Jeudi 9 juillet 2015 4 09 /07 /Juil /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

J'ai perdu la notion du temps, sur ce matelas … Je me suis déjà fait enculer par … par je ne sais pas combien de mecs, ici et aussi sur une table. Le type obèse m'a longuement baisé et m'a même donné du plaisir en me coinçant sous sa bedaine, mais les deux qui lui ont succédé étaient tellement excités et impatients qu'ils ont joui en quelques secondes. OK, ces mecs sont dans l'urgence et ils veulent se soulager vite fait bien fait, mais j'espère qu'une fois calmés, ils feront preuve d'un peu plus d'imagination et d'endurance … Maintenant, j'attends qu'un autre me prenne à son tour.

 

- Bon, à moi …

 

Ça doit être le troisième larron, celui qui a, bon gré, mal gré, laissé sa place aux deux éjaculateurs précoces… Il fait bien de s'imposer, parce que, autour de nous, il y a encore quatre ou cinq types, la bite à la main, qui attendent leur tour … Pendant qu'il s'installe à genoux entre mes cuisses, je me dis que j'aurais dû compter combien j'en ai sucé et combien j'en ai reçu dans mon cul depuis que je suis arrivé … 

 

Ah ! Au moins ce troisième larron prend son temps: il est en train de me peloter les cuisses et les fesses … Quelqu'un d'autre s'agenouille sur le matelas, à hauteur de ma tête:

- Ça va ?

 

Je lève les yeux. C'est Philippe.

- Ça va …

- Tu veux pas faire une pause ? Ça fait un moment que tu es … en mains …

- Oui … surtout sur ce matelas …

- Tu as … tu t'es fait … heummmm … combien de fois ?

- Justement, j'étais en train de me le demander ... je sais pas, je n'ai pas compté …

- Moi, je dirais sept ou huit …

 

C'est le type entre mes cuisses. Il poursuit:

- J'ai pas compté non plus, mais, à vue de nez, ça doit faire ça … sept … huit … neuf … qui l'ont baisé … mais aussi, il en a sucé plusieurs ….

 

Philippe:

- Bon … tu veux arrêter ? Tu veux faire une pause ?

 

Le type, derrière moi:

- Hé ! Attends ! Je me suis fait griller deux fois ! Alors, je le baise, et après il arrête … si il veut …

 

Autour de nous, quelques autres protestent. Philippe:

- Hé, les mecs, laissez-le un peu … On est là pour toute la journée … Vous le baiserez, mais patience !

 

S'adressant à moi:

- Tu en dis quoi ?

- Lui, là, derrière, il me prend … et après, j'arrête un peu …

- OK …

 

Philippe s'éloigne. Le type derrière moi me tapote une fesse et:

- Mets toi autrement … allonge toi sur le côté … comme ça … et replie cette jambe … voilà …

 

Etendu sur le flanc gauche, la cuisse droite repliée perpendiculairement à mon bassin, appuyé sur un coude, je découvre celui qui va me fourrer. C'est un grand type, brun, frisé, pas très beau, mais très mince et tout en muscles. J'aperçois sa queue, assez … intéressante, pas très grosse, mais longue, très courbée vers le haut, très raide, les veines saillantes, le gland pointu et très long également. Avant, je n'aimais pas trop ce genre de gland, mais sa forme en missile, profilée pour s'introduire, s'insinuer, se faufiler, m'évoque de voluptueuses explorations et de profondes pénétrations … Et puis, il faut dire que je suis revenu sur tout ce que je n'aimais pas, avant, en matière de sexe … Maintenant, tout et tout le monde me convient, du moment qu'un organe mâle peut s'introduire en moi …

 

A genoux, le grand type brun enfourche ma jambe gauche, et s'appuyant d'une main sur le matelas, il empoigne sa bite, il se penche, présente son gland à l'entrée de mon étui. Je sens la semence de ceux qui l'ont précédé s'écouler sur ma fesse. Visiblement, le cocktail de spermes qui sort de mon cul ne le dérange pas. Il introduit son gland, et me pénètre. Je me laisse retomber et je pose mes épaules sur le drap. Il appuie son autre main sur le matelas, et entame de lents va et vient en moi. La position n'est pas très confortable, le dos à plat et le bassin tordu d'un quart de tour vers la droite, mais c'est très agréable de se faire baiser comme ça. C'est le premier qui me baise face à face, les yeux dans les yeux. Il est au-dessus de moi, nos visages proches à se toucher … il me sourit:

- Tu aimes, comme ça ?

- Oui …

 

C'est vrai: j'aime comme il me prend. Je sens sa queue dans moi: si courbe, si raide et si longue qu'elle me bouscule les entrailles. Ses yeux plantés dans les miens, il épie mes réactions, cherche à déchiffrer les sensations que sa queue procure à mon anus … Il prend du plaisir à me saillir, mais il cherche visiblement à m'en donner aussi. L'exemple du gros a dû l'inspirer. Et du plaisir, il m'en donne. Il est en train de rallumer les braises que les deux qui l'ont précédé ont laissé s'étouffer … Son missile malaxe ma prostate et le plaisir commence à irradier de nouveau mon cul. Le souffle suspendu à ses va et vient, la bouche entrouverte, je lui manifeste, à travers mes yeux mi-clos, la jouissance qu'il me procure. Son regard et son sourire en disent long sur sa satisfaction. Je ferme les yeux, essayant d'imaginer le trajet de son long membre dans mon rectum, son gland effilé et pointu se frayant un passage dans mes chairs …

 

Soudain, quelque chose de chaud et d'humide se glisse entre mes lèvres ! Sous l'effet de la surprise, j'écarquille les yeux et je réprime un réflexe d'évitement. Son visage collé au mien, il vient de fourrer sa langue dans ma bouche entrouverte. Mais … ça aussi, c'est très agréable ! Alors, pour lui marquer mon assentiment, je le saisis fougueusement par la nuque, j'ouvre la bouche en grand et je lui fourre aussi ma langue. Nos deux langues s'enroulent littéralement l'une sur l'autre. C'est le premier mec qui m'embrasse comme ça ! Et c'est une révélation, parce que, si je connais le baiser … amoureux … y compris quand je faisais l'amour à ma femme, là, ça n'a rien à voir … ce baiser-ci est … sexuel ! C'est sans doute parce que c'est avec un mec que je suis en train de baiser … Mes deux mains toujours cramponnées à sa nuque, je referme les yeux et nous nous roulons longuement une pelle torride qui ne passe pas inaperçue auprès des voyeurs qui nous entourent. On s'esclaffe, on rit, on commente …

 

Tout à notre ardent baiser, il s'est enfoncé tout au fond de moi et il a suspendu ses coups de queue. Ça dure comme ça très longtemps, faisant monter encore mon excitation. A bout de souffle, il sort sa langue, éloigne son visage du mien, et reprend ses va et vient. Je rouvre les yeux. Il y plonge son regard. Ses yeux me disent « tu aimes ce que je te fais  ». Oui, j'aime ce que tu me fais, j'aime comme tu me baises. « moi aussi, j'aime te baiser, tu me plais, tu m'excites  » Ça me plaît de t'exciter, baise-moi encore.

