Dimanche 2 août 2015 7 02 /08 /Août /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Après m'être fait passer dessus ce matin par … quoi … une bonne dizaine de mecs, il fallait que je fasse une pause, ne serait-ce que le temps de me vider de leurs semences et de me laver le cul. Je pensais être tranquille une demie heure dans la salle de bain de Jean-Claude. Mais, même là, j'ai été littéralement pourchassé, retrouvé et harcelé par plusieurs mâles en urgence. Il y a d'abord eu Hamid, le beau franco-marocain. Il m'avait suivi et il m'a coincé et tronché, debout contre le lavabo.  Ensuite, pendant qu'il me baisait, trois autres types sont arrivés, que j'ai dû soulager à leur tour: deux m'ont aussi enculé, et j'ai sucé le quatrième … à fond. Si l'espèce de brute tatouée apprend ça, lui qui voulait jouer les prioritaires … J'ai quand même enfin pu me laver et changer de tenue.

 

Quand je quitte la salle de bain et que j'arrive dans la cour de la ferme, il y règne une certaine effervescence. On a déplacé les tables, les chaises et les bancs, et l'engin qui sert à manipuler les ballots de paille est en pleine manœuvre sous le hangar, Jean-Claude au volant. C'est sûrement pour ça qu'on l'a appelé tout à l'heure. Il a sorti quatre ballots qu'il est en train de disposer à plat, en carré, les uns contre les autres, à la limite du hangar et la cour. Tout près, plusieurs types attendent qu'il ait fini, les uns avec une palette en bois dans les mains et les autres avec un panneau de contre-plaqué. 

 

Je rejoins Philippe qui observe les opérations depuis une des tables transformée en bar. Il regarde sa montre, l'air contrarié. Je l'interroge:

- Il y a un problème ?

- Ben, le traiteur n'a pas encore livré … il est midi moins le quart … ça m'étonne, il avait dit onze heures et demie …

- Un quart d'heure … y'a pas à s'inquiéter … Si ?

- Tu as sans doute raison …

- Il faudrait peut-être faire en sorte qu'il ne voie pas tout le monde à poil comme ça … ça pourrait le choquer …

- Pas de problème: d'après Jean-Claude, il est au courant … c'est un de ses potes et il lui a expliqué …

- Ah bon …

 

Ceux qui m'ont vu revenir de la salle de bain détaillent ma nouvelle tenue d'un œil lubrique … il faut dire qu'elle est encore plus "sexe" et indécente que celle que je portais ce matin en arrivant. Elle est surtout moins "habillée": juste mon porte-jarretelles marron avec ses bordures, ses nœud-nœuds et ses attaches roses, les bas assortis, histoire de faire bien femelle, et un petit haut tout bariolé de couleurs vives. Maintenant, plus besoin de retrousser ma jupe pour accéder à mon fourreau … Me faire trousser fait partie des préliminaires que j'adore, mais ça y est, j'y ai eu droit ce matin … maintenant, j'ai envie de me faire investir plus directement. La brute tatouée, en m'apercevant, se dirige vers moi. J'ai le regard irrésistiblement capté par son engin qui ballotte entre ses cuisses puissantes … toujours aussi … waouhhhh ! Il me "déshabille" du regard (il n'y a pourtant pas grand chose à déshabiller) et hoche la tête d'un air approbateur. Au passage, il me colle une main au cul, puis il se campe à deux pas de moi.

 

Philippe:

- Alors, tu t'es changé ?

- Oui, ma jupe et ma lingerie étaient un peu … enspermés …

- C'est pas mal aussi, comme ça … c'est très … sexe …

- Oui, c'est fait pour … et surtout, je me suis lavé. Qu'est-ce qui se passe ?

 

Il rit:

- Ils sont en train de te préparer un genre de scène…

- Une scène ?

- Oui. Le matelas sur la pelouse, c'est bien, mais certains ont trouvé que c'était pas terrible pour regarder … on voit pas assez bien, paraît-il …

- Ah bon ?

- Oui … quelqu'un a suggéré qu'on mette le matelas sur des tréteaux, ou sur des tables … mais c'était pas terrible non plus … instable … pas assez haut … Alors, quand on en a parlé à Jean-Claude, c'est lui qui a proposé de faire ça, tu vois, des rouleaux de paille, avec des palettes par dessus, des panneaux en bois, et le matelas …

- Ah , OK!

 

Cette idée me laisse rêveur … Me faire baiser sous le regard de spectateurs, de voyeurs, c'est déjà très excitant en soi, mais me donner en spectacle comme ça, sur un genre de … un genre de scène, ce sera autre chose, encore plus impudique, encore plus indécent … Je m'imagine déjà, à califourchon sur un mec, empalé sur sa queue, et en train d'en sucer deux ou trois autres à genoux autour de moi … et les spectateurs, au pied de l'estrade, les yeux à hauteur de mon coït, en train de se branler…  Un frisson me parcourt de la nuque jusqu'aux pieds, des fourmillements m'enflamment l'anus et la prostate … Philippe qui m'observe, a deviné à ma mine rêveuse que je suis en train d'anticiper ce qui va se passer là-dessus. 

- Ça te va ?

- Hein ?

- Ce qu'on te prépare, ça te va ?

 

On est déjà en train d'installer les palettes sur les ballots de paille. Je réponds:

- Oui, oui, bien sûr, ça me va … mais il faudrait dire à Jean-Claude d'ajouter une rangée de ballots de paille tout autour …

- Pour quoi faire ?

- Ben, comme ça, le matelas va occuper pratiquement toute la surface de la ... de la scène. Avec une rangée de ballots supplémentaire tout autour, vous pourrez monter à plusieurs, et circuler, regarder et ... et participer ...

 

Il me regarde, une lueur égrillarde dans les yeux:

- A plusieurs ? Dis donc, toi …

- Ben oui … 

Il imagine ce que j'anticipe, et, bêtement, je me sens piquer un fard …

 

Il s'approche de Jean-Claude, qui vient de garer sa machine, lui parle en lui montrant les ballots de paille déjà installés, et tous deux reviennent vers moi. Jean-Claude:

- J'ai pas compris … tu veux quoi ?

- Il faudrait ajouter un rang de ballots de paille tout autour de ces quatre là, pour que ceux qui veulent venir sur le matelas aient de la place autour, pour circuler … tu vois ? Et pour me … tu vois quoi … le matelas est grand, on peut tenir à plusieurs dessus, mais, bon …

- Ah, pigé … No problem …

 

Il a compris, lui aussi, mais il ne relève pas, comme si tout ça était très normal … naturel … Il allait s'éloigner, je le retiens par le bras:

- Et autre chose, Jean-Claude … tu n'aurais pas quelque chose, genre escabeau, pour grimper sur les ballots de paille ? Ça fait haut comme ça…

- Euuuuh, si, j'ai une espèce de truc en bois, quatre ou cinq marches, je sais plus … ça devrait le faire … tu veux aller le chercher ? C'est dans l'écurie … tu vois où ?

- Oui …

- Emmène quelqu'un, c'est un peu lourd …

- Y'a les chiens, dans l'écurie, non ?

- Non, je les ai enfermés dans la buanderie …

 

Le voilà reparti vers sa machine. Qui, pour m'accompagner ? Pas besoin de chercher, la brute tatouée me colle depuis qu'il m'a vu revenir de la salle de bain. Il n'a rien perdu de ma discussion avec Jean-Claude, et il saisit l'occasion. Il me prend par le coude et me demande:

- C'est où, l'écurie ?

- Là-bas !

- En avant !

