Récits pornographiques

Vendredi 7 octobre 2016 5 07 /10 /Oct /2016 01:10

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Gégé m'entraîne dans la cuisine:

- Grimpe sur la table et fous toi sur le dos.


J'ai bien fait de récurer la table à fond au moment de la vaisselle. Je me contente donc de déplacer les plats sales sur la gazinière, et je m'assois sur le formica pendant que Gégé retire son blouson, qu'il n'avait pas quitté pendant le repas. Il le lance dans le salon et se place devant moi pour ôter son jean et son caleçon qui prennent le même chemin. Quand c'est fait, il s'approche jusque entre mes jambes. Je sens son haleine alcoolisée et je vois qu'il a l'œil trouble et humide du type bourré. Je regarde sa queue. Il bande déjà et son gland essaie de sortir tout seul de son prépuce. Je me penche un peu, je saisis sa bite et je commence à le masturber. Il se laisse faire, et son visage tout près du mien, il me souffle: 

- J'vais encore t'baiser.


Pendant une fraction de seconde j'ai l'impression qu'il est prêt à me rouler une pelle. Mais non, il se reprend. Tant mieux. Autant j'ai aimé quand je ne sais plus qui m'a roulé un palot samedi dernier, autant lui, surtout dans l'état où il est … beurkkk ! Il poursuit:

- Allonge-toi.

- Attends, Gégé ! Hé, Robert ! Tu veux par regarder dans mon sac, il y a le tube de lubrifiant, tu sais, celui que tu as utilisé, ce matin. 


Je commence par m'appuyer des deux coudes sur le formica. Gégé me prends sous les genoux et les soulève. Je bascule complètement sur le dos. Vu l'étroitesse de la table, d'un côté, j'ai le cul au bord et, de l'autre, la tête dans le vide. Je me redresse sur les coudes:

- Attends. Pas comme ça. Dans l'autre sens, sur la table. Là, j'ai la tête dans le vide.


Il passe ses mains sous mon cul et, d'un seul mouvement, il me fait pivoter à 90°. Il m'étonne, ce gringalet, d'avoir réussi à me bouger de cette façon. Voilà, comme ça, je serai mieux. Robert pose le lubrifiant sur la table et va s'adosser contre le mur à côté de la porte du salon. Diego aussi s'est levé et nous regarde depuis le salon, l'épaule appuyée contre le chambranle de la porte. Gégé dresse mes cuisses à la verticale et les écarte:

- Garde tes jambes en l'air.


Je tends les bras et je m'empoigne les cuisses à hauteur des genoux. Il attrape le lubrifiant, j'entends le bruit mouillé que fait le gel en sortant, et je sens qu'il m'en enduit le cul et me rentre deux ou trois doigts. Il commente:

- C'est bien … t'es une bonne fille. T'es contente, hein, que Gégé y va t'en foutre un bon coup dans l'cul … Gégé, y va t'baiser, Gégé, y va t'défoncer … 


Je lui souris. De lui, je ne vois rien en dessous de son abdomen, mais à ses gestes et à son regard braqué sur son entrejambe, je devine qu'il est en train de se décalotter. Il lance:

- Hé, les mecs, v'nez voir comment j'vais la démonter, c'te salope !


Il doit être bien bourré, parce qu'il a crié comme si il les croyait encore au salon. Il n'a pas encore remarqué que Robert et Diego sont déjà là. Diego:

- On voit, mec, on voit.


Gégé tourne la tête, les découvre, sourit et pose une main sur le dessus de ma cuisse, au niveau de mon genou:

- Maint'nant, j'vais t'enfiler !


Il guide son sexe et je le sens le plaquer contre ma rondelle. Il pousse et, d'un seul coup, il entre. Hhhmmm, ça y est, il est en moi ! Il me baise avec cet organe monstrueux, avec ce sexe … bestial ! Ses deux mains sur mes genoux, il commence à aller et venir. Oh, putain, ce que c'est bon de se faire baiser comme ça, sur cette table de cuisine et sous le regard de ces deux mecs … non, de ces trois mecs: Cricri vient d'apparaître à côté de Diego. Finalement, venir ici pour me taper le gros Robert, c'était vraiment un pis aller, faute de mieux, mais au final, je me fais troncher par quatre mecs ! Oh, c'est pas des flèches, ces mecs ! Tous les quatre c'est des paumés, ni beaux, ni bien montés, et, qui plus est, pas de première jeunesse pour trois d'entre eux. Mais justement, c'est parce qu'ils ne sont ni jeunes, ni beaux, ni bien montés qu'ils étaient en manque et qu'ils sont bien contents que je mette mon cul à leur disposition pour se soulager. Jambes en l'air, comme ça, je ne suis pas très bien:

- Attends, Gégé, je vais mettre mes jambes derrière toi.


Il plaque son ventre tout contre mes fesses, et s'immobilise pour me laisser faire. Je passe mes jambes de part et d'autre de son torse et je croise mes chevilles derrière ses reins. Il en profite pour ôter sa chemise. Le voilà complètement à poil. Il me prend par les hanches et il recommence à me bourrer. Il me regarde intensément. Il veut voir quel effet il me fait. De l'effet, il m'en fait, je n'ai pas besoin de simuler. Déjà, rien que de me prendre sur cette table de cuisine, et sous les yeux de ses potes, j'adore. Et comme ça, sur le dos, face à face, hhmmmm ! Me faire prendre en levrette, c'est le pied, mais regarder dans les yeux le mec qui m'encule, c'est aussi très excitant. D'abord parce que je peux voir ses réactions à lui, le plaisir qui le gagne, l'excitation qui monte et qui lui fait perdre le contrôle. Mais j'aime ça aussi parce que, en m'abandonnant au plaisir qu'il me donne, et en le lui montrant, je me mets en quelque sorte à sa merci, et j'ai davantage l'impression de lui appartenir. Lui, le Gégé, ce n'est pas une flèche. Bien que plus petit que moi, pas costaud et plutôt moche, je me serais de toute façon fait baiser par lui, maintenant que j'ai résolu de me faire grimper par tous les mâles qui en auront envie. Mais lui, sa bite bizarre, monstrueuse, inhumaine, me rend dingue. C'est comme si je me faisais saillir par je ne sais quel animal, par je ne sais quel monstre, par je ne sais quelle créature extraterrestre. Je me cambre pour faciliter sa pénétration et je halète sous l'effet du plaisir que me donne la bizarrerie qui me fouille les chairs.


Je voudrais bien voir sa bite qui entre et sort de mon cul. Alors, j'essaie de me redresser, et tant bien que mal, je m'appuie sur un coude. Mais je ne vois pas. Tout au plus, j'aperçois la base de sa queue quand il sort un peu de mon cul. Je tends la main, je la pose sur son ventre et je la glisse entre mon cul et son pubis. Je sens maintenant sous mes doigts sa verge coulisser en entrant et en sortant de mon cul. Il regarde ma main, il me regarde, les yeux grands ouverts, la bouche béante. Je halète et ça part tout seul:


- Ah oui, Gégé ! Baise-moi ! BAISE-MOI ! BAISE-MOIIIII !!!! 

- Ah putain, quelle saloooope !


Je regarde les trois autres, là, à l'entrée de la cuisine. Eux aussi sont gagnés par l'excitation. Robert a de nouveau la main dans son pantalon et il se branle. Diego, lui, a ouvert sa braguette et sorti sa queue qu'il pétrit mécaniquement en nous contemplant. Cricri a déboutonné son pantalon, descendu son zip et il se secoue la bite sans vergogne. Putain, tous les trois, ils savent qu'après Gégé, c'est eux qui vont venir s'installer entre mes cuisses, qui vont introduire leur bite en moi et qui vont me baiser chacun leur tour sur cette table ! Là, ils anticipent les sensations de leurs queues dans mon fourreau.


- Qui c'est qui veut s'le faire ?


C'est Gégé qui m'offre aux autres. Il a joui ? Je ne m'en suis même pas rendu compte !


- T'as pris ton pied, mec ?


C'est Diego qui s'étonne aussi. Gégé:

- Nan, pas encore. Mais j'te l'passe, si tu l'veux. J'me finirai après.


Diego quitte son chambranle de porte et s'avance:

- Bon, vas-y, passe-le moi. Mais avant, j'me déloque.


Ah, yessss ! « Passe-le moi ! ». J'adore quand les mecs me traitent comme je ne sais quelle poupée gonflable ou je ne sais quel bout de viande ! Gégé ralentit son va et vient et me dévisage:

- On va tous te défoncer, chérie. L'un après l'autre. 


Je hoche la tête vigoureusement:

- Oui, défoncez-moi ! Baisez-moi tous les quatre !

 

Diego, la bite raide qui dépasse de sa braguette, me regarde tout en déboutonnant sa chemise. Je ne quitte pas sa queue des yeux. Il ne s'est pas encore décalotté, et je vois du fluide translucide briller autour de son méat. Il est super excité et dans un instant, c'est cette bite déjà baveuse d'excitation qui va venir s'introduire dans mon cul. Gégé continue d'aller et venir en regardant, lui aussi, Diego se déshabiller. Celui-ci, les yeux toujours braqués sur moi, ôte sa chemise, la plie consciencieusement et va la poser dans le salon. Il revient, la bite toujours raide, et, en continuant de me fixer, il déboutonne son pantalon, ôte ses chaussures et ôte son pantalon et son caleçon. Dans ses yeux, je lis « toi, tu vas voir ce que je vais te foutre dans le cul ! ». Maintenant complètement à poil, la bite raide, tendue à l'horizontale, il plie aussi soigneusement ses vêtements et va les déposer je ne sais où dans le salon. Il revient, s'approche de nous, sa quéquette fermement serrée dans sa main, se place à côté de Gégé et pose son autre main sur mon genou:

- Vas-y, passe-le moi !


Lui, jusqu'ici si posé, a dit ça mâchoire contractée, avec une espèce de violence à peine contenue. Gégé, un sourire mi narquois mi sadique au coin de la bouche, me fout encore deux ou trois coups de bite, puis m'écarte les genoux pour dénouer mes mollets d'autour de son torse. Dans un bruit de mouillé, il extrait précautionneusement sa queue de mon cul et se recule, cédant la place à son pote. Je remets mes jambes en l'air, les cuisses à la verticale. Diego se positionne devant moi, plante son regard dans le mien. Ses yeux me disent « Je vais t'enculer ! Je vais te baiser ! ». Avec les miens, je m'efforce de lui répondre « Oui, encule-moi, baise-moi et féconde-moi ! ». De sa main gauche, il maintient ma cuisse, et de la droite, il guide sa queue. Oh, ça y est, je la sens qui effleure ma rondelle … qui entre doucement dans mon anus … Il lâche son sexe, et, des deux mains, il noue à son tour mes mollets autour de son torse. Et il s'enfonce en moi … lentement, en surveillant mes réactions. Je me cambre, la nuque cassée en arrière, la bouche béante. Je halète, je gémis ! Oh putain, j'aime tellement cet instant où un mec enfonce son sexe en moi ! Là, je pense qu'en me pénétrant, le sien se décalotte, que son gland s'épanouit dans la tiédeur humide de mon rectum. Oh, vas-y, Diego, fais-toi du bien en le frottant dans le velours de mes chairs ! 


- Robert ! Tu veux pas lui mettre un coussin ou un oreiller sous la tête ?


Il est planté au fond de moi et, immobile, il me caresse les cuisses et les hanches en attendant que Robert ramène ce qu'il lui a demandé. Ce n'est pas une caresse de tendresse, c'est la caresse du maquignon qui jauge la qualité de la viande du bestiau qu'il veut acheter. 

- Je veux que tu me regardes pendant que je te baiserai !


Docile, je hoche la tête: « Oui, je te regarderai ». En me tordant le cou, je remarque que Gégé est derrière moi, les fesses appuyées contre l'évier, et qu'il se pétrit la queue. Cricri est entré dans la cuisine quand Robert a passé la porte pour aller dans le salon, et il est en train d'ôter ses tennis, sûrement pour se foutre à poil à son tour. Robert revient du salon avec un gros coussin en mousse qui devait servir d'assise à un fauteuil:

- Ça va, ça, Diego ?

- Ouais. Mets-lui sous la tête.


Je me soulève comme je peux et Robert me glisse l'épais coussin sous les épaules et la tête. Je remarque alors que sa bite tend la toile de son pantalon. Il bande à mort. Au moment où il s'apprête à s'éloigner, je lui attrape la verge. Il s'immobilise et attend. Je le masturbe un peu à travers la toile de son survêt, et, levant les yeux vers lui:

- Déshabille-toi aussi !


Je le lâche et je le suis des yeux jusqu'à ce qu'il disparaisse dans le salon. A son air, je suis sûr qu'il va le faire. Il va aussi se foutre à poil. Cricri, ça y est, il est à poil, et lui aussi, il bande. Rhooo, putain, ils vont me fourrer tous les quatre à tour de rôle ! J'entends Robert qui discute avec Jean-Louis dans le salon, mais je ne comprends pas ce qu'ils disent. 


- Regarde moi, maintenant !


C'est Diego. Entre temps, il a passé ses deux mains sous mes reins, et il m'a un peu soulevé, comme pour me cambrer. Pour son gabarit, il est étonnamment costaud. Je croise mes mains sous ma nuque, et il commence à aller et venir en moi. Chacune de ses pénétrations m'arrache un halètement de plaisir « Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! ». Il me fait jouir et ça lui plaît. Je vois ses mâchoires se contracter. Il respire par la bouche entre ses dents serrées. Il baisse les yeux et regarde sa bite entrer et sortir de mon cul. A la manière dont il contemple notre coït, je pense qu'il établit mentalement le lien entre ce que ses yeux voient et les sensations de son gland qui me fouille les entrailles. De temps à autres, il lève les yeux sur moi, et les laisse braqués sur les miens pendant un moment. Ce n'est pas seulement pour vérifier que je le regarde bien me baiser. Non, en même temps, la lueur froide, dédaigneuse, presque méchante de son regard me fait passer un message silencieux: « Il te fait jouir, hein, le Diego ! T'es qu'une paillasse, t'es que de la viande à bites, t'es qu'une vide-couilles ! ». Et il reporte ses yeux sur notre accouplement. Soudain, je sens ses doigts se crisper dans le gras de mes hanches et il se met à aspirer et souffler de plus en plus fort entre ses dents en me postillonnant sur ventre.

- Fffffff ! Putain, j'vais jouir ! Fffffff ! J'vous préviens, les mecs … ffffffff … j'vais lui tirer dans l'cul ! 

 

Ah oui, vas-y ! Féconde-moi ! Il va me remplir de sperme, alors je ne peux réprimer un gémissement d'impatience qui se transforme en un long couinement de plaisir:

« AaaahaaaAAahhAAAaaaahhhaaaAAAhhhaaahhhAAAhhh ! Oui ! Oui ! Oui ! ».


- Ouais ! Vas-y, Diego ! Baise-la, c'te salope ! R'garde-la comme elle aime ça !


C'est encore Gégé, derrière moi.


- Ffffff ! Ouais, mais j'ai pas mis d'capote, les mecs ! Ffffff !

- J'm'en fous ! Vas-y, jute lui dans l'fion ! Moi aussi, j'vais lui tirer dans l'cul !

- Fffffff ! Rââââhhhh, putain ! Ffffff ! Ffff ! Ffff ! Ffff ! Ffff …


Ça y est, je crois qu'il jouit ! J'entends de plus en plus de bruits mouillés du côté de mon cul. Sa bite doit être en train de me répandre sa semence dans le ventre et de la touiller. Ah oui ! Ah oui ! Ah oui ! J'imagine son gland qui déverse des jets de sperme dans mon ventre. Les abdominaux contractés, il redouble de coups de bite, les yeux braqués sur mon entrejambe. Enfin, essoufflé, il ralentit, desserre les mâchoires et me regarde en continuant à aller et venir lentement:

- J't'ai baisé ! J't'ai tiré dans l'cul !

- Oh oui, je sais.

- Ça t'plaît, hein …

- Ah oui !

- Faut que t'ailles te laver l'cul, maintenant.


Je me tords de nouveau le cou pour regarder Gégé:

- Gégé, faut que j'aille me laver le cul ?


Il décolle ses fesses du bord de l'évier d'où il assistait au spectacle. Il bande toujours, son gland bizarre est tout rouge et tout gonflé:

- Nan.

- Tu vas me baiser dans la jute de Diego ?

- Ouais. J'm'en fous.


Ah, tant mieux ! Je n'ai pas envie de casser l'ambiance en allant me laver entre deux coïts. J'ai envie qu'ils me baisent tous les quatre à la chaîne, qu'ils me remplissent de sperme. Je me tourne vers la porte de communication avec le salon. Robert s'est aussi mis à poil et s'est de nouveau adossé au mur. Il serre fermement sa queue et fait aller lentement sa main sur sa verge. Cricri, lui aussi à poil, se tripote, adossé au chambranle de la porte. Et dans l'encadrement de la porte … Jean-Louis ! La curiosité a été la plus forte, et il est venu voir ce qui se passe. Instinctivement, je baisse les yeux sur son bas-ventre. Mais je ne vois pas si il bande, lui aussi. En tout cas, il ne se tripote pas. Diego continue d'aller et venir mécaniquement en moi. Je lance à Robert et Cricri:

- Et vous, là ? Vous aussi, vous voudrez bien me baiser dans la jute de votre pote ? 


Robert:

- Moi aussi, j'm'en fous !


Cricri, hilare, hoche la tête frénétiquement « Oui, oui, j'te baiserai aussi comme ça ! »


Yessss ! Ils vont m'inséminer tous les quatre à la chaîne ! Ça m'excite et ça me touche aussi, d'une certaine façon. Voilà des mecs dont l'essentiel de la sexualité, jusqu'à présent, consistait en branlettes, et qui, dans la même journée, non seulement se voient offrir spontanément et gracieusement de baiser à volonté un travelo, mais, en plus, tombent sans aucune réticence ni retenue dans la dépravation la plus obscène, la plus immorale, la plus bestiale. Parce qu'il faut bien reconnaître qu'accepter de tremper sa bite dans le sperme d'autres mecs n'est sans doute pas évident, quand bien même il s'agirait de copains. Bien des queutards expérimentés s'y refuseraient sans doute, par dégoût ou par précaution. Ça en dit long sur l'état d'excitation de ces quatre paumés. Franchement, je n'en espérait pas tant de leur part. 


Ah, putain ! Il y a deux jours, c'est une trentaine de mecs à poil que j'avais à ma disposition pour me faire féconder, mais ces quatre là, aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi, ça me plaît tout autant ! Avant-hier, je ne connaissais pas davantage la trentaine d'étalons venus me baiser, mais c'était un truc prévu, programmé, organisé. Alors qu'aujourd'hui, Robert mis à part, les trois autres, c'est vraiment une rencontre de hasard, imprévue, inattendue, inespérée, et ça m'excite !  


- Bon, alors, venez ! Allez, Robert, viens me baiser.


Diego se retire lentement pendant que Robert approche. Je sens quelque chose de tiède s'écouler entre mes fesses. Diego "me passe" à Robert comme Gégé m'avait "passé" à Diego. A la façon dont il me regarde et me sourit, je me rends compte que Robert n'en revient pas de la situation. Après avoir ronchonné à l'arrivée de Gégé, je crois que maintenant, il est content que la partie de cul ait tourné au gangbang. A quarante ou quarante cinq ans, il vient de perdre son pucelage, et il est en train de se partager un travelo avec des copains, sur sa table de cuisine ! Je l'enserre à son tour avec mes jambes. Tout en me pelotant les cuisses et les hanches, il me pénètre directement et s'enfonce à fond tout de suite. Quand son pubis vient frapper mon périnée, j'entends un bruit mouillé … flaaaatch ! Yess ! Sa queue baigne dans la semence de Diego, et visiblement, à son air ravi, ça lui plaît ! 


Pendant que le gros s'installait, Diego a longé la table et est venu se placer à côté de moi, à hauteur de mon visage. Surpris, je me tourne vers lui. Il passe sa main derrière ma nuque et, d'un même mouvement, il m'attire vers lui et tend son ventre:

- Nettoie-moi la bite !


Il n'a pas complètement débandé et sa bite pend, à demi gonflée. Hhhhmmmm, elle est encore toute luisante du cocktail qu'elle a brassé à l'intérieur de mon cul. Je prends ses couilles au creux de ma main, et j'enfonce sa queue dans ma bouche. Elle a un goût de sperme, de sécrétion anale et de lubrifiant. Alors que je le suce consciencieusement en lui pelotant les boules, je sens la pression ferme mais délicate de sa main sur ma nuque. J'adore ça. Je pose ma main libre sur la sienne et je la caresse, accompagnant, sollicitant son geste de domination. Son sexe dans ma bouche, sa main sur ma nuque alors que le gros Robert s'apprête à se donner du bonheur dans mon cul ... une fois encore, je gémis. Pendant que je fais tourner ma langue autour du gland de Diego, Robert commence à aller et venir. Je suis sûr que, tout en me fourrant, il me regarde sucer son pote. Hhhmmmm, être pris sur cette table par deux mâles en même temps, le cul et le ventre déjà enspermés, quel bonheur ! Je continue de pomper fiévreusement Diego bien après avoir fini de lui nettoyer la bite. Bien sûr pour le plaisir d'avoir son sexe dans la bouche, mais surtout pour celui de sentir l'étreinte de sa main sur ma nuque. Ce geste en dit bien plus que ne pourraient en dire des mots. Ça veut dire « Tu es une bonne fille, tu suces bien », mais surtout « Sois docile et soumets-toi ! », « Tu me suceras aussi longtemps que je le voudrai », « Tu es à moi ! » … ou plutôt « Tu es à NOUS », parce que, avec l'un d'eux dans mon cul et un autre dans ma bouche, j'ai plus le sentiment d'être leur propriété collective que d'appartenir à chacun d'eux à tour de rôle. Le langage de mon corps en raconte aussi très long sur ce que je ressens: ma docilité quand Diego m'a présenté sa bite à nettoyer, la fébrilité de ma fellation, mes petits gémissements qui disent à la fois mon plaisir et ma soumission … Une soudaine fraîcheur sur mon ventre me dit autre chose sur le language de mon corps. Je réalise que je bande. Ma bite doit être en train de baver du fluide d'excitation en quantité, sans doute aidée par la pression de la queue de Robert sur ma prostate !


Moi, ça me va, les mecs, disposez de moi à votre guise, chacun à votre tour ou en même temps. Usez de moi, usez de ma bouche, usez de mes mains, usez de mon cul pour le plaisir de vos bites, jouissez, déversez votre sperme. Simple effet de ma fellation ou de mon évidente soumission, Diego recommence à grossir et durcir dans ma bouche. Ah, putain, si je pouvais le faire jouir encore une fois ! Dans ma gorge, cette fois ! Le voilà qui approche sa main libre de ma bouche, et qui enserre de ses doigts sa verge humide au contact de mes lèvres. La voir entrer et sortir de ma bouche ne lui suffit plus, il faut qu'il touche. Quand je lève les yeux sur lui, il remarque, admiratif:

- Putain ! Alors toi, tu peux dire que t'aimes la bite !


Il glisse son index entre mes lèvres, contre sa bite, comme pour voir quel effet ça fait à son doigt, puis il sort enfin doucement son sexe de ma bouche, me lâche la nuque et s'écarte. Je gémis de déception que ça s'arrête. Je reviens à ce que me fait Robert.


Les mains posées sur mes cuisses, la tête un peu penchée, il va et vient à petits coups en regardant son sexe entrer et sortir de moi. Décidément, ça leur plaît aux mecs, de voir leur bite aller et venir dans mon cul. De temps en temps, il me regarde et me sourit, presque timidement, comme s'il se sentait gêné de sa réaction de curiosité.

- Ça va, Robert ? T'es bien dans mon cul ?

- Rhô ouais !

- Moi aussi, ça me plaît que tu m'encules.

 

 

Les yeux écarquillés, il déglutit bruyamment et se passe sans arrêt la langue sur les lèvres. Les mains crispées sur mes cuisses, il me fout des coups de queue de plus en plus amples, toujours en regardant sa bite disparaître et réapparaître. Evidemment, après avoir tiré un coup deux fois dans la matinée, il tient le coup plus longtemps. Mais je sens que son excitation monte en flèche. Je voudrais bien qu'il me foute la même dose que celle qu'il s'est crachée sur le ventre ce matin. Je vois Cricri approcher et se positionner de façon à mieux voir notre accouplement. La mâchoire pendante, les yeux exorbités braqués sur mon cul, il se masturbe vigoureusement. 

- Doucement, Cricri. Prends pas ton pied avant de m'avoir baisé. Garde ça pour moi.


Il me fixe, semble réfléchir, comme s'il donnait à son cerveau le temps de comprendre ce que je lui ai dit. Puis il hoche la tête, "OK, compris", et il ralentit sa masturbation. 


- Haaaa ! Haaaaa ! Haaaa ! Haaaaa ! Haaaa !


C'est Robert qui se met à haleter au rythme de ses coups de queue de plus en plus violents. Son ventre claque contre l'arrière de mes cuisses " flaaap ! flaaap ! flaaap ! flaaap ! flaaap ! ". Il va jouir ! Son excitation se communique à moi, et je me mets de nouveau à haleter. A son tour, il va se répandre dans mon ventre !


- Haaaaaaaaaaaaaaaaa ! Haaa ! Haaaaaaaaaaaaaaaaaa !


Ça y est, il jouit ! Son éjaculation est si intense qu'il se plie en avant, les yeux grands ouverts, un filet de salive s'échappant de ses lèvres. Il est entièrement concentré sur cette explosion de jouissance qui lui irradie le sexe, le bas ventre et la prostate. Il n'est plus que cette queue qui éjacule son plaisir dans un corps chaud, humide et vivant. Ça dure quelques secondes, puis il se redresse, à bout de souffle et le corps secoué de spasmes. Quand ça se calme, il s'essuie la bouche et se met à rire:

- Rhâââ ! Puu…taiiin ! Tu … je … 


Il me regarde et secoue la tête comme s'il était sidéré de ce qui vient de lui arriver. Je croise les mains sous ma nuque et je lui souris:

- C'était bien, on dirait …


Il reprend doucement ses va et vient en me caressant mécaniquement les cuisses. Il me regarde et secoue encore la tête:

- Rhââ, putain, oui, c'était bien ! Putain … t'es une … t'es une vraie … Putain, ce cul !


Cricri s'est encore rapproché. Visiblement, il attend son tour, il est prêt à prendre la place de Robert, et ça urge ! Je balance entre l'envie de sentir Robert continuer de jouir de son sexe dans mon cul et la nécessité d'accueillir rapidement Cricri pour qu'il se vide en moi.

- T'as fini, Robert ?

- Rhââ ouais !

- Bon, alors, s'il te plaît, laisse la place à Cricri. Là, je sens qu'il va répandre sa jute par terre. 


Il regarde Cricri et hoche la tête "OK". Je dénoue mes jambes d'autour de lui, et:

- Allez, Cricri, à toi ! 


Cricri se précipite pendant que Robert s'écarte. Je n'ai pas le temps de passer mes mollets derrière lui. Il est entré directement en moi et, immédiatement, il jouit en gémissant ! Il était plus que temps ! Instinctivement, le gamin a saisi l'arrière de mes genoux et il maintient mes cuisses à la verticale. Il gémit en me donnant des petits coups de bite dans le cul. Son regard stupéfait passe alternativement de mon visage à notre coït, comme s'il était abasourdi de ce qu'il est en train de faire . Il pousse des petits « Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! ».


- C'est bien, mon Cricri ! Qu'est-ce tu lui fous dans l'cul, à c'te salope !


Gégé, évidemment ! Je tourne la tête. Il a quitté l'évier où il appuyait ses fesses, et il s'approche de moi, comme Diego, il y a un instant. Il va vouloir que je le suce. En effet:

- Tiens, toi ! Suce-moi la queue !


Un main qui enserre sa bite sous les couilles et l'autre qui empoigne sa verge, il tend son ventre vers moi, un rictus sur le visage. Son gland est tellement gonflé de sang qu'il est légèrement bombé. Comme ça, il ressemble encore plus à un champignon. Celui-là, dans l'état d'excitation où il est, il va sûrement jouir au moindre contact ! Il n'aura sans doute pas le temps de venir me saillir et me remplir le cul. Mais ça ne fait rien, qu'il me crache sa jute dans la gorge ! Au moment où j'ouvre la bouche pour ingurgiter cette chose, je sens Cricri commencer à se retirer. Il a fini de jouir. Alors, je me tourne précipitamment vers lui:

- Reste dedans Cricri !


Trop tard, sa bite est sortie dans un bruit de gargouillis. J'insiste:

- Remets-la moi, ta queue, Cricri. Reste au chaud pendant que je suce Gégé.


Il ricane et je le devine qui prend sa bite dans la main et qui la guide vers mon cul. Voilà, il est dedans, sans doute un peu mou, mais ça ne fait rien, il recommence même à aller et venir.

- Ouais, c'est bien comme ça, Cricri. Merci.


Je me tourne vers Gégé:

- Je vais te sucer à fond, Gégé. Je veux que tu me jutes dans la bouche.

- Nan nan nan ! Tu m'suces, mais après, j'vais te tirer dans l'cul !


On verra, mec, si je n'arrive pas à te faire jouir dans ma gorge. Je bâille et j'enfourne cette chose. Putain, quel drôle d'engin ! Je n'ai pas besoin de bouger, c'est lui qui, aussitôt, entreprends de me baiser la bouche. Je n'ai finalement qu'à me concentrer sur ce qui se passe, me contenter d'augmenter et réduire la pression de ma langue sur son gland et laisser Gégé décider du rythme et de la profondeur de ses va et vient. Je sens encore son gland se courber quand il l'enfonce, mais comme il est plus gonflé et plus dur que tout à l'heure, il se replie moins. Je le sens aussi se retourner un peu quand il repart en arrière, mais surtout, je sens sa couronne frotter, et presque racler mon palais et ma langue ! Putain, à ce régime, si il ne prend pas son pied vite fait …


Mais non. Il tient le coup, l'animal ! A lui aussi, je passe ma main sous ses couilles et je prends ses petites olives dans ma paume. 

- Tourne-le sur le côté, Cricri !

- Hein ?

- Tourne-le, j'te dis ! Qu'y soye face à moi … pour que j'y bourre sa gueule !


Je vois ce qu'il veut. Alors, de moi-même, je bascule mes jambes de son côté tout en tournant mon bassin et mon torse face à lui. Gégé:

- Ouais, comme ça. R'tiens-lui les jambes, Cricri ! Qu'elles tombent pas de la table.

- …

- Et refous-lui ta bite. Y d'mande que ça !


Je sens que Cricri me remet sa bite, qui était sortie pendant la manœuvre. On dirait qu'il s'est un peu raidi. Il pose ses deux main sur ma cuisse et se remet à aller et venir. De son côté, Gégé me prend la tête à deux mains, une sur le dessus du crâne, et l'autre sous le menton:

- Tu veux d'la bite ? J'vais t'en donner, moi, d'la bite !


Et c'est un vrai festival !  Il me bourre littéralement la gueule, comme il dit, alternant des grands coups de reins ponctués de « Tiens ! Tiens ! Tiens ! » dents serrées, et des va et vient plus lents, plus doux, presque lascifs, accompagnés de « C'est bon, comme ça, hein ? Tu l'aimes, la bite à Gégé, hein ? ». Du coin de l'œil, j'aperçois Diego et Robert qui se sont placés un peu en retrait de Gégé, de façon à ne rien manquer de ce coït buccal. Je remarque que si elles ne sont plus raides, leurs bites pendent quand même, encore un peu gonflées, comme si ce spectacle les titillait pas mal. L'autre est tout content de leur montrer de quoi il est capable. Soudain, la pression de ses mains sur mon visage se fait plus intense, il m'enfonce brutalement sa queue au fond de la gorge et il s'immobilise, essoufflé, en poussant des grognements. Putain, je l'ai eu, il va jouir ! Je sens son gland contre ma luette, presque contre mes amygdales ! 


Allez ! Vas-y, jouis, putain ! Mais non, pas le moindre spasme. Ses couilles ne remontent même pas, comme quand elles s'apprêtent à lâcher leur semence. Et il se recule lentement:

- Ha ha ! Tu y'as cru, hein !


Et ça recommence: alternance de "boum ! boum ! boum ! " «Tiens ! Tiens ! Tiens ! », et de phases plus lentes. Je commence à avoir une crampe dans la mâchoire et ma salive s'écoule toute seule sur ma joue et sur le coussin sous ma tête. Et soudain:

- Casse-toi, Cricri ! J'vais y foutre ma bite dans l'cul !


Il extrait sa bite de ma bouche d'un seul coup, et, en la pressant dans sa main, il se précipite vers mon cul. Cricri a juste le temps de dégager. Au passage, Gégé passe son autre main sous mes genoux et me fait pivoter pour me remettre sur le dos. De moi-même, je relève mes jambes et le voilà contre moi. Lubrifié comme je suis par les spermes de Diego, Robert et Cricri, il n'a aucun mal à introduire d'un seul coup son espèce de piston dans mon fourreau. Il s'enfonce en moi d'un grand coup de reins, et reste plaqué à moi, tenant mes jambes écartées, ses deux mains sous mes genoux. Tête un peu rejetée en arrière, bouche grande ouverte, yeux révulsés, il jouit en râlant:

- Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaaaaaaaaaaah !


