Vendredi 20 juin 2014 5 20 /06 /Juin /2014 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

02 septembre.

Ça y est, j'ai un début d'érection dans mon micro string. Les vibrations de ce train de banlieue y sont pour beaucoup, mais c'est surtout l'idée de ce qui m'attend qui me fait cet effet. Hé oui, je suis en route pour me faire baiser, et depuis que je suis monté dans ce wagon, j'anticipe mentalement des scénarios … tous plus chauds les uns que les autres.


Je vais retrouver Steve. Ce sera notre première rencontre … en chair et en os … surtout en chair !  J’ai longtemps hésité, mais maintenant que j’ai baisé avec … non , maintenant que je me suis fait baiser par … par combien de mecs, au fait ? Il y a d’abord eu Laurent, le cultivateur. Le premier qui m’a vraiment sodomisé, c’est Thomas, chez moi. Après lui, il y a eu de nouveau Laurent, qui m’a pris sur son tas de paille. Ensuite, il y a eu Gabriel, le grand black que m'a offert Thomas. En dernier, ça a été trois mecs d’un coup : Lukas, Andrej et Sébastien, au bord de l’autoroute. Ça fait … six, en l’espace de … un mois et demi ! 

J’aurais mis longtemps avant de me décider à franchir le pas, mais j’ai commencé à rattraper le temps perdu. Maintenant que j’y ai vraiment pris goût, j’ai sans arrêt envie de m'occuper activement d'une bite, de la manipuler, de la caresser, de la faire bander, de la branler, de lui donner du plaisir, de la faire jouir … Mais surtout, j'ai de plus en plus envie de me faire prendre par un mâle, de me faire saillir. Il y a longtemps que j'ai pris goût à exciter des mecs. Depuis que je suis passé à l'acte, je sais ce que ça fait vraiment de donner du plaisir à un mec, de le laisser jouir à son gré de moi, de mon cul, et surtout, de me faire féconder comme une femelle. C'est un plaisir qui mêle la volupté physique, sensuelle, à la jouissance cérébrale. J'ai envie de sentir encore une queue en moi, de savoir qu'un mâle prend du plaisir à aller et venir dans mes chairs, et j'ai envie qu'il jouisse en moi … Il me faut de la queue, il faut que je me fasse baiser, c'est devenu obsessionnel, j'y pense sans arrêt. Alors dorénavant, je ne veux plus attendre que des occasions s'offrent à moi, je suis prêt à tout pour me faire saillir, et je me donnerai à tous ceux qui voudront: beaux, moches, blancs, blacks, grosses bites ou un petits oiseaux ...

Je commence par Steve. Amateur de collants et de petites culottes, il a commencé par laisser des commentaires sur mon blog. Visiblement, c’était effectivement mon cul qui l’intéressait … Il habite en banlieue et je me rends chez lui par les transports en commun. Il doit me récupérer à la gare.

Ma queue a du mal à s'épanouir dans le micro string rose que j'ai mis pour le trajet. Je ne peux tout de même pas glisser ma main dans mon pantalon pour arranger ça, le jeune couple assis en face de moi n'apprécierait sans doute pas. Je sens que mon gland a commencé à baver et je me demande s'il ne ferait pas déjà une tache sur mon pantalon … J'ai beau essayer de penser à autre chose, de fixer mon esprit sur le paysage qui défile, rien n'y fait, des images de sexe s'imposent constamment à moi, je m'imagine partant en exploration dans la braguette de Steve…


Me voilà enfin à destination. Je sors de la gare. Steve a dit qu’il m'attendrait sur le parking. Je le reconnais à la description qu’il m'a faite de lui et de sa voiture. Il a dû me reconnaître aussi, parce qu’il me fait signe par sa vitre ouverte. Je m'assois à la place du passager et nous nous serrons la main.

- Steve.

- Marin … 

Il sourit et il démarre. Je ne sais pas trop comment engager la conversation, alors pour le mettre à l’aise, je lui demande :

- Maintenant que tu vois la tête du bonhomme, toujours décidé à passer à l’acte ? Tu sais, si tu veux changer d’avis, je ne me vexerais pas.

- Non, non, pas de problème. C’est vrai, je ne m’attendais pas à ce que tu sois aussi… homme, enfin … masculin, mais tu n’es pas … répugnant. Et puis ce n’est pas ta tête qui m’intéresse le plus …

- C’est ce que j’ai cru comprendre. C’est surtout à mon cul que tu en veux.

- Ben oui. Et moi, comment tu me trouves ?

- Pareil, mais moi, ce n’est pas ton cul que je veux, c’est ta queue. Je peux ?

Et joignant le geste à la parole, je pose la main sur le haut de sa cuisse.

- Oh oui, vas-y !


Contre toute attente, alors que je rencontre Steve pour la première fois, je n’éprouve aucune gêne, aucune pudeur, aucune inhibition à son égard. Sans aucun doute c'est l'effet de mes précédentes « rencontres ». Après tout, je suis ici pour le cul, pour la bite … pour baiser … Je remonte ma main vers son bas-ventre et je la pose sur sa braguette. Je sens son sexe sous la toile. J'ai l'impression qu'il gonfle déjà au contact de ma main … Je demande:

- C'est loin?

- Non, une vingtaine de minutes quand ça roule bien …

Mais ça roule mal, il y a pas mal de circulation. Je remarque que, tout en conduisant, il jette sans arrêt de brefs coups d'œil sur ma main posée sur son bas ventre. Nous sommes arrêtés par un feu rouge et il en profite pour écarter les cuisses, prendre ma main et la pousser vers son entrejambe. C'est tout chaud et je sens son paquet bien moulé dans son pantalon. Je suis un peu loin de lui et pas très à l'aise pour en faire davantage. Alors je détends un peu ma ceinture de sécurité et je me rapproche. Je lui palpe les couilles un moment avant de saisir sa verge à travers le tissu de son pantalon. Il bande vraiment et je lui pétris la queue doucement et fermement. Heureusement qu'à cause de l'intensité du trafic, nous ne roulons pas très vite, parce qu’il ne semble pas très concentré sur sa conduite. J'ironise:

- Fais quand même attention, ça serait dommage d'avoir un accident.


Nous voilà à l'arrêt dans un embouteillage. J'en profite pour desserrer un peu sa ceinture de sécurité, atteindre le bouton de son pantalon, le défaire et baisser le zip de sa braguette. Je fais tout ça de la main gauche, j'ai un peu de mal, et il m'aide comme il peut. J'écarte les deux pans de son pantalon, et je découvre, gonflée par sa queue à demi en érection, une petite culotte en microfibre blanche et presque transparente. Je salue ce sexe tout en le caressant:

- Bonjour, toi … Comment ça va ? 

Elle a l'air d'aller très très bien … Dans la voiture arrêtée à côté de nous, un couple de jeunes, l'homme au volant, la femme à côté. Elle nous regarde et nous sourit. Si elle savait ce que je suis en train de faire … Tant bien que mal, j’extrais l’extrémité de la queue de Steve de sa culotte et du bout des doigts, je commence à pétrir son gland toujours caché dans son prépuce. Nous redémarrons. Je le décalotte et je commence à le masturber tout doucement, toujours de la main gauche… Cette manipulation m'excite presque autant que lui. De la main droite, je déboutonne mon propre pantalon, je descends le zip de ma braguette, j'écarte les deux pans et je révèle mon micro string rose et ma queue qui a commencé à en sortir toute seule. Il jette un coup d'œil vers moi, et:

- tu as mis ton string de p… (il se ravise, il a failli dire "de pute") … ton string rose? J'adore.

- tu peux dire "mon string de pute" ? C'est effectivement un string de pute. Ta petite culotte n'est pas mal non plus.

- C'est aussi un string …

- Hummmm !


Tout en le masturbant de la main gauche, je me caresse de la main droite. Nous avons parcouru une centaine de mètres, et nous sommes de nouveau arrêtés à côté de la voiture du jeune couple. Visiblement perdue dans ses pensées, la jeune femme nous sourit de nouveau, et nous lui sourions aussi. Steve parait content de se faire masturber comme ça, en douce, juste à côté de ces inconnus. Brusquement, une idée folle me traverse l'esprit. Je tire sur ma ceinture de sécurité pour me donner de l'aisance, je plonge la tête vers son ventre et je prends son sexe dans la bouche. J'imagine qu’il est sidéré, mais, évidemment, je ne vois pas quelle tête il fait. Sa seule réaction, c'est:

- Tu es fou? On nous voit …


J'ai la tête coincée entre son ventre et le volant. Pas très pratique, mais qu'importe, je jouis à la fois d'avoir enfin sa bite dans la bouche et de la situation. Je pense, j'espère, que la jeune femme dans la voiture d'à côté a vu mon mouvement vers son ventre. Steve redémarre doucement, et tout en roulant, il se tortille en se plaquant à fond contre le dossier de son siège. Choqué, sidéré, mais il fait ce qu’il peut pour faciliter ma fellation. J'ai un peu plus de place pour le sucer. Je sens son gland tout gonflé qui palpite sous ma langue. On ralentit, et, au moment où il s’arrête, je me redresse. Nous sommes encore à côté du jeune couple, et tous deux nous regardent. La jeune femme avec les yeux ronds et la bouche ouverte, tandis que son homme se marre franchement. Oui, elle m'a vu et elle a dû le dire à son mec. Les yeux fixés devant lui, Steve n'ose pas les regarder, et avec un grand sourire, je leur fais un signe de la main. 