 

Instantanément, je sais ce qui va m'arriver: le moment est venu, je vais y avoir droit ! Ce qui est sûr, c'est que je vais déjà lui tailler une pipe … un flot de salive m'inonde la bouche … sa queue … son gros serpent, son boa … dans ma bouche … et en même temps, un mélange de curiosité, d'appréhension et d'excitation me noue l'estomac: une pipe … et quoi d'autre, qu'est-ce qu'il va me faire ? Je sens, je sais qu'il va me bousculer, me brutaliser, me violenter … et à la vague d'adrénaline qui me submerge, je réalise que ça me plaît… je n'en reviens pas, mais ça me plaît … j'espère seulement qu'il ne va pas y aller trop fort … pour commencer …

 

Il m'entraîne au pas de charge vers l'écurie. Je n'arrive pas à détacher mon regard du gros reptile qui dépasse de son bas ventre et qui ballotte de droite à gauche au rythme de ses pas … Nous voilà à l'écurie. La partie haute de la porte double est ouverte. Il ouvre le bas, me pousse à l'intérieur et referme derrière nous. La bonne odeur de paille et de cheval me saute au nez. Venant du grand soleil qui inonde la cour, mes yeux ont du mal à s'accoutumer à la pénombre du lieu, mais sous mes pieds, je sens une épaisse couche de paille qui n'y était pas quand j'ai visité l'endroit la première fois. Jean-Claude a tenu parole, et il en a remis. 

 

La brute me tient toujours fermement par le coude, comme s'il craignait que je me sauve. Tu n'as rien à craindre, mec, je ne vais sûrement pas me barrer ! Et histoire de le lui faire savoir, je me tourne vers lui et je prends sa queue entre mes doigts. Son étreinte se relâche sur mon coude, il plante ses yeux dans les miens et il sourit, arrogant. Il jette un coup d'œil circulaire, sans doute à la recherche du meilleur endroit pour s'occuper de moi.

- Bouge pas !

 

Il me lâche et se dirige vers une des stalles. Ah, merde: il a repéré l'espèce d'escalier dont nous a parlé Jean-Claude ! Je suis désappointé, je m'attendais à autre chose … Ce truc est énorme: cinq marches d'un bon mètre de large, sans doute en bois massif. La brute le soulève d'une seule main, le ramène au milieu de l'espace vide, et le pose par terre. Puis il s'approche de moi, et sans avertissement, il me gifle !

- Suce-moi, salope !

 

Joignant le geste à la parole, il me saisit la nuque, et appuie pour que je m'agenouille à ses pieds. Par un réflexe d'orgueil, ou simplement de légitime défense, je résiste, et je suis à deux doigts de riposter ou de m'en aller. Je ne m'attendais pas à une gifle … je ne m'étais pas préparé à cette brutalité en particulier. Mais au fond, je m'attendais à quoi, au juste ? Il me regarde, un petit sourire narquois sur le visage qui me dit « tu résistes ? Tu veux qu'on se batte ? OK, je vais te dérouiller ». Je sens qu'il ne demande que ça, me foutre une raclée avant d'abuser de moi. Je pense que ça l'exciterait beaucoup, de me dérouiller avant de me baiser. Mais, une dérouillée … ça serait un peu trop, pour une première fois. Il y a un instant de flottement … six … sept secondes, pendant lesquelles il continue de m'appuyer sur la nuque, sourire aux lèvres. Il sait que, quoi que je fasse, il aura ce qu'il veut: soit je résiste, il me fout une raclée et il me prend de force, soit je me soumets immédiatement et je le suce … quitte à ce qu'il me dérouille après. Ma joue commence à chauffer. 

 

Et soudain, l'excitation me submerge, les digues cèdent. Je lui rends son sourire et je tombe à genoux sur la paille. Sa baffe et le court affrontement silencieux qui a suivi ont dû l'exciter: il bande déjà un peu ! Je prends son membre dans les mains et je commence à l'embrasser fébrilement, d'abord sur le gland, puis sur les côtés de sa verge … j'embrasse, je lèche les écailles du serpent … je soulève sa queue et je continue sous sa verge, tout au long de son urètre, j'embrasse ses couilles aussi … elles pendent, dans leurs bourses, bien en dessous de sa bite … je les prends dans ma main … hhhmmmm, elles paraissent si lourdes … elles doivent être si pleines ... je les embrasse, je lèche fiévreusement leurs motifs tatoués… dans quelques minutes, je vais en faire jaillir leur …  Je lui jette de brefs coups d'œil. Il me regarde, les poings sur les hanches, toujours souriant, conscient de l'effet que son organe a sur moi. Mes baisers, mes coups de langue le font bander un peu plus.

- Ça va, maintenant, suce !

 

Je prends une de ses mains, je l'attire sur ma tête, puis j'ouvre la bouche et je le prends. Hhhhmmmmm, ce qu'elle est bonne ! Ça me fait le même effet que tout à l'heure. Elle n'a pas un goût particulier, mais sa peau est lisse, douce sous ma langue, et chaude … elle est à la fois ferme et souple. Et je crois que c'est surtout ce tatouage et le mec qui est au bout de cette queue qui m'excitent à ce point. Tout en le suçant, je le masturbe … sa queue grossit entre ma langue et mon palais, elle se redresse … je l'enfonce lentement au fond de ma gorge et contrairement à tout à l'heure, je ne redoute plus l'envie de vomir. Je reste comme ça, son gland appuyé contre mes amygdales, en bougeant ma langue de droite à gauche sous sa hampe. Puis je l'extrais, aussi lentement. La salive me coule sur le menton. En masturbant sa verge, je frotte son gland avec la langue. Tout à l'heure, il va m'inonder la bouche de son sperme, un flot tiède et gluant va jaillir de son méat et s'étaler sur ma langue … Je l'enfonce de nouveau tout au fond de ma gorge. Cette fois, c'est lui qui me maintient fermement la tête de ses deux mains passées derrière ma nuque. Les jambes légèrement pliées, il pousse même pour essayer de m'enfoncer son gland encore plus profondément... Mais ma position, à genoux, n'est pas idéale, ma mâchoire et ma bouche sont perpendiculaire à mon œsophage, alors qu'il faudrait qu'elles soient plus ou moins alignées. Il faudrait surtout qu'il me prenne dans une autre position …

 

La bouche pleine de salive, je déglutis et je sens que ça lui compresse le gland;

- Oh oui … encore ! Recommence ça …

 

Au moment où je recommence, il pousse de nouveau et, contre toute attente, son gland prend le virage au fond de ma gorge et descend jusqu'à l'entrée de mon œsophage. 

- Oh, putain, c'est bon, ça !

 

J'ai évidemment le souffle coupé et je ne peux pas tenir plus longtemps. Luttant contre la pression de ses mains, je recule ma tête et sa queue sort de ma bouche.

- Oh, la salope ! Une gorge profonde … tu m'as fait une gorge profonde !

 

Tant bien que mal, je reprends mon souffle et:

- Je t'en ferai une mieux, mais pas dans cette position …

- Ouais … en attendant, donne ta gueule, je vais te la baiser, ta gueule de salope …

 

Il me reprend la tête d'une main, il empoigne sa queue de l'autre, et il me l'appuie férocement contre la bouche. Je bâille et j'ingurgite son pieu. M'immobilisant la tête à deux mains, il se met à me foutre de grands coups de bite dans la bouche. Ses couilles viennent battre contre mon menton. Le dessus de son gland me frotte, me râpe le palais … Ça dure comme ça un long moment, puis il s'extrait et:

- amène-toi là ! 

 

Il recule jusqu'à l'escalier, s'assoit sur la deuxième marche et s'adosse à la troisième. Sa queue, un peu moins raide, repose mollement sur sa cuisse.

- Viens ! Tu vas me finir, maintenant. 

 

Il me regarde approcher à quatre pattes, écarte les cuisses, mais au moment où je vais me pencher pour reprendre sa bite dans la bouche, il me saisit par la mâchoire et plante ses yeux dans les miens:

- Alors … il paraît que tu t'es fait niquer par deux mecs dans la salle de bain ?

 

Il a l'air furax. Il voulait passer le premier après ma pause. Comment il le sait? Les autres ont dû se vanter…

- Non, je me suis pas fait niquer par deux mecs ….

 

J'ai insisté sur le "deux". Une baffe ... pas trop appuyée.

- Ils l'ont dit …

- Je me suis pas fait niquer par deux mecs … je me suis fait niquer par trois mecs …

 

J'ai de nouveau insisté sur le "deux", et encore plus sur le "trois".  Une baffe … de chaque côté … et un peu plus fortes.

