Récits pornographiques

Jeudi 18 janvier 2018 4 18 /01 /Jan /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

 

D'un seul coup, toute la boîte se retrouve éclairée … pas seulement la piste de danse, mais aussi les boxes ! Des spots encastrés dans le plafond baignent tout d'une lumière rose. Je m'aperçois que ça baise et que ça suce à qui mieux mieux vraiment partout … sur les banquettes, contre les murs, sur les tables et jusque par terre … Je me sens tout à coup bien seul, dans mon coin … Alors qu'il récupère son jean, Moussa m'avise, sourit, ramasse aussi son Marcel et ses chaussures, et se dirige vers moi. Le voilà debout devant moi:

- Je peux ?


Il peut quoi ? Devant mon air ahuri, il précise:

- Je peux m'habiller ici ? Ça te dérange pas ?

- Ben … non, vas-y.


Qu'est-ce qu'il voulait que je lui réponde ? Que je refuse parce qu'il vient de baiser ma femme ? Je  passerais vraiment pour le dernier des cons si je comptais me "venger" en lui refusant de s'habiller à côté de moi. Et puis ça ne me déplaît pas de me montrer accueillant avec un mec qui a donné du plaisir à ma femme. Il lance son jean sur la banquette à côté de moi. Je ne peux pas détacher mon regard de son sexe. Il a débandé, bien sûr, mais c'est encore un long sexe noir. Je ne peux m'empêcher de penser qu'il y a quelques minutes, ce sexe, cet organe génital, était encore dans le ventre de Christine, en train d'y répandre du sperme … Il a remarqué que je regarde sa queue. Il sourit et se caresse le ventre avec complaisance, comme pour le débarrasser de je ne sais quelle trace … en fait, il traîne volontairement  pour me laisser tout le temps de reluquer son sexe … il me nargue « Tu vois ? C'est avec ça que j'ai donné du plaisir à ta femme ! ». Pendant qu'il retourne posément son Marcel pour le remettre à l'endroit, il lance:

- C'était la première fois que tu regardais ta femme avec d'autres hommes …


Je ne sais pas si c'est une question ou une constatation. Quoi qu'il en soit, il n'attend pas de réponse. Là-bas, derrière Moussa, je vois Mamadou et Christine, collés l'un à l'autre. Elle, dressée sur la pointe des pieds, tend sa bouche vers la bouche du grand noir. Daouda, le troisième frère, à côté de la cabine du DJ, est en train de discuter en riant avec un couple de jeunes. Moussa enfile son Marcel et poursuit:

- En tout cas, ça t'a plu … ça se voyait … Pas vrai ?


Comme je ne réponds pas, il insiste:

- Ça t'a plu … me dis pas non, je t'ai vu te branler …

- Mais … je te dis pas non …


Il récupère son jean et, en sautillant, il l'enfile, une jambière après l'autre. Il le remonte, installe soigneusement ses fesses dedans tout en laissant sa queue pendre entre les deux pans de devant bien écartés. 

- Ta femme, tu l'avais amenée au Huitième Ciel exprès pour ça ? Pour qu'elle baise avec d'autres hommes ?

- Non. On était seulement venus danser …


Il finit par remballer son sexe dans son jean et par remonter sa fermeture Eclair. Là-bas, Mamadou et Christine se sont décollés et ils ramassent tous les deux leurs vêtements. Moussa s'écroule sur la banquette et entreprend de remettre ses chaussures:

- Ah ouais ? Vous étiez seulement venus pour danser ? Vous saviez pas que c'était une boîte où ça baise ?

- Non, pas vraiment …

- Alors si vous étiez seulement venus pour danser, ça a dû te faire drôle, de voir ta femme chauffer les mecs comme ça … parce que, excuse-moi, mais c'était évident qu'elle avait envie de se faire des mecs, hein …


Pour "me faire drôle", ça m'a fait drôle ! Je ne peux qu'acquiescer.

- T'as raison, c'était évident qu'elle avait envie … mais au départ, c'est seulement son amant qu'elle avait l'intention de chauffer …

- Son amant ? Ah, c'est le premier mec qu'a dansé avec elle ?

- Oui.


Mamadou a repéré son frère … puis moi. Il sourit et, chaussures et vêtements en main, il se dirige à son tour vers notre box, toujours nu comme un ver et la bite en berne. Christine le regarde s'éloigner, visiblement courroucée. Ça ne doit pas lui plaire que les deux frères viennent vers moi. Elle, de toute évidence, n'a pas l'intention de me rejoindre. Elle commence à remettre sa robe à l'endroit. Moussa:

- Ah bon ? Vous êtes venus ici avec son amant ? ! ? !

- Oui, et la femme de son amant …

- Ah ouais, c'est celle qui lui a foutu une baffe, à ce mec !


Je note que dès notre arrivée, rien ne lui avait pas échappé, à Moussa: Christine, son amant et la femme de son amant:

- Oui, c'est elle. Et elle l'a ramené à la maison.

- D'accord … et toi, ta femme, tu l'as pas ramenée à la maison …

- Non. De toute façon, elle n'aurait pas voulu rentrer … surtout quand elle a compris qu'elle pourrait chauffer votre pote, là … ce Jo …

- Ouais, c'est sûr  … elle avait vraiment envie de baiser. A nous, mes frères et moi … et à Morad, elle nous a dit qu'en plus, elle avait envie de te faire chier …


Mamadou s'affale à son tour sur la banquette et, en commençant de remettre son jean:

- Alors, le mari … t'as vu ce qu'on lui a fait, à ta femme ?

- Oui, j'ai vu. 


Moussa se penche vers lui et lui parle à l'oreille. Il opine du chef, et:

- Mouss', il me dit que t'es plutôt sympa comme mec … et que c'est pas la peine te faire chier …

- Ah bon ?

- Ouais … dis donc, elle est encore drôlement serrée, ta femme, pour son âge … Ça te gêne pas que je te dises ça, j'espère …

- Non, ça me gêne pas. Tu la trouves serrée, ma femme ?

- Ah ouais … pour ça, elle est vachement bonne … déjà, rien qu'avec ma queue toute seule dans sa chatte, je la trouvais serrée … mais alors, avec celle de Mouss' en plus, j'te dis pas …

- Ouais, j'ai eu vraiment du mal à rentrer … 


C'est Moussa qui approuve la remarque de son frère. Mamadou enchaîne:

- D'habitude ça fait ça avec des meufs très jeunes … quand elles ont pas encore eu d'enfant … elle a eu des enfants, ta femme ?

- Non.

- Ah, c'est pour ça … y'a des jeunes qui sont bien moins serrées qu'elle … Nous, avec mes frangins, les femmes mures comme ta femme, on préfère …

- Ah bon ?

- Ouais. Les femmes mures, elles savent ce qu'elle veulent … et elles ont pas peur … elles savent ce que c'est, la bite … elles ont de l'expérience et en général, elles savent y faire avec les bites … Les jeunes, un coup elles veulent, un coup elles veulent pas … elles te chauffent, et après elles veulent plus … elles sont chiantes … et elles se la pètent, elles pensent que leur minou c'est comme … je sais pas … comme un trésor ! Mais c'est seulement une CHATTE qu'elles ont, et une CHATTE, c'est fait pour recevoir des BITES ! Les femmes mûres, elles ont compris ça, que leur CHATTE elle est faite pour recevoir des BITES ! En plus, les femmes mures, elles sentent qu'à leur âge, faut pas qu'elles fassent trop leur difficile, si elles veulent encore se prendre des coups de bite … C'est pas pour ta femme que j'dis ça, hein … elle, elle est encore plutôt bien, ta femme …


Moussa écoute son frère et approuve tout ce qu'il dit, et profitant qu'il marque une pause:

- Il dit qu'ils étaient venus seulement pour danser … 

- Ah ouais ?


Mamadou se marre. Moussa continue:

- Ouais, ils savaient pas qu'ici, on vient surtout pour baiser et pas tellement pour danser…


Mamadou me lance:

- Ben comme ça, maintenant, vous êtes au courant …

- Oui, maintenant, on est au courant …


Mamadou se lève pour finir de remonter son jean:

- Alors, du coup … vous reviendrez … 

- Ça m'étonnerait …

- Pourquoi ? Tu sais, y'a pas de souci, vous pouvez revenir, toi et ta femme …

- Ça m'étonnerait qu'elle veuille revenir avec moi …

- Ah, tu crois ? Mais c'est pas un problème, elle peut revenir toute seule  … 


Il remet son Marcel et, comme si il venait de se souvenir:

- Ah, au fait, elle a demandé si on pourrait la ramener …

- Qui ?

- Ben nous … moi et mes frères …

- La ramener où ?

- Chez elle … enfin, chez vous …

- Ah bon ?

- Oui. On dirait qu'elle n'a pas trop envie de rentrer avec toi. Tu lui fais peur ? 

- Oh, ça m'étonnerait.

- Alors, ça doit être aussi pour te faire chier ..

- Sûrement.


Mamadou m'observe attentivement.

- T'es un drôle de mec.

- Ah bon ?

- Ouais. Tu viens ici en croyant qu'on fait que danser … ta femme chauffe des mecs … tu laisses faire … elle se fait draguer, tu laisses faire … elle se fait tripoter, tu laisses faire … elle se fait baiser, et tu laisses faire …

- Tu voulais que je fasse quoi ? Que j'essaie de l'emmener de force ? Elle se serait pas laissée faire. Que je me batte avec vous ? Quatre ou cinq contre moi … j'aurais pas fait le poids … et j'avais pas envie de me faire casser la gueule. Que j'appelle les flics ? Ils auraient fait quoi ? Il m'auraient dit que je n'avais qu'à pas entrer dans une boîte comme ça avec ma femme. Et elle, elle leur aurait dit qu'elle était d'accord pour se faire baiser … alors …

- Ouais, évidemment. Mais, tu sais, y'a des maris qui amènent leur femme ici pour les regarder se faire baiser par d'autres mecs … ils aiment ça … ça les excite …

- Mais je comprends ça … c'est excitant … 

- Ouais, on a vu ça, que ça t'excitait … Bon …


Il se tourne vers la piste de danse, siffle et:

- Christine !!! Viens là !


Il a gueulé en agitant le bras. Elle nous regarde, l'air mauvais, et ne bouge pas.

- Viens là, j'te dis !


Il fait mine de se lever. Putain, le voilà devenu autoritaire. Il ne va quand même pas aller la chercher de force ! Depuis le début, il me semble que, des trois frères, c'est lui le meneur. Alors elle se décide et approche. Mamadou:

- T'as oublié tes chaussures ? T'avais pas des chaussures ?

- Si, mais je les retrouve pas.

- Une salope a dû te les piquer. Ça arrive. Assieds-toi !


Il tapote la banquette à côté de lui. Elle me regarde, des éclairs dans les yeux. De là où je suis, je sens des effluves de son parfum. Mamadou insiste:

- Assieds-toi !

- Non !

- Comme tu veux. Reste debout, alors. Bon, c'est ton mari qui va te ramener. Nous, on peut pas.

- Mais … tu m'avais dit …


Moussa l'observe, un petit sourire aux lèvres. Mamadou:

- Ouais, je t'avais dit OK, mais c'était tout à l'heure, et maintenant, on peut pas … c'est tout. Alors tu suis ton mari et t'arrêtes de le faire chier … ça suffit peut-être comme ça, pour ce soir … tu crois pas ? Allez, nous on y va.


Il se lève, et me tend la main. J'hésite et je la lui serre. Il s'approche de Christine et fait mine de l'embrasser. Elle se dérobe et le repousse brutalement, furieuse. Il se marre et commence à s'éloigner. Moussa me serre aussi la main. Je quitte le box à leur suite et je me dirige vers la sortie. Mamadou s'arrête, se retourne, et:

- Allez, Christine … vas-y … tu suis ton mari.


Je la regarde:

- Alors, tu viens, ou tu rentres à pied ? 


Elle réfléchit deux ou trois secondes et finit par me suivre. Quand nous passons devant le bar, le videur qui nous a laissés entrer est assis, adossé au comptoir, et il sirote une bière. Il nous observe et, un petit sourire aux lèvres, il nous lance:

- Alors, messieurs-dames, vous avez passé une bonne soirée ?


Il n'attend pas de réponse. Il a dû assister à la fin des ébats de Christine avec les deux frères. Maintenant, je comprends pourquoi il nous a laissés entrer. Plus qu'un videur, c'est un physionomiste, chargé de faire le tri de ceux qui peuvent entrer … et surtout de faire le rabatteur pour le compte des queutards habitués de cette boîte, en sélectionnant les filles et les femmes susceptibles de faire le spectacle … c'est pour ça qu'ayant longuement examiné Christine dans le faisceau de sa lampe torche, à sa tenue, il a jugé qu'elle ferait l'affaire. Il doit être content de lui. Il se lève:

- Je vais vous ouvrir. Vous aviez des portables ?

- Non.


Il passe devant moi, pousse la première porte, nous fait entrer dans le sas, débloque la porte extérieure et, s'adressant ostensiblement à Christine:

- Vous revenez quand vous voulez, hein … on est ouvert tous les vendredi et tous les samedi soir …


Il lui fait un clin d'œil, elle lui sourit. Il nous fait signe de sortir: 

- Allez, au revoir … et à bientôt …


La rue est déserte. Il fait encore chaud … plus chaud que dans le club qui doit être climatisé. Je rattrape Christine qui avance précautionneusement, pieds nus sur le trottoir, et arrivé à sa hauteur:

- Ça va ?


Dans la pâle lumière d'un réverbère, je vois qu'elle me fusille du regard. Elle ne me répond pas et, volontairement, elle ralentit pour me laisser marcher devant … elle veut éviter que je lui parle encore. Je réalise que, sa petite robe transparente exceptée, elle est maintenant totalement nue … plus de petite culotte et plus de chaussures non plus . Notre voiture n'as pas été visitée et n'est pas sur des parpaings. Je déverrouille les portières et nous nous installons. Aussitôt, après avoir bouclé sa ceinture de sécurité, elle me tourne le dos, remonte ses genoux, pose ses pieds sur le siège, enserre de son bras ses jambes repliées et se recroqueville contre la portière. Elle ne peut empêcher un gargouillis de bulles mouillées de s'échapper de son vagin. Visiblement, elle n'a pas évacué tout le sperme que ces cinq mecs lui ont injecté ! Je réalise alors qu'une odeur de sexe commence à baigner l'habitacle … une odeur que son parfum ne parvient pas à couvrir … et curieusement, ça ne me déplaît pas … il n'y a pas seulement l'odeur du sperme … pas seulement l'odeur d'une partie de cul … il y a autre chose … l'odeur de ces mecs … une odeur … suave … sucrée … épicée … une odeur qu'ils ont laissé sur elle … et peut-être EN elle … j'ai lu quelque part que le sperme peut prendre le goût et l'odeur de ce que l'homme a mangé … et bien, ça doit être ça … non seulement le contact de leur peau sur sa peau, mais la semence parfumée qu'ils ont répandu dans son ventre … Je me demande … je me demande quel goût avait le sperme de Mamadou, quand il s'est répandu sur sa langue … 


Au bout d'une dizaine de minutes, alors que nous sommes arrêtés à un feu rouge et que le moteur tourne au ralenti, j'entends soudain la respiration de Christine, forte et rapide, à côté de moi … Je tourne la tête et … je le crois pas ! Elle n'enserre plus ses jambes repliées de son bras gauche … au contraire, elle écarte les cuisses, sa main gauche crispée sur son genou … et là, dans la pénombre … au niveau du siège … devant … devant sa chatte … sa main droite qui bouge, qui s'agite frénétiquement … elle se masturbe … elle se masturbe encore ! PUUUUTAIIIIIIIN ! Elle a déjà joui cinq fois, et elle continue ! Mais qu'est-ce qu'elle a, ce soir ? Elle me tourne toujours plus ou moins le dos, mais elle n'essaie même pas de faire ça en douce ! Elle fait ça pour continuer à me faire chier ? Ou pour me provoquer, ou elle en a vraiment besoin ? Le feu passe au vert. Je redémarre.

- Tu te masturbes encore ?


Elle ne me répond pas, mais elle descend ses jambes et les étend, se cale bien au fond de son siège, la nuque sur son appui-tête, écarte les cuisses et, sans aucune retenue, elle se masturbe ouvertement, haletante et gémissante, sa robe remontée sur son ventre … C'est dingue ! C'est vraiment une nuit de folie ! Et elle m'excite encore, à se donner du plaisir comme ça, sans pudeur, cuisses écartées, chatte offerte … Je ne sais pas ce qui me prend … quelque chose a beau me dire que je vais me faire jeter, ça ne fait rien, je tends la main et je la pose sur sa cuisse …

- Me touche pas !


Elle a crié, a repoussé violemment ma main. Et elle reprend sa masturbation de plus belle … Nom de dieu, qu'est-ce qui pourrait la calmer ? Nous traversons les banlieues, désertes à cette heure de la nuit … trois heures moins le quart … A un grand carrefour, éclairé par de puissants réverbères, encore un feu rouge. Je m'arrête. Juste à côté, six ou sept jeunes, genre "cailleras de cité" … certains assis sur la barrière métallique qui borde le trottoir, une canette à la main, les autres débout … on dirait qu'ils attendent je ne sais quoi … ou qu'ils préparent un mauvais coup. Je vérifie que le témoin de condamnation des portières est allumé. Tout d'abord, seuls les plus proches remarquent Christine, et ils la dévisagent, mais sans plus … des jeunes qui matent une femme mûre encore potable dans la pénombre d'une voiture. Leurs regards ne plongent pas assez dans l'habitacle pour qu'ils remarquent sa tenue, ses cuisses écartées et sa main sur son pubis … A part ces regards un peu appuyés, ça ne va pas plus loin de leur part … mais c'est elle qui réagit … dès qu'elle les a aperçus de loin, elle s'est redressée, et maintenant que nous sommes arrêtés juste à leur niveau, elle les observe, elle les dévisage même avec insistance, comme intéressée, avec sa main toujours entre ses cuisses … immédiatement une idée folle me traverse l'esprit : là, elle se demande si ces types … si elle ne pourrait pas … et soudain, à un imperceptible changement d'attitude, je le sens … elle vient de prendre une décision et elle tend la main vers sa portière ! Ne les quittant pas des yeux, de sa main droite, elle tâtonne à la recherche de … du bouton pour descendre sa vitre et parler à ces jeunes , ou àhos la recherche de la poignée pour ouvrir sa portière et sortir ? L'un d'eux a repéré qu'elle les regarde, et commence à se pencher vers elle. C'est quand je la vois poser sa main gauche sur la boucle de sa ceinture de sécurité pour la détacher, que je me décide. Le feu est encore rouge, mais je passe la première et je démarre. Elle tourne la tête pour suivre les jeunes du regard, puis elle se tourne vers moi et, un éclair de rage dans les yeux, elle s'apprête à me dire quelque chose. Mais je la devance et c'est moi qui attaque:

- Mais t'es dingue, ou quoi ? T'allais faire quoi, descendre et leur demander de te sauter ? T'en as pas eu assez, ce soir ? Tu sens … tu sens encore le foutre des cinq types qui viennent de te baiser, et il t'en faut encore ? Tu deviens folle … va falloir te faire soigner !


Elle ne répond pas, détourne la tête, manœuvre le dossier de son siège, le penche davantage en arrière, s'affale, cuisses toujours largement ouvertes, et elle reprend sa masturbation. J'accélère, pressé d'arriver à la maison. Maintenant, j'ai peur qu'à la première occasion, à un feu, à un stop ou je ne sais quoi, elle essaie encore de descendre de cette voiture pour allez courir le mâle … alors je m'arrange pour être toujours en mouvement. Au point où on en est, ce n'est pas tant qu'elle se fasse encore sauter qui me gêne, c'est qu'elle pourrait faire de mauvaises rencontres, surtout en se comportant comme une chienne en chaleurs avec le premier venu. Je n'essaie même pas de lui parler, de tenter de la raisonner. Telle que je la connais, et vu ses dispositions d'esprit actuelles, ça ne servirait à rien. 


Je me demande bien comment tout ça va tourner. Tout au long de cette soirée, elle est allée de plus en plus loin … ça a commencé avec son amant dans ce restaurant, puis dans cette boîte, et ensuite avec les queutards du Huitième Ciel… et maintenant, elle semble ne plus avoir aucune limite, aucun interdit, aucune inhibition … elle a littéralement le diable au corps … jusqu'à ces six ou sept jeunes, attendant je ne sais quoi à ce carrefour … si je n'avais pas réagi, j'en suis sûr, elle serait descendue de la voiture pour aller se faire sauter par eux dans je ne sais quel endroit glauque … à ses yeux, ces jeunes, ce n'était ni plus ni moins que six ou sept bites de plus à se prendre dans la chatte et dans la bouche !


Nous finissons par arriver chez nous sans encombre. Elle se précipite dans la salle de bains et s'y enferme. Je l'entends se faire couler un bain. Je me déshabille et je me couche. Mais, évidemment, impossible de dormir. Et, alors que la baignoire devrait être pleine depuis un moment, j'entends toujours l'eau couler. A tel point que je finis par m'inquiéter. Elle n'aurait pas fait une connerie ? Je me lève et je vais frapper à la porte. J'essaie d'entrer, mais elle a fermé à clé. Je frappe:

- Ça va ?


Pas de réponse. J'insiste:

- Réponds-moi. Si tu réponds pas, je défonce la porte.


Aussitôt, l'eau cesse de couler et j'entends le bruit de la bonde de la baignoire. Bon, elle est toujours vivante et consciente. Je me recouche. Au bout de quelques minutes, je l'entends qui ouvre la porte de la salle de bain et qui descend au rez-de-chaussée. J'attends, mais elle ne remonte pas. Je m'accroche à l'idée que, l'excitation de cette soirée une fois retombée, elle va réaliser ce qu'elle a fait et se reprendre. Je finis par m'endormir. Sommeil agité et en pointillé. 


Quand je me lève, en milieu de matinée, je la trouve couchée sur le canapé du salon. Nue, seulement couverte d'un drap, elle dort, apparemment. Il faut dire qu'il fait encore très chaud. Vers midi, alors que je traverse le salon, je la trouve éveillée. Couchée sur le dos, son avant bras sur le front, elle regarde le plafond. J'en profite:

- Il va falloir qu'on parle … tu crois pas ?


Elle ne répond pas, bascule sur le côté et me tourne le dos. Elle passe tout l'après-midi du samedi couchée. J'essaie de m'occuper dans mon bureau, mais les événements de la nuit me tournent constamment dans la tête. J'essaie en vain de décider ce que je vais faire. C'est en fin d'après-midi que je l'entends parler. A qui ? Elle est dans le jardin … complètement à poil.  Je la vois par l'entrebâillement du volet de mon bureau que j'ai fermé à cause de la chaleur. Elle est au téléphone. Elle parle à qui ? Apparemment, ça se passe mal. Je ne comprends pas ce qu'elle dit, mais c'est véhément. Elle s'engueule avec son correspondant. Patrick ? Elle jette des coups d'œil vers la maison, essayant de deviner où je suis, mais elle ne me voit pas, dans la pénombre de mon bureau. La conversation finit par s'achever. Elle rentre et se recouche. Un peu plus tard, je prends ma voiture pour aller faire quelques courses. Son parfum, exacerbé par la chaleur de l'après-midi, baigne encore l'habitacle. Une autre odeur, aussi … une odeur douceâtre … une odeur de sexe, une odeur de cul … Sur le siège à côté de moi, je remarque une tache. C'est là que Christine était assise, cette nuit, quand on rentrait du Huitième Ciel. Un peu du sperme des cinq mecs qui l'ont baisée a dû s'écouler de sa chatte. 


C'est curieux, cette tache, ce rappel de son infidélité … pas seulement de son infidélité … ce rappel, cette preuve, tellement concrète, matérielle, de sa débauche sexuelle devrait me mettre en rage, m'écœurer … mais non, au contraire, elle me trouble … là, sur ce siège, il y a un peu du sperme que cinq types, cinq inconnus, ont injecté cette nuit dans le ventre de ma femme … devant moi ! Du sperme … leur semence … un peu d'eux-mêmes … du plus intime, du plus personnel d'eux-mêmes … de ce fluide séminal normalement destiné à la reproduction … et ce sperme, ce foutre, cette jute, c'est aussi la matérialisation de leur orgasme, de la jouissance qu'il ont pris dans le corps de ma femme, dans son ventre … et c'est sans doute également ce qui a contribué à déclencher ses orgasmes à elle … sentir un mâle répandre sa semence en soi, ça doit être phénoménal … et que dire d'en sentir cinq s'y répandre les uns après les autres … à cette évocation, quelque chose frémit dans mon bas ventre … je commence à bander … alors, je tends la main et je pose le bout de mes doigts sur cette trace humide … un frisson me parcourt … le sperme des cinq types qui ont baisé ma femme ! Je me secoue, je tourne la clef de contact et je démarre.


Le soir, je demande à Christine si elle veut dîner. Pas de réponse. Le dimanche se passe à peu près comme le samedi. Elle reste couchée et ne mange pas … ni au petit déjeuner, ni au déjeuner, ni au dîner, mais tout au long de la journée, elle descend des litres d'eau. Dans l'après-midi, je fais une nouvelle tentative:

- Il faudra bien qu'on se parle, que ça te plaise ou non …


Silence obstiné.


Le lundi, je dois retourner au travail. Elle, elle est en vacances pour deux mois. Quand je rentre déjeuner, sa voiture n'est plus là. Elle non plus, évidemment. Où est-elle ? Mystère. Le soir, même chose. Je dîne, je regarde la télé jusqu'à une heure et demie du matin, et je finis par me coucher. Toujours pas de Christine. Quand je me lève, elle est de nouveau dans le canapé du salon et elle dort. A quelle heure est-elle rentrée ? Où était-elle ? Avec qui ? 


Au cours des semaines qui suivent, les choses ne vont qu'en empirant. Elle disparaît, surtout le soir, presque un soir sur deux, et elle ne rentre qu'au milieu de la nuit. Certains matins, quand je passe à côté d'elle, couchée dans le canapé du salon, je sens son parfum, Opium. C'est qu'elle a vu quelqu'un, c'est sûr ! Qui ? Patrick ? Un autre ? Si elle met ce parfum, je suis sûr que c'est parce qu'il y a du sexe là-dessous. 


Un samedi matin, quand je passe à côté d'elle alors qu'elle dort profondément, baignée d'un mélange d'odeurs où domine celle d'Opium, je marche par inadvertance sur un tas de vêtements abandonnés au pied du canapé. En les ramassant pour les poser sur une chaise, je m'aperçois tout d'abord qu'il y a … une sorte de déshabillé … une sorte de déshabillé que je ne lui connais pas … c'est bizarre, elle n'a jamais mis ce genre de chose le soir ou pour dormir … habituellement, elle dort nue et si elle met quelque chose avant de se coucher ou au lever, c'est plutôt un T-shirt trop grand … mais à bien observer ce ... ce vêtement, je réalise que ce n'est pas un déshabillé, mais bel et bien une robe … une robe ultra courte … encore plus courte que celle qu'elle portait ce soir de juin au Huitième Ciel … une robe ultra courte et ultra légère … comme un voile … pratiquement transparent … puis, en l'étalant sur le dossier d'une chaise, je me rends compte que cette robe est déchirée au niveau de l'encolure … déchirée et … souillée de quelques traces de sang – du sang ! Qu'est-ce qui s'est passé ? – souillée de quelques traces de sang et, dans le bas, souillée d'autre chose qui imprègne et alourdit la fine étoffe … j'y passe mes doigts … ça forme comme une auréole de couleur crème … c'est épais, légèrement visqueux, mais sec tout autour de l'auréole … immédiatement, je devine ! Cette odeur que j'ai remarquée il y a un instant, et que le parfum Opium ne parvient pas à couvrir, c'est celle du cul … c'est l'odeur d'une partie de cul ! Et cette tache dans le bas de sa robe, c'est du sperme ! Elle s'est encore fait baiser … et sans capote, cette fois encore … et elle est rentrée avec la chatte et le ventre encore pleins de ce que son amant y a répandu … son amant ou plutôt SES amants, parce que, vue la taille de la tache dans le bas de sa robe, ce n'est pas possible qu'un seul type ait éjaculé tout ça ! Je me penche à nouveau et je ramasse le reste du tas de tissus sur lequel j'ai marché … c'est un string … un micro string … un simple triangle de quelques centimètres carrées aux angles reliés par une minuscule ficelle … un simple cache-sexe, en fait … son gousset de coton, lui aussi, est entièrement imprégné de sperme ! 


Bizarrement, tout ça me provoque deux réactions … d'abord, en découvrant cette robe plus que sexy, sa déchirure, ces traces de sang et ce sperme, en comprenant qu'elle s'est encore fait baiser par des inconnus, mon cœur s'est mis à battre violemment … mais pas par jalousie … ni par peur qu'elle ait été violentée en plus de s'être fait baiser … non, d'ailleurs l'autre réaction s'est manifestée plus bas … dans mon bas ventre, très exactement … oui, comme une excitation ! L'idée que plusieurs types – je n'ai pas le moindre doute que, cette fois encore, ils aient été plusieurs – que plusieurs types aient encore introduit leur sexe dans le ventre de Christine, y aient pris du plaisir et y aient éjaculé … et bien, ça m'excite ! Oui, c'est sûr, elle a dû recommencer avec plusieurs types, comme l'autre soir, au Huitième Ciel ! Mais pourquoi ce sang ? Il est à elle, ce sang ? Je me penche sur elle, mais elle dort sur le ventre et seule sa tête dépasse du drap. Ce que je vois de son visage paraît intact. Inutile que je la réveille. Même si c'est pour m'inquiéter de sa santé, je sais que je me ferais jeter. On verra quand elle sera réveillée et levée. 


En attendant, poussé par une idée à la fois perverse et délicieuse, je sors de la maison et j'ouvre la portière de sa voiture, côté conductrice … immédiatement, des odeurs de … de partie de cul, mêlées à des odeurs de parfum me sautent au nez, dominant celles des plastiques et des tissus de la voiture … sur le siège, là où elle était assise pour conduire en rentrant de sa nuit de sexe, une autre auréole … plus large que celle de sa robe … une dizaine de centimètres de diamètre … de toute évidence, c'est encore du sperme ! Putain, ils étaient combien, cette nuit, à lui passer dessus ? D'aspect, c'est blanchâtre, encore un peu luisant, même si le tour a séché, la partie la plus liquide des éjaculats des types qui l'ont baisée ayant été absorbée par le tissu du siège … au centre, il reste comme une pâte légèrement translucide et parsemée de grumeaux qui commencent à jaunir … C'est plus fort que moi … comme l'autre jour en montant dans ma voiture, je tends la main et je touche … c'est froid, c'est visqueux, c'est gluant … les petits grumeaux sont caoutchouteux … et pourtant, ça ne me dégoûte pas, ça ne m'écœure pas … au contraire, j'éprouve un plaisir certain à tremper mes doigts dans ce … dans ce cocktail … ce cocktail du sperme de mecs qui ont baisé ma femme et qui s'est écoulé de son ventre quand elle est rentrée à la maison après sa partie de cul … ce mélange dégage cette petite odeur aigrelette du sperme vieux de plusieurs heures et qui a commencé à se décomposer … Des types … combien ils étaient, cette fois … sans doute bien plus que les cinq de l'autre soir au Huitième Ciel … des types ont encore abusé de ma femme … NON, pas ABUSÉ … elle devait encore avoir le feu au cul et être demandeuse … elle devait être demandeuse et ils ont simplement … USÉ d'elle … ils se sont servis d'elle, de sa chatte et de son ventre pour se vider les couilles, pour se soulager, comme ils se seraient servi d'une poupée gonflable … et elle s'est servie d'eux pour aussi se soulager et éteindre l'incendie qui lui dévore le ventre depuis maintenant des semaines …


Je ne sais pas pourquoi, j'ai la conviction que ce n'est pas au Huitième Ciel qu'elle s'est fait baiser cette nuit … j'ai la conviction qu'elle est partie à l'aventure, qu'elle a couru le mâle et qu'elle en a trouvé … le premier mec venu aura fait l'affaire … la première queue venue … puis une autre … et une autre encore … elle est peut-être retournée dans ce carrefour où, ce soir de juin, nous avions vu une bande de jeunes que, pas encore rassasiée de sexe, elle avait failli rejoindre … là ou ailleurs, elle se sera sans doute fait entraîner dans je ne sais quel appartement sordide, dans je ne sais quelle cave crasseuse pour se faire prendre encore et encore par une bande de types rameutés par les premiers à qui elle se sera donnée … Je fais glisser l'un sur l'autre mes doigts pleins du sperme encore gluant de ces inconnus … et je trouve ça …  sensuel et excitant … je me surprends même à approcher mes doigts de mon nez pour les sentir … et au dernier moment, je dois réfréner une brutale envie de les porter à ma bouche ... Je suis dingue, ou quoi ?


Vers midi, ce jour là, elle apparaît dans la cuisine alors que je suis en train de manger … elle est nue et elle vient se servir un grand verre d'eau au robinet de l'évier. Je comprends d'où viennent les traces de sang sur sa robe: elle a la lèvre inférieure tuméfiée et même un peu fendue …

- Qu'est-ce qui t'es arrivée ? Tu t'es fait tabasser ?


Elle s'apprêtait déjà à ressortir de la cuisine, son verre d'eau à la main. Elle s'arrête, se retourne, me regarde, semble se raviser et elle vient s'appuyer des fesses au rebord de l'évier, juste en face de moi. Et là, je m'aperçois qu'elle n'a plus le moindre poil sur le pubis ! Intégralement épilée … ou rasée … non, épilée plutôt … J'ai nettement l'impression qu'elle n'est pas fâchée de m'exhiber sa chatte totalement imberbe et que c'est moi, avec mes questions, qui lui ai fourni un prétexte pour me la coller sus le nez. Mais elle ne dit rien, ne répond pas à mes questions et se contente de m'observer en buvant. Aucune empathie dans son regard. Plutôt de la provocation.. J'insiste:

- Tu t'es fait cogner ? Ça leur a pas suffit de te baiser, ils se sont défoulés sur toi …


Elle reste impassible, ne répond pas, mais à je ne sais quel éclat dans ses yeux, je sens qu'en effet, elle est tombée sur un cogneur. 

- Comme si ça te suffisait pas de te faire sauter par des types que tu connais pas, il a fallu qu'en plus t'ailles les chercher dans des endroits louches … Ça finira mal … il y en a bien un qui finira par t'envoyer à l'hôpital … ou par te tuer … 

- Je suis là, non ? Ils ne m'ont pas tuée … juste … caressée un peu trop fort …


Son odeur arrive jusqu'à moi … SES odeurs … je pose de nouveau les yeux sur son ventre, puis sur son sexe … en haut et à l'intérieur de sa cuisse droite, une trace luisante parsemée de quelques minuscules caillots blanchâtres … du sperme continue de s'écouler de son ventre … 

- Ils étaient combien, cette fois, à te baiser ?


Elle cligne des yeux, pose son verre vide sur l'évier, et:

- Je sais pas, j'ai pas compté … beaucoup. 

- Beaucoup ? ! ? ! Mais ... beaucoup comment ?

- Je sais pas, j'te dis, j'ai pas compté ...

- Oui, mais ... quatre ou cinq, ou plus ?

 

Elle pouffe: 

- Ah non ... PLUS ... ils ont COMMENCÉ à quatre, mais après ...

 

Elle laisse sa phrase en suspens. C'est bizarre, j'ai l'impression qu'elle a envie de raconter, alors j'insiste:

- Mais après ... quoi ...

- Après, ils m'ont emmenée dans un appart ... enfin, dans un squat, plutôt ... pour leurs copains ...

 

Dans un squat ! J'avais vu juste.

- Pourquoi, vous étiez pas dans un appart, au départ ?

- Non ... on a commencé dehors, avec ceux-là ... je les ai trouvés qui glandaient sur le quai, au bord de la Marne ...

- T'es tombée sur eux par hasard ? Qu'est-ce que tu foutais sur le quai au bord de la Marne ?

- Je cherchais des mecs, tiens ... et j'avais remarqué qu'il y a toujours des types là, en contrebas du parking ... ils glandent et ils se soûlent à la bière ...

- La classe, quoi !

 

Elle ne relève pas. Je poursuis:

- Et après ? Ils t'ont emmenée dans un squat ... mais ... ils t'ont obligée ? Et là, ils étaient combien, leurs copains ?

- Non, ils m'ont pas obligée ... et je sais pas combien ils étaient ... je crois quatre ou cinq quand on est arrivés, mais après ils allaient en chercher d'autres au fur et à mesure ...

