Partager l'article ! Premières fois. Viol (première partie): Avertissement. Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles &nb ...
Le blog de Marin Cathare
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
8 septembre.
Je me sens vraiment comme une femelle en manque de mâle. Allongé en chien de fusil dans cette chambre d'hôtel, une jambe repliée, le cul en l'air, les reins cambrés et la tête au creux de mon bras gauche, j'ai glissé mon bras droit sous mon ventre et je me masturbe en rêvassant qu'un mec me fourrage.
J'ai loué cette chambre dans l'espoir de je ne sais quelle rencontre. Ce matin, pris d'une furieuse envie de queue, je suis parti traîner sur cette autoroute où, quelques semaines plus tôt, j'ai rencontré mes deux routiers slovaques. Ayant une furieuse envie de me faire baiser à n'importe quel prix, je me suis fait une grosse toilette avant de partir… le genre de toilette qui permette à qui voudrait me pénétrer de ne pas se mettre dans la … Et je me suis équipé de la lingerie et de la tenue qui me donnent l'air le plus salope.
Depuis que je me suis fait baiser au bord de cette autoroute par deux ... non, par trois routiers arrêtés à la volée, je n'ai plus qu'une idée en tête, me faire encore baiser par des inconnus ! Il y a bien eu cet épisode avec Steve, mais ça n'est pas pareil. Oh, je ne le connaissais pas vraiment plus que mes trois lascars du bord de l'autoroute, mais c'était ... organisé, préparé, et je n'avais pas vraiment l'impression d'avoir à faire à un inconnu.
A quelques kilomètres de l'endroit où mes deux slovaques m'ont baisé, j'ai emprunté une sortie qui conduit à une zone d'entrepôts et d'usines et à un hôtel low cost au milieu d'un immense parking. Avec une cinquantaine de chambres, l'endroit doit être fréquenté par des gens qui ont à faire dans cette zone industrielle. Une partie du parking est réservée aux poids lourds. J'en ai fait le tour au ralenti dans l'espoir d'y reconnaître un certain camion slovaque … En vain. Il y a bien une dizaine de poids lourds immatriculés à l'étranger, mais les cabines sont soit vides, soit aux rideaux tirés derrière les pare-brise. En cette fin de matinée, les routiers seraient encore en train de dormir ? Plus près de l'hôtel, quelques utilitaires et camionnettes commerciales (techniciens, ouvriers ?) côtoient deux ou trois berlines (commerciaux, représentants ?).
L'hôtel n'est pas complet, et on m'a loué une chambre sans difficulté. J'en ai pris possession, et, par précaution, j'ai refait une toilette complète, avant d'enfiler ma tenue préférée: haut près du corps, minijupe à ras le bonbon, porte-jarretelles avec bas et micro string, le tout rouge vif …
Par-dessus, j'ai remis des vêtements masculins pour traverser l'hôtel et regagner ma voiture. J'avais résolu de draguer et d'allumer un mec, le premier mec dont je pourrais accrocher le regard, de l'exciter et de le ramener à l'hôtel pour qu'il me baise … A vrai dire, j'aimerais mieux trouver à me faire sauter en extérieur, dans la nature ou sur ce parking, par exemple, mais la chambre d'hôtel, ce serait un recours au cas où je tomberais sur un type un peu coincé. J'ai donc commencé par vérifier sur le parking de l'hôtel si je ne trouverais pas un mec qui ferait l'affaire: routier, ouvrier, représentant, peu importe... Garé entre deux poids lourds, j'ai ôté mes vêtements masculins et, minijupe retroussée en haut des cuisses, string bien visible, j'ai refait lentement le tour des lieux pour essayer de me faire repérer … Mais, personne chez les routiers, ni parmi les autres voitures garées là. Je suis donc parti en chasse dans la zone industrielle. Là aussi, je fais chou blanc: tout le monde est au boulot à l'intérieur des entrepôts.
Ensuite, je traîne longuement dans la région. Je roule jusqu'à cette petite ville en bord de Marne. Là, je remarque un jardin public qui borde la rivière. Des couples, des femmes avec enfants, un ou deux petits vieux se promènent … Il y a aussi trois ou quatre types seuls au comportement … intéressant. Je me gare tout près et j'observe leur manège. Ils piétinent, vont et viennent dans l'ombre des tilleuls, regardent autour d'eux, comme s'ils attendaient je ne sais quoi. Ça ne tarde pas: l'un d'eux me repère, s'approche et fait mine de passer à côté de ma voiture … La cinquantaine très bedonnante, dans un survêtement froissé et sale, les cheveux gras, il n'est vraiment pas appétissant. Arrivé au niveau de ma portière, son regard plonge dans l'habitacle et il découvre ma tenue: ma jupe, relevée à l'angle de mes cuisses, révèle le haut de mes bas, les rubans de mon porte-jarretelles et mon string en dentelle. Visiblement, c'est un choc pour lui, il n'en croit pas ses yeux. Il s'arrête, hésite, se baisse un peu pour jeter un coup d'œil vers moi. Le regard rivé sur mon entrejambe, il se penche vers ma vitre ouverte:
- Vous … vous cherchez ... quelque chose ?
- Oui.
- Vous … vous cherchez ... vous cherchez un … un mec ?
- On peut dire ça …
Il était vraisemblablement, lui aussi, en quête d'une aventure, tout comme les autres types qui traînent seuls dans ce parc, mais il ne devait pas s'attendre à tomber sur un trav en tenue de pute à la recherche d'un mec, comme il dit. Sous le coup de l'émotion, il déglutit bruyamment.
- Bon, ben, si … si vous voulez, on peut … Vous voulez un mec pour faire quoi ?
- D'après toi, si je cherche un mec, c'est pour faire quoi ?
Il a un aspect peu ragoûtant, mais je ne veux pas le jeter directement, avant d'avoir … examiné ses arguments … on ne sait jamais ce qui peut se dissimuler dans un pantalon. S'il avait une bite exceptionnelle, je pourrais toujours l'emmener à l'hôtel, lui faire prendre une douche et …
- Mais, vous faites ça pour … pour de l'argent ?
- Non, pour le plaisir …
Dans un geste réflexe, il s'est empoigné l'entrejambe. Il anticipe sans doute une fin de journée intéressante …
- Mais, je … je pourrais … je peux …
- Tu peux quoi ?
- Ben … vous voulez lui faire quoi, exactement au mec ?
- Je voudrais le sucer et je voudrais qu'il me baise …
Il est scié ! Il devait espérer une partie de touche-pipi, au mieux une branlette, et voilà que je lui parle de pipe et de baise ! Il s'accroupit contre ma portière, les yeux toujours rivés sur le haut de mes cuisses. Il tend une main vers l'habitacle:
- Je … je peux ?
- Tu peux quoi ?
- Je peux vous … toucher ?
