Mardi 13 octobre 2015 2 13 /10 /Oct /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année. 

 

« Tu vas t'en prendre plein le cul ! ». Les potes de Philippe m'avaient prévenu, ce matin, au moment de se mettre en route pour la ferme de Jean-Claude. Et bien, en effet, j'en ai pris plein le cul ! Ça a tout de suite démarré très fort, et au cours de la matinée, je me suis fait passer dessus par je ne sais combien d'entre eux contre une table, sur la pelouse, dans la salle de bain, dans l'écurie … sans compter quelques uns que j'ai sucés ici ou là. Et puis, une fois alcoolisés, ils se sont vraiment lâchés: ils m'ont installé à plat ventre sur le bar et ils m'ont fourré à la chaîne. Ah putain, qu'est-ce j'ai pris ! En plus, complètement désinhibés, ils se sont tous répandus dans mon cul, les uns après les autres, au point que le cocktail de leurs semences me coulait le long des cuisses.

 

Une fois tous soulagés, ils n'ont plus eu qu'une envie … manger. On est donc passés à table, y compris Alexis, le traiteur revenu participer à la fête après avoir raccompagné son commis. Ce début de repas a donné à Philippe l'occasion de faire une sorte de point à mi parcours, et de compter combien d'invités m'ont baisé et combien j'en ai sucé. Et on en est naturellement venus à évoquer mes précédentes expériences.

 

Alors, tout en mangeant et en buvant, je raconte … Ceux qui m'entourent écoutent, posent des questions, veulent des précisions … savoir pourquoi … savoir comment … savoir depuis quand … je sens que mes récits en excitent certains, mais plusieurs sont ouvertement dubitatifs … en particulier quand je leur explique que ça ne fait que quelques mois que j'ai cédé pour la première fois à mes envies de queue. Il est vrai qu'en être déjà à me faire passer dessus par autant de mecs à la fois après seulement quelques mois de pratique peut être difficile à croire.

 

C'est Philippe qui les convainc en racontant quand et comment nous avons fait "connaissance" le long du canal, et la facilité avec laquelle j'ai accepté qu'il organise ce gang bang:

- Je n'étais pas là quand tu t'es fait … violer par des blacks dans un hôtel, ni quand tu t'es fait baiser par des routiers au bord de l'autoroute, donc je peux rien dire là-dessus, mais j'étais là quand tu promenais ton cul au bord du canal tout près d'ici … C'était la première fois qu'on se voyait, mais je peux vous dire que j'ai pas eu besoin de le chauffer beaucoup pour qu'il me touche la bite, qu'il me branle et qu'il me suce … et en public, en plus … et ça, les mecs, c'était il y a seulement deux semaines … le 15 septembre exactement. Pas vrai ?

- Je n'ai pas noté la date, mais c'est à peu près ça … il y a une quinzaine de jours …

- Ah, mais moi, je suis sûr de la date … et il a dit oui tout de suite quand je lui ai parlé d'organiser un gang bang pour son cul … alors, je vois pas pourquoi le reste serait pas vrai …

 

J'interviens:

- Vous n'êtes pas obligés de me croire, et de toute façon, je m'en fous, je n'ai rien à prouver, mais le premier mec que j'ai laissé me toucher et se branler sur mon cul … de mémoire, au plus loin, ça devait être en mai dernier, ou plutôt en juin … d'ailleurs, c'était un collègue à toi, Jean-Claude … il m'avait surpris dans un pré à lui, en pleine séance de photos de cul … 

- Un collègue à moi ? Si ça se trouve je le connais. C'était qui ? C'était où ? 

- Je ne peux pas te le dire … Il est marié  et il tient à la discrétion … En fait, il n'y a que trois ou quatre ans que j'ai commencé à avoir des envies de bite,  et jusque là, je n'avais jamais osé franchir le pas … Justement, on dit qu'il n'y a que le premier pas qui coûte, et bien, ça a été comme si ce premier mec avait débloqué quelque chose en moi, et depuis, je rattrape le temps perdu.

- T'a raison … faut rattraper le temps perdu …

 

Une main s'est posée sur mon épaule. Je me retourne. C'est le blond à la coupe en brosse qui se tient debout derrière moi, celui avec qui j'avais esquissé une lambada et qui m'a fourré contre le lavabo dans la salle de bain de Jean-Claude. J'ai sa queue poilue juste sous les yeux, et il bande à moitié. Vue son élocution approximative, il est évident qu'il est éméché. Il poursuit:

- … amène-toi un peu par là, tu vas en rattraper, du temps perdu …

 

Philippe:

- Laisse-le … il a pas fini de manger …

- T'inquiète … on va lui en donner, à manger …

 

Philippe m'interroge du regard. Je le rassure:

- Laisse … ça va … 

 

Je recule mon siège et je me lève. Là, je réalise que, moi aussi, je suis quelque peu pompette. Il faut dire que, tout à mes récits de cul, j'ai pas mal bu mais je n'ai pas mangé grand chose … et ce n'est pas les huit doses de sperme que j'ai avalées au cours de la matinée qui m'ont rassasié. L'autre me fait signe de le précéder vers l'extrémité de la rangée de tables. Pendant que je parcours les quelques mètres qui m'en séparent, il me colle une main au cul, me glisse son majeur dans la raie et le plaque contre la fleur … Les mecs installés de part et d'autre de cette extrémité de la rangée de tables me regardent arriver, hilares. De toute évidence, ils savent ce qu'il est venu me demander. Le blond:

- Tu passes sous la table et tu nous suces !

 

Evidemment !

Je m'accroupis et je regarde sous les plateaux des tables. Je ne vois qu'un fouillis de genoux, de mollets et de pieds. Les nappes reposent sur les cuisses des convives et masquent tout ce qui se trouve au-dessus. Dommage, ça m'aurait bien plu de voir, sous les tables, un alignement des bites à sucer …

 

Allons-y !

 

Je me glisse sous le premier plateau. Pas très agréable pour mes genoux, mais, au moins, là-dessous, le goudron est lisse, et il n'y a pas le moindre gravillon. Jean-Claude a dû faire le ménage. J'ai un peu de mal à passer  entre les jambes des deux premiers mecs qui se font face, mais sentant qu'ils me gênent, l'un et l'autre reculent leurs fesses au fond de leur siège. Celui de droite, ou celui de gauche ? Allez, celui de droite. En approchant du bout de la table, j'ai remarqué que c'est un des trois qui m'ont baisé dans l'écurie. Je lui écarte les genoux, je me faufile et, pour accéder à sa queue, je soulève un peu le bord de la nappe qui retombe sur ses cuisses. Mais quand j'avance la tête vers son entrejambe, le haut de mon crâne cogne contre le plateau de la table. Je ne pourrai pas le sucer comme ça. Alors:

- Recule un peu, que je sorte ma tête de sous la table …

- Quoi ?

