Jeudi 18 avril 2013 4 18 /04 /Avr /2013 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


Pour lire ou relire le début de ce récit, cliquer sur "Premières fois. Laurent 01".

Lundi 17 juillet.

Après mûre réflexion, je décide de prendre contact avec mon paysan dont j'ignore le nom. J'ai sélectionné une photo au rouleau de foin à lui expédier sur son portable, j'en ai découpé une partie, de façon qu'un non initié qui la trouverait ne puisse pas comprendre ce qu'elle représente. Lui comprendra. Je pourrais lui expédier ça de mon ordinateur, mais, par prudence, je le fais depuis un cyber-café en ville.

 

Mercredi 19 juillet.

J'ai laissé passer deux jours et je l'appelle d'une cabine:

- Bonjour. Alors, les foins sont rentrés ?

Silence. Il a dû reconnaître ma voix, sinon, il demanderait qui l'appelle.

- Euh, oui … mais … qui …

- J'ai des photos pour toi.

- Des photos ?

A mon avis, il fait semblant de ne pas comprendre.

- Des photos, justement, de meule de foin. Ça ne te dit rien ?

- Ah, si …

- Il faudrait qu'on se voie, non ?

- Euh, oui …

- Tu as bien reçu la première photo ?

- Oui, mais on ne voit rien.

- C'est volontaire, j'ignorais qui pouvait tomber sur cette photo dans ton portable. Tu n'as pas reconnu ?

- Si, si, un peu … mais …

Il parle tout bas, il ne doit pas être seul.

- Je te dérange … je peux te rappeler plus tard …

- Non, non … je ne pouvais pas parler. Voilà, je me suis éloigné, je peux parler maintenant.

- Bon, tu veux qu'on se voie ?

- Oui. A vrai dire, je pensais que tu ne me rappellerais pas.

- Ben, tu vois, quand je dis quelque chose, je le fais. Tu veux qu'on se voie quand ?

- On peut se voir dans quatre ou cinq jours. Je serai … tranquille à ce moment-là.

- OK. Où on se retrouve ?

- Chez moi.

 

Là, il m'étonne. Mais, bon, il a dû réfléchir à la question.

- Dis-moi où c'est, chez toi, et dis-moi quel jour, que je note dans mon agenda …

On ne sait jamais … J'ignore ses intentions, il vaut mieux prendre des précautions.

- Viens mardi, si tu peux.

- OK, mardi. Les photos, tu les veux sur papier ou en numérique ?

- Tu vas vraiment me les donner ? J'avais cru que tu disais ça pour que je te laisse, l'autre jour …

- Non, j'ai dit ça parce que je comptais le faire. Alors, papier ou numérique ?

- J'ai un ordinateur. En numérique, ça ira.

- Bon, très bien. A part ça, ça va ?

Il marque un silence.

- Depuis l'autre jour, je … je pense … je ne pense qu'à ça.

- C'est-à-dire ? Tu culpabilises ?

- Non, mais je repense à tes photos sans arrêt, et …

- Et ?

- Et bien, ton …

- Mon cul ?

- Voilà. En fait, j'ai culpabilisé, au début. Mais, maintenant, ça dépend des jours. J'ai envie de revoir tes photos et … ton … ton cul.

Il a prononcé les derniers mots tout bas.

- Bon, tu vas les revoir.

- Tu mettras ton … tu porteras ton … machin, là ?

- Mon porte-jarretelles ? Oui, oui. Tu as fait un test ?

- Oui … deux jours après. C'est négatif, mais j'en étais sûr.

- Moi j'en étais pas sûr.

- Oui, j'ai compris, maintenant.

- Bon très bien. A mardi.

 

 

Mardi 25 juillet

C'est une grande ferme: immenses hangars, trois énormes tracteurs, deux moissonneuses-batteuses presque neuves, plein de machines, et dans un coin … une montagne de rouleaux de foin … La maison est ancienne, mais le ravalement "à pierres vues" est récent, des fleurs partout, aux fenêtres, dans des massifs … Quand je rentre sur la cour, il apparaît sur le pas de sa porte et me fait signe d'aller me garer au pignon de la maison où il me rejoint.

- Là tu seras à l'ombre.

J'ai plutôt l'impression qu'il ne veut pas qu'on voie ma voiture de la rue. Pourtant la ferme est isolée, au bout d'un chemin en impasse.

- Ça va ?

- Oui.

Il a l'air gêné.

- Entrons.

 

Je le suis. L'intérieur de la maison est à l'image de l'extérieur: on sent qu'il y a de l'argent, mais sans ostentation. Il se tourne vers moi:

- Ecoute, je ne sais pas trop … Je ne sais plus très bien où j'en suis. L'autre jour, dans le champ, je me suis conduit … comme un con.

- Tu regrettes ce qu'on a fait ?

- Non, c'est pas ça. C'est parce que je … j'ai abusé de la situation. J'étais pas bien ce jour-là et je ne sais pas ce qui m'a pris.

- Il t'a pris que tu en as eu envie. En soi, ça n'a rien de criminel. C'est vrai que pendant un moment, je me suis demandé ce que tu allais me faire, comment tu allais réagir.