Voilà, c'est fini. Il redresse sa tête, ferme sa bouche, déglutit, rouvre les yeux, me donne quelques petits coups de bite, et:

- Ah, putain ! Quel panard ! Alors ? Qu'est-ce que j't'avais dit ? J't'ai pas tiré dans l'cul ?

- Si. Viens là. Je vais te nettoyer la queue, comme à Diego.

- Putain, t'es vraiment la plus grosse salope que j'ai …


Il s'arrête là. Des salopes, il n'a pas du en baiser tant que ça. J'insiste:

- Allez, viens !


Il s'extrait:

- Nan, nan. Ça va comme ça. Tu touches plus à ma bite.


Il est déjà en train de refourrer son gros gland comme il peut dans son prépuce. Il ne va pas se laver ? Les quatre se regardent en souriant. Je me redresse et je m'appuie sur les coudes, jambes pendantes. Je sens une mixture tiède s'écouler de mon cul, et je l'entends tomber en grosses gouttes visqueuses sur le carrelage. Cricri est déjà en train de récupérer ses vêtements éparpillés dans la cuisine. Diego se dirige vers le salon, suivi de Robert et de Gégé. Fin de séance ? Je m'apprête à descendre de la table quand je m'aperçois que Jean-Louis, s'effaçant pour laisser les autres passer dans le salon, me regarde intensément. Une main appuyée au chambranle de la porte de communication, il me demande:

- Ça va ?

- Oui. 

- Ils t'ont tous …

- Baisé ? Oui. Tu as regardé ?

- Euh … un peu.

- Tu veux ?

- Hein ?

- Tu veux aussi me baiser ?


Il baisse les yeux. Mais il ne dit pas non, comme tout à l'heure. Il en a envie. Aussitôt, par réflexe, je baisse les yeux sur son bas-ventre. Rien de spectaculaire. Il bande, ou il ne bande pas ? Je lui lance:

- Viens, Jean-Louis. Approche.


Il hésite et entre dans la cuisine, mais reste à bonne distance.

- Approche, Jean-Louis. Je ne vais pas te violer.


Il fait encore deux pas.

- Alors, tu as envie de me baiser ?


Il hoche la tête: oui, il a envie de me baiser.

- Et ben, viens, alors. Je suis ici pour ça, me faire baiser. Profites-en. Tu veux aussi me baiser ici ?

- Oui, mais pas …


Il jette des coups d'œil inquiets vers la porte du salon. Compris ! Il ne veut pas faire ça devant les autres.

- Vas-y, ferme la porte.


Il pousse la porte de communication, et, aussitôt, Robert et Gégé se pointent avant qu'il ait eu le temps de la fermer complètement. Robert:

- Qu'est-ce tu fous, mec ?

- Je …


Gégé:

- Wo, le frangin ! Tu veux te l'faire aussi ?


Et, s'adressant à moi en repoussant la porte:

- Tu vas pas te laisser baiser par ce taré ? ! ? ! 

- Si. Je vais me laisser baiser par ton frangin. Vous y avez tous eu droit, et j'en ai envie.

- Ouais, ben on r'garde, alors.

- Non.


Je sens que Jean-Louis préférerait renoncer plutôt que d'affronter Gégé. Alors je descends de la table (ça me coule, tiède et gluant, le long des cuisses), je repousse Gégé et je ferme la porte:

- Tu nous fous la paix, Gégé ! Vu ?


Il a un rictus de dépit, mais comme il me sait plus costaud que lui, il n'insiste pas. Pour plus de tranquillité, je chope une chaise et je la coince sous la poignée. C'est symbolique, mais je pense que ça le découragera d'insister. Je traverse la cuisine pour fermer l'autre porte, qui donne sur le couloir. Je m'apprête à la bloquer de la même façon, mais celle-ci est dotée d'un loquet. Ça ira. Dans le salon, j'entends des éclats de voix. Je ne comprends pas ce qui se dit, mais je reconnais les intonations de Gégé et le bourdonnement plus sourd de Diego. J'ai l'impression que le premier s'en prend à nous et que l'autre essaie de le calmer. Je m'approche de Jean-Louis et sans avertissement, je lui colle mes deux mains sur le bas ventre. Surpris, il a un mouvement de recul, mais je me colle à lui. Oui, on dirait qu'il a un début d'érection. 

- Tu veux me baiser comme eux, sur le dos ?

- Euh, non. Je veux pas que tu me regardes.

- Je peux fermer les yeux.

- Non, non. Dans … dans l'autre sens …


De son index dressé, il dessine un cercle. Vu: 

- Tu veux me prendre debout, en levrette ?

- Oui, de… debout, par derrière.

- Tu veux que j'aille me laver le cul ?

- Nan. 

- Ça te dérange pas de me baiser dans le … dans le sperme des autres ?


Il s'écarte un peu, fouille dans sa poche et en sort une pochette de capote qu'il m'exhibe fièrement:

- Je … j'ai fouillé dans ton sac. Cricri m'avait dit que t'avais des capotes. Je m'excuse …

- Tu as bien fait. Tu as déjà mis une capote ? Tu veux que je te la mette ?

- Non, je sais comment on fait.

- Bon, déshabille-toi.

- Je … me regarde pas, s'il te plaît. Mets-toi sur la table, maintenant.

- Comme tu veux.


Je pose mes deux mains sur le bord du formica, j'écarte les jambes, je me cambre et j'attends. Dans le miroir au-dessus de l'évier, je le vois jusqu'au niveau des épaules. Il baisse la tête et semble s'affairer. Il doit être en train de déballer sa bite, mais apparemment, il garde son pantalon. J'aurais bien aimé la voir, cette bite, quand même. Mais je ne veux pas le gêner. Je l'entends déchirer la pochette de plastique. Il la pose, vide, sur la table. Encore cinq secondes, et je le vois se redresser dans le miroir. Visiblement, il regarde mon cul, embarrassé:

- Je … comment …

- Tu veux que je reste comme ça, ou tu préfères que je me penche davantage ?

- Nan, comme ça, c'est bien.

- Alors, vas-y, mets-moi ta bite dans le cul, et après, prends-moi par les hanches.

- Ah, OK.


Je sens quelque chose tâtonner aux abords de ma rondelle. Je me cambre autant que je peux. Ah, voilà, il entre. Très lentement. Une main sur ma hanche gauche. Une main sur ma hanche droite. Il halète. Déjà ! Je sens que ça va aller très très vite. D'un seul coup, il me pénètre en se collant à moi, m'enserre de ses bras et me colle … sa joue contre la nuque:

- Aaah ! Aaah ! Aah ! Aaaaaaaaaaaaaaaah !


Il a joui. Il déglutit et respire bruyamment. Je sens sa poitrine bouger contre mon dos au rythme de sa respiration. Putain, je me suis fait niquer par les trois frangins ! Je lui caresse les avant bras, croisés sur mon torse:

- Ça va, mec ?

- Ouiihhh !


Seulement un souffle, son "oui". Nous restons un moment comme ça. Puis il desserre son étreinte et s'écarte de moi en laissant sa bite sortir toute seule.

- Attends ! Te retourne pas tout de suite.


Ah bon ! Qu'est-ce qu'il faut ?


- C'est bon, vas-y.


Je me retourne. Il a déjà remballé sa bite, et il tient sa capote en me regardant d'un air interrogatif. Il ne sait pas quoi en faire. Je la lui prends des mains:

- Tu as déjà remballé ta bite ! C'est frustrant, j'aime bien voir par quoi je me fais baiser. Montre-la moi !

- Non.

- Si ! Tu m'encules et tu tires ton coup dans mon cul, alors tu me montres ta bite !


Je pose la capote sur la table et je m'attaque à sa braguette. Résigné, il se laisse faire, mais détourne le regard. Je descends son zip, j'écarte les pans de son pantalon – il s'empresse de les agripper pour l'empêcher de tomber sur ses genoux -, et je baisse la ceinture de son caleçon sous son paquet. Pas mal ! Sa bite a un air de ressemblance avec celle de Cricri. Elle est encore un peu gonflée. Je m'accroupis, j'approche mon visage et je pose un baiser sur son prépuce:

- Mffff ! Merci, toi, la bite à Jean-Louis.


Et je prends son gland dans ma bouche. Hhhhhmmm ! Je sens qu'il est surpris, qu'il a un mouvement réflexe de recul, mais il se laisse faire. Je joue un peu à tournicoter ma langue autour de son gland, puis je le recrache et je me relève. Sa bite dans ma main, je le tripote un peu, et:

- Elle me plaît bien, ta bite, Jean-Louis. J'aurais bien aimé te tailler une pipe.


Il ne sait pas quoi répondre, détourne le regard. Je le lâche et il s'empresse de se rhabiller. Je débloque les deux portes de la cuisine. Dans le salon, il n'y a plus que les trois adultes. Cricri est parti. Robert et Diego sont vautrés dans la banquette et je suis accueilli par Gégé qui attendait, debout derrière la porte:

- Alors ! Ça y est, t'es content, il t'a niqué ?

- Oui.

- Ça m'étonnerait, il est impuissant !


Je pense qu'il dit ça par pure méchanceté, mais je lui exhibe quand même sous le nez la capote avec sa dose de sperme:

- No comment, hein, Gégé !

- Ouais, ben lui aussi, il était puceau.

 

Je me tourne vers Jean-Louis, interrogatif:

- T'étais puceau ?

 

Il baisse le nez, ne répond pas. C'est clair, lui aussi était puceau ! Ah la vache, j'ai dépucelé trois mecs aujourd'hui ! J'ai le pucelage de trois mecs dans le cul ! Gégé tousse et ricane:

- Tu vois ? Il était puceau, j'te dis ! Bon, c'est pas tout ça. Avec Diego et Robert, on en a parlé: quand est-ce tu reviens te faire baiser ?

- Oh la la ! J'en sais rien !

- Pour nous, hein, c'est quand tu veux ! Tu peux même venir habiter chez Robert. Il est d'accord.

- Ça, c'est pas possible. 

- Ben pourquoi ? Tu s'rais not' p'tite femme, tu f'rais la bouffe, la vaisselle, le ménage, t'as l'air d'aimer ça. Et nous, en échange, on t'niquerait.


Je ne peux pas lui dire que c'est une de mes fantasmes, encore inassouvi. Vivre avec trois, quatre, cinq mecs, ou plus, et être à leur disposition vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept pour qu'ils me tirent quand ils en ont envie. Mais pas avec ces cinq là ! Ces cinq là, il est possible que je revienne me les taper le jour où je serai en manque, mais c'est tout. A la rigueur, peut-être même qu'un de ces jours, je les emmènerai dans le jardin public où j'ai rencontré Robert, pour qu'ils me baisent dans leur taillis de troënes. Gégé m'a lancé sa proposition sur son ton habituel de débiteur de conneries, mais Robert et Diego me regardent intensément en hochant la tête, comme pour approuver et valider ce que m'a dit leur pote. Ils attendent vraiment que je réponde à cette proposition ! Jean-Louis aussi, adossé au mur.

- Non, les mecs ! Vous êtes gentils, mais ne rêvez pas. Je reviendrai peut-être un de ces jours pour que vous tiriez encore un coup, mais habiter ici, c'est niet !

- C'est vrai ? Tu r'viendrais ?

- Peut-être. Je sais pas. Si un jour je suis en manque, pourquoi pas …


Ça a l'air de les satisfaire. 

- Bon, les mecs, c'est pas que je m'ennuie, mais je vais vous laisser.


Robert:

- Tu … tu veux pas monter à la salle d'eau ?

- Non. C'est gentil. Merci.

- Mais … t'es … plein de …

- Oui, je sais. Ça me coule sur les cuisses, même. Tenez, regardez !


Je glisse ma main entre mes cuisses et je la leur montre, luisante de sperme.

- Mais j'aime bien. Je vais rentrer comme ça.


Ils sont sciés. Je me lèche les doigts, puis je récupère ma jupe sur le dossier de chaise où je l'avais mise à sécher, et je la remets. Je cherche mon string des yeux. Il me semble que, ce matin, je l'avais enlevé là, au pied de la banquette:

- Vous n'avez pas vu mon string ?


Ils se regardent en se marrant. J'insiste:

- Vous savez où il est ?


C'est plus fort que Gégé, il montre Robert du doigt:

- C'est lui ! Il te l'a piqué et il l'a foutu dans sa poche. Il nous l'a montré, tout à l'heure !


Robert rougit, essaie de nier, mais, devant la poilade de ses potes, il finit par fouiller dans sa poche:

- Tiens ! Le v'là !

- Garde-le, Robert. Je te le donne, j'en ai plein d'autres.

- Ah bon ! OK. Ben merci, alors.

- Bon, ben salut, les mecs. J'ai été ravi. Je vous laisse la vaisselle et le rangement, hein. J'ai passé une très bonne journée. Merci à vous.


Ils n'en reviennent pas que je les remercie. Je leur serre la main. Robert et Diego se lèvent de la banquette, et tous les quatre me suivent jusqu'à la porte du pavillon. Je tire un peu sur le bas de ma jupe, pour cacher ma bite autant que possible, je traverse le bout de jardin, je sors et je me dirige vers ma voiture. Ce n'est qu'une fois assis au volant que j'aperçois, derrière la grille d'un pavillon de l'autre côté de la rue, la voisine au chien qui m'avait déjà surpris ce matin. Robert va encore devoir trouver une explication fumeuse. Je démarre et je donne une série de petits coups de klaxon à l'intention de mes quatre lascars agglutinés sur le perron et qui me regardent m'éloigner, hilares.


En chemin, je sens la mixture de mes donneurs de sperme s'écouler sous moi, souillant et ma jupe et mon siège. 


Au moment où j'arrive dans mon village, je vois la voiture de Yolaine, ma voisine, s'engager devant moi, dans notre rue. Elle doit rentrer du travail. Décidément. On est parfois dix ou quinze jours sans se croiser, et là, deux fois coup sur coup à deux jours d'intervalle ! On va arriver en même temps dans notre cour. Cette fois, contrairement à samedi, pas besoin de réfléchir si je me montre à elle en travelo, ou pas. C'est fait, elle est au courant. La question, c'est « Aujourd'hui, va-t-elle vouloir que je lui bouffe la chatte ? ». Nous entrons dans la cour l'un derrière l'autre. Elle se gare devant sa porte. Je me gare à côté d'elle. Je descends et, comme avant hier, j'ouvre ma portière arrière pour récupérer mon baise-en-ville, lui montrant encore une fois mon cul. Quand je me retourne, elle me jette un coup d'œil, et reste dans sa voiture, faisant je ne sais quoi sur le siège passager à côté d'elle. J'attends. Je suis sûr qu'elle fait semblant et attend que je rentre chez moi. Elle veut m'éviter. Si tu veux jouer à ça, ma cocotte, très bien. Je m'approche de sa voiture, côté passager, et je frappe à sa vitre. Elle fait semblant de ne pas m'avoir remarqué. J'insiste, plus fortement. Elle lève es yeux. Je lui fais signe de baisser sa vitre. Excédée, elle actionne la commande. 

- Bonsoir, voisine.

- Oui, bonsoir.

- Vous allez bien ?

- Oui.

- Moi aussi, merci.


Elle hausse les épaules:

- Vous voulez quoi ?

- Cinq.


Je lui montre ma main gauche, paume tournée vers elle, doigts écartés.

- Quoi, « cinq » !

- Cinq mecs ! Je me suis fait cinq mecs, aujourd'hui. J'en reviens. C'était vachement bien …


Elle actionne son lève-vitre électrique pour refermer. Je me dirige vers ma porte. Son petit manège pour m'éviter étant devenu inutile, elle descend à son tour. Quand je me retourne, elle est devant sa porte et me regarde, comme si elle s'apprêtait à me dire quelque chose. Et puis elle semble se raviser, et rentre chez elle. Et moi chez moi.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Vendredi 7 octobre 2016 5 07 /10 /Oct /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Lundi 3 octobre.

Ce matin, j'ai atterri à L.F., chez ce paumé de Robert. Gras, moche, pas très net, c'est tout ce que j'ai pu trouver pour calmer ma fringale de bite. Mais au fond, je m'en fous, je suis comme un junkie en manque et prêt à se faire un shoot avec la première seringue qu'il aura sous la main, même crade, même rouillée, même contaminée. Voilà, c'est ça, je suis un junkie de la queue et pour avoir ma dose de sperme, mon injection de semence, mon shoot de foutre, peu m'importe l'aspect de la queue qui me piquera.

 

Pour le Robert en question, je suis une occase: sans qu'il ait besoin de draguer une nana, de la conquérir ou de la convaincre de coucher, ou même de payer une pute, je suis tombé tout rôti dans son plumard. En fait, ce type n'avait jamais baisé et ne s'était jamais fait sucer. Alors, quand j'ai pris sa bite dans ma bouche, ça a été trop pour lui, il a joui immédiatement. Après, j'ai réussi à le motiver suffisamment pour qu'il me baise dans sa chambre. 

 

Entre temps, Gégé, un de ses potes de branlette, avait débarqué sans prévenir, et s'était imposé en pensant pouvoir me baiser, lui aussi. Très bien, moi, me taper deux mecs au lieu d'un, ça me va. Pendant que Robert me faisait mon affaire à l'étage, le Gégé est allé chercher son jeune frère Cricri (seize ans, et une bite plus qu'intéressante) ainsi qu'un type plus vieux, Diego. Ce Diego fait un peu moins "paumé" que les autres. Je me demande si il fait partie de la bande de branleurs qui zone avec Robert et Gégé dans le jardin public au bord de la rivière. Evidemment, Gégé l'a invité, ainsi que son frère, pour leur faire profiter, eux aussi, de l'occasion (l'occasion, en l'occurrence, c'est moi !). Alors, encore mieux: quatre bites à soulager, alors que je n'étais venu que pour une, c'est le pied. 

 

Bref. Quand Gégé a déballé, ça queue, j'ai eu LA surprise de l'année. Sa bite, c'est un truc … je n'avais jamais vu ça: un gland large et tout plat au bout d'une verge plutôt mince. Très bizarre. Ça me fait penser à un sexe d'animal. Presque monstrueux. Je me suis empressé de le sucer. Un effet terrible, dans la bouche ! Et pendant que je le pompais, son petit frère, Cricri, m'a enculé. Puceau, mais plutôt bien monté, ce môme. En tout cas, contrairement à son frère, il a une bite normale. Bon, maintenant, il n'est plus puceau puisque, il y a un instant, il m'a enculé et il m'a inséminé. 

 

Maintenant, c'est le tour de Gégé. Il veut me baiser comme son frère, en levrette, mais lui, c'est debout contre la table de la cuisine qu'il veut me prendre. Lui et moi, on a essayé en vain de lui enfiler une capote sur sa monstrueuse queue, et on a fini par renoncer. Entre temps, il m'a expliqué qu'à la suite d'une bagarre en taule – oui, il a fait de la taule. Je ne sais pas pourquoi, mais ce n'est pas ça qui m'intéresse, pour le moment – il a dû faire des test pour s'assurer qu'il n'était pas contaminé. Ouf, il est sain, et il va pouvoir, lui aussi, m'injecter sa semence.

 

Pendant qu'il se débat avec son jean qui se coince dans ses tennis qu'il n'a pas enlevées, je lui tripote la queue. Je m'agenouillerais bien pour lui sucer encore son drôle d'engin ! Putain, il va me fourrer avec ce truc-là ! Je me demande quel animal pourrait bien avoir une queue dans ce genre. Je remarque que ses couilles sont proportionnées à sa verge, pas très grosses et en forme d'olives, très allongées, et elles pendent beaucoup. J'adore. Quand il a fini de se déshabiller, je me retourne, je retrousse bien ma jupe, je m'appuie des deux mains sur la table et:

- Vas-y, BAISE-MOI !

 

D'une main, il se cramponne à ma hanche et, de l'autre, il guide ce qui lui sert de bite vers mon fourreau. Comme il est plus petit que moi, j'écarte bien les jambes et je les fléchis légèrement. Je le sens plaquer son gros gland tout plat contre ma rondelle, poser sa deuxième main sur ma hanche, et pousser. Pour la première fois depuis longtemps, mon sphincter résiste à une tentative de pénétration ! J'empoigne mes fesses, et, bien cambré, je les écarte autant que je peux. De son côté, je sens Gégé se caler mieux sur ses pieds, se cramponner davantage à mes hanches, et pousser plus vigoureusement. Alors, je suppose que son gland se rabat sur sa verge, comme tout à l'heure pour entrer dans ma bouche, et il pénètre d'un seul coup dans mon cul. Du même élan, Gégé s'enfonce en moi jusqu'à ce que son ventre vienne buter contre mes fesses.

 

C'est un peu confus, là-dedans, mais j'ai l'impression qu'une fois passé le couloir étroit de mon sphincter, son gland s'est épanoui dans mon rectum, qu'il s'y est en quelque sorte "déployé", comme un parapluie qu'on ouvre ! Oh putain, ça y est, j'ai ce sexe monstrueux en moi. Je m'en suis fait fourrer de toutes sortes, des queues: des petites, des grosses, des énormes, des noires, des blanches toutes pâles, des fines, une ou deux tordues … mais un truc comme ça, c'est la première fois ! Y'a pas à dire, j'aurais vraiment dû amener un appareil photos. Je me mets à onduler du bassin, pour la sentir bouger dans mon cul. Je remarque tout de suite deux choses: déjà, vu que dans l'urgence, Gégé n'a pas ôté son blouson, je sens sa fermeture Eclair me chatouiller le flanc au rythme de nos mouvements; et ensuite, je sens à peine la verge de Gégé dans mon anus. Et pourtant, j'ai quand même l'impression d'avoir le rectum rempli. 

 

Gégé commence à se retirer lentement. Ah oui, putain ! Je sens que ça bouge, à l'intérieur, comme si … comme si … Une image s'impose alors à mon esprit; celle d'un hérisson, cette espèce de brosse, au bout d'un long manche, qu'on passe dans une cheminée pour la ramoner. C'est exactement ça: Gégé est en train de me ramoner ! "Se faire ramoner", j'emploie souvent cette expression pour imager un coït anal, mais c'est la première fois qu'elle s'applique d'une manière aussi appropriée. Quand on ramone une vraie cheminée, on passe dans les tuyaux qui ont servi à la tuber, un hérisson d'un diamètre un peu supérieur pour qu'il frotte et gratte bien les parois du conduit. Et bien là, c'est pareil: j'ai l'impression que le tour du gland de Gégé me racle les parois du rectum, comme le fait un hérisson dans une cheminée ! Et en plus, j'ai la sensation de me vider, comme quand des mecs très bien montés, comme Gabriel, ou Sam, ou le gros Thierry, se retiraient de mon cul. La verge de Gégé est fine, mais son gland fait aspiration, comme un piston. 

 

S'il a un physique différent de Robert, ce mec est un paumé du même genre. Je les imagine tous les deux sans travail, vivant d'aides et sans doute, pour Gégé, de trafics. Ils doivent passer leur temps à glander dans le jardin public où j'ai rencontré Robert, à y vider des packs de bière ou à picoler dans je ne sais quel troquet en ville. Mais lui, Gégé, sous son physique ingrat de gringalet nerveux, il dispose avec cette queue hors norme, d'un atout exceptionnel. A mes yeux, du moins, parce que je ne doute pas qu'une telle bite puisse répugner et même faire peur à n'importe quelle femme normalement constituée. Mais à moi, non. Au contraire. Là, à la manière dont il va et vient, lentement, consciencieusement, je pense qu'il contemple sa queue qui entre et sort de mon cul. Il remonte ses mains jusque sur mes épaules, me pousse un peu en avant, pour que je me courbe au-dessus de la table. Je m'accoude dans la crasse, les mains cramponnées à l'autre bord de la table, et il se met à aller et venir en commentant:

- Oh, putain, c'que t'es bonne, toi ! Tu la sens, ma bite ?

- Oui, je la sens même vachement bien, ta bite.

- Ça te plaît, comme je t'encule ?

- Oh oui. Je me suis jamais fait enculer par une bite comme ça. J'adore ! Vas-y, prends ton temps. BAISE-MOI !

 

Satisfait, il se concentre et commence à souffler et aspirer l'air bruyamment entre ses dents, les mains toujours agrippées à mes épaules. Il va et vient lentement, comme s'il dégustait chaque frottement de sa queue dans mon rectum. Mentalement, j'essaie d'imaginer ce qui se passe là-dedans, son gland tout rond qui se rabat, qui se "ferme" sous la pression  de mes chairs quand il s'enfonce en moi, son gland qui se retourne et se rouvre, qui s'épanouit quand il recule. Je passe une main derrière moi, je la plaque sur son pubis et, à tâtons, je cherche sa bite. Il s'immobilise. Je glisse mes doigts autour de sa verge, et j'ordonne:

- Vas-y, bouge !

- Oh putain ! Quelle salope !

 

Il se remet à aller et venir. Du bout des doigts, je sens sa bite entrer et sortir de mon cul. Il enlève ses mains de mes épaules, les descend jusque sur mes reins, remonte mon t-shirt sur mon dos et se met à me caresser les flancs, les omoplates … Je saisis sa verge entre mon pouce et mon index, et je la presse délicatement, la masturbant passivement au rythme de ses va et vient. Je lui demande:

- T'es bien, dans mon cul, Gégé ?

- Rhôôôôô … PU…TAIIIIIIIN ! J'ai jamais baisé une salope comme toi !

 

Oh oui, il a l'air d'être bien dans mon cul. J'entends un raclement de gorge dans la pièce d'à côté, comme si Diego cherchait à attirer notre attention. Il entend notre "conversation", et il a envie de venir voir ce qui se passe. Alors, je lui lance:

- Diego ?

- Oui ?

- Viens avec nous.

- Ça … ça te dérange pas ?

- Non. Viens.

- Gégé ? Ça te dérange pas non plus ?

- Ben …

 

Je lui coupe la parole:

- On s'en fout. Viens Diego !

 

Je tourne la tête vers la porte de communication. Diego apparaît, la bite dans une main et retenant son pantalon de l'autre. Il nous découvre en plein coït, s'arrête et contemple Gégé qui me lime consciencieusement. Y'a pas à dire, me faire saillir sous le regard d'un tiers, ça ajoute toujours un plaisir supplémentaire à un accouplement. Au bout d'un moment, il détourne les yeux et me regarde. D'un signe de tête, je lui fais signe de venir devant moi. Il ne se le fait pas dire deux fois. Tenant toujours son froc de la main gauche, il s'approche, se place devant moi. Je lâche la bite de Gégé et je tends la main vers celle de son pote. Il avance son ventre vers moi et lâche sa queue. Je la saisis. Pas mal: bien droite, assez longue, le gland un tout petit peu trop gros pour le calibre de sa verge, pas trop de poils, et au total, un organe agréable, sympathique … appétissant. Je le masturbe un peu, puis, levant les yeux sur lui:

- Je vais te sucer, Diego.

 

Il ne répond pas, me sourit. 

- Je vais te sucer, et j'aimerais bien que tu me jouisses dans la bouche. C'est possible ?

- Ben oui, évidemment.

- Je veux dire … je prends un risque, si tu éjacules dans ma bouche ?

- Un risque ?

- Oui. Un risque de choper une maladie ..

- Ah ! Non.

- Sûr ?

- Oui, sûr.

 

Je ne sais pas pourquoi, celui-ci m'inspire confiance. Derrière moi, Gégé a encore ralenti son va et vient. A mon avis, il regarde ce qui va se passer de ce côté-ci. Hhhmmmm, c'est terrible d'avoir déjà dans le cul un mec qui bande à mort, et de s'apprêter à en sucer un autre ! Tout en la masturbant, je regarde la queue de Diego. Toi, je vais te prendre dans ma bouche et je vais te faire beaucoup de bien en te suçant. Je vais te faire tellement de bien que tu ne pourras plus te retenir, et que tu me cracheras ta crème dans la gorge. Je descends mes doigts le long de sa tige en faisant coulisser la peau de sa verge jusqu'à sa base, tendant sa queue au maximum. Puis je passe mes doigts sous ses couilles et je les soupèse, je les fais rouler dans leurs bourses, je les pétris délicatement. Diego est tout raide, les veines de sa queue sont toutes gonflées, son gland est tendu, violacé et une goutte de fluide translucide perle à l'entrée de son méat.

- Approche encore un peu, Diego.

 

Tout en soulevant le bas de sa chemise, il avance. Voilà, j'ai le haut du crâne contre son abdomen. En soulevant sa queue, je bave sur son gland une bonne dose de salive que je l'étale du bout de la langue. Puis, empoignant sa bite, je me passe son gland tout autour de la bouche, sur les joues, sur le menton, jusque sur le front … Tout en me pressant sa queue partout sur la figure, je ne peux retenir un gémissement:

- Hhmmmmm ! Ta bite, Diego ! TA BITE ! Hhhhmmm ! Je la veux, ta biiite ! Je veux avoir vos deux bites dans moi, les mecs ! 

 

Il lâche son pantalon, le laisse s'affaisser sur ses genoux, déboutonne sa chemise et en écarte les pans, puis il me prend la tête à deux mains, délicatement. Quand je lève les yeux sur lui, tout en continuant de me passer son nœud chaud et humide sur le visage, je vois qu'il me fixe intensément, visiblement troublé et excité par mon comportement débridé. Gégé:

- Ah, la salope ! Ah, LA SA…LOOOOPE !

 

Et il accentue les coups de son sexe monstrueux dans mon cul. Alors, en gémissant de plus belle, je me mets à donner de vigoureux coups de langue sur la bite de Diego, sur son gland, tout le long de sa verge, dessus, dessous, et jusque sur ses couilles:

- Hhhhmmmm ! BAISEZ-MOI, les mecs ! Hhmmm Hhmmm Hhmmm ! BOURREZ-MOI ! DÉFONCEZ-MOI ! Hhmmm Hhmmm Hhmmm !

- Ah, quelle SA…LOOOOOPE ! QUELLE SA…LOOOOPE !

 

Brusquement, j'enfourne la queue de Diego dans ma bouche et je l'enfonce jusque dans ma gorge. Est-ce l'effet d'une telle excitation ? J'ai son gland qui me titille la luette, et je n'ai pas le moindre haut le cœur ! Je l'entends aspirer l'air violemment. J'entame une turlutte ardente, fiévreuse, hystérique, suçant, tétant, léchant, pompant cette bite tout en la masturbant. Je la sens palpiter dans ma bouche. A cet instant, j'aimerais que cette queue se mette à me déverser de la crème dans la bouche en continu. Je gémis, je geins, je couine du plaisir de sentir ces deux types en érection en moi, du plaisir de leur donner du plaisir, du plaisir de savoir que, dans un instant, ils vont tous les deux m'injecter leur semence, l'un dans le ventre et l'autre dans la gorge ! 

 

Mon excitation se communique aux deux mecs en train de me fourrer. Gégé me bourre maintenant moins rapidement, mais à plus grands coups de reins accompagnés de sourdes expirations, tandis que la pression des mains de Diego sur ma figure se fait plus forte et qu'il fait aller et venir son bassin d'avant en arrière, me baisant littéralement la bouche. Nous sommes tous les trois déchaînés. Gégé me pilonne tellement fort que nous bousculons la table qui commence à se déplacer sous moi. Soudain, je sens mes couilles effleurer le bord de cette table et ma bite se poser dans la crasse. Je réalise alors que, presque couché là-dessus pour sucer Diego et subissant les coups de boutoir de Gégé, je me suis peu à peu affaissé, mes pieds s'écartant insensiblement en glissant sur le carrelage crasseux. Je sens que je bande, que ma queue a bavé sur le formica un peu de fluide d'excitation dans lequel mon gland va et vient au rythme des coups de reins de Gégé. Au bord de l'orgasme, c'est maintenant un gémissement implorant qui jaillit de mon ventre: mes deux orifices quémandent, réclament leur shoot de semence. Je veux que ces deux mâles déversent leurs spermes en moi, je veux qu'ils m'en remplissent par les deux bouts, je veux que leurs liqueurs s'insinuent dans mes entrailles et dans mon estomac !

 

C'est Gégé qui craque le premier. Contrairement à beaucoup de mecs qui se collent à moi et s'immobilisent au moment de jouir, lui continue de me bourrer de grands coups de queue ponctués de:

- Aaah ! Aaaaaah ! Aaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaah !

 

Ça y est, je sens qu'il éjacule ! Malgré ses va et vient, je sens son membre tressauter en moi. Et presque immédiatement, j'entends des gargouillis s'échapper de mon cul. Sa bite brasse son sperme dans mon fourreau ! Alors, à mon tour, je jouis. Ma bite, pressée entre mon ventre et le plateau de formica, n'a pas pu résister plus longtemps à cette espèce de masturbation provoquée par les secousses de Gégé. Le souffle coupé, je suis obligé de recracher en urgence la queue de Diego, mais je continue de le masturber mécaniquement. Mon anus se contracte spasmodiquement sur la bite de Gégé. Il le sent:

- Ah ouiiii ! Putain, c'est bon, ça !

