Lundi 21 novembre 2016 1 21 /11 /Nov /2016 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Denis:

- Tiens, si, allez, passe-le moi. J'vais quand même lui en foutre un p'tit coup.

 

Aaaah ouiiii ! Cette discussion et le spectacle de Domi qui me fourre lui ont donné envie. Il abandonne plat et soufflés et contourne l'îlot central en ouvrant sa braguette. Voir ce mec commencer à déballer sa queue pour venir me la mettre dans le cul, ça me bouleverse. D'autant plus que j'en ai déjà une dans le cul. Toujours agrippé au robinet et au bord de l'évier, je repose ma joue sur le bois du plan de travail et j'attends. Un mec va sortir sa bite de mon fourreau pour qu'un autre prenne sa place ! J'adore que des mâles se succèdent de cette façon dans mon cul. Dominique attend que Denis soit à côté de lui pour se retirer:

- J'te le laisse comme ça, la jambe relevée ?

- Ouais.

 

Domi sort lentement de moi et je sens sa queue retomber en glissant contre mon périnée. Il maintient mon genou sur le meuble et Denis vient se coller à son tour contre moi. Je sens sa main qui enserre sa bite et qui la plaque contre ma fleur, encore béante. A son tour, il me pénètre. Maintenant que personne ne retient plus ma jambe, je la remonte vers le milieu du meuble, m'ouvrant encore un peu plus. Denis est encore un peu mou et je sens qu'il a du mal. Sa bite, pas encore assez raide, se tord à l'entrée de mon fourreau. Je lâche le robinet, j'empoigne ma fesse et je m'ouvre. Ça y est, il est en moi. Il me prend par les hanches, et:

- C'est bien. T'es une bonne fille.

 

Il commence à aller et venir et, au fur et à mesure, je sens sa queue se raidir. Vas-y, mec, fais-toi du bien dans ton jouet. A la manière dont il va et vient, cramponné à mes hanches, je sens qu'il savoure les sensations de son gland qui glisse dans mes chairs:

- Hhhhmmmm, puuutaiiiiin, t'es boooonne !

 

Alors, vas-y, si je suis bonne ! Et t'arrête pas, va jusqu'au bout, jouis, remplis-moi de sperme. Oh la la, ta queue, ta queue, TA QUEUUUUE ! De nouveau, je halète, je gémis et je sens que ça attise son excitation. Les doigts plantés dans le gras de mes hanches, il respire bruyamment pas la bouche. Ouais, ça vient, laisse-toi aller, lâche-toi, baise-moi, baise-moi ! Soudain, il s'immobilise, la queue au fond de moi, il se plie en deux, se couche sur moi, le menton entre mes omoplates, et il grogne. Ouiiiii, il va jouir ! Il souffle entre ses dents serrées, me postillonne jusque dans le cou. Je guette le premier spasme de sa queue dans mon anneau. Je l'encourage:

- Vas-y, jouis ! Jute-moi dans le cul !

 

Mais non. Rien. Peu à peu, il reprend souffle. Il se redresse en s'appuyant sur mes reins … et sort sa queue ! A son tour, il me claque la fesse, et:

- Pfiouuuuu ! C'était limite !

 

Il se marre:

- Ah, la vache ! J'étais à deux doigts de prendre mon pied ! Quelqu'un d'autre ? Yann ?

- Non, non. Tout à l'heure.

 

Il descend doucement mon genou de la table, me fait poser le pied au sol, s'éloigne en remontant son pantalon et se remet à ses préparatifs. Yann et Nadir disparaissent de mon champ de vision. Putain, les salauds ! Je reste couché sur le plan de travail en reprenant mon souffle. Une pensée incongrue me traverse: c'est bien comme hauteur, cet îlot central de cuisine. C'est plus haut qu'une table standard. Plus haut, en tout cas, que la table où je me suis fait bourrer à la chaîne chez Jean-Claude. Ça doit faire dans les 90 centimètres, et je trouve ça plus confortable. 

 

Tandis que Denis installe des plats dans son four, je me redresse, je rajuste une fois de plus mon string, et je retourne à mon tour au salon. Domi, qui a regagné son fauteuil, me regarde revenir en souriant, sa flûte de Champagne à la main. Quand je passe près de lui, il s'empresse de me glisser son autre main entre les jambes et il la pose derrière mon genou. Ah ! Il va me peloter. Je m'immobilise, debout à côté de lui. Il me caresse l'intérieur de la cuisse:

- Dis donc, t'es vraiment chaud, comme … mec.

- Tu trouves ? Ça te plaît ?

 

Il rit:

- Ben oui. Au moins, tu fais pas ta chochotte, tu te fais pas prier pour prendre des coups de bite dans le cul.

- Je suis là pour ça. Mais vous êtes des salauds, tous les deux …

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Ouais. Vous me chauffez, et vous vous tirez sans finir. C'est frustrant.

 

Il rit:

- Ça viendra, mec, ça viendra.

 

Tant pis pour le pelotage. Je contourne son fauteuil et je viens devant lui. D'autorité, je lui décroise les jambes, je les écarte et je m'agenouille entre ses pieds. Il me regarde faire en souriant. J'ouvre sa braguette et je glisse ma main dans son pantalon. Voilà sa queue, toute chaude, sous mes doigts. Je l'extrais:

- Je ne l'avais pas encore vue, ta bite ! Tout à l'heure, tu me l'as mise dans la bouche avant que j'aie eu le temps de la voir, et dans la cuisine, tu m'as pris en traître.

- Ah, mais oui, c'est vrai.

 

Il se marre. Il a débandé, mais même comme ça, elle est plutôt sympa, sa bite. Pas beaucoup de poils. Ça donne l'impression qu'il les a désépaissis au ciseau. Alors, c'est ça qu'il m'a fourré dans le cul ! Je la caresse du bout des doigts, puis je me penche et je pose des baisers tout au long de sa verge et sur son gland. Il me regarde faire, amusé, les bras écartés. Je saisis les deux pans de son pantalon et je fais mine de le lui enlever. Il s'appuie des avant-bras sur les accoudoirs et soulève son bassin. Je descends son pantalon jusque sur ses pieds, je lui enlève ses chaussures et je finis de lui ôter son pantalon. Je me réinstalle entre ses genoux. Délicatement, je remonte ses couilles coincées entre ses cuisses:

- J'aime bien, comme tu m'as pris sur le plan de travail, mais j'aurais bien voulu que tu ailles jusqu'au bout et que tu tires un coup.

- Hé hé. Je te le ferai, mais avant, il faut prendre le temps de s'amuser, non ?

- Oui, d'accord. Mais ce soir, tu vas bien arriver à tirer ton coup plusieurs fois, non ? 

 

Je tire doucement sur ses bourses, j'enserre ses couilles entre mon pouce et mon index et, à leur tour, je les embrasse, je les lèche:

- Je veux te les vider. Je veux ce qu'il y a dedans. J'en ai envie. Hein, dis, tu pourras jouir plusieurs fois ?

- Oui, oui, t'inquiète pas, je l'ai déjà fait.

 

Je me penche à nouveau, je prends son sexe dans ma bouche, et je le suce. Il se laisse faire un moment, grossit entre ma langue et mon palais, puis il repousse délicatement ma tête:

- Bon. Va un peu sucer les autres, maintenant.