 

C'est très troublant, parce que … oui, il me baise, mais il y a autre chose … il me fait ce que Philippe m'a promis: ce type me fait l'amour ! Et à cet instant, plus que jamais, je me sens femelle. Je referme les yeux, et, la tête en arrière, les mains toujours agrippées à sa nuque, je me mets à haleter au rythme de ses coups de reins. Je sens que sa saucisse courbe, en me pressant la prostate, en fait écouler un peu de sperme. Il sent, il sait qu'il me fait jouir et ça alimente sa propre excitation, son propre plaisir. Tout en me bourrant de coups de queue, il se met à me lécher et à m'embrasser le cou, le menton, les joues, les oreilles, il me mordille les lèvres … J'adore ça ! Cette douceur inattendue me fait fondre de plaisir … Et comme par un automatisme indépendant de ma volonté, mes mains descendent de sa nuque à ses omoplates, et je lui passe délicatement le bout de mes ongles sur le dos, sur les reins ... A ses halètements, à la soudaine lascivité de ses coups de reins, je sens qu'il réagit à ma caresse. Son excitation monte … monte … la mienne aussi … Je le saisis fermement par la taille et j'accompagne ses va et vient … Quand il s'enfonce en moi, je l'attire, je le presse contre mon cul … Viens … Enfonce toi … Encore plus profond … Je voudrais tout à la fois qu'il me baise comme ça pendant des heures, tant il sait me donner de plaisir, et j'attends aussi avec impatience qu'enfin, il jouisse en moi, qu'il me féconde … qu'il m'engrosse ! 

 

Soudain, un gémissement, comme un cri, résonne à mes oreilles. J'ouvre les yeux. Le grand type continue de me ramoner en haletant … Je réalise que c'est moi qui viens de gémir, presque de couiner  … Je crois que je suis au bord de l'orgasme. Lui aussi. Je le regarde. Yeux écarquillés, bouche grande ouverte, il feule comme un félin. Le regard planté dans le mien, il a compris que je vais jouir. Il accentue ses coups de bite. Je gémis … je gémis de plus en plus fort …

 

Et c'est l'explosion ! Dans mon cul, en plus de ses coups de boutoir, je perçois les violentes pulsations de sa bite qui m'injecte sa liqueur. Ses feulements se transforment en râles, puis en cris … Sa jouissance et l'idée qu'il est en train de répandre sa semence en moi, de me féconder, déclenchent mon propre orgasme… Je m'accroche à son cou et je colle mon visage à sa joue en jouissant … Sans avoir touché ma queue si peu que ce soit, j'éjacule sur le drap … Il a sans doute fini de jouir, mais il continue de me ramoner en douceur en reprenant son souffle.  Enfin, il s'arrête, sa bite plantée au fond de moi. Il décolle sa joue de la mienne et, de nouveau, sa langue cherche ma langue. Nous nous embrassons aussi longuement et fougueusement que la première fois, mais il y a quelque chose d'autre: cette fois, ce baiser n'est pas sexuel, il est tendre … amoureux … je me sens femelle comblée … comblée par son mâle …

 

Enfin, il s'écroule sur le dos à côté de moi, assouvi, repu … Sa queue, en sortant de moi, libère un flot de sperme qui se répand sur ma fesse … 

 

Aussitôt, une série de claquements retentit près de nous. Je me redresse. C'est un des voyeurs qui a commencé à applaudir, bientôt imité par un … puis deux … puis cinq … dix autres  … autour de nous … Tout à ce que me faisais le grand brun, j'avais oublié leur présence. Visiblement, ils ont apprécié le spectacle et admiré la performance de … mon amant …

 

Je me retourne, je lui fais étendre le bras et je m'allonge contre lui, la tête sur son épaule. Je pose la main sur sa bite qui commence à débander. Il me regarde, et sourit:

- Tu as pris ton pied ?

- Oui.

- J'ai senti … Alors, c'était bien ?

- Oui. On ne m'avait encore jamais baisé comme ça. 

Il rit. J'approche mes lèvres de son oreille et je lui chuchote:

- En fait, tu ne m'as pas baisé … tu m'as fait l'amour … On recommencera ?

- Ha ha ! Hé, attends … on vient de finir …

- Oui, mais une autre fois …

- On verra …

 

Certains des mecs qui m'ont baisé m'ont donné envie de recommencer, en particulier ceux qui ont une grosse bite comme Gabriel, Andrej, le black costaud de l'hôtel … et même le gros qui m'est passé dessus il y a un quart d'heure. Mais avec eux, j'ai envie de baise, de me faire défoncer, même si je sens que je pourrais devenir accro à une grosse queue comme celle de Gabriel. Avec celui qui vient de me faire jouir, c'est autre chose. Sa … tendresse, y compris pendant le coït, apporte quelque chose en plus. Avec un type qui fait l'amour comme ça, je me vois bien prendre des habitudes. Je me redresse et je m'agenouille près de son ventre. Je me penche et je lèche sa verge. La sève des mecs qui m'ont fécondé s'écoule de mon cul. Je remarque des grumeaux de semence au milieu des poils de son pubis et de ses couilles. Je le nettoie de la langue et je finis en prenant son gland dans la bouche. Il rit:

- Arrête !

 

Je n'insiste pas. Autour de nous, les voyeurs commencent à s'éloigner. C'est l'entracte. Il se lève, et me tend la main pour m'aider à me remettre sur mes pieds. Je rabats ma jupette sur mon cul et nous nous dirigeons vers la rangée de tables. Tout en marchant, il passe une main sous ma jupe, me presse une fesse puis me la claque … amicalement. Je sens, à chaque pas, la semence s'échapper de mon rectum et ruisseler le long de mes cuisses, jusque sur mes bas. Mes fesses, lubrifiées par cette mixture, glissent l'une sur l'autre. La semence que m'ont injectée les premiers qui m'ont baisé a coulé et déjà séché sur mes jambes et sur mes bas. Celles, plus récente, que j'avais gardées au fond de moi et celle, toute fraîche, du grand brun, forment une espèce de soupe tiède et gluante. J'ai l'impression, par instants, d'en sentir l'odeur, un peu acide, un peu suave, remonter jusqu'à mon nez … C'est l'odeur du sexe, l'odeur de la fornication, l'odeur des parties de cul ! En fait, je ne trouve pas ça dégoûtant … au contraire … Bien sûr, c'est le foutre, la jute de jouissance des types qui m'ont baisé, et je trouve excitant et gratifiant d'avoir été l'objet de leur désir et de leur excitation, d'avoir été l'origine de leur orgasme et le réceptacle de leur jus de mec … mais pour moi, c'est plus que ça … c'est la semence de fécondation, la liqueur séminale, le liquide reproducteur que ces mâles m'ont injectés dans le ventre, comme dans celui d'une femme … Je suis comme ces femelles animales, abeilles, papillons ou autres qui peuvent se faire féconder simultanément par plusieurs mâles …

 

Il y a là au moins une vingtaine de types, qui discutent par petits groupes, un verre ou une canette de bière à la main. A notre approche, les conversations s'interrompent, les regards se tournent vers nous. Dans leurs yeux, je devine des interrogations: « alors, c'était bien ? », « tu as pris ton pied ? »,  « ça te plaît, cette tournante ? », « pas trop fatiguée ? », « tu t'y remets quand ? » etc. Il y a toujours de la lubricité dans leurs regards et leurs sourires, mais mêlée à une sorte de respectueuse admiration … D'un coup d'œil, je passe en revue … mon "harem", mon "essaim", essayant de distinguer ceux qui m'ont déjà planté leur dard de ceux qui attendent encore …

 

Après les premiers instants de gêne, tous se sont décidés à se dénuder, y compris les plus timides ou les plus complexés, désinhibés par l'exemple des plus exhibitionnistes. Maintenant, presque tous sont soit complètement à poil, soit à moitié, et ceux qui le sont à moitié n'ont gardé que le haut. J'ai devant moi une superbe collection de bites … dont pas mal encore - ou déjà - en érection. Ce soir, je les aurai toutes eues dans mon cul et je leur aurai toutes fait cracher leur venin ! 

