Samedi 10 septembre 2016 6 10 /09 /Sep /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Mon gangbang chez Jean-Claude, le fermier, ne m'a pas calmé. Au contraire, dès le lendemain, je me suis mis en quête que nouvelles bites à soulager. J'ai relancé plusieurs participants au gangbang, mais je me suis pris râteau sur râteau. Apparemment, eux sont assouvis pour un moment. Puisqu'il faut que j'attende qu'ils se remettent de notre partie de cul, je n'ai pas insisté avec cette équipe, et j'ai repris contact avec d'anciens amants. Thomas, le premier qui m'a baisé, s'est remis en couple. Le handballeur black qui m'a violé à l'hôtel avec sept de ses coéquipiers doit me recontacter. Il restait ce gros type un peu crade que j'avais rencontré peu de temps avant de me faire choper par mes huit blacks. Et voilà, celui-ci était prêt à me recevoir, et ce lundi matin, surlendemain de mon gangbang, je suis chez lui. 

 

Du coup, je réalise à quel point ma libido a évolué. Avant de passer à l'acte avec des hommes, j'étais assez difficile sur leur physique. Seuls les types biens bâtis, plutôt jeunes, beaux et musclés me faisaient rêver. De plus, je ne fantasmais que sur les belles grosses bites. Maintenant, j'en suis rendu à ça: me taper n'importe qui, même vieux, même moche, même gros, même crade (et celui-ci réunit toutes ces "qualités"), du moment qu'il a une bite prête à me niquer. Et loin de me navrer, ce constat me réjouit. C'est même jubilatoire: dorénavant, je suis prêt à mettre mon cul (et ma bouche, mais surtout mon cul) à la disposition de tous les mâles qui auront besoin de se soulager, y compris les mecs qui n'arrivent pas à tirer un coup à cause de leur physique ou de leur timidité ! Et les frustrés, ça ne manque pas !


Robert - oui, il s'appelle Robert -, je viens de lui tailler une pipe, et en quelques secondes, il a joui. Ayant des doutes sur ses pratiques sexuelles, je l'ai laissé s'éjaculer sur le ventre pour ne pas risquer de choper une saloperie. Apparemment, il craignait que je m'en aille, maintenant qu'il avait tiré son coup. Mais moi, j'espère bien qu'après avoir un peu récupéré, il pourra quand même me saillir, même avec une capote. Alors, je m'efforce de le rassurer:

- Tu me baiseras. Tu vas reprendre tes esprits, et quand ça ira mieux, cette fois, tu me baiseras.

- Ah ? Tu ne pars pas ?

- Non, pas tout de suite. 

- Ah bon.

- Tu te sens capable de tirer un autre coup ? 

- Je … je sais pas.

- Mais si, tu vas voir, je vais t'aider.

 

Il hoche la tête. Tout en lui caressant la queue, je contemple ses éclaboussures de sperme, et j'ai une furieuse envie de lui nettoyer le ventre, les cuisses et la queue avec ma langue. Mais je n'ose pas: ce mec, je me demande si c'est le genre à prendre des précautions quand il baise. Il se redresse, se lève, récupère son pantalon, et disparaît dans la cuisine. J'entends de l'eau couler. Au bout d'un moment, il reparaît. Il a remis son pantalon: 

- Je m'excuse, hein.

- Je t'ai dit: ne t'excuses pas. Je m'en fous.

- C'est parce que … c'est la première fois.

- La première fois que quoi ? Assieds-toi.

 

Il s'assied, un peu loin de moi. Je m'approche et je pose ma main sur le haut de sa cuisse.

- Alors, la première fois que quoi ?

- La première fois que quelqu'un me suce.

- Ah bon ? 

- Ouiihhhhhh !

- Mais, quand tu traînes dans le parc, là où on s'est rencontrés la première fois, ce n'est pas pour le sexe ?

- Si, mais … on m'avait jamais sucé!

- Mais, dans ce parc, tu rencontres … tu rencontres qui, dans ce parc ?

- D'autres hommes, comme moi. Y'a jamais de femme ... avec nous, je veux dire.

- Et vous faites quoi, alors ?

- On se … on se branle … ensemble … et des fois, on se touche la bite. Une fois, il y a eu un couple, et ils ont bien voulu qu'on touche la fille. Et son mec, il l'a baisée devant nous.

- Dans le fourré de troènes …

- Ouiihhhhhh ! Comment tu sais ?

- Je ne sais pas, je me doute.

- On s'est branlé en les regardant.

- Et avec les autres hommes qui traînent là-bas comme toi, tu as déjà baisé ?

- Oh non ! D'ailleurs, j'ai jamais baisé avec personne.

- Ah bon ?

- Non, non. Je suis … 

 

Il ne prononce pas le mot, mais j'ai compris: il est puceau. Donc, il ne peut pas être porteur d'une saloperie. J'aurais pu avaler sa crème. Mais, surtout, il va pouvoir me baiser sans capote, et me …

 

- Tu … tu veux toujours pas quelque chose ?

- Tu as quoi ?

- J'ai du whisky, ou de la bière.

- Une bière, alors.

 

Il se lève et retourne dans la cuisine. Je l'entends fouiller dans le frigo, entrechoquer des bouteilles, et il reparaît une canette et un verre à la main, qu'il me tend.

- Moi, je vais reprendre un whisky …

 

Il récupère son verre, se sert une nouvelle grosse rasade et en avale de nouveau la moitié. Il doit avoir encore besoin de se déshiniber. Mais il va finir par être saoul !

- Tu n'aurais pas des films de cul, par hasard ?

 

Il se retourne, me regarde en souriant et:

- Si, si, j'en ai. Tu veux en regarder un ?

- Ben oui.

- Quel genre ?

- Ce que tu aimes, toi …

 

Il ouvre la porte du meuble sur lequel trône la télé, et en sort un DVD qu'il me montre d'un air triomphant:

- Ça, c'est bien !

