Mercredi 5 avril 2017 3 05 /04 /Avr /2017 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Samedi 11 novembre. 

Ça s'est passé bizarrement, et là, je n'y suis pour rien. Quoi qu'il en soit, me voilà bel et bien courbé au-dessus de cette table, le pantalon descendu à mi-cuisses, le cul à l'air, et pour une fois, ce n'est pas pour me faire prendre en levrette !

 

Non. Là, je ne suis pas seulement penché au-dessus de cette table, je le suis aussi au-dessus de son ventre à ELLE, la tête entre ses cuisses, et ma langue dans sa chatte !

 

Oui, je suis de nouveau en train de bouffer la chatte de Yolaine … ma voisine. Comment on en est arrivés là, elle sur le dos au milieu de cette table, cuisses écartées, et moi en train de lui brouter le minou ? C'est un peu compliqué. Et surtout, comment on en est arrivés à faire ça ICI ? Parce qu'en plus, le cadre de nos ébats est vraiment extravagant quand on connaît ma voisine ... la sacristie de l'église ! Là où le curé se met en tenue, et la table sur laquelle Yolaine s'abandonne, c'est celle où elle fait le catéchisme aux enfants ! 

 

Bon, alors, je vous raconte.  La première fois où il y a eu du sexe entre nous, c'était il y a quelques mois. "Du sexe entre nous", c'est beaucoup dire. Elle m'avait surpris dans mon jardin, dans la même position qu'elle en ce moment: sur le dos, cuisses écartées sur une table, en train de me faire fourrer par Gabriel, ce grand black si bien monté. Le seul sexe qu'il y eut entre nous ce jour là, c'est qu'elle s'était masturbée en nous regardant. La fois suivante, c'était le soir même de mon gangbang chez Jean-Claude. Et là, il y avait vraiment eu du sexe entre nous. L'ayant plus ou moins forcée à regarder des photos de mes accouplements avec ma horde de mâles en rut, elle s'était laissée aller à manifester son excitation, et nous avions fini sur sa terrasse, elle cuisses écartées sur sa balancelle, et moi à genoux à lui bouffer l'entrecuisses.

 

Nous nous étions laissés  aller à nos pulsions de l'instant, et après ça, elle avait repris ses distances avec moi. Ça ne m'étonnait pas, et de mon côté, je ne cherchais pas à me rapprocher d'elle. Physiquement, elle n'est vraiment pas bandante – enfin, elle N'ÉTAIT vraiment pas bandante, parce que elle a fait de considérables efforts - et son attitude est toujours aussi raide et hautaine – de même, je devrais plutôt dire "ÉTAIT toujours aussi raide et hautaine". -. De plus, nos occupations respectives ne nous amenaient pas à nous fréquenter. Alors, la situation me convenait. Simplement, ça m'amusait de savoir qu'en dépit de ses postures supérieures et de sa réputation de morale rigoriste, elle s'était laissée dominer par des pulsions qui, de toute évidence, lui taraudaient l'entrejambe. Et je me demande si elle ne redoutait pas que je cherche à exploiter d'une manière ou d'une autre le moment d'égarement auquel elle avait succombé.

 

Bref, dans les rares occasions où nous nous croisions, elle continuait de me snober, comme s'il ne s'était rien passé entre nous. A un simple "bonjour", elle me répondait du bout des lèvres en me jetant un regard noir. Si je poussais jusqu'à lui demander comment elle allait, elle haussait les épaules, et le plus souvent ne se donnait même pas la peine de me répondre. Bon, c'est vrai, après mon gangbang chez Jean-Claude, il m'était arrivé de la provoquer au retour d'une partie de cul, en m'exhibant en trav, les miches à l'air. Me souvenant d'elle sur le dos sur sa balancelle, cuisses ouvertes, en train de s'écarter les petites lèvres pour que je lui fourre ma langue et que je lui suce le clito, je ne pouvais pas m'empêcher de me foutre d'elle. On avait fini par ne même plus se croiser devant chez nous, comme si elle évitait de sortir quand elle me voyait sur la cour. Voilà l'ambiance jusqu'à ce que …

 

Jusqu'à ce qu'un jour, Françoise, une conseillère municipale, frappe à ma porte pour m'inviter à une cérémonie organisée par la municipalité la semaine suivante pour remercier les personnes et les associations ayant contribué à l'animation du village. Quand elle repart, j'aperçois Yolaine qui pointe le nez à sa porte et qui l'appelle. Françoise se précipite chez elle. Normal, elles font toutes les deux partie de l'équipe d'animation de la paroisse. Là, je me dis qu'il y a bien quinze jours que je n'avais pas vu ma voisine.

 

Le jour de la cérémonie, quand j'arrive à la salle des fêtes, il y a déjà un peu de monde, disséminé par petits groupes, réunis par affinités. Il y a les membres du bureau de la société des fêtes, les animateurs du club des anciens, la présidente du club de gym, celui du club de rando, des femmes de l'équipe d'animation paroissiale et les propriétaires du poney club. Je fais le tour des groupes pour les saluer et échanger quelques mots avec les uns et les autres. J'arrive enfin à l'équipe d'animation paroissiale. Je commence à leur serrer la main, en commençant par Thérèse, leur responsable. En entrant dans la salle, j'avais bien repéré ce groupe, parmi lesquelles j'avais reconnu au premier coup d'œil Thérèse, la "chef", et Françoise, la conseillère municipale. Mais, ne fréquentant l'église et ses "piliers" qu'à l'occasion de manifestations laïques, je ne connais pas toute l'équipe d'animation paroissiale. Je n'avais donc pas fait plus attention que ça aux deux autres femmes de ce petit groupe. Et quelle ne fut pas ma surprise, en m'approchant, de m'apercevoir que l'une des deux, c'était … ma voisine, Yolaine ! Une Yolaine méconnaissable ! Si méconnaissable que, de loin, je ne l'avais pas reconnue.

 

Comment dire ? Une femme ! Oui, ça paraît bizarre de dire ça, mais c'est une femme ! Jusqu'alors, c'était un être au sexe indéterminé, à l'apparence ambiguë, femme-hommasse, ou homme efféminé. A tel point qu'à plusieurs reprises, j'avais entendu des personnes, la saluer d'un "bonjour monsieur": cheveux gris mi-longs, raides, séparés par une raie sur le côté, toujours fagotée sans grâce avec des vêtements unisexe, polos et bermudas l'été, pulls et pantalons l'hiver. Jamais de corsage léger, jamais de jupe ou de robe. Un air renfrogné sur le visage et une méchanceté prête à fuser. Bref, un repoussoir.

 

Et là, aujourd'hui, elle est métamorphosée ! Elle a une coupe de cheveux recherchée, assez courte, dégradée dans le cou, aux mèches savamment en bataille, plus longues d'un côté, et quelques unes teintées en châtain clair, parmi ses cheveux gris. J'ai même l'impression que ses sourcils sont moins épais. Maquillée ? Quand même pas, ou alors légèrement. Et parfumée. Elle porte un chemisier blanc sous un gilet aux couleurs vives, rouge, jaune moutarde et vert sur fond noir – la coupe d'un gilet de costume d'homme sans manches -, une jupe portefeuille noire, près du corps et étonnamment courte, et aux pieds, des ballerines du même rouge que sur son gilet. L'ensemble est assez "classe" mais très gai, et lui donne une apparence féminine assez … pfiouuuuu ! Oh, ce n'est toujours pas un canon, mais elle a perdu au moins dix ans et elle est presque jolie, si tant est qu'on puisse dire ça d'une femme de son âge ! 

