Partager l'article ! Premières fois Thomas 002.: Avertissement. Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des i ...
Le blog de Marin Cathare
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Dimanche 9 juillet. 9 heures.
Je me lève le premier, je me douche et je descend préparer le petit déjeuner. Il arrive peu de temps après, douché et portant un de mes peignoirs. Nous prenons le petit déjeuner au soleil dans le jardin. La légère gêne que j'ai ressenti à son arrivée se dissipe tout de suite devant son naturel.
- Des regrets ?
- Pas du tout. Je regrette seulement d'avoir attendu si longtemps. Et toi ?
- Je te l'ai dit, c'était très bien… pour un novice. Mieux qu'avec certains mecs expérimentés.
Il me pose la main sur le genou, me caresse légèrement la cuisse, remonte jusqu'à mon entrejambes, glisse ses doigts dans la jambière de mon short et me touche le sexe. Il est insatiable ! Mais c'est excitant et je caresse sa main qui me tripote. Au bout d'un moment, il retire sa main, se lève, s'approche de moi et me serre contre lui, avec une certaine tendresse. J'ai la tête contre son ventre. Je glisse ma main sous son peignoir, la remonte entre ses cuisses jusqu'à son entrejambes. Je lui caresse un moment la raie des fesses, puis je dénoue la ceinture du peignoir. Il a un début d'érection. Je l'attire face à moi, mes jambes entre les siennes. Je saisis sa queue, la masturbe deux ou trois fois, et la prends dans ma bouche. Je le tiens par les hanches, et lui, les genoux de part et d'autre de mes cuisses, me tient la tête à deux mains. Il a écarté les pans du peignoir, il se cambre pour mieux m'offrir sa bite à sucer, et rejette sa tête en arrière. Soleil, chaleur et sexe … instant magique.
Il se laisse sucer comme ça un long moment. Je sens bien qu'à ce moment, il ne recherche que le plaisir sensuel et que ça ne le conduira pas à l'orgasme. Moi, je me concentre sur la dégustation de cette bite. L'étudiante en psychologie qui, un jour, m'a dit que j'étais un "buccal", avait bien raison. Comment l'avait-elle compris? C'est si agréable de sucer cette queue, que l'eau m'en vient littéralement à la bouche, et que je salive abondamment. Sa forme, sa taille, sa consistance, son goût, sa chaleur, la douceur de sa peau, ses veines et son urètre qui saillent, sa palpitation, le fluide qui s'en écoule légèrement sur ma langue, le sperme que je devine à quelques centimètres de ma gorge … tout contribue aux plaisirs confondus de ma bouche, de ma tête et de ma propre queue. Ça m'excite beaucoup, je bande, et je sens que ma queue bave un peu de fluide contre ma cuisse. Je dois être en train de mouiller mon short.
Il retire doucement sa queue de ma bouche et s'assoit à califourchon sur mes genoux, face à moi. Il soulève mon T-shirt, écarte la ceinture de mon short, y glisse sa main, extrait ma bite un peu baveuse et commence à me masturber doucement. Il me demande:
- A part sucer un mec, tu as d'autres fantasmes ?
- Plein…
- Comme ?
Un réflexe idiot de pudeur me retient un court instant. Bêtement, je biaise:
- Certains que j'ai assouvis, d'autres pas …
Il rit:
- Encore un peu coincé? C'est normal. Moi, j'ai essayé plein de trucs. Par exemple, je rêvais de baiser avec un transexuel, tu sais, ceux qui ressemblent à des filles à gros seins, mais avec une grosse bite. Beau cul, belle gueule, belle poitrine et grosse queue ... J'ai essayé. J'adore.
- J'aimerais sûrement aussi …
- J'aime bien aussi me faire attacher par mon partenaire … ou ma partenaire … et me laisser faire tout ce qu'ils veulent.
- Ça, non, ça ne me tente pas trop …
- J'ai aussi fait une partouze avec seulement des mecs. Sept, huit, je ne sais plus…
Pendant ce temps, il continue de me malaxer la bite. J'ai pris la sienne et je lui fais la même chose.