J'hésite un peu, puis:
- Vas-y, touche …
Sa main aux ongles sales sur ma cuisse. Il hésite, la glisse entre mes jambes. Je les écarte pour faciliter son exploration. Ses doigts sur mon string. Il commence à respirer bruyamment:
- Je peux vous l'enlever ?
- L'enlever, non. Le descendre, oui …
Maladroitement, il remonte un peu plus ma jupe, passe ses doigts dans la ceinture de mon string. Je soulève mon bassin de mon siège pour lui faciliter l'opération. Tremblant, il libère ma queue et mes couilles. Je descends mon string à mi-cuisses. Il pose ses doigts sur ma bite. De nouveau, il déglutit bruyamment:
- Alors, vous voulez … vous voulez bien me sucer ? Dans le parc, là, il y a un buisson de troènes, on sera tranquilles …
Il m'effleure délicatement la queue, et je dois dire que sa caresse, ajoutée à la situation, en bordure de ce parc, et pratiquement à la vue des gens, commencent à me faire de l'effet: je me mets à bander … Aller le sucer dans ce jardin public ? Dans ma tenue de pute, je ne ferais pas trois pas en dehors de ma voiture sans déclencher une émeute ! Et puis, il est vraiment crade !
- Non, pas dans ce parc, en me voyant habillé comme ça, les gens appellent tout de suite les flics …
Il doit penser que ce n'est que l'endroit qui ne me plaît pas, mais que je suis d'accord sur le principe:
- Ben alors, je connais un autre endroit, on peut y aller en voiture … ou même chez moi …
- On se calme … Déjà, ça dépend de ta queue. Montre la !
- Comment … pourquoi ?
- Tu m'excuseras, mais je fais quelque chose avec toi seulement si ta queue me plaît. Alors, montre-la !
Il en reste pantois. Il hésite un instant, mais l'occasion lui paraît trop belle. Il se relève, jette un coup d'œil autour de nous, et, rassuré, baisse un peu son pantalon de survêtement. Dessous, il porte un caleçon, grisâtre et, dans l'excitation, il ne s'est pas rendu compte qu'il ne l'a pas baissé. Son ventre est maintenant à ma hauteur, alors je glisse mes doigts dans sa ceinture et je lui dénude le ventre. Au milieu d'une épaisse toison rousse, une queue toute blanche, plutôt petite, en début d'érection, et pas du tout appétissante … En partant de chez moi, tout l'heure, j'étais prêt à me taper n'importe quelle bite, mais face à la réalité … Elle bave un peu.
- Je suis désolé, ça ne va pas le faire …
- Mais … pourquoi ? Elle … elle vous plaît pas ?
- Je vais être franc: pas vraiment, non … Aujourd'hui, ce n'est pas ce que je cherche …
- Ah oui, mais …
Je lui tripote un peu le gland. Je vois sa queue grossir un peu plus.
- Ecoute, excuse-moi. Je … une autre fois, je reviendrai, et … on verra … peut-être que … mais aujourd'hui, ça n'ira pas …
D'autorité, je remonte son caleçon sur son ventre et je remballe sa queue.
- Mais, vous reviendrez quand ?
- Je ne sais pas … Tu es souvent ici ?
- Tous les jours … je ... je travaille pas …
- Bon, tu as peut-être une numéro de portable …
- Oui oui, je vous le donne …
Je fouille ma boîte à gants, j'en sors un stylo et un papier que je lui tends. Pendant qu'il griffonne son numéro, je passe ma main sur son bas ventre:
- Si je reviens, il faudra débroussailler tout ça …
- Comment ? Mais … pourquoi ?
- Parce que je n'aime pas avoir des poils dans la bouche …
- Ah oui, mais …
Je le coupe:
- C'est comme ça ! Complètement rasé, sinon, ce n'est même pas la peine d'y penser …
- Bon, d'accord, d'accord … je le ferai …
Il est temps de repartir. Pendant qu'il se reculotte, je démarre et je reprends la route de l'hôtel. Ça fait presque deux heures que je suis parti en chasse et cette drague infructueuse m'a un peu calmé.. Sur le parking, moins de poids lourds (ils ont repris la route ?) et d'utilitaires, mais deux minibus en plus. Entre deux semi-remorques, je remets rapidement sweat et pantalon sur ma tenue avant de traverser le hall de l'hôtel et de regagner ma chambre. De nouveau en minijupe et porte-jarretelles sur le lit, je vais me soulager avant de rentrer chez moi. Décidément, ce gros type un peu crade, ça ne l'aurait pas fait …
J'ai laissé la porte légèrement entrebâillée pour écouter les bruits que font les autres clients et le personnel à l'étage: j'aime entendre le monde s'agiter autour de moi quand je m'adonne à ces plaisirs solitaires. Et du bruit, il y en a: des rires, des éclats de voix dans le couloir et des types qui s'interpellent d'une chambre à l'autre. Une bande de joyeux fêtards doit occuper le reste de l'étage.
Brusquement, l'intensité du bruit de fond monte d'un coup, comme si on avait ouvert ma porte en grand, et avant que j'aie pu me retourner, j'entends:
- Ho, pardon !
Et la porte se referme. C'était une voix masculine. Il s'est sans doute trompé de chambre, il m'a vu, il a réalisé son erreur et il est ressorti aussitôt.
Qu'a-t-il vu exactement ? Ça a été si rapide qu'il n'a sans doute pas eu le temps de détailler le spectacle. Sous l'effet de surprise, cette incursion inattendue m'a provoqué une légère décharge d'adrénaline, cœur battant, souffle coupé. Je retrouve peu à peu mon calme. Les bruits dans le couloir se sont brusquement tus. Je reprends ma masturbation et ma rêverie.