 

Je me redresse et je me retourne. Denis nous a rejoints et s'est assis dans le canapé. Nadir me regarde, l'air inquiet. Lui, il n'a pas envie de se faire sucer maintenant. Denis me fait un signe de tête:

- Allez, viens.

 

A son ton, c'est évident, il n'a pas plus envie que ça de se faire sucer, mais, sans doute parce que je suis "une bonne fille", il veut bien me laisser me faire plaisir avec sa queue. Moi, ça me va, je veux bien venir chercher ma récompense. Il pose sa flûte sur la table basse et se lève. Pendant que je contourne la table basse à genoux, il ouvre sa braguette, il ôte son pantalon, récupère sa flûte et se rassoit au fond du canapé. En passant devant Nadir, je lui passe la main sur le bas ventre:

- Allez, Nadir, sors aussi ta queue. Je vais vous sucer tous les quatre pendant que vous prenez l'apéro.

 

Il me regarde, inquiet, mais ne bouge pas. Me voilà entre les genoux de Denis. Il attend, toujours le même petit sourire sur les lèvres, les jambes écartées. Sa bite, toute molle, repose paresseusement sur sa cuisse. Je me penche et je la prends dans la bouche. Hhhmmm. Merci. Merci de me laisser jouer avec ta bite, merci d'avoir invité tes potes pour que je les suce et pour qu'ils me baisent. Je ne sais pas comment va se passer cette soirée, ni les quatre jours qui viennent, mais déjà, là, tu m'as fourni quatre sexes. Merci ! Merci ! Merci ! Malgré tout le soin et la fébrilité que je mets à le sucer, il reste mou. Il se contente de me caresser distraitement la tête en sirotant son Champagne. Les autres, silencieux, doivent regarder. Soudain, Yann demande:

- Au fait, Denis, on ira chez ton pote, tu sais, le mec du bar ?

 

Pourquoi "au fait" ? Qu'est ce qu'il vient faire là,  le "mec du bar" ? Denis:

- Ah ouais, tu fais bien d'en parler. Faut que je l'appelle, le Jeannot. Tiens, tu veux pas aller me chercher mon téléphone ? Là-bas, sur le meuble.

 

Il me caresse la nuque:

- Continue, toi.

 

J'entends Yann se lever, et après quelques secondes, donner l'appareil à Denis, qui pianote:

- Jeannot ? C'est Denis.

- …

- Ouais. Bon, alors, on pourra venir, ce soir, avec mes potes ? 

- …

- Ben ouais, avec le … le … le trav aussi. Ouais, il est là, et il viendrait avec nous.

- … 

- Non, non … il a une tenue un peu … il a une minijupe très très courte, si tu veux, mais autrement  …

- …

- Ben tu verras par toi même. Tu nous diras … si tu trouves ça trop … on restera pas …

- …

- Ouais, d'accord. A tout', Jeannot.

 

Il coupe la communication, pose le combiné à côté de lui, et il me met de nouveau la main sur la tête:

- Bon, ça marche. Jeannot, est d'accord. Pour toi, Marin, il a demandé si ta tenue de trav faisait pas trop … pute. C'est bizarre, parce que d'habitude, il est pas si … Bon, enfin, il veut pas que … Mais, à mon avis, ta tenue, là, c'est un minimum. On verra bien …

 

Pendant sa conversation avec Jeannot, je n'ai pas arrêté de le sucer. Il me tapote sur l'épaule:

- Tiens, va donc un peu sucer Yann ou Nadir. Je vais faire chauffer la bouffe.

 

Je sors sa bite de ma bouche et je me redresse. Il m'enjambe pour aller vers la cuisine. Nadir me jette un coup d'œil inquiet. Toujours pas décidé ! Il est venu ici pour quoi faire, celui-là ? Un petit sifflement sur ma gauche. C'est Yann. D'un signe de tête, il me fait signe d'approcher. Ah, merci, Yann ! Il se lève, ouvre sa braguette et, en se contorsionnant, il fait sauter ses tennis, baisse son pantalon, l'enlève à son tour et se rassoit. Je m'avance à genoux jusque entre ses jambes. Tout sourire, il me regarde approcher. Lui, il bande déjà un peu, sûrement excité de m'avoir vu sucer les deux autres. Je lui tripote un peu la queue, je prends ses couilles dans ma main, et je me penche. En prenant son sexe entre mes lèvres, je réalise qu'il y a une dizaine de jours, l'apéro se passait exactement de la même manière à L.F., en suçant les convives les uns après les autres ! Yann a déjà tiré un coup tout à l'heure, mais il est encore en forme. Instantanément, dès qu'il est dans ma bouche, il se met à grossir. En revenant, Denis m'enjambe de nouveau pour regagner sa place, se laisse tomber lourdement sur le canapé, et:

- Dis, Nadir, tu veux pas enlever ton froc ? T'es le seul à l'avoir gardé. Ça te gêne pas ?

- Non, non, ça fait rien.

- Ben si, ça fait. Nous trois, on l'a enlevé. En plus, toi, on dirait que t'as pas envie que Marin s'occupe de toi.

- C'est pas ça … 

- Si t'avais pas envie de te faire un trav, fallait pas venir.

- C'est parce que j'ai pas l'habitude.

- Pas l'habitude … Allez, ôte-le … et laisse-toi sucer. Fais-lui plaisir, à Marin. Il demande que ça, de nous sucer tous les quatre.

 

J'entends Nadir soupirer. Puis des bruits de tissu. Denis:

- Et ben voilà !

 

Je sors la bite de Yann de ma bouche et je me retourne. Nadir est debout, en train d'ôter son pantalon. Yann me prend par l'épaule et me dit:

- Vas-y ! Profites-en, va le sucer !

 

Je me lève et, au moment où je passe devant Denis, il m'arrête:

- Attends ! Bouge pas.

 

Il retrousse ma jupe, passe ses doigts dans la ceinture de mon string, et le descend sur mes cuisses:

- Enlève ça !

 

Je finis d'ôter mon string et je le pose sur la table, au milieu des flûtes. Denis:

- Non, non. Donne !

 

Il tend la main. Je lui donne mon string. Il le froisse entre ses doigts, le sent, et:

- Dis donc, il est mouillé, là, devant ! T'as pissé ?

 

Il le sait, pourquoi j'ai mouillé mon string, mais il veut me l'entendre dire. Alors:

- Ben non, j'ai pas pissé, c'est l'excitation.

- Ah ouais ! Tu mouilles comme une femme. Et qu'est-ce qui t'excite comme ça ?

- Ben vous, vos bites, évidemment.

 

Il me caresse l'intérieur de la cuisse et remonte ses doigts jusque entre mes fesses:

- Vas-y, maintenant. Suce-le !

 

Nadir s'est rassis et attend. Je m'installe entre ses genoux et je prends sa queue dans une main, et ses couilles dans l'autre. Lui aussi, a commencé de bander ! Je ne comprends pas. Si il est excité, pourquoi il est réticent comme ça ?

- La tienne aussi, elle me plaît beaucoup, ta bite, Nadir.

- Ah bon ?