- Une troupe de mecs, j'aimerais bien, mais il faut être sûr d'eux, que ça ne tourne pas mal.
- Et toi, quelles expériences "hors normes" tu as faites ?
- Ça t'intéresse ?
- Evidemment.
- Alors, attends un instant …
Je lui fais signe de se lever et il s'écarte. Je me rajuste et je monte chercher mon ordinateur portable. Quand je redescends, il est assis dans un fauteuil, il a enlevé le peignoir et s'offre nu au soleil. Il paraît étonné de voir ce que je ramène. Etonné et intéressé. Je démarre l'engin et je commence la visite guidée:
- Tu vas voir quelles sont mes fantasmes et mes perversions.
- Tu te prends en photos ?
- Et je me filme.
Au point où nous en sommes de nos relations, j'ai décidé de ne rien lui cacher. Ni mon fétichisme pour les petites culottes, ni que j'aime porter de la lingerie féminine, ni mon auto-sodomie, ni mon goût pour la branlette, ni que je m'introduis tout ce qui me tombe sous la main … Dès les premières photos, il s'étonne:
- Tu caches bien ton jeu.
- Je ne cache pas, je suis discret. Nuance …
Après un moment pendant lequel je l'ai guidé dans les méandres de mon ordinateur, il prend lui-même la souris et se met à explorer mes déviances. Et de toute évidence, ce qu'il voit l'étonne et lui plaît. Il ne peut pas dissimuler le trouble que tout ça lui occasionne: il se remet à bander, et il se tripote. Agenouillé à côté de lui, j'écarte la main avec laquelle il se masturbe et je me mets à le branler pendant qu'il découvre mes vidéos.
- Dis donc, tu te mets des trucs énormes dans le cul… Tu aimes ça ?
- Comme tu peux voir.
A ce moment, il regarde des scènes dans lesquelles je me donne du plaisir avec un gros godemiché noir.
- Il y a plus gros que ça. Vas voir dans le fichier "mousse noire".
Il cherche, trouve, et se met à bander un peu plus fort. Toujours agenouillé à côté de lui, je commence, ou plutôt je recommence, à le sucer. Après quelques minutes, il écarte ma tête de son sexe:
- Doucement, ça va trop vite.
- Ce gros truc en mousse, c'est aussi agréable qu'impressionnant. Mais il y a plus "hard".
Et je lui indique où trouver les scènes où je m'introduis des bouteilles de gros diamètre et des objets de toutes sortes. Il est sidéré:
- Tu vas bien plus loin que moi …
- Je vais surtout bien plus profond …
- Quel fantasme tu aimerais pouvoir réaliser ?
- Baiser avec un black qui aurait une grosse queue.
- Ça, je l'ai déjà fait. Tu aimerais qu'il te fasse quoi ?
- J'aimerais le sucer …
- Ça, je m'en doute.
- le branler, et me faire … euh …
- … enculer?
- Voilà.
- J'ai déjà fait ça. C'est bien. Je pense que nous, les mecs, blancs, nous avons le même fantasme que les femmes blanches vis-à-vis des blacks. Ce qu'on envie, ce n'est pas d'avoir une grosse bite comme eux, mais d'en … profiter, comme les femmes.
- C'est possible.
- D'autres fantasmes ?
- Et bien, baiser avec plusieurs noirs … avec des grosses queues, évidemment.
- Rien que ça !!!
- Oui. Quand je regarde des vidéos de gang-bang, j'envie les filles qui se font prendre par trois, quatre ou cinq blacks. J'aimerais être à leur place.
Et brutalement, il se redresse, me relève et m'entraîne vers un transat au milieu de la pelouse. Il m'enlève short et T-shirt, me pousse à m'allonger à plat ventre et vient se coucher sur moi.