 

En lui tendant la main, je ne peux dissimuler une mimique de surprise admirative:

- Dites-moi, Yolaine, vous êtes en beauté …

 

Devant ses copines de la paroisse, je m'attends à me faire foudroyer du regard ou à recevoir une bordée d'invectives. Mais non, elle cille légèrement et j'ai l'impression qu'elle me serre la main un peu plus fort et un peu plus longtemps que nécessaire. C'est sa "chef", Thérèse, qui réagit:

- Ah, ben voilà ! Vous aussi, vous avez remarqué sa transformation ! N'est-ce pas, qu'elle est magnifique, comme ça, notre Yolaine ! 

 

Elle ne sait plus où se mettre. Elle pique un fard, baisse le nez:

- Arrête, Thérèse !

- Ben quoi … faut le dire. On se demandait tous si tu allais te décider à faire quelque chose, pour ton look. Et c'est réussi, vous ne trouvez pas ?

 

C'est à moi qu'elle s'adresse. Alors:

- Ah oui, c'est réussi. Moi, j'aime beaucoup votre …

 

De la main, je désigne sa tenue, de haut en bas:

- C'est très féminin. J'aime beaucoup.

 

Elle repique un fard. Thérèse:

- Elle doit avoir un amoureux, mais elle ne veut pas nous dire qui c'est. Vous êtes voisins, vous devez bien savoir si quelqu'un vient lui faire la cour. Vous n'avez pas une idée ?

 

Yolaine:

- Arrête, Thérèse. Je n'ai personne. Et puis si c'était le cas, ça ne vous regarderait pas.

 

Je me tourne vers Thérèse:

- Nous sommes voisins, mais ça ne veut pas dire que nous soyons proches. Je ne surveille pas qui entre chez elle et je ne regarde pas par-dessus le mur pour voir ce qu'elle fait dans son jardin.

- Non, évidemment. Je me doute bien que vous n'êtes pas une tordu de ce genre.

 

Ayant saisi l'allusion à sa curiosité d'il y a quelques mois, Yolaine me fusille du regard. A côté d'elle, Françoise, la conseillère municipale, nous écoute en souriant et en me jetant, de temps à autres, de petits coups d'œil. Je mets fin à la discussion:

- Bon, excusez-moi, j'ai deux mots à dire à mes amis.

 

Je m'éloigne et je rejoins un groupe réunissant des membres de la société des fêtes et du club de randonnée. 

 

Il n'y a pas deux minutes que je suis avec eux à discuter, quand nous voyons arriver Yolaine. Elle s'insère dans notre groupe et lance un bonjour à la cantonade. Surpris, pensant qu'elle a quelque chose à nous dire, nous attendons. Mais non, elle sourit, et attend que la conversation reprenne. Roger, le président de la société des fêtes, m'interroge du regard, mais comme je ne sais pas pourquoi elle débarque, je hausse les épaules, incapable de lui expliquer. Ça surprend d'autant plus tout le monde qu'elle n'a jamais caché une franche animosité à l'égard de cette équipe, trop laïque et "gaucho" à ses yeux. Au point qu'elle a refusé à plusieurs reprises de participer à des manifestations pourtant organisées en collaboration avec ses consœurs de l'animation paroissiale. Nous reprenons notre conversation à laquelle, peu à peu, elle se met à participer, ponctuant nos remarques et riant avec nous.

 

Et puis, le maire, entouré de son conseil municipal, monte sur la petite estrade. Apparemment, tous les invités sont arrivés, et il va commencer son discours. 

 

Après les remerciements, scrupuleusement adressés à chaque équipe et à chaque personne ayant animé la commune, tout le monde se retrouve devant le buffet. Les conversations reprennent par petits groupes. C'est ce moment que choisit Françoise, la conseillère municipale, pour me prendre par le coude et m'entraîner un peu à l'écart:

- Dites, vous êtes sûr que vous ne savez pas pour qui elle s'est fait belle comme ça ?

- Qui ça ?

- Qui ça ! Votre voisine, bien sûr !

- Ah non. Enfin, oui, je suis sûr. Je n'en ai aucune idée.

- Hé. Pas à moi, hein ! La semaine dernière, quand je suis venue vous inviter, elle m'a fait entrer chez elle. Vous savez pourquoi ?

- Ben non.

- Elle voulait savoir si vous étiez invité et si vous comptiez venir.

- Ah bon ? Et alors ?

- Alors ? Quand je lui ai dit que vous comptiez venir, elle a eu un drôle d'air. Et aujourd'hui, elle est là, alors qu'avec mes collègues, on était sûres qu'elle ne viendrait pas ... elle n'assiste jamais à ce genre de sauterie. Et la voilà … transformée pour l'occasion, parce qu'elle s'est fait relooker depuis qu'elle a reçu son invitation ... enfin, je crois plutôt que c'est depuis que je lui ai dit que vous seriez là. Je ne l'ai même pas reconnue, quand elle est arrivée, tout à l'heure !

- Moi non plus, je ne l'ai pas reconnue. Ecoutez, je suis aussi surpris que vous, et je vous assure que si elle a quelqu'un, ce n'est pas moi. Elle m'a toujours plus ou moins fait la gueule, et ça ne s'est pas arrangé dernièrement.

- Mouais. Et tout à l'heure, elle nous a plantées là, avec Thérèse et Isabelle, pour vous rejoindre, avec ceux de la société des fêtes, alors qu'on sait très bien qu'elle ne les supporte pas.

- On a été aussi surpris que vous, et …

- Attention, la voilà.

 

Yolaine s'approche, des flûtes de Champagne à la main, et nous les propose. Pendant la petite heure qui suit, je passe d'un groupe à l'autre, à discuter avec un peu tout le monde. Françoise m'a mis un drôle de truc dans la tête, avec ses remarques. C'est vrai que je remarque que Yolaine se trouve toujours dans mon champ de vision, jamais très loin de moi, et semble s'arranger pour que je sois aussi toujours dans son champ de vision. A deux reprises, elle me propose encore du Champagne. Son manège n'échappe pas non plus à Françoise, parce qu'à un moment, alors qu'avec la conseillère municipale, nos regards se croisent, elle a une mimique qui signifie clairement « alors, qu'est-ce que je vous disais … ». Quand je sens que les quelques flûtes que j'ai bues m'ont suffisamment "détendu", je décide de partir. Je serre quelques mains, et je m'éclipse. Dehors, la nuit est plutôt fraîche. C'est quand j'aborde la pelouse qui entoure l'église que je remarque, derrière moi, le grincement de la porte de la salle des fêtes et des bruits de pas pressés. Je me retourne et … c'est Yolaine ! Ah, la vache, elle m'a emboîté le pas. Si les autres l'ont vue partir juste après moi, ils vont vraiment se faire des idées, maintenant …

 

Je reprends mon chemin et j'entends le bruit léger et rapide de ses pas sur le macadam. Ma parole, elle court ! La voilà à ma hauteur. Elle me prend par le bras et:

- Viens par ici, toi !

 

« Viens par ici, toi ! ». Non, mais, voilà autre chose, elle me tutoie ! Qu'est-ce qu'elle me veut ? M'engueuler ? Je dégage mon bras:

- Hé ! Ça va, oui ? Qu'est-ce qui vous prend ?

 

Cette fois, elle me prend la main et cherche de nouveau à m'entraîner:

- Viens, je te dis. Tu vas voir ce qui me prend.

 

Elle veut m'engueuler, ou quoi ? Mais c'est curieux, ce n'est pas le ton de quelqu'un en colère. Je dégage ma main:

- Non. Dites, déjà. On verra après si je viens.

