Vendredi 1 juillet 2016 5 01 /07 /Juil /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Voilà … c'est fait … je les ai eues, mes quatre doubles sodomies … Ces accouplements simultanés avec des duos de mâles en rut, c'était … waouhhhhh ! Ça a vraiment été le summum de cette journée de baise ! Quatre fois fourré, enculé et inséminé simultanément par deux mecs! Quelle femelle fait ça ? Et la dernière, par Sam le tatoué et Thierry le gros poussah, c'était … indescriptible ! Encore plein de la semence de je ne sais combien de mecs qui m'avaient baisé individuellement, et par celles des trois duos qui les avaient précédés, ces deux types, tellement bien montés, m'ont fourré à leur tour leurs deux énormes sexes en même temps dans le cul … ils m'ont forcé, ils m'ont ouvert, ils m'ont rempli le rectum comme il ne l'avait jamais été … ils m'ont défoncé et ils m'ont rendu hystérique … submergé par le plaisir, enivré par ce coït doublement contre nature, je me suis laissé aller sans pudeur comme une espèce de femelle nymphomane dépravée, lubrique, indécente, bestiale ….

 

C'est le gros Thierry qui a joui le premier … et moi, tout de suite après … juste avant Sam …

 

Immédiatement après, rassasié, fourbu, rompu, je me suis endormi ... et j'ai rêvé … J'ai rêvé de bites, de mecs qui me baisent à la chaîne, de mecs qui jouissent dans ma gorge, qui éjaculent dans mon cul …

 

Quand je me suis réveillé, j'avais encore un mec sur moi … un mec qui venait de me baiser pendant que je roupillais … 

 

Et maintenant, la journée tire à sa fin. Philippe, Jean-Claude et d'autres sont en train de débarrasser les tables et de ranger. Alexis, le traiteur vient de revenir pour récupérer son matériel. On a fait quelques photos en groupe et plusieurs mecs viennent de me dire au revoir et de s'en aller. Philippe me tend une feuille de papier:

- Tiens … ça, c'est la liste de tous les mecs qui étaient là aujourd'hui … avec leurs coordonnées … téléphone, mail …

- Ah bon ? Merci … en somme, c'est la liste de tous mes amants d'aujourd'hui …

- Voilà … si tu veux les recontacter … et ils m'ont demandé les tiennes, de coordonnées … Jean-Claude les a tapées et les a imprimées et on les a distribuées à tout le monde ..

- Super …

 

Une main se pose sur mon épaule et me fait pivoter:

- Viens par là, toi …

 

C'est Sam. Il s'est rhabillé et il a son casque à la main. Visiblement, il s'apprête à partir. Il me prend le bras et il m'entraîne vers la rangée de tables.  Il veut quoi, exactement ? Il pose son casque et me tourne, dos à une table … Les autres nous observent. Me tenant à deux mains par les épaules, Sam me bascule en arrière, m'allonge sur la table et vient se placer entre mes jambes. Appuyé sur les coudes, je le regarde. Il veut encore me baiser ? Je le crois pas … Un petit sourire aux lèvres, il déboutonne son jean. Mais oui, c'est ça, il va encore me fourrer ! Il sort sa bite … Oh la vache, elle me fait toujours le même effet ! Quel engin ! Dès que le la vois, il me prend une furieuse envie de me la faire fourrer. Il me saisit sous l'arrière des genoux et soulève mes jambes. Je croise mes chevilles derrière ses reins. Il empoigne sa queue et l'approche de ma rondelle … Ah yess ! J'ai son gland dans le cul ! Il ne bande pas, mais ça ne fait rien … même comme ça, ça me plaît qu'il soit en moi. Je finis de m'allonger sur la table et je ferme les yeux. Cramponnant sa queue, il s'enfonce en moi:

- Tu t'es pas lavé …

- Non … je vais rentrer chez moi avec votre sperme dans le cul .

 

Il est complètement en moi, je sens son ventre contre mon périnée … il est immobile. Il me prend par les hanches et poursuit:

- On va se revoir très vite, tous les deux …

- C'est vrai ?

- Ouais … je vais t'amener à mes potes …

- … m'amener à tes potes ?

- Ouais … des bikers … pour qu'ils te baisent …

 

Il ne me demande pas si je suis d'accord, si j'en ai envie … non, il VA m'amener à ses potes pour qu'ils me baisent ! C'est pour m'annoncer ça qu'il a cru bon de me fourrer sa bite ... il s'est dit que, comme ça, je n'aurais pas le courage de dire non. Précaution inutile ... j'aurais dit oui même s'il ne m'avait pas fourré. Mais c'est toujours ça de pris ... Non seulement son projet ne me choque pas, non seulement ça m'étonne pas, mais ça m'excite … ça y est, il considère que je suis à lui et qu'il peut disposer de mon cul comme il veut. Et il a raison, il a compris qu'équipé de l'entrejambe comme il l'est, il m'a rendu accro à sa queue et que je suis prêt à tout accepter de lui, du moment qu'il me baise:

- D'accord, si tu veux. Pourquoi ils sont pas venus aujourd'hui, tes potes ?

- On savait pas ce que tu valais … avant, il fallait que je t'essaie …

 

Ah, putain ! Il est venu m'essayer ! Comme je ne sais quel produit … une bagnole, une moto … Et j'adore ça !

- Ah bon ? Et alors ?

