Vendredi 7 octobre 2016 5 07 /10 /Oct /2016 01:10

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Gégé m'entraîne dans la cuisine:

- Grimpe sur la table et fous toi sur le dos.


J'ai bien fait de récurer la table à fond au moment de la vaisselle. Je me contente donc de déplacer les plats sales sur la gazinière, et je m'assois sur le formica pendant que Gégé retire son blouson, qu'il n'avait pas quitté pendant le repas. Il le lance dans le salon et se place devant moi pour ôter son jean et son caleçon qui prennent le même chemin. Quand c'est fait, il s'approche jusque entre mes jambes. Je sens son haleine alcoolisée et je vois qu'il a l'œil trouble et humide du type bourré. Je regarde sa queue. Il bande déjà et son gland essaie de sortir tout seul de son prépuce. Je me penche un peu, je saisis sa bite et je commence à le masturber. Il se laisse faire, et son visage tout près du mien, il me souffle: 

- J'vais encore t'baiser.


Pendant une fraction de seconde j'ai l'impression qu'il est prêt à me rouler une pelle. Mais non, il se reprend. Tant mieux. Autant j'ai aimé quand je ne sais plus qui m'a roulé un palot samedi dernier, autant lui, surtout dans l'état où il est … beurkkk ! Il poursuit:

- Allonge-toi.

- Attends, Gégé ! Hé, Robert ! Tu veux par regarder dans mon sac, il y a le tube de lubrifiant, tu sais, celui que tu as utilisé, ce matin. 


Je commence par m'appuyer des deux coudes sur le formica. Gégé me prends sous les genoux et les soulève. Je bascule complètement sur le dos. Vu l'étroitesse de la table, d'un côté, j'ai le cul au bord et, de l'autre, la tête dans le vide. Je me redresse sur les coudes:

- Attends. Pas comme ça. Dans l'autre sens, sur la table. Là, j'ai la tête dans le vide.


Il passe ses mains sous mon cul et, d'un seul mouvement, il me fait pivoter à 90°. Il m'étonne, ce gringalet, d'avoir réussi à me bouger de cette façon. Voilà, comme ça, je serai mieux. Robert pose le lubrifiant sur la table et va s'adosser contre le mur à côté de la porte du salon. Diego aussi s'est levé et nous regarde depuis le salon, l'épaule appuyée contre le chambranle de la porte. Gégé dresse mes cuisses à la verticale et les écarte:

- Garde tes jambes en l'air.


Je tends les bras et je m'empoigne les cuisses à hauteur des genoux. Il attrape le lubrifiant, j'entends le bruit mouillé que fait le gel en sortant, et je sens qu'il m'en enduit le cul et me rentre deux ou trois doigts. Il commente:

- C'est bien … t'es une bonne fille. T'es contente, hein, que Gégé y va t'en foutre un bon coup dans l'cul … Gégé, y va t'baiser, Gégé, y va t'défoncer … 


Je lui souris. De lui, je ne vois rien en dessous de son abdomen, mais à ses gestes et à son regard braqué sur son entrejambe, je devine qu'il est en train de se décalotter. Il lance:

- Hé, les mecs, v'nez voir comment j'vais la démonter, c'te salope !


Il doit être bien bourré, parce qu'il a crié comme si il les croyait encore au salon. Il n'a pas encore remarqué que Robert et Diego sont déjà là. Diego:

- On voit, mec, on voit.


Gégé tourne la tête, les découvre, sourit et pose une main sur le dessus de ma cuisse, au niveau de mon genou:

- Maint'nant, j'vais t'enfiler !


Il guide son sexe et je le sens le plaquer contre ma rondelle. Il pousse et, d'un seul coup, il entre. Hhhmmm, ça y est, il est en moi ! Il me baise avec cet organe monstrueux, avec ce sexe … bestial ! Ses deux mains sur mes genoux, il commence à aller et venir. Oh, putain, ce que c'est bon de se faire baiser comme ça, sur cette table de cuisine et sous le regard de ces deux mecs … non, de ces trois mecs: Cricri vient d'apparaître à côté de Diego. Finalement, venir ici pour me taper le gros Robert, c'était vraiment un pis aller, faute de mieux, mais au final, je me fais troncher par quatre mecs ! Oh, c'est pas des flèches, ces mecs ! Tous les quatre c'est des paumés, ni beaux, ni bien montés, et, qui plus est, pas de première jeunesse pour trois d'entre eux. Mais justement, c'est parce qu'ils ne sont ni jeunes, ni beaux, ni bien montés qu'ils étaient en manque et qu'ils sont bien contents que je mette mon cul à leur disposition pour se soulager. Jambes en l'air, comme ça, je ne suis pas très bien:

- Attends, Gégé, je vais mettre mes jambes derrière toi.


Il plaque son ventre tout contre mes fesses, et s'immobilise pour me laisser faire. Je passe mes jambes de part et d'autre de son torse et je croise mes chevilles derrière ses reins. Il en profite pour ôter sa chemise. Le voilà complètement à poil. Il me prend par les hanches et il recommence à me bourrer. Il me regarde intensément. Il veut voir quel effet il me fait. De l'effet, il m'en fait, je n'ai pas besoin de simuler. Déjà, rien que de me prendre sur cette table de cuisine, et sous les yeux de ses potes, j'adore. Et comme ça, sur le dos, face à face, hhmmmm ! Me faire prendre en levrette, c'est le pied, mais regarder dans les yeux le mec qui m'encule, c'est aussi très excitant. D'abord parce que je peux voir ses réactions à lui, le plaisir qui le gagne, l'excitation qui monte et qui lui fait perdre le contrôle. Mais j'aime ça aussi parce que, en m'abandonnant au plaisir qu'il me donne, et en le lui montrant, je me mets en quelque sorte à sa merci, et j'ai davantage l'impression de lui appartenir. Lui, le Gégé, ce n'est pas une flèche. Bien que plus petit que moi, pas costaud et plutôt moche, je me serais de toute façon fait baiser par lui, maintenant que j'ai résolu de me faire grimper par tous les mâles qui en auront envie. Mais lui, sa bite bizarre, monstrueuse, inhumaine, me rend dingue. C'est comme si je me faisais saillir par je ne sais quel animal, par je ne sais quel monstre, par je ne sais quelle créature extraterrestre. Je me cambre pour faciliter sa pénétration et je halète sous l'effet du plaisir que me donne la bizarrerie qui me fouille les chairs.


