épaules, presque avec tendresse. C'est assez marrant, parce que je suis plus grand que lui, et il doit pas mal lever le bras. Mais bon, c'est un geste gentil. Alors, à mon tour, je passe un bras derrière ses reins et nous redémarrons. Il y a encore pas mal de circulation, à cette heure. A cette heure ? Je ne sais même pas quelle heure il peut bien être. J'ai complètement perdu la notion  du temps. Et puis je m'en fous. Putain, ce que c'est agréable, de se balader la bite et les miches à l'air sous ma minijupe, mais je dois tirer régulièrement sur son ourlet, parce qu'elle a tendance à remonter toute seule. Le pont une fois passé, nous prenons la direction de la "place des fainéants". La place des fainéants, c'est le surnom de la place de la Résistance, devant le quartier des administrations: palais de justice, sous-préfecture, services sociaux, locaux syndicaux, assurances, commissariat, police municipale, etc. Je n'y avais pas fait attention, mais Yann s'est laissé distancer. Je ne sais pas à quel moment on l'a lâché. Je ralentis et je me retourne, entraînant Denis:

- Il est où, Yann ?

- Je sais pas.

 

Ah si, le voilà, là-bas ! Il arrive vers nous, plus ou moins en titubant. On attend qu'il nous rejoigne. Denis:

- Où t'étais ? Qu'est-ce tu fous ?

- J'ai gerbé, putain !

- Ah bon ? Et ça t'étonne ? T'as pas arrêté de picoler.

- Ouais, ben d'habitude, je tiens mieux que ça. Ça doit être le froid.

- Ça doit être ça, oui !

- Il me faudrait de l'eau.

- On n'en a pas. Tu boiras chez moi.

 

En effet, il pue le vomi. On repart. Quand on aborde la "place des fainéants", Yann nous lance:

- M'attendez pas, je vous rattrape.

 

Et il disparaît vers l'entrée du parking souterrain. Denis:

- Où il est barré, maintenant ?

 

On continue, mais on a ralenti le pas. Il y a des bancs sur la place, à côté de la petite piste de skate, déserte à cette heure. On en choisit un, face à l'avenue et on s'assoit, moi au milieu, Denis à ma gauche et Dominique à ma droite. Domi a passé son bras derrière mon dos, sur le dossier du banc. C'est du ciment et le froid, sous mes fesses seulement à moitié couvertes par ma minijupe, m'arrache un "Wouuufff !" de surprise. Denis:

- Qu'est-ce qui t'arrive ?

- C'est froid, là-dessus !

- Ah ben, ça va peut-être te calmer !

- Ça m'étonnerait que ça suffise.

 

Dominique:

- Moi aussi, ça m'étonnerait. Quand tu t'es assis, j'ai entendu, ça a fait "Pschhhhhhhhhh !".

 

Ils se marrent. Denis:

- T'as encore le feu au cul ?

- Le feu … non, mais y'a encore de la braise … pour que ça reparte, il suffirait de souffler un peu dessus … ou alors, il faudrait me mettre une grosse allumette …

 

Joignant le geste à la parole, je palpe la braguette de Dominique:

- … comme celle qui est là-dedans. 

 

Denis !

- Aaaaaah, putain ! T'es un cas, toi !

 

Je laisse ma main sur la braguette de Domi et je palpe son sexe à travers la toile. Ah oui, il suffirait de pas grand chose pour me remettre le feu. Je me sens tellement bien, assis là, entre mes deux mecs, face à l'avenue. En sentant la brise qui me rafraîchit l'entrejambe, je réalise que je me suis assis … naturellement, sans tirer sur le bas de ma jupe pour le cacher, mon entrejambe … en fait, le bas de ma jupe ne recouvre le haut de mes cuisses que sur deux ou trois centimètres … rien, quoi … de plus, comme je ne porte ni culotte ni string, je dois garder les cuisses écartées pour ne pas m'écraser le paquet entre elles. Alors voilà, je suis assis sur ce banc, la bite et les couilles à l'air, les cuisses ouvertes, face à l'avenue, à quelques mètres de la chaussée. Il circule encore pas mal de voitures dans les deux sens … tiens, voilà même un bus qui remonte vers le Grand Val avec quelques passagers … Pour peu qu'ils ne roulent pas trop vite, les automobilistes ont tout loisir d'apercevoir mon matos ! Et franchement, ça me plaît, pas question de resserrer les cuisses. 

 

Sans m'en rendre compte, j'ai continué de pétrir la queue de Domi, et, sous ma main, je la sens se réveiller, gonfler et s'allonger … Quand je m'en rends compte, instantanément, un frisson m'électrise l'anus. Alors je la palpe, je la pétris un peu plus vigoureusement. Ah putain ! Je sens venir une furieuse envie de le sucer ! Mais sur ce banc, c'est vraiment trop exposé. Faut pas quand même pousser. Où on pourrait aller ? Les autres bancs, c'est pas mieux. Je jette un coup d'œil derrière nous. Là-bas, derrière les modules du skate-park, on serait tranquilles … ou alors là, derrière les massifs de maçonnerie qui servent à la ventilation du parking souterrain … Je n'ai pas le temps de me décider … Domi ôte son bras de derrière mon dos, et sans hésiter, il ouvre sa braguette et sort sa bite ! Tranquillement ! Il prend même la peine de sortir ses couilles et il s'installe confortablement, le dos bien calé, le bassin tendu vers l'avant, les jambes étendues, dans la posture du mec qui attend qu'on s'occupe de sa queue. Un flot d'adrénaline me submerge. J'empoigne son engin et je commence à le masturber. Denis:

- Vous êtes chiés, les mecs ! Arrêtez, merde ! Faites pas ça ici !

 

Ça a vraiment l'air de le gêner, qu'on fasse ça ici. Moi, pas du tout. Au contraire, même. Domi non plus. Il bande de plus en plus ! Notre position sur ce banc, face à l'avenue et tout près du trafic, n'a pas l'air de le gêner le moins du monde ! Pourtant, sa bite et ses couilles, qui forment comme une tache très claire sur le fond sombre de son pantalon, doivent se remarquer de loin. Oh, mec, je t'adore ! Tout ça me rappelle la branlette que j'avais administré à Philippe devant des randonneurs, également sur un banc, au bord du canal. 

- J'ai encore envie de te sucer, Domi.

- Pfffffffff ! Faites pas les cons, les mecs !

 

Encore Denis, qui doit commencer à paniquer. Domi ne répond pas, mais il pose sa main sur ma cuisse … la remonte jusqu'à mon ventre, finit de retrousser ma jupe et laisse ses doigts là, dans mon  entrejambe. Je les sens contre l'intérieur de ma cuisse et contre ma bite et mes couilles. Hhhmmmm, j'adore ça. Ma queue commence à se redresser. Je me sens tellement … impudique, immoral, débauché, scandaleux ! Et Dominique, à sa manière, est comme moi. Je me tourne vers lui et, tout en le masturbant fiévreusement de la main droite, je prends ses couilles dans la main gauche et je les malaxe délicatement. C'en est trop pour Denis. Il se lève brusquement en ronchonnant:

- Putain ! Vous faites vraiment chier, hein !

 

Il s'éloigne. Il ne veut pas être vu avec nous. Il n'est plus avec nous. Domi me sourit et se cale un peu plus confortablement contre le dossier du banc. De toute évidence, ça veut dire "On s'en fout. Vas-y, branle-moi !". Il y a longtemps que j'ai abandonné toute pudeur, toute décence, toute dignité, même, mais je sens que mon excitation est en train de faire craquer les dernières digues qui pourraient me retenir: la peur de me faire surprendre, même par des flics, s'est envolée … la bienséance, les convenances, envolées aussi … Là, il y a ce mec qui bande et qui ne demande qu'à se faire sucer … et même cet endroit m'excite … la perspective de lui tailler une pipe ICI, sur cette avenue, et devant les voitures qui y circulent, contribue autant à mon excitation que l'envie d'avoir une fois encore cette queue dans la bouche ! Attendre qu'il n'y ait plus de voitures sur l'avenue ? Ça ne servirait à rien, il en arriverait d'autres une fois que j'aurais commencé … Soudain, Domi pose sa main sur ma nuque et appuie pour que je … Oh oui ! Je me penche …

 

- Ça va les pédés ?

 

C'est Yann qui vient de gueuler. Domi ôte sa main de ma nuque et se redresse. Je me retourne. Yann arrive::

- Vous m'attendiez ?

 

Il découvre la bite de Domi … et la mienne, qui dépasse de ma jupe. Il ouvre des yeux ronds:

- Vous … vous étiez en train de … Oh putain, vous êtes dingues … toutes les bagnoles de flics qui rentrent au commissariat passent par ici … vous êtes dingues !

 

Mon excitation retombe instantanément. Au fond de moi, je le savais que cette partie de l'avenue, c'est le passage obligé pour les flics … nous sommes à deux pas du commissariat, juste là, après le palais de justice … mais l'excitation m'avait fait refouler cette idée, et avait peu à peu fait disparaître toute crainte, toute inhibition … La réflexion de Yann me ramène brutalement à la réalité. Dominique aussi, on dirait: il remballe sa queue dans son pantalon. Yann:

- Il est où, Denis ?

- Par là, je crois …

 

En se levant, Dominique montre le fond de la place, vers l'entrée du tribunal. Je me lève aussi. En effet, en nous voyant debout, Denis réapparaît. Il s'était planqué dans l'ombre du porche du palais de justice. Tout en se rapprochant de l'avenue, il nous fait un grand signe du bras. C'est par là ! Il nous attend, et on le rejoint.

- Hé, tous les deux, vous arrêtez vos conneries, hein ! On va passer devant chez les flics, alors du calme ! Et toi, tu veux pas remettre ton string ? Par moments, on voit ta bite qui dépasse …

- Non !

 

Non, je ne remettrai pas mon string. Je suis trop bien comme ça. Devant ma détermination, il soupire:

- Essaye au moins de descendre un peu ta jupe sur tes cuisses. T'as encore ta bouteille toi ? T'as pas encore assez dégueulé ?

 

Yann montre sa bouteille:

- C'est de la flotte. J'ai été la remplir dans le parking. 

- Ah, c'est là que t'étais ?

- Ouais. En général y'a un robinet, dans les parkings …

- Bon, ben, planque la quand même, ta bouteille. On va passer devant chez les flics. Si ils te voient avec une bouteille, on est bons.

- Pour de la flotte?

- Ils le savent pas que c'est de la flotte. Et j'ai pas envie qu'on se fasse contrôler … Remballe, je te dis.

 

Yann la coince sous son bras sous son blouson. Je tire sur ma jupette, je la lisse sur mes fesses et nous redémarrons. Nous longeons le palais de justice et nous arrivons à l'entrée du commissariat. Sur le perron, en haut d'une volée de quatre ou cinq marches, un "bleu" et deux types en civil discutent en fumant devant la double porte en verre. Un des types en civil nous remarque et nous suit des yeux. Yann et Denis cherchent tellement à avoir l'air naturel que ça va finir par leur sembler suspect.

 

- Bonsoir !

 

J'ai vu: c'est le type en civil qui nous a remarqués qui vient de nous dire ça. Il veut nous dire ou nous demander quelque chose ? 

 

- Bonsoir.

 

On lui a tous répondu en chœur. Du coin de l'œil, je le vois se tourner vers ses collègues et reprendre la discussion. Ça va, il est seulement poli. Je ne sais pas si il a remarqué mes cuisses et mon cul moulé dans ma jupe. Il y avait Denis et Yann entre lui et moi. Une fois à quelques mètres, on se marre, un peu soulagés. Je vois Yann se retourner à plusieurs reprises vers l'entrée du commissariat. Et soudain:

- Hé, c'est bon, ils sont rentrés ! Venez !

