Mardi 9 juin 2015 2 09 /06 /Juin /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Ce que je ressens ? C'est au-delà de tout ce que j'ai vécu jusqu'à présent … Si j'ai aimé que les blacks de l'hôtel me forcent et me violent, et si ce jour-là, j'ai même redemandé de la bite, cette fois, c'est différent … cette fois, c'est moi qui l'ai voulu … cette fois, c'est moi qui me suis offert à ces types … cette fois, c'est moi qui veux qu'ils usent de moi à leur guise … ici, aujourd'hui, quiconque me veut peut me prendre … comme il veut, où il veut … et surtout, cette fois, ça ne se passe pas dans la discrétion, dans le secret d'une chambre d'hôtel … non, cette fois, ça se passe au grand jour, en plein air et en public … cette fois, ça se passe  sous le regard d'autres mâles en rut, dont je sais qu'à leur tour, ils vont s'accoupler avec moi et m'inséminer …

 

Sur un autre plan, j'éprouve quelque chose d'assez contradictoire et excitant. Je me soumets, je m'abandonne docilement aux envies, aux caprices sexuels de ces types… et en même temps, de mon point de vue, c'est eux qui sont à ma disposition. On n'est pas dans une partouze géante où tout le monde baise avec tout le monde … Non, ces mecs sont venus pour moi … exclusivement pour moi ! Je me sens comme le "maître" d'un harem inversé. Inversé, parce que les "sujets" de ce harem sont des mâles … mais inversé aussi parce que la fonction de ce harem est que leur "maître" donne du plaisir à ses "sujets" … inversé, parce que ce sont ses "sujets" qui disposent de leur "maître" à leur guise … Ma seule exigence, c'est qu'ils me baisent ... qu'ils me baisent tous et qu'ils jouissent tous de moi … qu'ils jouissent tous EN moi …


Tête rejetée en arrière, yeux mi-clos, bouche entrouverte, je jouis autant du plaisir physique de ce coït que de celui, cérébral, de me donner en spectacle en totale impudeur … Dans les yeux des trois voyeurs les plus proches, je lis à la fois l'étonnement, la fascination et comme une froide détermination à la limite de la violence …  Leurs regards me disent « salope … tu aimes ça, la bite … tu vas en avoir, de la bite… moi aussi, je vais te bourrer … »

 

A quatre pattes sur ce matelas, je suis en train de me faire prendre en levrette par le petit blond plutôt bien monté. C'est une vraie volupté de me faire saillir comme ça, au soleil au milieu de la pelouse, en totale indécence sous le regard d'autres types qui attendent en se branlant de me passer dessus à leur tour. La fièvre, la frénésie, la fureur à peine contenue que je lis dans les yeux de certains m'annoncent les déchaînements sexuels à venir. Si je jouis de notre accouplement actuel, ce qui m'attend après m'excite. Pas de tiédeur, pas de douceur … ils veulent me bourrer, me défoncer, me troncher, ils ont envie de m'en foutre une bonne pétée dans le cul ! Alors qu'est-ce qu'ils attendent ? Pourquoi ils ne se mettent pas à plusieurs sur moi ?


Instantané 1 (26-04-2015 14-29) 

 

Comme s'il avait lu dans mes pensées, l'un d'entre eux se déchausse, s'approche, pantalon ouvert, la queue raide à la main, place ses genoux de part et d'autre de mes mains, et appuie ses fesses sur ses talons … il est si près qu'en baissant un peu la tête, je pourrais toucher sa poitrine avec mon front. Sous mes yeux, un tatouage en forme de paire d'ailes déployées décore son pubis, juste au-dessus de sa queue. Confirmant ce que j'ai deviné, il remarque:

- Tu aimes ça, la bite, hein, salope …

 

Il ne demande pas, il constate. Pour toute réponse, je ferme les yeux et je passe doucement ma langue sur mes lèvres …

- Hé, mec ! Ça te gêne s'il me suce pendant que tu le niques ?

- Non, vas-y !

- Allez, toi, suce ! 

 

Oh ! ça aussi, j'aime ! Il ne me demande pas à moi si je veux bien le sucer … non, il demande la permission à l'autre, celui qui est en train de … de me niquer, comme il dit ! Et celui qui est en train de me niquer ne me demande pas non plus mon avis ! Ils ont tout compris: je suis là à leur disposition, je suis là pour qu'ils me fourrent leurs queues, alors ils me fourrent leurs queues, point barre .

 

J'ouvre les yeux et le tatoué tend son ventre, à me toucher, et me présente son membre. Sa bite est longue, pas très grosse, mais longue et déjà décalottée. Je la prends dans la main et je commence à le masturber. Il se laisse faire un moment, puis:

- Suce, je t'ai dit ! Je te l'ai dit, tout à l'heure, au téléphone, dans la voiture de Philippe: « on va te fourrer par les deux bouts » ...

 

Ah, c'était lui ! Oui, fourrez-moi par les deux bouts ... deux bites en moi ! Je me penche et je prends son sexe entre mes lèvres. Je titille son méat du bout de la langue. Sans doute déjà très excité, il réagit instantanément par une violente et courte inspiration entre ses dents serrées:

- hhhhhhh !

 

Je ne l'ai pas encore sucé, et il est déjà au bord de l'orgasme ! Il pince fermement la base de son sexe pour freiner sa réaction et retarder l'éjaculation. 

- Attends un peu …

 

Je presse le haut de sa verge entre mes lèvres, juste à la base du gland, attendant qu'il me dise de continuer. Je reste comme ça, sans bouger. Je sens qu'il suffirait que je remue un tout petit peu la langue pour qu'il se déverse dans ma bouche … Mais je préfère profiter de cet instant d'immobilité pour savourer ce que j'ai entre la langue et le palais.  Sur ma langue, je sens nettement les deux petites bosses du dessous de son gland, lisses, douces, chaudes, et, entre elles, le frein de son prépuce, tendu comme une corde de violon. Contre mon palais, je sens aussi le dessus de son gland, et je visualise mentalement l'embouchure de son urètre par où va se déverser sa crème, toute chaude et grouillante de millions de spermatozoïdes, dans ma bouche.

