Lundi 31 octobre 2016 1 31 /10 /Oct /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


C'est très bizarre. Mon gangbang géant chez Jean-Claude ne m'avait pas assouvi. Pourtant, en me faisant baiser à la chaîne par une trentaine de types en rut, j'avais réalisé un de mes plus puissants fantasmes. Mais, le soir même, sur le chemin du retour, j'avais déjà essayé de lever un inconnu sur le bord de la route, comme s'il me fallait encore de la bite, encore du foutre. Et, dès le lendemain, je m'étais remis en quête de queues. J'avais encore envie de bite, j'avais encore besoin de bite, il me fallait encore de la bite … dans mes mains, dans ma bouche, dans mon cul. Je n'étais encore pas rassasié.

 

C'est bizarre, donc, parce que, là, je viens de me taper "seulement" cinq mecs à L.F., et me voilà calmé. Pourtant, pas des flèches, les cinq mecs en question. Des paumés. Mais, à la réflexion, je pense que plusieurs choses ont contribué à m'apaiser. Déjà, contrairement à ma horde d'une trentaine de queutards, réunis spécialement pour me baiser, deux jours avant chez Jean-Claude, cette fois, quatre des cinq lascars de L.F. me sont "tombés dessus" un peu par hasard et de façon inattendue. Par ailleurs, dans cette bande de paumés, il y avait trois frères: Gégé, Jean-Louis, et Cricri - seize ans, le Cricri ! Et une bite … MIAMMM ! -. Je me suis donc fait baiser par une fratrie au complet ! Cerise sur le gâteau, deux des frangins, Jean-Louis et Cricri, ainsi que Robert, le maître de maison, c'est dans mon cul qu'ils ont répandu leur semence dans quelqu'un pour la première fois ! Trois puceaux ! Je me suis donc tapé, dans la même journée, non seulement trois frères, mais aussi trois puceaux ! Et enfin, je me suis fait prendre successivement par ces cinq types sur cette table de cuisine crasseuse, et ça, c'était … hhhmmmmmm !

 

Bref, maintenant j'attends sereinement, apaisé, que Denis me rappelle. Il a promis de le faire dans la semaine. Denis, c'est un des participants à mon gang bang géant. Après m'avoir baisé dans la cour de la ferme, il m'avait dit qu'il aimerait bien que je vienne habiter chez lui pendant quelques jours pour être à sa disposition et à celle de certains de ses potes. Décidément ! C'est exactement ce que mes paumés de L.F. m'ont demandé, habiter avec eux chez le gros Robert, faire le ménage et la bouffe, et me faire troncher par eux cinq quand ils en auraient envie. En somme, être leur "petite femme" à tous, comme a dit Gégé ! Oh, l'idée ne me déplairait pas. Vivre avec cinq, six ou sept mecs, et être leur "petite femme", ou plutôt être leur femelle, être à leur disposition pour me faire saillir et inséminer chaque fois que ça démangerait l'un d'entre eux. C'est-à-dire, de mon point de vue, au minimum une fois par jour … Mais, même si j'ai apprécié l'ambiance "famille tuyau de poêle" de cette journée chez Robert, je ne suis pas du tout tenté de vivre plus longtemps avec ces cinq paumés-là. Y aller de temps en temps pour qu'ils m'en mettent un coup, je dis pas. Mais pas plus. Avec Denis, c'est pareil, on verra. Je fais un essai et je déciderai après si je prolonge ou si je renouvelle l'expérience. 

 

Jeudi 5 octobre. 20 heures.

Téléphone.

- Oui ?

- Salut, c'est Denis.

- Ah ! Salut ! Alors ?

- Alors, tu vois, je t'avais dit que je t'appellerai.

- Oui, c'est bien. 

- Oui, mais je peux pas te recevoir avant vendredi de la semaine prochaine. On sera … le 14. 

- Ah bon ?

- Ouais. Jusque là, je serai en province pour le boulot. C'était pas prévu. Je remplace un collègue qui a eu un accident.

- Ah bon. 

- Mais par contre, pour me dédommager, mon patron me donne le lundi et le mardi qui suivront. Et comme ça, si tu restes à la maison, on aura du vendredi soir au mardi.

- Ah OK.

- Et, autre bonne nouvelle, on aura des invités. Je t'avais dit que j'en trouverais.

- Oui. Et c'est qui ?

- Tu te rappelles de Yann ?

- Yann ? Non.

- Hé, mec, il t'a baisé pas plus tard que samedi dernier ! Il était chez Jean-Claude.

- Ah bon ? Je vois pas.

- Bon, enfin, tu verras, vendredi. Et il y aura aussi Nadir, un collègue à moi … c'est un beur, ça te gêne pas ?

- Ben non, pas du tout. Chez Jean-Claude, il y en avait un aussi. Black, blanc, beur, je prends tout le monde.

- Bon, OK. Et j'ai aussi invité Domi. C'est un voisin de mon immeuble. On sera quatre. Ça te va ?

- Ben oui. Tu peux même en inviter d'autres, si tu veux.

- Je vais pas avoir trop le temps de chercher, mais je verrai. Et puis, c'est pas grand, chez moi. Autre chose … ça serait possible, qu'on aille en ville, je sais pas, par exemple le vendredi soir, ou le samedi soir ?