 

Il le glisse dans un lecteur, prend une télécommande, et revient s'asseoir à côte de moi … tout contre moi, même. Le whisky fait son effet. Je remets ma main sur sa cuisse. Le film démarre, et dès les premières images, je devine de quoi il s'agit: à genoux sur un lit, une créature, sans doute latino, vêtue uniquement d'un mini string qui a du mal à contenir sa bite et ses couilles, malaxe sa paire de gros seins en se trémoussant devant un mec genre grosse racaille de banlieue.

 

Je sens Robert tout excité et content de partager avec moi cette vidéo qu'il a dû visionner tout seul de multiples fois. Je déplace ma main jusqu'à son bas ventre. Maintenant, il n'a plus peur: il se cale confortablement dans ce canapé, écarte insensiblement les cuisses, tend son bassin. Il attend que je le tripote.

 

Soudain, on frappe à la porte du pavillon. Robert sursaute, manque de renverser son verre:

- Qui c'est qui … ?

 

A la porte, on insiste. On essaie même d'entrer, mais Robert a dû donner un tour de clé sans que je m'en rende compte. Je sens que cette intrusion a cassé son ambiance.

- Fait chier, faut que j'aille voir.

- Va, je t'attends.

 

Il se lève lourdement, et s'engage dans le couloir. Je l'entends traîner ses savates jusqu'à l'entrée:

- Salut. Qu'est-ce tu veux ?

- Tu me paies un coup ?

- Euh … là, je peux pas.

- Hein ? Pourquoi ?

- Je peux pas, c'est tout.

- Tu peux pas me payer un coup ? Tu rigoles …

- Non, tout de suite, là, je peux pas. Reviens tout à l'heure.

- Tout à l'heure ? Arrête ! C'est quoi ces conneries ?

 

Ça discute ferme dans l'entrée. Robert n'a pas l'intention de laisser entrer le visiteur. Mais au ton de celui-ci, il est évident que ce refus l'intrigue et lui donne d'autant plus envie d'en connaître la raison. Il y a comme une bousculade et des pas rapides et décidés parcourent le couloir. Un type déboule dans le salon, Robert sur les talons. Dans l'encadrement de la porte, un mec d'âge incertain, quarante, cinquante ans, pas très grand, sec, cheveux châtains grisonnants, très courts, le visage dur, marqué, il est vêtu d'un jean, d'un blouson de cuir élimé, genre aviateur, d'une chemise bleue et de tennis.

 

En me découvrant sur le canapé, il est stoppé net dans son élan. Il écarquille les yeux, bouche bée. Les gémissements qui s'échappent de la télé attirent son attention. Il y jette un coup d'œil, et repose les yeux sur moi … ou plutôt, sur mon entrejambe, largement dévoilé par ma mini jupe remontée en haut de mes cuisses: 

- Ah d'accord ! J'ai compris: c'est pour ça que tu voulais pas me laisser entrer.

 

Robert, embarrassé, ne répond pas. J'interviens :

- Salut !

- Salut. Qui t'es, toi ? T'es … t'es un travelo ?

 

En guise de réponse, je me lève, je m'avance au milieu du salon et je fais un tour sur moi-même, pour qu'il me voie sous toutes les coutures. Il siffle entre ses dents, et:

- Oh merde ! Un trav. 

 

Sans même se retourner, les yeux toujours braqués sur moi, il interroge Robert, planté derrière lui :

- Tu … tu vas te le taper ?

 

Il n'imagine pas un instant que, d'une certaine manière, c'est déjà fait, que Robert se l'est déjà tapé, le travelo. Je viens au secours du gros. Il ne peut pas avouer qu'il a giclé simplement parce que je l'ai un peu sucé. Je lance :

- C'est prévu.

- Oh merde ! Tourne encore. Et tu prends combien ?

 

J'obtempère, je fais un autre tour sur moi-même, plus lentement :

- Je ne prends rien.

- Hein ? Tu veux dire … tu te fais pas payer ?

- Non.

 

Robert intervient :

- Bon, Gégé, je te paie un coup et tu t'en vas.

 

Gégé ! Robert et Gégé ! Le Gégé en question, satisfait, le regard braqué sur mon cul, mes cuisses, mon bas ventre, saisit l'occasion et vient s'asseoir sur le canapé :

- Ouais, paie ton coup.

 

Robert soupire et disparaît dans la cuisine. Pendant qu'on entend des bruits de bouteilles, le visiteur tapote le canapé à côté de lui :

- Assis-toi. 

 

Je m'assois. Les fesses au bord du siège, un peu penché en avant, il m'examine de la tête aux pieds :

- Ah ouaiiiis, alors, c'est toi. Je me rappelle, l'autre fois, il nous avait parlé d'un trav en voiture, au parc. Il nous avait dit qu'il l'avait tripoté.

- C'était moi.

- On l'avait pas cru. 

- Il m'avait même enlevé mon string et il m'avait tripoté la queue.

 

Robert, revenu dans le salon, trois canettes de bière dans les mains, n'est pas peu fier que je confirme, en chair et en os, son histoire :

- Alors, tu vois, c'était pas des conneries.

 

L'autre en reste baba. Avec Robert, on se regarde, et, à son tour, il vient s'asseoir sur le canapé. Je sens que les questions se bousculent dans la tête de son pote. Après un long silence, il avale une gorgée de bière, et :

- Alors, tu te fais vraiment pas payer ?

- Non.

- Mais … pourquoi … euh … tu fais ça avec Robert ?

- C'est comme ça, j'ai eu envie. Ça ne t'arrive jamais, d'avoir envie ?

- Ah si, si ! J'ai même tout le temps envie. Et … euh … tu fais quoi, exactement ?

- Je fais quoi ? 

- Ouais,. tu suces ?

- Je fais tout: je branle, je suce, je baise, même.

 

Il hoche la tête, épaté. Il avale une grande rasade de bière. Ça s'agite dans son crâne, et il se tortille sur le canapé à côté de moi. Je sens que ça le démange, il meurt d'envie de me demander de faire "tout" avec lui. Il tend la main vers moi, au-dessus de ma cuisse :

- Je … je peux ?

- Hé, laisse tomber, merde.