- Salooope !

 

Je plante mes yeux dans les siens, et:

- j'en ai même sucé un quatrième …

 

Il pose son pied sur mon épaule et, d'une violente poussée, il me propulse au milieu de l'écurie. J'atterris dans la paille… sur le cul. Ça va. Il aurait pu me baffer plus fort … et même y aller à coups de poings … il ne veut pas m'abîmer, je crois … ou me rebuter … C'est pas si mal, dans le fond … je voudrais bien savoir ce que ça me ferait, s'il me dérouillait vraiment… pas trop violemment, bien sûr … Je n'en reviens pas d'en être là, moi que l'idée de rapports de domination et de soumission répugnait ! Là, tout de suite, j'aimerais bien qu'il me culbute dans cette paille, et qu'il abuse de moi … vigoureusement, qu'il canalise sa férocité dans des coups de queue. Mais aujourd'hui, ce n'est pas le jeu, qu'il me fasse ce dont j'ai envie. Le jeu, c'est que je fasse ce qu'il veut, lui !

 

Il s'est relevé et il est au dessus de moi, poings serrés, attendant que je lui donne encore un prétexte. Et il bande ! Sa bite est dressée à quarante cinq degrés, les veines saillantes, le gland turgescent ! Ça l'excite à mort, de me foutre une volée !

- T'aimes ça, les baffes, hein, salope … T'en redemandes …

 

Je me frotte les joues.

- J'ai pas l'habitude … je découvre … 

 

Je me remets à genoux à ses pieds, je tends la main vers sa queue et je m'apprête à la reprendre en bouche … Il s'écarte, me prend de nouveau par la nuque et m'entraîne vers l'escalier:

- Viens là, salope ! Et finis-moi !

 

Je le suis, à quatre pattes dans la paille. Il me lâche, se retourne, s'assoit, et m'en colle une nouvelle, qui claque un peu fort, celle-ci. J'arrive à saisir son poignet au vol. Il essaie de se libérer, mais je l'agrippe à deux mains et, étonné, s'attendant sans doute à ce que je lui fournisse encore un prétexte pour m'en coller une, il me laisse faire, tendu, un peu penché en avant. J'approche mon visage de sa pogne et je frotte ma joue doucement dans sa paume,  puis j'embrasse le creux de sa main … et ses doigts … je les lèche, je les suce, puis je lâche sa main et je lui écarte les cuisses.

- Hhmmmmmm !

 

Je n'ai pas pu me retenir ! Elle est toujours aussi raide et dressée à la verticale, et sa grosse paire de couilles pend sous la marche où il est assis. Il se détend, se cale les reins contre la troisième marche, y pose ses coudes, et tend son ventre vers moi … Oh oui, maintenant, je vais le finir ! Je vais le sucer à fond ! Il faut qu'il me souille la gueule de son foutre ! Les mains appuyés sur ses genoux, je me penche et je prends son gland entre mes lèvres … Il réagit immédiatement, mâchoires serrées, en aspirant bruyamment une goulée d'air entre ses lèvres … Sous mes yeux, ses abdominaux se contractent … Je ne m'attendais pas à une réaction aussi rapide et aussi forte. Je pensais qu'il allait résister, tenir longtemps … Cette séance l'a sans doute vraiment excité … J'enfonce la bête dans ma bouche. Je sens sur ma langue son urètre tout gonflé … Je l'entends râler, bouche ouverte. D'un ample mouvement, je vais et viens sur sa queue, en la pressant entre ma langue et mon palais … 

- Heum, heum ! On peut ? 

 

La voix vient de l'entrée de l'écurie, sur ma gauche. La queue de la brute toujours dans la bouche, je jette un coup d'œil dans cette direction. Trois types sont là, en contre-jour dans l'embrasure de la porte, accoudés au battant du bas. Je me demande depuis combien de temps ils sont là, à mater. Surpris, mon tatoué se redresse et se tourne aussi légèrement vers eux.

- Qu'est-ce vous voulez ?

- On peut entrer ? Pour regarder …

- Ouais … vous pouvez même la baiser, si ça vous dit …

 

Et il m'appuie sur la tête:

- Suce, toi !

 

Je les entends tirer la porte et entrer. Avec ce contre-jour, je ne les ai pas reconnus, et là, je ne peux pas les voir. Mais je m'en fous. Tant mieux, même, ça me plaît de me faire baiser sans savoir qui va et vient dans mon cul ! Je les entends seulement murmurer et marcher dans la paille, derrière moi. Ils doivent être en train de se mettre d'accord sur qui va me prendre le premier. Alors, tout en m'activant de la bouche sur la brute, et sans qu'on me demande quoi que ce soit, j'écarte mes genoux et je me cambre. Allez-y, les mecs ! C'est opération portes ouvertes ! Entrez … Le tatoué s'est de nouveau calé, un coude sur la marche derrière lui, ventre tendu, une main posée sur ma tête, l'air de leur dire « c'est ma femelle. Vous gênez pas, vous pouvez la baiser pendant qu'elle me suce ». Leur irruption ne l'a pas fait débander et, au contraire, j'ai l'impression que ce qui se prépare l'excite. On s'agenouille entre mes mollets, on me frotte les fesses, sans doute pour me débarrasser des brins de paille restés collés, on pose des mains sur mes hanches et:

- T'es propre ?

 

Et, s'avisant que j'ai la bouche pleine, on s'adresse au tatoué:

- Elle est propre ?

 

Le tatoué:

- Je crois, oui … T'es propre ? Réponds !

 

Sans le lâcher, je secoue la tête affirmativement. Il confirme:

- Ouais … elle est passée par la salle de bain, tout à l'heure … Tu t'es lavé ton cul de salope, après tes trois mecs, là-haut ?

 

Je hoche de nouveau la tête. La brute:

- Tu peux y aller, elle est clean …

 

Pendant cet échange, un deuxième type m'a enfourché, un pied de chaque côté, ses mollets contre mes flancs, dos au tatoué, et a posé ses mains sur mes reins. Celui qui est derrière me fourre deux doigts, m'explore et les enlève. Et presque aussitôt, il me loge sa tronche dans la raie, me la lèche de haut en bas … Le type à califourchon sur moi m'a empoigné les fesses et me les écarte pour aider l'autre. Ça aussi, ça me plaît, me faire ouvrir, écarter les fesses, prémices à une pénétration, qu'elle soit de doigts, de langue ou de bite ! La langue s'arrête sur ma rondelle et s'y enfonce ... Hhhhhhmmmmm, cette petite bestiole, tiède et mouillée, qui me fouille … j'adore ! Je sens le mec saliver et me pousser sa salive dans le cul avec sa langue. Il me lubrifie ! Puis il se redresse, pose son gland contre ma chatte, et me pénètre . OooooOooooOOoooh ! Pris une fois de plus par les deux bouts ! Deux mâles en moi pour leur plaisir ! Je gémis … non, je couine de bonheur … Pourquoi je ne suis pas née femelle ? Avec un trou de plus … avec une chatte pour pouvoir recevoir trois queues en même temps … Mais comme ça, c'est déjà tellement bon ... D'excitation, je me déchaîne frénétiquement sur la bite du tatoué, je prends ses couilles dans ma main et je les pétris furieusement … Mon hystérie et sans doute aussi le spectacle de celui qui m'encule ont raison de lui: il se redresse, les deux mains sur ma tête, halète de plus en plus fort, pousse un long râle, et brutalement, sa queue est prise d'un spasme. Ouiiiiiiiii ! Vas-y ! Jouis, jute, éjacule, remplis-moi la gorge !

 

Derrière moi, l'autre, surexcité par mes gémissements et mon hystérie, et sentant que le tatoué va me jouir dans la bouche, s'éclate à son tour en poussant de petits grognements . 