- En ville ?

- Ouais, faire un tour dans un troquet que je connais. Jeannot, le patron, c'est un pote. On pourrait aller y boire un verre … 

 

Aller boire un verre dans un troquet ? Je ne vois pas l'intérêt. Mais bon, puisque je vais chez lui, en principe pour quatre jours, c'est sûr qu'on ne va pas baiser en permanence. Il faudra des intermèdes, sortir, prendre l'air, faire des courses … Et puis, ça peut être amusant de me balader en trav en ville. Je ne l'ai jamais fait et ça me tente. Il insiste:

- Alors ? Ça te dirait ?

- Pourquoi pas.

- Super ! Bon, je t'appelle jeudi soir ou vendredi dans la journée pour te dire où c'est chez moi.

- J'attends ton appel.

- Salut.

- Salut.

 

Ça a l'air de drôlement l'exciter, cette idée d'aller boire un verre en ville. Comme si … je sais pas … comme si il y avait autre chose, derrière ce projet. On verra bien. 

 

Samedi 7 octobre, 10 heures.

 

Téléphone:

- Allo ?

- Oui, bonjour. Euh, c'est Marin ?

- Oui. Bonjour. 

- Marin … le … celui qui était à la ferme chez ... chez Jean-Claude samedi dernier ?

- Euh, oui. Tu es qui ?

- Ah, bon. J'étais pas sûr. Moi, c'est Nicolas.

- Nicolas ?

- Ben ouais. Tu te souviens pas de moi ?

- Euh, comme ça, non. Vous étiez pas loin de trente, chez Jean-Claude. Dis m'en plus. Tu es comment ? Tu m'as fait quoi, samedi dernier ?

- Ben, déjà, je t'ai enculé … tu sais, sur la table où y'avait les apéros …

- Oui, mais ça, vous êtes plusieurs à m'avoir fait ça, et dans la position où j'étais, je ne voyais pas qui était en train de m'enculer …

- Ouais, t'as raison. Alors, après, tu m'as sucé sous la table, pendant qu'on mangeait. 

- Ça aussi, je l'ai fait à plusieurs …

- Oui, mais moi, tu m'as aussi léché le cul et … tu m'as … tu m'as mis un doigt … 

- Ah, OK. Ça, je me souviens. Et après, tu m'avais fourré ton orteil dans le cul, pendant que je suçais le mec en face de toi.

- Voilà !

- Ça me revient. Tu as une grosse paire de couilles … C'est ça ?

- Ou… oui, c'est ça.

 

Yess ! Alors lui, LUI, il a des couilles énormes ! Et des éjacs en proportion. Il m'en avait foutu une de ces doses dans la gorge, sous cette table ! Et il avait recommencé sur la scène, dans l'après-midi ! C'est "grosses couilles" ! Et si il m'appelle, c'est pour tirer un coup. Alors lui, OUI ! Trois fois OUI !

- Bon. Et tu veux quoi ?

 

Je me doute de ce qu'il veut.

- Ben … j'aurais bien voulu que … tu sais, Philippe nous a donné ton téléphone, alors je me suis dit que … tu serais peut-être d'accord pour … si tu veux aussi, hein …

- T'as envie de me baiser !

- Je … ou… oui. Enfin, je …

- Ecoute … Nicolas. Si j'ai dit à Philippe de vous donner mes coordonnées, c'est pas pour que vous m'envoyiez une carte postale. C'est pour que vous m'appeliez quand vous avez envie de tirer un coup.

- Ah bon. Je … j'étais pas sûr. 

- Ben si, c'est ça, forcément. Alors, t'as envie de tirer un coup ? Tu veux me baiser ?

- Je …je préférerais … si tu voulais bien me sucer …

 

Moi, c'est plutôt d'un coup dans le cul que j'ai envie. Il me dit qu'il m'a baisé sur le bar, mais ils se sont succédé à je ne sais combien, sur ce bar, et je ne me suis pas rendu compte quand c'est lui qui m'a fourré. Et d'ailleurs, est-ce qu'il m'a inséminé, à ce moment-là ? Parce que, après, à chaque fois, sous la table et sur la scène, il m'en a craché des sacrés doses ! A mon avis, c'est pas possible qu'il ait tiré un coup trois fois ce jour là. Il faut que je sache, alors j'élude sa remarque:

- Dis-moi exactement, Nicolas. Chez Jean-Claude, tu m'as VRAIMENT baisé, sur le bar ?

- Ben ouais.

- Tu m'as enculé, mais est-ce que tu as joui ?

- Ben … ouais.

 

Il a hésité. J'insiste:

- Alors, tu as tiré ton coup trois fois dans la journée …

- Ben …

- Tu m'as juté dans la bouche sous la table, et après, sur la scène. Et avant, tu m'avais déjà tiré une cartouche ?

- …

- Tu n'as pas joui, quand tu m'as enculé sur le bar …

- Non. Je t'ai seulement …

- Ouais, tu m'as ramoné, mais c'est tout.

- Oui. Je … je m'excuse … Alors, tu vas pas vouloir …

- Attends, attends ! T'excuse pas, hein. C'est pas un problème. Ça m'étonnait, c'est tout. Si tu as besoin de tirer un coup, tu vas tirer un coup. 