 

Robert n'est pas d'accord. Il pensait qu'après son premier coup trop rapide, nous allions revenir à nos moutons, seulement lui et moi. Il avait recommencé à se chauffer avec son film de cul. Pour le tranquilliser, je pose une main sur le haut de sa cuisse :

- Laisse, Robert. Il peut me toucher, ça ne me gêne pas.

 

Au fond de moi, je sais déjà que celui-ci aussi, il va me baiser. Un autre mec, je ne vais pas laisser passer cette occasion, que Robert soit d'accord ou pas. Que je le laisse me tripoter, son pote n'attendait que ça. Il finit sa canette, la pose au pied du canapé, se tourne vers moi, me pose une main sur une cuisse et me glisse l'autre dans l'entrejambe. J'écarte les jambes pour faciliter son exploration. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, il me souffle son haleine de bière dans la figure. Robert le regarde faire, l'air désapprobateur. Alors, pour le calmer, je remonte ma main sur son bas ventre et je lui palpe le paquet à travers la toile de son pantalon de survêtement. Ma parole, il est nu dans son pantalon, il n'a pas remis son caleçon ! Je localise son gland et, des doigts, je le lui pétris doucement. Ça l'apaise un peu. L'autre s'empêtre dans mon string. Il s'excite, souffle de plus en plus fort. De l'autre côté, Robert bande. Le seul effet de ma caresse, ou de me voir coincé entre lui et son pote ? L'autre me griffe le paquet en essayant fébrilement de m'arracher mon string. Je suis obligé de le calmer. J'écarte de force sa main d'entre mes cuisses, et :

- Hé, doucement, mec ! Tu m'as fait mal !

 

Ça le refroidit. Il me lâche, se cale le dos contre le dossier du canapé et se fourrage le bas ventre à travers son jean. Il a dû commencer à bander et il installe sa queue plus confortablement.

- J'ai encore soif. T'as pas une autre bière ?

 

Robert soupire. Je lui palpe toujours le paquet, et il n'a pas du tout envie de se lever pour aller lui chercher une autre bière. J'accentue mon geste sur sa queue, et :

- Ne bouge pas, j'y vais. C'est dans le frigo ?

- Oui.

 

Je me lève et je me dirige vers la cuisine. Je les entends discuter à voix basse, mais sur un ton plutôt vif. Au moment où je vais ouvrir le réfrigérateur, je perçois un mouvement derrière moi et, instantanément, je sens des bras m'enserrer et un corps se plaquer contre moi. C'est le pote de Robert qui m'a suivi. Le bassin collé contre mes fesses, il pose son menton entre mes omoplates et il me souffle :

- Je vais te baiser, toi …

- T'en as envie ?

- Putain, oui ! Tu sens pas ma queue ?

 

Je dégage mes bras de son étreinte, je passe une main sur ses reins et je glisse l'autre entre mes fesses et son ventre. En effet, il bande. Je le palpe. Il aime ça:

- Oh, tu m'excites, salope ! Ah ouais, c'est sûr, je vais te baiser !

- On verra …

- C'est tout vu, oui !

- Tu crois ?

 

Je desserre son étreinte sans difficulté, je me retourne et je lui saisis fermement les poignets: 

- C'est moi qui décide ! Je branle et je suce qui je veux, je me fais baiser par qui je veux !

 

Il est stupéfait. Il a beau essayer de se dégager, il ne fait pas le poids, face à moi.

- Qu'est-ce que vous foutez ?

 

C'est Robert qui nous a rejoints, inquiet d'avoir vu son pote me filer le train dans la cuisine.

- Ton pote veut me baiser.

- Ça va pas, non ? Tu te barres, maintenant, Gégé.

- Hééé ! Déconne pas, mec ! Pourquoi je le baiserais pas, moi aussi, hein ?

 

Robert ne sait pas quoi répondre. Il a bien envie de me baiser, oui, mais il considère sans doute que ce n'est pas à lui de décider si son pote me baisera aussi ou non. Il soupire, hausse les épaules et me regarde, interrogateur.

 

Je lâche les poignets de son copain et je lui assène:

- Toi, tu vas nous attendre au salon.

- Hein ? Pourquoi ?

- Parce que je te le dis.

 

Il s'éclipse à regret. Je m'approche de Robert:

- Bon, tu veux me baiser, maintenant ?

- Ben … oui.

- Où tu veux me baiser ?

- Comment ça ?

- Tu veux me baiser ici, dans la cuisine, ou dans le salon, devant ton pote, ou … je ne sais pas …

- Ah … euh … non, pas devant lui. Dans ma chambre.

- Ok, montre-moi.

 

Je le suis dans le salon. L'autre est vautré dans le canapé, une canette en main et regarde le film de cul à la télé. Il nous jette un œil mauvais. Robert s'arrête, se verse un nouveau whisky qu'il avale d'un trait. Il va finir par être bourré. Mais s'il en a besoin... Au moment où Robert se dirige vers le couloir, l'autre se lève et nous lance:

- Je sors, mais je reviens.

 

Robert ne lui prête pas autrement attention et me désigne l'escalier. J'attrape mon sac à dos au passage et je commence à grimper, le gros sur les talons. En montant, je me dis qu'il doit être en train de me mater le cul et les cuisses sous ma mini jupe. Ça me plaît. 

 

La chambre est plongée dans l'obscurité. Seul filtre un peu de lumière à travers les lames des volets.

- Tu n'ouvres pas les volets ?

- Je peux pas, ils s'ouvrent plus.

 

Mes yeux s'accoutument à la pénombre. Cette chambre est à l'avenant du reste de la maison, vieille et crade, et ça sent le renard. Le lit n'est pas très net et les draps froissés n'ont pas été changés depuis un moment. Peu importe, je me jette dessus à plat ventre, et je me mets à onduler du bassin. Je sens que ma jupe remonte et commence à me découvrir les fesses. Robert se jette sur moi. Ou plutôt, il se précipite sur le lit, entre mes jambes, et vient m'enserrer les hanches en me posant la tête sur les fesses. Il me les embrasse, me les caresse fougueusement. Je le laisse faire un moment, puis je tends les mains vers ma jupe et je la remonte lentement sur mes reins. 