Je voudrais bien voir sa bite qui entre et sort de mon cul. Alors, j'essaie de me redresser, et tant bien que mal, je m'appuie sur un coude. Mais je ne vois pas. Tout au plus, j'aperçois la base de sa queue quand il sort un peu de mon cul. Je tends la main, je la pose sur son ventre et je la glisse entre mon cul et son pubis. Je sens maintenant sous mes doigts sa verge coulisser en entrant et en sortant de mon cul. Il regarde ma main, il me regarde, les yeux grands ouverts, la bouche béante. Je halète et ça part tout seul:


- Ah oui, Gégé ! Baise-moi ! BAISE-MOI ! BAISE-MOIIIII !!!! 

- Ah putain, quelle saloooope !


Je regarde les trois autres, là, à l'entrée de la cuisine. Eux aussi sont gagnés par l'excitation. Robert a de nouveau la main dans son pantalon et il se branle. Diego, lui, a ouvert sa braguette et sorti sa queue qu'il pétrit mécaniquement en nous contemplant. Cricri a déboutonné son pantalon, descendu son zip et il se secoue la bite sans vergogne. Putain, tous les trois, ils savent qu'après Gégé, c'est eux qui vont venir s'installer entre mes cuisses, qui vont introduire leur bite en moi et qui vont me baiser chacun leur tour sur cette table ! Là, ils anticipent les sensations de leurs queues dans mon fourreau.


- Qui c'est qui veut s'le faire ?


C'est Gégé qui m'offre aux autres. Il a joui ? Je ne m'en suis même pas rendu compte !


- T'as pris ton pied, mec ?


C'est Diego qui s'étonne aussi. Gégé:

- Nan, pas encore. Mais j'te l'passe, si tu l'veux. J'me finirai après.


Diego quitte son chambranle de porte et s'avance:

- Bon, vas-y, passe-le moi. Mais avant, j'me déloque.


Ah, yessss ! « Passe-le moi ! ». J'adore quand les mecs me traitent comme je ne sais quelle poupée gonflable ou je ne sais quel bout de viande ! Gégé ralentit son va et vient et me dévisage:

- On va tous te défoncer, chérie. L'un après l'autre. 


Je hoche la tête vigoureusement:

- Oui, défoncez-moi ! Baisez-moi tous les quatre !

 

Diego, la bite raide qui dépasse de sa braguette, me regarde tout en déboutonnant sa chemise. Je ne quitte pas sa queue des yeux. Il ne s'est pas encore décalotté, et je vois du fluide translucide briller autour de son méat. Il est super excité et dans un instant, c'est cette bite déjà baveuse d'excitation qui va venir s'introduire dans mon cul. Gégé continue d'aller et venir en regardant, lui aussi, Diego se déshabiller. Celui-ci, les yeux toujours braqués sur moi, ôte sa chemise, la plie consciencieusement et va la poser dans le salon. Il revient, la bite toujours raide, et, en continuant de me fixer, il déboutonne son pantalon, ôte ses chaussures et ôte son pantalon et son caleçon. Dans ses yeux, je lis « toi, tu vas voir ce que je vais te foutre dans le cul ! ». Maintenant complètement à poil, la bite raide, tendue à l'horizontale, il plie aussi soigneusement ses vêtements et va les déposer je ne sais où dans le salon. Il revient, s'approche de nous, sa quéquette fermement serrée dans sa main, se place à côté de Gégé et pose son autre main sur mon genou:

- Vas-y, passe-le moi !


Lui, jusqu'ici si posé, a dit ça mâchoire contractée, avec une espèce de violence à peine contenue. Gégé, un sourire mi narquois mi sadique au coin de la bouche, me fout encore deux ou trois coups de bite, puis m'écarte les genoux pour dénouer mes mollets d'autour de son torse. Dans un bruit de mouillé, il extrait précautionneusement sa queue de mon cul et se recule, cédant la place à son pote. Je remets mes jambes en l'air, les cuisses à la verticale. Diego se positionne devant moi, plante son regard dans le mien. Ses yeux me disent « Je vais t'enculer ! Je vais te baiser ! ». Avec les miens, je m'efforce de lui répondre « Oui, encule-moi, baise-moi et féconde-moi ! ». De sa main gauche, il maintient ma cuisse, et de la droite, il guide sa queue. Oh, ça y est, je la sens qui effleure ma rondelle … qui entre doucement dans mon anus … Il lâche son sexe, et, des deux mains, il noue à son tour mes mollets autour de son torse. Et il s'enfonce en moi … lentement, en surveillant mes réactions. Je me cambre, la nuque cassée en arrière, la bouche béante. Je halète, je gémis ! Oh putain, j'aime tellement cet instant où un mec enfonce son sexe en moi ! Là, je pense qu'en me pénétrant, le sien se décalotte, que son gland s'épanouit dans la tiédeur humide de mon rectum. Oh, vas-y, Diego, fais-toi du bien en le frottant dans le velours de mes chairs ! 


- Robert ! Tu veux pas lui mettre un coussin ou un oreiller sous la tête ?


Il est planté au fond de moi et, immobile, il me caresse les cuisses et les hanches en attendant que Robert ramène ce qu'il lui a demandé. Ce n'est pas une caresse de tendresse, c'est la caresse du maquignon qui jauge la qualité de la viande du bestiau qu'il veut acheter. 

- Je veux que tu me regardes pendant que je te baiserai !


Docile, je hoche la tête: « Oui, je te regarderai ». En me tordant le cou, je remarque que Gégé est derrière moi, les fesses appuyées contre l'évier, et qu'il se pétrit la queue. Cricri est entré dans la cuisine quand Robert a passé la porte pour aller dans le salon, et il est en train d'ôter ses tennis, sûrement pour se foutre à poil à son tour. Robert revient du salon avec un gros coussin en mousse qui devait servir d'assise à un fauteuil:

- Ça va, ça, Diego ?

- Ouais. Mets-lui sous la tête.


Je me soulève comme je peux et Robert me glisse l'épais coussin sous les épaules et la tête. Je remarque alors que sa bite tend la toile de son pantalon. Il bande à mort. Au moment où il s'apprête à s'éloigner, je lui attrape la verge. Il s'immobilise et attend. Je le masturbe un peu à travers la toile de son survêt, et, levant les yeux vers lui:

- Déshabille-toi aussi !