- Et ils t'ont forcée ? Et même à peu près, tu sais pas combien t'ont ... t'ont baisée ?

- Non, ils ne m'ont pas forcée ... c'est moi qui voulais ... 

- Alors, combien à peu près ?

- Pffffffff ... je sais pas ... dans le squat, une douzaine ... au moins ... sûrement plus ...

- En plus des quatre premiers ?

- Oui ...

- Et pourquoi ils t'ont cognée ?

- Bah ... certaisn étaient plus pressés que les autres et ils ont fini en se battant ... j'ai pris un coup qui m'était pas destiné ...

- Et ta ... ta robe ... pourquoi elle est déchirée ?

- Ah ça, c'est parce que, au début, quand ils ont commencé à me ... à me baiser, dans le squat, je l'avais gardée, et il y en a un qui a voulu me l'arracher ...

 

Tout ça pourrait être de la provocation, mais je sens que ça n'en est pas. A son regard fixe, je comprends qu'elle revit cette soirée et qu'en effet, ils devaient être nombreux. Elle hausse les épaules, se décolle de l'évier et disparaît dans le salon. Finalement, elle n'en dira pas plus, mais j'en sais suffisamment. Et il faut croire que cet incident lui aura servi de leçon … non pas au point de la dissuader de se faire sauter par des inconnus, mais elle s'abstiendra d'aller le faire dans des endroits dangereux, comme elle m'en fournira la preuve quelques jours plus tard. 


En effet, à la fin d'un après-midi de canicule, alors que je rentre du travail, je manque de me faire percuter par une voiture, une Mini, qui sort à fond de la cour commune devant chez moi. Nous pilons tous les deux … les ailes des deux voitures ne sont qu'à quelques centimètres l'une de l'autre … le conducteur de la Mini, dans les vingt, vingt cinq ans, me lance un sourire insolent. J'ai tout juste le temps de m'apercevoir que, lui inclus, ils sont cinq dans cette voiture … les quatre autres ont aussi dans les vingt, vingt cinq ans … cinq jeunes qui se marrent … Le bolide redémarre en faisant crisser ses pneus dans les graviers de la cour. Pourquoi, brutalement, je suis baigné d'adrénaline ? Je sens que ce n'est pas seulement d'avoir échappé de peu à cet accident. J'ai un pressentiment … ou plutôt la conviction que ces cinq jeunes ne sortaient pas de chez une de mes deux voisines … et pour cause, elles sont toutes deux absentes, l'une est en vacances depuis plusieurs jours, et l'autre, impotente, a été hospitalisée une semaine plus tôt. Alors, ces cinq jeunes ne pouvaient sortir que de chez moi …  Je me gare à côté de la voiture de Christine et j'entre chez moi. 


Le salon est plongé dans la pénombre … si la porte-fenêtre qui donne sur le jardin est ouverte, les lourds volets de bois sont à demi fermés, sans doute pour empêcher la chaleur de pénétrer dans la maison. Je jette un coup d'œil par leur entrebâillement … Christine est là … sur la pelouse, dans l'ombre des noisetiers … elle est allongée sur le ventre, sur un grand drap blanc, complètement nue … Immédiatement, je sais ! Ces jeunes que je viens de croiser à l'entrée de ma cour et qui ont failli me rentrer dedans, ils sortaient de chez moi et ils venaient de baiser Christine, là, dans le jardin, sur cette pelouse … Ma première pensée, c'est "et si je n'avais pas freiné … si nous avions froissé de la taule … j'aurais dû remplir un constat d'accident avec les types qui venaient de baiser ma femme ! " … et curieusement, je regrette que ça ne soit pas arrivé … ça ne m'aurait pas déplu, cette situation. J'ai une fraction de seconde d'hésitation … je fais quoi ? Je ne me manifeste pas tout de suite, de façon que Christine ignore que je suis rentré de bonne heure, ou bien, au contraire, je lui fais savoir que je viens de croiser ses amants ? Je me décide: j'y vais !


Je pousse les volets et je m'avance. A côté de Christine, également dans l'ombre des noisetiers, il y a le salon de jardin, et, sur la table, les reliefs d'un repas … des assiettes et des couverts sales … des paquets de chips éventrés, un reste de la salade composée que j'avais préparée la veille … des verres vides, des canettes de bière, une bouteille de vodka et une de whisky … Visiblement, on n'a pas fait que baiser, ici … ça a été la fête complète. Les quatre fauteuils de jardin sont disposés en amorce de cercle, face au drap où Christine est allongée … comme si des spectateurs s'étaient installés là pour la regarder … La première chose que je remarque, sur ce drap, c'est qu'il est en pagaille, froissé, chiffonné, comme si on y avait chahuté ou lutté, comme si Christine s'y était débattue … puis, comme je me trouve derrière elle et, en quelque sorte, juste dans son axe, je me rends compte que, couchée sur le ventre, la joue appuyée sur son avant bras gauche, jambes écartées, Christine a sa main droite sous son ventre, et qu'elle est en train de se masturber … j'ai une vue directe sur son cul et surtout sur sa vulve, et je vois son majeur s'activer sur son clitoris et ses petites lèvres … Absorbée par le plaisir qu'elle se donne, elle ne m'a pas encore entendu … ensuite, je découvre de nouveau des traces luisantes et blanchâtres, non seulement en haut et à l'intérieur de ses cuisses, mais également sur ses fesses … et même si tout son corps est luisant de transpiration, je vois bien que ces traces sont d'une autre nature … Ça y est, elle m'a entendu … elle sursaute, soulève un peu sa tête et la tourne vers moi:

- Ah, c'est déjà toi ? 


Elle repose sa tête sur son bras et reprend sa masturbation de plus belle, absolument pas gênée par ma présence. Il est vrai qu'elle en a fait bien d'autres, en ma présence. C'est là que je m'aperçois que, sur un coin du drap, gisent deux capotes … deux capotes usagées, aux réservoirs visiblement remplis de sperme … Je me lance:

- T'as eu de la visite ?

- Mmmmm …


C'était un "oui". Je lui lance:

- Je les ai croisés en arrivant …

- Mmmmm, je m'en doute, ils viennent juste de partir …


Elle m'a répondu sans la moindre hésitation et sans cesser de se masturber …. Non seulement elle reconnaît avoir eu de la visite, mais elle confirme que c'est bien les types que j'ai croisés en arrivant … et elle ne cherche même pas à me servir une explication qui sauvegarderait tant soit peu les apparences … de toute façon, vue la situation dans laquelle je la trouve juste après le départ de ses visiteurs, il est évident qu'elle était dans cette tenue au moment où ils sont partis … elle se fout que je comprenne qu'il s'agissait d'une visite … sexuelle …


- Ouais, ben tes amants, ils ont failli me rentrer dedans en sortant de la cour …


Je vois ses épaules se secouer … elle rit … tout en se masturbant, elle rit !

- Ça te fait rire ?


Elle se redresse, se tourne un peu vers moi, sort sa main d'entre ses cuisses, s'appuie sur un coude et me regarde avec un sourire de défi. Elle secoue la tête, l'air de me dire "ce que tu peux être con ! ":

- Oui, ça me fait rire … toi, ils ont seulement FAILLI te rentrer dedans … moi, ils me sont CARRÉMENT rentrés dedans ! Et puis … mes amants … pfffff ! C'est pas parce qu'ils m'ont baisée que c'est mes amants ! C'est seulement des baiseurs, des queutards, comme tu dis … c'est tout … mais pas mes amants ! Un amant, ça se garde … ceux-là, je les prends, ils me baisent et j'les jette …  ah ah aaah, mes amants !


Elle s'écroule sur le dos, toujours secouée de rire, cuisses écartées et la main s'activant toujours sur son pubis. Ah, d'accord ! Elle se fout ouvertement de ma gueule ! D'un côté, avec sa provocation, ça me démange de la planter là, mais d'un autre, nous nous sommes parlé … et c'est devenu tellement rare … Alors, je ne relève pas son ironie et je poursuis:

- Ils sont jeunes, tes … baiseurs, non ? Ils t'ont baisée tous les cinq ?

- Oui, ils m'ont baisée tous les cinq.

- Où tu les as ramassés ? Ils ont mis des capotes, ceux là …


Elle pousse un soupir qui veut clairement dire que je l'emmerde … elle se redresse à nouveau et, appuyée sur son coude, tout en poursuivant machinalement sa masturbation, ses yeux plantés dans les miens:

- Oui, ils sont jeunes … le plus jeune, il m'a dit qu'il avait dix sept ans, mais je suis sûr qu'il a moins … et le plus vieux, il a vingt quatre ans. Les jeunes, c'est bien … ils bandent dur et une fois qu'ils ont tiré un premier coup, ils ont de l'endurance et ils peuvent baiser longtemps. Tu vois, ceux-là, je les ai ramassés à La Plage, tu sais, le long de la Marne, il était pas midi …  et il est dans les quelle heure ? Cinq heures et demie, six heures ? T'as qu'à voir … ils m'ont baisée tout l'après-midi, tous les cinq. Et puisque ça t'intéresse, ils ont tous tiré leur coup deux fois, et le plus jeune trois fois, même … j'te dis, lui, je suis sûre qu'à tout casser, il a seize ans … trop mignon, ce môme … la première fois qu'il m'a monté dessus, il savait pas comment faire et il a joui en moins de deux … je suis sûr qu'il était puceau … il m'a dit que non, mais c'était évident que c'était la première fois qu'il baisait … après, y'avait plus moyen de l'arrêter … trois fois, il a joui … je l'adore ce môme ! Voilà, t'en sais assez, maintenant ? Ah non, tu veux savoir si ils ont mis des capotes ? Non, ils ont pas tous mis des capotes … seulement deux … Elles sont là, d'ailleurs, leurs capotes, si tu veux les voir …


Pendant cette longue tirade, je n'ai pas quitté des yeux son entrejambe, et par moments, quand elle décollait la  paume de sa main de son bas ventre, je me suis aperçu que sur son pubis il y avait une espèce de … de trace … une marque sombre que je ne lui avais jamais vue. On dirait … un tatouage ? Il y avait longtemps qu'elle ne m'avait pas parlé autant que ça ! A rentrer comme ça dans les détails, je sens que c'est pour me foutre en rogne, mais, bizarrement, ça me laisse froid … je ne suis même pas jaloux … La Plage, où elle a trouvé ces jeunes, je connais. C'est un espace de loisirs aménagé au bord de la rivière. Il y a des jeux pour enfants, des tables de pingpong, des espaces pour piqueniquer, une buvette … des familles viennent y passer la journée sur le sable et se baigner, d'autres viennent bronzer sur leur serviette ou sur des transats de location … c'est aussi un point de rendez-vous pour les jeunes de la région qui viennent y picoler, y fumer des joints et y draguer. En effet, c'est réputé pour être un endroit propice pour celles et ceux qui sont à la recherche d'une aventure … la preuve ! Christine s'est assise et elle cherche les capotes du regard. Je l'aide:

- Je les ai vues, leurs capotes … elles sont là, au coin du drap …


Elle s'assoit, prend les deux capotes, les lève à hauteur de ses yeux:

- Ils ont eu peur, ces deux là … dommage ! Mais ils ont quand même pris leur pied dans ma chatte …


Maintenant qu'elle ne se masturbe plus, jambes écartées, elle me dévoile son sexe sans aucune gêne … En effet, ce que j'ai aperçu il y a un instant au-dessus de son pubis, c'est bien un tatouage … on dirait … un mot … je n'arrive pas  le déchiffrer, mais on dirait une écriture manuscrite … Elle a saisi les réservoirs des deux capotes entre son pouce et son index, et, des doigts de son autre main, elle presse les deux préservatifs et se les vide sur le pubis avant de les jeter de nouveau sur le coin du drap … puis, sans hésitation, elle s'étend un peu sur le dos, s'appuie sur un coude, et cuisses écartées, elle s'étale le contenu des capotes sur la chatte, faisant glisser ses doigts sur ses petites lèvres et son clitoris … ça lui arrache un halètement de plaisir … et, tout en enfonçant son majeur trempé de sperme dans le vagin, elle poursuit:

- Mais les trois autres, ils en ont pas mis, de capote … ils ont joui directement dans mon ventre et dans ma gorge … et sur mon cul, aussi …


Je sens que ça l'excite de me raconter tout ça. Tête rejetée en arrière, nuque cassée, bouche entrouverte, haletante, elle se donne du plaisir en pataugeant dans le sperme de ces types. Je réalise que c'est d'étaler cette semence sur sa vulve et de se l'introduire dans le vagin, tout autant que sa masturbation proprement dite qui lui procure cette volupté … et sans aucun doute aussi de faire ça devant moi et de me provoquer en me parlant aussi crûment et ouvertement de ses jeunes … baiseurs … Et je dois dire que c'est un spectacle fascinant, de la voir si impudique, si dépravée … sans limites ni tabou … c'est pornographique, c'est érotique, c'est excitant et … c'est très beau !

- Oui, ça aussi, j'ai vu qu'il y en a qui ont joui dans ton ventre. T'as du sperme plein les cuisses. Tu vas finir par te choper une saloperie …


Elle se redresse, me regarde, et tout en continuant de se doigter la chatte:

- Une saloperie ?

- Oui, SIDA, hépatite, schtouille … y'a le choix …

- Ah ! J'men fous …

- Et … tu te fais sauter à la maison, maintenant …


Elle soupire à nouveau et hausse les épaules:

- Ben oui ! Tu m'as convaincue … les mecs, je veux qu'ils me baisent, pas qu'ils me cognent … alors je me fais plus sauter dans des endroits louches, comme tu dis … à la maison, c'est très bien … et puis ici, dans le jardin, c'était super excitant … pendant qu'ils me baisaient, j'entendais Nicolas qui moissonnait là, derrière, et ses ouvriers qui passaient dans la rue avec leurs tracteurs … Les jeunes, au début, ça leur a fait peur, mais après, ça les excités … comme moi … ils étaient déchaînés …


Nicolas, c'est le fermier d'à côté. C'est vrai, il a un champ de blé juste derrière chez nous, pratiquement au bout de notre jardin, dont il n'est séparé que par un petit pré. Et effectivement, en arrivant, avant de tomber nez à nez avec la Mini des jeunes, j'ai croisé un des ouvriers de Nicolas au volant d'un énorme tracteur, déboulant de la ruelle qui passe devant notre cour … il emmenait un chargement de blé vers la ferme. D'ailleurs, on entend encore la moissonneuse travailler. Instinctivement, je me tourne vers le mur qui nous sépare du jardin de notre voisine. Son jardin à elle donne sur la ruelle qui aboutit dans les champs et je me demande si, du haut de la cabine de leurs monstrueux engins, les ouvriers de Nicolas ne pouvaient pas avoir une vue directe sur les ébats de Christine avec ses cinq amants par dessus les murs des deux jardins …


Elle a suivi le cheminement de ma pensée et elle reprend:

- T'inquiètes pas, ils n'ont rien vu, les ouvriers de Nicolas!  Enfin, je crois … moi, je voyais leur tête, quand ils passaient dans leur tracteur, juste au ras du mur de la voisine … mais ils roulaient à fond et aucun n'a regardé par ici … c'est dommage, d'ailleurs, ils se seraient peut-être invités …

- Ben pourquoi t'as pas été les chercher ? T'avais qu'à te montrer à poil dans la cour et leur faire signe … ils se seraient sûrement arrêtés … plus on est de fous …


Elle suspend sa masturbation, sort sa main d'entre ses cuisses et s'appuie des deux coudes sur le drap:

- Me provoque pas, hein … t'auras bien l'air con si je me tape tous les mecs du village …

- Tu vas les revoir, ces mecs ?


Elle hausse les épaules:

- Je pense pas … je veux pas qu'ils s'attachent et je préfère des inconnus … Y'a que si j'en trouvais pas d'autres … mais ça, ça risque pas, je pense …


Maintenant que sa main ne masque plus son pubis, je découvre la totalité de son tatouage. Ecrit en biais sur le côté droit de son mont de Vénus … "Entrée" …

- Tu t'es fait faire un tatouage ?


Elle regarde son pubis et se caresse le ventre:

- Ouais … mais il est pas fini …

- Qu'est-ce que ça veut dire "Entrée" ?

- Il est pas fini, j'te dis … Et puis, qu'est-ce que ça peut te foutre ?

- Ça va être quoi, la suite ?

- Ça te regarde pas …

 

Tout en me lançant ça, elle se lève et se dirige vers la maison … quelques minutes plus tard, j'entends couler l'eau dans la baignoire. Je repense à ce qu'elle m'a dit … elle a raison, j'aurais vraiment l'air con si elle se tapait ne serait ce qu'un ou deux mecs du village. Et elle en est capable. Si elle ne le fait pas c'est que … je ne sais pas, en fait, ce qui la retient de le faire …


Au cours des jours suivants, elle fera encore une ou deux escapades nocturnes … j'espère dans des endroits sûrs. 


Enfin, une nuit, quelque chose me réveille … je ne sais pas trop quoi … un bruit, peut-être … il faut dire que je ne dors pas bien depuis le début du mois … non seulement j'ai du mal à trouver le sommeil, mais une fois que je dors, un rien me réveille … une voiture qui passe dans la rue, un chien qui aboie au loin, un peu de vent … et souvent aussi, des rêves érotiques … des rêves dont Christine est toujours …"l'héroïne" … Christine avec les trois frères sénégalais du Huitième Ciel, Christine sur la pelouse avec les cinq jeunes à la Mini, Christine dans une tournante géante au milieu du stade du village … Christine et des mecs, Christine et des bites, Christine qui suce, Christine qui branle, Christine qui baise …


Là, je ne sais pas ce qui m'a réveillé, je n'entends rien … j'ai laissé les volets et la fenêtre de la chambre ouverts à cause de la chaleur, et une clarté laiteuse inonde la pièce. Il fait encore très chaud et je suis trempé de sueur. Le réveil marque un peu plus de trois heures. Je me lève et je vais mettre le nez à la fenêtre. Le réverbère au coin de la rue est éteint, mais la nuit est très claire … une énorme lune toute ronde baigne toute la campagne de sa lumière pâle … Ça doit être la pleine lune, et c'est sans doute ce qui m'a rendu nerveux … Tiens, c'est des voix que j'entends ? Je prête l'oreille … mais non, il n'y a que le bruissement de la nuit sur les champs. 


En bas, la voiture de Christine est garée de l'autre côté de la cour … elle est donc rentrée ? Je ne l'ai pas entendue … Mais … pourquoi elle ne s'est pas garée comme d'habitude, à côté de ma voiture, au pied de la maison ? Elle doit s'être encore couchée dans le canapé du salon … Tiens, il y a deux voitures garées sur la ruelle qui dessert notre cour … un énorme 4x4 sombre et une grosse berline blanche … c'est bizarre, qu'est-ce qu'elles font là, garées sur le bas-côté herbeux, pile devant l'entrée du verger de mon copain Marcel ? Où sont leurs propriétaires ? A part Christine et moi, il n'y a personne dans le quartier … ma voisine d'à côté, Yolaine, est partie en vacance depuis plus d'une semaine, l'autre, Simone, en face de chez nous, est hospitalisée depuis un bon moment, et le couple qui habite tout au bout de la ruelle est aussi en vacances … Ceux qui ont garé leurs voitures ici, doivent être partis faire un tour dans la campagne au bout de la ruelle … peut être pour je ne sais quel sabbat nocturne et sexuel … il y en a que ça inspire, la pleine lune … ou alors, ils sont à l'ancien lavoir, au bout de la ruelle … c'est là que des jeunes du secteur se réunissent parfois pour vider quelques canettes … quoi que, ces deux voitures, ce n'est pas des voitures de jeunes …


C'est seulement au moment de quitter mon poste d'observation que je m'aperçois que deux taches de lumière se détachent sur les graviers de la cour, juste sous ma fenêtre … elle jaillissent par la fenêtre du salon dont les volets sont aussi restés ouverts, et par la porte-fenêtre de la salle à manger. Christine ne doit pas encore dormir ou bien elle a oublié d'éteindre. Je vais descendre à la cuisine boire un verre d'eau et j'en profiterai pour éteindre …


Quand j'ouvre la porte en haut de l'escalier, c'est le choc ! J'en ai le souffle coupé et le cœur qui s'emballe ! Mon œil saisit d'un coup l'ensemble de la scène, mais il me faut quelques secondes pour vraiment la comprendre et la détailler …


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Dimanche 17 décembre 2017 7 17 /12 /Déc /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

C'est évident, elle la veut, ma femme, la queue de Daouda ! Elle la veut en elle ! Elle la veut dans sa chatte, elle la veut dans son ventre … Ce sera la première fois que la bite d'un noir s'introduira dans son sexe. Elle tend les mains vers son ventre et les glisse vers son entrejambe, d'abord à plat sur le haut de ses cuisses … puis, délicatement, du bout des doigts, elle écarte ses petites lèvres … elle s'ouvre, elle offre sa chatte et son ventre au long sexe noir du jeune sénégalais !

 

Son impudeur, son indécence à réclamer cette bite sous les yeux d'une trentaine de spectateurs, c'est absolument lubrique et obscène … mais c'est si beau et tellement excitant ! Elle balaie l'assistance du regard, heureuse et fière d'être le centre de toutes les regards … elle prend les spectateurs à témoin … "regardez, il va me baiser ! ". Elle croise mon regard … me sourit … je lui rends son sourire … elle sourit à ce Daouda qui va la pénétrer d'un instant à l'autre … quand leurs regards se croisent, elle me désigne d'un coup de menton: "tu as vu ? Mon mari te regarde " … alors Daouda sourit et, en sénégalais, il signale ma présence à ses frères … A leur tour, les deux autres me dévisagent, se marrent et Mamadou me lance:

- Hé, mec ! Mon frangin, il va la baiser, ta femme !

- …

- Tu t'en fous ? Hé, remarque, nous aussi, on va la baiser !

 

Il se marre. Christine me jette un coup d'œil de défi, se tord le cou, et regarde amoureusement, au-dessus d'elle, Mamadou qui lui tripote les seins. Gardant ses petites lèvres écartées du bout des doigts de sa main gauche, et sa chatte ouverte à la pénétration de Daouda, elle caresse tendrement de sa main droite la joue de Mamadou, comme pour l'inciter à me provoquer. Encouragé, il me défie:

- Alors, le mari … le cocu, tu dis rien ?

 

J'hésite, et puis:

- Qu'est-ce que tu veux que je te dise ? Elle en a envie, apparemment, que vous la baisiez. Et que je sois d'accord ou pas, vous allez le faire, non ? Alors, allez-y, baisez la !

- Ça, c'est sûr, qu'elle en a envie. Regarde la, comme elle donne sa chatte à mon frère ! Et elle mouille à mort ! Pas vrai, Daoud'?

 

Daoud', tout en me regardant, se masturbe avec ostentation, pour bien me montrer avec quoi il va pénétrer et baiser ma femme:

- Oh ouais, elle mouille à mort ! Elle la veut, ma queue ! Et tu sais … sa chatte est encore pleine de la jute de Jo … tu sais, Jo, c'est le type qui l'a baisée, tout à l'heure … et moi … moi, je vais lui en remettre une dose, à ta femme  …

 

Mamadou sourit, pétrit les seins de ma femme et lance à Daouda:

- Allez, Vas-y, Daoud', baise la ! Môssieur son mari te regarde !

 

Il éclate de rite. Le type à côté de moi me regarde du coin de l'œil, guettant mes réactions. Daouda passe une main sous les reins de Christine, la soulève un peu, et, à genoux, il finit de s'approcher … ça y est, il va la pénétrer ! Enfin, il saisit son long sexe, plus que jamais dressé, le penche … et place son gland devant sa chatte …

 


 

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Oh, putain, cette bite si noire devant cette moule si rose et luisante de désir  … il commence à la pénétrer ! Putain, ça y est, son gland disparaît entre ses petites lèvres qu'elle tient toujours écartées du bout des doigts ! Il est en elle ! Il s'enfonce lentement … je vois ce long cylindre noir disparaître peu à peu dans le ventre pâle de ma femme. Un frisson me parcourt … ça y est, ce type, ce noir est en elle … haletante, elle le dévisage, puis regarde son ventre … dévisage à nouveau son amant… puis elle me regarde: " tu vois ? Il enfonce sa bite dans mon ventre ". Lui, les yeux braqués sur le sexe de ma femme, contemple sa queue qui progresse en elle …

 

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Il a maintenant ses deux mains sous ses fesses à elle, et il la soulève un peu pour la maintenir à hauteur de son ventre à lui … Je n'y tiens plus … je me fous de ce qu'ils penseront, tous autant qu'ils sont … ses amants et les spectateurs … je descends ma braguette, je glisse ma main à l'intérieur, et je sors ma queue ! Mon geste n'a pas échappé aux spectateurs qui sont en face de moi … ils se poussent du coude et se marrent … Je suis raide et moi aussi, je mouille. J'empoigne ma queue et, doucement, les yeux braqués sur ce type qui est en train de fourrer ma femme, je me masturbe. Moussa aussi m'a repéré. Il sourit, tape sur le bras de Mamadou et me désigne d'un coup de menton. Mamadou éclate de rire:

- Hé ! Regarde ton mari ! Il se branle.

 

Elle me jette à peine un regard et se reconcentre sur Daoud' … sur ce beau "nègre" qui a commencé à aller et venir dans son ventre … bouche entrouverte, haletante, yeux mi-clos, elle savoure ce que ce mec lui fait … je la sens réagir imperceptiblement … cette longue bite noire qui bouge en elle lui donne du plaisir … Quel tableau ! Elle, si blanche et abandonnée entre les mains de ces trois noirs … si noirs … j'en oublierais presque le rebeu, Morad, pourtant agenouillé, de dos, devant moi, tellement c'est le contraste de couleurs entre les trois sénégalais et ma femme qui accapare l'œil. Lui, Morad, il la caresse distraitement et regarde aussi Daoud' la baiser. J'ai l'impression que la gestuelle de Daoud' évolue peu à peu … comme si son va et vient dans la chatte de Christine commençait à produire ses effets sur lui: la bouche entrouverte et les yeux mi-clos, il déglutit régulièrement … ses doigts, enfoncés dans la fesse de ma femme sont de plus en plus crispés … il rectifie régulièrement la position de ses genoux … sa respiration est de plus en plus saccadée … D'un seul coup, quand il recule son bassin et sort un peu sa queue de la chatte de ma femme, je remarque que du blanc est apparu sur sa verge si noire … ça ne peut pas être son sperme à lui … je suis sûr qu'il n'a pas encore joui … ça ne peut être que celui de Jo, qu'il est en train de brasser avec sa bite dans le vagin de ma femme … 

 

Et ça s'accélère soudainement … il l'empoigne plus fermement par la taille, se dresse un peu plus sur ses genoux en la soulevant, et, dans un grognement, il amplifie son va et vient … ses deux frères ont aussi saisi ce qui se passe, et ils maugréent encore je ne sais quoi en sénégalais, comme un encouragement … A son tour, Daoud' halète et son grognement se transforme en un long râle … Il va jouir ! Il va éjaculer dans son ventre … Elle aussi, a compris qu'il va la féconder… les yeux exorbités, elle regarde son propre ventre, y pose sa main à plat, comme si elle cherchait à sentir sous les muscles de son abdomen ce sexe qui la pilonne et son sperme qui jaillit … et ça lui déclenche un orgasme … elle se tortille sous l'effet de l'excitation et du plaisir … secoue sa tête en gémissant … je vois son ventre se contracter spasmodiquement … il la fait jouir … je ne l'avais jamais vue jouir comme ça ! Et pour cause … je ne l'avais jamais vue se faire baiser par un autre, alors je n'ai jamais eu un tel point de vue sur elle au moment d'un orgasme … Ça y est, Daoud' jouit aussi ! Ah putain, sa longue bite noire est en train de déverser sa semence au fond du vagin de ma femme ! Là, dans son ventre, quelque part entre sa chatte et son nombril, du sperme jaillit du gland tout noir de ce superbe "nègre", se répand dans son ventre et lui imprègne les muqueuses. Et comme une confirmation, ce ne sont plus des traces blanches qui maculent la verge noire de Daoud', c'est une mousse blanchâtre qui jaillit de la chatte de ma femme dans un gargouillis mouillé ! Maintenant, Daoud' souffle comme un bœuf et elle gémit de plus en plus fort, toujours submergée par des vagues de plaisir …

 

Je me rends compte que, sous l'effet de l'excitation, j'ai instinctivement intensifié ma masturbation. De nouveau, je suis obligé d'étrangler la base de ma bite, juste sous les couilles, pour ne pas jouir, moi aussi. 

 

Soudain Daoud' se met à rire. Il laisse retomber un peu le bassin de ma femme, lui pose les fesses sur ses genoux, se redresse, et cale ses propres fesses sur ses talons. Il a fini … il regarde l'assistance, et:

- Ah ! Puuuuuuutain !

 

Elle, complètement avachie, molle comme une poupée de chiffon, reprend son souffle … le dos toujours calé sur les genoux de Mamadou, des deux mains, elle lui agrippe le bas de son Marcel au niveau de la taille, tandis qu'il continue de lui caresser la poitrine.

 

- T'as aussi pris ton pied ?

 

Daoud' se renseigne. Elle me jette un coup d'œil et hoche la tête avec conviction … oui, elle a aussi pris son pied. Content de lui, il poursuit:

- Je l'ai senti … Bon … à qui le tour, maintenant ? Mouss' ? Mamadou ?

- Nan ! Nous deux … après …

 

Ecartant et resserrant trois ou quatre fois son index et son majeur, Mamadou a accompagné sa réponse d'un geste de la main englobant son frère et lui-même … comme un signe convenu entre eux. Il lance: 

- Vas-y, Morad !

 

Il me regarde et lance:

- Tu vois, on va continuer !

- Ben oui, allez-y, continuez …

 

Il secoue la tête comme quelqu'un de désabusé. Daoud' caresse l'intérieur des cuisses de ma femme, il la soulève encore, et, tout en se dégageant de sous elle, il sort sa bite de sa chatte. Sa longue bite noire me semble toujours aussi longue, et un peu moins noire, mais elle ne se dresse plus à la verticale, et retombe mollement entre ses cuisses. Pendant que Daouda se relève, ma femme s'affaisse sur le sol de la piste de danse, cuisses écartées. Sa chatte est toute luisante et des traces blanches s'étalent jusqu'à l'intérieur de ses aines. Morad aussi, s'est relevé. Un dos impressionnant ! Les bras aussi. Il se retourne et je me rends compte que lui aussi a sorti sa queue et qu'il bande. Bien moins longue que celle de Daoud', sa queue, mais plus trapue, plus massive … comme le mec lui-même. Il regarde le demi-cercle de spectateurs au milieu duquel je me trouve, et reconnaît sa sœur. Aussitôt, elle me désigne du doigt à son intention:

- Hé, Morad, c'est lui, son mari !

 

Morad se tripote le gland, me sourit:

- Ah ouais … alors c'est toi, le mari ? Ça te gêne pas, au moins, que j'la baise, ta femme … De toute façon, même si ça t'gêne, j'la baise quand même …

 

Il ricane, content de lui comme s'il venait de sortir un bon mot. Il a raison, même si ça me gênait, taillé comme il est, c'est même pas la peine que je me frotte à lui, je ne fais pas le poids. Je n'aurais qu'une chance de venir à bout de ce mec-là, c'est en lui balançant directement un coup de pied dans les couilles … Mais je me surprends moi-même en me disant que, pour le moment, je préfère qu'il les garde intactes, ses couilles, pour qu'il puisse s'en servir …

- J'ai compris, Morad … vas-y …

 

Il se penche sur Christine, la prend par le bras et l'incite à se lever:

- Toi, viens là et fous toi à quatre pattes … J'vais t'prendre en levrette

 

Docilement, mais péniblement, elle se lève, oscille, trébuche, se rattrape au bras de Morad et constate:

- Pfiouuuuu ! J'ai les jambes en coton.

 

Ça n'a rien de surprenant … deux orgasmes à quelques minutes d'intervalle ! Et tout aussi docilement, elle s'agenouille au milieu de la piste. Morad, ôte posément ses chaussures de sport,  quitte son pantalon de survêtement et le plie soigneusement, puis il le dépose entre les pieds de Christine. Il a des cuisses et des mollets impressionnants de muscles. La queue en main, il se place debout entre les pieds de Christine. Aussitôt, elle pivote et se retrouve avec les yeux juste à la hauteur de la bite trapue du rebeu. Il est circoncis et son gland paraît bien petit  par rapport au diamètre de sa verge. Grosse touffe de poils noirs sur le pubis, mais seulement au-dessus de son sexe … pratiquement pas de poils sur les couilles. Elles sont toutes serrées, plaquées à la base de sa verge … comme si elles étaient toutes les deux dans une seule et même bourse ! Curieusement, je me sens soudain gêné d'examiner ainsi la bite de ce type ... c'est-à-dire qu'après m'être demandé ce que ça lui ferait, à elle, de toucher cette bite et de la prendre dans sa bouche, malgré moi, je me suis demandé ce que ça me ferait à moi … de la toucher et de la … Christine, elle, semble satisfaite de son examen, et justement, elle amorce un geste de la main, comme pour saisir cette bite et à la sucer, mais Morad ne lui en laisse pas le temps. D'un geste autoritaire de la main, il lui fait signe:

- Allez, fous toi à quatre pattes !

 

Elle sourit et se retourne. Au moment où elle se penche en avant pour finir de se mettre en position, nos regards se croisent. Dans le sien, je lis "tu as vu sa bite, à celui-là ? Il va me fourrer ça dans la chatte". Voilà, elle a posé ses mains à plat et elle écarte un peu plus les genoux. J'hésite un instant, puis je me décale un peu sur ma gauche et je m'insère entre deux couples qui s'écartent obligeamment pour me laisser la place. A l'un des hommes, qui semble s'étonner de ma manœuvre, j'explique:

- D'ici, je verrai mieux.

- Ah, OK.

 

Il a compris, il sourit d'un air complice et il hoche la tête. Oui, d'où je suis maintenant, un peu plus derrière Christine, j'ai une vue direct sur son cul et sur sa chatte. C'est vrai que comme ça, avec son cul bien rond encore très appétissant, ses belles cuisses bronzées et la cambrure naturelle de ses reins, c'est un appel au coït, à la copulation. A sa compagne, qui a dû s'étonner, elle aussi, de me voir changer de place, j'entends mon voisin expliquer:

- De là, il voit mieux la foune à sa meuf …

 

La fille se penche, me regarde et sourit. Christine attend en parcourant l'assistance du regard. Je sens une tension chez tous ceux qui s'apprêtent à la voir se faire mettre. Dans un instant, un troisième mec va la fourrer ! Morad arrange consciencieusement son pantalon entre les mollets de Christine, et s'agenouille dessus … il est soucieux de son confort personnel, ce mec ! Il pose une main sur les fesses de Christine et lui remonte sa robe sur les reins. A ce contact, instinctivement elle se cambre davantage. Voilà, cul à l'air, vulve offerte, elle est prête à se faire prendre par ce type sous les yeux de cette trentaine de spectateurs. 

 

Moussa s'est assis, un peu penché en arrière, les jambes étendues devant lui, ses deux mains posées au sol derrière lui et il regarde Morad. Il a ouvert son jean et sa longue bite noire, un peu moins raide que tout à l'heure, mais toujours en semi érection, repose mollement sur sa cuisse. Ses couilles pendent très bas dans des bourses pratiquement imberbes. Mamadou, lui aussi, a sorti son sexe. Il bande aussi. Agenouillé, les fesses posées sur ses talons, une main à plat sur sa cuisse, de l'autre, il se malaxe mécaniquement le gland. Qu'est-ce qu'elles sont belles leurs bites ! Putain, quand Morad en aura fini avec elle, Christine va se prendre ces deux autres longues bites noires ! C'est vraiment dingue, quand même, je viens de voir ma femme se faire baiser par deux types, et non seulement je regarde un rebeu s'apprêter à la prendre à son tour en levrette, mais je sais qu'après lui, deux autres sénégalais vont aussi lui passer dessus ! Et plutôt que de me rendre malade de jalousie, ça me plaît … ça m'excite !