Le flot de voiture redémarre et Steve accélère nerveusement comme pour s’éloigner au plus vite de nos deux témoins. Il tourne dans la première rue à droite. Le jeune couple nous a suivis jusque là et poursuit sa route tout droit, mais au moment où il passe à notre hauteur, le conducteur nous salue de trois brefs coups de klaxon. J'ai rajusté ma ceinture de sécurité et repris le sexe de Steve dans la main. Il n'est plus aussi dur. Cette petite séance l'aurait un peu refroidi? Il répète:

- Tu es fou, comme ça en public …

Mais il sourit.

- Tu n'as pas aimé? 

- Si … ce n'est pas ça … mais tu aurais pu me prévenir …

- Tout le charme, c'était de surprendre cette nana et son mec. Si j'avais dû te prévenir, tu aurais peut-être refusé, j'aurais dû te convaincre, bref, l'effet de surprise aurait été nul.

Sous mes caresses, son sexe s'est ragaillardi et il se dresse de nouveau, vigoureux et provoquant. Le voir comme ça m'excite terriblement et me fait bander. J'ai très envie de le reprendre dans la bouche. Sous l'effet du plaisir, un peu de fluide perle au bout de son urètre. Je presse un peu sa queue et, tant bien que mal, du bout des doigts, je recueille ce liquide qui fait comme des fils, et je le porte à ma bouche.

- hhhhhmmmmm! Tu vas m'en donner d'autres, j'espère … tu vas m'en donner plein … et surtout de la crème, plein de crème …

Il me regarde en coin, un peu abasourdi par mon comportement, et il sourit en secouant la tête, visiblement surpris de me voir excité au point de réclamer ainsi sa semence. Nous roulons en silence un moment, chacun dans nos pensées, chacun dans nos fantasmes, moi une bite dans chaque main, la sienne à gauche, la mienne à droite. Je suis tellement excité et au bord de l'orgasme, que je suis obligé de réfréner ma propre masturbation pour ne pas me répandre immédiatement. Steve s’arrête à un feu rouge, et il en profite pour repousser ma main qui tient ma queue. Il saisit mon sexe et le masturbe doucement. 

- Je vais t'en donner de la crème, comme tu dis … tout ce que je peux.

Le feu passe au vert et nous redémarrons. Nous roulons encore quelques minutes et il entre sur le parking d'un petit immeuble, et se gare. 

- C'est ici.

Nous nous rajustons avant de descendre de la voiture. Avant de lui emboîter le pas, je récupère mon sac à dos. C'est le "sac à malices" dans lequel j'emmène habituellement mon "petit nécessaire" quand je pars dans mes randonnées masturbatoires en campagne. Aujourd'hui, je l'ai rempli de mes tenues les plus sexy et de quelques jouets, ainsi que de mon camescope et de son trépied … Il habite à l’entresol. Nous grimpons rapidement les quelques marches qui conduisent à son palier. Il ouvre la porte, et me fait signe d'entrer. Au moment où je passe devant lui, il me mets une main aux fesses et:

- bienvenue !


J'hésite à l'entrée du salon, et il en profite pour s’approcher de moi par derrière. Il m’entoure le torse de ses bras, se plaque contre mon dos, et pose son menton sur mon épaule. Je lâche mon sac à dos et, les mains sur ses hanches, j’attire son bassin vers mes fesses. Tout en pressant son bas ventre contre mon cul, il descend  ses deux mains vers mon ventre et les plonge dans mon pantalon. Il me tripote la queue à travers mon string et tente d’y glisser ses doigts. Mais dans ce minuscule bout de tissu, il n’y a pas la place pour ma queue et pour une main. Alors, il entreprend de déboutonner mon pantalon et de le glisser sur mes cuisses. Puis il descend mon string d'une main et saisit ma queue de l'autre. Je recommence à bander. Il me caresse la queue un moment, puis dirige son autre main vers mes fesses, s’écarte un  peu de moi, descend mon pantalon sur mes genoux, et glisse sa main dans ma raie. Bientôt, je sens un doigt s'appuyer contre ma rosette et tenter de la pénétrer en douceur. Bien qu'elle soit toute disposée à se faire explorer, son doigt a du mal à progresser. Ce matin, avant de me mettre en route, je me suis déjà fait plusieurs lavements. Je suis tout propre, en tout cas assez pour une première introduction… Je saisis son poignet et j’attire sa main vers ma bouche. L’un après l’autre, je suce ses doigts et les lubrifie avec ma salive, avant de repousser sa main vers mon cul. Cette fois, son doigt me pénètre sans difficulté. Il le bouge tout en l'enfonçant. C'est un délice qui me coupe le souffle. Je me cambre.


Il ôte son doigt, et je sens qu’il s’agenouille derrière moi. Il finit de descendre mon pantalon sur mes pieds. Il m'agrippe par les hanches et approche son visage de mes fesses. Je devine ce qu’il veut faire, mais la position n’est vraiment pas confortable. Alors je me penche en avant et après avoir quitté mes chaussures, je finis d’enlever mon pantalon. Maintenant, je peux écarter les jambes. Je me cambre autant que je peux pour lui faciliter l’accès à ma fleur. Son nez se glisse dans ma raie et je sens sa langue qui me caresse la rondelle. C'est chaud, c'est humide, c'est vivant, et j'ai une furieuse envie qu’il l'enfonce au plus profond de mon cul, mais:

- attends. Tu vas trop vite. Je dois passer par la salle de bain …

Je veux quand même lui éviter une mauvaise surprise. On ne sait jamais … A regret, il s’écarte de mes fesses et se relève. Je me retourne, et, à mon tour, je m'agenouille devant lui. Je le déboutonne, je fais glisser le zip, et je descends son pantalon sur ses pieds. Mon visage est à la hauteur de son sexe. Il est tout raide dans son string. Il sent à la fois la cannelle et la vanille et ça me rappelle la grosse queue parfumée de Gabriel. Je passe ma langue sur le fin voile du string, depuis ses couilles jusqu'à son gland, que je gobe, comme ça, enveloppé dans le fin tissu transparent. Je suce un moment à la fois le string et le bout de sa queue, puis je dénude celle-ci pour la prendre directement entre mes lèvres. Je ne m'en étais pas aperçu jusque là parce qu'il était en partie masqué par son string, mais tout son paquet est glabre, aussi bien la verge que les bourses et une partie du pubis. Comme moi. Tant mieux, il sera plus agréable sous mes lèvres et sous ma langue.

 

Il a posé ses mains sur ma tête et je devine qu’il me regarde le sucer. Je glisse mes lèvres aussi loin que possible vers la base de sa verge, et je sens son gland qui s'enfonce dans ma gorge. Le nez écrasé contre son ventre, je sens ses bourses pleines, lourdes, contre mon menton. Je recule ma tête, gardant seulement son gland frémissant entre mes lèvres, et je lève les yeux vers lui. Il a rejeté sa tête en arrière et je devine qu’il a les yeux fermés, totalement concentré sur ce que je suis en train de lui faire, attendant que je l'enfonce de nouveau profondément dans ma gorge. A regret, je sors son gland de ma bouche et:

- Hhhhmmm! C'est bon ! Mais ça va aller trop vite. On n'a encore rien fait.

Il redescend sur terre, sans doute un peu déçu, et, saisissant sa bite à pleine main, il me l'écrase et me la frotte sur le visage tandis que je lui donne de petits coups de langue au passage. Il acquiesce:

- tu as raison. Et maintenant ?

- maintenant, il faut que je passe par sa salle de bain …

- Ah, oui. OK. C'est par ici.


