Récits pornographiques

Vendredi 1 juillet 2016 5 01 /07 /Juil /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Voilà … c'est fait … je les ai eues, mes quatre doubles sodomies … Ces accouplements simultanés avec des duos de mâles en rut, c'était … waouhhhhh ! Ça a vraiment été le summum de cette journée de baise ! Quatre fois fourré, enculé et inséminé simultanément par deux mecs! Quelle femelle fait ça ? Et la dernière, par Sam le tatoué et Thierry le gros poussah, c'était … indescriptible ! Encore plein de la semence de je ne sais combien de mecs qui m'avaient baisé individuellement, et par celles des trois duos qui les avaient précédés, ces deux types, tellement bien montés, m'ont fourré à leur tour leurs deux énormes sexes en même temps dans le cul … ils m'ont forcé, ils m'ont ouvert, ils m'ont rempli le rectum comme il ne l'avait jamais été … ils m'ont défoncé et ils m'ont rendu hystérique … submergé par le plaisir, enivré par ce coït doublement contre nature, je me suis laissé aller sans pudeur comme une espèce de femelle nymphomane dépravée, lubrique, indécente, bestiale ….

 

C'est le gros Thierry qui a joui le premier … et moi, tout de suite après … juste avant Sam …

 

Immédiatement après, rassasié, fourbu, rompu, je me suis endormi ... et j'ai rêvé … J'ai rêvé de bites, de mecs qui me baisent à la chaîne, de mecs qui jouissent dans ma gorge, qui éjaculent dans mon cul …

 

Quand je me suis réveillé, j'avais encore un mec sur moi … un mec qui venait de me baiser pendant que je roupillais … 

 

Et maintenant, la journée tire à sa fin. Philippe, Jean-Claude et d'autres sont en train de débarrasser les tables et de ranger. Alexis, le traiteur vient de revenir pour récupérer son matériel. On a fait quelques photos en groupe et plusieurs mecs viennent de me dire au revoir et de s'en aller. Philippe me tend une feuille de papier:

- Tiens … ça, c'est la liste de tous les mecs qui étaient là aujourd'hui … avec leurs coordonnées … téléphone, mail …

- Ah bon ? Merci … en somme, c'est la liste de tous mes amants d'aujourd'hui …

- Voilà … si tu veux les recontacter … et ils m'ont demandé les tiennes, de coordonnées … Jean-Claude les a tapées et les a imprimées et on les a distribuées à tout le monde ..

- Super …

 

Une main se pose sur mon épaule et me fait pivoter:

- Viens par là, toi …

 

C'est Sam. Il s'est rhabillé et il a son casque à la main. Visiblement, il s'apprête à partir. Il me prend le bras et il m'entraîne vers la rangée de tables.  Il veut quoi, exactement ? Il pose son casque et me tourne, dos à une table … Les autres nous observent. Me tenant à deux mains par les épaules, Sam me bascule en arrière, m'allonge sur la table et vient se placer entre mes jambes. Appuyé sur les coudes, je le regarde. Il veut encore me baiser ? Je le crois pas … Un petit sourire aux lèvres, il déboutonne son jean. Mais oui, c'est ça, il va encore me fourrer ! Il sort sa bite … Oh la vache, elle me fait toujours le même effet ! Quel engin ! Dès que le la vois, il me prend une furieuse envie de me la faire fourrer. Il me saisit sous l'arrière des genoux et soulève mes jambes. Je croise mes chevilles derrière ses reins. Il empoigne sa queue et l'approche de ma rondelle … Ah yess ! J'ai son gland dans le cul ! Il ne bande pas, mais ça ne fait rien … même comme ça, ça me plaît qu'il soit en moi. Je finis de m'allonger sur la table et je ferme les yeux. Cramponnant sa queue, il s'enfonce en moi:

- Tu t'es pas lavé …

- Non … je vais rentrer chez moi avec votre sperme dans le cul .

 

Il est complètement en moi, je sens son ventre contre mon périnée … il est immobile. Il me prend par les hanches et poursuit:

- On va se revoir très vite, tous les deux …

- C'est vrai ?

- Ouais … je vais t'amener à mes potes …

- … m'amener à tes potes ?

- Ouais … des bikers … pour qu'ils te baisent …

 

Il ne me demande pas si je suis d'accord, si j'en ai envie … non, il VA m'amener à ses potes pour qu'ils me baisent ! C'est pour m'annoncer ça qu'il a cru bon de me fourrer sa bite ... il s'est dit que, comme ça, je n'aurais pas le courage de dire non. Précaution inutile ... j'aurais dit oui même s'il ne m'avait pas fourré. Mais c'est toujours ça de pris ... Non seulement son projet ne me choque pas, non seulement ça m'étonne pas, mais ça m'excite … ça y est, il considère que je suis à lui et qu'il peut disposer de mon cul comme il veut. Et il a raison, il a compris qu'équipé de l'entrejambe comme il l'est, il m'a rendu accro à sa queue et que je suis prêt à tout accepter de lui, du moment qu'il me baise:

- D'accord, si tu veux. Pourquoi ils sont pas venus aujourd'hui, tes potes ?

- On savait pas ce que tu valais … avant, il fallait que je t'essaie …

 

Ah, putain ! Il est venu m'essayer ! Comme je ne sais quel produit … une bagnole, une moto … Et j'adore ça !

- Ah bon ? Et alors ?

- Alors ? Ça va … t'es bonne …

- Et tes potes, ils sont comment ?

- C'est des bikers … tu verras bien …

- Et ils sont combien, tes potes ?

 

Ça le fait rire:

- T'occupes … de toute façon, le nombre, ça te fait pas peur, hein …

- Non … c'est juste pour savoir …

- Tu sais, ils te baiseront pas tous … Y'en a qui préfèrent les gonzesses …

- Bon. Quand est-ce que tu m'amènes à tes potes ?

- Je sais pas … faut que je voie ça avec eux … et j't'appelle …

 

Brusquement, il dénoue mes jambes, recule son bassin et sort son sexe de moi. Je me remets sur mes pieds et, avant qu'il ait eu le temps de remballer son paquet dans son jean, je saisis sa queue et je la masturbe:

- J'ai hâte …

- Sans blague …

 

C'était ironique. Il repousse ma main, remballe son engin, me tourne le dos et sans un mot, se dirige vers sa moto. Curieuse façon de prendre congé … mais bien conforme au personnage !

 

Il croise le traiteur, qui vient de charger quelque chose dans sa fourgonnette. Alexis, me voyant … libre, me fait un signe de la main. Je lui réponds de même. Prenant ça pour un encouragement, il s'approche de moi:

- Bon … bonjour …

- Oui .. re-bonjour …

- Oui, c'est vrai … re-bonjour … alors, c'est … c'est terminé ?

- Ben oui …

- Ah bon … et, c'était … c'était bien ?

 

J'ai senti une pointe de déception dans son "Ah bon … ".

- Ah oui, c'était même très bien …

- Ils vous ont … ils vous ont tous euh …

- … baisé ? Oui, ils m'ont tous baisé …

 

Il se dandine devant moi … il a quelque chose à me demander, mais il n'ose pas … comme je devine de quoi il s'agit, je viens à son secours:

- … mais pas toi …

- Co … comment ça …

- Ils m'ont tous baisé mais toi, tu ne m'as pas baisé … je t'ai sucé, mais tu ne m'as pas baisé …

- Oui … enfin, non … c'est vrai …

- T'as envie ?

- De … 

- De me baiser …

- Ben … oui …

- Tu veux maintenant ?

- Main … maintenant ?

- Oui, là, sur cette table …

- Ben …

 

Il jette un coup d'œil aux autres, qui ne font pas plus que ça attention à nous. Ça doit encore le gêner de me baiser en public. Mais, alors que je m'apprêtais à lui proposer de nous isoler dans un coin discret, à ma grande surprise:

- Ben oui … pourquoi pas …

- Bon … comment tu veux me prendre ?

- Par … par derrière … debout … par derrière …

- D'accord … euh .. je te préviens, je ne me suis pas lavé … et j'ai encore plein de sperme dans le cul … et …

 

Je n'ai pas le temps de lui expliquer que je n'ai pas l'intention de me laver, il me coupe la parole:

- C'est bon, c'est bon … Philippe m'a dit …

- Ah bon …

- Oui … et il m'a donné …

 

Il plonge une main dans sa poche et, tout fier, il en sort un étui:

- … il m'a donné une capote …

- Très bien … donne … et sors ta queue …

 

Rayonnant, il me tend l'objet. Pendant qu'il déboutonne son pantalon, je déchire l'étui et j'en sors la capote. Il ne bande pas … enfin, pas vraiment … mais visiblement, il est excité … Je m'accroupis devant lui, je saisis sa queue et je lui donne quelques petits coups de langue. Elle réagit aussitôt et commence à gonfler. Alors, je la prends dans la bouche, je la décalotte avec mes lèvres et je la suce … Il pose ses deux mains sur ma tête et en levant les yeux, je vois qu'il me regarde. Je me prends au jeu et je m'active de plus en plus fiévreusement des lèvres et de la langue … Hhmmmm, je veux bien qu'il me tire comme ça, dans la bouche … tant pis s'il ne m'encule pas … j'ai eu ma dose de sperme dans le cul … Mais au bout d'un moment, il recule son bassin et:

- Arrêtez, arrêtez … sinon, je vais …

 

Bon … dommage … Il extrait son sexe … cette fois il bande dur … Toujours accroupi, j'entreprends de dérouler la capote sur sa bite, puis je me relève. Je le manipule un peu avant de le lâcher, et je me retourne. Les deux mains appliquées sur la table, j'écarte les jambes et je me cambre:

- Allez … prends-moi …

 

Il commence par guider son sexe de la main, il me pénètre, pose ses mains sur mes hanches, et commence à aller et venir … Combien de fois je me suis fais prendre dans cette position, aujourd'hui ? Et ça va très très vite … en fait, il n'avait pas envie de me baiser longuement, il avait seulement envie de tirer un coup vite fait … Il respire de plus en plus fort, de plus en plus vite … il se met à haleter … et, les mains crispées sur mes hanches, il jouit. Ça n'avait rien d'excitant, d'autant qu'il se vide au fond de cette capote, et pas au fond de mon cul … mais ça me fait plaisir d'avoir permis à un dernier mec de se soulager aujourd'hui … Il s'extrait de moi, et quand je me retourne, il est en train d'ôter la capote, regardant autour de lui ce qu'il pourrait bien faire de cet étui de latex plein d'une assez belle dose de crème. Il avise un grand sac poubelle à quelques pas, sautille jusque là et y jette l'objet. Il revient vers moi en remballant sa bite, il referme son pantalon et:

- Merci …

- Pas de quoi …

 

Soudain, de l'autre côté de la cour, une porte s'ouvre dans le bâtiment adjacent à la maison de Jean-Claude, et ses deux molosses jaillissent comme des fous. Enfermés dans la buanderie depuis ce matin, les dogues bondissent, heureux de retrouver le grand air et la liberté. Ils cabriolent vers le groupe des mecs encore présents … pas vraiment rassurés, pour certains:

- Iago !! Into !! Doucement !

 

La voix de leur maître les calme. Ils font quand même le tour de cette bande d'étrangers et les reniflent les uns après les autres. Jean-Claude les rejoint, cramponne un des chiens par son collier et rassure ses invités. L'autre molosse m'avise et se précipite vers moi. Putain, le bestiau ! D'emblée il me colle sa truffe sur la bite. Je ne me suis pas lavé non plus de ce côté après avoir éjaculé, et l'odeur qu'il y trouve semble l'intéresser. Les fesses appuyées à la table, je chope son énorme tête pour essayer de le retenir … il ne faudrait pas qu'il lui prenne l'idée de déguster mon petit oiseau. Je ne peux pas l'empêcher de me donner un premier coup de langue … puis un autre … un autre encore … Hhhmmmm, c'est très agréable, cette langue râpeuse ! 

- Iago !! Ici !! Aux pieds !!