 

Morad s'avance, la queue toujours en main. Il passe les doigts de son autre main sur la chatte de Christine – j'ai bien fait de changer de place, d'ici j'ai une vue directe sur ce qu'il lui fait - et je le vois lui décoller délicatement ses deux pétales roses et luisants, découvrant le minuscule orifice sombre de sa vulve. Putain, comment ne pas avoir envie d'enfoncer son sexe là-dedans ? Elle est restée étroite, Christine, et son vagin est très tonique. Je me rappelle comme j'étais bien dans elle, la dernière fois que je l'ai prise par derrière … ça fait quand même un moment, déjà. Satisfait, Morad approche son gland de l'entrée de ce vagin et l'enfonce légèrement. Instantanément, Christine réagit: bouche grande ouverte, elle pousse un puissant soupir et courbe sa tête vers le bas … La vache, elle doit avoir la chatte en feu ! Et moi, de voir le gland de ce type se glisser à l'intérieur de ma femme, ça m'électrise la queue et la prostate ! Il y a longtemps que j'ai suspendu ma masturbation. Sinon, j'aurai déjà éjaculé. Mais je bande comme jamais, je suis dur, gonflé, presque à m'en faire mal. Je me contente de presser la base de ma queue, juste sous mes couilles.

 

J'entends Christine respirer par la bouche. Morad pose ses mains sur ses hanches et cette fois, il s'enfonce résolument en elle. Elle gémit, redresse sa tête, nuque cassée en arrière, yeux fermés et elle se met à haleter … Autour, les spectateurs gloussent et commentent en sourdine, stupéfaits qu'elle réagisse à ce point à cette pénétration. Maintenant qu'ils ont compris comment je prends la situation, ce n'est plus de l'ironie, que je devine dans leurs yeux quand ils me regardent. Peut être pas de l'admiration, mais quelque chose dans le genre.

 

Bien calé en elle, le ventre contre ses fesses, Morad lève ses deux mains à hauteur de sa tête, les doigts bien écartés … et il les agite à toute vitesse en poussant un long et puissant hennissement … l'étalon est dans sa jument ! Eclat de rire général ! Puis il pousse un long "haaaaaaaaaaaa !" de satisfaction, reprend Christine par les hanches, et se met à la pilonner … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … son ventre claque contre les fesses de ma femme … les doigts enfoncés dans le gras de ses hanches, il la secoue vigoureusement … plaf … plaf … plaf … plaf …  Là-bas, à deux mètres sur ma droite, le type qui m'a parlé tout à l'heure attire mon attention en agitant sa main. Quand il voit que je le regarde, il tend sa main gauche, poing fermé et pouce levé et il secoue sa main droite dans un mouvement qui veut clairement dire "qu'est-ce qu'il lui met, à ta femme, le Morad ! ". Sa meuf, la jolie beurette, se penche à son tour et, toute souriante, me montrant le couple qui copule devant nous, elle me manifeste d'une mimique expressive, toute l'admiration qu'elle a pour son frère. Pendant ce temps … plaf … plaf … plaf … plaf … Morad continue … et Christine secoue sa tête de droite à gauche en gémissant de plaisir … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … 

 

Brusquement, Morad ralentit son va et vient, se penche en avant, passe ses mains sous la robe de Christine et les glisse le long de ses flancs, jusqu'à sa poitrine … remontant du même mouvement sa robe jusque sur ses omoplates. La voilà pratiquement nue, totalement livrée aux regards des voyeurs qui les entourent.

 

Sous le tissu froissé, je vois Morad prendre les deux globes de Christine dans ses mains, et se mettre à les pétrir délicatement. Le voilà à demi couché sur le dos de Christine, allant et venant lentement en elle et lui caressant doucement la poitrine … pas difficile d'imaginer ce que ce type ressent à cet instant … le plaisir de son sexe allant et venant dans la tiédeur humide du ventre de ma femme … le plaisir de ses mains palpant ses seins … la satisfaction de posséder une femme sous les yeux de son mari … la gloire de l'amener au septième ciel en public … parce que ça ne fait pas l'ombre d'un doute, avant longtemps, Christine va encore jouir, Christine va encore prendre son pied … pour la 3ème fois ce soir ! Je me demande comment ce rebeu, soumis à de tels stimuli, peut tenir si longtemps, après avoir fourré ma femme aussi vigoureusement … moi, il y a longtemps que j'aurai joui … mais il se met à grogner … comme Daouda, il y a quelques instants … il se met à grogner, il se redresse, il redescend ses mains sur la taille de Christine et il redémarre … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … plaf … et cette fois, mâchoires crispées, il halète entre ses dents serrées et postillonne … Les seins de Christine ballottent sous elle au rythme des coups de bite de cet étalon … et seuls de petits gémissements, couverts par les râles de son mâle, témoignent de son plaisir … Je m'aperçois qu'une main passée sous son ventre, elle est sans doute en train de se masturber … à moins qu'elle ne soit en train de caresser les couilles de son amant pendant qu'il va et vient dans son ventre …

 

Soudain, dans un ultime "aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh !", il se précipite en elle et, tête rejetée en arrière, bouche grande ouverte, mains crispées autour de sa taille, il bloque son ventre contre les fesses de ma femme. Ça y est, il jouit ! Il éjacule ! A son tour, ce type insémine ma femme, il la remplit de semence ! Oh putain, Morad ! Oui, vas-y, jouis … jouis dans ma femme ! A deux doigts d'éjaculer aussi, je me retiens de haleter ouvertement et seule la pression que j'exerce sur mon urètre bloque le premier spasme de ma queue, signe précurseur d'un orgasme. 

 

Le silence s'est fait autour de cette partie de cul … je regarde autour de moi … certains garçons, aussi surexcités que moi, pressent leur sexe comme moi pour se retenir … mais plusieurs se masturbent gaillardement … et si quelques filles aident activement leur compagnon, d'autres se donnent elles-mêmes du plaisir sans aucune pudeur ni retenue … scène hallucinante ! Je n'imaginais pas que de telles séances de voyeurisme collectif pouvaient exister, mais de toute évidence, vu le naturel avec lequel garçons comme filles se caressent ouvertement, seuls ou en couple, c'est que ce sont tous des habitués ! 

 

Je crois que Morad a fini. Il reprend son souffle, se passe la langue sur les lèvres, et caresse doucement les fesses de Christine. Elle, elle s'est affaissée, et elle appuie son front sur ses avant bras croisés à plat sur le sol. Je vois son abdomen bouger convulsivement et ses épaules se secouer … Que lui arrive-t-il ? Elle pourrait aussi bien être en train de rire, de pleurer ou de vivre un troisième orgasme … Morad, qui s'en est aussi aperçu, doit se poser les mêmes questions … il lui presse une hanche, et demande, légèrement inquiet:

- Dis … ça va ?

 

Comme elle ne répond pas, il insiste:

- Hé, dis … tu … tu nous fais quoi, là … ça va ?

 

Enfin, elle se redresse et tourne la tête vers lui:

- Oh oui, ça va ! Pfiouuuuuu … ouh la laaaa !

 

Elle est radieuse ! Applaudissements, rires, cris, sifflets … Morad, à la fois rassuré et fier de l'avoir mise dans un tel état, sourit. Puis, lentement, il extrait son sexe de Christine, et se lève. Elle s'affale en avant sur le sol, cuisses écartées, mollets dressés à la verticale, les yeux clos et la joue posée sur son avant bras, essoufflée … image de la femelle comblée, assouvie, repue de sexe … 

 

C'est ma femme ! C'est ma femme qui vient de se faire baiser pour la troisième fois … par trois types différents … et qui vient de jouir pour la troisième fois … Je la vois passer son bras libre sous elle, sa main jusqu'à son entrejambe, et se palper la chatte … je suis on ne peut mieux placé … elle rentre son majeur dans son vagin, le ressort, se caresse les petites lèvres, les étale, puis se triture le clitoris …

 

- A nous, maintenant, Moussa !

 

C'est la voix de Mamadou. Pourquoi "à nous", et pas seulement "à toi" ou "à moi" ? D'un seul coup, ce que m'a expliqué le jeune de tout à l'heure … Kevin … ce qu'il m'a complaisamment expliqué à propos des trois frères, me revient en mémoire … « en général, quand ils lèvent une gonzesse, ils la baisent tous les trois … trois mecs d'un coup … une bite dans chaque trou … et des fois deux bites dans le même trou … ». Ils n'ont quand même pas l'intention de se mettre à deux sur Christine ! Et puis … et puis comment ils vont faire ? Kevin a dit  « une bite dans chaque trou … et des fois deux bites dans le même trou … » . Ils vont … ils vont … l'un se faire sucer et l'autre la baiser ? Ou l'un la baiser et l'autre la sodomiser ? Elle a horreur de ça, se faire enculer ! Elle ne voudra pas, ça, c'est sûr ! Ou alors … ou alors, lui fourrer tous les deux la chatte en même temps …

 

Les deux frères ont bougé en même temps … Moussa est passé de la position assise à la position à genoux, et il avance à quatre pattes vers Christine … Et Mamadou … Mamadou, toujours à genoux, s'est redressé et il glisse lentement vers elle. Ils bandent tous les deux … je vois le long sexe noir de Moussa sous son ventre et celui de Mamadou fièrement dressé, comme celui de Daouda, tout à l'heure ! Putain, deux mâles … deux grands mâles qui s'avancent vers la petite femelle qu'ils ont l'intention de baiser ! Elle les a sentis ou entendus approcher d'elle. Elle ouvre les yeux, soulève sa tête et les regarde tour à tour. Elle sourit. Mamadou:

- T'es prête ? C'est nous deux, maintenant … Moussa et moi …

 

Elle les regarde encore et hoche la tête:

- Oui.

 

Mamadou est maintenant à genoux tout contre elle. Il se penche au-dessus d'elle, la prend sous les aisselles et l'incite à se redresser:

- T'as compris, hein ? C'est nous deux, Moussa et moi … EN MÊME TEMPS …

 

Il l'aide à s'asseoir. Bruit de bulles qui s'échappent de son sexe. Ça commence à faire pas mal, trois éjaculations dans son ventre ! Comme Mamadou est maintenant entre Christine et moi, je ne vois d'elle que ses jambes et son bassin. Je la vois passer ses bras autour du cou de Mamadou, se pencher, me chercher des yeux … elle me trouve, elle remarque que j'ai la bite à la main … marque un temps d'arrêt et, sans me quitter des yeux:

- Oui, j'ai compris, Mamadou. C'est vous deux, Moussa et toi … tous les deux en même temps …

 

Putain, c'est autant à moi qu'à lui, qu'elle signifie que oui, elle va se faire baiser par les deux frères en même temps … Dans son regard pour moi, il y a clairement « tu vois ? Tu l'as cherché ! ». Elle peut me provoquer, me narguer, me défier, je m'en fous ! Je ne suis pas jaloux. C'est dingue, mais je n'attends que de les voir la baiser … tous les deux en même temps … Mais je ne sais toujours pas comment, justement, ils comptent la baiser en même temps. Elle détourne son regard, cherche la bouche de Mamadou et ils s'embrassent à nouveau fiévreusement. Moussa a fini de s'approcher … le voilà aussi contre elle, et il commence à la caresser, sa queue noire dressée. Elle quitte la bouche de Mamadou et offre la sienne à Moussa. Pendant qu'ils s'embrassent fougueusement, Mamadou se lève et entreprends de se déshabiller. Il a un corps magnifique ! Son Marcel dissimulait des abdominaux et des pectoraux impressionnants. Il ôte ses chaussures de sport, descend son jean sur ses pieds et le balance négligemment un peu plus loin. Je réalise que ni lui, ni ses deux frères ne portent rien sous leurs jeans. Il n'a plus que ses chaussettes. Ses cuisses et ses fesses sont à l'avenant du reste, fines, musclées, superbes. C'est un mâle magnifique. Plein d'assurance, il se tourne un peu vers moi, et, tout en se caressant complaisamment le ventre, il me sourit. Ce type se sait beau … ce type sait qu'il est un mâle exceptionnel … un amant exceptionnel. Je lui rends son sourire. Je me sens étonnamment serein … excité, mais serein … heureux que ce soit par deux mâles de cet acabit que ma femme s'apprête à se faire sauter … Autour, je le vois, tout le monde admire ce corps et ce sexe … hommes comme femmes. Il se tourne vers la cabine du DJ, se dresse sur la pointe des pieds, lève la main et:

- Hé, mec ! Tu penses au matelas ?

 

Je réalise qu'il n'y a plus qu'un peu de musique en sourdine. Depuis combien de temps ? Le DJ sors précipitamment de son antre et disparaît par une porte. Mamadou:

- Allez, Moussa, prépare toi.

 

Moussa et Christine continuent de se paloter quelques secondes, puis le black décolle sa bouche et se relève. A son tour, il se déshabille. Tiens, derrière la rangée de voyeurs, de l'autre côté de la piste, le troisième frangin est réapparu. Y'a pas à dire, Moussa et Mamadou sont des clones parfaits. Deux corps d'athlètes d'un noir intense et luisant … on dirait des sculptures …  et ces deux queues noires toujours dressées ! Christine, à son tour, se relève. Nouveau bruit de bulles du côté de son entrejambe. Ça n'a pas l'air de la gêner, elle sourit. Elle parcourt l'assistance du regard, se penche, délace ses Tropéziennes et les balance d'un coup de pied. Puis elle saisit à deux mains le bas de sa robe chiffonnée, la passe par-dessus sa tête et l'envoie rejoindre ses sandales. Cette fois, elle est complètement nue … encadrée de deux superbes sénégalais également nus et qui bandent ! Quelqu'un, sur ma droite, se met à applaudir … je me penche … c'est Kevin … sa copine fait comme lui et, peu à peu, tout le monde s'y met. Ils applaudissent qui ? Christine ou les deux frères ? Ou les trois … et pour quoi ? Pour leurs corps, pour leur nudité ou pour ce qu'ils vont faire maintenant ? 

 

Sans doute stimulée par ces applaudissements, Christine tend ses mains vers les deux frères … qui se rapprochent d'elle et l'encadrent … et elle les prend par la taille. L'un passe son bras sur ses épaules, et l'autre un peu en dessous. Putain, quel tableau ! Elle, petite femelle blanche entre deux grands mâles noirs en rut ! Tous trois se mettent à tourner lentement sur eux-mêmes, tels des artistes saluant leurs spectateurs. Constamment Christine jette des regards étonnés et avides sur les deux longs sexes noirs, sans doute pour se convaincre qu'elle ne rêve pas. Ils ne sont plus dressés à la verticale, leur excitation est un peu retombée, mais ils semblent toujours aussi longs, le gland vers le bas. La plastique parfaite des deux jeunes sénégalais fait ressortir la maturité de Christine. L'œil saisit immédiatement qu'elle et eux ne sont pas du même âge … ni de la même génération. A quarante deux ans, elle a gardé une ligne pratiquement intacte, des jambes, des fesses et une cambrure encore impeccables et très sensuelles, mais elle s'est un peu empâtée du ventre et ses seins se sont alourdis. Mais ce soir, ça ne l'a pas empêchée de séduire et de chauffer cinq types plus jeunes qu'elle, dont ces trois frères, qui ont sans doute l'âge d'être ses fils ! Moi, mon excitation s'est calmée. Je ne bande plus qu'à moitié et j'ai pu lâcher ma queue. Je ne l'ai pas pour autant rangée.

 

Voilà, ils ont fait un tour complet sur eux-mêmes. Ils se séparent pour mieux se recoller, elle face à face avec … avec qui ? Je ne sais plus lequel est Moussa et lequel est Mamadou ! Face à face, avec un des deux frères, donc … et l'autre collé contre son dos … prise en sandwich ! De nouveau, comme tout à l'heure, leurs mains s'activent … celles de Christine, comme celles des deux frères … eux la caressent, la pelotent, lui pétrissent les fesses et les seins … l'un lui explore la chatte, l'autre la raie des fesses … leurs sexes sont de nouveau dressés, coincés, l'un contre le ventre de Christine, l'autre contre ses reins … et elle les tient, un dans chaque main, et les masturbe … Elle est encore à "bouche que veux-tu" avec celui de devant, tandis que l'autre la lèche, l'embrasse, la mordille dans la nuque et sur les épaules. Ce qu'ils sont beaux, tous les trois ! Et au milieu, c'est ma femme … ma femme qui va baiser avec ces deux éphèbes noirs ! 

 

Ces corps nus … tellement nus … ces deux longs sexes noirs en érection, avec leurs testicules qui pendent en dessous … ces mains blanches qui s'activent sur ces sexes noirs … ces mains noires qui explorent cet entrejambe blanc et pétrissent cette poitrine … ces doigts noirs qui fouillent ce sexe rose et luisant de désir … devant ce public … tout cela devrait me paraître parfaitement obscène, graveleux, inconvenant … choquant … et c'est tout le contraire … je les trouve si beaux, tous les trois … ma femme et ses deux amants sénégalais  … ils sont sensuels, érotiques ... et touchants … les deux frères se montrent si pleins de douceur … de tendresse pour Christine … ils ne vont pas la baiser … ils vont lui faire l'amour ! Et j'en suis heureux pour elle !

 

 

Revoilà le Dj, embarrassé d'un grand rectangle revêtu de toile blanche … sans doute le matelas qu'attendait Mamadou:

- Place ! Place !

 

Le cercle des spectateurs s'ouvre et le DJ balance le matelas aux pieds du trio qui poursuit ses ébats pendant quelques instants. Un regain d'intérêt et de tension parcourt l'assemblée. Le noir qui embrasse Christine décolle sa bouche, et:

- Allez, Moussa, on y va, maintenant.

 

C'était donc Mamadou qui roulait encore une pelle à ma femme. Au fait, est-ce qu'elle les reconnaît, elle ? Si ça se trouve, ça n'a aucune importance pour elle, de savoir qui est qui .. ils sont tellement semblables ! Moussa se décolle lentement de Christine et recule d'un pas. Mamadou s'écarte d'elle, lui prend la main et monte sur le matelas en l'entraînant. Les deux frères bandent à nouveau vraiment, manifestant sans retenue l'intensité de leur désir. Leurs bites raides sont dressées à la verticale … ils sont prêts ! Mamadou commence à s'allonger, tenant toujours la main de Christine. Il l'attire au-dessus de lui. Moussa les a suivis, ses mains sur les hanches de Christine. Elle enjambe Mamadou, pose un genou de chaque côté de ses cuisses et s'allonge sur lui. De nouveau bouche contre bouche. Décidément, ils aiment ça tous les deux ! Il la caresse … épaules … cou … dos … flancs … reins … fesses … elle l'embrasse fiévreusement … leur accouplement approche, et je sens son excitation monter … elle a le ventre posé sur l'extrémité du sexe de Mamadou, dont il ne dépasse, entre ses cuisses à elle, que la base de la verge et les couilles. 

 

Le frère, Moussa s'est accroupi entre les jambes de Christine et, appuyé d'une main sur le matelas, il lui caresse l'intérieur des cuisses, remonte vers son entrejambe, lui passe délicatement le bout des doigts à la jointure de ses cuisses et de son périnée … ce minuscule  endroit de quelques centimètres carrés que j'aime tellement embrasser, à la fois si doux et si sensible et qu'elle ne m'a pas laissé toucher depuis des mois … Est-ce qu'elle sent cette main qui la caresse ? Ou bien totalement absorbée par ce baiser torride, ne s'en rend-elle pas compte ? Moussa s'aventure un peu plus … comme Morad, tout à l'heure, il écarte doucement ses petites lèvres humides et commence à lui introduire son index. Ça, elle le sent … elle se cambre et, comme par réflexe, elle écarte un peu plus ses cuisses. Maintenant, je suis convaincu que ce sera " deux bites dans le même trou " … ils vont lui faire une double pénétration vaginale … je SAIS qu'elle ne se laissera pas sodomiser, et compte tenu de la position qu'ils ont adoptée, tous les trois, ce ne sera pas non plus baise et pipe. Une double pénétration ! Deux bites dans sa chatte ! Deux mâles … deux superbes sénégalais en même temps dans sa chatte ! Deux superbes sénégalais qui vont, à leur tour, et en même temps, répandre leurs semences au fond du ventre de Christine ! Je me remets à bander.

 

Est-ce qu'au moins, elle le sait, elle, ce que les deux frères vont lui faire ? Est-ce qu'ils le lui ont dit ? Est-ce qu'ils lui ont demandé si elle était d'accord ? Et si ils le lui ont demandé, est-ce qu'elle leur a dit qu'elle était d'accord ?

 

Tout en l'embrassant, Mamadou bouge … il glisse une main entre leurs deux ventres, et … oui, voilà sa main qui apparaît entre les cuisses de Christine, et il dégage l'extrémité de sa queue coincée entre leurs ventres. Moussa, toujours accroupi, sa queue en érection, dressée sous son abdomen, a toujours un doigt dans le sexe de Christine. Mamadou a plaqué sa verge entre les fesses de ma femme … ce long sexe si noir dans cette raie qu'il fait alors paraître si pâle ! Dans un instant, ce long sexe si noir sera à l'intérieur de ma femme ! Pour le moment, Mamadou a décollé sa bouche de celle de Christine et il lui parle à l'oreille … Elle hoche la tête … oui, elle est d'accord … d'accord pour quoi ? Alors il fait glisser son gland dans sa raie humide, lui parle encore à l'oreille … et elle bouge à son tour, assure la position de ses genoux, de part et d'autre de ceux de son amant … et elle se cambre … au juger, Mamadou approche son gland de la vulve de Christine … son frère ôte son doigt et attend … Ah putain, je m'apprête à voir Mamadou, magnifique Apollon sénégalais, enfoncer son long sexe noir dans le sexe rose et luisant de ma femme … une bouffée de chaleur me parcourt de la tête aux pieds …

 

Ça y est … le gland de Mamadou disparaît entre les petites lèvres de ma femme … ces petites lèvres que son frère a si soigneusement écartées il y a un instant … comme pour ouvrir la voie au sexe de son frère. Je réalise que, sous l'apparence de la spontanéité et de l'improvisation, et tout en donnant l'impression de n'obéir qu'à des pulsions sexuelles irrépressibles, en fait, les deux frères suivent sans doute un scénario bien rôdé … Maintenant, le gland tout noir de Mamadou s'enfonce dans Christine ! Ah, putain ! Ce n'est pas lui qui a bougé … c'est elle ! C'est elle qui, en oscillant du bassin en même temps qu'elle glissait toute entière vers le bas, s'est empalée sur ce sexe ! Ça lui arrache un cri … "Aaaah ! ". Bouche bée, yeux grands ouverts … comme surprise de ce qui lui arrive, elle halète. Plus de la moitié du sexe de Mamadou est maintenant en elle. Ses deux bras passés autour de son torse, il l'enlace. Oh la laaaa ! Ce cylindre de chair noire enfoncé dans ce fourreau de chair rose ! Elle continue, fébrile et haletante … elle recommence à osciller du bassin tout en reprenant cette reptation à reculons … et Mamadou continue de se couler en elle ! Ça semble aussi lui faire beaucoup d'effet, au grand black ! Lui aussi, bouche grande ouverte, nuque cassée, tête rejetée en arrière, il se cambre à son tour et halète … Tout autour, silence général … tout le monde est fasciné par le spectacle ! Voilà … Christine ne pourra pas descendre davantage … l'entrée de son vagin est arrivée à la base de la verge de son amant … elle a en elle tout son long sexe noir. J'imagine, tout au bout de cette longue tige … le gland de Mamadou … gonflé de désir, épanoui de plaisir, enfoui dans les chairs de ma femme … Christine et Mamadou … Mamadou et Christine … l'homme noir et la femme blanche … leurs organes génitaux maintenant intimement imbriqués, ils s'apprêtent à se reproduire … dans quelques minutes, le mâle noir va répandre sa semence dans le ventre la femelle blanche comme pour lui transmettre son patrimoine génétique … mais cette insémination ne sera pas féconde … pas de bébé, pas de petit métis café au lait … à cause d'un stérilet, quelques milligrammes de plastique et de cuivre vont faire de cet acte de fécondation  un vulgaire libertinage, une débauche, une luxure, une fornication … 

 

Moussa, maintenant à genoux de part et d'autre des mollets de son frère et entre ceux de Christine, est penché au-dessus d'elle et lui caresse l'intérieur des cuisses d'une main, tandis que, de l'autre, il se masturbe. Mamadou dénoue ses bras d'autour de Christine, descend ses mains sur ses fesses et se met à les pétrir fiévreusement … Je le devine, il se sent si bien, dans ma femme … Moussa lâche sa queue, sort ses doigts d'entre les cuisses de Christine, et, se courbant au-dessus d'elle, il pose ses deux mains sur le matelas, à hauteur de ses épaules. S'appuyant sur ses genoux et sur ses poings, il reste comme ça, suspendu au-dessus d'elle, se contentant de la frôler de son torse. La voilà littéralement prise en sandwich … si claire, malgré son bronzage, entre ces deux corps si noirs … Je vois Moussa poser délicatement des baisers sur la nuque et dans le cou de Christine … Oscillant toujours du bassin pour faire aller et venir le sexe de Mamadou en elle, elle semble beaucoup apprécier la douceur des baisers de Moussa … Moussa qui finit par s'allonger sur elle … sa queue forcément logée entre les fesses de Christine … ainsi coincée, ma femme doit s'immobiliser … Moussa lui parle à l'oreille … longuement … en bougeant à son tour son bassin pour faire glisser son sexe dans sa raie. Elle écoute, attentive, et sourit … elle lui parle à son tour … Comme j'aimerais savoir ce qu'ils se disent ! Ils parlent forcément de sexe … il doit lui expliquer ce qu'il va lui faire, il doit lui demander si elle est toujours d'accord . Elle sourit … et semble parfois répondre par oui, parfois répondre par non … Je ne peux qu'imaginer leur dialogue : 

- Tu as déjà couché avec deux hommes en même temps ?

- Non.

- Tu en avais envie ?

- Oui.

- Ton mari ne te l'a jamais proposé ?

- Si.

- Et vous ne l'avez pas fait ?

- Non.

- Tu n'as pas voulu ?

- Non.

- Alors tu n'as jamais eu deux queues dans ta chatte en même temps …

- Non.

- Là, maintenant, avec Mamadou, on va te baiser tous les deux …

- Je sais …

- On va te mettre tous les deux notre queue dans ta chatte … en même temps …

- … 

- Tu comprends ?

- Oui.

- Et t'es d'accord ?

- Oui … mais … il faudra faire doucement …

- Bien sûr … Tu as vu ? Il te regarde toujours, ton mari … 

- Je sais …

- Ça l'excite … je l'ai vu, il bande et il se tripote …

- Tant mieux.

 

Moussa se remet à poser des baisers sur sa nuque … sur sa joue … son épaule … C'est vraiment troublant … ces types qui ne se comportent plus comme de vulgaires baiseurs, uniquement soucieux de tirer un coup … ils sont tellement tendres, affectueux et câlins avec Christine … c'est vraiment ça … ils ne la baisent pas … ils lui font l'amour. Elle se tord le cou et lui offre sa bouche … il approche la sienne, mais je ne vois plus ce qui se passe ... le crâne de Moussa me masque ce qu'ils font … mais ce n'est pas bien difficile à imaginer … bouche contre bouche, ils s'embrassent, mêlent leurs langues, leurs salives … Enfin, Moussa redresse sa tête, soulève son torse et, appuyé de sa main gauche sur le matelas, il glisse sa main droite entre son ventre et les fesses de Christine … Là encore, il n'est pas difficile de comprendre ce qu'il va faire … il remonte un peu son bassin … bouge son poignet … sans doute pour présenter son sexe à l'entrée du fourreau de Christine … remonte encore un peu son bassin en regardant entre son ventre et les fesses de Christine … bouge encore à peine son poignet … sort sa main de sous son ventre et, tout en le redescendant lentement, il recolle doucement son torse sur le dos de ma femme … Je n'ai pas vu ce qui se passait entre leurs corps, mais c'est évident: il a guidé son sexe jusque dans le sexe de Christine, et il est en train de s'y enfoncer ! D'ailleurs, la joue posée sur le torse de Mamadou, les yeux écarquillés, elle ouvre en grand la bouche … ce deuxième sexe qui se glisse en elle à côté du premier doit la forcer … mais ce n'est pas une mimique de douleur que je vois … plutôt une mimique de surprise … même s'ils ne sont pas épais, ces deux longs sexes doivent quand même lui remplir entièrement le vagin … et peu à peu, tandis que Moussa continue de s'insinuer en elle, je vois ses yeux se révulser légèrement sous l'effet du plaisir, puis son flanc commencer à se soulever de plus en plus rapidement … elle halète … Enfin, Moussa s'immobilise … sa queue sans doute entièrement dans ma femme . Il approche sa bouche de son oreille, lui parle … elle rouvre les yeux et, sur ses lèvres, je lis « non .. ça va … » (il a dû lui demander « je te fais mal ? »)… il lui parle encore et elle hoche la tête "oui" ( « tu aimes ça ? »).

 

Mamadou, lui, semble jouir de plus en plus la situation … déjà que simplement s'introduire dans le ventre de Christine semblait lui avoir fait beaucoup d'effet, l'arrivée du sexe de son frère, qui glisse lentement contre sa verge et contre son gland, qui le presse encore davantage dans la tiédeur mouillée de cette femelle, a visiblement intensifié ses sensations … pendant que Moussa progressait, bouche grande ouverte, il a redressé la tête, l'a replaquée violemment sur le matelas, a recommencé … il halète, il gémit … je le sens au bord de l'orgasme … Déjà ? ! ? ! Sans doute plein de préjugés sur les performances sexuelles des noirs, et des sénégalais en particulier, je n'imaginais pas que celui-ci s'embraserait aussi rapidement … je suis un peu déçu … certes, la situation est sans doute très excitante pour lui … à deux dans la femme blanche … et devant son mari … et en public … mais je m'attendais à ce qu'il tienne mieux le coup, j'espérais le voir fourrager Christine bien plus longtemps … Maintenant que Moussa ne bouge plus, Mamadou semble se reprendre. Il se redresse, prend son frère par l'épaule et lui dit je ne sais quoi. L'autre hoche la tête … "d'accord" … et, sans bouger davantage, il se remet à embrasser la nuque et le cou de Christine. Les yeux fermés, elle se passe la langue sur les lèvres … elle donne l'impression de savourer ce qui lui arrive … deux sexes … deux sexe en elle ! Il y a un long moment de calme pendant lequel, à part Moussa qui promène doucement ses lèvres sur la nuque de ma femme, rien ne se passe … tous trois paraissent immobiles, calmes, sereins … 

 

Et puis ça semble venir d'elle … elle commence par décoller sa tête du torse de Mamadou, elle se redresse, s'appuie des deux mains sur le matelas et … oui … elle bouge son bassin entre les deux frères … difficilement, parce que Moussa pèse sur son dos et sur ses reins, mais c'est très net, elle oscille du bassin … son menton posé sur le thorax de Mamadou, entre ses pectoraux, les yeux fermés, elle se concentre sur son effort … je vois les muscles de sa cuisse se tendre, sa fesse se contracter, son bassin pivoter, puis l'ensemble se relâcher … et recommencer … oui, elle bouge … elle bouge pour sentir les sexes des deux frères se mouvoir en elle … Alors ça réveille Moussa. Appuyé des deux mains sur le matelas, il décolle son torse du dos de Christine, se soulève encore un peu … et, concentré à son tour, il se met à bouger … oui, il va et vient en elle. Mamadou pose ses mains sur les hanches de Christine, la regarde intensément et la caresse … Ça y est, c'est reparti … ils la baisent … non … ils baisent TOUS LES TROIS … et des trois, c'est Mamadou le moins actif, coincé qu'il est sous le poids de son frère et de Christine. Elle, maintenant la nuque cassée en arrière et yeux fermés, fait pivoter son bassin … Moussa, parfaitement synchronisé avec elle, va et vient lascivement … Leurs mouvements combinés doivent faire glisser le sexe de Moussa dans le vagin de Christine, et masturber le sexe de Mamadou … 

 

Rapidement, cela leur fait beaucoup d'effet … à tous trois ! Christine, bouche bée, commence à gémir … alors qu'il y a un instant elle paraissait concentrée et maîtresse d'elle-même, elle bouge maintenant convulsivement son bassin … ce n'est plus sa tête qui tient les commandes, c'est son corps … c'est son ventre, c'est sa chatte qui réclament davantage d'ardeur aux deux bites qui lui occupent le vagin… et Moussa, qui l'a senti, coopère … maintenant complètement décollé de son dos, il la fourrage plus vigoureusement, jetant de temps à autre un regard entre son ventre et les fesses de Christine … lui aussi, bouche ouverte, il halète … tout comme Mamadou … je sens que les deux frères ne cherchent plus à résister, n'essaient plus de durer … tous trois se laissent aller, se laissent emporter par la jouissance … ils s'abandonnent à la volupté … et la montée de leur plaisir est si parfaitement synchrone que c'en est troublant, bouleversant … ils vont arriver à l'orgasme … au septième ciel … en même temps ! Ils vont jouir en même temps … ma femme et les deux noirs qui la baisent !

 

Seuls leurs gémissements, leurs halètements qui vont croissant, troublent le silence quasi total qui s'est fait autour d'eux … ils couvrent maintenant les flap flap flap de masturbation de deux ou trois spectateurs qui se branlent fiévreusement, surexcités par la scène qui se déroule sous leurs yeux. Le gémissement de Moussa se transforme peu à peu en un cri qui lui remonte des entrailles et qu'il scande au rythme de ses va et vient " ah ! aah ! aaah ! aaah ! aaaaaah ! aaaaaah " … et son cri, manifestation de la montée de sa jouissance, attise celle de Christine qui gémit de plus en plus intensément, emportée par la vague de plaisir qui déferle en elle … 

 

Et d'un seul coup, c'est l'explosion ! Moussa, le bassin plaqué contre les fesses de Christine, les mains plaquées à plat sur le matelas, les bras tendus, le torse soulevé au-dessus d'elle, la tête rejetée en arrière, lâche un ultime et long "aaaaaaaaaaaaaaaah ! " … Christine, secouée par un nouvel orgasme, pousse des petits gémissements en cascade … et Mamadou, tendu comme un arc, les reins cambrés malgré Christine qui pèse sur son ventre, aspire et souffle l'air par la bouche en un rythme endiablé … C'est un pied puissant qu'ils prennent tous les trois … presque violent.

 

Et voilà … les trois amants jouissent … les deux mâles sont en train d'éjaculer dans le ventre de la femelle !  C'est un spectacle absolument fascinant …  il pourrait être obscène, graveleux, seulement pornographique … je le trouve érotique, troublant, émouvant … ce n'est pas une scène de cul, c'est une scène d'amour … deux frères qui désirent la même femme, lui font l'amour en même temps … 

 

Et cette femme, c'est ma femme ! Et moi, non seulement je ne suis pas jaloux, mais je suis heureux pour elle … heureux qu'elle ait vécu un moment aussi intense, désirée par ces deux superbes mâles, accouplée à ces jeunes et puissants étalons en un unique coït, qui lui ont fait l'amour, qui l'ont fécondée et qui l'ont conduite, ensemble, au septième ciel ! 

 

Toujours gémissants, Moussa et Christine commencent à se calmer. Mamadou également. Tous trois à bout de souffle, ils reprennent haleine peu à peu … lentement, Moussa  redescend son torse sur le dos de Christine … elle frotte doucement sa joue sur les pectoraux de Mamadou et ronronne en effleurant du bout des doigts, derrière elle, la fesse et la cuisse de Moussa … femme comblée, femme assouvie … Mamadou lui caresse tendrement le crâne tandis que Moussa recommence à lui embrasser le cou et la nuque … il lui parle à l'oreille … elle hoche la tête … "oui" … il rit … 

 

C'est Mamadou qui rompt le charme. Christine et Moussa doivent commencer à lui peser. Il saisit l'épaule de son frère:

- Dis, Mouss', relève toi … vous commencez à être lourds, tous les deux …

 

Moussa pose un dernier baiser dans le cou de Christine, et, tout en regardant entre son ventre et les reins de sa maîtresse, il décolle doucement son torse de son dos … il regarde sa queue sortir de la chatte de ma femme … voilà, je vois son sexe apparaître entre les fesses de Christine … son sexe ramolli, luisant et maculé de grandes traces blanches … il s'agenouille et se remet péniblement sur ses pieds … Christine, à son tour, se décolle de Mamadou et, en poussant sur ses mains, se retrouve à quatre pattes au-dessus du ventre du grand black … j'ai aperçu sa queue, au moment où, sortant à son tour du sexe de ma femme, elle retombait, toute flasque entre les cuisses du sénégalais … Christine regarde sous elle … elle regarde ce sexe, luisant lui aussi, et mollement avachi dans l'entrejambe de son amant … elle recule, toujours à quatre pattes, et, arrivée au-dessus du ventre du grand black, elle prend cette bite mouillée dans sa main, se penche, jette un coup d'œil à son amant … mains croisées sous sa nuque, il la regarde en souriant … il a deviné ce qu'elle va faire … moi aussi … elle va le sucer ! Elle donne un petit coup de langue sur sa verge et, rassurée par le goût qu'elle découvre, elle prend résolument le gland de Mamadou dans sa bouche ! 