Je sens sa bite, toute gonflée, entre mes fesses. Il se frotte et glisse sa main sous mon ventre pour me saisir la queue. Il me tripote un moment tout en allant et venant contre mon anus. Puis il me lâche le sexe et s'écarte de moi. Je le sens s'agenouiller derrière moi et m'écarter les jambes. Je me demande ce qu'il veut faire. Pas longtemps: soudain, je sens sa langue entre mes fesses. Je me cambre pour lui donner mon assentiment et pour lui faciliter les choses. Il passe sa langue depuis mes reins jusqu'à mon périnée, puis remonte, plusieurs fois, s'attardant un peu plus à chaque passage sur ma rondelle. Puis je le sens qui m'écarte les fesses, et il m'introduit la langue dans l'anus. J'adore. Visiblement, il cherche à me lubrifier. Il va m'enculer… Je le sens qui me rentre un doigt. On dirait le majeur. Un deuxième. L'index. Il me remouille le trou avec la langue et m'introduit le pouce. Puis l'autre pouce … je veux dire les deux pouces … en même temps. Et il m'écarte la rondelle. Je l'arrête:
- Attends, pas comme ça … Patiente un moment … Je vais revenir …
Je commence à me redresser. Il hésite et continue à me tripoter le cul, puis se redresse à son tour:
- OK. Fais vite, j'ai une urgence …
Je fonce vers la salle de bain pendant qu'il s'allonge à ma place sur le transat. Je me lave le cul, dehors et surtout dedans. Je n'ai pas envie qu'il se fourre dans la merde… Au passage, je prends mon appareil photos … on ne sait jamais. Et je redescends
Là, je réalise que le transat est au beau milieu de la pelouse et que nous allons être visibles - que nous avons été visibles - en train de baiser, depuis chez les voisins et depuis le champ d'à côté. Si les voisins s'avisaient de regarder par-dessus le mur, ou si le paysan venait inspecter son pré … Mais au fond, ça me plaît. Qu'ils regardent, si ça leur chante, on va leur en donner pour leur argent. Je vais enfin me faire enculer !
Thomas est allongé sur le dos. Il se tripote au soleil. Il a un peu débandé. Je pose mon appareil à côté du transat, je lui lèche un peu la queue et les couilles, et je lui demande:
- Ça t'ennuierait que je nous filme ?
Il n'a pas l'air surpris, juste un peu amusé. Il hésite, puis:
- Si c'est ton plaisir …
Je met l'appareil en route, je cadre la scène d'assez près pour qu'on voie les détails et je déclenche.
Puis j'enfourche Thomas, à genoux de part et d'autre de son bassin et je pose ma rondelle sur sa bite. Je fais quelques mouvements d'avant en arrière. Ça le remotive aussitôt et il rebande dur. Je me soulève un peu, je saisis son pieu et j'appuie son gland contre ma rosette. J'en ai le cœur qui bat. Sa queue bien empoignée, je descend doucement mon bassin et je sens son gland qui commence à me pénétrer. Je descend plus résolument et je sens toute sa queue qui s'enfonce en moi.
Ça y est: j'ai, enfin, une bite, une vrai bite, dans le cul. Je la sens bien. Je la sens surtout au niveau de mon sphincter. A l'intérieur de moi, c'est plus confus, je n'ai pas de sensation nette. Mais je profite de cet instant de plaisir et je me tortille pour la faire entrer aussi profondément que possible. C'est un plaisir anal, mais aussi cérébral: j'ai un mec dans moi. Pas un godemiché, si bien imité soit-il, pas un bout de bois, si gros soit-il, pas un énorme truc en mousse, si agréable soit-il. Non, un sexe d'homme, qui a envie de moi, que je fais bander, qui aime ce que je lui fais, un membre vivant, chaud, excité, frémissant, un organe normalement destiné à répandre du sperme dans le ventre d'un femme pour lui faire un enfant, mais qui va me l'injecter à moi, son sperme, uniquement pour son plaisir et pour le mien. Je reste un moment comme ça, planté sur sa queue, légèrement penché en arrière, les mains appuyées sur le transat de part et d'autre de ses genoux, offert à la chaleur du soleil. Thomas s'est redressé sur les coudes et nous contemple, l'air ravi. Je bouge un peu le bassin, et je le sens durcir en moi. Je contracte mon sphincter pour lui serrer un peu la bite. Il se cambre, essayant de me pénétrer plus profondément. Puis, appuyé d'un seul coude au transat, il me tripote la queue. Tout ça, le soleil, notre nudité impudique, son sexe dans moi, sa main qui me masturbe … je n'ai jamais rien vécu de tel. Je voudrais rester comme ça longtemps.