- Vas-y, recommence … mais doucement … 

 

Je desserre les lèvres et j'enfonce lentement son long pieu dans ma bouche. Je sens sa verge glisser sur ma langue et son gland frotter mon palais … jusqu'au fond de ma gorge. Je réalise que l'autre, derrière, a arrêté de me secouer: planté au fond de moi, immobile, il doit observer ce qui se passe devant … Je ressors lentement la bite de ma bouche, jusqu'à n'avoir plus que son gland entre mes lèvres … et je repars dans l'autre sens, un peu plus rapidement … peu à peu, j'accentue mon rythme. Derrière moi, le petit blond reprend son va et vient … et calque son tempo sur le mien. Quelle sensation, de se sentir pris aux deux bouts par ces mecs qui me pénètrent et ressortent en cadence ! Après quelques allers et retours synchronisés, le tatoué prend ma tête entre ses mains, m'immobilise et commence à balancer son bassin d'avant en arrière. Ce n'est plus moi qui le suce, c'est lui qui me baise la bouche … peu à peu, il se resynchronise avec le petit blond: tous deux me pénètrent en même temps et ressortent leurs bites en même temps ! Ça leur plaît et ça les fait marrer ! 

 

Et ça ne fait pas marrer que ces deux là ! Autour de nous, j'entends d'autres types s'esclaffer … et l'un d'eux rameute le reste de la troupe:

- Hé ! Venez voir comment ils sont en train de le bourrer … Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop !

 

J'entends, je devine que d'autres mecs arrivent et se regroupent autour de nous … du coin de l'œil, je vois des pieds s'assembler sur le pourtour du matelas … beaucoup de pieds … Peu à peu, d'autres voix se mêlent à la première, et marquent le rythme:

- Yeaah ! Yeaah ! Yeaah ! Yeaah ! Yeaah ! Yeaah !

 

Soudain, le tatoué pose ses mains sur ma nuque, m'enfonce sa queue lentement jusqu'au fond de la gorge. Je sens son gland repousser ma luette et commencer à appuyer sur mon amygdale. Je m'attends à avoir un haut le cœur … mais non, j'ai seulement un réflexe de déglutition ... Une pensée me traverse l'esprit: s'il jouit là, dans ma gorge, je risque de ne pas pouvoir réprimer une envie de vomir … mais aussitôt, une série de sensations fait passer cette crainte au second plan: au fond de ma gorge, je sens parfaitement la chaleur de son gland … et son gland … frémit … il va éjaculer ! Son gland palpite littéralement ! Brusquement, toute sa queue est secouée d'un spasme … il jouit ! Ses doigts se crispent sur ma nuque et, sur ma langue, je sens son urètre gonfler au passage du sperme … Une vague chaude m'inonde la gorge … s'écoule directement dans mon œsophage   …

- Oooooooooooohh ! Puuuuutaiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnnn !

 

Je n'ai pas vomi ! Je réalise que le blondinet derrière moi s'est aussi immobilisé, sans doute pour laisser le tatoué jouir tranquillement… je réalise qu'un silence relatif s'est fait autour de nous: mes deux baiseurs se sont immobilisés, et les spectateurs ne marquent plus le rythme, ils commentent à voix basses et rient …

 

Lentement, le tatoué sort sa queue de ma bouche. Je la presse entre mes lèvres pour finir de la vider, mais rien … ou si peu … je suis frustré … Il lâche ma tête, se recule, se relève avec un grand Ouaaaaaaaaahhhhh ! Un des spectateurs s'informe:

- Tu lui as juté dans la gueule ?

- Ouais … direct dans la gorge !

 

Le blondinet reprend son va et vient. Un coup d'œil autour de nous, me confirme que d'autres types sont arrivés, qui n'étaient pas là tout à l'heure. Ils sont maintenant plus d'une quinzaine … peut-être vingt … Oh putain ! Tous ces mecs vont me baiser ! L'autre continue de me besogner un peu mécaniquement … Je remarque que la plupart de ceux qui étaient là à mon arrivée se sont mis à l'aise: ils ont enlevé leur pantalon, leur bermuda et leur caleçon quand ils en portaient un … certains n'ont gardé que leurs chaussures, et ils sont là, la bite à l'air … la plupart se tripotent en nous matant et en discutant. Les nouveaux venus, eux, ne sont pas encore tous dans l'ambiance et hésitent à se dévêtir … l'un d'eux se renseigne:

- C'est … lui … enfin … c'est elle, qu'on baise ?

- Ça se voit, non ?

- Ça a déjà commencé, on dirait …

- Ben oui … on était tous chauds, ce matin … et lui aussi …

- Tu l'as baisé, toi ?

- Moi non, pas encore, mais plusieurs, déjà …

- Ah bon ? Combien ?

- Je sais pas … quatre, cinq … peut-être plus …

- Tu déconnes …

- Non, non, depuis qu'il est arrivé, ça n'arrête pas … les uns derrière les autres …

- Et … il y a un tour de rôle ? C'est organisé comment ? Faut prendre un ticket ?

- Non, pas de tour de rôle, pas de ticket … c'est le premier qui se pointe qui se le fait …

- Et on peut le … il avait pas de capote, lui, pour se faire sucer …

- Non, il avait pas de capote … il lui a joui dans la gorge … tout à l'heure, il a dit qu'il voulait pas de capote …

- Qui ? Celui qui vient de se faire sucer ?

- Nan, l'autre, la salope … elle veut pas de capote … elle veut se faire baiser comme ça …. Elle veut même pas qu'on se retire quand on jouit …

 

Le nouvel arrivé est un mec très brun, la trentaine, type méditerranéen, barbe de plusieurs jours. Il ôte ses chaussures, monte sur le matelas et s'accroupit à côté de moi:

- Tu … salut …

 

Il me tend la main. Je la lui serre, un peu par réflexe … Il est tout près de moi, en équilibre sur le bout des pieds, cuisses écartées, et son pantalon, tendu, forme une grosse poche au niveau de sa braguette. C'est trop tentant. J'avance la main et je lui palpe l'entrejambe. C'est bien plein. Il se laisse faire, sourit … Il reprend:

- Oui … euh … tu suces et tu te fais baiser sans capote ?

- Tu veux que je te suce ? Installe toi …

 

Je continue de lui peloter le paquet à travers la toile de son pantalon. Je voudrais bien qu'il me la sorte, sa queue …

- Non, tout de suite, j'ai plutôt envie de te sodomiser … Je vois que Monsieur a l'air d'y prendre beaucoup de plaisir …

 

En effet, le blondinet, inlassablement, me ramone, à peine dérangé par cette intrusion … Je réalise que ça fait un bon moment qu'il me fourrage. Il a de l'endurance, le petit blond … 

- Bon, alors, il faut attendre qu'il ait fini et prendre ton tour.

- Ah oui ! Excuse-moi … 

 

Il se relève. Presque aussitôt, le blondinet, se met à pousser des râles au rythme de ses coups de bite:

- haaa ! haaa ! haaa ! haaa ! haaa ! haaa ! haa haa haa haa haa haaaaaaaaaaaaaaaa !