 

Le voilà qui se faufile sous la barrière levante du parking qui jouxte le commissariat. Denis, parlant tout bas:

- T'es con, ou quoi … c'est le parking des flics !

- Je sais. Viens, Marin !

 

Putain, oui, il est con. Déjà, la propriété des avocats, puis la tentative ratée à la péniche, et maintenant le parking des flics ! Il veut à tout prix entrer quelque part pour faire ça … mais là, c'est pas pareil … là, si on se fait gauler, c'est direct le bâtiment d'à côté, le commissariat:

- Non, non, je viens pas …

- Pourquoi ? Ils nous verront pas … derrière les bagnoles …

 

Putain … quand même … ça serait peut-être pas mal, derrière les bagnoles. Il y en a une dizaine, et plein de places vides. Apparemment, il n'y a que des voitures … ordinaires. Ça doit être des voitures personnelles de flics … et là, ils doivent être au boulot, dans le commissariat ou en patrouille. Ouais, mais si on fait ça derrière une bagnole et que le propriétaire vient justement la reprendre, celle-là … à part cette sortie, le parking est fermé de partout, on n'a pas d'autre issue pour s'échapper … non, non, là, c'est trop risqué, c'est des flics, quand même:

- Non. Laisse tomber, mec. Là, ça le fait pas. 

- Pffffff ! Tu te dégonfles …

- Ouais.

 

Il passe la barrière dans l'autre sens et nous rejoint. On repart. Denis se tourne vers Yann:

- T'as même pas vérifié si y'avait pas une caméra …

 

Yann regarde tout autour de nous, y compris en hauteur, sur les réverbères:

- Y'en a pas.

- C'est pas maintenant qu'il fallait regarder ... c'était avant d'y aller.

 

Maintenant, nous longeons des pavillons avec jardin. C'est un quartier résidentiel, avec des petites rues sombres bordées de tilleuls qui aboutissent sur l'avenue … où ça circule encore pas mal dans les deux sens. Au loin, du côté du Grand Val, on entend le lent Piiiin Poooon d'un camion de pompiers. Après une centaine de mètres, Dominique me touche le bras:

- Tu vois ce que je vois ?

- Où ça ?

- Là, au milieu …

 

Qu'est-ce qu'il a vu ? A cet endroit, au milieu des quatre voies de l'avenue, le terre-plein central s'élargit. Au lieu de la bande de gazon d'une cinquantaine de centimètres de large, il y a une espèce de … massif aménagé. Des fleurs basses, des fleurs un peu plus hautes, et même des arbustes, on dirait.  Il y a aussi une sorte de … cabane en forme d'obus, en osier tressé, deux mètres de haut … Oui, et alors ?

- Oui, le massif de fleurs … et alors ?

- Viens !

 

Il me chope le poignet, vérifie qu'il n'arrive pas de voiture derrière nous, et il m'entraîne. Nous traversons rapidement les deux voies et nous montons sur le terre-plein. Vu du trottoir où nous étions, il semblait complètement couvert de fleurs, mais, maintenant que nous y sommes, je m'aperçois qu'entre les fleurs, déjà pas mal fanées, il y a comme une allée gravillonnée … cinquante ou soixante centimètres de large. Elle conduit jusqu'à l'entrée de la cabane en osier. Deux voitures venant du centre ville passent à côté de nous. Les conducteurs nous regardent, surpris de nous trouver là, au milieu de l'avenue. Dès qu'ils s'éloignent, Domi me pousse devant lui:

- Allonge-toi là … sur le dos !

- Où ça ?

- Là, sur l'allée … dans les gravillons … grouille !

 

Je m'assois. Putain, c'est froid … c'est même un peu humide. Il va me baiser ici ? La vache !

- Allonge-toi, j'te dis !

 

Pendant que je m'accoude, je le vois qui ouvre sa braguette et sort sa queue.

 

- Qu'est-ce vous foutez, bordel !

 

C'est Denis, resté sur le trottoir, qui s'inquiète. Domi jette encore un coup d'œil des deux côtés de l'avenue et lui lance:

- J'vais l'baiser là !

- Oh putain ! T'es vraiment con !

- On nous verra pas, derrière les fleurs ! Regarde !

 

Ouais, c'est ça, il veut me baiser là ! Je regarde autour de nous. C'est vrai que, simplement assis comme ça dans cette allée, ma tête n'arrive même pas au niveau des plus hautes fleurs … J'entends Denis bougonner je ne sais quoi et Yann se marrer. Domi s'approche entre mes pieds:

- Allonge-toi ! Et écarte les jambes !

 

Je finis de m'étendre sur le dos et il s'agenouille entre mes mollets. Puis, tenant sa bite d'une main pour la guider, il pose son autre main à côté de mon épaule, et se courbe sur moi:

- J'vais t'enculer ici ! Ça te va ?

 

Je hoche la tête: 

- Oui, ça me va.

- Ça te fait peur ?

- Non.

- Pousse ta bite, elle va me gêner.

 

Je remonte bien ma bite et mes couilles sur mon ventre, et, aussitôt, je sens sa main contre me fesses … et … son sexe … contre ma fleur ! D'un coup de reins, il est en moi. Putain, il bandait déjà à ce point ? A croire qu'il n'avait pas débandé depuis le banc sur la place des fainéants ! Avec son pubis, il m'écrase les couilles. Il pose ses coudes de part et d'autre de mes épaules et, le torse un peu soulevé au-dessus de moi, il commence à bouger lentement en plantant ses yeux dans les miens. Ah putain ! Je l'enserre de mes bras et je passe mes mollets sur les siens. Oh, la vache, Domi, Domi ! T'es en train de m'enculer, de me baiser en missionnaire au milieu de cette avenue ! Adrénaline et cœur qui bat ! J'entends des voitures qui arrivent sur ma droite, venant du Grand Val. J'ai l'impression qu'elles vont nous rouler dessus. Le son est comme … amplifié … c'est sans doute dû à l'effet de la tension, de l'émotion de faire ça ici. Maintenant, c'est le sourd ronron d'un bus venant du centre ville, sur ma gauche, qui augmente au fur et à mesure qu'il approche. Je tourne la tête. Le voilà ! Entre les fleurs, je le vois défiler … la cabine du chauffeur … ses vitres éclairées ... Putain, il est pourtant sur la file de droite, et il y a l'autre file entre lui et nous ! Je ne suis pas sûr que nous soyons si bien cachés, finalement … Je n'arrive pas à me concentrer sur ce que Dominique me fait. Une autre voiture arrive maintenant du centre ville … Au milieu de la masse des pieds de fleurs, je ne la vois défiler qu'en un éclair quand elle passe à notre niveau … Domi se décolle de moi et se soulève un peu:

- Oh, putain, c'était des flics !

 

Il prend appui sur ses mains et se redresse carrément pour regarder au-dessus des fleurs:

- Meeeerde ! Ils font marche arrière ! On se barre !

 

Il est déjà debout .. il se penche sur moi et il me tend la main pour m'aider à me relever. J'entends le son caractéristique d'une voiture qui fait une marche arrière à fond la caisse. Domi, qui me cramponne toujours le poignet, m'entraîne à travers le massif de fleurs, vers l'autre côté de l'avenue. Je jette un coup d'œil derrière nous. La voiture siglée "Police" est presque au niveau de l'endroit où Domi me baisait. Au moment où nous finissons de traverser les deux voies en courant, j'entends un bruit de portière qu'on claque. Et presque aussitôt … "bande d'enculés ! " … un bruit sourd résonne, comme un choc sur une carrosserie … puis un bruit de verre cassé … J'ai capté tout ça en une fraction de seconde … Nous sommes sur le trottoir d'en face  … Là, à vingt mètres, une ruelle sombre … J'ai le cœur à cent à l'heure … La voiture de flics redémarre en faisant crisser ses pneus. Sirène en marche, ils vont aller faire demi-tour au feu, là-bas, contourner le terre-plein central et revenir sur les deux voies que nous venons de traverser. Le bleu du gyrophare balaie les murs autour de nous.

 

Une fois engagés dans la ruelle, Domi s'arrête et prends le temps de remballer sa queue à toute vitesse. C'est seulement maintenant que je réalise que j'ai la minijupe à moitié retroussée sur les fesses, et la bite à l'air, qui ballottait au rythme de notre course. Je rabats ma jupe et nous reprenons notre course. A vue de nez, je pense que la ruelle conduit vers le faubourg Saint Jacques. Tant mieux: le faubourg, c'est un dédale de petites rues, de passages étroits, de cours communes et de recoins de toutes sortes … Ils vont avoir du mal à nous retrouver là-dedans. Mais pour le moment, il n'y a que des murs et des grilles infranchissables … Au petit trot, nous tournons à gauche, dans une rue en sens interdit. Au moins, ils ne pourront pas nous suivre par là ! Maintenant, nous tournons à droite, dans une petite rue mal éclairée. Soudain, Domi me pousse entre deux maisons. C'est un passage, une cour ? Merde, c'est une impasse … et aucun endroit où se planquer. Nous ressortons et nous continuons. A chaque jardin, Dominique essaie d'ouvrir le portail. Fermé ! Fermé ! Encore fermé ! Ouvert ! 

 

Yess ! Nous nous faufilons à l'intérieur et Domi referme soigneusement le portillon. C'est un minuscule jardin devant une maison. Une haie de troènes et un grillage le séparent de la rue. Sous nos pieds, une allée en ciment. Dans le coin, un arbre – on dirait un énorme laurier – donne une ombre épaisse. Nous nous glissons dessous, derrière un barbecue à roulettes recouvert d'une bâche. Il était temps ! A travers la haie de troènes, je vois des flashes bleus lécher le mur de la maison d'en face. J'ai le cœur qui bat à fond et j'ai du mal à reprendre mon souffle. Voilà la voiture de flics. Elle passe lentement devant le jardin. Nous nous recroquevillons, tête baissée, derrière le barbecue. Le faisceau d'une torche balaie le jardin où nous sommes, trouant la haie de troènes jusqu'au pied du barbecue. Ils ne nous voient pas et poursuivent leur chemin en direction de la rue du Faubourg Saint Jacques. Nous attendons de ne plus voir les éclairs du gyrophare pour nous extraire prudemment de notre cachette. Dominique se marre doucement et murmure:

- Oh, putain ! Ça va, toi ?

- Ça va.

- On y va ?

- Attends.

 

Je fouille la poche de mon blouson et j'en sors mon string. Domi:

- Qu'est-ce tu fous ?

- Je remets mon string.

- OK.

 

Nous ouvrons le portillon – heureusement, il ne grince pas – et, puisque les flics sont partis de l'autre côté, nous repartons par où nous sommes arrivés. Première rue à gauche, toujours aussi noire. Nous parcourons en hâte quelques mètres …

 

- Bougez pas !

 

Une puissante lumière nous aveugle. Putain, qu'est-ce que c'est ?

 

- Essayez pas de vous barrer, j'ai un taser ! Restez où vous êtes !

 

Je me fige sur place. C'est un flic ! C'est sûrement celui que j'ai entendu descendre de voiture tout à l'heure ! Dans son uniforme bleu et derrière la puissante lumière de sa lampe, on ne le voit pas. Il nous braque le faisceau de sa torche dans la figure. Il bluffe, ou pas ? Il a vraiment un taser ? De toute façon, je n'ai pas envie de vérifier. Je sens que Domi, à côté de moi, s'est aussi figé.