 

A ma grande surprise, elle jette un coup d'œil autour de nous et, comme rassurée, elle écarte les pans de sa parka, ouvre celui de sa jupe, et me plaque la main sur sa chatte !

- Comme ça, tu vois ce qui me prend ?

 

Putain ! J'ai d'abord un mouvement réflexe: je résiste. Mais elle presse fermement ma main, m'obligeant à la fourrer entre ses cuisses:

- Allez, fais pas ta mijaurée, touche !

 

Ben, voilà autre chose ! « Fais pas ta mijaurée ! » Comment elle me parle ! Elle croit quoi ? Que ça me fait peur, de la toucher ? Alors je touche. Et je remarque immédiatement deux choses: d'une, elle ne porte pas de culotte et de deux, elle n'a pratiquement plus de poils sur le pubis ! Putain, je n'en reviens pas ! Et pendant que je digère ça, elle souffle:

- Allez, mets-moi ton doigt, comme l'autre jour.

 

Ce soudain tutoiement, cette manière directe, presque brutale de me … de me forcer à lui peloter la chatte ! Un geste de ce genre de la part d'un homme sur une femme, c'est ce qu'on appelle une agression sexuelle ! Bon, évidemment, je ne vais pas porter plainte et elle doit s'en douter. A mon avis, elle a le feu au cul, et elle m'a choisi pour faire le pompier. Alors oui, pourquoi pas ? Elle veut encore se faire masturber ? OK. Après tout, j'adore que des mecs m'utilisent pour se donner du plaisir, alors pourquoi elle ne ferait pas pareil ? Mes yeux se sont habitués à la pénombre, à peine atténuée par la lueur d'un lampadaire de l'autre côté de la place. Elle est tout contre moi, diffusant ce doux parfum que j'ai déjà remarqué tout à l'heure, et je vois qu'elle a les yeux à demi fermés, la bouche entrouverte. Les signes de la femme excitée qui s'abandonne déjà. 

 

Je passe mon autre main derrière ses reins, et je glisse mon majeur dans sa fente. Oh putain, elle est déjà toute mouillée ! Le contact de mon doigt entre ses petites lèvres et sur son clitoris lui fait aspirer bruyamment une bouffée d'air. Elle déglutit bruyamment et:

- Alors, comme ça, tu sens ce qui me prend ?

 

Immédiatement quelque chose réagit dans mon pantalon. Je commence à bander. Elle plaque mon poignet contre son pubis comme elle y presserait un vibromasseur, à la fois fermement et lascivement. J'entreprends de bouger mon doigt, quand j'entends, au loin, le grincement de la porte de la salle des fêtes, et des bruits de conversation. Elle les entend aussi, saisit mon poignet et m'entraîne précipitamment vers l'arrière de l'église, dans l'angle d'un contrefort plongé dans l'ombre. Elle s'adosse au mur et guide de nouveau ma main vers son entrejambe. Elle ne veut quand même pas qu'on fasse ça ici ! Ce n'est pas que ça me déplairait, mais si elle veut que notre … "relation" reste secrète, c'est un peu risqué. Je fais aller et venir l'extrémité de mon doigts sur son clitoris. Elle a passé son bras droit dans mon dos, et elle me serre contre elle, haletante. Les bruits de pas et les voix s'approchent. Un homme et une femme. S'ils prennent le même chemin que nous, ils vont passer juste devant nous. On a beau être dans un coin sombre, ils risquent tout de même de nous voir. J'ai l'impression que ça l'excite. Je continue de la doigter. J'ai le nez tout près de sa tête et je perçois sa chaleur et la douce odeur de son parfum. Comme par réflexe, je baisse la tête et je pose mes lèvres dans son cou, juste sous son oreille. Ça semble lui plaire, parce qu'elle pose sa main gauche sur ma nuque et me caresse. 

 

Le couple a tourné et passe de l'autre côté de l'église. Je sens Yolaine écarter une jambe, la lever et la passer derrière la mienne, ouvrant sa vulve à ma caresse. Cramponnée à moi, elle se met à gémir sourdement, puis elle vient coller sa joue contre la mienne et elle se frotte. Elle ôte sa main gauche de ma nuque, et la plaque sur la toile de mon pantalon, sur mon bas ventre. Elle tâtonne un peu, et finit par trouver ma queue, tête en bas dans ma jambière. Elle la palpe à travers le tissu:

- Tu bandes ! 

 

Elle marque un temps, puis elle souffle dans mon oreille:

- Je veux que tu me baises !

- Pardon ?

- Je veux que tu me baises, et avant, je veux que tu me fasses comme l'autre jour, avec ta langue.

 

Putain, mais elle est complètement déchaînée ! Elle m'a empoigné la queue et elle s'est mise à me masturber à travers la toile de mon pantalon.

- Mais, dites, Yolaine, ça va bien, oui ?

- Quoi ! Tu … tu te fais ... BAISER par … par trente types … tu leur … tu leur suce leur … leur BITE, et tu ne veux pas me BAISER, moi, ou remettre ta langue dans ma FENTE ? L'autre jour, c'est toi qui as voulu me la mettre, ta langue. Ça t'a plu ou non ?

- Oui, mais …

- Bon, alors … qu'est-ce que ça peut te faire ? C'est rien, pour toi, de me faire ça !

- C'est la manière …

- Ah, dis ! Il faut y mettre les formes ? Tu aurais voulu que je te fasse la cour avant, peut-être ! Quand on sert de … de … je sais pas quoi à TRENTE TYPES EN RUT pour qu'ils se SOULAGENT, on fait pas SA PUCELLE !

 

Ah la vache ! Où elle a pris ce langage de charretier ? Je n'en reviens pas. Et elle m'a sorti tout ça sur un ton mi-autoritaire, mi-implorant, insistant sur certains mots. Et alors, sa formule finale … « On fait pas sa pucelle ! ». Je ne peux pas m'empêcher de rire:

- Ah, Yolaine ! Toujours aussi diplomate ! 

- Oui, ben … tu t'es laissé faire par tous ces types, tu peux bien te laisser faire par moi. En plus, je suis sûre que ça te plaît, de te faire commander, dominer. Je me trompe ?

 

Pendant cet échange, je n'ai pas cessé de lui pétrir doucement le clitoris, et elle n'a pas arrêté de me tripoter machinalement la queue.

- Non, c'est vrai, j'aime bien me montrer docile, avec les hommes. J'aime bien qu'ils me forcent, aussi.

- Ah, tu vois ! Au fait ! Les types, l'autre jour ... ils étaient venus pour ça ?

- Quels types ?

- Les cinq types ... la grosse Mercedes noire ... ils étaient venus pour te ... 

- ...

- ... ils étaient venus pour te baiser ?

- Ah ! Eux ? Ben ... oui.

- J'en étais sûre ! Quand j'ai vu cette grosse voiture se garer devant chez moi, et ces types en descendre, j'étais sûre qu'ils venaient pour toi ... pour te baiser. Alors, ils t'ont baisé ...

- Oui.

- J'en étais SÛRE ! Tous ? Ils t'ont TOUS baisé ?

- Oui. 

- Ah la la ! Je le savais ! Tu sais ... pendant que ... pendant tout le temps qu'ils ont été chez toi ... moi, je me disais "là, ils sont en train de le baiser"... "ils sont en train de le ... l'un après l'autre ..." et ça me ...

 

Je la sens frissonner.

- Ça te ... ça te faisais quoi ?