Je le lâche et je le suis des yeux jusqu'à ce qu'il disparaisse dans le salon. A son air, je suis sûr qu'il va le faire. Il va aussi se foutre à poil. Cricri, ça y est, il est à poil, et lui aussi, il bande. Rhooo, putain, ils vont me fourrer tous les quatre à tour de rôle ! J'entends Robert qui discute avec Jean-Louis dans le salon, mais je ne comprends pas ce qu'ils disent. 


- Regarde moi, maintenant !


C'est Diego. Entre temps, il a passé ses deux mains sous mes reins, et il m'a un peu soulevé, comme pour me cambrer. Pour son gabarit, il est étonnamment costaud. Je croise mes mains sous ma nuque, et il commence à aller et venir en moi. Chacune de ses pénétrations m'arrache un halètement de plaisir « Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! Aah ! ». Il me fait jouir et ça lui plaît. Je vois ses mâchoires se contracter. Il respire par la bouche entre ses dents serrées. Il baisse les yeux et regarde sa bite entrer et sortir de mon cul. A la manière dont il contemple notre coït, je pense qu'il établit mentalement le lien entre ce que ses yeux voient et les sensations de son gland qui me fouille les entrailles. De temps à autres, il lève les yeux sur moi, et les laisse braqués sur les miens pendant un moment. Ce n'est pas seulement pour vérifier que je le regarde bien me baiser. Non, en même temps, la lueur froide, dédaigneuse, presque méchante de son regard me fait passer un message silencieux: « Il te fait jouir, hein, le Diego ! T'es qu'une paillasse, t'es que de la viande à bites, t'es qu'une vide-couilles ! ». Et il reporte ses yeux sur notre accouplement. Soudain, je sens ses doigts se crisper dans le gras de mes hanches et il se met à aspirer et souffler de plus en plus fort entre ses dents en me postillonnant sur ventre.

- Fffffff ! Putain, j'vais jouir ! Fffffff ! J'vous préviens, les mecs … ffffffff … j'vais lui tirer dans l'cul ! 

 

Ah oui, vas-y ! Féconde-moi ! Il va me remplir de sperme, alors je ne peux réprimer un gémissement d'impatience qui se transforme en un long couinement de plaisir:

« AaaahaaaAAahhAAAaaaahhhaaaAAAhhhaaahhhAAAhhh ! Oui ! Oui ! Oui ! ».


- Ouais ! Vas-y, Diego ! Baise-la, c'te salope ! R'garde-la comme elle aime ça !


C'est encore Gégé, derrière moi.


- Ffffff ! Ouais, mais j'ai pas mis d'capote, les mecs ! Ffffff !

- J'm'en fous ! Vas-y, jute lui dans l'fion ! Moi aussi, j'vais lui tirer dans l'cul !

- Fffffff ! Rââââhhhh, putain ! Ffffff ! Ffff ! Ffff ! Ffff ! Ffff …


Ça y est, je crois qu'il jouit ! J'entends de plus en plus de bruits mouillés du côté de mon cul. Sa bite doit être en train de me répandre sa semence dans le ventre et de la touiller. Ah oui ! Ah oui ! Ah oui ! J'imagine son gland qui déverse des jets de sperme dans mon ventre. Les abdominaux contractés, il redouble de coups de bite, les yeux braqués sur mon entrejambe. Enfin, essoufflé, il ralentit, desserre les mâchoires et me regarde en continuant à aller et venir lentement:

- J't'ai baisé ! J't'ai tiré dans l'cul !

- Oh oui, je sais.

- Ça t'plaît, hein …

- Ah oui !

- Faut que t'ailles te laver l'cul, maintenant.


Je me tords de nouveau le cou pour regarder Gégé:

- Gégé, faut que j'aille me laver le cul ?


Il décolle ses fesses du bord de l'évier d'où il assistait au spectacle. Il bande toujours, son gland bizarre est tout rouge et tout gonflé:

- Nan.

- Tu vas me baiser dans la jute de Diego ?

- Ouais. J'm'en fous.


Ah, tant mieux ! Je n'ai pas envie de casser l'ambiance en allant me laver entre deux coïts. J'ai envie qu'ils me baisent tous les quatre à la chaîne, qu'ils me remplissent de sperme. Je me tourne vers la porte de communication avec le salon. Robert s'est aussi mis à poil et s'est de nouveau adossé au mur. Il serre fermement sa queue et fait aller lentement sa main sur sa verge. Cricri, lui aussi à poil, se tripote, adossé au chambranle de la porte. Et dans l'encadrement de la porte … Jean-Louis ! La curiosité a été la plus forte, et il est venu voir ce qui se passe. Instinctivement, je baisse les yeux sur son bas-ventre. Mais je ne vois pas si il bande, lui aussi. En tout cas, il ne se tripote pas. Diego continue d'aller et venir mécaniquement en moi. Je lance à Robert et Cricri:

- Et vous, là ? Vous aussi, vous voudrez bien me baiser dans la jute de votre pote ? 


Robert:

- Moi aussi, j'm'en fous !


Cricri, hilare, hoche la tête frénétiquement « Oui, oui, j'te baiserai aussi comme ça ! »


Yessss ! Ils vont m'inséminer tous les quatre à la chaîne ! Ça m'excite et ça me touche aussi, d'une certaine façon. Voilà des mecs dont l'essentiel de la sexualité, jusqu'à présent, consistait en branlettes, et qui, dans la même journée, non seulement se voient offrir spontanément et gracieusement de baiser à volonté un travelo, mais, en plus, tombent sans aucune réticence ni retenue dans la dépravation la plus obscène, la plus immorale, la plus bestiale. Parce qu'il faut bien reconnaître qu'accepter de tremper sa bite dans le sperme d'autres mecs n'est sans doute pas évident, quand bien même il s'agirait de copains. Bien des queutards expérimentés s'y refuseraient sans doute, par dégoût ou par précaution. Ça en dit long sur l'état d'excitation de ces quatre paumés. Franchement, je n'en espérait pas tant de leur part. 


