Dimanche 18 décembre 2016 7 18 /12 /Déc /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Ça y est, mon week-end chez Denis a commencé. Ses invités sont arrivés: Nadir, son collègue, Yann, un des participants à mon gang bang chez Jean Claude, et Dominique, un voisin de sa résidence. Ils ont déjà tous eu droit à une petite turlute. Petite turlute … enfin … turlute complète, en fait: Denis, Yann et Nadir m'ont inondé la gorge. Il n'y a que Domi qui a résisté à ma fellation, mais lui, il m'a baisé sur le canapé. Bref, après le repas, ils ne sont amusés à me goder au rouleau à pâtisserie. Yann ayant commencé à se lâcher un peu brutalement avec moi, Denis a jugé qu'il était temps qu'on aille poursuivre la soirée dans le troquet de son pote Jeanneau. Alors je me prépare.

 

Une fois dans la salle d'eau, je ne me contente pas d'essuyer le lubrifiant qu'ils m'ont fourré dans le cul, je me fais aussi plusieurs lavements. On ne sait jamais. J'ignore comment la soirée va tourner après notre passage chez ce Jeannot, alors je dois être prêt à toute éventualité. Quand je reparais dans le salon, mes quatre … potes sont prêts et m'attendent en discutant. L'ambiance quelque peu plombée par Yann s'est détendue et ils se marrent. Denis me tend mon blouson:

- Ça y est, CHÉRIE, t'es prête ?

- Oui, je suis "prête".

- C'est Nadir qui nous emmène. T'as pas pris ton sac ?

- Euh, non. J'aurais dû ?

- Ben … j'ai vu qu'il y a des capotes, dedans.

- Je vais en avoir besoin ?

- On sait jamais.

- Ah bon ? Et quoi d'autre ?

- Ben, c'est tout. 

 

Lui aussi se dit qu'on ne sait jamais. Comme quoi, les grands esprits se rencontrent, comme on dit. Il faut dire que je suis venu chez lui pour de la bite et du cul, pas pour un week-end "culture". Alors on verra. J'entreprends un demi-tour pour aller chercher mes capotes, mais il m'arrête:

- Attends, j'y vais. Vous, commencez à descendre. Je vous rattraperai. De toute façon, on peut pas monter à cinq dans l'ascenseur.

 

Domi s'efface devant moi et me fait signe de le précéder. Au passage, il me claque les fesses:

- Roule, ma poule !

 

Nous parcourons en silence le couloir qui dessert les appartements de l'étage, et nous attendons l'ascenseur. Quand il arrive à l'étage, Nadir m'ouvre la porte et nous montons. Yann vient à côté de moi:

- Je m'excuse, hein. J'ai déconné, tout à l'heure.

- Ça va, je te dis. 

 

Alors, pour lui prouver que l'incident est oublié, je me colle à lui, je passe une main derrière ses reins, je plaque l'autre sur son bas ventre, et, tout en lui palpant le paquet, je l'embrasse dans le cou en ronronnant. Je le sens tout gêné. Les deux autres ricanent. Je lui roulerais bien une pelle, mais je ne suis pas sûr qu'il se laisserait faire. Alors:

- Mais quand même … pour ta punition …

 

Je laisse ma phrase en suspens. Inquiet, il demande:

- … pour ma punition ?

- pour ta punition, tu devras me baiser avant minuit.

 

Les deux autres se marrent ouvertement. Nous arrivons au rez-de-chaussée. C'est Denis qui nous ouvre la porte. Essoufflé. Il a dû dévaler les escaliers. Il me tend une poignée de capotes:

- Tiens, mets ça dans ta poche. J'ai pris ça aussi.

 

Le flacon de lubrifiant ! Je lui brandis mon index sous le nez:

- Ben tiens !  Toi, t'as une idée derrière la tête !

- Nan, nan, j'tassure ! J'me dis seulement que la soirée peut ... évoluer … Mais j'ai pas spécialement d'idée derrière la tête …

- Mouais. Prends-le, toi, le lubrifiant. Mes poches sont trop petites.

 

Ça me fait un drôle d'effet, de traverser le hall de l'immeuble et le parking, encadré par mes quatre lascars … mes quatre mecs ! Et puis, je réalise que c'est la première fois que je me balade en trav, comme ça, en extérieur, pas vraiment dans un lieu public, mais quand même, dans un endroit où je pourrais rencontrer n'importe qui. Je m'attendais à ce que, de son côté, Denis soit un peu gêné de se balader dans sa résidence avec un travelo. Mais non, il a l'air de s'en foutre. 

 

La voiture de Nadir, c'est une grosse berline allemande. Un modèle un peu ancien, mais nickel. Denis prend place à côté du chauffeur, et d'office, Dominique me fait asseoir à l'arrière entre Yann et lui. Avant de boucler sa ceinture de sécurité, il déboutonne son pantalon et ouvre sa braguette. Puis, sans un mot, il prend ma main et l'attire vers son sexe. Je commence à lui pétrir le gland, et je tends la main vers le ventre de Yann. Aussitôt, il fait comme Dominique. Je leur tripote déjà la bite avant qu'on soit sortis de la résidence. Denis guidant Nadir, nous traversons lentement M. Il y a encore pas mal de circulation et des gens qui se hâtent sur les trottoirs. Ça me plaît beaucoup, cette balade en ville, une queue dans chaque main. Yann et Dominique bandent et se laissent tripoter, chacun regardant par sa vitre. A un feu rouge, Denis se retourne et me voit palucher ses potes:

- Ça va, derrière ?

- Comme tu  vois …

- Oui, oui, je vois ça. C'est bien. On est presque arrivés.

 

Nous voilà dans la vieille ville, au bas la rue Saint Jean, étroite et sombre, qui monte jusqu'à la cathédrale. Denis montre à Nadir une place de stationnement sur la gauche:

- On y est, gare-toi là.

 

Pendant que Nadir manœuvre, Yann remballe sa bite et referme sa braguette. Dominique, lui, attend que l'on soit garés, et descend, la bite à l'air. Il se remballe sur le trottoir pendant que je m'extrais de la voiture. Nous sommes garés juste devant le bar. Je ne l'avais jamais remarqué. Pourtant, je suis passé devant des dizaines de fois dans la journée. La rue Saint Jean, c'est une des rues qui conduit au centre-ville historique et commerçant. S'il y a peu de commerces dans le bas de la rue où nous sommes, un peu plus haut, les boutiques sont à touche-touche des deux côtés. Pour ce que j'en vois, la devanture du bar est assez terne et banale. Pas de quoi attirer l'attention. Là, on la remarque seulement parce qu'elle est éclairée, contrairement aux immeubles qui l'encadrent. Au-dessus de la porte en verre, une petite enseigne: "le Saint Jeannot", jeu de mots à tiroirs sur le nom du patron, sur le nom de la rue et sans doute sur le Cinzano ! Denis pousse la porte et me fait signe d'entrer.

 

L'intérieur n'est pas beaucoup plus reluisant que l'extérieur. C'est vieillot et ça sent comme dans tous les vieux rades: un mélange d'odeurs aigrelettes où dominent celles de la bière, du café et de l'anis. D'abord, je ne remarque que le type accoudé derrière le comptoir, qui doit être le fameux Jeannot, et les deux clients qui discutent avec lui, assis sur de hauts tabourets en bois. Jeannot doit avoir dans les soixante ans, les cheveux gris et ras, mal rasé, le teint malsain des types qui boivent et qui fument, le visage dur … la parfaite gueule du vieux voyou ! Les deux autres, bien que plus jeunes, ne valent pas beaucoup mieux. A mon entrée, tous les trois arrêtent leur conversation et me dévisagent … ou plutôt, me déshabillent du regard. Leurs yeux me caressent, me palpent, me tripotent. J'adore.

- Salut, Jeannot !

 

Denis me dépasse et fonce vers le bar. Il serre la main à Jeannot et aux deux clients, et se tourne vers moi:

- Bon, ben voilà, c'est Marin. C'est notre euh … notre COPINE, quoi …

 

"Copine" ! Le mot m'amuse. Tout comme "copain", ça veut dire "qui partage le pain", "copine", doit vouloir dire "qui partage la pine". C'est vrai qu'il doit arriver que des copines partagent la même pine, Mais en ce qui me concerne, ce n'est pas approprié, parce que je ne partage pas de pine. Ça serait même plutôt le contraire: c'est les pines qui me partagent.

 

Je tends la main au patron par-dessus le bar. Il me la serre en souriant:

- Alors, comme ça, c'est toi, la … COPINE que Denis nous amène ?