Je me relève, je récupère mon sac à malices et je le suis. En quelques secondes, je suis nu et sous la douche. Il me rejoint et nous nous couvrons mutuellement de savon liquide. Son goût de cannelle et de vanille vient de là. Nous nous savonnons mutuellement et ce contact à la fois chaud, doux et glissant attise de nouveau notre excitation. Nous nous collons l'un à l'autre, poitrine contre poitrine, ventre contre ventre, sexe contre sexe. Une main sur mes reins, il me presse fermement contre lui. De son autre main, il m'empoigne une fesse pendant que je lui frotte doucement le dos. Rapidement, il aventure ses doigts dans ma raie, les passe plusieurs fois sur mon œillet, comme s'il attendait mon assentiment pour aller plus loin. Je pose ma main sur la sienne, mes doigts sur ses doigts, et je presse son index sur ma fleur, l'invitant à me pénétrer. Lentement, délicatement, il enfonce une phalange en moi, puis deux et s'immobilise. Ma main toujours sur la sienne, je presse alors son majeur contre mon œillet. Un peu surpris, il hésite, puis enfonce tout aussi délicatement son deuxième doigt dans mon cul. Je sens mon sphincter résister une fraction de seconde, puis se relâcher. Le plus dur est fait. Alors, le menton appuyé sur son épaule, je lui murmure:

- Tu peux en mettre un autre, si tu veux …

- Tu es sûr ?

- Oui, vas-y, j'ai l'habitude.

Je sens son annulaire rejoindre les deux autres doigts dans mon cul. Je me sens ouvert, délicieusement écartelé.

- Fais-moi pareil …

Je ne m'attendais pas à cette demande de sa part. Il n'a jamais manifesté d'envie de ce genre. Soit: tout en lui écartant une fesse de la main gauche, je glisse la droite dans sa raie, et j'aventure mon index et mon majeur savonneux contre son anus. J'ai l'impression qu'il s’ouvre à ce contact, comme pour m'inviter à le pénétrer. Ce que je fais. Il a ouvert la bouche et fermé les yeux. Au fur et à mesure que mes deux doigts s'enfoncent doucement, sa respiration ralentit, comme suspendue, en attente. J'écarte mes doigts, ouvrant davantage sa fleur qui se prête à cela sans aucune résistance. Ouvert comme il est, il a déjà dû jouer à cela … J'introduis alors mon annulaire à côté de mes autres doigts, puis mon auriculaire. Maintenant, les yeux toujours fermés, il halète, aspirant un peu d'air à chaque nouvelle pénétration, et il se met à émettre comme un petit ronronnement. Je bouge alors mes quatre doigts dans son cul, je les écarte, je le fouille, je les retire et les remets. Toujours plaqué contre moi, les bras autour de mon torse, son menton sur mon épaule, il passe sa langue sur ses lèvres et dans un souffle:

- hhhmmmm, ouiiiii ! C'est booooon … 


Maintenant que les doigts de ma main droite vont et viennent librement dans son étui, je ramène ma main gauche entre nous, à la recherche de son sexe. Il est là, tout raide, la tête en bas, contre ma cuisse, coincé dans cette position quand nous nous sommes collés l'un contre l'autre. Sa queue cherche vainement à se relever. Le fluide qu'elle a bavé contre ma cuisse fait un fil tandis que je le redresse. Elle s'est décalottée toute seule, et je la saisis, le pouce et l'index autour de la base de sa verge avant de commencer à la masturber d'un mouvement doux et lent. Je dois éviter de l'amener à l'orgasme maintenant, en ajoutant le plaisir de sa queue au plaisir anal. J'adore lui procurer cette volupté. Après quelques minutes, j'abandonne son sexe le temps de saisir le mien, lui aussi la tête en bas, de le redresser, de le plaquer contre le sien, d'empoigner nos deux bites d'une seule main et de nous masturber d'un même mouvement. Au bout d'un moment, je lui murmure:

- maintenant que je suis propre à l'extérieur, je dois me laver à l'intérieur …


Il met quelques secondes à réagir, et dans un soupir il desserre son étreinte, je sors mes doigts de lui et je lâche nos deux sexes raides et durs.

- Oui. Tu as raison … 

Si pour moi c'est à la fois une nécessité et un plaisir, je me demande comment faire. Il n'a pas de bidet et je ne sais pas trop si je peux le faire devant lui dans la douche. Je devrais peut-être lui conseiller de sortir. Mais il devance mon appréhension, il saisit le pommeau de douche et il me dit:

- tourne-toi et penche-toi …

Je suis un peu surpris. J'ai l'habitude de me faire ça tout seul. J'hésite une fraction de seconde, je jette un coup d'œil à l'objet qu’il tiens, puis j'obtempère. Ça devrait le faire. Comment va-t-il s'y prendre?  Mais déjà, je sens le jet d'eau sur mes fesses, puis contre ma rondelle, et enfin le contact du pommeau fermement plaqué contre mon anus. L'eau tiède commence à me pénétrer. Finalement, c'est très agréable de se faire faire ça par quelqu'un d'autre. Mais le pommeau déverse plus d'eau dans le bac de douche que dans mon cul. Alors, je tends la main et:

- laisse-moi faire.

Il me donne l'objet. Celui-ci me semble parfait pour ce que je vais en faire. Son extrémité ne dois pas faire plus de 5 centimètres de diamètre. Heureusement qu’il n'a pas cédé à la mode des pommeaux de douche muraux ou d'un diamètre énorme … Je m'accroupis, je plaque la tête du pommeau contre mon étui et la force du jet d'eau m'ouvre l'anus. Je pousse un peu et le pommeau lui-même entre en moi. Je sens le flot tiède m'envahir et me gonfler le ventre. J'ai bien fait d'anticiper et de me faire des lavements chez moi, l'eau qui ressort de mon cul est propre. Je me remplis et j'expulse l'eau de moi comme ça plusieurs fois, puis je rince le bac de douche. Après l'utile, je passe à l'agréable. Je m'assois au fond du bac, légèrement couché, adossé au mur de la douche, j'écarte les cuisses, et j'introduis de nouveau le pommeau en moi. Je le fais aller et venir dans mon rectum, toujours déversant son flot d'eau tiède. J'adore faire ça et je bande comme un âne. Steve s’agenouille devant moi, saisit le pommeau et le fait aller et venir à son tour dans mon cul. Je pose une main sur la sienne pour accompagner et guider son mouvement. Il manœuvre très délicatement. Je ferme les yeux de plaisir et je sens aussitôt son autre main sur ma queue. Il l'a seulement empoignée et il se contente de bouger celle qui tient le pommeau de douche. Je pourrais passer des heures comme ça. Mais, même si Steve semble prendre du plaisir à ce petit jeu, c'est assez égoïste. Alors, je repousse sa main, j'extrais le jet de moi, et:

- on fait quoi ? On reste comme ça, ou on se rhabille ? J'ai de quoi nous travestir tous les deux, si tu veux …

- Attends, moi aussi, je voudrais me …


Il a un regard explicite vers le pommeau de douche: il veut aussi se faire un lavement. Ma parole, il a l'intention de se faire ... que je le ... Je n'avais pas prévu ça, j'étais venu pour me faire baiser, pas pour faire le mâle ! Bon, ça pourrait être intéressant. Tandis que je me relève, il s’installe à quatre pattes au milieu du bac et il se plaque le pommeau contre la rondelle. Je lui demande:

- tu veux que je t'aide?

- oui, vas-y.

Pendant qu’il s’installe plus confortablement, le cul en l'air et la tête appuyée sur ses bras croisés au fond du bac, je saisis l'objet et je le pose doucement mais fermement contre son trou. La force du jet lui entrouvre l'anus tout en injectant de l'eau en lui. Je sens que son trou se dilate, à la fois sous l'effet mécanique de l'eau tiède, et sous celui du plaisir. Bientôt, il me semble qu’il pourrait avaler comme moi ce pommeau, et, tout en l'appuyant un peu plus fort, je lui demande:

- tu veux que je le rentre?

- Oui, mais doucement.

Tout doucement, je le pousse en lui. Pas d'autre résistance que le flot d'eau tiède qui ressort de lui. La tête pénètre, puis la poignée, et bientôt, il ne dépasse plus de son cul que le tuyau flexible. Il me demande:

- tu y arrives ?

- C'est fait, mon vieux, tu l'as entièrement !