 

C'est donc Iago qui me lèche. Mais le chien n'écoute pas son maître qui approche à grands pas en entraînant le deuxième molosse. Jean-Claude saisit le collier de Iago. J'interviens:

- Laisse-le, Jean-Claude … ça ne me gêne pas …

- Ouais, mais je veux pas qu'il  …

- Tu crois qu'il pourrait me mordre ?

- Non, non, c'est pas ça … il t'avait déjà vu et il t'a reconnu, je pense … non, mais je veux pas qu'il t'emmerde …

- Il m'emmerde pas … laisse …

- Bon … Je vais quand même mettre l'autre dans l'écurie …

- Laisse-le aussi … ils ont été enfermés toute la journée …

- Tu crois ?

- Ouais …

 

Et il lâche le collier d'Into. Lequel vient me renifler à son tour. Mais, pas plus intéressé que ça, celui-ci préfère retourner près de Philippe, suivi d'Alexis. Les odeurs des restes de bouffe qui sont dans les poubelles l'attirent. Jean-Claude les rejoint. 

 

Iago, en présence de son maître, a arrêté de me lécher et s'est assis à mes pieds. Son maître parti, il me regarde, semblant attendre quelque chose de ma part. Je lui caresse la tête. C'est le signal qu'il attendait. Il se relève et recommence à me lécher. Hhmmmm, cette langue, chaude et humide … et ce souffle brûlant sur moi … j'adore ! Quant à lui, les traces de sperme séché qu'il est en train de lécher semblent beaucoup lui plaire. C'est une impression, ou l'odeur et le goût de la semence que j'ai sur moi l'excitent ? Rapidement, ayant nettoyé ce qui pouvait l'être sur ma bite et mon ventre, il se met à élargir sa zone d'investigation et à me donner des coups de langue sur les hanches et le haut des cuisses … Et là, sa truffe hypersensible repère la source d'où s'écoule encore ce nectar qui le ravit … mon cul ! Il baisse la tête et, de force, il glisse son énorme museau entre mes cuisses … Un premier coup de langue sur mon périnée et sur mes couilles … Oh, putain ! Ça y est, il a trouvé ! Oui, c'est là ! De plus en plus excité, il redouble de coups de langue fébriles en cherchant à enfoncer davantage sa truffe entre mes fesses. Je jette un coup d'œil vers Jean-Claude et les autres … Occupés à ranger, ils ne prêtent pas attention à nous … Alors, j'écarte un peu les cuisses … Vas-y, mon pépère, lèche, régale-toi ! Ah, putain ! Sa langue sur ma rondelle encore enflammée de plaisir ! Le molosse y va gaillardement, fiévreusement, faisant monter mon plaisir … je meurs d'envie de m'étendre de nouveau sur le dos sur cette table et d'écarter les cuisses pour lui permettre de déguster cette liqueur qui suinte de mon cul … mais je n'ose pas, je ne sais pas comment Jean-Claude réagirait … Ah oui, bon chien, bon chien … Vas-y, lèche, lèche ! Soudain, je vois Jean-Claude se diriger d'un bon pas vers sa maison et la fourgonnette d'Alexis stationnée devant … Il va chercher quelque chose dans ce camion, ou il va entrer chez lui ?

 

Il rentre chez lui ! 

 

Je le fais, ou je le fais pas ? 

 

Allez, je le fais ! Allez, le bestiau, tu vas me lécher le cul ! Je repousse la tête du chien, et je fais demi-tour. Je m'appuie des deux mains sur cette table, j'écarte les jambes, et je me cambre. Aussitôt, le molosse me refourre sa truffe entre les fesses et se remet à me lécher frénétiquement la rondelle. Ah putain, ce que c'est bon ! Et soudain, sur ma gauche, des éclats de rires ! C'est les autres … ils m'ont repéré ! Je m'en fous, et pour bien le leur montrer, je m'empoigne les fesses à deux mains, et je les écarte … Vas-y, lèche, mon pépère, lèche !

 

-  Philippe, va occuper Jean-Claude !

 

Je ne sais pas qui vient de dire ça, mais quand je tourne la tête, je vois Philippe foncer vers la maison. Soudain, le molosse arrête de me lécher et il se dresse contre moi. Ses pattes arrière entre mes pieds, il essaie maladroitement de m'enserrer les hanches de ses pattes avant. Oh putain, il veut me saillir ! Ce chien veut me couvrir ! Pour lui, je suis une chienne ! Oh oui, t'as raison, je suis une chienne … vas-y, baise-moi, prends-moi en levrette ! Aussi grand que moi, il halète en bavant entre mes omoplates et il sautille d'une patte sur l'autre en agitant frénétiquement son bassin à la recherche d'une vulve où insérer sa bite. Je me retiens comme je peux à table, pour ne pas m'affaler sous le poids du molosse … 

 

Dans ma tête, ça tourne à toute vitesse … je me laisse saillir, ou pas ? Ce n'est pas pour la réaction de Jean-Claude, que j'hésite … S'il nous surprenait alors que son Iago a déjà commencé de me saillir, qu'est-ce qu'il ferait ? Surtout en présence des autres, qui ont l'air de ne demander que ça, de me voir me faire fourrer par ce chien. Non, j'hésite parce que je n'ai jamais fait ça et parce que, même si j'en ai une furieuse envie, j'ai quand même un peu peur. Surtout à cause de cette histoire de "nouage", et du bulbe érectile à la base de son vit qui pourrait se gonfler à l'intérieur de mon rectum pour que nous restions collés. C'est ce que les anglais appellent le knot, le nœud. Je me demande quelle taille peut avoir ce knot chez un dogue allemand. 

 

Et puis, je sens quelque chose de caoutchouteux frapper en cadence le haut de mes cuisses ainsi que mes fesses, tout en m'aspergeant de petits jets brûlants … il a commencé à éjaculer, et c'est son vit qu'il essaie d'introduire en moi. Oh, et puis, tant pis, on verra bien … vas-y, baise-moi, le chien ! Je jette un coup d'œil vers la petite dizaine de spectateurs. Maintenant tous silencieux, visiblement interloqués, ils se sont rapprochés, le traiteur inclus, et certains se sont placés derrière nous, sans doute dans l'espoir de voir de près l'accouplement d'un chien et d'un mec … d'ailleurs, ses coups de bite se font de plus en plus précis et se rapprochent de ma rondelle … A ce rythme, dans quelques secondes, il aura trouvé l'entrée et il sera en moi ! Je me laisse aller un peu en avant, et je m'accoude sur la table. Voilà ! Oh, putain, il a trouvé ! Et son sexe s'introduit un peu en moi … Oh, la vache, je suis accouplé à un chien ! Mais ça ne dure qu'une ou deux secondes. Il s'agite tellement qu'il ressort, et cherche immédiatement à rentrer … presque aussitôt, il retrouve mon orifice … et cette fois, d'un violent coup de reins, il s'enfonce profondément en moi … Oh, merde, je suis en train de copuler avec un molosse ! Il va me … il va m'inséminer ! Oh oui, baise-moi, le chien … baise-moi ! Calme-toi, mon pépère, et arrête de t'agiter comme ça, tu vas encore ressortir … En effet, sans doute guidé par son instinct, il ne bouge plus qu'imperceptiblement … Cette fois, c'est parti, il va vraiment me saillir ! Une fois son knot gonflé dans mon cul, on ne pourra plus nous décoller … il faudra attendre qu'il ait fini d'éjaculer pour qu'il se dégonfle, et qu'on puisse se décoller …

 

- Qu'est ce que vous foutez ?

 

Je sursaute. C'est Jean-Claude qui ressort de chez lui. C'est plus fort que moi, instinctivement, je me redresse, je repousse le chien qui retombe sur ses quatre pattes, et je me retourne. Je réalise que les spectateurs, rassemblés autour du chien et moi, ont fait écran, et s'il s'interroge sur la situation, Jean-Claude n'a sans doute pas vu ce qui se passait réellement … Personne ne lui répond. J'ai l'impression que les spectateurs sont un peu honteux, et ils retournent à leurs occupations en riant et en murmurant … Le chien essaie bien de me grimper de nouveau en m'agrippant la jambe, mais, découragé, il n'insiste pas, se couche à mes pieds et entreprend de se lécher la bite. Pauvre bête ! Il doit être aussi frustré que moi.

 

Jean-Claude s'approche de moi:

- Hein ...qu'est-ce que vous foutiez ?

 

Je suis pris au dépourvu et je ne sais pas quoi lui répondre. Comme par réflexe, je hausse les épaules et je secoue la tête d'un air de dire « Comment ça ? Je ne comprends pas … ». Pas dupe, il me fusille du regard:

- Me dis pas que t'étais en train de …

 

Il soupçonne certainement en partie la vérité, mais il n'arrive pas à formuler ce qu'il imagine. Alors j'en profite:

- Qu'est-ce que tu crois ? On ne faisait rien …

 

Pourtant, quelque chose en moi me souffle de profiter de l'occasion pour … peut-être pas lui avouer crûment mon envie de me faire saillir par un chien … par SON chien, mais peut-être de lui suggérer … Seulement, tout comme lui, je ne sais pas comment formuler ça … A son air renfrogné, c'est sûr, il ne croit pas qu'on "faisait rien" ...

 

- Hé, Jean-Claude ! Viens un peu par ici !

 

C'est Philippe qui l'appelle. Il hésite et finit par le rejoindre. Bon, je crois qu'il est temps de lever le camp !

 

Alexis, aidé par le fermier et Philippe, finit de remballer son matériel et, pendant que je réunis mes affaires, les autres rangent tables, chaises et fauteuils.

 

- Hé, les mecs ! Regardez !

 

C'est Franck, monté sur la scène, qui arbore le drap qu'il vient d'enlever du matelas. En riant, il tend la toile devant lui. Une énorme auréole beige-crème s'étale en un cercle parfait: une marre de sperme ! Jean-Claude:

- Laisse ça, mec, je le laverai … et je démonterai la scène demain …

 

Voilà, c'est fini … Assis à l'ombre d'un hangar, je change de porte-jarretelles, je remets mon corsage bleu électrique et j'enfile ma mini jupe en jean. J'hésite un moment, puis je me décide à quand même enfiler un micro string rose fluo. Pour prendre congé de la dizaine de mecs qui sont encore là, je leur caresse le bas ventre en même temps que je leur serre la main. Au moment où je monte en voiture, Philippe me tend la liste qu'il a établie:

- Tu oubliais ça …

- Ça aurait été dommage …

- Alors, qu'est-ce qui s'est passé, avec le chien de Jean-Claude ? Il t'a … il t'a grimpé ?

 

Je ris:

- Non, mais ça a failli … son maître est revenu trop vite …

- J'ai fait ce que j'ai pu pour le retenir … 

- Ouais, je sais …

- On s'est douté que tu voulais te faire euh … quand on t'a vu te retourner et lui ouvrir ton cul, on s'est dit « c'est bon, là ! Il veut se faire niquer par le chien …»

- Exact …

- Mais, tu te serais laissé … baiser par son chien ?

- Oui …

 

Il secoue la tête, ébahi:

- T'en as jamais assez … t'es un drôle de mec … un clébard, quand même …

 

Je hausse les épaules:

- C'est un mâle … et il en avait envie … et moi aussi …

- Ouais, mais … bon, enfin, si c'est ton truc … Ah, au fait … j'ai demandé à Guy et à Jérôme de t'envoyer les photos et les vidéos qu'ils ont faites …

- Ah oui, merde … je n'y pensais plus … j'espère qu'ils ne vont pas les diffuser à tort et à travers …

- Non, non, t'inquiète … ça, c'est réglé … plusieurs participants s'inquiétaient aussi … ils ne tenaient pas à ce que des vidéos d'eux en train de te baiser se retrouvent sur le Net … et de leur côté, Guy et Jérôme sont venus spontanément me demander tes coordonnées pour te les envoyer … alors, on s'est mis d'accord … Guy va flouter tous les visages sur ses photos et ses vidéos et sur celles de Jérôme … il a l'habitude, il sait faire … et il va les envoyer floutées à tout le monde … 

- Bon, OK … mais moi, j'aurais bien aimé les avoir non floutées …

- Et ben, j'allais y venir … justement, avant de faire ces manips, ils vont t'envoyer les originaux … tu vois, les grands esprits se rencontrent, comme on dit …

- Super ! Vous êtes des chefs, les mecs … bon j'y vais … Salut et encore merci …

- Allez, salut. C'était un plaisr, tu sais ...