 

- Mettez vous face à ce mur ! Et faites pas les cons !

 

D'un coup de lampe torche, il nous désigne un mur sur notre gauche. On s'approche en cœur. Il est derrière nous. Il m'appuie brutalement quelque chose de dur dans le dos.

- Lève tes mains ! Appuie-les sur le mur ! Toi aussi.

 

J'obtempère et je sens la main de Domi se poser contre la mienne. Le faisceau de la torche vacille une seconde … un bruit métallique, et il passe quelque chose à mon poignet gauche … des menottes ! Il tire dessus … autre bruit métallique, et je sens que je suis attaché au poignet de Domi. Dans le faisceau de la torche, je me rends compte que mon mec me regarde, qu'il me sourit et secoue la tête : «On a perdu, mais c'est pas grave !». Bizarrement, c'est aussi ce que je ressens: c'est pas grave. Oh, il y a bien eu cette poussée d'adrénaline de peur quand le flic nous a surpris, mais c'est tout … enfin, presque … je réalise que j'ai les jambes qui tremblent. Sans doute la conséquence de notre course effrénée suivie de cette … arrestation. Mais, intérieurement, je me sens d'un calme étonnant. Une espèce de craquement, et:

- Je les ai, les mecs !

 

Nouveau craquement et:

- T'es où ?

 

Le son d'une voix sortant d'un haut-parleur. Ils ont des talkies !

 

- Rue de l'Ecurie, au carrefour avec la rue du Lavoir.

- On arrive.

 

Qu'est-ce qui va nous arriver ? Ils peuvent nous reprocher quoi, exactement ? Le faisceau lumineux revient sur Domi:

- Toi, bouge pas. Laisse tes mains sur le mur, mais recule un peu tes pieds et écarte les !

 

Je sens Domi obtempérer. 

 

- T'as une arme ?

 

Aux bruits de tissu qu'on froisse, je comprends que le flic est en train de lui faire une palpation. Domi:

- Non. 

- Des substances illicites ?

- Non.

- Ça va. Tu peux te redresser.

 

Je m'attends à me faire aussi fouiller, mais … non. Le faisceau de la lampe m'ausculte à nouveau, mais c'est tout. Je regarde Domi. Dans la pénombre, je vois qu'il me fait un clin d'œil et qu'il sourit. Ah ouais, le flic me prend encore pour une femme ! Et il n'a pas le droit de faire une palpation à une femme. Pourtant, quand il nous a braqué sa lampe dans la tronche, il y a un instant, il aurait pu voir que je suis un mec ! J'ai envie de me marrer. Tiens, une sirène ! Voilà ses collègues qui arrivent … Ah non ! C'est encore un camion de pompiers … sur l'avenue, on dirait. C'est curieux, j'ai l'impression que mes sensations sont boostées: les sons sont comme amplifiés – le vent dans l'arbre au-dessus du mur, les mouvements du flic, derrière nous, la rumeur de la ville, au loin -, mes yeux se sont accoutumés à l'obscurité relative et je vois parfaitement les détails du mur à quelques centimètres de mon nez, jusqu'à la fraîcheur de l'air sur mes mains, sur ma figure et sur mes cuisses, qui me semble plus … pas plus froide, mais plus sensible … Tout ça doit être un effet secondaire des émotions de ce soir … 

 

Enfin, les flashes bleus du gyrophare balaient le mur au-dessus de moi. La voiture arrive et s'arrête derrière nous. Deux portières claquent.

- Où ils étaient ?

- Il arrivaient par là !

- On venait d'y passer !

- Ils avaient dû se planquer quelque part.

- Tu les as fouillés ?

- Le type, oui, mais pas la fille. Lui, il a seulement un téléphone.

 

Par la vitre ouverte de la voiture, j'entends comme des bruits de radio. C'est sans doute je ne sais quel central qui communique avec les voitures en patrouille.

- Bon. Vous pouvez baisser vos mains. Tournez-vous.

 

On se tourne, toujours accrochés l'un à l'autre. Maintenant, il y a deux lampes torches pour nous examiner.

- Ah merde ! C'est pas une fille, c'est un travelo !

- Ah putain ! De dos, on aurait vraiment dit …

 

Il y a comme un moment de gêne parmi les forces de l'ordre.

- Bon … alors … on va devoir aussi te fouiller …

- Pas de problème. Allez-y.

- Mets tes mains à plat sur le toit du véhicule.

 

Je pose mes mains sur la voiture, entraînant Domi, et, de moi-même, je recule mes pieds et j'écarte les jambes.

- Bon … tu le fouilles, Jean-Louis ?

- Euh … j'ai déjà fouillé l'autre … allez-y, vous.

- C'est toi qui les as chopés, c'est toi qui le fouille.

 

On se râcle la gorge, derrière moi. Puis une main se plaque entre mes omoplates, et une autre me palpe les poches du blouson, les fouille, en sort mes capotes et mon tube de lubrifiant et les pose sur le toit de la voiture ... il reprend sa fouille ... cette fois à deux mains: mon torse et mes flancs sous mon blouson ... mes fesses, par-dessus ma jupe ... mon ventre ... woufff, il effleure la bosse de ma queue ... C'est pas désagréable, de se faire fouiller, finalement. Un ricanement sourd derrière moi: 

- Tu te régales, Jean-Louis ?

 

Un des autres flics s'amuse de voir son collègue me peloter. Jean-Louis:

- Oh, ta gueule, Marco ! Il a que ça ... des capotes, et ... un flacon de ... c'est du lubrifiant ! Tourne-toi !

- Attends ! Pousse-toi, Jean-Louis !

 

La voix du dénommé Marco. Ça a l'air d'être le chef de la patrouille. Je sens le premier, Jean-Louis, s'écarter ... quelqu'un entre mes pieds ... des mains sur mes fesses ...

 

- T'as pas fini ta fouille, Jean-Louis !

 

La voix ricanante du chef, tout près de moi ... ses mains sur mes hanches ... sur le devant de mes cuisses ... l'autre ne m'a palpé qu'à travers mes vêtements, mais celui-ci, qui n'a pas voulu me fouiller au début, a changé d'avis, et il pose ses mains sur moi ... sur ma peau ... et il a les mains rugueuses, le Marco ... sur l'arrière de mes cuisses ... je suis sûr qu'il va me peloter l'intérieur des cuisses, maintenant ... Exactement ! Il a collé une de ses grosses pattes à hauteur de mon genou, et il la remonte ... lentement. Comme par réflexe, j'écarte un peu plus mes pieds ... et je me cambre ... Vas-y, mec, regale-toi aussi ! Je sens ses doigts me caresser l'intérieur de la cuisse. Instantanément, dans un flash, j'imagine ces trois flics m'arracher mon string et me prendre là, dans cette ruelle, appuyé contre leur voiture de patrouille ...

 

- Tu vois ? C'est comme ça qu'on fait ... hein, Jean-Louis ...

 

Sa main est tout en haut de ma cuisse ... SOUS ma jupe ! Ah putain, il effleure le bas de ma fesse. C'est sans doute un des endroits les plus sensibles de mon anatomie, et ça a beau être une fouille par un flic, ça me fait exactement le même effet que si je me faisais peloter par n'importe quel mec ! Vas-y, tripote-moi, j'aime ça ! Je ferme les yeux. Il ôte sa main, et me met l'autre à la place, contre mon autre cuisse ... juste sous ma fesse ... il la descend, lentement ... Si ça vous tente, vous pouvez me baiser, les mecs, je porterai pas plainte !

 

- C'est bon. Retourne-toi !

 

Ah, c'est fini. Il s'est fait plaisir. Un travelo ... pourquoi se priver ? Je me retourne. Je regarde Domi. Dans la pénombre, je le vois me faire encore un clin d'œil. Je lui souris. Une sirène de police passe sur l'avenue. Un des flics me braque sa lampe dans la figure:

- Vous avez pas de papiers !

- Non, pas sur nous.

 

Domi a répondu du tac au tac. On ne voit toujours pas à quoi ils ressemblent, ces trois flics.

- Pourquoi vous avez pas vos papiers ?

- On pensait pas en avoir besoin. 

- Qu'est-ce que vous faisiez, couchés dans ce massif, sur l'avenue ?

- On se roulait des pelles.

- Dans ce massif ?

- Oui. C'est pas interdit.

- Et vous vous rouliez seulement des pelles ?

- Ben oui.

- Pourquoi vous vous êtes sauvés, alors ?

- Ça fait toujours peur une voiture de f..  de police qui vous fonce dessus.

- Pas si on n'a rien à se reprocher. Pourquoi il avait le cul à l'air ton copain ?

- Il avait pas le cul à l'air, il avait son string ...

- Mouais ...

 

Soudain, sortant de la voiture:

- Marco ? Marco … tu me reçois ? Marco …

 

Un des flics se penche dans la voiture par la fenêtre ouverte à côté de moi, et manipule je ne sais quoi:

- Ouais, c'est Marco ! Qu'est ce qu'il y a ?

- Faut que vous alliez tous au Grand Val. Incendies de voitures. Plusieurs. Les pompiers se sont fait caillasser.

- Y'a pas déjà quelqu'un ?

- Si, mais ils ont besoin de renfort. C'est des bandes organisées. Ils les attendaient. Je vais vous brancher sur la BAC. C'est eux qui prennent les commandes en attendant le commissaire.

- Ouais, mais on a chopé deux … individus … dont un ... travesti. On en fait quoi ?

- Ils ont fait quoi, tes individus ? Ils ont tué quelqu'un ?

- Non, ils … devaient baiser avenue Mandela.

- Ils devaient quoi ?

- … baiser … avenue Mandela.

- T'es con, ou quoi, Marco ! Tu les relâche et tu fonce au Grand Val. T'as des collègues et des pompiers qui se font canarder !

 

La communication est brusquement coupée. Marco sort de la voiture, en pétard:

- Vous avez entendu ? On va au Grand Val ! Jean-Louis, tu leur ôtes les menottes.

 

Nous sommes libérés en trois secondes, et les flics s'engouffrent dans la voiture. Je récupère vite fait ma poignée de capotes et mon flacon de lubrifiant. La voiture redémarre à fond, sirène hurlante. Domi et moi, on se regarde, et on éclate de rire. 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 11 janvier 2017 3 11 /01 /Jan /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Ah quelle soirée ! En sortant de ce troquet, où Denis m'avait entraîné pour m'offrir à six inconnus, j'ai commencé par tailler une pipe à Dominique … en pleine rue ! Puis mes trois mecs m'ont proposé de rentrer en m'imposant des espèces de gages sexuels pendant la traversée de la ville. Quand je dis "en m'imposant" … ils ne m'imposent rien du tout, en fait. Au contraire, l'idée me plaît beaucoup. Mais ils veulent voir jusqu'où je serais capable d'aller. Moi, ça me va. A priori, le risque est mesuré. Certes, je suis en tenue plutôt 'hot" (mini jupe à ras le bonbon), mais il est tard, il fait nuit, et il y a peu de monde dans les rues. Mon premier "gage", ça va être dans le square de la place François 1er.

 

Le square de la place François 1er, je le connais, mais de loin, pour être passé devant à pied ou en voiture à de multiples occasions. Je n'y suis jamais entré. Si je me rappelle bien, il y a quelques bancs sous les arbres, et, dans le fond, des jeux pour enfants, genre toboggan, maison miniature et "cage à écureuil". Je ne me souviens pas s'il y a de la pelouse. Je souligne mon accord en tendant le bras et en passant ma main sur la braguette de Denis. Puis, je remonte ma mini jupe au ras des fesses et de mes couilles, et, sautillant et tournant sur moi-même comme font les gamins, j'accélère, laissant mes trois mecs à plusieurs mètres en arrière. Ils ne tardent pas à me rattraper, et c'est presque en courant que nous arrivons au bout de la rue du Général de Gaulle. Nous ralentissons et nous nous arrêtons. Je redescends ma jupette sur mes cuisses.