Soudain, tout bascule. En une fraction de seconde, j'entends, ou plutôt je perçois comme une bousculade derrière moi, autour de moi et, avant d'avoir pu me redresser ou me retourner, quelque chose s'écrase sur mes omoplates, me plaquant sur le lit, une main me bâillonne et je sens mes chevilles et mes poignets enserrés et maintenus fermement. J'essaie de me débattre, mais je suis maintenu par … par combien de mains ? Combien sont-ils ? J'en entrevois seulement deux, à ma droite: un qui me tient le poignet droit à deux mains, et l'autre qui me bâillonne. Enfin, je ne vois d'eux que les mains du premier et le bras du second, tous deux à la peau noire. Il y en a forcément un autre qui me tient le bras gauche, et un ou deux pour maintenir mes chevilles. Ils sont donc au moins quatre ou cinq … ils se parlent en murmurant …
Celui qui me bâillonne m'enjambe et s'installe à califourchon sur mes reins, tout en maintenant sa main fermement sur ma bouche. L'idée me vient de le mordre pour qu'il ôte sa main et que je puisse crier, mais ça pourrait entraîner une réaction violente sans que je sois assuré d'être entendu, et quelque chose me souffle de m'abstenir. D'ailleurs, je réalise que ma porte a certainement été refermée. Je suppose que celui qui avait fait cette incursion accidentelle dans ma chambre a saisi la situation d'un coup d'œil, a vu ma tenue, compris ce que je faisais et, une fois ressorti, il l'a expliqué à d'autres (c'est sans doute pour cela que les bruits dans le couloir se sont tus …) et ils ont décidé de débarquer en commando dans ma chambre…
Celui qui me tient la main droite pose son genou sur mon avant-bras pour l'immobiliser. Sa jambe repliée m'empêche de voir ce qu'il fait, mais je sens qu'il passe et serre quelque chose autour de mon poignet. Il se relève et tire ma main vers la tête du lit. Du coin de l'œil, je le vois passer le tissu qui m'enserre le poignet autour d'un barreau et le nouer. Je sens qu'on me fait la même chose au poignet gauche. Celui qui m'écrase de son poids me soulève la tête et ôte sa main de ma bouche juste un instant pour que son comparse à ma droite la remplace par une autre bande de tissu. Puis on me bande les yeux. Me voilà ligoté, écartelé et bâillonné sur ce lit. A leur merci ! Mais qu'est-ce qu'ils me veulent ? Pourvu que ce ne soit pas des casseurs de pédé …
Seules mes chevilles ne sont pas attachées … pas encore. Mais elles sont fermement tenues. Tout a été très vite, quelques secondes. Je n'ai même pas entendu la porte s'ouvrir avant qu'ils ne soient sur moi ! Submergé par la panique, je n'ai pas cessé de me débattre, tant bien que mal, et de protester. Mais je n'émets que des grognements, étouffés par cette main puis par ce bâillon. J'essaie de me calmer et de réfléchir à ce que je peux faire. J'arrête de me démener, c'est en pure perte, j'essaie de reprendre mon souffle, de contrôler mon rythme cardiaque, de me détendre ... Je me sens ... à leur merci. Les cuisses et les fesses à l'air parce que dans cette vaine lutte, ma minijupe est remontée ... déjà qu'elle était au ras de mon cul avant ça ...
Ils ont pensé que je rendais les armes. La pression sur mes chevilles se fait moins forte. Celui qui était en train de me chevaucher descend de mes reins. Il me semble que c'est lui qui commente:
- Et ben, voilà … Ça sert à rien de se débattre …
Il ne murmure plus. Je le devine maintenant debout à côté du lit, à ma gauche. Un contact sur le haut de ma cuisse gauche. Une main. Elle soulève légèrement le bord de ma minijupe et la remonte encore un peu sur mes fesses.
- Mais c'est intéressant, tout ça … Minijupe, bas … et porte-jarretelles … Beau cul … Belles cuisses … Vous trouvez pas, les gars ?
Il a un accent indéfinissable. Les autres rient. La main remonte encore un peu ma minijupe sur mon cul.
- Mais, il y a beaucoup de poils, non ?
Un autre répond:
- C'est un mec. C'est un trav !
Celui-ci aussi, a un accent. Sur un ton faussement surpris, le premier s'étonne:
- Un mec ? Un travelo ? Tu crois ?
Bien sûr, que je suis un trav ... Ça se voit, non ? Je le sens maintenant derrière moi. Ça doit être le meneur de la bande. Le matelas s'affaisse entre mes pieds. Il a dû s'y agenouiller. Une main se pose sur mon mollet, juste au-dessus de celle du comparse qui me maintient la cheville. Cette main remonte, m'effleure le côté du genou, l'intérieur de la cuisse, se pose sur ma fesse. Cette … caresse imposée, mais toute en douceur, me provoque un frisson entre plaisir et dégoût. Je sens cette main qui descend maintenant vers ma fleur, hésite un peu, puis plonge brusquement sous mon ventre. Il m'empoigne le paquet à pleine main (inutile de préciser que je ne bande plus …) et :
- Mais oui, c'est un mec !
Il tire et étale ma queue et mes couilles entre mes cuisses. Il m'a fait mal. Je m'agite comme je peux et je râle dans mon bâillon:
- MMMMMMMMMM !
Les autres rient.
- Hé, les mecs, ça vous dirait, de vous faire un travelo ?
J'ai bien peur, en effet, d'être tombé sur des casseurs de pédé … ça va être ma fête.
Les autres:
- Ouais, ouais, pourquoi pas …
- Vous avez déjà baisé un travelo ?
- Non, non …
- Et ben, faut un début à tout, non ?
- Ouais, ouais …
Ils se marrent.
- Bon, alors au taf !
Ce n'est pas seulement des casseurs de pédés: celui-ci va me baiser ! Et ils vont même sans doute tous me baiser ! Une tournante … je vais subir une tournante ! Un viol collectif ! Des mecs (combien de mecs ? Je ne sais même pas combien ils sont !) des mecs vont me forcer, me contraindre … me baiser ! Ils vont me violer, chacun leur tour, comme ils baiseraient de force une fille … Jusqu'où ça va aller ? Et si c'était des pervers ou des violents … On me tient toujours mollement les chevilles, mais ils ne me tiennent plus les mains et je n'ai plus personne sur le dos. Je dois me défendre, les empêcher. Je tire sur mes liens et j'essaie de me retourner. Mes entraves ne font que se resserrer sur mes poignets et la pression se refait plus forte sur mes chevilles. Deux mains, plaquées sur mes omoplates, m'écrasent sur le lit. Me voilà de nouveau immobilisé.
- Du calme, ma belle … Ça sert à rien de te débattre: de toute façon, tu vas passer à la casserole. Et puis, si tu es bien sage, nous, on va être gentils … ça pourrait même te plaire … pas vrai, les mecs ?
Les autres approuvent en riant.
Le meneur de la bande est maintenant debout derrière moi, au pied du lit. J'entends un bruit de tissu que l'on froisse. Il doit être en train d'ôter son pantalon. Il va me passer dessus le premier.
- Quelqu'un a des capotes ?
- Yes, man … Regarde, il en a dans son sac …
Ils ont fouillé mon sac … J'entends le bruit d'un étui qu'on déchire … C'est toujours ça: si il est malade, il ne me refilera pas une saloperie …
- Hé ! Regarde ce que j'ai trouvé dans son sac …
- Ouaiiiiiiis ! Du lubrifiant ! Alors, comme ça, Madame avait l'intention de se faire enculer ?
- Regarde, il y avait ça aussi …
- C'est quoi ?
- …
Bruit de papier qu'on déplie. Ça ne peut être que le test HIV que j'ai fait il y a trois ou quatre jours. C'est le seul papier qu'ils ont pu trouver dans mon sac. Je l'avais gardé pour rassurer le mec que j'aurais ramené à l'hôtel.