- Je ne peux pas te sucer comme ça … j'ai la tête dans la table … tu t'appelles comment ?

- Franck.

- Recule un peu, Franck …

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Il soulève la nappe et comprend le problème. Il repousse sa chaise en arrière et se réinstalle. Entre son ventre et moi, me masquant toujours son organe, il y a encore le bas de la nappe. Je le soulève un peu et je m'avance. Voilà la bête ! Mes deux bras repliés et appuyés sur ses cuisses, je saisis l'engin. Il bande déjà légèrement. J'ouvre les lèvres et je prends son sexe en bouche … Il réagit:

- Hhhhmmmmmmm … ouiiii !

 

HHhmmmmm ouiiii ! Moi aussi j'adore: à quatre pattes sous cette table, j'ai son sexe, chaud et vivant dans la bouche, et je vais lui donner du plaisir … Pour avoir moi-même participé à nombre de repas copieux et arrosés, je sais dans quelles dispositions, à la fois physiques et mentales, il se trouve à cet instant: rassasié, repu, certainement un peu gris, la tête embrumée, il est comme engourdi de partout, sauf du bas ventre et des cuisses, certainement parcourus de délicieux fourmillements … Pour atteindre la volupté totale, il ne lui manque effectivement que de se faire papouiller la queue jusqu'à la jouissance. Une simple branlette ferait l'affaire, mais dans cet état, une turlute est encore plus agréable … Et ça tombe bien, c'est exactement ce que je vais lui faire.

 

Ce début de fellation le faire bander un peu plus. Il s'installe confortablement, s'allonge un peu en glissant sur sa chaise, ventre en avant … je sens qu'il soulève le bord de la nappe. Il veut me regarder le sucer. Regarde, mec, regarde ! J'aime ça. Je sens, à un nouveau gonflement de sa queue dans ma bouche, que me voir le sucer ajoute à son excitation. Je déguste sa queue comme un esquimau. Je sens qu'il remonte le bord de la nappe sur la table, et j'entends qu'il la coince sous son assiette pour l'empêcher de retomber. Je réalise vite que c'est non seulement pour bien me voir le sucer, mais aussi pour se libérer les mains … il prend mon visage entre ses paumes, délicatement, et accompagne mes mouvements de va et vient sur sa queue:

- Hhhhmmmmm … putain, tu suces bien, ma salope …

 

 

Je lève le regard vers lui. Les yeux exorbités braqués sur moi, mâchoires serrées, lèvres retroussées, il respire bruyamment entre ses dents. Chaque mouvement de mes lèvres et de ma langue sur sa bite lui arrache un rictus. Je me demande s'il va tenir la distance. Avoir déjà tiré un coup tout à l'heure devrait pourtant lui permettre de résister. Mais c'est bien … ça me plaît de lui faire autant d'effet. Pour moi, c'est un plaisir qui s'ajoute aux sensations que me procure son sexe dans ma bouche …

 

Je réalise que, depuis que j'ai découvert la volupté d'une fellation, ma bouche est sans doute devenue ma zone érogène la plus sensible … plus que ma queue … plus de que mon cul ! Avec mon cul, si j'ai du plaisir sensuel à me le faire saillir, paradoxalement, c'est surtout un plaisir cérébral qu'il me procure … Tandis qu'avec ma bouche, c'est beaucoup plus tactile: mes lèvres, ma langue, l'intérieur de mes joues, mon palais même, perçoivent beaucoup plus nettement que mon anus la chaleur d'un sexe, la texture de sa peau, sa consistance, le relief de ses veines et de son urètre, son goût, même, ainsi que la tiédeur et le goût de son sperme quand il éjacule … et le plaisir cérébral est là aussi, puissant, addictif, par l'idée que je suce l'organe sexuel, l'organe reproducteur d'un mâle, pour lui donner du plaisir, et que c'est sa liqueur reproductrice qu'il va répandre sur ma langue, dans ma gorge … 

 

Cette fellation est très érotique, et moi aussi, je bande …  Mais, en plus, autour de nous, il y a les autres qui continuent de manger et de boire, comme si de rien n'était. J'entends, au-dessus de moi, le bruit des couverts dans les plats et les assiettes et celui des verres contre les goulots de bouteilles, mêlés au brouhaha des conversations et des rires … Tout cela compose une sorte d'ambiance sonore somme toute plutôt banale pour un banquet … il est même sans doute assez fréquent qu'à l'occasion d'orgies de ce genre, on rémunère une pute pour soulager les participants … mais, dans cette assemblée de mâles, tous complètement à poil, c'est moi qui suis à quatre pattes sous les tables, et qui ai entrepris de tailler une pipe à tous ceux qui en ont envie …

 

L'incongruité de cette situation ajoute beaucoup à mon excitation, et je suce la queue de ce mec de plus en plus fiévreusement, commençant même à laisser échapper de petits gémissements … L'intensité de nos plaisirs respectifs doit se remarquer, parce que je m'aperçois que quelqu'un s'est approché et se tient debout à côté de la table, à la gauche de Franck. Ça n'échappe pas non plus à son voisin de droite, qui s'est aussi un peu reculé sur sa chaise, et que je vois du coin de l'œil, vautré sur sa chaise, me regarder sucer en se masturbant doucement. Il se redresse un peu, tend la main vers moi, saisit mon avant bras posé sur la cuisse de Franck et attire ma main vers son bas ventre. Je prends sa queue, et je poursuis sa masturbation.

 

Franck a glissé ses doigts jusque autour de ma bouche, juste au contact de sa verge, pour sentir sa queue, humide de salive, entrer et sortir d'entre mes lèvres. De ma langue formant gouttière, je presse sa hampe par dessous et contraint ainsi son gland à frotter fermement contre mon palais, accroissant son plaisir. Il ronronne:

- Mhhhooooon ! Mhhhooooooooon !

 

Et soudain, de ses mains, il se met à me caresser rapidement la tête - nuque, crâne, joues, menton, cou, front – en même temps qu'il commence à haleter, et:

- Ah ! Putain ! Je vais te … je vais te … Raaaaaaahhh … puuuuu … taiiiiiiin !

 

Sa queue est secouée d'un violent spasme. Il va jouir ! Je gémis. Sous ma langue, je sens son urètre se gonfler et, aussitôt, un jet tiède s'étale dans ma gorge. Je m'entends couiner tout en accentuant fiévreusement mes va et vient. Haletant, il se plie en deux brusquement au-dessus de moi, tenant toujours ma tête pendant que sa semence continue de se déverser dans ma bouche . 

 

Voilà. Il a fini. Le torse toujours appuyé sur mon crâne, il se calme, reprend son souffle … Puis il se redresse en riant:

- Ah, la vache ! T'es une vraie pompe à jute !

 

Je sors son sexe de ma bouche. J'ai gardé sur la langue autant de crème tiède que j'ai pu. Je relève la tête et j'ouvre la bouche en grand pour qu'il voie ce qu'il m'a déposé. Il sourit:

-  Ah quelle salope ! Vas-y, avale !