- Tchao … Appelle-moi, hein, si …

- OK !

 

Je démarre, je manœuvre pour sortir de la ferme et je klaxonne au moment de passer le porche. Je traverse le village désert à petite vitesse. Au passage, je remarque la boutique d'Alexis. 

 

Me voilà sur la départementale. Par ce beau temps, je ne suis vraiment pas pressé de rentrer chez moi et je décide de prendre le chemin des écoliers. Je baisse ma vitre. Le soleil me chauffe les cuisses et le ventre  à travers le pare-brise. Je remonte ma jupe et je sors ma queue de mon string. Hhmmmmm. Il y a pas mal de trafic, en cette belle fin d'après-midi … les gens sortent, vont faire leurs courses, rentrent de promenade … et moi, je sors d'un gang bang organisé pour mon cul ! Depuis ce matin, pendant que certains travaillaient, ou bricolaient, ou regardaient la télé, ou se baladaient … bref, pendant qu'ils vaquaient à leurs occupations, moi, je me faisais baiser par une trentaine de mecs en rut ! C'est bizarre, me dire ça, maintenant que je me retrouve dans … dans la vie réelle, hors de ce milieu relativement clos qu'était cette cour de ferme … ça a quelque chose d'irréel … comme si c'était un autre moi-même qui avait vécu tout ça … Et pourtant, vu l'état encore légèrement enflammé de mon anus, vue l'odeur de sexe qui remonte d'entre mes cuisses, il n'y a pas à dire, c'est bel et bien moi qui me suis fait chevaucher et … honorer aujourd'hui !

 

J'aimerais bien que tous ces gens autour de moi sachent d'où je viens et ce que j'y ai fait. Hé, toi le mec, agacé que je roule aussi lentement et qui me dépasse rageusement, tu veux pas savoir combien de coups de bites je me suis pris aujourd'hui ? Et toi, la blonde qui est devant moi, dans ta Mini, avec tes gosses à l'arrière, si ça se trouve, c'est ton mari qui m'a fourré, tout à l'heure, sur cette scène … Hé, le maçon, arrêté au stop dans ta camionnette, tu sais que ce matin, je suçais des bites pendant que tu posais des parpaings ? Et la bonne femme, là, sur le trottoir, des bites, t'en as sans doute jamais pris autant dans ta chatte que j'en ai pris dans mon cul cet après-midi … 

 

Tiens, me voilà arrivé à F. sans m'en rendre compte. Pas mal de monde dans les rues. La mini jupe remontée sur le ventre, je n'ai surtout pas envie de la rabattre pour dissimuler mon sexe … Je roule lentement, croisant et dépassant des couples, des femmes avec poussette, des hommes se hâtant vers je ne sais où, des vieux … Il suffirait qu'ils baissent les yeux vers l'intérieur de ma voiture pour découvrir ma bite … je bande et je me tripote sans vergogne de la main gauche … Un feu tricolore au vert … un couple qui attend pour traverser … si je ralentis un peu, il va passer au rouge … voilà, orange … l'homme me regarde pour savoir si je vais m'arrêter … rouge. Je m'arrête. L'homme me sourit et commence à traverser au bras de sa femme … regarde, mec, et tu verras ma queue … mais non, il ne peut pas la voir, cachée derrière le tableau de bord … Vert. Je redémarre … Là-bas, devant moi, un car qui circule en sens inverse de moi, arrêté au niveau d'une chicane par une file de voitures … je vais être à côté de lui dans quelques secondes, et contraint d'attendre qu'il redémarre pour passer la chicane à mon tour … Il est vide, ou il est occupé ? Me voilà au niveau du chauffeur … il ne fait pas attention à moi … j'avance encore et je m'arrête. A côté de moi, dans le car, une fille absorbée par l'écran de son smartphone … Hé poulette ! Tourne un peu la tête, et regarde … je lâche ma bite et je pose mon avant bras sur ma portière … mon mouvement va attirer son attention … au moment où elle lève le nez de son écran, le car redémarre … elle ne m'a pas vu. Derrière le car, une .. deux … trois voitures … et personne ne me remarque … je redémarre et, toujours aussi lentement, je finis de traverser F.

 

Me voilà sur la Nationale. Ça roule … dans les deux sens … Je connais bien cette route pour y avoir souvent circulé en me tripotant, pantalon ou short baissé, ou minijupe relevée … Immédiatement, je pense à cette espèce de bas-côté, à quelques kilomètres … c'est comme une aire de stationnement à peine aménagée en bordure de la Nationale et bordée d'un petit bois. J'y ai souvent vu des mecs s'arrêter là pour pisser et même des routiers y piquer un petit somme. C'est un peu crade, plein de déchets et de papiers suspects. Bien que je n'aie jamais rien vu qui le confirme, je suis convaincu pour je ne sais quelle raison que c'est un lieu de drague pour les mecs. Je ne pense pas qu'ils passent à l'acte sur place, mais ils doivent s'y rencontrer et aller conclure dans des endroits plus discrets … Et je commence à me faire des scénarios: dans des flashes, je me vois, les fesses appuyées sur l'aile de ma voiture, la minijupe remontée au ras de la bite, allumer les automobilistes pour qu'ils s'arrêtent, je m'imagine, accoudé sur le capot, jambes écartées, minijupe retroussée, à me faire besogner par un mâle sous les yeux d'autres mâles attirés par le spectacle et disposés à me passer dessus à leur tour … le tout à la vue des autres automobilistes, passant au ralenti pour contempler la scène … 

 

Non, mais quand même … je ne vais pas … je peux tomber sur n'importe quel bargeot … ou les flics … faut pas pousser … on verra bien quand j'arriverai là-bas … je peux toujours m'arrêter et rester dans ma voiture …

 

Et soudain, je sens quelque chose s'échapper de mon cul dans un bruit de gargouillis. Quand bien même j'aurais senti arriver ce qui vient de s'échapper de moi, mon sphincter aurait été incapable de le retenir, tellement il a été dilaté, détendu, tout au long de cette journée. Sous moi, je sens s'étaler une tache tiède, humide, en partie absorbée par le tissu de mon siège. Merde ! Pourvu que ça n'en soit pas … justement, de la … Vingt quatre heures sans avaler quoi que ce soit de solide … j'ai bien un peu mangé ce midi, mais ça ne va pas aussi vite … et puis, pas d'odeur … Ma main droite entre mes cuisses, mes doigts entre mes fesses … Ouaaaah, quelle tache ! La ficelle de mon string est trempée. C'est tiède, c'est visqueux, mais il n'y a rien de solide, si peu que ce soit … Je remonte mes doigts … ils sont couverts d'une crème blanche, nacrée et gluante … Ouf, c'est du sperme … La paume de la main droite posée sur le volant, je regarde mes doigts … ils glissent les uns sur les autres dans cette substance poisseuse. Ce cocktail, c'est les semences de qui ? Finalement, j'en avais gardé pas mal, tout n'était pas ressorti sur le matelas … et le chien n'a pas léché le reste … il devait m'en rester pas mal, assez loin dans le ventre … les Sam, Thierry, Philippe, Gérard et les autres ont dû m'en injecter tellement qu'une partie m'est sans doute remonté très loin dans les entrailles, et a mis un peu de temps à redescendre … 

 

Me voilà à cette aire de stationnement. Clignotant. Je me gare et je coupe le moteur. Des voitures et des utilitaires défilent à quelques mètres de moi, dans les deux sens. L'un d'eux donne quelques coups de klaxon en passant. Je détache ma ceinture de sécurité et je me soulève un peu au-dessus de mon siège. Je glisse ma main sous moi … Oh la vache ! Il y en a vraiment beaucoup. Le tissu de mon siège est trempé, et ça s'est étalé jusque sur le bord de ma jupe. Je crois même qu'il s'en écoule encore de mon cul. Je pose de nouveau mes fesses sur cette bouillie. Oh, les mecs ! Quelle pétée vous m'avez mis ! Ça me plaît d'avoir gardé autant de foutre au fond de moi, de l'avoir emmené et qu'il se soit répandu sous moi en chemin. C'est bizarre, au lieu d'être gêné par ce fluide corporel, organique, qui s'étale sous moi en souillant mon siège, je trouve ça très agréable … en bougeant un peu, je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre … C'est la semence que mes étalons m'ont inséminée … c'est la trace, la preuve du plaisir que ces mâles ont pris dans moi … je me sens comme une salope qui rentre à la maison retrouver son mari, encore pleine de la liqueur de l'amant qu'elle vient de quitter … sauf que moi, ce n'est pas un amant que je viens de quitter … c'est trente … trente amants … trente baiseurs … et ce qui vient de s'écouler de mon ventre, c'est la liqueur de huit ou neuf mecs, je ne sais plus … peut-être dix … Pendant toute cette journée, j'ai été la maîtresse de ces mecs… non, j'ai été leur femelle, à ces mecs ! Même si avec certains, il y a eu des moments de … de sentiment … de gentillesse … de tendresse, presque … le plus souvent, ils se sont comportés avec moi comme l'étalon qui couvre sa jument … pour eux, je n'ai été qu'une femelle à saillir … et c'est tant mieux, parce que j'aime ça ! Il faut dire que moi-même, je me suis vraiment comporté comme une jument en chaleurs qui réclame des étalons ! Je les ai allumés, excités … et pas en diffusant des phéromones … je les ai fait bander en les tripotant, en leur montrant mon cul, en leur faisant savoir que je voulais qu'ils me baisent … comme une femelle en chaleurs … et c'était ça … au fond de moi, j'étais une femelle en chaleurs … j'avais une furieuse envie de mâles … une furieuse envie de bites … une furieuse envie de sperme …

 

Je bouge un peu mon bassin et je sens que ça s'étale un peu plus sous moi. Je glisse de nouveau mes doigts entre mes cuisses, je les ressors, gluants, poisseux et je les lèches consciencieusement en regardant passer les voitures à côté de moi … Oh putain, les mecs qui passez là, si vous saviez ce que je suis en train de sucer ! De nouveau, je soulève mon bassin et, tant bien que mal, en me tortillant, j'essaie d'enlever mon string. Coincé par ma jupe qui me moule les fesses, il résiste mais je finis par arriver à l'arracher. Pendant que je manœuvre ainsi, nouveau coup de klaxon. Je glisse mon string sur mes cuisses, sur mes mollets et je le passe sous mes pieds. Il n'est pas seulement trempé au niveau de mon trou du cul …le sperme est remonté entre mes fesses, et le minuscule triangle de derrière en est imprégné … Je le renifle … hhmmmm, ça sens le sperme qui commence à tourner … une odeur un peu aigrelette, un peu acide, un peu musquée … l'odeur de la bite et de la fornication, l'odeur des parties de cul … ça m'excite et, tout en me masturbant, je porte mon minuscule string à ma bouche et je le suce …

 

Soudain, par ma vitre ouverte, j'entends, venant de derrière, un crissement de pneus sur le gravillon de l'aire de stationnement. Je jette un coup d'œil dans mon rétroviseur extérieur … une voiture avance lentement dans ma direction, et de toute évidence, pas pour se garer derrière moi, mais pour passer à côté de moi … Je sors mon string de ma bouche et j'attends … La voilà à ma hauteur … la vitre côté passager s'abaisse … un mec brun, cheveux courts, la trentaine, me regarde et me sourit:

- Ça va ?

- Ça va …

- Tu … tu fais quoi, là ? Tu attends quelqu'un ?

- Non …

- Tu sais ce que c'est, cet endroit …

- Non …

- Tu te doutes pas ?

- Un peu …

- Tu es là pour ça ?

- Pas spécialement …

- Je peux venir ?