 

La terrasse du café à l'angle de la rue est vide, mais il y a quelques clients à l'intérieur. Comme c'était prévisible, il y a du monde autour du cinéma Le Majestic. C'est la sortie d'une séance. Les membres d'un petit groupe commentent le film qu'ils viennent de voir, ceux d'un autre se disent au revoir. Certaines personnes se dirigent vers le parking, d'autres discutent devant le cinéma, d'autres encore attendent un bus. La plupart prennent leur temps, flânent, pas pressées de rentrer chez elles. Putain, ça va être animé autour du jardin public ! Poussée d'adrénaline. Sans nous arrêter, mais sans hâte, nous passons au milieu de cette petite foule, et, a priori, personne ne semble faire attention à nous. Au carrefour devant le cinéma, nous attendons que le feu passe au rouge. Quelques personnes s'agglutinent autour de nous et attendent, elles aussi. C'est très excitant d'être ici, en trav, la jupe au ras des miches, au milieu de ces gens. Domi et Denis jettent des coups d'œil aux alentours. Ils ne semblent pas inquiets, mais cherchent à voir si certains nous repèrent … ME repèrent. Le feu passe au rouge et nous commençons à traverser. C'est un des passants qui traversent la rue dans l'autre sens qui me remarque. La quarantaine, au bras d'une femme du même âge, il me fixe en avançant dans ma direction. Je vois qu'il donne un coup de coude et parle à l'oreille sa compagne qui, apparemment, n'avait pas fait attention à moi. Maintenant, avançant lentement, comme pour avoir le temps de bien me regarder, tous deux me dévisagent ostensiblement, les yeux ronds. Ou plutôt, ils me regardent de la tête aux pieds. Au moment de me croiser, ils me sourient. Je leur rends leur sourire, et j'ajoute:

- Bonsoir.

 

Pris au dépourvu, ils baissent le nez et poursuivent leur chemin. C'est sûr, ils vont se retourner ! Comme le trio croisé tout à l'heure, ces deux là aussi, vont se retourner ! Je fais encore trois ou quatre pas et, moi aussi, je me retourne. Re-bingo ! Arrêtés au milieu du passage protégé, ils me regardent. Enfin, ils regardent mes cuisses et mon cul moulé dans ma jupette. Tout comme deux jeunes femmes hilares qui me suivaient, bras dessus bras dessous, et trois jeunes mecs, genre racaille de cité, morts de rire, qui traversaient la rue derrière nous. Se voyant pris en flagrant délit, l'homme et la femme baissent le nez et repartent. Je souris aux deux jeunes femmes et aux trois mecs, et je redémarre. Yann, Domi et Denis, qui n'ont pas vu que je m'arrêtais, m'attendent sur le trottoir. Ensemble, nous bifurquons vers la gauche, en direction de l'entrée du jardin public. Nous n'avons pas parcouru dix mètres, qu'un long sifflement retentit. Denis et moi, nous nous retournons. Les trois jeunes mecs qui me suivaient en rigolant se sont arrêtés au coin de la place et regardent dans notre direction. Trois caricatures de jeunes de cité: survêtement, casquette snapback, visière en arrière, tennis flashy et l'un d'eux a même la sacoche en bandoulière ! Celui-ci, se touchant le bas ventre dans un geste obscène, me lance: 

- Hé, la taimp', avec un boule comm'ça, t'vas prend' grâve !

 

A son ton et à sa gestuelle, je sens bien que le propos est graveleux, mais je n'en ai pas vraiment saisi le sens. Je me tourne vers Denis:

- T'as compris ce qu'il a dit ?

- Oui, je crois. La taimp', c'est la putain en verlan de cité. A mon avis, la taimp', c'est toi !

- Je m'en doute, visiblement c'est à moi que ça s'adressait. Et un boule, c'est quoi ?

- Un boule, c'est un cul. Il parle de ton cul. En gros, il a dit "hé, la putain, avec un cul comme ça, tu vas prendre grave".

- Ah, OK !

 

Ces trois jeunes sont sûrement de la cité du Grand Val, à la périphérie de la ville. Plantés au coin du trottoir, ils attendent visiblement une réaction de ma part. Alors, je m'avance vers eux. Ils me regardent approcher. Ils rient toujours, mais un peu moins, et malgré leur air provocateur, ils semblent quand même un peu inquiets. Ils doivent se demander ce qui va se passer. Arrivé près d'eux, je m'adresse à celui qui a lancé sa vanne. Il semble un peu plus vieux que les autres. C'est sans doute le meneur du trio:

- C'est toi qui a parlé de mon cul ?

 

Il regarde ses potes, comme pour se rassurer, sourit et hoche la tête: oui, c'est lui.

- Et ben, t'as raison, mec ! Je vais prendre grave. Tu vois, tous les trois, là …

 

De la main,, je désigne mes trois compagnons de bordée, restés un peu en arrière:

- … ils vont me niquer !

 

Les trois jeunes ne devaient pas s'attendre à ça. A me voir comme ça, de face et de près, et à la tonalité de ma voix, ils réalisent que je suis un mec. Ils me dévisagent, tout en évitant soigneusement, cette fois, de poser les yeux au niveau de mon "boule". Le lanceur de vanne hésite, puis:

- Mais vous … vous êtes un trav ?

- Ça se voit, non ?

- Comm'ça, oui. Mais de derrière … avec vot'jupe à ras l'boule, on a cru qu'vous étiez un' meuf …

- Ben non, tu vois, je suis un trav. 

- Et … et les trois, là, y vont … y vont vous niquer ?

- Oui.

- Ils vont VRAIMENT vous niquer ?

 

Pendant cet échange, les trois en question se sont rapprochés et se sont spontanément placés derrière moi, comme pour me masquer à la vue des quelques passants et des automobilistes qui circulent encore à cette heure. Je me retrouve en quelque sorte cerné par ces six mecs. Je me tourne vers Denis:

- Ces jeunes gens m'avaient pris pour une meuf. Ils viennent de découvrir que je suis un trav, et ils voudraient savoir si c'est vrai que vous allez me niquer … que vous allez VRAIMENT me niquer …

 

Denis se marre:

- Ben oui, on va VRAIMENT le niquer. D'ailleurs, on l'a DEJA niqué. Mais on va recommencer.

- Tous … tous les trois ?

- Oui.

 

Les trois jeunes ne rient plus du tout. Ils se regardent en se dandinant d'un pied sur l'autre, mal à l'aise. Le meneur:

- Woh ! C'est des conn'ries !

 

Denis et moi, d'une même voix:

- Mais non, c'est pas des conneries !

 

Domi:

- Non non non, mec, c'est pas des conneries ! 

 

Il me touche le bras:

- Hé, Marin, ça t'ennuie, si ils viennent avec nous ?

 

Celui-là ! Il connaît mes points faibles.  Je lui souris et je me tourne vers les jeunes:

- Bien sûr que non, ça m'ennuie pas. Venez avec nous, les jeunes. Vous verrez que c'est pas des conneries.

 

Denis:

- Hé, attendez ! Vous avez quel âge, les jeunes ?

- Nous ? Pourquoi ?

- On veut pas d'emmerdes. Si vous êtes mineurs, c'est niet ! Alors ?

 

Le meneur secoue la tête:

- Mais d'abord … nous, on veut pas venir chez vous ! Nous on n'est pas des … des tapettes … comme vous ! On vient pas chez vous.

 

Domi:

- Nous non plus, on va pas chez nous. On va le niquer ici … dans le square.

 

De la main, il montre le jardin public, derrière nous. Le meneur ouvre des yeux ronds:

- Vous … vous allez l'niquer dans le square ? 

 

Il regarde dans cette direction, puis il s'adresse à moi:

- Y vont vous niquer là ? Dans le square ?

- Pour commencer, oui. Après, je sais pas, c'est eux qui décideront.

 

Ils nous regarde, regarde ses potes, demeurés silencieux, et:

- Je … j'comprends pas …

 

Denis:

- C'est un jeu. En fait, on va le baiser un peu partout en ville, chacun notre tour. C'est nous qui décidons où ... et il est obligé d'accepter. Là, on commence dans le square. Après, on verra. Alors, ça vous dit, d'assister à ça ?

 

Le meneur, s'adressant à ses potes:

- Ça vous dit ?

 

Les deux autres se consultent du regard et se mettent à sourire:

- Ben … ouais.

- Pareil.

- Bon, OK. On va avec vous.

 

Denis:

- Minute, les mecs. Alors, vous avez quel âge ?

- Vingt et un …

- Attends, attends ! Faites péter vos pièces d'identité.

- Quoi ... t'es flic ?

- Je suis pas flic, mais toi, tu peux me dire n'importe quoi, comme âge. Alors, montre. C'est ça ou vous ne venez pas.

 

Ils se regardent et celui qui paraît le plus jeune sort de sa poche un porte-cartes et le tend à Denis en me regardant. Je lui souris en hochant la tête: « C'est bien, mec ! ». Celui-là, il tient vraiment à voir ça ! Il regarde les deux autres, réticents, et il hausse les épaules:

- Quoi. Mes fafs, j'les sors trois ou quat' fois par jour, pour les keufs. Alors là, j'm'en fous, c'est pour la bonne cause.

 

Agacé, le meneur se résout à sortir aussi une carte, genre pièce d'identité, qu'il tend aussi à Denis. Le troisième fait pareil. Denis:

- OK. Dix-neuf. Dix-neuf. Et … vingt et un. C'est bon, les mecs. 

 

Il leur rend leurs papiers:

- Autre chose: vous avez des smartphones ?

- Ouais.

- Tous les trois ?

- Ben ouais.

- Alors, on veut pas les voir, hein … ils restent au fond de vos poches. Vu ?

 

Il est gonflé de leur refuser ça, lui qui voulait me filmer en train de sucer Jacky. Mais je le comprends: il veut garder la maîtrise des images. On ne sait pas où elles pourraient atterrir, avec ces trois mômes. Il insiste:

- Vu ?

 

Les trois jeunes, d'une seule voix:

- Vu.

- Bon, alors on peut y aller. T'es prêt, Marin ?

 

Nous nous mettons en route tous les sept vers l'entrée du square, Yann et Domi en tête, les deux plus jeunes mecs derrière, puis moi. Denis ferme la marche avec le plus âgé du trio. Je l'entends insister auprès de Denis:

- Mais … vous allez VRAIMENT le niquer ici ?

- Ben oui. Tu verras.

- Vous allez L'EN   CU    LER ?

- Oui,  on va L'EN     CU     LER. 

 

Je ralentis et je les laisse me rattraper. Le jeune me regarde intensément, comme s'il cherchait à percer je ne sais quel mystère. Je lui demande:

- Comment tu t'appelles ?

- Moi ? Driss.

- Vous êtes du Grand Val ?

- Ouais.

- Ça a l'air de t'étonner, tout ça, Driss.

- Ben oui. C'est la première fois que … que j'vois ça … en vrai, j'veux dire.

- Pourtant, tu sais quand même que ça existe, ce genre de chose … des mecs comme moi, qui se travestissent et qui aiment se faire baiser par d'autres hommes.

- Ben oui. On voit ça sur Internet. Mais j'savais pas que … qu'ça existait ICI. Des tapettes, y'en a même au Grand Val, mais y se déguisent pas en … en meuf ! Et y s'planquent !