- Alors ? Ça va … t'es bonne …

- Et tes potes, ils sont comment ?

- C'est des bikers … tu verras bien …

- Et ils sont combien, tes potes ?

 

Ça le fait rire:

- T'occupes … de toute façon, le nombre, ça te fait pas peur, hein …

- Non … c'est juste pour savoir …

- Tu sais, ils te baiseront pas tous … Y'en a qui préfèrent les gonzesses …

- Bon. Quand est-ce que tu m'amènes à tes potes ?

- Je sais pas … faut que je voie ça avec eux … et j't'appelle …

 

Brusquement, il dénoue mes jambes, recule son bassin et sort son sexe de moi. Je me remets sur mes pieds et, avant qu'il ait eu le temps de remballer son paquet dans son jean, je saisis sa queue et je la masturbe:

- J'ai hâte …

- Sans blague …

 

C'était ironique. Il repousse ma main, remballe son engin, me tourne le dos et sans un mot, se dirige vers sa moto. Curieuse façon de prendre congé … mais bien conforme au personnage !

 

Il croise le traiteur, qui vient de charger quelque chose dans sa fourgonnette. Alexis, me voyant … libre, me fait un signe de la main. Je lui réponds de même. Prenant ça pour un encouragement, il s'approche de moi:

- Bon … bonjour …

- Oui .. re-bonjour …

- Oui, c'est vrai … re-bonjour … alors, c'est … c'est terminé ?

- Ben oui …

- Ah bon … et, c'était … c'était bien ?

 

J'ai senti une pointe de déception dans son "Ah bon … ".

- Ah oui, c'était même très bien …

- Ils vous ont … ils vous ont tous euh …

- … baisé ? Oui, ils m'ont tous baisé …

 

Il se dandine devant moi … il a quelque chose à me demander, mais il n'ose pas … comme je devine de quoi il s'agit, je viens à son secours:

- … mais pas toi …

- Co … comment ça …

- Ils m'ont tous baisé mais toi, tu ne m'as pas baisé … je t'ai sucé, mais tu ne m'as pas baisé …

- Oui … enfin, non … c'est vrai …

- T'as envie ?

- De … 

- De me baiser …

- Ben … oui …

- Tu veux maintenant ?

- Main … maintenant ?

- Oui, là, sur cette table …

- Ben …

 

Il jette un coup d'œil aux autres, qui ne font pas plus que ça attention à nous. Ça doit encore le gêner de me baiser en public. Mais, alors que je m'apprêtais à lui proposer de nous isoler dans un coin discret, à ma grande surprise:

- Ben oui … pourquoi pas …

- Bon … comment tu veux me prendre ?

- Par … par derrière … debout … par derrière …

- D'accord … euh .. je te préviens, je ne me suis pas lavé … et j'ai encore plein de sperme dans le cul … et …

 

Je n'ai pas le temps de lui expliquer que je n'ai pas l'intention de me laver, il me coupe la parole:

- C'est bon, c'est bon … Philippe m'a dit …

- Ah bon …

- Oui … et il m'a donné …

 

Il plonge une main dans sa poche et, tout fier, il en sort un étui:

- … il m'a donné une capote …

- Très bien … donne … et sors ta queue …

 

Rayonnant, il me tend l'objet. Pendant qu'il déboutonne son pantalon, je déchire l'étui et j'en sors la capote. Il ne bande pas … enfin, pas vraiment … mais visiblement, il est excité … Je m'accroupis devant lui, je saisis sa queue et je lui donne quelques petits coups de langue. Elle réagit aussitôt et commence à gonfler. Alors, je la prends dans la bouche, je la décalotte avec mes lèvres et je la suce … Il pose ses deux mains sur ma tête et en levant les yeux, je vois qu'il me regarde. Je me prends au jeu et je m'active de plus en plus fiévreusement des lèvres et de la langue … Hhmmmm, je veux bien qu'il me tire comme ça, dans la bouche … tant pis s'il ne m'encule pas … j'ai eu ma dose de sperme dans le cul … Mais au bout d'un moment, il recule son bassin et:

- Arrêtez, arrêtez … sinon, je vais …

 

Bon … dommage … Il extrait son sexe … cette fois il bande dur … Toujours accroupi, j'entreprends de dérouler la capote sur sa bite, puis je me relève. Je le manipule un peu avant de le lâcher, et je me retourne. Les deux mains appliquées sur la table, j'écarte les jambes et je me cambre:

- Allez … prends-moi …

 

Il commence par guider son sexe de la main, il me pénètre, pose ses mains sur mes hanches, et commence à aller et venir … Combien de fois je me suis fais prendre dans cette position, aujourd'hui ? Et ça va très très vite … en fait, il n'avait pas envie de me baiser longuement, il avait seulement envie de tirer un coup vite fait … Il respire de plus en plus fort, de plus en plus vite … il se met à haleter … et, les mains crispées sur mes hanches, il jouit. Ça n'avait rien d'excitant, d'autant qu'il se vide au fond de cette capote, et pas au fond de mon cul … mais ça me fait plaisir d'avoir permis à un dernier mec de se soulager aujourd'hui … Il s'extrait de moi, et quand je me retourne, il est en train d'ôter la capote, regardant autour de lui ce qu'il pourrait bien faire de cet étui de latex plein d'une assez belle dose de crème. Il avise un grand sac poubelle à quelques pas, sautille jusque là et y jette l'objet. Il revient vers moi en remballant sa bite, il referme son pantalon et:

- Merci …

- Pas de quoi …

 

Soudain, de l'autre côté de la cour, une porte s'ouvre dans le bâtiment adjacent à la maison de Jean-Claude, et ses deux molosses jaillissent comme des fous. Enfermés dans la buanderie depuis ce matin, les dogues bondissent, heureux de retrouver le grand air et la liberté. Ils cabriolent vers le groupe des mecs encore présents … pas vraiment rassurés, pour certains:

- Iago !! Into !! Doucement !