 

Il paraît vraiment surpris. Tout en lui pelotant les boules, j'explique:

- Oui. Pour moi, elle a la forme parfaite. Ton gland, surtout: il est un peu retroussé, il est profilé pour la pénétration … j'aime beaucoup. J'ai hâte que tu m'encules, Nadir.

- Ah bon ?

 

Vraiment surpris. Je donne de petits coups de langue sur son gland, sur sa verge, sur ses couilles. Et ça lui fait de l'effet, il grossit, il durcit. Je commence à le masturber, et je le prends dans ma bouche. Il aspire une bonne goulée d'air et se cale bien au fond du canapé. Sans arrêter de le pomper, je lève les yeux sur lui. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, il me regarde. Les bras tendus sur les côtés, comme pour éviter de me toucher, il respire bruyamment. Je jette un coup d'œil sur le côté. Denis regarde son pote, lui aussi les yeux écarquillés, la mâchoire pendante, il n'en revient pas de le voir dans cet état. Il lui enlève son verre de whisky de la main:

- Donne ça, tu vas le renverser !

- Ah ! Ah ! Ah ! Je vais …

- Oui, oui, vas-y ! Tire ton coup ! Il ne demande que ça, que tu lui jutes dans la bouche !

 

Oui, il va jouir, je le sens ! Ses couilles remontent vers son périnée.

- Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaah !

 

Ça y est, il jouit . Je sens son urètre gonfler et aussitôt, un flot tiède s'étale sur ma langue. Hhhmmmm ! J'avale et je continue de faire aller et venir ma bouche sur son sexe. Un autre jet … un autre encore … J'avale au fur et à mesure. Encore … Encore … Il halète, essoufflé. Et voilà, on dirait que c'est fini. J'arrête mon va et vient, et je garde sa queue dans ma bouche. Il reprend son souffle:

- Ah putain ! Ah putain !

 

Il repousse ma tête:

- Bon. Laisse-moi, maintenant.

 

Je me redresse. Denis:

- Ça y est, il t'a juté dans la bouche ?

- Oui.

- Ben, tu vois, Nadir, c'était pas compliqué ! Bon, faudrait se mettre à table, avant que ça crame.

 

Il se lève, ramasse son pantalon et se penche pour le remettre. Je l'arrête:

- Hé ! Qu'est-ce que tu fais ? Reste comme ça !

- Le cul à l'air pour manger ?

- Oui, restez le cul à l'air pour manger. Mais surtout la BITE à l'air.

 

Un petit sourire sur les lèvres, il regarde les autres. Yann, qui avait aussi récupéré son pantalon, lui signifie d'une mimique "Pourquoi pas ?", et pose son jean sur le dossier du canapé. Dominique:

- Pas de problème.

 

Alors Denis laisse tomber son pantalon, tourne les talons et se dirige vers le coin salle à manger, suivi de Yann. Je leur emboîte le pas. Soudain, Denis bifurque vers la fenêtre et entreprend de descendre le store. Je réalise que, dehors, il fait déjà sombre et que le plafonnier au-dessus de la table, ainsi qu'un lampadaire et deux autres lampes au sol sont allumés. Il a sans doute fait ça quand il est allé enfourner les plats. Il doit avoir peur que, de l'immeuble d'en face, on voit ce qui se passe ici. Je m'approche de lui, et je lui prends la main qui actionne le mécanisme:

- Laisse ouvert, Denis.

- Mais … en face, ils vont nous voir …

- Je sais. Tant mieux. Ça te fait peur ?

 

Il hésite, regarde les autres, comme pour leur demander ce qu'ils en pensent. Dominique fait une grimace qui veut dire "je m'en fous", Yann se marre, Nadir ne comprend pas ce qui se passe. Il finit de descendre le store:

- Mouais. Faut pas pousser, quand même. 

 

Mais il règle les lames pour qu'elles soient à l'horizontale:

- Comme ça, ça te va ?

 

Bon, tant pis. Ça m'aurait bien plu qu'il remonte complètement le store. Mais comme ça, les gens du quatrième, dans l'immeuble en face, pourront quand même nous voir entre les lames. Dominique m'a rejoint. Il me claque le cul:

- Dis, ma poule, tu vas avoir encore faim ? 

- Pourquoi ?

- Tu t'es pas déjà pris deux … éjacs ?

- Si, mais c'est pas deux éjacs qui vont me couper l'appétit.

 

Il rit. Moi, ce qui m'amuse, c'est de voir ces trois mecs qui vont se mettre à table le cul à l'air. Nadir, quant à lui, s'éclipse vers la salle d'eau. La table est déjà mise. Denis me désigne la chaise en bout de table, du côté de la fenêtre:

- Mets-toi là. Et vous, les mecs, mettez-vous où vous voulez, mais laissez-moi une place du côté de la cuisine.

 

On s'installe. Dominique prend place à côté de moi, sur ma gauche, et Yann à côté de lui. Un geste de Dominique attire mon attention: une fois assis, il se remonte les couilles et se les cale au-dessus des cuisses. Et là, je réalise qu'à travers le plateau en verre de la table, j'ai une vue directe sur sa bite. Seule l'extrémité du set de table qui se trouve sous son assiette et ses couverts me gêne un peu. En revanche, comme Yann est plus loin de moi, son set de table ne me gêne absolument pas, et je vois très bien sa queue. Ah putain, je vais manger avec leurs sexes en permanence sous les yeux ! Mon regard braqué sur son bas ventre n'échappe pas à Dominique. Il rit, secoue la tête d'un air de dire « Alors, toi, tu ne perds pas une occasion ! », et complaisamment, il pivote vers moi sur sa chaise, écarte les cuisses et se met à se pétrir le paquet. Il est assez près de moi. Je tends la main et je la pose sur sa queue. Il se cale bien au fond de son siège, passe un bras sur son dossier et se laisse malaxer le gland. Je prends ma propre bite dans mon autre main et je commence à me tripoter. Yann, qui a repéré notre manège, se lève et vient s'asseoir de l'autre côté de la table, juste à ma droite. Lui aussi a envie de se faire peloter. Il approche sa chaise et tend aussi son ventre vers moi. Alors tant pis, je lâche ma bite, et, penché sur la table, je tripote mes deux voisins. Hhhmmm, une bite dans chaque main, j'adore !

 

Denis qui revient, un plat dans les mains, nous regarde et sourit. Il pose le plat au milieu de la table et s'apprête à s'asseoir. Mais il se ravise, contourne Yann, vient se planter à côté de moi et empoigne sa bite, visiblement avec l'intention de participer à notre jeu. Il doit vouloir que je le suce. Mais dans cette position, je ne peux pas à la fois tripoter ses deux potes et lui tailler une pipe. Entre branler ces deux mecs et le sucer, lui, il n'y a pas photo:

- Désolé, les mecs. Ça, je ne peux pas résister.

 

Je les lâche et je me tourne vers Denis, qui se masturbe et recommence à bander. Dominique, en riant:

- Ouais, vas-y ! Profite !