- Ah bon. Alors, tu veux bien ?

- Oui, bien sûr. Mais ce qu'il y a, c'est que, cette fois, j'aimerais bien que tu me fécondes le cul. Je veux bien te tailler une pipe, mais j'ai surtout envie que tu me tires une cartouche dans le cul.

- Ah ben oui, mais … je préfère …

- Tu peux pas faire les deux ?

- Je … je sais pas … Je crois qu'on aura pas le temps.

- Ah ! Explique !

- C'est parce que y'a ma femme.

- Tu es marié ?

- Oui.

- Et alors ?

- Alors, faudrait que tu viennes quand elle est pas là. Tu pourrais venir quand ?

- Quand tu veux. C'est où ?

- A C.

 

A C ? C'est bon, c'est à vingt kilomètres de chez moi: 

- Ouais, c'est pas loin. Tu veux que je vienne quand ?

- Cet après-midi ? Elle travaille, ma femme. Tu pourrais venir à deux heures ?

- OK. Dis-moi où exactement.

 

Il m'explique. C'est une cité. Je vois où elle est. J'y suis déjà allé pour une brocante de quartier, il me semble. Apparemment, il a seulement envie de se faire tailler une pipe. Aujourd'hui, on va faire ça. Un type équipé de l'entrejambe comme lui, vaut mieux pas le contrarier. Mais, tôt ou tard, il faudra bien qu'il m'en mette une dose dans le cul. 

 

- On fera ça chez toi ?

- Ben oui.

- OK.

- Et … tu viendras avec une tenue comme chez Jean-Claude ?

- Si tu veux.

- Bon, ben ... à tout à l'heure.

- A tout à l'heure.

 

A tout hasard, je me prépare quand même pour une sodomie. On ne sait jamais, il changera peut-être d'avis. Et je me mets en tenue.

 

14 heures.

Il fait beau mais frais. J'arrive pile poil à l'heure dans la cité. C'est des HLM assez récents, un peu en dehors de la ville. Il m'a indiqué l'immeuble et la porte. Je roule doucement, il y a pas mal de monde dehors: des gamins courent sur les pelouses, des ados font des figures en VTT dans les allées, et … des jeunes d'une vingtaine d'années fument, assis sur les marches devant le hall de l'immeuble de "grosses couilles". Oh oh ! Il va falloir passer devant eux. Pas discret, comme arrivée. Je vais peut-être l'appeler pour lui demander ce que je fais. Je repère une place de parking vide, presque en face de l'entrée de son immeuble, je me gare et je l'appelle sur son portable. Les jeunes me regardent, intrigués. Ça sonne … longuement. Qu'est-ce qu'il fout ? Merde, répondeur. Au moment où je coupe la communication, je le vois qui déboule de son hall. Il se dirige droit sur moi. Je lui ouvre la portière côté passager, et il monte:

- Putain ! Faut qu'on aille ailleurs, ma femme est rentrée. Elle est malade, soit disant. C'est pour ça que je t'ai guetté par la fenêtre. Vas-y, démarre !

- Tu lui as dit quoi ?

- Pour quoi ?

- Pour te barrer.

- Je lui ai dit qu'un pote venait me chercher pour une histoire de bagnole, de panne, de mécano …

 

Je démarre et je m'éloigne. J'espère que sa femme n'a pas regardé par la fenêtre, elle aussi. Parce que, depuis les étages, on devait avoir une vue plongeante sur l'intérieur de ma voiture et sur mes cuisses ! Nous sortons de la cité. 

- Elle t'a cru, ta femme ?

- Je m'en fous. J'ai même failli lui dire que j'allais me faire tailler une pipe par un trav.

- Ah bon ? Et pourquoi tu lui as pas dit ?

- On va sûrement divorcer. Je veux pas qu'elle puisse se servir de ça.

- Ça changerait quoi ?

- C'est pour les gosses. Elle leur dirait, cette salope. Je veux pas qu'ils le sachent.

- Tu as des gosses ?

- Ouais. Deux avec elle, et un avec une autre. Allez, euh … parlons pas de ça !

 

Je m'aperçois qu'il me reluque l'entrejambe depuis qu'on a redémarré. Il faut dire que ma jupe est remontée à l'angle de mes cuisse et dévoile mon mini string. Je tends la main et je la pose sur son bas ventre:

- Sors ta queue.

 

Il hésite pendant une seconde ou deux en regardant autour de nous, puis il se décide. Il détend sa ceinture de sécurité, il ouvre sa braguette et déballe sa bite. Il bande déjà un peu. Je prends son gland entre mes doigts et je commence à le lui pétrir. Lui me pose sa main sur la cuisse. Instinctivement, je me suis tout de suite dirigé vers la sortie de la ville. Je roule doucement. Nous longeons d'abord une autre cité, puis nous traversons une zone pavillonnaire. Oh putain, j'adore ça ! Circuler en voiture en tripotant la queue d'un mec assis à côté de moi. J'en ai fait des balades en voiture, seul, la bite à l'air, en rêvant que j'avais un passager complaisant. Ça y est, il bande ! Je jette constamment des coups d'œil sur sa queue, raide, dressée à la verticale. Son gland commence à dépasser de son prépuce. Tout à l'heure, je vais le sucer, son gland, et il va me cracher une bonne dose de sperme chaud dans la bouche ! Ses couilles sont toujours cachées dans son pantalon. Il aventure ses doigts sur mon string. Moi aussi, je bande ! Et ma bite commence à être à l'étroit dans ce truc minuscule. 