 

Oh, la vache, j'adore ça ! Ma femme est en train de sucer la bite de ce black qui vient de la baiser … cette bite encore maculée de sperme … et ça m'excite ! J'imagine ce gland tout noir, qui va et vient dans la bouche de ma femme, pressé entre sa langue et son palais … Oh putain, elle aussi, a l'air d'aimer ça ! Elle s'active fiévreusement à la fois de la bouche et de la main … elle le masturbe en le suçant ! Lui, il a reposé sa tête sur le matelas et, les yeux fermés, il se laisse tranquillement tailler une pipe. Il est de moins en moins flasque … je vois sa queue se raidir dans la main et dans la bouche de ma femme. Oh oui, je voudrais … je voudrais qu'elle le suce à fond … jusqu'au bout … je voudrais qu'il jouisse et qu'il lui décharge dans la gorge ! Cette fellation a l'air de lui faire aussi beaucoup d'effet, à elle … elle a passé sa main libre sous son ventre, et elle se masturbe ! Putain, il y a un instant, elle semblait comblée, assouvie, et la voilà qui se donne encore du plaisir … elle est insatiable, ce soir !  Je ne l'ai encore jamais vue comme ça … déjà quatre orgasmes, et elle en veut encore !

 

Moussa, toujours nu comme un ver,  est entrain de discuter avec des spectateurs, parfaitement à l'aise … leur désignant Christine tantôt de la main, tantôt d'un coup de menton, il semble leur faire un compte-rendu de ce qui s'est passé … compte-rendu qui les fait rire et semble parfois les étonner … j'aimerais bien savoir ce qu'il leur dit … tout en racontant, il s'essuie machinalement la bite avec du papier absorbant dont un rouleau gît à ses pieds … Il ne va pas prendre une douche ?

 

Sur le matelas, Christine suce maintenant frénétiquement Mamadou qui lui tient la tête à deux mains. Yeux clos, bouche entrouverte, il est aux anges ! Aux mouvements désordonnés de sa main et de sa tête sur le sexe de son amant, j'ai l'impression que Christine est en train de se laisser aller … elle doit commencer à jouir … elle perd encore le contrôle … et voilà … cette fois, je suis sûr qu'elle jouit ! Je vois son ventre se contracter en spasmes successifs … le gland de Mamadou toujours dans la bouche, elle a arrêté d'aller et venir sur sa hampe … et je l'entends respirer par le nez. Soudain, elle recrache cette bite, se redresse, et reprend son souffle en continuant de masturber Mamadou mécaniquement … il ouvre les yeux, la regarde, étonné … il lui murmure quelque chose … elle hoche la tête "oui" … elle se remet à le masturber avec plus de conviction en contemplant ce long sexe noir dressé dans sa main … elle se penche à nouveau sur lui, le reprend dans sa bouche, et recommence à le sucer … mais, sans doute soulagée, libérée de ce qui lui tenaillait le ventre, elle se consacre maintenant toute entière au plaisir de son amant … Rapidement, il se laisse aller à son tour … je le vois à ses abdominaux qui se raidissent brusquement … et à ses testicules qui remontent dans leurs bourses … il jouit à nouveau … il jouit dans la bouche de Christine … d'ailleurs, elle a ralenti son mouvement … et je vois un filet blanchâtre et visqueux s'écouler lentement le long de cette verge noire ! Trop de sperme d'un seul coup … Je la vois déglutir … elle avale ce que Mamadou est en train de lui décharger dans la bouche… et, en enfonçant brusquement son gourdin dans sa gorge, elle s'empresse de récupérer la petite coulée de sperme qui venait de s'échapper … 

 

C'est très bien ! Je réalise que ça me fait plaisir que, non seulement elle ait taillé cette pipe à son amant jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'il éjacule dans sa bouche, mais aussi qu'elle avale son sperme et qu'elle lui nettoie la queue aussi méticuleusement. Elle va même jusqu'à presser son urètre entre ses doigts en le masturbant, comme pour en extraire toute la moelle ! Elle le pompe encore pendant quelques secondes, puis elle le recrache et se redresse, sourit à son amant, visiblement satisfaite d'elle-même … Puis, tout en manipulant machinalement le sexe de Mamadou, elle se tourne vers moi et plante ses yeux dans les miens. Dans son regard, je lis « Tu as vu ? Je viens de lui tailler une pipe ! Et j'ai avalé ! ». Je lui souris et je hoche la tête, m'efforçant de lui faire comprendre qu'en effet, j'ai vu et que je trouve que c'est bien. Elle me fusille du regard, et commence à se lever. Me tournant ostensiblement le dos, elle s'approche de Moussa et lui parle … Il secoue la tête "non", lui montre le rouleau de papier absorbant à ses pieds et lui explique quelque chose. Elle se baisse, ramasse la bobine, en découpe une bonne longueur, la repose au sol, avant de … de s'éponger l'entrejambe ! A mon avis, dans ce lupanar, il n'y a pas la moindre douche pour se laver le cul ou la bite après avoir baisé !

 

Je pense que, pour ce soir, le cul, c'est terminé. Du moins pour Christine, parce que, un peu partout autour de cette piste de danse transformée en scène de spectacle pornographique, des couples, des trios, des quatuors s'ébattent … les trois quarts des participants sont à poil … les autres plus ou moins dénudés. Je suis pratiquement le seul encore entièrement habillé … à l'exception de ma queue, toujours sortie par ma braguette. Plus personne ne fait attention à moi. Je me replie en direction de notre box et je me laisse tomber sur la banquette. Putain, quelle soirée ! Ma femme vient de se faire baiser par cinq inconnus ! Elle s'est fait baiser sans préservatif, et elle s'est fait éjaculer dans le ventre et dans la gorge ! Elle a eu aussi droit à une double pénétration vaginale, et elle a fini en taillant une pipe à ce sénégalais ! Et moi … moi, j'ai assisté à tout ça, d'un bout à l'autre … comme au spectacle ! Et je me suis laissé … entraîner par … par cette ambiance de libertinage, de stupre général … par ma propre excitation …

 

à suivre ...

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Dimanche 19 novembre 2017 7 19 /11 /Nov /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

 

- Je pense que si vous restez, ta femme et toi, tu vas comprendre ce que c'est, le caudalisme …

 

Ça veut dire quoi, cette remarque que vient de me faire Jérôme, le compagnon d'une collègue de ma femme ?

Il aurait pu m'expliquer, quand même, mais trop tard, les voilà partis. Sur les huit que nous étions au départ dans cette boîte, il ne reste plus que Christine et moi. Tous les autres sont partis, à commencer par Patrick, l'amant de Christine, après que sa femme ait fait un esclandre parce que, ma femme et lui se donnaient en spectacle sans aucune retenue. 

 

Sur la piste, Christine continue de danser, entourée, cernée par des types qu'elle chauffe et qui sont de plus en plus pressants avec elle. Dans le court intervalle où je l'ai quittée des yeux, les choses ont évolué. Les types qui l'entourent ne l'effleurent plus, ne la frôlent plus … ils la pelotent carrément ! Elle, bras levés au-dessus de sa tête, ondule de plus belle … elle se laisse caresser, elle s'offre à leurs mains, tournant lentement sur elle-même, comme pour bien exposer toutes les parties de son corps à chacun d'eux … Bizarrement, mon impression de malaise se dissipe peu à peu … restent une certaine fierté et l'excitation … ma femme … ma femme et quatre types qui lui tournent autour et la pelotent … De drôles d'idées me traversent l'esprit, que je chasse aussitôt … mais elles reviennent obstinément … quatre types et ma femme … ma femme et quatre types … une image s'impose à mon esprit … je les imagine, ces mecs, pantalon baissé et ventre collé au ventre de ma femme … Non, je ne peux pas penser des trucs comme ça ! Mais l'image revient, de plus en plus forte … obsédante … ma femme … ma femme et quatre types … quatre types, le pantalon baissé et le ventre contre le ventre de ma femme … et leur BITE aussi … leur BITE dans … oh non, faut pas que je pense à des trucs comme ça, bordel ! Mais si … ça revient … image de plus en plus précise … ces mecs et LEUR BITE dans le ventre de ma femme ! Ils la … ils la baisent ! Ils la baisent chacun leur tour devant moi ! Ils la baisent devant moi, et ça me … Non, c'est pas possible ! Je déconne, ou quoi ? Je peux quand même pas … AVOIR ENVIE DE ÇA ! 

 

Et une autre pensée surgit, qui conforte, qui renforce la première ... l'autre enfoiré, le Patrick … s'il la voyait, en train d'allumer ces jeunes types … s'il constatait qu'il n'a plus l'exclusivité … il en ferait, une gueule ! Ah ça … ça me plairait ! Qu'elle le fasse chier avec ces mecs comme elle me fait chier avec lui ! Putain, si Anne-Marie avait réussi à l'empêcher de tourner autour de Christine, tout en restant là, et qu'il la voie se donner en spectacle avec d'autres types ! L'amant cocufié … le COCUFIEUR cocufié ! 

 

Ça, ce n'est qu'un fantasme, mais elle, elle est bel et bien là, sous mes yeux, bien réelle, en chair et en os … surtout en chair … sexy, sensuelle dans cette robe minimaliste … désirable … avec ces quatre types autour d'elle … ils me la masquent en partie, mais je les vois quand même la peloter … un, en particulier … trente-cinq ans, pas très grand, plus petit que moi, en tout cas, pas mal foutu, genre "latin lover" … j'ai l'impression que celui-ci est plus entreprenant que les autres … du moins, tout en pelotant Christine, il manœuvre pour l'isoler des trois autres … et progressivement, elle semble vouloir davantage se prêter à ce jeu avec lui qu'avec les autres … il faut dire qu'il n'y a pas photo, il est beaucoup mieux que les autres … dans son genre, il est bien plus sexy qu'eux … alors, de simples attouchements qu'elle a commencé par accepter, elle devient soudain plus active … beaucoup plus active … elle lui tourne le dos, recule et tend ses fesses, cherchant à coller son cul contre le ventre du type … elle ondule, elle se tortille … elle le provoque  … les trois autres ont compris: elle l'a choisi, lui … bons joueurs, ils s'écartent en riant, laissant le champ libre au "latin lover" … lui aussi a compris qu'elle le veut … il la prend par les hanches, tend son bassin en avant et, carrément, tous deux commencent à se frotter … c'est clair, ils miment la copulation … l'accouplement ! C'est de plus en plus chaud: maintenant qu'elle le sent collé à elle, elle passe ses mains derrière elle, prend à son tour le type par les hanches, elle se cambre, fesses en arrière, et lui, il remonte ses mains le long de ses flancs … jusqu'à sa poitrine … et il se met à lui effleurer les seins … 

 

Et moi … putain … moi, ça m'excite … ça me plaît ! Voir ma femme se livrer à … à quoi, au juste ? A des prémices de relation sexuelle avec un inconnu ? Ils n'en sont quand même pas encore là ! C'est juste de la drague, du flirt disons … très poussé … mais ce n'est qu'un jeu. Et ça me plaît ! Enfin, en fait, ce n'est pas de voir ce qui se passe là, tout de suite, sur cette piste de danse, cette … cour appuyée que cet inconnu est en train de faire à ma femme, qui me plaît, c'est … oui, c'est la suite ! Putain, je n'en reviens pas ! J'ai envie … j'ai envie qu'ils continuent, tous les deux … j'ai envie qu'ils aillent plus loin … j'ai envie d'assister à l'évolution de leurs rapports, à leur progression vers ... vers le sexe ... jusqu'au bout … j'ai envie qu'ils baisent … j'ai envie que ce type, que cet inconnu baise ma femme …

 

NON ! NON ! Je n'ai pas envie que ce type baise ma femme … je l'imagine, seulement… oui, oui, c'est ça … j'imagine … j'imagine que ce type … et Christine … ils se … Oh merde, je suis dingue … Je ne supporte pas que l'autre enfoiré de Patrick soit son amant, et là, ce mec, cet inconnu … j'en suis à fantasmer que ma femme baise avec lui ! Parce que, comme ça, elle cocufierait son amant ! Et je fantasme qu'il la voie le cocufier ! Mais, bon, il n'est pas là, son amant, et pour le moment, rien ne dit que Christine et ce type iront jusque là.

 

Elle m'a complètement oublié … Sur la piste, elle se donne en spectacle avec cet étranger. Elle se donne d'autant plus en spectacle que le DJ les a repérés et braque un projecteur sur eux … Du coup, ça attire l'attention de tout le monde … d'autres types et des couples font plus ou moins cercle autour d'eux … deux grands blacks notamment, qui dansent et parlent à l'oreille du "latin lover" tandis qu'il se frotte à Christine … il leur répond aussi à l'oreille et tous les trois se marrent. Ces deux blacks observent attentivement ma femme … non seulement ils semblent apprécier sa façon de bouger, mais ils la déshabillent littéralement du regard. Elle aussi, quand elle les découvre à côté d'elle, elle les regarde avec intérêt. Puis elle décolle ses fesses du ventre du "latin lover", se retourne, et toujours ondulante, elle pose ses avant-bras sur les épaules de son … de son … cavalier … et croise ses doigts derrière sa nuque … 

 

Comme si elle avait donné un signal au DJ, celui-ci baisse l'éclairage et lance une nouvelle séquence de slows.

 

Les yeux dans les yeux, le "latin lover" et Christine se regardent tendrement. Il se penche vers son oreille et lui parle. Elle secoue la tête … "non". Mais "non" à quoi ? Il a les mains de plus en plus baladeuses. Brusquement, il essaie de l'embrasser … sur la bouche, évidemment. Elle esquive en riant. Il lui parle encore … et il recommence. Elle esquive à nouveau. Il insiste, et, à la 3ème tentative, elle cède. Putain ! Elle ne connaît pas ce mec, et elle se laisse rouler une pelle ! Je n'en reviens pas ! Mais au fond, c'est dans l'ordre des choses … le type veut voir jusqu'où il peut aller … le jeu continue … et plus ça va, plus j'ai la conviction qu'il a l'intention d'aller très loin. Et ça me plaît ! Va-t-elle céder ?

 

Est-ce que je ne devrais pas quand même intervenir … arrêter tout ça, justement, avant que ça n'aille trop loin ? Est-ce qu'on n'est pas DÉJÀ allé trop loin ? Et si j'interviens, comment ce type réagirait ? Est-ce que je ne risque pas de me faire casser la gueule ? Il est un peu plus petit que moi, mais il est plus jeune … et apparemment, il a des potes, ici … Et puis, elle, Christine, comment elle réagirait ? Je me ferais peut-être envoyer chier … sûrement, même … elle, je ne sais pas jusqu'où elle est prête à aller avec ce type … peut-être jusqu'au bout … jusqu'à … se faire baiser ! C'est très possible, d'ailleurs ! Elle n'est pas folle, elle doit bien se douter qu'à chauffer ce type comme ça, il n'acceptera jamais de remballer sa queue … Et puis, jusqu'à présent, lui et les autres, autour, ils ignorent jusqu'à mon existence … je l'espère, du moins … si j'interviens et que je me fais jeter, voire si je me fait virer de la boîte sans Christine, ça sera vraiment humiliant. Bon … je vais voir venir.

 

Sur la piste, autour d'eux, c'est de plus en plus débauché. Comme une contagion, l'ambiance libertine commence à gagner tout le monde. Une fille, entourée de 3 types, est presque complètement à poil: sa robe relevée jusque sous ses seins, ils la pelotent, ils l'embrassent à tour de rôle et, aux mouvements de ses mains, je me rends compte qu'elle leur tripote le sexe à tour de rôle. Et comme par contamination, c'est aussi de plus en plus chaud entre ma femme et le jeune type: tout en l'embrassant, il la pelote aussi. Et elle se laisse faire. 

 

Je la découvre, ma femme, ce soir. Je ne l'avais jamais vue aussi … aussi "sexe" … je ne l'avais jamais vue faire des trucs comme ça avec un inconnu … même avec des mecs qu'elle connaît, d'ailleurs … même avec son collègue Patrick, elle n'est pas vraiment allée aussi loin … ce soir, du moins. Le reste du temps, hors de ma présence, je ne sais pas … sans doute … se tripoter ou s'embrasser en public, c'est assez probable, vu le comportement de Jean-Paul, le directeur d'école … même coucher ensemble … mais pas en public, évidemment. 

 

D'autres mecs essaient de se coller à eux. De nouveau, le type les repousse. Et soudain, il soulève le bas de sa robe et glisse sa main dans sa culotte pour lui pétrir les fesses. Elle se laisse encore faire. Et maintenant, c'est elle qui cherche à l'embrasser sur la bouche. Toujours un jeu. Evidemment, il ne résiste pas. Baiser torride. Elle doit être terriblement excitée et elle doit mouiller à mort, avec la langue de ce type dans sa bouche et sa main qui lui explore la fesse … Ah non, ce n'est plus sa fesse qu'il explore, c'est sa RAIE des fesses … et de plus en plus bas … vers sa … vers sa chatte !

 

Et bizarrement, plutôt que de mettre en rogne, la situation commence à sérieusement m'exciter: je suis en train de regarder ma femme se faire plus que draguer … se faire tripoter par un inconnu et répondre à ses avances ouvertement libidineuses … et ça m'excite ! De nouveau, tout en lui malaxant les fesses, le type lui parle à l'oreille. Tête rejetée en arrière, elle rit … et lui répond … je ne sais pas ce qu'elle lui répond, mais aussitôt, le type ôte sa main des fesses de Christine, la passe devant, sur son ventre, et la glisse de nouveau dans sa culotte ! Et bien, comme ça, c'est clair … il a dû lui demander si il pouvait lui tripoter la chatte … et elle a dit oui ! Et maintenant, il lui fourre ses doigts entre les cuisses. Waouhhh ! Il lui touche la chatte ! Le jeu devient de plus en plus … poussé ! Ce mec est en train de fourrer ses doigts dans la chatte de ma femme ! Il doit commencer à lui écarter les petites lèvres et à lui titiller le clitoris. Et, tous deux surexcités par ce doigtage, ils recommencent à s'embrasser … et de plus en plus fiévreusement.

 

Je n'en reviens pas ! Un inconnu est en train de doigter ma femme au milieu d'une piste de danse et devant du public … et ma femme se laisse faire … devant moi … Je me demande ce qui se passe dans sa tête à ce moment-là. Je me doute bien qu'avec Patrick, elle est allée aussi loin que ça, et même plus loin, mais là, c'est autre chose ... ce type qu'elle laisse lui explorer l'intimité, elle ne le connaissait pas il y a seulement vingt minutes ! Est-ce qu'elle envisage déjà vraiment de coucher avec ce type ? Est-ce qu'elle compte arrêter avant d'en arriver là ? En tout cas, moi, ça m'excite à mort ! Elle est en train de me cocufier en public … ou du moins, elle est en passe de le faire … non, en fait, elle n'est pas EN PASSE de le faire … ELLE LE FAIT ! A ce stade, avec les doigts de ce type dans sa chatte, ce n'est plus du flirt innocent et sans conséquences, ce n'est plus seulement un jeu … c'est les préliminaires au sexe, ni plus ni moins … curieusement, je ne me sens ni jaloux, ni humilié … et pas seulement parce que les gens qui assistent à cette débauche ignorent que je suis le mari de celle qui se donne comme ça en spectacle … non, ça ne me dérangerait pas qu'ils le sachent … simplement, ça me plaît de voir ma femme s'apprêter à coucher avec un autre mec … avec un inconnu.

 

Parce que, maintenant, forcément, arrivé à ce stade, lui, il va vouloir la baiser ! Oh, oui, mais alors ici, devant moi ! Putain, j'en suis là ! A espérer qu'un inconnu baise ma femme devant moi et en public !

 

Et comme pour ajouter du piment à la situation, le DJ se met à commenter ce qui se passe sur la piste, en particulier entre ma femme et ce type. Il braque à nouveau un projecteur sur eux. Ça ne semble déranger ni le mec ni ma femme … au contraire, ils continuent de se tripoter et de se bouffer la langue d'une façon encore plus torride … comme si être mis comme ça en vedette les excitait. Le DJ félicite le type, qu'il appelle par son nom … Jo … Apparemment, ce Jo est un habitué de la boîte, et le DJ sous-entend que ce n'est pas la première fois qu'il se lève une fille ici. Il lui demande:

- Dis, Jo, sans vouloir te déranger … c'est une copine à toi, cette meuf ?

 

Sans cesser de doigter ma femme, Jo lève sa main libre au-dessus de sa tête et l'agite dans un signe qui veut clairement dire que non, c'est pas une copine à lui, cette meuf. Le DJ:

- Ah bon, tu la connais pas ?

 

De nouveau "non" de la main. Le DJ:

- Alors, bravo, Jo ! Ce soir encore, notre ami s'est levé une meuf ! Une de plus à son tableau de chasse ! On l'applaudit !

 

Coups de sifflets, applaudissements. Le DJ poursuit:

- En tout cas, moi, je n'avais encore jamais vu cette jolie … femme dans nos murs. Pour être venue, seule, dans un établissement comme le nôtre, dont la réputation de libertinage n'est plus à faire  … et dans une tenue aussi … sexy, c'est à coup sûr qu'elle cherche ce que notre ami Jo est en train de lui donner … du sexe, du sexe, du SEEEEEXE !

 

Nouveaux coups de sifflets et applaudissements du public. Le type sort sa main d'entre les cuisses de ma femme, prend la sienne et l'attire vers son bas ventre. Sans hésiter, elle se met à lui pétrir la queue à travers son pantalon. 

 

Et moi ... JE BANDE !

 

A son attitude, je sens que Christine se prend de plus en plus à ce jeu de plus en plus ouvertement sexuel, et se laisse gagner par l'excitation. Lui, bien que le poignet de Christine qui lui tripote la queue le gêne un peu dans son entreprise d'exploration, il a replongé sa main dans sa culotte et repris son doigtage. C'est vraiment … troublant de voir ce type, cet inconnu, fouiller sans vergogne le sexe de ma femme. Par moments, quand ils sont placés correctement, je peux voir sa main à lui bouger à l'intérieur de sa petite culotte à elle. Ce qui me trouble encore plus, c'est de voir sa main à elle s'activer sur le bas ventre de ce type. Elle y va gaillardement et il doit bander comme un âne. Je suis en train de regarder ma femme pétrir la queue d'un inconnu !

 

Il lui parle à l'oreille et amorce un geste vers la ceinture de son pantalon, comme pour se déboutonner. C'est ça, il doit bander et commencer à être mal à l'aise dans son pantalon, où sa queue ne peut pas s'épanouir comme il faut. Mais avant qu'il ait pu déboutonner lui-même son pantalon, Christine saisit son poignet, le repousse, et c'est elle qui, tant bien que mal, le déboutonne, lui descend son zip, et fourre sa main dans son pantalon. Cette fois, elle lui touche directement la bite … sans la barrière symbolique de la toile de son pantalon ! Ses doigts sur sa verge … ses doigts sur son prépuce … ses doigts sur son gland … épiderme contre épiderme …

 

Commentaire du DJ, et projecteur sur eux. De nouveau sifflets et applaudissements.

 

Je ne peux m'empêcher d'imaginer que le gland de ce mec a sans doute commencé à baver d'excitation, et que son fluide pré-éjaculatoire est en train de mouiller le poignet de ma femme. Ils se sont recollés bouche contre bouche et continuent de plus ou moins danser en se tripotant mutuellement. Ça dure comme ça un bon moment, et quand ils sont tournés comme il faut, je vois la main de ma femme monter et descendre dans le pantalon de ce mec. Elle le masturbe ! Sa main … la main de ma femme enserre la verge de ce type et lui donne du plaisir. Ma femme branle un type qu'elle vient tout juste de rencontrer ... et ça me plaît ! Non seulement qu'elle masturbe un autre homme que moi, mais que ce soit un parfait inconnu ! Oui, donne lui du plaisir, à ce type … et j'espère que tu vas finir par te la prendre dans la chatte, sa queue !

 

Soudain, elle décolle sa bouche de celle du type, se recule, sort sa main de son pantalon, le repousse un peu et, d'elle-même, elle relève sa jupe et tout en se cramponnant au bras de son cavalier pour ne pas perdre l'équilibre, elle ôte sa petite culotte ! Aussitôt, le DJ, qui, apparemment, garde constamment un œil sur eux, rallume son projecteur, le braque sur le couple et lance:

- Voilà voilà VOILÀÀÀÀÀ ! Comme vous voyez, ça y est, madame est chaude … madame est même bouillante ! Notre ami Jo l'a travaillée au corps, comme il faut ... notre ami Jo a bien préparé le terrain et madame est prête à recevoir l'estocade finale ! Alors, regardez ! Elle vient d'enlever sa petite culotte ! 

 

Putain, c'est de ma femme, qu'il parle comme ça, ce mec, en gueulant dans son micro ! Putain, oui, elle vient d'enlever sa culotte qu'elle agite au-dessus de sa tête ! La voilà cul nu … et chatte à l'air ! Alors, elle est vraiment décidée à aller jusqu'au bout ? Et comme si on n'avait pas compris, le DJ en rajoute:

- Plus de petite culotte donc plus d'obstacle ! La voie est libre … et notre ami Jo va bientôt pouvoir lui planter sa banderille ! Préparez-vous à assister à la mise AMOUR ! Oui, je dis bien "à la mise AMOUR" parce que, ici, au Huitième Ciel, pas d'épée, pas de sang, pas de mise à mort … Ici, on ne plante que du sexe … du sexe dans du sexe ! Du sexe ! Du sexe ! Du SEEEEEXE !

 

Oui, c'est vraiment ça, en quelques mots, le DJ a clairement décrit la situation, et surtout annoncé la suite: en ôtant sa petite culotte, ce que Christine vient de supprimer, ce n'était déjà plus un obstacle entre les doigts de ce Jo et sa chatte, puisqu'il lui avait fourré sa main DANS sa petite culotte ... non, ce qu'elle vient d'éliminer d'elle-même, c'est le seul obstacle qui subsistait entre la BITE de ce mec et sa CHATTE ! Le DJ est bel et bien en train d'annoncer à tout le monde que ma femme va se faire … va se faire baiser par ce mec ! Le DJ reprend:

- Et alors … comment elle s'appelle, la petite veinarde qui va se faire planter?

- …

- Comment ? J'entends pas …

- … 

- Christine ? C'est ça ? 

- …

- Oui, Christine, c'est bien ça ! Christine ! Alors, bravo Christine et félicitations ! Christine, elle sera bientôt au Huitième Ciel … pour ça, on peut compter sur notre Jo !

 

Elle rit, hésite, et finit par lancer sa petite culotte au DJ avant de recoller sa bouche à celle du type, de lui empoigner de nouveau la queue et de recommencer à le masturber. Le DJ, hilare, ravi, se colle la petite culotte contre le nez, la renifle et s'exclame:

- Ouahhhhh merci, Christine ! Hhmmmmm ! Quel parfum ! Hhhmmmmm ! Et … ah oui, dis donc, ma belle, elle est toute mouillée ta petite culotte ! Bravo, mon Jo ! Tu l'as vraiment bien préparée ! ÇA VA GLISSER ! Hhmmmm … aaahhhhh … quelle odeur, les amis ! J'adore ! 

 

Eclats de rire, sifflets, commentaires salaces du public. 


Après ça, c'est encore plus chaud entre Christine et Jo … c'est même ardent, fiévreux, frénétique … autant avec leurs bouches qu'avec leurs mains … Evidemment, lui a compris qu'il est parvenu à ses fins ... la cougar qu'il a levée, en ôtant sa petite culotte, vient de lui signifier clairement qu'elle a envie de se faire baiser. Maintenant qu'elle n'a plus de culotte, il lui fouille littéralement la chatte, la main coincée entre ses cuisses ! Elle n'est pas en reste, et elle le masturbe consciencieusement. Aucun doute, elle compte aller plus loin, elle veut vraiment se faire baiser ! Elle ne peut pas chauffer ce type à ce point et ne pas finir par lui donner ce qu'il veut … et maintenant, je suis sûr que ce n'est pas par peur de se faire casser la gueule qu'elle lui cède … elle s'est peu à peu laissée emporter par la montée du désir, et maintenant, elle en a envie.

 

Ils ne dansent plus, ils font quasiment du sur-place, collés l'un à l'autre, bouches soudées, chacun s'activant sur le sexe de l'autre. La bite en érection d'un inconnu dans la main de ma femme … et les doigts de cet inconnu dans le sexe de ma femme ! Ils font l'amour … ils n'en sont encore qu'aux préliminaires, mais ils font déjà l'amour ! Et ils font le spectacle. Si d'autres couples, ou trios, s'amusent comme eux, c'est eux, ma femme et cet inconnu, qui ont capté l'attention de tout le monde. Tout en dansant, d'autres couples font cercle autour d'eux pour les regarder, les masquant la plupart du temps à ma vue.

 

Quand ils réapparaissent, je m'aperçois que maintenant, la bite de Jo est sortie de son pantalon … sa bite et ses couilles … et ma femme continue de le masturber lascivement … il la serre contre lui, et elle, de sa main libre, retient le pantalon du type pour l'empêcher de tomber sur ses genoux … un moment, grâce à la lumière d'un spot qui vient se poser sur eux, je distingue nettement la forme du gland du type … elle l'a décalotté … 

 

Et moi, je bande de plus en plus. Vautré sur cette banquette, je profite de l'obscurité pour me tripoter à travers la toile de mon pantalon. Putain, je ne peux pas m'empêcher de trouver qu'il est beau, ce couple qui en est aux préliminaires de l'amour, sans pudeur, debout au milieu des autres danseurs … même si ce couple c'est ma femme avec un inconnu !

 

Il se penche un peu, glisse sa main jusque sous un genou de Christine, et il lui soulève la cuisse à l'horizontale. Docile, elle cale l'arrière de son genou sur la hanche de son amant, et lui passe son mollet derrière la cuisse. Je saisis immédiatement l'intérêt de cette gymnastique pour Jo: de cette façon, en lui écartant cette cuisse, il ouvre Christine … il fait béer son entrejambe pour mieux l'explorer avec ses doigts … il l'ouvre sans doute aussi pour pouvoir la pénétrer avec son sexe dans la même position ! Sur trois pieds, ils tournent lentement sur eux-mêmes, l'homme soutenant la femme … MA femme … MA femme, accrochée langoureusement au cou de son amant … et je vois son avant-bras … l'avant-bras de ma femme bouger … elle continue de le masturber … ils ne s'embrassent plus, elle a reculé sa tête et ils se regardent, les yeux dans les yeux … elle a un drôle d'air … j'ai l'impression qu'elle lui parle … elle lui dit quoi ? Elle lui demande quoi ? S'il veut la baiser ?

 

Ils tournent encore … très lentement … et je finis par ne plus voir de Christine que sa nuque, son dos, ses fesses et ses … et soudain, dans le faisceau d'un spot, durant quelques secondes, j'ai une vue directe sur ses fesses, mais plus encore sur son entrejambe … et surtout … SURTOUT, je m'aperçois que … qu'alors que ma femme serre la bite de ce mec à pleine main, ça y est, il est déjà prêt à la pénétrer … ou plus exactement, que le gland de ce type est déjà pratiquement enfoui DANS ma femme, et que … que c'est ELLE qui guide le sexe de ce type en elle ! Et puis, au mouvement de son poignet, je réalise qu'en fait, il ne la pénètre pas encore … pas vraiment … mais qu'elle … ma femme … est en train de … de frotter le gland de ce type CONTRE sa chatte … 

 

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CHRISTINE … MA FEMME … EST EN TRAIN DE …

DE FROTTER CONTRE SA CHATTE … 

LE GLAND D'UN TYPE

QU'ELLE A RENCONTRÉ IL Y A … À PEINE VINGT MINUTES !!!

 

Cette vision n'a duré que l'espace de trois ou quatre secondes, mais elle était on ne peut plus nette: c'est Christine elle-même qui, d'un imperceptible mouvement de sa main, presse entre ses petites lèvres le gland de ce type et le fait glisser contre son clitoris ! Ça devrait me paraître graveleux, obscène, pornographique ... mais je trouve ça ... beau ... d'une sensualité et d'un érotisme absolus ! Un homme et une femme qui ne se connaissent pas manifestent de la manière la plus intime qui soit leur envie de copuler.

 

Pressant d'un bras Christine contre lui, et lui maintenant de son autre main la cuisse relevée, ce mec fait lentement tourner sur place leurs deux corps enlacés. Et elle, retenant le pantalon de son amant avec sa main gauche, de la droite, et dans un même mouvement, elle est en train de lui donner du plaisir et s'en donner à elle-même !

 

Voilà … le gland turgescent de ce type n'est pas encore VRAIMENT en elle, mais il est déjà en train d'aller et venir en glissant entre les deux pétales roses et humides des petites lèvres de Christine ! Il  n'est donc plus qu'à quelques millimètres de l'entrée de son vagin … à quelques millimètres du coït ... et c'est Christine qui, en quelque sorte, tient les commandes en serrant cette verge dans sa main … c'est à elle qu'il appartient de décider d'introduire, ou non, ce sexe dans son vagin … elle n'a qu'un tout petit mouvement à faire pour que … pour que ce sexe s'enfonce en elle et que ce type la possède … Qu'est-ce qu'elle ressent, à cet instant ? Elle tient dans sa main le sexe en érection d'un inconnu, et c'est à elle de décider si et quand elle introduira ce sexe en elle et se donnera à cet étranger ! Et je n'ai pas le moindre doute: elle VA introduire en elle le sexe en érection de cet inconnu !

 

Je suis fasciné et je suis pris d'une sorte de vertige … trop de choses inouïes, incroyables, tellement insensées, se déroulent devant moi … il est désormais évident que ce couple, cette femme … MA FEMME … et cet homme, à présent parvenus à une telle proximité physique, sont maintenant avant tout … une femelle et un mâle … une femelle et un mâle brûlant tous deux de s'accoupler … il est désormais évident qu'incessamment, cette femelle et ce mâle vont se souder encore plus étroitement … réaliser l'ultime fusion entre deux êtres … l'intimité absolue … l'union sexuelle …

 

… et cette femme, C'EST MA FEMME ! Ma femme et un inconnu, debout au centre d'une piste de danse, au milieu de spectateurs et devant moi, ont commencé à faire l'amour …  dans un instant, à n'en pas douter, c'est ma femme qui décidera d'introduire le sexe de cet inconnu en elle … et ils copuleront … et cet inconnu, après avoir joui de ma femme, après lui avoir donné du plaisir … finira par déverser sa semence en elle … il fécondera ma femme … IL FÉCONDERA MA FEMME !

 

A ce stade, il n'est pas possible que ça finisse autrement, qu'au dernier moment, elle refuse qu'il la pénètre et qu'il la baise … alors c'est sûr, il va la baiser !

 

Une nouvelle intervention tonitruante du DJ m'arrache à ces pensées: il les éclaire et commente la progression des événements sur le ton des batteleurs de fête foraine. Ça ne perturbe pas les deux amants, au contraire, ça les amuse et ils continuent de plus belle … 

 

Je suis d'autant plus excité que ce type n'a pas mis de capote, et qu'il va queuter ma femme en direct, son gland turgescent à lui directement dans ses chairs humides à elle … sans protection, sans intermédiaire entre la fine peau de son organe génital à lui et ses muqueuses vaginales à elle ! En frottant son gland contre sa chatte, ma femme a déjà commencé de mêler la liqueur lubrifiante de leurs excitations respectives et de l'étaler sur ses grandes lèvres et ses petites lèvres et jusque sur son clitoris … et dans un petit moment, quand il l'aura pénétrée, qu'il aura enfoncé son pénis au fond d'elle, il va jouir et décharger son sperme dans son ventre ! De ça non plus, je n'ai pas le moindre doute: ce type ne va pas se retirer au dernier moment ... pas de coïtus interruptus ... il va éjaculer dans son ventre ! Du moins, je l'espère !

 

Je réalise que ce qui me plaît par-dessus tout, c'est que ... c'est par un inconnu que ma femme va se faire baiser. Autant ça me faisait chier qu'elle fricote avec son collègue et qu'ils baisent, autant ça m'excite qu'elle se fasse baiser et inséminer par un inconnu ! Et de fait, à cet instant, Christine cocufie autant son Patrick que moi !