 

Denis remonte son T-shirt sur son ventre et tend sa queue vers moi. Je le prends dans la bouche. Hhhmmm ! Je commence à le sucer en lui caressant les abdominaux, les hanches, les reins. Je lève les yeux sur lui. La tête penchée sur le côté, il me regarde, un petit sourire sur les lèvres. Il pose sa main libre sur ma tête et, à son tour, il me caresse. Rapidement, je sens son excitation monter. Il aspire et souffle bruyamment par la bouche. Cette fois, je le sens, il va aller jusqu'au bout. Du coin de l'œil, je vois Yann, fasciné, qui me regarde en silence tailler cette pipe à son pote. Il est aux premières loges. Je tourne le dos à Domi, mais je suis sûr qu'il regarde aussi. Et là, je réalise que, dans la position où nous sommes, Denis et moi, de profil par rapport à la fenêtre, nous devons être parfaitement visibles entre les lames du store, depuis l'immeuble d'en face. Sans cesser de sucer Denis, je jette un coup d'œil sur le côté. Mon champ de vision est réduit, mais j'aperçois quand même deux fenêtres éclairées, et une autre obscure. Aux fenêtres éclairées, personne. Mais impossible de savoir si quelqu'un nous observe ou non depuis la pièce qui est dans le noir. Maintenant, Denis halète. Oui, pas de doute, je sens qu'il a l'intention de se laisser aller jusqu'à l'éjaculation ! Et je sais que lui, comme Yann tout à l'heure, il va me répandre son sperme dans la bouche sans état d'âme. C'est une volupté indicible de jouir dans quelqu'un, mais certains mecs se retiennent par peur de la réaction de leur partenaire. Moi, ça me plaît beaucoup, que les mecs me lâchent leur jouissance dans la gorge sans scrupule, sans hésitation. La pression de sa main, derrière ma nuque, se fait plus ferme et fiévreuse. Oh oui, vas-y, jouis ! De plus en plus excité, je gémis et j'accentue ma fellation. Vas-y, jouis, jute, éjacule, crache ton sperme !

 

Et il jouit en haletant et en pressant ma tête contre lui. Le nez écrasé contre ses abdominaux secoués de spasmes, je sens son sperme se déverser directement dans ma gorge. Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiiiii ! Du sperme, du sperme, du sperme ! Ça me rend dingue. Je gémis, je couine tout en avalant sa semence. Lui grogne au rythme des soubresauts de son sexe dans ma bouche. Voilà. Il se calme. Il a fini d'éjaculer et il souffle comme un bœuf. Sa main se fait plus douce sur ma nuque et je le sens qui recule son bassin en se marrant:

- Ha ! Ha ! Haaa ! Puuuu taiiiiin, la vaaaache ! 

 

Je presse sa queue entre mes lèvres pendant qu'il la sort lentement de ma bouche. Depuis ma nuque, il passe sa main sous mon menton. Quand sa bite finit de sortir, il lève mon menton vers lui et, sans prévenir, il se penche sur moi, et il plaque sa bouche sur la mienne. Je n'ai pas eu le temps de la refermer. J'ai déjà sa langue entre mes dents … contre ma langue. Hhhhmmmm, oui, roule-moi une pelle ! Le goût de son sperme toujours dans ma gorge, je le sens qui explore ma bouche avec sa langue. Nos langues se frottent, se caressent, s'entortillent, nos salives se mélangent, nos dents se heurtent … Enfin, à bout de souffle, il se redresse, il lâche mon menton et se plante devant moi en secouant la tête d'un air épaté:

- Ah, putain, comment tu suces !

 

Yann approuve:

- Ah ouais ! Sa bouche, c'est …

 

Il cherche ses mots, une expression:

- … c'est diabolique ! Ce qui me tue, moi, c'est de sentir comment ça l'excite, de sucer de la bite !

 

Dominique se marre. Denis reste là à me regarder:

- T'as tout avalé, évidemment !

 

Je bâille pour lui montrer que oui, j'ai tout avalé:

- Ben oui, j'aime ça.

 

Denis recalotte son gland en retournant s'asseoir à sa place:

- Y'a plus que toi, Domi, qu'as pas encore tiré ton coup .

 

C'est vrai. Sur les quatre, il n'y a plus que lui. Pendant que je suçais Denis, Nadir est revenu et s'est assis à côté de Dominique. Denis:

- Bon, allez, on mange.

 

Oui, Mangeons. Denis se relève et me sert un verre de vin blanc:

- Tiens. Tu dois avoir besoin de te rincer la bouche. Elle sentait le sperme.

 

Hhmmmm, c'est un premier cru de Chablis. Il a fait les choses bien, le Denis ! On mange et on boit. La conversation s'engage sur leurs envies, sur leurs expériences sexuelles, sur les miennes, et continue sur des anecdotes avec des femmes. Au passage, j'apprends que Dominique a été marié et que Denis a vécu en couple. Rapidement, la discussion glisse sur des sujets plus banals, les voyages, les vacances, le travail … L'ambiance de la soirée me rappelle celle de la journée chez Robert: un repas ordinaire entre potes. Denis est aux petits soins pour moi et veille à ce que mon verre ne reste pas vide. Yann écluse pas mal, tend son verre à Denis, se sert tout seul. Les trois autres sont plus raisonnables. Un repas ordinaire … à ceci près que nous sommes tous les cinq à table avec la bite à l'air. Tout en mangeant, je ne peux m'empêcher de jeter des regards appuyés sur ces quatre bites à travers le plateau en verre de la table. Elles sont maintenant toutes au repos. Seul Yann, entre deux plats, se tripote machinalement le gland. De temps en temps, l'un ou l'autre me surprend en train de contempler son sexe. Yann, alors, par provocation, se masturbe plus franchement, Denis se tourne vers moi et écarte les cuisses, et Dominique se pétrit complaisamment le paquet dans un geste obscène. Seul Nadir détourne la tête d'un air gêné. Lui ne se fait pas à cette demi nudité. Quand nous arrivons au dessert, je n'y tiens plus. Pendant que Denis remplace les assiettes par des coupes en verre, je quitte ma chaise et je m'agenouille à côté de Domi. Il devine immédiatement mes intentions, mais il prend un air faussement indifférent et ne bouge pas:

- Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ?

 

Je le prends par les cuisses et j'entreprends de le faire pivoter sur sa chaise. Il rit, résiste un peu, et finit par se tourner face à moi. Il écarte même tout seul les cuisses, passe son bras droit sur le dossier de sa chaise, pose sa main gauche sur ma tête et appuie pour que je me penche sur son ventre:

- Allez, suce-moi !

 

Je l'aurais fait de toute façon, sans qu'il ait besoin de me "forcer", mais ça me plaît. Il ne bande pas. Je le prends dans ma bouche. J'aime beaucoup sucer un sexe encore mou. Je pense que c'est un peu le même plaisir que celui qu'éprouve un gamin qui suce une tétine, et c'est très agréable. Je prends ses couilles dans ma main. Je tournicote ma langue autour de sa bite. 

 

- Marin ! Je te sers ton  dessert ? C'est des profiteroles. 

 

C'est Denis. Je ne réponds pas. Mon dessert, je l'ai dans la bouche. Il insiste:

- Bon, je te mets le chocolat pendant qu'il est chaud. Tu voudras de la Chantilly ?

 

C'est Domi qui lui répond:

- Il est bien élevé, ce garçon, il ne parle pas la bouche pleine. 