 

La voix de leur maître les calme. Ils font quand même le tour de cette bande d'étrangers et les reniflent les uns après les autres. Jean-Claude les rejoint, cramponne un des chiens par son collier et rassure ses invités. L'autre molosse m'avise et se précipite vers moi. Putain, le bestiau ! D'emblée il me colle sa truffe sur la bite. Je ne me suis pas lavé non plus de ce côté après avoir éjaculé, et l'odeur qu'il y trouve semble l'intéresser. Les fesses appuyées à la table, je chope son énorme tête pour essayer de le retenir … il ne faudrait pas qu'il lui prenne l'idée de déguster mon petit oiseau. Je ne peux pas l'empêcher de me donner un premier coup de langue … puis un autre … un autre encore … Hhhmmmm, c'est très agréable, cette langue râpeuse ! 

- Iago !! Ici !! Aux pieds !!

 

C'est donc Iago qui me lèche. Mais le chien n'écoute pas son maître qui approche à grands pas en entraînant le deuxième molosse. Jean-Claude saisit le collier de Iago. J'interviens:

- Laisse-le, Jean-Claude … ça ne me gêne pas …

- Ouais, mais je veux pas qu'il  …

- Tu crois qu'il pourrait me mordre ?

- Non, non, c'est pas ça … il t'avait déjà vu et il t'a reconnu, je pense … non, mais je veux pas qu'il t'emmerde …

- Il m'emmerde pas … laisse …

- Bon … Je vais quand même mettre l'autre dans l'écurie …

- Laisse-le aussi … ils ont été enfermés toute la journée …

- Tu crois ?

- Ouais …

 

Et il lâche le collier d'Into. Lequel vient me renifler à son tour. Mais, pas plus intéressé que ça, celui-ci préfère retourner près de Philippe, suivi d'Alexis. Les odeurs des restes de bouffe qui sont dans les poubelles l'attirent. Jean-Claude les rejoint. 

 

Iago, en présence de son maître, a arrêté de me lécher et s'est assis à mes pieds. Son maître parti, il me regarde, semblant attendre quelque chose de ma part. Je lui caresse la tête. C'est le signal qu'il attendait. Il se relève et recommence à me lécher. Hhmmmm, cette langue, chaude et humide … et ce souffle brûlant sur moi … j'adore ! Quant à lui, les traces de sperme séché qu'il est en train de lécher semblent beaucoup lui plaire. C'est une impression, ou l'odeur et le goût de la semence que j'ai sur moi l'excitent ? Rapidement, ayant nettoyé ce qui pouvait l'être sur ma bite et mon ventre, il se met à élargir sa zone d'investigation et à me donner des coups de langue sur les hanches et le haut des cuisses … Et là, sa truffe hypersensible repère la source d'où s'écoule encore ce nectar qui le ravit … mon cul ! Il baisse la tête et, de force, il glisse son énorme museau entre mes cuisses … Un premier coup de langue sur mon périnée et sur mes couilles … Oh, putain ! Ça y est, il a trouvé ! Oui, c'est là ! De plus en plus excité, il redouble de coups de langue fébriles en cherchant à enfoncer davantage sa truffe entre mes fesses. Je jette un coup d'œil vers Jean-Claude et les autres … Occupés à ranger, ils ne prêtent pas attention à nous … Alors, j'écarte un peu les cuisses … Vas-y, mon pépère, lèche, régale-toi ! Ah, putain ! Sa langue sur ma rondelle encore enflammée de plaisir ! Le molosse y va gaillardement, fiévreusement, faisant monter mon plaisir … je meurs d'envie de m'étendre de nouveau sur le dos sur cette table et d'écarter les cuisses pour lui permettre de déguster cette liqueur qui suinte de mon cul … mais je n'ose pas, je ne sais pas comment Jean-Claude réagirait … Ah oui, bon chien, bon chien … Vas-y, lèche, lèche ! Soudain, je vois Jean-Claude se diriger d'un bon pas vers sa maison et la fourgonnette d'Alexis stationnée devant … Il va chercher quelque chose dans ce camion, ou il va entrer chez lui ?

 

Il rentre chez lui ! 

 

Je le fais, ou je le fais pas ? 

 

Allez, je le fais ! Allez, le bestiau, tu vas me lécher le cul ! Je repousse la tête du chien, et je fais demi-tour. Je m'appuie des deux mains sur cette table, j'écarte les jambes, et je me cambre. Aussitôt, le molosse me refourre sa truffe entre les fesses et se remet à me lécher frénétiquement la rondelle. Ah putain, ce que c'est bon ! Et soudain, sur ma gauche, des éclats de rires ! C'est les autres … ils m'ont repéré ! Je m'en fous, et pour bien le leur montrer, je m'empoigne les fesses à deux mains, et je les écarte … Vas-y, lèche, mon pépère, lèche !