 

- Salut, on n'a pas été présentés …

Un type, seul, un peu à l'écart des autres, est en train de siroter une canette de bière à côté de moi. Légèrement plus petit que moi, mais massif, musclé, le crâne rasé et complètement à poil, il est tatoué de la tête aux pieds d'images de têtes de mort, de croix, d'ailes, d'écritures et de motifs gothiques ...

 

skulltribal Tatoo-01.png 

C'est quoi, un skin head, un amateur de hard rock ou de Metal ? Il se dégage de lui une impression de force, de puissance, et même de violence … vraiment pas le genre de type que j'ai envie de fréquenter ! Pas étonnant que personne ne discute avec lui ! En le détaillant un peu mieux, je remarque qu'il est totalement glabre, pas un poil sur le corps, et la peau luisante sous ses tatouages. Je ne peux m'empêcher de baisser le regard sur son bas ventre. Pubis et verge également imberbes. Belle queue … décalottée et tatouée jusqu'au ras du gland d'une sorte de motif à écailles ! Je ne comprends pas ce que ça représente. Il bande un peu, ou il est au repos ? S'il est au repos, c'est un sacré morceau ! Grosse paire de couilles également tatouées, et qui pendent, chacune dans sa bourse. Cuisses et mollets tatouées d'images de dragons et de serpents. Mon examen ne lui a pas échappé, et je sens à sa mimique, quand il me tend la main, qu'il est très fier de son corps. 

 

En effet, on n'a pas été présentés, mais je n'ai pas le temps de répondre à sa remarque: il pose sa canette sur la table à laquelle il est appuyé et, empoignant fermement ma main, il m'attire contre lui, ventre à ventre, comme l'autre à mon arrivée. Il passe son autre main sur mes reins pour m'empêcher de reculer. J'aime assez cette façon de faire et je n'ai pas l'intention de lui échapper. Comme il est un peu plus petit que moi et que sa queue est assez longue, je la sens qui pend contre mes cuisses. Mon orgasme, il n'y a pas cinq minutes, n'a éteint ni mes sensations, ni mes envies. Ce membre, tout chaud, contre moi … des images, des envies de fellation surgissent dans ma tête … Il me souffle son haleine de bière dans la figure:

- Je t'ai vue te faire baiser, tout à l'heure … T'es vraiment chaude, comme pute … Touche !

 

Mes yeux dans les siens, je glisse ma main entre nos deux ventres, et je touche. Sa queue, lisse, douce, chaude, me remplit la main ! Et je réalise que, jusqu'à ce que je le touche, s'il n'était pas totalement au repos, il ne bandait pas non plus complètement, parce que je sens sa verge grossir au contact de mes doigts. Je n'aime pas les tatoués, je n'aime surtout pas les skin heads, réputés pour la violence et le baston, mais curieusement, celui-ci … avec ce corps puissant … avec les messages que ses tatouages envoient … avec cette impression de brutalité qui émane de lui … et cette … cette grosse bite … cette lourde paire de couilles … je sens confusément naître en moi une fascination équivoque. J'ai déjà eu à faire à des mâles très costauds et bien montés, comme Gabriel, mon premier black, ou Andrej, mon routier slovaque, mais il n'émanait pas d'eux cette brutalité, cette violence latentes … S'il me baise, celui-ci va sûrement me bousculer … me secouer … me rudoyer … voire plus … et bizarrement, loin de m'inquiéter, ça éveille en moi un désir trouble … je me surprends même à espérer que, s'il me baise devant les autres, la présence de témoins ne le freinera pas …

 

- elle te plaît, hein ?

 

Sa question et la pression de sa main sur mes reins me ramènent à la réalité.  Je réalise qu'absorbé par mes pensées, yeux mi-clos, bouche entrouverte, j'étais en train de faire coulisser mécaniquement ma main sur sa queue. Une fois encore, mon corps a manifesté ce que je ressens. Et cette … cette brute … a senti, a deviné le pouvoir que son gros engin exerce sur moi. Un sourire triomphant sur les lèvres, il répète:

- elle te plaît, hein, ma bite …

 

Déstabilisé, je me contente de déglutir bruyamment. 

- Suce !

 

Il enlève sa main de mes reins et attend que je m'exécute. J'hésite un instant. J'ai intégré comme une évidence que je suis là pour céder sans discuter à toutes les envies des participants, quels qu'ils soient. Et j'ai aussi très envie de me mettre à  genoux à ses pieds pour le sucer … oui, j'ai une furieuse envie de sucer cette bite, de sentir sur ma langue cette peau tendue, glabre, tatouée, chaude, d'enfoncer son gland au fond de ma gorge, pour qu'ensuite il me prenne, là, tout de suite, brutalement sur cette table … Mais j'hésite parce que, avec Philippe, on a décidé que c'était le moment de faire une pause … et puis d'autres mecs qui attendaient leur tour près de ce matelas, ont dû se la mettre momentanément sur l'oreille … Si je le suce, ça va faire des histoires, susciter des jalousies …. J'ai toujours sa queue dans la main, mais maintenant, il bande vraiment. Alors c'est plus fort que moi, on verra bien. Je lâche un instant son sexe, le temps de m'accroupir à ses pieds. Aussitôt, comme mû par un ressort, sa bite se redresse à quarante-cinq degrés ! Impressionnant ! Je commence par détailler son tatouage. Il représente un serpent en train d'ingurgiter … la bite elle-même: la verge est déjà entièrement avalée et, de la gueule grande ouverte, distendue, ne dépasse plus que le gland, que le monstre s'apprête à engouffrer. Ce mec est circoncis, et, entre ses genoux et son nombril, son gland est la seule partie de son corps non tatouée. Il est turgescent, rouge, luisant, et sous le dessin des écailles du serpent, les veines de sa verge sont gonflées de sang. Il bande vraiment très fort. C'est moi qui lui fais cet effet-là ? Le dessin du reptile se poursuit sur son pubis et remonte, au milieu d'autres motifs, jusqu'à son nombril dont la bête semble sortir … C'est esthétiquement bien fait, mais génère une impression trouble: je me sens partagé entre l'envie de toucher, de caresser, et même de sucer ce gland ainsi que le monstre qui veut l'avaler, et une sorte de crainte diffuse et absurde que le reptile ne me plante ses crochets dans les lèvres ou dans la langue, et m'injecte son venin … Ses couilles pendent lourdement dans ses bourses, tatouées, quand à elles, d'un entrelacs de motifs noirs. Le mec s'impatiente:

- Suce !