 

Ce n'est pas qu'il insiste sur le mot "copine" qui m'intrigue, c'est qu'il ait dit " … que Denis nous amène ? ". Ça veut dire quoi, " … que Denis nous amène " ? C'est curieux, je sens qu'il n'a pas dit ça par erreur et que la formulation n'est pas anodine. Et il y a cette poignée de main un peu appuyée et ce sourire salace. Alors, comme ça, Denis "m'amène" à ces mecs ! Contrairement à ce qu'il m'a dit, j'ai l'impression qu'on n'est pas venus ici seulement pour boire un coup. Déjà, tout à l'heure, il me fait prendre des capotes et du lubrifiant, et là, d'après Jeannot, il "m'amène" à eux … Ça veut dire que … qu'ils vont me … Une vague d'adrénaline me submerge et un frémissement me saisit depuis la taille jusqu'aux genoux, m'électrisant le sexe, la prostate et l'anus. Oooooh, putain, si ça se trouve, le coup, je ne vais pas le boire, mais je vais me le prendre dans le cul ! Jeannot me tient toujours la main, attendant que je lui confirme que je suis bien la COPINE que Denis "leur amène":

- Et oui, c'est moi.

- Bien, bien …

 

Il hoche la tête d'un air satisfait. Vu ce qu'avait dit Denis au sujet de ma tenue, je ne m'attendais pas à un accueil aussi … bienveillant. Ça a l'air de lui convenir. Justement, Denis lui demande:

- Alors ? Ça te va, sa tenue ?

- Ouais, ouais, ça me va. J'avais pas compris ça. J'avais compris plus … voyant, plus vulgaire, plus pute, quoi. Je voulais pas qu'il se fasse remarquer dans le quartier. J'ai eu assez d'emmerdes avec ça. Mais là, ça va.

- Ben oui, c'est pas une Drag Queen, quand même !

 

Bon ! C'est quand je serre la main aux deux clients assis au bar, que je me rends compte qu'il y en a trois autres, à une table dans la salle, en train de jouer aux dés. Domi, Nadir et Yann se sont regroupés autour de moi et serrent aussi des mains. Les trois types de la salle se lèvent et s'approchent. Ce que je me demande, c'est ce qu'ils ont en tête, Denis et les types de ce rade. On est venus faire quoi, exactement, dans ce troquet ? Pas seulement boire un coup, ça me paraît évident ! Et Domi, Nadir et Yann, ils sont au parfum de ce qui se prépare ? Si ça se trouve, il n'y a que moi qui ne suis pas au courant ! Ce qui me paraît de plus en plus évident, c'est qu'il y a de la bite et du cul dans l'air. Mais quoi, exactement ? Denis ne m'a quand même pas "amené" ici pour que Domi, Nadir, Yann et lui me baisent devant ces mecs ! Ça me plairait bien, mais ça m'étonnerait parce que, si c'était ça, Denis ne m'aurait pas fait prendre des capotes. Plus ça va, plus je me dis qu'il m'a "amené" ici, ou plutôt qu'il m'a "amené à ces mecs" pour que EUX me baisent ! 

 

Du coup, je les regarde d'un autre œil et, immédiatement, je me demande ce qu'ils ont dans le froc, ces … trois et trois ... six mecs. Putain, six nouvelles bites ! Mais aussitôt, je suis pris d'un doute … à part Jeanneau, si ça se trouve, les autres, c'est seulement des consommateurs ordinaires qui se trouvent là par hasard. C'est peut-être seulement Jeanneau qui va me baiser. Oui, mais il a dit "la copine que Denis NOUS amène ". NOUS ! Je les regarde tous, les uns après les autres. T'es là pour me baiser, toi ? Et toi ? Et toi ? Et toi …  Y'a pas à dire, ils ont tous de ces tronches, ces mecs … Un metteur en scène pourrait les recruter pour incarner une équipe de malfrats ! Mais leurs gueules, je m'en fous ! Les trois joueurs de dés viennent à leur tour nous serrer la main. Ils se déplaceraient pour nous dire bonjour, si c'était des clients ordinaires ? Sûrement pas. Ils viennent faire … connaissance. Le premier m'examine sans vergogne de la tête aux pieds. Le deuxième garde ma main dans la sienne, me fait pivoter d'un quart de tour pour me voir de profil avant de me ramener face à lui, et siffle doucement entre ses dents. Le dernier me déshabille du regard et hoche la tête d'un air entendu. Ces mecs aux regards et aux sourires lubriques, qui me reluquent et qui me jaugent comme un boucher examinerait un bestiau avant de l'acheter, ça me trouble … et ça m'excite. Ils se sont contentés de me caresser du regard, mais ça me fait le même effet que s'ils m'avaient tâté les miches pour juger de la fermeté de ma chair, comme s'ils m'avaient palpé les cuisses pour estimer la douceur de ma peau. Cette fois, j'en suis à peu près sûr, ces types sont ici pour me baiser ! Ah, putain ouiiiii ! Une bouffée de chaleur m'envahit et un frisson m'électrise l'anus.

 

Quand je me retourne, je m'aperçois que Denis m'observe, comme s'il guettait mes réactions. Au drôle de petit sourire qu'il arbore, j'ai l'impression qu'il est satisfait. Rassuré, plus exactement. Ça se voit tant que ça, que je suis content qu'il m'ait "amené" à ces mecs ? Juste à côté de moi, Nadir et Yann me regardent aussi, mais d'un air un peu gêné. Quant à Dominique, la situation a l'air de beaucoup lui plaire. Aux mimiques et aux sourires qu'échangent Denis et Jeannot, c'est comme si je les entendais: « C'est bon, mec, c'est dans la poche ! ». C'est sûrement ça ! Tous les deux devaient se demander si j'allais être d'accord pour passer à la casserole ! Evidemment, que je suis d'accord pour passer à la casserole. Six mecs de plus ! Six mecs à soulager ! Après une trentaine l'autre jour, c'est pas six mecs qui vont me faire peur ! Si vous en avez envie, allez-y ! En tout cas, moi, j'en ai envie !

 

Jeannot lance à un des deux types assis sur un haut tabouret:

- Tiens, Anton, laisse ta place à … euh, comment tu veux qu'on t'appelle ?

- Comme tu veux … Marin … ou Marine … ou "ma poule", Dominique m'appelle "ma poule" … comme tu veux.

- Bon, alors, ma poule, je te sers quoi ?

 

Anton m'a docilement abandonné son tabouret. Je me hisse et, bien entendu, mon entrejambe, dévoilé par ma jupe qui remonte à l'angle de mes cuisses, n'a pas échappé à Jeanneau, de l'autre côté de son comptoir. Il a un petit hochement de tête admiratif et il insiste: il me sert quoi ? 

- Je … je sais pas ..

- Une coupette ?

- Ah oui, une coupette.

- Coupette pour tout le monde ?

 

Oui, coupette pour tout le monde. Ah non, Nadir lève la main:

- Pas pour moi. Euh, un whisky, c'est possible ?

- Pas de problème. Un baby !

 

A part deux des joueurs de dés qui se parlent à l'oreille, tout le monde reste silencieux. A la façon dont ils m'ont tous examiné, maintenant c'est une certitude, tous ces mecs sont ici pour du sexe avec moi. Hhhhmmmm, ça m'excite ... non seulement parce que je vais encore me faire baiser par des inconnus, mais aussi parceque Denis a pris l'initiative de m'amener à ces mecs sans me demander l'autorisation et même sans m'en avertir ! Et ce qui ajoute à mon plaisir, c'est que, visiblement, dès qu'ils l'ont vue, ils ont eu envie de la baiser, la salope qu'on leur a amenée ! C'est dingue, quand même ! Dans cette affaire, tout devrait me ... me choquer, me scandaliser. L'autre jour, quand une trentaine de mecs m'on baisé chez Jean-Claude, c'est moi qui me suis offert à eux. C'était MA décision, MA volonté. Mais là, non seulement mon amant du jour ... MES amants du jour m'ont utilisé pour leur plaisir, mais en plus, maintenant, ils me livrent d'autorité à d'autres types pour qu'ils me baisent, comme ... comme une marchandise, comme un objet sans volonté, sans libre arbitre. Je devrais me sentir méprisé, humilié, avili d'être traité comme une chose, comme un objet sexuel qui n'a pas à donner son consentement ! Et bien, c'est exactement le contraire ! Je ne me sens ni humilié, ni avili ... ça me plaît, ça m'excite d'être traité comme ça ! Je me sens ... je me sens fier. On me traite comme la dernière des salopes, comme une viande à bites ? Tant mieux ! Je fais bander des mâles, ils ont envie de me baiser, alors qu'ils me baisent, c'est tout ce que je demande ! 