- Bon, et puis ce qu'on a fait, c'est pas … je ne l'avais jamais fait et je ne sais pas si …

- … si tu as envie de recommencer. Tu as peur d'être devenu un pédé.

 

J'insiste sur le mot.

- Depuis l'autre jour, je n'arrête pas d'y penser. Je n'en dors plus. Parfois, ça me dégoûte, parfois je me dis que ce n'est pas grave, que ce n'est pas un crime. Et, chaque fois, je repense à … tes photos … et à toi … et ça me redonne … envie.

- Il faudra peut-être un moment avant d'accepter ce que tu as fait, avant d'accepter ce penchant contraire à ton éducation. Moi, il m'a fallu du temps, et maintenant, j'assume, je profite sans complexe. Bien sûr, je ne le crie pas sur les toits, ça reste personnel, secret, même, vis-à-vis de mes proches et de tous ceux que ça pourrait choquer. En fait, je ne suis pas passé d'hétérosexuel à homosexuel: je suis bisexuel avec un goût marqué pour le travestissement et le fétichisme vestimentaire. La morale ordinaire réprouve ça, mais je m'en fous. Du moment que je ne nuis à personne …

- Tu as peut-être raison. Mais quand je pense à ça, je me dis que ce n'est pas viril.

- Viril ? Tu veux rire ? C'est quoi la virilité pour toi ? C'est n'aimer que les femmes, peut-être les traiter comme des putes ? C'est avoir l'air costaud, sûr de soi ? C'est boire du pastis et de la bière ? Ne jamais pleurer ? Péter, roter ? Non, faut pas me parler de virilité … Tu sais, dans le milieu homo, il y en a qui aiment les cuirs, les bottes, les crânes rasés et le baston. Et je peux t'assurer qu'ils ont vraiment l'air viril.

- Ah oui, je vois ce que tu veux dire. Bon, tu bois quelque chose ? Une bière, ou autre chose ...

- Ce que tu as. Sinon, de l'eau. Tu veux voir les photos ? Au fait, je ne sais même pas comment tu t'appelles.

- Laurent.

 

Je lui tends le CD Rom. Un ordinateur portable est allumé sur une table basse du salon. Il me fait signe de m'asseoir sur le canapé et s'installe à côté de moi. Il  introduit le CD Rom dans l'ordinateur et la première photo apparaît. C'est une des dernières de l'autre jour, dans le champ de foin. Apparemment, c'est un choc pour lui. Positif. Il en reste bouche bée. Il l'avait déjà entrevue sur mon appareil photos, et il avait déjà trouvé ça sexy, mais là, sur l'écran de son portable, c'est bien plus spectaculaire. Il paraît fasciné.

- C'est exactement comme dans mon souvenir … C'est même mieux.

Les images défilent. Celles de son champ de foin, puis celles de la rando qui a précédé. Au bout d'un moment, il remarque:

- Tu as flouté ton visage …

- Hé oui. Comme je n'aurai plus la maîtrise de ces photos, j'ai fait en sorte de ne pas être reconnaissable.

- Je ne les montrerai à personne …

Je ris:

- On dit ça … Et j'ai trié: j'ai supprimé celles qui ne me paraissaient pas assez … sexy. Mais j'en ai ajouté d'autres, un peu plus anciennes.

- Ah oui, celles-là je ne les avais pas vues sur ton appareil.

- Là, tu vois, je suis vraiment travesti: porte-jarretelles, corsage ET mini-jupe.

- J'aime bien aussi.

 

Et on arrive à des photos un peu plus hard, où, dans cette tenue, j'ai un godemiché à la main. Je lui fais signe  d'arrêter:

- Ce qui suit est plus hard, vraiment plus hard. Tu vois ce que j'ai dans la main, sur cette photo ? Dans les photos qui suivent, je m'en sers. Tu te sens prêt à voir plus … porno ? Sinon, on peut arrêter là.

Il hésite l'espace d'une seconde.

- Non, on continue …

 

Je le sens un peu … troublé. Et les photos pornos commencent à défiler sur l'écran. Le godemiché approche de mon cul. Il est contre mon anus. Il y pénètre. Gros plan du godemiché à moitié rentré dans mon cul. Gros plan du godemiché entièrement rentré dans mon cul. Seuls les testicules de silicone dépassent. Il sort de sa contemplation:

- Alors, tu aimes faire ça ?

- Si je n'aimais pas, je ne le ferais pas.

Soudain, l'écran passe d'une photo posée à une scène animée. C'est la suite des images précédentes: je me donne du plaisir avec le godemiché. A la façon dont il regarde cette scène, à sa position sur le canapé, je devine qu'il est excité. Il est un peu penché en avant vers l'écran, et je sens qu'il est physiquement gêné. J'imagine qu'il commence à bander et que sa position empêche sa queue de s'épanouir. Je vais tenter de l'aider. On verra comment il réagit. Je quitte l'écran des yeux, je me tourne vers lui et je lui pose la main sur la hanche. Il sursaute à mon contact et, instinctivement, me prend la main, comme pour la repousser. Je résiste et je lui souris:

- Laisse-moi faire …

Il hésite une seconde et lâche ma main. Je le pousse contre le dossier du canapé. Je repose ma main sur lui, sur son ventre, cette fois. Dans le pantalon, je sens sa queue en érection. Je la caresse à travers le tissu. Il reste tendu.