 

Je ne vois plus ce qui se passe, mais soudain, toutes les lumières s'éteignent, à l'exception d'un projecteur, juste au-dessus de la piste de danse, qui déverse sa lumière chaude à la verticale sur quoi … sur ma femme et son amant ? Aux murmures et aux rires des spectateurs, je suis sûr que, cette fois, il la baise ! Il faut que j'aille voir … Mais au moment où je me lève de cette banquette, les couples qui les masquaient s'écartent, et, aux positions respectives du type et de ma femme, c'est sûr, cette fois, il est en train de la fourrer … cette fois, il a sa bite dans sa chatte … ça y est, elle a pris sa décision et elle l'a laissé introduire son sexe en elle … c'est même peut-être elle qui a voulu qu'il la pénètre … ils copulent !  Elle devait en brûler de désir … avoir ce sexe dans son vagin et le sentir aller et venir… Lui, ses bras passés sous ceux de ma femme, il remue lascivement son bassin … il va et vient en elle … il la baise ! Elle, ses deux bras passés autour du cou de son amant, la tête sur son épaule, se laisse aller … J'imagine la bite de ce type DANS ma femme … son gland qui s'enfonce en elle en repoussant ses chairs humides de désir et d'excitation … son gland gonflé de sang, tendu, qui doit continuer de baver en elle son fluide pré-éjaculatoire … 

 

Oh, putain, je suis obligé de suspendre ma masturbation, tellement je suis excité, sinon, je jouis dans mon caleçon … pas déjà … pas encore … Quelle étrange perversion me fait aimer à ce point le spectacle de ma femme honorée, possédée en public par un étranger ?

 

Peu à peu, les mouvements du type s'amplifient, comme s'il sentait sa jouissance monter … il va éjaculer ! Il va éjaculer dans le ventre de ma femme ! Allez, vas-y, mec, jouis ! Ce type va inséminer ma femme ! Si elle ne s'était pas fait poser un stérilet, il la féconderait ... il lui ferait un enfant !

 

Je me trompe, ou elle est en train de regarder vers moi ? Elle ne peut sûrement pas me voir dans la pénombre où je suis, mais elle doit se demander si moi, je la vois, ou si je roupille, affalé sur cette banquette. Elle espère peut-être que je la voie baiser avec ce type ... elle l'espère sans doute ..

 

Soudain, le type saisit l'autre cuisse de Christine, et la soulève aussi. Solidement accrochée à son cou, elle croise ses chevilles derrière les fesses du type. Et, d'un coup de reins, il se propulse en elle. Les bras croisés sur ses reins à elle, il semble la presser sur sa queue … C'est sûr, maintenant, il jouit ! Ça y est, ce mec éjacule dans ma femme ! Son sperme est en train de se déverser en elle … des millions de spermatozoïdes se précipitent dans ses muqueuses à la recherche d'un ovule à féconder ...

 

Et moi … et moi … je suis au bord de jouir aussi … rapidement, je dois glisser ma main dans mon caleçon et serrer à mort la base de ma verge pour ne pas éjaculer aussi ! Putain, ce que j'aime ça, voir ma femme se faire baiser !

 

Voilà  … un type inconnu, debout au centre d'une piste de danse, et sous les yeux d'un public, est en train de répandre sa semence dans le ventre de ma femme. Elle, les yeux fermés, la bouche grande ouverte, rejette sa tête en arrière, et se met à la secouer de droite à gauche … haletante,  comme si elle aussi, était en train de jouir … oui, c'est ça ! Elle a senti son amant éjaculer et ça déclenche son propre orgasme ... elle aussi, elle jouit … elle prend son pied … en public ! Sifflets, applaudissements, et musique à fond !

 

Je vois le type s'affaisser peu à peu, plier lentement les genoux, commencer à desserrer son étreinte autour des reins de ma femme … jusqu'à ce qu'elle commence à glisser, à dénouer ses chevilles et finisse par poser ses pieds au sol. J'ai tout juste le temps d'apercevoir la queue du type retomber mollement entre ses cuisses … cette queue … cette queue luisante qui débande, elle vient de sortir du ventre de ma femme après y avoir répandu son sperme ! Tous deux se redressent et, sous les applaudissements des spectateurs, se recollent bouche contre bouche en un long et fougueux baiser. A la manière dont elle embrasse et caresse fébrilement celui qui vient de la baiser et de lui donner du plaisir, je la sens encore excitée et … reconnaissante. Lui, en lui caressant fébrilement le dos et les reins, il fait remonter sa robe sur ses fesses. Elle a le cul à l'air ! Et le ventre plein de sperme !

 

Puis ils se décollent et le type, froidement, remet sa bite dans son pantalon, remonte son zip et tourne les talons, plantant ma femme là, au milieu de la piste de danse. Il s'est amusé avec ma femme, il s'est soulagé, il s'est vidé les couilles et il la plaque, cet enfoiré !

 

De nouveau musique speed et lumières violentes.

 

Christine, un instant désemparée, regarde s'éloigner sans réagir le type qui vient de la baiser, puis amorce un mouvement en direction de notre box. Elle n'a pas le temps de faire deux pas. Elle est aussitôt entourée et littéralement assiégée par deux … trois … quatre types, comme sortis de nulle part, et qui se mettent aussitôt et directement … à la tripoter ! On dirait un vol de vautours s'abattant sur une bête blessée … une scène de curée … Il y a un mec typé méditerranéen, basané et assez râblé … trente, trente cinq ans … sans doute arabe … et trois blacks … Il me semble que deux d'entre eux ont déjà tourné autour d'elle tout à l'heure … Ce sont trois grands blacks … trois grands blacks minces et musclés … sans doute moins de la trentaine … trois BEAUX blacks … on dirait trois clones noirs, tellement ils se ressemblent physiquement, mais aussi tellement ils sont habillés de la même façon:  jeans moulants et Marcels très échancrés … seule la couleur de leurs Marcels les différencie … un rouge, un vert et un bleu … des Marcels qui mettent en valeur la musculature de leurs épaules, de leurs torses et de leurs bras … ils sont tous les trois d'un brun très foncé, très dense, presque noir … les traits assez fins, mais sans doute plutôt africains qu'antillais … je ne sais pas pourquoi, le terme qui me vient à l'esprit, c'est "nègres" … ce sont des "nègres", tant ils me semblent représentatifs de la négritude physique et des traits que l'on attribue généralement aux noirs d'Afrique … et dans mon esprit, ce terme "nègres" n'a pas la moindre connotation raciste ou péjorative … au contraire, même … ils sont beaux, ils sont même magnifiques, et ils peuvent être fiers de leur négritude … et de leurs corps qui luisent de sueur. Fascinant spectacle que ces "nègres" et cet arabe qui tripotent sans vergogne une femme blanche … MA femme !

 

Je pense … je suis presque sûr que c'est la première fois qu'elle se fait draguer comme ça par des noirs ou un arabe. Le DJ, voyant les "affaires" reprendre sur la piste, réduit le son, remet un morceau de musique adapté et baisse les lumières.

 

L'un des blacks a directement plaqué une main entre les cuisses de ma femme, sur sa chatte … sa chatte souillée de sperme ! Et un autre lui pétrit les fesses à deux mains ! Avec ces quatre là, contrairement au "latin lover", pas la moindre cour, pas la moindre tentative de séduction ou de conquête. Pas la peine, pas de temps à perdre. Tels des prédateurs en compétition entre eux, ils se sont attaqués sans détour à leur victime, chacun cherchant à s'en réserver le morceau le plus appétissant. Ceux-là, leurs intentions sont limpides, leur but évident: ce qu'ils veulent, c'est du sexe, du sexe et du sexe ! Et ils  y vont carrément.

 

D'abord surprise par cet assaut inattendu, ma femme a mis deux ou trois secondes avant de réagir … puis, réalisant ce que veulent ces mecs, elle lève lentement les bras au-dessus de sa tête, et reprend en tournant sur elle-même l'espèce de danse érotique qui lui avait servi d'approche avec l'autre type … elle manifeste son consentement aux quatre types qui la pressent, qui la harcèlent … allez-y, tripotez moi ! La victime s'offre à ses prédateurs ... consentante. De toute façon, c'est évident, même si elle n'avait pas été d'accord, ils se seraient passés de son autorisation. Mais là, ravis que leur proie s'abandonne à eux, ils se déchaînent … ses fesses, ses cuisses, ses seins, son ventre, sa chatte … tout y passe … jusque ses lèvres – les lèvres de sa bouche -, entre lesquelles un des blacks glisse un pouce inquisiteur … quatre paires de mains l'explorent, la palpent, la pétrissent, la caressent, l'investissent, la fouillent … en prennent possession.

 

La scène est absolument torride … quatre grands mâles cernent une petite … une petite femelle – les blacks la dominent tous les trois d'au moins une tête, et le beur, lui aussi, est plus grand qu'elle – quatre mâles qui, d'évidence, veulent avoir du sexe avec elle … et elle, toute petite femelle aux mains de ces quatre grands mâles, consentante, qui s'abandonne, qui s'offre à eux … femelle en chaleurs, femelle réceptive ... la scène paraît d'autant plus torride que la différence de leurs tailles, à elle et à eux, amplifie l'impression de puissance et de virilité de ces quatre grands mâles et de vulnérabilité de cette petite femelle ...

 

La scène n'est pas seulement torride ... elle a quelque chose de … de bestial … sans plus de gêne et de pudeur que des animaux, cette petite femelle et ces quatre grands mâles ont entamé véritable une parade sexuelle en public, dont l'aboutissement est d'ores et déjà évident ... ces quatre grands mâles vont finir par s'accoupler avec cette petite femelle  … comme des animaux … devant tout le monde !

 

Comment quatre mâles peuvent avoir envie de partager une seule et même femelle ? Et de passer après un premier mâle qui vient de l'inséminer … Pour eux, cette femelle n'est qu'un objet sexuel … un jouet dont ils comptent user comme ils l'entendent pour assouvir leurs pulsions ! Elle est venue dans cette boîte pour avoir du sexe … le DJ l'a dit … elle s'est habillée en conséquence … elle a envoyé des signaux à tous les mâles présents et elle vient de se faire baiser par l'un d'entre eux … alors, pourquoi pas se la taper aussi … tous les quatre …

 

Et comment une femelle peut-elle avoir envie de se donner à quatre autres mâles après qu'un premier l'ait possédée, si ce n'est en cédant à ses pulsions les plus lubriques, les plus animales … Je ne reconnais plus Christine. Qu'emportée par l'excitation d'un flirt de plus en plus poussé avec ce Jo l'ait amenée à se donner immédiatement à lui, c'était déjà une chose inimaginable, renversante ... mais qu'elle soit sur le point de se laisser ... de se laisser passer dessus par ces quatre inconnus ... Qu'est-ce qui a bien pu se passer dans sa tête et dans son corps ? Est-ce que ces envies lui sont venues ce soir, dans cette boîte, ou bien lui taraudaient-elles déjà le ventre depuis longtemps ?

 

Et comment moi, le mari de cette petite femelle, je peux trouver naturel qu'elle accepte les avances ouvertement sexuelles de ces quatre mâles, qu'elle les encourage, qu'elle leur manifeste aussi impudiquement son envie de se donner à eux … A n'en pas douter, l'orgasme qui l'a submergée il y a un instant ne l'a pas assouvie, n'a pas éteint ce feu qui lui dévorait le ventre … comment pourrait-elle résister à ces superbes mâles qui attisent les braises de son désir ? 

 

Qu'est-ce qu'elle ressent, de se faire tripoter comme ça par des noirs et un beur ? Est-ce leur … leur "exotisme" qui la fascine ? A-t-elle envie "d'essayer" un beur et des blacks ? Ou bien n'importe quel type, aussi blanc qu'elle, aurait-il fait l'affaire ? Quoi qu'il en soit, pour le moment, c'est ces quatre là qui s'occupent d'elle, et à moi, leur "exotisme" ne m'est pas indifférent. Je ne peux m'empêcher de penser aux sexes de ces quatre types … en particulier aux longs sexes noirs des trois blacks (pourquoi des "longs" sexes ? Sans doute parce que, dans mon imaginaire, trois grands blacks ne peuvent avoir que des longs sexes noirs) … de longs sexes très noirs, dépassant de buissons de poils noirs, crépus et denses … de longs sexes très noirs aux glands eux-mêmes très noirs, aux couilles pendantes très noires … trois longs sexes de "nègres" qui veulent s'introduire dans le sexe de ma femme pour y prendre du plaisir et pour y décharger leur semence … et ça m'excite ! Oui, j'ai très envie que ces superbes "nègres" et cet arabe se tapent ma femme, qu'ils la prennent tour à tour et qu'ils jouissent en elle et la fécondent. 

 

Le DJ qui, maintenant, ne quitte plus ma femme des yeux, se déchaîne ! Mais pour lui, ça ne fait aucun doute, elle va encore y passer ! Lui aussi, cette scène et ce qui se prépare l'excitent.

 

Mon excitation à moi, qui était pas mal retombée après que je me sois étranglé la queue, remonte en flèche. Je rebande … et de plus en plus dur !

 

Ces quatre types, je n'ai pas le moindre doute qu'ils vont vraiment essayer de la baiser ! Pour eux, c'est une salope, une femme facile qui vient de se faire tirer par un mec qu'elle ne connaissait pas, et qui, de toute évidence, veut encore de la bite … alors pourquoi pas leurs bites à eux ! Putain, s'ils arrivent à leurs fins, j'espère qu'ils la baiseront là, sur cette piste de danse, devant moi … j'espère qu'ils ne l'entraîneront pas dans je ne sais quel coin sombre, dans je ne sais quel baisodrôme discret où je ne serais pas sûr de pouvoir assister à leurs ébats … 

 

Mais … qu'est-ce qu'elle fout ? Elle repousse leurs mains tant bien que mal ... leurs mains qui reviennent inlassablement à la charge sur son corps … et elle leur explique quelque chose en riant … elle insiste parce qu'ils continuent de la peloter … ils rient aussi… alors elle lève la main comme quelqu'un qui jure … et elle crache ! Ils rient de plus belle, finissent par ôter leurs mains de son corps et s'écartent ! Merde, elle fait quoi ?

 

Aussitôt, elle se dirige vers notre box, plissant les yeux, comme pour percer la pénombre … mais elle se dirige un peu trop sur sa droite, vers le box voisin du nôtre … malgré la musique de nouveau assourdissante, j'entends une voix masculine « si si, ça fait rien, viens avec nous … assieds-toi » suivie d'un rire gras … Ben oui, une occasion comme ça … une salope comme ça, le type du box d'à côté voudrait bien la garder pour lui … et la voilà devant moi, qui se détache en ombre chinoise sur le fond des lumières de la piste de danse.

 

- Vous êtes là ?

Elle scrute l'obscurité, mais le temps que ses yeux s'y accoutument, elle ne distingue apparemment rien ni personne. Elle ne sait pas que l'autre couple est déjà parti et qu'il ne reste plus qu'elle et moi dans cette boîte.

- Je suis là ! 

- Ah ! Où sont les autres ?

- Partis.

- Ah bon. Et toi, t'es pas parti ?

- Non, comme tu vois. Je t'attends. Si je pars, t'as plus de voiture pour rentrer.

 

Je sais, c'est un prétexte minable. Elle ne relève pas et demande:

- Tu fais quoi ?

- Je regarde.

- Ah bon. Je … j'ai soif. Il y a encore à boire ?

- Oui. 

 

Elle reste debout, de l'autre côté de la table, répendant jusqu'à moi les effluves de son parfum. L'éclairage de la piste découpe les formes de son corps à travers le fin voile de sa robe … comme si elle était nue. Non, pas "comme si elle était nue" … en fait, elle EST nue … nue sous cette robe tellement légère et fine qu'elle n'est plus qu'un symbole. Les lumières derrière elle révèlent à travers le tissu transparent, tout en haut de ses cuisses, ce triangle parfait que j'aime tant … ce creux de ses aines entre son sexe et l'endroit où ses cuisses se touchent. Et ces lumières font luire le haut de ses cuisses … peut-être un peu de sueur, mais surtout, j'en suis sûr, un peu de sperme et de fluide d'excitation ! Ce que le "latin lover" a déposé dans son ventre à commencé à s'écouler … Je lui tends un verre. Elle boit. Elle ne doit pas vraiment me distinguer dans l'obscurité. Je demande:

- Tu veux qu'on s'en aille, maintenant ?

 

Tout en lui disant ça, je pense que si nous faisions mine de nous en aller, les quatre mâles en rut qu'elle vient de chauffer ne nous laisseraient pas partir … et ils la prendraient de force … les témoins interviendraient ? Sans doute pas. Elle a trop chauffé tout le monde pour pouvoir se défiler. Elle a cherché des coups de bites, elle va les avoir, ses coups de bites. Derrière elle, les quatre types discutent au bord de la piste et se marrent. Et j'ai bien l'impression que, justement, ils la surveillent.

 

- … qu'on s'en aille maintenant ? Ça va pas, non ? J'y retourne. Les quatre types, là-bas, ils m'attendent. Je leur ai promis de revenir. Tu peux t'en aller, je leur demanderai de me ramener, quand on ... 

 

Elle laisse sa phrase en suspens. « … je leur demanderai de me ramener quand on … » "Quand on" quoi ? Quand on aura fini de baiser ? Elle reprend:

- Bon, enfin, tu vois ... mais tu peux y aller, si tu veux.

- Non, je t'attends.

- Ah bon. Très bien. Et tu … tu vas faire quoi en m'attendant ?

- Je vais regarder.

- Ah oui … tu vas regarder …

- Oui.

 

C'est sans doute sous prétexte de venir boire qu'elle a abandonné momentanément ces quatre types, mais je soupçonne qu'elle soit surtout venue voir si j'étais encore là, et si je la regardais se livrer à cette débauche sexuelle. Pour moi, ça ne faisait pas beaucoup de doute, mais elle vient de le confirmer, elle va continuer avec ces quatre types. Et comme ça ne pourra pas s'arrêter à des préliminaires, c'est sûr, ils vont la baiser. A son ton, quand je lui ai proposé de partir, j'ai nettement perçu sa détermination à rester, à continuer, à aller jusqu'au bout avec ces types. Mais quand je lui ai dit que je restais pour regarder, le long silence qui a suivi témoigne de son désarroi devant ma réaction … elle est étonnée, elle ne comprend pas: elle vient de se faire baiser devant moi par un inconnu, elle s'est fait tripoter par quatre autres types, elle va retourner vers eux, continuer et, de toute évidence se faire baiser par les quatre … et je la laisse faire, je ne l'entraîne pas de force hors de cette boîte, je n'essaie même pas de la dissuader … Je suis aussi surpris qu'elle de ma propre réaction. Qui aurait dit qu'un jour j'assisterais sans rien dire à un libertinage aussi débridé, aussi poussé de ma femme ? Déjà j'étais loin d'imaginer qu'elle puisse se livrer à de tels débordements sexuels. Rien que de la soupçonner de coucher avec son collègue, ça me rendait dingue … Mais là, je ne suis même pas jaloux ! C'est autre chose, une sensation nouvelle, inconnue, bizarre … et ça me plaît, ça m'excite. Sans doute parce que ce sont des inconnus …  et que c'est finalement assez flatteur pour moi, que des mâles aussi beaux et aussi … mâles ... s'en prennent à ma femme … Enfin, elle reprend:

- Bon. Comme tu voudras.

 

" Comme tu voudras" … la même expression que tout à l'heure … toute aussi pleine de menace, de défi, de provocation. Elle repose son verre, tourne les talons, regagne la piste et se glisse au milieu du quator qui était resté groupé en attendant son retour. Je me rends compte qu'ils n'étaient pas les seuls à attendre qu'elle revienne. Des couples, des femmes et des hommes apparemment seuls l'accueillent en applaudissant. La femelle en chaleurs est de retour, le spectacle va reprendre ! De nouveau, le Dj remet une musique d'ambiance. Elle se retrouve alors plus ou moins masquée par les lascars qui l'entourent et par ces spectateurs … mais je la vois quand même qui reprend sa danse lascive, ondulante … Je remarque que si un ou deux couples, chaudement enlacés, continuent de danser, beaucoup de spectateurs ne s'en donnent même plus la peine … maintenant, ils ne sont sur cette piste que pour regarder ce qui se passe … ils veulent assister à la partouze de cette femme avec quatre types ! 

 

C'est elle, maintenant, qui cherche leurs mains et qui les attire sur elle, offrant son corps aux attouchements de ces mâles. Elle leur parle et ils rient. Je me trompe, ou ils jettent tous des coups d'œil dans ma direction ? Qu'est-ce qu'elle leur dit ? Que son cocu de mari est en train de la regarder se faire tripoter ? La voilà adossée au torse de l'un des trois blacks, ondulant du bassin pour frotter ses fesses contre le bas-ventre du mec. Il n'y a pas de doute, elle cherche encore à les chauffer, ces types … Celui-là en particulier. Il glisse ses mains par-dessus ses épaules jusque dans son décolleté, déboutonné jusqu'au milieu du torse, et commence à lui peloter la poitrine, tandis que les autres lui caressent les cuisses, les fesses et le ventre … elle lève les bras vers le black contre lequel elle s'appuie, lui enserre le cou et l'attire vers elle, vers sa bouche. Il se penche et plaque sa bouche sur la sienne … Les autres, dans leur fébrilité, ont remonté sa robe légère jusque sur son torse … la voilà pratiquement à poil … collée bouche à bouche au grand black qui lui pelote les seins, elle tend son bassin en avant et écarte les cuisses, offrant sa vulve à l'exploration d'un autre black … Elle est encore pleine du sperme du premier mec qui l'a baisée, mais ça n'a pas l'air de gêner le moins du monde celui qui lui fouille la chatte avec ses doigts … A mon avis, ça ne les dérangera pas non plus de fourrer leur queue dans son vagin encore plein de sperme !

 

La même question me revient, obsédante … à quoi elle pense, ma femme, à ce moment précis ? Qu'est-ce qu'elle ressent ? J'aimerais bien savoir, être dans sa tête … ça doit être torride … ça doit être tellement excitant !

 

Des types, des femmes, des couples se massent maintenant autour de cette scène de sexe et je ne vois plus suffisamment ce qui se passe. Alors, je me lève et je m'approche. Je veux être aux premières loges … après tout, c'est ma femme qui fait la salope et qui se donne en spectacle. Je me glisse entre deux couples. Il y a bien vingt cinq ou trente personnes qui font cercle autour de Christine et de ses quatre amants, et qui regardent, commentent et rient … certains, excités par ce qu'ils voient, s'embrassent, se pelotent, se masturbent mutuellement sans vergogne … Un type, à côté de moi, le bras passé sur les épaules d'une jolie beurette, me regarde et commente:

- Ben putain, celle-là, elle est chaude ! C'est une vraie salope ! C'est sûr, elle veut se les faite tous les quatre. Tu crois pas ?

- Si, t'as sûrement raison ...

- Et je sais pas si t'as vu, mais elle s'est déjà fait sauter par Jo, le baiseur de service! Il l'a baisée là, tout debout au milieu de la piste !

- Je sais, j'ai vu. Ce Jo, c'est le baiseur de service ?

- Ouais. Chaque fois qu'il vient, il s'en tape une … à tous les coups, ça marche !

 

Je lui souris, et désignant Christine d'un coup de menton:

- C'est ma femme.

 

Interloqué, il me dévisage silencieusement, les yeux ronds, puis:

- Hein ? Sans déconner … c'est ta femme ? ! ? ! 

- Oui.

 

Il me tend la main, visiblement pour serrer la mienne:

- Ben félicitations, mec … moi, c'est Kevin.

 

On se serre la main. Sa compagne a entendu … elle tend le cou et me regarde avec un drôle d'air. Elle se penche vers sa voisine, lui touche le bras, et lui lance:

- Le type là, à côté, c'est son mec !

- Quoi ?

 

Elle répète:

- Le mec, là, il dit que c'est sa femme, qui est en train de se faire tripoter par les quatre lascars !

 

Aussitôt, l'information fuse, passe de bouche à oreille, fait le tour de l'arène … dans le brouhaha, je saisis des " c'est son mec ", " son mari ", " le mari de la salope " … on me dévisage, on se marre, on se donne des coups de coude, on me sourit ... Je sens que, d'un seul coup, le fait que le mari soit là, qu'il assiste aux ébats de sa femme avec ces quatre types, ça ajoute du piment au spectacle. C'était déjà bien qu'elle se laisse tripoter par ces mecs après s'être fait baiser par le "latin lover", mais si, en plus, c'est sous les yeux du cocu, c'est encore plus excitant ! Maintenant, c'est un vrai show ! Plus personne ne danse, et si quelques uns continuent de se tripoter, c'est toujours en contemplant le spectacle. C'est dingue ! Comment j'aurais pu imaginer que cette soirée évolue en partouze entre Christine et des inconnus ? Comment j'aurais pu imaginer qu'elle s'adonne à … à ÇA ? ! ? !

 

Au milieu du cercle, indifférents à ce qui les entoure, ma femme et ses quatre amants poursuivent leur orgie. Maintenant, ils sont … comment dire … ils sont comme descendus d'un étage … le black, derrière elle, qui lui tripotait les seins, est maintenant courbé au-dessus d'elle, et, ses bras passés sous ses aisselles, il la soutient en continuant de lui rouler une pelle torride. Elle, à moitié effondrée, le cou tordu dans ce fougueux baiser qui n'en finit pas, enserre le cou de son amant et s'appuie des épaules sur les genoux de ce type … le torse et le bassin pratiquement à l'horizontale, les jambes pliées, elle repose sur ses pieds largement écartés. Le black qui lui explorait la vulve avec les doigts il y a un instant, est maintenant accroupi entre ses mollets, et poursuit son investigation gynécologique … ses doigts enfoncés dans son vagin, il la fouille consciencieusement ! Le contraste de ses doigts, si noirs, sur cette peau si claire, est saisissant.

 

Pour celui-ci, les choses ont bien progressé … ça y est, il a sorti sa queue par sa braguette, il bande et il se masturbe ! Putain, j'avais vu juste ! Il a une longue bite … une bite assez fine, mais longue … et effectivement noire foncée … avec un gland tout noir … c'est fascinant ! Je vois … je vois un des sexes qui vont s'introduire dans le ventre de ma femme ! Il va … il va enfoncer ce long sexe noir dans sa chatte ! Un sexe tellement noir et tellement long ! En face de moi, le troisième black a aussi sorti sa queue ! Lui est à genoux sur la piste de danse, et d'une main, il caresse l'intérieur de la cuisse de ma femme et de l'autre, il se masturbe aussi. Exactement la même bite que l'autre … très noire … et longue ! Quelles belles bites ! Ça, c'est des mâles ! Le beur me tourne le dos, mais je vois sa main gauche qui pétrit une fesse de ma femme. Il a sorti sa queue, celui-là ? Je ne peux pas voir. Je bande et ma queue, repliée dans mon caleçon, commence à me faire mal … j'ai une furieuse envie de la sortir … d'ailleurs, plusieurs spectateurs mâles ne se gênent pas et se tripotent ouvertement aux côtés de leur nana, en regardant … moi, tout ce qui me retient, c'est que, par rapport à celle des deux blacks, ma bite va paraître ridiculement petite … et ça serait beaucoup plus humiliant pour moi que de regarder ma femme se faire tripoter par ces mecs … N'y tenant plus, je glisse ma main dans mon pantalon et je redresse ma queue … Ouf, je me sens mieux. Mon geste n'a pas échappé à un type, en face de moi .. il hoche la tête en souriant à mon intention …

 

- Et … ça te dérange pas de voir ta femme se faire tripoter comme ça par ces quatre mecs ?

 

Le type de tout à l'heure, Kevin,  s'est encore penché vers moi, et il me parle à voix basse. Il ne veut pas déranger les baiseurs.

- Non, ça me dérange pas.

- Ah bon ? Vous avez l'habitude de faire ça, avec ta femme ?

- Non, c'est la première fois.

- Ah ouais ? Et c'est toi qui as voulu qu'elle se fasse … euh … qu'elle se fasse baiser ?

- Non. Ça vient d'elle.

- Et que ça soit des renois … enfin, des noirs … et un rebeu qui la tripotent, ça te dérange pas non plus ?

- Non. Toi, ça te dérangerait ?

- Avec des types que je connais pas, oui, ça me dérangerait. Mais avec des potes à moi, pas de problème …

 

Sa compagne, elle aussi penchée vers moi, a entendu et lui fout un coup de coude. Il se marre et reprend:

- Mais, euh … en tout cas, elle est drôlement chaudasse, ta femme. Et ça te fait vraiment pas chier que le rebeu et les trois frangins, là, ils la baisent à la chaîne  ! ? ! ? 

- Les trois frangins ?

- Ouais, les trois blackos, là, c'est des frangins … des jumeaux, même …

 

Ah ! C'est pour ça qu'ils se ressemblent tellement ! Des triplés ! Ma femme va se faire baiser par des triplés blacks !

 

- Des triplés, je t'ai déjà dit !

 

C'est la compagne de Kevin qui rectifie.

- Ouais, des triplés ... si tu veux ! Lui, là, qui roule une pelle à ta femme, c'est Mamadou … l'autre, en face de nous, c'est Moussa … et lui, là, qui lui fourre un doigt, c'est Daouda … c'est des sénégalais. 

 

Pour une première, Christine ne pouvait pas trouver plus … typique. Mamadou, Moussa et Daouda ! Des sénégalais ! Je me le fais confirmer par mon voisin:

- Ah bon ? Des sénégalais ?

- Ouais. Ils viennent tout le temps ici pour baiser … comme Jo, qui a baisé ta femme tout à l'heure … mais eux, souvent, quand ils lèvent une meuf, ils la baisent tous les trois … trois mecs d'un coup … une bite dans chaque trou … et des fois deux bites dans le même trou … et elles aiment ça, les salopes … surtout les blanches … parce que eux, c'est pas seulement des renois … c'est des sénégalais, en plus ! Tu vas voir, ta femme, comment elle va aimer ça … surtout si c'est sa première fois ! Alors, ça te fait vraiment pas chier ?

- Non. Au contraire …

- Ah bon ! ? ! ? "au contraire" ? ! ? !

- Ben, tous ces mecs, c'est … c'est des beaux mecs … le fameux Jo, il est pas mal, aussi … et si j'ai bien compris ce qu'a dit le DJ, ce Jo, il a du succès avec les femmes …

- Ouais … chaque fois qu'il vient ici, il s'en tape une … et le rebeu, là … t'en penses quoi ?

- Il est bien foutu, lui aussi … il est costaud … 

- Et qu'un rebeu se tape ta femme devant toi, tu t'en fous aussi …

- Pareil.

- C'est Morad, le frère à ma meuf. 

 

Décidément, ça se passe en famille, au Huitième Ciel ! La meuf en question se penche de nouveau vers moi et hoche la tête pour confirmer:

- Ouais, c'est mon frère, Morad. Il fait de la muscu. C'est pour ça, ses épaules …

 

Je perçois de la fierté dans le ton et la mimique de le petite beure. Mon voisin reprend:

- Alors, les trois blackos, ça te fait vraiment pas chier ? C'est des sénégalais, quand même … t'as vu ? Ils ont des gros zobs, les sénégalais …

- Ben tant mieux pour elle, si ils ont des gros zobs … mais non, ça me fait pas chier … c'est plutôt flatteur que des beaux mâles, bien montés comme eux aient envie de se taper ma femme …

- Mouais … on peut voir ça comme ça …

 

D'un seul coup, la situation évolue. Le black accroupi entre les mollets de ma femme … Daouda, donc … tout en faisant sauter le bouton de ceinture de son jean, Daouda s'avance brusquement entre les cuisses de Christine. Il écarte les pans de son pantalon et finit d'en sortir sa queue … et surtout ses couilles ! Ah putain, quel organe ! Magnifique ! Son appareil génital émerge d'une épaisse touffe de poils noirs. Sans qu'il ait besoin d'y toucher, sa bite, légèrement courbe, se dresse gaillardement à la verticale. Je suis fasciné ! Il va la baiser avec ça ! Elle a dû le sentir s'approcher d'elle … elle interrompt la pelle qu'elle roulait à Mamadou, dénoue ses bras d'autour de son cou … et, bouché bée, elle regarde Daouda, agenouillé entre ses cuisses, visiblement fascinée par le long sexe dressé qu'elle voit dépasser au-dessus de son ventre. Les deux autres, Mamadou et Moussa, ont compris que le moment est venu pour leur frangin de la fourrer. D'ailleurs, aux murmures que j'entends autour de nous, tout le monde a compris. Dans une parfait synchronisation, Mamadou et Moussa lancent à Daouda une formule incompréhensible pour moi – sans doute du sénégalais -  mais dont le ton atteste qu'ils encouragent leur frère. Curieusement une question me vient à l'esprit: ma femme sait-elle que ces trois blacks sont frères ? Sait-elle qu'elle va se faire baiser par des triplés ? Lui ont-ils dit ? 

 

Mamadou glisse de nouveau une main dans le décolleté de ma femme, et se remet à lui tripoter les seins. 

 

Evidemment, elle aussi a compris que l'autre, là, entre ses cuisses, va la prendre … maintenant ! Moi qui la connais bien, je reconnais son expression … étonnement … plaisir … gratitude … la même expression que quand je lui avais offert ce voyage en Polynésie, dont elle avait tant rêvé. Mais là, c'est cette queue noire qui l'enchante comme ça … cette longue queue noire la fascine ! C'est évident, elle la veut ! Elle la veut en elle ! Elle la veut dans sa chatte, elle la veut dans son ventre … C'est la première fois qu'elle … qu'elle a une aventure avec … des blacks … du moins, je crois … alors, ce sera la première fois qu'une bite noire s'introduira dans son sexe. Elle tend les mains vers son ventre et les glisse vers son entrejambe, d'abord à plat sur le haut de ses cuisses … puis, délicatement, du bout des doigts, elle écarte ses petites lèvres … elle s'ouvre, elle s'offre … elle offre sa vulve, elle offre son ventre à ce long sexe noir ! L'image de ces doigts aux ongles rouge qui écartent ces pétales roses et humides, c'est ... superbe !

 

petites-levres-b.jpg

 

 

Son impudeur, son indécence à réclamer ce sexe sous les yeux d'une trentaine de spectateurs, c'est absolument lubrique et obscène … mais si beau et tellement excitant ! Elle balaie l'assistance du regard, heureuse et fière d'être le centre de toutes les attentions … elle prend les spectateurs à témoin … "regardez, ce mec va me baiser ! ". Elle croise mon regard … me sourit … je lui rends son sourire … elle sourit à ce Daouda qui va la pénétrer d'un instant à l'autre … quand leurs regards se croisent, d'un léger coup de menton,  elle se tourne vers moi comme pour inviter son amant à regarder ce qu'elle lui désigne ainsi: "tu vois, c'est mon mari, là … et tu vas me baiser devant lui" … alors Daouda me regarde à son tour, sourit et, me désignant à son tour d'un coup de menton, il lance quelque chose en sénégalais à ses frères … Il leur signale ma présence. A leur tour, les deux autres me dévisagent, se marrent et Mamadou me lance:

- Hé, mec ! Mon frangin, il va la baiser, ta femme !

- …

- Tu t'en fous ? Hé, remarque, nous aussi, on va la baiser !

 

à suivre ...

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Vendredi 20 octobre 2017 5 20 /10 /Oct /2017 01:00

 

 

Samedi 9 décembre. 18 heures.

Nous sommes en route, Yolaine et moi. C'est moi qui l'emmène chez Lionel et Caro. Elle va se faire baiser par des types dans cet hôtel … comme moi l'autre jour.

 

Dès 16 heures, elle m'a téléphoné ... elle voulait venir me demander un conseil. Evidemment, qu'elle pouvait venir. J'étais chez moi, à l'étage, et machinalement, j'ai jeté un coup d'œil par la fenêtre. Je l'ai vue sortir de chez elle et se diriger vers chez moi dans un déshabillé minimaliste en satin rose, ressemblant à celui que je portais quand Jacky et ses potes sont venus me baiser à la maison. J'ai tout de suite vu que, non seulement son déshabillé était ouvert et qu'elle n'avait même pas pris la peine d'en nouer la ceinture, mais, qu'en plus, elle était à poil dessous ! Ce n'est pas tant que nous soyons le 9 décembre … il ne fait pas encore trop froid … mais c'est qu'à tout moment, quelqu'un peu se pointer dans notre cour et la trouver dans cette tenue ! De plus en plus gonflée et déshinibée, la Yolaine !

 

Quand je lui ai ouvert la porte, j'ai aussi remarqué que son déshabillé lui arrivait au ras de la touffe ! Quelqu'un qui serait passé dans notre rue au moment où elle était dehors, aurait forcément repéré son cul, dépassant sous le bas du déshabillé. Quand je dis " … au ras de la touffe", c'est façon de parler … de touffe, il n'y en a plus ! Déjà, à mon sourire, elle a compris que sa tenue me plaisait.

 

- Il te plaît, mon déshabillé ? 

 

Et sans attendre ma réponse:

- T'as vu ? Je me suis complètement épilée ! Touche !