 

Un premier jet brûlant sur ma langue … un autre … hhhhmmmmmm, ça y est, le serpent crache son venin ! Ce que c'est bon ! Je salive abondamment et je m'efforce d'avaler cette mixture avant quelle ne coule sur mon menton. Le tatoué va et vient dans ma bouche en éjaculant :

- tu veux du foutre … Aaaaaaaah ! En voilà, du foutre ! Aaaaaaaaaaah, saloooope ! Tiens … dans ta gueule !

 

Puis il se calme, s'affale de nouveau en arrière, les mains toujours sur ma tête, et reprend son souffle, sa queue toujours dans ma bouche … L'autre est maintenant collé à mon cul, immobile. Tout occupé à avaler ce que la brute me déversait dans la gorge, je n'ai pas senti grand chose de l'éjaculation du type qui me baisait. Il a fini, se retire et se relève péniblement … Le tatoué commence à débander. Je roule sa queue, déjà un peu plus molle, sur ma langue. Je profite de ne plus avoir un mec dans le cul pour m'avancer un peu, et coller mon front contre le ventre de la brute. Il me laisse faire et, à ma grande surprise, il me caresse la nuque … 

 

Je ne reste pas le cul inoccupé longtemps: le type qui était à califourchon sur mon dos, se précipite et prend la place. Celui-là a été aux premières loges pendant que son compère m'enculait. Il a sûrement contemplé en gros plan la queue de son pote aller et venir dans mon fourreau. Ça a dû l'exciter et il me plante sa bite direct ! Il se met à me ramoner vigoureusement, comme quelqu'un qui s'apprêterait déjà à jouir … La joue, encore brûlante de ses gifles, posée sur le ventre du tatoué, sa queue ramollie toujours dans la bouche, je suis bien … j'ai son beau jouet, son gros jouet, assouvi, assoupi, repu, sur ma langue et un autre mâle est en train de me bourrer … Celui qui vient de me baiser est déjà sorti.

- Tu veux qu'elle te suce, pendant que l'autre, il l'encule ?

 

Le tatoué s'est adressé au troisième larron.

- Ben … oui, je veux bien …

 

Le tatoué repousse ma tête et se lève:

- Tiens, assieds-toi … et toi, la salope, suce-le !

 

Je me redresse un peu pour laisser le nouveau venu s'installer. La brute s'approche d'une des stalles, et s'accroupit, les fesses posées sur les talons et le dos appuyé à l'extrémité de la cloison. Il nous observe. Le troisième larron, c'est sa queue que je reconnais en premier: c'est une de celles que j'ai sucées à mon arrivée ce matin … C'est un type brun, très maigre, presque osseux. Il s'assoit. Il bande déjà. Une bite longue et plutôt fine, sans un poil … Je le masturbe un peu et je le prends dans la bouche … Entre ses lèvres, il pousse un petit « ouahhhh ! » et pose ses mains sur mes joues. Il se laisse sucer un moment, puis il repousse délicatement ma tête et extrait sa queue:

- Suce-moi les couilles, maintenant …

 

Il pose ses avant-bras à plat sur la marche derrière lui, et soulève son bassin, cuisses largement ouvertes, pour mettre ses boules à portée de ma langue. Je les prends en main, elle sont toute resserrées, collées l'une contre l'autre, comme dans une seule bourse un peu fripée et plaquée contre son périnée. Elles n'ont pas l'air très grosses … deux olives. Je les lèche comme je peux, puis je m'efforce de les faire ressortir avec mes doigts. Pas facile, et j'ai peur de lui faire mal. Alors, lui tapotant sous une cuisse, je lui demande:

- Attends, remonte un peu …

 

Il s'accoude sur la marche supérieure, tend son bassin vers moi. J'approche ma bouche, je pose mes lèvres autour de ses bourses … ou plutôt de SA bourse … et j'aspire … Ouiii ! Les voilà ! J'ai ses couilles, toutes les deux dans la bouche. Ça le fait haleter … Il se plaque la bite contre la cuisse pour essayer de voir ce que fait ma bouche. J'aspire et je serre mes lèvres pour qu'elles ne ressortent pas. Je les enduis de salive. La peau de sa bourse se détend et … ça y est, je sens bien sous ma langue deux boules, que je fais rouler d'un côté à l'autre. Il gémit hhhmmmmm ! Derrière moi, le baiseur a ralenti son mouvement et observe certainement ce que je fais à son compère. 

- Maintenant, bouffe-moi le cul !

 

J'ai dû lui sucer suffisamment les couilles. Il n'attend pas que je les recrache, il se lève, les extrayant d'office de ma bouche. Et il se retourne et se fout à genoux par terre devant moi, les coudes posés sur une marche, le cul tendu. Je ne m'attendais pas à cette demande … lui bouffer le cul … il est propre, son cul ? Je ne suis pas du tout amateur de scato, et la moindre des choses, c'est d'avoir le cul propre. Et puis, dans cette position, il est trop près de moi, son cul est au niveau de mon torse. Il faut qu'il avance, mais il y a cette espèce d'escalier devant lui … ou il faut que je recule, mais j'ai un mec dans le cul, collé à moi, pour le moment.

 

Alors:

- Ça va pas aller comme ça … tu es trop prêt …  et tu as le cul propre, au moins ?

- Oui, j'ai le cul propre … je suis passé par la salle de bain …

- Sûr ?

- Ouais … sûr !

- Alors, avance, pousse le … pousse les marches …

 

Il se redresse un peu, s'arc-boute et il pousse. L'escalier glisse sur la paille. Il s'avance un peu.

- Ça va comme ça?

- Ça va …

 

Il croise ses bras sur la marche, pose son front dessus, et attend. Derrière, l'autre accentue son va et vient. Je me penche et, les mains sur ses fesses, je pose mes lèvres dans le haut de sa raie. Il se cambre. Je sors ma langue et je la glisse lentement vers le bas. Quand je passe sur sa fleur, je la sens réagir sous ma langue, comme pour s'ouvrir. Je descends plus bas … son périnée … de nouveau ses couilles, retournées dans leur bourse. J'ai le nez contre sa rondelle … et, en effet, il a dû la laver parce qu'elle sent le savon liquide de Jean-Claude. Je remonte. Je le sens qui écarte un peu plus les genoux, comme pour s'ouvrir davantage. Je pose ma langue contre sa fleur. Elle frémit. Je contracte ma langue et je la rentre dans son cul. C'est la première fois que je fais ça à un mec ! C'est lisse, et c'est chaud. Mais il est étroit, ce type, et j'ai du mal à progresser. Alors je remue le bout de ma langue dans le petit cercle de l'entrée de son cul.

- Plus … mets la plus …

 

Je me redresse:

- je peux pas, tu es trop serré …

 

Il passe une main derrière lui, s'empoigne une fesse et l'écarte. J'essaie de nouveau, mais ça ne change pas grand chose … Alors, discrètement, je me fourre le pouce dans la bouche, je l'enduis de salive et, en même temps que je lui remets ma langue, je pose mon doigt tout prêt de sa rondelle. Je sens bien qu'elle ne demande qu'à s'ouvrir et à me recevoir, mais son sphincter est trop étroit et trop tonique pour que ma langue arrive à le forcer. Alors, insensiblement, j'approche mon pouce, je le pose contre sa rondelle en même temps que je retire ma langue … et je le pénètre … Il a senti que ça entrait. A-t-il senti la substitution ? J'ai laissé ma tronche dans sa raie et il croit peut-être que c'est encore ma langue qui l'explore. J'enfonce doucement mon doigt qui progresse avec un peu de mal … Ma première phalange est entièrement entrée … je la bouge . C'est magique ! D'un seul coup, ses muscles se détendent. Il gémit. J'enfonce ma deuxième phalange qui glisse sans problème … jusqu'à la garde. Je remue mon pouce dans son étui. Il gémit de plus belle. Là, quand même, ça m'étonnerait qu'il croie encore que c'est ma langue ! J'extrais doucement mon doigt, et dans sa fleur maintenant épanouie, je refourre ma langue qui y pénètre plus profondément. Je le lubrifie de nouveau et, écartant ouvertement mon visage de son cul, je lui remets mon pouce et j'entame des va et vient. A ses gémissements, je suis sûr qu'il aime beaucoup. Bizarrement, ce que je suis en train de lui faire subir me fait monter des envies d'enculer quelqu'un à mon tour … Pas ce mec, trop maigre, trop osseux, son cul n'est pas bandant … mais me mettre la queue au chaud au fond d'un cul bien rond, musclé, charnu, glabre …

 

Derrière moi, le mec qui m'encule est au bout … je l'avais un peu oublié, mais il a continué de se chauffer tout seul dans ma chatte … le spectacle que je lui ai offert, avec le cul de son pote, est peut-être pour quelque chose dans son excitation … il jouit en allant et venant lentement dans mon ventre , aspirant et refoulant l'air la bouche grande ouverte … C'est dommage, je ne me suis pas assez concentré sur ce qu'il me faisait et je n'ai pas profité comme il faut … Lui aussi, une fois extrait de moi, se relève péniblement. Les genoux sur la paille, sans doute … Pourtant, moi, ça ne me gêne pas … Il se dirige vers la porte:

- Bon … ben … à plus tard …

 

Et il disparaît. Je peux me concentrer sur l'autre. Je m'avance et je me redresse.  