 

Il ralentit son va et vient, sans doute pour mieux percevoir les spasmes de mon anus sur sa queue. Je sens les jets de mon sperme s'étaler entre la crasse de la table et mon abdomen. Oh, putain, oui, c'est bon de prendre son pied en même temps que le mec qui me baise ! J'ai l'impression qu'il a fini d'éjaculer. Il se plie en deux et s'affale sur mon dos, le menton calé entre mes omoplates en soufflant comme un bœuf. Moi aussi, j'ai fini, mais contrairement à ce qui m'arrivait par le passé, avoir joui ne fait pas retomber mon excitation. Alors je glisse de nouveau la queue de Diego dans ma bouche et je reprends fiévreusement ma fellation. Il me tient toujours la tête à deux mains, mais il est encore plus raide qu'avant que je suspende ma turlute. Nous voir et nous sentir jouir, Gégé et moi, a ajouté à son excitation. Il ne bouge plus son bassin, mais il le tend en avant, le torse rejeté en arrière. Tant bien que mal, je lève les yeux sur lui. Le regard fixe, la bouche entrouverte, il contemple sa queue qui disparaît entre mes lèvres, qui réapparaît, redisparaît, réapparaît …

 

Je sens Gégé décoller son menton d'entre mes omoplates, se soulever un peu, et:

- Ah, la salooope ! Ah dis donc, t'aimes la bite, toi alors ! Quelle saloooope ! QUEEEELLE SALOOOOOOPE !

 

Les yeux à moins de vingt centimètres, il est aux premières loges pour me regarder sucer son pote. Et ça l'excite. Ou, du moins, ça lui évite de débander après son orgasme, et ça le maintient bien raide dans mon cul. Il se remet même à bouger légèrement, comme pour bien sentir sa queue au chaud dans ma viande. Hhhhhmmmm, oui, baise-moi encore, Gégé ! Je gémis, je geins … 

 

Et soudain, Diego accentue la pression de ses mains sur ma tête, et m'enfonce sa queue au fond de la gorge ! Il pousse un long « Rhââââââââââââââââhhhhhh ! » et je sens un premier jet de semence brûlante frapper ma luette et mes amygdales ! Oh ouiiii, il éjacule dans ma gorge ! Et toujours pas le moindre haut-le-cœur ! Bloquant ma respiration par une sorte de réflexe involontaire qui ferme ma trachée, je sens sa liqueur s'écouler directement dans mon œsophage. Je m'apprête à le sortir un peu de ma bouche pour recevoir le reste de sa jouissance sur la langue, mais il le fait de lui-même, et il continue d'éjaculer entre ma langue et mon palais. Hhhhhhmmmm, ce que c'est bon ! C'est tiède, c'est un peu salé et je sens quelques grumeaux caoutchouteux se coller à mes papilles. Je garde cette crème dans ma bouche, qui commence à s'insinuer jusque entre mes gencives et mes joues. Il grogne, il halète, le ventre pris de soubresauts incontrôlés. Enfin, l'étau de ses mains se desserre sur ma tête. Il se calme, souffle bruyamment et extrait délicatement sa queue de ma bouche. Je serre consciencieusement les lèvres sur sa verge, à la fois pour en extraire toute sa liqueur, et pour empêcher ce qu'il m'a répandu dans la bouche de ressortir et de me couler sur le menton. Il saisit sa queue entre son pouce et son index, et:

- Ah, la vaaaaache !

 

Et, tout en se recalottant, il se met à rire.:

- Ah, dis donc, Gégé, t'as bien fait de venir me chercher !

 

Me prenant par le menton, il demande:

- Et toi, alors, t'as tout avalé !

 

Je secoue la tête et je bâille: non, pas encore. Il se penche et regarde:

- Ah non. T'as tout gardé. Tu vas avaler ?

- Attends, attends ! Fais voir.

 

C'est Gégé qui veut voir. Il se redresse en s'appuyant lourdement sur mes reins, et je sens qu'il extrait lentement sa queue de mon cul. Je sens son gland passer en glissant le canal plus étroit de mon anus. Il se recule pour me laisser me redresser à mon tour. Je me retourne, je lui fais face et je bâille à nouveau:

- Ah ouais ! Il t'a mis la dose, hein, le Diego ! Putain, tu vas avaler sa jute ?

 

J'avale, je déglutis, puis je bâille à nouveau face à Gégé:

- Rhââ, putain ! Il a tout avalé ! Putain, Diego, il a avalé tout c'que tu y'as mis ! Ah la vache, t'aimes pas que la bite, toi  alors ! T'aimes aussi la jute !

- Oui.

- Oh, la VAAAACHE ! T'es … tu … tu t'prends des bites dans l'cul  et … et … et t'avales de la jute … t'es … tu … PUUUU …TAIIIIIIN !!!

 

Il n'en revient pas. Les idées se bousculent dans sa tête et il ne trouve plus ses mots. Diego a remonté son pantalon et est en train de refermer sa braguette. Je regarde Gégé tirer sur la peau de son prépuce pour remballer son gland. En un tournemain, il parvient à le faire rentrer dans cette poche qui semble pourtant bien trop petite pour contenir ce disque de chair improbable. D'un seul coup, il se tourne vers moi, comme si une idée venait de jaillir dans sa tête:

- Hé, mais … qu'est-ce tu fous, maintenant ?

- Comment ça …

- Ben ouais, Cricri t'a baisé, j't'ai baisé, Robert t'a baisé, et t'as sucé Diego. Alors, qu'est-ce tu fous, maintenant ? Tu te barres ? Tu … tu restes, ou quoi ?

 

Il a récupéré son caleçon et son pantalon et il se débat pour les remettre, toujours sans prendre la peine d'ôter ses tennis. Bon, je fais quoi, je me barre ou je reste ?

- Je sais pas. J'attends que Robert se réveille …

- Pour quoi faire ? Il t'a déjà baisé …

- Oui, il m'a baisé. Ben, je l'attends pour lui dire au revoir. A moins qu'il ait envie de recommencer …

- … de recommencer ? Tu veux dire … de t'baiser ? Tu r'commencerais si il avait envie ?

- Ben oui.

- Et nous, si on voulait r'commencer …

- Et ben, on recommencerait. T'as encore envie ?

- Nan, pas là, tout d'suite, mais plus tard …

 

Il regarde Diego. Ça carbure dans sa tête:

- T'en dis quoi, Diego ?

- Je … je sais pas … moi, j'veux bien recommencer, mais pas tout de suite non plus.

- Bon. Alors, on fait quoi ?

 

Autrement dit, dans l'immédiat, ils ne peuvent plus, mais ils ont bien envie de me garder "sous le coude" pour un peu plus tard. Une "fille facile" comme moi, qui ne demande qu'à se faire baiser par les deux bouts, c'est une occase à ne pas laisser s'envoler. Et moi, recommencer, évidemment, ça me dit. Alors:

- Alors ? J'attends que vous soyez de nouveau en forme, et on recommence.

- Tu … tu restes pour recommencer avec nous ?

- Oui.

 

Ils se regardent, incrédules. Pour les rassurer, j'insiste:

- J'ai toute la journée devant moi. Alors, si ça vous dit, on recommence cet après-midi, et en attendant, on se fait une bouffe.

- Une bouffe ? Ici ?

- Oui. T'as un meilleur endroit ?

- Nan, mais Robert, il va gueuler.

- Robert, j'en fais mon affaire. Vous, vous allez acheter de la bouffe. En attendant, je fais un peu de vaisselle et de rangement.

- De la bouffe ? Mais quoi comme bouffe ?

- A vous de voir. Mais, s'il vous plaît, pas de burger, de pizza ou de merde dans ce genre. De la vraie bouffe, quoi.

 

 Diego:

- Y'a le traiteur, devant la mairie.

 

Gégé:

- C'est lundi. Il est fermé

- Y'a la supérette. Ils sont ouverts le lundi et ils font boucherie.

- Ouais, mais moi, je sais pas faire la bouffe.

 

J'interviens:

- Moi, je sais. Vous prenez ce qui vous fait envie, et moi, je cuisinerai.

- Ah bon. OK.

- Et pensez au reste: pain, vin, légumes, fromage …

 

Ils me dévisagent. Gégé:

- Tu suces, tu te fais enculer, tu fais la vaisselle et le ménage … et en plus, tu sais faire la bouffe ? Tu veux pas te marier avec moi ?

 

Il ricane, content son bon mot, et:

- Dis, en plus, tu nous donnerais pas de la tune, pour acheter la bouffe ?

- Bon, allez-y, je vous attends.

 

Gégé, après avoir donné une petite claque dans le dos de son pote, se tourne vers moi:

- On y va, mec. Et toi, bouge pas, hein, on r'vient t'baiser.

 

Ils disparaissent dans le couloir et j'entends Gégé commenter « Putain, quelle salope ! Tu le crois, toi, une salope pareille ? ». Je ne distingue pas la réponse de Diego, mais à son ton, je comprends qu'il approuve le commentaire. J'entends la porte d'entrée se refermer. Je jette un coup d'œil circulaire dans la cuisine. La vache, quel bordel ! Par où commencer ? Déjà, faire de la place sur l'évier. C'est parti ! En rabattant ma jupe, je me rends compte qu'en jouissant, je l'ai souillée, et je sens le sperme dont je l'ai imprégnée se coller sur ma cuisse. Alors, je l'enlève et je la pose sur le dossier d'une chaise. Je tacherai de la nettoyer après. D'ailleurs, du sperme, j'ai l'impression qu'il m'en coule du cul. C'est ce que Gégé m'a injecté. Je monte à la salle d'eau ? Bof, en arrivant, tout à l'heure, j'ai vu une troisième porte au bout du couloir. Peut-être des chiottes. Yesss, c'est ça ! Ça va faire l'affaire. C'est crade et ça pue la pisse là-dedans. Peu importe, je me pose, je pousse un peu pour me vider et je m'essuie. Ça ira. Je passerai par la salle d'eau quand Robert sera réveillé.

 

Quand j'entreprends de vider les restes de fayots à moitié pourris qui traînent dans une casserole, je m'aperçois que la poubelle est plus que pleine. C'est elle qui dégage la puanteur qui règne dans cette cuisine. Je ferme comme je peux le pochon de supermarché qui sert de sac poubelle et je le porte jusque sur le perron devant l'entrée. Au moment où j'ouvre la porte, cul nu et la bite à l'air, une mémère qui promène son chien passe devant la maison. A ma vue, elle ouvre de grands yeux et détourne brusquement la tête. Pour la discrétion à laquelle Robert semblait tant tenir, c'est foutu !

 

J'essaie d'aérer, mais la fenêtre me résiste. J'ai l'impression qu'elle n'a pas été ouverte depuis des lustres. Je m'aperçois aussi qu'un des carreaux est cassé et qu'il a été remplacé par un bout de carton. A force d'insister, je parviens à ouvrir. Ouf, on respire, dans ce taudis. Je mets à tremper les casseroles et les gamelles les plus encrassées et je commence à laver le reste. C'est alors que Robert, enfin réveillé, déboule dans la cuisine. Dans le miroir au-dessus de l'évier, je le vois regarder autour de lui, l'air hébété et de mauvais poil :

- Ben, qu'est-ce que c'est ce bordel ? Et qu'est-ce tu fous, l'cul à l'air ?

- Tu vois, je fais la vaisselle.

- Ben pourquoi ?

- Elle en avait besoin. Tu crois pas ?

- Mouais … mais pourquoi t'as l'cul à l'air ?

 

Je le vois qui se dandine derrière moi, les yeux braqués sur mon cul.

 

- J'ai joui sur ma jupe. Tiens, regarde, elle est là.

- T'as joui ?

- Oui. On a baisé avec Gégé.

- T'as baisé avec Gégé ?

- Oui. Et avec son petit frère et un certain Diego. Tu connais ?

- Avec Cricri ? Ouais, Diego, j'le connais … c'est l'aut' con d'Gégé qui les a ramenés, j'suis sûr.

- Exact. Il est allé les chercher pendant qu'on était dans ta chambre, toi et moi.

- Mais pourquoi … pourquoi ils t'ont … pourquoi t'as fait ça ?

- Pourquoi j'ai baisé avec eux ? Enfin, c'est plutôt eux qui m'ont baisé. Ben j'en avais envie, tout simplement. Ça te gêne ? J'espère que non, parce qu'on va recommencer.

- Vous allez recommencer ? Il s'est pas barré, l'autre con ?

- Si, il s'est barré, mais il va revenir. Diego aussi, d'ailleurs.

- Ils sont partis où ?

- Ils sont partis acheter à manger.

- A manger ?

- Oui, on va manger …

- Ici ?

- Oui…

- Ouais, ben moi, j'leur fais pas à manger !

-  Personne te demande de leur faire à manger. C'est moi qui vais cuisiner.

- Ah bon ?

 

Aussitôt, toujours dans le miroir devant moi, je le vois sourire. La perspective de manger semble le mettre de meilleure humeur. Du coup, il se met à mater mon cul d'un autre œil, plus lubrique. Il lève les yeux, réalise que je le vois dans le miroir, et il me sourit. Je lui lance:

- Approche.

 

Il ne se le fait pas dire deux fois. Le voilà derrière moi. Il me plaque ses deux mains sur les fesses. Alors ça, me faire tripoter quand je suis occupé à la vaisselle, j'adore ! Le yeux baissés sur mes reins, il me palpe les miches, il me les pétrit. Tout en continuant de récurer des assiettes, je me laisse peloter un petit moment. Puis je sors mes mains de la bassine, j'attrape un torchon pas très propre, accroché à côté de l'évier, et je me sèche grossièrement. Je raccroche le torchon et je passe mes mains derrière moi. Il écarte les siennes, comprenant immédiatement où je veux en venir. Mes paumes sur la toile de son pantalon … sur son ventre … sur la bosse que fait sa queue … sa bite, déjà un peu gonflée … hhhmmmm, il commence à bander !

- T'as encore envie de m'enculer, Robert ?

 

Il ne répond pas. A tâtons, je cherche la ceinture de son pantalon, je glisse une main dedans, puis dans son caleçon, et je trouve sa queue. Hhhhhmmmm ! Toute chaude, toute douce sous mes doigts, déjà bien gonflée, mais pas dure, pas raide … j'aime beaucoup tripoter une bite dans cet état. C'est comme un jouet en caoutchouc. Je la saisis et je commence à la masturber en prenant garde de ne pas la décalotter. Je sens qu'elle bave un peu contre mon poignet. Alors là, je ne peux pas résister plus longtemps ! Serrant toujours sa bite dans ma main, je me retourne et, dans le même mouvement, je m'accroupis devant lui. De mon autre main, je descends d'un seul coup les ceintures de son pantalon et de son caleçon sous ses couilles. Et la voilà ! Hhmmmm ! Elle est toujours aussi quelconque, mais cette bite qui commence à bander, le gland presque entièrement caché dans son prépuce, je trouve ça à la fois attendrissant et excitant. Une goutte translucide perle à l'entrée de son méat, et le peu de son gland qui dépasse de son prépuce est humide et luisant de mouille. Je pose le bout de mon index sur cette goutte d'excitation. Quand j'éloigne mon doigt, elle s'allonge en un long fil visqueux que j'étire jusqu'à mes lèvres. Je l'aspire délicatement pour ne pas le rompre, tout en approchant ma bouche de ce sexe. D'un coup de langue, je nettoie tout ce fluide qui commence maintenant à couvrir jusqu'à la bordure de son prépuce, tant son excitation augmente. Alors, serrant mes doigts sur sa verge, j'en fais coulisser la peau vers son pubis et, au fur et à mesure qu'elle se décalotte, j'enfonce sa bite dans la tiédeur humide de ma bouche. 

 

Tandis que je me cramponne au tissu de son pantalon pour ne pas perdre l'équilibre, Robert me saisit la tête à deux mains. C'est bien, presque tous les mecs me font ça, sans que j'ai besoin de leur demander. J'adore ! Je commence à faire aller et venir ma bouche sur son membre. Il durcit entre ma langue et mon palais. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Sentir un mâle prendre du plaisir comme ça dans ma bouche, ça me … ça me trouble, ça m'émeut, ça m'excite, ça me comble. Définitivement, je suis fait pour ça, donner du plaisir aux mâles. A la pression incontrôlée de ses mains sur mon crâne, à sa respiration de plus en plus bruyante, aux mouvements erratiques de son bassin, je sens que son excitation augmente à toute vitesse. Mais comme il a déjà joui deux fois ce matin, il va tenir le coup et je vais pouvoir profiter longtemps de sa queue dans ma bouche. J'accentue ma fellation.

 

Et j'entends la porte d'entrée s'ouvrir et des pas résonner dans le couloir. Ça ne peut être que Gégé et Diego, alors je continue, je me fous de tailler une pipe à Robert devant eux. Mais Robert, non. D'un brusque mouvement du bassin, il sort sa queue de ma bouche et remonte précipitamment son pantalon sur son ventre.

 

Ce n'est pas Gégé et Diego. C'est Cricri et un autre type, plus grand et plus vieux que lui. En me voyant, accroupi devant Robert et le cul à l'air, Cricri comprend tout de suite ce qu'on faisait, et il se marre. L'autre ouvre de grand yeux. Robert:

- Ben, Cricri, qu'est-ce tu viens foutre ? Salut, Jean-Louis.

 

Cricri ne prend même pas la peine de répondre. Tandis que je me relève, il me désigne au nouveau venu:

- Tu vois ? C'est lui. J'te l'avais dit: y suce et y s'fait mettre !

 

Le Jean-Louis en question tend la main à Robert, avant de se tourner vers moi, ne sachant pas trop où poser les yeux:

- Salut, Robert. Tu vas bien ? Bonjour mons… monsieur. Désolé d'arriver comme ça. Je savais pas que … que vous … Je … je sors.

- Non, ne sortez pas. A moins que ça vous gêne. Moi, ça ne me gêne pas.

- Bon, bon, d'accord. Je suis le frère de Cricri. Je … il m'a raconté ce que vous ... Je voulais pas le croire, il est assez menteur, mais comme cette fois il y mettait beaucoup de conviction et d'insistance, j'ai voulu en avoir le cœur net … Je … je vois que … qu'en effet, il avait raison. Je … je vais m'en aller, maintenant.

 

C'est lui, le frère de Cricri et de Gégé ? Il a l'air très bien, ce mec. Il n'a pas l'air … comment il a dit, Gégé ? Taré ? Ou peut-être débile, je ne sais plus. Il s'exprime très bien et en fait, il m'a plutôt l'air d'être le moins taré des trois. Alors je m'avance et je lui tends la main:

- Non. Ne partez pas, vous pouvez rester. Enfin, à moins que ma tenue et ma présence ne vous gênent vraiment. Moi, je ne suis pas pudique du tout et ça ne me gêne absolument pas de me promener devant vous dans cette tenue. 

- Et même de sucer des bites et de te faire enculer.

 

C'est Cricri qui croit utile de préciser. Je confirme:

- En effet, comme dit Cricri: ça ne me gêne pas non plus de sucer des bites et de me faire enculer devant des gens. Là, par exemple, quand vous êtes entrés, j'étais en train de tailler une pipe à Robert, et j'aurais bien continué, mais c'est lui qui a préféré arrêter.

 

Robert, gêné, bougonne je ne sais quoi où il est question de "se faire sucer devant tout le monde". Jean-Louis sourit:

- Mais, vous faites ça pour …

 

Sans en avoir l'air, c'était une question. Alors je lui explique:

- Je fais ça uniquement pour le plaisir … le plaisir des hommes ET le mien. J'aime ça. C'est pas pour de l'argent, si c'est ce que vous voulez savoir. 

 

De nouveau, j'entends la porte d'entrée s'ouvrir. Cette fois, c'est sûrement Gégé et Diego. En effet, les voilà dans la cuisine, avec, tous les deux, un sac de supermarché dans chaque main. Gégé:

- Tiens. Qu'est-ce tu fous là, toi ?

 

Ça s'adressait à son frère, Jean-Louis, qui répond:

- Cricri m'a dit ce qui se passait ici et j'ai voulu voir si c'était vrai.

- Bon, ben t'as vu. Tu peux t'casser. Salut.

 

Jean-Louis nous regarde, Robert et moi, gêné par le comportement de son frère. Je m'apprête à intervenir, mais Robert me devance:

- Hé, Gégé, t'es pas chez toi, ici, et c'est pas toi qui décides si ton frangin il reste ou pas.

 

Jean-Louis:

- C'est pas grave, je m'en vais.

 

Robert:

- Nan. Tu peux rester, Jean-Louis. 

 

Et se tournant vers moi:

- Pas vrai ?

- Bien sûr. Plus on est de fous, plus on rit.

 

Gégé:

- Ouais, mais y'a pas à bouffer pour lui.

- Mais si, y'aura assez. Salut, Jean-Louis.

 

C'est Diego qui intervient à son tour, et serre la main au nouveau venu après avoir posé ses sacs sur la table de formica. Il en ouvre un et s'adresse à moi:

- Regarde. On a pris un rosbif. A mon avis, y'a de quoi pour six. Non ?

 

En effet, vu la taille du paquet de boucherie que je vois au fond du sac, il y en a même sûrement pour huit ou dix. J'insiste:

- Oh oui, vous avez vu grand, et il y a largement. Reste, Jean-Louis. Tu vois, Robert et moi, on t'invite.

 

Gégé:

- Hé, c'est nous qu'on a payé les courses.

 

Diego:

- Non. C'est MOI qui ai payé, toi, t'as jamais un rond. Alors Jean-Louis, il peut rester, moi aussi je l'invite.

 

C'est réglé. Gégé soupire et se retire dans le salon. Puis il se ravise, revient et demande à Robert:

- J'peux prendre une bière ?

- Vas-y.

 

Pendant que Diego, Robert et Jean-Louis déballent sur la table le contenu des sacs de courses (trois bouteilles de Bordeaux ! Des patates sautées surgelées, un camembert, une bouteille de whisky, une de Porto, un sac de salade toute prête, des pâtisseries et jusqu'à des crackers pour l'apéritif !), je retourne à la vaisselle. Tout ça est assez simple, mais j'ai l'impression que, pour Diego - et les autres -, c'est un repas de fête qu'il a composé. Ces mecs ne doivent pas faire souvent un repas de ce genre. Je les imagine plutôt se taper tous les jours des sandwichs et des boîtes de conserve Je lance à Robert:

- Tu as ce qu'il faut, comme oignon, ail et persil ?

- Euh. Non. J'vais aller en chercher chez la voisine.

 

Diego:

- Si tu veux commencer à cuisiner, t'as qu'à laisser la vaisselle. On va la finir, avec Jean-Louis. Au fait, je sais même pas comment tu t'appelles.

- Marin. Appelle-moi Marin.

- Ou alors salope, ou pute !

 

C'est Gégé, vautré sur la banquette, qui la ramène. Alors, je confirme:

- Oui, tu peux aussi m'appeler salope, ou pute, comme dit Gégé. Ça ne me dérange pas.

 

Diego hausse les épaules:

- Non. Marin, c'est bien.

 

Je m'essuie les mains, et, en me mettant à la recherche d'un plat assez grand pour contenir l'énorme rosbif, je lance à Cricri, qui glande, affalé sur une chaise:

- Tiens, Cricri, mets donc la table. Robert va te dire où trouver ce qu'il faut.

 

Il me regarde, ébahi. On n'a jamais dû lui demander de mettre la table. Robert:

- Ouais. Dans le buffet, y'a le service de table à ma mère. J'm'en suis jamais servi. J'te montre et après j'vais chez la voisine.

 

Il a l'air tout content d'avoir l'occasion de sortir le service de sa mère. Et voilà, à part Gégé, ils s'activent tous. Et ça a l'air de leur plaire. Si je ne me baladais pas le cul et la bite à l'air, ça ressemblerait presque à un dimanche matin en famille, quand tout le monde se retrouve avant un bon repas ! Et en fait, je me demande si mes cinq mecs ne seraient pas aussi réjouis à la perspective de ce gueuleton qu'à celle de la partie de cul qui va suivre. Quand Robert revient, il a l'air soucieux:

- La voisine, elle t'a vu t't'à l'heure !

- Ah, c'est celle qui promenait son chien ?

- Ouais. Elle a dit qu't'avais ton oiseau à l'air !

 

Eclat de rire général. J'explique:

- Oui, j'ai sorti le sac poubelle sur le perron. Je pensais pas qu'il y aurait quelqu'un dans la rue. Désolé.

- J'lui ai dit qu't'es mon cousin et qu'tu sortais de la douche.

- T'aurais plutôt dû lui dire que c'était ta tante, et pas ton cousin !

 

Gégé, évidemment. Re-éclat de rire général. Il ne faut pas un quart d'heure pour que toute la bouffe soit prête et le rosbif bon à enfourner. Je m'aperçois alors que Cricri, après avoir mis la table, a même préparé l'apéro sur la table basse du salon. Debout à côté de la banquette, il me regarde, content de lui, en attendant un compliment. Alors:

- T'es un chef, Cricri !

- Ouais ! C'est bien, Cricri ! T'es un bon garçon et t'auras le droit de m'niquer une deuxième fois.

 

Encore Gégé ! Je m'approche de Cricri et je lui passe la main sur le bas-ventre:

- T'as raison, Gégé, si ça lui dit, il aura le droit de me niquer une deuxième fois, comme dit ton frère. Ça te dit, Cricri ?

 

Il hoche la tête vigoureusement:

- Ah ouais, ça m'dit. Et mon frangin, il pourra aussi te niquer ?

- Jean-Louis?

- Ouais.

 

Jean-Louis, lui, secoue la tête:

- Non non non ! Je suis pas venu pour ça ! Non non !

- Ben si. Si ça te dit, tu pourras aussi me niquer. Ou si tu préfères, je te suce.

 

Cricri:

- Ah ! Tu vois ?

- Non non, je … excusez-moi, je … je veux pas …

- Comme tu veux. Mais si tu changes d'avis, c'est pas un problème. Ça me ferait plaisir, même.

 

Robert:

- Bon, on boit un coup, les mecs ?

 

Ils s'assoient. Robert et Gégé remplissent les verres: whisky pour tout le monde, y compris Cricri, sauf Jean-Louis qui prend un porto ! Whisky pour moi aussi, mais il faudra que je veille à garder le contrôle. On a à peine commencé à siroter que Gégé pose son verre à ses pieds et entreprend de déboutonner son jean et de descendre son zip:

- Hé, la suceuse de bites, viens là !

 

Immédiatement, je pose aussi mon verre et, sous les yeux ébahis des quatre autres, je m'approche de Gégé. Pendant qu'il déballe sa queue, je m'agenouille entre ses jambes. Je crois que, des cinq, c'est lui le plus surpris de ma docilité. Mais il bande déjà ! Je prends directement ce truc bizarre dans ma bouche et je le décalotte en faisant coulisser la peau de sa verge et en m'aidant de la langue. Hhmmmm, ça, c'est du biscuit à apéro ! Je vais les sucer tous les cinq en guise d'amuse-bouche. Pas jusqu'à les faire éjaculer, mais les faire bander à mort et leur donner du plaisir. J'espère que les autres vont aussi sortir leurs bites. Gégé a la même idée que moi:

- Allez-y, les mecs ! Sortez vos zobs ! Vous voyez ? Il ne demande que ça, sucer de la bite ! Attends une seconde, toi.

 

Il m'a tapoté sur l'épaule en disant ça, et il se penche au-dessus de moi pour récupérer son verre à ses pieds, puis il se cale bien au fond du canapé, ventre tendu et bite offerte. Il avale une gorgée, et:

- Et alors, les mecs ! Elle est pas belle la vie ?

 

Je n'ai pas recraché sa queue. Assis à la gauche de Gégé, Diego, tout en me regardant sucer son pote, sort aussi sa bite. Yessss ! Cricri, sur sa chaise au bout du canapé, les yeux exorbités, a glissé sa main dans son jean et, visiblement, il est en train de se tripoter. Les deux autres derrière moi, j'ai beau faire, pas moyen de savoir si ils sortent aussi leurs bites. Gégé, une main sur ma tête:

- Putain ! T'aimes ça, hein !

 

Inutile de répondre, je pense que ça se voit. Je le sors de ma bouche et je glisse jusque entre les genoux de Diego. Il bande aussi et se masturbe doucement. J'en profite pour jeter un coup d'œil derrière moi, à Robert et Jean-Louis. Robert a une main dans son pantalon de survêt et il se tripote. Jean-Louis, les yeux ronds, les deux mains sur les genoux, n'a pas ouvert sa braguette. Je demande à Robert:

- Dis, Robert, tu voudrais pas enfourner le rosbif ?

 

Surpris que je pense à ce genre de chose dans un moment pareil, ils se regardent, les uns les autres et se marrent. Sans un mot, Robert lâche sa bite, se lève et disparaît dans la cuisine. Je me tourne vers Diego, je donne un coup de langue sur toute la longueur de sa verge, je prends son gland dans ma bouche et je le suce, lentement, lascivement. C'est lui, au bout d'un moment, qui me fait arrêter, sans doute au bord de l'éjaculation. Cricri, toujours la main dans son pantalon, me regarde approcher, la bouche entrouverte et les yeux ronds. Il me laisse ouvrir sa braguette et extraire sa bite. Hhhmmmm, un long fil de bave s'étire entre son gland et le tissu de son caleçon. Je commence aussi en léchant sa verge de bas en haut puis de haut en bas, avant de la prendre à son tour dans ma bouche. Il me fait arrêter rapidement en plaquant la paume de sa main sur mon front et en me repoussant. Je me tourne et j'approche de Jean-Louis. Les cuisses serrées, il secoue la tête; "non non non !". Je pose les mains sur ses genoux et je les écarte de force. Il empoigne le haut de sa braguette pour m'empêcher de l'ouvrir. Derrière moi, Gégé:

- Pfffff ! R'gardez-le ! Lui aussi, c'est un puceau. Il a la trouille !

 

Pas la peine d'insister pour lui faire sortir sa bite. Je ne vais quand même pas le violer. Je me contente de me pencher et de poser mes lèvres sur son bas-ventre. Là, sous la toile, je sens la bosse que fait son sexe. C'est chaud et j'ai l'impression que c'est un peu dur. Il ne veut pas que je le suce, mais me voir le faire aux autres le fait quand même bander. Je lève les yeux sur lui:

- C'est dommage, ça me plairait beaucoup.

 

Il continue de secouer la tête "non non non !". Je passe à Robert, qui descend de lui même la ceinture de son pantalon sous ses couilles. Alors lui, il est déjà décalotté et sa bite se dresse, raide, à la verticale. Je le prends directement dans ma bouche. Moi aussi, je bande et, sans aucune retenue, je me mets à me masturber en le suçant. Quand, à son tour, il repousse délicatement ma tête, je retourne à Gégé et à son étrange queue, et je recommence ma "tournée". Maintenant, l'ambiance est vraiment très chaude, dans ce salon: pendant que je suce l'un d'eux, les trois autres se tripotent plus ou moins ouvertement, plus ou moins vigoureusement, et discutent en attendant leur tour. Je fais comme ça deux autres tours complets, essayant toujours, au passage, de convaincre Jean-Louis de me confier son sexe. Je suis sûr qu'il bande de plus en plus, mais il refuse systématiquement. Robert, après mon troisième passage, lance:

- Bon, on boufferait pas, maintenant ? J'ai la dalle.

 

Instantanément, ça casse l'ambiance. Il faut dire que l'odeur de ce qui cuit dans le four commence à se répandre jusque dans le salon. S'ils ne disaient rien, les autres devaient aussi "avoir la dalle", parce qu'ils approuvent et commencent à se lever et à remballer leurs outils. En moins de dix secondes, les voilà tous attablés. Visiblement, ils comptent sur moi pour faire le service. Bah, ça aussi, ça me va. Toutefois, Diego me lance:

- T'as besoin d'un coup de main ?

- Non. Ça va aller.

 

Pendant que je sors la viande du four et que je la coupe, j'entends, au milieu de leurs conversations et de leurs rires – ils commentent sans vergogne et en termes extrêmement crus mes "compétences buccales", en prenant bien soin que je les entende. J'adore ça ! - j'entends le bruit sec des bouchons des bouteilles de Bordeaux qu'ils débouchent, et le glouglou des verres qu'ils remplissent. Quand j'entre dans la salle à manger, le plat de viande et de patates à la main, je suis accueilli par des sifflets et des acclamations. Quelque chose d'indéfinissable dans le spectacle de ces cinq mecs attablés me trouble. Pourtant, une petite voix, au fond de moi, me dit « Regarde-les, c'est bien des mecs ! Ils se mettent les pieds sous la table et comptent se faire servir ! » Spontanément, naturellement, ils se sont conformés à la caricature du mâle: les mecs à table et la femme au service ! Et pourtant, malgré ça, j'éprouve un vrai plaisir à ce spectacle, une espèce de … plénitude. En dépit de son côté surréaliste, cette scène a vraiment quelque chose de familial ! A ceci près que je ne suis pas la mère de ces mecs, mais la femelle qu'ils ont niquée et qu'ils vont encore baiser après manger ! Je ne suis pas leur mère, mais ils me manifestent tous plus ou moins une espèce de déférence (Gégé mis à part, évidemment. Mais lui ne respecte pas non plus sa "vieille", comme il l'appelle, et qu'il traite même de salope), tout en considérant que je suis à leur service. Cela dit, moi aussi, je me considère à leur service. Et plus pour leur soulager la bite que pour les servir à table. Mais là, ça me fait plaisir de jouer le jeu et de faire le service, comme ça, le cul et la bite à l'air. D'ailleurs, plutôt que de poser le plat au milieu de la table et de les laisser se servir, ou de les servir depuis ma place – ils m'ont quand même réservé une place d'honneur, au bout de la table -, je vais faire le service debout, à côté de chacun d'eux, et j'espère bien qu'au moins l'un d'entre eux aura l'idée de me tripoter pendant que j'aurais les mains occupées.