 

-  Philippe, va occuper Jean-Claude !

 

Je ne sais pas qui vient de dire ça, mais quand je tourne la tête, je vois Philippe foncer vers la maison. Soudain, le molosse arrête de me lécher et il se dresse contre moi. Ses pattes arrière entre mes pieds, il essaie maladroitement de m'enserrer les hanches de ses pattes avant. Oh putain, il veut me saillir ! Ce chien veut me couvrir ! Pour lui, je suis une chienne ! Oh oui, t'as raison, je suis une chienne … vas-y, baise-moi, prends-moi en levrette ! Aussi grand que moi, il halète en bavant entre mes omoplates et il sautille d'une patte sur l'autre en agitant frénétiquement son bassin à la recherche d'une vulve où insérer sa bite. Je me retiens comme je peux à table, pour ne pas m'affaler sous le poids du molosse … 

 

Dans ma tête, ça tourne à toute vitesse … je me laisse saillir, ou pas ? Ce n'est pas pour la réaction de Jean-Claude, que j'hésite … S'il nous surprenait alors que son Iago a déjà commencé de me saillir, qu'est-ce qu'il ferait ? Surtout en présence des autres, qui ont l'air de ne demander que ça, de me voir me faire fourrer par ce chien. Non, j'hésite parce que je n'ai jamais fait ça et parce que, même si j'en ai une furieuse envie, j'ai quand même un peu peur. Surtout à cause de cette histoire de "nouage", et du bulbe érectile à la base de son vit qui pourrait se gonfler à l'intérieur de mon rectum pour que nous restions collés. C'est ce que les anglais appellent le knot, le nœud. Je me demande quelle taille peut avoir ce knot chez un dogue allemand. 

 

Et puis, je sens quelque chose de caoutchouteux frapper en cadence le haut de mes cuisses ainsi que mes fesses, tout en m'aspergeant de petits jets brûlants … il a commencé à éjaculer, et c'est son vit qu'il essaie d'introduire en moi. Oh, et puis, tant pis, on verra bien … vas-y, baise-moi, le chien ! Je jette un coup d'œil vers la petite dizaine de spectateurs. Maintenant tous silencieux, visiblement interloqués, ils se sont rapprochés, le traiteur inclus, et certains se sont placés derrière nous, sans doute dans l'espoir de voir de près l'accouplement d'un chien et d'un mec … d'ailleurs, ses coups de bite se font de plus en plus précis et se rapprochent de ma rondelle … A ce rythme, dans quelques secondes, il aura trouvé l'entrée et il sera en moi ! Je me laisse aller un peu en avant, et je m'accoude sur la table. Voilà ! Oh, putain, il a trouvé ! Et son sexe s'introduit un peu en moi … Oh, la vache, je suis accouplé à un chien ! Mais ça ne dure qu'une ou deux secondes. Il s'agite tellement qu'il ressort, et cherche immédiatement à rentrer … presque aussitôt, il retrouve mon orifice … et cette fois, d'un violent coup de reins, il s'enfonce profondément en moi … Oh, merde, je suis en train de copuler avec un molosse ! Il va me … il va m'inséminer ! Oh oui, baise-moi, le chien … baise-moi ! Calme-toi, mon pépère, et arrête de t'agiter comme ça, tu vas encore ressortir … En effet, sans doute guidé par son instinct, il ne bouge plus qu'imperceptiblement … Cette fois, c'est parti, il va vraiment me saillir ! Une fois son knot gonflé dans mon cul, on ne pourra plus nous décoller … il faudra attendre qu'il ait fini d'éjaculer pour qu'il se dégonfle, et qu'on puisse se décoller …

 

- Qu'est ce que vous foutez ?

 

Je sursaute. C'est Jean-Claude qui ressort de chez lui. C'est plus fort que moi, instinctivement, je me redresse, je repousse le chien qui retombe sur ses quatre pattes, et je me retourne. Je réalise que les spectateurs, rassemblés autour du chien et moi, ont fait écran, et s'il s'interroge sur la situation, Jean-Claude n'a sans doute pas vu ce qui se passait réellement … Personne ne lui répond. J'ai l'impression que les spectateurs sont un peu honteux, et ils retournent à leurs occupations en riant et en murmurant … Le chien essaie bien de me grimper de nouveau en m'agrippant la jambe, mais, découragé, il n'insiste pas, se couche à mes pieds et entreprend de se lécher la bite. Pauvre bête ! Il doit être aussi frustré que moi.

 

Jean-Claude s'approche de moi:

- Hein ...qu'est-ce que vous foutiez ?

 

Je suis pris au dépourvu et je ne sais pas quoi lui répondre. Comme par réflexe, je hausse les épaules et je secoue la tête d'un air de dire « Comment ça ? Je ne comprends pas … ». Pas dupe, il me fusille du regard:

- Me dis pas que t'étais en train de …

 

Il soupçonne certainement en partie la vérité, mais il n'arrive pas à formuler ce qu'il imagine. Alors j'en profite:

- Qu'est-ce que tu crois ? On ne faisait rien …

 

Pourtant, quelque chose en moi me souffle de profiter de l'occasion pour … peut-être pas lui avouer crûment mon envie de me faire saillir par un chien … par SON chien, mais peut-être de lui suggérer … Seulement, tout comme lui, je ne sais pas comment formuler ça … A son air renfrogné, c'est sûr, il ne croit pas qu'on "faisait rien" ...