- Ça m'excitait, tiens ! J'imaginais ce qu'ils étaient en train de te faire ... comme ... comme les autres, sur les photos que tu m'avais montrées ... Ça me faisait envie. J'aurais voulu être à ta place ... TOUS LES CINQ ... ils t'ont baisé ...

 

Ce n'est pas vraiement une question. Je la sens imaginer, presque vivre mentalement la situation et sans doute se voir à ma place. Dans un mouvement réflexe, elle tend un peu plus son bassin vers moi. Puis elle se reprend et insiste:

- Ils t'ont vraiment TOUS baisé ? TOUS LES CINQ ?

- Ben oui. Ça t'excite, on dirait.

- Oui. Je me suis ... je me suis caressée, pendant que ... Et c'était bien, ce qu'ils t'ont fait ?

- Oui.

- Raconte.

- Une autre fois, non ?

- Je m'en doutais que c'était bien ... Oui, tu me raconteras !

 

Et elle change soudainement d'attitude, comme si elle sortait d'une sorte de rêverie. Elle se reprend et redevient autoritaire:

- Ouis, alors, tu arrêtes de faire ta chochotte et là, tu va me mettre ta langue dans la … fente. Tu sens comme elle est mouillée ?

 

Elle est totalement déshinibée. Et oui, je sens comme elle est mouillée. J'ai les doigts trempés et je lui ai étalé sa liqueur jusque sur les grandes lèvres, le pubis et le périnée. Ça me fait saliver et j'ai de nouveau une furieuse envie de boire à sa chatte. Alors oui, je vais te la bouffer, ta chatte, et après, je vais te baiser !

- Oui, je vais te la bouffer, ta fente. Et après, je vais te baiser. 

 

De ça aussi, je n'en reviens pas. Je croyais mes pulsions de mec envolées à jamais, je ne m'imaginais pas avoir de nouveau envie de baiser une femelle … et voilà ! Oh, ce n'est pas la femelle la plus bandante, la plus sexy qui soit. C'est ma voisine, cet être jusqu'alors androgyne qui ne m'a jamais inspiré le moindre désir en tant que tel. L'autre jour, c'est de bouffer une chatte qui m'a fait envie. A ce moment précis, n'importe quelle chatte aurait fait l'affaire. Il se trouve que c'était la sienne qui était à ma disposition à ce moment-là. Ce soir, en plus de sentir que sa moule s'est si bien lubrifiée à l'idée de se prendre un coup de queue, ce qui m'excite, c'est justement la perspective de baiser cette mégère, jusqu'ici si imbue d'elle même, si arrogante, si dédaigneuse, si coincée. Ce qui m'excite, c'est qu'elle se soit si brusquement et si radicalement décoincée et qu'elle se soit métamorphosée de bloc de marbre glacial en cette espèce de nymphomane fébrile. Au fond de moi, quelque chose me souffle que je ne suis pas étranger à son soudain basculement du côté lubrique du sexe. Et bien, si c'est ça, ma garce, tu vas voir ce que c'est que la débauche. L'autre jour, tu m'as dit qu'avec mes étalons, on faisait ça comme des animaux, et bien, je vais t'y amener à baiser comme des animaux. Oui, là tout de suite, je vais te prendre, je vais te baiser, et tôt ou tard j'arriverai même à t'enculer !

 

Satisfaite de m'avoir convaincu, elle a empoigné ma queue à travers le tissu, et maintenant, elle me branle doucement en gémissant, visiblement excitée de tenir ma bite dans sa main. On n'a pas entendu la porte grincer, mais sur le parking de la salle des fêtes, les phares d'une voiture viennent de s'allumer, et leur faisceau vient balayer le sol à quelques mètres de nous. Je lui souffle:

- On rentre.

 

Elle aussi a vu la lueur. Elle se dénoue d'autour de moi, saisit encore une fois mon poignet, et au lieu de se diriger vers notre rue, elle se plaque sur le contrefort de l'église, m'incitant à me cacher comme elle dans son ombre. La voiture passe lentement devant nous et poursuit son chemin. Dès qu'elle nous a dépassés, Yolaine m'entraîne à l'opposé de la rue où nous habitons, s'arrête devant la porte de la sacristie, fouille dans une poche de sa parka, et j'entends un trousseau de clefs cliqueter contre la porte métallique. Nous voilà à l'intérieur. Elle n'allume pas, laisse la porte entrouverte, et, à la lueur d'un lampadaire de la place, elle s'empresse de tirer un rideau devant l'unique fenêtre. Elle referme alors la porte, donne un tour de clef et allume. Je connais déjà la sacristie pour y avoir préparé un concert et plusieurs expositions qui se déroulaient dans l'église. Au milieu, une grande table carrée, recouverte d'un épais tissu écarlate et entourée, sur chacun de ses côtés, de quatre chaises. Contre les murs, l'armoire où le curé suspend ses chasubles, une espèce de commode à tiroirs, du matériel de sonorisation, des piles de chaises, un banc, un évier, un frigo ...

 

Le premier geste de Yolaine, après avoir allumé, c'est de grimper sur une chaise pour étaler un torchon sur le crucifix accroché au mur. Elle ne veut pas forniquer sous le regard de Jésus. Elle ôte nerveusement sa parka, la jette sur la commode et, pendant que j'enlève mon blouson, elle commence à débarrasser les chaises qui garnissent un côté de la grande table. Puis elle entreprend d'enlever les piles de papiers et les fascicules qui l'encombrent. Alors qu'elle se penche pour attraper une pile de dossiers, je viens me coller contre elle, les mains sur sa taille. Elle s'immobilise. Je glisse ma main droite sur sa fesse, je la descends le long de sa jambe jusqu'à ses genoux, et je la remonte entre ses cuisses en retroussant sa jupe. Elle tressaille et écarte un peu les jambes. Je passe mes doigts entre ses fesses, puis, à tâtons, je commence à les glisser entre ses petites lèvres. Oh, la VACHE, elle est trempée ! Ça me donne une furieuse envie d'aller laper le désir qui s'écoule de son ventre. Je frotte mes trois doigts rassemblés, index, majeur et annulaire, contre sa vulve, étalant sa sève sur ses grandes lèvres et son périnée. Elle lâche sa pile de dossiers, saisit ma main gauche et l'attire vers son ventre. Elle écarte elle-même les pans de sa jupe et entraîne ma main entre ses cuisses. Quand mon index entre en contact avec son clitoris, tendu, elle pousse un petit gémissement. J'introduis le majeur de ma main droite dans son vagin. J'ai beau lui avoir déjà bouffé la chatte une fois, l'avoir vue sur le dos, cuisses grandes ouvertes, en train de s'écarter les lèvres avec ses doigts pour que je lui fourre ma langue, son comportement totalement libéré, désinhibé, impudique, m'ébahit. Elle doit vraiment avoir le feu au cul pour se lâcher de cette façon ! Tout en titillant son clito de mon index gauche, en manœuvrant mon majeur droit dans son vagin, je sens bouger son anus contre le gras de mon pouce, comme s'il réclamait une caresse. Je sors mon doigt de sa chatte et je le glisse lentement vers sa rondelle. Au moment où je pose son extrémité au centre sa rosette, elle repousse brutalement ma main et se retourne:

- Non ! Pas ça !

 

Bon, OK. Mais tu peux être sûre qu'un jour, tu y viendras, ma cocotte. Toi, un de ces jours, "la mère la pudeur", je t'enculerai ! Les fesses appuyées au bord de la table, elle me repousse un peu et entreprend fébrilement d'ouvrir sa jupe. Voilà, première agrafe, puis deuxième agrafe. Elle l'envoie rejoindre sa parka sur la commode et me lance:

- Allez, viens ! Fais-moi comme l'autre jour. Mets-moi ta langue dans … ici !