- Tu m'arrêtes quand tu veux, je ne me vexerai pas et je n'insisterai pas.

Il ne répond pas et continue de regarder les scènes hard que j'ai soigneusement sélectionnées. Je glisse la main dans la ceinture de son pantalon et, du bout des doigts, je touche l'extrémité de son sexe à travers le caleçon. La position n'est confortable ni pour lui, ni pour moi. Je commence à déboutonner son pantalon et je le regarde, guettant sa réaction. Il reste immobile, comme mortifié, mais il ne me repousse pas. Je finis de le déboutonner et j'écarte son caleçon. Pas de doute, il bande. Sa queue commence même à baver un peu.

- Je continue ?

- Hhmm!

C'était un souffle, et je prends ça pour un acquiescement. Je passe doucement le bout de mes doigts le long de sa verge. Je sens qu'elle réagit: elle se redresse un peu. Je  saisis sa queue et je commence à le masturber. Finalement, sa bite est mieux que le souvenir que j'en avais. Elle est un peu plus grande que la mienne, sa peau est brune. Bronzée ? L'air de la campagne, sans doute. Le gland est bien, aussi: un peu aplati, un peu retroussé, comme j'aime. Un vraie tête chercheuse, faite pour pénétrer, explorer. S'il n'y avait pas ces satanés poils ! Je réalise qu'il ne regarde plus l'écran. Il est affalé contre le dossier, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Je continue mon lent va-et-vient un bon moment. Il a l'air d'apprécier. Plus je le masturbe, plus je me dis que je le sucerais bien. Au risque de rompre le charme de l'instant, je lui demande:

- Je peux voir ton test ?

Il ouvre les yeux, se redresse et sort un papier de la poche de poitrine de sa chemise. il me le tend, et, avec un sourire:

- Je peux voir le tien ?

Le mien est dans ma poche de pantalon. Je le lui donne. Tous les deux négatifs. Ouf !

Je reprends sa queue, qui n'a pas débandé, et je recommence à le masturber. Il s'appuie de nouveau au dossier et ferme les yeux. Je n'y tiens plus. Je m'agenouille à côté de lui et entreprends de lui ôter son pantalon et son caleçon. Il m'aide en soulevant le bassin. Les vêtements sur ses pieds, je lui caresse les cuisses, les testicules, puis je me penche sur lui et je prends sa queue dans la bouche. Ça lui fait ouvrir les yeux. Il me regarde, étonné. Je sors son sexe de ma bouche et:

- C'est ce que tu voulais, la première fois qu'on s'est vus, non ?

- Oui … mais c'est mieux comme ça se passe maintenant.

- Je suis bien d'accord.

Je reprends ma fellation. Mais, au bout d'un moment:

- C'est dommage qu'il y ait tous ces poils. Tu devrais enlever tout ça …

- Ho, non ! Je ne me vois pas me raser, ou m'épiler.

- Pourquoi ? C'est beaucoup plus agréable, tu sais. Pour toi, d'abord, ça augmente les sensations, mais aussi pour celui, ou celle, qui … que tu …

- Ben oui, mais …

- Essaye une fois. si ça ne te plaît pas, tu laisses repousser. Tu as peur que ta femme s'étonne ?

- Ma femme ! Ça doit bien faire deux ans que je ne la touche plus. On fait même chambre à part, maintenant. Elle ne verrait même pas si je suis rasé …

- Alors, justement, il n'y aurait que toi à le savoir.

- Mais j'ai jamais fait ça. Ça doit faire mal.

- Pas du tout. Pas plus que la barbe. Je te le fais, si tu veux. J'ai l'habitude.

- Bon, d'accord.

- Salle de bain ?

- Par là.

Il se déchausse, finit d'ôter son pantalon et son caleçon et me précède à l'étage. Le cul à l'air, il a perdu toute pudeur.

 

- Assieds-toi. Enlève ta chemise.

Le voilà complètement à poil, assis sur le bord de la baignoire.

- Ciseaux, rasoir, mousse à raser ?

Il me les montre. Je prends un gant de toilette, le mouille au robinet, le savonne et j'entreprends de lui laver la queue, verge et couilles, puis je le rince. J'explique:

- C'est comme pour la barbe: on savonne pour assouplir la peau, on mouille pour gonfler le poil, ça rase de plus près.

Agenouillé devant lui, je commence par dégrossir sa touffe de poils aux ciseaux. Il a un peu débandé.

- Tu as peur, hein ? Un coup de ciseaux mal placé, et …

Ça le fait rire. Une fois le plus gros des poils enlevé, je prends une noix de gel à raser et commence à lui étaler sur la verge et les bourses. Ça lui fait de l'effet: il bande.

- C'est bien. C'est plus facile si tu bandes.

Je saisis le rasoir, et je commence à lui passer sur le pénis. Ça lui fait vraiment de l'effet: il bande de plus en plus fort. Il rejette même la tête en arrière et commence à gémir doucement.

- Hhhhmmm ! C'est bien !

- Tu vois, déjà, rien que ça, c'est un plaisir.

- Et toi, quel plaisir tu trouves à … ?

- A quoi ?