 

Voilà, c'est bien ça … c'est un lieu de drague pour mecs … Au fond de moi, c'est ce que j'espérais, qu'un mec s'arrête pour ça ... et ce mec là, qui vient de s'arrêter, il a envie de tirer un coup, il me trouve là, et il tente sa chance … et je le sais déjà, il va le tirer son coup … et je vais encore me prendre une queue ! Alors, pas la peine de finasser: en guise de réponse, je tends la main vers le loquet de la portière, côté passager, et je le relève ostensiblement. Il a compris:

- J'arrive !

 

Il redémarre, se gare devant moi et descend me rejoindre. Il ouvre la portière et s'assoit en me regardant:

- Ah, d'accord !!!!

 

Ben oui, ma minijupe retroussée, mes bas, et ma bite à l'air qui bande … il ne s'attendait pas à ça. Je lui souris:

- Surpris ?

- Ben … oui … je … je m'attendais pas … à ça !

- Ça te plaît pas ?

- C'est … c'est pas ça … et tu dis que tu sais pas ce que c'est cet endroit ?

- Je me doutais, mais ce n'est pas vraiment pour ça que je me suis arrêté …

- Ah bon ?

 

Il regarde alternativement le string que j'ai dans la main, ma bite, mes cuisses, ma tronche …

- Oui, je … je repensais à la journée que je viens de passer … et au souvenir qu'on m'a laissé …

- Ah ? C'est-à-dire?

- Tu veux me donner ta main ?

- Ben … pourquoi …

- Je vais te montrer … n'aie pas peur, ce n'est pas dangereux …

 

Hésitant, il me tend sa main … Je me tourne vers lui, je saisis sa main et je l'attire vers mon entrejambe … Il est un  peu raide, mais il se laisse faire. Je me soulève un peu, je guide sa main entre mes cuisses, et je la glisse sous moi. Il la retire précipitamment:

- Qu'est-ce que c'est ? C'est dégueulasse …

- C'est du sperme …

- C'est du sperme ? 

 

Les yeux écarquillés, il regarde autour de lui, comme s'il cherchait quelque chose pour s'essuyer. Il finit par frotter ses doigts sur le tissu de son siège, entre ses cuisses. Il me regarde, effaré. J'explique:

- Oui, c'est du sperme … c'est ça, le souvenir qu'on m'a laissé … je me suis fait baiser, aujourd'hui …

- Mais … tu t'es pas lavé, après ?

- Non. Je l'ai gardé exprès … j'aime bien …

- Mais … y'en a … y'en a beaucoup …

- En effet …

- C'était un gros éjaculateur, ce mec …

- Pas spécialement … mais ils étaient plusieurs …

- Plusieurs ?

- Oui. C'était un gang bang …

 

Il est interloqué. 

- Un gang bang ? Tu … tu te fais …

- Je me suis fait baiser par des mecs en gang bang ? Oui … 

- Ah bon … mais, je … 

 

Il me regarde en hochant la tête … il ne sait plus quoi dire. Je reprends:

- Et toi ? Tu voulais quoi, en t'arrêtant ici ?

- Je … d'habitude, c'est pour … ça dépend … des fois, il y a des branleurs … des fois des suceurs … des mecs qui baisent, c'est plus rare … 

- Et là, tu voudrais quoi ? Si tu as encore envie, évidemment  … 

- Euh, je … je sais pas … mais … après ton gang bang, toi, tu as encore …

- Envie ? Oui, j'ai encore envie. Tu veux que je te branle ? Tu veux que je te suce ? 

- Tu veux me sucer ?

- Oui.

 

Je pose mon string sur le tableau de bord, je me penche vers lui et je tends la main vers la ceinture de son pantalon. Il repousse ma main:

- Non, mais attends … pas ici !

- Ah bon …

- Ben oui, ici, c'est que pour le premier contact … après, on va ailleurs …

- Bon … Tu sais où ?

- Oui, oui … c'est sur la route de P., en haut de la première côte, un petit chemin à droite au milieu d'un bois …

- Je te suis ?

- Ouais … suis-moi …

 

Je vois où c'est. En effet, sur la route de P., en haut de la première côte, il y a ce bosquet, avec un petit chemin où j'ai souvent vu des voitures s'engager. Ça doit être là que ça se passe Il descend de ma voiture, remonte dans la sienne pendant que je reboucle ma ceinture. Je vais encore sucer une queue ! La queue d'un inconnu ! 

 

Il clignote, attend que les voitures qui arrivent derrière nous soient passées, et il s'engage sur la Nationale … Je le suis. Nous roulons au rythme des voitures qui nous précèdent. Au premier carrefour, il prend la route de gauche. Je connais, c'est une très longue ligne droite qui aboutit à P … Il n'y a personne devant le type que je vais sucer, et il accélère. J'appuie aussi sur l'accélérateur, mais il s'éloigne de plus en plus vite … sa voiture est bien plus puissante que la mienne … c'est sûr, il dépasse largement la limitation de vitesse. Il est drôlement pressé de se faire sucer, ce mec ! De loin, je le vois aborder cette première côte et rapidement disparaître au sommet. Quand j'y arrive aussi, plus trace de ce type et de sa voiture. Il a dû entrer dans le bosquet. Je m'engage lentement à mon tour dans le petit chemin entre les arbres … il n'est pas là. Ne sachant pas si il faut beaucoup s'éloigner de la route, j'avance prudemment … toujours pas de voiture … Et soudain, je débouche dans une espèce de clairière … vide ! Le petit chemin ne va pas plus loin. Le mec n'est pas là ! Mais au sol, dans l'herbe aplatie par des roues de voitures, il y a des mouchoirs en papier chiffonnés, des étuis de capotes et même des capotes usagées … c'est bien ici que se concluent ces rendez-vous … mais ce type ne s'y est pas arrêté … en haut de cette côte, il a dû continuer … il s'est sauvé … j'ai dû lui faire peur …

 

Je fais demi-tour et je rentre chez moi …

 

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 2 juin 2016 4 02 /06 /Juin /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Nom de dieu ! Trois ! Je m'en suis pris trois … trois doubles sodos !


Six mecs m'ont baisé deux par deux … avec des bites de plus en plus grosses … Je vous raconte pas … sentir deux queues en soi … deux mecs qui prennent du plaisir en même temps, leurs sexes bien serrés l'un contre l'autre au chaud dans son cul … on se sent … rempli, plein … 


Par moments, j'ai même eu trois bites en moi, parce que, alors que j'en avais déjà deux dans le cul, une troisième est venue se mettre au chaud dans ma bouche ! Alors ça, c'est … inexprimable ! Sentir dans moi les sexes de trois mecs, venus s'introduire dans la tiédeur humide de mes orifices pour y prendre ensemble du plaisir, pour y soulager leurs pulsions érotiques, pour y assouvir leurs instincts sexuels, savoir que trois organes génitaux sont en moi, "armés", cran sûreté enlevé et prêts à tirer, qu'ils vont incessamment décharger dans mes chairs leur semence, savoir que je vais être le réceptacle de leurs jouissances et de leurs liqueurs séminales … c'est une volupté à la fois sensuelle et cérébrale … Et en effet, les six qui m'ont sodomisé comme ça, deux par deux, m'ont tous inséminé ! Six mecs ont joui et ont répandu leur semence au fond de mon cul, jusque dans mon ventre ! J'étais littéralement rempli de sperme. D'autant plus que d'autres – je ne sais plus combien – m'étaient déjà passé dessus et m'avaient fécondé avant que les doubles sodos ne commencent.


Maintenant, je vais me prendre la quatrième double de la journée. Et alors, celle-là … ouaaaaahhh ! Les deux plus grosses bites de l'assemblée vont me fourrer ensemble … Sam le tatoué et le gros Thierry. Déjà que, seuls, ces deux-là me rendent dingue avec leurs queues hors normes … Mais avant, à la demande de Jérôme – Jérôme, c'est celui qui a photographié et filmé mes ébats tout au long de la journée - , Thierry, Sam et moi, on vient de faire une séance de photos … plus exactement, Jérôme voulait faire une série de clichés de mon cul prenant la pose entre les deux énormes engins de ces deux mecs. Seulement maintenant, Sam, commence à s'impatienter, et il abrège la séance. Il me donne une bonne claque sur une fesse, et:

- Ouais … c'est bon, maintenant … on la baise, cette salope !


S'il est un peu dans l'urgence, c'est que, il y a un instant, je l'ai sucé pendant que Philippe et Gérard étaient en train de me fourrer.  Il enchaîne:

- Vas-y, Thierry, installe-toi !


Le gros s'avance au milieu du matelas et se laisse tomber lourdement sur les fesses. Sous le choc, toute la scène est secouée et son énorme bide fait des vagues. Sam, qui m'a fermement saisi par le bras, me pousse vers son comparse. Je résiste un peu et:

- Je … je suis pas sûr, les mecs …

- Quoi ?

- Je sais pas si c'est une bonne idée …

- … si c'est pas une bonne idée … que quoi ?

- … que vous me baisiez tous les deux …

- Quoi ?


Il me fusille du regard. Thierry, s'accoude et me dévisage, décontenancé. Je poursuis:

- Vous êtes trop … vos … vos bites sont trop … grosses …  je vais pas pouvoir …

- Tu t'fous d'ma gueule …

- Non … ça va me faire mal … vous allez me déchirer …

- T'es con, ou quoi … On va pas te déchirer … on va te défoncer, ça oui … et puis magne toi, ou c'est ta gueule que j'défonce …


Il me pousse violemment vers le gros:

- Allez, grimpe, salope …


Autour de la scène, les autres attendaient le début du spectacle. Je me rends compte que devant mon soudain revirement, certains semblent inquiets de voir la tournure que prend cette séance, tandis que d'autres nous observent avec une certaine délectation. Ni les uns ni les autres ne peuvent deviner que je résiste exprès pour pousser Sam à bout. J'ai une furieuse envie de me faire enculer par ces deux mecs en même temps, mais j'ai aussi envie de me faire contraindre, de me faire forcer … dès qu'ils ont dit OK pour une double sodo, j'ai décidé de leur jouer la comédie. Et ça marche ! Je me campe sur mes pieds pour résister. Alors, Sam change de stratégie, il m'attire contre lui, face à face, me lâche le poignet et me prend à bras le corps. Il me soulève et me porte jusque au-dessus du gros. Je me débats avec assez de conviction pour que ça soit crédible, mais j'ai le temps de sentir que la bite de Sam s'est glissée entre mes cuisses. Je suis sûr que me prendre par la force l'excite. Ah la vache, j'aime ça ! Dents serrées, mâchoire crispée, il éructe:

- Tu vas pas nous faire chier … hé, gros …chope-le, écarte-lui les jambes …


Sur le matelas, le gros se régale. Il se redresse et s'empresse de me saisir les chevilles et de m'écarter les jambes pendant que Sam me force à descendre mon cul au-dessus de son ventre. Je continue de me débattre:

- Arrête ! 

- Ta gueule, salope ! Vas-y, Thierry, fous-lui ta bite dans le cul !

- Non, faites pas ça !


D'une main, Thierry me cramponne l'aine pour me contraindre à descendre, et je devine que de l'autre, il dresse sa "pine" pour que je m'empale dessus. Comme je résiste encore, Sam me crochette une jambe. Je m'écroule. Thierry m'attirant et Sam me guidant, je me retrouve à demi accroupi au-dessus du gros. Discrètement, j'ai pris la peine de plier mon autre jambe pour ne pas me retrouver dans une position douloureuse. Plusieurs mecs, dont Philippe, se sont approchés des rouleaux de paille, et observent la scène d'un air inquiet, semblant se demander quoi faire. Merde, pourvu qu'ils ne cherchent pas à intervenir pour arrêter ça ... Philippe me lance des regards interrogateurs. Alors je lui réponds en écarquillant les yeux et en secouant imperceptiblement la tête de droite à gauche … j'espère ne pas me faire repérer par mes deux "violeurs". Ouf ! Il a compris. Il sourit, me fait un clin d'œil et parle à voix basse à ceux qui l'entourent, sans doute pour leur révéler la supercherie. Sam me contraint toujours en me serrant les bras au-dessus des coudes. Et voilà ! Je sens un truc … un gros truc, chaud et un peu caoutchouteux s'introduire en moi. 