 

Alors je sors la bite de Dominique de ma bouche et, tout en le masturbant, je me redresse:

- Non, ne me mets pas de Chantilly. La Chantilly, c'est Dominique qui va me la donner.

 

Ils rient tous les quatre. Je le reprends entre mes lèvres. Sa bite commence à gonfler. J'espère que, cette fois, il est mûr, et qu'il va se laisser sucer jusqu'au bout. Il commence à bander, mais ça ne l'empêche pas de s'occuper de ses profiteroles. Il prend sa coupe et il s'attaque à la pâtisserie au-dessus de ma tête. J'entends le bruit de sa cuiller qui grince contre le verre de sa coupe. Ça aussi, ça me plaît, lui faire une turlute pendant qu'il mange. J'entends confusément que tous les quatre ont repris leur conversation, comme si de rien n'était, Dominique y compris. Ils évoquent leurs desserts et leur pâtisserie préférés. Tant qu'il parle et déguste son dessert, Domi ne gonfle presque pas dans ma bouche. Mais dès qu'il a fini ses profiteroles et qu'il pose sa coupe sur la table, je sens sa queue grossir et s'allonger. Il prend délicatement ma tête à deux mains. Alors, je le sens qui se concentre sur ce que je lui fais.

- Putain, il a raison, Yann. C'est dingue comme t'aimes ça, sucer de la bite !

 

Rapidement, il bande vraiment, et ne participe plus à la discussion que par monosyllabes et grognements. Il commence à prendre du plaisir. Cette fois, il est raide et, au bout d'un moment, il se met à souffler par la bouche. Ça vient. Brusquement, il me prend la tête à deux mains, la repousse pour m'enlever de sa bite, et se lève:

- Lève-toi !

 

A son ton, je comprends qu'il a une urgence et qu'il projette autre chose. Engourdi par ma position, je me relève péniblement. Il me prend par le coude et me pousse vers le salon. Je ne peux m'empêcher de vérifier dans quel état j'ai mis sa queue. Elle est raide et tendue à l'horizontale. Son gland est gonflé à mort et rouge. Sur sa verge, ses veines sont gonflées.

- Mets-toi là, sur le dos !

 

Il me désigne l'angle du canapé. Ah yesss, il va me baiser ! Tandis que je m'assois, il me fait basculer en arrière, puis soulève mes deux jambes, les écarte et me positionne les fesses au bord du siège. Puis il se penche au-dessus de moi, s'appuie d'une main à côté de mon épaule et, de l'autre, il guide son sexe. Je sens son gland contre ma fleur. Il va m'enculer à sec ! Je ne sais pas dans quel état est mon fourreau. Moi, ça ne me gêne pas, j'ai l'habitude de me goder comme ça, et ça ne m'irrite même pas. Mais lui … il risque de se faire mal. Je lui demande:

- Tu ne veux pas me lubrifier ? J'ai du gel.

- T'inquiète ! 

 

Et il me pénètre. Ça rentre tout seul. Il passe le goulet de mon sphincter comme si de rien n'était. Après, il s'enfonce d'un seul coup … complètement. Son pubis vient se plaquer contre mon périnée. Les sécrétions de mon rectum doivent me lubrifier suffisamment. Et il se remet à me bourrer comme tout à l'heure, dans la cuisine: boum !

 

Mais maintenant, il ponctue chaque coup de queue d'une onomatopée, entre un grognement et un gémissement. Si, tout à l'heure, contre le plan de travail, il gérait, il se maîtrisait, maintenant, il se laisse submerger par son désir.

Boum !

 

Courbé au-dessus de moi, bouche entrouverte, il regarde alternativement mon visage et sa queue qui entre et sort de moi. Boum !

 

Cette fois, c'est sûr, il va jouir. Je pose mes mains sur ses reins, je les glisse sous son T-shirt et je lui caresse le dos. Boum !

 

Il souffle de plus en plus fort. Les trois autres sont restés à table. Je ne les vois pas, masqués par Dominique. Quand il m'a entraîné vers le canapé, je les ai entendus rire et commenter. Maintenant, je pense qu'ils contemplent, silencieusement. Boum !

 

- J'vais … j'vais t'juter dans l'cul !

 

Entre deux halètements-grognements, il m'a soufflé ça dans le cou. Oh oui, oui ! 

- Oui, vas-y, jouis ! 

 

Oui, jouis, répands-moi ton sperme dans le ventre ! Insémine-moi ! Engrosse-moi ! Boum !

 

A mon tour, je gémis, je halète en lui pétrissant le dos, les omoplates, les reins. Alleeeeeez, vas-y ! Baise-moi, féconde-moi ! Boum !

 

Et brusquement, il n'est plus qu'un halètement, rapide, puissant. Il va jouir ! Boum ! Mais cette fois, il reste plaqué tout au fond de moi. Mes mains derrière ses reins, je le presse contre moi, EN moi. Je veux qu'il déverse son sperme au plus profond de mon ventre. Et je sens un premier soubresaut de sa bite dans ma rondelle. Ça y est, il éjacule ! J'imagine son méat, béant, déversant dans mon ventre sa crème, toute blanche, qui s'insinue dans mes chairs. Je geins, je gémis, je couine ! Je suis encore en train de me faire féconder par un mâle ! Combien de mâles ont joui en moi ? Combien de mâles m'ont rempli le ventre de leur semence ? Quarante ? Cinquante ? Encore ! Encore ! Encore ! Je veux encore des mâles ! Je veux encore des bites ! Je veux encore du sperme, de la semence, de la jute, du foutre !

 

Il s'effondre sur moi en reprenant bruyamment sa respiration. Il doit avoir fini. La joue posée sur ma clavicule, il me souffle son haleine chocolatée dans le cou. Je lui caresse la nuque et je pose des baisers sur son front et sur ses paupières fermées. Hhhmmmm, tu m'as bien baisé, Dominique, tu m'as fécondé,  et je crois que tu as pris un pied monumental. Peu à peu, sa respiration se calme et, à son tour, il se met à me caresser les cuisses, les hanches, les fesses.  

 

Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !

 

Les applaudissement viennent de la salle à manger. Dominique se redresse et regarde vers ses trois comparses en riant. Vautré comme ça sur l'arrière de mes cuisses, il commence à être lourd:

- Laisse-moi redescendre mes jambes, Dominique.

 

Il me regarde, me sourit:

- Ça t'a plu ?

- Oh oui. Tu as joui dans mon ventre !

- Oui. 

 

Il se relève et me tend la main pour m'aider à faire pareil. Je redescends mes jambes et je m'assois, mais il se ravise:

- Attends ! Reste sur le dos !

 

Je suis surpris, mais j'obtempère, appuyé des coudes sur le canapé. En deux pas, le voilà près de la table. Il prend ma coupe de profiteroles et revient vers moi:

- Tu voulais de la crème Chantilly ? Mets-la là-dedans !

 

OK. Je vois ce qu'il veut. Pas de problème. Il s'accroupit et tend la coupe vers mon cul:

- Vas-y, pousse !