- ... en meuf ou en taimp'. Tu peux le dire, je suis effectivement déguisé en putain.

 

Il ricane:

- Et … et ça vous fait rien qu'on vous r'garde ?

 

Denis ne me laisse pas le temps de répondre:

- Ah si, ça lui fait quelque chose ! Ça l'excite. Il adore ça, se faire baiser en public !

- C'est vrai, m… m'sieur ? Vous aimez ça ?

- Oui, j'aime ça.

 

Nous voilà devant l'entrée du jardin public. Il n'y a qu'un peu de pelouse à l'extérieur du square. Le portillon est fermé à clef. Mais, curieusement, le grillage qui ceinture le jardin ne fait pas plus de cinquante ou soixante centimètres de haut. C'est une clôture symbolique. Yann, Domi et les deux jeunots l'enjambent, et nous après eux. Au sol, c'est du goudron. Les arbres ont commencé à perdre leurs feuilles. Elles jonchent le sol. Mais bien que ces arbres laissent filtrer la lumière jaune-orange qui tombe des puissants lampadaires de la place, par endroits, il fait assez sombre pour nous dissimuler grossièrement à la vue des gens qui circulent tout autour. Bon, si quelqu'un s'avisait de longer le jardin de trop près, c'est sûr qu'il pourrait nous voir. Dans un coin sans arbre, les jeux pour enfants sont en pleine lumière sous un lampadaire. Une masse est allongée sur un des bancs. Domi s'en est approché et revient nous expliquer:

- C'est un SDF. Il y a deux bouteilles de pinard vides au pied du banc et il ronfle. C'est pas lui qui va nous déranger. 

 

J'ai mes trois mecs devant moi. Les trois jeunes se tiennent en retrait, derrière eux, et nous observent. Je demande:

- Alors ? A qui le tour ? 

 

Ils avancent à un pas de moi. Je me laisse tomber à genoux et, les fesses posées sur mes talons, je leur lance:

- Allez, montrez vos queues !

 

Tout sourire, et sans aucune gêne, ils entreprennent de sortir leurs bites par leurs braguettes. Hhmmmm, les voilà ! Tant qu'ils y sont, Domi et Denis sortent aussi leurs couilles. Yann s'empêtre dans son caleçon et dans son T-shirt et ne sort que sa bite, toute molle. Je me redresse, je saisis d'une main la bite de Domi, et, directement, je prends la queue de Denis dans ma bouche. Oh, putain, j'ai beau en avoir l'habitude, ça me fait toujours le même effet ! Sucer le sexe d'un mec ! Des bites, il y en a de toutes sortes, plus ou moins grosses, plus ou moins longues, plus ou moins appétissantes, mais elles me font toutes le même effet: j'adore ça ! Et là, en plus, on est en extérieur, en pleine ville et il y a trois jeunes types qui me regardent ! Denis grossit déjà dans ma bouche. Je le pompe vigoureusement encore quelques secondes, et je prends maintenant Domi en continuant de le masturber. J'entends Denis lancer:

- Hé, les jeunes ! Vous voyez rien, là. Restez pas derrière, approchez !

 

Ils ne se le font pas dire deux fois. Du coin de l'œil, je vois Driss et ses potes se déplacer à côté de Yann qui est en train de se tripoter et qui commence à bander. Je recrache la queue de Domi, et je prends Yann dans ma bouche. Oh putain, quelle soirée ! Trois bites ! Je suis en train de sucer trois bites en pleine ville ! Autour de nous, comme en bruit de fond, le bourdonnement des voitures qui circulent à dix ou quinze mètres de nous … et le brouhaha confus et lointain de conversations de passants … et le souffle pneumatique d'un bus qui ouvre et ferme ses portes accordéon … et de temps à autres, des éclats de voix, des rires, des cris … bref, les bruissements d'une ville la nuit. En plus, à deux mètres de moi, trois jeunes cailleras de cité qui me regardent sucer mes trois mecs ! 

 

Maintenant, Yann est raide, lui aussi. Je le sors de ma bouche, je me recule, je pose de nouveau mes fesses sur mes talons, je prends la bite de Yann dans une main, celle de Domi dans l'autre, et, en branlant doucement ces deux queux, je me tourne vers les jeunes:

- Alors ? Vous commencez à nous croire ?

- Ah ouais, m'sieur ! Là, on vous croit. Alors, c'est qui, qui va vous niquer, maint'nant ?

- Je sais pas. Celui qui veut. Hein, les mecs, qui est-ce qui me baise ?

- Moi !

 

Denis. Il fait un pas vers moi. Je l'arrête:

- Attends, Denis.

 

Je me tourne de nouveau vers les jeunes:

- Et vous, vous n'avez pas envie que je vous suce aussi, avant qu'il me baise ?

- Qui … nous ?

- Oui, vous, les jeunes du Grand Val. Une petite pipe avant de rentrer chez vous, ça vous dirait ?

 

Driss, le meneur, se tape le front du plat de la main:

- Who ! Ça va pas ? J'vous ai dit, nous, on est pas des … on est pas des pédés ! Nous, on fait pas des trucs comm'ça ! Nous, on s'fait sucer par des meufs, pas par un … !

 

Mais un des deux autres me regarde d'un drôle d'air. Je suis sûr que lui, il se ferait bien sucer. Je m'adresse à lui:

- Et toi, t'as pas envie ? J'ai des capotes, si vous voulez.

- Arrête tes conneries, j'te dis !

 

Driss, encore une fois. Du coup, l'autre baisse le nez, honteux. Merde ! C'est la première fois qu'on me refuse une turlute. 

- OK, OK ! Comme vous voulez. Bon, Denis … à toi, alors.

 

Je lâche Yann et Domi, et je me relève. Denis me prend par le coude:

- Viens par là !

 

Il m'entraîne vers un des arbres du parc, un saule pleureur, on dirait. Arrivé là, il observe les alentours, au-delà des limites du square: la place elle-même, les rues qui l'entourent, le parvis du Majestic … Cet arbre est pratiquement en bordure du square, qui est longé, à cet endroit, par la rue qui conduit à l'ancien palais de justice et à un quartier résidentiel. A moins de cinq mètres, le trottoir, puis des places de stationnement, presque toutes vides à cette heure, et enfin, la rue ! 

- Là, c'est bon. Mets-toi là.

 

Toujours en me tenant le coude, il me positionne face au tronc:

- Appuie-toi contre l'arbre.

 

Face au tronc, mais aussi face à la place François 1er et au carrefour devant le cinéma ! Depuis une dizaine de minutes que nous sommes sous ces arbres, mes yeux se sont accoutumés à leur ombre relative, et je distingue maintenant parfaitement les cinq mecs qui nous regardent, Denis et moi. Je vois encore plus nettement tous les passants qui se trouvent dans la lumière des réverbères de la place François 1er. Et je sais qu'à l'inverse, eux, qui sont sur cette place et dans les rues qui entourent notre square, ne voient certainement de nous que des ombres indistinctes. De toute façon, si on est là, plus ou moins planqués dans cette obscurité, c'est uniquement pour la tranquillité de mes mecs. Moi, les gens pourraient me voir, je m'en fous. Dans l'état où je suis, mes mecs auraient voulu me baiser sur la place, je me serais laissé faire. Je pose ma joue sur mes avant-bras croisés contre le tronc rugueux. Je regarde derrière moi. Yann, Domi et les trois jeunes se sont approchés. Ils sont à moins d'un mètre de nous et ils nous regardent. Denis retrousse ma jupe sur mes reins, et:

- Ecarte les jambes.

 

J'écarte les jambes et je me cambre. Prêt à l'accouplement. Oh, putain, je vais me faire tringler ici ! Oh, bien sûr, là bas, sur la place, ce n'est pas la foule comme il peut y en avoir en plein journée, mais tout de même, il y a encore pas mal de monde ! Je sens Denis s'approcher de moi:

- T'as repris ton lubrifiant, chez Jeannot ?

- Oui, là, dans la poche de mon blouson.

 

Je tends la main vers ma poche. Il m'arrête:

- Laisse, je le fais.

 

Je me ré-installe. Il fouille ma poche. J'entends le bruit du capuchon qu'il ouvre, et un bruit de bulles mouillées quand il presse le tube. Il remet le flacon dans ma poche, il écarte la ficelle de mon string et presque aussitôt, je sens la fraîcheur du gel contre ma rondelle. Oh oui ! Il va sûrement me le rentrer avec ses doigts. Voilà, c'est ça ! Oh la la ! Ce que c'est bon ! J'écarte un peu plus les jambes et je me cambre. Il m'enduit consciencieusement le fourreau, me rentrant deux ou trois doigts jusque dans le rectum. Le front appuyé sur mes avant-bras, je me hausse sur la pointe des pieds et je me cambre autant que je peux pour lui faciliter les choses. Une voiture passe lentement sur la rue à côté de nous et s'éloigne. Denis va et vient en moi avec ses doigts, longuement, délicatement. Il approche sa bouche de mon oreille et, tout en me doigtant:

- T'aimes ça, hein …

 

Je voulais lui dire "Oui, j'aime ça", mais, incapable d'articuler, c'est seulement un gémissement de plaisir qui sort de ma gorge. Je tourne la tête et je regarde mes cinq spectateurs. Les jeunes du Grand Val n'en reviennent pas. Et Dominique et Yann, bien qu'ils soient maintenant habitués à me voir me laisser aller sans honte et sans pudeur, paraissent aussi fascinés qu'eux. J'espère … j'espère qu'en regardant Denis me baiser, ça va exciter les autres, les trois jeunes en particulier, et leur donner envie de me baiser aussi contre cet arbre. Je me redresse, repoussant un peu Denis qui s'étonne:

- Qu'est-ce tu fous ?

- Attends un peu.

 

Je descends mon string sur mes genoux et, me retenant à mon arbre, je l'ôte complètement. Je le fourre en boule dans ma poche, à côté de mon flacon de lubrifiant, et je m'appuie d'une épaule contre le tronc. Je m'empoigne alors les fesses à deux mains:

- Tu peux y aller, maintenant, Denis. Baise-moi !

 

Driss en ouvre en grand la bouche et les yeux. Denis pose ses mains sur mes hanches et je le sens qui appuie son gland entre mes fesses, un tout petit peu au-dessus de ma fleur. Sa bite devait être à l'horizontale, et il m'a badigeonné si généreusement le cul que, d'un simple petit mouvement du bassin, il la fait glisser pour la loger à plat au fond de ma raie. Il s'amuse à la faire aller et venir entre mes fesses. Alors j'insiste:

- Allez, arrête de jouer ! Baise-moi !

 

Il écarte un peu son bassin et je sens son gland glisser lentement vers ma rondelle. Dès qu'il arrive à l'entrée de mon fourreau … il me pénètre à fond d'un seul coup de reins ! Je ne peux retenir un gémissement. Pas de douleur, non, de plaisir. Alors, je lâche mes fesses, et j'appuie mes deux mains sur le tronc, à hauteur de mon sternum. Il bouge un peu son bassin, comme pour s'assurer qu'il est bien au fond de moi, puis il commence à aller et venir. C'est alors que j'entends Driss interroger Yann et Domi à voix basse, mais ils sont si près de nous que je ne perds rien de leur échange:

- Dites, m'sieur, il l'encule, là ?

- Ben oui. Ça se voit, non ?

- Mais … il l'encule sans capote ? Il a pas mis de capote !

- Oui. Nous aussi, on l'encule sans capote.

- Mais, tout à l'heure, il a dit qu'il en avait, des capotes.