 

Comme un défi.

J'avale.

Il éclate de rire.

- Ah, toi, alors, tu aimes le foutre !

- A moi !

 

C'est son voisin de droite, celui que j'étais en train de branler. 

 

Oui, à lui …


Je me déplace, toujours à genoux, jusque entre ceux du voisin, en prenant soin de ne pas filer mes bas en les frottant sur le goudron. Lui aussi a relevé le bord de la nappe. Je ne le reconnais pas … ou plutôt, je ne me souviens pas qu'il me soit déjà passé dessus … celui-ci a dû me baiser en levrette sur le bar sans que je vois sa tête. Il a reculé sa chaise, et il est tellement vautré dessus qu'il ne repose plus que sur le haut de ses fesses … presque sur ses reins. Cuisses largement écartées, il se tortille, tend son ventre vers moi.

 

Je commence par passer mes lèvres sur l'intérieur de ses cuisses, depuis les genoux jusqu'à son entrejambe. Le haut de ses cuisses, ses couilles – grosse paire de couilles qui pendent dans leurs bourses, lourdes, sans doute encore bien pleines de crème - sa queue – queue très ordinaire par rapport à la taille de ses boules -, son pubis et son ventre sont totalement imberbes, visiblement rasés depuis peu. Je passe ma langue sur ses couilles et je commence à remonter le long de sa hampe. Mais il pose sa main sur ma tête et me repousse vers ses couilles … croyant que c'est ce qu'il veut, je m'apprête à les prendre l'une après l'autre dans ma bouche … il appuie toujours sur ma tête … je soulève ses boules de la main pour lui passer la langue sur le périnée … il se tortille de plus belle en soulevant son bassin … 

 

Compris: il veut que je lui lèche le cul … OK ! En espérant qu'il est clean, je m'exécute. Mais, vu ma taille et nos positions respectives, je n'arrive pas à lui donner satisfaction. Il s'en rend compte immédiatement et, pour me donner accès à sa … pastille, il lève sa jambe droite et la tient, repliée, le genou au-dessus de sa poitrine. Il est aussi rasé dans la raie et autour de sa fleur et, bien que la journée soit déjà avancée, ça sent encore la mousse à raser et pas encore l'entrejambe en sueur. Ce genre d'exercice, ce n'est pas trop mon truc, et mon excitation retombe. Je m'applique quand même autant que je peux, tout en lui malaxant les couilles. Pour me motiver, je pense à ce qu'elles contiennent et j'anticipe le moment où elles vont répandre leur charge. D'où je suis, je vois qu'il se masturbe doucement pendant que je titille sa rondelle de la langue et ses boules de la main. Je sens son anus se détendre peu à peu sous l'effet des caresses de ma langue. Pourvu qu'il soit clean ! Jusque là, ça va … Il saisit ma main qui lui pelote les couilles et il l'attire sur sa bite. Il veut que je le masturbe. Ses couilles retombent sur mon nez. Ça dure comme ça quelques minutes, puis il me lance:

- Maintenant, suce-moi !

 

Ouf ! Je commençais à fatiguer. Il repose son pied au sol et s'installe mieux sur sa chaise. Je me redresse aussi et, passant d'abord par ses couilles, je glisse ma langue tout au long de sa verge, jusqu'à son gland, que j'enfourne dans ma bouche. Il est d'abord pris d'une sorte de ricanement nerveux, avant de pousser des espèces de petits "han … han … han …". Tout en le suçant, je lui caresse la poitrine et le ventre et, pour continuer de satisfaire son envie, je glisse les doigts de mon autre main entre ses fesses … je les fais aller et venir dans sa raie, accentuant leur pression chaque fois qu'ils passent sur sa rondelle. Au gonflement de sa queue dans ma bouche, je sens que ça lui fait un effet terrible. Je finis par plaquer mon pouce contre sa fleur encore toute mouillée de ma salive. Aussitôt, je sens son anus réagir … comme pour s'ouvrir … j'appuie mon pouce … ma première phalange pénètre dans son étui … la queue raide, le souffle suspendu, il attend que je m'enfonce davantage en lui … je glisse lentement ma deuxième phalange dans la tiédeur de son cul, et ma salive qui le lubrifie n'explique pas à elle seule la facilité avec laquelle je progresse … vu l'état de dilatation de son sphincter, je suis sûr que ce type a l'habitude des introductions anales … il a la rondelle totalement détendue, épanouie … J'entame un va et vient et après seulement trois ou quatre allers et retours, les muscles de son anus et sa bite sont pris simultanément d'un premier spasme. Il va jouir ! 

- Aaaah ! Aaaaaaah ! Wouaaaaaaahhhh !

 

Il jouit ! 

En même temps que sa rondelle se contacte convulsivement autour de mon pouce, sa queue est secouée de violents soubresauts qui m'inondent la bouche d'une liqueur épaisse et salée  … Ça n'en finit pas … et, alors que ça semble commencer à s'apaiser, ses éjaculations repartent de plus belle ! Ce type avait les couilles vraiment très pleines! Et pourtant, si les comptes de Philippe, tout à l'heure, étaient exacts, celui-ci m'avait déjà baisé ! Ayant l'intention, comme pour le précédent, de lui montrer sa liqueur sur ma langue avant de l'avaler, je me suis abstenu de déglutir à l'arrivée des premiers jets, mais, surpris par l'abondance du flot, je laisse échapper un mélange de bave et de sperme qui me coule sur le menton … alors, j'avale, au fur et à mesure qu'il se vide en moi … Enfin, ça finit tout de même par se calmer … Oh, putain, celui-ci, il faudra absolument qu'il me remplisse le cul !

- Aah, putain ! Quel vide-couilles !

 

C'est lui qui, en se tortillant sur son siège, repousse ma main de son cul et ma tête de sa queue … Je prends quand même la peine de lui nettoyer soigneusement la bite avec ma langue et, levant les yeux vers lui:

- Dis donc, mec … qu'est-ce que tu m'as mis ! Il y a combien de temps que tu n'avais pas tiré un coup ?

 

Il ricane.

 

- A moi !

 

« A moi ! » … décidément, ce sont deux mots magiques … en dépit de sa brièveté, de sa concision, cette formule dit tout ... c'est celle qu'on emploie sur un terrain de foot pour avoir le ballon, celle qui permet de prendre son tour dans un jeu ou un concours, celle qu'on utilise en bande pour faire tourner une bouteille ou un pétard ... et là, c'est moi, le jeu, c'est moi qu'on fait tourner ... j'adore, ça m'excite ... 