- appuie-toi à la marche du dessus.

- Hein … pourquoi ?

- Fais ce que je te dis.

 

Il obtempère et s'agenouille sur la première marche. Maintenant, plus la peine de faire semblant que je lui bouffe le cul. Je le doigte, il le sait et ça a l'air de lui convenir … Je m'assois sur la marche du bas, un peu de côté et, tout en continuant de le ramoner avec mon pouce, je passe ma main sous son ventre, et je cherche sa bite. Il bande. J'empoigne sa queue et je commence à le masturber. 

- Encule- moi !

 

Il fallait s'y attendre. C'est à peu près sûr qu'il vient de découvrir le plaisir de se faire doigter par quelqu'un et, sous l'effet du plaisir et de l'excitation, toute inhibition disparaissant, il veut passer immédiatement à la suite. 

- Encule-moi … s'il te plaît …

- Ah non, mec ! Ici, il n'y en a qu'un qui se fait enculer … et c'est moi …

 

Il ne gémit plus de plaisir, il geint. Je sens qu'il va jouir sous peu. Je me laisse tomber au sol derrière lui et je passe la main qui le masturbait derrière lui, puis entre ses cuisses et je reprends ma branlette de plus belle, tout en intensifiant mon doigtage. Et brusquement, je sens son anus se contracter sur mon pouce. Il va éjaculer ! Encore deux ou trais allers et retours sur sa queue, et à son tour, elle est prise d'un spasme. Un premier jet fuse. Je me penche, la tête entre ses cuisses et, délicatement, mais rapidement, je tire sa queue vers moi, sous son cul et je prends son gland entre mes lèvres. Il est surpris, mais il se laisse faire et il me jute dans la bouche , pendant que son anus se contracte convulsivement sur mon pouce …

 

Voilà … il a tout craché. Je lâche sa queue, je me lève et je lui refourre ma langue dans l'anus. Il est de nouveau tout serré. Je me redresse et je lui caresse les fesses. Il reste quelques secondes le front appuyé sur ses bras repliés, puis se relève à son tour. Je m'informe:

- Ça va ?

- Oui … oui … merci …

- Merci à toi …

- Je … je m'excuse …

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Pour … je t'ai demandé pour me … pour …

- Pour t'enculer ?

- Oui …

- Y'a pas de mal, je comprends … mais c'est pas le jour … tu t'es déjà fait enculer ?

- Oh non .. non ! Même … bouffer le cul, c'est la première fois …

- Tu ne te doigtes pas non plus, je suis sûr …

- Non, non …

- Ça se sent, tu es vraiment très étroit …

- C'est pas bien ?

- Ça peut plaire à certains, mais ça peut en gêner d'autres … leur faire mal quand ils t'enfilent … tu comprends ?

- Ah d'accord …

- Je te dirai ce qu'il faut faire, si tu veux …

- D'accord, d'accord …

- Bon, allons-y …

 

Pendant cet échange, le tatoué s'est relevé et s'est approché. Il soulève l'escalier et je lui propose:

- je t'aide ?

- pas la peine …

 

Il nous pousse vers la porte et, en passant, il me claque une fesse. A chaque pas, je sens le sperme des deux mecs qui m'ont baisé s'écouler le long de ma cuisse.

 

Nous regagnons la rangée de tables et "la scène". Philippe est là. Il me dévisage, fronce l'œil et me demande:

- Ça va ?

 

Un peu surpris, je réponds:

- Ça va. Pourquoi ?

- T'as des marques … sur les joues …

 

Ah oui, c'est vrai ! La série de baffes a sûrement laissé des traces. Je réalise que ce qui m'a donné chaud aux joues, ce n'est pas nos ébats dans l'écurie … enfin, pas seulement …

 

- Ça va, t'inquiète … je t'expliquerai … 

- T'es sûr ?

- Oui, oui …

 

Et pour finir de le rassurer, je passe un bras amical sur les épaules du tatoué et, les yeux gourmands, je lance à Philippe:

- on a eu une séance … très … chaude, tous les deux … C'était … bien … 

 

La scène est maintenant complètement installée. Tout le monde est là, Jean-Claude et Philippe inclus, et ils me regardent, guettant ma réaction. Le matelas est en place, et l'ensemble fait dans les un mètre cinquante de haut. C'est simple, le matelas est maintenant à peu près à la hauteur de mes yeux. Le tatoué, toujours chargé du lourd escalier, s'approche de l'installation. Maintenant que je suis au pied de cette scène, je réalise qu'en effet, ça va être beaucoup mieux qu'au sol, aussi bien pour moi que pour les voyeurs ... Quand je vais me faire prendre là-dessus, que ce soit en levrette, à plat ventre ou sur le dos, les mecs qui seront autour auront une vue directe sur mes accouplements, sur les queues qui feront des allers et retours dans mon cul …. Rien que d'y penser, des frissons de volupté me parcourent. Je lève le pouce en direction des mecs, en signe de satisfaction, et ils se marrent, comme soulagés. 

 

Philippe:

- alors ? C'était si chaud que ça, avec ton tatoué …

- Oh oui … il m'a un peu … dérouillé … mais je m'y attendais, je le savais …

- Et tu t'es laissé faire ?

- Oui … il me fait un effet … je te dis pas … ça m'a fait envie …

- De te faire dérouiller ?

- Oui … mais, il ne m'a pas fait que ça …

- Ah bon. T'es vraiment spécial, comme mec …

- Sans doute, oui …

- tu veux boire autre chose ?

- volontiers, surtout que je n'ai pas bu mon vin, tout à l'heure … Des nouvelles du traiteur?

- Oui, je l'ai appelé. Il a eu un problème. C'est réglé. Il ne devrait pas tarder …

 

Le tatoué, l'escalier dans les mains au pied de la scène, me regarde, interrogatif. Il veut savoir où il doit installer les marches en bois. Je m'approche et je lui désigne un des côtés. Il les pose. Impeccable: au-dessus de la cinquième marche, il ne restera qu'une vingtaine de centimètres à franchir pour monter sur les ballots. Le tatoué fait demi-tour en direction du bar. Je ne peux pas résister. Je l'arrête, d'un signe de tête, je lui montre les marches et, le prenant par le poignet, j'entreprends de l'entraîner. Il a un instant d'hésitation, me regarde, regarde la scène, et comprend ce que je veux. Il sourit, et plutôt que de me suivre, il me passe un bras dans le dos, se penche, passe son autre bras sous mes cuisses, et soulève mes "hum hum hum" kilos… avec une facilité déconcertante … Un peu surpris, je m'accroche à son cou, et le voilà parti vers l'escalier, qu'il escalade tout aussi facilement … 

 

Applaudissements, rires et cris fusent du groupe … les gestes sans équivoque de deux ou trois types, singeant une violente copulation, témoignent qu'eux aussi ont compris ce qui va se passer … Je les regarde  en riant et en feignant l'incompréhension: "mais, pourquoi m'emmène-t-il là-dessus, que veut-il ? " 

 

Nous voilà sur la scène. Le tatoué, tout en me portant, fait quelques pas sur les ballots du tour, se secoue pour tester leur stabilité, et, satisfait, il me jette littéralement sur le matelas … Je m'installe en hâte sur le dos, et, appuyé sur un coude, jambes écartées, je tends une main vers lui … Allez, viens, prends-moi … et je réalise qu'il ne m'a pas jeté n'importe où … il m'a … "déposé", en quelque sorte, face au groupe de mecs, les pieds vers eux, la tête à l'opposé. Entre mes genoux, je ne vois qu'une forêt de têtes en train  de mater. Les yeux à hauteur du matelas, ils ont une vue directe sur mon entrejambe … Le tatoué, s'écarte un peu pour leur permettre de bien voir et, légèrement tourné vers eux, bras ballants, les interroge du regard: qu'est-ce que je lui fais, maintenant ? 