 

Elle plaque la main sur son pubis. Je la sens fébrile, dans l'urgence. Elle s'assoit sur la table, jambes pendantes, et déboutonne son gilet. Elle m'épate de plus en plus. Ces initiatives qu'elle prend sans vergogne, comme me coller la main sur sa chatte et me tripoter la bite. Ce soudain manque de pudeur, qui lui fait ôter sa jupe et m'exhiber sa chatte comme si nous étions un vieux couple. Ses formules directes et crues: « tu bandes », « je veux que tu me baises » ... tout ça est si loin d'elle ! Comme si des pulsions trop longtemps contenues s'étaient mises à la submerger, à enfoncer ses défenses psychologiques. Elle semble totalement désinhibée. Je m'approche:

- Ça te plaît, de te faire bouffer la chatte ?

- BOUFFER LA CHATTE ? C'est comme ça qu'on dit ?

- Oui, c'est comme ça qu'on dit. On peut dire aussi "brouter le minou".

- Oui, ça me plaît de me faire ... BOUFFER LA CHATTE.

 

Un large sourire sur le visage, elle a dit ça avec une espèce de délectation lubrique, comme une gamine qui se régalerait à dire des gros mots. Elle m'a littéralement chopé par la ceinture de mon pantalon, et attiré brutalement vers elle. Je perds à moitié l'équilibre et je me retrouve tout contre elle. De nouveau ce parfum qui se dégage d'elle. Je me penche, tout contre sa joue et je hume:

- Tu sens bon. C'est quoi ?

- On verra ça plus tard.

 

Elle me repousse un peu et, penchée en avant, elle déboutonne fébrilement mon pantalon. Elle s'empêtre dans mon zip, et c'est moi qui finis de le descendre. Aussitôt, elle plonge la main à l'intérieur:

- Mais … tu ne portes rien en dessous !

- Non. C'est pour ça que, tout à l'heure, tu as trouvé ma bite dans ma jambière. D'ailleurs, toi non plus, tu ne portais rien, sous ta jupe. Comme une cochonne. C'est bien, ça me plaît. 

- J'avais mis une culotte pour aller à la réunion du maire. Mais quand je t'ai vu arriver, je suis allée l'enlever aux toilettes. 

 

Ah bon ! Au moins, c'est clair. Elle sort sa main de mon pantalon, fouille dans la petite poche de son gilet, et en extrait une espèce de petite boule de tissu noir. Elle la secoue pour la dérouler. C'est un string minuscule en dentelle. Elle est passée sans transition du slip en coton le plus basique et le moins sexy à la petite culotte la plus "sexe" qui soit ! Elle l'agite sous mon nez avec un petit sourire coquin:

- J'avais envie de te le dire, tout à l'heure, au milieu des autres, que j'étais nue sous ma jupe. Mais je n'ai pas osé. 

- Ah, c'est dommage, ça m'aurait bien plu, de savoir que tu te baladais la foufoune à l'air. 

- C'est la première fois que je fais un truc comme ça. Ça m'a beaucoup plu. Même porter un string sous ma jupe et parler avec les gens comme si de rien n'était, c'était excitant. Alors après, avoir la foufoune à l'air, comme tu dis … je sentais que je … que j'étais de plus en plus mouillée. 

 

J'arrête sa main au moment où elle me passe son string sous le nez. Je le prends, je l'étale sur mes doigts et je renifle le minuscule gousset:

- Hhhmmmmm, il sent bon. Et ça, là, ce petit bout de tissu en coton … il a été dans ta foufoune, il est tout humide.

- Oui. Il me rentrait dans … dans la foufoune. Alors il est tout mouillé, lui aussi.

 

Je le prends dans ma bouche et je le suce. Elle me regarde, souriante, ravie de me voir téter son string. Elle a remis sa main dans mon pantalon, en a extrait ma queue, un peu brutalement, et elle se met à me masturber:

- Il y avait longtemps que je n'avais pas touché le sexe d'un homme !

- Si longtemps que ça ?

- Oui, depuis … depuis que je suis veuve …

- Et il devait y avoir longtemps que tu ne t'étais pas fait brouter le minou.

- Jamais ! Avant l'autre jour, je ne m'étais jamais fait brouter le minou.

- Ah bon ? Même pas par ton mari ?

- Non. On ne faisait pas ces choses là, avec mon mari. 

- Et lui, ton mari, tu l'as sucé ?

- Non, je te dis, on ne faisait pas ces choses là. Toi, tu vas me le brouter, mon minou, hein ? Et après tu vas ME BAISER ?

 

Je sens qu'elle se délecte à prononcer ça.

- Oui, je vais te le brouter, ton minou. Et après, je vais te baiser.

- Oui, mais me BAISER, hein ? Comme ces hommes t'ont fait à toi …

- Comment ça ? Tu veux que je … que je t'encules ?

- Ah non … pas ça. Je veux que tu me baises … normalement, quoi … mais pas que tu me fasses l'amour. Que tu me BAISES, quoi …

- Ah, d'accord. Je vois.

- Tu as envie de moi ?

- Oui. Ça se voit, non ?

- Il y a longtemps, que tu as envie de moi ?

- Oh non. 

- Ah bon ? Depuis quand ?

- Dix minutes, un quart d'heure … depuis que tu fais ta salope avec moi …

- Tu trouves que je fais ma salope ?

 

Elle me demande ça comme si elle cherchait un compliment !

- Ben oui, tu fais plus salope que sainte Nitouche !

- Allez, vas-y !

 

Elle lâche ma bite, et entreprend de se reculer vers le milieu de la table, entraînant sous ses fesses la pile de dossiers qu'elle a oubliée et le lourd tissu de la nappe. Elle balaie les papiers d'un revers de main, remonte ses jambes, pose ses pieds juste au bord de la table et s'accoude:

- Allez, viens. BOUFFE-MOI LA CHATTE ! Je te regarde.

 

Je commence par poser mes mains sur ses genoux, puis à les descendre en caressant l'intérieur de ses cuisses. Elle les écarte largement, totalement impudique, m'exposant sa vulve. En effet, elle a considérablement réduit sa toison, à la fois en épaisseur et en surface. En appréciant la douceur de ses cuisses, je remarque:

- Tu t'es épilée. C'est bien, comme ça.

 

Elle glisse une main entre ses jambes et se caresse la toison:

- Oui. Avant, je n'avais pas besoin. Je le faisais seulement un peu quand j'allais chez le médecin. Ça te plaît ?

- Oui, bien sûr. C'est plus joli à regarder et c'est plus confortable.

- Plus confortable ?

 

Elle a maintenant son majeur entre ses lèvres et elle commence à se caresser.

- Oui, c'est plus confortable pour ma langue et pour mes lèvres.

- Allez, viens me la mettre, ta langue. Broute-moi le minou.

 

Elle tend la main vers moi. Comme l'autre jour, je pose des baisers à l'intérieur de ses cuisses. Elle rejette la tête en arrière. J'approche de son entrejambe et je commence à passer ma langue sous ses aines, à ce minuscule endroit, juste à la limite entre le haut des cuisses et le bas des fesses, ces quelques centimètres carrés naturellement dépourvus de poils, et si doux sous les doigts, si sensibles. Elle ne peut retenir un « Oh oui ! » et elle pose sa main sur ma nuque. Par ici, elle sent l'amande, comme l'autre jour. Son gel douche, sans doute. J'approche ma langue de son sexe et je commence à lui lécher les grandes lèvres. Elle se met à haleter. Je me redresse un peu, et, du bout des doigts, j'entrouvre ses petites lèvres. Toutes roses et toutes luisantes de plaisir, j'ai envie de les baiser … de les embrasser, je veux dire. Je les caresse du bout des doigts. A leur commissure, son clitoris, gonflé, tendu comme une minuscule sexe d'homme, lui aussi déjà mouillé. Je le prends délicatement entre mon pouce et mon index et je le roule doucement. Elle gémit. Et soudain, elle m'appuie sur la nuque, et:

- Allez, BOUFFE-MOI LA CHATTE ! MAINTENANT !