 

Je bâille et je m'enfonce son engin au fond de la bouche. Hhhhhhmmmm, ce que c'est bon ! Celui-ci, j'ai bien envie de le faire jouir dans ma gorge après l'avoir longuement sucé. Après, s'il en est encore capable, ça me plairait qu'il m'enfonce son serpent dans le ventre … Absorbé par le spectacle de ce tatouage et par ce début de fellation, je n'ai pas remarqué qu'on s'est approché de nous. C'est la voix de Philippe qui me fait revenir à la réalité:

- Tu ne devais pas faire une pause ?

 

Je sors le serpent de ma bouche et je regarde autour de nous. Alors que cette brute, tout à l'heure, était laissée à l'écart, nous sommes maintenant entourés de monde, et certains râlent:

- J'étais là avant lui …

- Moi, j'ai laissé mon tour …

- Faudrait savoir … si c'est la pause pour nous, c'est la pause pour tout le monde …

 

Voilà … des histoires … je m'en doutais … Alors, je me redresse et, m'adressant au tatoué:

- Bon … c'est vrai, j'avais dit que je faisais une pause … On reprendra plus tard …

 

Il me saisit par l'épaule, et cherche à me forcer à retourner à sa queue;

- Non ! Tu me suces maintenant !

 

Autour de nous, plusieurs autres s'avancent, menaçants, sans doute moins pour défendre ma vertu que pour empêcher le tatoué de passer avant eux … Ça n'a pas l'air de l'impressionner. Il se campe sur ses pieds, les défie du regard, prêt à faire face, tout en continuant à m'appuyer sur l'épaule pour que je m'accroupisse à nouveau … Seul contre je ne sais pas combien, la bagarre ne semble pas lui faire peur. Putain, ces mecs sont à deux doigts de se foutre sur la gueule pour moi … pour mon cul …

 

Il est effectivement costaud et brutal, mais je résiste:

- Arrête, mec ! Je ne vais pas te sucer pendant que tu te cognes avec les autres … J'avais dit que je faisais une pause, et je la fais. T'inquiète pas, je te sucerai … un engin comme le tien … tu penses que je vais pas manquer ça …

 

J'y ai mis suffisamment de conviction, tout en continuant à lui tripoter la queue. Il me lâche à regret et se détend en continuant de défier les autres du regard. Je m'apprête à m'éloigner, mais il me retient par l'épaule. De son autre main, il me saisit la mâchoire, approche son visage du mien et, dents serrées:

- Ouais, tu vas me sucer ! Et après, quand je vais te baiser, je vais te faire crier, salope …

 

Je me colle à lui et j'empoigne son membre à deux mains. Il a légèrement débandé, mais ça reste un gros engin.

- J'ai hâte, mec … oui, je vais te sucer … jusque au bout ! Et j'ai hâte que tu me fasses crier … si tu peux encore

 

Je l'ai mis au défi. Dans ses yeux, je lis une espèce de fureur noire. Je pense que, quand il va me prendre, je vais dérouiller … Je le lâche, je me recule et je fais demi-tour. Philippe, qui attendait à quelques pas, me demande:

- Tu veux boire quelque chose ?

- Oui … déjà un grand verre d'eau … et après … tu as du vin ?

- Oui, j'ai.

 

Nous nous approchons de la table qui fait office de bar, et où s'agglutinent la plupart des participants. Ils s'écartent à mon arrivée, comme avec respect. C'est une sensation étrange. Je me sens comme la reine de la fête. Et c'est ce que je suis, d'une certaine manière. Philippe me sert. Les mecs me regardent, me sourient, mais pas un ne m'adresse la parole, comme s'ils n'osaient pas … Se faire sucer, me tringler… ça va, ils peuvent … mais entamer une discussion, non. Alors c'est moi qui attaque:

- Alors, les mâles, ça va ?

 

Acquiescement général et rires.

- Pas trop déçus par le travelo ?

- Tu veux rire ?

- Ouais, t'es bandant … ou … bandante … tu veux qu'on dise comment, bandant ou bandante ?

- Bandante, ça me va … salope aussi …

 

Rires.

- J'y croyais pas, moi, quand Philippe nous a dit que tu voulais … te faire … te faire baiser par plein de mecs, quoi … je croyais que c'était … que t'allais pas venir … Et pis t'es là … et tu le fais … chapeau … pour moi, chapeau !

- Ouais, et t'as un cul … putain, ton cul … on a vraiment envie de … d'aller dedans, quoi …

- Ah ouais, ton cul !

- Ouais, ouais, c'est ton cul, surtout … aller dedans et te le bouffer … moi, je vais te le bouffer, ton cul … avant de te niquer …

- Moi, c'est ton cul ET tes cuisses … et aussi comment t'es cambré …

 

Waouuuuuuh ! Ces mecs me font fondre. Alors, puisque c'est mon cul qui leur plaît à ce point, je recommence comme à mon arrivée, je lève légèrement les bras et j'entame un tour sur moi-même. Ou plutôt un demi-tour, et je m'arrête. J'écarte légèrement les jambes, je me penche, je lisse mes bas sur mes cuisses, je rajuste les attaches de mon porte-jarretelles et je remonte un peu ma jupe pour dévoiler le bas de mon cul. 

 

Concert de cris, de rires et d'applaudissements. Et comme il fallait s'y attendre, l'un d'eux vient me mettre ses deux mains aux fesses. Je le laisse me les peloter un moment, puis je m'abandonne doucement en arrière et je me retrouve collé à lui. Je passe mes mains derrière moi, j'écarte les siennes de mes fesses et, à tâtons, je cherche son sexe. Un peu mou ! Et je sens ses poils dans ma main. Qu'importe, je le redresse et je le glisse, à la verticale, dans ma raie… Il a posé ses mains sur ma taille. Je les prends, je les attire vers mon ventre, et j'entame une ondulation lascive du bassin, sorte lambada lente et langoureuse. Il accompagne le mouvement, se balançant de droite à gauche … et collés comme ça l'un à l'autre, nous tournons lentement sur nous mêmes. Les autres rient. Une fois revenu à ma position de départ, j'écarte ses mains de mon ventre et je le repousse délicatement. Il se laisse faire. C'est un type un petit peu plus petit que moi, cheveux blonds, courts, en brosse, pas musclé, mais pas gras non plus. En regagnant le groupe, du doigt, il montre aux autres l'état de son bas-ventre … Il n'est plus mou, il bande ! Queue très ordinaire … dans la moyenne. Evidemment, tout le monde se marre … L'un deux m'interroge:

- Philippe nous a dit que tu t'étais déjà fait baiser par huit mecs en même temps… c'est vrai ?

- Oui, oui, c'est vrai …

- Raconte …

- Je vous raconterai tout à l'heure … mais, justement, là, ce matin, j'ai pas compté … Il y en a combien qui m'ont baisé ? 

 

Ils se regardent, les uns les autres, attendant que la réponse vienne de je ne sais qui … J'insiste:

- Qui m'a baisé, ce matin ? 