 

C'est le type juste derrière moi, à qui je tournais le dos … et le cul … pendant que je suçais "grosses couilles". Du bout du pied, il a accompagné son "invitation" de deux petits coups contre ma cuisse. Je me retourne péniblement sous la table. Celui-ci n'a pas relevé le bord de la nappe, et je ne vois de lui que le bas de son corps, mais je reconnais immédiatement la queue poilue du blond qui est venu me chercher pour les sucer … Il bande et serre si fort sa bite que son gland, rouge violacé, semble prêt à exploser … Je me glisse entre ses genoux … j'ai encore la tête qui cogne dans la table:

- Tu ne veux pas reculer un peu ? J'ai la tête dans la table …

- Non ! Suce, salope !

 

Pas la peine d'insister avec lui. J'ai déjà pu juger de son humeur dans la salle de bain. Inutile d'aller à l'incident. Il cramponne toujours fermement sa hampe, mais, en penchant la tête sur le côté, je parviens tant bien que mal à prendre son gland dans la bouche … Gorgé de sang, il est brûlant. Au contact de ma langue, il lâche son sexe et sa main disparaît de sous la nappe. Bien que je me tasse autant que possible sur moi-même, les fesses posées sur les talons, je n'ai pas assez d'espace pour bouger la tête de bas en haut. Alors je m'escrime de la langue sur sa queue, la frottant énergiquement sur sa verge, la tournant vigoureusement autour de son gland… Il reste d'abord impassible … au bout d'un moment, je m'aperçois même, aux bruits au-dessus de ma tête, qu'il s'est remis à manger: crissements de ses couverts dans son assiette, choc de son verre et d'un plat qu'il pose sur la table, bruissement du pain qu'il coupe … Il est vrai que ça doit être très agréable de se faire sucer pendant qu'on mange … Je réalise aussi que, tout en mangeant, il discute avec ceux qui l'entourent ! Il rit, il s'esclaffe, il s'agite sur son siège aussi naturellement que … que si je n'étais pas en train de le sucer ! Mais, vu l'état de sa queue, je sens … je sais que ma pipe lui fait de l'effet. 

 

Soudain, quelque chose touche ma fesse droite. C'est sans doute le convive derrière moi, celui que j'ai sucé il y a quelques minutes, qui m'a heurté involontairement du pied. Mais au lieu de s'écarter, le pied … oui … c'est bien un pied … un pied nu … ce pied se met à m'effleurer la fesse … à me la caresser … ou plutôt, à me l'explorer … délicatement. Je poursuis ma fellation, attendant de voir ce qui va se passer. Le pied explorateur passe sous mon cul en frôlant mes talons au passage … il me caresse la fesse gauche … revient vers ma raie … se glisse dans ma raie … enfin, pas vraiment un pied … des orteils, plutôt, qui se glissent dans ma raie … progressent vers … Ooooh ! Les voilà contre ma rondelle ! Oooooh ouiiii ! C'est boooon ! Tout en continuant à pomper l'autre, je relève légèrement mon cul et, en écartant les genoux, j'ouvre un peu plus mes cuisses. Les orteils sont contre mon périnée … frôlent mes couilles … reviennent vers ma fleur … Hhhhmmmmm  … se posent de nouveau sur ma fleur …

 

Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. En fait, maintenant, je le sens … c'est seulement son gros orteil qui est là ! Je relève mon cul, doucement, délicatement, pour éviter de perdre ce contact … l'orteil suit, toujours plaqué à l'entrée de mon fourreau … Je sens ma fleur réagir, bâiller, presque malgré moi … comme pour … comme pour ingurgiter cet orteil … Il l'a senti, lui aussi … sa pression se fait un peu plus forte … comme pour demander la permission … Oui, oui ! Vas-y ! Je me tortille, je recule comme je peux, retenu, comme hameçonné par cette bite plantée dans ma bouche et que je ne veux pas lâcher … Il a compris … son orteil me pénètre légèrement… Je gémis de nouveau … Encore, encore ! Je le sens qui affermit sa position sur son siège … et il enfonce son doigt entièrement … Oooh la la ! Je remue ma croupe, je me trémousse … Bouge-le, bouge-le ! Il a compris, et il se met à agiter son orteil dans mon cul … C'est plutôt limité, comme mouvement, mais qu'est-ce que c'est bon !

- Ça y est ?

- Ouais …

 

Celui qui questionne, c'est le blond, celui que je suis en train de sucer … et celui qui répond, c'est l'autre, derrière moi, qui est en train de me doigter avec son orteil … Mais, sur le coup, je n'y prête pas attention, tellement leur échange semble anodin et n'être que la poursuite d'une conversation … Ce n'est que rétrospectivement, et en entendant la suite que je réalise qu'il est question de moi:

- Tu y'as mis dans le cul ?

- Ouais …

- Et ?

- Et ? Et ben, elle aime ça, cette chienne …

- C'est vraiment une grosse pute ! Déjà, c'est une bouffeuse de jute, mais en plus, on peut lui foutre tout ce qu'on veut dans le cul, à cette salope …

 

Tout en éructant, mâchoires serrées, il m'a empoigné la nuque et il appuie comme un sauvage pour m'enfoncer son pieu au fond de la gorge. 

 

Ah non ! Pas ça avec toi ! Je sens qu'avec toi, c'est de la violence sadique … et en plus, tu ne me plais pas. En voulant me dégager, je me cogne la tête dans la table … alors, comme mû par un réflexe, tout en le repoussant d'une main plaquée sur son ventre, de l'autre j'empoigne le pied de sa chaise et je la soulève brusquement. Sous l'effet de ces deux forces combinées, il part en arrière avec sa chaise, tente en vain de se rattraper à la table et se retrouve au sol sur le dos … Je sors de sous la table et je me dresse au-dessus de lui. Sa tête à cogné le goudron de la cour … il est groggy … et surtout stupéfait … il me prenait pour une lope et il ne s'attendait pas à ça de ma part … Il se frotte l'arrière du crâne, l'air un peu ridicule, toujours assis sur sa chaise et la queue bien moins vaillante – la surprise et le choc l'ont fait débander instantanément -. Le doigt pointé sur lui, je lui lance:

- T'as peut-être besoin de te défouler … mais pas avec moi, connard !

 

Je pourrais profiter qu'il soit en position de faiblesse, mais je le laisse reprendre ses esprits et se relever. Tout à l'heure, en dansant la lambada collé à son ventre, puis quand il m'a baisé dans la salle de bain, j'ai pu juger de ses mensurations: il fait près d'une tête de moins que moi et surtout une vingtaine de kilos de moins … Il roule sur le côté et, à la fois sonné et ivre, il se relève péniblement, l'ai furax. A la façon dont il jette un coup d'œil autour de lui, je me dis qu'il cherche du renfort … mais ceux qui l'entourent, sans doute plus ou moins complices quand il est venu me chercher pour les sucer, ont compris ce qui se passe, le regardent d'un air plutôt ironique et ne bougent pas d'un cil pour l'aider à se relever … En revanche, d'autres, plus loin, se sont levés, interrogatifs, et certains approchent. Le blond me fusille du regard et, dents serrées:

- Toi … je vais te …

- Tu vas quoi ? Viens …

 

Avant qu'il ait pu faire un pas, le grand type maigre qui m'avait roulé des pelles en me baisant et l'obèse qui m'avait écrasé en me faisant jouir du cul s'interposent entre nous. Le premier lui dit calmement:

- Laisse tomber, mec … tu as dû lui faire un truc pas net, parce que … il accepte à peu près tout, autrement …

- C'est qu'une sale pute !