 

Je sens sa queue tressauter en moi. Il s'immobilise quelques secondes, sort de mon cul et se relève. Je suis plutôt content qu'il ait pris son plaisir en me baisant, mais il n'y a pas à dire, comme il a joui dans une capote, je suis un peu frustré  …

 

Le cul toujours en l'air, j'attends qu'un autre prenne sa place … J'entends, lancé à la cantonade:

- Je peux y aller ?


Instantané 1 (26-04-2015 14-58) 

 

Ça ne s'adresse pas à moi. Quelques murmures approbateurs. Alors, une main se pose sur ma hanche droite et me pousse fermement pour me faire basculer sur le côté. Je me laisse tomber et je m'appuie sur un coude. C'est le type brun. Il se dresse au-dessus de moi en souriant. Maintenant, je peux le détailler à mon aise. C'est le genre "beau mec", très mâle, chemise blanche et pantalon noir impeccables, l'image de l'homme à femmes… Physiquement, c'est l'archétype du mec viril, le genre qu'on imagine bien faire de la pub pour un parfum masculin. Il doit plaire aux femmes. Etonnant qu'il vienne se taper un mec, même travesti en pute … Il déboutonne sa chemise et découvre un torse et des abdominaux très poilus:

- Alors ... il faut que je mette une capote ?

 

Il garde sa chemise, et ouvre son pantalon sur un ventre et un pubis également très velus, puis dévoile un bas ventre couvert d'une touffe épaisse et noire … une queue de belle taille en dépasse, conforme à l'impression que j'avais eue en la palpant à travers son pantalon … elle aussi très poilue. Je n'ai jamais eu affaire à une bite aussi poilue … sauf Jean-Claude, peut-être … mais Jean-Claude, je n'ai pas encore pu la toucher, sa queue …

 

Il ôte ses chaussures, et remarque que je regarde sa bite.

- Elle te plaît ? 

 

Il n'attend pas de réponse. 

- Bon, alors, capote ou pas capote ?

- Pas de capote.

 

Il finit d'enlever son pantalon, s'agenouille derrière moi, se penche et me caresse la taille, la hanche, la cuisse. Il commence à bander.

- T'es pas mal foutu, pour un travelo …

- Merci …

 

Je pose ma main sur son torse. Je n'ai jamais été attiré par les mecs velus, mais à vrai dire, c'est le premier que je touche … et sa toison épaisse, sous mes doigts … il émane de lui quelque chose de … d'animal … une espèce de force virile … LE mâle … un mot, une image s'imposent à moi: un ours … il n'est pas massif, plutôt fin, mais avec cette toison, et la force virile qui émane de lui ... c'est une espèce d'ours … je descends ma main sur son ventre, je le caresse … sa bite se dresse … je la saisis et je la caresse …

- Je vais te prendre en cuillère … tu connais ?

- Oui, je connais …

- Tu aimes ?

- On ne me l'a jamais fait … ce sera une première … tu es aussi mon premier mec aussi … velu …

- Tu aimes ?

 

Il s'allonge derrière moi, aussi sur le côté.

- Jusque là, ça ne m'attirait pas … mais finalement … c'est bien …

- Plie un peu tes jambes … tourne-toi plus sur le côté … voilà, comme ça … 

 

Il y a toujours autant de spectateurs autour de nous. L'ours guide sa bite entre mes fesses et pose son gland contre mon anneau:

- Tu as … tu as le cul plein de sperme …

- Oui. Ça te gêne ?

- Non, c'est pas ça … je … je m'attendais pas …

- Ceux qui m'ont baisé avant le blond n'avaient pas mis de capote …

- Ah, OK !

- Tu veux attendre que je me lave ?

- Non, ça va … j'ai déjà fait ça avec une copine … on l'avait baisée à trois …

 

Ça ne le gêne effectivement pas, parce que, pendant ce court échange, il a continué à introduire son gland dans mon cul. Il pose sa main sur mon ventre et me pénètre en douceur. Je sens la toison de son pubis contre mes fesses. Il bouge son bassin imperceptiblement d'avant en arrière et latéralement, comme s'il cherchait son chemin avec sa bite au milieu de mes chairs, comme s'il cherchait à enfoncer son pieu en moi aussi profondément que possible. Nous voilà complètement emboîtés  … 

- Tu es large, dis donc … c'est rentré tout seul …

- Oui … longue pratique de dilatation … et ce matin, je me suis déjà fait prendre plusieurs fois … et toi, tu as déjà baisé des mecs ?

- Ça m'est arrivé … il y a longtemps … je préfère les femmes , maintenant …

- Pourquoi t'es venu, alors ?

- Je n'ai pas trouvé de fille disponible aujourd'hui … et disons que j'ai des gros besoins … il faut que je tire un coup tous les jours … minimum … alors .. l'occasion …

 

« Un coup tous les jours ... minimum » ? Fichtre ! Il passe sa main sous mon T-shirt, me caresse le torse et entame doucement un va et vient en moi. Peu à peu, il accélère et amplifie son mouvement … Mais, contrairement aux levrettes debout ou à quatre pattes, j'ai l'impression qu'il ne va pas aussi profond qu'il le pourrait. Son ventre bute contre mes fesses avant que sa queue soit en moi jusqu'à la garde. Je dois dire qu'en plus, dans cette position, je n'arrive pas à me cambrer comme il faudrait. Lui aussi doit sentir le problème, parce qu'au bout d'un moment, il se redresse sur un coude, passe sa main droite sous mon genou et le soulève pour me maintenir avec les cuisses bien écartées et un peu plus sur le dos … Ah oui, comme ça, il arrive à bien plaquer son pubis entre mes fesses, et il enfonce sa queue tout au fond de moi … Beaucoup plus agréable … La cuillère, c'est sans doute très bien quand on fait l'amour … pas quand on baise !

 

Mmmhhhh, il y a un  autre côté excitant à se faire sauter dans cette position: ventre offert, cuisses largement ouvertes, c'est une posture particulièrement impudique, et les spectateurs qui nous entourent ont une vue directe sur notre coït. D'ailleurs, il y a du monde pour mater, et quelques types, qui étaient un peu derrière nous, ne voyaient sans doute pas assez bien, et se déplacent pour mieux profiter du spectacle … Le plaisir cérébral de cette exhibition indécente s'ajoute à celui, sensuel, de cette sodomie … je bande un peu et ma queue ballotte sur ma cuisse au rythme de ses coups de reins. Un frisson de volupté me parcourt le bas ventre. Je regarde tous ces types assemblés qui contemplent notre copulation… Oui, les mecs, regardez comme il me fourre, cet ours … Ça, c'est un mâle ! Quel bonheur, tous ces yeux qui nous regardent forniquer ! Je passe ma main derrière sa nuque. Oh, ce que tu me baises bien, toi !