 

Comme des mômes, deux d'entre eux lèvent la main, un autre fait comme eux, puis un autre, un autre encore … six … sept … huit …. neuf … J'en reconnais certains, Philippe, le gros, le grand brun qui m'a fait l'amour, le petit blond, etc …  je découvre les autres, ceux qui m'ont pris sans que je les voie. Il y a notamment le type à la cinquantaine que j'ai salué le premier, en arrivant ce matin …

Un  dixième lève la main:

- moi, tu m'as sucé … mais je t'ai pas encore … je t'ai pas encore baisé …

- Ah oui, et tu as joui quand je t'ai sucé …

- Oui, oui … direct … dans la gorge …

- Oui, moi aussi, tu m'as sucé, mais j'ai pas joui …

- Moi pareil …

- Pas joui non plus …

- C'est tout ? Personne d'autre ?

- Si, moi ! Moi aussi, je t'ai enculé … mais j'ai pas joui … je garde ça pour tout à l'heure …

- Moi aussi, tu m'as sucé …

 

Le comptable …

 

- Bon, alors ça fait une dizaine qui m'ont enculé … et cinq ou six que j'ai sucés … même si ils n'ont pas tous joui …

- Cinq ou six … au moins … parce que, quand t'es arrivé, je crois que t'as sucé tout le monde … plus ou moins …

- Bon, les autres … c'est pour tout à l'heure … enfin, ceux qui m'ont déjà … pris, vous pourrez revenir, évidemment … allez, maintenant,  je vais aller me laver le cul … après, on mange ? Quelle heure est-il ? 

 

Philippe:

- Un peu plus de onze heures …  mais le traiteur n'est pas encore venu …

- Ah bon ? Onze heures ?

 

Mentalement, je calcule: je suis arrivé à la ferme, il était … un peu plus de neuf heures et demie … là, il est un peu plus de onze heures … ça fait une heure et demie que je suis là … et je me suis déjà fait enculer par dix mecs ! Ça fait un mec toutes les dix minutes, en gros … et sans compter les pipes que j'ai taillées avant et pendant …

 

Je récupère au passage mon sac sur une table et je me dirige vers la maison de Jean-Claude, les fesses toujours lubrifiées par des écoulements de spermes. Il y a maintenant huit voitures garées devant la maison et l'ancienne écurie. Parmi elles, une grosse moto customisée hard rock. Ça doit être celle de la brute tatouée. Tout à fait le genre. Je croise le maître des lieux dans l'embrasure de la porte.

- Jean-Claude, je peux disposer de ta salle de bain ?

- Bien sûr … C'est à l'étage … Je l'ai nettoyée à fond et j'ai préparé tout ce qu'il faut, serviettes, gel douche, champooing … Je te montre ?

- Si tu veux …

 

Plein d'attentions, le Jean-Claude … Pendant que je le suis dans l'escalier, il s'inquiète:

- Alors, t'es content ? Ils te baisent bien, tous ces mecs ? Tu as ce que tu voulais ?

- Oui, j'en reviens pas … tous ces mecs … qui bandent pour moi …

- T'as pas peur qu'ils te foutent je sais pas quoi … une saloperie … le sida … ou autre chose …

- On verra, je prends le risque … c'est trop bon, comme ça … tout ce … tout ce foutre , tout ce sperme …

 

Nous voilà dans sa salle de bain.

- Tu me baiseras aussi, hein, Jean-Claude …

- Arrête ! Je vais te regarder te faire euuuh … et après, je déciderai … Allez, à plus tard … on m'appelle …

 

En effet, quelqu'un l'appelle au rez-de-chaussée… La salle de bain est un peu vieillotte, mais il y a tout ce qu'il faut: lavabo, baignoire avec douche … un chiotte … et même un bidet ! Ça tombe bien, j'en ai besoin. Je me déshabille et je m'installe. Hhmmmm, l'eau tiède sur ma fleur … un régal ! J'ai quand même la rondelle un peu … pas vraiment endolorie, mais sensible. Le jet d'eau dans mon rectum … hhhmmmm ! Entre mes cuisses, je vois comme des grumeaux de sperme s'écouler au fond du bidet. J'ai bien fait de me mettre au régime hier et ce matin. Pas de traces suspectes, mon cul est encore tout propre, à part évidemment ce que mes mâles m'ont déversé dedans ce matin … Je m'introduis la douchette du bidet dans le cul et j'ouvre le mitigeur en grand. Je sens l'eau sous pression me remonter dans le ventre et ressortir en jet puissant. Je ferme le robinet et je laisse l'eau s'écouler pendant un moment.

 

Quand je me relève du bidet, la porte s'ouvre et le beur apparaît, toujours aussi beau, toujours aussi doré et appétissant dans sa chemise blanche.

- Désolé, c'est occupé.

- Je sais …

- Ah bon … et alors ?

- Alors, je viens te baiser …

- Ah ?

- Oui … tourne-toi …

 

De toute évidence, il a dû me voir aller vers la maison, et il m'a suivi pour soulager une urgence. Bon, c'est pas grave … qu'il se soulage. Il est déjà contre moi. Si je ne me trompe pas, il veux me prendre debout, sans doute contre le lavabo, ou contre le mur …

- Je voulais prendre une douche, avant … 

- T'étais sur le bidet … t'es propre …

- J'ai encore du sperme plein les cuisses …

- Bon, vas-y, prends ta douche …

- Comment tu t'appelles ?

- Moi ? Hamid.

- Hamid … tu es d'où, Hamid ?

- Je suis d'ici … je suis français … comme toi …

- Oui, français, mais arabe aussi … non ?

- Oui, arabe aussi …

- Arabe de quelle origine ?

- Maroc.

- Tu es beau, Hamid … tu as une belle queue … tu es mon premier arabe … je vais te sucer …

- Non, moi je veux t'enculer. 

 

Je passe mes doigts sur sa belle queue, épaisse et toute dorée, et je monte dans la baignoire. Quand je me penche pour ouvrir le mitigeur, il me glisse une main dans la raie, m'effleure la rondelle … Aussitôt, ça me réveille le fourreau ! J'écarte un peu les jambes.