 

Le gros poussah:

- De toute façon, t'y touches pas !

- Quoi … qu'est-ce t'as, toi ?

- T'es bourré, mec, et puis ... j'te sens pas … Alors, j'te dis seulement qu't'y touches pas …

- C'est qu'une pute, j'te dis …

- Et alors ? On l'sait … on est tous là pour ça … pas pour la cogner ou je n'sais quoi … pour la baiser ... et c'est tout.

 

Pendant ce bref échange, d'autres se sont groupés autour de nous et lui font face. Il a quand même assez de lucidité pour comprendre qu'il est seul contre tous. Il grommelle je ne sais quoi et relève sa chaise, comme pour signifier qu'il laisse tomber. Alors, chacun commence à regagner sa place. Je remonte mes bas, distendus par cette position à genoux et je replace mon porte-jarretelles. Au moment où je m'apprête à regagner aussi ma place, je vois le tatoué … la brute tatouée … fendre le groupe précipitamment en direction du blond. Quand je me retourne, la brute, face au blond, le repousse, la main gauche plaquée sur la poitrine, et lui pointe l'index de la main droite sur le visage d'un air furibard. Très dissuasif ! L'autre est blême. La brute le chope à l'épaule et le force à s'asseoir sur sa chaise:

- Si tu veux rester, j'te conseille de dessaouler … ou alors tu t'barres … Vu ?

- C'est bon, c'est bon …

 

Tout le monde s'est retourné à l'arrivée du tatoué pour voir ce qui se passait. Lui s'approche de moi, me prend par le bras et m'entraîne vers l'autre bout de la rangée de tables:

- Ce fils de pute … il allait te cogner par derrière …

- Ah bon ? Merci …

- Tu veux que j'le vire ?

- Bah, non … pas la peine …

 

Philippe nous a rejoints:

- Qu'est-ce qui s'est passé ?

- Il m'a brutalisé pendant que je le suçais sous la table …

- Ah bon ?

 

Les yeux ronds, il poursuit, regardant alternativement la brute et moi:

- Mais … je croyais … ça me regarde pas, mais …

 

Ah, OK ! Tout à l'heure, je lui ai dis que la brute m'avait violenté et que j'avais aimé ça … alors, il se demande pourquoi, avec l'autre … J'explique:

- Celui-là, c'est un tordu sadique et vicelard …

- Ah … OK ! Tu sais, je le connais pas … je crois que c'est une recrue d'Internet … je m'excuse …

- Ne t'excuses pas, tu n'y pouvais rien … l'incident est clos …

 

Ça a jeté comme un froid et chacun est en train de reprendre place à table. Mon fauteuil est un peu plus loin, de l'autre côté de la rangée de tables. Je m'apprête à faire le tour, quand le tatoué m'attrape par le poignet et s'adresse à son voisin de droite:

- Tiens, mec, tu veux pas lui laisser ta place ?

 

L'autre se lève sans rechigner. Quand un type bâti comme le tatoué te demande gentiment quelque chose, tu ne peux pas lui refuser. Je m'assieds. Aux regards et aux sourires de ceux qui nous entourent, je comprends que pour eux, cette invitation du tatoué à mon encontre n'est pas anodine. Et ce n'est pas seulement parce que son corps et sa queue sont un spectacle en eux-mêmes … l'attirance que j'ai manifesté à plusieurs reprises pour son gros organe doit leur laisser espérer de nouveau du spectacle …

- T'as soif ?

 

Oui, c'est sûr, son expression n'est pas aussi élégante et correcte que celle d'un Philippe … mais ce n'est pas ça qui m'attire chez lui …

- Oui …

- Vin ? Bière ?

 

Je lui réponds en riant:

- De l'eau, déjà … j'ai besoin de me rincer la bouche …

- T'en as pompé combien, sous la table ?

- Trois … mais seulement deux jusqu'au bout …

- Comment ça ?

- Ben … il n'y en a que deux qui m'ont joui dans la bouche … le troisième … il a valsé …

- Ah, OK …

 

Il me sert un verre d'eau. De l'autre côté de la table, Alexis, le traiteur, ne me quitte pas des yeux. Dès que j'ai reposé mon verre, le tatoué me prend la main et l'attire vers son entrejambe. Ooooh yessss ! Sa queue est coincée entre ses cuisses puissantes, mais pour ce que j'en vois, elle paraît être dans le même état que tout à l'heure, déjà à demi gonflée. Ça ne serait pas cette esquisse de baston qui l'aurait excité ? Il recule un peu sa chaise, s'installe confortablement, se tourne légèrement vers moi, appuie son coude gauche sur le dossier de son voisin et écarte les cuisses. 

 

Et il attend. C'est explicite: sans un mot, LE mâle me présente sa bite, et attend …


Les autres, autour de nous, attendent aussi. Et ça me plaît beaucoup. Je me sens comme une femelle que son mâle soumet à ses envies sous le regard d'autres mâles. Femelle … et femelle en manque et docile … Ça me plaît d'autant plus que je sais que je vais exciter les spectateurs, tous autant qu'ils sont, que je vais les faire bander … et que, sans doute, après, le tatoué va m'offrir à eux …

 

Tel qu'il est installé, sa queue est appuyée, tête en bas, contre sa cuisse gauche, et dessous, j'aperçois ses couilles qui pendent bien plus bas que le plateau de sa chaise … Ce matin, il m'a déjà tiré une cartouche dans la bouche, mais il en a encore une pour mon cul … et une grosse ! Je passe le bout de mes doigts sur le dessus de sa verge. Il reste impassible. Je soulève sa queue et je l'empoigne fermement. Elle est toute chaude dans ma main. Je commence à faire aller et venir mes doigts. Cette fois, elle se réveille et frémit. Je continue et elle gonfle sous mes doigts, se redresse toute seule. Je ne peux pas résister plus longtemps. Je m'accroupis entre ses jambes et je passe ma langue tout au long de son urètre. Cette fois, sa queue gonfle à vue d'œil. Tout en donnant de grands coups de langue sur le serpent tatoué sur cette queue, je jette un coup d'œil circulaire. En effet, les autres regardent: nos voisins directs, assis à côté de nous, mais aussi ceux de l'autre côté de la table … qui se sont levés … d'autres aussi, qui se sont approchés et qui nous entourent … pour me regarder le sucer. Lui aussi a remarqué les autres … et il a remarqué que je les ai remarqué … et je sens qu'il a compris que ça m'excite de lui tailler une pipe en public …

- Comment tu t'appelles ?