- Ben, à tripoter un garçon … à me masturber, à me sucer. C'est contre nature, non ?

- Sans doute. Mais c'est aussi contre nature qu'une femme suce un homme ou qu'un homme lèche une femme. Ce qui est naturel, c'est qu'un homme introduise son sexe dans le sexe d'une femme pour lui faire un enfant. Point barre. Tout le reste est contre nature. Heureusement que le genre humain ne s'arrête pas à ça. Le plaisir que j'y trouve, c'est pas facile à décrire. J'aime la consistance d'un sexe masculin, dans ma main et dans ma bouche. C'est caoutchouteux, c'est chaud, c'est vivant … J'ai aussi du plaisir à lui faire du bien, à lui donner du plaisir, de toutes les manières possibles. Je trouve ça excitant. Le caresser, le masturber, le sucer, ça me fait du bien aussi à moi.

 

Tandis que je lui rase quelques centimètres des poils du ventre, il interroge encore:

- Mais ça t'es venu comment ?

- En regardant des vidéos pornos. Au début, je me mettais dans la peau des mecs qui baisent des bimbos. Et puis un jour, je me suis surpris à essayer d'imaginer ce quelles ressentent à se faire mettre une bite dans la bouche ou ailleurs. Je me suis dit que ça devait être bien et ça m'a fait envie. A partir de ce moment-là, j'ai commencé à regarder les vidéos en me mettant dans la peau des filles. Et je me suis mis à avoir envie de … bites …

 

Maintenant, j'ai ses couilles dans la main, je tends la peau et je les rase à leur tour. Puis je lui rase le périnée.

- Voilà, c'est fini.

Je finis de lui étaler le reste de mousse en lui massant queue, couilles et périnée. Il bande vraiment très fort, les yeux à demi fermés, la tête un peu en arrière. Sa queue maintenant toute glabre, juste à hauteur de mes yeux, me fait très envie. Je prends son gland entre les lèvres et je le frictionne de la langue. Surpris, il se redresse un peu et je sens qu'il pose ses deux mains sur ma tête. J'ai une folle envie de le sucer à fond et de le faire éjaculer dans ma bouche. Mais ce serait trop rapide. A regret, je le laisse et je me relève.

- Un petit coup d'eau pour éliminer les petits poils qui traînent, et ce sera parfait.

Visiblement désapointé, il regarde le résultat, sourit, s'empoigne la queue, se masturbe deux ou trois fois, puis:

- C'est vrai que c'est agréable …

- Si je te le dis. Allez rince-toi.

Il obtempère, se sèche et me regarde, interrogateur:

- Et maintenant ?

- Maintenant à moi.

- Tu vas te raser ?

- Non, moi, c'est déjà fait. Mais j'ai besoin de me préparer.

Naïvement, il s'étonne:

- De te préparer à quoi ?

- De me préparer à ce qui va suivre. Tu veux qu'on fasse ce qu'on n'a pas fait l'autre jour, non ?

- Ben, oui, mais tu prépares quoi ?

- Mon cul, puisque tu veux tout savoir. Si tu veux vraiment faire ce qu'on a pas fait l'autre jour, je ne peux pas le faire comme ça. Question de … propreté, disons. Tu comprends ?

- Non.

- Il faut que je me lave le cul. Dehors ET dedans. Pour être clair, je dois me faire un lavement. Tu vois pourquoi, ou je dois te faire un dessin ?

- Ah ! Compris. Excuse-moi, je n'ai pas l'habitude. Euh, je sors ?

- Comme tu veux. Mais, tu sais ce n'est vraiment pas agréable à regarder.

- OK, je sors.

 

Je me déshabille, et je fais donc comme j'ai dit. Quand j'ai fini, j'enfile mon porte-jarretelles et je sors à mon tour. Il m'attendait dans le couloir. Mais il ne s'attendait visiblement pas que je sorte dans cette tenue. Il en est de nouveau bouche bée. Il finit par articuler:

- Ah, c'est bien, tu y as pensé.

- Evidemment.

Je lui tourne le dos et, une main appuyée en hauteur sur chaque mur du couloir, j'écarte les jambes et je me cambre. Je sais que c'est dans cette position que mon cul, ainsi "habillé", est le plus sexy, le plus appétissant, et c'est comme ça qu'il lui avait fait le plus d'effet sur les photos. Et, en effet, après une seconde d'hésitation, il s'approche, et:

- Je … je peux te … Je peux te toucher?

- Evidemment, je suis ici pour ça. Non?

 

Il ne répond pas, s'approche et me pose les mains sur les hanches. Je sens qu'il hésite à aller plus loin. Je prends ses mains et je les pousse vers mes fesses. Un peu maladroitement, il commence à me caresser. Je me cambre davantage vers lui. Il accentue alors ses caresses, et glisse une main entre mes fesses.  Il est encore timide, hésitant. Je tends alors une main derrière moi, la pose sur ses reins et je l'attire contre mon dos. Plaqué contre moi, je sens qu'il ne sait pas trop quoi faire. Je passe une main entre son ventre et mon cul, je saisis son sexe, je le redresse et je le cale entre mes fesses. Puis je reprends ses mains et je les attire devant moi, contre mon ventre. Cette fois, il devient plus actif. Il m'enserre de ses bras et commence à frotter sa queue dans ma raie. Son torse plaqué contre mon dos, son menton appuyé sur mon épaule, je sens son souffle contre mon cou. Visiblement, il aime ce qu'il me fait.