 

Maintenant, je n'arrête pas de penser à ce qu'ils ont entre les jambes, à ces six nouveaux sexes, encore cachés dans ces pantalons, là, tout près de moi. Dans un petit moment, ils vont me les introduire l'un après l'autre ... dans ma bouche ou dans mon fourreau … ils vont s'y donner du plaisir … et ils vont y déverser leur semence ! Penser à ça, c'est … oh la la ! Me dire que ces six types, des inconnus, vont tous me passer dessus, introduire leur sexes en moi et me posséder, ça me ... brrrrrr ... un frisson de plaisir me parcourt de la nuque aux genoux. Pour le moment, aucun d'eux n'ose encore passer à l'acte, ou commencer à me tripoter, ou simplement aborder la question. Ça m'amuse et je les laisse lanterner un peu. Si aucun ne se décide, c'est moi qui m'attaquerais à la braguette de l'un d'entre eux. Anton est resté à côté de moi. Ce sera lui. Jeanneau pousse une flûte de Champagne vers moi:

- Bon, euh … ma poule, tu sais, t'es le premier … travelo à venir ici. D'habitude, c'est des putes qu'on fait venir. Ou des bourgeoises salopes qui veulent de la bite, mais jusqu'à présent, toujours des femmes. Avec mes potes, on s'est encore jamais fait un travelo, hein … 

 

Voilà, c'est dit: c'est bel et bien pour lui ET ses potes que je suis ici. Yessss ! Mais avant, je vais m'amuser un peu:

- Hein ? Mais pourquoi tu me dis ça ? Quel travelo, vous voulez vous faire ? Moi ? Mais je suis pas au courant …

 

Il blêmit. Je regarde Denis. Lui aussi devient tout blanc. Jeannot:

- Hein ? Qu'est-ce que c'est que ces conneries ?

 

Il a l'air furibard. Denis bafouille, me regarde d'un air suppliant:

- Je … je pensais … mais … tu ...

- Tu m'as rien dit, Denis ! T'as seulement parlé de venir boire un coup !

 

Jeanneau le fusille du regard, prêt à exploser. Les autres se regardent, interloqués. 

 

J'éclate de rire:

- Ah ! Vous avez eu peur, hein ! Je déconne, évidemment ! Denis, j'ai compris que si tu m'as "AMENÉ" à ton pote Jeanneau … et à ses … clients, c'est pas pour lire des poèmes. J'ai commencé à m'en douter quand tu as voulu que je prenne des capotes. 

 

Jeannot secoue la tête:

- Je comprends rien à vos conneries. T'étais pas au courant que … tu veux dire que t'étais pas au courant pourquoi tu venais ici ?

- Est-ce que j'étais au courant que Denis "M'AMENAIS" ici pour que je me fasse baiser ? Non, j'étais pas au courant. Tel qu'il m'avait présenté la chose, on venait seulement boire un coup. 

- Ah bon ? Alors ? Maintenant que tu sais que t'es là pour euh … te faire baiser, t'es d'accord, ou t'es pas d'accord ?

- Maintenant que je sais ... rassure-toi, je SUIS d'accord. Je suis TOUJOURS d'accord pour me faire baiser ... J'ADORE me faire baiser !

 

Denis soupire:

- Ah t'es con, hein !

 

J'ai l'impression d'entendre un soupir de soulagement général. Maintenant, Jeanneau, ses cinq clients et moi, nous savons tous ce qui va se passer ! Même les quatre mecs avec qui je suis venu. Dix mecs ! Dix mecs autour de moi, et au centre … MOI ! Est-ce un effet de mon imagination ? Maintenant que j'ai annoncé la couleur, j'ai l'impression qu'il règne brusquement une atmosphère de stupre et de luxure dans ce troquet ! Comme quand je suis arrivé dans la cour de la ferme de Jean-Claude, au matin de mon gangbang. Dans ces pantalons, des queues doivent déjà frémir, des glandes doivent commencer à sécréter de la liqueur. J'ai même l'impression que ça sent le mâle là-dedans, comme si, à l'idée de forniquer avec moi, ces types s'étaient mis à exsuder de la testostérone. J'adore ! Lentement, je les regarde à nouveau, ces dix mecs. Je me sens comme un gamin qu'on aurait amené devant la vitrine d'un magasin de jouets en lui disant « Sers-toi, tu peux prendre tout ce que tu veux ». Et je le sais, à cet instant précis, dans la tête de ces dix mecs, c'est comme dans la mienne, des images, des envies, des pulsions se bousculent: sexe … baise … bites … cul … pipe … accouplement … bouche … masturbation … fornication … langue … jouissance … éjaculations … sperme … spermesperme

 

Autour de moi, comme une garde rapprochée, il y a les quatre à qui je me suis donné chez Denis, qui ont déjà introduit leurs sexes en moi, et qui ont déjà joui de moi et EN moi. Et dans un deuxième cercle, il y a les six autres. Six mâles inconnus avec qui je vais forniquer. A mon tour, et sans vergogne, je les dévisage, un à un. Celui-ci, il va poser ses gros doigts courts sur moi, me caresser les cuisses, m'explorer les fesses et la raie, peut-être me les introduire dans le fourreau … Jeannot va peut-être poser ses lèvres sur moi, dans mon cou, il va peut-être vouloir me rouler une pelle, glisser sa langue dans ma bouche … ou dans mon cul … je sens déjà sa barbe de deux jours me gratter les cuisses… Lui, là, Anton, il va presser son corps contre le mien … frotter son sexe en érection dans ma raie … me pétrir les hanches de ses longs doigts fins … Celui-ci, assis à côté de moi, s'il me prend en levrette, je vais sentir les poils de ses cuisses caresser mes cuisses … L'autre, qui est derrière moi et dont je ne vois que le visage dans le miroir en face de moi, c'est la touffe de poils de son pubis que je vais sentir contre ma rondelle et mon périnée, quand il va me fourrer … 

 

Ah, putain, leurs doigts, leurs langues vont s'introduire dans ma bouche et dans mon anus … leur bites … leurs bites vont pénétrer ma bouche … leurs bites vont s'enfoncer dans mon cul … leurs semences toutes chaudes vont jaillir et se répandre dans mon ventre … Six mâles à qui je viens de m'offrir ! Six mâles à qui je viens de dire que OUI, ils vont me baiser ! Six mâles à qui je vais ouvrir mes orifices pour qu'ils y introduisent leurs membres ! Six appareils génitaux que je vais soulager ! Je sens ma propre queue frissonner et commencer à gonfler dans mon string.

 

C'est Jeanneau qui rompt le long silence au cours duquel eux comme moi ont mentalement anticipé ce qui va se passer:

- Oui, je te disais qu'ici, on s'est encore jamais fait un travelo, et ... Denis m'a dit tellement de bien de toi, que j'ai fini par céder. J'te cache pas, ça me plaisait pas au début … je suis pas … enfin, à la base, on est pas des … des pédés, si tu veux … mais il m'a montré tes vidéos. En fait, tu suces et tu te fais baiser comme n'importe quelle salope … 

 

Il a l'air d'attendre que je confirme. Alors je confirme:

- Exact. JE SUIS une salope !

 

Denis renchérit:

- Ouais, il suce même encore mieux que beaucoup de salopes, vous verrez. Et son cul, c'est … woufff !

 

Jeanneau:

- Bon, et puis, comme dit Denis, faut pas mourir idiot. Une bouche c'est une bouche et un trou du cul, c'est un trou du cul … de pute, de salope ou de travelo ….

 

Ses potes approuvent. Il poursuit:

- Et de nos jours, baiser un travelo, ça choque plus personne. 

 

C'est marrant, j'ai l'impression qu'il essaie surtout de se convaincre qu'il n'est ni pédé, ni pervers. Il poursuit:

- Euh, alors je pense que t'as compris que mes potes qui sont là …

 

Il me les désigne d'un geste la main:

- … c'est eux qui vont te …

- … me baiser ? Ben oui, c'est ce que j'ai cru comprendre. Si c'est prévu comme ça, qu'ils me baisent ! 

- Ah bon ! Mais … t'as pas d'objections ?

- … d'objections ?

- Ben oui … des fois que tu voudrais pas de l'un ou de l'autre …

- Ah non. Je prends tout le monde, je m'en fous. Du moment qu'un mec a une bite en état de marche, je prends. Toi aussi, Jeannot, tu va me baiser ?

- Ben … oui. 

 

Denis intervient:

- Tu vois, Jeanneau ? J'te l'avais dit. 

- Bon, alors … à ton cul, ma poule !

 

Il lève sa flûte. Les autres aussi, en chœur:

- A ton cul !

 

Et ils rient. On boit. Je repose ma flûte sur le bar, et je me tourne vers celui qui vient de me laisser son tabouret, Anton. Les yeux sur son bas-ventre, je désigne sa braguette d'un coup de menton:

- Alors ? Tu me montres ?

 

Surpris, il me regarde, semble ne pas comprendre. Je précise:

- … ta queue. Tu me la montres ?