- Oui, les capotes, c'est au cas où … pour des mecs qu'il connaîtrait pas. Mais nous, ils nous connaît.

- Ah, putain ! « … pour des mecs qu'il connaîtrait pas » ? Parce que … il se fait aussi enculer par … par n'importe quel mec ?

- Ecoute, là, on sort juste d'un café où on l'avait amené à des types qu'il connaissait pas ... pour qu'ils le baisent. Et ben, ils étaient six, et ils l'ont tous baisé. 

- C'est vrai, m'sieur ? Vous les connaissiez pas, et ils vous ont tous baisé ?

 

Il s'est encore approché et c'est maintenant à moi qu'il s'adresse. A son ton, je sens qu'il est vraiment sidéré. 

- Non, je les connaissais pas. Mais ils ne m'ont pas tous baisé. Quatre seulement.

 

Domi:

- Ah bon ? Quatre seulement ?

- Oui, le mec en survêtement s'est fait virer avant de me baiser … et Jeanneau, il n'a pas pu.

- Ah bon ? Je savais pas. En tout cas, tu vois, les quatre autres, il les connaissait pas et ils l'ont quand même baisé.

- Ah, putain !

- Hé oui ! Je suis même sûr que si ça vous dit, vous pouvez vous le faire aussi .. tous les trois.

 

Ah, merci, Domi ! Celui-ci, il ne lui a pas fallu longtemps pour me comprendre ! Bien sûr que si ça leur dit, ils peuvent aussi me baiser, ces trois jeunes ! Mais Driss et ses potes n'ont pas l'air de réaliser ce que Dominique vient de leur proposer. Ils restent seulement ébahis par le fait que je me sois fait baiser par quatre inconnus, et ils se regardent, bouches bées, en hochant la tête. Alors Dominique insiste:

- Hein, les jeunes ! Vous avez entendu ce que je vous ai dit ? Si vous avez envie de vous le faire, vous pouvez y aller !

 

Ah oui ! De ça aussi, j'en ai envie ! Le dogging ! Me faire baiser par des inconnus dans un lieu public ! Je ne m'étais pas rendu compte que la soirée était en train de tourner à ça, mais je réalise qu'on y est ! Me faire prendre ici par ces trois jeunes, ce serait du dogging ! L'idée me trotte dans la tête depuis un moment, et là, l'occasion se présente de manière inattendue, sans que j'aie eu besoin de l'organiser. Ce ne serait pas exactement la même chose que d'avoir été offert à des inconnus dans le troquet de Jeanneau. Chez Jeanneau, je me suis fait baiser dans un lieu privé. Et c'est aussi autre chose que de me faire baiser en pleine ville par mes trois mecs … qui ne sont plus vraiment des inconnus. Alors, aussitôt, mon imagination se met en route: ces trois jeunes, ils doivent bien avoir d'autres potes, dans leur cité … s'ils leur envoyaient un message … ou alors si nous, on les accompagnait jusqu'au Grand Val … il doit bien y avoir un parking … ou même un square … bref, un endroit où Driss et tous les jeunes du Grand Val pourraient me … Driss me tire de mon délire:

- Non, mais … on a pas envie de s'la faire vot ' … vot' copine ! On nique pas des mecs, nous ! Et vous nous dites ça … mais vous lui d'mandez mêm' pas son avis à vot' copine !

- Ben, demande-lui ! Je suis sûr qu'il est d'accord. Pas vrai que t'es d'accord ?

- Oui. Vous pouvez aussi me baiser les jeunes. J'en ai envie.

- …

 

Silence. Ils réfléchissent ? Je réalise que, depuis le début de cette discussion, Denis a ralenti son va et vient. Comme si, attentif à ce qui se dit, il attendait de voir comment la situation évolue. Driss:

- Non, non ! J'vous ai dit, on fait pas ça, nous !

- Pourquoi ? Tout à l'heure, tu m'as sifflé parce que tu trouvais mon … mon "boule" assez … appétissant, excitant, même … non ? C'est que tu devais le trouver bon pour la baise … assez bon pour "prendre grave".

- Oui, mais, on croyait qu'vous étiez un' meuf !

- Et alors ! Si j'étais une meuf avec ce cul-là, tu me baiserais, si j'te demandais ?

- Euh … ouais … mais seulement si vous étiez un' meuf !

- Tu m'enculerais ?

 

Il baisse le nez et jette un coup d'œil à ses copains, mais je le vois sourire. J'insiste:

- Alors ? Tu m'enculerais si j'étais une meuf ?

- Ben … ouais.

- Alors, c'est quoi la différence ? Tu sais, on est aussi bien dans le cul d'un trav que dans le cul d'une meuf. Demande à mes potes. Et puis, y'a pas de risque pour vous, les jeunes: j'ai encore des capotes. Vous pouvez me prendre ici, dans ce square … ou si vous préférez, on va au Grand Val avec vous … vous devez bien avoir des potes, là-bas … vous pouvez les appeler, ils seront aussi de la fête …

 

Denis approche sa bouche de mon oreille et me souffle:

- T'en as jamais assez, toi !

 

En effet ! Maintenant que je suis lancé, j'ai envie de … j'ai envie de me faire passer dessus par n'importe qui, mais surtout par plein de mecs. Je veux de la bite, encore de la bite ! Driss:

- Hé, m'sieur ! Déjà … tout à l'heure, vous vous êtes fait baiser par quat' mecs ! Là, vous allez encore vous faire niquer par … par ces trois-là ! Vous nous voulez, NOUS … et, EN PLUS, vous voulez qu'on appelle nos potes ? Mais … vous êtes … vous être une grosse … une grosse … une grosse gourmande !

- Tu peux même dire une grosse salope !

 

"Salope !" C'est bien ce qu'il allait dire, le Driss, mais il n'a pas osé. C'est Denis qui le fait en appuyant sa remarque d'un violent coup de bite. Bien calé au fond de moi, il approche sa bouche de mon oreille et il poursuit:

- … une grosse salope qu'est capable de se prendre des dizaines de bites dans le cul le même jour … pas vrai ?

- Co… comment ça ?

 

Driss veut en savoir plus, Alors Denis ricane et, en reprenant ses va et vient:

- Les quatre mecs dans le café, tout à l'heure … c'était rien pour lui … Y'a quinze jours, on lui est passés dessus à une trentaine … Pas vrai ? 

- …

- Dis-le !

 

Grand coup de bite dans le cul.

- Allez, dis-leur, aux jeunes, que tu t'es fait baiser par trente mecs …

- Oui, je me suis fait baiser par trente mecs. Ils avaient organisé un … un … une tournante …

 

J'ai failli dire "un gangbang", mais "une tournante", ça doit plus leur parler, à ces jeunes.

 

- Pffffff ! Vous êtes … vous êtes …

 

Driss n'a plus de mots. Denis reprend:

- Alors, tu vois, Driss, si vous voulez vous soulager tous les trois, vous pouvez y aller. Il ne demande que ça.

- Non, non, non !

 

Il agite à la fois la tête et la main pour souligner son refus. Ses deux potes le regardent, me regardent, embarrassés. Il y en a un, je suis sûr que ça lui dirait. Mais il n'ose pas. Bon, pas la peine d'insister. Driss n'est pas décidé, et il a un tel ascendant sur les deux autres que, même s'ils en ont envie, ils n'oseront pas. Je hausse les épaules. Denis, qui a aussi compris que ces trois jeunes ne passeraient pas à l'acte, reprend son va et vient un peu plus rapidement. Je me reconcentre sur ce qui est en train de m'arriver: Denis est en train de me fourrer, debout contre un arbre, dans ce jardin public, au milieu de cette place où, pour l'instant, des gens vont et viennent, à pied et en voiture, à dix ou quinze mètres de nous ! Jusqu'ici, personne n'a regardé dans notre direction. Moi, je les observe, ces gens. Après la vague de ceux qui sortaient du Majestic quand on est arrivés sur la place, ils sont de moins en moins nombreux. Là, ils sont tout au plus une dizaine: trois dans l'abri-bus, un petit groupe de quatre qui discutent devant l'entrée du cinéma, un couple qui commence à traverser la rue dans notre direction, et deux types qui déambulent en rigolant en direction de la Marne. Au carrefour devant le cinéma, deux voitures attendent que le feu passe au vert … et Denis m'encule toujours, lentement, langoureusement, lascivement. Hhhmmmm, Denis, ça me plaît d'avoir ta bite dans le cul ici, en peine ville ! Je sais que tu peux me fourrer longtemps comme ça, parce que, ce soir, tu as déjà tiré ton coup ! Alors vas-y ! Queute-moi, pine-moi, ramone-moi, fourre-moi tant que tu veux, j'adore ça ! 

 

Le couple a fini de traverser et longe la place en direction la rue qui borde le square à côté de nous. Ils vont tourner là ? Ils vont passer près de nous ?

 

Yessss ! Ils tournent à l'angle !

 

Ils sont à dix mètres … ils sont à cinq mètres … ils passent devant nous ! Denis s'est collé à moi et ne bouge plus.

 

- Tiens, il y a des gens, dans le square.

 

C'est la femme. Elle nous a vus ! Elle a murmuré, mais ils sont si près que, dans le calme de la nuit, je l'ai entendue. Ah putain, elle nous a vus ! Ça me plaît ! Qu'a-t-elle vu exactement ?

 

- C'est des amoureux.

 

L'homme, maintenant. Il nous prend pour des amoureux. Des amoureux qui s'embrassent ou des amoureux qui baisent ? Ils poursuivent leur chemin. Je les entends rire doucement. Je passe une main derrière moi, à la recherche de la tête de Denis, resté collé à moi. Voilà sa nuque. Je la caresse et je lui demande:

- Pourquoi t'as arrêté de bouger quand ils sont passés près de nous ?

- Je voulais pas qu'ils voient que je t'enculais. 

- Aaaah ! Tu t'es dégonflé !

- Nan, nan. C'est pour toi que j'ai fait ça.

- Ta ta ta ! A d'autres. Moi, je m'en fous que des gens me voient me faire enculer.

 

Piqué au vif, il me fout quelques violents coups de boutoir ponctués de "Han ! Han ! Han ! Han !". Et brusquement, il se retire. Ah merde ! J'en veux encore ! C'est trop bien de se faire baiser ici ! Il faudrait bien que j'arrive à me taper les trois jeunes du Grand Val ! Je me décolle de mon arbre et je me retourne. Denis est en train de remballer comme il peut  sa queue dans son pantalon. Il bande encore ! Je remonte encore un peu ma jupe sur mes fesses et je regarde les jeunes du Grand Val:

- Alors, les jeunes, convaincus maintenant ?

- Pffffff !

 

Driss secoue sa main dans un geste qui témoigne clairement qu'il n'en revient pas: 

- On avait jamais vu un truc comm'ça, m'sieur ! Hein, les mecs …

- Ouais, sûr.

 

J'ai l'impression que la vue de ma queue les embarrasse. Mon cul, ça va, mais ma bite, non. Ils ne savent pas où poser les yeux. Il ne faut pas que je les mette mal à l'aise. Je rabats un peu ma jupe pour masquer mon sexe. Je m'aperçois que celui qui était prêt à se faire sucer a fourré une main dans sa poche. Je suis sûr qu'il est en train de se tripoter. Allez, les jeunes, baisez-moi ! Je leur lance:

- Vous voulez prendre la suite ?

- Qui, nous ?

- Oui, vous ! Vous voulez pas m'enculer aussi … contre l'arbre ? Je vous ai dit, j'ai des capotes. Ça vous dit pas, de tirer un coup ?