- Hé, c'est quoi, ça ? C'est un test pour le sida ?
Il s'est adressé à moi.
- MMMMMMMM ! MMMMMM ! (Comment veux-tu que je te réponde, connard ? Tu sais pas lire ?)
- Ouais, c'est ça. Hé, regarde: il est négatif. Et ça date … de cette semaine …
- Ouais, mais c'est anonyme, C'est peut-être pas à lui …
- On s'en fout, on va le baiser avec ses propres capotes …
Eclats de rire.
- Tu voulais de la bite, chérie ? Et ben, tu vas en avoir !
Le revoilà entre mes pieds, puis entre mes genoux. Je sursaute. Quelque chose de froid coule dans ma raie. Du gel lubrifiant ! Un doigt se pose doucement sur ma fleur, hésite un peu, puis commence à se presser contre ma rondelle. De nouveau je me débats.
- Tenez-le !
Cette fois l'un d'eux s'allonge en biais sur mon dos et sur mes reins et me pose une main sur chaque fesse. Ceux qui me tiennent les chevilles m'écartent les jambes. Me voilà complètement maîtrisé, offert. Et quelque chose d'indéfinissable réagit bizarrement en moi, comme une ...
Je sens son doigt commencer à s'enfoncer en moi. A cause de la peur que je ne peux surmonter, je ne m'ouvre pas comme quand j'ai envie de me faire baiser. Mais des années de dilatation anale m'ont quand même détendu, assoupli la rondelle et le doigt du meneur entre sans difficulté. Il le remarque:
- Oh, mais dis donc, chérie, tu m'as l'air drôlement … accueillante … Tu as dû t'en prendre de la bite pour être ouverte comme ça … et de la grosse !
Il se marre. Tandis que l'autre, sur mon dos, m'écarte les fesses, il me met un deuxième doigt... qui entre tout aussi facilement. Il me fouille, il m'explore, sans délicatesse, il m'enfonce ses doigts aussi profondément qu'il peut, il les ressort, il les remet. Il va, il vient en moi, longuement. Au bout d'un moment, il remarque:
- Dis donc, chérie, t'es toute propre … Tu as fait une grande toilette, on dirait … Tu t'attendais à te faire fourrer ? Ça tombe bien, on est là !
Ils se marrent tous. Oui, je suis tout propre. Oui, je comptais me faire fourrer. Mais pas par toi, connard. Si j'avais pu prévoir, je me serais abstenu de me laver et ça t'aurait calmé… Il ressort ses doigts, m'introduit l'extrémité du tube de lubrifiant et m'en injecte une dose. A la brutalité de ses gestes, je sens qu'il s'excite. Celui qui est sur mon dos me pétrit les fesses de plus en plus fort, presque convulsivement. Il doit aussi s'exciter à contempler ce que me fait subir son pote. Celui-ci me rentre de nouveau deux doigts, puis un troisième, et me fouille encore, m'ouvre, m'écartèle… C'est légèrement douloureux, mais supportable. Les autres ne disent plus rien, ils doivent être en train de regarder leur pote me violer avec les doigts. Pourvu qu'il ne tente pas de me fister.
Mais non, Cette préparation de mon cul a dû finir de l'exciter, et maintenant, à la fébrilité de ses gestes, au rythme de sa respiration, je sens qu'il a une urgence. Il extrait ses doigts de mon cul et se débarrasse du tube de gel.
- Pousse-toi !
Ça devait être à l'intention du type sur mon dos, parce qu'en effet, celui-ci me lâche les fesses, s'écarte et s'assoit contre moi, sur le lit. Je réalise qu'un autre type est déjà assis de l'autre côté. Avec les deux qui me tiennent les pieds, et celui qui est derrière moi, ça fait cinq. Il y en a peut-être d'autres … Je sens le meneur poser ses mains sur le lit de part et d'autre de mon torse. Il plaque sa queue dans ma raie et y fait trois ou quatre va et vient. Il glisse dans le gel lubrifiant. Il doit être très excité parce que je sens que sa queue est raide, tendue. Il insinue sa main entre mes fesses et son bas-ventre, guide son sexe jusqu'à l'entrée de mon cul et il s'affale sur moi, m'écrasant de tout son poids. Je sens son gland juste à l'entrée de mon rectum. Il me souffle à l'oreille:
- Maintenant, je vais te baiser, salope …
Et d'un grand coup de reins, il me pénètre et s'immobilise.
Les autres, autour:
- Yeeeeehhh, man !
- Droit au but !
- Ha ha ha !
Lui, sur moi:
- Tu la sens, ma grosse bite ?
- …
- Réponds, salope ! Tu la sens ma grosse bite ?
- MMMMMM !
- Ben voilà, ma chérie … Tu vas voir, tu vas aimer ça …
Et il commence à aller et venir en moi. Je m'attendais à quelque chose de douloureux, d'ignoble, de sordide … Mais maintenant que je suis bien lubrifié, le sphincter dilaté, il ne me fait pas mal. Sur le plan physique, ce n'est pas plus douloureux que mes gros godes ou que la bite de Gabriel ou d'Andrej... La peur et le stress se manifestent essentiellement par les effets de ce flot puissant et ininterrompu d'adrénaline : cœur qui s'affole, souffle coupé, muscles contractés … C'est plus fort que quand je m'exhibe en bordure ou au-dessus d'une autoroute, mais ce n'est pas plus violent que ce que j'ai ressenti quand Lukas et Andrej ont sauté le grillage pour me …
Instinct de survie ou simplement de protection, je me dis que, tant qu'à être réduit à l'impuissance, autant être docile et faire en sorte que ça se passe le moins mal possible. Bon, je ne sais pas qui sont ces mecs, mais mes routiers slovaques non plus, je ne les connaissais pas avant qu'ils me baisent …
L'autre, le menton dans mon cou, continue à me fourrer et, au rythme saccadé de son souffle, à ses fréquentes déglutitions, je sens qu'il prend beaucoup de plaisir à me troncher. Jusque là, dans mon esprit, le viol d'un mec par un autre mec, c'était, pour le violeur, une sorte de punition imposée à un déviant, une humiliation infligée à une tante, sans autre plaisir pour lui que de punir, d'humilier … Mais là, l'idée s'impose à moi que ce mec, en train de me tringler si consciencieusement, prend autant de plaisir purement sensuel que s'il était en train de baiser une fille. Et quelque part, ça me trouble …
Du coup, je me concentre sur ce qu'il est en train de me faire … «Tu la sens, ma grosse bite ?» En fait, d'après ce que je ressens dans mon cul, elle n'est pas si grosse que ça, ta bite. Si tu voyais celle de Gabriel ou celle d'Andrej, tu ne te vanterais pas … Il va et vient assez lentement en moi. Parfois, la queue plantée au fond de mon cul, il s'arrête, sans doute pour laisser retomber l'excitation. Quand il reprend, c'est plus rapide, plus vigoureux, avant de ralentir de nouveau. Quand il s'arrête, je suis à deux doigts, par réflexe, de contracter mon sphincter en rythme autour de sa queue. Les mecs aiment ça … Ou alors, de me cambrer pour lui permettre de me pénétrer plus profondément. Mais je ne veux pas qu'il croit que j'aime ce qu'il me fait. Alors, je fais le mort …
Brusquement, il sort de moi et se relève. Il a joui ou quoi ? Plongé dans mes pensées, je n'ai rien remarqué.