- Sors ma bite de mon string !

 

Il comprend tout de suite, et il glisse ses doigts sous ma jupe à la recherche de la ceinture de mon string. Voilà, il la passe sous mes couilles et se met à me tripoter le gland à son tour. Il faut que nous échangions nos places ! Il faut qu'il conduise pendant que je m'occuperais de sa queue. Si nous continuons comme ça, je vais jouir avant de lui avoir taillé sa pipe. Nous sommes maintenant dans la campagne. Je repère au loin l'amorce d'un chemin de terre entre deux champs. C'est là qu'il faut que je m'arrête:

- On va changer de place. Je m'arrête sur ce chemin, tu prends le volant et je vais m'occuper de ta queue pendant que tu conduis.

- Y'a du monde.

 

Ça a l'air de l'embêter de s'arrêter là. Oui, ça circule pas mal. Dans les deux sens. D'ailleurs, comme je roule lentement, on s'est fait dépasser par plein de gens pressés et énervés. Ça ne fait rien, moi aussi, j'ai une urgence. Clignotant. Je ralentis et je m'arrête sur l'entrée du chemin. Je détache ma ceinture et je regarde dans le rétroviseur. Il hésite. Je le presse:

- Magne-toi ! On en profite, il n'y a personne derrière.

 

Personne … c'est beaucoup dire. Les cinq ou six voitures qui nous suivaient ont profité que je me garais pour nous dépasser, et à quelques centaines de mètres, une autre file arrive. Il détache aussi sa ceinture et nous ouvrons en même temps nos portières. Nous manquons de nous télescoper en nous croisant devant le capot. Coup de Klaxon d'une voiture roulant en sens inverse. Quelqu'un a dû repérer mon cul dans ma minijupe ou Nicolas qui retient d'une main son pantalon. Nous remontons en voiture et nous nous asseyons. Il soulève son bassin et descend son pantalon sur ses cuisses. Yessss ! Il boucle sa ceinture. Je boucle aussi la mienne, mais uniquement la sangle ventrale, et je passe la sangle transversale derrière moi. Il profite du passage à notre hauteur de la file de voitures qui nous dépassent pour régler les rétroviseurs. Il met le clignotant, passe la vitesse et me regarde. Je me tourne vers lui et je prends sa queue dans la main:

- Vas-y, roule ! Je vais te sucer pendant que tu conduis.

- Si tu veux. Mais tu peux commencer en me branlant.

 

Il démarre. Hhhhmmmm, dans un moment, je vais me pencher sur son ventre et prendre son sexe dans ma bouche ! Il a à peine débandé, et ma caresse ne tarde pas à lui redonner toute sa vigueur. Je lui pétris le gland à travers son prépuce. Je me tourne complètement vers lui et, tout en le tripotant de la main gauche, de la droite, je remonte ses couilles coincées entre ses cuisses. Ah quelle paire, il a, ce mec ! Et ce n'est pas sa bonne femme, ni son ex, qui vont en profiter, de sa grosse paire de couilles et de son contenu, c'est moi ! Ce mec m'a choisi pour se faire sucer, plutôt qu'une femelle ! Savoir qu'il a une femme, et une ex, et que c'est à moi qu'il a demandé de lui vider les couilles, ça me rend … fier, d'une certaine manière. Mais, en plus, il a trois mômes ! Ce mec a déjà engrossé deux bonnes femmes avec cet appareil génital, que j'ai là, dans mes mains, et que je vais faire fonctionner tout à l'heure, ça me … ça ajoute une excitation supplémentaire. C'est un vrai mâle qui me confie sa queue et ses couilles ! Un mâle qui a fait ses preuves en tant que reproducteur, en tant qu'étalon. J'ai toujours considéré que ce que les mâles déchargent en moi au moment de l'orgasme, n'est pas uniquement la concrétisation de leur jouissance. Pour moi, c'est aussi la liqueur reproductrice, fécondante, indispensable à la perpétuation de l'espèce. Alors, ce que ce mec va répandre dans ma gorge tout à l'heure ce n'est pas que de la jute, que du foutre. C'est vraiment de la semence !

 

Dans la position où je suis, si l'automobiliste qui nous suit est un peu attentif, il doit bien voir que je ne suis pas vraiment à ma place, mais que j'ai le torse pratiquement entre les deux sièges. Il doit bien se douter de ce qui se passe. Je m'en fous. Tant mieux, même ! Je jette un coup d'œil derrière. Dans la voiture qui nous suit, c'est un homme qui conduit, la cinquantaine grisonnante. J'ai l'impression que c'est moi qu'il regarde. Et oui, mec, tel que tu me vois, je suis en train de tripoter la bite de Nicolas ! Il nous colle au cul. Il faut dire que Nicolas roule encore moins vite que moi. Il abuse, même: on est à 60 sur une ligne droite en pleine campagne ! Je me concentre sur cette queue que je tripote maintenant de la main droite. Soudain, le type derrière nous nous dépasse rageusement en klaxonnant et en faisant force gestes énervés. Je connais bien cette route où je venais régulièrement traîner au cours de mes balades de branlette au volant. Il y a un moment que je ne l'ai pas prise. Il faut dire que je suis passé à autre chose ! Mais ça me plaît bien d'y revenir avec une bite à m'occuper. Là, on va vers L/O.