 

Et voilà qu'un des spectateurs – un de ceux qui a encore son pantalon - sort un smartphone de sa poche, se penche et braque son appareil vers nous … ou plutôt vers nos bassins, vers nos bas ventres … il veut photographier ou filmer notre coït ! Le geste suspendu, le sourcil relevé, il me dévisage d'un air interrogatif, comme pour me demander « je peux ? ». En une fraction de seconde, je saisis la situation et ses conséquences éventuelles: si ce type nous filme – me filme -, je risque de ne pas avoir la maîtrise de sa vidéo, je ne pourrais pas recadrer les images ou flouter ma tronche, comme je le fais avec les vidéos que je mets sur mon blog ... et cette scène, dans laquelle je suis en train de me faire tringler à visage découvert, pourrait être visionnée par un tas de gens, et même se retrouver sur le Net ! Puisqu'il demande l'autorisation, il suffirait que je lui dise non pour qu'il arrête … Un frisson d'adrénaline me parcourt de la nuque jusqu'aux pieds … pas un frisson d'appréhension, non, un frisson de plaisir … mêlé de … oui, mêlé de fierté ! Ce que je suis en train de faire, ce qu'on est en train de me faire, c'est … c'est quand même … exceptionnel ! Je suis le travelo, je suis la salope qui se fait fourrer à la chaîne par … par un gang bang géant ! Tous ces mecs sont ici pour me baiser, moi ! Il ne doit pas y avoir tellement de travs ou de gays qui se font passer dessus à la chaîne par autant de types ! L'idée qu'une vidéo circule dans le milieu des gays, des voyeurs, des travs et autres branleurs … ça me plaît ! 

 

Alors, je hoche la tête à l'intention du vidéaste: Oui, vas-y, filme ! Fais un gros plan sur cette queue qui va et vient dans mon cul ! Et pour lui marquer davantage mon assentiment, j'écarte les cuisses au maximum et je me cambre … Tu vois bien, comme ça ? Oui, zoome ! Appuyé sur mon coude gauche, cramponné de la main droite au cou de l'ours, j'oscille lascivement du bassin pour accompagner ses pénétrations. Regarde comme j'aime ça, de me faire enculer ! Filme-le bien, le mâle velu qui me baise, qu'on voie bien comme il est viril ! Je descends sur les reins de mon ours la main qui lui caressait la nuque et je le presse lascivement contre moi. 

 

Le vidéaste recule pour faire un plan plus large. Cette fois, pas de doute, nous sommes dans son cadre de la tête aux pieds … c'est sûr, on verra ma tronche sur sa vidéo … il se redresse et fait un panoramique sur les quinze ou vingt types qui nous entourent et assistent au spectacle, certains à poil, et presque tous la bite en main … Très bien ! Comme ça, on verra, en plus, que les types qui assistent au spectacle en se branlant, attendent bel et bien pour me baiser à leur tour… Dans des flashes, j'imagine cette vidéo visionnée par des dizaines … des centaines de types, se paluchant en imaginant participer, eux aussi à cette tournante … 

 

Cette scène a donné une idée à un autre vidéaste qui exhibe aussi un smartphone. Je ne sais pas d'où il le sort, parce que celui-ci n'a sur lui qu'un T-shirt et des tennis. La trentaine, une allure de … comptable, je l'avais remarqué, en train de se branler en nous matant. Il se débarrasse de ses chaussures, monte sur le matelas, se penche sur nous et, comme le premier, braque son appareil sur notre copulation. Lui ne me demande pas la permission. Il fait des photos, ou une vidéo ? Je ne tarde pas à le deviner à la façon dont il manipule son smartphone: il filme. Puis, il fait un traveling sur nous … enfin, sur moi, depuis mon bas ventre jusqu'à ma tête, il s'agenouille devant moi, à me toucher, et il relève le T-shirt qui lui couvre le ventre. Il est vraiment très excité par le spectacle ! Une bite pas très grosse, mais raide, verticale, aux veines gonflées, saillantes, au gland décalotté, gonflé, luisant et rouge, se dresse devant mes yeux. Il tend son ventre et me présente sa bite à sucer. Maintenant, bras tendu, il nous filme lui et moi … ou plutôt sa queue et moi … C'est un selfie en vidéo !

- Suce-moi, salope !

 

Il a parlé fort, sans doute pour être sûr que sa voix soit captée par son smartphone. Je me doute de ce qu'il veut: il veut une vidéo d'un seul plan-séquence, où on me voit à la fois me faire baiser par un mec, et le sucer, lui … Ça aussi, ça me plaît: qu'on voie sur cette vidéo que, non seulement je me fais enculer, mais qu'en même temps, je suce … C'est bien, mec , j'aime les types qui ont de l'imagination. Je fixe l'objectif de son smartphone un instant, puis je descends la tête vers sa queue, et je la prends dans la bouche. Il pousse une espèce de sèche exclamation. L'effet de ma bouche sur sa bite ? Ou bien  la surprise et la satisfaction que je me prête à sa mise en scène ? Sans doute un peu des deux. Il est tellement excité que je n'ai pas besoin de le sucer longtemps: il explose presque aussitôt dans ma bouche en poussant de petits gémissements. Tout son corps est secoué de spasmes, au point que je me demande s'il arrive à garder son smartphone braqué sur nous. Toi, mec, tu ne vas pas me remplir directement l'estomac. Je le laisse se répandre jusqu'au bout dans ma bouche, sans avaler. Tant qu'à faire, je vais lui en donner pour son envie. Quand les soubresauts de sa bite se calment, je le pompe encore deux ou trois fois avant de recracher son sexe et, sa semence sur la langue, je me tourne de nouveau vers son objectif et j'ouvre la bouche. Hé, mec, filme ça: ton foutre sur ma langue. Et regarde, je l'avale … Je crois qu'il n'en attendait pas tant. Hilare, il ne peut retenir un:

- Oh ! La vache !

 

Il se relève précipitamment, manipule fébrilement son appareil, sans doute pour visualiser ce qu'il vient de filmer.

- Tu me montreras ?

- Hein ?

- Ta vidéo … tu me la montreras ?

- Hein … ah, oui …

 

Ce qu'il voit doit lui plaire, parce que, tout souriant, il répète:

- Oh ! La vache !