- A qui le tour ?
Ah non, il n'a pas joui: il cède la place. On me lâche le pied droit. Bruits de vêtements qu'on enlève. Bruit de pochette qu'on déchire. De nouveau, le matelas s'affaisse entre mes jambes sous le poids de quelqu'un. C'est le numéro 2. Celui-ci non plus, je ne l'ai pas vu, je ne sais pas à quoi il ressemble … Black ? Blanc ? Beur ? … Ses mains sur mes cuisses … puis à l'intérieur de mes cuisses. Il me les caresse à travers le voile de mes bas. Ses mains sur mes fesses … ou plus exactement, autour de ma fleur … un souffle chaud dans ma raie … sa bouche tiède sur mon œillet … sa langue chaude et humide dans ma rondelle … il la bouge. Je n'en reviens pas: je trouve ça très agréable ! Mais je m'efforce de rester impassible. Il extrait sa langue, la remplace par deux doigts (ses pouces?), m'écarquille la rondelle (oh ! Doucement …), et je l'entends qui me crache dans le cul. C'est lui qui dit:
- Remonte un peu sa jambe.
Le type qui tenait encore mon pied gauche relâche son étreinte et pousse ma jambe vers le haut. Numéro 2 me force à écarter ma cuisse droite. Je résiste vaguement, mais une main saisit ma cheville et me contraint à le faire. J'ai les cuisses largement écartées. Numéro 2 me prend par les hanches et me soulève un peu. Me voilà légèrement cambré, le cul relevé. Comme le premier, il pose ses mains de part et d'autre de mon torse, et je sens sa queue, raide, glisser dans ma raie. Contrairement au premier, il n'a pas besoin de la guider de la main pour la poser sur ma fleur. D'un seul coup de reins, il est en moi. Immédiatement, il entreprend un va et vient rapide. Pour autant que je puisse me rendre compte, sa queue n'est pas très grosse non plus. Mais, vu l'amplitude de son va et vient, elle est sûrement plus longue que celle de son compère. Lui n'est pas vautré sur moi: pas d'autre contact que son ventre qui vient taper contre mes fesses, sa tige dans mon cul et ses avant-bras contre mon torse … C'est un queutage en règle, sans aucune sensualité. Bien que, d'évidence, il bande, je ne suis même pas sûr qu'il y prenne du plaisir. Pas un râle, pas un grognement … Il va sans doute tirer son coup vite fait et se retirer … J'attends, je prends mon mal en patience …
J'entends de nouveau des bruits de vêtements qu'on enlève. Un autre se prépare (ou des autres ?).
Soudain, le matelas s'affaisse sur ma droite, et une main soulève le bandeau que j'ai sur les yeux et me tourne la tête:
- Regarde ce que je vais te mettre dans le cul …
Un comparse proteste:
- T'es con, ou quoi ? Il va te voir …
- T'occupe !
Le type est à genoux sur le lit, à poil … Dans mon champ de vision, je n'ai que deux cuisses, noires, musclées, puissantes … Un costaud. Il se rend compte que je ne vois pas ce qu'il veut me montrer. Il me soulève un peu la tête vers le haut, et je découvre son membre: longue et grosse queue en érection au dessus d'une très belle paire de couilles. Il se masturbe.
- Alors ? Ça te dit ?
- …
- Même si ça te dit pas, tu vas te la prendre dans le cul, mec … Je vais te fourrer.
- …
Il me lâche, ma tête retombe sur le lit et il rajuste le bandeau sur mes yeux. Sa queue est longue et grosse, mais pas autant que celle de Gabriel. Bien que toujours bâillonné, et sachant qu'il ne comprendra pas mes grognements, je lance:
- MMMMMMMMM MMMMMMM MMMMMMMM ! (tu crois que tu me fais peur, avec ton engin ? Je me suis déjà fait baiser par des queues plus grosses que la tienne …)
- Qu'est-ce qu'il dit ?
- On s'en fout ! Allez, à moi ! Pousse-toi !
Numéro 2 fait encore trois ou quatre va et vient avant d'obtempérer. Il s'extrait de moi et se relève. Lui, il n'a pas joui, c'est sûr ! Le costaud prend sa place entre mes jambes. Il me prend par les hanches et, me soulevant sans effort, il demande à ses complices:
- Remontez lui les genoux. Je vais le prendre en levrette …
On m'installe, un peu brutalement, pour que le costaud me prenne à son aise. Il se rapproche de moi, toujours les mains sur mes hanches. Il se cale bien, passe sa main droite sur mes fesses et la descend vers ma rondelle. Il m'introduit … quoi ? On dirait un pouce. Puis je le sens qui récupère le flacon de lubrifiant et je devine, aux bruits mouillés qu'il fait, qu'il est en train de s'enduire la queue. Je sens maintenant sur ma fleur le contact humide et frais de son gland couvert de lubrifiant. Un autre remarque:
- T'as pas mis de capote …
- Pas besoin …
Et, me donnant une claque sur le cul, il me demande:
- Il faut que je mette une capote ? T'es plombé ? T'es malade ?
- …
- Réponds !
Je secoue négativement la tête:
- MMMMMMM !
S'adressant aux autres:
- Vous voyez ! J'en étais sûr … Le test de SIDA, c'est à lui …
Il m'attire vers lui fermement et je sens son membre commencer à entrer en moi. Lui, je le sens bien. Très bien, même. Beaucoup mieux que les deux premiers. Sa queue me force un peu. Pas aussi grosse que celle de Gabriel ou d'Andrej, mais quand même ! Il a à peine commencé à me pénétrer, qu'un fait s'impose à moi: mes peurs s'estompent, dominées par autre chose. Je commence à considérer la situation d'une autre manière. Cette adrénaline qui baigne tout mon corps, ce n'est plus l'adrénaline de la peur, c'est celle que je ressens quand j'entreprends quelque chose de risqué et d'excitant ! Je suis bien obligé de me l'avouer: elle ne me déplaît pas tant que ça, la situation. D'ailleurs, c'est bien pour me faire baiser que je suis venu dans le coin. J'espérais trouver un mec, et j'en trouve … combien ? Et puis, c'est un de mes fantasmes, me faire gang banguer … J'avais toujours imaginé un gang bang voulu, choisi, et là, ils me l'imposent, mais c'est quand même un gang bang … Et le fait même qu'ils me prennent de force, ça a un côté … excitant ! Un reste de crainte m'interdit de me laisser totalement aller au plaisir de l'instant, mais ce mec musclé, qui me prend avec sa grosse bite … dans d'autres circonstances, je considérerais ça comme une chance. Un mec bâti et bien monté comme lui … il doit avoir un succès fou auprès des femmes, il doit avoir le choix et pouvoir baiser toutes celles qu'il veut … Mais là, tout de suite … c'est moi qu'il est en train de tringler !