 

Je pourrais rouler des heures comme ça, simplement en tripotant le conducteur. Et évidemment, en le suçant, de temps en temps. La voiture a un effet aphrodisiaque sur moi. Et là, c'est d'autant plus excitant que nous ne sommes pas seuls sur cette route. Derrière nous, il y a en permanence une file de voitures et de fourgonnettes qui attendent de pouvoir nous dépasser. Quand enfin ils y arrivent, les conducteurs nous regardent, à la fois énervés par notre lenteur et intrigués de me voir presque collé à mon chauffeur. Dans le fond, c'est très bien qu'il conduise aussi lentement, Nicolas. Habituellement, je n'aime pas trop faire chier le monde sur la route, mais là, ralentir ces automobilistes et les retenir derrière nous parce que je suis en train de tripoter ce mec, ça me plaît. Lui aussi, ça a l'air de l'amuser. Il pose sa main sur la mienne et accompagne ma caresse. A l'extrémité de son méat, perle une goutte d'excitation. Je pose mon pouce dessus et je l'étire en un long fil visqueux. Alors, c'est plus fort que moi, je recule mon cul au maximum le long de ma portière et je me penche sur son ventre. L'automobiliste derrière moi va obligatoirement me voir ! Nicolas soulève son bras pour me laisser la place. Hhhmmmm, je donne un coup de langue sur le bout de son gland, et je le prends dans ma bouche. Oh la la ! Il a une bite plutôt quelconque, mais prendre ça dans ma bouche pendant qu'on roule sur cette route de campagne, c'est … 

 

Soudain, série de coups de klaxon. Au son, je devine que celui qui corne comme ça est en train de nous dépasser. Contre mon oreille, je sens le ventre de Nicolas se secouer. Il se marre:

- Exactement, mec ! Il est en train de me faire une turlute !

 

Ça ne s'adresse pas à moi, mais à celui qui nous double. Il poursuit, cette fois à mon intention:

- Il a dû te voir te pencher pour me sucer, il m'a fait le geste de tailler une pipe !

 

Je le sors de ma bouche et je me redresse. C'est un gros 4X4 qui vient de nous dépasser, et dans son rétro, je vois les yeux du conducteur. Il nous regarde en s'éloignant. Une autre voiture nous dépasse, un break crasseux. Le type nous fusille du regard. Je continue de pétrir la queue de Nicolas. Nous approchons de L. Je connais bien, L. J'y passais souvent au cours de mes balades masturbatoires. C'est assez étendu et la rue principale est étroite, en sens unique et très commerçante, et j'adorais passer là au ralenti, la bite à l'air, à deux pas des badauds. Alors, je dis à Nicolas: 

- Tu vas passer par L.

- Euh, non, je vais plus loin.

- Si ! Tu vas passer par L. Tu vas entrer en ville et prendre la Grande Rue. Après, on ira plus loin si tu veux. Tu sais par où passer, pour prendre la Grande Rue ?

- Ouais, je connais.

 

Il me regarde, surpris. Je lâche sa bite et, en me tortillant sur mon siège, j'ôte mon string. J'allais le fourrer dans le vide-poches, mais je me ravise et je l'accroche au rétroviseur du pare-brise.

- T'es con !

 

Il se marre. Je recommence à le masturber doucement.

 

- Qu'est-ce tu veux faire, dans L. ?

- D'après toi !

- Quoi ! Tu veux me … me sucer en … en passant dans … dans la Grande Rue ?

- Oui. Ça te fait peur ?

 

Il réfléchit. Oui, ça doit lui faire un peu peur, mais ça doit quand même le tenter. Il secoue la tête en souriant. Je devine ses pensées: « Ce mec est dingue. Putain, ce mec me fais faire de ces trucs ! Ça me fait quand même vachement envie ! ». Nous abordons le faubourg de L. et sa zone commerciale. Et là, sans un mot, Nicolas tend le bras, me prend par la nuque, et appuie pour que je me penche sur son ventre. 