- Ça y est, Sam ! Il a ma pine dans le cul !


D'une violente poussée, Sam finit de m'empaler sur le gros. Les yeux écarquillés, j'aspire une grande goulée d'air par la bouche. Vu le coup d'œil satisfait qu'il me lance, Sam est persuadé que c'est dû à la douleur. Mais non, Sam … c'est du bonheur !

- Cramponne-le, mec, qu'il puisse pas se barrer.


Le gros m'enserre de ses énormes bras et m'entraîne en basculant en arrière. Je fais mine de me débattre, mais je sens que, même si je voulais vraiment me débarrasser de son étreinte, je ne pourrais pas. Me voilà couché sur le ventre du gros poussah, ses jambes entre les miennes, sa grosse pine dans mon cul. Hhhmmm, à l'autre, maintenant. L'autre, il est debout devant moi, les pieds de part et d'autre de ceux du gros, et il me regarde, triomphant. Il a empoigné sa queue et il se masturbe doucement, pour me la montrer, pour que je me rende compte de ce qui m'attend. En effet:

- Tu la vois, ma queue ? J'vais te l'bourrer, ton cul d'salope … avec Thierry, on va te dé–fon–cer !


Je secoue la tête vigoureusement de droite à gauche en prenant un air effrayé:

- Arrête, Sam … fais pas ça … je te suce, si tu veux, pendant que Thierry me baise …

- Non non non … tu me suces pas … on va t'bourrer …


Il se laisse tomber au-dessus de nous, droit comme un bâton, se retenant de ses deux mains sur le matelas, à côté des épaules de Thierry. J'ai son visage à quelques centimètres du mien. Son torse puissant appuyé sur les bras de Thierry, il me sourit d'un air mauvais. Je sens sa verge, plaquée sur mon pubis, et ses couilles sur mon périnée. Les yeux plantés dans les miens, il soulève légèrement son bassin, descend sa main droite vers son ventre, empoigne son gourdin, et le guide vers ma rondelle. Je continue de secouer la tête:

- non … non … Sam … me fais pas ça …


Ah, ça y est, je sens son gland qui se presse contre mon anus … son gland qui force mon anus … son gland qui commence à s'insinuer … Oh putain, il m'ouvre, il m'écartèle ! Oh putain, c'est bon ! Ça y est, son gland est passé … Ah la vache, c'est sa verge, maintenant, que je sens glisser dans ma rondelle … Ah oui, continue ! Va tout au fond ! Baise-moi ! Baisez-moi, les mecs ! Le souffle coupé, je halète, en continuant de secouer la tête … Je ne sais pas où il en est … Il m'a introduit un quart … un tiers de sa queue ? Sa verge est fuselée depuis le dessous de son gland jusqu'à sa base, et je sens qu'elle continue de m'élargir en progressant … Il enlève sa main … Les yeux toujours plantés dans les miens, il serre les mâchoires parce que j'entends ses dents grincer. De nouveau appuyé des deux mains sur le matelas, il s'enfonce en moi, compressant la bite de son compère, impassible sous moi.

- Enlève tes bras, mec … elle va plus bouger, c'te salope … Hein, tu vas plus bouger …


Le gros desserre son étreinte mais glisse ses mains le long de mes avant-bras, plaqués de part et d'autre de mon bassin, et me saisis les poignets. Prenant appui sur les mains, Sam soulève son torse et d'un puissant coup de reins, il me propulse sa queue tout au fond du cul … si profond que j'ai l'impression de la sentir buter dans mes entrailles. Sous l'effet de ce coup de bite, les yeux fermés je me cambre en haletant. Il s'est immobilisé.

- T'aimes ça, en fait … hein, salope …


Il se cambre à son tour, extrait un peu de sa queue de mon cul … et rentre de nouveau en force … s'immobilise … ressort encore un peu … et revient d'un violent coup de reins. 

- Dis-le, que t'aimes ça … espèce de pute …


Oh oui, j'aime ça ! Ton énorme bite … et l'énorme bite du gros … Oui, vous me bourrez … j'ai le cul plein comme je ne l'ai jamais eu … Cette fois, ce n'est pas un gode, si gros soit-il, qui me remplit, c'est deux queues … deux énormes queues … deux vrais sexes, vivants, chauds, excités, avec deux grosses paires de couilles qui vont décharger dans mon cul … Les muscles de mon anus se sont complètement détendus, relâchés, et sa grosse bite va et vient en moi sans aucune difficulté. Ah putain, je suis en train de me faire baiser par deux mecs super bien montés, avec des bites d'une taille exceptionnelle !


Nouveau coup de reins   …    encore    …    encore    …   encore   ...

- Tu vois, tu couines … J'suis sûr que t'aimes ça, salope !


J'ai couiné ? C'est possible. Tellement concentré sur ce qui arrive à mon cul, j'ai pu laisser échapper un gémissement. Coup de queue après coup de queue, je sens monter mon plaisir … Ce que je ressens est à la fois très sexuel et très … cérébral … mais pas que … il y a autre chose … j'ai déjà ressenti quelque chose comme ça tout à l'heure. C'est indéniable, je m'attache à eux. S'ils n'avaient pas de si grosses bites, s'ils ne me baisaient pas aussi bien, est-ce que je m'attacherais aussi à eux comme ça ? D'un coup, les digues rompent,  je me laisse aller. J'ai soudain envie de profiter de cette partie de cul autrement. Je bouge mes mains en direction du dos de Sam. Thierry hésite une fraction de seconde, et finit par lâcher mes poignets. Je commence à caresser fiévreusement les omoplates et les reins de Sam, à lui labourer délicatement la peau du bout des ongles, j'entortille mes jambes autour des siennes. Sentant mon changement de comportement, il remarque:

- Ben voilà … tu vois que t'aimes ça, de t'faire bourrer l'cul, hein, espèce de p'tite pute …

- …

- Dis-le … dis "j'aime ça, de m'faire bourrer l'cul" …

- J'aime ça …

- "… de m'faire bourrer l'cul" … allez, dis-le …

- J'aime ça, de me faire bourrer le cul …

- "et j'suis une pute", dis-le … "j'suis une pute" …

- Je suis une pute … et j'aime vos grosses bites à tous les deux … je voudrais que vous me baisiez tout le temps …

- Tu t'es foutu de not'gueule, avec ton cinéma, là … « Non, j'veux pas … vous allez m'faire mal … gnagnagna … »

- Hein … tu t'es foutu de not'gueule ?

- Oui.


Par je ne sais quel réflexe incontrôlé, je le saisis par la nuque, j'approche mon visage du sien, et j'essaie de coller ma bouche à la sienne. Il se recule brutalement:

- Qu'est-ce tu fous ?

- Je veux ta langue dans ma bouche …

- Non non, j'fais pas ça, moi …

- Si. Mets-moi ta langue dans la bouche …


Ecartant sa tête de la mienne, il me dévisage, semble réfléchir, et brusquement, il colle ses lèvres contre les miennes et me fourre sa langue sans cesser de me bourrer le cul de furieux coups de bite. Et dans ma bouche, c'est une bagarre furieuse, tendre et érotique qui commence, mêlant nos souffles et nos salives, et alimentant nos excitations. Je gémis. Après un très long moment, à bout de souffle, il s'écarte de moi et, comme gêné par ce qui vient de se passer, il se cale au fond de mon cul et s'inquiète:

- Ça va, Thierry ? 

- No problem, mec … continue à m'branler la pine avec ta queue … ça m'plaît …

- Et toi, la grosse pute, ça va ?


Je hoche la tête. Tout en grattant le dos de Sam avec mes ongles, je me mets à caresser le flanc et la cuisse du gros:

- Ouais, ça va. J'adore que vous me baisiez comme ça … vous me rendez dingue, avec vos bites …

- Ça t'a fait mal ?

- Pas du tout …

- Dis donc, t'es drôlement large, ma salope … t'as quand même dû te prendre des sacrés morceaux de bites dans l'cul …

- Oui, mais jusqu'à présent, une seule à la fois … Les doubles sodos, c'est mes premières …

- Alors, pourquoi t'es aussi large ?

- Je me suis fourré des godes … beaucoup … et des GROS … et des jouets de toutes sortes … des GROS jouets … bon, assez causé, baise-moi !

- P'tite salope …


Dents serrées, il se remet à aller et venir, d'abord lentement, puis plus vigoureusement. Le temps de cet échange, mon plaisir est un peu retombé … il se remet à monter … je ne me suis jamais senti autant … enculé … une bite toute seule dans mon cul, je la sens, naturellement, même si elle glisse comme dans du beurre … deux bites "normales" ensemble, évidemment, tout à l'heure, je les ai aussi très bien senties … et plus encore deux bites un peu conséquentes, comme celles de Gilles et Manoel … mais là, c'est une autre dimension … là, mon anus, déjà rempli par la grosse pine de Thierry, est contraint en permanence de demeurer béant pour recevoir les coups de boutoir de Sam … Peu à peu, je me laisse aller à manifester sans pudeur mon plaisir … je gémis de plus en plus fort … J'ai beau guetter les premières contractions de mon sphincter, ça ne vient pas … comme si ses muscles, presque distendus à leur maximum, étaient incapables de se resserrer autour de ces deux sexes-là ! Ce que j'attends avec impatience, c'est le moment où mes deux mâles vont jouir et éjaculer en moi. Comme ils ont déjà tiré leur coup, ils tiennent la distance tous les deux … C'est au moment où je me dis ça, que le gros, sous moi, souffle coupé, commence à grogner et à me pétrir fébrilement les cuisses:

- Ça vient … nom de dieu, ça vient …


Sam continue imperturbablement. Et brusquement, Thierry pousse un long:

- AhaaaHAAAhhhaaahhhAAAhhh … booooordel !


Je sens l'énorme morceau du gros palpiter dans la partie arrière de ma rondelle … il jouit  … il éjacule … il m'insémine … Mentalement, je visualise son urètre, gonflé par le passage de sa semence, et, tel un tube de dentifrice vidé par les pressions du gourdin de Sam, qui dégorge par son méat béant dans mes muqueuses … je gémis de plus belle … Et puis voilà, on dirait qu'il a fini … Sous moi, je le sens reprendre son souffle … je l'entends déglutir bruyamment, puis:

- Ah, putain … le panard ! 


Il rit et son gros ventre se secoue sous moi. Sam ralentit, et:

- Tu débandes, mec … fais gaffe, ta bite va sortir …


C'est clair, Sam sent que sa queue ne sera bientôt plus serrée dans mon cul par celle du gros. Le gros, lui aussi, a compris. Il glisse alors sa grosse patte entre son ventre et ma fesse, et je le sens serrer la base de sa verge, à la fois pour l'empêcher de se dégonfler, et pour la maintenir en place. Sam:

- Yessss !


Il reprend son vigoureux ramonage. Je bande et ma bite bave la liqueur poisseuse que la pression de la queue du tatoué expulse de ma prostate. Son gland à lui doit baigner dans la sève toute chaude que le gros vient de cracher, et je sens que, pleinement concentré sur ce qu'il me fait, il commence à être submergé par le plaisir. Un grondement sourd monte de son ventre. Il ne va pas tarder à me lâcher sa charge dans le ventre … Ooooh putain, vas-y ! Insémine-moi ! Il m'écrase les couilles avec son pubis, et son ventre me masturbe en allant et venant sur ma queue. Je vais jouir aussi ! Du bout des ongles, je lui lacère le dos … je gémis de plus en plus fort … nos excitations respectives s'alimentent l'une l'autre … maintenant il grogne et, sans aucune pudeur, je me mets à crier:

- Aaaah ! Aaaaahhhh ! Aaaah ! Aaaaaahhhh ! Aaaah ouiiiiiiiii !