Maintenant, le voilà complètement en moi, le ventre collé à mes fesses, et je me sens … rempli. Enfoui tout au fond de mon cul, il marque une pause. Plein de mecs font ça. Cet instant où ils investissent totalement un cul est évidemment sensuel, mais aussi cérébral: sodomiser quelqu'un, homme ou femme, de gré ou de force, c'est le posséder, pleinement, et celui qui pénètre l'autre goûte alors la satisfaction de dominer ainsi celui ou celle qu'il est en train d'enculer.
Sa queue plantée au fond de mon cul, le costaud passe ses mains de mes hanches à ma taille. Tout en douceur, il me caresse le dos, les épaules, redescend sur mes fesses, sur mes cuisses, se glisse sous mon ventre, effleure mes abdominaux … Ce type n'est visiblement pas un besogneux, il est tactile, sensuel, et … oui … délicat … En cet instant, il ne me viole plus … il me fait l'amour ! C'est très agréable. Ses mains de nouveau sur mes hanches, il commence à se retirer de moi, lentement. J'ai l'impression de me vider. Je sens coulisser chaque millimètre de son sexe dans mon œillet. Il entame alors un lent va et vient en moi. Je sens son sexe repousser mes chairs quand il me pénètre, et je le sens se retirer quand il s'extrait de moi. C'est une sensation très forte … un bonheur …
Ces mecs ont pris possession de moi contre mon gré, ils m'ont réduit à l'impuissance par la force, et ils disposent de moi, de mon cul, sans mon accord pour assouvir leurs pulsions de mâles. Pour eux, je ne suis qu'un trou, une viande chaude, humide, vivante, à baiser … Oui, mais je suis une viande qu'ils ont trouvé suffisamment appétissante, qui les fait bander, qui leur a donné une telle envie de copuler, qu'ils ont eu une telle envie de posséder, qu'ils n'ont pas hésité à commettre un viol. Pour eux, mon cul vaut la peine de se rendre coupable d'un outrage, d'un crime … Au fond de moi, bizarrement, il y a une espèce de fierté.
Le costaud continue de me fourrager. Et il me baise bien. Aucun doute: j'aime ça, et je me laisse peu à peu aller à y prendre plaisir. Chacune de ses pénétrations procure à ma fleur une vague de volupté qui irradie tout mon corps. Je m'efforce de rester impassible, de ne rien manifester de mon plaisir. Mais mon corps a son propre langage, qui échappe à ma volonté, sans doute un certain relâchement, une imperceptible réaction à la jouissance, qui n'échappe pas à mon … violeur:
- Tu aimes ça, hein, salope …
Il ne demande pas, il constate.
Est-ce cette constatation qui l'excite un peu plus, ou cherche-t-il à me forcer à manifester une jouissance qu'il devine ? Sa sodomie se fait plus rapide, plus vigoureuse. Le plaisir me submerge et, dans un réflexe incontrôlable, je me cambre pour faciliter sa pénétration. Langage des corps: il avait deviné mon plaisir et il m'a forcé à le manifester; il vient de percevoir mon envie de le recevoir au plus profond de moi et la pression de ses mains sur mes hanches se fait à la fois plus douce et plus possessive. Il pourrait dire à ses complices ce qui se passe, commenter crûment ma reddition de femelle, ma soumission au mâle … D'ailleurs, ça ne me déplairait pas, je commence à prendre goût à leur langage cru et fleuri … Mais non, il ne dit rien. J'ai dû toucher une corde sensible, flatter son orgueil de mâle, sa fierté de baiseur: oui, tu as une grosse queue, oui tu me baises bien, oui tu me donnes du plaisir …
Envolés les restes de crainte: entièrement concentré sur notre coït, je visualise en pensée le va et vient de son membre en moi, le parcours de son gland dans mes chairs … C'est d'autant plus net dans mon esprit et excitant, que sa queue, il me l'a montrée … J'anticipe l'instant où, dans une vague de plaisir, il répandra sa semence tout au fond de mon cul ... Oui, j'en suis à espérer qu'il ne se videra pas sur mes reins ou dans ma raie, mais qu'il me fécondera le ventre. Je suis heureux qu'il n'ait pas mis de capote ! Je ne peux réprimer un gémissement d'excitation et de plaisir, que j'essaie d'étouffer dans le bâillon qui me barre la bouche. Mais celui qui est assis à côté de moi m'a entendu:
- Il a dit quelque chose …
S'adressant à moi:
- Hé, chérie, t'as dit quoi ?
- …
Le costaud:
- Il ne peut pas te répondre, il a un bâillon … Mais je sais ce qu'il a dit.
- Il a dit quoi ?
- Il a joui …
- Hein ?
- Oui, il a joui … Je l'ai senti.
D'un seul coup, tout le monde s'agite autour de moi. Tandis que le costaud continue à m'empaler consciencieusement, à me donner du plaisir, ses deux potes, assis contre moi, se lèvent et apparemment, tout le monde se regroupe vers le pied du lit. Une main se glisse sous mon ventre et me palpe la queue.
- Tu déconnes, il a pas joui … Il bande mou, il a pas joui …
Une autre main vérifie. Le costaud:
- Il a joui du cul.
Eclats de rire. L'un d'eux me demande:
- C'est vrai, ma chérie, tu as joui du cul ?
Ils n'attendent pas de réponse, convaincus que le costaud dit vrai. Tous y vont alors de leurs commentaires salaces sur le calibre et les dons de leur pote, sur mon goût pour la queue, ma voracité, mon avidité …
- Tu aimes vraiment la bite, alors, ma salope …
- En même temps, avec un engin comme ça dans le cul, elle ne pouvait pas résister …
- Ouais, elle était vachement en manque, la chérie …
- Heureusement, on est là …
- On va lui en mettre plein son cul, à cette pute … Tu vas prendre grave, salope …
- Nous aussi, on va te faire jouir, tu vas voir …
- …
Le tout ponctué de claques sur mon cul et de vigoureuses frictions de ma tête … Je perçois en eux un surcroît d'excitation. Ils ont tous hâte de me passer dessus. L'un d'eux m'a saisi la queue et me la tripote. Un autre me passe les doigts sur la bouche à travers le bâillon:
- Elle doit avoir envie de nous sucer, en plus …
- Ouais, elle veut être prise par les deux bouts, cette pute …
Submergé par les vagues de plaisir que me procure le costaud, je ne me sens même pas humilié, je reçois tout cela comme autant d'aiguillons qui attisent mon excitation. Je ne peux réfréner une érection de plus en plus évidente.