 

Et aussitôt, elle attrape ma main et me la colle sur sa chatte:

- C'est doux, non ? Ça te plaît ?

- Ben oui.

 

Mais elle ne veut pas seulement que j'apprécie la douceur de son sexe … elle maintient ma main entre ses cuisses, et:

- Mets moi ton doigt … tu vois, je mouille déjà …

 

Je glisse mon doigt entre ses petites lèvres. En effet, elle mouille.

- J'arrête pas de penser à ces types qui vont me sauter … Tu vois que je suis motivée ?

- Ben oui.

 

Les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, elle presse ma main contre son pubis:

- Continue …

 

Je commence à bouger mon majeur sur son clitoris. Elle se met à haleter, se serre contre moi, pose son front contre mon épaule tout en gardant mon poignet bien plaqué sur sa chatte:

- Tu crois que je vais leur plaire, aux types ?

- T'es inquiète ?

- Oui … de ça … j'ai peur qu'ils veuillent pas de moi …

- Rassure-toi, ils voudront de toi …

- Tu crois ?

- Oui, moi, j'ai bien voulu de toi … 

- Pas l'autre jour !

- Oui, mais c'était particulier, ce jour-là … ça venait pas de toi … et les deux types qui t'ont baisée dans le Midi, ils ont voulu de toi … T'es bandante, Yolaine … et si tu te comportes avec eux comme tu viens de le faire avec moi, t'inquiète pas, ils vont aimer ça … ils vont te baiser, c'est sûr …

- Hhhmmmm, je suis contente que tu m'aie forcée à regarder tes photos et tes vidéos, l'autre fois … c'est ça qui m'a décidée … si t'avais pas fait ça, je serais encore … je serais encore comme une conne …

- Dis … tu voulais que je te donne un conseil …

- Oui.

 

Elle se décolle de moi et lâche mon poignet.

- Je voulais que tu me dises dans quelle tenue j'y vais, chez Lionel …

- Ben, je sais pas …

- Normale … euh … chemisier et jupe ou pantalon … ou il vaut mieux que je sois tout de suite en … en tenue … enfin … "sexe", tu vois ? 

- Ben à vrai dire, je sais pas … il y a peut-être des types qui aimeraient baiser une gentille mère de famille … ou une bourge catho …

- Beuuurk !

- Tu veux que je demande à Lionel ?

- Oh oui !

 

J'appelle:

- Lionel ?

- Oui.

- C'est Marin. Yolaine est en train de se préparer, et …

- Ah, très bien. Elle n'a pas changé d'avis, alors …

- Oh que non, elle n'a pas changé d'avis. Elle voulait savoir dans quel genre de tenue elle doit arriver chez toi … normale, dans le genre mère de famille bien sage, ou plutôt en … salope.

- Comme elle veut. De toute façon, elle finira comme ça, en salope. Euh … finalement, elles seront trois, les femmes, et côté hommes, il va y avoir du monde.

- Elle a entendu. Bon, merci, à tout à l'heure.

 

Elle bat des mains, comme une petite fille à qui on viendrait de promettre d'acheter un poney:

- Bon, je finis de me préparer et on y va …

- Je t'attends.

 

Voilà. Finalement, elle a mis une minijupe moulante en lainage qui lui arrive à mi-cuisses, un simple T-shirt et un blouson en daim à grand col ... des bas ou un collant, et aux pieds, des bottines aussi en daim. Par certains côtés, ça évoque un peu la mode des années 80, post baba-cool, et dans cette tenue et avec sa coupe de cheveux assymétrique, elle fait bien plus jeune. En s'asseyant dans ma voiture, elle me montre le grand sac qui pend à son épaule:

- Là-dedans, j'ai de la lingerie … et sous ma jupe …

 

Elle écarte les jambes et remonte le bas de sa jupe:

- … un porte-jarretelles … et pas de culotte !

 

Elle boucle sa ceinture de sécurité, me laisse manœuvrer pour sortir de notre cour commune, et, dès que je m'engage sur la rue, elle se penche vers moi, pose sa main sur ma cuisse et se blottit contre mon épaule. Je la sens … émue ! Je l'emmène se faire sauter par on ne sait combien de mecs, et elle est émue ! Où l'émotion va-telle se nicher ! Nous restons silencieux pendant tout le trajet, chacun dans ses pensées. Quand nous sommes en vue de l'hôtel, elle se redresse et:

- Je le connais, cet hôtel ! J'y suis venue il y a des années pour le repas de mariage d'une amie… je savais pas qu'ils faisaient des trucs comme ça, là-dedans !

- Ils ne le faisaient peut-être pas, à l'époque.

- C'est vrai.

 

Nous entrons sur le parking de l'hôtel. Une fois descendus de voiture, je lui montre la façade:

- Tu vois la chambre au premier étage, à gauche, tout au bout de la galerie ?

- Oui.

- C'est là que je me suis fait enculer, l'autre jour. Et un de mes … "clients" m'a même baisé là … dehors, sur la galerie.

- Sur la galerie ?

- Oui. 

 

Aujourd'hui, la porte de l'hôtel est ouverte et nous entrons directement. Lionel me reconnaît et vient nous accueillir. Je lui présente Yolaine:

- Voilà … Yolaine … et Lionel …

 

Ils se serrent la main. Lionel l'examine de la tête aux pieds, sourit et hoche la tête d'un air satisfait:

- Au téléphone, tu m'as dit que tu avais quarante-six ans …

- Oui.

- Félicitations, tu les fais pas. Euh … Marin … merci ... tu restes ?

- Ben … je pense pas … Tu veux que je reste, Yolaine ?

- Non, c'est pas la peine … tu reviendras me chercher ?

 

Lionel:

- On trouvera bien quelqu'un pour te ramener … à moins que tu ne veuilles pas qu'on sache où tu habites …

- Je … je sais pas.

 

Je pose ma main sur son bras:

- Si t'as besoin, tu m'appelles. C'est pas loin.

 

Lionel:

- Bon, tu me suis, Yolaine ? Je vais te présenter Caro, ma femme … et on va parler un peu. Marin, si tu veux, tu peux aller boire un verre dans la salle de restaurant. Il y a déjà quelques invités et une des deux autres femmes.

 

Il l'entraîne vers son bureau. S'il fait comme avec moi, il va sans doute "l'essayer", se faire sucer. Dans les dispositions d'esprit où elle est, ça ne devrait pas poser de problème. J'entre dans la salle de restaurant. Il y a là trois hommes qui discutent, debout et un verre à la main, et une femme assise qui me tourne le dos. Le premier que je vois, c'est Francis, ce grand type à grosse bite qui m'a baisé ici, l'autre jour. Lui aussi me reconnaît immédiatement:

- Tiens ! Voilà Marin ! qu'est-ce que tu viens foutre ici ?

 

La femme se retourne brusquement et me dévisage … 

 

PUTAIN ... C'EST CHRISTINE !!!

 

Je suis pris comme d'un vertige. Christine ! Ma femme ! Enfin, mon EX femme ! Instantanément, je SAIS ce qu'elle fait ici ! Il y a quoi … cinq ou six ans que je ne l'ai pas vue, et elle a beaucoup changé, mais c'est bien elle, et je comprends tout de suite que c'est une des deux autres femmes venues ici pour se faire baiser par une bande de mecs avec Yolaine … c'est même peut-être celle dont Lionel nous a dit … comment il nous a dit ? " Une des deux ou trois plus grosses salopes qui participent à nos soirées " … 

 

Elle aussi m'a reconnu. Elle a dû réagir en entendant Francis m'appeler Marin. Faut dire, c'est pas courant. Elle est blême … et ... elle tremble … J'ai une fraction de seconde d'hésitation et je me dis tout de suite que ce serait vraiment con de ne pas lui parler. Le passé est loin, et pour moi, les choses se sont apaisées. Je m'approche … elle se lève … Je fais quoi, je l'embrasse ? C'est elle qui choisit en me tendant la main. Comme elle veut. Je la lui serre. Moment de gêne intense. Je sais pourquoi elle est ici, et je suppose qu'elle comprend que je sais … Elle doit se demander si je fais partie des hommes venus pour la baiser ce soir.

 

- Vous vous connaissez ?

 

Francis ! Lui, en d'autres circonstances, j'aurais été content de le revoir, mais pas ce soir. Je le regarde:

- Oui, on se connaît.

 

Inutile qu'il en sache davantage. Tremblante, Christine s'assoit et me montre un siège:

- Ben ... assieds-toi. Tu ... tu veux qu'on parle ?

 

Je tire une chaise devant elle et je m'assieds. Elle me dévisage, cille des yeux:

- Je … je vais t'expliquer …

- Te donne pas la peine … je sais.

- Ah … ah bon ?

- Oui. Je sais ce qui se passe pendant ces soirées … 

- Mais toi … tu viens pour quoi ?

- J'ai accompagné quelqu'un.

- Un copain ?

- Non, une femme.

- Ah ! Celle que Lionel nous a annoncée.

- Voilà. Et tu la connais.

- Ah bon ?

 

Elle regarde derrière moi:

- C'est elle ?

 

Je me retourne. Yolaine vient d'entrer dans la salle, accompagnée de Lionel. Déjà ? Il ne l'a pas "essayée":

- Oui, c'est elle.

- Mais non, je … je la connais pas.

- Si, tu la connais.

 

Je regarde Yolaine approcher. Je vois immédiatement qu'elle, elle reconnaît Christine malgré qu'elle ait changé. Yolaine ouvre des yeux ronds, commence certainement par se demander ce qu'elle fait ici … puis par soupçonner qu'elle est ici pour la même raison qu'elle … elle hésite … la regarde … me regarde, m'interrogeant silencieusement. Je hausse les épaules avec une mimique … "ben oui, c'est bien elle". Yolaine approche et tend la main à mon ex:

- Bonjour, Christine.

- Bonjour … on se connaît ?

- Ben oui. Regardez-moi bien … Imaginez-moi avec un autre look … moins … moderne …

 

A son expression, je vois que ça y est, elle l'a reconnue:

- Yo … Yolaine ?

- Oui, Yolaine, votre ancienne voisine.

 

Christine la dévisage … encaisse le choc:

- C'est votre voix que j'ai reconnue. Mais … vous … pourquoi vous êtes ici ?

 

Elle doit avoir du mal à assimiler que c'est elle, la femme que j'ai accompagnée, et que Yolaine, qu'elle a connue si coincée et rigide, se retrouve dans une soirée comme ça. Yolaine s'assoit à son tour et me jette un coup d'œil. Ça y est, je suis sûr qu'elle a aussi compris que Christine, c'est sûrement l'habituée de ces parties de cul dont nous a parlé Lionel. De nouveau, je hausse les épaules. Yolaine:

- Ben, je pense que c'est pour la même raison que vous …

- Mais …

- Vous savez, Eric est mort il y a cinq ans … vous vous souvenez d'Eric ?

 

Christine hoche la tête. Elle se souvient. Yolaine poursuit:

- Depuis, j'ai changé … beaucoup … et pas seulement physiquement …

- Ah bon … mais …

- Déjà, je suis ici … alors vous savez ce que ça veut dire … 

- Oui, je suppose …

- Et bien ce soir, vous allez vous rendre compte à quel point j'ai changé …

- …

- Et c'est grâce à votre mari … enfin, votre ex mari.

- Ah bon ?

- Oui, c'est lui qui m'a dévergondée comme ça.

 

Christine me regarde … ne comprend pas. Yolaine enchaîne:

- Dites … puisqu'on est là toutes les deux pour la même chose, on pourrait peut-être se tutoyer …

- Ben oui, si vous voulez …

- Si on a un peu de temps, je te raconterais comment il m'a corrompue, ton ex … 

- Oui, si vous … si tu veux …

- Bon, Marin …  à plus tard …

 

Yolaine me congédie ! Mais au coup d'œil qu'elle me lance, je réalise qu'elle a perçu l'intense malaise que ma présence inflige à Christine … je réalise qu'elle cherche à y mettre fin … par compassion ? Il faut dire qu'autant Yolaine a changé en plus … féminin, sexy et appétissant, autant Christine fait maintenant triste figure, elle qui, il y a cinq ou six ans, était si … 

 

- Oui, j'y vais. Appelle moi si tu veux que je vienne te chercher. Bonne soirée …

 

Je me sens con, d'avoir dit ça ... "bonne soirée" ! C'était comme un réflexe, sans aucun sous-entendu. J'hésite, mais je tend la main à Christine qui me la serre, je fais un signe de la main à Yolaine, et je m'éloigne. Au passage, Lionel m'arrête:

- Tu la connais, Christine ?

- Oui. C'est mon ex femme.

- Ah ouais ?

 

Il est sidéré. Je devine le cheminement de sa pensée: chacun de son côté, le mari et la femme se sont tous les deux fait sauter dans son hôtel ! Il se reprend:

 - T'as été marié, toi ?

- Oui. Je sais que ça peut surprendre, mais j'ai été marié.

- Ça a dû te faire un choc, de la trouver là …

- Oui et non. La surprise, c'est que je ne m'attendais pas à la rencontrer … ça faisait cinq ou six ans que je n'avais plus de nouvelles. Par contre, je … je suis pas surpris qu'elle participe à ce genre de soirées. 

- Ben voilà … comme ça, des nouvelles, tu en as … elle sait  que toi aussi, tu …

- Oh non !

- Tu veux pas rester ?

- Oh non !

- Bon, ben, salut, Marin

- Salut.

 

Je sors et je monte dans ma voiture. Il fait nuit. Un réverbère déverse sa lumière orange sur le parking. Je reste au volant sans démarrer mon moteur. Des voitures entrent sur le parking et se garent autour de moi. Des hommes en descendent … trois … quatre … six …  et un couple, maintenant. Dans quelques minutes, certains de ces types vont se succéder dans ma femme … dans mon ex femme … C'est seulement à ce moment là, assis au volant, que ça me déferle dessus.

 

D'un seul coup, tout me revient, tout remonte à la surface. C'était enfoui au fond de moi et inconsciemment, quelque chose m'interdisait de me le rappeler. Oh, évidemment, une part de mon esprit savait bien que ça avait eu lieu, mais pas question de laisser revenir ça au grand jour. Alors une autre part de moi-même avait enterré ça profondément sous une épaisse chape de plomb. Pour l'éducation conformiste que j'avais reçue, ce qui s'était passé à cette époque était une chose honteuse, une souillure … un homme digne de ce nom n'aurait pas dû accepter ça, un homme digne de ce nom n'aurait pas dû laisser faire ça, un homme digne de ce nom n'aurait pas dû se montrer si complaisant. Et pourtant, non seulement j'avais accepté, non seulement j'avais laissé faire, mais j'y avais pris du plaisir … et ce qui en avait découlé avait été comme une sanction, une punition, un purgatoire … 

 

Aujourd'hui, je réalise que si je suis devenu ce que je suis devenu, je le dois essentiellement à ce qui s'est passé à cette époque. Comme si des petites graines s'étaient alors implantées en moi d'une manière insidieuse, et étaient restées cachées longtemps, toujours vivantes, mais en sommeil, attendant pour germer que des conditions favorables surviennent … telles ces graines de plantes des déserts de sable, capables de rester latentes pendant les années de sécheresse, et d'éclore à la première ondée. Mes petites graines avaient fini par germer, faisant naître un énorme bouquet de fleurs, mais j'avais oublié qui les avait semées … ou plus exactement, j'avais refusé de m'en souvenir.

 

Et maintenant que j'ai rompu avec toutes les règles, tous les préceptes moraux imbéciles dont on m'a gavé dans ma jeunesse, maintenant que j'ai pleinement accepté ce que je suis devenu, le simple petit déclic qu'a été cette rencontre avec Christine, celle qui fut ma femme, a ouvert en grand les vannes de la mémoire. Je me rappelle tout … dans le moindre détail … les souvenirs sont tout frais, comme si, bien abrités au fond de ma tête, ils n'avaient pas subi l'usure du temps, comme si c'était arrivé hier … et maintenant, ils défilent, les souvenirs … les faits, les lieux, le nom des gens … tout me revient ... jusqu'aux paroles échangées … mot pour mot !

 

A l'époque, et depuis près d'un an, il faut le dire, notre couple ne va déjà pas bien. Je sens Christine de plus en plus distante, indifférente à moi. Pire que ça, en ma présence, elle adopte alors, presque systématiquement, une attitude dévergondée, inconvenante, avec des hommes de notre entourage. Elle s'est soudain mise à les frôler, à les toucher, à les caresser sans nécessité, parfois à en enjôler certains … devant moi ou devant leur compagne. Elle s'est aussi mise à faire des commentaires libidineux … "celui-ci, j'en ferais bien mon quatre heures" … " celui-là, je lui dirais pas non" … "beau petit cul, ce mec-là … j'aimerais bien qu'il me montre le recto" … Et je n'arrive pas à déterminer si ce n'est que de la provocation à mon égard, ou si elle rêve vraiment de libertinage. Alors, plutôt que de ramer à contre-courant, ce qui, me semble-t-il, ne ferait qu'aggraver les choses, je m'efforce de l'accompagner dans ses délires libertins en suscitant et en approuvant ses commentaires libidineux. Je vais même jusqu'à lui proposer de "solliciter" les hommes de notre connaissance, et même des inconnus qui semblent lui plaire, pour des plans à trois. Mais c'est peine perdue, elle refuse et elle devient de plus en plus secrète, disparaissant sans motif pendant des heures, laissant systématiquement planer des doutes sur ses occupations hors de la maison, s'isolant quand elle reçoit des coups de fil …

 

Et puis, à plusieurs occasions, je remarque … ou plutôt non … l'air de rien, ELLE s'arrange pour ME FAIRE REMARQUER qu'elle est très liée à un de ses collègues, Patrick, instituteur comme elle. Par exemple, le jour où nous participons à une randonnée organisée par un ami, elle fait en sorte de parcourir tout le trajet avec ce Patrick, plutôt qu'avec moi ou n'importe qui d'autre … autre exemple, à l'occasion d'une cérémonie de vœux du maire de la commune où elle travaille, et à laquelle les enseignants de la commune sont conviés avec leurs conjoints, en arrivant, elle pose, devant tout le monde, un baiser rapide mais pas vraiment chaste sur la bouche de ce Patrick … autre exemple encore, un soir où elle m'a demandé de venir la chercher en voiture à la sortie de son école, avant que nous démarrions, elle lance à ce collègue « bon, à tout à l'heure », et reste muette quand je lui demande pourquoi ils doivent se revoir "tout à l'heure". Effectivement, ce soir là, elle disparaîtra et ne rentrera qu'au beau milieu de la nuit.

 

Je pourrais multiplier les exemples de ce genre. A chaque fois, quand je vois que se prépare quelque chose de ce genre, je sens naître au creux de mon estomac une boule d'angoisse et de haine qui me ronge … Et impossible d'avoir une franche explication avec elle … elle élude, elle nie, elle parle de jeux innocents … et finit par ne même plus me répondre. Oui, je suis jaloux, terriblement jaloux … et ce qui me tourmente, ce n'est pas tant qu'elle ait cette relation intime avec un autre, que le fait qu'ils ne se gênent pas pour la vivre au grand jour, et parfois se donner ouvertement en spectacle … ce qui me mine, ce n'est pas tant qu'elle ait des relations sexuelles avec un autre, c'est qu'elle m'exclue de sa vie sexuelle … à la limite, ça ne me dérangerait pas que nous baisions ensemble tous les trois ou qu'elle me laisse assister à leurs parties de jambes en l'air …

 

Voilà l'ambiance.

 

Bref, un jour, à la fin de l'année scolaire, elle m'annonce:

- Mes collègues ont prévu que vendredi soir, on aille tous ensemble manger au restau.

- Ah bon ? Très bien. A quelle heure ?

- Pourquoi ? T'as l'intention de venir ?

- Ben, c'est comme tous les ans … non ? Les années passées, les maris et les femmes étaient invités … C'est pas pareil, cette année ?

- Si, si ... c'est pareil. Mais … je pensais que … 

- Quoi …

- Non, rien … oublie. 

 

C'est bien dans sa manière … je sais que ce soir, parmi ses collègues, il y aura ce Patrick et que, que je sois présent ou non, ils vont recommencer leur cirque. En fait, ça ne me dit pas plus que ça, d'aller manger avec ses collègues. Ces gens-là ne parlent que boulot et, en général, je me fais chier parce que la plupart d'entre eux sont mariés avec des enseignants. Mais voilà, il va y avoir ce Patrick, et il n'est pas question que je leur facilite les choses. D'autant que je ne suis pas sûr que sa femme à lui sera là. Christine insiste:

- Alors … tu viendras ?

- Oui.

- Bon, comme tu voudras.

 

Il n'y a pas que de la déception dans ce "bon, comme tu voudras" … j'y perçois une menace, quelque chose comme "tu me le paieras ! " ou "tu vas le regretter! ".

 

Le soir de ce fameux vendredi venu, alors que je commence à m'habiller vite fait (en principe, dans ce milieu d'enseignants, on n'est pas très à cheval sur la tenue vestimentaire, on est plutôt "jeans, sweat-shirt et tennis" en toutes circonstances, hommes comme femmes), Christine prend tout son temps pour se préparer. Après avoir passé un long moment dans son bain, elle s'applique à soigneusement s'épiler à la cire. Immédiatement, je devine ses dispositions d'esprit, et ça y est, la boule d'angoisse et de rage se réveille dans mon ventre. Entrant dans la salle de bain pour me raser, je la trouve à poil en train de se faire le maillot. Puis, pas gênée le moins du monde par ma présence, avec son petit rasoir électrique, elle désépaissit encore la toison pourtant déjà fine qui lui couvre le pubis ... il ne lui reste pratiquement plus qu'un duvet symbolique … tout ça pour aller manger au restaurant avec ses collègues ? Je remarque aussi qu'elle a verni ses ongles d'un rouge vif. C'est la première fois qu'elle fait ça, je crois. Enfin, après avoir redessiné ses sourcils à la pince, elle s'enduit d'une crème hydratante parfumée et enfile une petite robe que je ne lui connais pas … une petite robe très … sexy … et même un peu plus que ça: très courte, elle lui arrive à mi-cuisses (cuisses qu'elle a très jolies, bronzées et galbées, je dois le reconnaître), et, sans être vraiment moulante, elle est assez près du corps et surtout taillée dans une matière imprimée extrêmement fine et légère … comme un voile … 

- C'est une nouvelle robe ? Je ne l'avais jamais vue. Tu viens de l'acheter ?

 

Elle ne se donne même pas la peine de me répondre. Elle me jette un coup d'œil ironique dans le miroir tout en continuant de se passer du gloss sur les lèvres. Du gloss ! Ça aussi, c'est nouveau. Je sais bien qu'on est fin juin et qu'il fait chaud, mais la température extérieure n'est sûrement pas la seule explication à cette soudaine … élégance vaporeuse. Qui plus est, compte tenu de la finesse de cette robe, je peux voir qu'elle n'a pas mis de soutien-gorge et qu'on devine ses seins, à la fois par transparence et par le large décolleté du vêtement ! Pour finir, fouillant dans sa commode, elle choisit avec soin une petite culotte, minuscule et sexy, la tend entre ses doigts, l'examine soigneusement, et satisfaite, l'enfile avec un large sourire. Tant qu'à faire dans le genre dénudé, je me demande bien pourquoi elle ne s'est pas contentée d'un string, voire de rien du tout ! Enfin arrive la touche finale ! De son sac à main, elle extrait une boîte brun-rouge qu'elle ouvre délicatement pour en sortir un flacon de parfum … Opium ! Mazette, jusqu'à présent, elle qui prétendait ne supporter que le délicat bouquet des eaux de toilette … Opium, je connais … c'est du puissant ! En fouillant dans son sac, elle a fait tomber un papier d'emballage encore agrémenté de son ruban de bolduc. Bêtement, comme par réflexe, je lui demande:

- Tiens, qu'est-ce que c'est ?

- Ça se voit … non ? C'est du parfum. 

- Oui, j'ai reconnu. Tu t'achètes du parfum, maintenant ?

- C'est un cadeau.

- Un cadeau ?

 

Silence. Je n'insiste pas. De toute façon, je la connais, elle ne me répondrait pas. Il est évident que ce n'est pas pour me faire honneur qu'elle s'est "habillée", si on peut dire, comme ça, et qu'elle se met à supporter une fragrance aussi forte qu'Opium. Il y a forcément du Patrick là-dessous. Mais je m'abstiens de lui faire une réflexion. Inutile de lancer les hostilités. Je me fends même d'un compliment sur sa tenue, compliment dont, de toute évidence, elle n'a rien à foutre. Quand enfin elle sort de la salle de bain, l'arôme épicé du célèbre parfum la précède. En effet, c'est vraiment fort, Opium. Mais c'est aussi très sensuel ... charnel. Une arme de séduction massive !

 

Evidemment, quand nous retrouvons ses collègues et leurs conjoints devant le restaurant, les regards simplement appuyés ou réprobateurs de certaines femmes, carrément libidineux de certains de ses collègues masculins, en disent long sur l'effet que produit sur eux la tenue de ma femme. Elle a atteint son but, se faire remarquer et chauffer les mâles. Je dois dire que, dans cette tenue, elle évoque irrésistiblement le sexe .. non, mieux que ça, elle INCARNE le sexe. Au minimum, sa tenue est un appel au tripotage … En d'autres circonstances, ça ne me déplairait pas. Mais là, évidemment, je ne me sens pas fier du tout de son … succès. Compte tenu des sourires ironiques des uns et des chuchotements des autres, ce serait même plutôt le contraire. Il y en a un qui se régale … le Patrick ! J'ai bien vu, quand elle s'est approchée de lui, il l'a comme … reniflée, avant de lui murmurer quelque chose à l'oreille. Il a remarqué qu'elle porte le parfum qu'il lui a offert ? Putain, j'ai envie de les tuer, tous les deux !

 

Et évidemment, comme c'était prévisible, au moment de prendre place autour de la grande table, Christine manœuvre pour s'asseoir à côté de lui. Oh, bien sûr, j'aurais pu aussi manœuvrer pour m'installer entre elle et lui, mais je ne veux pas nous donner en spectacle et ajouter le ridicule d'un vaudeville à l'humiliation. Inutile de raconter le repas … un enfer. Ces deux excités n'arrêtent pas de se chuchoter à l'oreille, de rire en aparté, de se frôler ... un moment, je remarque même qu'elle a posé sa main à elle sur sa cuisse à lui ! Et pourquoi pas sur sa queue, tant qu'ils y sont ! Nous y sommes au … " bon, comme tu voudras " de tout à l'heure … elle me provoque, sûre de son immunité … elle me connaît, elle sait que j'ai horreur de l'affrontement et du scandale public. Evidemment, les autres se rendent compte de ce qui se passe. Je bouillonne intérieurement. Je me sens amer, humilié. Je me dis que, puisque ce soir ces deux salauds osent se comporter avec si peu de retenue, sous le nez de leurs collègues et devant sa femme à lui et moi, c'est que, quand nous ne sommes pas là, dans leur école, notamment, rien ne doit les arrêter. Ça doit se peloter et se bécoter ouvertement au grand jour. Et ma boule de haine grossit au creux de mon ventre. Anne-Marie, la femme de Patrick, assise pas loin d'eux de l'autre côté de la table, ne manque rien non plus de leur manège. Elle est blême, et elle à beau les fusiller du regard, ils continuent. Ça a même l'air de les amuser. L'ambiance générale est de plus en plus tendue, électrique. La plupart des autres participants en sont gênés. L'orage menace et je sens que, bien que ça me répugne, il va falloir que je le fasse éclater.

 

Et puis, à un moment, Christine lance à la cantonade qu'il faut qu'elle aille aux toilettes. Silence général. Ce n'est pas le genre de déclaration qu'on fait en société. Elle recule son siège, se lève et, toisant toute la tablée:

- Tu viens avec moi, Patrick ?

 

Putain ! Là, elle pousse le bouchon trop loin. Sa question est si lourde de sous-entendus, qu'elle aurait aussi bien pu lui dire " tu viens avec moi, on va tirer un coup vite fait dans les chiottes ". Les autres, interloqués, se regardent. Lui, quand même un peu gêné, ne sait visiblement pas trop quoi faire. Il hésite, regarde ses collègues, essayant de déchiffrer ce qu'ils pensent, jette un coup d'œil à sa femme … il ne peut que sentir la réprobation générale … mais, à son tour, il commence à reculer son siège pour se lever.

 

- Patrick !

 

C'est Jean-Paul, le directeur de son école qui vient de l'interpeller d'un ton ferme en tapant du plat de la main sur la table. Ses yeux plantés dans ceux de Patrick, il accompagne sa moue d'une mimique qui veut clairement dire "déconne pas ! ". Elisabeth, la femme de Jean-Paul, vient à son tour à la rescousse. Elle s'empresse de se lever et:

- Je t'accompagne, Christine. Moi aussi, j'ai besoin.

 

Christine la fusille du regard, mais Elisabeth fait semblant de ne pas le remarquer, elle la prend par le bras et elle l'entraîne. La tension retombe un peu. Aussitôt que Christine a disparu, Anne-Marie se lève, contourne la table et vient s'asseoir à côté de son mari, à la place de Christine. Tout le monde sent qu'il va se passer quelque chose entre ces deux-là, alors, poliment, les conversations reprennent pour les laisser régler leurs comptes tranquillement. Je les observe. En effet, tête baissée, elle lui parle à l'oreille à voix basse, mais sur un ton véhément. Il se défend mollement, l'air ennuyé, regardant les autres par en-dessous. Au moment où Christine et Elisabeth reviennent, Anne-Marie achève sa discussion avec Patrick en frappant violemment à son tour la table du plat de la main. Lui, penaud, ne moufte pas mais lance des regards gênés à ma femme, avec l'air de lui dire « Je n'y peux rien. Je n'ai pas pu l'empêcher ». Christine, interloquée de trouver sa rivale à sa place, reste plantée là, comme si elle attendait qu'Anne-Marie dégage. Mais elle n'en fait rien et soutient son regard, furieuse. Affrontement muet des deux femelles ! C'est encore Jean-Paul qui fait le Casque Bleu. Il tapote le siège qu'Anne-Marie a abandonné à côté de lui, et, sur un ton enjoué:

- Assieds-toi donc à côté de moi, Christine …

 

Et tout bas, mais suffisamment fort pour que je l'entende:

- Allez … ça vaudra mieux pour tout le monde.

 

Elle s'assoit à contrecœur et le repas se poursuit dans une atmosphère moins orageuse, mais tout de même assez tendue. Christine n'arrête pas de regarder son amant, lui lançant sans doute des messages muets. 

 

Quand nous quittons le restaurant, alors que, regroupés sur le trottoir, nous nous apprêtons à nous séparer, Jérôme, le mari d'une des institutrices lance:

- Il est pas tard, on pourrait aller danser … je connais une boîte pas loin …

 

Merde. Aussitôt, je vois le coup se profiler. Si on va en boîte, les deux excités vont profiter de l'obscurité pour recommencer leur cirque et se tripoter. Et, naturellement, faisant certainement le même raisonnement que moi, la première à réagir, c'est Christine:

- Oh ouais, j'ai envie de danser !

 

A part elle, tout le monde hésite, on se regarde les uns les autres. Jean-Paul se tourne vers moi, et:

- T'en dis quoi ?

- Moi, je suis plutôt fatigué …

 

Aussitôt, je devine que j'aurais mieux fait de me taire. Jérôme insiste:

- Oh ben quand même, me dites pas que vous avez tous envie d'aller vous coucher !

 

Le con ! Bien sûr que si, il y en a deux, qui iraient bien se coucher maintenant … mais ensemble et pas pour dormir ! Deux ou trois autres échangent des sourires ironiques. Ceux-là pensent à la même chose que moi. Ce Jérôme, depuis le début de la soirée, j'ai l'impression qu'il est le seul à ne pas avoir remarqué le manège des deux excités. Il a toujours l'air de tomber des nues. Maintenant, c'est Christine qui insiste:

- Allez, on va danser. Moi, je me sens dans une de ces formes ! Ceux qui sont fatigués n'ont qu'à aller dormir !

 

Voilà ! Exactement ce que j'attendais. Mais pas question que j'aille dormir. Si tu y vas, j'y vais.

 

Maintenant, je pense qu'en fait, tout est parti de cet instant précis. Je me dis que si j'étais allé me coucher, au lieu de coller Christine, les choses auraient sûrement évolué autrement … du moins pour moi … et aujourd'hui, je ne serais pas ce que je suis devenu … mais ça, à ce moment là, je ne pouvais pas le prévoir.

 

Finalement, seuls deux couples renoncent et rentrent chez eux. Une demie heure plus tard, nous sommes huit devant l'entrée d'une boîte: Jérôme et sa femme, Jean-Paul et Elisabeth, Anne-Marie et Patrick, Christine et moi. Je me demande si Jean-Paul et Elisabeth n'auraient pas suivi pour continuer à jouer les Casques Bleus en cas de nécessité. Ils m'ont à la bonne, il me semble. Anne-Marie, évidemment, a aussi collé aux basques de Patrick.

 

Cette boîte est dans un quartier … pas vraiment louche, mais limite. Je me demande si on ne va pas retrouver nos voitures sur quatre parpaings. Sur la façade aveugle de la boîte, un néon en lettres roses annonce " Club le Huitième Ciel " … tout un programme ! Devant l'entrée, deux énormes gaillards aux mines patibulaires barrent le passage à une bonne dizaine de jeunes, surtout des garçons, qui râlent et tentent de négocier leur accès: « Mais on veut bien payer, m'sieur ! » … « On vous dit que c'est complet … dégagez, les mômes ! ». Bon, on dirait qu'on va devoir faire demi tour. Jérôme nous retient:

- Attendez ! On va demander … si ça se trouve, nous, ils vont nous laisser entrer …

 

Jean-Paul:

- Ah bon ? Mais ils ont dit que c'était complet, et ils virent les jeunes …

- Oui, mais … c'est pas sûr. C'est une boîte un peu … spéciale …

- Comment ça, "spéciale" …

- Ben … certains soirs, il y a des soirées un peu … un peu spéciales, quoi … alors, ils laissent pas rentrer tout le monde … ils trient … ils veulent pas des gens qui pourraient faire des histoires ..

- Une boîte un peu spéciale, des soirées un peu spéciales … tu nous intrigues … faut nous en dire plus …

- Ben … des fois, c'est des soirées disons … libertines … vous voyez ?

- Oui, oui, on voit … mais j'espère que c'est pas ça, ce soir …

- Non non … enfin … je sais pas, en fait … mais, de toute façon, on n'est pas obligé de participer … on peut danser et seulement regarder … et d'autres fois, c'est des soirées carrément échangistes ou même caudalistes …

- Ah bon ? Des soirées échangistes ? Et c'est quoi, ça, des soirées caudalistes ?

- Vous connaissez pas ?

- Non.

- Ben … c'est pas facile à expliquer … On n'a qu'à entrer. Si c'est une soirée comme ça, vous verrez … vous comprendrez … et pareil, on n'est pas obligé de participer …

- C'est pas dangereux, au moins, tes soirées … caudalistes … c'est comme ça que t'as dit ?

- Oui, c'est comme ça qu'on dit. Et non, c'est pas dangereux du tout … Mais ce soir, c'est peut-être pas une soirée somme ça …

- Bon, ben allons-y, on verra bien … Faudra que tu nous expliques comment tu connais une boîte aussi … spéciale …

 

Moi, à l'époque, j'étais comme Jean-Paul … les soirées caudalistes, je ne savais pas ce que c'était.

 

Jérôme en tête, nous nous faufilons au milieu de la dizaine de jeunes qui s'obstinent à vouloir entrer. Ils ricanent, ils se foutent de nous « Des yeuvs qui vont au Huitième Ciel ! » Pour eux, vu que c'est complet, les "yeuvs" ne pourront pas rentrer non plus. Devant les deux costauds, Jérôme demande:

- On est huit, on peut entrer ?

 

Le plus costaud des videurs allume une torche et nous la braque à tour de rôle sur le visage:

- Vous savez ce que c'est, ce club ?

- Oui, je connais, je suis déjà venu.

- C'est vos femmes qui sont avec vous ?

- Oui, c'est nos femmes.

 

Le videur n'a pas vraiment l'air décidé à nous laisser entrer … il hésite … braque de nouveau le faisceau de sa torche sur Christine … de la tête aux pieds, cette fois … puis, comme si cet examen le faisait changer d'avis:

- C'est bon, allez-y …

 

Il avait raison d'insister, le Jérôme, finalement, on peut entrer. Les jeunes gueulent, sifflent, mais nous entrons. Il y a d'abord une sorte de hall, comme un sas, d'où on entend déjà de la musique. Un type nous accueille:

- Bonsoir. Vous avez des téléphones portables ? Vous allez devoir les laisser ici. Les sacs à main des dames aussi, si elles veulent. Sinon, je dois les contrôler.