- vas-y !

- baise-le !

- fourre-le !

 

Evidemment ! Les suggestions fusent.

 

Oui, vas-y, baise-moi, fourre-moi ! J'écarte un peu plus les cuisses. je me couche complètement sur le dos et je tends les mains vers lui. Lentement, il s'agenouille entre mes jambes, pose les mains de part et d'autre de mes épaules, et se couche sur moi. J'enserre son torse de mes bras et j'entortille mes jambes autour des siennes. 

 

Nouveaux applaudissent, cris et rires ... Certains doivent être autant excités à l'idée du spectacle que je vais leur donner qu'à celle de monter avec moi sur cette scène. J'interroge le tatoué: 

- Tu vas me baiser, hein, tout à l'heure …

 

Pour toute réponse, il se soulève un peu, glisse une main entre nos deux ventres, et je sens qu'il empoigne son sexe, et, à tâtons, le pose contre mon anus. Putain, il bande ! Il bande encore ! J'enlève mes jambes de sur les siennes et je me tortille pour l'aider. Voilà ! J'ai son gland dans mon cul … juste un peu rentré ! Ça me fait aspirer une bouffée d'air. 

- Ça, y est, il l'encule !

 

Non les mecs … pas encore … Il reste immobile, s'appuie sur les coudes, plante ses yeux dans les miens:

- Maintenant ?

 

Oh oui ! j'ai envie qu'il me prenne, là, tout de suite, comme ça. Il le lit dans mes yeux, parce qu'il s'enfonce encore un peu. Malgré son poids sur moi, je me cambre. Je caresse ses épaules et sa nuque. Salaud, il sait l'effet que me fait sa queue  … Je murmure à son oreille:

- Oui … vas-y, baise-moi !

 

Il sourit, s'enfonce encore un peu … et les yeux dans les miens, il observe ma réaction. Bouche entrouverte, yeux mi-clos, je halète doucement et je me tortille sous lui pour essayer de m'empaler un peu plus sur sa bite … 

 

Et, sans un mot, satisfait, il sort de moi, se relève, la queue en bannière, et descend de la scène. Salaud ! Je me redresse sur les coudes, jambes à demi repliées … Apparemment, tous ces mecs, qui s'attendaient à assister à une nouvelle partie de cul, sont surpris, aussi désappointés que moi … Je me relève, et je descends à mon tour.

 

Jean-Claude vient au-devant de moi:

- Pas mal, hein, l'installation ? T'as vu ? J'ai ceinturé les ballots avec des sangles de camion, pour qu'elles bougent pas …

 

Je n'avais pas remarqué. 

- Ouais, c'est bien … Merci, Jean-Claude …Dis, tu viens avec moi, sur le matelas ?

- Arrête avec ça, je t'ai dit …

 

Je n'insiste pas et nous rejoignons Philippe au bar. 

- Dis moi … en effet, je vois que ça se passe bien entre vous … avec le … skin …

- Oui, tu vois ? Pourtant, je déteste ce genre de mec … ce genre de brute, tatouée, crâne rasé … mais il me … c'est plus fort que moi … c'est sa bite … mais pas que ça …

- Il t'a giflé ? 

- Oui … mais pas trop fort …

 

Il me sert. Les mecs se regroupent autour de nous, se servent à boire, picorent des chips … et me détaillent à nouveau lubriquement. Des mains commencent même à m'effleurer. En plus de la testostérone, de la lubricité et des odeurs de parfum, la cour est maintenant baignée de relents de bière, d'anis et de vin. Certains ont l'air déjà pas mal imprégnés. Ils sont trois, pour le moment, à me tripoter les fesses. Reste des deux pétées que j'ai prises dans l'écurie, j'ai quand même le cul qui colle un peu. Je ne vais quand même pas remonter à la salle de bain … J'avise un robinet avec un tuyau d'arrosage, le long d'un pilier du hangar. C'est sûrement de l'eau froide, mais basta ! Je me suis déjà fait des lavements comme ça ! J'y vais, je démonte la jonction en plastique au bout du tuyau, j'ouvre le robinet et, accroupi, jambes bien écartées devant le hangar, je m'enfile le bout de tuyau en caoutchouc dans le cul. Les mecs me regardent faire, éberlués. L'eau ressort en cascade de mon cul et s'étale à mes pieds. Quand je me sens propre, je referme le robinet, je raccroche le tuyau et je retourne vers la table-bar. J'attrape une poignée de serviettes en papier et je m'essuie le cul. Voilà … prêt à recommencer. 

 

C'est très étrange, cette atmosphère … tous ces mecs, un verre ou une canette à la main, en train de prendre l'apéro, la queue à l'air … L'alcool aidant, les inhibitions sont tombées pour ceux qui en avaient, et pratiquement tout le monde est à poil … ou presque. En tout cas, toutes les bites sont de sortie … exceptée celle de Jean-Claude, toujours entièrement habillé.  Beaucoup sont même tellement désinhibés – ou alcoolisés – qu'ils passent leur temps à se tripoter la queue, tout en buvant et en discutant avec les autres … D'ailleurs, maintenant, le tatoué est entouré de trois ou quatre types et discute, toujours en sirotant une bière … 

 

Tripotage plus effet vasodilatateur de l'alcool, j'ai sous les yeux un sacré assortiment de bites en érection ou en semi érection. Je n'arrive pas à détourner mon regard de tous ces membres … j'ai l'impression qu'ils sont de plus en plus nombreux J'en occulte tout le reste: la gueule de ces mecs, leur physique, leur expression, les mauvaises manières de l'un, les boutons d'un autre, le sourire édenté d'un troisième … Ou plutôt, tout ça passe au second plan, tellement je suis obnubilé par ce qu'ils ont entre les jambes, cette verge, cet organe de chair et de sang, chaud, vivant, qu'ils ont introduit en moi pour certains, qu'ils vont introduire ou ré-introduire en moi pour les autres … ces couilles plus ou moins gorgées de semence … toute cette semence que j'ai déjà reçue dans la gorge et dans le ventre … toute celle qu'il me reste à recevoir et qui va se répandre en moi d'ici à ce soir … 

 

J'ai quand même du mal à réaliser qu'autant de mecs se sont déplacés aujourd'hui pour me baiser, qu'autant de mecs sont là pour fourrer leur queue dans un de mes deux trous, et pour y prendre leur pied ! J'ai du mal à réaliser qu'autant de mâles se soient réunis en un même lieu, en un même jour, pour copuler avec une seule et même … femelle ! Et cette femelle, c'est moi ! Pour ces mecs, je suis sans doute un trav, un pédé. Ils sont venus ici pour se faire un pédé, une tarlouze, une taffiolle, certes, mais un mec. C'est incontestablement, objectivement ce que je suis, mais bizarrement, de mon point de vue, femelle est le terme qui me paraît le plus approprié … J'ai déjà ressenti quelque chose de ce genre ce matin, en voyant cette bande de mecs comme un harem, en me voyant comme une sorte de reine des abeilles se faisant féconder simultanément par plusieurs mâles. J'ai déjà vu des vidéos de gangbangs géants dans lesquels des dizaines de types … vingt, quarante … plus encore, baisent à la chaîne une seule et même femme, une vraie femme. L'impression que j'en ai eue, c'est que des mâles copulaient avec une femelle. Et bien, aujourd'hui, dans cette tournante, il n'y a pas de différence: tous ces mâles sont ici pour copuler avec une femelle, et cette femelle, c'est moi !