Ah, putain ! Il y a deux jours, c'est une trentaine de mecs à poil que j'avais à ma disposition pour me faire féconder, mais ces quatre là, aujourd'hui, je ne sais pas pourquoi, ça me plaît tout autant ! Avant-hier, je ne connaissais pas davantage la trentaine d'étalons venus me baiser, mais c'était un truc prévu, programmé, organisé. Alors qu'aujourd'hui, Robert mis à part, les trois autres, c'est vraiment une rencontre de hasard, imprévue, inattendue, inespérée, et ça m'excite !  


- Bon, alors, venez ! Allez, Robert, viens me baiser.


Diego se retire lentement pendant que Robert approche. Je sens quelque chose de tiède s'écouler entre mes fesses. Diego "me passe" à Robert comme Gégé m'avait "passé" à Diego. A la façon dont il me regarde et me sourit, je me rends compte que Robert n'en revient pas de la situation. Après avoir ronchonné à l'arrivée de Gégé, je crois que maintenant, il est content que la partie de cul ait tourné au gangbang. A quarante ou quarante cinq ans, il vient de perdre son pucelage, et il est en train de se partager un travelo avec des copains, sur sa table de cuisine ! Je l'enserre à son tour avec mes jambes. Tout en me pelotant les cuisses et les hanches, il me pénètre directement et s'enfonce à fond tout de suite. Quand son pubis vient frapper mon périnée, j'entends un bruit mouillé … flaaaatch ! Yess ! Sa queue baigne dans la semence de Diego, et visiblement, à son air ravi, ça lui plaît ! 


Pendant que le gros s'installait, Diego a longé la table et est venu se placer à côté de moi, à hauteur de mon visage. Surpris, je me tourne vers lui. Il passe sa main derrière ma nuque et, d'un même mouvement, il m'attire vers lui et tend son ventre:

- Nettoie-moi la bite !


Il n'a pas complètement débandé et sa bite pend, à demi gonflée. Hhhhmmmm, elle est encore toute luisante du cocktail qu'elle a brassé à l'intérieur de mon cul. Je prends ses couilles au creux de ma main, et j'enfonce sa queue dans ma bouche. Elle a un goût de sperme, de sécrétion anale et de lubrifiant. Alors que je le suce consciencieusement en lui pelotant les boules, je sens la pression ferme mais délicate de sa main sur ma nuque. J'adore ça. Je pose ma main libre sur la sienne et je la caresse, accompagnant, sollicitant son geste de domination. Son sexe dans ma bouche, sa main sur ma nuque alors que le gros Robert s'apprête à se donner du bonheur dans mon cul ... une fois encore, je gémis. Pendant que je fais tourner ma langue autour du gland de Diego, Robert commence à aller et venir. Je suis sûr que, tout en me fourrant, il me regarde sucer son pote. Hhhmmmm, être pris sur cette table par deux mâles en même temps, le cul et le ventre déjà enspermés, quel bonheur ! Je continue de pomper fiévreusement Diego bien après avoir fini de lui nettoyer la bite. Bien sûr pour le plaisir d'avoir son sexe dans la bouche, mais surtout pour celui de sentir l'étreinte de sa main sur ma nuque. Ce geste en dit bien plus que ne pourraient en dire des mots. Ça veut dire « Tu es une bonne fille, tu suces bien », mais surtout « Sois docile et soumets-toi ! », « Tu me suceras aussi longtemps que je le voudrai », « Tu es à moi ! » … ou plutôt « Tu es à NOUS », parce que, avec l'un d'eux dans mon cul et un autre dans ma bouche, j'ai plus le sentiment d'être leur propriété collective que d'appartenir à chacun d'eux à tour de rôle. Le langage de mon corps en raconte aussi très long sur ce que je ressens: ma docilité quand Diego m'a présenté sa bite à nettoyer, la fébrilité de ma fellation, mes petits gémissements qui disent à la fois mon plaisir et ma soumission … Une soudaine fraîcheur sur mon ventre me dit autre chose sur le language de mon corps. Je réalise que je bande. Ma bite doit être en train de baver du fluide d'excitation en quantité, sans doute aidée par la pression de la queue de Robert sur ma prostate !


Moi, ça me va, les mecs, disposez de moi à votre guise, chacun à votre tour ou en même temps. Usez de moi, usez de ma bouche, usez de mes mains, usez de mon cul pour le plaisir de vos bites, jouissez, déversez votre sperme. Simple effet de ma fellation ou de mon évidente soumission, Diego recommence à grossir et durcir dans ma bouche. Ah, putain, si je pouvais le faire jouir encore une fois ! Dans ma gorge, cette fois ! Le voilà qui approche sa main libre de ma bouche, et qui enserre de ses doigts sa verge humide au contact de mes lèvres. La voir entrer et sortir de ma bouche ne lui suffit plus, il faut qu'il touche. Quand je lève les yeux sur lui, il remarque, admiratif:

- Putain ! Alors toi, tu peux dire que t'aimes la bite !


Il glisse son index entre mes lèvres, contre sa bite, comme pour voir quel effet ça fait à son doigt, puis il sort enfin doucement son sexe de ma bouche, me lâche la nuque et s'écarte. Je gémis de déception que ça s'arrête. Je reviens à ce que me fait Robert.


Les mains posées sur mes cuisses, la tête un peu penchée, il va et vient à petits coups en regardant son sexe entrer et sortir de moi. Décidément, ça leur plaît aux mecs, de voir leur bite aller et venir dans mon cul. De temps en temps, il me regarde et me sourit, presque timidement, comme s'il se sentait gêné de sa réaction de curiosité.

- Ça va, Robert ? T'es bien dans mon cul ?

- Rhô ouais !

- Moi aussi, ça me plaît que tu m'encules.

 

 

Les yeux écarquillés, il déglutit bruyamment et se passe sans arrêt la langue sur les lèvres. Les mains crispées sur mes cuisses, il me fout des coups de queue de plus en plus amples, toujours en regardant sa bite disparaître et réapparaître. Evidemment, après avoir tiré un coup deux fois dans la matinée, il tient le coup plus longtemps. Mais je sens que son excitation monte en flèche. Je voudrais bien qu'il me foute la même dose que celle qu'il s'est crachée sur le ventre ce matin. Je vois Cricri approcher et se positionner de façon à mieux voir notre accouplement. La mâchoire pendante, les yeux exorbités braqués sur mon cul, il se masturbe vigoureusement. 