Il doit douter, parce qu’il passe une main entre ses cuisses, jusqu'à son cul. Il ne commente pas, il rit… Je commence alors à faire aller et venir l'engin en lui, le faisant ressortir presque complètement avant de le replonger au plus profond. Dans la position où il est, l'eau qui ressort de lui coule sur sa queue et sur son ventre, et je remarque qu’il bande. Je glisse alors ma main libre entre ses cuisses, je saisis sa queue et je le masturbe. Cette fois, c'est lui qui m'arrête:

- arrête ! Ça va trop vite …

Je termine donc ce lavement, je sors le pommeau de lui et, tandis que je rince le bac de douche, il reste dans la même position, le cul en l'air, offert. Il n'aurait pas une idée derrière la tête? Je lâche le flexible, je m'approche de lui à genoux, je pose mes mains sur ses hanches et j'approche mon visage de son cul. Il ne bouge pas. Je le pousse à relever un peu plus sa croupe, ce qu’il fait, et je pose mes lèvres sur son trou. Il a compris ce que je veux faire, et je sens qu’il attends ça avec impatience. Je passe ma langue entre mes lèvres et je la pose à son tour contre son anus. Je le sens qui réagit, qui frémit. Je passe le bout de ma langue plusieurs fois sur son sphincter, puis je l'enfonce doucement dans son trou. Il est doux, il est chaud, il est humide, et j'adore ça … Ma langue aussi tendue que je peux, je la remue, et je sens ses muscles se détendre. Je prends beaucoup de plaisir à lui en donner comme ça, mais la position est fatigante. Je me redresse, je me rapproche de lui, et je viens plaquer ma bite dans la raie de ses fesses. Il ne bouge toujours pas, ce que je prends pour un acquiescement. Alors je pose mon gland contre sa fleur toute lubrifiée de ma salive, et je l'enfonce. Je suis moi-même un peu surpris de ce que je suis en train de faire, parce que j'ai généralement plus envie de me faire sodomiser que de sodomiser. Mais c'est doux, c'est chaud, c'est humide et j'adore ça !

Et je commence à aller et venir en lui, qui se laisse faire. Je regarde ma queue qui s'enfonce en lui et ressort, et je trouve ça à la fois très beau et très excitant. Quand je pense à l'idée de posséder quelqu'un, c'est cette image qui me vient à l'esprit: un cul offert, deux mains plaquées sur les fesses et une queue qui va et vient dedans. A cet instant précis, tandis que je le besogne, il n'a pas idée du plaisir à la fois sensuel et cérébral qu’il me procure. Pour profiter encore mieux de ce moment, je me colle à lui, je m'immobilise, le ventre contre ses fesses, ma bite tout au fond de lui, et je me concentre sur ce qu'elle ressent d'être ainsi enfouie au milieu de ses chairs. Oui, encore une fois, c'est ça: c'est doux, c'est chaud, c'est humide, et ma queue adore ça. Je reste comme ça un long moment, savourant l'instant. Enfin, je me retire, je pose mes lèvres sur son anus à qui je déclare:

- merci ! C'était très agréable.

 Et à lui:

- on continue?

Je n'attends pas sa réponse. Je me relève, j'attrape mon sac à dos et en l'ouvrant:

- tu es fétichiste de collants, mais si ça ne t'ennuie pas, je vais plutôt mettre une tenue dans laquelle j'aime me donner du plaisir, me photographier et me filmer …

- pas de problème. Si c'est une des tenues de salope qu'on voit sur ton blog, ça me va.

Tout en vidant mon sac, je précise:

- Oui, c'est un string, un porte-jarretelles et ma mini jupe en jean. Je préfère nettement les porte-jarretelles aux collants. Je les trouve plus érotiques, et l'ennui avec les collants, c'est qu'on ne peut pas faire tout ce qu'on veut … Et, continuant à déballer le contenu de mon sac, j'ajoute:

- Si tu veux, j'ai amené une autre mini-jupe pour toi … 

Je lui tends la dernière mini-jupe que je me suis offerte: en voile plissé blanc à pois noirs, avec une sorte de jupon noir, elle est ultra courte. Je lui tends aussi le corsage en satin noir et blanc que j'ai acheté avec la jupe. Ça a l'air de lui plaire, parce qu’il prend l'ensemble et il quitte la salle de bain, sans doute pour s’habiller ailleurs. Un peu fébrile, je mets mon porte-jarretelles en dentelle noire et les bas rouges que j'aime tant. Ils ne sont vraiment pas raffinés, il donnent un air très vulgaire, très « pute », mais je trouve ça très érotique. J'enfile ensuite ma micro jupe en jean. Elle me moule parfaitement le cul et elle m'arrive vraiment à ras le bonbon. Elle ne recouvre pas le haut de mes bas, et entre ceux-ci et le bas de ma jupe, un peu de mes cuisses apparaît. J'adore ça. J'ai choisi un haut rouge comme mes bas et un string en microfibre fuschia. Habillé comme ça, je me sens vraiment femelle et j'espère que je vais exciter Steve et lui donner envie de me baiser. De toute façon, si ça ne suffit pas, je suis bien décidé à faire ce qu’il faut pour qu’il me prenne et qu’il me baise.


Je sors de la salle de bain. Je retrouve Steve dans le salon, debout devant son canapé. Steve a mis la mini jupe et le haut que je lui ai donnés, et il est en train d'enfiler un collant tout blanc. Il me regarde de la tête aux pieds d'un œil approbateur et lubrique, un petit sourire aux lèvres. Yes ! Ça va le faire … Il poursuit son habillage. Penché en avant, il lisse le fin voile sur ses chevilles d'un geste très sensuel et féminin. La culotte de son collant est encore roulée au niveau de ses genoux. Je trouve ce spectacle très érotique. Je m'approche et je m'agenouille devant lui. Je pose mes mains sur ses chevilles et, à mon tour, je lisse ce voile sur ses jambes. Cette caresse me procure beaucoup de plaisir. A lui aussi, semble-t-il … Il se redresse, pose ses mains sur ma tête, et il me laisse faire. Mes mains remontent lentement le long de ses jambes, et, arrivé à ses genoux, je déroule encore un peu de son collant sur ses cuisses. La ceinture et la culotte du collant sont maintenant roulés juste sous son sexe et ses fesses. Toujours d'une caresse, je tends et je lisse le voile, m'attardant sur l'intérieur de ses cuisses. 


Je soulève un peu le bas de sa jupe, et je découvre son membre, dans un début d'érection. Le contact du collant sur sa peau ? Ma caresse au creux de ses cuisses ? Ma présence à ses genoux ? Dans l'état où il est, légèrement gonflé mais pas dur, le gland encore caché dans son prépuce, son membre me donne une furieuse envie de le prendre dans ma bouche. Je m'approche un peu plus, d'un bras j'enserre ses cuisses, je relève sa jupe de mon autre main, je pose mes lèvres sur sa verge et je l'embrasse. Puis je sors ma langue, je la passe sous son gland, j'entrouvre mes lèvres et je prends sa queue dans ma bouche. Aussitôt, je la sens qui gonfle un peu plus, et qui durcit et essaie de se redresser entre ma langue et mon palais. Je sers alors mes lèvres autour de sa verge, et, avançant la tête vers son ventre, d'un même mouvement, je le décalotte et j'enfonce son gland au fond de ma gorge. 


Quel bonheur d'avoir son sexe en moi ! Ce membre, que la nature a donné aux hommes, et à lui en particulier, pour qu’il l'introduise dans le sexe d'une femme afin de procréer, je l'ai dans ma bouche … uniquement pour lui donner du plaisir… et en prendre! Et cette semence, avec laquelle il est supposé féconder le ventre d'une femme, se trouve à l'instant tout près de mon menton. Tout à l'heure, c'est dans ma bouche ou peut-être dans mon ventre qu’il va la répandre, non pas pour se reproduire, mais pour la plus extrême jouissance qu'on puisse imaginer. Et dans l'instant, cette chaire chaude, lisse et douce, qui va et vient sur ma langue et qui mêle un peu de son fluide lubrificateur à ma salive, me procure un plaisir à la fois sensuel et cérébral. Ces pensées m'excitent au plus haut point, et ma fellation se fait plus intense. Je passe la main qui est derrière lui sous sa jupe, je glisse mes doigts entre ses fesses et je les frotte contre sa fleur. J'ai très envie, tout en le suçant, d'introduire mes doigts dans son cul, mais le collant qui enserre ses cuisses m'empêche de lui écarter assez les fesses. Je renonce, et ça me calme un peu. Je sors sa queue, maintenant toute raide, de ma bouche et tout en la masturbant, je m’adresse à elle :

- toi, tu vas me baiser, hein ? Tu vas m’enculer et tu vas m’injecter ta crème, hein ?