 

C'est au moment où je me penche par-dessus la table-bar pour attraper quelques chips, qu'un type en profite pour me prendre par les hanches et se plaquer le ventre contre mon cul. Mon gobelet de vin dans une main, mes chips dans l'autre, je laisse faire. En fait, il a glissé sa queue, raide, à l'horizontale entre mes cuisses, et je sens sa verge contre mon périnée et son gland contre mes couilles. Il remonte ses mains sous mon corsage, me caresse les seins … et se colle la figure contre mon cou. Il m'embrasse la nuque. Il empeste la bière. Il est bourré. Je continue de grignoter mes chips. Il souffle dans mon cou:

- Alors, il paraît que t'es bonne, toi …

- Je ne sais pas …

- Si ! Les autres me l'ont dit … il paraît que t'es chaude … bouillante, même … il paraît que t'as un cul … un vrai garage à bites … et qu'on est vachement bien dedans …

- Ils sont gentils, d'avoir dit ça …

- J'vais t'enculer …

- D'accord …

- Maintenant !

- Oui …

 

Je le sens étonné. Ça doit être un nouveau qui découvre qu'il peut disposer de moi comme ça. Autour de nous, les autres s'écartent un peu, regardent, écoutent, attendent la suite avec intérêt, les yeux pleins de lubricité. Sans que j'aie rien demandé, l'un d'eux me tend mon flacon de lubrifiant. Comme le mec a redescendu sa main sur mon ventre, je lui glisse le flacon:

- Tiens, mets ça …

- C'est quoi ?

- Du gel lubrifiant …

- J't'encule à sec !

- Non ! tu mets du gel ou tu m'encules pas !

 

Il pouffe dans mon cou.

- Bon, donne !

 

Il prend le flacon, se décolle de mon dos et, tandis qu'il ouvre tant bien que mal le tube, je pose mon verre, je m'appuie des deux mains sur la table et j'écarte les jambes. Je dois dire que j'aime bien cette phase qui précède la plupart des coups de bite qu'on me donne: écarter les jambes et me cambrer dans l'attente de la pénétration. C'est une petite chose, un rien, mais ça me plaît bien. C'est une façon de me mettre à la disposition du mâle qui va me prendre. Voilà, il me glisse deux doigts enduits de gel dans le cul. J'entends un bruit de mouillé derrière moi. Il doit être en train de s'enduire aussi la queue. Il lance le flacon sur la table,  pose une main sur ma nuque, appuie pour que je me penche, et je sens sa queue, mouillée et froide, glisser dans ma raie, descendre … jusqu'à ma rondelle … et me pénétrer. Je me cambre. Je n'ai même pas vu à quoi ressemble sa bite … Lui non plus, d'ailleurs … Planté dans mon "garage à bites", il passe ses mains devant moi et entreprend de déboutonner mon corsage. Son état ne lui facilite pas les choses … J'écarte ses mains, et je le fais moi-même. Il me caresse le ventre, la poitrine, essaie maladroitement de m'enlever mon corsage. Je finis par l'aider et par lancer le vêtement sur la table voisine. Il me caresse et m'embrasse les omoplates, à demi effondré sur moi …  Puis il pose ses mains sur la table, de part et d'autre de mes hanches, et commence à me ramoner. 

 

C'est à ce moment qu'une fourgonnette marquée "Charcutier-Traiteur" entre dans la cour … Je cherche Philippe ou Jean-Claude des yeux pour qu'ils me confirment qu'on peut continuer… D'ailleurs, en voyant la camionnette surgir, un paquet de participants se précipite derrière la scène pour se planquer. Le mec qui me tringle n'a rien vu. Jean-Claude est à deux pas. Je l'appelle:

- Jean-Claude !

- Oui ?

- Tu veux qu'on arrête ? Pour le traiteur …

- Non, non, t'inquiète … c'est un copain … je lui ai dit le genre de … le genre de réunion qu'on fait… vas-y, continue …

 

Le type derrière moi:

- Quoi … Qu'est-ce qu'il y a ?

- Rien … continue !

 

Pendant que le traiteur cherche une place pour se garer, Philippe, qui a sauté dans un pantalon, se dirige vers lui, suivi de Jean-Claude. Un type en blouse blanche descend de la camionnette, et il en apparaît un deuxième de derrière la camionnette, apparemment bien plus jeune … d'ici, il me semble deviner qu'il porte une tenue de cuisinier… sans doute un commis … Serrage de mains, et ça semble discuter ferme entre les quatre. Le traiteur et son commis lancent des coups d'œil dans notre direction. Je me demande s'ils distinguent ce qui se passe ici: nous sommes quand même à une quarantaine de mètres et, qui plus est, eux sont au soleil et nous dans l'ombre du hangar … Brusquement, le traiteur se met à parler avec véhémence à son commis, le prend par l'épaule et le pousse derrière la camionnette. Une portière claque. Jean-Claude, Philippe et l'artisan se dirigent vers l'arrière du véhicule, ouvrent les portes et récupèrent des caisses en plastique.

 

Les bras chargés, Philippe et Jean-Claude reviennent vers nous, suivis du traiteur qui pousse un chariot garni de glacières. Pendant qu'il approche, je l'observe, guettant sa réaction quand il va voir de près ce qui se passe ici. C'est un petit bonhomme assez quelconque, brun, les cheveux plaqués et luisants, comme gominés. Il parcourt des yeux les tables, les chaises, la scène, examine de la tête aux pieds les participants à poil qui ne se sont pas cachés, et soudain, arrivé à quelques mètres, les yeux enfin accoutumés à l'ombre relative du hangar, il me découvre … et découvre le type collé à moi, et qui s'active d'une manière qui ne laisse aucun doute sur ce qu'il me fait ! Il stoppe, les yeux ronds, appuyé sur son chariot ! Philippe et Jean-Claude ont déposé leurs chargements sur la table à côté de la nôtre. Jean-Claude, s'adressant à son copain:

- Tu vois … je t'avais dit … hein … c'est … c'est elle … enfin … c'est lui, qu'on … c'est lui qui se fait … heum, heum, ici …

 

Le traiteur lâche son chariot, se redresse et se dandine d'un pied sur l'autre. Je le salue:

- Bonjour …

 

Il hésite, approche, de l'autre côté de la table où je suis en train de me faire enculer … les yeux exorbités, il déglutit bruyamment et me tend la main. Je me penche et je la lui serre. L'autre, derrière moi, découvre alors sa présence et bafouille:

- Qui c'est, celui-là ?

- C'est le traiteur … continue !

- Ah … le traiteur … on va enfin bouffer !

 

Il titube, s'affale contre mon dos. J'assure notre équilibre les deux mains sur la table et l'autre reprend, tant bien que mal, son va et vient. Le traiteur se retourne précipitamment, décharge les glacières au pied de la table et repart avec son chariot vers sa camionnette. Justement, à la vitre de la portière, côté conducteur, j'aperçois une tête qui regarde vers nous. C'est le commis, qui s'est assis à la place du chauffeur pour nous mater. Son patron l'a vu aussi et braille en agitant le poing dans sa direction. Derrière moi, ça s'accélère brusquement. La joue appuyée entre mes omoplates, le mec commente, l'haleine chargée de relents de bière:

- Aaaaaah, putain ! C'est vrai que t'es bonne !

 

Il a maintenant les mains sur mes hanches et, par à-coups violents, il me plante sa queue en tapant son ventre contre mes fesses. Et, dans un long râle, il jouit . Mais son orgasme est si violent, qu'il est déséquilibré et, tentant vainement de se retenir à moi, il s'écroule en arrière en m'envoyant sur les fesses un long jet de foutre. J'essaie aussi de le rattraper, mais avant de toucher le sol, il est retenu par deux autres types qui mataient derrière nous. Ils le soutiennent jusqu'à un fauteuil de jardin où il le laissent glisser … L'un des deux revient précipitamment vers moi. 