- Doucement, Cricri. Prends pas ton pied avant de m'avoir baisé. Garde ça pour moi.


Il me fixe, semble réfléchir, comme s'il donnait à son cerveau le temps de comprendre ce que je lui ai dit. Puis il hoche la tête, "OK, compris", et il ralentit sa masturbation. 


- Haaaa ! Haaaaa ! Haaaa ! Haaaaa ! Haaaa !


C'est Robert qui se met à haleter au rythme de ses coups de queue de plus en plus violents. Son ventre claque contre l'arrière de mes cuisses " flaaap ! flaaap ! flaaap ! flaaap ! flaaap ! ". Il va jouir ! Son excitation se communique à moi, et je me mets de nouveau à haleter. A son tour, il va se répandre dans mon ventre !


- Haaaaaaaaaaaaaaaaa ! Haaa ! Haaaaaaaaaaaaaaaaaa !


Ça y est, il jouit ! Son éjaculation est si intense qu'il se plie en avant, les yeux grands ouverts, un filet de salive s'échappant de ses lèvres. Il est entièrement concentré sur cette explosion de jouissance qui lui irradie le sexe, le bas ventre et la prostate. Il n'est plus que cette queue qui éjacule son plaisir dans un corps chaud, humide et vivant. Ça dure quelques secondes, puis il se redresse, à bout de souffle et le corps secoué de spasmes. Quand ça se calme, il s'essuie la bouche et se met à rire:

- Rhâââ ! Puu…taiiin ! Tu … je … 


Il me regarde et secoue la tête comme s'il était sidéré de ce qui vient de lui arriver. Je croise les mains sous ma nuque et je lui souris:

- C'était bien, on dirait …


Il reprend doucement ses va et vient en me caressant mécaniquement les cuisses. Il me regarde et secoue encore la tête:

- Rhââ, putain, oui, c'était bien ! Putain … t'es une … t'es une vraie … Putain, ce cul !


Cricri s'est encore rapproché. Visiblement, il attend son tour, il est prêt à prendre la place de Robert, et ça urge ! Je balance entre l'envie de sentir Robert continuer de jouir de son sexe dans mon cul et la nécessité d'accueillir rapidement Cricri pour qu'il se vide en moi.

- T'as fini, Robert ?

- Rhââ ouais !

- Bon, alors, s'il te plaît, laisse la place à Cricri. Là, je sens qu'il va répandre sa jute par terre. 


Il regarde Cricri et hoche la tête "OK". Je dénoue mes jambes d'autour de lui, et:

- Allez, Cricri, à toi ! 


Cricri se précipite pendant que Robert s'écarte. Je n'ai pas le temps de passer mes mollets derrière lui. Il est entré directement en moi et, immédiatement, il jouit en gémissant ! Il était plus que temps ! Instinctivement, le gamin a saisi l'arrière de mes genoux et il maintient mes cuisses à la verticale. Il gémit en me donnant des petits coups de bite dans le cul. Son regard stupéfait passe alternativement de mon visage à notre coït, comme s'il était abasourdi de ce qu'il est en train de faire . Il pousse des petits « Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! ».


- C'est bien, mon Cricri ! Qu'est-ce tu lui fous dans l'cul, à c'te salope !


Gégé, évidemment ! Je tourne la tête. Il a quitté l'évier où il appuyait ses fesses, et il s'approche de moi, comme Diego, il y a un instant. Il va vouloir que je le suce. En effet:

- Tiens, toi ! Suce-moi la queue !


Un main qui enserre sa bite sous les couilles et l'autre qui empoigne sa verge, il tend son ventre vers moi, un rictus sur le visage. Son gland est tellement gonflé de sang qu'il est légèrement bombé. Comme ça, il ressemble encore plus à un champignon. Celui-là, dans l'état d'excitation où il est, il va sûrement jouir au moindre contact ! Il n'aura sans doute pas le temps de venir me saillir et me remplir le cul. Mais ça ne fait rien, qu'il me crache sa jute dans la gorge ! Au moment où j'ouvre la bouche pour ingurgiter cette chose, je sens Cricri commencer à se retirer. Il a fini de jouir. Alors, je me tourne précipitamment vers lui:

- Reste dedans Cricri !


Trop tard, sa bite est sortie dans un bruit de gargouillis. J'insiste:

- Remets-la moi, ta queue, Cricri. Reste au chaud pendant que je suce Gégé.


Il ricane et je le devine qui prend sa bite dans la main et qui la guide vers mon cul. Voilà, il est dedans, sans doute un peu mou, mais ça ne fait rien, il recommence même à aller et venir.

- Ouais, c'est bien comme ça, Cricri. Merci.


Je me tourne vers Gégé:

- Je vais te sucer à fond, Gégé. Je veux que tu me jutes dans la bouche.

- Nan nan nan ! Tu m'suces, mais après, j'vais te tirer dans l'cul !


On verra, mec, si je n'arrive pas à te faire jouir dans ma gorge. Je bâille et j'enfourne cette chose. Putain, quel drôle d'engin ! Je n'ai pas besoin de bouger, c'est lui qui, aussitôt, entreprends de me baiser la bouche. Je n'ai finalement qu'à me concentrer sur ce qui se passe, me contenter d'augmenter et réduire la pression de ma langue sur son gland et laisser Gégé décider du rythme et de la profondeur de ses va et vient. Je sens encore son gland se courber quand il l'enfonce, mais comme il est plus gonflé et plus dur que tout à l'heure, il se replie moins. Je le sens aussi se retourner un peu quand il repart en arrière, mais surtout, je sens sa couronne frotter, et presque racler mon palais et ma langue ! Putain, à ce régime, si il ne prend pas son pied vite fait …


Mais non. Il tient le coup, l'animal ! A lui aussi, je passe ma main sous ses couilles et je prends ses petites olives dans ma paume. 

- Tourne-le sur le côté, Cricri !

- Hein ?

- Tourne-le, j'te dis ! Qu'y soye face à moi … pour que j'y bourre sa gueule !


Je vois ce qu'il veut. Alors, de moi-même, je bascule mes jambes de son côté tout en tournant mon bassin et mon torse face à lui. Gégé:

- Ouais, comme ça. R'tiens-lui les jambes, Cricri ! Qu'elles tombent pas de la table.

- …

- Et refous-lui ta bite. Y d'mande que ça !