 

Alors je commence par celui qui est sans doute le plus âgé des cinq, Diego. Et bingo, ça ne manque pas ! Je ne suis pas sitôt à sa gauche, entre lui et Robert, qu'il me glisse une main entre les cuisses, et remonte jusqu'à mon cul. Hhhmmmm, j'adore ! Son geste n'échappe pas aux autres, évidemment, qui se remettent à siffler et à s'esclaffer. Alors, j'écarte un peu plus les jambes, je me cale bien sur mes pieds, et je prends mon temps pour le servir. Il me caresse l'intérieur de la cuisse. Quand son assiette est pleine, j'attends qu'il me "libère". J'adore ça, et je commence à bander. Ce qui n'échappe pas non plus à Gégé:

- Il bande, c'te salope ! 

 

Diego accentue sa caresse en riant et commence même à s'aventurer entre mes fesses. Oh, putain, il va me mettre un doigt ! Les mains prises, je fléchis un peu les genoux de façon à m'écarter un peu les fesses. Ma parole, c'est son pouce qu'il plaque contre ma fleur ! Il le bouge un peu, et j'attends qu'il me l'enfonce ! Cette fois, c'est moi qui perds le contrôle et qui manque de lui renverser patates et viande sur les genoux. Il ôte précipitamment sa main en riant:

- Hé ! Fais quand même gaffe !

 

Je me reprends et je passe à Robert. Ça ne manque pas, lui aussi se met à me peloter, sans doute pour faire comme Diego, mais plus maladroitement, sans doute pressé de manger. Evidemment, j'y ai droit aussi de la part de Gégé et de Cricri. Mais lui, je me rends compte rapidement que, tout en me palpant le cul, il a les yeux rivés sur ma bite. Il ne va quand même pas me la tripoter !

- Hé, Cricri, suce lui la bite, tant que tu y'es !

 

Gégé, encore Gégé, toujours Gégé ! Cricri ôte sa main de mon cul, hausse les épaules, ricane, et saisit couteau et fourchette. Il n'y a que Jean-Louis, qui ne me tripote pas quand j'arrive à lui. Après, ils mangent et ils boivent. Ils mangent même de très bon appétit. Et ils boivent pas mal, Jean-Louis excepté, qui tourne à l'eau du robinet, et Cricri, que ces deux frangins modèrent beaucoup, trop à son goût. Ils mangent, ils boivent … et ils causent ! 

 

L'apéro et le vin leur délient la langue, et je n'ai pas besoin de les pousser beaucoup pour en savoir plus sur leur compte. Comme je le pressentais, aucun des quatre adultes ne travaille. Robert vit du RSA et, en fait, il n'a hérité de sa mère que la moitié de la maison, le reste appartenant à son oncle, fortuné et bienveillant, qui le laisse en jouir et qui paie même les impôts locaux et les travaux d'entretien les plus urgents. Gégé s'est fait "sucrer" ses allocs, comme il dit, faute d'accepter de se plier à certaines formalités administratives. Egalement incapable d'obéir aux ordres d'un patron ou d'un contremaître, il s'est fait virer de tous les emplois que les uns et les autres lui avaient trouvés, et il "bricole", comme il dit, en vendant à la sauvette diverses marchandises "tombées du camion". Ce qui lui a déjà valu plusieurs séjours en prison. Avec ses frères, ils s'entassent dans le logement social (deux pièces !) fourni par la mairie à sa mère, alcoolique et à demi grabataire. Cricri a fui le foyer de la DASS où il avait été placé et vit plus ou moins en clandestin, se planquant sur le toit de l'immeuble lors des descentes des services sociaux et des gendarmes. Jean-Louis vit d'une petite pension d'invalidité due à de fréquentes crises d'épilepsie invalidante (ça doit être ce que Gégé appelle "avoir une case en moins"). En outre, il s'adonne à la peinture en autodidacte et parvient à vendre une toile ou deux de temps à autre. Enfin, de Diego, beaucoup moins loquace que les autres, j'apprends seulement qu'il vit d'une petite "pension" et de ce que lui donnent quelques commerçants qu'il aide à déballer et remballer sur les marché de la ville. Bien évidemment, à l'exception de Diego, les uns et les autres profitent des restos du cœur, et pour ne pas faire de jaloux, aussi bien du secours catholique que du secours populaire.

 

Tout en mangeant et en parlant, c'est Robert et Gégé qui picolent le plus. Les trois bouteilles de Bordeaux sont éclusées avant que nous en soyons au fromage. Mais non, Robert n'a pas de vin, ni dans sa cuisine, ni dans sa cave … non, Robert n'a que de la bière et non, Robert ne veut pas aller demander du vin à sa voisine. Qu'à cela ne tienne, pour finir le repas, Gégé et lui se rabattent sur la bouteille de Porto.

 

Bien évidemment, quand ils ont terminé, mes quatre queutards quittent la table sans débarrasser et retournent s'asseoir dans le salon, me laissant en tête à tête avec Jean-Louis. Quand je passe devant eux en allant reporter les plats vides à la cuisine, à leur comportement, je sens tout de suite dans quelles dispositions mentale et physique ils se trouvent. Le ventre plein, repus, le cerveau plus ou moins embrumé par l'alcool, ils se vautrent. Avachis dans la banquette, jambes tendues, Robert, Gégé et Diego, la paupière lourde, semblent saisis par cette espèce de torpeur qui suit un repas copieux et bien arrosé. Cricri, pas vraiment en meilleure forme, s'est écroulé dans un fauteuil, le dos appuyé à un des accoudoirs et les jambes sur l'autre. C'est le moment où la bonne chaire et l'alcool, en même temps qu'ils entraînent un engourdissement de la tête et du corps, provoquent dans certaines parties du corps un afflux de sang (notamment le bas ventre et le sexe), et poussent certains à faire ce qu'on appelle une sieste crapuleuse. 

 

Donc, quand je passe devant eux, les mains chargées de vaisselle, non seulement je sens leurs quatre regards braqués sur mes fesses et sur mes cuisses, mais je devine aussi les pensées salaces que ça provoque en eux. D'ailleurs, Gégé se redresse promptement et essaie en vain de me coller une main au cul, avant de s'écrouler de nouveau au fond du canapé. Quand je pose les plats sur la table, Diego me lance:

- Laisse ça, Marin, on fera ça tout à l'heure. Viens avec nous, on va prendre le café.

 

Mouais, ça semble partir d'un bon sentiment, mais aux ricanements de Gégé et de Cricri, je me demande s'ils ne comptent pas que je leur offre un café à ma façon, comme tout à l'heure je leur ai offert un apéro à ma façon. Et puis, non, Robert n'a pas non plus de café. Même pas en poudre, et ni Diego ni Gégé n'ont pensé à en acheter. Alors, le café à ma façon, ce n'est pas Diego qui y pense le premier, mais Gégé. Quand je reviens dans le salon, il s'extrait péniblement du canapé, me prend par le coude, et:

- Viens par ici, toi. Puisque y'a pas d'café, à la place j'vais t'en foutre un coup dans l'cul !

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Samedi 10 septembre 2016 6 10 /09 /Sep /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Mon gangbang chez Jean-Claude, le fermier, ne m'a pas calmé. Au contraire, dès le lendemain, je me suis mis en quête que nouvelles bites à soulager. J'ai relancé plusieurs participants au gangbang, mais je me suis pris râteau sur râteau. Apparemment, eux sont assouvis pour un moment. Puisqu'il faut que j'attende qu'ils se remettent de notre partie de cul, je n'ai pas insisté avec cette équipe, et j'ai repris contact avec d'anciens amants. Thomas, le premier qui m'a baisé, s'est remis en couple. Le handballeur black qui m'a violé à l'hôtel avec sept de ses coéquipiers doit me recontacter. Il restait ce gros type un peu crade que j'avais rencontré peu de temps avant de me faire choper par mes huit blacks. Et voilà, celui-ci était prêt à me recevoir, et ce lundi matin, surlendemain de mon gangbang, je suis chez lui. 

 

Du coup, je réalise à quel point ma libido a évolué. Avant de passer à l'acte avec des hommes, j'étais assez difficile sur leur physique. Seuls les types biens bâtis, plutôt jeunes, beaux et musclés me faisaient rêver. De plus, je ne fantasmais que sur les belles grosses bites. Maintenant, j'en suis rendu à ça: me taper n'importe qui, même vieux, même moche, même gros, même crade (et celui-ci réunit toutes ces "qualités"), du moment qu'il a une bite prête à me niquer. Et loin de me navrer, ce constat me réjouit. C'est même jubilatoire: dorénavant, je suis prêt à mettre mon cul (et ma bouche, mais surtout mon cul) à la disposition de tous les mâles qui auront besoin de se soulager, y compris les mecs qui n'arrivent pas à tirer un coup à cause de leur physique ou de leur timidité ! Et les frustrés, ça ne manque pas !


Robert - oui, il s'appelle Robert -, je viens de lui tailler une pipe, et en quelques secondes, il a joui. Ayant des doutes sur ses pratiques sexuelles, je l'ai laissé s'éjaculer sur le ventre pour ne pas risquer de choper une saloperie. Apparemment, il craignait que je m'en aille, maintenant qu'il avait tiré son coup. Mais moi, j'espère bien qu'après avoir un peu récupéré, il pourra quand même me saillir, même avec une capote. Alors, je m'efforce de le rassurer:

- Tu me baiseras. Tu vas reprendre tes esprits, et quand ça ira mieux, cette fois, tu me baiseras.

- Ah ? Tu ne pars pas ?

- Non, pas tout de suite. 

- Ah bon.

- Tu te sens capable de tirer un autre coup ? 

- Je … je sais pas.

- Mais si, tu vas voir, je vais t'aider.

 

Il hoche la tête. Tout en lui caressant la queue, je contemple ses éclaboussures de sperme, et j'ai une furieuse envie de lui nettoyer le ventre, les cuisses et la queue avec ma langue. Mais je n'ose pas: ce mec, je me demande si c'est le genre à prendre des précautions quand il baise. Il se redresse, se lève, récupère son pantalon, et disparaît dans la cuisine. J'entends de l'eau couler. Au bout d'un moment, il reparaît. Il a remis son pantalon: 

- Je m'excuse, hein.

- Je t'ai dit: ne t'excuses pas. Je m'en fous.

- C'est parce que … c'est la première fois.

- La première fois que quoi ? Assieds-toi.

 

Il s'assied, un peu loin de moi. Je m'approche et je pose ma main sur le haut de sa cuisse.

- Alors, la première fois que quoi ?

- La première fois que quelqu'un me suce.

- Ah bon ? 

- Ouiihhhhhh !

- Mais, quand tu traînes dans le parc, là où on s'est rencontrés la première fois, ce n'est pas pour le sexe ?

- Si, mais … on m'avait jamais sucé!

- Mais, dans ce parc, tu rencontres … tu rencontres qui, dans ce parc ?

- D'autres hommes, comme moi. Y'a jamais de femme ... avec nous, je veux dire.

- Et vous faites quoi, alors ?

- On se … on se branle … ensemble … et des fois, on se touche la bite. Une fois, il y a eu un couple, et ils ont bien voulu qu'on touche la fille. Et son mec, il l'a baisée devant nous.

- Dans le fourré de troènes …

- Ouiihhhhhh ! Comment tu sais ?

- Je ne sais pas, je me doute.

- On s'est branlé en les regardant.

- Et avec les autres hommes qui traînent là-bas comme toi, tu as déjà baisé ?

- Oh non ! D'ailleurs, j'ai jamais baisé avec personne.

- Ah bon ?

- Non, non. Je suis … 

 

Il ne prononce pas le mot, mais j'ai compris: il est puceau. Donc, il ne peut pas être porteur d'une saloperie. J'aurais pu avaler sa crème. Mais, surtout, il va pouvoir me baiser sans capote, et me …

 

- Tu … tu veux toujours pas quelque chose ?

- Tu as quoi ?

- J'ai du whisky, ou de la bière.

- Une bière, alors.

 

Il se lève et retourne dans la cuisine. Je l'entends fouiller dans le frigo, entrechoquer des bouteilles, et il reparaît une canette et un verre à la main, qu'il me tend.

- Moi, je vais reprendre un whisky …

 

Il récupère son verre, se sert une nouvelle grosse rasade et en avale de nouveau la moitié. Il doit avoir encore besoin de se déshiniber. Mais il va finir par être saoul !

- Tu n'aurais pas des films de cul, par hasard ?

 

Il se retourne, me regarde en souriant et:

- Si, si, j'en ai. Tu veux en regarder un ?

- Ben oui.

- Quel genre ?

- Ce que tu aimes, toi …

 

Il ouvre la porte du meuble sur lequel trône la télé, et en sort un DVD qu'il me montre d'un air triomphant:

- Ça, c'est bien !

 

Il le glisse dans un lecteur, prend une télécommande, et revient s'asseoir à côte de moi … tout contre moi, même. Le whisky fait son effet. Je remets ma main sur sa cuisse. Le film démarre, et dès les premières images, je devine de quoi il s'agit: à genoux sur un lit, une créature, sans doute latino, vêtue uniquement d'un mini string qui a du mal à contenir sa bite et ses couilles, malaxe sa paire de gros seins en se trémoussant devant un mec genre grosse racaille de banlieue.

 

Je sens Robert tout excité et content de partager avec moi cette vidéo qu'il a dû visionner tout seul de multiples fois. Je déplace ma main jusqu'à son bas ventre. Maintenant, il n'a plus peur: il se cale confortablement dans ce canapé, écarte insensiblement les cuisses, tend son bassin. Il attend que je le tripote.

 

Soudain, on frappe à la porte du pavillon. Robert sursaute, manque de renverser son verre:

- Qui c'est qui … ?

 

A la porte, on insiste. On essaie même d'entrer, mais Robert a dû donner un tour de clé sans que je m'en rende compte. Je sens que cette intrusion a cassé son ambiance.

- Fait chier, faut que j'aille voir.

- Va, je t'attends.

 

Il se lève lourdement, et s'engage dans le couloir. Je l'entends traîner ses savates jusqu'à l'entrée:

- Salut. Qu'est-ce tu veux ?

- Tu me paies un coup ?

- Euh … là, je peux pas.

- Hein ? Pourquoi ?

- Je peux pas, c'est tout.

- Tu peux pas me payer un coup ? Tu rigoles …

- Non, tout de suite, là, je peux pas. Reviens tout à l'heure.

- Tout à l'heure ? Arrête ! C'est quoi ces conneries ?

 

Ça discute ferme dans l'entrée. Robert n'a pas l'intention de laisser entrer le visiteur. Mais au ton de celui-ci, il est évident que ce refus l'intrigue et lui donne d'autant plus envie d'en connaître la raison. Il y a comme une bousculade et des pas rapides et décidés parcourent le couloir. Un type déboule dans le salon, Robert sur les talons. Dans l'encadrement de la porte, un mec d'âge incertain, quarante, cinquante ans, pas très grand, sec, cheveux châtains grisonnants, très courts, le visage dur, marqué, il est vêtu d'un jean, d'un blouson de cuir élimé, genre aviateur, d'une chemise bleue et de tennis.

 

En me découvrant sur le canapé, il est stoppé net dans son élan. Il écarquille les yeux, bouche bée. Les gémissements qui s'échappent de la télé attirent son attention. Il y jette un coup d'œil, et repose les yeux sur moi … ou plutôt, sur mon entrejambe, largement dévoilé par ma mini jupe remontée en haut de mes cuisses: 

- Ah d'accord ! J'ai compris: c'est pour ça que tu voulais pas me laisser entrer.

 

Robert, embarrassé, ne répond pas. J'interviens :

- Salut !

- Salut. Qui t'es, toi ? T'es … t'es un travelo ?

 

En guise de réponse, je me lève, je m'avance au milieu du salon et je fais un tour sur moi-même, pour qu'il me voie sous toutes les coutures. Il siffle entre ses dents, et:

- Oh merde ! Un trav. 

 

Sans même se retourner, les yeux toujours braqués sur moi, il interroge Robert, planté derrière lui :

- Tu … tu vas te le taper ?

 

Il n'imagine pas un instant que, d'une certaine manière, c'est déjà fait, que Robert se l'est déjà tapé, le travelo. Je viens au secours du gros. Il ne peut pas avouer qu'il a giclé simplement parce que je l'ai un peu sucé. Je lance :

- C'est prévu.

- Oh merde ! Tourne encore. Et tu prends combien ?

 

J'obtempère, je fais un autre tour sur moi-même, plus lentement :

- Je ne prends rien.

- Hein ? Tu veux dire … tu te fais pas payer ?

- Non.

 

Robert intervient :

- Bon, Gégé, je te paie un coup et tu t'en vas.

 

Gégé ! Robert et Gégé ! Le Gégé en question, satisfait, le regard braqué sur mon cul, mes cuisses, mon bas ventre, saisit l'occasion et vient s'asseoir sur le canapé :

- Ouais, paie ton coup.

 

Robert soupire et disparaît dans la cuisine. Pendant qu'on entend des bruits de bouteilles, le visiteur tapote le canapé à côté de lui :

- Assis-toi. 

 

Je m'assois. Les fesses au bord du siège, un peu penché en avant, il m'examine de la tête aux pieds :

- Ah ouaiiiis, alors, c'est toi. Je me rappelle, l'autre fois, il nous avait parlé d'un trav en voiture, au parc. Il nous avait dit qu'il l'avait tripoté.

- C'était moi.

- On l'avait pas cru. 

- Il m'avait même enlevé mon string et il m'avait tripoté la queue.

 

Robert, revenu dans le salon, trois canettes de bière dans les mains, n'est pas peu fier que je confirme, en chair et en os, son histoire :

- Alors, tu vois, c'était pas des conneries.

 

L'autre en reste baba. Avec Robert, on se regarde, et, à son tour, il vient s'asseoir sur le canapé. Je sens que les questions se bousculent dans la tête de son pote. Après un long silence, il avale une gorgée de bière, et :

- Alors, tu te fais vraiment pas payer ?

- Non.

- Mais … pourquoi … euh … tu fais ça avec Robert ?

- C'est comme ça, j'ai eu envie. Ça ne t'arrive jamais, d'avoir envie ?

- Ah si, si ! J'ai même tout le temps envie. Et … euh … tu fais quoi, exactement ?

- Je fais quoi ? 

- Ouais,. tu suces ?

- Je fais tout: je branle, je suce, je baise, même.

 

Il hoche la tête, épaté. Il avale une grande rasade de bière. Ça s'agite dans son crâne, et il se tortille sur le canapé à côté de moi. Je sens que ça le démange, il meurt d'envie de me demander de faire "tout" avec lui. Il tend la main vers moi, au-dessus de ma cuisse :

- Je … je peux ?

- Hé, laisse tomber, merde.

 

Robert n'est pas d'accord. Il pensait qu'après son premier coup trop rapide, nous allions revenir à nos moutons, seulement lui et moi. Il avait recommencé à se chauffer avec son film de cul. Pour le tranquilliser, je pose une main sur le haut de sa cuisse :

- Laisse, Robert. Il peut me toucher, ça ne me gêne pas.

 

Au fond de moi, je sais déjà que celui-ci aussi, il va me baiser. Un autre mec, je ne vais pas laisser passer cette occasion, que Robert soit d'accord ou pas. Que je le laisse me tripoter, son pote n'attendait que ça. Il finit sa canette, la pose au pied du canapé, se tourne vers moi, me pose une main sur une cuisse et me glisse l'autre dans l'entrejambe. J'écarte les jambes pour faciliter son exploration. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, il me souffle son haleine de bière dans la figure. Robert le regarde faire, l'air désapprobateur. Alors, pour le calmer, je remonte ma main sur son bas ventre et je lui palpe le paquet à travers la toile de son pantalon de survêtement. Ma parole, il est nu dans son pantalon, il n'a pas remis son caleçon ! Je localise son gland et, des doigts, je le lui pétris doucement. Ça l'apaise un peu. L'autre s'empêtre dans mon string. Il s'excite, souffle de plus en plus fort. De l'autre côté, Robert bande. Le seul effet de ma caresse, ou de me voir coincé entre lui et son pote ? L'autre me griffe le paquet en essayant fébrilement de m'arracher mon string. Je suis obligé de le calmer. J'écarte de force sa main d'entre mes cuisses, et :

- Hé, doucement, mec ! Tu m'as fait mal !

 

Ça le refroidit. Il me lâche, se cale le dos contre le dossier du canapé et se fourrage le bas ventre à travers son jean. Il a dû commencer à bander et il installe sa queue plus confortablement.

- J'ai encore soif. T'as pas une autre bière ?

 

Robert soupire. Je lui palpe toujours le paquet, et il n'a pas du tout envie de se lever pour aller lui chercher une autre bière. J'accentue mon geste sur sa queue, et :

- Ne bouge pas, j'y vais. C'est dans le frigo ?

- Oui.

 

Je me lève et je me dirige vers la cuisine. Je les entends discuter à voix basse, mais sur un ton plutôt vif. Au moment où je vais ouvrir le réfrigérateur, je perçois un mouvement derrière moi et, instantanément, je sens des bras m'enserrer et un corps se plaquer contre moi. C'est le pote de Robert qui m'a suivi. Le bassin collé contre mes fesses, il pose son menton entre mes omoplates et il me souffle :

- Je vais te baiser, toi …

- T'en as envie ?

- Putain, oui ! Tu sens pas ma queue ?

 

Je dégage mes bras de son étreinte, je passe une main sur ses reins et je glisse l'autre entre mes fesses et son ventre. En effet, il bande. Je le palpe. Il aime ça:

- Oh, tu m'excites, salope ! Ah ouais, c'est sûr, je vais te baiser !

- On verra …

- C'est tout vu, oui !

- Tu crois ?

 

Je desserre son étreinte sans difficulté, je me retourne et je lui saisis fermement les poignets: 

- C'est moi qui décide ! Je branle et je suce qui je veux, je me fais baiser par qui je veux !

 

Il est stupéfait. Il a beau essayer de se dégager, il ne fait pas le poids, face à moi.

- Qu'est-ce que vous foutez ?

 

C'est Robert qui nous a rejoints, inquiet d'avoir vu son pote me filer le train dans la cuisine.

- Ton pote veut me baiser.

- Ça va pas, non ? Tu te barres, maintenant, Gégé.

- Hééé ! Déconne pas, mec ! Pourquoi je le baiserais pas, moi aussi, hein ?

 

Robert ne sait pas quoi répondre. Il a bien envie de me baiser, oui, mais il considère sans doute que ce n'est pas à lui de décider si son pote me baisera aussi ou non. Il soupire, hausse les épaules et me regarde, interrogateur.

 

Je lâche les poignets de son copain et je lui assène:

- Toi, tu vas nous attendre au salon.

- Hein ? Pourquoi ?

- Parce que je te le dis.

 

Il s'éclipse à regret. Je m'approche de Robert:

- Bon, tu veux me baiser, maintenant ?

- Ben … oui.

- Où tu veux me baiser ?

- Comment ça ?

- Tu veux me baiser ici, dans la cuisine, ou dans le salon, devant ton pote, ou … je ne sais pas …

- Ah … euh … non, pas devant lui. Dans ma chambre.

- Ok, montre-moi.

 

Je le suis dans le salon. L'autre est vautré dans le canapé, une canette en main et regarde le film de cul à la télé. Il nous jette un œil mauvais. Robert s'arrête, se verse un nouveau whisky qu'il avale d'un trait. Il va finir par être bourré. Mais s'il en a besoin... Au moment où Robert se dirige vers le couloir, l'autre se lève et nous lance:

- Je sors, mais je reviens.

 

Robert ne lui prête pas autrement attention et me désigne l'escalier. J'attrape mon sac à dos au passage et je commence à grimper, le gros sur les talons. En montant, je me dis qu'il doit être en train de me mater le cul et les cuisses sous ma mini jupe. Ça me plaît. 

 

La chambre est plongée dans l'obscurité. Seul filtre un peu de lumière à travers les lames des volets.

- Tu n'ouvres pas les volets ?

- Je peux pas, ils s'ouvrent plus.

 

Mes yeux s'accoutument à la pénombre. Cette chambre est à l'avenant du reste de la maison, vieille et crade, et ça sent le renard. Le lit n'est pas très net et les draps froissés n'ont pas été changés depuis un moment. Peu importe, je me jette dessus à plat ventre, et je me mets à onduler du bassin. Je sens que ma jupe remonte et commence à me découvrir les fesses. Robert se jette sur moi. Ou plutôt, il se précipite sur le lit, entre mes jambes, et vient m'enserrer les hanches en me posant la tête sur les fesses. Il me les embrasse, me les caresse fougueusement. Je le laisse faire un moment, puis je tends les mains vers ma jupe et je la remonte lentement sur mes reins. 

- Oh, quel cul ! Quel cul !

 

Il me fourre fébrilement la figure entre les fesses et m'embrasse la raie. J'écarte les cuisses autant que je peux, je me cambre:

- Allez, vas-y, prends-moi !

 

Aussitôt, il se redresse et m'arrache fébrilement mon string. Puis je le sens se lever, et, tandis que je l'entends enlever son pantalon et son caleçon, je me cambre, je m'empoigne les fesses et je les écarte, lui montrant, lui offrant l'entrée de mon fourreau:

- Il y a du lubrifiant dans mon sac.

 

Je l'entends l'ouvrir, fouiller, et:

- Je vais mettre une capote.

- Je préfère pas.

- Ah bon … mais …

- Tu n'as rien à craindre, je suis sain.

- …

- Et je veux que tu jouisses dans mon cul.

 

Brusquement, je sens quelque chose de froid et mouillé dans ma raie. Il m'a mis la dose de lubrifiant, mais pas dans le cul. Je tends la main jusqu'au fluide, j'en enduis mes doigts et, tant bien que mal, je me les introduis, tout en ondulant du bassin. Il doit être en train de me regarder faire. Alors, je fais durer le plaisir, y mettant toute la lascivité, toute la lubricité que je peux, comme une invitation.

 

Soudain, il pose une main sur ma fesse, tout près de ma rondelle, puis il y glisse un doigt. Son pouce ?  Et:

- Oooooh, je vais te baiser, salope !

- Ouiiii ! Baise-moi !

 

Le voilà sur moi. Je sens que, de la main, il guide son sexe vers ma rondelle. Il me pénètre. Il est en moi. Immédiatement, il me met de grands coups de reins. Le visage contre ma nuque, il halète, il gémit, me souffle son haleine alcoolisée dans le cou. Il est en train de prendre son plaisir. A cet instant, il n'est plus qu'une queue qui va et vient dans un corps vivant, tout son être s'est concentré dans ce gland qui fouille fiévreusement la tiédeur humide de mes chairs à la recherche de la volupté. Ce coït m'excite. Un mâle de plus est en train de jouir de moi. Et il va jouir EN moi. Je repense à cette crème qu'il a répandu tout à l'heure, à la quantité de sperme qu'il a produit, à la puissance de son éjaculation. Il va recommencer, cette fois en moi, il va m'injecter le même flot de semence, m'inonder les entrailles, me féconder ! Ça va très vite. Il s'effondre sur moi, s'immobilise et jouit:

- Aaah ! Aaaahh ! Aaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Saaaaaaaa loooooooo pe !

 

Mentalement, je visualise sa liqueur qui baigne maintenant mon cul. Voilà, c'est ça que je voulais: me faire féconder encore une fois, recevoir en moi la semence d'un mec de plus, ce grouillement immobile et silencieux de millions de spermatozoïdes qui cherchent vainement dans mon ventre un ovule à investir.

 

Pour Robert comme pour tous les autres mecs qui m'ont baisé, leur queue n'est que le vecteur de leur  plaisir, et notre fornication ne vise évidemment qu'à la jouissance, à la volupté. Ils s'y prêtent d'autant plus sereinement et sans retenue qu'ils savent ce coït stérile, infécond. Mais pour moi, il y a dans ces accouplements, une dimension supplémentaire: leur queue n'est pas seulement un objet de plaisir, c'est aussi un appareil génital, un organe reproducteur. Pour eux, la dose qu'ils me mettent dans le cul, c'est simplement du foutre, de la jute, c'est-à-dire une liqueur inerte, simple matérialisation physiologique de leur orgasme, alors que, pour moi, ces mâles me plantent bel et bien leur petite graine, ils m'inséminent, ils m'injectent leur patrimoine génétique, bref, ils m'engrossent ! Je réalise que c'est en pârtie ce qui me pousse à chercher à me faire saillir par n'importe quel mec.

 

Robert est maintenant immobile sur moi. Sa respiration s'est calmée. Je sens que sa queue a commencé à se rétracter dans mon cul. Et … oui, il ronfle ! Il s'est endormi, sous l'effet conjugué de son orgasme et des trois verres de whisky qu'il s'est tapé ! C'est assez agréable, de sentir sur moi le poids du mâle que je viens de faire jouir, apaisé, soulagé.

 

Mais il est lourd et, au bout d'un moment, je bascule sur le côté et je me dégage. Robert roule sur le lit sans se réveiller, ronflant de plus belle. Je me lève et je sors sur le palier. Sa crème me coule le long des cuisses. En effet: il m'en a mis une bonne dose. Deux autres portes. La première que je pousse est la bonne: une salle de bain. Baignoire, lavabo, WC et … bidet ! Tout ça est comme le propriétaire: légèrement briqué en prévision de ma venue, mais quand même encore un peu crasseux dans les coins. Tant pis: toilette externe et lavement.

 

Je remets mon string et je récupère mon sac et son contenu dans la chambre. Robert dort toujours. Il ronfle. Je redescends. 

 

Dans le salon, le pote de Robert est revenu. Mais il n'est pas seul. Sur le canapé, à côté de lui, un type, jeune, très jeune même, et un autre, grand, maigre, la soixantaine, cheveux gris avec un catogan. Ces deux-là se lèvent à mon arrivée et me regardent de la tête aux pieds, les yeux ronds, la bouche ouverte. Gégé les observe, jubile tel le découvreur d'une rareté, fier de la présenter à des amis. Il me les présente:

- Mon frangin et Diego.

 

Il les a désignés de la main. Son frangin, c'est le plus jeune. Je leur tends la main, ils me la serrent. Son frangin, le gamin ? On dirait plutôt son fils. Il y a en effet un air de ressemblance, à ceci près que, si Gégé a en permanence un air renfrogné, le frangin affiche un sourire niais. Tous les trois sirotent de la bière. Putain, je sais immédiatement que je vais me les faire tous les trois ! Le pote à Robert aurait été seul, je me serais contenté de lui, mais il a eu la très bonne idée de vouloir faire profiter de mon cul son frangin et ce Diego ! Et bien, banco ! Sortez vos bites, les mecs ! Je me tourne vers Gégé:

- C'est pour aller les chercher, que tu es sorti ?

- Ouais.

 

Il fait signe à son frère de se pousser et, à mon intention:

- Assis-toi … 

 

Je m'assieds, ainsi que le nommé Diego. Me voilà assis entre ces deux types sur la banquette. Gégé poursuit:

- Alors ? Ça y est, il t'a baisé, Robert ?

- Oui.

 

Il pose sa main sur ma cuisse.

- Et c'était bien ?

- Ça lui a plu. Il a pris son pied.

 

Il glisse ses doigts entre mes jambes, remonte lentement vers mon string. J'écarte les cuisses pour lui faciliter son exploration. Je jette un coup d'œil à l'autre. Les yeux rivés sur la main de son pote qui approche de mon entrejambe, apparemment, il n'en revient pas de me voir me laisser peloter comme ça. Gégé:

- Il redescend pas, Robert ?

- Il dort.

- Ah bon ? Tu l'as fatigué à ce point ?

- Faut croire.

- Et toi, t'as pris ton pied ?

- Non.

 

Son … frangin, debout devant nous, regarde en ricanant son frère me tripoter. Gégé:

- Alors, et nous, on pourra aussi te … ?

- Me baiser ?

- Ben ouais.

- Tous les trois ?

- Ben … ouais. Pourquoi, ça te fait peur, trois ?

- Non, c'est pas ça, trois ça me fait pas peur. Vous deux, vous pourrez me baiser, mais lui, là, il est pas un peu jeune ?

 

Aussitôt, l'exploration de mon entrejambe se fait plus fébrile. Gégé vient d'entendre ce qu'il espérait: « vous deux, vous pourrez me baiser » !!!! Son excitation monte d'un cran. Je m'adresse au gamin, debout devant nous: 

- Comment tu t'appelles ?

- Moi ? C'est Cricri.

 

Cricri et Gégé ! La totale !