- Oh, quel cul ! Quel cul !

 

Il me fourre fébrilement la figure entre les fesses et m'embrasse la raie. J'écarte les cuisses autant que je peux, je me cambre:

- Allez, vas-y, prends-moi !

 

Aussitôt, il se redresse et m'arrache fébrilement mon string. Puis je le sens se lever, et, tandis que je l'entends enlever son pantalon et son caleçon, je me cambre, je m'empoigne les fesses et je les écarte, lui montrant, lui offrant l'entrée de mon fourreau:

- Il y a du lubrifiant dans mon sac.

 

Je l'entends l'ouvrir, fouiller, et:

- Je vais mettre une capote.

- Je préfère pas.

- Ah bon … mais …

- Tu n'as rien à craindre, je suis sain.

- …

- Et je veux que tu jouisses dans mon cul.

 

Brusquement, je sens quelque chose de froid et mouillé dans ma raie. Il m'a mis la dose de lubrifiant, mais pas dans le cul. Je tends la main jusqu'au fluide, j'en enduis mes doigts et, tant bien que mal, je me les introduis, tout en ondulant du bassin. Il doit être en train de me regarder faire. Alors, je fais durer le plaisir, y mettant toute la lascivité, toute la lubricité que je peux, comme une invitation.

 

Soudain, il pose une main sur ma fesse, tout près de ma rondelle, puis il y glisse un doigt. Son pouce ?  Et:

- Oooooh, je vais te baiser, salope !

- Ouiiii ! Baise-moi !

 

Le voilà sur moi. Je sens que, de la main, il guide son sexe vers ma rondelle. Il me pénètre. Il est en moi. Immédiatement, il me met de grands coups de reins. Le visage contre ma nuque, il halète, il gémit, me souffle son haleine alcoolisée dans le cou. Il est en train de prendre son plaisir. A cet instant, il n'est plus qu'une queue qui va et vient dans un corps vivant, tout son être s'est concentré dans ce gland qui fouille fiévreusement la tiédeur humide de mes chairs à la recherche de la volupté. Ce coït m'excite. Un mâle de plus est en train de jouir de moi. Et il va jouir EN moi. Je repense à cette crème qu'il a répandu tout à l'heure, à la quantité de sperme qu'il a produit, à la puissance de son éjaculation. Il va recommencer, cette fois en moi, il va m'injecter le même flot de semence, m'inonder les entrailles, me féconder ! Ça va très vite. Il s'effondre sur moi, s'immobilise et jouit:

- Aaah ! Aaaahh ! Aaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Saaaaaaaa loooooooo pe !

 

Mentalement, je visualise sa liqueur qui baigne maintenant mon cul. Voilà, c'est ça que je voulais: me faire féconder encore une fois, recevoir en moi la semence d'un mec de plus, ce grouillement immobile et silencieux de millions de spermatozoïdes qui cherchent vainement dans mon ventre un ovule à investir.

 

Pour Robert comme pour tous les autres mecs qui m'ont baisé, leur queue n'est que le vecteur de leur  plaisir, et notre fornication ne vise évidemment qu'à la jouissance, à la volupté. Ils s'y prêtent d'autant plus sereinement et sans retenue qu'ils savent ce coït stérile, infécond. Mais pour moi, il y a dans ces accouplements, une dimension supplémentaire: leur queue n'est pas seulement un objet de plaisir, c'est aussi un appareil génital, un organe reproducteur. Pour eux, la dose qu'ils me mettent dans le cul, c'est simplement du foutre, de la jute, c'est-à-dire une liqueur inerte, simple matérialisation physiologique de leur orgasme, alors que, pour moi, ces mâles me plantent bel et bien leur petite graine, ils m'inséminent, ils m'injectent leur patrimoine génétique, bref, ils m'engrossent ! Je réalise que c'est en pârtie ce qui me pousse à chercher à me faire saillir par n'importe quel mec.

 

Robert est maintenant immobile sur moi. Sa respiration s'est calmée. Je sens que sa queue a commencé à se rétracter dans mon cul. Et … oui, il ronfle ! Il s'est endormi, sous l'effet conjugué de son orgasme et des trois verres de whisky qu'il s'est tapé ! C'est assez agréable, de sentir sur moi le poids du mâle que je viens de faire jouir, apaisé, soulagé.

 

Mais il est lourd et, au bout d'un moment, je bascule sur le côté et je me dégage. Robert roule sur le lit sans se réveiller, ronflant de plus belle. Je me lève et je sors sur le palier. Sa crème me coule le long des cuisses. En effet: il m'en a mis une bonne dose. Deux autres portes. La première que je pousse est la bonne: une salle de bain. Baignoire, lavabo, WC et … bidet ! Tout ça est comme le propriétaire: légèrement briqué en prévision de ma venue, mais quand même encore un peu crasseux dans les coins. Tant pis: toilette externe et lavement.

 

Je remets mon string et je récupère mon sac et son contenu dans la chambre. Robert dort toujours. Il ronfle. Je redescends. 

 

Dans le salon, le pote de Robert est revenu. Mais il n'est pas seul. Sur le canapé, à côté de lui, un type, jeune, très jeune même, et un autre, grand, maigre, la soixantaine, cheveux gris avec un catogan. Ces deux-là se lèvent à mon arrivée et me regardent de la tête aux pieds, les yeux ronds, la bouche ouverte. Gégé les observe, jubile tel le découvreur d'une rareté, fier de la présenter à des amis. Il me les présente:

- Mon frangin et Diego.

 

Il les a désignés de la main. Son frangin, c'est le plus jeune. Je leur tends la main, ils me la serrent. Son frangin, le gamin ? On dirait plutôt son fils. Il y a en effet un air de ressemblance, à ceci près que, si Gégé a en permanence un air renfrogné, le frangin affiche un sourire niais. Tous les trois sirotent de la bière. Putain, je sais immédiatement que je vais me les faire tous les trois ! Le pote à Robert aurait été seul, je me serais contenté de lui, mais il a eu la très bonne idée de vouloir faire profiter de mon cul son frangin et ce Diego ! Et bien, banco ! Sortez vos bites, les mecs ! Je me tourne vers Gégé:

- C'est pour aller les chercher, que tu es sorti ?