Je sens que Cricri me remet sa bite, qui était sortie pendant la manœuvre. On dirait qu'il s'est un peu raidi. Il pose ses deux main sur ma cuisse et se remet à aller et venir. De son côté, Gégé me prend la tête à deux mains, une sur le dessus du crâne, et l'autre sous le menton:

- Tu veux d'la bite ? J'vais t'en donner, moi, d'la bite !


Et c'est un vrai festival !  Il me bourre littéralement la gueule, comme il dit, alternant des grands coups de reins ponctués de « Tiens ! Tiens ! Tiens ! » dents serrées, et des va et vient plus lents, plus doux, presque lascifs, accompagnés de « C'est bon, comme ça, hein ? Tu l'aimes, la bite à Gégé, hein ? ». Du coin de l'œil, j'aperçois Diego et Robert qui se sont placés un peu en retrait de Gégé, de façon à ne rien manquer de ce coït buccal. Je remarque que si elles ne sont plus raides, leurs bites pendent quand même, encore un peu gonflées, comme si ce spectacle les titillait pas mal. L'autre est tout content de leur montrer de quoi il est capable. Soudain, la pression de ses mains sur mon visage se fait plus intense, il m'enfonce brutalement sa queue au fond de la gorge et il s'immobilise, essoufflé, en poussant des grognements. Putain, je l'ai eu, il va jouir ! Je sens son gland contre ma luette, presque contre mes amygdales ! 


Allez ! Vas-y, jouis, putain ! Mais non, pas le moindre spasme. Ses couilles ne remontent même pas, comme quand elles s'apprêtent à lâcher leur semence. Et il se recule lentement:

- Ha ha ! Tu y'as cru, hein !


Et ça recommence: alternance de "boum ! boum ! boum ! " «Tiens ! Tiens ! Tiens ! », et de phases plus lentes. Je commence à avoir une crampe dans la mâchoire et ma salive s'écoule toute seule sur ma joue et sur le coussin sous ma tête. Et soudain:

- Casse-toi, Cricri ! J'vais y foutre ma bite dans l'cul !


Il extrait sa bite de ma bouche d'un seul coup, et, en la pressant dans sa main, il se précipite vers mon cul. Cricri a juste le temps de dégager. Au passage, Gégé passe son autre main sous mes genoux et me fait pivoter pour me remettre sur le dos. De moi-même, je relève mes jambes et le voilà contre moi. Lubrifié comme je suis par les spermes de Diego, Robert et Cricri, il n'a aucun mal à introduire d'un seul coup son espèce de piston dans mon fourreau. Il s'enfonce en moi d'un grand coup de reins, et reste plaqué à moi, tenant mes jambes écartées, ses deux mains sous mes genoux. Tête un peu rejetée en arrière, bouche grande ouverte, yeux révulsés, il jouit en râlant:

- Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaaaaaaaaaaah !


Voilà, c'est fini. Il redresse sa tête, ferme sa bouche, déglutit, rouvre les yeux, me donne quelques petits coups de bite, et:

- Ah, putain ! Quel panard ! Alors ? Qu'est-ce que j't'avais dit ? J't'ai pas tiré dans l'cul ?

- Si. Viens là. Je vais te nettoyer la queue, comme à Diego.

- Putain, t'es vraiment la plus grosse salope que j'ai …


Il s'arrête là. Des salopes, il n'a pas du en baiser tant que ça. J'insiste:

- Allez, viens !


Il s'extrait:

- Nan, nan. Ça va comme ça. Tu touches plus à ma bite.


Il est déjà en train de refourrer son gros gland comme il peut dans son prépuce. Il ne va pas se laver ? Les quatre se regardent en souriant. Je me redresse et je m'appuie sur les coudes, jambes pendantes. Je sens une mixture tiède s'écouler de mon cul, et je l'entends tomber en grosses gouttes visqueuses sur le carrelage. Cricri est déjà en train de récupérer ses vêtements éparpillés dans la cuisine. Diego se dirige vers le salon, suivi de Robert et de Gégé. Fin de séance ? Je m'apprête à descendre de la table quand je m'aperçois que Jean-Louis, s'effaçant pour laisser les autres passer dans le salon, me regarde intensément. Une main appuyée au chambranle de la porte de communication, il me demande:

- Ça va ?

- Oui. 

- Ils t'ont tous …

- Baisé ? Oui. Tu as regardé ?

- Euh … un peu.

- Tu veux ?

- Hein ?

- Tu veux aussi me baiser ?


Il baisse les yeux. Mais il ne dit pas non, comme tout à l'heure. Il en a envie. Aussitôt, par réflexe, je baisse les yeux sur son bas-ventre. Rien de spectaculaire. Il bande, ou il ne bande pas ? Je lui lance:

- Viens, Jean-Louis. Approche.


Il hésite et entre dans la cuisine, mais reste à bonne distance.

- Approche, Jean-Louis. Je ne vais pas te violer.


Il fait encore deux pas.

- Alors, tu as envie de me baiser ?


Il hoche la tête: oui, il a envie de me baiser.

- Et ben, viens, alors. Je suis ici pour ça, me faire baiser. Profites-en. Tu veux aussi me baiser ici ?

- Oui, mais pas …


Il jette des coups d'œil inquiets vers la porte du salon. Compris ! Il ne veut pas faire ça devant les autres.

- Vas-y, ferme la porte.


Il pousse la porte de communication, et, aussitôt, Robert et Gégé se pointent avant qu'il ait eu le temps de la fermer complètement. Robert:

- Qu'est-ce tu fous, mec ?

- Je …


Gégé:

- Wo, le frangin ! Tu veux te l'faire aussi ?


Et, s'adressant à moi en repoussant la porte:

- Tu vas pas te laisser baiser par ce taré ? ! ? ! 

- Si. Je vais me laisser baiser par ton frangin. Vous y avez tous eu droit, et j'en ai envie.

- Ouais, ben on r'garde, alors.

- Non.


Je sens que Jean-Louis préférerait renoncer plutôt que d'affronter Gégé. Alors je descends de la table (ça me coule, tiède et gluant, le long des cuisses), je repousse Gégé et je ferme la porte:

- Tu nous fous la paix, Gégé ! Vu ?