- Hé, les mecs ! Regardez, il bande de plus en plus !
- Hein ? T'es sûr ?
- Ouais, regarde: il bande !
- Aaaah , quelle saaaaaloooope !
Nouveaux éclats de rire. Le costaud accentue la pression de ses mains sur mes hanches et la vigueur de ses coups de boutoir:
- Alors, tu aimes ça ? Je te baise bien, hein, ma salope ? Ça t'excite, de te faire troncher ?
- MMMM MMMMM MMMMMM MMMM ! (Oui, elle me plaît, ta queue. Oui, tu me baises bien. Oui, tu me fais jouir. Oui, j'ai envie de sucer de la queue. Oui, j'ai envie d'être pris par les deux bouts. Oui, j'ai envie que vous me baisiez tous…)
J'ai très envie de hocher la tête en même temps que je grogne à travers mon bâillon, mais je m'abstiens.
- Qu'est-ce que tu dis, chérie ? T'en veux encore ?
Rires gras.
- Et si on lui enlevait son bâillon pour qu'il nous suce ?
- Déconne pas, il va gueuler …
- Tu gueules, si on t'enlève ton bâillon ? Si tu essayes, on t'assomme …
Moment de flottement. Le costaud ralentit, en attente. Ils sentent que la situation a évolué, mais ils ne savent pas à quel point. Dans le fond, ça les arrangerait certainement si leur forfait pouvait évoluer en partie de cul entre adultes consentants. Ils restent silencieux, ils doivent se regarder les uns les autres en attendant que je réponde. J'hésite. Excité comme je suis, je balance entre l'envie de profiter pleinement de la situation et la peur de choper une saloperie. De toute façon, quoi qu'il arrive, que je sois d'accord ou pas, ils vont tous me passer dessus, et sans doute sans capote, puisque le costaud me prend comme ça. Les autres vont être tentés de faire pareil. Au fond, ça me plairait bien, si je pouvais me faire remplir de semence par tous ces mecs ... Mais là, tout de suite, c'est déjà de pipes qu'il est question. Il paraît qu'il y a moins de risques à sucer qu'à se faire enculer … Alors, pourquoi ne pas les sucer ? Pour le reste, on verra après …
Je secoue la tête négativement:
- MMMMMMM (Non, je ne gueulerais pas)
On desserre mon bâillon et une main l'écarte un peu de ma bouche:
- Tu gueules pas, hein … Fais gaffe !
- Non, je ne gueule pas.
- Yeeesssssss !
L'un d'eux ne peut s'empêcher de manifester son enthousiasme.
On ne me l'enlève pas complètement mon bâillon, on se contente de le descendre sur mon cou. On ne sait jamais …
- Voilà, t'es une bonne fille…
- On veut que tu nous suce …
- J'avais compris.
- Tu vas nous sucer ?
- Vous êtes … vous êtes tous sains ?
- …
Silence. Ils doivent être en train de se consulter du regard, de s'interroger sur le sens de ma question.
- Moi ouais …
- Moi pareil …
- Moi aussi …
Et quelques grognements d'assentiment.
- Euh, ouais, apparemment, on est tous sains … Pourquoi tu demandes ça ?
- Alors, oui, je vous suce, mais …
- Mais quoi ?
- … mais sans capote …
- Yeeeeeeeeesss !
- Ah ! Mais t'es vraiment une belle salope, toi !
Mouvements près de la tête du lit. Ils sont plusieurs à s'approcher, à droite et à gauche, sans doute pour être dans les premiers à investir ma bouche … Le costaud a repris son va et vient dans mon cul. J'attends, un peu anxieux … Comment je vais pouvoir les sucer, immobilisé comme je le suis ? Je vais devoir en sucer combien? Le matelas s'affaisse, d'abord à ma droite, et je sens quelqu'un passer au-dessus de moi et écraser le matelas sur ma gauche. Comme un poids sur ma tête, et je sens un contact chaud et un peu humide sur ma joue … une queue. L'un d'eux, à demi allongé au-dessus de moi, me présente son sexe à sucer. J'ouvre la bouche et le type y glisse sa queue. Je sens ses doigts contre mes lèvres: il tient son membre fermement … Il est encore calotté. Je passe ma langue sur son méat et j'essaie de la glisser entre son gland et son prépuce. Elle se décalotte peu à peu. Il lâche sa queue et s'appuyant sans doute des deux coudes derrière ma tête, il commence, lui aussi, un va et vient … Deux mecs sont en train d'aller et venir en moi: un dans mon cul, un dans ma bouche !
Dans cette position inconfortable, je m'efforce de contribuer autant que je peux à cette fellation. Je ne veux pas être uniquement un orifice chaud, humide et inerte, dans lequel ce mec se donne du plaisir … Alors, des lèvres et de la langue, je participe, j'accompagne son va et vient. Il le sent, s'immobilise, et se laisse sucer. Il a l'air de préférer que je sois actif. Et en riant:
- Mais, dis donc, tu aimes ça aussi, de sucer de la bite…
- …
- Attends …
Il bouge, sort sa queue de ma bouche, se redresse, et je sens qu'il dénoue le lien qui attache ma main droite à la tête du lit.
- Détache-le aussi …
Il s'est adressé à un comparse sur ma gauche. On me détache aussi de ce côté. Je peux changer de position. Je me redresse en m'appuyant sur les mains. Me voilà à quatre pattes sur le lit. Le costaud, sans doute inspiré par cette nouvelle position, croit bon de me rappeler sa présence en me donnant quelques puissants coups de boutoir. Comment aurais-je pu l'oublier ? Je me cambre (Oh oui ! Bourre-moi bien à fond !) et, la bouche entrouverte, je halète:
- hhhhhh ! hhhhhh ! hhhhhhh ! hhhhhhh !
- Alors, maintenant que tu n'as plus ton bâillon, dis-le nous que tu aimes ça …
Je hoche la tête!
- mmmmmmhhhhh!
- Dis-le: j'aime ça …
- j'aime ça … aaaaahhhhhhh !
- You houuuuuuuu !