Après un long moment:
- Viens, allonge-toi et tourne-toi.
Je me relève et je sens sa queue qui me sort du cul. Il quitte le transat pour me laisser la place. Je vais réactiver l'appareil photo. Il sourit:
- Tu ne perds pas le nord. C'est une nouvelle expérience pour moi, mais c'est assez excitant.
- Mon appareil n'enregistre pas de longues séquences. Il faut le relancer, changer de cadre …
J'amène l'appareil plus près du transat, pour un plan rapproché de sa bite en train de me rentrer dans le cul. Ça l'amuse, et il me fait signe de m'allonger sur le ventre. Il se couche sur moi, et je le sens qui cherche à m'introduire de nouveau sa bite dans le cul. Je me cambre, je m'écarte les fesses, il trouve l'entrée de mon fourreau et commence à aller et venir. Comme ça aussi, j'aime beaucoup. Le sentir peser sur moi, sentir sa queue coulisser dans mon rectum, sentir qu'il essaie de la pousser au plus profond de mon ventre, la sentir qui ressort doucement, puis qui revient …
Au bout d'un moment, je réalise que je sens aussi ses testicules qui viennent battre contre mon périnée, entre mon anus et mes propres couilles. Je glisse ma main sous mon ventre, entre mes cuisses, puis vers mes fesses et je lui touche les boules. Je finis par les saisir, en formant un anneau autour de leur base, avec le pouce et l'index. Ça a l'air de lui plaire. Il se redresse en s'appuyant sur les mains et s'enfonce en moi à coups de boutoir en gémissant. Puis il s'allonge de nouveau sur moi, glisse sa main sous mon ventre, et écarte la mienne, qui tenait ses couilles. Il extrait sa queue de mon cul, se met alors à genoux, me saisis les hanches et m'attire la croupe vers son ventre.
Il veut me prendre en levrette. Je me laisse faire, évidemment. C'est lui qui me dit:
- Tu ne manipules pas ton appareil ?
Il a raison. Je manipule donc, et je me remets en position. Il me fourre de nouveau sa queue dans le cul, me reprend par les hanches et commence à me besogner. C'est encore mieux comme ça. J'ai l'impression qu'il va encore plus profondément en moi. Il prend tout son temps. Il doit contempler le spectacle, en même temps qu'il me baise. Quand je baise ma femme en levrette, j'adore regarder ma bite aller et venir dans sa chatte. C'est super excitant. Voir sa queue disparaître entièrement dans quelqu'un, la voir ressortir jusqu'à l'apparition du gland, la re-rentrer avant que le gland ne sorte entièrement … le pied ! Puis Thomas s'immobilise et, m'empoignant les hanches, il me fait aller et venir d'avant en arrière sur son sexe. Pendant tout ce temps, je prends aussi du plaisir. «Fais-moi ce que tu veux. Amuse-toi avec mon cul. Baise-moi. Je sens ta queue, je sens tes couilles. J'aime ça.»
Soudain, je le sens qui, tout en restant dans moi, pose un pied par terre, puis l'autre, de chaque côté du transat, et qui continue à m'enculer comme ça, debout, les jambes à demi fléchies. Ses mouvements s'accélèrent, deviennent plus violents. Puis il sort de moi, me donne un claque sur les fesses et me dit:
- Viens !