 

- Hé, Jean-Claude ! Viens un peu par ici !

 

C'est Philippe qui l'appelle. Il hésite et finit par le rejoindre. Bon, je crois qu'il est temps de lever le camp !

 

Alexis, aidé par le fermier et Philippe, finit de remballer son matériel et, pendant que je réunis mes affaires, les autres rangent tables, chaises et fauteuils.

 

- Hé, les mecs ! Regardez !

 

C'est Franck, monté sur la scène, qui arbore le drap qu'il vient d'enlever du matelas. En riant, il tend la toile devant lui. Une énorme auréole beige-crème s'étale en un cercle parfait: une marre de sperme ! Jean-Claude:

- Laisse ça, mec, je le laverai … et je démonterai la scène demain …

 

Voilà, c'est fini … Assis à l'ombre d'un hangar, je change de porte-jarretelles, je remets mon corsage bleu électrique et j'enfile ma mini jupe en jean. J'hésite un moment, puis je me décide à quand même enfiler un micro string rose fluo. Pour prendre congé de la dizaine de mecs qui sont encore là, je leur caresse le bas ventre en même temps que je leur serre la main. Au moment où je monte en voiture, Philippe me tend la liste qu'il a établie:

- Tu oubliais ça …

- Ça aurait été dommage …

- Alors, qu'est-ce qui s'est passé, avec le chien de Jean-Claude ? Il t'a … il t'a grimpé ?

 

Je ris:

- Non, mais ça a failli … son maître est revenu trop vite …

- J'ai fait ce que j'ai pu pour le retenir … 

- Ouais, je sais …

- On s'est douté que tu voulais te faire euh … quand on t'a vu te retourner et lui ouvrir ton cul, on s'est dit « c'est bon, là ! Il veut se faire niquer par le chien …»

- Exact …

- Mais, tu te serais laissé … baiser par son chien ?

- Oui …

 

Il secoue la tête, ébahi:

- T'en as jamais assez … t'es un drôle de mec … un clébard, quand même …

 

Je hausse les épaules:

- C'est un mâle … et il en avait envie … et moi aussi …

- Ouais, mais … bon, enfin, si c'est ton truc … Ah, au fait … j'ai demandé à Guy et à Jérôme de t'envoyer les photos et les vidéos qu'ils ont faites …

- Ah oui, merde … je n'y pensais plus … j'espère qu'ils ne vont pas les diffuser à tort et à travers …

- Non, non, t'inquiète … ça, c'est réglé … plusieurs participants s'inquiétaient aussi … ils ne tenaient pas à ce que des vidéos d'eux en train de te baiser se retrouvent sur le Net … et de leur côté, Guy et Jérôme sont venus spontanément me demander tes coordonnées pour te les envoyer … alors, on s'est mis d'accord … Guy va flouter tous les visages sur ses photos et ses vidéos et sur celles de Jérôme … il a l'habitude, il sait faire … et il va les envoyer floutées à tout le monde … 

- Bon, OK … mais moi, j'aurais bien aimé les avoir non floutées …

- Et ben, j'allais y venir … justement, avant de faire ces manips, ils vont t'envoyer les originaux … tu vois, les grands esprits se rencontrent, comme on dit …

- Super ! Vous êtes des chefs, les mecs … bon j'y vais … Salut et encore merci …

- Allez, salut. C'était un plaisr, tu sais ...

- Tchao … Appelle-moi, hein, si …

- OK !

 

Je démarre, je manœuvre pour sortir de la ferme et je klaxonne au moment de passer le porche. Je traverse le village désert à petite vitesse. Au passage, je remarque la boutique d'Alexis. 

 

Me voilà sur la départementale. Par ce beau temps, je ne suis vraiment pas pressé de rentrer chez moi et je décide de prendre le chemin des écoliers. Je baisse ma vitre. Le soleil me chauffe les cuisses et le ventre  à travers le pare-brise. Je remonte ma jupe et je sors ma queue de mon string. Hhmmmmm. Il y a pas mal de trafic, en cette belle fin d'après-midi … les gens sortent, vont faire leurs courses, rentrent de promenade … et moi, je sors d'un gang bang organisé pour mon cul ! Depuis ce matin, pendant que certains travaillaient, ou bricolaient, ou regardaient la télé, ou se baladaient … bref, pendant qu'ils vaquaient à leurs occupations, moi, je me faisais baiser par une trentaine de mecs en rut ! C'est bizarre, me dire ça, maintenant que je me retrouve dans … dans la vie réelle, hors de ce milieu relativement clos qu'était cette cour de ferme … ça a quelque chose d'irréel … comme si c'était un autre moi-même qui avait vécu tout ça … Et pourtant, vu l'état encore légèrement enflammé de mon anus, vue l'odeur de sexe qui remonte d'entre mes cuisses, il n'y a pas à dire, c'est bel et bien moi qui me suis fait chevaucher et … honorer aujourd'hui !