- Vas-y, lave-toi ! T'occupe pas de moi …

 

Je me mouille pendant qu'il continue de me peloter les fesses. Je m'enduis de gel douche et je me frotte. Il m'étale la mousse sur le cul et me caresse … sa main s'égare de nouveau vers mon tunnel … un doigt me pénètre délicatement … un deuxième … à ses mouvements saccadés, je sens que son excitation monte … il respire plus bruyamment … je règle le pommeau de la douche sur la position jet puissant et je l'approche de mon cul. Il doit deviner ce que je veux faire parce qu'il sort ses doigts, saisit le pommeau et l'applique contre ma rondelle. Le jet d'eau tiède me pénètre … Je me penche en avant et, empoignant mes fesses, je les écarte. Il maintient le pommeau sans bouger. Il a deviné une partie de ce que je veux, mais pas tout … Je saisis son poignet et je pousse pour qu'il m'enfonce l'objet dans le cul. Il a comme un réflexe pour résister et m'en empêcher, puis il se ravise et se laisse guider. Il respire de plus en plus bruyamment. Le pommeau force un peu et, brusquement, il me rentre dans le cul. Heureusement, il n'est pas énorme …

 

pommeau de douche 016 002 0001

 

Je m'en suis déjà enfilé de plus gros. Je lâche son poignet et, un bras appuyé sur le mur qui est face à moi, j'y pose mon front. Instinctivement, Hamid trouve comment se servir du pommeau: il s'assoit sur le bord de la baignoire, glisse son autre main sur mon ventre, comme pour me retenir, et amorce un délicat va et vient de l'objet dans mon cul. L'eau gicle, fuse, éclabousse en ressortant. Hamid est tout contre moi, la tête à hauteur des mes reins. Je lui caresse la nuque et je le sens qui penche sa tête vers moi et commence à frotter doucement sa joue sur ma hanche … puis subitement, il se relève, et actionnant toujours le pommeau de douche dans mon cul, il se met à m'embrasser fébrilement les fesses et à me les pétrir de sa main libre tout en répétant en boucle je ne sais quoi, probablement en arabe … Et brusquement, il s'écarte, lâche le pommeau et:

- enlève ça de ton cul … descend de la baignoire, je vais t'enculer!

 

Je ferme le mitigeur, j'extrais le pommeau de mon cul et je laisse l'eau finir de s'écouler le long de mes jambes. Quand je me retourne, je vois qu'il bande très fort. Sa queue est relevée à l'horizontale … 

- Tu disais quoi, Hamid, tout à l'heure ? C'était de l'arabe ?

- T'occupes, descends … viens là !

- Qu'est-ce que tu disais, Hamid ? Dis-le moi, ou tu m'encules pas !

 

Il me dévisage, cherche à savoir si je dis ça sérieusement, hésite, puis répète sa phrase en arabe, et:

- ça veut dire « ton cul me rend fou » … voilà, t'es content ?

 

Je descends de la baignoire et, saisissant sa queue:

- tu m'encules comment, à quatre pattes, debout, sur le dos ?

- viens là !

 

Il me prend par le bras et me pousse devant le lavabo. Je m'y appuie des deux mains, je me cambre et j'écarte les jambes. Je l'observe dans le miroir. Mon propre reflet le masque en partie et je ne vois de lui que sa tête et ses épaules. Il s'approche, baisse la tête … il doit regarder mon cul … ou sa queue … ou les deux … et il doit empoigner sa bite pour la présenter à l'entrée de mon fourreau … En effet, je sens son gland contre mon anus … il l'enfonce …. Hhhmmmmmm, Hamiiiiid ! Je me cambre autant que je peux. Maintenant que son gland est bel et bien calé en moi, il se redresse, pose ses mains sur mes hanches et découvre mon regard dans le miroir.

- Me regardes pas ! Ferme les yeux !

- Non ! 

- Ferme les yeux !

- Non, je veux te voir jouir ….

 

Il n'insiste pas, s'enfonce au fond de moi et commence à aller et venir lentement.  Hhmmmmmm, Hamiiiiid, ce que c'est bon !  Pourquoi il me fait cet effet, Hamid ? Parce qu'il est arabe ? Non, je m'en fous. Parce qu'il est beau ? Oui, pour ça … et parce qu'il a une très belle bite …. et plutôt grosse … et parce qu'il est en train de m'enculer … et parce qu'il va jouir de mon cul … et éjaculer dans mon cul … et me féconder, lui aussi…

- Hhhhhhmmmm, c'est bon, Hamid !

- …

- j'aime que tu me baises …

- …

- tu avais déjà enculé quelqu'un ?

- …

- Une femme ?

- Non.

- Un mec, alors …

- Non. J'ai jamais enculé personne … Tu es le premier …

- Tu es mon premier arabe et je suis ton premier cul …

- Voilà … tais-toi

- Ça me plaît … tu me baises bien, Hamid …

- Tais-toi !

 

Mes ablutions ont un peu calmé les sensations de mon anus, mais je sens chaque millimètre de son membre coulisser dans mon anneau, et mentalement, je visualise son gland, son gland un peu trop petit, qui se fraye un chemin dans la tiédeur de mon rectum. Je baisse les yeux et comme je ne suis pas collé contre le lavabo je vois, entre mes jambes, celles de Hamid, depuis ses pieds jusqu'à mi-cuisses. Je les vois osciller au rythme de sa sodomie. J'applique mes mains sur le mur, à hauteur de ma tête, de part et d'autre du miroir, et je me cambre encore un peu plus. Dans le miroir, je ne vois plus de Hamid que les cheveux noirs et brillants du dessus de son crâne. Comme beaucoup de mecs, il doit aimer regarder sa queue qui entre et sort d'un cul ou d'une chatte. Je l'entends aspirer l'air bruyamment par la bouche à chaque pénétration et le souffler quand il ressort …

- T'es là ?

 

La porte de la salle de bain s'ouvre et:

- Ah oui, t'es là … et t'es encore en train de te faire baiser ?

 

Hamid suspend son va et vient, se redresse et se tourne légèrement, sa bite toujours dans mon cul. Moi, calé contre le lavabo et immobilisé par mon marocain, je ne peux pas voir qui vient d'entrer comme ça … et le nouveau venu ne se trouve pas dans le champ du miroir.

- Héééé ! Je l'ai trouvé ! Il est là … dans la salle d'eau ! Il se fait enculer !

 

Le type a crié, sans doute à l'attention d'un autre, resté au rez-de-chaussée. Hamid, à l'intention de l'intrus:

- Non, sors, laisse-nous …

- Pourquoi ? On t'empêche pas … Vas-y, continue …

 

On entend des pas approcher, je sens une présence entrer dans la pièce. L'intrus:

- Matez, les mecs, il est encore en train de se faire bourrer …

 

« … les mecs … ». Ils sont donc au moins deux. Hamid:

- Soyez sympas, les mecs, laissez-nous …

- Non, non, non … on regarde, seulement, ça te gêne ?

- Vous faites chier …

 

J'interviens:

- Continue, s'il te plaît … laisse-les regarder comment tu me baises …

 

Et à l'intention des autres:

- Vous laissez-le … j'aime trop comment il me baise … regardez et fermez vos gueules …

 

Hamid reprend. D'un coup d'œil sur le côté, je vois que les trois intrus se sont assis sur le bord de la baignoire et regardent. Je sens que mon marocain a besoin d'aide. Pas besoin de chercher … je passe une main entre mes cuisses et je lui effleure les couilles. Il réagit instantanément en aspirant l'air plus goulûment. Ses mains se crispent sur mes hanches. J'accentue ma pression sur ses boules. Il commence à gémir. Je glisse mes doigts autour de sa verge, tout contre mon anus, pour le sentir entrer et sortir, et je serre légèrement. C'est très excitant de sentir sa queue entrer et sortir, à la fois avec mon anneau et avec mes doigts … Je commence à haleter, halètement qui se transforme rapidement en un sourd gémissement … Ça l'achève. Il plaque son torse contre mon dos, loge son menton au creux de mes omoplates et, soufflant bruyamment entre ses dents, il jouit  en donnant de violents à-coups du bassin. Je sens presque immédiatement quelque chose de tiède couler sur ma cuisse … Pourquoi "quelque chose"? Du sperme, évidemment …