 

Inutile de pousser. Le simple fait de m'asseoir devrait suffire. Dans un bruit de bulles, je sens sa semence sortir de mon cul. Il regarde, fasciné. Les trois autres se marrent. Je glisse une main entre mes cuisses et, avec deux doigts, je m'ouvre le sphincter. Voilà, le plus gros a dû s'écouler. Je lui prends la coupe des mains et je me lève. Je racle sur bord de ma coupe ce qui reste de crème collée à mes doigts, et je retourne m'asseoir à table. Tant bien que mal, je serre les fesses et je contracte mon sphincter pour éviter de souiller ma chaise avec ce qui a pu rester de semence dans mon cul. Dominique est aussi retourné à sa place et tous les quatre m'observent. Ils ont deviné la suite et ils se demandent visiblement si je vais oser le faire. Yann, Denis et Dominique sont hilares. Seul Nadir me regarde d'un œil réprobateur. Alors je coupe avec ma cuiller un morceau de chou couvert de chocolat, je le trempe consciencieusement dans la crème de Dominique, et je le porte à ma bouche.

 

- Yeeeeaaahhhh !

 

Exclamation de Denis. Les profiteroles, il faut les manger dès qu'elles sont servies pour apprécier le contraste entre la chaleur de la sauce au chocolat et le froid de la glace à la vanille. Là, pendant que je taillais une pipe à Dominique et qu'il me baisait, la glace a eu le temps de fondre et le chocolat de refroidir. Ça ne fait rien, pour le moment, ce n'est pas ça l'essentiel. L'essentiel, c'est que je suis en train de déguster une profiterole au sperme ! Oh, je ne le sens pas vraiment, le sperme: la saveur puissante du chocolat et celle, plus subtile de vanille masquent complètement son goût, mais je me régale autant du plaisir de cette pâtisserie spéciale que de voir mes trois … amants me regarder. 

 

Quand j'ai terminé, Denis se lève:

- Bon, qui veut un café ?

 

Il commence à débarrasser la table, aidé de Yann et Nadir. Dominique retourne s'asseoir sur le canapé. Je le suis. Il tapote le siège à côté de lui:

- Assieds-toi là !

- Deux secondes. Je ne veux pas souiller le canapé de Denis.

 

J'ai sans doute encore un peu de sperme dans le cul. Je disparais dans la salle d'eau. Vite fait, je me refais un lavement et je me sèche. Quand je reviens, je trouve Nadir assis dans l'angle du canapé et Yann dans le fauteuil en face. Je m'assois à côté de Dominique, et je prends son sexe entre mes doigts. Il pose une main sur ma cuisse:

- Alors, t'es content ? Ça y est, on a tiré un coup tous les quatre.

- Oui. Merci.

 

Ça l'amuse que ce soit moi qui lui dise merci. Il sourit:

- Pas de quoi, on est là pour ça. N'empêche, t'es un phénomène, toi.

- Ah bon ?

- Oui. C'est la première fois que j'ai affaire à quelqu'un qui aime autant la bite.

- Hééé ! C'est bien, non ?

- Bien sûr, que c'est bien. Quelqu'un qui se pose pas de questions, que t'as pas besoin de draguer, que t'as pas besoin de séduire pour te le taper, c'est top. Au moins, avec toi, on perd pas de temps en politesses, ou en discussion, on peut y aller direct: on veut te niquer, on te nique ! Excuse-moi de te dire ça, hein, mais tu serais une fille, on dirait que t'es une "fille facile".

- Mais ça me va tout à fait. T'excuse pas. Ça me plaît d'être considéré et traité comme une "fille facile". 

 

Denis, qui pose deux tasses de café sur la table basse:

- Ouais, t'es même plus qu'une fille facile, parce que, avec un "saute au paf" comme toi, on a même pas besoin de prendre l'initiative. Du moment que tu sais qu'un mec est là pour ça, c'est toi qui t'attaques à sa queue ! T'es prêt à tout pour sucer de la queue ou te faire enculer. Le rêve pour les mâles, quoi !

 

Yann, qui continue à se tripoter machinalement, comme tout à l'heure, à table:

- Ouais. Et en plus, t'es jamais rassasié ! Vingt et quelques mecs, quand même, l'autre fois, chez Jean-Claude ! Et c'qu'est dingue, c'est qu'tu prends tout le monde ! On dirait que t'as rien à foutre du physique des mecs. Du moment qu'ils ont une queue, c'est bon.

 

Il a l'élocution un peu laborieuse, conséquence de ce qu'il a picolé en mangeant. Notre conversation doit lui donner des idées parce qu'il se lève et vient, en titubant, s'affaler à côté de moi sur le canapé:

- Tiens, vas-y !

 

Il écarte les cuisses et s'empoigne le paquet à pleine main. Bon, il veut que je le suce. Je demande à Dominique:

- Tu permets ?

- Evidemment. 

 

Je lui tourne le dos et je commence à me pencher sur le ventre de Yann. Dominique se ravise:

- Attends, attends ! Allonge-toi sur moi. Tu seras mieux pour le sucer.

 

Ouais, peut-être. Je me redresse. Il me prend par les hanches et il me guide pour que je m'installe, le ventre sur ses cuisses. En m'allongeant, je réalise qu'il a sûrement une idée derrière la tête. On verra bien. Je me penche sur le ventre de Yann, je saisis sa queue et je commence à lui passer la langue sur la verge. Hhhmmmm, il n'y a rien à faire, je ne m'en lasse pas. Je pourrais passer des heures à lécher et à sucer une bite … ou des bites. Je le prends dans ma bouche. Aussitôt, il pose sa main sur ma tête. Il bande mollement, mais j'aime ça. Je commence à aller et venir, doucement. Je déguste le plaisir d'avoir ce sexe mou, tiède et doux, qui se laisse dorloter dans ma bouche. Il a peut-être encore envie d'éjaculer sur ma langue, mais pour le moment, je ne cherche pas à le faire jouir. Pour le moment, égoïstement, je le suce seulement pour mon plaisir à moi. J'ai passé un bras entre ses cuisses, j'ai pris ses couilles dans ma main et, de temps à autre, je les lèche aussi, je les prends une à une dans ma bouche et je les tète avant de reprendre sa bite. J'entends vaguement qu'il est question de café et de sucre entre Denis, Nadir et Dominique. Il me semble même que Denis a tendu une tasse à Yann, qui l'a bue tout en se laissant sucer, avant de la lui rendre. 

 

- Tiens, Denis, tu peux reprendre aussi la mienne ?

- T'en veux un autre ?

- Non, merci.

 

C'est la voix de Domi, suivie du bruit de deux tasses qu'on pose sur la table basse.  Aussitôt, je sens qu'on retrousse ma jupe sur mes reins. "On" … Dominique, forcément. Il se met à me caresser les fesses. Hhhmmm ! Sa main s'insinue entre mes cuisses … jusqu'à mes genoux … avant de revenir sur mes fesses. Peu à peu, il ne me caresse plus, il me palpe, il me pétrit les miches … fermement. Hhhmmmm, c'est boooon ! Je soulève mon bassin. Oh oui, pelote-moi le cul ! Et soudain, tout en continuant de me pétrir une fesse, il insinue les doigts de son autre main dans ma raie. Depuis les reins jusqu'au périnée. Alors là ! Là, j'écarte les cuisses en glissant mes genoux sur le cuir du canapé. Je sens son ventre se secouer contre ma hanche. Ça le fait rire:

- T'aimes ça, hein !