 

Je n'y avais pas pris garde, mais pendant que je taillais cette pipe, l'ours, derrière moi, avait laissé retomber ma jambe qu'il soulevait jusque là, et avait continué de me ramoner tout en douceur, pour me laisser sucer le … le "comptable" (je ne sais pas s'il est comptable, mais c'est ce que son physique m'évoque). Il commente:

- T'es une sacrée salope …

 

Il soulève de nouveau ma jambe droite, m'écarte largement les cuisses, et:

- Hé, mec ! Tu veux pas filmer ça, aussi ?

 

Il s'est adressé au "comptable" qui lève les yeux de son smartphone.

- Comment ?

- Filme donc ça, aussi …

 

Joignant le geste à la parole, il lui montre du doigt sa bite qui entre et sort de mon cul.

- Ah bon ? OK, OK …

- De près … fais un gros plan …

 

Le "comptable" se penche de nouveau sur nous. Le premier vidéaste, pressentant quelque chose d'intéressant, s'approche aussi et braque son appareil. L'ours accentue ses coups de reins. Je l'entends aspirer et souffler l'air entre ses mâchoires serrées. Me voir tailler une turlute à l'autre a dû finir de l'exciter, et il semble au bord de l'éjaculation. Je me cambre autant que je peux. J'aimerais beaucoup voir sa queue me fourrager … pas de chance, c'est moi le plus mal placé pour ça … je ne peux pas tout avoir ! Mais les deux autres, smartphones en main, en train de nous filmer en gros plan … c'est vraiment très excitant. L'ours ne souffle plus, il grogne … Ses coups de boutoir sont de plus en plus saccadés, comme incontrôlés … ce n'est plus lui qui pilote, c'est sa bite ! Et d'un coup, il jouit ! Je sens son membre qui tressaute dans mon cul. Il commence à éjaculer en moi  … et brutalement, il sort sa queue, maintient son gland juste contre ma rondelle, et je sens une, puis deux giclées tièdes qui inondent mon périnée et coulent sur ma fesse … et aussitôt, il refourre sa bite dans mon cul, et il finit de jouir là, collé à moi, son bras serré autour de mon torse …

- Hhhhhhoooooooooooonnnnnnnnn ! Hon ! Hon ! Hon ! Hon !

 

Il laisse retomber ma jambe. Immobile dans mon cul, il me caresse le ventre, la queue, et demande:

- Tu as joui ?

- Non …

- C'est quoi, ça ?

 

Effectivement, j'ai la queue raide, le gland trempé … et le ventre un peu mouillé … mais je n'ai pas joui. Ça doit être surtout du fluide d'excitation … et sa queue, en malaxant ma prostate, a dû en faire sortir un peu de sperme …

- Ça, c'est du sperme que ta queue a fait couler en pressant ma prostate …

- OK …

- Enlève ta main … sinon, je vais vraiment jouir …

 

Il extrait un peu sa queue de mon cul:

- Maintenant, tu en as vraiment plein le cul, du sperme …

- Oui … c'est bien ... j'aime ça …

 

Il sort complètement, se lève et me donne une petite claque sur la fesse. Il récupère pantalon et chaussures et demande en s'éloignant:

- Quelqu'un a une serviette ?

 

Un groupe s'est formé autour de mes deux vidéastes pour visionner ce qu'ils ont filmé. On m'en oublie presque. Toujours à demi couché sur le côté, appuyé sur un coude, j'écarte de nouveau mes cuisses, et je glisse ma main vers mon cul. Il a raison, l'ours: j'en ai plein les fesses, plein la raie, plein le périnée, un peu sur les cuisses, et il s'en écoule de mon cul sur le drap du matelas avec des bruits de bulles. Le premier vidéaste repère mon manège et braque aussitôt son appareil sur mon entrejambe. Je me fourre trois doigts dans le tunnel, et j'en ressors une bonne dose de sperme que je m'étale sur la fesse, le périnée et les couilles … 

- Tiens, mec … si tu veux t'éponger …

 

L'ours me tend le rouleau de papier absorbant de Jean-Claude.  Après s'être essuyé, a enfilé et remonté sans le boutonner son pantalon qu'il retient d'une main. Je me mets à genoux au bord du matelas:

- Viens … approche …

 

Il sourit, contourne les vidéastes et se plante devant moi. Je le débarrasse du rouleau de papier, je pose une main sur son ventre velu et je sors son membre et ses couilles de son pantalon. Sa queue est encore un peu gonflée. Je la dresse à la verticale, je pose mes lèvres sur son urètre et je l'embrasse de bas en haut puis de haut en bas, en finissant par ses couilles:

- Toi, mec, c'est quand tu veux … Dès que tu as besoin de tirer un coup… et pas de fille sous la main … tu m'appelles …

 

Il rit, pose sa main libre sur ma tête:

- OK, pas de problème …

 

Je le libère à regret et, toujours à genoux au bord du matelas, je demande à la cantonade:

- Bon, quelqu'un d'autre ?

- Salut.

 

C'est Jean-Claude qui apparaît au milieu des voyeurs.

- Ah, salut, Jean-Claude … ça va ?

 

A l'intention des autres:

- C'est Jean-Claude … c'est lui qui nous accueille ici …

 

Deux ou trois types qui s'apprêtaient à me rejoindre sur le matelas, marquent un temps d'arrêt, comme pour laisser la priorité au maître des lieux. Il s'approche, me tend la main: 

- Ça va … Je vois que tu as commencé à te … à te faire … euh ...

- Oui … tu veux ?

 

Je sais bien que la présence de témoins l'inhibe, et qu'il faudrait que me voir baisé par d'autres types l'excite pour qu'il se décide. 

- Non, non …

 

Il fait mine de s'en aller. Je le retiens.

- Attends … reste … si tu ne veux pas, regarde, au moins …

- Ouais, ouais, t'inquiète, je vais regarder … tout à l'heure … plus tard …

 

Je lâche sa main et il fait demi-tour. Aussitôt, voyant qu'ils ont le champ libre, les trois mecs s'avancent. Les deux premiers se plantent devant moi, au bord du matelas. L'un, au type arabe, n'a gardé que sa chemise, ouverte sur un torse musclé. Le deuxième, plutôt beauf, gros et gras, n'a gardé que son T-shirt. Ils me présentent leurs queues à sucer. Le troisième larron, que je n'ai pas eu le temps de détailler, est passé derrière moi, s'est agenouillé et me pelote les fesses. Le rebeu est plutôt bien monté lui aussi, une belle bite dorée, épaisse et circoncise, mais avec un gland un peu trop petit à mon goût. La queue de l'autre est d'aspect plus quelconque, blanche, poilue mais vraiment massive … Toujours agenouillé au bord du matelas, je commence à les masturber tous les deux, puis je donne des coups de langue sur leurs glands, alternativement, tout en les branlant. Je sens le troisième type, derrière moi, s'aventurer entre mes cuisses. J'écarte mes genoux sur le matelas pour faciliter son exploration. Il n'y a pas photo, c'est la bite du rebeu qui me plaît le plus, alors, tout en continuant à branler l'autre, c'est lui que je prends en premier entre mes lèvres. Aussitôt, derrière moi:

- Putain ! T'as le cul plein de foutre ! C'est dégueu …


Instantané 2 (26-04-2015 14-29) 

 

Le type derrière moi vient de me fourrer deux doigts dans le cul et de les ressortir précipitamment. Je sors la bite de l'arabe de ma bouche:

- Ben oui, mec … t'as pas vu que je me suis déjà fait baiser plusieurs fois ?