- T'as quel âge, Cricri ?

- Moi ? Sei…

- Dix-huit ! Il a dix-huit ans !

 

C'est l'aîné qui intervient. Le petit commençait à me dire seize, et l'autre, sans doute pour couper court à je ne sais quelle problème de ma part, cherche à le faire passer pour majeur ! S'il savait comme je m'en fous. Je fais comme si je n'avais pas entendu l'aîné et je demande à Cricri:

- Seize ans ? Et, tu as déjà baisé ?

- Il a dix-huit ans ! T'as dix-huit ans !

- Alors, tu as déjà baisé, Cricri ?

- Oh non, m'sieur.

- Même pas avec une copine ?

- Non, j'ai pas de copine.

- Il est puceau.

 

Gégé, évidemment …

- Et avec un garçon, tu as déjà fait quelque chose ?

- Oh non, m'sieur !

 

Il paraît outré par ma question.

- Et ça te dit, pour ta première fois, de le faire avec un travelo ? Avec un homme, quoi.

- Ben … je sais pas.

- Bon, enfin, même si t'as que seize ans, si ça te dit, tu pourras aussi me baiser. Je te forcerai pas, c'est toi qui décides. Tu vois, Gégé, y'a pas de problème !

 

Il hausse les épaules et ricane. Mais il ne perd pas le nord, il soulève ma jupe et glisse fébrilement ses doigts dans mon string, de plus en plus excité. Diego, à côté de moi, figé, regarde l'autre se débattre avec mon string. Gégé lui lance:

- Hé, vas-y, mec, tu peux le tripoter, il se laisse faire. Pas vrai ?

- Attends !

 

Je repousse sa main, je me lève et je fais glisser mon string jusqu'à mes pieds, avant de me rasseoir. Il me colle son visage dans le cou et me remet immédiatement la main entre les cuisses, tentant de glisser ses doigts jusqu'à mon fourreau. Diego ne bouge pas. Je lui prends la main et je la pose sur ma cuisse.

- Il a raison, Diego, tu peux aussi me tripoter, si ça te dit.

 

Il me caresse l'intérieur de la cuisse depuis l'aine jusqu'au genou. Ce n'est pas qu'ils soient appétissants, tous les trois, mais la situation commence vraiment à me plaire. Je plaque une main sur le paquet aux deux qui m'encadrent. Gégé bande déjà. Dès que je le touche, il ôte sa main de mon entrejambe, s'empresse d'ouvrir sa braguette et en extrait sa queue:

- Ah, salope ! T'aime ça, la bite, hein ? Tu vas en avoir, de la bite, tu vas en avoir !

 

Il se cale confortablement au fond du canapé, tend son bassin vers l'avant, et attend visiblement que je m'occupe de son engin. C'est une tige très mince et très longue, mais, bien qu'il soit encore calotté, je me rends compte qu'il a un très gros gland, disproportionné par rapport au diamètre de sa verge. C'est plus fort que moi, j'ôte ma main du ventre de Diego et je me tourne vers Gégé. Je le décalotte. Ce qui jaillit de son prépuce et s'épanouit en forme de corolle, c'est … je n'ai jamais vu un gland comme ça ! Il est très large et en forme de champignon à peine bombé, presque plat et perpendiculaire à sa verge ! Il forme un disque presque parfait, à peine rompu au niveau de son méat, et qui doit faire … je sais pas, au moins cinq centimètres de diamètre. Vraiment, je n'ai jamais vu un truc pareil, même en photo sur Internet où, pourtant, on en voit de toutes sortes !  Cette bite a un aspect presque … monstrueux. On dirait la bite d'un animal ! En tout cas, elle n'est vraiment pas profilée pour la pénétration. Je suis sûr qu'un cas comme ça intéresserait la médecine. Si Gégé a montré ça à des filles, elles ont dû se sauver en courant. Mais moi, ça m'excite ! Oh putain, je vais sucer ce truc-là ! Un flot de salive m'inonde la bouche. Et je vais me faire saillir par ÇA ! On peut se faire saillir par un truc pareil ? Oh oui, moi, je vais sûrement arriver à me faire fourrer ce machin. Au point de vue de la taille, j'en ai vu d'autres, avec mes godes ! Me reculant tout contre Diego, je me penche sur le ventre de Gégé.

- Allez, salope ! Vas-y, suce-moi !

- Ta queue … elle est … j'ai jamais vu une queue comme ça !

 

Et aussitôt, je le prends dans la bouche et je commence à le sucer. C'est une sensation fantastique, ce truc, rond comme un disque et presque plat dans ma bouche. La position est plutôt inconfortable, alors, je le sors de ma bouche, je descends du canapé et je m'agenouille devant lui. Tout en lui branlant délicatement la verge, j'examine encore son engin:

- T'as vraiment une queue bizarre ! 

- Je sais. Elle te plaît pas, à toi non plus ?

- Pourquoi "à toi non plus" ?

- Parce que … en général, elle fait peur.

- Ça m'étonne pas. Mais à moi, elle me fait pas peur. Au contraire, j'en ai jamais sucé une comme ça.

 

Je donne quelques coups de langue à son gland. Bien que le Gégé bande à mort, la couronne de son gland, très fine et débordant largement de sa verge, est très souple et élastique. J'en parcours tout le tour du bout de la langue. En faisant ça, je me rends compte que c'est le frein de son prépuce qui provoque la légère courbure de ce gland. Sans lui, son gland serait tout plat ! Incroyable ! Je lève les yeux sur lui. Bien calé au fond de la banquette, il me regarde jouer avec sa bite. Il n'a pas dû avoir beaucoup l'occasion de voir quelqu'un apprécier son étrange machin. Tout sourire, il me demande: 

- Alors, elle te plaît, ma queue ?

 

Je hoche la tête "oui, elle me plaît, ta queue", je lui écarte les cuisses et je le reprends dans la bouche. Ça lui fait beaucoup d'effet:

- Ah putain ! Ah putain ! 

 

Il tend son ventre vers moi, enfonçant sa bite dans ma bouche. Pressée entre ma langue et mon palais, la couronne de son gland se rabat contre sa verge, comme le ferait un parapluie qu'on referme. Et heureusement, parce que, un truc aussi large, je ne pourrais sûrement pas l'ingurgiter. Hhhhmmmm, j'adore ça ! Sucer ce truc aussi bizarre, comme une bite d'animal, toute chaude, caoutchouteuse, dont je sens qu'elle ne demande qu'à s'ouvrir, à s'épanouir dans la tiédeur de ma bouche ! Je bande. J'extrais lentement sa bite de ma bouche en continuant à presser son gland pour qu'il reste "replié" contre sa verge. Puis je l'enfonce à nouveau. Et là, mes lèvres une fois arrivées à la base de sa verge, au moment de repartir dans l'autre sens, j'ouvre la bouche autant que je peux et je sens la tête du champignon s'épanouir complètement dans ma gorge. Et en la ressortant, je la presse de nouveau avec ma langue. Cette fois, ce qui frotte contre mes papilles et mon palais, c'est le dessous de la couronne de son gland, beaucoup plus sensible. Effet immédiat sur Gégé:

- Ah, la vache ! Doucement ! Doucement !

 

En effet, je ressens un frémissement de sa queue dans ma bouche. Il est prêt à jouir. Je réduis la pression de ma langue et il se calme:

- Oh putain ! Vas-y molo, mec !

 

Je sens qu'il se redresse, pose une main sur ma tête, et:

- Ah, putain, Diego, j'te dis pas ! C'te … c'te salope, comment elle suce !

 

Et s'adressant à moi:

- Continue, toi, mais doucement, hein.

 

Son pic d'excitation est passé. Il se sent plus en confiance et il se laisse encore sucer quelques instants, puis:

- Vas-y, toi, fais-lui quelque chose, reste pas là, debout comme un con !

 

Ça devait s'adresser à son frère. Je l'entends ricaner derrière moi, mais il ne me fait rien. Pour le motiver, j'écarte les jambes, je me cambre et je me mets à onduler du cul tout en suçant le grand frère. Allez, petit-petit-petit, viens, approche et prends moi le cul, c'est pour toi.

 

Du coin de l'œil, je vois Diego se tripoter la queue à travers son pantalon. Je tends le bras, je pose la main sur sa cuisse et je l'attire vers moi. Il ne se le fait pas dire deux fois et s'approche. J'essaie maladroitement de déboutonner son pantalon. Il le fait lui-même, ouvre sa braguette et sort sa queue. Pour ce que j'en vois, elle est plus "normale" que celle de Gégé. Je commence à le masturber, tout en suçant l'autre,  qui se marre:

- Oh oh oh oooooh ! Oh putain ! T'aimes ça, la bite, hein, salope ! Ah la vache, on va se le faire, le travelo !

 

Il devait attendre une réaction de ma part. Mais je continue de le sucer comme si de rien n'était.

- Hein ? On va te baiser, salope. Tous les trois, on va te baiser !

 

Le petit frère, derrière moi, ne fait toujours rien. Je sors la queue de Gégé de ma bouche et, tout en le masturbant lentement, je tourne la tête vers le gamin. Il a la queue à la main ! Et sa queue est tout à fait "normale". Je dois dire que je suis un peu surpris. Pourquoi il se fait du bien tout seul ? C'est quoi qui l'excite, mon cul, ou de me voir sucer son frère ? Il est gêné et fait mine de remballer son sexe dans son pantalon. Je l'interpelle:

- Hé, le môme, ça ne te plaît pas, ce que tu vois ?

- Oh si, euh … m'sieur !

- On dirait, hein, je te fais bander. Mais si t'as pas envie de te taper un travelo, c'est pas grave. 

- C'est pas ça, mais je sais pas … Euh … j'ai …

- Tu ne sais pas ce qu'il faut faire. C'est ça ?

- Oui, m'sieur.

- Ben, t'es con, ou quoi ? Tu le baises.

 

Encore le frangin. Je poursuis:

- T'as déjà vu des films pornos, Cricri ?

 

Il rougit. 

- Oui, mais pas avec … euh …

- Pas avec un travesti ?

- Oui, c'est ça.

- Et dans tes films pornos, les mecs, ils enculent les filles ?

- Euh … ben oui, des fois.

- Alors, c'est pareil, tu me fais pareil, tu m'encules.

 

C'est une révélation pour lui ! Comme il continue d'hésiter, je lui propose:

- Si tu veux, au fur et à mesure, je te dis ce qu'il faut faire. Ça ne vous dérange pas, messieurs ? Evidemment je vous continue pendant ce temps.

 

Gégé soupire, mais:

- Ouais, c'est bon, vas-y.

 

Diego sourit et:

- Pour moi, pas de problème.

 

A son petit sourire, j'ai l'impression qu'il trouve l'expérience intéressante. Je me tourne de nouveau vers le gamin, et, tout en masturbant les deux autres:

- Ote ton pantalon.

- Mais …

- Fais le, on est entre nous.

 

Il obtempère.

- Ton caleçon aussi.

 

Il l'enlève. Il bande encore. Bite normale, et en plus, vraiment pas mal ! Pour un gamin, il est plutôt bien équipé ! Bien mieux que son frère. Oh, la vache, quel bel engin il va me mettre, ce môme !

- Regarde dans mon sac, là, au pied du canapé. Il y a un tube de gel.

 

Il fouille, et trouve le tube.

- Prends-en dans ta main et étale le sur ta bite. Voilà. Maintenant, viens derrière moi.

 

Il approche.

- Mets-toi à genoux entre mes jambes.

 

Il le fait.

- Approche encore … Voilà.

 

Je me tourne vers Gégé et Diego. Tous les deux, les yeux ronds, regardent le gamin faire. Ils sont très raides dans mes mains, tellement la scène qui se déroule devant eux les excite.

- Maintenant, pose le bout de ta bite contre mon trou du cul. Voilà … Ne crains rien, c'est tout propre, là-dedans, je me suis lavé avant de redescendre.

 

Je sens son gland, frais et humide contre ma chair. Le gland d'un gamin de seize ans, qui s'apprête à me baiser ! Très troublant et très excitant !

- Mets tes mains sur mes hanches, et enfonce ta bite dans mon cul.

 

Il marque une hésitation, et je sens son sexe s'enfoncer doucement en moi. Est-ce la jeunesse du gamin ? Est-ce parce que je suis son premier coup ? Est-ce la taille de son membre ? Est-ce de me faire prendre devant les deux autres ? Ce môme me fait un effet terrible ! Une vague de chaleur m'envahit et j'ai le souffle coupé. Je ne peux retenir un:

- Oh oui, Cricri ! C'est bien ! Oh, quelle BITE !

 

Je réalise que si j'ai toujours la queue des deux autres en mains, j'ai cessé de les branler. Mais ils ne protestent pas. Ils sont fascinés par le spectacle de Cricri qui me baise … qui baise pour la première fois. Ça y est, il est tout au fond de moi. 

- Oh, putain, reste un peu comme ça, Cricri ! Bien au fond !

 

J'aimerais me dédoubler pour regarder la scène d'un peu loin, pour voir ce jeunot en train de me prendre en levrette. Si j'avais pu prévoir, j'aurais amené mon camescope. La suite lui vient naturellement, sans que j'aie besoin de le guider: il commence à aller et venir. Très excité, je reprends son frère dans la bouche et je lui administre une fellation vigoureuse. Ça le relance:

- Ah, putain ! Il est en en train de se faire mettre par mon frangin ! Hé, salope, il te baise bien , hein, le Cricri ! 

 

Il m'empoigne la tête et il me fait furieusement aller et venir sur sa tige. Les dents serrées, il éructe:

- Vas-y, Cricri, fous-lui sa dose, à c'te salope !

 

Tout ça est trop pour le gamin. Brusquement, il me met de violents coups de boutoir en gémissant, et je pressens qu'il va se retirer. Je m'arrache aux mains de Gégé, je recrache sa queue, et:

- Reste, Cricri ! Reste dans mon cul !

- Ah la la ! Mais, je vais …

- Oui, je sais: jute-moi dans le cul, Cricri !

- Aaaaaahhhh ! Ça y est !

 

Il éjacule.

- Oui, c'est bien, continue, reste au chaud pour finir.

- OoooooOOOOooooohhhh ! Hhhhhhmmmmm !

- Ça te plaît, comme ça ?

- Oooooh ouiiiii !

- Moi aussi. Tu m'as bien baisé, Cricri, j'aime ça.

 

Il se retire et reste derrière moi, à genoux, à reprendre son souffle et ses esprits. Je me retourne, je prends délicatement ses couilles dans la main, et je me penche sur son sexe. Il esquisse un mouvement de recul.

- Ne bouge pas. N'aie pas peur.

 

Il s'immobilise. Gégé profite que j'aie le cul en l'air pour me mettre une main. Je prends la queue de son frère dans la bouche. Elle a le goût du lubrifiant, de son sperme et de mon fluide anal. Il commence à débander. Je le recrache.

- C'était bien, Cricri. J'ai beaucoup aimé. Et ça y est, t'es plus puceau.

 

Il sourit, et se relève. Je fais comme lui. Les deux autres sont toujours affalés sur la banquette, la bite raide. Diego se masturbe lentement en me regardant. Je leur lance:

- Bon, messieurs, on fait quoi, maintenant ?

 

Evidemment, c'est Gégé qui réagit le premier. Il se redresse:

- Maintenant, j'te baise !

- Alors en piste ! Où ? Comment ?

- J'te baise aussi en levrette.

- Très bien, j'adore ça. Euh … j'ai encore la jute de ton frère dans le cul. Ça te gêne ?

- Nan.

- Je peux aller me laver.

- Nan, j'te dis !

 

Cricri est en train de remettre son caleçon et son pantalon. 

- Tu me baises où, Gégé ? Ici ?

- Euh … nan. Viens.


Il me précède dans la cuisine.

- Ici !


Il me montre la table chargée de vaisselle et de canettes vides, et dont on aperçoit, par endroits, le formica jaunasse et usé. Il me prend par un poignet et m'incite à m'installer face à la table.

- J'vais t'baiser là !

- Hhmmmmm !

- Ça t'plaît, hein.

- Ouais.


Il relève ma jupe sur mes reins, se colle contre moi, m'enserre de ses bras, loge son front entre mes omoplates et se frotte le bas ventre contre mes fesses. Comme il me pousse en avant, j'essaie de me retenir en posant mes mains sur la table, et je suis obligé d'écarter une pile d'assiettes sales et une autre de cartons de pizzas pour me faire un peu de place.

- T'es vraiment une salope, hein ?

- Oui.

- T'aimes ça, la bite, hein ?

- Oui.

- T'aimes te faire fourrer.


Je passe une main entre mes fesses et son ventre, et je lui empoigne la queue:

- Oui. J'aime faire bander les mecs, j'aime les exciter. J'aime sentir qu'ils matent mon cul en se disant qu'ils voudraient bien y fourrer leur queue. J'aime quand ils réalisent qu'ils peuvent vraiment me la mettre, leur queue. Et j'aime qu'ils me baisent.

- T'es la reine des salopes !

- Ouais.


Il est raide dans ma main, évidemment. Je le masturbe.

- Oooooh, espèce de … espèce de salope ! Branle moi !

- Oui, mais retiens-toi, j'ai envie que tu me baises.

- Ouais, bon, j'te baise !

- Va mettre une capote.

- Quoi ?

- Va mettre une capote !

- Mais, Cricri, il en a pas mis.

- Cricri, il est puceau. Enfin, il ÉTAIT puceau.

- Et alors ?

- Alors, il avait couché avec personne, donc il pouvait pas me refiler une saloperie. Toi, t'es puceau ?

- Ben non.

- Donc, comme je te connais pas, et que tu n'as pas de test de dépistage de maladies … tu as un test ?

- Non, mais …

- Tu mets une capote !

- Pffffff ! J'aime pas ça.

- Moi non plus. Et crois-moi, j'aimerais mieux que tu me jutes dans le cul, mais là, c'est pas possible !

- Bon.


Il me lâche et retourne dans le salon. Pendant qu'il fouille mon sac, j'entreprends de dégager de la place devant moi sur la table: je repousse les assiettes, les verres sales et les gamelles qui l'encombrent, découvrant une surface crasseuse, maculée de traces de graisse et de ce qui doit être de la sauce tomate séchée. Par réflexe, je jette un coup d'œil en direction de l'évier à la recherche d'une éponge ou de n'importe quoi qui permettrait de nettoyer un minimum cette table où je vais me faire tringler. Mais l'évier est lui-même envahi de vaisselle sale et je ne vois rien qui puisse servir d'éponge. De toute façon, dans l'ordre de mes urgences, me faire sauter passe largement avant le besoin de propreté, et je n'ai pas l'intention de perdre mon temps à nettoyer cette table.  J'attends Gégé et sa monstrueuse bite. Il revient: 

- Cricri s'est barré !

- Dommage.

- Pourquoi?

- Il a une belle queue, ton frangin. C'est bizarre, il a pas la queue comme toi. Pourtant, vous êtes frères.

- DEMI frères.


Il a ouvert la pochette d'une capote et il commence à l'enfiler tant bien que mal sur sa queue.

- Ah bon, demi frères ?

- Ouais, on a pas le même père.

- Ah, OK.

- Mais entre Cricri et moi, y'a encore un autre frangin … lui aussi d'un autre père. Ma mère, plus jeune, elle était comme toi, une vraie salope, elle se faisait troncher par tout le monde.

- Pourquoi tu l'as pas amené, ton autre frangin ?

- Il était pas là. De toute façon, celui-là, il est débile.

- C'est-à-dire ?

- Il est un peu attardé. Il a une case en moins. Ma mère picolait quand elle l'a fait.


Putain, quelle famille ! Je me demande ce qu'elle foutait, sa mère, quand elle l'a fait lui, le Gégé, pour qu'il hérite d'une bite comme celle-là. Je le regarde essayer d'enfiler sa queue dans cette capote. 

- Tu t'y prends comme un manche. Approche !


Le voilà devant moi, qui soulève sa chemise, tend son ventre et me regarde faire. Mais j'ai bien du mal à enfiler cette capote sur ce gland hors norme. Je n'arrive pas à placer un peu correctement l'extrémité, et une fois déroulée, elle flotte autour de sa verge. Pour son gland, il faudrait une capote grand modèle et pour sa verge un petit modèle. Comme ça, c'est sûr, ça n'ira pas, la capote va vriller, bouger, se replier quand il va me fourrer. Tant pis, d'un seul mouvement, je lui enlève le préservatif:

- Ça va pas le faire. Ça fait rien, baise-moi comme ça ! Enlève ton jean !

- Mais … tu … t'as dit que …

- Ça fait rien, je te dis. T'as le SIDA, ou je ne sais quelle maladie sexuelle ?

- Nan.

- T'as baisé quelqu'un qui pourrait t'avoir refilé une saloperie ?

- Nan. J'ai pas baisé depuis que je suis sorti de taule.

- T'as fait de la taule ?

- Ouais.

- Mais, en taule, t'as pas pu choper une saloperie ?

- Oh non, j'ai pas baisé, en taule. Et j'y suis resté que quatre mois. Et en sortant, j'ai fait des tests. Négatifs. C'est ce que je voulais te dire, mais tu m'as pas laissé finir. Et depuis j'ai pas baisé.

- Mais, pourquoi t'as fait des tests, alors ?

- En taule, j'me suis cogné avec un mec qu'était malade. Y m'a bouffé la moitié de l'oreille. Regarde.


En effet, il lui manque un bout du lobe de l'oreille gauche. Peut-être pas vraiment la moitié, mais quand même. Il poursuit:

- Mais il a pas eu le temps de me contaminer. Le toubib m'a fait faire les tests pour être sûr. Et depuis, j'te dis, j'ai pas baisé.

- Bon, OK. Alors, baise-moi comme ça.

à suivre.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 11 août 2016 4 11 /08 /Août /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

  

Putain, quelle journée ! S'il m'arrive d'avoir des journées, voire des semaines, sans sexe – je veux dire sans sexe avec quelqu'un, les plaisirs solitaires mis à part -, cette journée-ci a été particulièrement bien remplie (tout comme moi, d'ailleurs) ! Après mon gangbang chez Jean-Claude, non seulement, en rentrant chez moi, j'ai racolé un inconnu sur le bord de la route – bon, ça n'a abouti à rien, le type, apeuré, s'étant piteusement débiné - , mais en guise de conclusion, j'ai bouffé la chatte de ma voisine ! Oui, ma voisine, Yolaine ! Et ça, d'une certaine manière, c'est presque aussi sidérant que de m'être fait baiser par trente mâles en rut ! 

 

Déjà, que moi, je l'aie fait, que j'aie proposé à ma voisine de lui bouffer la chatte, ça m'étonne de moi, compte tenu des rapports plus que distants qu'il y avait entre nous depuis des années, compte tenu de son physique si quelconque qu'il n'inspire aucun désir, et compte tenu de son caractère si peu avenant. 

 

Mais qu'elle, Yolaine, la veuve, catho coincée, à la morale réac, psychorigide, toujours hautaine, glaciale, condescendante, se soit laissée aller à se caresser ouvertement à côté de moi, alors là, je n'en reviens toujours pas ! Qu'ensuite, non seulement elle m'ait laissé la masturber, mais qu'elle m'ait aussi poussé à continuer de la doigter, c'est dire à quel point les barrières de bienséance, de pruderie et de décence qu'elle dressait jusque là contre ses pulsions avaient cédé. Et telles un barrage fragilisé et fissuré, ces barrières avaient laissé des flots d'envies s'engouffrer dans cette brèche, libérant des années de désirs contenus et de frustration sexuelle. 

 

Qu'on n'aille pas croire que je me cherche des excuses, mais lui fourrer ma tronche entre les cuisses n'était vraiment pas prémédité. Ça n'a été, en fait, que l'aboutissement d'un concours de circonstances. En la forçant plus ou moins à visionner les photos de mon gangbang, je cherchais seulement à faire d'elle le témoin involontaire et contraint de mon inconduite et d'une débauche dont je suis assez fier. Accessoirement, c'est vrai, je cherchais aussi à la choquer, à la scandaliser. En dépit de sa précédente expérience, lors de ma partie de cul avec Gabriel, je ne m'attendais pas à ce que la contemplation des photos de mon gangbang la fasse si radicalement basculer à son tour dans une telle impudeur, puis, nos excitations respectives s'alimentant mutuellement, qu'elle se laisse aller à un comportement lubrique aussi débridé. Finalement, je suis plutôt content d'avoir contribué à forcer les défenses morales, la pudeur et les inhibitions de cette "mère la rigueur", et d'avoir fourré ma langue dans la chatte et sucé le clito de ce soit disant modèle de vertu

 

Un fois rentré chez moi et reconnecté au cloud de Guy, je m'aperçois qu'il a continué à y loger d'autres vidéos. Je commence à les télécharger. Pendant qu'elles se copient sur mon ordi, je lis tranquillement son mail:

« Salut.

Comme convenu avec Philippe, je t'envoie les vidéos que j'ai faites. 

Franchement, quand je revois ça, pas de doute, tu es bien la plus grosse salope que j'ai jamais vu. 

Il y a aussi un fichier de photos compressées, joint à ce mail. 

A Philippe et à toi, je les envoie sans les flouter.

Les vidéos, tu les trouveras sur mon cloud. 

Le lien pour y accéder: YYYYYYYYYYYYY

Le code d'accès: grossesalope

J'attends les vidéos de Jérôme.

Quand j'aurais tout, je me chargerai de flouter les tronches sur les vidéos et les photos avant de les diffuser à tout le monde. 

A +, grosse salope »

 

Quand je me remets à visionner les premières vidéos de Guy, je ne tarde pas à m'apercevoir que je n'arrive pas à fixer mon attention sur l'écran de mon ordinateur. Constamment, ce qui s'est passé ce soir avec ma voisine me revient à l'esprit: la façon dont elle s'est mise à examiner consciencieusement mes photos, son regard intéressé par ma queue, sous le voile transparent de ma nuisette, sa soudaine et irrépressible envie de se caresser en ma présence, la pression de sa main sur la mienne pour que je continue de la masturber, sa précipitation à m'entraîner sur sa terrasse pour que je lui bouffe la chatte, sa posture d'une totale impudeur dans sa balancelle, cuisses grandes ouvertes, chatte offerte, la manière dont elle a écarté sa touffe et ses petites lèvres pour me montrer son clitoris et son vagin humides de désir, ses mains sur ma tête et ses cuisses qui me pressent les joues pendant que je la lèche et que je la suce, et enfin son violent orgasme. J'ai beau passer en revue tout ce qu'il y a de déplaisant en elle, aussi bien physiquement que mentalement, pour me convaincre que cette séance de broutage de minou était une erreur, un accident à oublier rapidement, rien n'y fait, la revivre en pensée m'excite plus que le visionnage de ma propre débauche. Je bande. Elle, ses pulsions sexuelles l'ont irrésistiblement submergée, annihilant sa morale, sa fierté et sa pudeur et concentrant tout son être dans son entrejambe embrasé. Et moi, je me suis soumis aux signaux lubriques et indécents que tout son corps m'envoyait: la chaleur de son pubis sous ma main, le contact de mes doigts avec son fluide vaginal, le gonflement de son clitoris sous mon majeur, la vision de sa vulve béante, de ses lèvres luisantes … hhhmmmm, le souvenir de ma bouche embrassant, léchant, fouillant son entrejambe chaud et humide, et de ma langue lapant sa sève jusque dans son vagin brûlant … 

 

Curieusement, tout ça ne m'avait pas donné le moins du monde envie de la pénétrer, de m'accoupler avec elle. Non, seulement de lui bouffer la chatte ! Elle aussi, apparemment, n'avait eu en vie que de ça. 

 

Alors, je n'insiste pas avec les vidéos de Guy, et je les laisse se charger toutes seules sur mon ordi. Je les regarderai plus tard. Allongé sur mon canapé, je me contente de me tripoter en rêvassant à la chatte de Yolaine. C'est la première fois que je vois une femme mouiller d'excitation à ce point. Si les femmes peuvent simuler un orgasme, elles ne peuvent pas simuler le désir qui leur tenaille le ventre. 

 

Les émotions et les débordements sexuels de cette journée finissent par avoir raison de moi. Je m'endors.

 

Dimanche 1er octobre.

Il est déjà dix heures quand je me réveille. Dehors, il fait aussi beau qu'hier et je décide de prendre mon petit déjeuner au jardin. Il fait même étonnamment chaud pour un milieu de matinée à cette époque. J'ôte mon peignoir et je me laisse chauffer par les rayons du soleil à travers ma nuisette. C'est dans des instants comme ça que j'aimerais qu'il y ait un homme à la maison. Là, tout de suite, j'aimerais m'agenouiller devant lui, lui écarter les cuisses, et m'occuper de son sexe pendant qu'il boit son café: lui lécher la verge, lui peloter les couilles, et, une fois qu'il serait raide, prendre son gland dans ma bouche et lui tailler une pipe. A cette évocation, je me remets à bander. 

 

Mon petit déjeuner avalé, je retourne à mon ordinateur. Pendant la nuit, il a apparemment fini de charger les vidéos du "comptable". Je commence à les regarder. Oh putain ! Les mêmes scènes sont beaucoup plus bandantes en vidéo qu'en photo. Si je montre ça à Yolaine, je suis sûr qu'elle me demande de lui brouter encore le minou ! Je referme mon ordi, je remets mon peignoir et j'ouvre ma porte pour aller frapper à celle de la voisine. 

 

Stoooooop !!!!!!

 

Devant chez elle, la voiture de sa fille. Elle est là depuis quand ? Je ne l'ai pas entendue arriver. Si ça se trouve, hier soir, sa mère l'attendait vraiment ! Bon, j'irai lui proposer mes vidéos une autre fois. Je redémarre mon ordi et je reprends leur visionnage. En moins de dix minutes, des envies de bite se mettent à me tarauder. Et si j'appelais les étalons qui m'ont baisé hier. Sur les trente, j'en trouverais bien un disposé à me fourrer aujourd'hui. Bientôt onze heures. C'est raisonnable, il doivent tous être réveillés et levés, je peux me permettre de téléphoner. Je commence par Philippe:

- Philippe ?

- Ouais.

- C'est Marin.

- Ah ! Salut.

- J'ai encore envie.

- Hein ? ! ? ! 

 

Ce "hein ? ! ? ! ", ce n'est pas parce qu'il n'a pas compris, c'est un "hein" de stupéfaction.

- J'ai encore envie de me faire baiser.

- Rhôôôô ! Tu déconnes …

- Non. J'ai commencé à regarder les vidéos de Guy et ça m'a redonné envie. Il faut que je me fasse baiser ! Tu veux bien ?

- …

- Philippe ?

- Ouais.

- Alors, tu veux bien me baiser ?

- Ben, écoute, je … je peux pas, là. T'en as pas eu assez, hier ?

- Hier, c'était hier. Aujourd'hui, je voudrais qu'un mec me baise. 

- Moi, je peux pas. Il y a ma femme … déjà qu'hier j'étais pas là … Et puis, je dois me reposer, demain je bosse. Appelle les autres, tu as leurs numéros. 

- Et si ils ne veulent pas non plus ?

- Si ils ne veulent pas, repose-toi, ou branle-toi, ou va draguer … Désolé, hein.

- Je comprends.

- Bon. Tu m'excuses ? Faut que j'y aille.

- Ouais. Euh, attends un minute.

- Quoi.

- La liste que tu m'as donnée … la moitié des noms, je sais pas qui c'est.

- Et ?

- Et le connard avec qui je me suis frité pendant le repas … tu vois qui ? 

- Ouais, c'est Rudy.

- Ah, voilà. Lui, je veux plus avoir à faire avec lui.

- Ah OK ! Ben voilà, c'est Rudy. Bon, je te laisse.

 

Terminé. Hier matin, il était plus prévenant quand il m'a pris contre cette table ! Bon. Alors, j'appelle Sam. Sa grosse bite. Merde, boîte vocale. Je laisse un message. 

 

Après … après, je prends la liste dans l'ordre. A une … deux … trois exceptions près, ce n'est que des numéros de portables. Le premier après Philippe, c'est Jean-Claude. Je passe, je sais que ce n'est pas la peine, il ne voudra pas. Ensuite, Alexis, le traiteur.

- Alexis ?

- Oui.

- C'est Marin.

- Marin ?

- Oui. Hier, je t'ai sucé … chez Jean-Claude.

- Ah oui. 

- Je peux venir te voir ?

- Quand ?

- Aujourd'hui.

- Ah non. Je travaille.

- Un dimanche ?

- Oui, je livre pour un anniversaire.

- Après. Cet après-midi.

- Non, non. Cet après-midi, j'ai encore du boulot. Ranger, nettoyer et après, dormir. Cette nuit, pour préparer ma commande pour aujourd'hui, je me suis couché à quatre heures et relevé à sept.

- Demain, tu bosses ?

- Non, le lundi, je bosse pas, mais je me repose le matin et l'après-midi, je range et je commence à préparer ma semaine pour la boutique. 

- Quand, alors ?

- Quand je serai libre, je t'appellerai.

- Sûr ?

- Oui, sûr !