 

J'aimerais bien que tous ces gens autour de moi sachent d'où je viens et ce que j'y ai fait. Hé, toi le mec, agacé que je roule aussi lentement et qui me dépasse rageusement, tu veux pas savoir combien de coups de bites je me suis pris aujourd'hui ? Et toi, la blonde qui est devant moi, dans ta Mini, avec tes gosses à l'arrière, si ça se trouve, c'est ton mari qui m'a fourré, tout à l'heure, sur cette scène … Hé, le maçon, arrêté au stop dans ta camionnette, tu sais que ce matin, je suçais des bites pendant que tu posais des parpaings ? Et la bonne femme, là, sur le trottoir, des bites, t'en as sans doute jamais pris autant dans ta chatte que j'en ai pris dans mon cul cet après-midi … 

 

Tiens, me voilà arrivé à F. sans m'en rendre compte. Pas mal de monde dans les rues. La mini jupe remontée sur le ventre, je n'ai surtout pas envie de la rabattre pour dissimuler mon sexe … Je roule lentement, croisant et dépassant des couples, des femmes avec poussette, des hommes se hâtant vers je ne sais où, des vieux … Il suffirait qu'ils baissent les yeux vers l'intérieur de ma voiture pour découvrir ma bite … je bande et je me tripote sans vergogne de la main gauche … Un feu tricolore au vert … un couple qui attend pour traverser … si je ralentis un peu, il va passer au rouge … voilà, orange … l'homme me regarde pour savoir si je vais m'arrêter … rouge. Je m'arrête. L'homme me sourit et commence à traverser au bras de sa femme … regarde, mec, et tu verras ma queue … mais non, il ne peut pas la voir, cachée derrière le tableau de bord … Vert. Je redémarre … Là-bas, devant moi, un car qui circule en sens inverse de moi, arrêté au niveau d'une chicane par une file de voitures … je vais être à côté de lui dans quelques secondes, et contraint d'attendre qu'il redémarre pour passer la chicane à mon tour … Il est vide, ou il est occupé ? Me voilà au niveau du chauffeur … il ne fait pas attention à moi … j'avance encore et je m'arrête. A côté de moi, dans le car, une fille absorbée par l'écran de son smartphone … Hé poulette ! Tourne un peu la tête, et regarde … je lâche ma bite et je pose mon avant bras sur ma portière … mon mouvement va attirer son attention … au moment où elle lève le nez de son écran, le car redémarre … elle ne m'a pas vu. Derrière le car, une .. deux … trois voitures … et personne ne me remarque … je redémarre et, toujours aussi lentement, je finis de traverser F.

 

Me voilà sur la Nationale. Ça roule … dans les deux sens … Je connais bien cette route pour y avoir souvent circulé en me tripotant, pantalon ou short baissé, ou minijupe relevée … Immédiatement, je pense à cette espèce de bas-côté, à quelques kilomètres … c'est comme une aire de stationnement à peine aménagée en bordure de la Nationale et bordée d'un petit bois. J'y ai souvent vu des mecs s'arrêter là pour pisser et même des routiers y piquer un petit somme. C'est un peu crade, plein de déchets et de papiers suspects. Bien que je n'aie jamais rien vu qui le confirme, je suis convaincu pour je ne sais quelle raison que c'est un lieu de drague pour les mecs. Je ne pense pas qu'ils passent à l'acte sur place, mais ils doivent s'y rencontrer et aller conclure dans des endroits plus discrets … Et je commence à me faire des scénarios: dans des flashes, je me vois, les fesses appuyées sur l'aile de ma voiture, la minijupe remontée au ras de la bite, allumer les automobilistes pour qu'ils s'arrêtent, je m'imagine, accoudé sur le capot, jambes écartées, minijupe retroussée, à me faire besogner par un mâle sous les yeux d'autres mâles attirés par le spectacle et disposés à me passer dessus à leur tour … le tout à la vue des autres automobilistes, passant au ralenti pour contempler la scène … 

 

Non, mais quand même … je ne vais pas … je peux tomber sur n'importe quel bargeot … ou les flics … faut pas pousser … on verra bien quand j'arriverai là-bas … je peux toujours m'arrêter et rester dans ma voiture …

 

Et soudain, je sens quelque chose s'échapper de mon cul dans un bruit de gargouillis. Quand bien même j'aurais senti arriver ce qui vient de s'échapper de moi, mon sphincter aurait été incapable de le retenir, tellement il a été dilaté, détendu, tout au long de cette journée. Sous moi, je sens s'étaler une tache tiède, humide, en partie absorbée par le tissu de mon siège. Merde ! Pourvu que ça n'en soit pas … justement, de la … Vingt quatre heures sans avaler quoi que ce soit de solide … j'ai bien un peu mangé ce midi, mais ça ne va pas aussi vite … et puis, pas d'odeur … Ma main droite entre mes cuisses, mes doigts entre mes fesses … Ouaaaah, quelle tache ! La ficelle de mon string est trempée. C'est tiède, c'est visqueux, mais il n'y a rien de solide, si peu que ce soit … Je remonte mes doigts … ils sont couverts d'une crème blanche, nacrée et gluante … Ouf, c'est du sperme … La paume de la main droite posée sur le volant, je regarde mes doigts … ils glissent les uns sur les autres dans cette substance poisseuse. Ce cocktail, c'est les semences de qui ? Finalement, j'en avais gardé pas mal, tout n'était pas ressorti sur le matelas … et le chien n'a pas léché le reste … il devait m'en rester pas mal, assez loin dans le ventre … les Sam, Thierry, Philippe, Gérard et les autres ont dû m'en injecter tellement qu'une partie m'est sans doute remonté très loin dans les entrailles, et a mis un peu de temps à redescendre … 