 

Alors je plonge. Je colle ma bouche conte la sienne … contre la bouche de son entrejambe. Hhhhmmmm, toute cette liqueur qui baigne son sexe ! Au contact de ce fluide avec ma bouche, je sens ma queue se raidir un peu plus. Cette … mouille, c'est un appel impérieux à la pénétration. Pénétration par ma bite, par ma langue ou par mes doigts, peu importe, mais ça réclame une pénétration. Alors, le nez dans sa toison, j'enfonce ma langue. Elle gémit de plus belle, secouant sa tête de droite à gauche. Je la prends fermement par les hanches et je lui BOUFFE LA CHATTE ! Jouant des lèvres, de la langue et des dents, je lui suce, je lui lèche, je lui mordille les petites lèvres et le clitoris. Sous l'effet du plaisir, elle se cambre, elle serre convulsivement ses cuisses contre mes oreilles et me pétrit la nuque. Quand je lève les yeux sur elle, tout en poursuivant ce cunnilingus, je me rends compte qu'elle me regarde lui brouter le minou, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte. La tronche d'un mec entre ses cuisses, en train de lui BOUFFER LA CHATTE ! Me regarder, ça doit l'exciter au plus haut point. Sous mes yeux, je vois son abdomen se soulever et se contracter spasmodiquement. J'ôte une main de sa hanche, et, tout en lui tétant le clitoris, je glisse mon pouce à plat entre ses lèvres. Quand je le sens suffisamment lubrifié, je commence à lui enfoncer dans le vagin. Sa réaction est immédiate: elle crie, puis se mord la lèvre pour étouffer son vagissement. Elle lâche ma nuque, et s'écroule complètement sur le dos, bâillonnant sa bouche à deux mains, et secouant sa tête de plus belle de droite à gauche. Elle est en train de jouir ! Et brusquement, elle serre ses cuisses contre mes oreilles, elle se redresse, et repousse ma tête:

- Arrête ! Arrête ! Arrête ! Arrête ! Arrête !

 

Bien obligé d'arrêter, je me redresse. Oui, elle a joui. Violemment, on dirait. Elle s'écroule de nouveau sur la table, jambes largement ouvertes. Putain, j'ai une des ces triques ! D'une main, je lui caresse encore l'intérieur des cuisses. Je n'ai qu'une envie: la prendre par les hanches, attirer ses fesses jusqu'au bord de cette table, et la FOURRER ! Je me tripote la queue en contemplant sa vulve, luisante de son fluide vaginal et de ma salive, et ses lèvres roses et brillantes, encore un peu entrouvertes. Dans un instant, je vais glisser ma queue dans ce corps chaud et humide ! JE VAIS LA BAISER !

 

La voilà qui se redresse, encore essoufflée, et me regarde. Elle s'aperçoit que je suis en train de me masturber. Elle me sourit, s'accoude, glisse une main entre ses cuisses, et écarte un peu plus ses petites lèvres:

- Tu as envie ?

- Ça ne se voit pas ?

- Si. Tu veux me baiser ?

- Oui. Pourquoi ? Tu n'as plus envie ?

- Si.

- Ah bon ! Tu as joui ?

- Oh oui !

- Et tu as encore envie que je te baise ?

- Oui, c'est pas pareil que de se faire seulement brouter le minou. Alors, j'ai envie de ça aussi, me faire BAISER. Et en plus …

 

Elle laisse sa phrase en suspens, comme si ça lui avait échappé. Je demande:

- Et en plus ?

- Non, rien.

- Allez, raconte. Au point où on en est, tous les deux, les cachotteries, c'est con.

 

Elle se met à bouger, rapprochant son bassin du bord de la table. Je l'aide en la prenant sous les fesses, en la soulevant et en l'attirant vers moi. Maintenant complètement redressée et assise, jambes pendantes, elle pose une main sur mon épaule et prend ma queue de l'autre. Elle la regarde et se met à me masturber, les yeux baissés:

- Et ben … depuis que j'ai vu tes photos, avec tous ces hommes …

- Allez, continue !

- … j'ai un fantasme.

- Oui. Vas-y !

- J'ai envie de … de faire la même chose.

- Non ! Te … te faire baiser par plusieurs hommes ?

- Pas autant que toi, bien sûr … pas vingt ou trente, mais … je sais pas … trois ou quatre. Je … j'y pense tous les jours. 

- Et ben dis donc ! Je pensais bien que te montrer mes photos, ça te décoincerait, mais je ne pensais pas à ce point !

- Je ne comprends pas ce qui m'arrive. J'en rêve même la nuit. Ça me réveille, et je suis toute … toute mouillée. Dans mes rêves, ils me … ils me font comme à toi …

- C'est-à-dire …

- Ben pareil, les mêmes choses.

- Ils m'en ont fait des choses. De toutes sortes. Tu rêves qu'ils te font quoi, en particulier ? Raconte.

- Oh ben non, je … 

- Tu rêves que tu les suces ?

- Oui.

- Et ils te prennent l'un après l'autre. Ils te font tourner, quoi, comme ils feraient tourner … un joint …

- Oui, c'est un peu ça.

- Ils te baisent en levrette.

- C'est quoi ?

- En levrette ? Tu ne sais pas ce que c'est ?

- Non.

- Par derrière. A quatre pattes ou debout, contre un mur ou contre une table.

- Oui. Ça aussi !

 

A son intonation, je sens que cette évocation de la levrette la bouleverse. A son intonation et à la vigueur soudaine de sa main sur ma queue.

- Doucement, là, avec ma bite. Et ça, la levrette, ça te fait vraiment envie.

- Oui.

- Ton mari ne te l'a jamais fait ?

- Non. Je t'ai dit, on ne faisait aucune de ces … choses.

- Et ils t'enculent, les hommes de tes rêves ?

- C'est PAS les hommes de mes rêves. 

- Oui, c'est une expression. Les hommes DANS tes rêves, si tu préfères.

- Oui, d'ailleurs, c'est les tiens, d'hommes.

- Comment ça ?

- Ben, dans mes rêves, c'est toujours ceux que j'ai vu sur tes photos.

- Ah bon ? 

- Oui. Et des fois, c'est ton ami noir ... ou les cinq de l'autre jour ...

- Mon ami noir … celui dans mon jardin ?

- Hmmm !

- Ah, Gabriel. Ça ne m'étonne pas. Et ces hommes, dans tes rêves, ils t'enculent ?

- Oui, ils m'enculent. Ils m'enculent.

 

De nouveau, je sens qu'elle se régale à prononcer ces paroles

- Et ça aussi, ça te fait envie.

- Oui.

- Tu as envie de faire ça comme des animaux, quoi.

- Oui. Et le pire … 

- Le pire ?