 

Yesssss ! Je le prends dans la bouche. Hhhhmmmm, je vais le sucer pendant qu'on traverse la ville ! Je suis passé ici tellement souvent, que je connais par cœur la configuration des lieux, et, même sans voir le paysage, je devine où nous sommes. Là, nous passons devant l'entrée du supermarché avec sa station-service. Maintenant, l'entrée de l'ancienne usine, puis large virage à gauche avant un autre à droite, pour aborder le pont au-dessus du canal (c'est à quelques kilomètres sur ce canal que j'ai rencontré Philippe !). Nicolas descend sa vitre et j'entends maintenant les bruits extérieurs: moteurs de voitures, freins qui grincent, souffle pneumatique d'un poids lourd … Nous sommes dans la descente qui conduit au rond-point de la mairie. Oh putain, cette fois, je le suce en plein ville ! Combien de fois je suis passé ici, la bite à la main ! Mais aujourd'hui, ce n'est pas à ma bite que je fais du bien avec ma main, c'est à celle de ce mec, et avec ma langue et mes lèvres ! Il doit y avoir du monde au rond-point un peu plus bas: il laisse la voiture descendre toute seule, avancer d'une place, il freine, avance de nouveau, freine … C'est toujours le bordel à ce carrefour. Tant mieux, comme ça, ça dure plus longtemps. Il pose sa main libre sur ma nuque. Dans un instant, nous allons passer le rond-point et nous engager dans la Grande Rue ! Oh, putain, ça m'excite et je bande !

 

Voilà ! Ça y est, je sens qu'on tourne et qu'on aborde la Grande Rue. Le fond sonore change, sans doute à cause de la proximité des façades d'immeubles et de commerces qui réverbèrent les sons dans cette rue étroite, qui n'a de "grande" que le nom. Et il y a d'autres bruits: des voix, des exclamations, un rire, le grincement des roues d'un vélo ou d'une poussette, le son mat de quelque chose qui vient de tomber au sol, des pas … J'adore ça ! Tailler une pipe à ce mec au milieu de toute cette vie. S'il y a des gens sur les trottoirs – et il y en a, je les devine, je les entends -, il leur suffit de jeter un coup d'œil dans la voiture pour me voir, penché sur le bas ventre du conducteur, en train de lui sucer la bite ! Et ils verront aussi ma queue qui bande, et qui dépasse du bas de ma jupe !

 

- Oh, putain !

 

Nicolas a freiné brusquement.

 

- Remonte, y'a les flics !

 

En une fraction de seconde, je dois décider si je continue de le sucer malgré la présence de flics – j'en ai une furieuse envie – ou si j'arrête. Là, quand même, le risque est fort. Je me redresse et je rabats vite fait ma minijupe sur ma queue. En effet, une camionnette blanche est arrêtée au milieu de la rue, feux de détresse allumés. Visiblement, c'est quelqu'un qui fait une livraison au café-tabac. Et comme il bloque la circulation (impossible de le doubler dans cette rue étroite), deux policiers à scooters sur le trottoir sont en train de l'emmerder. Ouais, il y a des flics, mais entre eux et nous, il y a cette camionnette et une autre voiture. Et ils ont d'autres chats à fouetter, les flics. Ça discute ferme. Nicolas a plus ou moins remonté son pantalon sur ses cuisses. Des gens s'attroupent pour assister à l'engueulade entre le livreur et les flics. A notre droite, une femme avec une poussette nous dépasse, à notre gauche, c'est deux vieux bonshommes, puis un ado. Dans le rétro latéral, je vois que, derrière nous, il y a plusieurs autres voitures. Personne ne fait attention à nous, alors, je tends la main et je me remets à tripoter la queue de Nicolas. Ça a l'air de lui plaire, et lui-même pose la main sur le haut de ma cuisse, et remonte insensiblement le bas da ma jupette. 

 

Enfin, le livreur grimpe dans sa camionnette et démarre. La voiture qui nous précède le suit, et Nicolas passe la première. Nous passons lentement à côté des deux flics, moi, toujours avec la queue de mon chauffeur à la main. Nous parcourons quelques mètres, et Nicolas, de nouveau, m'appuie sur la nuque pour que je retourne à sa bite. Il aime ça, le bougre, de se faire sucer en ville ! Je ne me fais pas prier, mais avant de replonger sur son ventre, je jette un coup d'œil derrière nous. Les flics sont en train de remonter sur leurs scooters. Je me penche et je le reprends. Hhmmmm, ce que c'est bon de le sucer ici ! Il laisse sa main sur ma nuque et me caresse. J'adore ça ! Par ce geste, non seulement il affirme sa domination, mais il manifeste aussi sa satisfaction: «Tu es une bonne fille. Tu suces bien. ». Ça me plairait bien de le faire jouir maintenant ! J'accentue ma fellation. J'ai envie qu'il m'éjacule dans la bouche pendant qu'on est en ville. Soudain, je le sens donner un léger coup de volant, et, par sa vitre ouverte, j'entends le ronronnement des scooters qui nous dépassent. 

 

- Y'a pas de quoi, les mecs !

 

Je comprends qu'il lance ça pour les flics. Il a dû se serrer un peu à droite pour les laisser nous dépasser et ils ont dû le remercier d'un geste de la main. Il se marre. Dans cette rue étroite, ils sont sûrement passés vraiment très près de nous, mais concentrés sur leur conduite périlleuse entre la voiture et les bordures de trottoir, ils n'ont pas pris le temps de regarder dans notre habitacle. J'ai l'impression que ça lui a plu, à Nicolas. Il sifflote entre ses dents, content de son coup. Mais il passe sa main sous mon menton et me repousse:

- Vas-y doucement, mec ! T'excite pas trop ! Remonte un peu.