 

Me voilà à cette aire de stationnement. Clignotant. Je me gare et je coupe le moteur. Des voitures et des utilitaires défilent à quelques mètres de moi, dans les deux sens. L'un d'eux donne quelques coups de klaxon en passant. Je détache ma ceinture de sécurité et je me soulève un peu au-dessus de mon siège. Je glisse ma main sous moi … Oh la vache ! Il y en a vraiment beaucoup. Le tissu de mon siège est trempé, et ça s'est étalé jusque sur le bord de ma jupe. Je crois même qu'il s'en écoule encore de mon cul. Je pose de nouveau mes fesses sur cette bouillie. Oh, les mecs ! Quelle pétée vous m'avez mis ! Ça me plaît d'avoir gardé autant de foutre au fond de moi, de l'avoir emmené et qu'il se soit répandu sous moi en chemin. C'est bizarre, au lieu d'être gêné par ce fluide corporel, organique, qui s'étale sous moi en souillant mon siège, je trouve ça très agréable … en bougeant un peu, je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre … C'est la semence que mes étalons m'ont inséminée … c'est la trace, la preuve du plaisir que ces mâles ont pris dans moi … je me sens comme une salope qui rentre à la maison retrouver son mari, encore pleine de la liqueur de l'amant qu'elle vient de quitter … sauf que moi, ce n'est pas un amant que je viens de quitter … c'est trente … trente amants … trente baiseurs … et ce qui vient de s'écouler de mon ventre, c'est la liqueur de huit ou neuf mecs, je ne sais plus … peut-être dix … Pendant toute cette journée, j'ai été la maîtresse de ces mecs… non, j'ai été leur femelle, à ces mecs ! Même si avec certains, il y a eu des moments de … de sentiment … de gentillesse … de tendresse, presque … le plus souvent, ils se sont comportés avec moi comme l'étalon qui couvre sa jument … pour eux, je n'ai été qu'une femelle à saillir … et c'est tant mieux, parce que j'aime ça ! Il faut dire que moi-même, je me suis vraiment comporté comme une jument en chaleurs qui réclame des étalons ! Je les ai allumés, excités … et pas en diffusant des phéromones … je les ai fait bander en les tripotant, en leur montrant mon cul, en leur faisant savoir que je voulais qu'ils me baisent … comme une femelle en chaleurs … et c'était ça … au fond de moi, j'étais une femelle en chaleurs … j'avais une furieuse envie de mâles … une furieuse envie de bites … une furieuse envie de sperme …

 

Je bouge un peu mon bassin et je sens que ça s'étale un peu plus sous moi. Je glisse de nouveau mes doigts entre mes cuisses, je les ressors, gluants, poisseux et je les lèches consciencieusement en regardant passer les voitures à côté de moi … Oh putain, les mecs qui passez là, si vous saviez ce que je suis en train de sucer ! De nouveau, je soulève mon bassin et, tant bien que mal, en me tortillant, j'essaie d'enlever mon string. Coincé par ma jupe qui me moule les fesses, il résiste mais je finis par arriver à l'arracher. Pendant que je manœuvre ainsi, nouveau coup de klaxon. Je glisse mon string sur mes cuisses, sur mes mollets et je le passe sous mes pieds. Il n'est pas seulement trempé au niveau de mon trou du cul …le sperme est remonté entre mes fesses, et le minuscule triangle de derrière en est imprégné … Je le renifle … hhmmmm, ça sens le sperme qui commence à tourner … une odeur un peu aigrelette, un peu acide, un peu musquée … l'odeur de la bite et de la fornication, l'odeur des parties de cul … ça m'excite et, tout en me masturbant, je porte mon minuscule string à ma bouche et je le suce …

 

Soudain, par ma vitre ouverte, j'entends, venant de derrière, un crissement de pneus sur le gravillon de l'aire de stationnement. Je jette un coup d'œil dans mon rétroviseur extérieur … une voiture avance lentement dans ma direction, et de toute évidence, pas pour se garer derrière moi, mais pour passer à côté de moi … Je sors mon string de ma bouche et j'attends … La voilà à ma hauteur … la vitre côté passager s'abaisse … un mec brun, cheveux courts, la trentaine, me regarde et me sourit:

- Ça va ?

- Ça va …

- Tu … tu fais quoi, là ? Tu attends quelqu'un ?

- Non …

- Tu sais ce que c'est, cet endroit …

- Non …

- Tu te doutes pas ?

- Un peu …

- Tu es là pour ça ?

- Pas spécialement …

- Je peux venir ?

 

Voilà, c'est bien ça … c'est un lieu de drague pour mecs … Au fond de moi, c'est ce que j'espérais, qu'un mec s'arrête pour ça ... et ce mec là, qui vient de s'arrêter, il a envie de tirer un coup, il me trouve là, et il tente sa chance … et je le sais déjà, il va le tirer son coup … et je vais encore me prendre une queue ! Alors, pas la peine de finasser: en guise de réponse, je tends la main vers le loquet de la portière, côté passager, et je le relève ostensiblement. Il a compris:

- J'arrive !

 

Il redémarre, se gare devant moi et descend me rejoindre. Il ouvre la portière et s'assoit en me regardant:

- Ah, d'accord !!!!