 

Ça y est, il a compris. Il sourit, regarde les autres, pose sa flûte sur le bar et entreprend d'ouvrir sa braguette. Ah, ben voilà ! Je descends de mon tabouret et je lui fais face. J'écarte ses mains et je glisse la mienne dans sa braguette. Ah putain, ma main dans la chaleur de son pantalon ! Rien que ça, glisser ma main dans une braguette, àa me ... J'ai le cœur qui bat. Autour de moi, des rires discrets, des exclamations à peine retenues. J'entends vaguement murmurer « bite », « aime ça », « pute », « salope », … Ouiiii, j'aime ça, la bite. Oui, je suis une salope. J'entends Denis murmurer quelque chose à Jeanneau. Je ne saisis ses paroles, mais à son ton, ça doit être quelque chose comme « Tu vois ? Qu'est-ce que je t'avais dit ! ».

 

Anton ne porte rien sous son pantalon. Sous mes doigts, je sens déjà les poils de son ventre, puis sa peau nue et chaude … la touffe plus dense de son pubis, et enfin sa queue, qui pend dans sa jambière. Nouveau frisson dans mon anus. Hhhmmmm, encore une bite ! Une nouvelle bite ! Un sexe d'homme ! C'est tellement ... émouvant ! Un sexe que, tout à l'heure, il va introduire en moi ! Un coude toujours sur le bar, il me regarde faire et pose sa main libre sur ma hanche. Je parcours sa verge du bout des doigts. Il bande déjà un peu, il me semble. Je plante mes yeux dans les siens, et je le caresse. Hhhmmmm, oh oui, mec, tu vas me baiser avec ça ! Merci ! Je sens son sexe commencer à se redresser légèrement. Je l'empoigne plus fermement et je le masturbe. Dans ses yeux, qu'il plisse en souriant, je lis quelque chose comme « toi, t'es une sacrée salope ! Toi, tu aimes vraiment la bite ! ». De ma main libre, je déboutonne son pantalon et j'en écarte les pans. Son pantalon commence à glisser sur ses hanches. Il le retient. Je sors délicatement sa bite. Pas mal ! Pas énorme, mais correcte. Toi, ma chérie, tu es très jolie, je t'aime déjà, je vais te câliner, j'ai hâte que tu viennes te mettre au chaud dans ma tanière. Tu verras comme on y est bien. Je vais te faire jouir, je vais te faire éjaculer, elle est pour mon ventre, ta semence ! Les yeux mi-clos, je le masturbe doucement. J'ai la bouche sèche. Je passe ma langue sur mes lèvres. Je jette un coup d'œil autour de nous. Les autres me regardent en souriant, fascinés. Oui, ça me fait cet effet-là, de tripoter une bite !

 

Deux joueurs de dés s'approchent et se glissent entre Yann et Nadir, qui s'écartent pour leur laisser la place. D'eux-mêmes, ils ouvrent leurs braguettes. Ça y est, le premier, juste à côté d'Anton sort sa queue. Oh oui, c'est ça, les mecs, montrez-moi vos bites ! Celle-ci est petite et pendouille, toute molle, au milieu d'une touffe de poils roux. Le type extrait aussi ses couilles et il tend son ventre vers moi. Sans cesser de branler Anton, je prends ce petit sexe entre mes doigts. Oh, toi aussi, mignon petit jésus, je t'aime ! Aussitôt, au contact de mes doigts, je le sens réagir et commencer à grossir. L'autre a aussi sorti sa bite. Hhhhmmmm, celle-ci est nettement plus grosse et plus longue. Lui, il commence à bander. Ah la la ! Tout à l'heure, je vais avoir cette queue dans mon cul ! J'abandonne Anton et je tripote les deux joueurs de dés. Tiens, voilà le troisième. Lui se contente d'abaisser la ceinture de son pantalon de jogging sous ses couilles. Grosse touffe noire d'où émerge une bite au repos, assez ordinaire. Il regarde son bas ventre et le tend vers moi. Voilà quatre des bites qui vont pénétrer en moi, quatre des bites que je vais faire jouir ! Ah putain ! Ça me rend folle, les sexes d'hommes ! Adossé au comptoir, je passe de l'une à l'autre, les pelotant, les tripotant, les masturbant alternativement. Je vais toutes les sucer ! Ces mecs vont me prendre, me posséder ! L'excitation, la fébrilité me gagnent. Le contexte y contribue aussi: branler ces mecs dans un troquet ! Quel pied ! J'ai une bouffée de chaleur. Je me laisse aller sans pudeur à tripoter ces queues lascivement, fiévreusement. J'imagine déjà les sensations que vont me procurer ces sexes dans ma bouche, je les imagine déjà s'enfonçant dans mon fourreau quand ces types vont s'accoupler avec moi. 

 

Tous les yeux sont braqués sur moi. Dans les regards, je lis de l'amusement, mais aussi une espèce de sidération de me voir aussi … affolé, avide, impatient, excité par ces sexes, et sans aucune retenue. Mes quatre amants, maintenant en retrait, m'observent aussi. Le regard et le sourire de Denis en disent long: il est satisfait … il est content de moi … il est FIER de moi, même. Ou plutôt non, il a la tête du mec qui est fier d'exhiber à des potes la … "trouvaille" qu'il a fait… La "trouvaille", en l'occurrence, c'est moi. C'est ça: il est content d'avoir dégotté une "fille facile" comme moi et de l'avoir "amenée" à Jeannot et à ses potes ! Moi aussi, ça me plaît, Denis ! Non seulement que tu aies voulu me partager avec Nadir, Dominique et Yann, mais que tu m'aies offert, livré à cette bande de mâles en rut qui vont maintenant me passer dessus … tous les six !

 

Un mouvement, à côté de moi. Le type qui discutait avec Jeanneau et Anton quand on est arrivés, toujours juché sur son tabouret, vient de pivoter vers moi. Les talons sur le repose-pieds, un coude sur le comptoir, le poing sur la hanche, il écarte et serre les cuisses plusieurs fois, et me sourit. C'est seulement maintenant que je remarque qu'il porte un jean beige très ajusté. Chaque fois qu'il resserre ses cuisses, ça lui remonte et ça lui gonfle le paquet et sa braguette fait une grosse bosse. Magnifique ! C'est un appel, une invitation. J'abandonne ses quatre potes, et des deux mains, je lui palpe le bas ventre. Oh la vache, il doit y avoir un sacré morceau là-dedans ! Les mains à plat sur ses cuisses, je me penche et je pose ma bouche sur cette bosse. Hhhmmmm, c'est tout chaud, et c'est ferme là-dessous. Je passe mes lèvres sur cette protubérance. Oh la la, c'est sa queue, là, je la sens. Il commence à bander, et ça m'excite. Je me frotte fiévreusement les joues, le menton, la bouche sur son paquet en gémissant sans pudeur. C'est sûr, il bande de plus en plus et le tissu de son jean moule de plus en plus nettement la forme de sa verge ! Sa bite s'allonge sur la droite. A mon avis, si elle peut s'étaler comme ça, c'est qu'il ne porte ni slip ni caleçon, là-dessous. Et même comme ça, il doit commencer à être à l'étroit là-dedans, parce que, de lui-même, en tirant et en soulevant la toile du jean, il donne un peu de place à son sexe tendu. Je frotte ma joue sur cette protubérance en ronronnant, puis je prends cette forme entre mes lèvres et je la parcours sur toute sa longueur. Hhhmmmm, ce que c'est bon ! C'est ça que tu vas introduire en moi et c'est avec ça que tu vas va m'inséminer. Où est ton gland ? A cette extrémité, je pense ... oui, il est là ! Je le presse entre mes lèvres. Le type se laisse faire. Il a l'air de beaucoup apprécier ce que je lui fais. Il attend visiblement que ce soit moi qui lui déballe la queue. 

 

La main sur sa bosse, je me redresse et je regarde ses quatre potes qui ont sorti leurs queues. La bite toujours à la main, ils se tripotent. Dans leurs yeux, pas le moindre reproche de les avoir abandonnés pour ce type. Au contraire, j'ai même l'impression que le spectacle que je leur donne les excite. Ils paraissent impatients d'assister à la suite. J'ai chaud. J'ôte mon blouson et, avant que j'aie pu le lancer sur le dossier d'une chaise, quelqu'un me le prend des mains. Je reviens au type au jean moulant, et je m'attaque au bouton métallique de son jean. Je suis fébrile, et il est tellement serré que j'ai un peu de mal. Il rentre son ventre. Voilà ! Je descends son zip. Son paquet apparaît. En fait, il porte un … un micro slip en tissu noir, très fin, hyper moulant, qui dessine parfaitement la forme de sa queue. On voit même les reliefs de son urètre et de son gland, moulés par ce bout de tissu. Oh putain, quelle merveille ! Quel morceau ! Ça, c'est un mâle ! Sa queue, couchée en travers de son ventre tend le tissu juste sous la ceinture du micro slip. Elle cherche à se redresser, à sortir, mais elle reste coincée dans le minuscule triangle noir. Elle a bavé d'excitation et son fluide a traversé le fin tissu. Je le savais, je savais que ces types allaient commencer à mouiller. Il a envie de forniquer avec moi, il bande, il mouille ! Je me penche à nouveau et je parcours encore sa verge du bout des lèvres. Hhmmmm, un sexe d'homme, tout chaud et bien ferme. Il remonte le bas de son T-shirt et dévoile un ventre plat, musclé et totalement imberbe. Je prends de nouveau son gland entre mes lèvres et, du bout de la langue, je lèche les quelques gouttes de fluide qui ont imprégné le tissu. Hhhmmmm, ça y est, j'ai déjà un peu de sécrétions masculines sur ma langue. Toi aussi, la grosse bite, je suis déjà amoureux de toi. Je vais te prendre entre mes lèvres et je vais donner du plaisir à ton gland. Un flot de salive m'envahit la bouche.