Je ne suis plus que ce trou du cul … dilaté, distendu, électrisé, enflammé par tant d'accouplements … fourré, rempli, pilonné par tant de sexes, tant de bites, tant de queues … baisé, inséminé, fécondé, engrossé, souillé par tant de sperme, de semence, de jute, de foutre … je ne suis plus que ce trou du cul, occupé par une énorme bite, et qui bâille encore, qui s'ouvre pour recevoir les assauts d'un deuxième sexe, tout aussi gros … Je ne suis toujours pas rassasié de coups de bites, et déjà, avant même que Sam en ait fini avec moi, je rêve que d'autres mecs remontent sur scène pour me prendre à sa suite … encore et encore … je veux sentir en moi des hommes en érection … je veux les sentir prendre du plaisir à me fouiller les chairs avec leur membre … je veux les sentir y décharger leur jouissance … je veux … Brusquement, je jouis … violemment ! Souffle coupé, le ventre secoué de spasmes, je perçois de brutales contractions du côté de ma prostate ainsi que les soubresauts de ma bite … je sens une tache tiède s'étaler sur mon ventre … rapidement, les sensations de ma queue et celles de mon anus se mêlent au point de ne bientôt plus être qu'un seul et même orgasme qui m'arrache des gémissements hystériques …


Sam m'a senti prendre mon pied, et ça déclenche son propre orgasme. En appui sur les mains, tendu au-dessus de moi, il m'envoie sa queue à grands coups de reins au fond du cul, tout en grognant:

- Honnn ! Hooonnn ! Hoooonnnn ! Hooooooonnn ! Hooooooooonnnn !


Sa bite me semble encore plus raide, encore plus dure tandis qu'il jouit, qu'il éjacule dans mon cul . Peu à peu, alors que ma propre jouissance s'atténue, une espèce de relâchement de tous mes muscles m'envahit, comme une torpeur … enfin, Sam ralentit, ses coups de boutoir s'espacent. Les yeux mi-clos, les mâchoires serrées, il aspire et souffle de grandes bouffées d'air par le nez … il a fini … il s'écroule sur moi, le menton contre ma clavicule … Coincé, écrasé entre mes deux mâles, je suis en sueur … eux aussi, d'ailleurs. Nous restons comme ça un moment, le gros serrant toujours la base de sa verge et Sam toujours aussi raide, planté en moi … puis le tatoué se redresse, plante se yeux dans les miens, m'administre deux ou trois coups de queue, et:

- Alors, la pute, c'était bien, hein …

- Oui !

- T'as joui, hein …

- Oh oui … c'était … j'avais jamais joui comme ça !

- Ah ouais ?

- Ouais … c'est parti à la fois de mon cul et de ma bite …

- Ah ouais … t'as joui du cul, quoi …

- Oui … aussi …

- Y'a pas à dire .. t'es vraiment un trou à bites …

- Oui …

- Vous êtes sympas, les mecs, mais vous commencez à être lourds …


Thierry commence à étouffer. Sam prend appui sur ses mains et, lentement, il sort sa queue de moi dans avec bruit mouillé … j'ai l'impression de me vider … comme quand je me soulage … il se relève … la queue de Thierry, maintenant franchement ramollie, s'écoule à son tour de mon cul … Le gros me saisit par les bras et me fait basculer sur le côté. Au pied de la scène, ils sont … je ne sais combien, qui discutent, se marrent et commencent à s'éloigner … le spectacle est terminé. Je m'allonge sur le ventre et, dès que je ferme les yeux, deux mots s'imposent à mon esprit: "plénitude" … "satiété" ... oui, après cet orgasme, je me sens enfin rassasié … mais des queues … plein de queues comme ça, il m'en faudra encore … des hommes … dans moi … il faudra recommencer …


… sa bite …

… me faire enculer …

.. toutes ces queues … … … dans le sperme …

… avale … avale …

… fait baiser … …     … vingt ? … 

… 

… une putain … sur la paille …

… ma bite … dans ton cul …



- Hein ? Tu la sens, ma bite dans ton cul ?


Qu'est-ce que … Ah, merde … où est-ce que je … 


- Alors … tu la sens, ou tu la sens pas, ma bite ?


Ah oui, en effet, j'ai une bite dans le cul … mais ce que je sens, surtout, c'est ce mec, vautré sur moi … 


Je … j'ai dû m'endormir … Toujours allongé sur le ventre, la joue sur mes avant bras croisés, les cuisses largement ouvertes, j'ai un mec sur moi … j'ai un mec DANS moi, sa queue dans mon cul … et je ne sais pas quel mec !


Je suis fourbu, moulu, rompu, comme au réveil d'une bonne nuit de sommeil, après une marche de vingt kilomètres … je sens cette espèce de fourmillement et d'engourdissement qui suit un repos réparateur après un effort physique intense … c'est très agréable … En plus, je me réveille avec un mec sur moi, et sa bite dans mon cul !

- Oui, je la sens, ta bite …

- Hé, les mecs … ça y est, il se réveille !


Je soulève un peu ma tête, et je vois, au pied de la scène, quatre … cinq … six types, en train de discuter, une bière en main … Ils se tournent vers moi en riant, et l'un d'eux, canette toujours en main, mime un applaudissement.

- Je … j'ai dormi ?

- Ah oui ! T'as même parlé … on aurait dit que c'était … "chaud", comme rêve …

- Et … il y a longtemps que tu … es sur moi ?

- Pas mal, oui … Quand les deux ont eu fini de te baiser, tu t'es tout de suite endormi … je t'ai laissé tranquille un moment … et puis, j'ai encore eu envie de te fourrer … je suis monté, et à peine je t'ai touché, tu as écarté les cuisses … j'ai cru que tu dormais pas … mais si, tu dormais … et pendant que je te tringlais, t'as parlé et t'as ronflé par moment …

- Et … tu as fini, là ?

- Oui, ça y est, j'ai pris mon pied  …


Je tends la main et je lui caresse la cuisse:

- Tu as eu raison d'en profiter … 

- Euh … tu sais … je trouve ça dingue, que tu te fasses baiser par plein de mecs … je trouve ça super, je veux dire ... Ma femme … j'aimerais bien qu'elle se fasse baiser comme ça, par plein de mecs … devant moi … mais elle veut pas …

- Tu lui as demandé ?

- Ouais. Elle dit que je suis barge … Tu … tu viendrais lui en parler ? De ça, de ce que tu fais, je veux dire ...

- Pourquoi pas …

- Super !


Et il se lève:

- Tu viens ?


Je roule sur le côté. Ah, ça y est, je le reconnais … ce mec, à midi, je l'ai sucé sous la table … Franck, il me semble .. et je crois qu'il m'avait baisé dans l'écurie, ce matin … Il me tend la main et m'aide à me relever.

- C'est Franck, ton nom …

- Ouais, c'est ça …


Il me fait passer devant lui, et nous descendons les quelques marches. Au pied de la scène, ils sont encore cinq ou six qui discutent en sirotant de la bière et du vin. Ils se tournent vers moi et y vont de leurs commentaires et de leurs compliments:

- Ça va ?

- Bravo !

- Ben mon vieux, qu'est-ce que t'as pris …

- Bien dormi ?

- Ça y est, tu as eu ton compte pour aujourd'hui ?

- T'as pas trop mal au cul ?

- T'as fini par prendre ton pied …


Ils n'attendent pas de réponse, l'un se contente de me donner une tape amicale sur l'épaule, l'autre une petite claque sur la fesse … Plus loin, d'autres sont en train de débarrasser les tables. Je réalise que certains, comme Sam, sont toujours complètement à poil, et d'autres se sont rhabillés … plus ou moins … Manoel a remis son pantalon, Gilles seulement son T-shirt, et se balade la bite à l'air … l'aîné de la troupe est rhabillé du haut en bas … mais maintenant, il n'y a plus de bites en érection … N'empêche, c'est une drôle de sensation, tous ces mecs … ça me fait à peu près le même effet que ce matin, quand je suis arrivé et que j'ai découvert en vrai les mecs qui allaient me baiser … là, c'est fait, ils m'ont tous baisé, mais ça me fait encore tout drôle de les voir ensemble … vingt sept, vingt huit … je ne sais plus exactement combien, mais c'est cet effet de … de nombre … toutes ces bites .. vingt sept, vingt huit … maintenant indifférentes à mon cul, mais que j'ai fait bander et que j'ai soulagées tout au long de cette journée … j'ai eu tous ces sexes en moi … et ils ont tous éjaculé leur semence en moi … et certains plus d'une fois … j'ai été leur jouet sexuel, leur vide-couilles comme disent certains, comme une poupée de silicone qu'ils se sont repassée … Philippe m'aperçoit et s'approche:

- Ça va ?

- Ça va …

- Alors, t'es content ?

- Oh oui !

- Tu veux te … tu veux te laver ?

- Non


Visiblement étonné, il hausse les sourcils:

- Plus tard, alors …

- Non, je vais rentrer comme ça chez moi …


Pendant que Sam et Thierry me baisaient, j'ai décidé de garder tout le sperme que j'avais déjà en moi et celui que ces deux-là  allaient m'injecter, et rentrer chez moi le ventre plein … Il n'insiste pas et poursuit:

- Tu … tu veux boire quelque chose ?

- Oui, une bière … la bouche, je veux bien me la rincer …

- Ça marche … suis-moi …


Il rit, sort une canette d'une glacière, la décapsule et me la tend:

- Dis … Guy a suggéré qu'on fasse une photo de groupe … tu sais, genre euh … photo de classe … Ça te gênerait ?

- Ben non,  au contraire …

- Bon, je les préviens … Il y en a qui voulaient partir … ils attendaient seulement de savoir si on la faisait ou pas, cette photo … 

- Allons-y, alors …

- Guy !!! Hé, les mecs … on fait la photo … ramenez-vous ! Jean-Claude, tu viens ?


Et, se tournant vers moi, il m'explique:

- On la fait devant la scène … Jean-Claude veut pas être sur la photo … c'est lui qui va la faire … viens …


Curieusement, alors que certains s'empressent d'enfiler leur pantalon pour prendre la pose, d'autres se déshabillent … Peu à peu, tout le monde nous rejoint au pied des rouleaux de foin et pendant que Philippe commence à les aligner sur deux rangs, je sens des mains se poser sur mes fesses et me peloter. C'est le gamin, Kevin, qui se marre. Sam, plus que jamais à poil, se glisse parmi nous, bouscule gentiment Kevin, et vient se placer derrière moi. Guy intervient:

- Ça va pas le faire comme ça … on est trop étalés en largeur … on sera pas tous sur la photo … il faudrait que quelques-uns montent s'asseoir sur la scène … Qui veut y aller ?


Six … sept … huit … se dirigent vers l'escalier. Les autres se resserrent. Des mains puissantes me saisissent par les hanches et m'attirent. C'est Sam. Il me plaque contre lui. Je sens son ventre contre mes fesses et, contre le haut de mes cuisses, son sexe. Guy s'approche de moi, me prend par un bras et m'entraîne devant les autres:

- Ouais, ben, désolé, Sam, lui, il faut qu'il soit devant … Bon … toi, tu te mets devant … et vous, là, le premier rang, il faudrait vous accroupir … bon, toi, tu te mets … euh … assis devant eux … ou à genoux … non, allongé … tu veux pas t'allonger devant eux ? Attends … sur le goudron, faudrait mettre … je sais pas … Jean-Claude, t'aurais pas une couverture … quelque chose …


Jean-Claude se dirige vers la rangée de tables, et je me tourne vers ma bande de mecs, je m'approche de Manoel et j'entreprends de déboutonner sa braguette:

- Vous voulez pas sortir vos bites ? J'aimerais bien qu'on les voit sur la photo …


Deux ou trois, déjà la bite à l'air, applaudissent. D'autres se marrent et commencent à déballer leur matériel. Jean-Claude revient, une nappe à la main, et l'étale à mes pieds. Guy:

- C'est bon, comme ça ? Alors installe-toi …


Il tend son smartphone à Jean-Claude et pendant que je m'installe, à demi allongé et appuyé sur un coude, il s'accroupit derrière moi avec les autres. En fait, ça ne fait vraiment pas photo de classe ... ça me rappelle plutôt les photos de fin de safari, quand les chasseurs posent devant leurs trophées de chasse ... et là, le trophée, c'est moi !  Et c'est vrai qu'ils ont tiré pas mal de cartouches, mes chasseurs !