 

Domi se marre. Denis me jette un regard furibond. Quoi ! Il me livre à Jeanneau et ses copains pour qu'il me baisent, et ça l'emmerde que je m'offre aux trois jeunes du Grand Val ? Ah, cette fois, Driss marque un temps d'hésitation, avant de répondre:

- Mais nan, j'vous dis … on fait pas des trucs comm'ça avec un … avec un trav, m'sieur !

- Toi, non, Driss, mais tes potes … Laisse-les répondre. Ils sont majeurs et t'es pas leur mère. Enculer un trav ou une meuf … c'est quoi la différence ?

 

Il en reste bouché bée. Les deux autres le regardent, gênés, comme s'ils attendaient son autorisation pour donner leur avis. Allez, les mômes, sortez vos bites et fourrez-moi ! Oh, putain, j'ai encore envie de me faire baiser par n'importe qui, ce soir ! On dirait que les deux plus jeunes craignent Driss, ou qu'ils craignent qu'il leur fasse une réputation de pédés dans leur quartier s'ils me disent oui. Ils finissent pas baisser le nez en secouant la tête: « non, ils ne vont pas m'enculer ». Et merde ! Inutile d'insister. Je me tourne vers mes trois mecs:

- Bon, on continue, alors ?

- Ouais. Si on allait vers le bord de Marne.

 

C'est Yann qui a réagi le premier. Il commence à retrouver ses esprits ? Pourtant, il tète régulièrement sa bouteille de vodka. Les deux autres se consultent du regard. Ils semblent d'accord. Domi:

- Alors, en route.

 

J'ai peut-être encore une chance de convaincre les jeunes: s'ils nous suivent, ils finiront peut-être par se décider, à force de voir mes trois mecs me fourrer. Mais il ne faut pas les effrayer. Je fouille la poche de mon blouson, j'en sors mon string roulé en boule et, tout en le remettant, je leur demande:

- Vous venez avec nous, les jeunes ?

 

Driss hésite, me regarde rabattre ma jupette sur mes fesses et la lisser du plat de la main et se tourne vers ses potes:

- Nan, on peut pas. On a des choses à faire.

- Dommage. Tant pis pour vous.

 

Driss hésite, me tend la main, imité par ses potes. Denis, Yann et Domi, qui ont commencé à s'éloigner, se retournent pour voir si je les suis. Nous quittons le square et, tandis que mes mecs et moi nous dirigeons vers l'avenue qui conduit à la rivière, les jeunes s'engagent dans la rue du faubourg Saint Jacques. Me revoilà en pleine lumière, sous l'éclairage orangé des lampadaires de la place. Il n'y a presque plus personne dans les rues. Un couple attend un des derniers bus devant le cinéma. Les deux types que j'avais vus tout à l'heure se diriger vers la Marne pendant que Denis me baisait contre l'arbre, sont encore là, arrêtés sur le trottoir d'en face à discuter et à rigoler bruyamment. Et si je me faisais ces deux-là ! Au moment où je traverse la rue du faubourg, quelques pas derrière mes trois compagnons de virée, un coup de sifflet retentit. C'est Driss qui me fait un grand signe de la main:

- Hey ! Bravo, hein, m'sieur ! Et bonne baise !

 

Je lui rends son signe de la main et je rattrape mon trio. Yann marche en tête, pressé. C'est lui qui a suggéré qu'on aille vers la Marne, et il doit avoir un projet bien précis en tête. A cette vitesse, nous allons rapidement nous retrouver à hauteur des deux types qui discutent de l'autre côté de l'avenue. Ils ne font pas attention à nous mais il suffira de pas grand chose pour nous faire remarquer. Au moment où nous allons les dépasser, je vois Yann s'arrêter et regarder la propriété devant laquelle nous sommes. Derrière une grille de fer forgé, une cour pavée d'une dizaine de mètres de large borde une grande maison bourgeoise. Sur la grille, une plaque de laiton indique "cabinet d'avocats". Dans la cour, une Jaguar et une Mini. Le lourd portail de fer forgé est ouvert. Yann me regarde et lève le nez. A une fenêtre de l'étage, de la lumière. A cette heure de la nuit, il y a encore du monde là-dedans. Yann me regarde à nouveau, me sourit et me désigne la cour d'un coup de menton:

- Rentre là !

 

Je ne sais pas exactement ce qu'il a en tête, mais je saisis l'idée générale: il veut du sexe ICI ! J'entre et il me suit. Les deux autres restent sur le trottoir. Yann contourne un des battants du portail et se dirige vers les voitures. Il n'a quand même pas l'intention de … elles doivent être sous alarme. Mais non, il s'approche de la clôture. D'un signe de tête, il me fait signe de le rejoindre. Il déboutonne son pantalon, descend son zip et sort sa bite. Puis il s'assoit sur le haut du muret qui supporte la grille de fer forgé. Il veut que je le suce ici. Très bien. Très très bien, même ! Je réalise que, juste devant cette propriété, au milieu du terre-plein qui sépare les deux voies de circulation de l'avenue, il y a un lampadaire double, qui déverse lui aussi cette puissante lumière orangée. 

 

Je m'accroupis entre ses jambes et je saisis son sexe. Il ne bande pas ... et il empeste l'alcool. Je vais te faire bander, moi ! Je me penche et je le prends dans la bouche. Raide ou flasque, un bite entre mes lèvres, ça me fait toujours le même effet. M'apprêter à donner un orgasme à un mâle avec ma bouche, me livrer, me donner à lui, me consacrer corps et âme à son plaisir, à l'assouvissement de son désir … Il pose ses deux mains sur ma tête. Du coin de l'œil, je vois que, de l'autre côté de la grille, Denis et Domi se sont rapprochés de nous et nous regardent tout en surveillant les alentours. Deux voitures passent au ralenti sur l'avenue, arrivant de la place François 1er. Ah putain, oui ! D'un côté, la rue avec un peu de circulation, et de l'autre, le cabinet d'avocats et des gens qui, probablement, y travaillent encore ! Dans ma bouche, je sens le sexe de Yann se réveiller. Je le décalotte en pressant sa verge et en l'enfonçant entre mes lèvres. Hhhmmm, ça y est, je sens son gland qui s'épanouit sur ma langue. Sa verge gonfle. Ah putain, je vais le faire jouir ! Mon excitation monte en flèche: je suis en train de tailler une pipe à un de mes mecs dans une propriété privée occupée … en pleine ville … et en pleine lumière ! Ça y est, il bande ! J'accentue ma fellation. Du coin de l'œil, je vois Denis, smartphone en main, qui nous filme à travers la grille ! Une voiture passe au ralenti sur l'avenue, venant cette fois des quais de la Marne. Domi, lui, fait les cent pas sur le trottoir. Où sont passés les deux types bruyants de tout à l'heure ? Yann se met à souffler puissamment par la bouche. Il va jouir ! 

 

Et brusquement, il repousse ma tête et se relève en me bousculant:

- Ah merde !

 

Je me retrouve le cul sur les pavés. Yann est en train de remballer sa queue précipitamment en se dirigeant vers le portail:

- Vite, on se barre !

 

Je me relève et je me retourne, le cœur battant. Maintenant, c'est hall de la maison, derrière la porte d'entrée qui est éclairé, alors que la fenêtre à l'étage est toute noire. Les gens qui sont là s'apprêtent à sortir. Yann est déjà sur le trottoir. Denis et Domi ont commencé à s'éloigner et nous attendent devant la propriété d'à côté. La porte de la maison s'ouvre au moment où je franchis le portail. Quelque chose en moi me souffle de ne pas me précipiter pour ne pas attirer l'attention de ceux qui vont sortir. Je tourne la tête … la lumière du hall d'entrée s'éteint et un  homme et une femme apparaissent sur le perron, chacun une serviette à la main. Il sortent en discutant et ne font pas attention à moi. Je longe la grille pour rejoindre mes mecs qui m'attendent. Denis et Dominique se marrent. Yann, encore sous le coup de l'émotion, reprend péniblement son souffle. Domi me prend par le bras:

- Ça va ? T'as eu peur, hein …

- Pas plus que ça.

 

C'est vrai, je n'ai pas eu vraiment peur. Je m'attendais à ce que quelqu'un sorte de cette maison. En fait, c'était même ce qui rendait cette pipe encore plus excitante. C'est plutôt la réaction de Yann qui m'a surpris. Derrière nous, j'entends les voitures des avocats démarrer. Je me retourne et j'attends, Domi toujours à mon bras. Le nez de la Mini apparaît à la grille. Tiens, c'est l'homme qui conduit. Il regarde vers nous pour s'assurer qu'il peut s'engager sur l'avenue. Il ne fait pas attention à nous et s'élance en direction de la place François 1er. La Jaguar pointe le nez à son tour. La femme jette aussi un coup d'œil à sa gauche … pas de voiture, la voie est libre … mais, au lieu de s'élancer, elle abaisse sa vitre … et … pas de doute, c'est nous qu'elle regarde ! Nous ne sommes qu'à une dizaine de mètres et, sous la lumière de ce réverbère, elle a tout loisir de nous contempler … sans doute de ME contempler, avec ma jupette à ras le bonbon. Hé, Maître ! Il y a un instant, j'étais en train de sucer la queue de mon pote Yann dans ta cour ! Putain, j'aimerais tellement lui dire ça ! Elle sourit, nous adresse un signe de tête, remonte sa vitre et démarre. On entend le lourd portail se fermer automatiquement.

 

Nous redémarrons, Domi toujours à mon bras. Yann et Denis ne nous ont pas attendus et sont déjà au carrefour. Sur l'avenue qui longe la Marne, il y a encore un peu de circulation. Mais, plutôt que d'attendre que le feu passe au rouge, Yann et Denis commencent à traverser. Domi et moi, nous hésitons. Personne à gauche. Nous nos élançons à notre tour, jusqu'au terre-plein central. Quatre voitures arrivent sur notre droite. Nous attendons qu'elles soient passées. Les trois premières filent … mais la dernière ralentit … et s'arrête en faisant un appel de phares pour nous laisser traverser. Au moment où nous posons le pied sur la chaussée, trois petits coups de klaxon. Je regarde dans la voiture. Au volant, un homme, la trentaine, et une femme dans les mêmes âges à côté de lui, tous les deux hilares. Et, à l'arrière, un autre couple, qui se penche pour nous regarder aussi. Le conducteur lève le poing, pouce levé, au-dessus du volant. Je remarque tout ça en une fraction de seconde. C'est visiblement ma tenue qui les fait se marrer comme ça. Alors je m'arrête, retenant Domi. Je lui lâche le coude, et j'entreprends un tour sur moi-même pour bien me montrer sous toutes les coutures. Mais, une fois dos à la voiture, je m'arrête, je soulève le bas de ma jupette, et je leur montre mon cul. Nouvelle série de coups de klaxon ! Je me retourne en rabattant ma jupe, je reprends Domi, hilare, par le bras et je l'entraîne pour finir de traverser. La passagère à côté du conducteur a baissé sa vitre et me lance:

- Joli cul, monsieur !

 

Oui,  ils avaient dû voir que je suis un mec. Je leur fais un signe de la main et j'entends la voiture redémarrer. C'est quand même vachement agréable, de se balader en ville les cuisses et les miches à l'air. J'adore ! Il faudra vraiment que je tente ça en pleine journée. Peut-être pas avec une jupe aussi mini, mais quand même …

 

Yann et Denis nous attendent sur le trottoir d'en face. Dès que nous les rejoignons, ils virent vers la droite, en direction du Pont Vieux. Denis:

- Dis donc, ma poule, t'as du succès avec ton cul !