 

Il reste ainsi un moment à se frotter. Je le laisse jouir de l'instant. Ça m'excite aussi. J'ai hâte de le sucer de nouveau, avec sa queue sans poils, et surtout j'ai hâte qu'il me baise. Alors, je ne voudrais pas qu'il s'excite trop en se frottant comme l'autre fois, jusqu'à m'éjaculer dans le dos:

- On descend ?

 

Il me lâche à regret,  me précède dans l'escalier et retourne s'asseoir sur le canapé, nu comme un ver. Il a perdu toute gêne. Tant mieux. Je le rejoins, m'agenouille sur le canapé à côté de lui, et je me penche sur son ventre. Maintenant, apparemment complètement libéré, désinhibé, il se laisse faire. Tandis que je prends son sexe dans la bouche, il pose une main sur mon dos et me caresse. Sa queue a un peu molli, et ça me plaît de recommencer à la sucer comme ça. J'aime à la fois la sensation de cet organe flaccide dans ma bouche et l'idée que je vais la faire gonfler, durcir entre ma langue et mon palais.

 

En effet, rapidement il se met à bander – un peu trop à mon goût: j'aime beaucoup avoir cette bite un peu flasque dans la bouche. Il appuie sur mon cou la main qui me caressait le dos et, de l'autre, se saisit le paquet sous les couilles et, remontant son bassin vers moi, il m'enfonce sa bite au fond de la gorge. Son souffle change de rythme. Il respire bruyamment par la bouche et son halètement se transforme peu à peu en une sorte de ronronnement.

 

Rapidement, je sens qu'il est à deux doigts de se répandre. Il écarte ma tête de sa bite et:

- Arrête. Ça va trop vite. Attends un instant.

Il me repousse délicatement, se dégage, se lève et grimpe l'escalier quatre à quatre. Je l'entends bouger à l'étage, puis il reparaît avec, dans une main des vêtements, dans l'autre les miens qu'il me tend.

- Habille-toi, on va faire un tour.

 

Rapidement, il enfile une chemise et un short. Je remarque qu'il n'a pas mis de caleçon. J'ai enfilé mon T-shirt et mon pantalon, sauté dans mes chaussures, et je le suis. Nous sortons, traversons la cour jusqu'à un hangar, et il monte dans un pick-up, m'ouvre la portière côté passager. Je grimpe.

- Où on va ?

- Pas loin, un peu plus haut.

 

Et nous voilà partis. En effet, il contourne le hangar et s'engage dans le pré qui est juste derrière.

- On ne sort pas de chez toi?

- Non. On ne sort pas de la propriété.

- Alors ce n'était pas la peine de nous rhabiller …

- Si, pour traverser la cour.

- Ah, oui. Et maintenant, je pourrais me déshabiller?

 

Le coup d'œil qu'il me jette est assez explicite. Il n'attend que ça. Alors, brimbalant dans le pick-up, j'entreprends de me re-déshabiller. Ça le fait rire. Débarrassé de mes vêtements, je glisse vers lui sur mon siège, et, pendant qu'il conduit, je glisse ma main dans la jambière de son short. Il est à moitié en érection. Avec un peu de difficulté, j'extrais son sexe par la jambière et je le garde, comme ça, dans la main, agitée par les cahots du pré. Ça lui fait beaucoup d'effet. Sa queue gonfle à vitesse grand V. Nous arrivons enfin au bout de cet immense pré et nous nous engageons sur un chemin empierré.

- C'est toujours chez toi, ici ?

- Oui, ne t'inquiète pas, c'est un chemin privé. On n'y croisera personne.

- Je ne suis pas inquiet. Ça ne me dérangerait pas qu'on croise quelqu'un …

 

Maintenant qu'il y a moins de cahots, je décide de reprendre la fellation que j'avais entreprise. Je me penche sur lui. Mais son sexe est coincé par la jambière de son short et j'ai la tête coincée entre son ventre et le volant. C'est très inconfortable.

- Tu peux reculer un peu ton siège ?

Il manipule une manette sous son siège et je gagne quelques centimètres. J'entreprends de descendre son short sur ses cuisses. Il m'aide en soulevant un peu son bassin. Finalement, je descends le short jusqu'à ses chevilles, je le passe sous ses pieds, et je reprends sa queue dans la bouche. Une main posée sur ma tête, il pilote lentement. Sucer un mec qui conduit, ça aussi ça m'excite beaucoup. A demi allongé sur les sièges du pick-up, je me masturbe. Cinq minutes plus tard, on ralentit, on s'arrête, et:

- C'est ici. On est arrivés.