 

Enfin, je glisse ma main sous la ceinture du slip. J'effleure sa verge du bout des doigts. Ça m'électrise la prostate et l'anus. Je descends la ceinture d'un seul coup. Sa queue jaillit et se dresse à la verticale. Ah, la vache ! Quel morceau ! Oh, bien sûr, ce n'est pas la bite de Gabriel, ou de Sam, mais qu'elle est belle ! Longue et épaisse. Pas un poil, et dorée sur toute sa longueur, à l'exception de son gland et de deux centimètres sous la couronne de son gland. Ce mec est circoncis ! Son gland aussi, est une merveille ! Je crois que c'est une des plus belles bites que j'aie vues jusqu'ici. J'effleure sa verge du bout des doigts sur toute sa longueur. Oh, putain, il va me mettre ça dans le cul ! Et ses couilles, elles sont comment ? Je tire sur la ceinture de son slip, j'insinue mes doigts à l'intérieur et, délicatement, je les glisse sous ses boules. Immédiatement, je sens qu'elles bougent librement à l'intérieur de ses bourses. Elles doivent pendre. Doucement, je les sors. Oh, putain ! Pas étonnant que tout ça lui gonflait la braguette comme ça ! En effet, il a des grosses couilles qui pendent. Je me penche encore et, tout en lui masturbant la queue, je pose des baisers sur ses testicules. Ça le fait rire. Ce qu'elles sont belles ! Sa semence doit commencer à bouillonner là-dedans, impatiente de jaillir ! Oui, les filles, c'est moi qui vais vous soulager, c'est moi que vous allez inséminer ! Mon excitation monte en flèche. Je lèche sa verge deux ou trois fois, et je finis par le prendre dans ma bouche.

 

Alors, il n'y a plus que ce mec et moi. Ce mec que je ne connaissais pas il y a un quart d'heure ! Et là, il n'y a plus que son sexe et moi ! Son sexe magnifique dans ma bouche, et moi. J'ai chaud, mes oreilles bourdonnent. Un brouhaha sourd autour de nous … des voix … des rires ? Tout à la volupté de sucer ce membre magnifique, je me suis fermé à tout ce qui nous entoure. Une fois encore, je n'en reviens pas de la chance que j'ai de pouvoir sucer un tel organe ! Un appareil génital de cette taille, et aussi beau, c'est fait pour impressionner les femelles, pour les attirer, c'est fait pour qu'elles aient envie de se faire pénétrer, de se faire féconder. Si la nature a équipé un mâle d'un organe comme celui-ci, c'est pour en faire un mâle alpha, un reproducteur, un étalon ! Et là, ce type, doté d'une telle virilité, ce n'est pas dans le vagin d'une femelle qu'il a fourré son organe en érection, c'est dans ma bouche ! Je suis en train de tailler une pipe à un étalon ! Et tout à l'heure, ce n'est pas avec une femelle qu'il va s'accoupler, c'est avec moi ! Si ce type me le demande, je reste avec lui et je laisse tomber Denis et ses potes. S'il veut, je me donne à lui et à son sexe, je leur appartiens.

 

Brusquement, je réalise deux choses: ce gémissement de plaisir… c'est de ma gorge qu'il surgit, et cette main qui me masturbe … c'est la mienne. Machinalement, j'ai glissé ma main sous ma jupe, j'ai sorti ma bite de mon string et je me branle en tétant le sexe de ce type. Mais je réalise autre chose encore: il y a une main entre mes fesses ! Une main qui m'explore, une main qui passe ses doigts dans ma raie. Et je me rends compte qu'inconsciemment, instinctivement, comme par réflexe, en sentant cette main se glisser entre mes miches, j'ai écarté les cuisses ! 

 

- Allez, viens, on va là-bas !

 

L'étalon a passé une main sous mon menton et il me repousse. Hébété, je me redresse. Il descend de son tabouret, il me prend le poignet et commence à m'entraîner. Je résiste:

- Attends !

 

Je dégage ma main, je relève ma jupe et je descends mon string sur mes cuisses, puis sur mes mollets. Me tenant d'un main au bar, je finis de l'enlever et je le pose sur le zinc. Les autres, tous les autres, nous regardent, ébahis. Retenant son jean, l'étalon me reprend la main et m'entraîne dans la salle … jusqu'à une table près de la devanture. Il saisit le dossier d'une chaise, l'adosse à la vitrine, et s'assoit:

- T'es vraiment une bonne salope, toi ! Allez, suce-moi encore !

 

Il écarte les jambes. Je m'agenouille et je le reprends dans la bouche. Oh la la, cette bite ! 

 

- Hé ! Qu'est-ce tu fous, Jacky ?

 

C'est la voix sourde de Jeannot. Visiblement, il s'adresse à l'étalon. Il s'appelle Jacky, donc. Il ne répond pas, me prend la tête entre ses mains et accompagne mes va et vient sur sa queue. Putain, ce gros membre, chaud, lisse, doux, dans ma bouche, ça me rend dingue !

 

- Hé ! Jacky ! Y'a du monde qui passe dans la rue ! Arrête, bordel !

 

Encore Jeannot. Il y a du monde qui passe dans la rue ? Tout en continuant de pomper Jacky, je jette un coup d'œil à droite et à gauche, de part et d'autre de son ventre. Personne. Aux mouvements de son bassin, je sens que lui se tourne pour regarder dans la rue derrière lui. 

- Y'a personne, Jeannot !

 

Oui, tout de suite, là, il n'y a personne, mais je réalise la situation: je suis en train de tailler une pipe à un mec, juste derrière la vitrine de ce troquet ! La rue est sombre et le café est éclairé. Alors, en effet, si quelqu'un passe dans la rue et regarde dans le bistrot … Décharge d'adrénaline. Ma parole, il l'a fait exprès, le Jacky ! Mais ça me plaît ! Oh, bien sûr, sur la vitre de la devanture, il y a ces espèces de bandes opaques, de quelques centimètres de large, et qui ne laissent passer que la lumière, mais, entre les bandes …

 

Un bruit de moteur … les phares d'une voiture qui remonte la rue en direction de la cathédrale. Jeanneau:

- V'là une bagnole, Jacky !

- Ils peuvent pas nous voir, Jeanneau ! Continue, toi !

 

Oh oui, je continue ! Ce n'était même pas la peine que tu appuies sur mon épaule. Je continue même de plus belle, tellement la situation m'excite. J'en suis à espérer que quelqu'un passe sur le trottoir, devant cette vitrine, me voie et s'arrête pour me regarder tailler une pipe à ce mec ! Dans des flashes, des images s'imposent à mon esprit: en plein jour, dans la même situation, je suce Jacky et des passants s'agglutinent sur le trottoir devant le troquet pour regarder … 

 

Des bruits de pas derrière moi. Des potes de Jeanneau se sont rapprochés. Ah oui, voilà Anton, toujours la bite à l'air, qui fait comme Jacky: il tire une chaise contre la vitrine, il s'assoit et se tripote en me regardant. J'arrête de sucer Jacky, je sors sa bite de ma bouche et, tout en le masturbant, je regarde autour de nous. Ils sont tous là ! Les trois à qui j'ai aussi tripoté la bite, qui continuent de se palucher, debout derrière moi, et il y a même Denis, Yann, Domi et Nadir ! Ils ont tous l'air d'apprécier le spectacle. Je me penche de nouveau et je recommence à sucer l'étalon, malgré Jeanneau, resté derrière son bar, qui nous regarde avec l'air furax. 

- Tu fais chier, hein, Jacky ! On va encore avoir les flics ! Et toi, là, Marin, va plutôt finir de le sucer à l'étage !

- Laisse-les finir ici, Jeanneau. C'est top. C'est pas les salopes qui viennent là d'habitude qui feraient ça ! 

 

Du coin de l'œil, je remarque un mouvement sur ma droite. Tout en suçant Jacky, je lève les yeux. C'est Denis, smartphone à la main:

- Ça te dérange, Jacky, si je vous filme, pendant qu'il te suce ?

- Nous filmer ? Ça va pas, non ? Pas question !