 

Il remonte ses doigts en direction de mes reins et s'attarde une fraction de seconde sur ma fleur. Je gémis et, comme par réflexe, je soulève un peu plus mon bassin. Il rit encore:

- Regarde-le ! Là, il a envie que je lui mette un doigt.

 

Oui, j'ai envie que tu me mettes un doigt ! Ses doigts quittent ma raie, j'entends un bruit de succion et, presque aussitôt, il les pose sur ma rondelle. De sa main qui me pétrit la fesse, il m'ouvre. Je le sens, ses doigts glissent sur mon anus. Il a dû les mouiller à la salive. Je sens mon fourreau frémir et j'ai l'impression qu'il bée tout seul. Etonnamment, tout ça ne me détourne absolument pas de la pipe que je suis en train de tailler à Yann. Au contraire. Excité par ce que Dominique est en train de me faire, et à l'idée de ce qu'il s'apprête à me faire, je suce Yann encore plus fiévreusement. Ah, ça y est ! Il enfonce un doigt dans mon cul ! Oh, putain, ce que c'est bon ! Voilà son doigt entièrement en moi. Il le bouge et mon anus se détend, s'ouvre tout seul.

- C'est bon, ça, hein ? T'aimes ça, hein ?

 

Il ressort un peu son doigt, et il en glisse un deuxième. Hhhhmmmm ouiiiii ! Il me rend dingue. Je gémis de plus belle en remuant convulsivement mon bassin. Et je sens qu'il écarte ses doigts délicatement mais fermement pour m'ouvrir l'anus ! Ouiiiii, vas-y, ouvre-moi ! Et mets-en un autre ! Ouiiiii, il m'en met un autre ! Ah, putain ! Mets-moi ta main, maintenant ! Mets-moi ta main ! Ah, j'en peux plus, j'en peux plus ! Je halète tellement que je ne peux plus garder la bite de Yann dans ma bouche. Appuyé des avant-bras sur ses cuisses, je me cambre à la recherche de toujours plus de saillie. Et il me fourre encore un doigt ! J'ai quatre de ses doigts dans le cul ! C'est très légèrement douloureux au moment où il ajoute un doigt, mais une fois mes muscles détendus, la douleur disparaît et ce n'est plus que du plaisir ! Je geins. Yann m'appuie sur la tête. Il veut que je continue de le sucer ? Mais je ne peux pas ! Ah non. Il a empoigné sa bite, et il se contente de me frotter son gland sur la figure. Je lui donne de petits coups de langue quand son gland passe près de mes lèvres. Dominique continue de me forcer. Il a même dû me mettre son pouce. Mais ça ne rentre plus. Ses doigts restent bloqués au niveau de la première phalange. J'ai beau essayer de m'ouvrir autant que je peux, rien n'y fait. 

- T'aurais pas quelque chose à lui foutre dans le cul, Denis ?

- Hein ?

- Ouais. Je sens qu'il voudrait bien que je le fiste, mais ma main rentre pas. Ça passe pas, regarde.

 

Et il fait des va et vient qui bloquent tous au même endroit. 

- Ou alors … fais voir ta main  …

- Quoi ! Tu veux que je le fiste ? Marin … tu veux te faire fister ?

- Ouiiiiii !

 

Je hoche la tête vigoureusement. Denis reprend:

- Ouais, mais … ça va pas le faire, j'ai la main aussi grosse que la tienne, Domi.

 

Je relève la tête et je regarde la main de Yann, qui cramponne toujours sa queue. Ça le fera pas non plus. D'ailleurs, il confirme:

- Moi, c'est pareil, j'ai la main trop grosse. Et toi, Nadir ?

- Non, non. Trop grosse aussi, ma main. Et de toute façon, moi, je fais pas ça.

 

Domi continue de me travailler le fourreau. Soudain, Denis:

- Attends. Je crois que j'ai ce qui faut !

 

Je l'entends s'éloigner en direction de la cuisine. Bruit de tiroir qu'on ouvre. Bruit de tiroir qu'on referme. 

- Regarde ça ! Ça devrait lui plaire !

- Ah ouais. T'as raison. Mais c'est pas du bois, au moins.

- Nan. C'est du plastique. Regarde, Marin.

 

Je tourne la tête vers lui. Il revient en exhibant un long cylindre blanc:

- Ça te dit, ça ? C'est mon rouleau à pâtisserie. C'est du plastique anti-adhésif.

 

Il me le colle sous le nez. Ça doit faire dans les cinq centimètres de diamètre et les bords des extrémités sont arrondis. Je le prends dans la main. C'est très lisse. Ça va le faire:

- Oh oui, ça me dit. Allez-y, fourrez-le moi !

- Attends, je vais lui mettre une capote, quand même …

- Nan. Pas besoin. 

 

Je lui arrache littéralement des mains, et je le porte à ma bouche. Je crache dessus et j'étale ma salive avec mes lèvres et ma langue, avant de le tendre vers mon cul:

- Vas-y, Domi, fourre-le moi !

 

Dominique rit et, sans hésiter, il le prend et le présente aussitôt à l'entrée de mon fourreau:

- Putain, c'est quand même un gros morceau ! T'es sûr, Marin ?

- Oui. J'ai déjà pris plus gros. Vas-y !

- Bon. Comme tu veux.

 

Je sens qu'il m'écarte les fesses et qu'il pose l'extrémité contre mon anus. C'est frais. Il commence à pousser. Le godemiché improvisé me pénètre doucement en écartant mes chairs. Ça résiste un peu. Domi:

- Ça va ? Je te fais mal ?

- Non, vas-y ! Ça me fait pas mal.

 

Il pousse encore. Yann a arrêté de me badigeonner sa bite sur la figure, et il l'a même lâchée. Il doit être en train de regarder ce que me fait Dominique. Denis aussi, qui est maintenant debout près de mon cul. Ça y est, l'extrémité du rouleau a passé le goulet étroit de mon sphincter, et je le sens qui s'enfonce dans mon rectum. Je me cambre. Oh putain, ce que c'est bon ! Je m'affale complètement sur les cuisses de Yann, je passe mes deux mains derrière moi, je m'empoigne les fesses et je les écarte. Dominique rit:

- Oh oooooh ! J'en reviens pas ! Ça rentre tout seul ! Je continue ? Tu me diras quand il faut que j'arrête.

- Vas-y. Tu le sentiras, quand tu seras au fond.

 

Il continue et, tout en l'enfonçant, il se met à tourner un peu le rouleau de droite à gauche dans mon cul. Voilà, ça résiste. Il est au fond. Hhhmmmm ! C'est encore meilleur de se faire goder par quelqu'un que de se le faire tout seul. Dominique remue un peu le rouleau dans mon cul, puis commence à le retirer. Hhhmmm, ça aussi c'est bon !

- Putain, j'en reviens pas de ce que je t'ai rentré dans le cul ! Regarde ça, Denis ! 