Je finis de remonter son collant sur ses fesses et sur son ventre. La vision de son pieu en érection dans ce collant est très excitante. Non seulement je le vois en transparence, mais il donne un relief très suggestif à son collant. Chaque détail de son sexe est parfaitement moulé par ce voile: ses bourses, les veines de sa verge et son urètre qui font saillie, les deux ailes du dessous de son gland décalotté … Je caresse doucement de la main cette longue bosse, puis j'y pose mes lèvres entrouvertes, que je glisse tout le long de son membre, depuis le gland jusqu'aux testicules, avant d'y passer ma langue de bas en haut puis de haut en bas. Maintenant, c'est lui qui soulève sa jupe, et tout en m'activant des lèvres et de la langue sur sa queue, je lui caresse les fesses et l'intérieur des cuisses à travers son collant. Au bout d'un moment, je le fais doucement reculer, et quand ses mollets entrent en contact avec son canapé, je le pousse pour qu’il s’assoit. Je m'installe, toujours à genoux par terre, entre ses cuisses largement écartées. Tout en caressant de mes mains son sexe et son ventre, je parcours maintenant ses cuisses de mes lèvres et de ma langue. Puis je remonte, et tandis que mes mains se glissent sous son corsage, ma bouche passe de nouveau par son membre extrêmement dur et par son bas-ventre. Je soulève son corsage, et c'est ma bouche qui caresse maintenant son ventre, son sternum et sa poitrine. J'ai maintenant le ventre posé sur sa queue et ma bouche parcourt ses épaules. Une idée me trotte dans la tête depuis que j'ai repéré que son appartement est en entresol:

- on entend bien la circulation, dis donc …


Je me lève et je me dirige vers la fenêtre ouverte. En effet, on entend bien parce que son appartement est à l’entresol et que la fenêtre donne sur la rue, tout au plus à une dizaine de mètres de l’immeuble. Et ça circule pas mal devant chez lui: des voitures, des cars, des camions, des cyclistes, des piétons… Ça circule pas mal, et ça circule lentement, à cause de travaux, un peu plus loin dans la rue. Tandis que j'observe ce trafic, Steve vient se placer à côté de moi. Dans le même mouvement, d'un geste machinal, il pose une main sur mes reins. Aussitôt, ce simple contact m'enflamme les sens. J'écarte les bras, je pose mes mains à plat sur le rebord de la fenêtre et je me cambre.

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Sa main descend sur mes fesses puis s'insinue dans ma raie. Je trouve la situation très excitante: je me fais peloter, tripoter à quelques mètres de ces gens qui passent devant nous. L’appartement en entresol surplombe légèrement la rue, le rebord de la fenêtre se trouve au niveau de mon pubis, alors les passants ne peuvent pas voir ce qui se passe en dessous, mais quand même…


Maintenant, je sens un doigt qui pénètre mon cul. Ça me coupe la respiration. Concentré sur ce qu’il me fait, et comme dans un brouillard, je vois à peine ce couple qui passe devant nous et qui nous salue d'un signe de tête. Comme si de rien n'était, Steve leur répond d'un geste de la main … de sa main libre, évidemment, parce que l'autre est très occupée à poursuivre son exploration. Ce sont maintenant trois doigts qui me fouillent. Je me cambre autant que je peux pour faciliter sa perquisition. Il l'interrompt soudainement, recule, se place derrière moi et je sens qu’il s’accroupit. D'un geste impérieux, il me fait écarter les jambes, et il vient plaquer son visage dans ma raie. Maladroitement, je me penche en avant pour m'accouder au rebord de la fenêtre, lui présentant ma croupe offerte. Déjà, je sens sa langue qui me pénètre et qui s'agite dans mon étui. C'est vivant, c'est chaud, c'est humide … tout ce que j'aime ! Je m'efforce de ne pas manifester au-dessus de la ceinture ce que je ressens au-dessous. Mais quand, après sa langue, il m'introduit ses doigts (combien, je ne sais plus …), je dois me mordre la lèvre pour ne pas gémir mon plaisir aux passants. Je sens que, non seulement il m'a introduit ses doigts, mais, qu'en plus, il les écarte, il les enfonce aussi loin qu’il peut … Il est en train de me dilater, peut-être de me préparer à recevoir le gros gode ! Et j'adore ça !


Soudain, il se relève. Il finit de remonter ma jupe sur mes reins et il vient se coller à moi. Il ne va pas me goder, il va m’en – cu - ler ! Je sens qu’il a empoigné sa queue. Il l'approche de mon étui, il pose son gland contre mon trou, et me saisissant par les hanches, il me pénètre d'un vigoureux coup de reins. Je me redresse et je me cambre, les mains de nouveau appuyées au rebord de la fenêtre. Cette fois, il ne se contente plus de me tripoter en vue des passants et du trafic, il me baise ! C'est à la fois une volupté pour mon cul et un régal pour ma tête. Hé, les gens ! Hé, regardez ! Steve est en train de me trousser et de me baiser devant vous ! J’ai sa queue dans mon cul, là, pendant que vous passez en jetant un regard distrait vers nous ! C'est tellement bon, c’est tellement excitant, que je perds toute inhibition, toute pudeur. Je retrouve un peu du plaisir que j’ai eu à me faire baiser par Gabriel sous les yeux de ma voisine. J’ai envie d’interpeller cette femme qui passe sur le trottoir, ou ce cycliste qui roule au pas, coincé entre deux voitures dans cet embouteillage … Pourvu que l’un d’eux tourne la tête vers nous … Pourvu que quelqu’un nous repère … Pourvu que quelqu’un réalise que Steve est en train de me saillir … 


Juste à ce moment-là, un car passe à petite vitesse devant l’immeuble. Le regard de quelques passagers se tourne machinalement vers nous, et à ma grande joie, je vois que l'un d'entre eux nous a repérés. Comme par un fait exprès, le car s'arrête là, bloqué par un engin du chantier de travaux. Le type qui nous a vus tape sur l'épaule de son voisin et nous désigne du doigt. Ils se marrent, commentent, et bientôt c'est cinq, six, sept passagers du car qui nous regardent, certains offusqués, les autres hilares. Grâce au reflet dans la vitre ouverte, je vois que Steve, tout à son plaisir, contemple le va et vient de sa queue dans mon cul, et qu’il ne réalise pas ce qui se passe devant chez lui. Alors, pour que les occupants du car n'aient aucun doute sur ce que nous faisons, tout en leur adressant un large sourire, je me redresse, je passe un bras derrière ma tête, et j'attire celle de Steve sur mon épaule. Tout à sa besogne, il se croyait invisible, bien caché derrière moi. Il a un mouvement de recul, de résistance en réalisant qu'on nous regarde, et il s’immobilise, la queue au fond de mon cul. Le type qui nous a repérés et son voisin ont entrouvert une vitre du car et se marrent. Ils ne voient pas directement notre copulation, mais il n’y a aucune doute possible pour eux, d’autant qu’avec la hauteur du car, ils se trouvent presque à notre hauteur. 


Je me sens inondé de plaisir et d’adrénaline de me faire baiser, une fois encore devant témoins. Finalement, Steve comprend qu’il est trop tard pour essayer de se cacher, et il se laisse aller. Il contribue même à faire le spectacle: il ôte ses mains de mes hanches, il m'enserre la poitrine de ses bras et reprend de plus belle son va et vient dans mon cul, le menton sur mon épaule. Maintenant, plus d'ambiguïté pour les spectateurs : il est en train de me saillir. Nos deux voyeurs du car, de plus en plus hilares, nous applaudissent par la vitre entrouverte. Leur manège attire l’attention d’un passant, la soixantaine, qui relève la tête pour voir ce qui les excite comme ça.  Il nous repère à son tour et s’immobilise pour contempler le spectacle. Le car redémarre. Tandis que nos deux voyeurs se lèvent de leurs places et gagnent le fond du car pour nous mater le plus longtemps possible, je leur adresse un signe de la main. En voilà qui auront des choses à raconter tout à l'heure au bureau … Sur le trottoir, le passant nous observe ostensiblement en hochant la tête. Lui non plus ne peut pas voir notre accouplement, mais, visiblement, il a compris ce qui se passe. Il voit bien que nous sommes deux hommes, il voit bien que je tiens toujours la tête de Steve d’un geste langoureux sur mon épaule, il voit bien que Steve m’enlace et secoue d’avant en arrière son bassin derrière moi … L’inconnu nous contemple sans vergogne, un petit sourire aux lèvres. On dirait qu’il apprécie notre culot. En effet, le poing serré, le pouce levé, il nous adresse un signe d’approbation. Alors, à son intention, j’en rajoute dans le genre femelle en chaleur : rejetant légèrement la tête en arrière, j’entrouvre un peu la bouche, je ferme à demi les yeux et je me cambre comme sous l’effet d’une intense jouissance. Il hoche la tête de plus belle, avec une mimique mi admirative mi envieuse. Il aimerait quoi, être à la place de Steve, être à la mienne ? Steve, le menton toujours sur mon épaule, n’a rien perdu ni de mon manège ni de celui du passant. Est-ce l’excitation de me baiser en public, est-ce mon comportement de femelle en chaleur, est-ce la réaction du passant ? Il se met à me donner de grands coups de boutoir. 