 

Jean-Claude recule, cadre et le bruit caractéristique de l'appareil photo retentit … Crac ! Photo:

- Voilà, c'est bon, je vous ai tous …


Guy se lève:

- Attends … on pourrait pas en faire quelques unes plus hot. Là, on dirait une photo de mariage …

- Une photo de mariage avec une seule mariée et ses trente maris …


C'est la voix du gros Thierry. Eclats de rire … Guy:

- Non, mais sérieux … Y'aurait des volontaires pour prendre la pose avec lui, là, devant ?

- Quel genre de pose ?

- Ben, je sais pas … des poses pour montrer que vous l'avez baisé … 


Ça murmure, ça discute, ça rigole, mais personne ne bouge. Alors, je me lève et je m'approche du premier rang:

- Allez, quatre ou cinq, là … vous vous mettez côte à côte, vous me prenez et vous me portez, allongé dans vos bras …


C'est Sam qui réagit le premier et qui me soulève. Les autres viennent à sa rescousse et je me retrouve à l'horizontale, porté par les bras de cinq mecs à poil et la bite à l'air. Je passe un bras autour du cou de Sam.


Jean-Claude:

- Ouais, c'est bon comme ça !


Crac ! Photo … Crac ! Photo … Crac ! Photo.


Ils me reposent au sol et le groupe commence à se disperser … certains vers la rangée de tables, d'autres récupèrent leurs vêtements et se rhabillent … Manoel s'approche, sa chemise sur un bras, et me tend la main:

- Bon … faut que je me barre … salut …

- Salut … tu te rappelles ? Quand tu as besoin de te vider les couilles, tu peux toujours m'appeler …

- Oui, oui … j'ai tes coordonnées et j'ai laissé les miennes … c'est Philippe qui a ça … il t'expliquera …


Il s'éloigne. Angelo, s'approche à son tour, suivi d'Hamid, de Gilles et de quelques autres:

- Salut, mec … c'était mon premier gangbang, mais c'était super …

- Moi aussi, c'était mon premier … enfin, organisé comme ça, je veux dire …

- Si tu recommences, hein … tu me bigophones … j'ai donné mon numéro à Philippe …

- OK.


Hamid:

- Salut, ma poule …

- Salut, belle bite …

- Moi aussi, j'ai trouvé ça super … t'as un cul d'enfer, ma poule …

- Merci.

- Philippe, il l'a aussi, mon téléphone …

- Très bien …


Et ils se succèdent comme ça … huit, neuf, dix, onze … manifestant de manière plus ou moins volubile leur satisfaction et leur envie de recommencer, en bande ou en tête à tête pour certains … puis ils vont saluer les autres participants. Au moment où je rejoins Philippe, Jean-Claude et ceux qui les aident à ranger, la fourgonnette du traiteur entre dans la cour de la ferme. Philippe me tend une feuille de papier:

- Tiens … ça, c'est les coordonnées des mecs … prénom, téléphone, mail … si tu veux les contacter …

- Ah, merci.

- Tous, ils m'ont demandé les tiennes, de coordonnées … Jean-Claude les a tapées et les a imprimées et on les a distribué à tout le monde ..

- Super …


Une main se pose sur mon épaule et me fait pivoter. C'est Sam. Il s'est rhabillé et il a son casque à la main:

- Viens par là, toi …

 

... à suivre ...


 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Vendredi 22 avril 2016 5 22 /04 /Avr /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Et ben, ça y est ! J'y ai eu droit, à ma première double sodomie ! 


En principe, cette première, ça devait être Jérôme, vous savez, celui que j'avais surnommé "le comptable". Il devait me baiser avec Angelo, le type qui a une paire d'ailes tatouée sur le bas ventre … Au départ, ça se passait bien, Jérôme s'était allongé sur le dos et je m'étais empalé sur lui, mais, quand Angelo est venu me fourrer sa queue en plus de celle de son comparse, il était tellement excité qu'il a juste réussi à me rentrer son gland, et il a joui tout de suite … 


Je n'ai même pas eu le temps d'être frustré. Gilles, le grand type brun à longue bite recourbée, et Manoel, l'ours velu, étaient en haut de l'escalier qui conduit à la scène, et attendaient leur tour de venir me faire aussi une double sodo. Quand il a vu qu'Angelo abandonnait piteusement la partie, Gilles s'est empressé de venir prendre sa place …


Et là … là ! Oh putain !


Lui a réussi à me fourrer complètement sa queue en plus de celle de Jérôme. Deux bites dans mon cul … je vous dis pas la sensation ! D'autant plus que Gilles, après m'avoir roulé une pelle torride comme ce matin, a appelé son comparse Manoel à la rescousse pour que je le suce pendant que Jérôme et lui me baisaient. 


Trois mecs ! Trois mecs en même temps … deux dans mon cul et un dans ma bouche … Ça m'a rendu dingue, hystérique. J'étais tellement excité que j'ai bien  cru que j'allais jouir à mon tour …


Et puis, non. C'est Jérôme, sous moi, qui a cédé le premier: sa bite comprimée et malaxée par le va et vient de celle de Gilles, il a joui au fond de mon cul.


Et là, pour le libérer, Gilles vient de basculer sur le côté en m'entraînant, et il se retrouve à son tour sur le dos, moi à plat ventre sur lui, sa queue toujours plantée dans mon cul et baignant dans la semence que je ne sais plus combien d'autres mâles m'ont injectée depuis un moment.


Tandis que Jérôme descend de la scène. Gilles me saisit par le menton, écarte un peu mon visage du sien, et, ses yeux dans les miens:

- Alors, on continue ?


Pour toute réponse, je plaque ma bouche sur la sienne, ma langue cherchant sa langue, et j'oscille du bassin pour faire aller et venir sa queue en moi. Un bras autour de mon torse, une main plaquée sur ma nuque, il répond à mon baiser … longuement, fougueusement, fiévreusement. Il aime ça, me rouler des pelles, et contre toute attente, alors que je n'imaginais pas pouvoir prendre du plaisir à mêler ma langue à celle d'un autre mec, je dois dire que moi aussi, j'aime ça … du moins avec lui … Quand je décolle mes lèvres des siennes pour reprendre mon souffle, il me caresse le dos, les épaules et les reins. La joue appuyée sur son épaule, je descends mes deux mains sur mes fesses, je les empoigne, je les écarte et je lance:

- Manoel ? Allez, viens aussi !


Jérôme avait raison, il y a instant, en me lançant "Toi, t'es vraiment une bonne salope". Je me sens effectivement tellement traînée, salope, pute, chiennasse, à écarquiller mon trou du cul comme ça pour me prendre une nouvelle saillie, alors que j'ai déjà une bite en moi !  Pas besoin d'en dire plus à Manoel: immédiatement, je sens ses deux mains à l'intérieur de mes cuisses:

- Écarte un peu plus …


J'écarte un peu plus. Je le sens s'agenouiller entre mes jambes et celles de Gilles. Il s'appuie de la main gauche sur le matelas à hauteur de mon épaule, guide de son autre main sa queue entre mes fesses, et force son gland à se glisser entre la bite de Gilles et le bord de mon anus. Je relève mon visage au-dessus de celui de Gilles. Les yeux plissés, un petit sourire sur les lèvres, il observe mes réactions. Les yeux écarquillés, la bouche entrouverte, le souffle suspendu, les doigts crispés autour de ma fleur, je sens Manoel me pénétrer lentement en me distendant la rondelle. Du bout des doigts, je m'ouvre l'anus autant que je peux. Gilles me donne des petits coups de langue sous le menton. Une fois à l'intérieur, le membre de Manoel glisse tout seul dans le cocktail de semeces laissé par ceux qui l'ont précédé. Quand son ventre entre en contact avec mes mains:

- C'est bon, enlève tes mains …


Je lâche mes fesses et je ferme les yeux. Je me sens rempli, gorgé, plein … Il pousse sa queue toujours plus profondément en moi. Quand son pubis bute contre mon coccyx, il s'affale sur moi, m'écrasant de tout son poids, et il pose son menton au creux de mon épaule, son souffle sur ma joue:

- Alors, grosse salope… c'est ça que tu voulais ?


Il accompagne sa question d'un bon coup de reins. Hhmmmmm ! Oh oui, c'est ça que je voulais … Etre pris en sandwich entre deux mâles … vraiment pris en sandwich ! Parce que, si l'autre jour, en visitant la ferme de Jean-Claude, j'ai aimé me retrouver coincé entre Philippe, assis sur un rouleau de paille pour que je le suce, et Jean-Claude, qui frottait sa grosse queue entre mes fesses, si j'ai aimé avoir à la fois une bite dans la bouche et une autre dans le cul, à maintes reprises, notamment aujourd'hui, là, ça n'a rien à voir … là, il y a un mec sous moi et un mec sur moi qui m'écrase de tout son poids … je sens leur chaleur à tous les deux, je sens nos sueurs mêlées qui font glisser nos peaux l'une sur l'autre … et je sens leurs deux queues épanouies, dures, raides, chaudes, vivantes, qui me remplissent le cul … 


Si c'est ça que je voulais ? Je caresse la joue de Manoel et je n'arrive à émettre qu'une espèce de couinement en hochant la tête. "Oui, oui, oui, trois fois oui, c'est ça que je voulais !" Ce qui m'arrive est tellement … ces mecs sont en train de réaliser un fantasme si … si fort … si improbable … jamais je n'avais espéré pouvoir un jour me faire baiser par deux mecs en même temps … c'est pour ça que, depuis que j'ai commencé à avoir envie de me faire sauter par des mâles, j'en suis arrivé à jalouser les femmes … les vraies femmes … d'abord parce qu'étant femmes, il me semble qu'il leur est plus facile de trouver plusieurs mecs pour les baiser en même temps, et aussi parce qu'elles sont naturellement dotées de trois orifices susceptibles de recevoir simultanément des bites. Et, alors que mon statut de mec m'a toujours convenu, y compris depuis que j'ai commencé à assumer mes pulsions homo, je me surprends parfois à regretter de ne pas être né femelle. Mais, tout à l'heure, avec seulement deux orifices, j'ai eu, moi aussi, trois mâles en moi. Et là, tout de suite, je n'en ai que deux, mais je sais que ces deux-là, dans un instant, vont me faire le cadeau de déverser leurs semences dans mon ventre … et qu'après eux, deux autres … puis deux autres encore … Ooooh ces mecs ! Ces meeeecs !


C'est très bizarre, en plein milieu d'une partie de cul aussi débridée, dépravée, débauchée, obscène, immorale, impudique, dans une position aussi peu sentimentale, aussi peu romantique, ce que je ressens pour ces mecs, c'est … une espèce de gratitude, de reconnaissance pour ce qu'ils me font … mais pas seulement … je me sens brusquement submergé par autre chose … qui me serre un peu la gorge … qui me fait comme une boule au creux du ventre … Oh, je sais bien que, pour eux, il est seulement question de baiser une salope, de fourrer leurs queues dans une viande à bites et de s'y vider les couilles, sans chercher plus que ça à lui donner du plaisir … mais n'empêche, ces mecs, en plus d'aimer leurs queues … putain … je suis … je suis amoureux d'eux ! De ces deux-là, en train de me baiser, évidemment … mais des autres aussi … de ces vingt et quelques mecs qui m'ont tous fourré depuis ce matin … les beaux, les moches, les gros, les petits, les grosses bites et les petits zizis … tous ! Et d'un coup, je voudrais que cette tournante d'une journée devienne … devienne permanente … je voudrais qu'on vive tous ensemble, jour après jour … et que je sois … leur femelle … leur femelle à tous … leur femelle en permanence à la disposition de leurs envies … que tous les jours, ils me prennent, qu'ils me baisent dès qu'ils en ont besoin … un par un ou à plusieurs …


- On te fait mal ?