- Ouais.

 

Il fait signe à son frère de se pousser et, à mon intention:

- Assis-toi … 

 

Je m'assieds, ainsi que le nommé Diego. Me voilà assis entre ces deux types sur la banquette. Gégé poursuit:

- Alors ? Ça y est, il t'a baisé, Robert ?

- Oui.

 

Il pose sa main sur ma cuisse.

- Et c'était bien ?

- Ça lui a plu. Il a pris son pied.

 

Il glisse ses doigts entre mes jambes, remonte lentement vers mon string. J'écarte les cuisses pour lui faciliter son exploration. Je jette un coup d'œil à l'autre. Les yeux rivés sur la main de son pote qui approche de mon entrejambe, apparemment, il n'en revient pas de me voir me laisser peloter comme ça. Gégé:

- Il redescend pas, Robert ?

- Il dort.

- Ah bon ? Tu l'as fatigué à ce point ?

- Faut croire.

- Et toi, t'as pris ton pied ?

- Non.

 

Son … frangin, debout devant nous, regarde en ricanant son frère me tripoter. Gégé:

- Alors, et nous, on pourra aussi te … ?

- Me baiser ?

- Ben ouais.

- Tous les trois ?

- Ben … ouais. Pourquoi, ça te fait peur, trois ?

- Non, c'est pas ça, trois ça me fait pas peur. Vous deux, vous pourrez me baiser, mais lui, là, il est pas un peu jeune ?

 

Aussitôt, l'exploration de mon entrejambe se fait plus fébrile. Gégé vient d'entendre ce qu'il espérait: « vous deux, vous pourrez me baiser » !!!! Son excitation monte d'un cran. Je m'adresse au gamin, debout devant nous: 

- Comment tu t'appelles ?

- Moi ? C'est Cricri.

 

Cricri et Gégé ! La totale !

- T'as quel âge, Cricri ?

- Moi ? Sei…

- Dix-huit ! Il a dix-huit ans !

 

C'est l'aîné qui intervient. Le petit commençait à me dire seize, et l'autre, sans doute pour couper court à je ne sais quelle problème de ma part, cherche à le faire passer pour majeur ! S'il savait comme je m'en fous. Je fais comme si je n'avais pas entendu l'aîné et je demande à Cricri:

- Seize ans ? Et, tu as déjà baisé ?

- Il a dix-huit ans ! T'as dix-huit ans !

- Alors, tu as déjà baisé, Cricri ?

- Oh non, m'sieur.

- Même pas avec une copine ?

- Non, j'ai pas de copine.

- Il est puceau.

 

Gégé, évidemment …

- Et avec un garçon, tu as déjà fait quelque chose ?

- Oh non, m'sieur !

 

Il paraît outré par ma question.

- Et ça te dit, pour ta première fois, de le faire avec un travelo ? Avec un homme, quoi.

- Ben … je sais pas.

- Bon, enfin, même si t'as que seize ans, si ça te dit, tu pourras aussi me baiser. Je te forcerai pas, c'est toi qui décides. Tu vois, Gégé, y'a pas de problème !

 

Il hausse les épaules et ricane. Mais il ne perd pas le nord, il soulève ma jupe et glisse fébrilement ses doigts dans mon string, de plus en plus excité. Diego, à côté de moi, figé, regarde l'autre se débattre avec mon string. Gégé lui lance:

- Hé, vas-y, mec, tu peux le tripoter, il se laisse faire. Pas vrai ?

- Attends !

 

Je repousse sa main, je me lève et je fais glisser mon string jusqu'à mes pieds, avant de me rasseoir. Il me colle son visage dans le cou et me remet immédiatement la main entre les cuisses, tentant de glisser ses doigts jusqu'à mon fourreau. Diego ne bouge pas. Je lui prends la main et je la pose sur ma cuisse.

- Il a raison, Diego, tu peux aussi me tripoter, si ça te dit.

 

Il me caresse l'intérieur de la cuisse depuis l'aine jusqu'au genou. Ce n'est pas qu'ils soient appétissants, tous les trois, mais la situation commence vraiment à me plaire. Je plaque une main sur le paquet aux deux qui m'encadrent. Gégé bande déjà. Dès que je le touche, il ôte sa main de mon entrejambe, s'empresse d'ouvrir sa braguette et en extrait sa queue:

- Ah, salope ! T'aime ça, la bite, hein ? Tu vas en avoir, de la bite, tu vas en avoir !

 

Il se cale confortablement au fond du canapé, tend son bassin vers l'avant, et attend visiblement que je m'occupe de son engin. C'est une tige très mince et très longue, mais, bien qu'il soit encore calotté, je me rends compte qu'il a un très gros gland, disproportionné par rapport au diamètre de sa verge. C'est plus fort que moi, j'ôte ma main du ventre de Diego et je me tourne vers Gégé. Je le décalotte. Ce qui jaillit de son prépuce et s'épanouit en forme de corolle, c'est … je n'ai jamais vu un gland comme ça ! Il est très large et en forme de champignon à peine bombé, presque plat et perpendiculaire à sa verge ! Il forme un disque presque parfait, à peine rompu au niveau de son méat, et qui doit faire … je sais pas, au moins cinq centimètres de diamètre. Vraiment, je n'ai jamais vu un truc pareil, même en photo sur Internet où, pourtant, on en voit de toutes sortes !  Cette bite a un aspect presque … monstrueux. On dirait la bite d'un animal ! En tout cas, elle n'est vraiment pas profilée pour la pénétration. Je suis sûr qu'un cas comme ça intéresserait la médecine. Si Gégé a montré ça à des filles, elles ont dû se sauver en courant. Mais moi, ça m'excite ! Oh putain, je vais sucer ce truc-là ! Un flot de salive m'inonde la bouche. Et je vais me faire saillir par ÇA ! On peut se faire saillir par un truc pareil ? Oh oui, moi, je vais sûrement arriver à me faire fourrer ce machin. Au point de vue de la taille, j'en ai vu d'autres, avec mes godes ! Me reculant tout contre Diego, je me penche sur le ventre de Gégé.