 

Ben oui, ma minijupe retroussée, mes bas, et ma bite à l'air qui bande … il ne s'attendait pas à ça. Je lui souris:

- Surpris ?

- Ben … oui … je … je m'attendais pas … à ça !

- Ça te plaît pas ?

- C'est … c'est pas ça … et tu dis que tu sais pas ce que c'est cet endroit ?

- Je me doutais, mais ce n'est pas vraiment pour ça que je me suis arrêté …

- Ah bon ?

 

Il regarde alternativement le string que j'ai dans la main, ma bite, mes cuisses, ma tronche …

- Oui, je … je repensais à la journée que je viens de passer … et au souvenir qu'on m'a laissé …

- Ah ? C'est-à-dire?

- Tu veux me donner ta main ?

- Ben … pourquoi …

- Je vais te montrer … n'aie pas peur, ce n'est pas dangereux …

 

Hésitant, il me tend sa main … Je me tourne vers lui, je saisis sa main et je l'attire vers mon entrejambe … Il est un  peu raide, mais il se laisse faire. Je me soulève un peu, je guide sa main entre mes cuisses, et je la glisse sous moi. Il la retire précipitamment:

- Qu'est-ce que c'est ? C'est dégueulasse …

- C'est du sperme …

- C'est du sperme ? 

 

Les yeux écarquillés, il regarde autour de lui, comme s'il cherchait quelque chose pour s'essuyer. Il finit par frotter ses doigts sur le tissu de son siège, entre ses cuisses. Il me regarde, effaré. J'explique:

- Oui, c'est du sperme … c'est ça, le souvenir qu'on m'a laissé … je me suis fait baiser, aujourd'hui …

- Mais … tu t'es pas lavé, après ?

- Non. Je l'ai gardé exprès … j'aime bien …

- Mais … y'en a … y'en a beaucoup …

- En effet …

- C'était un gros éjaculateur, ce mec …

- Pas spécialement … mais ils étaient plusieurs …

- Plusieurs ?

- Oui. C'était un gang bang …

 

Il est interloqué. 

- Un gang bang ? Tu … tu te fais …

- Je me suis fait baiser par des mecs en gang bang ? Oui … 

- Ah bon … mais, je … 

 

Il me regarde en hochant la tête … il ne sait plus quoi dire. Je reprends:

- Et toi ? Tu voulais quoi, en t'arrêtant ici ?

- Je … d'habitude, c'est pour … ça dépend … des fois, il y a des branleurs … des fois des suceurs … des mecs qui baisent, c'est plus rare … 

- Et là, tu voudrais quoi ? Si tu as encore envie, évidemment  … 

- Euh, je … je sais pas … mais … après ton gang bang, toi, tu as encore …

- Envie ? Oui, j'ai encore envie. Tu veux que je te branle ? Tu veux que je te suce ? 

- Tu veux me sucer ?

- Oui.

 

Je pose mon string sur le tableau de bord, je me penche vers lui et je tends la main vers la ceinture de son pantalon. Il repousse ma main:

- Non, mais attends … pas ici !

- Ah bon …

- Ben oui, ici, c'est que pour le premier contact … après, on va ailleurs …

- Bon … Tu sais où ?

- Oui, oui … c'est sur la route de P., en haut de la première côte, un petit chemin à droite au milieu d'un bois …

- Je te suis ?

- Ouais … suis-moi …

 

Je vois où c'est. En effet, sur la route de P., en haut de la première côte, il y a ce bosquet, avec un petit chemin où j'ai souvent vu des voitures s'engager. Ça doit être là que ça se passe Il descend de ma voiture, remonte dans la sienne pendant que je reboucle ma ceinture. Je vais encore sucer une queue ! La queue d'un inconnu ! 

 

Il clignote, attend que les voitures qui arrivent derrière nous soient passées, et il s'engage sur la Nationale … Je le suis. Nous roulons au rythme des voitures qui nous précèdent. Au premier carrefour, il prend la route de gauche. Je connais, c'est une très longue ligne droite qui aboutit à P … Il n'y a personne devant le type que je vais sucer, et il accélère. J'appuie aussi sur l'accélérateur, mais il s'éloigne de plus en plus vite … sa voiture est bien plus puissante que la mienne … c'est sûr, il dépasse largement la limitation de vitesse. Il est drôlement pressé de se faire sucer, ce mec ! De loin, je le vois aborder cette première côte et rapidement disparaître au sommet. Quand j'y arrive aussi, plus trace de ce type et de sa voiture. Il a dû entrer dans le bosquet. Je m'engage lentement à mon tour dans le petit chemin entre les arbres … il n'est pas là. Ne sachant pas si il faut beaucoup s'éloigner de la route, j'avance prudemment … toujours pas de voiture … Et soudain, je débouche dans une espèce de clairière … vide ! Le petit chemin ne va pas plus loin. Le mec n'est pas là ! Mais au sol, dans l'herbe aplatie par des roues de voitures, il y a des mouchoirs en papier chiffonnés, des étuis de capotes et même des capotes usagées … c'est bien ici que se concluent ces rendez-vous … mais ce type ne s'y est pas arrêté … en haut de cette côte, il a dû continuer … il s'est sauvé … j'ai dû lui faire peur …

 

Je fais demi-tour et je rentre chez moi …

 

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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