 

Il s'immobilise quelques secondes en reprenant son souffle, et se retire … 

- Bravo ! Non, rien à dire … bon baiseur …

 

Je me retourne. Celui qui vient de commenter, c'est le type blond avec qui j'ai fait cette rapide… lambada tout à l'heure, et qui l'a finie la queue raide. Les deux autres, c'est le type un peu mou que j'ai salué dès mon arrivée, et un que je ne reconnais pas, brun, mince, visage ingrat. Le blond en brosse se lève, et je redécouvre sa queue qui pendait jusque là entre ses cuisses. Oui, assez quelconque … et poilue. Il s'approche de moi, me prend par le coude et me pousse à son tour vers le lavabo:

- Remets-toi là … ça a l'air bien, comme ça …

 

Tu parles d'une pause pour souffler ! J'ai eu tout juste le temps de me vider et de me laver le cul ! Mais bon, ce n'est quand même pas fatigant, ce qu'ils me font … Et puis, je suis là pour ça … Je me remets en position, mains collées au mur, reins cambrés. Il me tapote l'intérieur des cuisses et:

- écarte !

 

J'écarte. Il commence en me plaquant ses mains sur les fesses, et il me les pétrit. Immédiatement excité, il commente, entre ses dents serrées:

- Ooooooh, putaiiiin, quel cul !

 

Tout en me pétrissant les miches d'une main, de l'autre, il m'explore la raie, me passe un doigt sur la rondelle … Je jette un coup d'œil sur le côté. Ses deux compères se sont rapprochés de nous, toujours assis au bord de la baignoire, comme attendant sagement leur tour. Hamid est en train de se laver la bite avec le pommeau de douche. L'autre, derrière moi:

- Il a dû en rentrer des queues, dans ton cul de salope …

- …

- hein, salope, il a dû en voir passer de la bite, ton cul …

- Ça ne fais pas longtemps que je m'y suis mis …

- Ah bon ?

- Non, ça fait seulement… six mois … 

- Non ! Tu déconnes ?

- Non, non … mais c'est vrai, en six mois, il en passé pas mal dans mon cul, des bites … je rattrape le temps perdu …

- T'avais déjà fait des partouzes comme ça ? T'as parlé de huit mecs tout à l'heure …

- Aujourd'hui, c'est pas une partouze … c'est une tournante … ou un gang bang …

- Ouais, si tu veux. Alors ?

- Organisée comme ça, et avec autant de mecs, c'est la première fois …

- Et tu te fais aussi niquer par des rebeux …

 

Je jette un coup d'œil derrière moi. Hamid n'est plus là. Tant mieux, au ton que ce mec a employé, je sens que ça aurait pu déraper.

- Alors ? T'es aussi de la barbaque à rebeux ? 

- Bon, arrête …

 

Il arrête de me tripoter et je sens qu'il positionne sa bite à l'entrée de mon trou. Et il me pénètre.

- Hein … tu te fais même tringler par des bougnoules … t'aimes ça, le jus de bougnoule ?

- Je te signale que j'en ai plein mon cul, du jus de bougnoule, comme tu dis …

- Je m'en fous !

- Et puis, c'était mon premier rebeu … et il baise bien … de toute façon, je me fais tringler par tout ce qui a une bite et des couilles entre les cuisses … blacks, blancs beurs ...

 

Il va et vient brutalement en moi … J'ai l'impression que ça l'excite, que je me fasse baiser par un rebeu ..

- Puisque tu veux savoir, les huit mecs dont j'ai parlé tout à l'heure, c'était des blacks … huit d'un coup ! 

- Alors, c'est vrai … Ah, putain, quelle salope ! Raconte …

- Ils m'ont surpris, dans un hôtel … j'étais habillée comme ce matin, justement … ils se sont pointés dans ma chambre, ils m'ont attaché, et ils me sont tous passés dessus …

- Tous les huit ? Ils t'ont violé, alors, ces enculés …

- Non, d'abord six … oui, ceux-là m'ont violé …. au début, du moins … après … après, j'ai aimé ça … et je leur ai demandé d'aller en chercher d'autres …

- Oh non ! T'es vraiment qu'une grosse pute … Ils ont vraiment des grosses bites, les blacks ?

- Pas tous, mais il y en avait un … oui ... quel engin !

 

Je sens que mes histoires de cul l'excitent. Au bruit et au rythme de son souffle, je devine qu'il me ramone mâchoires serrées. Il accélère son mouvement, et commence à émettre de sourds grognements haaooonn … haaooonn … haaooonn … haaooonn … haaooonn … Et ça va très vite: il jouit  en continuant de me ramoner et, dans un même élan, il s'extrait de mon cul et me lâche …

- Il est à vous, les mecs …Aaahh, putain, quel cul !

 

Je ne bouge pas, au cas où les deux autres voudraient me prendre dans la même position … Du sperme s'écoule sur ma cuisse en faisant des bruits de bulles … Les deux types n'ont pas l'air de bouger, mais je les entends qui conciliabulent à voix basses. Je me tourne vers eux:

- Alors ?

 

Ils se lèvent. Le type mou:

- Tu veux pas te laver le cul ?

- Oui, si tu veux …

 

L'autre, au visage ingrat:

- Et, tu remettrais pas … ta jupette et tes bas ?

- C'est plein de sperme … mais j'ai d'autre tenues dans mon sac, là, dans le coin …

 

J'enfourche de nouveau le bidet et pendant qu'ils fouillent mon sac, je me rentre de nouveau la douchette dans le cul. Quand j'ai terminé, je me retourne. Le blond en brosse est parti et les deux autres sont debout derrière moi. Le mou a mon porte-jarretelles brun et rose avec les bas assortis à la main:

- On voudrait que tu mettes ça …

- Très bien, c'est mon préféré … avec quoi d'autre ?

- C'est tout … que ça …

- OK, donne.

 

Je mets le porte-jarretelles, puis je m'assieds au bord de la baignoire pour enfiler les bas. Je me relève et tout en les attachant au porte-jarretelles, je jette un coup d'œil à mes deux mecs. Ils me regardent, les yeux exorbités.

- Alors, vous voulez quoi, au juste ?

 

Instant de silence. Le mou:

- On a pensé … si tu veux … moi je te … je … je t'encule … et lui … lui, tu le suces …

- En même temps, vous voulez dire … 

- Oui, oui, en même temps … si tu veux …

- Ça me va … je fais tout ce que vous voulez …

- Bon, alors, euuuhhh …

 

Je sens qu'avec ces deux-là, il faut que je prenne les choses en main. Je chope par la main le mec au visage ingrat et je le fais asseoir au bord du bidet. Je déplace le tapis de la baignoire jusqu'au bidet, et je m'agenouille dessus. Ce type a l'air paniqué, il me regarde m'avancer vers lui … genoux serrés, mains sur les cuisses, et il tremble ! Sa bite a disparu, coincée entre ses cuisses. Je ne vois qu'une touffe de poils sur son pubis. Je suis obligé de lui écarter les genoux ... presque de force ! Il se laisse faire. Il ne bande pas. Petite bite. Je caresse l'intérieur de ses cuisses. Il me regarde, les yeux perdus, comme s'il avait peur que je le morde. Je pose mes lèvres, aussi à l'intérieur de sa cuisse gauche et je commence à le lécher… Je m'attendais à ce que l'autre, le mou, vienne tout de suite me sodomiser, mais non. Je me redresse, je regarde derrière moi … Il est debout, à trois pas de moi, et lui, il bande ! Et il se masturbe !