D’autres passants, remarquent d’abord notre homme, planté au milieu de ce trottoir et qui les oblige plus ou moins à le contourner. Il s’aperçoivent alors qu’il regarde vers cette fenêtre, suivent son regard, et nous repèrent à leur tour. Certains ne font pas plus attention que cela et passent leur chemin. D’autres réalisent d’un coup d’œil et s’éloignent d’un air outré. Passent deux jeunes femmes, bavardant bras dessus, bras dessous. L’une d’entre elles lève machinalement les yeux vers nous, nous voit, et, tout en poursuivant son chemin au bras de son amie, se penche vers elle et semble lui chuchoter quelque chose à l'oreille. Elles ralentissent, l’amie paraît l’interroger, ne pas comprendre ce qu’elle lui dit. Ce faisant, elles se sont éloignées d’une dizaine de mètres, mais je les vois s’arrêter, se retourner, regarder vers notre fenêtre et faire carrément demi-tour … Elle reviennent, toujours bras dessus bras dessous, les yeux braqués sur nous. Notre voyeur a aussi remarqué leur manège et il les regarde s’approcher en riant. Je murmure  à Steve  qui a un peu calmé ses ardeurs :

- On va avoir des spectatrices.

Voilà les deux femmes à côté de l'homme qui nous regarde. Elles s’arrêtent, toujours en nous fixant, et semblent interroger notre homme. Nous n’entendons pas leur conversation, couverte par le bruit de la circulation, mais c’est évident, elles lui demandent s’il se passe bien ce qu’elles croient qu’il se passe. Il acquiesce. Elles éclatent de rire. Elles n’ont pas l’air le moins du monde offusquées. Plutôt curieuses, intriguées. Tout en nous regardant, elles se parlent à l’oreille et rient. Notre voyeur leur adresse la parole, se tourne vers nous, nous adresse un signe de la main, et s ‘éloigne. A je ne sais quoi dans le regard de celle qui nous a vus la première et qui a ramené son amie vers nous, à je ne sais quoi dans son maintien, j’ai le sentiment qu’elle aimerait être à ma place, à se faire prendre comme ça, debout, par un mâle … Ça te plairait de te faire baiser comme ça ? Tiens, regarde ! Je lâche la tête de Steve, je pose mes mains sur le rebord de la fenêtre, et en me cambrant je lui dis :

- Vas-y, bourre moi bien, montre leur que tu es un mâle …

Mon langage cru le stimule. Il me prend par la taille et se remet à me fourrager vigoureusement. Il me secoue tellement que je dois m’agripper fermement tandis que je sens mon sexe ballotter contre le mur sous la fenêtre. Je recommence mon manège à l’intention des deux femmes, les yeux mi clos, la bouche entrouverte. A leur mimique, je vois qu’elles sont bluffées. Elles échangent deux mots, tournent les talons et s’éloignent à leur tour. Je pense que ce soir, leur homme va se faire plaisir … Steve continue à me pilonner un moment avant de ralentir, essoufflé. Il finit par s’extraire de moi et il va s’affaler sur un fauteuil. Toujours à la fenêtre, je passe une main vers mon cul et je palpe ma rondelle. J'ai la fleur toute épanouie de plaisir, les muscles de mon sphincter totalement décontractés. Je me caresse comme ça un moment pendant que Steve récupère. Au bout d'un moment, visiblement calmé, il me demande:

- lève-toi !

Et joignant le geste à la parole, il m'incite à me relever. Dès que je suis sur mes pieds, il déboutonne ma minijupe et il entreprend de me l'ôter:

- Enlève ça, tu n'en as plus besoin.

Quand c'est fait, il m'entraîne vers la cuisine. Il écarte une chaise rangée sous la table et il me dit:

- Grimpe et mets-toi sur le dos.

Je devine ce qu’il projette et j'obtempère. Je suis maintenant à demi allongé, appuyé sur les coudes, les mollets pendant de la table. Il approche, il vient entre mes genoux, me soulève les jambes et les place de part et d'autre de ses bras. J'ai maintenant les cuisses relevées. Il me prend par les hanches et tout en me soulevant, il me rapproche les fesses du bord de la table. Je suis maintenant à sa disposition, le fourreau à hauteur de sa queue, offert, disponible. Toujours accoudé pour profiter du spectacle, je le regarde dans les yeux, qui s’apprête à me baiser. D'un air goguenard, il me dit:

- tu aimes ça, la bite, hein? 

- Ah oui, j'aime ça. 

Il me fourre son gourdin et commence à me ramoner:

- je vais t'en donner, moi, de la bite ! Ça te plaît de te faire enculer, hein ?

- Ho oui ! Ça me plaît d’avoir une queue dans le cul. Mais ça me plaît aussi d'en sucer, de la bite … D’ailleurs, c'est dommage que tu sois tout seul, je me serais bien fait prendre par les deux bouts … Pourquoi tu n’as pas invité un copain ou deux ?

- Tu es vraiment une sacrée salope, hein !

Cet échange l’a excité et il accentue ses coups de reins. Sous ses coups de boutoir, je m'écroule complètement sur le dos. Après une longue série de vigoureux ramonages où son ventre claque contre mes fesses, il ralentit sa cadence et s’applique à m'enfoncer sa queue tout au fond de la caverne. Mentalement, je visualise son gourdin qui fouille la moiteur de mes chairs. C'est très excitant. Soudain, il se remet à me pilonner si violemment que je m'affale sur le dos et que la table se déplace sous ses coups de boutoir. 


A un imperceptible changement de son rythme, à la contraction de ses mains sur mes cuisses, je me demande si il ne serait pas au bord de l'éjaculation. Il n'en est pas question! Pas maintenant. Je me redresse sur les coudes et je le repousse un peu brutalement, extrayant d'un coup sa queue de mon cul. Je lui dis:

- Tu allais jouir, hein? Pas comme ça ! C'est trop tôt. Je veux que tu me baises en levrette et que tu m'éjacules dans le cul. Approche …

Il ne se fait pas prier, il contourne le bout de la table, et le voilà devant moi. Je bascule sur le côté. J'ai maintenant le visage à hauteur de son ventre. Je l’attire vers moi, ses cuisses contre la table, et je prends son sexe dans la bouche. Depuis le temps qu'il va et vient dans mon étui, son membre ne sent plus la cannelle et la vanille, il a le goût de mon fluide anal. Ça ne me gêne pas, j'ai l'habitude. Je trouve même excitant de sucer la queue qui vient de me fourrager la caverne. Je prends sa main et je la pousse vers mon cul. Il se penche un peu, et pendant que je le suce, il me fouille la caverne. Est-ce ma position sur cette table? Sa  queue dans ma bouche, sa main qui m'explore se mêlent pour porter mon excitation au summum. J'ai soudain une urgence. Je sors sa queue de ma bouche et:

- maintenant, je voudrais que tu me baises …

Mais il continue à me doigter et il plaque sa queue contre ma bouche:

- non, tu continues de me sucer.

Je recule ma tête. Alors, d'une main il prend ma tête pour l'attirer vers son ventre, pendant que de l'autre, il empoigne sa queue et il l'applique fermement contre mes lèvres. Les mâchoires serrées, il m'ordonne:

- suce-moi, salope !

Je résiste, je détourne la tête, et je le menace:

- fais gaffe, je te la mords !

- vas-y, mords-la …

J'ouvre la bouche, et il y enfourne résolument sa trique. Je serre doucement les dents sur sa verge, et il attend la suite, immobile. Evidemment, je ne veux pas le blesser, et je ne serre pas davantage, tout en maintenant une certaine pression. Ça a l'air de lui plaire, parce que, tout en me maintenant la tête, il se met à me pousser sa queue plus avant dans la bouche, puis il la ressort presque entièrement avant de la renfoncer. Ma parole, il branle sa bite entre mes dents ! Ça me plaît, de me faire forcer comme ça … Je fais mine de résister et il accentue la pression de ses mains sur ma tête. Je sens que la situation l'excite beaucoup. Nous jouons à ça un moment, lui qui me baise la bouche de force et moi qui fais semblant de me débattre. Mais je ne veux pas qu'il m'éjacule dans la gorge. Pas maintenant, pas encore… J'ouvre la bouche, je la recrache et je dégage ma tête de ses mains. Je roule sur le côté et je descends de la table. Nous sommes chacun d'un côté de la table et je lui ordonne:

- maintenant, tu vas me baiser!

- Pas envie …

Il se marre. Je commence à faire le tour de la table, et il fait pareil pour m'échapper. Heureusement, j'ai une bonne allonge, et j'arrive à l’attraper par un bras. Il résiste, mollement, et je viens me plaquer derrière lui, l’enserrant de mes bras.

- C'est où, la chambre?