 

Je m'étonne moi-même … je ne sais pas ce qui m'a pris de lui demander ça. Aussi surpris que moi, il ne répond qu'après quelques secondes pendant lesquelles je continue de lécher goulûment son esquimau:

- Moi ? C'est Sam …

- Sam … tu veux que je te suce encore comme tout à l'heure dans l'écurie … à fond … et que j'avale ? Tu sais, j'aimerais bien aussi que tu me baises et que tu me fécondes …

- …

- Alors ?

- Pour le moment, suce ! 

 

Alors, je le suce … 

Je le suce consciencieusement, je le suce sensuellement, je le suce lascivement, je le suce voluptueusement … Et tout en le pompant, je le masturbe de la main droite et je lui pelote les couilles de la main gauche, ne m'interrompant qu'un court instant pour prendre ses mains et les attirer sur ma tête.  

 

Autour de nous, les autres murmurent, comme pour ne pas troubler la cérémonie, mais je saisis quand même quelques commentaires, envieux et admiratifs. Envieux de se faire sucer comme ça, ou d'avoir une aussi grosse bite ? Admiratifs de cette énorme engin, ou de la façon dont je le suce ? A l'exception de la raideur de sa bite, rien ne trahit son plaisir à lui, son excitation, ni mouvements incontrôlés, ni halètements, ni gémissements … Et puis:

- Arrête … relève-toi !

 

Je me relève. Il se cale au fond de son siège, me fait pivoter, pose ses mains sur mes hanches et m'attire en arrière tout en glissant ses genoux entre les miens. Il veut … il veut que je m'assoie sur lui … sur sa queue ! Je recule, je plie un peu les genoux … 

- Attends !

 

Je m'immobilise. Il ôte sa main droite de ma hanche et il ne se passe rien pendant deux ou trois secondes, puis je sens ses doigts … trois doigts  … quatre doigts … contre ma rondelle … ils sont humides, sans doute de salive … il me les introduit … il me lubrifie … pose à nouveau sa main sur ma hanche et me presse vers le bas … son gland … son énorme gland contre ma fleur … je le sens, gonflé, tendu, chaud … je descends encore un peu … son gland dans ma rondelle … rien que son gland … Oooh la laaa ! La sensation est terrible ! Je le sens presque aussi intensément que s'il était entre mes lèvres ! C'est plus fort que moi, il faut que je voie, il faut que je regarde … Je me penche et j'écarte de la main ma propre queue et mes couilles. Je ne vois évidemment pas l'entrée de mon cul, mais je vois son énorme serpent, gonflé, dressé en direction de … en direction de ma caverne … je devine et je sens sa tête en moi … et plus bas, ses couilles qui pendent encore le long de l'assise de sa chaise … Je reste un court moment suspendu comme ça, immobile, savourant cet instant … Je sais que dans quelques secondes, le tatoué … Sam … va être entièrement en moi, son serpent complètement enfoui dans la tiédeur humide de mon cul … 

 

Il appuie sur mes hanches … je me redresse et je m'empale … lentement … Je sens chaque millimètre de son pieu glisser dans ma rondelle … je sens sa verge, mouillée de salive, ouvrir, forcer, dilater mon sphincter, lui aussi lubrifié de salive … je sens son gland repousser mes chairs et s'enfoncer de plus en plus profondément en moi … Les types autour de nous regardent, muets, les yeux ronds … je réalise alors que, moi aussi, j'ai la bouche entrouverte et les yeux écarquillés sous l'effet de l'énorme chose qui pénètre en moi …

 

Voilà. Mes fesses reposent sur ses cuisses. Il n'ira pas plus loin. Je me sens ouvert, béant … mais surtout occupé, rempli … plein de cet énorme pieu de chair chaude et vivante … J'attends. Qu'est-ce qu'il veut, maintenant ? Les mains autour de ma taille, il me pousse vers le haut. Je remonte, tout aussi lentement que je suis descendu … J'ai l'impression de littéralement me vider … c'est la même sensation que quand je me soulage sur les chiottes … et d'une certaine manière, c'est le même plaisir, comme un soulagement sensuel … à part que … à part que ce n'est pas de la merde qui sort de moi, mais une grosse queue … et que je sais qu'elle va me rentrer dedans à nouveau … La voilà presque entièrement sortie … je n'ai plus que son gland en moi, juste à l'entrée … Sam appuie sur mes hanches … Je redescends … un peu plus vite … le même plaisir de son gourdin qui s'introduit en moi … Je me penche un peu en avant, je m'appuie, une main sur chacun de ses genoux et j'entame un va et vient … Oh la laaaa ! Quelle sensation ! Sa queue est comme un piston et mon cul comme un cylindre … il me remplit à chaque pénétration, et provoque comme un vide, comme une aspiration quand il ressort … Je sens que ça me secoue, que ça me bouleverse les entrailles … D'ailleurs, sous l'effet du plaisir, de l'excitation (je bande à moitié) et du massage de ma prostate par son gland, un long fil de liqueur visqueuse s'écoule de mon méat jusque sur les cuisses de Sam … Je me penche encore un peu et je glisse ma main gauche entre ses cuisses jusqu'à ses couilles. Je les pelote, je les tripote, j'entoure le haut de ses bourses du pouce et de l'index et je soupèse ses testicules au creux de ma paume … Hhmmmm, tout à l'heure, vous deux, je vais vous faire cracher votre venin !

 

Ce massage de ses boules, ainsi que mes allers et retours sur sa queue semblent lui faire aussi beaucoup d'effet. Depuis que je vais et viens tout seul sur son engin, il a ôté ses mains de mes hanches et il me caresse les fesses et les reins … presque convulsivement. Ça fait aussi de l'effet sur les spectateurs: beaucoup bandent, plus ou moins fermement, et certains se tripotent même en nous regardant. D'ailleurs, voilà un des vidéastes de ce matin – le "comptable" qui se plante devant nous, et qui demande, en montrant son smartphone:

- Je peux ?