- Ben, la nuit, quand c'est des rêves je n'y peux rien. Mais ces idées-là me viennent aussi dans la journée, et alors, pour les chasser, j'ai beau me dire que c'est pas normal, que c'est pas MORAL, ça ne fait rien, je continue à en avoir envie et ça me … ça m'excite, même dans la journée … et je me … C'est devenu plus fort que mon éducation, que tout ce qu'on m'a inculqué. Je n'arrive même pas à trouver ça dégoûtant, répugnant. Je n'aurais jamais pu imaginer qu'un jour, j'aurais des envies comme ça … ni me comporter comme ça avec toi, te toucher, te faire des propositions, te demander de me … de me bouffer la chatte, par exemple !

- Ben c'est pas grave. C'est peut-être ta nature profonde qui a repris le dessus sur toutes les contraintes morales qu'on t'avait imposées.

- Oui, mais qu'est-ce que je vais faire, maintenant ?

- Maintenant ? Déjà, maintenant, tu vas te faire baiser, là, tout de suite. En levrette, par exemple. Et puis, plus tard, ben tu vas te laisser porter par tes envies, tu vas assouvir tes fantasmes …

- Oui, baise-moi, maintenant. Tu vois, même ça. Dire des choses comme ça, 'baise-moi", je n'aurais jamais imaginé pouvoir le faire. Et maintenant, j'aime ça. C'est bête, mais ça me plaît de dire ça … "bouffe-moi la chatte", "baise-moi",  et "me faire enculer" … "me faire EN ... CU ... LER" …

 

Elle s'est écoutée répéter ça, à la fois surprise et ravie, les yeux dans le vague comme si elle vivait en imagination une sodomie.

- Moi aussi, j'aime ça. Alors, je te baise en levrette ?

- Oui en levrette … baise-moi en levrette.

- A quatre pattes sur la table ?

- Non, baise-moi debout. 

 

Elle fait mine de descendre. Je l'arrête:

- Attends ! Deux secondes.

 

Surprise, elle se rassoit et attend. Je m'accroupis entre ses jambes:

- Penche-toi un peu en arrière.

 

Je crois qu'elle devine ce que je veux faire. Elle pose ses mains à plat derrière elle et se penche, tendant son ventre vers moi et écartant les jambes. Mes deux mains posées sur le haut de ses cuisses, je contemple sa vulve:

- J'aime beaucoup ça, te lécher. Et tu mouilles beaucoup. J'adore ça.

 

D'elle même; elle écarte ses petites lèvres du bout des doigts:

- Alors, vas-y, lèche. 

- Ton impudeur aussi, ça me plaît, ta façon d'écarter les cuisses, de me montrer ta chatte. Je n'imaginais vraiment pas ça de toi.

 

Elle se rentre un doigt dans le vagin:

- Moi aussi, ça me plaît, d'être impudique et d'écarter les cuisses comme ça. Comme une … comme une …

- … comme une salope.

- Oui, comme une salope.

- Comme une salope qui a le feu au cul.

- Oui, j'ai le feu au cul. Vas-y, bouffe-moi !

 

De nouveau, je lui bouffe la chatte. Pas longtemps, juste le temps de goûter à nouveau à son fluide vaginal, à la liqueur de son excitation. Pendant que je lui tête le clitoris, elle me caresse fébrilement la tête. Puis je me relève. Elle pose ses deux mains sur mes épaules:

- Tu vas me baiser, maintenant ?

- Oui.

 

Je saisis ma queue, raide et je m'avance. Elle baisse les yeux, regarde ce que je fais. Je plaque mon gland contre son clitoris, et je le frotte entre ses lèvres. Elle se met à haleter, descend une main jusqu'à son sexe et, de nouveau, elle écarte ses petites lèvres, m'invitant à entrer. Il me suffirait d'un coup de reins pour être en elle. Elle a oublié la levrette et je la sens impatiente de se faire pénétrer. D'ailleurs, si impatiente qu'elle passe sa main libre derrière mes reins et essaie de m'attirer vers elle … de m'attirer EN elle. Je résiste. Elle lève les yeux et:

- Tu ne veux pas ?

- Pas comme ça. En levrette. Et puis … il vaudrait peut-être mieux que je mette une capote.

- Ah oui. Mais tu peux y aller. Je ne peux plus … je suis ménopausée.

- Non. Je te parle de maladies …

- Ah bon ?

 

Elle hésite un instant, puis, fébrilement, elle fouille dans l'autre poche de son gilet et en sort … une capote dans son étui ! Ah la vache, c'était vraiment prémédité, alors. Je ne l'imagine pas demander des capotes à la pharmacienne, d'autant que je crois qu'elles sont amies. Je lui demande:

- Tu as acheté des capotes ? Tu as osé demander des capotes à la pharmacienne ?

- Je les ai achetées à Paris.

 

Je tends la main vers la capote, mais elle m'arrête:

- Non, c'est moi !

 

Et aussitôt, elle déchire l'étui et sort le rouleau de latex. Elle finit de me décalotter, me caresse délicatement le gland, et, tout en me posant la capote sur le bout de la queue, elle ajoute:

- Je me suis entraînée.

- Sur qui ?

- Sur personne. Sur une banane. Et j'ai cherché sur Internet. Mais à l'avenir, je viendrai m'entraîner sur toi.

 

Elle se marre. Et en effet, elle sait s'y prendre. Elle presse le réservoir de la capote entre ses doigts, me la déroule complètement sur la bite, contemple son travail, et demande:

- C'est bien, comme ça ?

- Très bien.

 

Elle me repousse:

- Laisse-moi descendre.

 

Je m'écarte et, sans une hésitation, elle se tourne, s'accoude sur la table, et tourne la tête vers moi:

- Vas-y, baise-moi !

 

Oh, putain ! Moi qui ai dit ça si souvent à des mecs, je comprends l'effet que ces paroles peuvent exercer sur celui qui est sollicité de cette façon. C'est irrésistible ! Malgré ses fesses trop pâles et trop plates, son bassin trop large à mon goût, elle me donne une furieuse envie de la fourrer, cette salope ! Alors je m'approche, je soulève le bas de son chemisier, je pose mes mains sur sa taille et je la caresse. Elle détourne la tête. Je saisis ma queue et en pliant un peu les genoux, de nouveau, je plaque mon gland à l'aveugle entre ses petites lèvres. A ce contact, elle se cambre. Je frotte mon bout contre sa vulve. Elle se prend les fesses à deux mains et se les écarte:

- Allez, baise-moi !

 

Alors, le gland coincé à l'entrée de sa chatte, je la saisis par les hanches et, lentement, je la pénètre. Elle halète et gémit en même temps, courbe la tête:

- Ah oui ! Je la sens, ta bite ! Baise-moi ! BAISE-MOI !

 

Je commence à aller et venir lentement. Hhhhhmmmm, ce que je suis bien, dans sa chatte ! Depuis qu'elle m'a collé la main sur son entrejambe au pied de l'église, j'ai déjà pu m'en rendre compte, mais là, le moins que je puisse dire, c'est que, malgré ses cinquante ans passés, elle ne souffre pas de sécheresse vaginale. Je glisse là-dedans comme si elle s'était injecté tout un tube de lubrifiant ! Et elle est étonnamment serrée ! Son vagin est très tonique. Je sens mon gland comme compressé en glissant dans ses chairs, et ça fait monter mon excitation à toute vitesse. Au moment où je m'apprête à glisser mes doigts jusqu'à son clitoris pour amplifier son plaisir, c'est elle qui, à tâtons, cherche ma main sur sa hanche, et l'attire jusqu'à sa chatte. Elle écarte un peu plus les jambes, et, à partir de là, ça va très vite. Après quelques secondes de manipulation de son clitoris, elle explose, elle halète, elle gémit, elle râle, elle crie en s'agitant de manière désordonnée. Je sens son vagin se contracter spasmodiquement. Je suis obligé de la coincer contre la table pour éviter qu'elle ne m'expulse. Et, bien entendu, son orgasme déclenche le mien. Mon abdomen se contracte, et je sens un premier spasme à la fois dans ma prostate, dans mes couilles et dans ma verge. Je me plaque instinctivement contre elle et, la queue bien plantée au fond de son vagin, je jouis. Le souffle coupé, je sens mon sperme jaillir et s'étaler dans la capote autour de mon gland. Elle me sent certainement prendre mon pied, parce qu'elle gémit et halète de plus belle et se met à me caresser la cuisse.