- Ah non, je viens d'arriver … Mais, tu te … tu te laves pas, entre deux coups ?

- Non, là, je ne me suis pas lavé … et en fait, là … il y a le foutre de plusieurs mecs …

- Ah ben, moi, je peux pas … mettre mes doigts ou ma bite dans le foutre des autres … non, non, ça, je peux pas …

- Comme tu veux. Je me laverai, si tu peux pas comme ça …

 

Il se relève et s'éloigne en secouant ses doigts. Ça fait rire le gros, devant moi, qui secoue sa bedaine:

- Moi, j'te baise comme ça, j'm'en fous …

- Vous voulez me baiser tous les deux ?

 

M'adressant au rebeu:

- Je te suce pendant qu'il m'encule ? Ta bite ... me plaît beaucoup …

- Tu me suceras après … Laisse-le te baiser …

- Je peux te sucer pendant qu'il me baise … j'aime ça …

- Non, non … moi, ça va me … plus tard, plus tard …

- Comme tu veux …

 

Il fait deux pas en arrière. Je lève les yeux vers l'autre et, tout en lui donnant de petits coups de langue sur la queue:

- Alors ? Comment tu veux ?

- Suce-moi un peu, déjà …

 

Il remonte un peu son T-shirt et je prends son gland dans la bouche et ses couilles dans la main. Finalement, c'est un assez gros calibre. Je l'enfonce au fond de ma gorge. Le nez plaqué contre son ventre, je frotte ma langue sous sa verge, puis je le ressors, ne gardant que son gland dans ma bouche, que je frictionne en tournant vigoureusement ma langue tout autour. Il pousse un long hhhhhhhmmmmmmmmmm, puis:

- J'vais t'baiser, j'vais t'baiser, j'vais t'baiser, j'vais t'baiser,  …

 

Il repousse ma tête et:

- Tourne toi … fous toi à plat ventre …


Instantané 4 (26-04-2015 14-36) 

 

J'ai à peine le temps de m'exécuter, il est déjà à genoux entre mes jambes. D'un geste impératif, il me les fait écarter, il retrousse ma jupe sur mes reins et le voilà sur moi ! Wouuuufff !!!! Appuyé sur un coude, le bas ventre sur mes fesses, il guide son membre de la main jusqu'à l'entrée de mon fourreau et commence à s'introduire.  Puis, tout en s'installant confortablement, il me pénètre à fond. Complètement vautré sur moi, il m'écrase littéralement. Il commence à bouger, et à chaque coup de reins, il me souffle un grognement dans la nuque. En plus du plaisir de sentir son gros chibre me ramoner, j'en découvre un nouveau: celui d'être ainsi comprimé, écrasé sous la masse de ce type obèse. C'est le contraire d'un Apollon, l'antithèse de l'espèce d'ours qui m'a baisé il y a un instant. Pas répugnant mais pas du tout sexy, ce n'est vraiment pas le genre de mec qui me plaisait jusqu'ici, mais je trouve très excitant de me trouver sous un mâle gras et ventripotent en train de prendre du plaisir dans mon cul.

 

La joue appuyée sur mes avant bras croisés, les yeux fermés, je déguste chacun de ses coups de gourdin: il me l'envoie au fond du ventre d'une violente poussée accompagnée d'un "han", il rebondit littéralement, ressort presque complètement, marque une pause d'une fraction de seconde, et recommence … A chaque coup, je sens sa bedaine bouger sur mes reins comme une grosse poche de gelée. J'adore ça ! J'avais résolu de ne m'occuper que du plaisir de ces mecs et de mettre ma propre jouissance physique en retrait, mais contre toute attente, ce type obèse est bel et bien en train de me donner du plaisir ! J'ai la rondelle en feu … mais pas d'irritation ou d'inflammation, non, d'excitation, de plaisir. J'ai le feu au cul ! De ce point de vue, ce que je ressens me rappelle ce que j'ai vécu avec le black costaud à l'hôtel. Après que ses copains et lui aient commencé par me violer, j'avais fini par me laisser submerger par les vagues de volupté que me procurait sa grosse bite noire. Mais là, il y a, en plus, ce plaisir, inconnu jusqu'ici, d'être écrasé, aplati, dominé, maîtrisé par la masse de ce bibendum !

 

Déjà, l'autre jour à l'hôtel, sous l'effet des coups de queue du black costaud, je n'avais pu empêcher mon corps de manifester son plaisir. Cette fois encore, quelque chose a révélé ma jouissance au gros qui m'écrase:

- Ça t'plaît, hein, salope ...

 

Le black costaud, lui aussi, m'avait dit quelque chose dans ce genre ! Oh oui, ça me plaît, et maintenant, ça ne me gêne plus de l'avouer. D'un hochement de tête, je lui confirme:

- Mmmmmmmmmmm …

- Dis-le, qu'ça t'plaît …

 

Décidément, ils aiment ça, les mecs, qu'on les complimente sur leur grosse bite, sur la façon dont ils me baisent, sur le plaisir qu'ils me donnent … Moi aussi j'aime ça, leur dire qu'ils ont une grosse bite, qu'elle me plaît, qu'elle me fait du bien, qu'ils me font jouir … D'abord parce que c'est vrai, et puis, ça m'excite, de leur dire … Je me sens … encore plus salope, encore plus soumise et encore plus accro à leur engin … en leur disant. Et je sais que ça les excite aussi, de m'entendre exprimer ce que je ressens avec une telle indécence, avec une telle obscénité … Je perçois immédiatement l'impact de mes paroles sur leur libido et sur leur corps: leur érection se fait plus raide, leur souffle plus saccadé, leurs coups de reins plus vigoureux, plus amples, et plus … incontrôlés, comme si ce n'était plus leur tête qui dirigeait, mais leur queue ! Souvent, sous l'effet de ce que je leur dis, ils se déchaînent et c'est parfois ce qui déclenche leur orgasme …

 

Alors, je ne me fais pas prier pour lui dire ce qu'il attend:

- Oh oui, ça me plaît …

- J'te baise bien, hein …

- Oh oui, tu me baises bien … j'adore comment tu me baises, comme ça, à grands coups dans le cul … et puis, t'es gros, tu m'écrases, et j'aime ça … Baise-moi ! Baise-moi !

