Je poursuis la comparaison de mes pratiques sexuelles avec celles des filles.

Cette fois, il s'agit de l'utilisation des carottes. Pas de leur utilisation dans la recette du bœuf bourguignon ou dans celles des carottes râpées. Non, il s'agit de leur utilisation pour se donner du plaisir ...

Chez les filles et les femmes, c'est un grand classique, les carottes utilisées pour se goder. Mais, comme je l'ai expliqué dans un précédent article de cette série, l'envie de me fourrer des choses dans le cul ne m'est pas venue en découvrant cette pratique chez les filles. Non, ça m'est venu parce que, après avoir découvert le plaisir anal, j'ai eu envie de tester de cette manière tout ce qui, de près ou de loin, avait une forme, une longueur et un calibre susceptibles de me procurer ce genre de jouissance. Alors, forcément, la carotte s'est imposée d'elle-même.

Ce n'est qu'ensuite que j'ai découvert que cette pratique était très répandue ches les filles. Et pour ça, elles ont un avantage sur moi ... elles peuvent choisir de se ramoner la chatte ou le cul. 

 

Aujourd'hui, j'inaugure une nouvelle rubrique que j'intitulerai "Comme les filles".

Oui, je me suis beaucoup livré à des activités sexuelles en solo simplement en m'abandonnant à mes pulsions, à mes envies de goûter à des pratiques quelque peu hors normes. Pour mon seul plaisir, au départ. Je me filmais et je me prenais en photos également pour mon seul usage, pour mon seul plaisir, jouissant en quelque sorte une deuxième fois en me contemplant sur l'écran de mon ordinateur en train de m'adonner à mes vices.

A l'époque, de mon point de vue, il s'agissait de pratiques hors normes, comme le plaisir de m'introduire dans le cul tout ce qui me tombait sous la main … ou comme celui de porter de la lingerie féminine … ou encore de m'exhiber nu ou en tenue "hot" ici ou là et en prenant de plus en plus de risques au fil du temps  …

Et puis, passant pas mal de temps à naviguer sur des sites spécialisés pour visionner des vidéos pornographiques, j'ai fini par réaliser que ces pratiques, que je croyais hors normes, étaient en fait assez largement répandues. Chez les hommes, pour ce qui est des introductions anales, du fétichisme pour la lingerie féminine, du travestissement ou de l'exhibitionnisme ... M'apercevoir qu'en fait je faisais ce que d'autres hommes font, c'était très bien, mais ça n'avait rien de très original ou excitant ... 

En revanche, découvrir que certaines de mes pratiques sexuelles étaient assez répandues chez les filles, alors ça, ça m'a beaucoup plu ! 

J'ai adoré parce que, d'une certaine manière, c'est plutôt à elles que j'avais envie de ressembler, de m'assimiler en faisant ...

... comme les filles !

En ce qui concerne mon goût pour les introductiona anles, c'est simple, les mêmes causes produisant les mêmes effets chez moi que chez les filles, me trouver en présence d'un objet d'une certaine forme, d'un certain calibre et d'une certaine longueur, comme par exemple un épi de maïs, suscite en moi les mêmes envies que cela suscite chez les filles ... me l'introduire dans un orifice !

Hhhhmmmm, c'est tellement bon de fourrer en soi un gros truc comme ça, de le sentir aller et venir comme un sexe monstrueux, de se sentir remplie ... les filles et moi, on adore ça !

Mais voilà, si les filles peuvent se l'enfiler aussi bien dans la chatte que dans le cul, moi, je ne dispose que d'un orifice ... mon cul. Oh évidemment, c'est déjà très bien, que ce soit directement dans le champ, l'épi encore sur la plante, ou à la maison, avec ou sans les feuilles (sans les feuilles, tout de même, c'est vraiment très agréable de sentir les douces aspérités que forment les grains qui glissent dans mon anus) ... mais ça doit être un vrai bonheur de pouvoir se fourrer à la fois la chatte et le cul ... et pour ça, je les envie, les filles, je les jalouse ...