Il a un rictus de dépit, mais comme il me sait plus costaud que lui, il n'insiste pas. Pour plus de tranquillité, je chope une chaise et je la coince sous la poignée. C'est symbolique, mais je pense que ça le découragera d'insister. Je traverse la cuisine pour fermer l'autre porte, qui donne sur le couloir. Je m'apprête à la bloquer de la même façon, mais celle-ci est dotée d'un loquet. Ça ira. Dans le salon, j'entends des éclats de voix. Je ne comprends pas ce qui se dit, mais je reconnais les intonations de Gégé et le bourdonnement plus sourd de Diego. J'ai l'impression que le premier s'en prend à nous et que l'autre essaie de le calmer. Je m'approche de Jean-Louis et sans avertissement, je lui colle mes deux mains sur le bas ventre. Surpris, il a un mouvement de recul, mais je me colle à lui. Oui, on dirait qu'il a un début d'érection. 

- Tu veux me baiser comme eux, sur le dos ?

- Euh, non. Je veux pas que tu me regardes.

- Je peux fermer les yeux.

- Non, non. Dans … dans l'autre sens …


De son index dressé, il dessine un cercle. Vu: 

- Tu veux me prendre debout, en levrette ?

- Oui, de… debout, par derrière.

- Tu veux que j'aille me laver le cul ?

- Nan. 

- Ça te dérange pas de me baiser dans le … dans le sperme des autres ?


Il s'écarte un peu, fouille dans sa poche et en sort une pochette de capote qu'il m'exhibe fièrement:

- Je … j'ai fouillé dans ton sac. Cricri m'avait dit que t'avais des capotes. Je m'excuse …

- Tu as bien fait. Tu as déjà mis une capote ? Tu veux que je te la mette ?

- Non, je sais comment on fait.

- Bon, déshabille-toi.

- Je … me regarde pas, s'il te plaît. Mets-toi sur la table, maintenant.

- Comme tu veux.


Je pose mes deux mains sur le bord du formica, j'écarte les jambes, je me cambre et j'attends. Dans le miroir au-dessus de l'évier, je le vois jusqu'au niveau des épaules. Il baisse la tête et semble s'affairer. Il doit être en train de déballer sa bite, mais apparemment, il garde son pantalon. J'aurais bien aimé la voir, cette bite, quand même. Mais je ne veux pas le gêner. Je l'entends déchirer la pochette de plastique. Il la pose, vide, sur la table. Encore cinq secondes, et je le vois se redresser dans le miroir. Visiblement, il regarde mon cul, embarrassé:

- Je … comment …

- Tu veux que je reste comme ça, ou tu préfères que je me penche davantage ?

- Nan, comme ça, c'est bien.

- Alors, vas-y, mets-moi ta bite dans le cul, et après, prends-moi par les hanches.

- Ah, OK.


Je sens quelque chose tâtonner aux abords de ma rondelle. Je me cambre autant que je peux. Ah, voilà, il entre. Très lentement. Une main sur ma hanche gauche. Une main sur ma hanche droite. Il halète. Déjà ! Je sens que ça va aller très très vite. D'un seul coup, il me pénètre en se collant à moi, m'enserre de ses bras et me colle … sa joue contre la nuque:

- Aaah ! Aaah ! Aah ! Aaaaaaaaaaaaaaaah !


Il a joui. Il déglutit et respire bruyamment. Je sens sa poitrine bouger contre mon dos au rythme de sa respiration. Putain, je me suis fait niquer par les trois frangins ! Je lui caresse les avant bras, croisés sur mon torse:

- Ça va, mec ?

- Ouiihhh !


Seulement un souffle, son "oui". Nous restons un moment comme ça. Puis il desserre son étreinte et s'écarte de moi en laissant sa bite sortir toute seule.

- Attends ! Te retourne pas tout de suite.


Ah bon ! Qu'est-ce qu'il faut ?


- C'est bon, vas-y.


Je me retourne. Il a déjà remballé sa bite, et il tient sa capote en me regardant d'un air interrogatif. Il ne sait pas quoi en faire. Je la lui prends des mains:

- Tu as déjà remballé ta bite ! C'est frustrant, j'aime bien voir par quoi je me fais baiser. Montre-la moi !

- Non.

- Si ! Tu m'encules et tu tires ton coup dans mon cul, alors tu me montres ta bite !


Je pose la capote sur la table et je m'attaque à sa braguette. Résigné, il se laisse faire, mais détourne le regard. Je descends son zip, j'écarte les pans de son pantalon – il s'empresse de les agripper pour l'empêcher de tomber sur ses genoux -, et je baisse la ceinture de son caleçon sous son paquet. Pas mal ! Sa bite a un air de ressemblance avec celle de Cricri. Elle est encore un peu gonflée. Je m'accroupis, j'approche mon visage et je pose un baiser sur son prépuce:

- Mffff ! Merci, toi, la bite à Jean-Louis.


Et je prends son gland dans ma bouche. Hhhhhmmm ! Je sens qu'il est surpris, qu'il a un mouvement réflexe de recul, mais il se laisse faire. Je joue un peu à tournicoter ma langue autour de son gland, puis je le recrache et je me relève. Sa bite dans ma main, je le tripote un peu, et:

- Elle me plaît bien, ta bite, Jean-Louis. J'aurais bien aimé te tailler une pipe.


Il ne sait pas quoi répondre, détourne le regard. Je le lâche et il s'empresse de se rhabiller. Je débloque les deux portes de la cuisine. Dans le salon, il n'y a plus que les trois adultes. Cricri est parti. Robert et Diego sont vautrés dans la banquette et je suis accueilli par Gégé qui attendait, debout derrière la porte:

- Alors ! Ça y est, t'es content, il t'a niqué ?

- Oui.

- Ça m'étonnerait, il est impuissant !


Je pense qu'il dit ça par pure méchanceté, mais je lui exhibe quand même sous le nez la capote avec sa dose de sperme:

- No comment, hein, Gégé !

- Ouais, ben lui aussi, il était puceau.

 

Je me tourne vers Jean-Louis, interrogatif:

- T'étais puceau ?

 

Il baisse le nez, ne répond pas. C'est clair, lui aussi était puceau ! Ah la vache, j'ai dépucelé trois mecs aujourd'hui ! J'ai le pucelage de trois mecs dans le cul ! Gégé tousse et ricane:

- Tu vois ? Il était puceau, j'te dis ! Bon, c'est pas tout ça. Avec Diego et Robert, on en a parlé: quand est-ce tu reviens te faire baiser ?