 

Je sens le godemiché glisser lentement dans mon anus. Et Dominique le sort complètement ! Ça fait un petit "plop !" mouillé. Je m'écarte de nouveau les fesses, attendant qu'il me remette ce truc. Qu'est-ce qu'il attend. Je le sens qui bouge contre moi, comme s'il se penchait au-dessus de mon cul. Et je sens un truc chaud tomber sur mon anus. Denis:

- Tu veux pas lui mettre plutôt du lubrifiant, au lieu de lui cracher dans le cul ? T'en as, du lubrifiant, Marin ?

- Oui. Dans mon sac. Il doit être dans la salle d'eau.

- Bougez pas.

 

Il n'y a pas de risque que je bouge. D'autant que Domi a de nouveau enfoncé l'extrémité du rouleau à pâtisserie sur quelques centimètres dans ma rondelle, et qu'il a commencé à le faire aller et venir rapidement. Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Ça a l'air de beaucoup l'amuser. Et moi, ça me fait du bien. Denis revient:

- Hé ! Ça aussi, c'est pas mal !

 

Il arbore mon tube de lubrifiant. C'est vrai qu'avec son extrémité arrondie et son diamètre assez conséquent, il fait envie, lui aussi. D'ailleurs, je me le suis déjà fourré dans le cul à la maison. Je suis persuadé que le fabricant a choisi cette forme et ces dimensions pour que ce flacon de lubrifiant puisse servir de jouet sexuel. Domi sort le rouleau à pâtisserie de mon cul. Plop ! Rapidement, je sens le froid du gel sur ma rondelle, puis un doigt (un pouce ?) me l'étaler et me le rentrer dans le fourreau en faisant plusieurs allers et retours.

 

- Allez, fous-lui le tube dans le cul.

 

C'est Domi qui vient de dire ça à Denis. Lequel ne se le fait pas dire deux fois. Je les entends rire doucement, tous les deux. Je sens le bout du tube se poser sur ma rondelle et s'enfoncer immédiatement en moi.

- Oh putain !

 

Domi est scié ! Je ne sais pas lequel des deux est à la manœuvre, mais il m'a enfoncé ce tube d'un seul coup. Et entièrement ! Ou presque. J'approche ma main de mon trou. Du tube, il ne dépasse plus qu'un centimètre ou deux, c'est-à-dire le bouchon. Des doigts (ceux de Denis ou de Dominique ?) appuient dessus  pour le maintenir dans mon cul. Ils se marrent. Je tourne un peu la tête. Denis est penché au-dessus de moi. C'est lui qui pousse ce tube dans mon cul. Domi me demande:

- Ça va toujours ?

- Oui. Gode moi encore.

- Enlève tes mains.

 

Je les enlève et je les croise sous mon menton sur les genoux de Yann. Je sens que Domi m'empoigne les fesses et me les écarte. Denis sort le tube rapidement (j'ai l'impression de me vider), et le renfonce d'un seul coup. Hhhmmmm ! Ils se marrent de plus belle. Puis il le sort à moitié et se met à le faire aller et venir en rythme. Avec la dose de lubrifiant qu'ils m'ont fourrée, ça glisse tout seul. De temps à autre, Denis me l'enfonce de nouveau à fond et continue d'appuyer, comme pour essayer de me le rentrer complètement dans le cul, avant de reprendre ses va et vient. Dominique demande à Denis:

- Laisse-moi essayer …

 

C'est maintenant Denis qui m'ouvre bien le cul en m'écartant les fesses. Domi me fait la même chose que lui, mais à un rythme légèrement différent, plus lascif. La joue posée sur la cuisse de Yann, je me laisse faire. Ça me plaît. Non seulement que ces mecs me fassent quelque chose que j'adore, mais aussi qu'ils s'amusent avec mon cul. Ils jouent, ils expérimentent.

 

- Yann, tu veux essayer ?

- Ouais. Attends.

 

Il se dégage de sous moi, se lève, et je le sens qui monte sur le canapé et s'agenouille entre mes mollets.

- Enlève-lui ce truc-là. Ça, c'est plus gros.

- T'as raison.

 

"Ça", c'est sûrement le rouleau à pâtisserie. Quelqu'un sort le tube de mon cul, et Yann me pose le rouleau sur la rondelle. Il commence à me l'enfoncer délicatement. Il ne doit pas y avoir une grosse différence de calibre, mais en effet, "ça", c'est plus gros. Je tourne la tête. Denis s'est assis sur la table basse. Alors ça doit être Domi qui me maintient les fesses écartées. Yann demande:

- Je peux lui mettre jusqu'où ?

- Vas-y, t'as encore de la marge. Regarde, t'as la trace, là. Moi, je lui ai enfoncé jusqu'où c'est mouillé. 

- OK.

 

Une fois au fond, il ressort et commence à me goder comme les deux autres. Je l'entends rire:

- Ça te plaît, ma poule ?

- Oui.

 

Ah putain, trois mecs qui s'amusent avec mon cul ! J'adore ! Yann me ramone comme ça pendant un moment, puis il se met à faire pivoter doucement l'engin sur lui-même. Hhmmmm, c'est bon, ça !

- Ça aussi, ça te plaît ?

- Oh oui !

 

Ça l'encourage et il fait tourner le gode un peu plus vite. Je gémis, je geins, je soulève mon bassin, je me cambre. Ils se marrent. 

- Dis, Denis, t'aurais pas un truc un peu plus gros ?

 

A son ton, je sens que Yann s'excite à me ramoner comme ça. Denis:

- Plus gros ? Non, je crois pas. 

- T'es sûr ?

 

Maintenant, c'est à la brutalité de ses gestes, que je sens que Yann s'excite. Denis:

- Ouais, je suis sûr. Et puis là, tu t'excites trop, Yann. Vas-y mollo. Vas pas nous l'esquinter. Il faut qu'on puisse encore s'en servir. Pas vrai, ma poule ?

 

Denis s'est levé. Il me claque la fesse, et je sens que le ramonage s'arrête brusquement. Je tourne la tête. Denis a saisi le gode improvisé et empêche Yann de continuer:

- Arrête, Yann ! De toute façon, c'est l'heure d'aller chez Jeannot.

 

Je tourne la tête. Denis et Yann tiennent tous les deux le godemiché, le premier empêchant le second de continuer à me ramoner comme ça. Leur affrontement se répercute dans mon cul à travers le rouleau à pâtisserie.

- Ouais. Arrête tes conneries, Yann. Tu dérapes, là.


Cette fois, c'est Dominique qui intervient. Il y a deux ou trois secondes de flottement, puis je sens qu'on sort lentement le jouet de mon fourreau. " Plop ! ".


- Ouais. Je crois que j'ai un peu trop picolé. Désolé.


Denis se redresse et s'éloigne vers la cuisine, son rouleau à la main. Dominique, en me pétrissant la fesse:

- Ça va, ma poule ?

- Ça va.


Je sens Yann descendre du canapé. Je me relève. Il se tient devant moi, tout penaud:

- Je t'ai fait mal ?

- Non, ça va. Mais il était temps d'arrêter.

- Ouais. Excuse-moi.

- Ça va, je te dis. Mais contrôle-toi quand tu picoles.

- OK, OK.


Denis:

 

- Bon, allez. On se prépare.

 

Pendant qu'il ramasse son pantalon et commence à l'enfiler, je récupère mon string:

 

- J'arrive. Il faut que je passe à la salle d'eau.

 

à suivre.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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