 

Surprenant. Il nous montre des casiers métalliques. Comme Jean-Paul s'étonne, le type explique:

- Pas de photo à l'intérieur. C'est la politique de la maison. Vos téléphones, on vous les rend quand vous repartez.

 

Nous sommes tous un peu intrigués, Jérôme excepté. Pendant que des smartphones échouent dans un casier, je jette un coup d'œil circulaire. Sur un mur, un panneau avec des affiches à l'en-tête du club annonçant des soirées ... tel jour, c'est "soirée filles" ... tel autre "soirée mousse" ... ou "soirée maillot de bain" ... et même ... "soirée sex toys"! La vache ! On est tombés où ? Apparemment, d'après les dates, ce sont des soirées déjà passées. Après un rapide contrôle des sacs à main, le type pousse une deuxième porte, très lourde, et nous entrons dans le club lui-même. Musique à fond. Tout d'abord, un bar, avec quelques consommateurs qui nous dévisagent. Une hôtesse basanée et très sexy dans son micro short nous accueille, nous compte et nous fait signe de la suivre. La salle proprement dite: une piste de danse ovale, étonnamment petite, il me semble pour une boîte, avec, à une extrémité, la cabine du disque-jockey … tout autour, dans la pénombre, on distingue vaguement des gens assis sur des banquettes très basses, sans doute noires. Ce sont des boxes, séparés par des cloisons très basses et à peine éclairés par les lumières de la piste de danse. Dans certains boxes, de petites flammes dansent sur des tables. L'hôtesse nous montre un coin qu'elle éclaire d'une petite torche. Au centre, une table basse, ovale comme la piste de danse, et, contre les murs, une banquette courbe, effectivement d'un noir intense. Nous nous installons. L'hôtesse se penche vers nous et, élevant la voix pour couvrir la sono:

- Vous savez comment on fonctionne ?

 

Jérôme:

- Ben moi je sais, mais … expliquez à mes amis …

- Alors, le prix d'entrée est compris dans celui de vos consommations … ou l'inverse, si vous préférez … vous me dites ce que vous voulez et vous me réglez quand je vous amène les consos … alors espèces ou carte bancaire uniquement … pas de chèque … Vous savez déjà ce que vous voudrez boire ?

- Euh … non, je pense pas.

- Alors, réfléchissez, je reviens dans cinq minutes.

 

Avant de partir, elle allume deux petites bougies sur la table basse, et s'éloigne. Jean-Paul remarque:

- Ça n'éclaire rien, ces bougies.

 

Jérôme:

- C'est pas pour éclairer, c'est plus pour elle … pour qu'elle sache quels boxes sont occupés. Bon, vous prenez quoi ?

 

Quand chacun a annoncé ce qu'il veut, Jean-Paul:

- OK. J'attends la serveuse … je lui passerai la commande.

- Bon, moi, je vais danser ! Vous venez ?

 

Christine ! La voilà qui s'élance. Je réalise que sa robe, paraît encore plus transparente ici. Les puissantes lumières qui éclairent la piste de danse découpent nettement, en ombres chinoises, les contours de son corps à travers le fin voile. C'est très suggestif et érotique … presque indécent … Mais … il n'y a pas à dire, elle est encore pas mal foutue, ma femme.

 

Ce que nous donne le DJ est très… moderne, très syncopé, très rythmé … hypnotique ... et surtout très fort. Patrick s'est levé et a suivi ma femme … Anne-Marie se lève et suit Patrick … Jérôme et sa femme – je ne sais même plus comment elle s'appelait, celle-ci – se lèvent et les rejoignent. Jean-Paul, en se penchant vers moi:

- Tu vas pas danser ?

- Je sais pas … peut-être …

- Tu devrais y aller …

 

Toujours bienveillant, ce mec. A mon avis, dans leur école, il a dû assister à de scènes plutôt chaudes, entre ma femme et son collègue. J'hésite … je n'ai pas du tout envie de danser. Et puis, je me décide. Il a sans doute raison, le Jean-Claude … en espérant que ma présence va au moins un peu embarrasser les deux excités.

 

Pas plus que ça, en fait: ils sont déjà ensemble. Bien que ce soit une de ses danses qui n'en sont pas vraiment, où on se contente de s'agiter chacun de son côté, ils dansent face à face, les yeux dans les yeux, très près l'un de l'autre et jouent à se frôler, à s'effleurer, à se toucher … comme s'ils avaient eux-mêmes soufflé sur ses braises, ma boule de haine se remet à flamber au creux de mon ventre … La femme de Patrick est aussi là, à côté d'eux, mais pas AVEC eux … ils l'ignorent et à leur manière, ils sont vraiment seuls … Anne-Marie les regarde, jalouse, furieuse … son esclandre au restau n'a pas calmé son mari. Je m'approche d'elle et je danse en essayant de me mettre face à elle, d'attirer son attention … pourquoi on ne ferait pas pareil, tous les deux ? Mais ça ne marche pas … visiblement, elle n'est pas dans cette disposition d'esprit. Et puis, moi non plus, je ne me sens pas motivé … déjà, elle ne me plaît pas cette femme … je ne pourrais pas flirter avec elle … ni faire semblant. Je me détourne et je continue vaguement de danser … mais ça me gonfle … je n'aime pas ça, danser, et en plus, je me sens en service commandé …

 

Au moment où je m'apprête à regagner notre box, je vois Anne-Marie s'approcher de Patrick et Christine, saisir le poignet de son mari, l'obliger à se tourner vers elle, et l'engueuler. Je n'entends pas ce qu'elle dit, mais c'est sûr, elle l'engueule ! Il continue vaguement de danser en l'écoutant, et en jetant des coups d'œil désolés vers Christine. Elle, Christine, danse comme si de rien n'était, comme si elle n'était pas concernée … une engueulade entre son amant et sa femme, c'est pas son problème … elle en rajoute même, au point de vue provocation, comme pour attiser le désir de son amant et essayer de le récupérer … elle danse de plus en plus lascivement … d'autant plus qu'en levant bien haut les bras au-dessus de sa tête, elle fait remonter le bas de sa robe jusqu'au ras de ses fesses ! Par moments, il me semble même apercevoir, en haut de ses cuisses, le fond de sa petite culotte. Quoi qu'il en soit, lui, l'engueulade de sa femme a l'air de le calmer … il a arrêté de danser et il semble expliquer quelque chose à sa femme … elle lui répond je ne sais quoi, et tous deux se remettent à danser à quelques pas de Christine … J'espère que ça sera tout pour ce soir … mais sans trop y croire.

 

Je quitte la piste de danse et je retourne m'asseoir. L'hôtesse a livré les boissons. Jean-Paul, Elisabeth et moi, nous buvons. Jean-Paul:

- Ça a encore chauffé, là-bas …

- Oui.

- Ils abusent, tous les deux … je veux dire Christine et Patrick … ils abusent. Je vous plains, Anne-Marie et toi …

 

Que lui répondre ? Il est gentil, mais même sa compassion finit par être humiliante.

 

Brusquement, le niveau sonore baisse, les lumières de la piste également, et une séquence de slows démarre. Je me tourne vers la piste au moment où Christine saisit le bras de Patrick et l'attire vers elle. Il se laisse entraîner, plantant là sa femme, décontenancée. Christine se colle à lui, l'enserre de ses bras, pose sa tête contre son cou et entame un slow langoureux. Quelle garce ! Quelle salope !

 

Sur la piste, d'autres couples se forment et, immédiatement, ça devient très chaud ! Je vois des mains se balader sur des reins, sur des fesses, sur des poitrines … je vois des bouches se plaquer sur des bouches … et même des mains se plaquer sur des braguettes ! Je vois deux garçons danser avec la même fille, tous les trois enlacés, sa bouche à elle passant de la bouche d'un garçon à la bouche de l'autre … C'est seulement maintenant que je réalise que la plupart des filles sont jeunes et habillées vraiment très sexy … certaines très "sexe", même … mini jupes ultra courtes, micro shorts hyper moulants … des fesses dépassent … robes également très moulantes ou très ajourées … petits hauts très décolletés ou très échancrés … Ouaaahhh ! On dirait un concours d'érotisme. Et je dois dire que, si Christine n'est pas dans les plus jeunes et les plus sexy, elle fait quand même très bonne figure au milieu de toutes ces petites nanas … Elle est … elle est ce que les anglo-saxons appellent une MILF, une Mother I'd Like to Fuck … une mère qu'on a envie de baiser … Et pour ce qui est du comportement, elle et Patrick ne déparent pas au milieu de tous ces roulages de galoches, de tous ces frotti-frotta ! Eux qui n'avaient pas besoin de ces exemples, en sont aussi à se rouler une pelle torride en se caressant fiévreusement ! Devant tout le monde ! Devant sa femme et devant moi ! 

 

Putain, faut pas pousser ! Je me lève d'un bond … cette fois, je vais lui foutre mon poing sur la gueule, à ce connard ! Je n'ai même pas le temps de sortir du box … Anne-Marie est déjà sur eux. Elle chope son mari à l'épaule, le fait pivoter, l'arrachant à l'étreinte de ma femme et, dans le même élan, elle lui administre une baffe si puissante que, malgré la musique, je l'entends claquer d'où je suis ! Il marque le coup, titube, se tient la joue, frappé de stupeur. Les couples autour d'eux les regardent, amusés. Anne–Marie l'invective, le menaçant de son doigt pointé. Il se courbe sous l'avalanche, comme s'il craignait une autre baffe. Non, mais quel con ! Maintenant, c'est Christine qui a droit à l'engueulade. Mais, visiblement, elle s'en fout, continuant d'onduler toute seule au rythme du slow et regardant la femme de son amant avec un petit sourire provocateur ! Baffe la aussi, Anne-Marie ! 

 

Voilà, fin de l'avalanche ! Anne-Marie prend son homme par le bras et l'entraîne vers notre box. Il suit docilement. Arrivée près de nous, elle me cherche du regard dans l'obscurité, me trouve, et:

- Elle a vraiment le feu au cul, ta salope de bonne femme ! Tu peux pas la calmer, qu'elle foute la paix à mon mari ?

 

Non, j'ai bien peur de pas pouvoir la calmer. C'est évident qu'elle a le feu au cul, mais c'est aussi évident qu'elle veut un autre pompier que moi pour l'éteindre.

 

Anne-Marie cherche fébrilement son sac, le trouve, se retourne, reprend son homme par le bras et l'entraîne. Ils quittent la boîte. Jean-Paul:

- Bon, ben nous aussi, on va y aller. Désolé que la soirée se termine comme ça. Bon courage.

 

Elisabeth m'embrasse … lui aussi. Maintenant que Patrick et Anne-Marie sont partis, plus besoin de Casques Bleus.

 

Ma femme, ne voyant pas son amant revenir, quitte à son tour la piste. A tâtons, elle entre dans le box et se laisse tomber sur la banquette:

- Ils sont où, les autres ?

- Qui …

- Ben … Jean-Paul et Elisabeth … 

- Eux, ils sont partis … 

- Et Patrick ?

 

Elle a le culot de s'inquiéter de lui auprès de moi !

- Parti aussi avec sa femme … Elle trouve que t'as le feu au cul et que t'es une vraie salope …

- Et les autres, le Jérôme et sa femme, ils sont où …

 

Elle ne relève même pas ce que je viens de lui dire … elle se fout de ce que pense la femme de son amant.

- Jérôme et sa femme ? Je sais pas … ils dansent, peut-être … Moi aussi, tu sais, je trouve que t'es vraiment une salope et que t'as le feu au cul …

- Ça, mon vieux, t'as pas idée à quel point, j'ai le feu au cul … mais, en tout cas, c'est pas toi qui va me l'éteindre … Et toi, si t'as pas encore assez picolé ce soir, t'as qu'à continuer … moi, je vais m'amuser.

 

La séquence des slows est terminée. Les lumières se rallument sur la piste et la musique se déchaîne à nouveau. Christine se lève et s'éloigne. " … si j'ai pas encore assez picolé … " … qu'est-ce qu'elle raconte ? J'ai pas bu ! 

 

Elle croise le dernier couple, Jérôme et … et l'autre, là, sa femme, qui reviennent vers notre box. En me découvrant dans la pénombre, ils s'étonnent:

- Ah ! T'es encore là, toi ? On te voyait plus et on croyait que t'étais parti avec les autres … ça nous a étonnés, parce que … on vient de croiser ta femme …

- Ben non, je suis pas parti.

- Ça va ? Tu t'amuses ?

- Ça va …

 

Ceux-là, ils doivent être aveugles et sourds ! En tout cas, je réalise que, s'ils ne me voyaient pas depuis la piste de danse, c'est que, de là-bas on ne voit pas ce qui se passe dans les boxes … sans doute à cause du contraste entre les puissantes lumières de la piste et l'obscurité des boxes…

 

Sur la piste, justement, Christine s'est remise à danser … et c'est toujours aussi … lascif, sa façon de danser ! Pourtant, son amant n'est plus là … elle n'a plus besoin de le chauffer. Je dois reconnaître qu'elle sait bouger son corps … elle est toujours aussi sensuelle et charnelle quand elle lève les bras et fait remonter le bas de sa robe au ras de ses fesses et de son abricot … D'ailleurs, je ne suis visiblement pas le seul à la trouver … bandante et allumeuse … plusieurs mecs commencent à lui tourner autour … il faut dire que sa tenue souligne parfaitement la sensualité de son comportement … ça pourrait bien commencer à frémir dans certains caleçons …

 

Elle, ça n'a pas l'air de la gêner du tout que des types … deux … non, trois types … lui tournent autour aussi ouvertement. Et des types visiblement bien plus jeunes qu'elle … vingt-cinq ans, trente ans à tout casser … Ils doivent avoir envie de se faire une MILF, les gamins ! Dans le fond, d'une certaine manière, ça flatte mon orgueil de mâle, que des jeunes aient envie de se taper ma femme. Elle aussi, ça lui plaît, et j'ai l'impression qu'elle en rajoute … elle les cherche, elle les charme, elle les enjôle … l'un après l'autre … Ils sont quatre, maintenant, à lui tourner autour … elle les frôle avec ses hanches, elle les effleure avec ses bras, ses épaules, ses mains … comme avec Patrick, tout à l'heure … elle aguiche littéralement ces types … une chatte entourée de matous … Et eux s'enhardissent … je vois des mains effleurer sa taille, ses hanches … merde, ils ne vont quand même pas la peloter ! 

 

Je suis submergé par une vague d'émotions contradictoires … le cœur qui s'emballe, le sang qui me bat dans les tempes … d'un côté, une sorte de malaise de voir ces types lui faire des avances … et surtout de la voir, elle, se comporter comme ça … et d'un autre côté, je … c'est ma femme qui … qui attire tous ces mecs comme … comme du miel attire des mouches … c'est ma femme si sexy … si sensuelle, ce soir … si désirable … je me sens … fier … fier et en même temps … oui, plutôt émoustillé par cette scène … Je ne sais pas quoi penser, je ne sais pas quoi faire … Réagir ? Mais comment …

 

- Bon, ben nous, on va y aller aussi, hein …

 

C'est la compagne de Jérôme qui me sort de mes réflexions. A son ton, je comprends que c'est précisément la scène à laquelle ils assistent qui les décide … ça y est, ils ont vu, ils ont compris et ils ne veulent pas voir ça ! "Machine", la femme de Jérôme (merde, comment elle s'appelait, celle-ci ?), se penche sur moi pour me faire la bise. Elle m'embrasse et me souffle:

- Tu ferais bien de récupérer ta femme et de faire comme nous, t'en aller …

- Je … j'attends la fin de cette séquence de musique et on y va …

 

Tandis qu'elle sort du box, Jérôme me serre la main et me souffle à 'oreille:

- Je pense que si vous restez, ta femme et toi, tu vas découvrir ce que c'est, le caudalisme …

 

à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 20 septembre 2017 3 20 /09 /Sep /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

 

C'est devenu obsessionnel, je revis en permanence cette partie de cul avec les deux molosses de Pierrot dans l'écurie de Jean-Claude. 

 

PUTAIN, JE ME SUIS ENCORE FAIT BAISER PAR DEUX CHIENS …

DEUX ÉNORMES CHIENS ! ! !

 

JE ME SUIS FAIT  . . . . . .  COUVRIR ! ! !

 

PUUUUUUUTAIIIIIIN ! ! !

 

Curieusement, il m'a fallu plusieurs jours avant de vraiment réaliser ce qui m'était arrivé ce jour là. Tout de suite après, je ressentais ça comme une partie cul parmi d'autres … une partie de cul … normale, habituelle, banale … enfin, je me comprends … ce que je veux dire, c'est que je trouvais que ça avait été pareil que de me faire baiser par des mecs, ce qui, pour moi, est vraiment devenu habituel … le fait que ça avait été des chiens, et pas des mecs, n'était somme toute qu'un détail … une partie de cul comme une autre, donc, ni plus, ni moins … Voilà, je m'étais fait grimper par deux molosses, ils m'avaient sailli et ils avaient éjaculé dans mon cul. Point ! Pas de quoi en faire un roman.

 

Et puis, petit à petit … je ne sais pas … je m'étais mis à … à analyser ce qui m'était arrivé … comme d'un point de vue extérieur, en quelque sorte … comme si un certain MOI, étranger à l'affaire, s'était mis à examiner ce qui était arrivé à l'autre MOI, celui qui s'était fait grimper et passer dessus par ces deux chiens … et une espèce de dialogue silencieux s'était peu à peu instauré entre ces deux MOI:

- Tu te rends compte de ce qui s'est passé ?

- Je me suis fait saillir par des chiens … et alors …

- Ben … PAR DES CHIENS, quand même …

- Oui, PAR DES CHIENS … je vois pas ce que ça a d'extraordinaire … surtout que c'était pas la première fois …

- Je sais bien que c'était pas la première fois. Mais tu ne vois vraiment pas en quoi ce n'est pas "ordinaire", pour un mec, de se faire saillir par deux chiens ? 

- Non.

- Tu as eu des relations sexuelles avec des animaux … avec des A … NI … MAUX ! Et pas n'importe quelles relations sexuelles … ces animaux t'ont EN … CU … LÉ ! Ils t'ont ENCULÉ et ils ont déchargé leur sperme dans ton ventre … ILS ONT … DÉCHARGÉ … LEUR SPERME … DANS TON VENTRE ! 

- Ben oui …

- Et tu vois pas ce que ça a de … tu trouves ça … NORMAL ! T'es un mec, tu te fais enculer et remplir de sperme par des animaux, et pour toi, c'est NORMAL ! 

- Ben … "NORMAL", je sais pas … c'est peut-être pas "NORMAL", mais …

- Ces deux clebs t'ont SAILLI … ils t'ont SAILLI comme si t'étais une CHIENNE … Une CHIENNE ! Tu réalises ? Eux, les chiens, ils n'ont pas enculé un homme, ni une tafiole, ils ont sailli UNE CHIENNE, UNE FEMELLE CHIEN ! 

- Oui … enfin, je sais pas … peut-être que c'est quand même un mec, qu'ils ont enculé …

- Non non ! Faut ouvrir les yeux ! Des clebs, ça n'a pas envie de se taper un mec … un homme … Pour des chiens, un homme c'est soit un dominant, comme leur maître, soit un intrus, une menace … des chiens, ils n'ont pas envie de s'accoupler avec leur maître ou avec quelqu'un qui représente une menace potentielle … Non non, ils t'ont sauté, parce que pour eux, t'étais bel et bien une CHIENNE ! Au début, ça les a peut-être un peu surpris, une chienne comme toi, mais sans doute pas plus que si on leur avait présenté une chienne d'une autre race à saillir … je sais pas … une femelle Saint-Bernard, par exemple … ou une femelle Lévrier … Tes deux clebs, là, on leur aurait présenté une femelle Saint-Bernard ou une femelle Lévrier à couvrir, ils l'auraient couverte pareil, tu peux être sûr ! 

- Peut-être, oui …

- Pas "peut-être". C'est sûr ! Alors, même si avec toi c'est pas des effluves de chienne en chaleurs qui les ont excités, ce qu'ils voulaient, les deux bestiaux, en cherchant à te grimper, c'est te faire des petits ! 

- Me faire des petits ? ! ? ! Ça va pas, non ?

- Oui, te faire des petits ! Evidemment, TE FAIRE DES PETITS ! Un chien, ça fantasme pas de se taper un bonhomme pour le seul plaisir de tirer un coup … un chien, ce qui provoque son rut, c'est son instinct de géniteur … son instinct de reproduction … Le seul truc, avec toi, c'est qu'ils le savaient pas, les deux chiens, qu'en te couvrant et en t'inséminant, ça ferait pas des petits.

- Bon, admettons … et c'est MAL, de se faire faire des petits par des chiens ?

- C'est MAL … pour certains, oui, c'est MAL … pour la société, avoir des relations sexuelles avec des animaux, c'est pervers, c'est tabou, c'est interdit, même … Moi, je dirais pas que c'est mal, parce que je vois pas en quoi c'est mal … tu les as pas battus, tu les as pas forcés non plus … ils en avaient envie, ils bandaient comme des ânes devant ton cul ! Pour moi, tout au plus, on pourrait te reprocher d'avoir abusé de la crédulité de ces deux bêtes … 

- " … d'avoir abusé de la crédulité de ces deux bêtes " ? ! ? !

- Ben oui, en usant de stratagèmes, t'as profité que ces deux chiens croyaient te faire des petits pour t'adonner à ce … à ce vice … 

- "… en usant de stratagèmes" ? ! ? ! Quels stratagèmes ?

- Oui, oui, des stratagèmes … comme leur tripoter la bite … comme leur SUCER la bite, même … ou tortiller du cul sous leur nez … ou leur présenter ton trou du cul à renifler et à lécher … et finir par te foutre à quatre pattes devant eux et leur montrer ton … ta … ta vulve, quoi … tout ça, c'était des stratagèmes pour les tromper, leur faire croire que t'était une femelle … Cela dit, sans vouloir te trouver des excuses, d'une certaine manière, toi aussi, tu t'es fait balader en beauté … pas par les chiens, évidemment … mais par leur maître !

- Je me suis fait balader ? ! ? ! 

- Oui. Si t'as fait tout ça … tous ces stratagèmes pour que les chiens te baisent, c'est bien parce que ce tordu de Pierrot t'a manœuvré pour t'amener à ce que ce soit toi qui offre ton cul à ses bestiaux …

- Mais enfin, il ne m'a pas obligé ... je lui ai démontré qu'il ne pouvait pas m'obliger … si je l'ai fait, c'est parce que je l'ai voulu … parce que j'en avais envie …

- Je sais, que t'étais pas obligé et que t'en avais envie … mais justement, il a senti que t'en avais envie et il a fait en sorte que tu te sentes obligé de prouver que t'étais cap de le refaire devant lui … Tu vois, ce type, il voulait pas seulement que tu lui démontres que c'était possible qu'un chien baise un mec … il voulait pas non plus simplement que tu recommences avec un des chiens de Jean-Claude … non, il voulait surtout que tu te fasses sauter par un de ses chiens à lui …

- … par DEUX de ses chiens …

- Oui, par DEUX de ses chiens … et peut-être même, il aurait bien voulu que ces cinq chiens te passent dessus l'un après l'autre … au départ, du moins … Et j'ai toujours pas compris pourquoi il a renoncé brusquement, soit disant parce que sa femme l'attendait … Bref, c'est clair que c'est SURTOUT LUI, qui avait envie de voir ses géniteurs te grimper et te baiser … plus que ses géniteurs eux-mêmes … et pour arriver à ses fins, il t'a roulé dans la farine et tu y as vu que du feu … Il a même réussi à ce qu'au bout du compte, ce soit toi qui demande à te faire saillir !

- Whooh ! Comment ça ?

- Ben oui, réfléchis à ce qui s'est passé … ce mec, pour obliger Jean-Claude et toi … surtout toi, à reconnaître que tu t'étais fait sauter par les Danois de ton pote, il commence par jouer la comédie du type qui croit que Jean-Claude a offert la première saille de ses danois à d'autres chiennes que les siennes … une fois que t'as avoué, il vous met la pression avec «la zoophilie c'est répréhensible et blablabla et blablabla … », avant de mettre en doute que ce soit possible qu'un chien encule un mec … et là, CRAC, tu tombes à pieds joints dans le panneau ! « Bien sûr que si, c'est possible ! D'ailleurs, je vais vous le prouver ! ». Il attendait que ça, le mec ! Dès le départ, il a senti que t'étais prêt à recommencer … à partir de là, c'était du billard, pour lui. Il t'a amené exactement là où il voulait t'amener … que ce soit toi qui demande à te faire encore sauter par un clebs … La preuve qu'il avait tout prémédité, c'est qu'il avait même amené des clebs à lui, pour te baiser ! 

- " pour ME baiser …" … il savait pas que ce serait un mec qui serait là … il savait pas que c'était un mec qui s'était fait baiser par les danois de Jean-Claude … il croyait que c'était une femme …

- Ça change quoi ? Admettons … il vient là pour faire baiser une femme par ses molosses, et il s'aperçoit que c'est pas une femme, mais c'est un mec … le moment de surprise passé, pour lui, c'est seulement un détail et il adapte tout de suite son scénario … c'est pas une femme ? Pas de problème, ils vont niquer ce mec, mes chiens … Pas plus compliqué que ça ! En tout cas, ce qu'il faut que tu réalises, c'est que tu t'es fait VRAIMENT COUVRIR par des chiens … hein … Et tu sais ce que ça veut dire "COUVRIR" !

 

Ben oui, "COUVRIR", je sais ce que ça veut dire. "COUVRIR", en principe, c'est le terme qu'on emploie pour parler de la fécondation d'une chienne par un chien. Et bien oui, je me suis fait COUVRIR par deux chiens … je me suis VRAIMENT fait COUVRIR par deux chiens … TOTALEMENT COUVRIR par deux chiens ! Ça n'a pas été seulement des petits coups de bites vite faits bien faits, histoire de dire que je me suis fait enculer par des chiens … Non, ça a été deux saillies complètes … des saillies exactement comme celles que les chiens font aux chiennes pour leur faire des petits: je me suis offert à ces deux molosses, et ils m'ont … enfin, non, ça ne n'est pas exactement passé comme ça … Mon MOI "extérieur" m'a aussi ouvert les yeux là-dessus: en fait ce n'est pas vraiment moi qui me suis offert à ces molosses … en réalité, si j'en suis arrivé là, c'est bien parce que c'est leur maître, leur éleveur, qui m'a littéralement offert à ses chiens … il leur a offert mon cul à fourrer, il leur a offert mon cul à enculer, il leur a offert mon cul à baiser ! Oui, c'est vraiment ça: ce type a offert mon cul à ses chiens pour qu'ils tirent un coup, il leur a offert mon cul pour qu'ils se vident les couilles ! Et moi … moi, je me suis laissé faire, incapable de résister à la vue des cinq superbes mâles qu'il avait amenés, incapable de résister à la perspective de me faire prendre par eux et trop heureux de cette nouvelle occasion de me faire grimper par des bestiaux comme ceux-là ! 

 

Oui, il ne faut pas se voiler la face: dès le départ, ce type savait ce qu'il voulait, et il a très bien manœuvré pour arriver à ses fins. Et moi, une fois que j'ai réalisé ce qu'il voulait vraiment, je me suis laissé manœuvrer, trop heureux d'être mis par ce type à la disposition de ses molosses. Au départ, sous la menace d'un procès à mon pote Jean-Claude pour rupture de contrat, il avait seulement prétexté vouloir vérifier que les Danois qu'il lui avait vendus avaient bien eu un rapport sexuel avec un être humain, et pas avec une vraie chienne. Pour Jean-Claude et moi … enfin, surtout pour moi, il s'agissait seulement de lui démontrer que c'était possible, qu'un chien pouvait baiser un homme. Oh, bien sûr, pour la forme, je lui ai démontré qu'en fait il ne pouvait rien contre Jean-Claude et moi, et que rien ne m'obligeait à me faire sauter par un chien pour lui donner satisfaction. Mais je n'ai pas pu résister … une nouvelle occasion de me faire sauter par un clebs s'offrait à moi ! Et puis, quand ce type a annoncé qu'il avait amené un de ses chiens pour me … pour me baiser, je  ... je ne sais pas … ça a ajouté je ne sais quoi à mon excitation, à l'irrépressible envie qui commençait à me tenailler le ventre … 


Ce type avait amené un des chiens de son élevage pour me sauter !


En plus, un chien d'une race que je ne connaissais pas, un chien dont je ne savais même pas à quoi il pouvait ressembler ! Et pour m'appâter, pour m'allécher, son maître, ayant visiblement deviné mes goûts, s'est mis à insister non seulement sur la taille du chien lui-même, mais surtout sur la taille de son sexe … SON SEXE … la taille du sexe de son chien ! Ce type, pour finir de me convaincre, me vantait les performances sexuelles de son molosse … Jean-Claude lui-même, qui disait connaître cette race de chiens, était impressionné par le gabarit de la bête à qui on me destinait … limite inquiet pour moi, le Jean-Claude ! Et il sait ce que c'est un gros chien ! A partir de là, j'étais cuit: à moi, tout ça était loin de me faire peur, loin de me faire reculer, bien au contraire … ça n'a fait que m'aiguillonner … ce que me suggérait ce type … ce gros chien … la grosse bite de ce gros chien … au fond de moi, je le savais déjà: cette bête, si bien montée, allait me sauter !

 

C'était comme de m'être fait offrir par Denis et Dominique à des types que je ne connaissais pas dans le bar de Jeannot … à part que, quand j'ai compris que Denis et Dominique mettaient ma bouche et mon cul à la disposition de ces types, je les avais devant moi … ils demeuraient de parfaits inconnus qui allaient me baiser, mais au moins, je voyais à quoi ils ressemblaient. Là, ce clebs, j'avais d'ores et déjà intégré qu'il allait me baiser alors que je ne l'avais pas encore vu. Plus ou moins consciemment, en acceptant de livrer mon cul à un animal totalement inconnu, simplement parce que son maître me disait qu'il était particulièrement bien monté, je sentais que j'étais en train de franchir un degré de plus dans la débauche … et ça m'excitait beaucoup. Alors, quand, en plus, je me suis rendu compte que l'éleveur s'était pointé chez le fermier non pas avec un seul chien, mais avec cinq, dans l'espoir évident que plusieurs d'entre eux sautent à leur tour celui (ou celle) qui avait "déniaisé" les danois de Jean-Claude, ça a été LE choc ! Découvrir ces cinq mastards dans son camion … cinq énormes clebs amenés là exprès pour … pour avoir du sexe avec moi … je ne pouvais pas passer à côté de ça … ma tête avait envie de ces mâles, mon cul voulait leurs bites, mon ventre réclamait leurs semences ! Je ne pouvais pas les laisser repartir sans qu'au moins un d'entre eux m'ait baisé et inséminé ! Et cet enfoiré d'éleveur l'avait tout de suite senti … tout comme certains mecs ont senti qu'il leur suffisait de claquer des doigts pour que j'écarte les cuisses devant leur queue.

 

Alors leur maître en a choisi deux … un Cane corso et un Mastiff … oh, putain, les bestiaux ! Et … et oui, c'est vraiment ça, il m'a littéralement livré à ses deux chiens ! Et vous savez quoi ? Ça m'a plu, bordel ! Pas seulement de me fait sauter par ses chiens … non, ce qui m'a plu aussi, c'est qu'un type, un type que je ne connaissais même pas, AIT DÉCIDÉ qu'il allait me faire baiser par ses chiens ... que, sous prétexte que je m'étais déjà fait sauter par les Dogues allemands de Jean-Claude, il était en droit de me faire grimper aussi par ses chiens à lui … même pas comme un droit de cuissage, non, pire que ça … comme si j'étais … je sais pas … l'image qui me semble le mieux s'approcher de ce que je ressens, c'est les poubelles de rue, vous savez, ces corbeilles mises à la disposition du public pour qu'il y jette ses vieux chewing-gums, ses mouchoirs sales et ses canettes vides … tout le monde, moi inclus, se débarrasse de ce qui le gêne dans ces poubelles sans leur porter la moindre attention … elles sont là pour ça … c'est leur rôle, leur fonction … et bien je pense que ce mec m'a vu, non pas comme une des ces poubelles de rue, mais comme son équivalent sexuel, une viande à bites publique, à la disposition de quiconque a besoin de se soulager de ce qui lui engorge les couilles … lui, c'est les couilles de ses molosses qu'il voulait faire dégorger …

 

Et ça me plaît: ne plus être seulement considéré par des mecs comme un jouet sexuel dont ils peuvent disposer à leur guise, mais être aussi considéré comme un jouet sexuel pour chiens ! Et bizarrement, plutôt que d'en éprouver de l'humiliation, ou de voir ça comme un avilissement, j'en ressens de la satisfaction … et même plus que de la satisfaction, une espèce de fierté ! Oh, évidemment, ce type ne m'a pas forcé, contraint, ni même menacé personnellement … il n'en a pas eu besoin … non, la menace, au départ, elle était sur mon pote Jean-Claude … mais j'ai senti que du point de vue de ce mec, c'était évident: « puisque tu t'es fait sauter par les Danois de Jean-Claude, puisque tu aimes ça, te faire monter par des chiens, puisque t'es là pour ça, mes chiens aussi vont te fourrer ! ». Bon, j'étais d'accord, mais si je n'avais pas été d'accord, c'était la même chose ! Et donc, il m'a traité comme … comme il traite les chiennes que des clients lui amènent pour les faire couvrir par ses mâles. Les chiennes, on ne leur demande pas leur avis: elles sont là pour se faire sauter … elles se font sauter ! Pour la forme, j'ai bien fait mine de résister … un peu par réflexe, parce que nous nous étions rencontrés à cause d'un conflit, mais l'affaire était entendue, ses chiens allaient me sauter … et ce type le savait. 

 

Et j'ai aimé ça ! J'ai aimé qu'il m'offre à ses molosses, j'ai aimé m'accoupler avec eux, j'ai aimé qu'ils me sautent sous les yeux de leur maître … et j'ai aussi beaucoup aimé que ce mec me traite sans plus d'égards qu'il n'en a pour les chiennes que ses molosses couvrent … allant jusqu'à vérifier avec les yeux, et pratiquement avec les mains, le verrouillage du knot de ses chiens dans mon rectum ! Ah ça, par contre, il ne s'y attendait pas, ce mec. Que ses chiens se verrouillent en moi et que nous restions collés jusqu'à ce qu'ils aient fini de me féconder, il ne l'avait même pas imaginé. Ça l'a bluffé, d'ailleurs, je l'ai senti. Que les saillies de ses chiens soient si … si complètes … avec verrouillage et insémination, sur le coup, ça l'a paniqué. Mais quand il a réalisé que c'était possible, que ses chiens me couvraient effectivement comme une vraie chienne, et que moi, c'est ce que je le voulais, que ça me plaisait, d'un seul coup, il a trouvé ça encore plus excitant. Je réalise que si ses deux chiens m'ont immédiatement considéré comme une chienne et s'ils m'ont monté comme une femelle à qui ils devaient faire des petits, leur maître à aussi fini par me voir comme une femelle qui devait accueillir ses deux géniteurs et recevoir leurs éjaculats. Pour ce type comme pour ses chiens, ce matin là, j'ai vraiment été une femelle !

 

Oh la la, quelle sensation enivrante, vertigineuse, quand je me suis installé à quatre pattes au milieu de cette écurie, cuisses écartées, reins cambrés, vulve offerte en sachant que c'est le sexe d'animaux qui allaient me pénétrer, investir mon anus, remplir mon rectum et y déverser leur semence ! Et en effet, l'un après l'autre, ils m'ont monté dessus, l'un après l'autre, ils ont … ils ont introduit leur sexe dans mon anus, l'un après l'autre, ils ont gonflé leur bulbe érectile  à l'intérieur de mon rectum pour me maintenir prisonnier de leur étreinte … oh, putain, ces sexes énormes bloqués dans mon anus … ils se sont alors verrouillés en moi … et ils m'ont … IN – SÉ – MI - NÉ, l'un après l'autre ! Oui, ils ont … ils ont éjaculé leur sperme au fond de moi … tous les deux, l'un après l'autre … Oh, putain ! J'en suis encore sidéré !

 

JE L'AI FAIT ! ! !     JE L'AI ENCORE FAIT ! ! !   

 

JE ME SUIS ENCORE FAIT REMPLIR LE VENTRE DE SPERME

PAR DES ANIMAUX ! ! ! !

 

JE ME SUIS DE NOUVEAU FAIT BAISER  PAR DES CHIENS ! ! ! ! !