 

Les trois suivants, Daniel, Christophe et Marc, je ne sais même pas qui c'est. Les deux premiers, c'est leur répondeur. Je ne laisse pas de message. Chez Marc, personne et même pas de répondeur ! Le suivant, c'est Kevin. Ah, lui, je sais qui c'est: c'est lui qui a voulu me "faire un petit" ! Lui, il va sûrement avoir envie de me baiser. J'appelle.

- Allô ?

 

C'est une voix féminine.

- Oui, bonjour. Je suis bien sur le téléphone de Kevin ?

- Oui. Vous lui voulez quoi ?

- Je pourrais lui parler ?

- Il est sous la douche. Vous êtes qui ?

- Je m'appelle Marin.

- KEVIIIIIIIINNN ! Y'a un certain Marin qui veut te parler !

 

Elle m'a fusillé l'oreille en braillant comme ça. J'entends, faiblement, une voix qui répond "j'arrive !". Cinq secondes de silence, puis:

- Marin ?

- Oui.

- Qu'est-ce tu veux ?

 

Il chuchote et il doit mettre sa main devant sa bouche pour étouffer le bruit de sa conversation.

- C'était qui ? C'est ta femme ? Tu es marié ?

- Nan. C'est ma mère. J'habite chez elle. Qu'est-ce tu veux ?

- Je voudrais que tu me fasses encore un petit. C'était bien. 

- …

- Kevin ?

- Ouais. Je … je peux pas. 

- Tu es occupé ?

- C'est pas ça. Je peux pas venir, j'ai pas de bagnole. 

- Si je viens te chercher …

- Nan, nan … une autre fois. Là, je peux pas.

- Tu m'appelles, alors.

- OK. On fait comme ça. Salut.

 

Maintenant, Denis. C'est qui, Denis ?

- Denis ?

- Oui.

- C'est Marin.

- Ah ouais, salut.

 

Ça y est, à sa voix, je le reconnais. C'est le mec un peu mou qui m'a proposé de venir vivre chez lui pour pouvoir me baiser quand il en a envie. Un peu mou, mais je suis sûr que je pourrais m'occuper souvent de sa queue. Il ne demande que ça. Il me semble même qu'il a suggéré de faire venir des potes à lui. Et il a l'air content que je l'appelle. Il enchaîne:

- Je croyais pas que tu m'appellerais.

- Ben tu vois. Tu te doutes pourquoi je t'appelle, non ?

- Euh … je sais pas. Tu veux qu'on se revoie … C'est ça ?

- Oui. Tu m'as demandé si je voulais venir habiter avec toi.

- Ah ouais. Et tu veux ?

- Je veux surtout que tu me baises. Alors oui, je viens chez toi quelques jours si tu me baises.

- Ah ben, OK. 

- Demain ?

- Euh … demain, non. Demain je bosse. Je bosse toute la semaine, en fait.

- Ça fait rien, je serais là quand tu rentres, et comme ça, je suis à ta disposition.

- Euh … faut que je réfléchisse.

- Et tu m'avais demandé si tu pourrais inviter des potes à toi. Tu te souviens ?

- Euh, ouais. Et tu serais toujours d'accord pour que j'en invite ?

- Je te l'ai dit.

- … et qu'ils te baisent aussi ?

- Ben oui. Au contraire, même. Plus il y en a, mieux c'est.

- Bon, ben … laisse-moi le temps de m'organiser. J'ai deux potes au boulot, je suis sûr que ça les intéresserait … et pis, dans mon immeuble, y'en a un, je suis sûr qu'il te baiserait aussi. Bon, laisse-moi un peu de temps et je te rappelle.

- Sûr, hein …

- Ouais, t'inquiète. Je te rappelle dans la semaine.

- OK. Je compte sur toi.

- Dans la semaine, je te dis.

- Bon. Salut.

- Ouais. Bye.

 

Ah, enfin ! Ce n'est pas pour tout de suite, mais il a vraiment l'air décidé, celui-ci. Je vais même peut-être pouvoir m'en taper plusieurs. Voyons si, d'ici là, j'en trouve un autre. Le suivant, c'est Alain. Je ne vois pas qui c'est. De toute façon, il ne répond pas et il n'est même pas sur répondeur.

Ah, Gérard. C'est le petit blond bien monté. Il m'a fait une double sodo avec Philippe. 

- Gérard ?

- Oui.

- Marin.

- Tiens, salut.

- Salut. Tu fais quelque chose, aujourd'hui ?

- Comment ça ? 

- Ben, si tu es libre, on pourrait se voir. J'aimerais bien que tu m'encules encore.

- Aujourd'hui ?

- Oui, aujourd'hui.

- Ha ha ha ha ! Hé, mec, là, c'est dimanche et je le passe en famille. Avec ma femme, on va manger chez mes beaux-parents. Une autre fois, hein. 

- Bon, je peux t'appeler quand ?

- Je … je sais pas. Moi, je t'appellerai.

- Sûr ?

- Ouais, sûr !

- Bon. Bon dimanche.

- Merci.

 

Ça commence à me soûler. Que des râteaux ! Le suivant, c'est Angelo, le type qui a des ailes tatouées sur le bas ventre. Lui, il devait me faire une double sodo avec "le comptable", mais il était trop excité et il a éjaculé avant d'avoir eu le temps de me pénétrer. Celui-ci est assez vulgaire, mais ce qui m'intéresse chez lui, c'est sa queue, pas ses bonnes manières.

- Ouais ?

- C'est Marin.

- Marin … la lopette ?

- Oui, Marin la lopette.

- Qu'est ce tu veux ?

- Me faire baiser.

- Encore ?

- Oui.

- Hé ! Hier, tu t'es fait baiser vingt fois … au moins !

 

" Vingt fois ! ". Au moins quarante fois, oui !

- J'ai encore envie.

- Ouais, ben … pas par moi.

- Pourquoi ?

- Parce que !

- T'as pas envie, ou tu peux pas ?

- Je … qu'est-ce tu … tu vas … non, mais …

 

Je ne sais pas ce qu'il a compris, mais visiblement, il est furax et il s'étrangle:

- Hé, connasse, va t'faire enculer !

 

Et il raccroche.

 

Manoel, maintenant. Ah, le beau macho velu comme un ours. Lui, il m'a dit qu'il avait besoin de tirer un coup tous les jours. Contrairement aux précédents, le simple fait de composer le numéro de celui-ci me provoque des espèces de petits frissons de plaisir dans la rondelle et la prostate.

- Manoel ?

- Oui.

- Marin … tu sais, hier, tu m'as …

- Oui, oui, je sais qui tu es.

- Tu voudrais bien encore me baiser ?

- Euuuuuh, oui.

- Aujourd'hui ?

- Ah ah ah ah ah aaaaah ! Aujourd'hui ?

 

Ça le fait marrer.

- Oui, aujourd'hui.

- Ça va pas être possible.

- Ah !

- Oui, aujourd'hui, je suis avec une copine. Mais, tu as encore envie ? Je veux dire … déjà ?

- Oui.

- Philippe, il t'a pas donné une liste ? Il a fait une espèce de liste, avec tous les mecs qui étaient là hier … il te l'a pas donnée ?

- Si, si.

- Appelles les autres … moi, aujourd'hui, je peux pas.

- Je les appelle, les autres. Ils ne peuvent pas non plus.

- Ça t'étonne ? C'est trop tôt. Tu nous a tous vidé les couilles … deux fois pour moi et sûrement pour quelques autres… peut-être même trois fois pour certains… Faut que tu attendes un peu. Laisse nous quelques jours. T'as pas un godemiché ?

- Si. 

- Ben, si tu as le feu au cul à ce point, tape-toi ton godemiché.

- Mouais, c'est pas pareil.

- Je sais bien, mais si c'est seulement d'un mec que tu as besoin, va faire le trottoir au bois. Comme ça, tu trouveras sûrement.

- J'y penserai. Bon, quand tu as besoin de tirer un coup, pense à moi.

- Sans problème.

- Salut.

- Salut.

 

Pfffff ! Il a peut-être raison. Les types qui m'ont baisé chez Jean-Claude ont besoin de se remettre. Alors, ce n'est peut-être pas la peine d'insister auprès de mes autres étalons d'hier. Ça me faire chier de devoir les appeler les uns après les autres. Et surtout de me ramasser râteau sur râteau. En tout cas, même si c'est pas demain ou dans les deux ou trois jours, je suis presque sûr que le Denis va organiser quelque chose d'ici à la fin de la semaine. En attendant, je pourrais peut-être trouver quelqu'un d'autre. Le premier à qui je pense, c'est Thomas. Thomas, c'est le premier mec que j'ai sucé et qui m'a baisé. Et ça, c'était … il y a à peine trois mois ! Putain, quel chemin parcouru depuis cette première pipe et cette première sodomie ! Et combien de mecs qui m'ont fourré leur bite dans la bouche ou dans le cul ! C'est aussi Thomas qui m'avait "offert" Gabriel, le grand black si bien monté. Curieusement, je n'avais encore jamais pensé à recontacter ce "premier coup". Il faut dire que depuis, les occasions et les mecs se sont succédés sans pratiquement aucun temps mort. Et pour je ne sais quelle raison, même si l'idée m'était venue, je n'aurais pas osé appeler ce mec. Mais là, je suis tellement en manque et j'ai un tel besoin de bite que …

- Allô, Thomas ?

- Oui.

- C'est Marin. Tu te souviens de moi ? On s'était vus, début juillet, il me semble, et tu avais passé deux jours chez moi.

- Ben oui, je me souviens. Evidemment. D'ailleurs, tu ne m'as pas raconté comment ça s'était passé avec Gabriel.

- Ah oui. Merde. Excuse-moi, je n'ai pas pensé à te rappeler. Et à te remercier. Désolé.

- Pas grave. Lui, il m'a fait un compte-rendu. D'après lui, tu étais TRÈS content.

- Oh oui. C'était … c'était vraiment TRÈS TRÈS bien. Je pense que vous deux, vous m'avez rendu … accro.

- Accro ?

- Oui, accro à la bite. 

- Ah bon ?

- Oui, je … je ne peux plus m'en passer.

- De ? De Gabriel ?

- Non, de la bite.

- Ah ouais ?

- Oui. D'ailleurs, je t'appelais pour ça … pour savoir si tu ne voudrais pas … euh … recommencer.

 

Il rit.

- Ah non. Désolé. Ne le prends pas mal, ça n'a rien à voir avec toi. C'est juste parce que depuis, je me suis remis en couple. J'ai rencontré quelqu'un en août, et maintenant, on vit ensemble.

- Ah bon.

- Et toi, tu n'as pas rencontré quelqu'un ?

 

Rencontré quelqu'un ? Oh que si, j'ai rencontré quelqu'un. J'en ai même rencontré quelques uns. Je pense que ce n'est pas de parties de culs à plusieurs qu'il parle, mais plutôt de vie de couple. Alors, sans doute pour les mêmes raisons qui ont fait que je n'avais pas osé le rappeler, je m'abstiens de lui raconter quelle salope nymphomane je suis devenu. Alors, j'élude:

- Non, je n'ai rencontré personne.

- Toujours trop timide pour faire le premier pas ?

- Ça doit être ça. 

- Pourtant, je suis sûr que, si tu voulais faire un effort, tu ferais des rencontres. Tu as un "je ne sais quoi" qui attire des mecs comme moi.

- Tu crois ?

- Oui. Excuse-moi de te dire ça, tu as quelque chose de …j'allais dire "quelque chose de féminin", mais c'est pas ça. C'est plus … animal ? Non, pas exactement. Aguichant ? Provoquant ? C'est pas ça non plus, puisque moi, tu ne m'as pas aguiché ou provoqué. C'est quelque chose entre animal et sensuel, qui fait que, quand on te rencontre, on se sent tout de suite attiré. Sexuellement, je veux dire. On a tout de suite envie de … de sexe avec toi. Tu vois ce que je veux dire ?

- Je crois, oui. D'ailleurs, on m'a déjà plus ou moins fait comprendre ça.

 

Tu parles, Charles ! Bon, mes routiers slovaques, c'est sûr, je les avais aguichés, provoqués. Les handballeurs blacks qui m'ont violé à l'hôtel aussi, d'une certaine manière. Mais Philippe, qui passe à côté de moi à vélo le long de ce canal, et qui me propose immédiatement sa queue, c'est exactement ce que m'explique Thomas. Et la bande de mecs qu'il réunit pour moi dans la ferme de Jean-Claude, eux aussi ont tout de suite eu envie de sexe avec moi. Certes, eux et moi étions là pour ça, mais je n'ai pas eu besoin de leur faire un numéro de strip-tease pour qu'ils aient envie de me sauter dessus. Thomas poursuit:

- Bon, fais un effort, va vers les autres. 

- Je vais y penser.

- Bon, je te laisse. Sans rancune, hein.

- Pas de problème. Salut.

- Salut.

 

Mais au fait, il y a aussi le black costaud qui m'avait baisé avec ses potes à l'hôtel ! Celui-là a une bite énorme, et vu qu'il m'avait laissé son numéro de téléphone, c'est qu'il avait envie de recommencer. Et puis, par son intermédiaire, je pourrais peut-être entrer en contact avec toute son équipe de handballeurs et me faire de nouveau passer dessus par toute leur bande. En partant, il m'avait laissé son numéro sur un petit bout de papier. J'en ai fait quoi ? Je fouille mon baise-en-ville. Rien. Merde, j'espère que je ne l'ai pas foutu en l'air. J'enfile mon peignoir et je sors dans la cour pour chercher dans ma voiture. Je suis à genoux sur le siège du passager, en train de fouiller ma boîte à gants, quand la porte de la voisine s'ouvre. Sa fille et un jeune type que je ne connais pas sortent. Ils me découvrent, encore en peignoir à presque midi, et me regardent, les yeux ronds. Je me redresse et:

- Bonjour.

 

Ils me sourient:

- Bonjour.

- Bonjour. 

 

Yolaine sort à son tour, me voit, fronce les sourcils et détourne la tête, faisant semblant de m'ignorer. La garce ! Alors, tandis qu'elle ferme sa porte, je lui lance:

- Bonjour, Yolaine ! Tu vas bien ?

 

Elle se tourne vers moi, me fusille du regard, hausse les épaules, mais ne me répond pas. Sa fille la regarde, me regarde, visiblement étonnée que j'aie tutoyé sa mère et qu'elle ne réponde pas à mon salut. A son tour, elle hausse les épaules avec une mimique à mon intention pour me signifier qu'elle ne comprend pas, et, sa mère s'étant engouffrée dans sa voiture, elle fait de même, ainsi que son copain. La fille démarre, manœuvre et la voiture s'éloigne. Quelle salope, la Yolaine ! Quand je pense qu'hier soir, elle écartait les cuisses pour que je lui bouffe la chatte ! 

 

Ah, tiens, dans le vide-poches de ma portière, voilà le papier avec le numéro de téléphone du costaud black. Aussitôt, je fonce chez moi et je reprends mon téléphone. Je ne sais même pas comment il s'appelle, mon black costaud:

- Allô !

- Ouais !

- Salut. Je ne sais pas si tu te souviens de moi … Tu m'as baisé, avec tes copains handballeurs, dans un hôtel à …

- Ouais, je vois qui tu es. Alors, tu vas bien, ma poule ?

 

Instantanément, en reconnaissant sa voix et cet accent antillais si particulier, un flot de souvenirs me submerge: ses cuisses musclées encadrant sa longue et grosse queue en érection au moment où, soulevant le bandeau que ses potes avaient mis sur mes yeux, il voulait me montrer avec quoi il allait me violer; sa superbe paire de couilles pendant dans ses bourses; sa touffe de poils noirs et crépus – je me souviens qu'à ce moment, bien qu'encore étreint de peur, quelque chose, tout au fond de moi, avait commencé à avoir envie de se faire pénétrer par ce magnifique organe reproducteur - ; la pression de ses mains sur mes hanches quand il s'est apprêté à me prendre en levrette ; ses caresses sur ma taille, mes hanches, mes reins et jusque sur mon ventre, une fois sa queue bien calée au fond de mes chairs … Et à cette évocation, comme une décharge d'envie, de désir, me saisit le bas ventre et l'anus.

 

- Ça va, merci. J'ai envie que tu me baises encore.

 

Il éclate de rire. Oui, je lui ai déclaré mon envie directement. Foin de dignité, après m'être comporté avec ses coéquipiers et lui comme une femelle en chaleurs dans cette chambre d'hôtel. J'insiste:

- Alors ? Tu voudrais bien encore me baiser ?

- Ben dis donc, tu n'es pas rancunier.

- Ben non. Pourquoi je serais rancunier ? J'ai aimé ce que vous m'avez fait.

- Oui, mais on t'a quand même un peu forcé.

- Ça aussi, j'ai aimé.

- Alors, ça t'a vraiment plu, ce qu'on t'a fait, ce jour là ?

- Oui, et je voudrais bien que vous recommenciez.

- Avec mes copains ?

- Avec tes copains, ou seulement avec toi. Mais avec tes copains si tu préfères et si ils en ont envie.

- Tu voudrais qu'on te … qu'on te baise encore … à cinq ou six … je sais plus combien on était …

- Oui. Vous étiez six au début et vous avez été en chercher deux autres après.

- Ah oui, c'est vrai. Alors huit mecs, ça te ferait pas peur …

- Non. Plus de huit, même, si … si d'autres sont intéressés.

- Ah bon. Tu sais, ce jour-là, à l'hôtel, on était … on est une équipe de handball, et …

- Je sais.

- Ah bon, tu sais ?

- Oui. Ils me l'ont dit, à la réception.

- Ils t'ont parlé de nous à la réception ?

- Oui, après votre départ, j'ai demandé qui vous étiez. On m'a dit que vous veniez de gagner une compétition.

- Ah bon, tu t'es renseigné ? Enfin, c'est normal. Bref, on était un peu partis en vrille … l'excitation de la victoire, le Champagne, quelques pétards … on savait plus vraiment ce qu'on faisait et on a un peu franchi la ligne jaune. Et on a presque tous regretté de t'avoir ...

- Pas moi.

- Ah bon ? Enfin, après, plusieurs d'entre nous ont eu peur que tu portes plainte. Tu avais de quoi, avec ce qu'on t'avait laissé.

- Ce que vous m'aviez laissé ?

- Oui, comme traces ADN, je veux dire … sur les liens … et … et nos spermes sur toi … et dans toi …

- Ah oui. Ben tu vois, je n'ai pas porté plainte. Au contraire, je voudrais que vous recommenciez.

- Ecoute, c'est marrant, parce qu'on s'était mis d'accord pour garder ça secret, mais un de nous en a parlé à d'autres membres du club, et ça s'est su. Et plusieurs de ceux qui étaient absents ce jour-là nous ont dit qu'ils regrettaient de ne pas avoir été là, et qu'ils auraient bien voulu participer … avec toi, hein, je veux dire … Ils auraient voulu qu'on te contacte, mais on n'avait pas pris tes coordonnées.

- Ah bon ? Alors ?

- Alors, je sais pas … comme tu me dis que tu voudrais recommencer … peut-être que je pourrais leur en parler. T'en dis quoi ?

- J'en dis D'ACCORD !

 

Il marque un temps. Puis:

- T'es d'accord ?

- Oui.

- Mais … tu sais pas … tu sais pas quand, ni où … ni quels … ni quels mecs, ni combien … 

- Quels mecs et combien, je m'en fous. Quand et où, c'est toi qui vois. Je te fais confiance. Le plus tôt est le mieux.

- Bon … bon, ben, je m'en occupe, et je te tiens au courant.

- Vite, hein …

- Pardon ?

- Fais vite … 

- Ah ouais.

- Et … en attendant, tu voudrais pas … toi tout seul ?

 

De nouveau, il éclate de rire:

- Tu sais, j'ai pas trop le temps. Avec le boulot, le sport, ma copine …

- T'as une copine ?

- Oui, j'ai une copine. Mais ça fait rien, c'est pas ça qui m'empêche. Je suis bi et elle le sait. Ça lui plaît pas trop, mais elle ne veut pas me quitter pour ça. J'ai des arguments.

- Des arguments ?

- Ouais. Les mêmes qui t'ont poussé à m'appeler.

- Ah, je vois. Ta queue et tes couilles ?

- Voilà. Enfin, bon, je vais voir ce que je peux faire pour toi.

- Tu veux dire en plus de tes potes de handball ?

- Oui. Si je trouve un moment, je veux bien te voir tout seul.

- Pour me baiser ?

- Oui, pour te baiser.

- Et … et je pourrai te sucer, avant ?

- Oui, tu pourras me sucer.

- Ah merci. Je te donne mon numéro …

- Pas la peine, il s'est enregistré tout seul dans mon répertoire. J'te rappelle. C'est bon ?

- C'est bon.

- Alors salut.

- Salut.

 

Ah, putain, je bande et ma queue a déjà un peu bavé. Ce mec va encore me baiser. Merde, je ne sais toujours pas comment il s'appelle. Je n'ai pas pensé à lui demander. 

 

Et brusquement, par une espèce d'association d'idées, je me souviens de ce gros type crade, rencontré à côté d'un jardin public de L.F., peu de temps avant de me faire choper à l'hôtel par cette équipe de blacks en rut. Curieusement, ce mec, après l'avoir rencontré, tout en me remémorant son aspect négligé et peu ragoûtant, je ne sais quoi avait commencé à me titiller la tête de temps à autres … Venant de me constituer des souvenirs autrement agréables, je n'avais eu aucun mal à chasser le sien de mon esprit. Mais il revenait, sans raison, de loin en loin … Et peu à peu, les images de son sexe, tout pâle et quelconque, de sa toison rousse, de son ventre gras, s'étaient imposées de plus en plus fréquemment à mon esprit … Alors, c'est sans aucune réticence que je compose son numéro. Celui-ci, c'est sûr, il acceptera de me baiser rapidement:

- Allô ?

- Salut. Je ne sais pas si tu te souviens de moi. On s'est vus, il y a à peu près trois semaines, près du jardin public, là où tu habites … Tu sais, dans ma voiture … j'étais tout en rouge … en mini jupe …

 

Un silence et :

- Ah oui !

 

Je le sens étonné de mon appel.

- Tu avais envie de me revoir, non ?

- Ah oui ! Je …

- Tu veux me revoir ?

- Oui, oui, mais … vous … vous aviez dit … je croyais pas … pourquoi …

 

Ça le perturbe, je lui avais dit que sa queue ne me plaisait pas. Je le coupe :

- Pourquoi, pourquoi … Tu avais envie de me faire des choses, non ? Ou que moi, je t'en fasse …

- Oui, oui …

- Ça te dit toujours ?

- Ah ben … oui … Mais vous aviez dit que …

- Je sais ce que j'ai dit ! Cherche pas, mec ! Si ça te dit toujours, je viens.

- Ah … ben d'accord … quand …

- Ecoute: avant de te dire quand, je veux qu'on se mette d'accord sur comment.

- Euh … oui.

- Comment tu t'appelles ?

- Robert.

 

Ça va bien avec le personnage …

- Bon, voilà, Robert : je t'ai dit, je crois, que je n'aime pas les poils, alors, de préférence, j'aimerais que tu te rases.

- Vous voulez dire … la bite ?

- Oui, la bite, les couilles, tout le paquet, quoi.

- J'ai jamais fait ça.

- C'est pas compliqué, je me fais ça plusieurs fois par semaine. Quelqu'un t'a déjà sucé les couilles ? 

- Euh, non.

- Ça te plairait, que je te suce les couilles?

- Oui, oui !

- Bon, alors, si tu veux que je te suce les couilles, et la queue, évidemment, il faut que tu sois rasé !

- Bon, d'accord.

- Très bien. Deuxièmement, où tu veux qu'on fasse ça ?

- Euh, je sais pas, dans le parc où vous m'avez rencontré.

- Ecoute, je vais encore venir en trav, alors, me balader en trav dans le parc, je veux bien, mais si quelqu'un me voit comme ça, c'est sûr qu'on a les flics sur le dos avant cinq minutes.

- Ben alors, chez moi.

- Tu peux me recevoir ?

- Oui.

 

Il reste sans voix. 

- Je peux venir demain matin, si tu veux.

- Demain ? Euh … oui.

- OK. Donne moi l'adresse.

 

C'est une drôle de sensation. Me voilà prêt à me taper un mec moche, gros, pas très propre sur lui, avec une queue très quelconque. Pourtant, pas de doute, je ressens une certaine excitation d'aller soulager ce paumé. En fait, c'est surtout moi, que j'ai besoin de soulager, et une queue, c'est une queue. Donner du plaisir à une queue moche, d'une certaine manière, c'est pareil que donner du plaisir à une belle grosse queue. Tant mieux si le mec atteint la volupté, c'est même une condition sine qua non, mais ce qui compte vraiment pour moi, c'est l'aboutissement, l'orgasme, la jouissance de la queue, l'éjaculation de la semence … en moi. Je ne pense, en fait, qu'à cet ultime instant.

 

Lundi 2 octobre 

 

De bonne heure, je me prépare: rasage, lavements, toilette. Je décide de porter le haut moulant noir et la minijupe blanche à motifs noirs que j'ai achetés il y a quelques jours, avec, dessous, un simple mini string noir. D'une certaine manière, c'est assez sobre, mais très sexy. Le blanc de la mini jupe fait ressortir le bronzé de mes jambes. Côté accessoires, c'est aussi relativement sobre: rien d'autre qu'un tube de lubrifiant et un paquet de capotes, et je n'emmène que la tenue que je porte. Pas d'autre vêtement, pas d'autre lingerie… 

 

L'adresse qu'il m'a indiquée est dans un quartier miteux de L.F.: trottoirs défoncés, caniveaux plein d'herbe, tags sur les murs, etc. C'est un pavillon des années trente, au crépi grisâtre, éclaté par endroits, au milieu d'un jardin en friche et jonché d'épaves de toutes sortes, casiers à bouteilles, cageots, pièces de voiture, chaises en plastique déglinguées… Le portail métallique est comme la grille, rouillé. La peinture des volets s'écaille. Au moment où je m'apprête à sonner, Robert apparaît à la porte de la maison:

- Entrez … euh, entre, la sonnette marche pas.

 

Anxieux, il observe les alentours. Il doit avoir peur que les voisins voient entrer chez lui cette … créature en mini jupe. Il est encore en survêtement, mais propre cette fois, les cheveux moins gras, une paire de savates informes aux pieds.

 

Je le rejoins sur le perron et nous entrons dans un couloir. La première chose que je remarque, c'est l'odeur: ça sent la crasse, le graillon, la poubelle, la poussière et je ne sais quoi d'autre.

- Je … je ne pensais pas que tu …

- Tu as cru que je ne viendrais pas.

- Oui.

 

Je lui pose la main sur le bas ventre et j'effleure son sexe sous le tissu de son pantalon. 

- Ben tu vois, je suis là.

 

Il est comme saisi que j'entre si rapidement dans le vif du sujet. L'intérieur de la maison vaut l'extérieur: là où le papier peint n'est pas déchiré, il est défraîchi et sale. D'un geste, Robert m'invite à parcourir un long couloir sombre. Au bout, un escalier et deux portes. La première dessert un salon, et par la deuxième, j'ai le temps d'apercevoir une cuisine en désordre. Robert me fait entrer dans le salon-salle à manger. Le mobilier est d'un autre âge, le canapé, meuble apparemment le plus récent est assez crasseux. Ah non, il y a autre chose, qui semble neuf et qui trône face au canapé: un grand écran plat de télé ! Robert explique, Robert s'excuse:

- Je m'excuse, c'est la maison de ma mère.

- Ah ? C'est chez ta mère ? Mais, ça ne te gêne pas, de …, si ta mère est là ?

- Non, non, elle est morte ! Non, mais c'était sa maison.

 

Comme si ça justifiait son état de délabrement.

- Assis-toi sur la banquette.

 

Ah oui, la "banquette", pas le "canapé"  ! Elle doit donc dater de sa mère, la "banquette".

 

Je pose mon sac à dos au pied de la "banquette" et je m'assieds. Ma jupe remonte à l'angle de mes hanches, dévoilant mon string. Robert reste là, debout, bouche bée, bras ballants, les yeux rivés sur mon entrejambe. Il déglutit avec peine :

- Tu … tu veux quelque chose ?

- A boire ?

- Oui.

- Non merci . C'est toi que je veux.

 

Sa mâchoire tombe encore un peu, ses yeux s'écarquillent davantage. On ne lui a sans doute jamais dit un truc pareil !

- Bon, ben, moi, je vais prendre quelque chose.

 

Il fouille dans un buffet Henri II, en sort un verre et une bouteille de whisky, s'en sert une bonne rasade et en avale la moitié. Et le voilà de nouveau debout au milieu du salon, son verre à la main.

- Approche. 

 

Il hésite, se dandine d'un pied sur l'autre.

- Tu n'as plus envie ?

- Oh si !

- Alors, viens.

 

Il s'avance jusqu'à moi. J'attrape la ceinture de son pantalon, et je l'attire vers moi, entre mes pieds. Il avale son reste de whisky. Je passe de nouveau ma main sur son bas ventre. Je sens son sexe sous le tissu. A mon avis, il ne bande pas. Je me demande si … mais oui, il tremble ! Je lui prends son verre des mains et je le pose au pied de la "banquette". J'approche mon visage de son bas ventre et je pose ma bouche sur la bosse de tissu que fait son sexe, je la parcours des lèvres. Hhhhmmmm ! Là-dessous, il y a une queue ! Une queue très quelconque, mais une queue que je vais faire bander, que je vais tripoter, que je vais sucer, qui va me rentrer dans le cul et que je vais faire jouir et cracher sa semence ! J'écarte mon visage de son ventre:

- Ne t'inquiète pas, Robert, ça va aller. Je vais m'occuper de toi. Pense seulement à ton plaisir.

- …

- Tu as envie de quoi ? 

- …

- Tu veux que je te suce ?

 

Il hoche la tête.

- Alors, je vais te sucer. Après, si tu veux, tu me baiseras. Ça te dit, de me baiser ?

 

Il hoche de nouveau la tête. Je saisis la ceinture de son pantalon de survêtement et je la descends, lentement, sur ses cuisses. Dessous, il porte un caleçon qui sent le neuf. Il a dû l'acheter pour me recevoir.  Je descends aussi le caleçon. Son ventre rebondi apparaît, tout pâle, puis son pubis, rasé, et enfin, sa queue. Elle est toute petite, plus petite que l'autre jour, près du jardin public. Elle est ratatinée et, à cet instant, sa verge ne doit pas mesurer trois centimètres. Il a peur. Je la caresse :

- C'est bien, tu t'es rasé.

- Ce matin …

- Hhhmmmm, tu sens bon la mousse.

 

Je m'approche encore, et je prends son gland dans la bouche. Des lèvres, je fais quelques courts va et vient le long de sa verge. Je le sors de ma bouche, je le décalotte et je passe ma langue tout autour de son gland. Ça y est, sa queue commence à grossir et à s'allonger. Je sens ses jambes trembler.

- Allez, viens, assieds-toi.

 

Il se pose à côté de moi. Je me lève, je me penche sur lui et j'entreprends de lui ôter son pantalon.

- Aide moi.

 

Il soulève son bassin, je finis de le déculotter et je jette son pantalon et son caleçon sur le canapé. Il est pétrifié. Je lui écarte les jambes, et je m'agenouille entre ses cuisses. Il respire bruyamment par la bouche. Je joue un peu avec son sexe, puis je le plaque d'une main sur son ventre, et je m'approche de son entrejambe. Je n'y avais pas fait attention l'autre jour, mais il a des couilles étonnamment grosses par rapport à sa queue ! Je me dis que je vais peut-être avoir du mal à les lui sucer. Mais si elles contiennent du sperme en proportion … hhmmmm ! Je les dégage d'entre ses cuisses, je tire doucement dessus, et je passe ma langue sur les deux. Enfin, j'ouvre la bouche en grand et j'en gobe une sans trop de mal. C'est tout chaud, et sous ma langue, je sens son testicule qui bouge à l'intérieur de sa bourse. Très agréable. Dans ma main, je sens sa bite gonfler. J'ouvre davantage la bouche et, tant bien que mal, j'essaie de gober son autre couille. Bien que la peau de ses bourses soit très souple et extensible, je ne parviens pas à prendre les deux dans ma bouche. Je me contente d'intervertir et je fais rouler un moment sa grosse olive sous ma langue. Cette fois, il bande vraiment. Je sors sa prune de ma bouche :

- Tu vois, je t'avais dit que je te sucerais les couilles. Tu aimes ça ?

- Ouiihhhhhh !

 

C'était un murmure. 

- Moi aussi, ça me plaît de te sucer les couilles. Dis donc, qu'est-ce qu'elle sont grosses ! J'aime les mecs qui ont des grosses couilles comme toi ! Ce sont des mâles, des vrais mâles, et j'aime les mâles ! Je vais te les vider, tes couilles, je vais te faire cracher tout ce qu'il y a dedans !

 

Il me regarde, les yeux ronds.

- Je te suce, maintenant ?

- Ouiihhhhhh !

 

Un nouveau murmure. Alors je le prends doucement dans la bouche et je commence une lente fellation. J'ai envie que ça dure, j'ai envie qu'il en ait pour son plaisir.