 

Merde ! Pas grave. Quand je me redresse, je vois que nous sommes arrivés à la petite place au bout de la Grande Rue. Devant nous, les deux flics tournent à gauche. Nous nous retrouvons à l'entrée de L., en face du supermarché où nous sommes passés tout à l'heure. Il laisse passer quelques voitures, puis il s'engage en direction de la campagne. Je le tripote machinalement. Il se tourne vers moi:

- Dis donc, c'était chaud ! Les flics, je les ai vus arriver dans mon rétro, mais c'était trop tard pour te faire relever. Là, c'est sûr, ils t'auraient vu !

- Ça t'a plu ?

- Oh putain, oui ! Et toi ?

- Moi aussi. J'aurais bien voulu te faire jouir là, en ville. On va où ?

- Sur un endroit que je connais. C'est pas loin et c'est tranquille, tu verras.

 

Notre excitation à tous les deux s'est un peu calmée. C'est aussi très agréable, de rouler comme ça, tranquilles, moi avec sa bite entre les doigts. Il a pris une petite route que je ne connais pas.

 

- C'est là-bas.

 

Où ça ? De chaque côté de la route, des champs à perte de vue, dégarnis de leurs récoltes, pour la plupart. Ici, il ne reste que des betteraves ! Pas le moindre bosquet. Il compte peut-être s'engager dans un chemin de terre, mais pour aller où ? Il n'y a rien ! Ah tiens, un panneau "aire de pique-nique à 500 mètres". Qu'est-ce qu'une aire de pique nique fout au milieu de ce désert céréalier ? Et puis, arrivés au sommet d'une côte, je découvre, derrière, un bois assez vaste. Apparemment, c'est par là, parce qu'en arrivant à l'orée de ce bois, Nicolas met le clignotant. Il s'engage dans un chemin sous les arbres et nous débouchons immédiatement sur une aire de stationnement. En effet, c'est une aire de pique-nique avec table et poubelle. Il y a aussi les premiers agrès d'un parcours de santé, ainsi qu'un tas d'énormes troncs qui doivent attendre d'être enlevés. Nicolas se gare le long du tas de bois. Hhhhmmm, cette fois, il va me la tirer, sa cartouche !  Je me tourne vers lui:

- On fait ça ici ?

- Ouais.

- Dans la voiture ?

- Bouge pas.

 

Il ouvre sa portière et descend en retenant d'une main son pantalon. La bite raide, il contourne la voiture et s'approche de ma portière. Je l'ouvre, je me tourne vers lui et je pose les pieds par terre. Le voilà devant moi, entre mes jambes. Il soulève le bas de son T-shirt. Je saisis sa queue et je la prends directement dans ma bouche. Hhhmmmm ! Tout en tenant son T-shirt de la main gauche, il passe la droite sous mon menton, puis il l'approche de ma bouche. Du bout de ses doigts, il veut sentir son sexe qui va et vient entre mes lèvres. J'aime ça ! De ma main libre, je saisis ma queue et je commence à me masturber. Ça va très très vite, pour lui ! Il se met à haleter et je sens un premier spasme de sa verge sur ma langue. Ça y est, il va jouir ! Je vais recevoir un premier jet de sperme dans la gorge ! Je ne peux retenir un gémissement.

 

Et j'entends le bruit d'un moteur derrière moi ! Une voiture entre au ralenti sur cette aire de stationnement. Nicolas:

- Oh merde !

 

Et aussitôt, je l'entends aspirer l'air bruyamment par la bouche. C'est trop tard, il est submergé par la jouissance. Et dans un souffle:

- Ça fait rien, continue !

 

Sssschlaaaak !!! Je reçois un énorme jet de semence brûlante sur la langue. Ah oui, vas-y, jouis ! Inonde-moi la gorge ! Je me masturbe de plus en plus vigoureusement. Ses doigts toujours autour de sa verge et contre mes lèvres, il halète de plus en plus fort. Bruit de portière qu'on claque. Deuxième jet de sperme. J'avale. Ah putain, un mâle est encore en train de décharger dans ma bouche ! Je m'active fiévreusement sur ce sexe. Etre en train de me faire souiller la bouche de sperme en présence de cet intrus ajoute à mon excitation. Deuxième bruit de portière, et:

- Bonjour !

 

C'était une voix d'homme. 

- Bonjour !

 

Une voix de femme, maintenant. Troisième jet de sperme. J'avale encore. Ils me voient? Sans doute, au son de leurs voix, ils ne doivent être qu'à cinq ou six mètres. Ils voient ce que je fais ? Sans doute aussi, Nicolas a laissé sa portière ouverte. Vous pouvez venir voir ! Approchez, approchez ! Regardez comme je vide les couilles de ce mec !

- Bon … bonjour.

 

Nicolas, le ventre secoué de contractions incontrôlables, s'est efforcé de leur répondre. Quatrième jet de sperme. Derrière moi, j'entends leurs pas s'éloigner et leurs voix résonner discrètement. Ils commentent ce qu'ils viennent de voir ? Cinquième jet ! 

 

Et on dirait que c'est tout ! Hhhmmmm, une fois encore, il m'a mis la dose, l'ami Nicolas ! Il souffle par la bouche, tel un coureur de fond, puis:

- Ah putain ! Ah putain !