 

Visiblement, ce n'est pas à moi qu'il demande, mais à Sam qui répond:

- Ouais … vas-y …

 

Le comptable recule un peu et commence à filmer – plan large - avant de faire un rapide traveling sur l'assistance et de revenir sur nous … de s'accroupir et de tendre son appareil un peu au-dessus des cuisses du tatoué pour capter notre coït en gros plan … Me faire filmer avec cette énorme bite dans le cul m'excite toujours autant … 

 

Maintenant, Sam me caresse le ventre, les flancs, la poitrine … puis il m'attire à lui et plaque mon dos contre son torse. Je me laisse aller, yeux mi-clos, tête en arrière. Vautré sur lui, je passe ma main derrière sa tête et je lui caresse la nuque. Aussitôt, je sens ses lèvres et sa langue à l'angle de mon cou et de mon épaule. Il m'embrasse ! Ce type aux allures de brute n'a pas fini de me surprendre. Il m'embrasse, ou plutôt, il me lèche, il me suce, il me tête … Dans cette position, il m'est difficile d'aller et venir de bas en haut sur son membre. Alors j'ondule du bassin. Entre mes paupières, je vois le vidéaste continuer de filmer notre copulation en gros plan … et il bande. D'autres, à côté, se paluchent ouvertement, les yeux rivés sur mon entrejambe. Ils voudraient bien être à la place du tatoué … peut-être à la mienne, pour certains … 

 

Soudain, Sam me saisit fermement les hanches, m'immobilise, et, dans un souffle:

- Arrête un peu !

 

Je m'arrête et j'attends. Sans doute au bord de l'éjaculation, il respire très fort par le nez et je sens son souffle sur mon épaule. Il s'est retenu. Tant mieux, je préfère qu'il me féconde dans une autre position. Quand il semble calmé, je contracte mon sphincter deux ou trois fois autour de son membre. Il le sent et ça le fait rire. Il répond en gonflant sa queue également deux ou trois fois, puis:

- Allez, pousse-toi, maintenant …

- Ah bon ? On arrête ? 

- Ouais.

-  Mais ... tu me baiseras, tout à l'heure ?

- Ouais, j'te baiserai …

 

Lentement, je me redresse, je m'appuie des mains sur ses genoux, et je me relève. Je sens sa queue glisser lentement hors de mon cul. Je suis à peine debout que surgit devant moi le gros poussah, bousculant à moitié ceux qui l'entourent. Il me prend par la main et m'entraîne:

- Viens un peu par là, toi …

 

Je ne sais pas ce qu'il veut, mais je me souviens parfaitement de ce qu'il m'a fait ce matin. Et ce qu'il m'a fait, ce matin, c'était vraiment très bien. Alors je le suis.

- Tu vas aussi t'asseoir sur ma pine … mais à ma manière … on va à ma place …

 

Sa pine ? Elle bande … Sacré morceau, celle-ci aussi … Nous voilà à sa place … Sa place, je l'aurais reconnue tout seul, à la quantité de bouffe qu'il y a dans son assiette et au nombre de plats qui gisent tout autour. Il recule sa chaise, s'assoit et me désigne sa ... pine:

- Allez, assis-toi là-dessus …

 

Je commence à l'enfourcher pour me mettre dans la même position que sur Sam, mais il m'arrête:

- Non … pas comme ça … face à moi …

 

Je me retourne et je l'enjambe. Son énorme panse déborde sur ses cuisses. La moitié de sa queue seulement dépasse de sous sa bedaine. Agrippé à ses épaules, j'approche mon fourreau de son chibre qu'il guide de la main, et je m'empale. Autour de nous, toujours des spectateurs … moins qu'autour de Sam et moi il y a un instant, mais quand même ... cinq ou six qui me regardent m'installer. Un main sous chacune de mes fesses, c'est lui qui règle la vitesse de ma descente sur son pieu. Encore lubrifié par le mélange des salives de Sam et moi, je glisse tout seul sur la bête. Wooooowhhh ! Quel morceau ! Je suis vite bloqué à l'angle de son ventre et de ses cuisses. J'ai beau me tortiller, onduler du bassin, je sens que je n'irai pas plus loin. Mais ça paraît lui convenir: le gland enfoui bien au chaud au milieu de mes chairs, un sourire béat sur le visage, il contemple mon entrejambe, là où sa queue disparaît en moi … De ses deux pognes glissées entre ses cuisses et mon cul, il me pétrit les fesses… ou plutôt, il me les écarte, comme pour mieux me pénétrer. J'amorce un début de remontée et je lui demande:

- Tu veux que je … ?

- Nan ! Bouge pas … reste comme ça … je vais …

 

D'une vigoureuse pression sur mes reins, il me fait rasseoir, puis il se penche en avant, me poussant de sa poitrine proéminente tout en me retenant de ses mains passées dans mon dos. Ne sachant pas ce qu'il veut, je m'accroche à son cou. J'ai maintenant les reins contre le rebord de la table. Il me lâche et je le sens qui manipule je ne sais quoi, derrière moi, puis:

- Enlève tes mains de mon cou et reste comme ça … en arrière … appuie-toi sur mes genoux … ou sur la table, comme tu veux, mais reste penché en arrière … 

 

Je fais comme il dit, un main sur chacun de ses genoux, et il se redresse et se cale au fond de sa chaise. Dans une main, il a son assiette pleine de bouffe, et dans l'autre une fourchette ! Il sourit d'un air content de lui:

- Voilà ! Alors ça, ça va être le pied ! Bouffer avec ma pine dans ton cul !

 

Il tient son assiette entre nous, à hauteur de sa poitrine, et il commence à enfourner d'énormes fourchetées de … de salade piémontaise ! Du coup, je ne sais pas s'il doit ses mimiques d'extase à sa baffrerie, ou à notre coït … Au fond, peu importe … du moment qu'il prend son pied et que j'y contribue … Autour de nous, les autres regardent en se marrant. Je ne suis pas à l'aise, avec mes mains sur ses genoux, alors je me penche un peu plus en arrière et je m'accoude sur la table … Ce mec est … aux anges ! Je recommence à onduler doucement du bassin. Il m'interrompt:

- Nan, arrête ! Fais-moi comme ce matin … tu sais, tu me serres la pine avec ton fion …

 

Ah, OK ! Je me concentre et j'entreprends de contracter les muscles de mon sphincter. L'anus très détendu comme je l'ai, il faut quelques secondes pour que mes contractions commencent à être efficaces et qu'il les ressente. Mais alors:

- Ah ouaiiiiiis ! Comme çaaaaaa ! Rhaaaa putaiiiiin !

 

Il ferme à demi les yeux, savourant et la bouffe et ce que je fais à sa queue … La tête en arrière, je ferme les yeux et je m'applique à contracter mon anus aussi fortement que je peux. J'alterne des séries de trois ou quatre contractions rapides et de trois ou quatre contractions plus lentes … et je sens qu'au fur et à mesure,  j'arrive à serrer sa bite de plus en plus fort … Il le sent aussi, et à ses grognements sourds, je sens qu'il adore ça. Et moi aussi. Sentir son gros machin en moi qui prend du plaisir m'excite. Des vagues de chaleur de plus en plus fortes m'inondent le cul et tout le bas ventre … 

 

Je le sens bouger, se pencher brièvement vers moi avant de reprendre place au fond de sa chaise. Il a dû reposer son assiette … vide, évidemment … Il plaque ses mains contre mes fesses et:

- Bouge un peu ton cul, maintenant … doucement …

 

Je me tortille, j'oscille du bassin de droite à gauche et d'avant en arrière, tout en continuant de lui presser la queue avec mon cul. Exercice de coordination assez compliqué … mais très agréable et surtout efficace:

- Rhooo … pu…taiiiiiin ! T'as un cul … c'est pas un cul, c'est … pu…taiiiiin ! C'est une machine à niquer !