 

Mais soudain, il se raidit, repousse brusquement ma tête et, le ventre tendu comme un arc, il jouit en haletant. Sa queue répand un flot de sperme sur son ventre, sur le haut de ses cuisses, et ça ruisselle jusque sur le canapé ! Impressionnant ! Enfin, essoufflé, il s'écroule dans le fond de la banquette :

- Ah, je m'excuse, j'ai pas pu …

- Mais, ne t'excuses pas. Ce n'était pas pour mon plaisir à moi, que je te faisais ça, c'était pour le tien. Alors du moment que ça t'a plu … Ça t'a plu ?

- Oh oui ! Mais j'aurais voulu …

- Tu aurais voulu quoi ?

- Tenir plus longtemps … pour pouvoir …

- … pour pouvoir me baiser après. C'est ça ?

- Ouiihhhhhh !

- Tu me baiseras. Tu vas reprendre tes esprits, et quand ça ira mieux, cette fois, tu me baiseras.

- Ah ? Tu ne pars pas ?

- Non, pas tout de suite. 

- Ah bon.

- Tu te sens capable de tirer un autre coup ? 

- Je … je sais pas.

- Mais si, tu vas voir, je vais t'aider.

 

à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mardi 12 juillet 2016 2 12 /07 /Juil /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Après le gangbang chez Jean-Claude … MON gangbang … je mets plus d'une journée pour redescendre.


Oui, "redescendre", c'est l'expression qui me vient naturellement à l'esprit. Ça n'a rien à voir avec la violence et le manque que doit ressentir un junky quand les effets de son shoot se dissipent. Moi, c'est très soft comme descente, et même plutôt agréable. 

 

Le soir même, il m'est impossible de passer brusquement de cette journée de baise frénétique à une vie "normale" … Ce gangbang est bel et bien terminé, mais je me ressens toujours comme cette espèce de femelle nymphomane que j'ai été tout au long de la journée, comme cette salope hystérique qui a offert son cul à une trentaine d'étalons en rut pour se faire baiser. D'ailleurs, je n'envisage à aucun moment de me changer en cours de route pour arriver chez moi habillé en mec. Toujours désinhibé et passablement excité, l'idée d'être surpris dans cette tenue par des connaissances me procure de délicieuses poussées d'adrénaline. En fait, seule mon arrivée dans ma rue pourrait être un peu "chaude" … Mais basta, on verra bien …


Et bingo ! En arrivant sur la cour commune que je partage avec deux voisines, l'une d'elles, Yolaine, est justement là, en train de décharger des courses de sa voiture. C'est elle qui m'a surpris en train de me faire baiser dans mon jardin par Gabriel, le colosse black. Très excitée par le spectacle que nous lui donnions, elle avait même fini par se caresser en nous regardant. Mais là, tout de suite, je dois décider très rapidement si je lui révèle ou pas, qu'en plus de m'être fait baiser par ce black, je me balade en travelo. En soi, lui révéler que je suis un trav me plairait bien – sans doute le plaisir de choquer une fois de plus cette catho coincée – mais cette fois, je cours le risque qu'elle parle. L'autre jour, avec Gabriel, compte tenu des circonstances inavouables de sa découverte, j'étais sûr qu'elle garderait le silence … mais là ? Là, tout ce qui pourrait la retenir de parler, c'est le caractère incroyable de cette nouvelle découverte … "incroyable "au sens propre: compte tenu de mon image et de ma réputation dans le village, personne ne pourrait la croire si elle racontait qu'elle m'a vu rentrer chez moi habillé en salope. Elle passerait non seulement pour une langue de vipère, mais surtout pour une mythomane.


En une fraction de seconde, ma décision est prise: je fais le pari qu'elle ne parlera pas et je me montre à elle dans cette tenue. Une nouvelle bouffée d'adrénaline me submerge …


Alors, je me range comme d'habitude, à quatre ou cinq mètres d'elle. Et alors que je coupe le moteur et que je détache ma ceinture, une idée folle s'impose à mon esprit: et si, en plus, je lui racontais à quoi j'ai passé ma journée … Je jette un coup d'œil vers elle: penchée dans le coffre de sa voiture, elle remplit un panier. Oh, putain, ça me plairait … lui dire que cette fois, ce n'est pas un grand black qui m'a baisé, mais une trentaine de mâles ! Est-ce qu'elle peut imaginer ça ? Rien chez elle n'évoque le sexe, encore moins la luxure. Son physique sans grâce ni féminité, n'inspire aucun désir. C'est le genre à n'avoir eu qu'un homme, son mari. Je ne suis même pas sûr qu'elle puisse envisager qu'une femme veuille se donner à plusieurs hommes en même temps … alors un homme ... et à une trentaine d'hommes … Il y a deux mois, me voir de ses propres yeux forniquer avec Gabriel a dû être une découverte absolue pour elle. Cela dit, je dois admettre que sa réaction, quand elle s'est ouvertement donné du plaisir en regardant mon beau black me ramoner, a été à l'opposé de ce que j'aurais pu imaginer de sa part. Alors, peut-être que ça lui plairait, ou du moins ça l'intéresserait, d'apprendre que je me suis fait sodomiser par l'équivalent de deux équipes de rugby. Et puis, autre avantage, ça verrouillerait l'histoire parce que, si elle était tentée de raconter ça à quelqu'un, ça paraîtrait encore plus incroyable que le travestissement … 


Ma réflexion n'a duré que deux ou trois secondes … c'est décidé, je me montre en travesti, et pour le gangbang, j'aviserai en fonction de sa réaction. Avant de descendre, je me contente de rabattre ma minijupe sur mes cuisses, et, de plus en plus submergé par l'adrénaline, j'ouvre ma portière. Toujours le nez dans le coffre de sa voiture, Yolaine se redresse, et là, en découvrant le spectacle, elle s'arrête net, les yeux ronds, la bouche ouverte, oubliant de déposer dans son panier la botte de poireaux qu'elle tient à la main. Je lui lance:

- Bonjour …

- …


Sidérée, elle en oublie de me répondre. Mon corsage bleu électrique, ma minijupe en jean à ras le bonbon, mes bas bleus assortis à mon corsage, et entre les deux, le haut de mes cuisses … elle est saisie ! Sa botte de poireaux en main, elle m'examine lentement de la tête aux pieds. Je la laisse m'inspecter. Oh, Yolaine ! Si tu savais, tel que tu me vois, je rentre de me faire baiser par une bande de mâles. J'attends la moindre réflexion de sa part sur ma tenue pour engager la conversation dans cette voie … mais rien, elle continue de regarder, finit par poser ses poireaux et retourne dans son coffre.


Au milieu de cette cour, la brise rafraîchit ce que mes étalons m'ont laissé comme souvenir dans le ventre, qui s'écoule encore de mon cul et qui me poisse les fesses. Je claque ma portière, j'ouvre celle du passager, à l'arrière, et je me penche pour récupérer mon baise-en-ville. J'espère qu'au moins, elle va tourner la tête et découvrir mon cul. Je sens ma jupe remonter sur mes fesses, et si de face, elle a dissimulé ma bite, dans cette position, la voisine peut avoir une vue directe sur mon cul et sur mes couilles, puisque je n'ai pas remis mon string ! Elle ne pourrait pas manquer non plus l'auréole humide dans le bas de ma jupe, au niveau de ma rondelle, et peut être apercevoir les traces luisantes qui me souillent encore le haut des cuisses ! Quand je me retourne, elle est toujours dans son coffre de voiture et y manipule nerveusement je ne sais quoi … Tu as vu, ou tu n'as pas vu ? Tatata ! Tu ne vas pas t'en tirer comme ça ! Je lui lance:

- Belle journée, vous ne trouvez pas ?


Elle ne réagit pas et fait semblant de ne pas avoir entendu. Je m'approche et j'insiste:

- Hein, Yolaine … on a eu une belle journée …


Elle ne peut pas faire semblant plus longtemps de ne rien avoir remarqué: elle se redresse lentement, me regarde par en dessous, la bouche pincée, et hoche la tête d'un air désapprobateur. Elle ne sait pas où poser les yeux:

- Bon jour … Oui … belle journée … 


Elle me fusille du regard. Allez, vas-y, demande-moi pourquoi la journée a été si belle pour moi, fais-moi une remarque désagréable sur ma tenue, ou ricane, je ne sais pas, mais ne me la joue pas "indifférente". Mais non, rien, elle empoigne son panier et s'engouffre dans sa maison. Merde ! Je tourne les talons, et, submergé d'adrénaline, je rentre chez moi, mes fesses, lubrifiées de semence, glissant l'une sur l'autre.  


D'un seul coup, une fois à la maison, j'ai un moment de vide, je ne sais pas trop quoi faire. Je n'ai pas envie de me changer, et surtout pas de prendre une douche … pas tout de suite. J'ai envie de garder sur moi, et surtout DANS moi, les restes de sperme que ces mâles ont répandu dans mon ventre. Ces fluides organiques qui me souillent les fesses, le périnée, le haut des cuisses et les couilles, sont la trace qui témoigne que ces mâles m'ont saillie comme une chienne en chaleurs. Je sens qu'il me reste aussi du sperme dans le rectum, qui s'écoule de temps à autre avec des bruits de bulles. Je suppose qu'il en reste aussi, piégé au fond de mon ventre. Les odeurs douceâtres et aigrelettes qui remontent d'entre mes cuisses attestent que cette semence est en train de se décomposer. Je sais bien que je ne pourrai pas garder indéfiniment cette liqueur sur moi et dans moi, mais j'éprouve un intense plaisir à me sentir encore rempli de ces éjaculats, manifestation de tant d'orgasmes masculins, de la jouissance de tant de bites. Et puis, ce qui me remplit ainsi, ce n'est pas n'importe quelle substance, c'est du foutre, produit de débauche, de stupre, et de lubricité, mais c'est aussi de la liqueur séminale, des spermatozoïdes, des cellules destinées à la reproduction ! Chaque fois qu'un de ces types a joui, il m'a aussi inséminé ses gênes, son patrimoine génétique, et au sens littéral, un peu de lui-même … Penser à ça me trouble.


Mon cul maculé par une toute autre substance, organique ou non, me procurerait incontestablement une impression désagréable, une sensation de gêne et d'inconfort, mais là, souillé par la semence des mes étalons, c'est voluptueux et jubilatoire ! Ce plaisir cérébral est alimenté par tous mes sens: l'ouïe, avec le bruit du sperme qui s'écoule de mon cul, avec un gargouillis dans ma raie à chacun de mes mouvements, l'odorat avec ces remugles aigrelets qui remontent d'entre mes jambes, la vue, quand je baisse les yeux sur ces traces luisantes en haut de mes cuisses, le goût, avec cette saveur acide et sucrée de mes doigts dans ma bouche après avoir patouillé dans mon fourreau, et enfin le toucher, avec cette sensation d'humidité entre mes fesses. Et ça, mes fesses qui glissent l'une sur l'autre à chacun de mes pas, lubrifiées par du sperme, c'est à la fois tellement inconvenant, obscène et dépravé, et pourtant tellement sensuel et agréable, que pour ressentir pleinement ce glissement visqueux, il me prend l'envie d'aller marcher dans mon jardin.


Pas un souffle d'air, il fait encore chaud. Je traverse la pelouse et je m'enfonce jusqu'au fond du terrain, ondulant du bassin, roulant du cul comme une pute au tapin. Hhhhmmmm … Je n'en reviens pas d'en être là, pas seulement de savourer cette sensation tactile entre mes fesses, parce que ce n'est somme toute qu'un effet secondaire de quelque chose de bien plus fort, d'une journée de débauche absolue, de dépravation totale, de lubricité bestiale … Je n'en reviens surtout pas de m'être livré si docilement et sans retenue aux désirs d'autant de types inconnus, de m'être comporté en nymphomane hystérique, jamais rassasiée de bites et de semence. Il y a encore quelques mois, j'aurais vu tout ça comme un avilissement, une souillure, mais aujourd'hui, aucune honte, aucun sentiment de culpabilité … bien au contraire, je n'éprouve que satisfaction et fierté … 


JE    L'AI   FAIT !!!!


Je me suis fait passer dessus par trente types ! Et j'ai ramené dans mon ventre la semence d'au moins une dizaine d'entre eux !


Je fais encore deux ou trois allers et retours entre le fond de mon jardin et ma maison, goûtant ce plaisir tactile du glissement de mes fesses dans le sperme, et puis, en passant devant une trouée dans ma haie, je sens le soleil me chauffer. Je m'arrête, je déboutonne mon corsage et je le laisse tomber au sol. Puis je fais glisser ma minijupe sur mes cuisses, sur mes mollets, et je l'envoie rejoindre le corsage. Hhhhmmmmm ! Dos au soleil, je rajuste mon porte-jarretelles, je lisse mes bas sur mes cuisses et je tends mon cul à la chaude caresse qui filtre à travers les arbres. Jambes écartées, reins cambrés, je m'empoigne les fesses et je m'ouvre pour laisser les rayons de l'astre s'insinuer jusqu'à ma rondelle. Après quelques minutes de ce délicieux bain de chaleur et de lumière, j'avise un transat qui me tend les bras, je le traîne jusqu'à une trouée de lumière entre les arbres, face au soleil, je m'y installe, jambes grandes ouvertes. Et tout en étalant sur mes cuisses et sur mon ventre le cocktail de semences qui finit de s'écouler de mon cul, je me masturbe en repensant à tous ces sexes d'hommes qui m'ont pénétré aujourd'hui. Comment trente types ont-ils pu avoir envie de s'accoupler, les uns après les autres, à un seul et même … à une seule et même … SALOPE ? Et surtout, comment moi, j'ai pu avoir envie de me faire passer dessus par tous ces types, et de me faire VRAIMENT tirer dans le cul par eux ? 


Le soleil commence à descendre derrière le rideau d'immenses peupliers déjà à moitié déplumés de leurs feuilles, qui bordent le pré mitoyen de mon jardin. Leur ombre ténue s'étend peu à peu sur moi, me privant de la caresse directe du soleil. Apaisé par cette masturbation, je me décide à monter à la salle d'eau. Je me fais couler un bain et je me plonge dans la baignoire. Sur mes cuisses et sur mes fesses, les traces de sperme sec redeviennent visqueuses et glissantes au contact de l'eau tiède. Quand je m'enfonce le pommeau de douche dans le cul, je sens l'eau sous pression s'insinuer jusque dans mes entrailles et me gonfler le ventre. Elle ressort en entraînant de longs filaments blanchâtres et des grumeaux qui tourbillonnent dans la baignoire … la semence de mes amants ! A mon grand regret, elle va finir dans les égouts, alors, je glisse au fond de la baignoire, jusqu'à avoir le menton au ras de la surface, je brasse doucement l'eau pour ramener ces vestiges de sperme vers moi, et j'ouvre la bouche. J'avale surtout de l'eau, mais je sens quand même quelques grumeaux caoutchouteux se coller sur ma langue.


Quand j'ouvre la bonde de la baignoire, je vois les ultimes restes de foutre de mes étalons disparaître en tourbillonnant. Tandis que je me sèche, une impression de vide me submerge à nouveau, ou plutôt, une impression de manque … un homme, un mâle, avec une bite et des couilles entre les jambes, pas forcément pour qu'il me baise, ou même qu'il me tripote, mais pour le sentir là, tout près, qui me regarde, pour être à sa disposition, pour sentir que, si l'envie lui prend, il peut poser ses mains sur moi, pour savoir qu'il peut me saisir par la nuque et me courber vers son sexe, pour savoir qu'à tout moment, il peut plaquer son ventre contre mes fesses et me prendre, debout contre ce lavabo ou contre une table. Alors, je décide de me préparer comme s'il y avait un homme dans la maison: un petit coup de rasoir sur le bas ventre, la bite et les couilles, même traitement dans la raie et autour de la rondelle, puis déodorant et crémage intégral. Enfin, je fouille dans ma lingerie et je choisis ma nuisette en voile noir et un minuscule string en dentelle de tulle rouge vif, tout juste suffisant pour contenir ma queue et mes couilles. Dans cette lingerie transparente et suggestive, je me sens allumeuse, putasse à souhait, de nouveau prête pour la baise.


Je redescends et j'entreprends de vider mon baise-en-ville. Je range lingerie et accessoires. Je retrouve la feuille que Philippe m'a donnée au moment de quitter la ferme. Il y a … quatre … huit, douze … vingt-trois, vingt-huit, vingt-neuf … trente prénoms, presque tous avec un numéro de téléphone, avec des adresses mail, certains avec des adresses postales. Trente prénoms ! Ça me fait tout drôle, d'autant qu'il y en a un paquet sur lesquels je suis incapable de mettre un visage. Philippe, Alexis, Angelo, Sam, Manoel, ça va, je sais qui c'est, Jérôme, Hamid, Thierry, Gilles aussi. Mais Rudy, Johann, Samuel, Florian, Sacha, Pierre-Yves … En fait, il y a la moitié de ces prénoms auxquels je ne peux pas associer un visage, ni même une bite ! Et pourtant, il n'y a pas à dire, ceux-là aussi, ils m'ont baisé !


J'ai déjà envie de recommencer ! J'ai déjà envie de me prendre de nouveau des bites dans le cul ! Ma masturbation a apaisé mon excitation physique, mais c'est quelque chose dans ma tête qui réclame encore du mâle ! Je voudrais sentir de nouveau un sexe en érection dans moi, sentir les va et vient d'un membre dans mes chairs, sentir qu'un homme se fait du bien, sa bite au chaud dans mon fourreau, le sentir faire monter inexorablement son plaisir, et surtout le sentir jouir, éjaculer, lâcher sa semence en moi … Dès demain, je les appelle. Plusieurs m'ont dit qu'ils voulaient me revoir, presque tous en fait. Et puis, si ils m'ont tous laissé leurs coordonnées, j'en trouverai bien un qui sera prêt à me baiser.


Je suis tiré de mes réflexions par le bruit de légers coups frappés à ma porte. Qui est-ce qui débarque chez moi comme ça, à l'improviste ? Aussi discrètement que possible, je jette un coup d'œil par la fenêtre du séjour. Là, devant ma porte, Yolaine ! Qu'est-ce qu'elle veut ? Ça ne peut être en rapport qu'avec l'exhibition que je lui ai offerte sur la cour. J'enfile mon peignoir, abandonné ce matin sur une chaise lors de mon départ pour mon gangbang. Je ne peux quand même pas la recevoir en nuisette transparente et en string, c'est une tenue encore plus indécente que celle que je lui ai montrée tout à l'heure. Je sais bien qu'elle m'a déjà vu complètement à poil il y a quelques temps, mais les circonstances ne sont pas les mêmes. Je lui ouvre:

- Oui ?


En me découvrant en peignoir, elle a un mouvement de recul. Pourtant, il est très ordinaire et très sage, et j'ai pris la peine de soigneusement le fermer. Elle m'examine, et semble réaliser qu'en effet, c'est une tenue décente, mais elle reste plantée devant la porte, et:

- Je … je m'excuse … je pourrais vous parler ?

- Euh … oui. Entrez.


Elle reste sur place, l'air renfrogné:

- Non, non … je … vous … tout à l'heure, vous vous êtes montré à moi dans … dans une tenue … euh …


Elle laisse sa phrase en suspens. Je l'encourage:

- … indécente ? Surprenante ? Oui . Et alors ?

- Ben oui. Pourquoi ? Pourquoi vous vous êtes montré à moi dans cette tenue ? On n'est pas intimes, vous et moi, on n'est même pas amis … et … vous vous exhibez … comme si .. je ne sais pas … vous ne vous demandez pas ce que je peux ressentir ? Vous ne vous demandez pas ce que ça peut me faire de … voir ce genre de chose ?

- Entrez …

- Non, non … je …

- Mais si, entrez … on ne va pas parler là, devant ma porte … vous n'avez rien à craindre … je vais seulement vous expliquer …


Elle hésite encore. J'insiste:

- Allez, entrez, je vous assure, je ne vais pas vous sauter dessus. Vous n'êtes pas mon genre. Vous le savez bien, d'ailleurs.


Elle ne peut dissimuler un sourire. Je m'efface devant elle et elle entre prudemment. 

- Venez, allons au jardin.


Je la précède. Elle hésite, et finit par me suivre. Quand je lui désigne un fauteuil, à côté de la table de jardin, elle a une réaction inattendue: elle saisit le siège et le dépose à bonne distance de la table, qu'elle regarde bizarrement. Ah, OK, je crois comprendre: c'est sur cette table qu'elle m'a surpris, allongé sur le dos, avec Gabriel entre les cuisses, en train de me fourrer ! Elle doit avoir peur qu'elle soit encore souillée ! Nous nous asseyons.

- Alors, je vous ai choquée, c'est ça ?

- Ben  oui …

- Pourtant, vous m'aviez déjà vu dans une tenue encore plus … indécente, et dans une  position on ne peut plus … comment dire … intime … 

- ...


Du menton, je lui désigne la table:

- Ça en crée de l'intimité, d'assister à une scène de ce genre, non ?


Elle jette un coup d'œil en coin à la table, comme si elle craignait d'y revoir cette scène torride avec Gabriel. Elle plante ses yeux dans les miens:

- Oui, mais, cette fois-là, je vous avais vu par accident. Alors que tout à l'heure, vous l'avez fait exprès ! Vous m'avez imposé cette … ce spectacle EXPRÈS !

- Par accident ? Dites, c'est pas par accident que vous étiez montée sur je ne sais quoi pour regarder chez moi ! D'accord, vous ne vous attendiez pas à voir ce que vous avez vu, mais ce n'est pas non plus par accident que vous êtes restée perchée pour regarder ce que mon grand black me faisait ! Ça, le regarder me … baiser, vous l'avez bien fait EXPRÈS, non ? Et ça n'avait pas l'air de vous choquer, c'est le moins qu'on puisse dire !


Elle pique un fard:

- Oui, mais … ça, d'accord, j'étais restée pour regarder, mais ça ne veut pas dire que ça ne m'avait pas choquée. 

- Ah bon ! Ça vous avait choquée, mais vous vous étiez quand même caressée en nous regardant ? C'est paradoxal …

- Oui, je sais, moi aussi, ça m'étonne d'avoir fait ça. J'ai … j'ai cédé … à mon instinct. Pour moi, c'était tellement loin de mon univers, de mon éducation, tous les deux, avec votre ami noir, vous aviez l'air tellement … heureux et … innocents, en tout cas pas gênés que je vous regarde. Alors, en même temps que ça me choquait, ça … a fait tomber une barrière en moi …


Innocents ! Je ne m'attendais certainement pas à avoir été vus avec Gabriel comme "innocents" !


Elle baisse le nez, se tortille sur son fauteuil. J'enchaîne:

- "Heureux et pas gênés", d'accord, mais "innocents", le terme me semble assez curieux. Cela dit, si vous nous avez perçus comme ça, tant mieux. Je peux vous demander quel effet ça vous avait fait, de nous regarder ? 

- Pardon ? Mais, ça ne … ça ne vous regarde pas !


Elle a l'air vraiment outrée que j'ose lui poser la question. Je poursuis:

- Ben, tout de même, il me semble que si, ça me regarde. C'est quand même en me regardant me faire sodomiser par mon grand black, que vous vous êtes donné du plaisir! Alors, qu'est-ce qui vous a excitée comme ça ? Son corps athlétique ? Son gros sexe ? Vous vous êtes imaginée à ma place, avec ce membre énorme en vous ? C'était quoi ?

- …


Silencieuse, elle me regarde en secouant la tête de droite à gauche, les yeux tout ronds. Je ne sais pas si elle est scandalisée ou sidérée que j'aie pu deviner ses pensées intimes. J'enchaîne:

- Si un jour on devient intimes, vous et moi, il faudra me le dire, ça m'intéresse. Bon, écoutez, pour tout à l'heure, dans la cour, c'est pourtant simple, je me suis dit que, l'autre fois, avec mon ami noir, vous aviez découvert sur moi et ma sexualité ce qu'il y a de plus intime, alors, qu'après ça, je me montre à vous en travesti, ça m'a paru plutôt bénin, secondaire … Vous voyez ce que je veux dire ?

- Oui, mais travesti, si on veut. Il y a travesti et travesti: vous n'étiez pas seulement habillé en femme, là, en plus, c'était plutôt …

- Vulgaire ?

- Oui, et même indécent … obscène. Vous vous en rendez compte ?

- Ah mais oui, bien sûr que je m'en rends compte ! C'était même voulu !

- Voulu ? ! ? ! Voulu pour quoi, pour me choquer ? C'est réussi !

- Mais non, je ne me suis pas habillé comme ça pour vous choquer. Je ne fais rien en fonction de ce que vous pourriez en penser. J'ai mis cette tenue en partant de là où j'ai passé la journée, et je n'ai pas pris la peine de me changer pour rentrer chez moi . Vous étiez là quand je suis arrivé, mais je ne pouvais pas le prévoir. Voilà, c'est tout, en ce qui vous concerne. Si j'étais habillé comme ça, ça n'était pas pour vous.

- Ah bon … pour qui, alors ?


Sa question a fusé, comme si elle avait jailli toute seule, par un réflexe indépendant de sa volonté. D'ailleurs, elle-même paraît sidérée de sa propre audace. Elle se mord la lèvre et:

- Je … m'excuse. Ça ne me regarde pas. Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. Excusez-moi.


Je la sens prête à se lever et à filer. Mais elle vient de m'offrir l'opportunité que j'attendais pour lui parler de ma journée. Poussée d'adrénaline. Alors, je m'empresse:

- Ne vous excusez pas, c'est naturel, il n'y a pas de mal, et puis comme ça, vous verrez que ça n'est pas pour vous que j'étais habillé de cette façon.

- Non, mais je … ça vous regarde … je ne …


Elle est déjà presque debout. Merde, on y était quasiment, j'allais pouvoir lui raconter mon aventure. Avant qu'elle s'en aille vraiment, je lance:

- C'est pour des hommes ! Je m'étais habillé comme ça pour rencontrer des hommes. 


Appuyée des deux mains sur les accoudoirs de son fauteuil, elle reste en suspens: elle me regarde intensément, réfléchit … « … rencontrer des hommes ? » Apparemment, elle ne comprend pas qu'il est question de « rencontrer » sexuellement, mais ce que je lui dis l'intrigue quand même. Je l'aide:

- Allez, restez. Et asseyez-vous, je vous explique.


Elle hésite une seconde et, en se rasseyant:

- Je ne vous demande rien.

- Non, je comprends, mais ça ne me dérange pas de vous le dire. 


Me voilà au pied du mur, et je me sens tout con, je ne sais pas comment attaquer:

- Oui, aujourd'hui, je … j'ai passé la journée avec des hommes … beaucoup d'hommes …

- Beaucoup ?

- Oui, une trentaine.


Elle hausse les épaules dans une mimique qui veut dire « et alors … je ne vois pas le rapport ». Et en effet, visiblement, elle ne percute pas. Les mains à plat sur les cuisses, un peu penchée en avant, le visage inexpressif, elle attend la suite. Je poursuis:

- Et bien, ces hommes et moi, on n'a pas passé la journée à … bavarder, on a … ils m'ont … vous savez, comme mon ami noir, l'autre jour …

- Ils vous ont … 


C'est pas vrai ! Elle ne comprend toujours pas et attend la suite. Ça me paraît pourtant clair, mais, à son air, je vois bien que son esprit refuse de faire le rapprochement entre ce que m'a fait "mon ami noir l'autre jour", et des hommes avec qui j'ai passé la journée. Il faut que je précise:

- Et bien, ils m'ont … sodomisé … 


Cette fois, elle réagit, elle cligne des yeux:

- Ils … ils vous ont …

- … ils m'ont sodomisé … les trente, à tour de rôle.


Elle me dévisage, sourcils froncés, et se lève si brusquement qu'elle renverse son fauteuil:

- Non, mais vous … vous savez, vos … vos provocations, hein, vous me prenez vraiment pour une débile ! Vous n'avez rien trouvé d'autre, comme explication bidon ?

- Vous ne me croyez pas ? Pourtant, je vous assure que …

- Ça suffit ! Vous êtes … vous êtes … Sodomisé ! Trente ! Franchement …


Elle tourne les talons et s'engouffre dans la maison. Je me lève à mon tour et je la suis jusqu'à la porte d'entrée:

- Vous avez tort de ne pas me croire …


Mais ça ne sert à rien, elle est déjà dehors et s'empresse vers chez elle. Je la vois disparaître dans son entrée.


Quand je referme ma porte, j'entends, étouffée, sortant de mon baise-en-ville, la sonnerie de mon téléphone:

- Allo ?

- Salut, c'est Philippe.

- Ah, salut.

- Alors, ça va ?

- Oui, ça va.

- T'as pas trop mal au cul ?

- Non, pas du tout. 

- Ah bon ? Tant mieux. Alors, t'es content de ta journée ?

- Ah oui ! C'était top. Merci, hein …

- Merci à toi. Les potes aussi, étaient contents. Tu voudras recommencer ?

- Ouais ! Demain, même …

- Hé hé hé ! Tu sais, mine de rien, c'est du boulot à organiser. Et puis, on va entrer dans la mauvaise saison et on pourra sûrement pas le refaire à l'extérieur. Bon, hé, attends, j'ai pas beaucoup de temps. Je voulais juste te demander: tu as reçu les photos et les vidéos ?

- Non, je sais pas, j'ai pas regardé, j'ai pas encore ouvert mon ordi.

- Ben, regarde ta messagerie. Moi j'ai déjà reçu les photos de Guy dans mes mails, et il me dit que ses vidéos, elles sont sur son cloud … une partie, du moins, mais j'ai pas eu le temps de les visionner. Il a fait vite. L'autre, Jérôme, j'ai pas de nouvelles pour le moment. Alors, hein, regarde tes mails. Bon, faut que je te laisse, on m'attend. On s'appelle. Tchao !

- Tchao !


Il m'a littéralement expédié. Mais ça ne fait rien, je vais pouvoir regarder les photos et les vidéos. Je fonce à mon ordi et je l'allume. Oh putain, il n'a jamais été aussi long à démarrer. Je brûle d'impatience et d'envie de me connecter à ma boîte mail, mais je m'oblige à laisser le processus se dérouler tranquillement. Je sais que ça ne ferait pas gagner de temps et qu'au contraire, ça pourrait plus ou moins faire buguer la bécane. 


Enfin, au bout de très longues minutes, la petite musique habituelle retentit. Hop, messagerie. Parmi la trentaine de messages en attente, celui-ci, avec des pièces jointes. Clic ! C'est ça ! Pressé de découvrir les photos, je parcours le message en diagonale:

« Salut. Nin nin nin Philippe … Nin nin nin la plus grosse salope … Nin nin nin photos … Nin nin nin vidéos sur mon cloud … Nin nin nin lien … code d'accès … Nin nin nin Jérôme … Nin nin nin flouter …  »


J'abrège, je le relirais plus tard. J'ouvre les photos. Oh putain ! Je m'attendais seulement à celles qu'on a faites à la fin, sur le matelas, avec Sam et Thierry, et après, avec toute la troupe, mais il y en a plein d'autres. Je n'avais pas remarqué que "le comptable" faisait aussi des photos. Il y en a depuis mon arrivée le matin, on me voit avec des bites dans la bouche et dans le cul … et sur le matelas au milieu de la pelouse … sur le bar, aussi … à plat ventre, vautré dans les cacahuètes, avec tous ceux qui font la queue en attendant leur tour … Oh, la vache, le gros plan avec une queue à moitié rentrée dans mon cul ! Je fais défiler les photos, la souris dans une main, ma queue dans l'autre. Sur ces photos, je me fais vraiment l'effet d'être une grosse salope ! Toute la tablée, maintenant … et sous le hangar à fourrage … et là, avec les gamins qui mataient derrière le mur … là, je suce Grégory, le commis du traiteur … et sur la scène ! Ah la vache, tous ces mecs qui me passent dessus ! Là, on voit nettement des coulures blanchâtres qui me souillent le cul ! Voilà les dernières, avec toute la bande. Je clique sur "télécharger tout".


Et vite, je clique sur le lien vers le cloud de Guy. Hop, code d'accès … Oh, il n'y a que trois vidéos ! Voyons la première. Ah oui ! C'est quand Manoel me baise en cuiller ! Gros plan sur mon ventre … sur ma tronche … autour de Manoel et moi, les jambes des mecs qui regardent … les genoux du comptable, maintenant … et sa queue, dressée vers moi, raide … « suce-moi, salope ! »  son smartphone a bel et bien capté son ordre … je me penche vers sa queue …. et je la prends dans ma bouche ! Je l'entends pousser une exclamation, et presque aussitôt, il gémit: il doit être en train de jouir ! Juste à ce moment, sa queue doit être en train de cracher sa jute ! La vidéo bouge, se secoue et ma tronche sort du cadre deux ou trois fois, tellement les spasmes de son orgasme lui font perdre le contrôle ! Ça se stabilise, il doit finir d'éjaculer … je le pompe encore un peu … je sors sa queue de ma bouche, que j'ouvre en grand … ! Oh, putain ! J'ai du sperme plein sur la langue ! Je ferme et j'avale ! On me voit nettement déglutir ! J'ai l'impression de sentir encore son sperme, tiède, s'écouler dans ma gorge et glisser lentement dans mon œsophage. « Oh, la Vache ! » Son smartphone a aussi capté son exclamation de surprise … fin de la vidéo. Là, il s'était empressé de visionner la séquence. 