- Je filme pas ta tête, on te reconnaîtra pas. 

- Et lui, on le reconnaîtra pas ?

- Il a l'habitude. Il aime ça, même. Pas vrai ?

 

Je hoche la tête: oui, j'aime ça ! Denis insiste:

- Alors ?

- Non ! Pas question ! Remballe ton machin.

 

Je vois seulement les jambes de Denis s'éloigner. Et ce que j'espérais, et que Jeanneau redoutait tellement, survient: sur ma droite, une ombre apparaît, passe devant la porte en verre du bistrot, puis le long de la devanture, derrière Jacky. J'entends les autres se marrer ! La silhouette longe le café. C'est un homme qui remonte la rue à pas rapides. Il disparaît de mon champ de vision. Apparemment, il n'a rien remarqué. N'empêche, une onde d'adrénaline me traverse. Entre ce passant et nous, il n'y avait que l'épaisseur de cette vitrine ! C'est la même émotion, le même plaisir que quand j'ai masturbé Philippe devant un couple de randonneurs au bord du canal ! Les types autour de moi rient et commentent à voix basse Je poursuis ma fellation encore plus fiévreusement.

 

- Attention ! En v'là d'autres !

 

Il n'a pas fallu deux minutes avant que quelqu'un lance cet avertissement. Je lève les yeux. Apparemment, ceux-là arrivent aussi du bas de la rue. Cette fois, c'est un couple. Ils marchent lentement, serrées l'un contre l'autre sur le trottoir étroit. A travers la vitre, je les entends parler. Hey, les passants ! Regardez ! Tournez la tête ! Je suis en train de sucer la bite de ce mec ! Les voilà derrière Jacky. Il continuent… s'éloignent, toujours en bavardant … et brusquement, au moment où ils vont arriver au bout de la vitrine, ils s'arrêtent. J'entends nettement la voix de la femme: elle pose une question à l'homme. Il fait un pas en arrière et opère un demi-tour en entraînant sa compagne. Et tous deux regardent vers nous ! Oui ! Ils regardent à l'intérieur du troquet ! 

 

ILS NOUS ONT VUS !!!

 

L'homme, qui marchait le long de la devanture a du nous voir sans réaliser immédiatement ce qui se passait, et, le temps de comprendre ce qu'il avait vu, il a du le dire à sa compagne. Allez, approchez ! Tu as bien vu, monsieur: dans ce café, un travelo est en train de tailler une pipe à un mec ! Collez votre nez à la vitrine, et regardez ! A-t-il vu que je suis un trav ? A-t-il vu que …

 

Soudain, un bruit sec, et le noir. Le bistrot se retrouve brusquement dans l'obscurité. Seule la lueur orangée d'un lampadaire, un peu plus haut dans la rue, éclaire faiblement l'intérieur du café. Des rires, des exclamations:

- Ooooooooh, Jeanneau !

 

Jeanneau a coupé tout l'éclairage de son établissement. Je sors la queue de Jacky de ma bouche et je me redresse. Le couple, surpris, a renoncé de percer l'obscurité du café, et a peut-être pris peur en voyant la lumière s'éteindre. En tout cas, il a fait demi-tour et a disparu en direction de la place de cathédrale. La voix de Jeanneau:

- Arrêtez vos conneries, maintenant. Monte le baiser là-haut, Jacky !

 

En riant, Jacky me prend sous les aisselles et me fait relever:

- Ouais, allez viens, on monte.

 

Je me relève et, il commence à m'entraîner. Puis il se ravise:

- Dis … t'as besoin de te laver le cul ?

- Non, non. Je l'ai fait avant de venir.

- Sinon, y'a ce qu'il faut derrière, hein …

- Non, je te dis. C'est fait.

- Tu savais ce qui t'attendait, alors.

- Je me disais que la soirée pouvait tourner à la partie de cul, mais je ne savais pas que ça se passerait ici.

- Allez, on monte.

 

Jeanneau a rallumé. De nouveau, Jacky m'entraîne. A l'angle de la salle, à côté du comptoir, il y a l'amorce d'un escalier que je n'avais pas remarqué quand nous sommes arrivés. Je jette un coup d'œil à mes spectateurs. Plantés au milieu de la salle, ils nous regardent, Jacky et moi, nous diriger vers l'escalier. Je leur lance:

- Allez, venez, les mecs !

 

Etonnés, ils se regardent, hésitent. J'insiste:

- Allez, montez avec nous … Denis, tu leur donnes les capotes et le lubrifiant ?

 

Mais Jacky, pressé, cramponnant son jean d'une main, me pousse devant lui:

- Allez, monte !

 

Quand je gravis les premières marches, je jette un coup d'œil derrière moi. Ça y est, Anton s'est décidé et il nous suit, imité par les trois autres. C'est parti, je monte me faire baiser ! J'ai juste le temps de voir Domi, Yann et Nadir, verre à la main, s'asseoir autour d'une table et Jeanneau passer une éponge sur son zinc. L'escalier en bois n'est pas très large, et assez raide. J'entends les pas des cinq mecs qui me suivent faire grincer les marches derrière moi. J'ai le cœur qui bat. Je suis en train de monter comme une pute monte avec son client. A part que moi, je ne monte pas avec UN client, mais avec CINQ, et que c'est autant pour mon plaisir à moi que pour celui de mes "clients". Au fait:

- Il monte pas avec nous, Jeanneau ?

- T'inquiète, il va monter !

 

Ah bon ! En haut de l'escalier, une pièce très sombre. Sous mes pieds, une moquette assez épaisse. Seule, une veilleuse signalant l'issue de secours, au dessus de l'escalier, éclaire l'endroit d'une faible lumière verdâtre. Je distingue des formes sombres le long des murs. Des meubles ? Jacky me pousse vers le milieu de la pièce:

- Bouge pas.

 

Tandis qu'il s'éloigne et manipule je ne sais quoi au fond de la pièce en bougonnant, je sens les autres arriver derrière moi et se disperser comme des ombres dans cette obscurité. Ah non, ils ne se dispersent pas tous. Des mains se posent sur mes fesses … des mains qui relèvent ma jupe … des mains qui me pétrissent les miches …. puis un corps qui se colle à moi … un ventre contre mon cul … un ventre et … un sexe … je le sens, chaud, entre mes fesses … chaud et humide. Ce mec mouille déjà du gland. Je passe mes mains derrière mes reins et, à tâtons, j'explore. Ah voilà ! Une boucle de ceinture .. une braguette … ouverte … et une bite. Hhhmmmm, il bande … et en effet, son gland est déjà mouillé. Je saisis sa queue et je commence à le masturber. Anton ou l'autre, le deuxième joueur de dés ? Ce n'est pas la petite bite, en tout cas. Ni le type au survêtement. Je m'apprête à me retourner et à m'agenouiller pour le sucer, quand il colle son menton à l'angle de mon cou et de mon épaule et, tout en me caressant les hanches et le haut des cuisses, il me souffle:

- T'es vraiment une sacrée salope ! 

 

D'un seul coup, la lumière ! Le mec derrière moi me lâche et s'écarte. C'est une grande pièce, au décor assez … exotique. Une moquette rouge, des murs … rouges, le long des murs des banquettes en velours … rouge, des poufs en cuir, des tables basses … C'est quoi, cet endroit ? Un claque ? Un bordel ? Et puis, en regardant mieux, je me rends compte que les murs sont décorés de motifs arabisants, qu'il y a des sièges à haut dossier recouverts de tissu … rouge, évidemment, des tables hautes, un tableau représentant une oasis à palmiers avec des chameaux, au plafond une grosse lampe en cuivre au milieu d'un drapé de tissu du même rouge que les murs et la moquette, et un peu partout, sur les tables et sur les murs, des lanternes finement ajourées. Il y a même deux narguilés sur une des tables. Décor étonnant, après l'aspect minable du rez-de-chaussée. Anton et "petite bite " sont assis sur une banquette, et le type au survêt sur un pouf. On dirait qu'ils ont leurs habitudes dans cet endroit. Tous les trois ont encore la bite à l'air, et ils se tripotent. En effet, c'est le deuxième joueur de dés qui s'était collé à moi. Il va aussi s'asseoir. Jacky revient vers moi, toujours en retenant son jean. Il a un peu débandé, mais il n'a pas remballé sa bite:

- A chaque fois, c'est le même bordel, avec le tableau électrique.

 

 Je prends son sexe dans la main et, tout en le masturbant doucement, je m'étonne:

- C'est quoi, cet endroit ?

- C'était un restau marocain. Ils ont fait faillite et ils ont tout laissé comme ça quand Jeanneau à racheté. C'est ici qu'on baise les salopes et les putes, d'habitude. Ça te plaît ?

- Oui, c'est sympa. Plus qu'au rez-de-chaussée.

- T'as une préférence ?

- Une préférence ?