- Oh la la ! J'en sais rien !

- Pour nous, hein, c'est quand tu veux ! Tu peux même venir habiter chez Robert. Il est d'accord.

- Ça, c'est pas possible. 

- Ben pourquoi ? Tu s'rais not' p'tite femme, tu f'rais la bouffe, la vaisselle, le ménage, t'as l'air d'aimer ça. Et nous, en échange, on t'niquerait.


Je ne peux pas lui dire que c'est une de mes fantasmes, encore inassouvi. Vivre avec trois, quatre, cinq mecs, ou plus, et être à leur disposition vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept pour qu'ils me tirent quand ils en ont envie. Mais pas avec ces cinq là ! Ces cinq là, il est possible que je revienne me les taper le jour où je serai en manque, mais c'est tout. A la rigueur, peut-être même qu'un de ces jours, je les emmènerai dans le jardin public où j'ai rencontré Robert, pour qu'ils me baisent dans leur taillis de troënes. Gégé m'a lancé sa proposition sur son ton habituel de débiteur de conneries, mais Robert et Diego me regardent intensément en hochant la tête, comme pour approuver et valider ce que m'a dit leur pote. Ils attendent vraiment que je réponde à cette proposition ! Jean-Louis aussi, adossé au mur.

- Non, les mecs ! Vous êtes gentils, mais ne rêvez pas. Je reviendrai peut-être un de ces jours pour que vous tiriez encore un coup, mais habiter ici, c'est niet !

- C'est vrai ? Tu r'viendrais ?

- Peut-être. Je sais pas. Si un jour je suis en manque, pourquoi pas …


Ça a l'air de les satisfaire. 

- Bon, les mecs, c'est pas que je m'ennuie, mais je vais vous laisser.


Robert:

- Tu … tu veux pas monter à la salle d'eau ?

- Non. C'est gentil. Merci.

- Mais … t'es … plein de …

- Oui, je sais. Ça me coule sur les cuisses, même. Tenez, regardez !


Je glisse ma main entre mes cuisses et je la leur montre, luisante de sperme.

- Mais j'aime bien. Je vais rentrer comme ça.


Ils sont sciés. Je me lèche les doigts, puis je récupère ma jupe sur le dossier de chaise où je l'avais mise à sécher, et je la remets. Je cherche mon string des yeux. Il me semble que, ce matin, je l'avais enlevé là, au pied de la banquette:

- Vous n'avez pas vu mon string ?


Ils se regardent en se marrant. J'insiste:

- Vous savez où il est ?


C'est plus fort que Gégé, il montre Robert du doigt:

- C'est lui ! Il te l'a piqué et il l'a foutu dans sa poche. Il nous l'a montré, tout à l'heure !


Robert rougit, essaie de nier, mais, devant la poilade de ses potes, il finit par fouiller dans sa poche:

- Tiens ! Le v'là !

- Garde-le, Robert. Je te le donne, j'en ai plein d'autres.

- Ah bon ! OK. Ben merci, alors.

- Bon, ben salut, les mecs. J'ai été ravi. Je vous laisse la vaisselle et le rangement, hein. J'ai passé une très bonne journée. Merci à vous.


Ils n'en reviennent pas que je les remercie. Je leur serre la main. Robert et Diego se lèvent de la banquette, et tous les quatre me suivent jusqu'à la porte du pavillon. Je tire un peu sur le bas de ma jupe, pour cacher ma bite autant que possible, je traverse le bout de jardin, je sors et je me dirige vers ma voiture. Ce n'est qu'une fois assis au volant que j'aperçois, derrière la grille d'un pavillon de l'autre côté de la rue, la voisine au chien qui m'avait déjà surpris ce matin. Robert va encore devoir trouver une explication fumeuse. Je démarre et je donne une série de petits coups de klaxon à l'intention de mes quatre lascars agglutinés sur le perron et qui me regardent m'éloigner, hilares.


En chemin, je sens la mixture de mes donneurs de sperme s'écouler sous moi, souillant et ma jupe et mon siège. 


Au moment où j'arrive dans mon village, je vois la voiture de Yolaine, ma voisine, s'engager devant moi, dans notre rue. Elle doit rentrer du travail. Décidément. On est parfois dix ou quinze jours sans se croiser, et là, deux fois coup sur coup à deux jours d'intervalle ! On va arriver en même temps dans notre cour. Cette fois, contrairement à samedi, pas besoin de réfléchir si je me montre à elle en travelo, ou pas. C'est fait, elle est au courant. La question, c'est « Aujourd'hui, va-t-elle vouloir que je lui bouffe la chatte ? ». Nous entrons dans la cour l'un derrière l'autre. Elle se gare devant sa porte. Je me gare à côté d'elle. Je descends et, comme avant hier, j'ouvre ma portière arrière pour récupérer mon baise-en-ville, lui montrant encore une fois mon cul. Quand je me retourne, elle me jette un coup d'œil, et reste dans sa voiture, faisant je ne sais quoi sur le siège passager à côté d'elle. J'attends. Je suis sûr qu'elle fait semblant et attend que je rentre chez moi. Elle veut m'éviter. Si tu veux jouer à ça, ma cocotte, très bien. Je m'approche de sa voiture, côté passager, et je frappe à sa vitre. Elle fait semblant de ne pas m'avoir remarqué. J'insiste, plus fortement. Elle lève es yeux. Je lui fais signe de baisser sa vitre. Excédée, elle actionne la commande. 

- Bonsoir, voisine.

- Oui, bonsoir.

- Vous allez bien ?

- Oui.

- Moi aussi, merci.


Elle hausse les épaules:

- Vous voulez quoi ?

- Cinq.


Je lui montre ma main gauche, paume tournée vers elle, doigts écartés.

- Quoi, « cinq » !

- Cinq mecs ! Je me suis fait cinq mecs, aujourd'hui. J'en reviens. C'était vachement bien …


Elle actionne son lève-vitre électrique pour refermer. Je me dirige vers ma porte. Son petit manège pour m'éviter étant devenu inutile, elle descend à son tour. Quand je me retourne, elle est devant sa porte et me regarde, comme si elle s'apprêtait à me dire quelque chose. Et puis elle semble se raviser, et rentre chez elle. Et moi chez moi.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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