- Allez, salope ! Vas-y, suce-moi !

- Ta queue … elle est … j'ai jamais vu une queue comme ça !

 

Et aussitôt, je le prends dans la bouche et je commence à le sucer. C'est une sensation fantastique, ce truc, rond comme un disque et presque plat dans ma bouche. La position est plutôt inconfortable, alors, je le sors de ma bouche, je descends du canapé et je m'agenouille devant lui. Tout en lui branlant délicatement la verge, j'examine encore son engin:

- T'as vraiment une queue bizarre ! 

- Je sais. Elle te plaît pas, à toi non plus ?

- Pourquoi "à toi non plus" ?

- Parce que … en général, elle fait peur.

- Ça m'étonne pas. Mais à moi, elle me fait pas peur. Au contraire, j'en ai jamais sucé une comme ça.

 

Je donne quelques coups de langue à son gland. Bien que le Gégé bande à mort, la couronne de son gland, très fine et débordant largement de sa verge, est très souple et élastique. J'en parcours tout le tour du bout de la langue. En faisant ça, je me rends compte que c'est le frein de son prépuce qui provoque la légère courbure de ce gland. Sans lui, son gland serait tout plat ! Incroyable ! Je lève les yeux sur lui. Bien calé au fond de la banquette, il me regarde jouer avec sa bite. Il n'a pas dû avoir beaucoup l'occasion de voir quelqu'un apprécier son étrange machin. Tout sourire, il me demande: 

- Alors, elle te plaît, ma queue ?

 

Je hoche la tête "oui, elle me plaît, ta queue", je lui écarte les cuisses et je le reprends dans la bouche. Ça lui fait beaucoup d'effet:

- Ah putain ! Ah putain ! 

 

Il tend son ventre vers moi, enfonçant sa bite dans ma bouche. Pressée entre ma langue et mon palais, la couronne de son gland se rabat contre sa verge, comme le ferait un parapluie qu'on referme. Et heureusement, parce que, un truc aussi large, je ne pourrais sûrement pas l'ingurgiter. Hhhhmmmm, j'adore ça ! Sucer ce truc aussi bizarre, comme une bite d'animal, toute chaude, caoutchouteuse, dont je sens qu'elle ne demande qu'à s'ouvrir, à s'épanouir dans la tiédeur de ma bouche ! Je bande. J'extrais lentement sa bite de ma bouche en continuant à presser son gland pour qu'il reste "replié" contre sa verge. Puis je l'enfonce à nouveau. Et là, mes lèvres une fois arrivées à la base de sa verge, au moment de repartir dans l'autre sens, j'ouvre la bouche autant que je peux et je sens la tête du champignon s'épanouir complètement dans ma gorge. Et en la ressortant, je la presse de nouveau avec ma langue. Cette fois, ce qui frotte contre mes papilles et mon palais, c'est le dessous de la couronne de son gland, beaucoup plus sensible. Effet immédiat sur Gégé:

- Ah, la vache ! Doucement ! Doucement !

 

En effet, je ressens un frémissement de sa queue dans ma bouche. Il est prêt à jouir. Je réduis la pression de ma langue et il se calme:

- Oh putain ! Vas-y molo, mec !

 

Je sens qu'il se redresse, pose une main sur ma tête, et:

- Ah, putain, Diego, j'te dis pas ! C'te … c'te salope, comment elle suce !

 

Et s'adressant à moi:

- Continue, toi, mais doucement, hein.

 

Son pic d'excitation est passé. Il se sent plus en confiance et il se laisse encore sucer quelques instants, puis:

- Vas-y, toi, fais-lui quelque chose, reste pas là, debout comme un con !

 

Ça devait s'adresser à son frère. Je l'entends ricaner derrière moi, mais il ne me fait rien. Pour le motiver, j'écarte les jambes, je me cambre et je me mets à onduler du cul tout en suçant le grand frère. Allez, petit-petit-petit, viens, approche et prends moi le cul, c'est pour toi.

 

Du coin de l'œil, je vois Diego se tripoter la queue à travers son pantalon. Je tends le bras, je pose la main sur sa cuisse et je l'attire vers moi. Il ne se le fait pas dire deux fois et s'approche. J'essaie maladroitement de déboutonner son pantalon. Il le fait lui-même, ouvre sa braguette et sort sa queue. Pour ce que j'en vois, elle est plus "normale" que celle de Gégé. Je commence à le masturber, tout en suçant l'autre,  qui se marre:

- Oh oh oh oooooh ! Oh putain ! T'aimes ça, la bite, hein, salope ! Ah la vache, on va se le faire, le travelo !

 

Il devait attendre une réaction de ma part. Mais je continue de le sucer comme si de rien n'était.

- Hein ? On va te baiser, salope. Tous les trois, on va te baiser !

 

Le petit frère, derrière moi, ne fait toujours rien. Je sors la queue de Gégé de ma bouche et, tout en le masturbant lentement, je tourne la tête vers le gamin. Il a la queue à la main ! Et sa queue est tout à fait "normale". Je dois dire que je suis un peu surpris. Pourquoi il se fait du bien tout seul ? C'est quoi qui l'excite, mon cul, ou de me voir sucer son frère ? Il est gêné et fait mine de remballer son sexe dans son pantalon. Je l'interpelle:

- Hé, le môme, ça ne te plaît pas, ce que tu vois ?

- Oh si, euh … m'sieur !

- On dirait, hein, je te fais bander. Mais si t'as pas envie de te taper un travelo, c'est pas grave. 

- C'est pas ça, mais je sais pas … Euh … j'ai …

- Tu ne sais pas ce qu'il faut faire. C'est ça ?

- Oui, m'sieur.

- Ben, t'es con, ou quoi ? Tu le baises.

 

Encore le frangin. Je poursuis:

- T'as déjà vu des films pornos, Cricri ?

 

Il rougit. 