 

Je me redresse. On est dans un autre pré, visiblement fauché depuis peu, et, au fond, dans un angle, à l'orée d'un bosquet, un tas de rouleaux de foin. Il faut croire que ça l'avait inspiré autant que moi ! Nous descendons et nous entreprenons de parcourir la trentaine de mètres qui nous sépare du tas de foin. En chemin, tout en marchant, il ôte ses chaussures, enlève sa chemise et abandonne le tout sur place. Et nous voilà, au beau milieu du pré, sous le soleil, lui complètement à poil, moi en porte-jarretelles, qui nous dirigeons vers le tas de foin. Il se rapproche de moi, me pose la main sur les fesses et me glisse un doigt dans la raie jusqu'à mon anus. On dirait qu'il a perdu toute réticence. Nous voilà au pied du tas de foin. Certains rouleaux ont été disposés à plat, les uns à côté des autres au pied du tas. Ils font comme une plate-forme d'un mètre cinquante de haut. Il me pousse contre un de ces rouleaux à plat.

- Appuie-toi contre le tas.

 

Il avait préparé cette mise en scène ? J'obéis. Le rouleau m'arrive au niveau des aisselles. J'y pose mes bras et m'appuie le menton sur mes avant-bras croisés. De la main, il m'incite à écarter les jambes. J'obéis et je le sens qui me glisse de nouveau un  doigt contre l'anus. Il me l'enfonce dedans. Puis un deuxième. Il me semble que c'est l'index et le majeur. Je me cambre. Il me les enfonce à fond et me fouille le rectum. Plusieurs fois, longtemps. C'est très agréable. Enfin, il vient se coller contre moi. Il glisse son membre entre mes fesses, se frotte trois ou quatre fois, puis, la bouche contre mon oreille:

- Maintenant, je vais t'enculer.

Il a parlé tout doucement, comme s'il avait peur que quelqu'un l'entende.

- Attends, juste deux secondes.

Je me crache sur les doigts de la main droite et je me les introduis dans l'anus.

- Maintenant, vas-y. Baise-moi.

 

Je sens le bout de sa queue se presser contre mon anus. Trois ou quatre fois, il frotte son gland contre ma rondelle, il le presse de nouveau à l'entrée, hésite un instant, puis il me pénètre tout doucement. Je suis totalement concentré sur ce qui se passe entre mes fesses. Les yeux fermés, je visualise mentalement sa bite qui se force le passage dans mon rectum. Je sens le contact de sa verge qui glisse lentement dans mon sphincter. Enfin, je sens son ventre contre mes fesses. Il ne pourra pas aller plus loin. Il s'immobilise. Il m'a enserré le torse de ses bras et il a appuyé sa tête contre mon épaule. Il jouit de l'instant. Puis il recule aussi lentement qu'il m'a pénétré. Je sens sa queue qui ressort de moi. Presque complètement. Il laisse seulement son gland dans mon anus. Il s'immobilise encore. Puis il me pénètre de nouveau. Tout aussi doucement. Il gémit. De nouveau, son ventre butte contre mes fesses. Si je l'aide, il pourra aller un peu plus profondément en moi. J'empoigne donc mes fesses et je les écarte. D'un coup de reins, il s'enfonce un peu plus en moi. Il desserre son étreinte autour de mon torse, m'empoigne les hanches et se met à me ramoner plus vigoureusement. Puis il s'arrête brutalement, se plaque contre moi, la queue tout au fond de moi. Il halète:

- Ça va trop vite … c'est trop fort …

- Tu … tu as fini ?

- Non, mais c'est au bord.

 

Nous attendons un moment que l'excitation retombe. Enfin, il sort de moi et:

- On monte sur les rouleaux.

Il grimpe, me tend la main, m'aide à monter.

- Mets-toi sur le dos.

Je m'allonge. Il me replie les jambes sur le ventre et vient se coucher sur moi. Il me pénètre de nouveau. Comme ça, je sens qu'il s'enfonce plus profondément encore. Et je sens ses couilles contre mes fesses. Il m'a empalé, mais il ne bouge pas. Ou plus exactement, il ne me ramone pas, mais je sens sa bite bouger en moi.

- Tu me sens ?

Ah, c'est ça ! Il gonfle et dégonfle sa queue. Pas facile comme exercice.

- Oui, je te sens.

Et, à mon tour, je m'efforce de serrer et desserrer mon sphincter autour de sa queue.

- Et toi, tu me sens ?

- Oh, oui.

La position n'est pas confortable, je fatigue. Il s'agite, bouge le bassin de droite et de gauche pour s'enfoncer profondément en moi.

- Tu aimes ça ?

- Quoi ?

- Te faire baiser …

- Oui, j'aime ça. J'aime me mettre toutes sortes de choses dans le cul, mais, surtout j'aime me faire enculer. Et toi ?

- Moi ?

- Oui, toi. Tu aimes ça, baiser un mec ?

Ça le fait rire, mais il ne répond pas.

-  Le jour où on s'est rencontrés, tu avais pourtant l'air réprobateur, presque homophobe. J'ai même cru un moment que tu allais me foutre une raclée. On dirait que tu as changé de point de vue.

- J'étais surtout en pétard contre moi. Quand je t'ai surpris, ce jour-là, c'était la première fois que je voyais un truc pareil, et j'ai toute de suite eu envie de ton cul dans ton porte-jarretelles. C'était la première fois qu'un truc pareil m'arrivait, et j'avais surtout honte de moi. C'est pour ça que j'étais un peu … agressif.

- Et que tu m'as empêché de me rhabiller, pour continuer à jouir du spectacle, non ?