- Tu sais qu'j'vais te … j'vais te … j'vais t'en foutre une bonne pétée dans l'cul …

- Ouiii … je la veux, ta jute dans mon cul ! Mais avant … bourre-moi, ramone-moi … ça me fait des choses … partout … 

- Tu la sens bien ma grosse pine, hein, salope ? 

- Ouiiii, je la sens ta grosse pine … défonce moi … Mets-la moi profond …

- Aah! Sa-lope ! Sa-loope ! Sa-looope ! Sa-loooope !

 

Ça fonctionne: il accompagne chaque exclamation de coups de reins de plus en plus violents. Le plaisir de m'enculer ? L'effet de nos mots crus ? Le fait de réaliser qu'il est en train de me faire jouir ? Gagné par un surcroît d'excitation, il accélère le rythme de son va et vient dans un petit bruit mouillé, aiguisant mon propre plaisir autant en me pilonnant le cul qu'en m'écrasant sous son poids. Je ne peux réprimer un gémissement de volupté … sans doute assez bruyant, parce que:

- Hé ! Ma parole, il est en train de la faire jouir, cette pute !

 

J'ouvre les yeux et je soulève la tête pour jeter un coup d'œil autour de nous. Il y avait sans doute déjà quelques types qui attendaient leur tour à côté du matelas, mais visiblement la remarque qui vient de fuser en attire d'autres. C'est une vraie forêt de pieds et de mollets qui nous entoure. A la … tenue de ces mecs, je pourrais presque dire lesquels sont arrivés les premiers à la ferme. Encore complètement habillés, deux ou trois viennent sûrement de débarquer. Ils n'osent pas encore se mettre à l'aise ni se tripoter ouvertement. Un peu plus anciens, d'autres ont déjà tombé la chemise ou le T-shirt et pour certains, se masturbent assez discrètement dans leur pantalon. Un troisième groupe enfin, nombreux, est complètement à poil, hormis des chaussures ou des chaussettes, et se masturbe sans complexe. 

 

La même voix reprend:

- Elle a gémi … il est en train de la défoncer grave, la salope … et il la fait jouir ! Elle a gémi !

 

On rit, on questionne, on commente … Tout à ce que le gros était en train de me faire, j'avais presque oublié les spectateurs, occultant le vague brouhaha de leurs conversations. Du coup, me faire tringler de cette manière devant eux, me laisser envahir sans pudeur par la jouissance sous leurs yeux, ajoute à mon excitation. Je pose mon menton sur mes avant bras, je referme les yeux et, la bouche entrouverte, je me laisse aller à ronronner, à haleter, à gémir sans retenue. Une délicieuse chaleur irradie mon corps depuis les reins jusqu'aux genoux, mais ce qui arrive à mon cul est si intense, si puissant, presque si violent que mon esprit est irrésistiblement capté par le voluptueux embrasement de mon fourreau. Instinctivement, je m'efforce … ou plutôt mon corps s'efforce de faciliter, d'approfondir la pénétration de ce poussah, comme si mon cul cherchait à avaler non seulement son gros organe reproducteur, mais le bestiau tout entier.  Mes genoux, indépendamment de ma volonté, glissent l'un après l'autre sur le drap, remontent en direction de mon bassin en une sorte de grand écart de grenouille, m'ouvrent, m'écartent les cuisses pour lui donner accès à mes intérieurs … mes reins cherchent à se cambrer … en vain, la masse du mastodonte qui me baise m'écrase sur le matelas…

 

Il a perçu, il a compris mes efforts:

- Ouaiiiiis ! Comme çaaaaa ! C'est bon, hein ?

- Hhhhhhmmmm !

 

Je n'ai pas gémi, j'ai couiné en hochant la tête …

Il suspend ses coups de boutoir, soulève son torse en s'appuyant sur les mains et :

- C'est qui le boss ? Hein, c'est qui, le boss, espèce de salope ?

- C'est toi, le boss … Oooooh, t'arrête pas … Continue … Bourre-moi … Encore ! Encore ! Encore !

 

J'ai crié et, confusément, je me rends compte que le silence s'est fait autour de nous. J'ouvre de nouveau les yeux. On se branle dur autour de nous. La situation et mes gémissements n'excitent pas seulement le gros qui est en train de me fourrer. Tous ceux qui sont là voudraient être à sa place. J'ai l'impression qu'ils sont encore plus nombreux que tout à l'heure. Plusieurs se sont agenouillés ou accroupis au bord du matelas et nous regardent, les yeux exorbités, et s'astiquent vigoureusement. Regardez, les mecs, ce qu'il me fait, le gros ! Prenez-en de la graine … Et attendez un peu, vous allez aussi y passer … Chauds comme ils sont, ils ne vont sûrement pas me laisser de répit et me sauter dessus dès qu'il en aura terminé. Tant mieux, le feu que j'ai au cul n'aura pas le temps de s'éteindre entre deux pétées. 

 

Pendant que je divague comme ça, l'obèse, toujours arc-bouté sur les mains, recommence à me ramoner, mais moins vigoureusement, comme en attente de quelque chose …

 

Mais oui ! Je ne sais pas ce qu'il attend, mais je sais ce que je vais lui faire ! 

 

Jusque là, je les ai laissés, lui et les autres, user de mon cul passivement. Ils m'ont pénétré, ils sont allés et venus à leur gré, à leur rythme dans mon fourreau, ils me l'ont ouvert, ils me l'ont détendu, ils me l'ont dilaté, ils l'ont lubrifié de leurs semences, et lui, le gros, me l'a électrisé, échauffé, enflammé … 

 

Alors, je me concentre et je contracte mon sphincter. J'ai un peu de mal, parce qu'ils me l'ont vraiment beaucoup détendu. Et peu à peu, je sens que ça vient … je sens qu'il se resserre un peu plus à chaque contraction. Et le gros le sent aussi:

- Ooh, putain ! Qu'est-ce que … Ooh, merde, tu me … La vaaaache, c'est bon, ça … Oh oui, vas-y !