 

Enfin, mes éjaculations cessent. A bout de souffle, j'enserre son torse de mes bras et je m'effondre sur elle. Elle se laisse aplatir sur la table, la joue posée sur ses avant bras croisés. Sous moi, je la sens reprendre aussi son souffle. Enfin, comme apaisée, elle se met à ronronner:

- Hhhhooooonnn hhoooonnnnnnn hoonnnnn, c'était boooon ! Et toi, c'était bien ?

- Oui. Très bien.

 

Nous restons comme ça un moment. Puis je sens ma queue débander, se ramollir et commencer à s'échapper d'elle. Quand elle tombe toute seule, je me redresse et je lui caresse les reins, avant de m'écarter. Aussitôt, elle est debout et se tourne vers moi:

- Attends !

 

Je m'apprêtais à ôter la capote. Je m'immobilise. Elle se plante devant moi, regarde ma queue et la prend à deux mains:

- Oh, dis donc, elle est redevenue toute petite !

 

Mine de rien, elle est en train de se payer ma tête ! Elle entreprend de m'ôter elle même le préservatif, puis elle le lève à hauteur de ses yeux, elle le serre entre deux doigts, depuis l'ouverture, et les fait coulisser jusqu'à l'autre extrémité, visiblement pour réunir tout ce que j'ai éjaculé dans le fond. Elle secoue la tête, comme un peu déçue::

- Ah, ben, y'en a pas beaucoup ! Je m'attendais à plus que ça !

 

Et elle fait un nœud au milieu de la capote, l'agite sous mon nez, et la fourre dans une des poches de son gilet:

- Souvenir !

 

Puis, elle s'approche de moi, enserre la base de mes couilles et de ma queue de ses deux mains:

- Je … je n'avais jamais eu un orgasme comme ça. Sauf … sauf l'autre jour, sur ma terrasse. Mais là, c'était encore plus fort.

- Même avec ton mari ?

- Oh ben non. Lui, il ne me … il ne me baisait pas. Et on ne faisait ça que ... tu sais, face à face ...

- Dans la position du missionnaire ?

- Oui. C'est comme ça qu'on dit ?

 

Tout en parlant, elle me tripote machinalement le paquet. 

- Oui, la position du missionnaire, c'est face à face, et toi dessous.

- Oui, c'est ça. J'étais obligée de … de me caresser moi même. Mais c'est pas aussi bien que de me faire BAI ... SER ! Et de me faire BROUTER   LE   MINOU !

- C'est bien que ça te plaise et que tu te laisses aller.

- Un jour .. un jour, j'aimerais bien que tu me baises sans capote.

 

Aïe ! Elle y prend goût, mais je ne voudrais pas qu'elle pense qu'on va baiser comme ça régulièrement. Alors:

- Ecoute, avec mes pratiques, je ne peux pas être absolument sûr de mes partenaires. J'assume les risques pour moi, mais je ne voudrais pas te mettre en danger. 

- Oui, mais j'ai envie !

- Alors, tu devrais te trouver un homme. Un homme sûr, je veux dire.  

 

Elle réfléchit, pas convaincue. Elle me lâche la bite et va récupérer sa jupe. Pendant qu'elle la remet et ajuste son chemisier, je remonte et je referme mon pantalon. Elle enfile sa parka et moi mon blouson. Elle grimpe de nouveau sur une chaise pour ôter le torchon du crucifix, avant de jeter un coup d'œil circulaire à la sacristie. Avisant les papiers qu'elle a déplacés:

- Je reviendra demain pour remettre tout ça en place.

 

 C'est au moment de nous diriger vers la porte pour sortir que, brusquement, elle se baisse vers un pied de la table:

- Oups ! Il vaudrait mieux ne pas laisser traîner ça ici !

 

Quand elle se redresse, elle brandit son minuscule string de dentelle:

- Tu le veux ? Je te le donne. J'en ai d'autres.

 

C'est marrant, moi aussi, j'aime bien offrir mes strings aux mecs qui me baisent. Avant de le fourrer au fond de ma poche, je le renifle à nouveau:

- Hhmmmm ! Tu pourras me le re-mouiller, de temps en temps ?

- T'aimes ça, hein ?

- Oui.

 

Elle éteint la lumière, tourne la clef et entrouvre prudemment la porte. Dehors, c'est le calme. Nous sortons. Là-bas, les lumières de la salle des fêtes sont éteintes. Tout le monde est parti. Yolaine referme soigneusement la porte, et nous nous mettons en route. Après quelques mètres, elle vient se coller à moi, et me prend par le bras:

- Ça va mieux, maintenant, entre nous, hein ?

- Ah ben oui, c'est le moins qu'on puisse dire.

- J'étais pas facile, hein …

- Ça aussi, c'est le moins qu'on puisse dire.

- Je ne le faisais pas exprès. Ça me … ça me rongeait, d'être comme ça. Mais j'ai compris, et maintenant, je me sens tellement … Dis, on leur dira ?

- A qui ? On dira QUOI à QUI ?

- Au gens qu'on connaît. On leur dira, que … nous deux …

- Ah non. Ecoute, je n'y tiens pas du tout. Non, non, on ne dit rien à personne. Mais il y a quelqu'un qui a déjà des soupçons.

- Qui ça ?

- Françoise, ta copine.

- Comment tu le sais ?

- Elle me l'a dit.

- Ah bon ? Mais moi, je ne lui ai rien dit !

- Tu n'as pas été assez discrète.

- Ah bon !

 

Elle réfléchit, puis:

- Ça t'embête, qu'elle ait des soupçons ?

- Ça dépend. A ton avis, elle gardera ça pour elle ?

- Ah oui ! Alors elle, c'est vraiment pas le genre à faire des commérages. Elle ne dira rien.

- Bon. Tu sais, je crois que le mieux, c'est que tu te trouves un autre homme. Maintenant que tu es relookée, et que tu n'as plus ton caractère de cochon, tu va sûrement attirer des hommes. 

- Hé ! Caractère de cochon ! Dis donc !

 

Elle me pince le bras en riant. Je poursuis:

- Mais pour nous deux, si tu veux, de temps en temps, à l'occasion, on pourra baiser …

- A l'occasion … Dis, au fait, l'autre jour, je crois que je n'avais pas fini de regarder tes photos. Tu sais, CELLES OU TU TE FAIS BAISER !

 

Ça claque dans le silence de la nuit: elle a délibérément élevé la voix, presque crié. Et elle éclate de rire. Je la calme:

- Chut ! Tu vas nous faire remarquer. 

 

Elle rit. Bras dessus, bras dessous, nous poursuivons notre chemin, perdus dans nos pensées. Arrivés dans notre cour, il y a deux secondes de flottement. Elle me regarde:

- Tu veux entrer ?

- Non. Je vais aller me coucher.

- Moi aussi. Et je crois que cette nuit, je vais bien dormir.

- Alors bonne nuit.

 

Elle hésite. Elle va m'embrasser, ou pas ? Non. Elle se contente de me presser l'avant bras:

- Merci, hein …

- A ton service.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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