- Oui, mais pas avec … euh …

- Pas avec un travesti ?

- Oui, c'est ça.

- Et dans tes films pornos, les mecs, ils enculent les filles ?

- Euh … ben oui, des fois.

- Alors, c'est pareil, tu me fais pareil, tu m'encules.

 

C'est une révélation pour lui ! Comme il continue d'hésiter, je lui propose:

- Si tu veux, au fur et à mesure, je te dis ce qu'il faut faire. Ça ne vous dérange pas, messieurs ? Evidemment je vous continue pendant ce temps.

 

Gégé soupire, mais:

- Ouais, c'est bon, vas-y.

 

Diego sourit et:

- Pour moi, pas de problème.

 

A son petit sourire, j'ai l'impression qu'il trouve l'expérience intéressante. Je me tourne de nouveau vers le gamin, et, tout en masturbant les deux autres:

- Ote ton pantalon.

- Mais …

- Fais le, on est entre nous.

 

Il obtempère.

- Ton caleçon aussi.

 

Il l'enlève. Il bande encore. Bite normale, et en plus, vraiment pas mal ! Pour un gamin, il est plutôt bien équipé ! Bien mieux que son frère. Oh, la vache, quel bel engin il va me mettre, ce môme !

- Regarde dans mon sac, là, au pied du canapé. Il y a un tube de gel.

 

Il fouille, et trouve le tube.

- Prends-en dans ta main et étale le sur ta bite. Voilà. Maintenant, viens derrière moi.

 

Il approche.

- Mets-toi à genoux entre mes jambes.

 

Il le fait.

- Approche encore … Voilà.

 

Je me tourne vers Gégé et Diego. Tous les deux, les yeux ronds, regardent le gamin faire. Ils sont très raides dans mes mains, tellement la scène qui se déroule devant eux les excite.

- Maintenant, pose le bout de ta bite contre mon trou du cul. Voilà … Ne crains rien, c'est tout propre, là-dedans, je me suis lavé avant de redescendre.

 

Je sens son gland, frais et humide contre ma chair. Le gland d'un gamin de seize ans, qui s'apprête à me baiser ! Très troublant et très excitant !

- Mets tes mains sur mes hanches, et enfonce ta bite dans mon cul.

 

Il marque une hésitation, et je sens son sexe s'enfoncer doucement en moi. Est-ce la jeunesse du gamin ? Est-ce parce que je suis son premier coup ? Est-ce la taille de son membre ? Est-ce de me faire prendre devant les deux autres ? Ce môme me fait un effet terrible ! Une vague de chaleur m'envahit et j'ai le souffle coupé. Je ne peux retenir un:

- Oh oui, Cricri ! C'est bien ! Oh, quelle BITE !

 

Je réalise que si j'ai toujours la queue des deux autres en mains, j'ai cessé de les branler. Mais ils ne protestent pas. Ils sont fascinés par le spectacle de Cricri qui me baise … qui baise pour la première fois. Ça y est, il est tout au fond de moi. 

- Oh, putain, reste un peu comme ça, Cricri ! Bien au fond !

 

J'aimerais me dédoubler pour regarder la scène d'un peu loin, pour voir ce jeunot en train de me prendre en levrette. Si j'avais pu prévoir, j'aurais amené mon camescope. La suite lui vient naturellement, sans que j'aie besoin de le guider: il commence à aller et venir. Très excité, je reprends son frère dans la bouche et je lui administre une fellation vigoureuse. Ça le relance:

- Ah, putain ! Il est en en train de se faire mettre par mon frangin ! Hé, salope, il te baise bien , hein, le Cricri ! 

 

Il m'empoigne la tête et il me fait furieusement aller et venir sur sa tige. Les dents serrées, il éructe:

- Vas-y, Cricri, fous-lui sa dose, à c'te salope !

 

Tout ça est trop pour le gamin. Brusquement, il me met de violents coups de boutoir en gémissant, et je pressens qu'il va se retirer. Je m'arrache aux mains de Gégé, je recrache sa queue, et:

- Reste, Cricri ! Reste dans mon cul !

- Ah la la ! Mais, je vais …

- Oui, je sais: jute-moi dans le cul, Cricri !

- Aaaaaahhhh ! Ça y est !

 

Il éjacule.

- Oui, c'est bien, continue, reste au chaud pour finir.

- OoooooOOOOooooohhhh ! Hhhhhhmmmmm !

- Ça te plaît, comme ça ?

- Oooooh ouiiiii !

- Moi aussi. Tu m'as bien baisé, Cricri, j'aime ça.

 

Il se retire et reste derrière moi, à genoux, à reprendre son souffle et ses esprits. Je me retourne, je prends délicatement ses couilles dans la main, et je me penche sur son sexe. Il esquisse un mouvement de recul.

- Ne bouge pas. N'aie pas peur.

 

Il s'immobilise. Gégé profite que j'aie le cul en l'air pour me mettre une main. Je prends la queue de son frère dans la bouche. Elle a le goût du lubrifiant, de son sperme et de mon fluide anal. Il commence à débander. Je le recrache.

- C'était bien, Cricri. J'ai beaucoup aimé. Et ça y est, t'es plus puceau.

 

Il sourit, et se relève. Je fais comme lui. Les deux autres sont toujours affalés sur la banquette, la bite raide. Diego se masturbe lentement en me regardant. Je leur lance:

- Bon, messieurs, on fait quoi, maintenant ?

 

Evidemment, c'est Gégé qui réagit le premier. Il se redresse:

- Maintenant, j'te baise !

- Alors en piste ! Où ? Comment ?

- J'te baise aussi en levrette.

- Très bien, j'adore ça. Euh … j'ai encore la jute de ton frère dans le cul. Ça te gêne ?

- Nan.

- Je peux aller me laver.

- Nan, j'te dis !

 

Cricri est en train de remettre son caleçon et son pantalon. 

- Tu me baises où, Gégé ? Ici ?

- Euh … nan. Viens.


Il me précède dans la cuisine.

- Ici !


Il me montre la table chargée de vaisselle et de canettes vides, et dont on aperçoit, par endroits, le formica jaunasse et usé. Il me prend par un poignet et m'incite à m'installer face à la table.