- Il n'y a pas de chambre …

- C'est ça, prends-moi pour un con …

Je le soulève du sol et je pars en exploration. Il ne se débat même pas. L'entrée, un couloir, cette porte c'est la salle de bain, je reconnais… La porte suivante, c'est la bonne. Je le pousse devant moi et il s’affale à plat ventre sur le lit. Je me couche sur lui, j'installe ma queue dans sa raie des fesses et je glisse mes mains sous son ventre. Il bande encore. Et même sacrément! Tout en le tripotant, j'insiste:

- Si, tu vas me baiser. Tu vas me prendre en levrette, tu vas me tringler et tu vas me répandre ta crème dans le ventre …

- Pas envie …

- Menteur. Tout à l'heure, à la fenêtre, ça te plaisait, de m'enculer…

- Oui, mais, maintenant, j'ai plus envie …

- Ta queue dit le contraire.

- …

- Tu as envie de quoi, alors?

- …

- Tu veux que je t'encule?

- …

Je me redresse, je me place à genoux entre ses jambes, je le prends par les hanches et je l’attire contre mon ventre. La tête appuyée sur ses bras croisés, le cul en l'air, il attend. Mes intentions sont claires, je me prépare à l’enculer. Il ne résiste pas, il se laisse faire. C’est donc qu’il est d’accord. Je bave un peu de salive sur mes doigts, je lui en barbouille la rondelle, j'approche ma bite et je l'enfonce en lui. Il est très serré. J’ai un peu de mal  le pénétrer. Pourtant, tout à l’heure, avec le pommeau de la douche, j’ai préparé son cul ... Mais depuis, il s’est resserré et il n’a pas utilisé de gode.

- Dis donc, tu es sacrément étroit …

- Je n’ai jamais … je ne me suis …

- Tu es … puceau ?

- Oui.

- Ça m'étonnerait, tout à l'heure, tu t'es ouvert comme quelqu'un qui a l'habitude de se défoncer … ou de se faire défoncer …

- Et ben non ! C'est la première fois. C'est de te voir, avec tes photos et tes vidéos, qui m'a donné envie …


C’est moi qui le … qui le dépucelle. Cette idée accroît mon excitation et me fait bander plus fort. Je pousse un peu plus fermement, mais très lentement. C’est très agréable de s ‘enfoncer dans ce trou étroit qui me comprime la queue. Enfin, mon ventre vient buter contre ses fesses. Encore une fois, ce qui me frappe, c'est que c'est doux, chaud et humide. Je regarde mon ventre collé contre lui, et je ressors, toujours lentement. Bientôt, seul mon gland est encore dans son cul, et je m'immobilise. Cette vision est très excitante. Je le pénètre à nouveau, lentement, et je savoure la vue de mon sexe qui entre en lui. Progressivement, j'accélère mon va et vient. Maintenant, quand mon ventre claque contre ses fesses, que mes couilles viennent battre contre son périnée, j'ai l'impression d'aller vraiment tout au fond de lui. Je sens mon gland qui repousse ses chairs, et ce glissement dans sa tiédeur humide m'électrise. Le spectacle lui-même est très sensuel, érotique, torride… Sa minijupe relevée dévoile les deux globes de ses fesses, avec, entre elles, mon membre qui va et vient dans son intimité. C’est ce que voit un homme qui sodomise une femme … Mais ce n'est pas une femme que je suis en train de saillir, c'est un homme, un mec. Là, juste sous mon membre, il y a, invisible pour moi, un autre membre masculin, une bite et des couilles encore pleines de sperme. 


Je pose mes mains de part et d'autre de sa taille et je m'immobilise. Maintenant, ce n'est plus moi qui avance et recule mon bassin pour le ramoner, mais je le tire vers mon ventre et je le repousse, et c'est son cul qui va et vient autour de ma queue. La situation doit beaucoup lui plaire, parce qu’il se redresse, prend appui sur ses mains pour se retrouver à quatre pattes. Et je sens que, sans que j’aie besoin alternativement de le pousser et de le tirer, c'est lui qui balance d'avant en arrière et qui masturbe ma queue avec son cul. Je reviens à la charge:

- Alors, c’est une première pour toi ?

- Oui.

- Tu ne t’es jamais fait enculer ?

- Non

- Mais, tu te godes, parfois …

- Je me mets un peu mes doigts de temps en temps, mais c’est tout.

 Je n’en reviens pas.

- Mais alors, tout à l’heure, dans la douche, avec le pommeau …

- C’était la première fois … un truc aussi gros, je veux dire.

- Mais comment il a pu entrer aussi facilement sans te blesser ?

- Je ne sais pas. La pression de l’eau peut-être…

- Alors, c’est moi qui te dépucelle …

- Oui.


Ça me laisse sans voix. Au-dessus de la ceinture de sa jupe, son corsage, un peu remonté, dévoile ses reins. Je repousse son vêtement un peu plus haut et je lui caresse le dos, les omoplates, les épaules et la nuque. Tout en allant et venant sur ma queue, il se penche vers le lit et passe une main sous son ventre. Je la sens qui vient se glisser entre mes cuisses et qui me touche les couilles. Puis elle remonte vers son anus et ses doigts entourent ma verge qui va et vient en lui. La sensation est terrible … Je suis de plus en plus excité, à la fois charnellement par le va et vient proprement dit de ma queue dans son fourreau, et cérébralement par l'image que je me fais du parcours de mon gland dans ses chairs et par la vision de mon sexe qui s'enfonce dans ce cul, dans ce corps, qui en ressort et s'y enfonce de nouveau … Le souffle suspendu, je le mets en garde:

- Je vais bientôt … aaaaaahhhhhh … tu voudras que je me retire, ou …

- Non, vas-y, jute-moi dedans …


J'essaie de me retenir aussi longtemps que je peux. Je suis tout au bord de l'orgasme, au bord de l'éjaculation … Pour retarder encore un peu ce moment fatal de bascule irréversible, je ferme les yeux, espérant ainsi m'abstraire de la vision de ce cul que je suis en train de pénétrer … Erreur: aussitôt, s'impose à mon esprit l'image de mon sexe dégorgeant un flot de sperme dans ces chairs chaudes et humides … et c'est l'explosion ! Mes abdominaux, en se contractant, me coupent la respiration, une secousse parcourt ma prostate et mes couilles qui remontent vers mon périnée, et ma queue a un premier soubresaut au moment où je me plaque convulsivement conte Steve. Je ne peux retenir un râle et je commence à me répandre en lui … Comme par réflexe, je lui donne de violents coups de boutoir au rythme de mes éjaculations:

- Aaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaah !

Voilà, c'est fini. Je sens ma queue baigner dans mon sperme au fond de son cul. Je m'effondre sur lui et il s'affale sur le lit. Instinctivement, je pose mes lèvres sur sa nuque et je l'embrasse:

- Hhhhhhmmmmm ! Oh, c'était booooon !

- …

- Tu as aimé ?

- Hhhhmmmmmmmm !

Visiblement, il a aimé. Nous restons comme ça un moment, avant qu'il ne s'agite:

- Tu m'étouffes …

Je me redresse et, agenouillé entre ses mollets, je me penche vers son cul, et je pose mes lèvres sur son œillet. Je le sens réagir, soulever son bassin, se cambrer, offrant son fourreau à une autre caresse, buccale, cette fois. Il est ouvert, dilaté. Tandis que je glisse ma langue dans son trou, je passe une main sous son ventre, vers sa queue. Il bande. Je le masturbe doucement tout en remuant ma langue dans son fourreau. Il empoigne ses fesses et les écarte pour faciliter ma caresse, et se met à ronronner … Ma position est très inconfortable et je ne tarde pas à devoir arrêter mon manège. Je reviens au-dessus de lui, appuyé sur les avant-bras, ma queue redevenue molle posée entre ses fesses, et je lui murmure à l'oreille:

- Tu as eu ce que tu voulais ?

- Oui …

- Bon, alors c'est toi qui vas me baiser, maintenant …


Il se retourne et nous nous retrouvons face à face, lui sur le dos et moi au-dessus de lui.

- OK. Allonge-toi …

- Non, tu vas me baiser à la fenêtre …

- Encore ?

- Oui, encore. J'ai encore envie que tu me baises devant des spectateurs, mais maintenant, tu vas aller jusqu'au bout …

- Bon … Pousse-toi un peu … et avant ...

 

Il me fait basculer sur le dos et me force à remonter mes cuisses sur mon ventre. Il avance ses genoux vers moi. Le voilà au-dessus de moi. Agrippé d'une main à mon mollet, il guide son sexe de son autre main vers ma fleur. Je le sens me pénétrer. Il pose ses deux mains de part et d'autre de mon torse et commence à aller et venir. Je sens ses couilles qui touchent ma raie chaque fois qu'il s'enfonce en moi et je sens son gland qui me pénètre très profondément. Il plante se yeux dans les miens:

- tu aimes ça, hein, te faire baiser …

- oui …

- tu t'es déjà fait baiser par combien de mecs ?