- Oui, tu veux que je te baise sur la moquette ? Ou sur une banquette, ou sur une table … tu préfères quoi ?

- Ah ! Comme toi tu aimes. 

- Sur une table, ça te va ?

- Oui, n'importe où, n'importe comment … tout me va.

- Viens par là.

 

Il m'entraîne vers le fond de la pièce. Des tables et des chaises sont entassées le long du mur. On a voulu faire de la place au centre de la pièce. Nous voilà devant une table assez grande:

- J'vais te baiser là. 

 

Il ôte son blouson et le jette sur une chaise. Au moment où il passe son T-shirt par-dessus sa tête, je me laisse tomber à genoux à ses pieds, je saisis à deux mains la ceinture de son jean et je le descends sur ses cuisses. Hhhmmmm, cette bite ! Cette bite ! CETTE BITE ! Je prends ses couilles dans une main, sa verge dans l'autre, et je recommence à le masturber. Les poings sur les hanches, il me regarde en souriant. Tiens, il a un tatouage sur l'avant-bras gauche. Un entrelacs stylisé. J'embrasse sa verge, je passe ma langue sur toute la longueur de son sexe, sur ses couilles, je remonte, jusque sous son gland, et je le prends dans la bouche. Oh putain, il va me mettre ça dans le cul ! Comme tout à l'heure, dans la salle du bistrot, ses potes se rapprochent pour regarder et s'assoient, toujours la bite à la main. Tant bien que mal, je les regarde l'une après l'autre. Oh la la, celles-ci aussi, elles sont pour moi ! Elles ne sont pas aussi belles que celle de Jacky, mais je m'en fous, du moment qu'elles me rentrent dedans et qu'elles crachent leur sperme ! Anton a remarqué de quelle façon je contemple leurs bites. Il se marre et, comme pour m'exciter davantage, il dresse son engin et se malaxe le gland:

- Regarde ! Moi aussi, j'ai une sucette pour toi. T'as envie d'y goûter ?

 

Je me contente de cligner des yeux et de hocher doucement la tête: oh oui, j'ai envie d'y goûter, à ta sucette ! Sans quitter sa bite des yeux, je m'active sur celle de Jacky. Oh, ils me rendent dingue, ces salauds, avec leurs queues ! Je me concentre sur cette fellation. Je n'en reviens pas d'avoir la chance de téter une telle merveille ! Je vais le sucer jusqu'à ce qu'il jouisse. Et je m'en fous, il peut m'éjaculer dans la bouche, le Jacky. Pas besoin de mettre une capote. 

 

- Ah, putain, regardez-le, comment il aime ça !

 

C'est Anton qui commente. 

 

- Ah ouais, même les plus grosses salopes qu'on a baisées jusqu'ici étaient pas aussi … aussi … salopes que lui !

 

C'est "le survêt" qui renchérit. Ils se marrent tous. Putain, ce que j'aime ça ! C'est jubilatoire, de manifester d'une manière aussi indécente mon addiction à la bite devant ces inconnus. Me dévoiler ainsi à eux, sans honte, sans retenue et sans pudeur contribue à mon bonheur. Et je sens que ça les excite, ces mecs. Oui, les mecs, il n'y a pas d'erreur, j'aime la bite ! J'aime VOS bites ! Vous me voyez comme une salope ? Vous avez raison: JE SUIS une salope ! Je suis une salope que tous les mecs peuvent se taper, je suis un trou à bites, je suis une viande à bites ! J'aime sucer, j'aime écarter les cuisses, j'aime me faire passer dessus, j'aime me faire prendre dans toutes les positions, j'aime me faire BAISER … je suis une pute, une fille de joie que les mecs se refilent ! Oh, Denis, Denis ! Merci de m'avoir offert et livré à ces mecs, à ces inconnus, pour qu'ils me tronchent ! Merci ! Merci ! Merci !

 

- Bon, allez, fous-toi sur cette table !

 

Jacky s'est penché sur moi, m'a encore pris sous les aisselles et me fait relever. A regret, je sors sa bite de ma bouche, mais je la garde dans ma main, et, sans la lâcher, je recule jusqu'à la table et j'y appuie mes fesses. Maintenant que je suis debout, face à lui, je m'aperçois qu'il a aussi un tatouage sur l'épaule: une fille à poil, le haut du corps comme allongé sur sa clavicule, la tête sous son cou, les jambes sur le haut de son bras et le cul qui épouse juste la forme de son épaule. Délicatement, il saisit mon poignet, me fait lâcher son sexe et recule hors de ma portée. Je n'arrive pas à détacher mes yeux de sa queue. Elle est très raide et elle tient toute seule, dressée à la verticale. Comment une queue aussi longue, aussi lourde arrive-t-elle à ne pas retomber sous son propre poids ? Une  érection aussi … spectaculaire, c'est celle du cerf au moment du brame, c'est le rut dans ce qu'il a de plus animal, de plus primitif. Il va me saillir avec ça ! Je n'en reviens pas qu'un mec puisse bander comme ça à la perspective de me baiser. Putain, c'est LE mâle s'apprêtant à se reproduire ! Il ne va pas simplement me baiser, il va me couvrir comme une chienne en chaleurs ! Instinctivement, j'ai empoigné ma propre bite et je me masturbe. Il finit d'ôter son jean et son minuscule slip. Qu'est-ce qu'il est beau ... tout en muscles ! Il s'approche de moi et tend la main vers un guéridon, sur ma droite. Je m'aperçois que quelqu'un y a déposé la poignée de capotes et mon tube de lubrifiant. Oh merde ! Dans l'état où je suis, j'aimerais mieux qu'il n'en mette pas, j'aimerais mieux qu'il m'insémine directement. Je me lance:

- Tu sais, t'es pas obligé …

 

Il prend un étui de capote, me regarde:

- Je suis pas obligé ?

- Oui, t'es pas obligé de mettre une capote.

 

Il me regarde, étonné:

- Tu voudrais que je te baises sans ?

- Oui, j'aimerais mieux.

 

Il prend l'étui entre ses dents, le déchire, et:

- Installe-toi !

 

Merde, il va la mettre. Les yeux toujours rivés sur son membre, j'ôte mes ballerines, je me hisse jusqu'au milieu de la table. Les pieds posés sur le rebord, je me penche en arrière et je m'appuie sur les coudes pour regarder entre mes cuisses le mâle qui, dans un instant, va me saillir. Il déroule la capote sur sa bite. Tant pis, le regarder faire me trouble quand même: j'adore cet instant où un mâle qui s'apprête à me baiser se prépare, la bite raide d'envie de s'introduire en moi. Voilà, il est prêt, et on va s'accoupler et copuler … on va s'accoupler et copuler devant d'autres mâles … sans pudeur, sans honte … comme des animaux ! Et quand ce mâle-ci en aura terminé et se sera soulagé au fond de moi, ces autres mâles viendront, chacun leur tour, s'accoupler aussi avec moi et copuler … l'un après l'autre, sans pudeur et sans honte … comme des animaux ! Jacky prend le flacon de lubrifiant et s'approche de moi. Il me sourit, ouvre le tube, le presse, récupère du gel sur ses doigts et repose le flacon. Il avance sa main entre mes pieds, entre mes cuisses, entre mes fesses et je sens la fraîcheur du produit contre ma fleur.

- Allonge-toi !

 

Je me laisse tomber sur le dos, mains croisées sous ma nuque, cuisses grandes ouvertes. Il m'introduit ses doigts, d'abord doucement, prudemment … puis plus résolument:

- Dis donc, t'es drôlement dilaté ! T'as dû te prendre des sacrés calibres !

 

Je me cambre. Hhhmmmm ! Quelques va et vient dans mon fourreau, puis il essuie ses doigts sur ma jupe, me prend sous les reins et m'attire les fesses jusqu'au bord de la table. C'est devenu un réflexe, je passe mes mollets de part et d'autre de son torse et, cuisses relevées, je croise mes chevilles sur ses reins. J'attends sa pénétration. Raide et dressé, il n'a pas besoin de guider son sexe de la main. Je sens son gland se plaquer contre mon périnée, glisser vers mon anus et, d'un seul élan, me pénétrer. Ah la vache !Calé au fond de moi, il s'immobilise:

- Putain, c'est bien, ça ! Ça rentre tout seul là-dedans ! J'avais jamais fourré un cul aussi … accueillant. On se croirait dans une chatte de salope !

 

Hhhmmmm, ça y est, le mâle est en moi ! Je sens mon rectum rempli. Il me tient par la taille et je sens sa queue glisser dans mon fourreau. Ah, putain, ce que j'aime ça ! Il me prend … comme une femelle ! Sa grosse queue dans mon cul, il me possède … le temps de ce coït, je suis à lui … le temps de ce coït, je SUIS sa femelle ! Oui, baise-moi ! BAISE-MOI ! La chaleur de ses mains sur moi, la chaleur de son ventre qui vient se plaquer contre mon périnée, la chaleur de ses hanches contre mes cuisses … et son sexe qui va et vient en moi…

 

SON SEXE QUI VA ET VIENT EN MOI !