 

Il s'effondre de nouveau sur moi, ralentit son va et vient, enfonce sa queue lentement tout au fond de moi:

- Hhmmmmm, c'est bon, ça ! T'es bonne, toi, hein … Tu sais y faire avec les bites … 

 

Et tandis que je continue de lui presser la queue avec les muscles de mon anus, il se retire, aussi lentement qu'il venait de me pénétrer. Il s'arrête, le gland juste au niveau de mon sphincter:

- Vas-y, branle-moi le gland !

 

Je contracte aussi fort que je peux, puis je relâche … je contracte de nouveau … je relâche … Il grogne de plaisir:

- Hhmmmm ! Ooooh, putain ...

- Dis … tu vas me juter dans le cul ?

- T'aimes ça, hein, de t'faire juter dans l'cul …

- Oui … j'aime ça …

- En plus d'être une salope, t'es un sac à foutre …

- Oui … Alors ? Tu vas me juter dans le cul, hein ? Tu vas me féconder avec ta grosse pine ?

- Elle te plaît, ma grosse pine ?

- Oui, elle me plaît, elle me fait jouir … elle me rend dingue …

- Hé hé hé !

- Alors ?

- Alors … tiens !

 

Et aussitôt, il se redresse sur les mains et se remet à me bourrer le cul vigoureusement. Je sens que, cette fois, il me pilonne pour se finir, pour jouir … il va aller au bout. Il remet le feu à mon chaudron … Il va éjaculer ! Il va me féconder ! De nouveau, je gémis … et c'est ça qui l'achève:

- Ooh, putaiiiiiin !

 

Il s'enfonce en moi, s'immobilise et répète:

- Ooh, putaiiiiiin ! Ah oui, c'est boooon !

- Ouiii !! Féconde-moi ! Baise-moi ! Baise-moi ! 

 

Ça y est, je sens sa queue prise d'un violent soubresaut. Il jouit ! Il éjacule ! Il éjacule au fond de moi !  

- Oh oui ! Remplis-moi ! Remplis-moi ! 

- Aaah ! Aaaaah ! Aaaaaaaah ! La chienne ! Salooooope ! Putaiiiiiiiiiin !

 

Il reprend ses coups de boutoir, et cette fois, sa queue fait des vrais bruits de clapotis dans mon cul. Il a dû me foutre la dose de sperme ! Je suis aussi au bord de l'éjaculation ….

 

Son orgasme se calme et il s'effondre sur moi, m'écrasant de nouveau de tout son poids. Je l'entends, collé à mon oreille, reprendre péniblement son souffle en déglutissant bruyamment: 

- Oh, putain, c'que t'es bonne, toi ! 

- …

- Ça t'a plu, à toi ?

- Oui, ça m'a plu. Tu m'as mis le feu …

- Faudra qu'on s'revoie … faudra que j'te rebaise …

- Mais … tu vas pas partir, maintenant … On est là pour toute la journée …

- Oui, oui, je reste …

- Alors, tu m'en remettras un coup ?

- Aujourd'hui ?

- Oui, aujourd'hui … si t'as encore envie …

- On verra … Mais de toute façon, plus tard, faudra qu'on se revoie … faudra que j'te rebaise …

- Oui, c'est d'accord …

 

Et sans transition, il relève péniblement sa masse et s'éloigne. Aussitôt, il y a comme une bousculade et j'ai tout juste le temps de me rendre compte que trois types se précipitent vers moi. L'un des trois, plus pressé, plus rapide ou plus costaud, est déjà entre mes cuisses, et s'allonge sur moi. Les deux autres râlent un peu pour la forme, parce qu'en même temps, ils se marrent. L'autre a déjà placé sa bite à l'entrée de ma caverne. Je n'ai même pas eu le temps de voir à quoi elle ressemble. Il pousse doucement et entre en moi comme dans du beurre. La semence du gros m'a bien lubrifié. Le nouveau venu souffle bruyamment, les dents serrées. Il me fait beaucoup moins d'effet que le gros: il est moins bien équipé et il me besogne laborieusement. Le feu que l'obèse avait allumé dans ma cheminée retombe doucement.


Instantané 3 (26-04-2015 14-35) 

 

N'empêche, ça me plaît bien que ces mecs se succèdent de cette façon dans mon cul, sans temps mort, sans un mot, sans me demander s'ils peuvent, sans attendre que je me lave ou que je me vide, sans chercher à me donner du plaisir …

 

Ce mec devait en effet être particulièrement excité et en urgence, parce que notre coït ne dure pas une minute. Juste au moment d'éjaculer, il s'extrait de moi, loge sa queue entre mes fesses et me jouit dans la raie !  Je sens son sperme, tiède, s'étaler entre mes fesses.

Il reste un moment immobile sur mon dos. Au-dessus de nous, une voix proteste:

- Allez, c'est bon, mec … pousse-toi !

 

Il ne bouge pas, soupire, et me souffle dans l'oreille;

- Tout à l'heure, je vais encore te baiser … mais j'te tirerai dans le cul, cette fois …

- Oh oui ! Je préfère …

 

Il se relève et tandis que j'attends, immobile, que le suivant prenne sa place, les deux qui s'étaient fait prendre de vitesse:

- Je peux y aller ?

- Ça presse ?

- Ouais, ça presse … je me suis beaucoup branlé … je suis au bord de …

- Bon, OK, vas-y …

- Merci, mec …

 

On s'agenouille entre mes mollets, j'entends un bruit de papier qu'on déchire, et je sens qu'on essuie la crème sur mes reins et entre mes fesses … un ventre se pose sur mes fesses … une bite, raide, se loge dans ma raie … des mains s'appuient sur le matelas au niveau de mes aisselles … un sexe glisse lentement entre mes fesses en direction de ma tanière … un gland vient se loger tout seul à l'entrée de mon anus … et dans un long soupir, un torse se plaque contre mon dos en même temps qu'un coup de reins propulse une queue au fond de mon cul … 

- Oohhh ! Puu…taiiiiiiin !

 

Celui-ci jouit encore plus vite que le précédent, dès sa première pénétration ! Bouche grande ouverte, il halète et éjacule en allant et venant lentement en moi. Je me cambre, à la fois pour accroître son plaisir et pour qu'il déverse sa semence aussi profondément que possible dans mon ventre. Ce type qui jouit dès qu'il me pénètre, c'est … attendrissant … c'est excitant … et d'une certaine manière, j'en suis fier parce que ça montre à quel point je l'ai excité, à quel point il avait envie de me sauter … Ses halètements tournent aux gémissements et, peu à peu, il se calme, reprend son souffle, puis se relève péniblement et s'en va sans m'avoir adressé la moindre parole … 

 

à suivre ...

 

Vous retrouverez le début de ce récit en cliquant sur cette photo:

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Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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