- J'vais t'baiser là !

- Hhmmmmm !

- Ça t'plaît, hein.

- Ouais.


Il relève ma jupe sur mes reins, se colle contre moi, m'enserre de ses bras, loge son front entre mes omoplates et se frotte le bas ventre contre mes fesses. Comme il me pousse en avant, j'essaie de me retenir en posant mes mains sur la table, et je suis obligé d'écarter une pile d'assiettes sales et une autre de cartons de pizzas pour me faire un peu de place.

- T'es vraiment une salope, hein ?

- Oui.

- T'aimes ça, la bite, hein ?

- Oui.

- T'aimes te faire fourrer.


Je passe une main entre mes fesses et son ventre, et je lui empoigne la queue:

- Oui. J'aime faire bander les mecs, j'aime les exciter. J'aime sentir qu'ils matent mon cul en se disant qu'ils voudraient bien y fourrer leur queue. J'aime quand ils réalisent qu'ils peuvent vraiment me la mettre, leur queue. Et j'aime qu'ils me baisent.

- T'es la reine des salopes !

- Ouais.


Il est raide dans ma main, évidemment. Je le masturbe.

- Oooooh, espèce de … espèce de salope ! Branle moi !

- Oui, mais retiens-toi, j'ai envie que tu me baises.

- Ouais, bon, j'te baise !

- Va mettre une capote.

- Quoi ?

- Va mettre une capote !

- Mais, Cricri, il en a pas mis.

- Cricri, il est puceau. Enfin, il ÉTAIT puceau.

- Et alors ?

- Alors, il avait couché avec personne, donc il pouvait pas me refiler une saloperie. Toi, t'es puceau ?

- Ben non.

- Donc, comme je te connais pas, et que tu n'as pas de test de dépistage de maladies … tu as un test ?

- Non, mais …

- Tu mets une capote !

- Pffffff ! J'aime pas ça.

- Moi non plus. Et crois-moi, j'aimerais mieux que tu me jutes dans le cul, mais là, c'est pas possible !

- Bon.


Il me lâche et retourne dans le salon. Pendant qu'il fouille mon sac, j'entreprends de dégager de la place devant moi sur la table: je repousse les assiettes, les verres sales et les gamelles qui l'encombrent, découvrant une surface crasseuse, maculée de traces de graisse et de ce qui doit être de la sauce tomate séchée. Par réflexe, je jette un coup d'œil en direction de l'évier à la recherche d'une éponge ou de n'importe quoi qui permettrait de nettoyer un minimum cette table où je vais me faire tringler. Mais l'évier est lui-même envahi de vaisselle sale et je ne vois rien qui puisse servir d'éponge. De toute façon, dans l'ordre de mes urgences, me faire sauter passe largement avant le besoin de propreté, et je n'ai pas l'intention de perdre mon temps à nettoyer cette table.  J'attends Gégé et sa monstrueuse bite. Il revient: 

- Cricri s'est barré !

- Dommage.

- Pourquoi?

- Il a une belle queue, ton frangin. C'est bizarre, il a pas la queue comme toi. Pourtant, vous êtes frères.

- DEMI frères.


Il a ouvert la pochette d'une capote et il commence à l'enfiler tant bien que mal sur sa queue.

- Ah bon, demi frères ?

- Ouais, on a pas le même père.

- Ah, OK.

- Mais entre Cricri et moi, y'a encore un autre frangin … lui aussi d'un autre père. Ma mère, plus jeune, elle était comme toi, une vraie salope, elle se faisait troncher par tout le monde.

- Pourquoi tu l'as pas amené, ton autre frangin ?

- Il était pas là. De toute façon, celui-là, il est débile.

- C'est-à-dire ?

- Il est un peu attardé. Il a une case en moins. Ma mère picolait quand elle l'a fait.


Putain, quelle famille ! Je me demande ce qu'elle foutait, sa mère, quand elle l'a fait lui, le Gégé, pour qu'il hérite d'une bite comme celle-là. Je le regarde essayer d'enfiler sa queue dans cette capote. 

- Tu t'y prends comme un manche. Approche !


Le voilà devant moi, qui soulève sa chemise, tend son ventre et me regarde faire. Mais j'ai bien du mal à enfiler cette capote sur ce gland hors norme. Je n'arrive pas à placer un peu correctement l'extrémité, et une fois déroulée, elle flotte autour de sa verge. Pour son gland, il faudrait une capote grand modèle et pour sa verge un petit modèle. Comme ça, c'est sûr, ça n'ira pas, la capote va vriller, bouger, se replier quand il va me fourrer. Tant pis, d'un seul mouvement, je lui enlève le préservatif:

- Ça va pas le faire. Ça fait rien, baise-moi comme ça ! Enlève ton jean !

- Mais … tu … t'as dit que …

- Ça fait rien, je te dis. T'as le SIDA, ou je ne sais quelle maladie sexuelle ?

- Nan.

- T'as baisé quelqu'un qui pourrait t'avoir refilé une saloperie ?

- Nan. J'ai pas baisé depuis que je suis sorti de taule.

- T'as fait de la taule ?

- Ouais.

- Mais, en taule, t'as pas pu choper une saloperie ?

- Oh non, j'ai pas baisé, en taule. Et j'y suis resté que quatre mois. Et en sortant, j'ai fait des tests. Négatifs. C'est ce que je voulais te dire, mais tu m'as pas laissé finir. Et depuis j'ai pas baisé.

- Mais, pourquoi t'as fait des tests, alors ?

- En taule, j'me suis cogné avec un mec qu'était malade. Y m'a bouffé la moitié de l'oreille. Regarde.


En effet, il lui manque un bout du lobe de l'oreille gauche. Peut-être pas vraiment la moitié, mais quand même. Il poursuit:

- Mais il a pas eu le temps de me contaminer. Le toubib m'a fait faire les tests pour être sûr. Et depuis, j'te dis, j'ai pas baisé.

- Bon, OK. Alors, baise-moi comme ça.

à suivre.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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