C'est ses copains qui ont réagi: rires, éclats de voix, ils se tapent dans les mains les uns les autres, comme pour fêter une victoire. Je les devine contents, mais aussi soulagés: pour eux, ce n'est plus un viol, je suis consentant. Le costaud insiste:
- Dis-le: j'aime la queue …
- hhhmmm … j'aime la queuuuuuue …
Tout en m'interrogeant, il me fourrage, lentement, méthodiquement, profondément … Je ne peux détacher mon esprit de ce qu'il est en train de me faire: je sens son membre coulisser dans mon rectum, son gland s'enfoncer dans mes chairs … j'adore ça: j'ai un mec en moi, un mec, ou plutôt un black bien monté et qui se donne du plaisir à me baiser ! Dans un vague brouhaha, j'entends que les autres se marrent. Alors, je réalise qu'en plus, je suis en train de me faire baiser devant un public … et ça accroît mon plaisir. Non, en fait: pas n'importe quel public: des mecs! Je ne sais même pas combien de mecs, mais des mecs ! Des mecs avec des queues, des mecs que ce spectacle excite, et qui ne vont pas se contenter de regarder: ils vont aussi me baiser chacun leur tour … Je réalise aussi que, pendant ce temps, celui que j'ai commencé à sucer, tout en suivant notre "conversation", en profite pour s'installer confortablement: écartant mon bras droit, il se glisse devant moi, il s'assoit le dos calé à la tête du lit, il prend ma main droite et la guide jusqu'à son sexe. Instinctivement, je commence à le masturber doucement, l'esprit toujours rivé sur la queue du costaud.
Le costaud qui poursuit:
- Tu aimes la queue, mais, ma queue à moi, tu en dis quoi ?
- oh … je l'aime, ta queue … hhhhhhh …
- Et pourquoi, tu l'aimes, ma queue ?
- ahhhh … hhhhhhh … hhhhh … hhhhhh …
- Alors ? Vas-y, dis-le …
- elle est grosse ta queue … hhhhhhhh … J'aime ta queue parce que … elle est tellement grosse … hhhhhhhh …
- Et, quoi d'autre ?
- hhhhhhh … hhhhh … hhhhhhhh …
- Je t'ai fait jouir, tout à l'heure ?
- hhhhhh … hhhhhhhh …
- Allez, dis-le !
- OUIIIII, tu m'as fait jouir … hhhhhhhh … tu me baises bien … baise-moi … baise-moi … BAISE-MOI !
Le silence s'est fait autour de nous. Les autres n'en reviennent pas de m'entendre réclamer comme ça ! Le costaud ricane:
- Hé hé hé hé hé …
Maintenant que la "conversation" paraît terminée, celui que j'ai commencé à sucer, pose ses mains sur ma tête et la pousse vers sa queue. Je me laisse faire, je la prends et je recommence à la sucer … Ce membre chaud, vivant, fébrile, sur ma langue, me détourne un peu de ce que me fait le costaud … D'autres sensations, d'autres idées se bousculent dans ma tête: toi, je vais t'en donner du plaisir, tu vas voir, je vais te sucer jusqu'à ce que tu jouisses, je vais te faire cracher la semence que tu as dans les couilles …
Je suis de plus en plus excité. Deux mecs … deux mâles … deux bites qui jouissent en moi ! Un double coït ! Et après ces deux-là, il y en a d'autres à venir … ils attendent leur tour … ils vont me prendre aussi, les uns après les autres… ils vont aussi me baiser le cul, la bouche … ils vont prendre du plaisir dans mes orifices … Oh, si j'étais une femelle, des trous, j'en aurais trois à me faire remplir par des queues … oh, avoir trois bites en moi, trois mecs qui me baisent en même temps, qui prennent du plaisir dans la tiédeur humide de mes trous ! Mais là, avec seulement deux orifices, je suis déjà une femelle: j'ai des mâles en moi, je les excite, ils copulent, ils me prennent par les deux bouts … Mon excitation monte, monte, monte … Je m'entends gémir en suçant frénétiquement cette queue … Non, je ne gémis pas, je couine … J'ai envie de vider celui-ci le plus vite possible, pour qu'un autre prenne sa place …
Sa respiration est saccadée, et sous mon front, ses abdominaux sont contractés. Il se met aussi à gémir … il va éjaculer ! Brutalement, il repousse ma tête et dans le même mouvement, il se dégage et se relève:
- Ah, la vache ! Quelle suceuse !
Je me sens frustré: j'attendais, j'espérais un flot de semence chaude dans ma bouche … De la main, à l'aveugle, je cherche à attraper un autre mec, une autre queue à sucer …
En effet, un autre intervient, mais derrière moi:
- Ouais, à moi, maintenant … Passe-le moi …
"Passe-le moi": c'est de moi qu'il parle ! Je suis un objet … un objet de plaisir ("passe-moi le joint"), un jouet ("passe-moi la console de jeu"), un bout de chair vivante, chaude et humide qu'ils se repassent et dans laquelle ils se font du bien, chacun leur tour, dans lequel ils vont se soulager … "Passe-le moi" ! Pourquoi, au lieu de me vexer, de m'humilier, cette formule contribue-t-elle à m'exciter ?
Le costaud effectue encore deux ou trois va et vient, et cède la place. Celui à qui il me "passe", me pénètre directement, sans aucun préliminaire. Petite bite. Je suis toujours à quatre pattes, mais celui-ci, sa petite queue plantée en moi, allonge son buste sur mon dos et entoure mon cou de ses bras. Le visage contre ma nuque, il me souffle:
- J'ai pas mis de capote … Je vais te baiser comme ça …
- …
- Tu dis rien ? T'as pas peur ?
Ça l'excite de jouer à me faire peur ? Il se redresse, commence à aller et venir, lentement.
- Hein, t'as pas peur que je te plombe ? J'ai le SIDA …
- Tu as dit que non, tout à l'heure
- Moi ? J'ai rien dit …
- Si tu as le SIDA, tu vas le refiler à ceux qui vont passer après toi …
- Ils vont mettre des capotes, eux …
- Moi aussi, j'ai le SIDA …
- Non, ton test dit que non …
- Bon, on verra. J'ai pas le choix … si ?
- Non, t'as pas le choix … je vais te juter dans le cul … je vais te plomber …
Il s'appuie sur ses avant-bras et accentue son mouvement. Petite bite, et en plus, éjaculateur précoce. Ça va très vite: il se met à souffler bruyamment, amplifie et ralentit son mouvement, sort brusquement de mon cul et s'écroule sur moi, la queue logée dans ma raie. Je sens son sperme gicler jusque sur mes reins.
- Aaaaaah ! Saaaloooooope !
Il se relève et, frustré d'avoir joui si rapidement ou de n'avoir pas réussi à me paniquer, il m'administre un violent coup de poing entre les omoplates qui me coupe le souffle. C'est ses potes qui protestent:
- Ho, mec ! Ça va pas la tête ?
- C'est qu'une sale pute !
- Ouais, ben ça sert à rien de le cogner …
On s'assoit à côté de moi et une main se pose délicatement sur ma tête:
- Ça va ?
Je hoche la tête (Ça va …)
[La suite dans l'article ci-dessous.]