 

Il laisse retomber son T-shirt et, sa queue toujours dans ma bouche, il me caresse la tête à deux mains, et les joues, et la nuque, et le menton, et …

- Ah putain ! Tu suces comme … comme une … comme une vraie salope !

 

Il a cherché le terme le plus approprié, et le seul qui lui a paru convenir, c'est ça: "une vraie salope" ! Et je sais que pour lui, c'est le plus beau compliment qu'il ait trouvé. Et ça me va. Oui, je suis une vraie salope, une grosse salope, une salope à mecs ! Sa réflexion à la fois reconnaissante et admirative … sa queue encore dans ma bouche … sa queue toute chaude et qui ne ramollit pas …. ses couilles, ses grosses couilles contre mon menton … son sperme, que je sens encore dans ma gorge et dans mon œsophage … oh, putain, j'ai encore fait jouir un mec, j'ai encore fait jaillir sa semence à un mâle, et elle est maintenant au fond de mon estomac ! Alors, mon excitation est à son comble et c'est à mon tour de jouir. En gémissant, en couinant, je prends mon pied. Mon sperme s'écoule en "splatchs" visqueux sur le bas de caisse de la voiture.

 

A bout de souffle, je suis rapidement obligé de sortir sa queue de ma bouche. Le front appuyé contre son ventre, je reprends lentement ma respiration. Il me caresse la tête. J'ai cette grosse paire dans la main et sous mon menton, cette bite qui dégonfle peu à peu. Je la soulève et je pose des baisers sur ses couilles:

- Mfff ! Mfff ! Merci ! Mfff ! Mfff ! Mfff ! Merci ! Merci ! Mfff ! Mfff ! Merci !

 

Il se marre:

- C'est toi qui me remercie ?

- Oui. Pour moi, c'est du bonheur, que tu m'aies vidé tes couilles dans la bouche. Je les aime, tes couilles.

- Ben dis donc, elles ne m'ont jamais dit ça, mes bonnes femmes !

- Moi, tes couilles, tu pourras les vider dans moi chaque fois que tu voudras.

- Ah bon ? Ben ... d'accord.

- Mais il faudra que tu me les vides aussi dans le cul.

- Ou ... oui, OK.

 

Je me mets à lui lécher la verge, mais quand je m'apprête à reprendre son gland dans la bouche, il m'arrête en repoussant ma tête:

- Ouh la ! Non, pas ça ! C'est trop … sensible, maintenant.

 

Je me redresse:

- Au fait, c'était qui, tout à l'heure ?

- Ah oui. C'était un couple.

- Ils m'ont vu ?

- Oh oui. Ils ne pouvaient pas te louper.

- Ils ont réagi comment ?

- Ils ont souri, c'est tout. Bon. On y va ?

- Tu veux pas qu'on reste ? Peut-être, tout à l'heure, tu pourras me baiser.

- Ah ! Je vais pas avoir le temps, aujourd'hui.

- Ah bon !

 

Il ne faut pas que j'insiste, que je le harcèle:

- Tu m'appelleras quand tu seras décidé ?

- Pas de problème. 

- Bon. Allons-y. Je conduis.

 

Il s'écarte en remontant son pantalon. Je contourne la voiture et je m'installe au volant. Il s'assoit à son tour et, du doigt, il agite mon string, toujours accroché au rétroviseur:

- Tu ne remets pas ça ?

- Non.

 

Il sourit. Nous quittons l'aire de stationnement, puis le bois et nous reprenons la route de C. Il y a un moment de silence un peu gêné, puis c'est lui qui tend la main et qui la pose sur ma cuisse:

- T'es vraiment bonne, tu sais … Je m'excuse de te le dire comme ça, mais je sais pas comment te le dire autrement. Je vais pas te dire "t'es vraiment bon", hein …

- Non, non. Ça me va, "t'es vraiment bonne".

- Mes bonnes femmes, y'en a pas une qui m'a sucé comme toi.

- Ben, je suis content. Aucune des deux ne t'a jamais sucé comme ça ?

- Pas seulement les mères de mes gosses. Les autres aussi.

- T'en as eu beaucoup, des autres ?

- Beaucoup … non. Je sais pas … sept … huit … j'ai jamais compté. Ouais, ça doit être ça, sept ou huit. La plupart, elles aiment pas sucer, alors pour elles, c'est la corvée. Toi, t'aimes ça. T'aimes vraiment ça, ça se sent !

 

Pfiouuuuu ! Il me donne chaud tout partout, ce mec ! 

 

Quand nous arrivons dans sa cité, les jeunes sont toujours sur les marches à fumer et à siroter des canettes. En les voyant, Nicolas me dit:

- Te gare pas. Arrête toi un peu plus loin. 


Je m'arrête dix mètres plus loin. Il explique:

Les mômes, ils ont pas besoin de venir te reluquer. Surtout avec ton étendard accroché au rétro !

 

Mon étendard, c'est mon string. Je le décroche:

- Tu le veux ?

- Ah ... ouais ! Pourquoi pas ...

 

Il le fourre dans sa poche, me tend la main, me la serre, et, en descendant:

- Bon, à plus. Je t'appelle, t'inquiète pas.

 

Mouais ! Il descend et je prends le chemin du retour.

 

J'ai encore le goût de sa crème dans la bouche.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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