 

Un peu comme l'avait fait Sam quelques minutes auparavant, il se met à me caresser d'une manière désordonnée … les seins … le ventre … les reins … Puis il se penche vers moi, m'enserre de ses gros bras, la tête contre ma poitrine:

- J'vais jouir ! Putain ... j'vais jouir !

 

Ah merde ! Le cul en feu, je suis partagé entre le plaisir de savoir qu'il va se répandre en moi pour la deuxième fois et l'idée que ça va compromettre le projet qui a germé en moi, presque malgré moi, après qu'il m'ait fait jouir ce matin et que j'aie fait connaissance avec la brute tatouée. Mais au point où il en est, et vu le plaisir qu'il me donne encore en ce moment, je n'ai aucune envie d'arrêter net la montée de sa jouissance … De toute façon, c'est trop tard: il me serre convulsivement, par à-coups, en bougeant son bassin, comme pour s'enfoncer davantage en moi. Oui, il jouit ! Sa queue se secoue dans mon anus et une crème tiède baigne notre coït. Il halète.

 

Puis, ça se calme, il desserre son étreinte et s'adosse à sa chaise:

- Ah la vache ! Ma parole, tu m'as … tu m'as pompé avec ton cul ! Tu m'as fait jouir … rien qu'en me pompant avec ton cul !

- Dommage …

- Quoi ? Pourquoi dommage ?

- Tu as joui et tu vas plus pouvoir me baiser …

- Hé ! Qu'est-ce que je viens de faire, là ?

- Oui, mais j'aurais voulu … j'aurais voulu que tu me baises encore … enfin … avec Sam …

- Quoi ? C'est qui Sam ?

- C'est le tatoué, là …

- Avec lui ? Comment ça …

- J'aurais voulu que vous me fassiez une double …

- Une double ? Une double quoi ?

- Une double sodomie …

- Mais …

- Une double, quoi … que vous m'enculiez tous les deux en même temps …

- Attends … Sam ! Saaaam !!

 

A quelques mètres, Sam, qui s'était remis à table, se tourne vers nous:

- Quoi !

- Viens voir …

- Quoi !

- Viens, j'te dis ! Il a quelque chose à nous demander …

 

Sam se lève de mauvaise grâce et s'approche, suivi de plusieurs autres types sans doute en quête de croustillant:

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Tu sais ce qu'il veut ?

- Non.

- Il veut qu'on l'encule tous les deux en même temps !

- Ah ouais ?

- Ouais !

 

Aux mimiques et aux gestes sans équivoque qu'ils font, je suis sûr que la plupart de ceux qui nous entourent ont déjà compris. Et ça semble les réjouir d'avance. Certains même, aux commentaires qu'ils font, avaient déjà compris quand j'ai parlé d'une "double".

 

Sam, s'adressant à moi:

- Tu veux une double ?

- Oui … et même plusieurs …

- Avec lui et moi ?

- Oui, avec vous deux, mais avant, avec tous ceux qui veulent …

 

En disant ça, j'ai balayé de la main toute l'assistance. Et dans l'assistance, on se regarde les uns les autres… silencieusement … mais je suis convaincu qu'en leur for intérieur, beaucoup se demandent avec qui il voudraient bien m'en faire une, de double … Un peu comme au bal, ils cherchent déjà un cavalier qui leur plaise … C'est que là, il s'agira pour eux de mettre leur queue non seulement dans mon cul, mais en contact étroit avec une autre queue ... plus intime que ça, c'est difficile ... Sam, un petit sourire aux lèvres, poursuit:

- Comprends pas …

- J'ai envie que vous me baisiez deux par deux … enfin, que vous m'enculiez deux par deux … et que ça soit vous deux en dernier …

- Ah bon ? Pourquoi nous deux ?

 

Il s'amuse. Il le sait, pourquoi "eux deux" … Il a vu, comme tout le monde, comment le gros est équipé, et il sait aussi que c'est lui, Sam, qui a la plus grosse queue de tous les étalons présents … Mais il veut que je le dise. Le gros sourit. Lui aussi, sait pourquoi "eux deux". Alors, je tends la main vers Sam, je prends son sexe dans la main et:

- Pourquoi vous deux ? Parce que c'est vous qui avez les plus grosses bites ! Et j'ai envie que vous me preniez en même temps, tous les deux … vos grosses bites ... toutes les deux dans mon cul ... ensemble ...

- Tu t'es déjà fait faire une double ?

- Non, jamais …

- Et tu crois que pour ta première, tu peux te prendre dans le cul deux bites comme les nôtres ?

- Oui, je crois … on verra … c'est pour ça que je voudrais que les autres m'en fassent aussi avant ... pour … pour me préparer …

- Nous, on est OK !

 

Ça a fusé ! C'est le grand brun qui m'a roulé des pelles en me faisant l'amour, qui lève la main et qui désigne de l'autre l'ours, qui approuve. Ces deux-là se sont déjà mis d'accord ! Une double par ces deux-là … ça me va ! Derrière eux, d'autres mains se lèvent, nombreuses:

- Nous aussi ...

- Pareil ...

- Ouais ...

 

Oh, les mecs ! A la perspective de me faire mettre en double quatre ou cinq fois, une bouffée de chaleur m'envahit et des fourmillements me titillent la rondelle. J'ai toujours la bite de Sam dans la main, que je masturbe machinalement:

- et vous … vous en avez déjà fait, des doubles ?

 

Sam:

- Moi, ouais, mais … à une meuf … et dans sa chatte ...

 

Le poussah secoue la tête

- Moi, non … mais ça me dit ... c'qu'y y'a … il faudrait que tu me laisses récupérer, hein … moi, je t'ai déjà baisé deux fois …

- Aaaah merci !

 

Je n'ai pas pu me retenir, je me penche et je l'embrasse dans le cou … Un peu surpris et gêné, il ricane bêtement:

- hé hé hé … alors, il faut que je fasse une tite sieste …

 

Je lève les yeux vers Sam:

- Alors, et toi ?

- Ben … si vous êtes OK tous les deux … moi aussi …

 

Je me penche vers son sexe et j'y pose trois grosses bises:

- Merci ! Mmmfffon ! Mmmfffon ! Mmmfffon !

 

Et pendant que Sam regagne sa place, d'un coup de menton explicite, le poussah me signifie de m'en aller en me tapotant le dessous des cuisses. Quand je me relève, sa queue toute molle, s'échappe de mon cul dans un bruit de mouillé. 

- Tu t'appelles comment, toi ?

- Moi ? C'est Thierry …

- A tout à l'heure, Thierry … et fais une bonne sieste.

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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