 

 

Par moments, je me dis que ce n'est pas possible, que c'est irréel, que j'ai fantasmé ces deux saillies … et puis non, tout est encore tellement présent, comme gravé dans mes chairs, imprimé à la fois dans mon corps et dans mon esprit … ces sensations physiques, bien réelles … le contact de leurs corps ... chauds, lourds, puissants, bestiaux, avec mon corps … leur odeur de mâles, forte, musquée, virile … la caresse de leurs pelages sur ma peau … leur masse, sur mon dos … le relief et la fermeté de leurs muscles dans mes mains … leurs griffes qui éraflent l'intérieur de mes cuisses … la chaleur mouillée de leurs sexes quand ils commencent à pénétrer mon anus … ce vertige quand je sens leur énorme sexe gonfler et s'enfoncer en moi … le souffle de leur halètement sur ma nuque pendant qu'ils me bourrent de coups de reins frénétiques … leur soudaine inertie quand ils se mettent à décharger consciencieusement leur semence au fond de mon ventre … cette ivresse qui me saisit en réalisant qu'un animal est en train de déverser son sperme dans mes entrailles, que des milliers, des millions de spermatozoïdes se répandent dans mes chairs, s'insinuent dans  les replis de mes muqueuses … et cette présence énorme, frémissante, vivante, de leurs organes sexuels hors normes à l'intérieur de moi … cette sensation d'arrachement, d'aspiration de mes entrailles, quand, une fois leur devoir de géniteurs accompli et le contenu de leurs testicules répandu dans mon ventre, ils se sont retirés… et ce flot, tiède, qui s'est alors écoulé sur mon périnée ...

 

Toutes les sensations sont là … toutes les images … toutes les odeurs – hhmmmm, l'exhalaison suave, poivrée de leur semence qui s'écoule de ma vulve quand ils se retirent de moi - … je revis tout … chaque seconde de ces accouplements bestiaux et, à chaque fois, une vague me submerge, mêlant poussée d'adrénaline, bouffée de chaleur, volupté physique, plénitude cérébrale … et gratitude …

 

Parfois, je repense à la séance dans son ensemble … à ce choc, quand j'ai découvert, à l'arrière de son fourgon, les cinq bestiaux que l'éleveur avait amenés chez Jean-Claude pour me niquer … et a posteriori, je réalise qu'immédiatement, à ce moment là, j'avais su que je ne me ferais pas seulement baiser par le seul Cané corso … puis tout le déroulé des deux coïts avec les chiens … et enfin, tout de suite après qu'ils m'aient fécondé, l'injonction de Jean-Claude de ne pas bouger pour qu'à son tour, il me prenne en levrette, et se vide les couilles en moi … En d'autres circonstances, son coup de bite à lui, Jean-Claude, aurait pu être un vrai bonheur, physiquement et sexuellement ! Mais après ce que les deux molosses venaient de me faire, de ce point de vue ce n'était rien de plus qu'une péripétie anecdotique … Restait surtout l'intense volupté d'être traité par lui et par l'éleveur comme une femelle en libre-service, à la disposition de tous les mâles, et surtout comme une femelle inter-espèces … restait la jubilation et la fierté d'être le réceptacle des désirs de tous les mâles, de tous les trop-pleins testiculaires, de tous les épanchements éjaculatoires ! Extase cérébrale !

 

Et c'est maintenant, après coup, donc (je pourrais même dire "après coups", puisque ce jour-là, j'en ai pris trois, des "coups"), que je réalise combien les saillies de Falco et Gordo ont été différentes … combien elles ont été fortes, chacune à sa façon, et combien elles m'ont procuré des sensations, des plaisirs différents … Falco, le Cane Corso, par son aspect brutal, sauvage, effrayant au premier abord, c'est la force, la puissance et cette bestialité de mâle dominant qu'il dégageait, qui m'ont bouleversé, qui ont aiguillonné mon désir de me donner à ce … à ce monstre … Avec Gordo, le Mastiff à l'air bonasse, c'était une copulation … comment dire … sereine, apaisante, tranquille … certes "volumineuse", mais si douce …

 

Les saillies des deux danois de Jean-Claude, un mois auparavant – la première fois que je me faisais couvrir par des chiens -, je ne les avais pas vécues vraiment sereinement, je ne m'étais pas totalement lâché, certes déterminé à aller jusqu'au bout, mais quand même un peu inquiet quant à leur déroulement, et surtout encore un peu inhibé par un reste de culpabilité. Mais celles des deux molosses de Pierrot, ça a été tout autre chose ! Cette fois, je me suis donné aux deux chiens sans arrière pensée, je me suis abandonné à leurs étreintes en toute quiétude, j'ai joui sans réserve de ces accouplements, j'ai pleinement vécu ces inséminations … Oh, ces énormes sexes gorgés de sang en moi, déchargeant leur semence au fond de mon ventre ! Ça, c'est sans doute ce qui me bouleverse le plus: qu'un mâle d'une autre espèce décharge, répande sa liqueur séminale au fond de mes entrailles !

 

Je réalise que, par la grâce de ces accouplements avec les deux molosses de Pierrot, il vient de m'arriver exactement ce qui m'était arrivé après que je me sois fait prendre de force par une équipe de blacks dans un hôtel … Me faire passer dessus par ces huit blacks, en me révélant la volupté d'être traité comme un objet sexuel soumis au désir des mâles, ça avait débloqué quelque chose en moi. J'avais pris conscience de mon amour pour la bite, de mon addiction à la bite, je l'avais acceptée et j'avais su que, dorénavant, je me ferais sauter par tous les mecs qui en auraient envie. Et bien, les merveilleux amants qu'ont été ce Cane corso et ce Mastiff m'ont aussi fait basculer: maintenant je le sais, je suis accro … je suis addict au sexe avec les chiens … je le sais et je l'assume: dorénavant, chaque fois que j'en aurais l'occasion, je me ferai sauter par un chien !

 

Oui, parce que ces deux saillies ont eu raison de mes dernières craintes. Se faire baiser par un chien n'a rien de dangereux, ni même de douloureux. Son appareil génital a beau être si radicalement différent, tellement … bestial, il n'en est pas moins compatible avec mon anatomie. Le gonflement de son knot dans mon rectum et son verrouillage pendant la durée de la fécondation, loin d'être des causes de risques ou même de simples inconvénients sont, au contraire, des atouts … comment dire … techniques et érotiques dont ne dispose aucun mâle humain. Cette sensation incroyable quand, si intimement emboîtés l'un dans l'autre, nous restons assemblés, collés, maintenus par ce rivet de chair, et que nous ne faisons plus qu'un seul être, uniquement et entièrement consacré à cette fonction vitale d'insémination, de fécondation, de reproduction … 

 

Avec le Cané corso, j'ai eu surtout l'impression que le molosse avait un urgent besoin de tirer un coup, de se vider les couilles. C'était évidemment très agréable de me faire prendre comme ça, comme un vide-couilles à chiens, pareil que quand je me fais prendre par des hommes comme vide-couilles à mecs. Mais avec Gordo, le Mastiff, je sais bien que ça peut paraître dingue, mais avec lui, j'ai eu nettement, intensément l'impression que … que justement, le chien était en train de me faire une portée. Certes, je savais, moi, que cette insémination demeurerait stérile, mais le chien … Gordo l'ignorait, lui, que son insémination serait stérile … le chien, lui, il remplissait son rôle de géniteur avec conviction … son maître voulait qu'il couvre cette femelle, alors il la couvrait … elle était bien un peu étrange, cette femelle, tellement elle ressemblait à son maître … certes, elle ne dégageait pas les mêmes effluves que les autres femelles qu'il avait couvertes jusque là, mais elle lui avait touché le sexe, cette femelle … elle lui avait même sucé le sexe ! Et il avait beaucoup aimé ça, le chien, de se faire sucer le sexe par cette femelle ! Et puis, quand elle s'était mise en position, à quatre pattes devant lui, qu'elle avait offert à son regard sa vulve déjà luisante de désir, il ne sait pas pourquoi, le chien, mais cette peau nue et ces rondeurs qu'il n'avait encore jamais vues chez une femelle de sa race, ça lui avait donné encore plus envie de les investir avec son sexe … alors, il lui était monté dessus, il l'avait saisie par la taille, et avec son gland hypersensible, il avait cherché cet orifice tiède et humide où il savait qu'il devait s'introduire, il l'avait trouvé et il s'y était enfoncé … une fois dedans, il s'était trouvé aussi bien que dans les femelles Mastiff qu'il avait saillies jusqu'à présent … celle-ci était peut-être un peu moins chaude, mais qu'importe, il avait senti son sexe se dilater en elle tout en commençant à y crachoter sa semence … alors, en reproducteur expérimenté, pour éviter que son sexe ne ressorte de sa femelle, il s'était immobilisé le temps que son bulbe érectile gonfle et envahisse tout l'espace du vagin de sa femelle – de mon rectum - , et une fois bien collé à sa femelle, sa prise bien assurée, il avait répandu son sperme en elle … 

 

Putain ! Me trouver à quatre pattes, riveté à ce mâle par cet énorme boule qui me remplissait le cul, et savoir qu'au fond de mon ventre sa grosse bite de chien était en train de répandre sa semence de chien ! Je me souviens, tellement la sensation était intense, tellement j'étais heureux sous ce mâle en train de me faire une portée, que j'ai eu un instant de vertige, comme si j'allais tomber dans les pommes … A cet instant précis, le Mastiff et moi, nous étions … oui, nous étions … comme un couple … lui le mâle et moi la femelle … nous étions un couple par delà nos espèces respectives, par delà nos différences anatomiques, et malgré que nous étions du même sexe, nous étions un couple en train de faire des petits … Oui, je le ressens comme ça: Gordo, l'énorme Mastiff, était en train de me faire des petits Mastiffs … et j'en éprouve une espèce de fierté !

 

Restent la morale et le droit. Je sais ! Pour la société, avoir des relations sexuelles avec un animal, c'est non seulement contre-nature, immoral, pervers et scandaleux, mais c'est aussi tabou, interdit, et donc répréhensible. Tout ça, je le sais. Mais ça ne me retient pas. Ceux qui légifèrent ont fait de la zoophilie un délit équivalant à la maltraitance, mais je ne me sens ni honteux ni coupable. Maltraitance ? Absence de consentement ? Les deux molosses n'ont été ni battus ni contraints. Leur maître leur a présenté une nouvelle femelle à saillir, une femelle certes assez différente de celles qu'ils avaient l'habitude de couvrir, mais ils n'ont ni hésité ni rechigné, et ils l'ont couverte … et ils l'ont fécondée. Et si j'en crois la taille et la vigueur de leurs sexes dans mon anus, ils étaient très contents de ce qu'on leur faisait faire, les deux chiens.

 

Alors oui, je recommencerai, et d'ailleurs, j'ai hâte qu'il m'appelle, le Pierrot … j'ai hâte qu'il me fasse "visiter" son élevage. Quand je ne revis pas en pensée ces accouplements avec ses chiens dans l'écurie de Jean-Claude, je fantasme sur le jour où l'éleveur m'invitera chez lui … et je me fais des scénario … je m'imagine, déambulant à poil dans une grande propriété aux côtés de l'éleveur, et parmi une bande de molosses en liberté … un éleveur à la fois fier de me présenter ses protégés, les robustes mâles de son élevage, et excité de leur montrer la femelle qu'il leur destine …  Je me vois, les miches à l'air, assailli par cette bande de chiens en rut que leur maître peine à canaliser … je me vois, me faisant renifler et lécher le cul à qui mieux-mieux, offrant ma rondelle enflammée à leur langues, me faisant bousculer par des clebs survoltés qui cherchent à grimper cette femelle qu'ils sentent réceptive … je m'imagine excité, affolé par cette promiscuité avec tant de mâles, avec tant d'amants à satisfaire, avide de tous ces sexes pressés de me saillir … je rêve que certains se battent pour me conquérir, pour être les premiers à me couvrir, je rêve qu'à coup de griffes et de crocs le plus gros, le plus costaud d'entre eux impose sa force aux autres … qu'après qu'il ait eu le dessus et établi sa domination sur la meute, je me laisse tomber à quatre pattes devant lui … lui, le mâle dominant, lui, le mâle alpha … je rêve que, cuisses écartées, reins cambrés, ventre goulu, je lui offre ma vulve pour qu'il me prenne et qu'il me féconde là, devant les autres qui attendent leur tour… je me vois, une fois le mâle dominant soulagé, quand il en aurait terminé avec moi, quand il aurait fini de confier son patrimoine génétique à mes entrailles, je me vois me faire couvrir successivement par tous les autres … 

 

Mais ce qui me frustre, c'est que je n'ai aucune idée de ce à quoi ressemble son élevage … je ne sais pas non plus combien il a de mâles au total, le Pierrot. Alors j'ai du mal à rendre mes rêveries assez … concrètes. C'est con, je ne lui ai demandé ni son nom, ni celui de son élevage … J'ai bien cherché sur Internet s'il avait un site, mais sans nom et sans adresse, je n'ai rien trouvé … Ravalant ma rancœur, j'ai même appelé Jean-Claude pour lui demander. Il n'était pas là et j'ai laissé un premier message sur son répondeur … il ne me rappelle pas. Et quand je téléphone aux heures où il devrait être chez lui, comme le soir, il ne décroche pas. Alors je laisse message sur message. Il me fait toujours la gueule … sans doute parce que je lui ai annoncé que j'irai chez Pierrot. Putain, il est gonflé ! C'est lui qui nous a mis en relation … et il était bien content que j'accepte de me faire sauter par un molosse de l'éleveur pour le sortir d'affaire ! Alors, pour revoir Pierrot et ses molosses, j'en suis réduit à attendre que ce soit lui qui m'appelle. Et il a dit que ça prendrait peut-être un moment … Tout de même, un matin, j'ai la surprise de recevoir un mail de Jean-Claude, sans un mot d'explication, mais me donnant un code pour accéder à son Cloud. Ce sont les vidéos qu'il a faites de moi et des chiens dans son écurie. Je m'empresse de les télécharger et je commence à les visionner. 

 

Oh, putain, le choc !

 

Revivre ces deux saillies en pensée, c'est déjà quelque chose, mais les voir … ME voir … c'est terriblement et instantanément excitant ! Déjà, rien que ME voir me balader dans cette écurie, sans aucune pudeur, tortillant du cul, à poil devant ces deux mecs, tout en sachant ce qui se passe dans ma tête à ce moment là, femelle en manque de sexes et brûlant du désir de se faire prendre par des chiens … – je ne m'en étais pas aperçu, mais Jean-Claude m'a filmé, ainsi que l'éleveur, dès le début -, ME voir passer d'une stalle à l'autre la queue à la main, pour … pour "tester" les chiens qui me baiseront … puis ME voir tripoter la bite du Cane corso, ME voir enfourcher un des Dogues et le masturber tout en me frottant le bas ventre sur son dos … ME voir tellement indécent, tellement débauché, sur ces courtes vidéos … Et c'est criant, évident sur l'écran de mon ordinateur: on VOIT nettement mon excitation monter au contact de ces chiens ! Je n'en reviens pas de m'être montré aussi … salope lubrique à ces deux types, le fermier et l'éleveur, m'abandonnant sans pudeur et sans retenue aux pulsions bestiales les plus obscènes et les plus débridées ! Je n'en reviens pas et, en même temps, j'en éprouve une fierté certaine: devant les deux types qui me regardent, je suis vraiment sans pudeur, sans honte, sans limites … salope parfaite, viande à bites. Ce spectacle de moi-même m'excite … d'autant que j'anticipe ce qui va suivre … mes accouplements avec les deux chiens … mais je savoure la progression, la montée en puissance érotique, pornographique de ce que je me vois faire dans cette écurie … et je bande de plus en plus à me regarder me dépraver de cette façon … 

 

Bien que concentré sur ces scènes d'une telle débauche, je remarque quand même qu'on voit nettement l'éleveur m'accompagner près de ses chiens et me regarder les masturber. Avec ces vidéos, le voilà aussi impliqué que moi … ou presque. Enfin, voici une vidéo où on me voit me mettre à genoux devant le Cané corso … Putain, je n'en reviens pas ! Je m'offre, je me donne à ce chien ! Il va me baiser ! Il tire sur sa laisse, que son maître a du mal à retenir … la bête s'excite, me bouscule, essaie de me grimper … je me mets à quatre pattes … Je ME vois me mettre à quatre pattes pour me faire baiser par un chien … ce serait déjà terrible, extraordinaire si c'était un autre mec que je voyais se donner à ce chien, mais C'EST MOI ! C'EST MOI QUI ME DONNE A CE CHIEN ! C'EST MOI QUI VAIS ME FAIRE ENCULER, BAISER, INSÉMINER PAR UNE BÊTE ! A la vue de cette scène, à cette idée, un frisson m'électrise le bas ventre, l'anus, la prostate, et ma bite sursaute et se dresse. 

 

Je vois maintenant le maître entraîner l'animal vers mon cul … « Allez, Falco ! Grimpe-le, mon chien ! BAISE-LE ! ». La voix de Pierrot a résonné, forte et claire, ne laissant planer aucun doute sur sa volonté de me faire couvrir par son animal ! Nouveau frisson de plaisir: ce type m'offre à son chien ! Visiblement, l'animal obéit plus à son instinct, à son désir, qu'à l'injonction de son maître. Le voilà sur moi … il me saisit par les flancs … il agite son bassin … il cherche ma vulve … et IL LA TROUVE ! ! ! Oh, putain, ça y est, LE CHIEN M'ENCULE ! J'entends ma voix, d'abord indistinctement, puis « … Vas-y, le chien, continue, BAISE-MOI ! ». J'ai fini en criant ! Tandis que Falco danse d'une patte sur l'autre en me pilonnant fiévreusement le cul, je me vois me cambrer davantage et rejeter ma tête en arrière … réflexe de la femelle adoptant la meilleure posture pour assurer sa fécondation ! A cet instant, je ne suis plus un homme … je ne suis plus non plus la tapette qui se fait baiser par tous les hommes … non, sous ce chien, JE SUIS une chienne … une femelle heureuse de se faire couvrir par un mâle ! Oh, putain, ce que c'est beau ! Ce que nous sommes beaux, le molosse et moi, en train de nous livrer à cet accouplement ! Ma raison a beau me dire que mon insémination par ce chien ne peut qu'être stérile, je ne peux m'empêcher de voir dans ce coït l'image même de la fonction vitale de procréation entre deux êtres !

 

CE CHIEN, CE MÂLE … MON MÂLE EST EN TRAIN

DE ME FAIRE DES PETITS ! ! ! !

 

JE JOUIS ! ! ! !

 

 

Sans même avoir touché ma bite, je jouis, tellement le spectacle que je vois sur mon ordinateur me bouleverse et m'excite ! Tremblant, haletant, j'interromps la vidéo et je reprends mon souffle pendant que ma crème gicle sur mes genoux. Putain, ce que nous sommes beaux, le molosse et moi, en train de copuler, en train de procréer ! Comment … comment des gens pourraient-ils trouver là quelque chose de malsain ou de pervers ? Si mon entrejambe a bien perçu le caractère éminemment pornographique de cette scène, ma tête y voit une certaine innocence: deux êtres qui éprouvent un violent désir sexuel l'un pour l'autre s'accouplent sans considération de leur différence ou d'une quelconque morale. Aucune violence, aucune contrainte … seulement un désir sexuel … puissant, irrépressible, de part et d'autre … 

 

Je reprends le visionnage des vidéos, et bien que venant tout juste de jouir, je me remets aussitôt à bander. Mais cette fois, je me masturbe tout au long des ces vidéos. Seule manque à la série de Jean-Claude celle qu'il a faite de sa queue allant et venant dans mon cul pendant qu'il me baisait. Je doute qu'il veuille me l'envoyer. Pierrot a filmé cette scène finale et j'espère que lui me donnera sa vidéo …

 

Ces vidéos, je les regarde pendant plusieurs jours … et chaque fois en me masturbant … et parfois plusieurs fois par jour. Fasciné, excité par ces scènes, je n'envisage même pas de téléphoner à des mecs pour me faire sauter par des mâles humains … 

 

Et puis, voilà qu'un soir, Yolaine reparaît. Je ne l'ai pas revue depuis que nous avons baisé après notre randonnée. Et ça, c'était il y a bien quinze jours. Ça m'étonnait qu'elle ne soit pas venue me demander comment s'était passé mon "essai" dans l'hôtel de Lionel. J'avais remarqué que, depuis un moment, sa voiture ne bougeait pas de devant chez elle, et j'en avais conclu qu'elle devait être en vacances, peut-être descendue dans le Midi voir sa mère … Je me demandais si je devrais lui dire que je m'étais fait sauter par les chiens de Pierrot … je ne lui avais pas dit pour ceux de Jean-Claude … Même si elle est décoincée, point de vue sexe, je me disais que, quand même, des chiens, ça serait déviant trop pour elle. On verrait, et j'attendrais qu'une conversation glisse sur la zoophilie. 

 

La voilà donc qui sonne à ma porte. Quand je lui ouvre, elle se précipite sur moi, hésite et finit par m'embrasser sur les joues. Je la sens radieuse, épanouie. Je l'invite à s'asseoir. En effet, elle était partie voir sa mère dans le Midi. A son attitude, à l'étincelle qui brille dans son œil, je devine qu'elle a des choses à raconter … mais pas seulement … des choses à me demander, aussi … Je la laisse y venir toute seule. Ça ne manque pas … après avoir pris des nouvelles de ma santé, elle enchaîne:

- Alors … tu devais pas aller te faire enculer dans un hôtel ?

 

"… tu devais pas aller te faire enculer ? " Directe, la Yolaine ! Ce n'est pas vraiment nouveau, mais je ne suis pas encore habitué. Malgré son changement de look et de comportement, je ne peux pas m'empêcher de toujours voir en elle la Yolaine d'avant. 

 

- Si, et j'y suis allé.

- Alors … raconte !

 

Alors, je raconte. Je raconte et, au fur et à mesure, elle ne cesse de réclamer des précisions … qui étaient ces types … comment ils étaient, eux et leur bite … ce qu'ils m'ont fait … comment ils ont joui … ce que ça m'a fait … etc. Elle veut les détails les plus scabreux … ses yeux brillent ... elle se délecte. Quand je conclus en lui expliquant qu'au final l'expérience m'a déçu et même déplu, elle ne comprend pas vraiment pourquoi. Elle paraît réfléchir quelques secondes en m'observant et semble soudain se décider:

- Dis … tu … tu crois qu'ils voudraient de moi, chez ton … chez ce type, à l'hôtel ?

- De toi ?

- Oui … pour me … pour que des hommes me … me fassent comme à toi …

- Tu veux aller te faire baiser par des hommes dans cet hôtel ? 

- Ben oui. Tu m'as dit qu'ils le font souvent avec des femmes mariées qui ont envie de se faire baiser … Je suis plus mariée, mais j'ai envie de me faire baiser … par plusieurs hommes, je veux dire …

- Ben … je sais pas … ils voudront sûrement de toi … pourquoi pas …  mais, t'es sûre de vouloir faire ça ?

- Oui, oui … je suis sûre ! Mais je … je peux pas me présenter comme ça à ce type … le patron de l'hôtel, et lui dire que … que j'ai envie de ça …

- Pourquoi, t'es trop timide ?

- Non, c'est pas ça, mais il va se demander ce que c'est que cette bonne femme qui se pointe toute seule chez lui pour faire ça … j'ai réfléchi … il pourrait se demander si je suis pas … je sais pas … une indic, une flic ou je ne sais quoi … Si c'est toi qui me présente, il sera tranquille …

 

En effet, elle a réfléchi … et elle a raison. C'est le genre de milieu où on ne doit pouvoir pénétrer que par connaissance. Elle insiste:

- Alors, t'en dis quoi … tu voudras bien me présenter à ce type ?

- Ben si tu veux …

- Ah, merci. Ils .. ils font ça souvent ? Je veux dire … c'est toutes les semaines, une fois par mois ? Tu vas appeler quand ?

 

Elle s'est soudain rapprochée de moi, sur le canapé, et elle a posé sa main sur mon genou.

- Hé ! Dis ! Attends ! Je ne sais pas tous les combien ils font ça. Je vais appeler, t'inquiète …

- Ce soir ? Maintenant ? Tu peux l'appeler maintenant ?

- Oh, dis donc, ça urge ! Il est tard, je sais pas si il répondra …

- Ben si, il répondra … il est pas tard, il est pas huit heures … 

- Qu'est-ce que tu en sais ?

- C'est un hôtel … à huit heures du soir, ils répondent … pour prendre des réservations, par exemple .. et puis il y a toujours quelqu'un, dans un hôtel …

- OK, OK, je vais appeler … mais avant … raconte … à part aller voir ta mère, tu as fait quoi pendant des trois semaines ?

- J'ai couché avec deux types …

 

Direct ! Elle me sort ça avec un air gourmand, jubilatoire. En fait, ce n'est pas ça que je lui demandais … je pensais à du tourisme, à des achats, à des balades … 

- Avec deux types … en même temps ?

- Non … oh non ! Remarque, ça m'aurait pas déplu, mais c'était pas possible …

- Et ben, raconte …

 

Elle raconte. Le premier, c'était un ancien de son lycée, là-bas dans le Midi. Elle l'a rencontré par hasard, en faisant des courses. Il ne l'avait pas reconnue. Pas étonnant. Elle m'explique que, comme à l'époque, elle était très catho coincée, le type avait gardé cette image d'elle et qu'il n'en est pas revenu quand elle l'a abordé et qu'elle lui a dit qui elle était. De fil en aiguille, ils sont allés boire un verre, et il lui a fait part de son étonnement à propos de son nouveau look. Immédiatement, elle s'est lancée pour lui faire savoir qu'au point de vue comportement, elle avait aussi radicalement changé:

- Je lui ai sorti de ces trucs ! Presque tout de suite, je lui ai parlé sexe … et plutôt crûment. T'as pas idée ce que ça m'a fait du bien … Je lui ai dit que, maintenant, je baisais comme une folle. Je te dis pas … il était scié ! Et j'ai tout de suite senti qu'il était … intéressé, mais quand même un peu sceptique … alors je l'ai chauffé … un moment, je lui ai dit "tu me crois pas ?". Comme il avait toujours l'air de douter de ce que je lui disais, je lui ai dit "tu connais un hôtel, dans le coin ? Si tu veux, on y va et tu me baises ". Scié, le type ! Il se demandait si ça cachait pas quelque chose, alors il a hésité un moment, et puis il a fini par appeler sa femme devant moi pour lui dire qu'il rentrerait pas, qu'il aller manger avec un collègue … On a fini à l'hôtel. Je l'ai sucé … et après, il m'a baisée. J'ai vraiment aimé ça, baiser avec quelqu'un que j'ai connu dans ma jeunesse et qui me voyait comme … comme une bourge coincée du cul … j'ai aimé ça même si il était un peu maladroit. 

- Et il t'a baisée !

- Oui ! Et sans capote ! Il en avait pas et il a pas osé passer à la pharmacie … j'aurais pu y aller moi, mais je m'en suis bien gardée … j'avais trop envie qui me … qu'il éjacule dans mon ventre …

- Et l'autre …

- L'autre, c'est Laure, ma copine, qui me l'a présenté. Laure, c'est ma copine d'enfance et on est toujours restées très proches, toutes les deux. C'est … ma confidente, et je lui ai toujours TOUT raconté … le plus souvent au téléphone … même à l'époque de mon mari …

- Y compris ce que tu as fait avec moi ?

- Oui, surtout ça ! Je lui avais même raconté quand je t'avais surpris dans ton jardin avec ton grand black … le soir même, je lui avais raconté … et ce que ça m'avait fait … que je m'étais doigté la chatte … et la suite, avec toi … tout … je lui dis tout … depuis toujours. Elle voudrais bien te connaître ... Bref, comme je lui ai dit que maintenant j'aime le sexe et que j'ai tout le temps le … le ...

- … tout le temps le feu au cul …

- Oui, tout le temps le feu au cul … elle m'a demandé si je voulais qu'elle me mette en relation avec les hommes de sa connaissance qui sont aussi portés sur le cul, et … 

 

Elle s'interrompt brusquement, ouvre de grands yeux, et:

- Rhôô, comment je parle, maintenant ! Faut que je fasse attention, parce que je pourrais aussi bien sortir des trucs comme ça à n'importe qui …

- Ben oui, il y a longtemps que j'ai remarqué que tu te lâches, au point de vue langage …

- Oui, je sais, mais je trouvais ça tellement vulgaire, avant, de parler comme ça … alors je me suis retenue pendant tellement longtemps que ça me fait du bien de pouvoir parler comme un charretier … Bon enfin, ma copine Laure, elle a pas dit les choses comme ça, évidemment, mais c'était l'idée … me présenter des chauds lapins qui pourraient me … qui pourraient s'occuper de moi, quoi … me sauter … 

- … et elle en connaissait ..

- Oui, elle en connaît … mais seulement de réputation, parce que, elle, le sexe, ça ne l'intéresse pas plus que ça. Elle en connaît notamment un qui tire sur tout ce qui passe à sa portée, comme femmes … Elle l'a appelé et il était d'accord pour me rencontrer … elle m'a donné son adresse et j'y suis allée … le jour même …

- Et ..

- Et … lui aussi, je l'ai sucé. C'est lui qui a voulu, d'abord. Mais lui, il avait des capotes. Je lui ai dit que c'était pas la peine, mais il n'y a rien eu à faire. Ça fait rien, c'était pas mal quand même. Elle m'en aurait bien présenté un ou deux autres, mais j'avais pas assez de temps … je me suis occupée de ma mère … on a visité la famille, on est allée à droite, à gauche, où elle avait envie d'aller … je la vois qu'une ou deux fois par an … mais, la prochaine fois, je resterais plus longtemps et je m'arrangerais pour avoir plus de temps pour moi … surtout, je chercherai les anciens du lycée. Je vais essayer de me taper tous ceux qui étaient en classe avec moi. Bon, alors, tu l'appelles, le patron de l'hôtel ?

 

Elle a serré sa main sur mon genou. Je vais chercher mon téléphone et j'appelle. Quand sa sonne, elle demande:

- Tu peux mettre sur haut parleur ?

 

Ça décroche. Voix d'homme:

- Allô ?

- Lionel ?

- Oui.

- C'est Marin … tu te souviens ? Le travesti … je suis venu chez toi me faire …

- Oui, oui, je sais qui tu es. Tu veux quelque chose ?

- Oui, mais … pas pour moi ..

- Ah bon.

- J'ai une amie … à qui j'ai parlé de vos soirées … avec des femmes mariées … tu vois ?

- Oui, évidemment. Et ?

- Et ça l'intéresse.

- Ah bon.

- Elle aimerait en faire partie.

- Bon. Très bien. Tu la connais bien ?

- Oh oui … intimement même ...

- Ah bon ? Tu … je croyais que tu donnais que dans les mecs …

- Non, non … je suis bi, mais surtout homo …

- Bon, ça te regarde. Et ton amie … elle est comment ?

- A quel point de vue ?

- Physique … elle est bien?

- Ben oui … sexy, très sexy, même, pour une femme de son âge …

 

Elle me tape le genou tout en souriant. Lionel:

- Quel âge ?

- Quarante six !

 

C'est elle qui vient de crier ça à l'intention de Lionel. Je lui explique:

- Elle écoute, là. Je suis sur haut parleur.

- Et … au point de vue sexe … elle est chaude ?

- Oh oui … elle a tout le temps le feu au cul … on en parlait, justement, il y a un instant …

- Bon bon bon … tu lui as expliqué comment ça se passe ? Vous … bonjour, madame …

- Bonjour monsieur.

 

"Bonjour madame ", "bonjour monsieur" ! Elle parle à Lionel qui va se charger de recruter des hommes pour la baiser !

- Oui, vous savez comment ça se passe, nos soirées ?

- Oui, en gros … Marin m'a expliqué … mais je voulais savoir … 

 

Je lui passe l'appareil:

- Oui, je voulais savoir … vous faites ça souvent ? Ce genre de … de réunion …

- C'est variable, mais une fois par mois, à peu près … Vous êtes au courant qu'il y a plusieurs hommes … des fois BEAUCOUP d'hommes, et seulement une femme ou deux … des fois trois … pour tous les hommes qui sont là … 

- Oui, oui, je sais ..

- … et que les femmes n'ont pas vraiment le choix … je veux dire … elles peuvent pas se refuser … et se limiter à un ou deux hommes …

- Oui, j'imagine …

- La seule chose, c'est qu'avant de commencer, elles peuvent dire ce qu'elles veulent ou ne veulent pas … la sodomie, par exemple … ou le sado-maso … ou … je sais pas … des capotes ou pas de capotes … on a des clients pour ça … après, pour le reste, elles n'ont pas le choix des hommes … alors certaines femmes demandent à être masquées … pour ne pas voir qui les saute …

- Et ben … ça me convient …

- Tu as déjà fait ce genre de chose ?

- Non, ce sera la première fois.

- Bon, OK … et tu t'appelles comment ?

- Euh …

 

Elle me regarde, interrogative. J'ai compris, elle se demande si elle peut lui révéler son identité. Il faut dire qu'elle a un prénom si peu courant. Des yeux, je lui fais signe qu'elle peut y aller:

- Je … c'est Yolaine, mon prénom …

- Yolaine. Très bien. Autre chose?

- Oui. C'est quand, la prochaine … séance ?

- T'es pressée ?

- Oui. 

 

Je l'entends rire, le Lionel.

- C'est le 9 … samedi 9 … pas ce samedi … le suivant … dans 9 jours, donc … le soir … Ça te va ?

- Oui.

- Bon, il y aura une autre femme … une habituée … elle pourra te driver si t'as besoin … Celle-là, c'est un cas … c'est une des deux ou trois plus grosses salopes qui participent à nos soirées. Elle en a jamais assez, de la bite ! Bon, alors, Yolaine, sans faute, hein … tu nous poses pas un lapin … 

- Non non !

- Hein, Marin … t'entends ? Je vais appeler d'autres mecs spécialement pour ta copine, alors il faut qu'elle soit là sans faute !

- T'inquiète pas, Lionel, elle y sera.

- OK, je compte sur toi. Remarque, l'autre, l'habituée, elle épongerait sûrement le surplus si jamais ta copine venait pas, mais sauf cas exceptionnel, la plupart de mes clients, ils apprécient pas de se retrouver trop nombreux sur la même salope.

- Elle sera là, Lionel, t'inquiète pas … et moi aussi, je serai là.

- Bon, ben … à samedi, alors. Salut.

- Salut.

- Salut.

 

Elle me rend le téléphone, radieuse. Les yeux pétillants, elle demande:

- Tu crois qu'ils seront combien …

- T'as vraiment envie de savoir ?

- Ben oui … à peu près, au moins …

- J'en sais rien. Et, pour moi, ne pas savoir combien il y aura de mecs pour me sauter, ça ajoute du piment à la chose …

 

Elle réfléchit:

- Ouais. T'as peut-être raison …

- T'es sûre de toi, hein … ça te fait vraiment pas peur …

- Oui, je suis sûre …

- Tu te rends bien compte, hein … tu vas te faire passer dessus … et baiser … par plusieurs types que tu connais pas …

- Oui, oui, je me rends compte. T'inquiète pas pour moi … J'ai hâte.

 

Elle me regarde en coin, hésite, puis:

- Dis … tu veux pas, là, maintenant ? J'ai envie …

 

Ah merde! Moi, j'ai pas trop envie … ça ne m'a même pas un peu émoustillé, ce qu'elle m'a raconté … ni de savoir que, dans une dizaine de jours, elle va y passer …

- Ben … excuse-moi, mais moi, j'ai pas trop envie …

- Ah bon ? Comment ça se fait ?

- Je me suis beaucoup masturbé, ces jours-ci … en regardant des vidéos, et là, je … j'ai même pas envie d'un mec …

- Oh, allez … fais un effort …

- Ecoute, je veux bien aussi te masturber, ou te bouffer la chatte, mais te baiser … ça le fera pas … si j'essaie quand même, tu sera frustrée et ça va t'énerver …

 

Elle m'observe, les lèvres pincées, et elle se lève:

- Bon. Tant pis. Si c'est pour me masturber, je peux le faire aussi bien que toi … mieux que toi, même … Ça fait rien.

- Ben, et puis si tu fais abstinence, tu arriveras chez Lionel d'autant plus motivée que tu auras jeûné dix jours …

- Si tu crois que je vais jeûner dix jours … 

- Tu vas faire quoi, alors ?

- Je vais me masturber … et t'inquiète pas, je serai quand même motivée dans dix jours …

 

Elle s'en va.

 

à suivre ...

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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