 

CE MEC ME BAISE !

CE MEC ME BAISE !

CE MEC ME BAISE !

 

Je suis submergé de plaisir: adrénaline, bouffées de chaleur, frissons d'extase, cœur battant … Il n'y a pas que le plaisir sensuel de cet accouplement … il y a aussi la délectation cérébrale de cette fornication contre nature, en public, immorale, indécente, bestiale …, il y a la gratitude d'avoir été livré par un mâle à d'autres mâles inconnus pour qu'ils s'accouplent avec moi et se soulagent en moi … il y a la satisfaction d'avoir susciter en eux ces désirs de saillie, de copulation, la fierté d'avoir provoqué leur rut … il y a la volupté animale de me soumettre docilement à leurs pulsions, à leurs instincts, de leur offrir sans retenue mes orifices et mes chairs chaudes et humides pour qu'ils y enfouissent leurs sexes, pour qu'ils y prennent leur plaisir et y déversent leur semence … et il y a autre chose encore … un sentiment ? Oui … une espèce de sentiment amoureux pour ces mâles et leurs bites … Je les aime, puisqu'ils me baisent. Je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus … mais ils me baisent, ils me font ce que j'aime, ils me donnent ce dont j'ai besoin, ce dont je ne peux plus me passer … du sexe avec des mâles.

 

L'étalon qui me fouille le ventre m'arrache soudain à mes pensées: il se met à souffler bruyamment par la bouche. J'ouvre les yeux et je le regarde. Les yeux écarquillés, il contemple son membre qui entre et sort de moi. Ça l'excite. Ses potes se sont levés, se sont approchés, et ils regardent aussi. Tiens, il y a même Denis, Dominique et Yann ! Tant mieux. A la façon dont ces trois-là me regardent, à leurs sourires, je sens que ça leur plaît de me voir me faire troncher par ce mec à qui ils m'ont offert. Moi aussi, ça me plaît de me faire sauter devant vous, les mecs. Et ça me plaît que tu m'aies offert et livré à ces types, Denis.

 

Brusquement, sans le moindre avertissement, Jacky jouit ! Je le devine aux mouvements erratiques de son bassin et à la crispation de ses doigts sur mes hanches. La tête rejetée en arrière, il aspire et souffle l'air très rapidement par la bouche. Avec une bite pareille, je pensais qu'il allait tenir longtemps, mais sa performance sexuelle n'est pas en rapport avec la taille de son sexe. Il penche sa tête en avant, les yeux braqués sur notre coït, et il me donne un coup de boutoir … rrrran ! Un autre …. rrrrran ! Encore un … rrrrran ! Et il s'immobilise, essoufflé. Il reste comme ça quelques instants, les yeux à moitié révulsés, puis il redresse la tête, me regarde, sourit … et il sort sa queue de moi. C'est déjà fini. Je dénoue mes jambes et il s'écarte. J'aimerais bien voir quelle dose de sperme il a crachée dans le fond de cette capote. Je n'ai pas le temps ! J'ai déjà un autre mâle entre les cuisses … 

 

Anton ! Je relève la tête et je regarde son sexe. Il est déjà "habillé". Il a dû mettre une capote pendant que Jacky me baisait. Lui a gardé sa chemise. Je ne vois pas s'il a ôté son pantalon. J'aurais bien aimé la goûter, sa sucette à celui-ci, avant qu'il me baise.

 

Il me prend les jambes et me dresse les cuisses à la verticale. Il ôte une main le temps de guider sa queue, et il me pénètre lentement:

- T'as raison, Jacky ! Il a le cul comme une chatte !

 

Une fois au fond, il pose ses mains derrière mes genoux, il m'écarte les cuisses, et il commence à aller et venir. Il me regarde, et tout en guettant mes réactions:

- Tout de même, ça me fait bizarre ... baiser un cul et voir sa bite de travelo qui bande juste au-dessus de ma queue ... mais c'est excitant ... j'aurais jamais cru !

 

Oui, je bande, évidemment, je bande. De moi-même, je mets mes mains à la place des siennes pour retenir mes jambes au-dessus de moi. Alors, tout en me fourrant, il se met à me peloter les cuisses, les hanches, les fesses. Appuyé à une table, Denis est en train de parler l'oreille du type en survêtement. Tous les deux me regardent en hochant la tête. Visiblement, ils parlent de moi. Qu'est-ce qu'ils se disent ? A côté de nous, Jacky se rhabille en me regardant, un petit sourire aux lèvres. Je sens les couilles d'Anton m'effleurer les fesses à chaque pénétration. Et lui aussi, ça va très vite. Il se cale au fond de mon cul, se courbe au-dessus de moi et il jouit en grognant. C'est marrant, je ne suis même pas déçu que ces deux mecs aient joui aussi rapidement. Au fond, je n'attendais pas d'eux qu'ils me fassent longuement l'amour. Qu'ils me ramonent et tirent leur coup vite fait suffit à mon bonheur. C'est ce qu'on appelle de l'abattage dans les bordels. Ça me va. De la baise, j'en aurai sûrement plus tard, avec Denis et ses potes. Anton reprend son souffle, se redresse, relève mes cuisses et me les caresse. Et il se retire. 

 

Les mains derrière mes genoux, je maintiens mes cuisses levées, les jambes repliées, et j'attends le suivant. Le suivant, c'est "petite bite". Il est en train d'habiller son petit oiseau avec un imperméable. Il a un peu de mal avec cette capote trop grande pour lui. Enfin, il y arrive. Il a laissé une partie du préservatif roulé à la base de sa verge. Le voilà devant moi. Sa petite quéquette est carrément à l'horizontale. Il faut dire que ce n'est pas son poids ou sa longueur qui peuvent lui faire baisser le nez. Je lui demande:

- Je reste comme ça ?

- Oui. C'est bien comme ça !

 

Il pose ses deux mains à plat sur les côtés de mes fesses et il s'avance. Sa bite doit être pile à la hauteur de mon fourreau, parce que, sans ôter les mains de mes fesses, je le sens qui pose son gland contre ma rondelle. Et il entre. Oh, évidemment, il ne me dilate pas l'anus, mais je le sens. Il m'a rapidement rentré tout son jésus, parce que , maintenant, je sens aussi les poils de sa touffe contre ma rondelle. Il se met à aller et venir à petits coups rapides. Il me sourit. J'entends son ventre claquer contre mes fesses: flap, flap, flap, flap, flap, flap, flap, flap, flap … C'est sûr, celui-ci ne me fera pas jouir du cul. Mais ça me plaît de me laisser baiser par un type mal équipé de l'entrejambe. Je suis prêt à me faire prendre comme ça par tout le monde, même les petites bites. Ce qui compte, c'est qu'ils prennent du plaisir dans mon cul et qu'ils tirent un coup. Peu à peu, il glisse ses mains depuis mes fesses jusqu'à l'angle de mes hanches et de mes cuisses, et à sa tête, nuque raide, bouche ouverte, yeux à demi fermés, je me rends compte que son plaisir commence à monter … mon excitation aussi, d'ailleurs. Un type qui a son sexe en érection dans mes chairs et qui s'apprête à y jouir, ça me … Je ne vais pas jouir du cul, mais je jouis de la tête: je commence à haleter et à gémir. Il s'en rend compte. D'abord incrédule, il n'en revient pas de me faire autant d'effet. Et peu à peu, il réalise que oui, c'est bien ses coups de bite qui me mettent dans cet état. Alors, les yeux braqués sur les miens, il se déchaîne. Et ça l'achève … il jouit. Il jouit en geignant sans cesser de me bourrer de petits coups de queue. Son geignement se transforme rapidement en un long râle modulé par ses va et vient. Et sans avertissement, il sort de moi, toujours ses yeux dans les miens, ses mains encore sur mes cuisses:

- Rhââââââ, putain !

 

Et il se recule. Entre mes cuisses, je le vois presser sa queue pour finir de la vider, puis enlever sa capote. Il la pose sur le guéridon, à côté des capotes neuves. Je m'aperçois qu'il y a déjà deux capotes usagées, pleines de sperme. Jacky et Anton ont fait comme lui. Je commence à avoir les jambes engourdies, à force de les avoir en l'air comme ça. Je me redresse et je m'assois au bord de la table. Tiens, Denis, Domi et Yann ne sont plus là. Le "survêt" non plus. Il reste seulement "petite bite", Jacky et le troisième joueur de dés qui me regarde avec l'air de dire « c'est mon tour ». Il prend une capote sur le guéridon et, d'un coup de menton, il me montre un coin à l'autre bout de la salle, sur ma gauche:

- On va aller là-bas.

 

à suivre

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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