Pourquoi il n'y a que trois vidéos sur son cloud ? Je vais commencer à les télécharger. Et puis, à la réflexion, non. Je sais que c'est assez long, et là, j'ai brusquement une autre urgence: il FAUT que je montre ces photos à Yolaine. Mais elles ne sont pas encore toutes téléchargées. Je regarde l'index progresser lentement. Je l'appelle, la voisine, avant d'y aller ? Non, elle va me jeter. Ça y est, toutes les photos sont sur mon ordi. Je le débranche et en route. Je ne prends pas la peine de me changer, elle m'a déjà vu en peignoir. Je traverse la cour et je frappe à sa porte. Elle ouvre, me regarde, surprise. Je lui montre mon ordi:

- Je peux vous montrer la preuve de ce que je vous ai dit ... pour mon gangbang.

- La preuve?

- Oui, je viens de la recevoir. Vous verrez que c'était vrai … 


Agacée, intriguée, elle regarde mon ordi, me fait signe d'entrer dans son séjour, et me désigne sa grande table en chêne:

- Vous voulez vous mettre là ?


Je pose l'ordi sur la table:

- Je viens de recevoir ça par mail.

- Oui, bon …


Elle est agacée, mais surtout intriguée. Je la mets en garde:

- Je vous préviens, c'est très … hard.

- Hard ?

- Oui, c'est très cru … pornographique … comme avec mon ami noir, mais avec trente hommes … 


Ah, là, " comme avec mon ami noir, mais avec trente hommes ", ça lui parle. Troublée, elle bégaye:

- Je sais pas si …

- Je ne vous force pas à regarder, hein. Mais si vous voulez en avoir le cœur net …


Elle se sent piégée. Elle meurt d'envie de VOIR, mais ça lui fait un peu peur. Finalement, la curiosité l'emporte:

- Bon, montrez, alors.

- Vous devriez vous asseoir.


Elle tire un banc, l'enjambe et s'assoit. Debout à côté d'elle, un peu en retrait, je saisis la souris, je vais dans le dossier des photos, je choisis l'option diaporama et je lui tends la souris:

- Vous faites clic gauche pour faire défiler.


Elle hésite et prend précautionneusement la souris. La première photo, c'est peu après mon arrivée dans la ferme, encore avec ma minijupe, mon haut et mes bas rouges. A moitié masqué par les types qui m'entourent, on me voit de dos, mais on me reconnaît parfaitement, et surtout, on voit ma jupe relevée et une main posée sur ma fesse.Telle que la photo est cadrée, on ne voit que six ou sept types autour de moi. Je commente:

- Vous voyez ? C'est bien moi, là …


Elle ne répond pas, et clique. Photo suivante: toujours en grande partie masqué par les types qui m'entourent, on me voit quand même nettement, une main fourrée dans la braguette de l'un d'eux, penché vers son ventre, sa main à lui posée sur mon épaule. On ne voit pas son sexe, pas même mon cul ou mes cuisses, masqués par les autres types, mais la scène est explicite: je suis en train de tripoter la queue de ce mec à l'intérieur de son pantalon, et il m'appuie sur l'épaule pour que je le suce. Inutile de commenter. Yolaine a un petit mouvement d'épaules comme si elle frissonnait. Elle clique. Cette fois, c'est encore plus clair: courbé devant le mec, j'ai sa queue dans la bouche, et entre deux spectateurs, on aperçoit mon cul, et une main est en train de se glisser entre mes cuisses. Je précise ironiquement:

- C'est toujours moi … évidemment …


Yolaine clique nerveusement. La photo suivante ne reste sur l'écran qu'à peine une seconde, mais d'un seul coup d'œil, on embrasse et on comprend la scène instantanément. Prise en plongée, d'au-dessus de moi, elle me montre, à genoux au milieu d'un cercle de mecs, une bite dans la bouche et une dans chaque main … on aperçoit deux autres queues en érection, fermement empoignées par des types prêts à prendre la suite. Tout à l'heure chez moi, j'ai fait défiler rapidement ces photos sans les détailler, mais maintenant, les regarder de concert avec ma voisine … je suis submergé d'adrénaline et il commence à se passer quelque chose dans mon string ! Yolaine ne jette qu'un coup d'œil à cette photo et se détourne rapidement en cliquant nerveusement sur la souris, comme pour faire disparaître cette vision trop explicite, et elle repousse brutalement l'ordinateur:

- Bon … ça va, j'en ai assez vu …


Elle commence à se lever. J'insiste:

- Ah bon ? Mais non, continuez. Là, vous n'avez vu qu'une partie des participants, ils n'étaient pas encore tous arrivés. Et puis, franchement, je vous assure, le plus intéressant, c'est la suite. Là, si je peux me permettre, c'est seulement les amuse-bouche …


Elle a enjambé le banc et elle me fait face:

- Oui, ben, ce genre d'humour, vous pouvez vous le garder !

- Oh la la ! Détendez-vous, Yolaine ! Qu'est-ce qu'il y a ? Ça vous gêne de regarder la suite en ma présence ? Je m'éloigne et je vous laisse regarder tranquillement … 

- Non, non, c'est pas la peine, j'ai pas envie de voir ça !

- Dites, l'autre fois, avec Gabriel, mon ami noir … tout à l'heure, vous m'avez dit que nous voir tous les deux, ça vous avait choquée, mais en même temps, ça vous avait … je ne sais plus comment vous avez dit, mais ça voulait dire que ça avait décoincé quelque chose en vous … 


Elle me regarde, excédée, mais ne répond pas. J'insiste encore:

- Ces photos, elles vont peut être aussi vous décoincer. Regardez-les, elles sont sûrement choquantes pour vous, mais les regarder, ce n'est pas dangereux. Allez-y, j'attends dans votre jardin. Et laissez-vous aller.

- Non, certainement pas !


Excédée, elle tape du pied, mais sans lui demander son avis, je sors sur sa terrasse par la porte-fenêtre ouverte, et je m'assois dans sa balancelle. Yolaine, restée plantée au milieu de son séjour, me regarde, furax. Elle n'en revient pas que je lui fasse ça. Sa terrasse est dans l'ombre, mais le pavement et les murs de la maison renvoient la chaleur qu'ils ont accumulée dans la journée. Quittant la fraîcheur relative de la maison, j'ai soudain trop chaud dans mon peignoir en éponge. Alors, faisant semblant d'ignorer ma voisine, et pour bien lui montrer que je suis décidé à rester, je dénoue ma ceinture et j'écarte les pans de mon peignoir, dévoilant ma tenue affriolante, et je m'installe confortablement. Du coin de l'œil, je la vois qui me regarde, stupéfaite par ce qu'elle voit. Puis, elle se met à s'activer dans son coin cuisine. Je me balance nonchalamment. Notre petit manège dure comme ça un bon moment, moi qui attends sur sa terrasse, et elle qui fait semblant de vaquer à des occupations ménagères en me jetant des coups d'œil de temps à autres. C'est elle qui finit par céder: elle approche et me lance:

- Ma fille doit venir, ce soir, et je n'ai pas envie qu'elle tombe sur vous dans cette … dans cette tenue !

- Bon, alors regardez mes photos, et je m'en vais …


A mon avis, c'est du pipeau. Si sa fille devait vraiment venir, elle ne m'aurait pas du tout laissé entrer chez elle. Nouveau mouvement d'agacement, et elle fait demi tour … et retourne s'asseoir devant mon ordi. Yesss ! J'hésite un instant: j'attends ici qu'elle ait fini, ou j'y vais ? J'y vais ! Je me lève et je la rejoins. Le regard fixé sur l'écran, c'est comme si elle ne remarquait pas mon arrivée. Toutefois, quand je m'assieds sur le banc à sa gauche, elle tourne la tête vers moi et, cette fois, c'est lentement et méticuleusement qu'elle examine ma tenue entre les deux pans de mon peignoir ouvert. Je suis presque gêné de cet examen inquisiteur. D'un homme, je dirais qu'il me déshabille du regard ! Puis elle reprend le visionnage des photos. Elle a passé la séquence des pipes au milieu de la cour, tout de suite après mon arrivée, et sur la photo qu'elle regarde … Oh oui, là, c'est le premier mec qui m'a baisé. Je ne sais même pas comment il s'appelle, celui-ci, il me prend en levrette, debout contre une table. Le pantalon sous les fesses, le ventre collé contre mon cul, il se cramponne à l'angle de mes cuisses, et, tête rejetée en arrière, bouche grande ouverte, de toute évidence, il est en train de jouir. Et, alors que je m'attendais à ce qu'elle passe en revue toute la série rapidement pour se débarrasser au plus vite de moi et de cette corvée, je me rends compte qu'elle examine ce cliché méticuleusement. Oh putain ! Se faire baiser et sentir le mec prendre son pied dans mon cul, c'est une chose, mais le mec en question, je ne l'avais pas vu, au moment où il a joui … alors, là, LE VOIR, pile au moment où il éjacule, c'est … pfiouuuuu ! Ça ne se voit pas à l'image, mais moi, je sais ce qui se passe: juste à ce moment là, sa queue est en train de cracher son sperme au fond de mon cul. Du doigt, je montre ce mec à Yolaine:

- Là, celui-ci, il est en train de …

- Je vois ! Pas besoin d'explication …


Elle m'a sèchement coupé la parole. J'insiste:

- Ah non, vous ne voyez pas ! Il n'est pas seulement en train de me sodomiser: ça se passe aussi à l'intérieur, on ne le voit pas sur la photo, mais moi, je le sais, et pour cause, la photo est prise juste au moment où il jouit. Et il est en train de me … il éjacule, quoi …


Je m'attendais à une protestation outrée, mais non, elle marque un temps, comme si elle essayait d'imaginer ce qui se passe "à l'intérieur", puis elle clique. Photo suivante: je suis au même endroit et dans la même position, mais avec un autre type collé à mon cul, plusieurs autres mecs autour de nous, la queue à la main, dont Philippe. Apparemment, tel que je suis tourné, je parle à celui qui me baise, et il rit. Yolaine me demande:

- Celui-ci aussi, il vous … il est en train de …

- Là, il me sodomise, mais je ne crois pas qu'au moment de cette photo, il soit en train d'éjaculer . 

- Mais … il vous a … il a quand même …

- … joui ? Je ne sais plus, sans doute. De toute façon, ils m'ont tous … inséminé, au moins une fois.


Elle clique. Sur la photo suivante, je suis toujours debout contre la table, mais avec un troisième type. Putain, me voir me faire enculer par plusieurs types à la suite, ça me … c'est presque aussi fort que de l'avoir vécu, et surtout, regarder ces photos avec elle, témoin de ma débauche ! Je sens que je commence vraiment à bander et ma queue, coincée dans mon string minuscule, a du mal à s'épanouir. Je n'ose pas y glisser la main pour me mettre à l'aise. Elle clique. Cette fois, c'est Philippe qui me baise: les bras serrés autour de ma taille, son menton collé entre mes omoplates, il a les yeux fermés. Yolaine:

- Et celui-ci ? 

- Celui-ci, c'est Philippe. Là, je pense qu'il vient d'éjaculer. Philippe, c'est celui qui a organisé tout ça.

- Tout ça ?

- Oui, ce … rassemblement. C'est lui qui a recruté ces hommes. Ça s'appelle un gangbang. Vous connaissez ?

- Un gangbang ? Non, je ne connais pas. Ce Philippe, c'est un ami à vous, alors …

- Non, même pas, je ne le connais que depuis une quinzaine de jours.

- Ah bon ? Mais alors, ces hommes, qu'il a recruté, vous ne les connaissiez pas non plus ?

- Non. Encore moins. J'ai fait leur connaissance seulement ce matin … enfin, "fait leur connaissance" , si on peut appeler ça comme ça …

- Mais, quand vous êtes allé là-bas, vous saviez ce qui allait se passer, ou ils vous ont … obligé ? 

- Ah oui, je savais ce qui allait se passer. Philippe, je l'ai rencontré pour la première fois, il y a deux semaines, pendant une balade à vélo. On a tout de suite … sympathisé, si vous voyez ce que je veux dire, et, le jour même, il m'a proposé d'organiser un gangbang pour moi.


Tout en parlant, elle continue de faire défiler les photos. Son comportement m'étonne. Sa seule réaction, à la vue de tant de débauche, c'est, de temps à autre, un petit hochement de tête énigmatique. Pourtant, à mon avis, elle n'avait jamais vu autant de bites en érection, ni de scènes d'accouplements et de fornication. Je n'y tiens plus, ma queue qui essaie de se déplier et de sortir de mon string commence même à me faire mal. Alors, je préviens Yolaine:

- Excusez-moi, regarder ces photos, ça me … il faut que …


Et, joignant le geste à la parole, je soulève le bas de ma nuisette, je glisse ma main dans mon string, et je déplie ma bite. Pfiouuuuu, ça va mieux ! Vue la petitesse du bout de tissu, ma queue dépasse maintenant presque entièrement de ma petite culotte qui ne dissimule plus que mes couilles. A ma grande surprise, Yolaine a suivi mon geste des yeux, sans ciller, et elle regarde maintenant ostensiblement ma bite en érection à travers le voile noir de ma nuisette ! Bêtement, c'est moi qui suis gêné par son regard, et qui me sens obligé de me justifier:

- C'est plus fort que moi, ces photos, ça me … ça m'excite. 


Et je rabats un pan de mon peignoir sur mon ventre. Avant que j'aie eu le temps de rabattre l'autre pan, elle m'arrête:

- Non, pas la peine de vous cacher. Maintenant, ça y est, je vous ai vu, vous pouvez rester comme ça.


Elle me sidère. Les yeux toujours braqués sur mon bas ventre, elle n'est visiblement pas du tout gênée, ni par ma tenue de travelo, ni par la vue de ma queue en érection, ni par notre proximité sur ce banc. J'ai même l'impression qu'elle serait déçue que je cache ma bite. Est-ce que j'ose ? Au point où on en est, allez, j'ose:

- Et vous, ça vous fait aussi de l'effet, de regarder ces photos ? Ça vous choque ? Ça vous dégoûte ? Ça vous excite ? Ça vous laisse indifférente ?


Elle plante ses yeux dans les miens, me sourit et, sans un mot, elle revient à l'écran de l'ordi. Décidément elle m'étonne vraiment, la voisine. Qu'est-ce que ça veut dire, ce silence ? Jusqu'ici, elle ne s'est pas gênée pour me dire sans prendre de gants quand je la choquais. Maintenant, ce sont les photos que Guy a faites sur le matelas au milieu de la pelouse. Elle les examine toujours aussi attentivement et remarque:

- Là, ce sont encore d'autres hommes …

- Ben oui … je vous ai dit, il y en avait une trentaine …

- Mais, sur ces photos, c'est toujours vous avec, à chaque fois, un homme différent … 

- Hé oui, c'est ça, un gangbang … c'est une seule femme pour plusieurs hommes, ou un seul homme pour plusieurs autres hommes. Et là, c'était un seul homme, c'est-à-dire moi, pour une trentaine d'autres hommes …

- Vous dites "une femme pour plusieurs hommes". Alors, des femmes aussi, font ça ?

- Ben oui. C'est même plutôt des femmes, qui font ça. 

- Ah bon ? Mais vous, pourquoi vous l'avez fait ?

- J'en avais envie. Vous aviez bien vu, avec Gabriel, j'aime beaucoup me faire sodomiser. Plus exactement, j'aime beaucoup me faire BAISER, si vous voyez la nuance.

- Oui, je crois que je vois …

- Alors, quand Philippe m'a proposé de me faire BAISER  par une bande de copains à lui, je n'ai pas pu résister .


J'ai insisté lourdement sur le terme "BAISER". Pour moi, il vaut toutes les explications, et j'ai l'impression que pour Yolaine aussi. De clic en clic, elle passe en revue toute la série sur la pelouse. Arrivée à une photo où c'est Manoel qui me baise, elle la contemple longuement. Je lui fais remarquer:

- Il est beau, non ?

- …


Elle se contente de hocher la tête avec conviction. Oh oui, elle le trouve beau ! Je précise:

- Avec un physique comme ça, il peut tomber toutes les femmes qu'il veut … 

- Ah bon ? Il aime aussi les femmes ?

- Oui, il baise aussi bien les femmes que les hommes. Il est bi … bisexuel …


Et puis voilà une photo où, accroupi devant Sam le tatoué, je regarde son énorme queue, dressée presque à l'horizontale, m'apprêtant à la prendre dans ma bouche. Yolaine:

- Hou la ! Il est bizarre, celui-ci … il ferait peur …

- Oui, il est tatoué de partout. Et en effet, il fait peur, c'est une brute. Mais surtout, il a une énorme bite !

- Oui, je vois. Et, naturellement, il vous a aussi …

- ... baisé ? Oui.


Elle se tourne vers moi, et là, je réalise que, depuis un moment, par une espèce de réflexe inconscient, j'ai commencé à me pétrir le gland de la main gauche, à travers le voile de ma nuisette. Quand elle baisse les yeux sur mon bas ventre, je lâche ma queue, mais trop tard, mon geste ne lui a pas échappé. Elle me regarde, me sourit:

- Ne vous gênez pas …


A son ton, je suis incapable de dire si sa remarque est une réflexion acerbe, ou si, au contraire, elle m'incite à continuer de me tripoter. Alors, je décide de le prendre comme ça:

- Bon, alors, puisque ça ne vous dérange pas … C'est une espèce d'automatisme. Vous n'avez pas envie de faire pareil ? De VOUS faire pareil, évidemment …


Elle me regarde recommencer à me malaxer le gland, elle hausse les épaules et retourne à l'ordi. Toujours aussi posément, elle contemple des scènes de fornication de plus en plus débridée, en se contentant de hocher la tête de temps en temps. Plus ça va, plus j'ai l'impression que ce hochement est un mélange d'étonnement et d'admiration. Admiration pour quoi ? Pour la belle collection de bites qu'elle passe en revue ? Pour ma prestation ? Je ne sais pas. On en arrive bientôt à la séance sur le bar. Oh, la vache, c'est vraiment torride ! A plat ventre sur ce bar encombré de verres, de bouteilles et de biscuits à apéro renversés, la joue dans les cacahuètes, une jambe repliée sur la table, et un mec qui m'encule en me tenant par les hanches, et d'autres mecs qui font la queue, la bite à la main, de toute évidence en attendant leur tour ! Et ces gros plans sur leurs bites dans mon cul ! Oh, putain !

 

- Vous êtes des animaux ! Vous faites ça comme des animaux !


A la manière calme et posée dont elle vient de dire ça, une évidence s'impose à moi: c'était une simple constatation. Alors:

- Oui, il y a de ça.

- Et vous ne vous sentez pas dépravé, avili, de vous faire … sodomiser comme ça ?

- Avili, non, je ne me sens certainement pas avili. Dépravé, oui, débauché, immoral, si vous voulez, indécent et impudique, aussi … bestial, même … mais c'est tellement bon de se faire BAISER comme ça, sans retenue, sans morale, s'offrir à une bande de mâles qui se servent de moi pour se soulager … oui, s'accoupler comme des animaux, se laisser aller, lâcher prise, s'abandonner à leurs envies les plus lubriques, quelle volupté ! Vous vous rendez compte ? Susciter le désir de trente types ! Leur donner envie de copuler avec moi, les uns après les autres … c'est … 


Elle se remet à faire défiler lentement les photos. Soudain, un mouvement attire mon regard. Je n'y avais pas prêté attention, mais depuis un moment, elle avait négligemment posé son avant-bras gauche sur sa cuisse, sa main pendant mollement entre ses genoux. Et là, tout en continuant à manipuler la souris de la main droite, voilà qu'elle lève sa main gauche jusqu'à la ceinture de son bermuda, saisit le bouton qui boucle sa ceinture. C'est le geste de quelqu'un qui s'apprête à déboutonner son bermuda. Mais sa main reste en suspens, les doigts serrés sur ce bouton. Une fraction de seconde, j'ai cru qu'elle allait ouvrir son bermuda, glisser sa main à l'intérieur et, de nouveau, se donner du plaisir. Mais non, ça s'arrête là, comme un geste machinal. Je reporte mon regard sur l'écran de l'ordi, tout en continuant à me tripoter le gland. Encore trois ou quatre photos …


Et brusquement, elle détache son bouton d'un geste vif … si vif, qu'elle me heurte du coude. Mais j'ai vraiment l'impression que ce coup de coude n'est pas accidentel ! Je regarde ce qu'elle fait: elle descend lentement le zip de son bermuda, glisse sa main dedans, et enfonce ses doigts en direction de son entrejambe ! Oh, putain, cette séance de photos l'a excitée, et elle va se doigter ! J'entends encore le clic de la souris, mais je ne regarde plus l'écran, je regarde la bosse que fait sa main qui s'enfonce dans son bermuda, la bosse qui est maintenant sur son pubis, la bosse qui bouge, là, entre ses cuisses. Elle se penche un peu en arrière, oscille un peu du bassin, comme pour s'installer plus confortablement. Je n'ose rien dire, rien faire, de peur de rompre le charme, mais je bande de plus en plus. Oh, je ne bande pas à l'idée de la baiser, ou de me faire sucer par elle, non, ce qui m'excite, c'est qu'elle se doigte parce que me regarder me faire baiser l'excite, elle ! L'autre fois, quand elle nous avait surpris, avec Gabriel, j'avais compris qu'elle se caressait aux seuls mouvements de son épaule, mais je ne l'avais pas vue se doigter. Mais, là, voir sa main dans sa culotte, sa main qui … Waouhhh, c'est troublant ! Des images s'imposent à mon esprit, des images de sa chatte mouillée, de ses lèvres lubrifiées par l'excitation, de son clitoris gonflé. J'ai une furieuse envie de glisser ma main dans son bermuda, et de la doigter aussi ! Alors, à mon tour, je me lâche: je change de main et cette fois, je ne me contente plus de me pétrir le gland, je descends mon string sous mes couilles et je me masturbe vigoureusement de la main droite. Elle ne peut pas ne pas s'en rendre compte … le bruit de ma main qui froisse le voile de ma nuisette, mon coude droit qui heurte en rythme son coude gauche … Mais elle ne réagit pas, ne s'éloigne pas de moi. On est en train, tous les deux, de se masturber en regardant les photos de mon gangbang !


Maintenant, elle contemple une photo où, à genoux sur le matelas installé sur la "scène", la tête posée sur mes bras croisés sur le drap, je suis en train de me faire fourrer en levrette par Hamid, le beau marocain ! Elle commence à respirer bruyamment par la bouche. Je n'y tiens plus, je change de nouveau de main, et je pose doucement ma main droite entre ses cuisses, par dessus son bermuda. Elle sursaute, se tourne vers moi, me regarde et secoue la tête … « non ». J'insiste, je glisse mon majeur bien au milieu de ses cuisses, je sens son majeur sous le mien, sans doute enfoncé entre ses lèvres. Toujours tournée vers moi, elle ferme à moitié les paupières, et je vois ses yeux se révulser légèrement. Et elle reprend sa masturbation, bouche entrouverte. Elle cède, elle accepte mes doigts. Alors je m'aventure davantage, je remonte un peu ma main, et je commence à la glisser dans son bermuda. Elle a un halètement et déglutit bruyamment. J'enfonce encore un peu mes doigts. Elle se laisse faire. La ceinture de sa petite culotte … J'en étais sûr, c'est une petite culotte en coton. J'ai maintenant ma main sur la sienne, mes doigts sur les siens et je sens, sous ses doigts, une touffe de poils fins et doux. Elle ne doit pas s'épiler. Elle bouge doucement son majeur et je l'accompagne. Elle se tourne de nouveau vers l'écran de l'ordi, et elle se remet à cliquer. C'est une série de photos, toujours sur la "scène" où je me fais baiser à la chaîne par je ne sais combien de types. Plusieurs gros plans avec une bite enfoncée dans mon fourreau, et une paire de boules à l'entrée … et des dégoulinures de sperme sur mon périnée, mes couilles et le haut de mes cuisses … 


Yolaine reste longtemps sur chaque vue, se masturbant parfois un peu plus vigoureusement. Et soudain, je la sens qui retire doucement ses doigts de son entrejambe. Ne sachant trop que faire, je suis le mouvement, mais elle lâche la souris, et, de sa main droite, elle saisit mon poignet et le maintient sur son ventre, tandis qu'elle finit de sortir sa main gauche de sa petite culotte. Puis elle se tourne à nouveau vers moi, plante se yeux dans les miens, et, de sa main gauche, elle presse la mienne en direction de sa chatte ! Oh putain, elle veut que je la masturbe. Oh ben, pas de problème, je ne peux pas te refuser ça, Yolaine ! J'ai bien fait de venir ! Je glisse mes doigts sur son pubis. En effet, une touffe de poils assez épaisse. Mon majeur entre ses lèvres … hhhmmmm, elle est déjà toute mouillée … son clitoris, gonflé sous mon doigt … elle halète … je commence à bouger, alternant délicats va et vient et cercles rapides … elle finit de sortir sa main gauche de sa culotte … et vient la poser négligemment sur ma cuisse … Décidément, Yolaine, tu me sidères ! Ses halètements se font de plus en plus forts et je sens son ventre se contracter sous la paume de ma main … j'enfonce mon majeur dans son vagin … elle gémit … et pose sa main gauche sur ma bite ! Délicatement, elle me caresse la verge, le gland, les couilles. Puis elle me saisit la queue plus résolument, et commence à me masturber à son tour. Je sens qu'avoir ma bite en main accroît son excitation. Elle lâche la souris, se tourne vers moi, et glisse sa main droite dans sa culotte, sur ma main qui la masturbe. Les yeux fermés, elle gémit, et me secoue maladroitement la queue de la main gauche. Heureusement que j'ai déjà joui plusieurs fois aujourd'hui, parce que la situation est tellement excitante qu'autrement, je me serais déjà répandu. Il me prend même l'envie de lui bouffer la chatte et de la finir avec la langue … 

- J'ai envie de te le faire avec la langue …


Elle ouvre les yeux, les écarquille, me dévisage et, brusquement, elle lâche ma bite, empoigne ma main et la sort de son bermuda. La voilà debout, qui enjambe le banc, me tire par la main pour me faire me lever aussi. Elle veut me foutre à la porte, ou m'emmener dans sa chambre ? Je me lève, j'enjambe le banc à mon tour, et sans un mot, elle m'entraîne vers sa terrasse ! Tout en marchant précipitamment, elle commence à descendre maladroitement son bermuda sur ses cuisses. Nous voilà au pied de sa balancelle, elle lâche mon poignet, finit d'ôter son short et sa culotte, s'affale sur les coussins, écarte les jambes et tend les mains vers moi ! En effet, elle n'est pas le moins du monde épilée ! Sa touffe de poils ne remonte pas très haut sur son pubis, mais elle déborde sur ses aines, des poils fins et lisses, châtains. Jusque sur ses cuisses, il y a des poils. Visiblement, elle ne s'épile que les mollets, c'est-à-dire juste ce qu'elle montre, sous ses bermudas. Au milieu de sa touffe, je distingue le rose humide de ses petites lèvres. Hhhmmmm, je vais te bouffer la chatte ! Je vais bouffer la chatte à ma voisine ! Les circonstances sont presque plus surprenantes que le fait lui-même: elle, toujours si prude dans sa tenue comme dans son comportement, elle toujours si mal à l'aise devant des propos un peu lestes, elle toujours si sagement vêtue, ne montrant jamais d'autres parties de son corps que ses avant-bras et ses mollets, la voilà à moitié à poil dans son jardin ! La voilà qui veut se faire bouffer la chatte en extérieur ! De l'autre côté de ce mur, contre lequel se trouve sa balancelle, c'est la rue, une rue, il est vrai, qui aboutit dans les champs et où il ne passe pratiquement aucune circulation automobile, mais qui fait partie à la fois du circuit traditionnel de promenade des habitants du village et d'un chemin de grande randonnée … Alors, qu'elle veuille se faire bouffer la chatte ici, certes, cachée par ce mur, mais à deux ou trois mètres de passants éventuels, ça me sidère.


Et puis, elle si coincée, si distante et toujours si hautaine, si glaciale et condescendante, si peu "sexe" … je vais lui bouffer la moule ! Je suis déjà à genoux entre ses jambes, elle me regarde fiévreusement, regarde son entrejambe, glisse un peu plus son bassin vers moi, tend son ventre vers moi. Cette fois, elle est bel et bien décoincée, la voilà même lascive, impudique, indécente … elle a le feu au cul ! Dans son regard, je lis une urgence, une frénésie lubrique, ses yeux ne me disent pas « S'il vous plaît, voulez-vous me faire un cunnilingus ? », non, ils me disent « Vas-y, bouffe-moi la chatte ! ». Le visionnage de mes photos de cul l'a vraiment bien chauffée. Alors, une main sur chacun de ses genoux, je lui écarte davantage les jambes, je me penche, et je commence par poser mes lèvres à l'intérieur de ses cuisses. Elle sursaute en haletant, rejette sa tête en arrière et arque son bassin, ses deux mains plaquées sur ses aines, de part et d'autre de son sexe. Oh putain, elle est chaude ! Je lèche l'intérieur de ses cuisses en remontant vers sa chatte. Elle geint et agite fébrilement ses jambes et son bassin « Vas-y, suce-moi le clito ! Fourre-moi ta langue ! ». D'elle même, elle repousse fébrilement le rideau des poils qui masquent sa vulve, écarte ses lèvres pâles, et me dévoile son clitoris tendu et son vagin rose bonbon, béant et luisant de désir. Un flot de salive m'inonde la bouche.


Alors, l'urgence s'impose aussi à moi: finis les préliminaires, je m'avance, et je pose ma bouche sur ses lèvres. Elle sursaute et pousse une espèce de sourde exclamation, entre un gémissement et un cri à peine retenu, et me saisit la tête à deux mains. Hhhmmmmmm, comme les mecs quand je leur taille une pipe ! Je plaque mes mains à la place des siennes, de part et d'autre de son sexe, et, le nez dans sa touffe parfumée à l'amande, j'enfonce ma langue dans son vagin. C'est chaud, c'est doux, c'est tout mouillé. Elle gémit. Après quelques allers et retours de ma langue en elle, le goût à la fois suave et un peu acide de sa mouille m'envahit la bouche. Je prends son clitoris entre mes lèvres et je le presse délicatement, je le fais rouler et je le sens qui gonfle encore. Elle agite son bassin de plus en plus frénétiquement, elle croise ses mollets sur mon dos et serre convulsivement ses cuisses contre mes oreilles. Son excitation alimente la mienne. Les mains plaquées contre ses reins, je presse sa vulve contre ma figure. Elle gémit de plus en plus fort, et bien sûr, ce à quoi je m'attendais arrive : des voix, des pas dans le gravier de la rue, de l'autre côté du mur ! Elle les a aussi entendus. La tronche toujours enfouie dans son entrejambe, je la regarde: haletant la bouche béante, les yeux grands ouverts, elle écoute … à peine une seconde, et, en étouffant ses gémissements, elle se remet à me presser la tête contre sa chatte, encore plus fiévreusement, comme si cette intrusion sonore l'avait un peu plus excitée. En effet, sous mon front, contre mon nez, je sens son ventre se contracter: elle est au bord de l'orgasme … Soudain …

- Haa ! Haaaaa ! Haaaaaaa ! 


Et c'est un déchaînement de spasmes et de soubresauts ératiques, incontrôlés. Elle m'écrase la tête entre ses cuisses, me bourre le dos de coups de talons, se cramponne à des poignées de mes cheveux, tout en mêlant gémissements, râles et cris sans se préoccuper d'être entendue:

- Haaa ! Haaaaaa ! Haaaaaaaaa ! Hoooonnn ! Ooooh ! Ooooh ! Ooooooooooooh la laaaaaaaaa !


Enfin, elle s'écroule, pantelante, haletante, au fond de sa balancelle, dénoue ses jambes et repousse vigoureusement ma tête d'entre ses cuisses. Essoufflée comme après une longue course, son ventre se soulève au rythme de sa respiration. Toujours agenouillé entre ses jambes, je lui caresse les hanches et le ventre, et brusquement, elle s'assoit, bien droite, me regarde, inexpressive, et se lève. Elle ramasse sa culotte et son bermuda, et, les fesse à l'air, elle rentre dans sa maison. Je la suis. Elle jette ses vêtements sur un fauteuil, traverse son séjour jusqu'à sa cuisine, remplit un verre d'eau au robinet, se tourne vers moi et le boit, les fesses appuyées à son plan de travail. Puis:

- Vous en voulez un ?

- Non, merci …

- Bon, alors au revoir …


Et bien, pas très expansive, la voisine. Je ne m'attendais pas à des effusions sentimentales, mais quand même. Je ne peux m'empêcher de rire:

- C'était bien ? Ça vous a fait du bien ?


Elle ne répond pas, me regarde, l'air indifférent, plantée dans sa cuisine, la foufoune à l'air. Je referme mon peignoir, je récupère mon ordi et je me dirige vers la porte. Juste avant de sortir, je me retourne:

- Vous n'avez pas fini de regarder mes photos. Quand ça vous dit, vous savez où me trouver.

 

Je sors.

 


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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