 

C'est Dominique qui répond:

- Ouais, t'as vu ça ? L'avocate aussi, elle l'a remarqué.

- Ah bon ? L'avocate ?

- Ouais. On a attendu qu'ils sortent, elle et le mec, et quand elle l'a vu, elle s'est arrêtée et elle a ouvert sa vitre pour mieux le voir.

 

Denis s'arrête, attend que Domi et moi le rattrapions et me demande:

- Alors, ça te plaît cette petite balade en ville ?

- Ah ouais, j'adore ! J'en rêvais depuis longtemps … en pleine journée, mais même là, c'est bien.

- T'as pas froid aux miches ?

- Non, ça va.

 

Oh oui, ça va ! Je ne sens pas le froid. De l'air frais sur mes cuisses et sur mes fesses, oui, et ça me plaît. Mieux encore, un reste du lubrifiant que Denis m'a fourré dans le cul tout à l'heure est ressorti et imprègne la ficelle de mon string. Ça me donne une sensation de fraîcheur mouillée juste au niveau de la rondelle et ça me rappelle qu'il y a à peine un quart d'heure, j'avais une bite dans le cul. Et ça fait glisser mes fesses l'une sur l'autre à chaque pas. J'adore ! Et puis, il y a ce monde qui circule … ce monde … enfin, ces voitures, sur cette avenue, qui nous dépassent et qui nous croisent et dont les occupants ne peuvent pas manquer de remarquer mes cuisses nues et mon cul moulé dans cette mini jupe. 

 

Nous voilà à l'entrée du Pont Vieux. Yann s'y engage. Là-bas, au-delà, c'est la place des Halles. Une fourgonnette est arrêtée au feu à ce bout du pont. Tout d'abord, le type au volant ne nous remarque pas. Puis il tourne les yeux vers nous et me découvre. A sa mimique, je vois que ma tenue ne le laisse pas indifférent. Il me suit du regard. Une voiture qui arrive derrière lui le klaxonne. Le feu vient de passer au vert et le type de la fourgonnette ne s'en est pas aperçu, occupé à mater mes cuisses. Il démarre. Le conducteur de la deuxième voiture me découvre à son tour et se marre en démarrant. Il a compris pourquoi l'autre était resté scotché là. Arrivés au milieu du pont, Dominique m'arrête et me fait pivoter face à la rambarde:

- Ici !

 

Ici ? Un seul tout petit mot, et je sais ce qui va se passer … du sexe … du cul … de la bite sur ce pont ! Oh, putain ! C'est vrai, c'est son tour … c'est lui qui a commencé dans la rue du Général de Gaulle, contre cette vitrine de parfumerie, après Denis m'a fourré dans le jardin public et Yann s'est fait sucer chez les avocats. Qu'est-ce qu'il veut que je fasse ? Ici, c'est un peu … chaud. On n'est pas à l'abri de l'ombre des arbres, comme dans le jardin de la place François 1er. Et on n'est pas derrière les grilles de la propriété des avocats. On est tout près de l'avenue qui longe la rivière et il peut arriver du monde, voitures ou passants, depuis la place des Halles. Poussée d'adrénaline, cœur battant, bouche sèche. Mais ça me plaît, on prend de plus en plus de risques. Un frisson m'électrise l'anus. Domi m'a poussé contre la rambarde où je m'agrippe à deux mains. Il est derrière moi et je ne vois pas ce qu'il fait. Les deux autres se sont aussi arrêtés et nous encadrent, un de chaque côté, surveillant les alentours. Cette fois, Denis ne proteste pas, comme il l'a fait devant cette parfumerie. Lui aussi commence à être pris par cette folie de baise en pleine rue. A ce rythme, on va finir tous les quatre en partouze au milieu d'une avenue ! Je jette des coups d'œil à droite et à gauche. Personne. Pour le moment, du moins. Soudain, Domi se colle à moi et relève un peu ma jupe … et je sens son sexe tout chaud se glisser dans ma raie. Oh putain, oui, il va me baiser ici ! Ses mains sur mes hanches, il se frotte. Je sens la toile de son pantalon contre mes fesses. Il a seulement sorti sa bite par la braguette. Ah, le salaud, il me rend dingue ! Oui, baise-moi ici, sur ce pont. Le torse plaqué contre mon dos, il pose son menton sur mon épaule:

- Ça te plaît, ici ?

- Oh oui !

 

Il se décolle de moi et je le sens fourrager sous ma jupe. Il accroche les côtés de mon string et le descends jusqu'au milieu de mes cuisses, puis il se colle de nouveau contre moi, sa queue entre mes fesses. Putain, il bande ! Je veux sa bite ! Je veux qu'il m'encule … ici ! Je me cambre, tête rejetée en arrière et je halète:

- Vas-y, Domi, prends-moi ! Attends, attends !

 

Je le repousse et je jette un coup d'œil autour de nous. Personne. Tant bien que mal, coincé entre lui et la rambarde, je finis d'ôter mon string, et je le fourre de nouveau dans ma poche avant de reprendre ma position. Le revoilà contre moi. Je me cambre de nouveau et j'écarte les jambes. Cette fois, pas besoin de me lubrifier, je le suis encore suffisamment. Oh putain, vas-y, baise-moi ! Il frotte sa queue dans ma raie. Je sens son gland qui s'approche de ma fleur. Un frisson me parcourt de la tête aux pieds. Pas de froid. De désir, de plaisir, d'excitation. Dans une seconde, j'aurai de nouveau une bite en érection dans mon cul … ici, sur ce pont, en pleine ville ! Voilà, je sens son gland qui s'insinue dans moi … et qui reste là, juste à l'entrée. Hhhhmmmm, ce que j'aime ça ! Maintenant cambré autant que je peux, je me courbe au-dessus de cette rambarde. Ah putain, ça y est, il s'enfonce … il est en moi ! Il m'encule ! Je m'entends gémir. Je halète. Je veux qu'il me baise ! Je veux que, maintenant, il prenne son pied et qu'il m'insémine ! 

 

C'est le bruit d'un moteur qui me ramène à la réalité. Une voiture passe sur le pont, derrière nous, au ralenti. Je ne bouge pas. Je sens le ventre de Domi se secouer contre mes fesses. Ça le fait rire, cette voiture qui passe derrière nous ! Elle s'éloigne. Je jette un coup d'œil sur ma gauche. Elle est arrêtée au feu. Je réalise que Yann et Denis sont tous les deux adossés à la rambarde, de part et d'autre de nous. Ils nous masquent en partie, mais la position de Domi, derrière moi, contre moi, doit quand même attirer l'attention. Là-bas, sur l'avenue par où nous sommes arrivés, il y a toujours de la circulation, mais nous sommes trop loin pour que les automobilistes nous voient distinctement. D'autant que nous sommes entre deux des lampadaires qui n'éclairent le pont que chichement. Alors, ensemble, nous ne devons faire qu'une espèce de masse sombre. Domi bouge lentement en moi, presque imperceptiblement. A la manière dont sa verge tiraille sur mon anus, je sens qu'il est vraiment raide. Hhhhhmmmm, ça l'excite, de me prendre ici. 

 

- Attention, vlà des mecs !

 

C'est Yann qui lance son avertissement. Je tourne la tête. Les deux types bruyants que j'avais remarqués sur l'autre avenue viennent de s'engager sur le pont, dans notre direction, mais sur le trottoir d'en face. D'où ils sortent ? Je les avais perdus de vue. Ils discutent et rigolent encore ! Qu'est-ce qu'ils peuvent bien avoir à se raconter, depuis tout à l'heure ? Ils ne font pas encore attention à nous.

 

- Hé, Domi ! Fais gaffe, y'a deux types qui se pointent.

 

C'est Denis, maintenant, qui nous met en garde, puisque Domi n'a pas bougé après l'avertissement de Yann … enfin … il bouge, mais dans moi, et ne semble pas décidé à s'arrêter. Denis insiste:

- Hé, Domi, t'entends ?

- Ouais, j'entends. J'm'en fous, je continue.

- T'es con, hein …

 

Il râle, Denis, mais ça le fait rire. Dominique me souffle dans le cou:

- Tu veux que je m'arrête, toi ?

 

Il a ponctué sa question d'un coup de reins plus vigoureux. C'était donc bien à moi qu'il s'adressait. Non, je ne veux pas qu'il s'arrête:

- Non, continue.

 

Il continue. Du coin de l'œil, j'observe la progression des deux types. Ils sont maintenant arrêtés à une quinzaine de mètres de nous, de l'autre côté de la rue, et l'un des deux, une main posée sur l'avant-bras du deuxième, lui explique quelque chose. Et soudain, tous les deux s'esclaffent et sont pris d'un tel fou rire qu'ils doivent se retenir à la rambarde. Domi accentue légèrement son va et vient. Hhhmmm, ah oui, encule-moi devant eux ! Les deux types, une fois un peu calmés, redémarrent. Je les suis du coin de l'œil, mais ils vont bientôt sortir de mon champ de vision, et passer derrière nous. Je me reconcentre sur ce que Domi me fait. Oh la vache ! Il est en train de m'enculer sur ce pont, en pleine ville, et il y a deux types qui passent là, juste derrière nous ! Je ne les entends plus. Ou plutôt, je les entends murmurer. Et soudain:

- Hé ! Qu'est-ce qui se passe, là ?

 

Ça vient d'un des types. Des pas s'approchent.

 

- Qu'est-ce que vous faites ? Ça va, mademoiselle ?

 

Je tourne la tête. Ils sont là, sur notre droite, à quelques pas, et ils nous regardent. Denis, désemparé, les mains enfoncées dans les poches de son blouson, les regarde. Domi se décolle un peu de moi. Un des types insiste:

- Il se passe quoi ici ? Ces personnes vous importunent, mademoiselle ?

 

La demoiselle, ça doit être moi, comme pour le type qui nous a surpris devant la parfumerie. Mais ces deux-là sont plutôt bienveillants. Je me tourne un peu et je repousse Domi. Je sens sa queue sortir de moi. En voyant ma tronche, les deux types sont saisis. Domi, tout en remballant précipitamment sa bite:

- Tout va bien, tout va bien, les gars …

 

Il s'écarte de moi, sans doute pour que les deux types voient de quoi il s'agit. Je rabats ma jupe et je leur fais face:

- Oui, c'est gentil à vous de vous inquiéter, mais tout va bien. 

 

Ils sont troublés. Ils voient bien qu'il se passait quelque chose d'inhabituel, mais ce qu'ils prenaient sans doute pour une "demoiselle" est un travelo qui fait une demie tête de plus que ses trois "agresseurs", et qui les rassure. Alors, c'est plus fort que moi, je ne peux pas m'empêcher de leur expliquer:

- Oui. Mon  copain, là, il était en train de m'enculer.

- …

 

Leurs mâchoires tombent. Leurs bouches béent. Je poursuis:

- Je suis consentant, vous savez … ces trois-là, c'est mes hommes, et ce soir, on a décidé de baiser en ville.

 

Les types commencent à se décontracter. Ils sourient:

- Ah bon ! On a cru que … Bon, excusez pour le … pour le dérangement … 

- Y'a pas de mal. Vous avez cru bien faire. C'est même courageux de votre part.

- Oui … mais … pour être tranquilles, vous devriez peut-être faire ça ailleurs …

- C'est-à-dire … c'est justement cet endroit qui nous a … inspirés. Mais vous avez raison, on va changer d'endroit.

- Bon, ben … bonne soirée.

- Merci. A vous aussi.

 

Ils pivotent et commencent à s'éloigner, jetant de temps à autre un coup d'œil dans notre direction. Je regarde mes trois mecs:

- On va où, maintenant ?

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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