- Tourne-toi … remets-toi en position …

 

Ah ben, ça ne traîne pas ! Je me tourne, de nouveau face à la table-bar, je m'appuie des deux mains, et le mec – je l'ai aussi sucé, ce matin en arrivant, celui-ci – me prend par la taille, glisse sa queue entre mes fesses, et sans avoir besoin de la guider de la main, il me pénètre. Une fois en moi, il glisse une main sous ma cuisse droite, la soulève et:

- pose ton  genou sur la table !

 

Pendant que je m'installe comme ça, il m'appuie sur une épaule pour que je me penche en avant. Je pousse les gobelets et les assiettes de chips qui garnissent la table, et j'y étends mon buste. Le pied gauche au sol, la jambe droite remontée, le genou et le mollet sur la table, le torse allongé au milieu du bar …. c'est une position … hhhmmmmm ! J'adore ça ! Comme ça, je me sens … ouvert …  offert … à disposition … Il m'a pris par les hanches, et il me baise … J'agrippe l'autre bord de la table, je pose ma joue dans les miettes de chips sur la nappe en papier … d'autres types regardent, fascinés … et se branlent … certains, presque tous sont ressortis de derrière la scène …

 

J'entends le chariot grincer sur la cour … Je relève la tête et je vois le traiteur qui revient. Il pousse son chariot plus vite que tout à l'heure, le regard fixé sur nous. A deux mètres de cette table où je suis vautré, il réalise que ce n'est plus le même mec qui m'encule. La bouche entrouverte, les yeux ronds, il n'en revient pas ! Il décharge mécaniquement, lentement, d'autres caisses, les yeux braqués sur moi. Appuyé des avant-bras sur la table, secoué au rythme des coups de boutoir du type qui me baise, je ne le quitte pas des yeux. Oui, tu vois bien, c'en est un autre qui me baise ! On n'entend que le bruit du ventre qui tape contre moi … Brusquement, le silence est rompu:

- Allez, laisse-le moi !

 

Je reçois encore deux ou trois coups de bite, et mon baiseur se retire. Je ne bouge pas. Aussitôt, un autre prend sa place, dans la même position. C'est vrai que ça doit être tentant, comme ça … Le traiteur s'est immobilisé, une caisse vide à la main, et contemple. Y'a pas à dire, mais me faire enculer sous les yeux de ce type, qui ne fait pas partie du gang bang, c'est encore plus excitant ! Je me fais baiser devant un public … un public très restreint, c'est vrai, mais un vrai public … Ça me fait le même effet que quand ma voisine m'a surpris en train de me faire ramoner par Gabriel au milieu de ma pelouse … Je ferme les yeux à demi pour déguster ce moment … Entre mes paupières, un mouvement, une ombre devant moi ! J'ouvre les yeux. C'est le beau brun, l'ours velu qui m'a baisé en cuillère ce matin …. cette fois complètement nu, il vient de se planter devant la table-bar, la bite, raide, à la main … et sa bite poilue, il me la présente à sucer ! Alors, évidemment, je la prends … Derrière moi, l'autre a ralenti, et me regarde sans doute ingurgiter le bel engin de l'ours … La joue posée sur la table, je lui prends les couilles dans la main, et je le suce … Décidément, me faire prendre par les deux bouts, j'adore ! Ces mecs ont repris ... m'ont repris, comme si le traiteur n'était pas là ! Ça me plaît bien !

 

Mais le traiteur est toujours là et regarde autour de lui, tous ces types, à poil, en érection, la queue à la main… J'ai l'impression qu'un cheminement se fait dans son esprit … Que se demande-t-il ? Que se dit-il ?

 

- Euhhh … pardon … je voudrais … je peux demander quelque chose ?

 

C'est Jean-Claude qui lui répond:

- Ouais, vas-y …

 

Il déglutit:

- Hummm ! Oui … je m'excuse … je sais pas si je peux … si je peux demander ..

 

Jean-Claude:

- Vas-y, je te dis …

- Oui … vous … vous allez tous lui … vous allez tous le …

 

Jean-Claude:

- … si ils vont tous le baiser ?

- oui … c'est ça …

- ben tu vois …

- mais … ils … ils vont … quand même … quand ils … je veux dire … quand ils … ils se retirent ?

- quand ils jouissent, tu veux dire ?

- oui, quand ils jouissent … ils ont pas de capote ?

- Non, quand ils jouissent, ils se retirent pas … et non, ils ne mettent pas de capote …

- Tiens, regarde !

 

C'est le type derrière moi qui vient d'intervenir. Pendant tout cet échange, il avait continué de me ramoner en douceur. Il poursuit, plus vigoureusement, en soufflant entre ses dents serrées … Je le sens au bord de l'éjaculation. Je cramponne le bord de la table, les yeux sur le traiteur. Il nous regarde tour à tour, fasciné, bouche entrouverte, le type qui me sodomise, l'ours, que je suce …. et moi, qui subis tout ça avec plaisir … Et du plaisir, j'en ai ! Autant de me faire saillir que de le faire sous les yeux de ce type ! A chaque coup de queue, je gémis, et je me cambre autant qu'il m'est possible dans cette position. Les branleurs, eux-mêmes excités par le spectacle, se branlent  encore plus vigoureusement. Entraîné par cette espèce de frénésie générale, je pompe fiévreusement la queue de l'ours. Lui aussi, je veux le finir, là, tout de suite !  L'autre, dans mon cul, sent qu'il me fait jouir, et ça finit de l'exciter. Et rapidement, il explose en râlant … je sens les soubresauts de sa queue  dans mon fourreau … Le sentant finir de jouir en allant et venant encore deux, trois fois en moi, j'espère qu'un autre, en train de se branler, va prendre tout de suite sa place quand il va se retirer … En effet, dès qu'il ôte ses mains et qu'il recule, je sens qu'on place un truc chaud à l'entrée de ma chatte encore béante et souillée  … Voilà ! Une autre queue progresse en moi ! Un autre mec se donne du plaisir dans mon cul ! 

 

Brusquement, j'entends le chariot grincer sur la cour … j'ouvre les yeux, le traiteur s'éloigne précipitamment, suivi de Jean-Claude … Le type qui m'encule a posé ses mains sur moi, et il me caresse les reins, le dos, les fesses … 

- C'est bon, hein, comme ça …

 

Les rangs se resserrent autour de nous, comme un mur … un mur de bites … on se branle … Oubliée la bouffe, oublié l'apéro … on est reparti dans le cul … Ils vont me baiser ! Ils vont me baiser ! Ils vont me baiser !

 

Et puis, le mur de bites s'ouvre de nouveau devant Jean-Claude et le traiteur, cette fois sans son chariot, hésitant, méfiant à l'égard des types en érection qui l'entourent … Jean-Claude le pousse du coude:

- Vas-y, demande …

- Oui, euh …. Ça serait possible que … ça vous dérangerait, si je … 

 

L'ours, comprenant que ça s'adresse à moi, s'extrait de ma bouche. Jean-Claude:

- il voudrait bien rester, mon pote … ça te dérange pas ?

- non, bien sûr … reste … tu veux aussi me baiser ? Tu peux me baiser …

 

Jean-Claude, à son pote:

- Tu vois ? Je t'avais dit … Vas-y …

- Non, non … je sais pas … je … je verrai …

 

Je l'encourage:

- Viens … tu veux maintenant ? Viens …

- Non … il faut que je ramène mon apprentis …

- Il peut rester aussi …

- Oh non, hé ! Il est mineur … Oh non ! Je le remmène chez lui … et … je peux revenir, alors ?

- OK, OK, reviens …

 

Il tourne les talons et s'éloigne précipitamment. Pressé de se débarrasser de son commis et de revenir, on dirait … C'est un gamin, l'apprentis … C'est pour ça qu'il l'a enfermé dans le camion … pour qu'il n'assiste pas à cette orgie, à cette débauche !

 

à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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