- Pas du tout. Je ne voulais pas que tu me sautes dessus pour te débiner.

- C'est ça, oui. En fait, tu avais une idée derrière la tête.

- Mais non !

- Mais si ! Puisque tu m'as demandé, ou plutôt ordonné, de te sucer.

Il rit de nouveau.

- Maintenant, prends-moi en levrette.

Il va et vient deux ou trois fois en moi, puis se redresse. Je me retourne et je me mets à quatre pattes, les genoux bien écartés, les reins bien cambrés. Je le sens qui s'approche et il m'introduit un pouce dans l'anus. Je reconnais son pouce parce que je sens ses autres doigts sur ma fesse pendant qu'il me fouille le rectum. Il retire son pouce et m'introduit un autre doigt, je ne sais pas lequel. Puis un deuxième. Puis un troisième. Et il me fouille de nouveau le rectum. Enfin, il retire sa main et je le sens s'approcher. Il m'écarte encore un peu les jambes, s'agenouille derrière moi, me prend par les hanches, et m'introduit sa queue. Il prend son temps. Il doit contempler le spectacle de son membre qui s'enfonce en moi. Doucement. Et qui ressort. Après quelques lents va-et-vient, il accélère le rythme et me ramone plus vigoureusement. J'ai l'impression que je sens sa queue butter au fond de mes entrailles. Il ralentit, accélère. Comme ça plusieurs fois. Je sens qu'il est tout à son plaisir. Ça m'excite beaucoup. Je bande et, une main glissée sous moi, je me masturbe.

 

Il jouit de moi, il jouit du spectacle de mon cul offert, tout à sa disposition. Puis il se met à me pilonner plus fermement. Longuement. Je l'entends haleter. Soudain, il se plaque contre mes fesses, la queue tout au fond de moi, les mains crispées sur mes hanches. Je sens sa queue palpiter dans mon cul. Il éjacule. J'ai l'impression de sentir son sperme se répandre en moi. Ça m'excite tellement que j'éjacule à mon tour.

 

Enfin, il s'écroule sur moi et je m'aplatis sous son poids. Il est toujours en moi et il ronronne littéralement dans mon cou. Nous restons comme ça un moment. Mais il est lourd et le foin commence à me piquer la poitrine, le ventre et les cuisses. Je le repousse et il roule sur le dos. Je me retourne sur le flanc et je lui fais face.

- Ça va ?

- Hhhmmmm !

- C'était comme tu voulais ?

- C'était mieux que ça …

Je prends sa queue un peu molle dans la main.

- Alors, tu ne culpabilises pas ?

- Non.

Et il rit.

Je me redresse un peu puis je pose ma joue sur son ventre, à quelques centimètres de son sexe. Alors que je bouge, je sens son sperme qui s'écoule de mon cul et se répand sur ma fesse. Je lui manipule un peu la bite, je lui tripote les testicules, mais il reste mou. Je finis par prendre son pénis dans la bouche. Tel qu'il est, il y tient tout entier. C'est une sensation très agréable d'avoir ce petit jésus tout frais, un peu humide et un peu flasque entre mon palais et ma langue. Il a un goût de sperme. Ça me fait saliver abondamment. Je le serre entre les lèvres et je remonte vers l'extrémité de son pénis. Je tourne ma langue plusieurs fois autour de son gland, puis, les lèvres toujours serrées, je redescends vers le bas de sa verge. Je recommence ce manège plusieurs fois, et au bout d'un moment, je sens sa queue qui gonfle dans ma bouche. Il gémit, mais il tente de me repousser:

- Arrête, laisse-moi un peu. J'en peux plus …

 

Je change de position et je viens m'agenouiller entre ses jambes. Et je reprends sa queue dans bouche. Il bande de plus en plus fort. Je sens ses veines et son urètre tout gonflés sous ma langue. Son gland est dilaté. Il se redresse, s'appuie sur les coudes et me regarde lui sucer la queue. Le spectacle ajoute à son excitation, parce que sa bite est maintenant vraiment très raide, pleine de sang, les veines prêtes à éclater. A présent, je le masturbe à la fois de la main et de la bouche, tout en lui tenant les couilles de l'autre main. Comme il a déjà éjaculé il y a moins de dix minutes, son orgasme est un peu long à venir. Je commence avoir des crampes dans la mâchoire. Heureusement, je vois soudain ses abdominaux se contracter, sa respiration se bloquer, ses testicules remonter dans ma main et sa verge frémir dans ma bouche. Presque aussitôt, alors que sa queue est prise de violents soubresauts, je sens son urètre gonfler au passage du sperme, puis un jet de semence m'envahit la bouche. C'est chaud, un peu salé, crémeux. Je le déguste un moment, puis je l'avale.

 

Il s'est écroulé sur le dos, haletant. Je garde sa bite encore un peu dans la bouche, puis je viens m'allonger sur lui. Je bande et j'installe ma queue sur lui, entre nos deux ventres. Il a les yeux fermés et il reprend souffle. Au bout de quelques minutes, il demande:

- Et toi ? Tu veux … tu veux aussi … tirer un coup ?

- C'est fait.

- Ah bon, je ne m'en suis pas rendu compte.

- Je m'en doute.