- Viens plutôt me la mettre, au lieu de te branler …

- …

- Allez, viens !

 

Ça y est, il se décide. Je reviens à l'autre, sur le bidet. Je sens le mou s'installer à genoux derrière moi, sur le tapis. Je passe ma langue sur les cuisses de son compère, depuis les genoux jusqu'à l'entrejambe. Aucune réaction de sa bite. Derrière moi, le mou a posé les mains sur mes fesses et, alors que je m'attendais à ce qu'il loge sa queue dans mon cul, c'est sa langue, toute chaude et mouillée qui se pose sur ma fleur. 

- Hhhhmmmm, ouiii ! C'est bon, ça … bouffe-moi …

 

Je m'appuie d'une main sur la cuisse de l'autre et, de mon autre main, j'écarte ma fesse pour que le mou puisse bien me fourrer sa tronche dans la raie. Sa langue me pénètre et remue dans mon œillet. Je me cambre. Oh oui, fouille-moi, avec ta langue ! Il empoigne fermement mes fesses et c'est lui qui me les écarte. Oooh, que c'est bon, de se faire ouvrir comme ça … Tout excité, je reviens aux cuisses de l'autre. Cette fois, sa queue a grossi un tout petit peu. Je la prends dans la bouche. C'est une sensation terrible, d'avoir une bite au repos dans la bouche. Une petite bite, qui plus est. C'est un petit Jésus attendrissant, tout doux, tout chaud, vivant. Du bout de la langue, je joue avec son prépuce et je titille son méat. Tout de même, je commence à la sentir grossir. Tout en le suçant, je lui caresse le ventre, les abdominaux, la poitrine. Toujours tremblant, il a quand même l'air d'apprécier … Ça y est, il bande … il bande un peu mollement, mais il bande ..

 

Derrière moi, le mou a fini de me lubrifier avec sa langue, il se redresse et, sans hésitation, il me fourre son engin dans le cul, pose ses mains à plat sur mes reins et me donne des coups de boutoir boum … boum … boum …boum … d'une manière un peu … mécanique. Si les préliminaires avec sa langue étaient très agréables, ça manque maintenant d'un peu de passion. Ces deux-là semblent manquer d'expérience … Mais, bon, quels mecs ont l'habitude de prendre un trav à deux, chacun par un bout, au cours d'une tournante ? Cela dit, la situation me plaît bien: un mec devant, un mec derrière, une queue dans le cul, une queue dans la bouche … ça me va. 

 

Ça y est, justement, dans ma bouche, il bande. Je presse mes lèvres sur sa verge pour le décalotter. Ça résiste, l'ouverture de son prépuce est trop étroite, et je sens que je lui fais mal. Alors je m'efforce de le mouiller autant que je peux, puis je presse son gland entre mes lèvres pour en évacuer un peu de sang et son bout, maintenant légèrement resserré, peu enfin s'extraire de son étui, et il s'épanouit sur ma langue. Il se détend, appuie ses deux mains derrière lui, sur les bords du bidet et, la tête un peu penchée sur le côté, la bouche entrouverte, il me regarde le sucer. Le sors son sexe de ma bouche et je m'attaque à ses couilles. D'abord en les léchant, puis en les prenant, l'une après l'autre dans la bouche. Je les fais rouler dans leur bourse, entre ma langue et mon palais. Ça semble lui faire beaucoup d'effet: sa queue est de plus en plus raide et je vois ses abdominaux et son bas ventre se contracter. Maintenant la bouche grande ouverte et la tête rejetée en arrière, il se met à gémir. Je m'empresse de le reprendre en bouche. Et je fais bien: aussitôt, sa queue est prise d'un spasme et un jet de sperme s'étale sur ma langue . C'est toujours le même plaisir, la même excitation, de recevoir la semence d'un mec dans bouche ... instinctivement, je me mets à gémir à mon tour ! Je le masturbe tout en le suçant. Un autre spasme … un troisième … un quatrième … un cinquième … chacun accompagné d'un jet de crème un peu acide, un peu salée …

 

L'autre, le mou, dans mon cul, a compris ce qui se passe. Il réalise que son compère est en train de jouir et que je gémis parce qu'il m'inonde la gorge. Et ça l'excite:

- Oh putain ! Oooh Puutaiiiin !

 

Bloqué, la queue à demi enfoncée en moi, je sens qu'à son tour, il jouit , immobile:

- Ooh putain … putain … putain … putain …

 

Sur le bidet, la bite du mec a littéralement fondu dans ma bouche. Elle n'est plus qu'un tout petit peu gonflée. Il se redresse et essaie de repousser ma tête. Je résiste, j'entoure ses reins de mes bras et je garde sa nouille molle dans la bouche. J'adore cette tiédeur et cette consistance un peu flasque sur ma langue. Il renonce à me repousser, hésite un instant, puis se met à me caresser le dos. Je fais rouler sa petite bite sur ma langue encore deux ou trois fois, et je la libère. 

 

Le mou a fini de jouir. Il n'a pas bougé, laissant seulement sa queue ramollie sortir toute seule de mon cul … Je me redresse, je regarde "petite bite au visage ingrat" devant moi et je commence à rire:

- Ça va ? C'était bien ?

- Ah … Aah oui !

- Moi aussi … ça m'a beaucoup plu …

- Ah bon ?

- Et toi, derrière ?

- Vachement bien !

 

Je m'assois sur le tapis, entre les genoux de "petite bite":

- Bon, tant mieux … Merci, les mecs …

 

Le mou

- Ben non … c'est nous … on te remercie …

- Si vous voulez, mais moi, j'aime ce que vous me faites … tous autant que vous êtes …

 

"Petite bite":

- mais … euuh … moi j'ai … j'ai une petite … ma bite, elle est pas … elle est quand même très petite … et vous …

- j'ai aimé la sucer comme une grosse … ce que j'aime, c'est faire jouir un mec … lui donner du plaisir et lui faire cracher son jus … ça m'excite … ça me … je peux pas t'expliquer mieux …

- Ah bon …

 

Je le sens ragaillardi.

- Bon, les mecs, il va falloir que je retourne avec les autres, mais avant, je vais me laver le cul.

- Oui, oui …

 

J'enfourche le bidet pour la troisième fois et je recommence mes ablutions pendant que les deux, l'un après l'autre, se rincent la bite dans la douche. Pendant que je me sèche, je me demande si je change ou non de tenue. Non, ça devrait aller comme ça. Je ne vais même pas remettre de jupe. Je rajuste mon porte-jarretelles et je retends mes bas … impeccables, cette séance ne les a ni salis ni froissés. Un coup d'œil dans le miroir … pas mal … j'attrape au passage un corsage bariolé dans mon sac et, précédé de mes deux baiseurs, je redescends l'escalier en enfilant mon petit haut …

 

à suivre ...

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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