Je le suis et j'attrape l'appareil photos au passage. Il se masturbe en marchant. Il m'entraîne vers la table, pousse le plateau du petit déjeuner, réactive l'ordinateur et cherche parmi mes photos et mes vidéos. Après avoir recadré l'appareil, je me colle à lui, contre son dos, et les bras passés autour de son buste, je lui tripote la queue. Il trouve enfin ce qu'il cherchait. C'est une vidéo dans laquelle je me défonce le cul avec une grosse bûche. Il se tourne vers moi, m'embrasse, me pousse devant la table, me fait m'y appuyer sur les coudes et me dit:
- Maintenant, je vais me finir…
Il me prend de nouveau par derrière et commence lentement à me sodomiser tout en regardant la vidéo. Je sens son excitation monter: sa queue devient plus grosse et plus dure, son souffle s'accélère, ses mouvements deviennent plus brusques, il grogne, il gémit de plaisir … Et soudain, il passe ses deux mains devant moi, sous mes couilles, me soulève de terre à la fois avec ses mains et avec son gourdin qu'il me plante à fond dans le cul, et pousse un grand Haaaaaaaa ! Je sens sa queue s'agiter de soubresauts dans mon rectum. Je pense qu'il m'éjacule dans le cul. Je ne sens pas son sperme m'inonder, mais je l'imagine qui jaillit dans moi. Il a encore de la crème, après les deux coups de cette nuit? Ça paraît ne pas devoir s'arrêter. Il me ramone à grands coups de queue, tout en continuant à pousser des Haaaaaaa ! Il prend un de ces pieds! Mes pieds ne touchent plus le sol et je suis obligé de m'agripper à la table pour ne pas tomber. Enfin, il se bloque contre moi, la bite entrée à fond, et il pousse un dernier gémissement.
Sa queue, un peu ramollie, sort de moi. Il me repose au sol, m'enserre de ses bras, m'embrasse dans le cou, et me tient comme ça un long moment. J'en suis assez bouleversé, mais je sens son sperme sortir de mon cul et me couler le long des cuisses. Il m'a effectivement inondé. Ça m'excite et me fait bander. Il me fait me retourner, m'enlace, et me roule une longue et grosse pelle.
- Il y a longtemps que je n'avais pas joui comme ça … Ce sont tes vidéos et ton appareil photos qui m'ont excité.
- Tu veux bien me filmer le cul ?
- Comment ça, maintenant?
- Oui, avec ton sperme qui coule…
- Alors, toi ! Tu ne penses qu'à ça … Comment on fait?
Je lui explique, je me retourne de nouveau, courbé au-dessus de la table, et il filme longuement sa semence qui coule contre mes cuisses pendant que je me paluche. Je me retourne face à lui et je lui demande:
- Recule un peu, prends un plan plus large, qu'on voie mes cuisses et ma tête …
Un peu surpris, il obtempère et commence à filmer. J'essuie son sperme sur mes cuisses avec la main, et je la lèche tout en me branlant. Il est scié, mais il rit.
- Fais une contre-plongée pour filmer dans un même plan mon trou du cul et ma bouche.
Il s'agenouille devant moi, je me fourre la main dans le cul et j'en ramène encore un peu de crème que je m'empresse de sucer sur mes doigts. Quand c'est fini, il me dit:
- Attends, on va faire autre chose. Reste appuyé contre la table.
Il repose l'appareil sur son pied, l'éloigne un peu, recadre, déclenche, et s'approche de moi. Il s'agenouille de nouveau devant moi et se met à me sucer la bite. Par manque d'habitude, il a mal positionné l'appareil qui ne filme que sa nuque, son dos et moi. On ne verra pas ni sa bouche, ni ma queue. Je le fais donc tourner un peu pour que l'appareil filme dans le détail cette scène de fellation. Il a compris et tourne un peu de lui-même. Comme ça, on est bien.