J'ai fait le décompte tout  l'heure, dans le train, alors je lui réponds sans hésiter:

- Six …

- Six ? Avec moi ?

- Non, toi tu es le septième …

- Quelle salope !

- Oui, je suis une salope …

- Et ils baisaient bien, les autres ?

- … ça dépend … certains, oui … il y en a surtout deux qui avaient des très grosses bites … 

- Ah oui ?

- Oui, et je voudrais bien qu'ils me baisent encore, ces deux-là !

- et tu t'es déjà fait baiser par plusieurs mecs en même temps ?

- Oui …

- Combien ?

- Trois … 

- Quelle salope !

- Oui, oui, je suis une salope … c'était bien, ces trois mecs … et en plus, c'était presque en public …

- Raconte.

Il est planté au fond de moi, immobile. Il écoute.

- C'est des routiers que j'avais allumé en m'exhibant au bord de l'autoroute. Ils se sont arrêtés, ils ont sauté le grillage et ils m'ont baisé là, juste un peu cachés derrière leur camion. Un des trois avait une queue … énorme !

- Des mecs que tu connaissais pas ?

- Ben non, je les connaissais pas. Les deux premiers qui se sont arrêtés sont slovaques et un des deux, c'est un géant et c'est lui qui a une bite de géant. Alors au début, j'avais seulement accepté de les branler à travers le grillage qui borde l'autoroute …

- Et puis ?

- J'ai commencé à les branler, mais le géant a une queue tellement … 

- Tellement quoi ?

- ... tellement énorme ! Ça m'a excité, ils l'ont senti et ils m'ont un peu forcé à les sucer …

- Et alors ? 

- Alors ? Ben après, ils ne m'ont plus forcé … je les ai sucés volontairement …

- T'es qu'une pute !

- Non, pas une pute, je me fais pas payer. Je suis seulement une salope … Et là, je ne voulais pas manquer une occasion pareille … une bite pareille ...

- Et ils t'ont …

- Ils ont sauté le grillage et je les ai encore sucés, et il en est arrivé un troisième, un français, celui-là …

- Que tu ne connaissais pas non plus, évidemment …

- Ben non, évidemment …

- Putain … après ?

- Après, ils m'ont tous enculé et les deux slovaques m'ont éjaculé, un dans la bouche, un dans le cul …

- Avec des capotes ?

- Non … enfin, le français oui, mais pas les deux autres …

- Et t'as pas eu peur de …

- De me faire plomber ? Au début oui, mais avec l'excitation, j'ai oublié … mais rassure-toi, j'ai fait le test … négatif.

- T'es une chienne !

- Oui, c'est exactement ça … une chienne ... J'aime attirer les mâles avec mon cul, les exciter pour qu'ils viennent me renifler la vulve avant de me saillir. J'aime l'idée de me faire couvrir et féconder par des mâles ... comme une chienne …

- Et tu vas continuer?

- Oui. Les deux qui ont une grosse bite, je vais essayer de les revoir pour qu'ils me baisent encore …

- Le deuxième à grosse bite, c'est qui ?

- Gabriel. Un grand black baraqué et beau comme un dieu. Ah quelle queue ! C'est mon premier amant, Thomas, qui me l'a offert …

- Offert ?

- Oui. Gabriel devait un service à Thomas et Thomas, pour qu'il règle sa dette, lui a demandé de venir me baiser. Et en plus, il m'a baisé au milieu de mon jardin, avec ma voisine qui matait par-dessus le mur ! 

- Et l'autre ?

- Le géant slovaque ? Lui, il a envie de me revoir. Il suffira que je sache quand il reviendra en France …

- Et tu as envie de quoi, après ?

- Là, maintenant ?

- Non, après … tu as envie de te faire baiser par d'autres mecs ?

- Oui. Plein …

- C'est-à-dire …

- J'ai envie de me faire baiser par plein de mecs, mais surtout, j'aimerais un gang bang. 

- Comment ça ?

- Ben, une troupe de mecs qui me baisent ensemble … six, sept, huit mecs … si possible des blacks bien montés … c'est mon plus gros fantasme … D'ailleurs, ça m'aurait bien plu que tu invites un pote ou deux, aujourd'hui …

- J'y ai pensé, mais j'ai pas osé …

- Dommage ! Bon, je commence  fatiguer … tu ne voudrais pas changer de position ?


Il reprend son va et vient, trois ou quatre fois, et s'extrait de moi. Je rabats mes jambes, soulagé. Il se lève, me tend la main pour m'aider à me relever … Il me prend par la taille et m'entraîne vers le salon:

- Bon, tu veux que je te baise à la fenêtre, alors ?

- Oui …

 

Steve 2

Nous voilà de nouveau à la fenêtre. Il passe derrière moi, me pousse un peu pour que je m'y appuie et me tapote les cuisses pour que je les écarte. Il vient se coller à moi, me loge sa queue dans la raie des fesses et appuie sa poitrine contre mon dos. Cette fois, il n'a plus ses pudeurs de tout à l'heure. On dirait que ça ne le gêne plus de se montrer avec moi. Il pose ses mains sur le rebord de la fenêtre, de part et d'autre de ma taille et commence à frotter sa queue dans ma raie. Je le sens raide, excité. La circulation est un peu moins intense, mais il y a toujours des voitures, des utilitaires et des passants en contrebas de l'immeuble, à quelques mètres de nous. Personne ne semble nous remarquer.

- Moi aussi, je vais te féconder …

- Oh ouiiii ! Vas-y, prends moi, couvre moi …

- Tu es ma chienne …

- Oui. Sens moi le cul, tu verras, je suis en chaleur …

- Ton cul m'excite …

- Alors lèche-le-moi, qu'il s'ouvre pour ta queue …


Steve se décolle de moi, et je le sens s'accroupir derrière moi. Il m'empoigne les fesses et les écarte. Je sens son visage se glisser dans ma raie, sa langue sur ma fleur. Il me lèche, plusieurs fois, puis l'enfonce. Je me cambre autant que je peux. Je sens sa langue humide et chaude glisser dans mon anneau. Il me lubrifie, longuement … Puis il se relève, m'enfonce des doigts (combien ? Je ne sais pas) dans le cul, revient se coller à moi. Cette fois, ce ne sont plus ses doigts que je sens contre mon œillet. C'est sa queue. Il me pénètre, m'empoigne les hanches et entame un lent va et vient… Je retrouve le plaisir de me faire sodomiser en regardant tous ces gens, en bas de l'immeuble, qui ne se doutent pas de ce qui m'arrive.

- Je vais t'engrosser, salope …

- Oui ! Fais-moi des petits …

- Tu es à moi, tu es ma chienne !

- Ouiii, je suis ta femelle … Couvre-moi ! Baise-moi !


Il accentue son mouvement:

- Tu en veux, tu vas en avoir. Je vais te remplir de foutre …

- Ouiiiii. Fous-moi une bonne pétée …

- T'es qu'une salope, une viande à bites, un sac à jute …

- Ouiiii, remplis-moi, mets-moi ta petite graine, plein de petites graines, féconde-moi …

- Aaaaaaaahhhhh ! Salope ! Salope ! Salope ! Salope ! Aaaaaaaaaaaaahhhhhhhh !


Il jouit, les mains crispées sur mes hanches, il scande au rythme de ses secousses et je sens son sexe agité de soubresauts dans mon cul. Déjà, sa semence s'écoule le long de ma cuisse. Il se plaque brusquement à moi en grognant, le menton sur mon épaule:

- Oooooh, putaiiiiin, c'que t'es booooonne !


Il éclate de rire, se décolle de moi et s'écroule sur le dos au milieu du salon:

- Ah, la vache ! T'es vraiment … un trou à bites, hein !

- Oui, et un trou à foutre aussi … regarde …

Et joignant le geste à la parole, j'enfonce mes doigts dans mon cul, je les ressors maculés de sa crème, je récupère le sperme qui a coulé sur ma cuisse, et je porte le tout à ma bouche.

- hhhhhhhmmmmmmm !

Il a relevé la tête et, toujours en riant, il me regarde lécher sa semence. Je tombe à genoux de part et d'autre de ses cuisses et je me penche vers son ventre.

- Il doit en rester un peu, là-dedans …

Je saisis son sexe, quelque peu ramolli, je le glisse dans ma bouche jusqu'à la base et serrant les lèvres sur sa verge, je presse son urètre jusqu'au gland et en extrais quelques gouttes … Cette fois, nous voilà repus, apaisés. Je m'effondre à mon tour, sur lui.

 

Nous nous endormons.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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