- Et tu veux … recommencer ?

- Pourquoi pas.

- Mais, je ne sais pas … je ne tiens pas …

- Tu ne tiens pas à quoi ? A me sucer ou à te faire enculer ?

- Ben, oui. Ni l'un ni l'autre …

 

Je ris.

- Qu'est-ce qui te fait rire ?

- Toi, tu es bien un mec. C'est ce que nous reprochent les femmes: prendre notre plaisir sans penser à ce que veut l'autre …

- Oui, mais j'ai jamais fait ça …

- Il y a un début à tout. Moi non plus, un moment donné, je n'avais jamais fait ça non plus. Et puis j'ai essayé.

- Oui, mais maintenant, tu as l'habitude.

- Ne crois pas ça. Il n'y a pas si longtemps que j'ai taillé ma première pipe et que je me suis fait sauter. Bon, allez, je te charrie. Faut pas forcer sa nature. Me masturber, ça t'irait ?

Il hoche la tête.

- Alors masturbe-moi.

 

Je m'écarte de lui et je m'assied, adossé au tas de foin. Il se relève, s'agenouille à côté de moi et, un peu gauchement, me prend la queue du bout des doigts.  Il commence à me masturber lentement, sans conviction. Il faut dire que je ne lui facilite pas la chose, je ne bande plus. Je prends sa main, lui écarte les doigts et les resserre fermement autour de ma verge, et j'amorce un va et vient. Le contact de sa main me motive et je recommence à bander. Lui me manipule avec plus de conviction. Je commence à y trouver du plaisir. Au bout d'un moment, il s'installe plus confortablement. Je sens que sa réserve s'atténue. Il paraît même prendre un certain plaisir à ce qu'il me fait. Et brutalement, contre toute attente, il se penche sur moi et prend ma bite dans la bouche.

 

Hhhmmm !!!! Je ne sais pas ce qui m'excite le plus: la fellation proprement dite ou le fait que, sans vraiment le chercher, j'ai fini par avoir raison des hésitations, de la pudeur, de la honte de ce type, jusqu'alors coincé et réticent. Simplement en m'offrant à lui et en lui donnant du plaisir. Alors, évidemment, il n'est pas très expert, mais ça aussi, ça participe à mon bonheur. Peu à peu il s'enhardit et j'ai l'impression qu'il commence même à y prendre aussi du plaisir. L'avantage des fellations entre mecs, c'est qu'ils savent ce qui fait du bien à un sexe masculin, le leur, et qu'ils savent le reproduire sur le sexe de leur partenaire. Lui apprend vite. il finit même par s'y prendre très bien. Quand je sens que j'arrive au bord de l'orgasme, je repousse sa tête de ma queue:

- Attention, je vais jouir …

 

Il se relève tout en continuant à me masturber. Dommage, j'ai espéré un instant qu'il me garderait dans la bouche ...

Et je me répands. Sur sa main qui continue de me manipuler. Quand j'ai fini, il vient s'asseoir à côté de moi, appuyé au tas de foin. Je reprends mon souffle, puis, mimant le geste de lui tendre un micro:

- Alors, quelles sont vos impressions ?

Il rit:

- C'est pas mal … Si j'avais imaginé en arriver là … et trouver ça bien …

- Comme quoi … les idées reçues …

Nous restons comme ça un bon moment, chacun perdu dans ses pensées. Puis il demande:

- On y va ?

- On y va.

 

Et nous regagnons le pick-up. En chemin, il me frotte le dos pour me débarrasser du foin qui y est resté collé. Décidément, ce genre d'attention me surprend de sa part. Je lui fais la même chose. A passage, il récupère ses vêtements et, à mon étonnement, au lieu de se rhabiller, il monte nu dans le pick-up. Je fais comme lui et il démarre. Il sourit. Je l'interroge:

- Pourquoi tu souris ?

- Pour tout ça: pour ce qu'on a fait, pour ce que j'ai fait, parce que je me trouve bien à conduire comme ça, à poil, parce qu'il fait beau, parce que tout ça est nouveau et que ça me plaît.

 

Je me rapproche de lui, je pose ma main sur sa cuisse et je prends son pénis entre l'index et le majeur. Et nous rentrons à la ferme en silence, sa bite entre mes doigts.

Il se gare sous le hangar et il m'étonne encore en regagnant la maison sans se rhabiller. Plus de précautions. Etonnant. Je fais comme lui et je le suis.

Il me fait signe de m'asseoir dans le canapé, prend deux verres dans la cuisine et sort un pack de jus de fruit du frigo. Il s'assied à côté de moi.

- On se reverra ?

- Je ne sais pas. Peut-être. Tu y tiens ?

- Oui, comme ça …

- Ecoute, je n'ai rien contre, mais … je ne voudrais pas que tu t'attaches trop. C'est le hasard qui nous a fait nous rencontrer. Laissons passer du temps. Et maintenant que tu as ... sauté le pas, regarde les hommes que tu connais, autour de toi, avec ce nouveau regard. Tu en trouveras peut-être un qui te plaira mieux qu'une rencontre de hasard. Appelle-moi dans quelques semaines …

 

Nous avons bavardé un moment, puis je me suis rhabillé et je suis parti.

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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