Le cul appuyé à la table, je tiens la tête de Thomas qui va et vient le long de ma bite. Je regarde l'objectif. J'étais déjà très excité par ce coup de queue dans mon cul et par le léchage de sa semence, mais là, avec la caméra qui tourne pendant qu'il me taille une pipe ! Et il sait y faire, l'animal. Il m'engloutit l'engin jusqu'au fond de la gorge. Puis, tout en suçant, il m'introduit un doigt dans le cul. Puis deux. Puis trois. Puis quatre. Il ne laisse que le pouce à l'extérieur. Pour lui faciliter le travail, je passe une jambe sur son épaule. Et sa main rentre et sort. C'est à la fois un peu douloureux, et tellement agréable. Je ne tarde pas à être au bord de l'éjaculation. Il le sent et augmente la pression de ses lèvres sur ma verge. Et je me déverse dans sa bouche. Longuement. Quand j'ai terminé, il se relève, se colle à moi, m'empoigne la queue, me plaque sa bouche sur la mienne, m'écarte les lèvres et me bave mon propre sperme sur la langue. Nous nous embrassons comme ça un bon moment, échangeant salive et semence.
Puis il me pousse en arrière, m'allonge le dos sur la table, me remonte les cuisses sur le ventre, s'approche de moi et me glisse sa queue en semi-érection dans le cul. La situation doit l'inspirer, parce que je sens qu'il durcit de nouveau. Un main posée sur chacun de mes genoux, il va et vient lentement dans moi. Je vois qu'il contemple le spectacle. Je me redresse sur les coudes pour en profiter aussi. Je vois sa queue, ou plutôt une partie, disparaître en moi et en ressortir. C'est assez excitant. Nous restons comme ça un long moment. Nous avons tous deux pris notre pied, nous sommes sexuellement repus, et nous … dégustons en quelque sorte ces instants supplémentaires. Ma position sur les coudes est assez inconfortable et je m'allonge de nouveau, le laissant me prendre et me posséder tout son soûl. Et contre toute attente, je sens qu'il s'excite de nouveau. Il déplie mes jambes, me place les chevilles sur ses épaules, m'empoigne les cuisses et se met à me pilonner à grands coups de boutoir. Son pubis vient cogner contre mon périnée. Il m'envoie littéralement sa queue dans le cul. Son ventre vient battre avec un bruit mat contre mes cuisses. Il me fourrage les entrailles. Il se met à ponctuer chaque pénétration d'un grognement. Peu à peu son rythme accélère, puis, brutalement, il se plie en avant, le torse appuyé sur mes jambes, le ventre en buttée contre mes fesses, sans doute sur la pointe des pieds. Et je sens à la soudaine raideur de tout son corps et à son souffle coupé qu'il a un nouvel orgasme. Il est en moi aussi profondément qu'il est possible, mais il essaie de s'enfoncer encore plus, comme s'il voulait entrer entièrement en moi. Puis il se calme, s'amollit et s'effondre sur moi.
- Ça va ?
Il ne répond pas, se contente de geindre doucement.
- Reste dans moi. J'aime sentir ta queue dans mon cul.
Il bouge un peu, s'efforce de m'enfoncer son sexe devenu tout mou. Mais rien à faire, il s'échappe, glisse, me sort du cul.
- Je ne peux pas. Désolé.
Il se redresse, s'écarte. Je me relève et me remets sur mes pieds. Nous nous enlaçons un long moment
Enfin, nous nous décollons l'un de l'autre, apaisés, repus de sexe.
Douche, visionnage de nos séquences de cul. Et nous reprenons nos discussions sérieuses, comme si de rien n'était, si ce n'est une légère caresse de temps à autre, de l'un ou de l'autre.
En fin de matinée, Thomas décide de rentrer chez lui. Au moment de me quitter, il me dit:
- Ça a été un week-end dont je me souviendrai.
- Moi aussi. J'ai aimé tout ce que tu m'as fait et tout ce que je t'ai fait. Et j'ai des souvenirs.
Il me regarde longuement, paraît réfléchir intensément, puis:
- Etant donné que tu aimes … le cul et la bite - ça ne te choque pas que je dise ça, j'espère - comme tu aimes le cul et la bite, je pense que je te ferai bientôt une surprise.
- Tu vas revenir?
- Sans doute, mais ça ne sera pas ça, la surprise. Attends-toi à avoir des nouvelles de moi avant longtemps.
- Quel genre de surprise, alors?
- Je ne peux pas t'en dire plus. Tu verras, une surprise, ça ne se dévoile pas à l'avance.
Et il s'en va.