Gilles me sort de mes réflexions. Je secoue la tête de droite à gauche … Oh non, vous ne me faites pas mal ! Au contraire ...


- Tu pleures …


Ah bon ? Je ne m'en suis même pas rendu compte. Manoel ne peut pas voir mes larmes, mais en entendant la remarque de son comparse, il s'immobilise. Je souris à Gilles:

- C'est pas de douleur …


A sa mimique, je vois qu'il ne comprend pas. 

- Non. Si je pleure, c'est parce que … parce que … j'aime tellement ce que vous me faites. Baisez-moi encore ! Baisez-moi !


Manoel rit, s'appuie des deux mains sur le matelas, se soulève un peu, ne laissant que son ventre en contact avec mes fesses, et il commence à sortir sa queue lentement de moi. Je sens parfaitement sa bite coulisser dans mon sphincter, et j'ai l'impression de me vider. Il s'arrête juste avant que son gland ne sorte, il marque une pause, et repart en avant, tout aussi lentement. Son sexe est assez raide pour progresser sans difficulté. Oh putain, quel effet ! Son pubis contre mes fesses. Il repart en arrière, plus vite, cette fois. Il a pris ses marques, il sait jusqu'où il peut sortir sa bite … et il rentre plus vigoureusement. Aaah, c'est bon ! C'est booon !

- Ah oui, baise-moi, Manoel ! Baise-moi !


Je m'appuie des coudes sur le matelas, de part et d'autre de la tête de Gilles, et, à mon tour, je me décolle un peu de lui. Je me cambre pour recevoir la saillie de l'ours au plus profond de moi. La tête rejetée en arrière, les yeux fermés, la bouche grande ouverte, je déguste chaque coup de bite de Manoel. Sous moi, je sens que Gilles s'est mis à onduler du bassin, sans trop d'ampleur pour maintenir sa queue dans mon cul. La rondelle échauffée par les allers et retours du membre de Manoel, je le sens de plus en plus nettement. Mentalement, j'imagine ces deux sexes, gonflés, rigides, collés-serrés dans mon rectum, le gland de Manoel – le si beau gland de Manoel – glissant dans mes muqueuses imprégnées de semences. Je gémis. Sur ma nuque, la main de Gilles. Son souffle sur mon visage. Sa bouche contre la mienne. Sa langue entre mes lèvres, qui cherche la mienne … qui la trouve. Restant appuyé d'un coude sur le matelas, je passe mon autre main derrière sa tête et nous nous roulons de nouveau une pelle ardente, sauvage … si sauvage que nos dents se heurtent, que nos salives mêlées jaillissent … Soufflant entre ses dents serrées, Manoel me ramone de plus en plus vigoureusement …


Et brusquement, c'est comme une de ces crampes soudaines qui vous raidissent un mollet ou une cuisse … sauf que ce n'est pas à un mollet ou à une cuisse que ça m'arrive, mais … à mon anus … sauf que ce n'est pas douloureux … juste une contraction … puissante ... Je connais déjà quelque chose de ce genre, quand je me ramone avec mon énorme godemiché. Après m'être progressivement dilaté le fourreau, après m'être introduit ce gros jouet, après que mes muscles se soient bien détendus, au bout d'un moment, ils finissent pas se contracter tout seuls et se resserrer spontanément autour de mon jouet. Là, c'est le même phénomène, mais plus soudain et beaucoup plus puissant. Mon anus se contracte autour de ces deux sexes et les serrent. Pour eux, ce n'est sans doute pas une pression bien forte, mais ils le sentent: Manoel marque comme une hésitation, comme si, pas bien sûr de ce qu'il vient de ressentir, il en cherchait confirmation, et la langue de Gilles se calme dans ma bouche. 


Et mon anus se détend … juste deux ou trois secondes … et se contracte de nouveau … Gilles détache sa bouche de la mienne:

- C'est toi qui fais ça ?


Incapable d'articuler quoi que ce soit, je secoue la tête … " Non … c'est mon cul … tout seul …"


Nouveau relâchement … deux secondes … contraction … deux secondes … relâchement … deux secondes … contraction … 

- Oh putain, tu jouis du cul …


Je couine, je halète sous l'effet de cette espèce d'orgasme anal qui n'en est pas vraiment un. Attisé par l'idée qu'ils me font jouir du cul, Gilles attire mon visage si brutalement vers le sien que ses dents heurtent ma lèvre. A la fièvre avec laquelle il me roule ce nouveau palot, je le sens surexcité. Il agite son bassin de plus en plus fort. Manoel, lui aussi, paraît encore plus fougueux. Je sens soudain sa bouche, chaude et mouillée, se poser à l'angle de mon cou et de mon épaule … comme l'autre, tout à l'heure, le jeune type à la crête, qui m'a fait un suçon en ronronnant ! La bouche de Manoel reste collée quelques secondes à ma peau tandis qu'il respire bruyamment par le nez. Et brusquement, il bâille davantage et me saisit avec les dents, tel un félin qui plante ses crocs dans le cou de la femelle qu'il est en train de saillir. Il respire par la bouche en grognant, aspire l'air bruyamment entre ses dents serrées sur ma peau, il souffle en répandant des bulles de salive sur mon épaule. Et brutalement, il m'administre un violent coup de boutoir et reste plaqué à moi, immobile. Il jouit, le souffle haché par chaque éjaculation  ! La bête fauve féconde sa femelle !


Gilles a dû sentir les soubresauts de la bite de son comparse ou le jaillissement de son sperme, brûlant, contre son propre gland, et ça déclenche son orgasme. Sous moi, je sens les contractions de ses abdominaux et les secousses erratiques de son bassin … il détache sa bouche de la mienne, renverse sa tête en arrière en haletant et éjacule à son tour . Je ne bouge pas un cil de peur de troubler leurs jouissances, et je visualise mentalement leurs deux glands, serrés l'un contre l'autre, et leurs méats béants qui déversent et mêlent dans mes chairs les flots de leurs  semences ... Je m'attends à sentir la coulée tiède de leurs spermes se répandre sur mon périnée … Mais non, et je réalise que, faute de place entre leurs verges et la paroi de mon rectum pour s'écouler hors de mon cul, leurs liqueurs séminales doivent être en train de remonter dans mes entrailles, imprégnant mes muqueuses à la recherche effrénée d'un ovule à féconder. 


Je sens une tache mouillée s'étaler entre mon ventre et celui de Gilles. Pourtant, je ne pense pas avoir éjaculé. Mais la pression de leurs bites sur ma prostate et ma propre excitation m'ont sans doute faire crachouiller un peu de sperme. 


Ils ont joui presque simultanément, et ils reviennent à eux en même temps … et de la même manière… en se marrant ! Manoel desserre l'étreinte de sa mâchoire et, le front posé sur l'arrière de mon crâne, le nez contre ma nuque, il rit nerveusement:

- Ah, ah, ah, ah, aaaah … nom de dieu ! 


Gilles, l'avant bras replié et posé sur son front:

- Hé, hé, hé, hé, hé … la vache !


Et les deux, exactement en même temps:

- Quel cul !

- Quel cul !


Et ils rient de plus belle. Leur rire, en contactant leurs ventres commence à faire sortir leurs bites de mon cul. Je sens Manoel se redresser un peu et, du coin de l'œil, je vois qu'il tend la main vers celle de Gilles, et ils font un "check" à la manière dont se saluent ou se congratulent les jeunes. Ils sont contents d'eux-mêmes, les deux mâles ! Il y a de quoi … alors:

- Merci, les mecs !

- Ça … ça t'a plu ?


Je lui caresse la joue en hochant vigoureusement la tête.

- T'as joui ?

- Non … mais c'était au bord …

 

Je sens Manoel se relever lentement en laissant sa bite s'extraire doucement de mon cul dans un petit bruit mouillé. Gilles me tapote délicatement l'épaule:

- Bon, excuse-moi. Vous êtes lourds, tous les deux …


J'approche mon visage du sien et je pointe ma langue … il y colle la sienne quelques secondes, et, tant bien que mal, je me redresse, laissant son membre s'échapper de mon cul en même temps qu'un flot visqueux. Je me retrouve accroupi au-dessus de lui, les genoux sur le matelas de part et d'autre de son abdomen, les fesses effleurant son ventre, et je glisse une main derrière moi, à la recherche de sa bite. Il croise ses mains sous sa nuque, redresse la tête, et me regarde. Manoel, debout à côté de moi, me regarde aussi, un sourire aux lèvres. A tâtons, je trouve la queue de Gilles. Ramollie, mais encore un peu gonflée, elle est couverte d'une liqueur gluante. Je le masturbe une ou deux fois, et il sourit. Je glisse ma main entre ses cuisses. Ses couilles doivent être vides, mais elles semblent encore pesantes, et pendent lourdement dans ses bourses, elles aussi couvertes d'une crème collante. 


Les couilles des mâles ! Il faudrait que ce soit inépuisable, il faudrait que ça produise du sperme en continu et en grande quantité. Là, tout de suite après qu'il m'ait fécondé le ventre, je voudrais pouvoir lui tailler une pipe, qu'il me gicle dans la gorge pour que je puisse me repaître de son sperme … Je me relève, je m'agenouille entre ses cuisses. En haut de l'escalier, je découvre Philippe et le petit blond qui attendent leur tour, la queue raide. Et derrière eux, Sam … le tatoué, assis sur une marche … et le gros Thierry, debout à côté de lui. Tous les quatre sont prêts à monter me bourrer. Me bourrer … c'est vraiment le terme, tellement deux queues à la fois, ça me remplit, ça me bourre … Oh la vache ! Je vais encore me prendre deux bites … et encore deux autres après … Tout en prenant le sexe de Gilles dans une main, je tends l'autre vers le ventre de Manoel et je saisis sa queue qui baisse la tête entre ses cuisses. Il s'approche de moi, pose sa main derrière ma tête et l'attire vers son bas-ventre:

- C'est ça que tu veux ?


Les yeux levés vers lui, je passe mes lèvres sur son gland, puis j'ouvre la bouche et je glisse sa queue entre mes lèvres … Elle a un goût de … de sperme, simplement … Oh, putain, savoir que ce liquide douceâtre et visqueux qui s'étale sur ma langue, c'est … non seulement la jouissance de ces mecs … mais c'est surtout leur liqueur séminale … c'est avec ça qu'ils engrossent leurs femelles, avec ça qu'ils font des petits … et là, c'est dans mon ventre qu'ils ont déversé ça … pas dans celui de leur femelle, non, dans le mien … et c'est ça que je suis en train de sucer, de téter sur cette bite tout juste sortie de mon cul … hhhmmmm, ces mecs me rendent dingue avec leurs bites ! Tandis que je le suce de plus en pus fiévreusement, il se penche sur moi, essuie la salive qu'il a laissée sur mon épaule:

- Ah, tiens, t'avais déjà un suçon ... Dis donc, je t'ai fait une belle marque, avec mes dents … Excuse-moi, hein, je voulais pas te faire mal …


Je sors sa bite de ma bouche:

- T'excuses pas … j'ai aimé ça …

- Ah bon … bon, allez, je vais me laver … Hé, dis donc, y'a la queue dans l'escalier … ou plutôt, y'a LES queues ! Ouaouhhh, je crois que tu vas encore prendre cher …


Il s'éloigne. Je me penche sur le ventre de Gilles, qui attend toujours. En passant devant Philippe et son comparse, j'entends Manoel qui leur lance:

- Elle est à vous, les mecs … 


« ELLE est à vous … » Oh, Manoel, si tu savais comme tu me fais plaisir avec ce ELLE ! Pour toi, ce ELLE, c'est peut-être pour dire « cette salope », mais je préfère penser que c'est parce que, à ce moment, il me considère vraiment comme une femelle. Tandis que je passe ma langue sur la verge de Gilles, et que je soulève ses couilles pour les lécher consciencieusement, j'entends Manoel qui poursuit à l'adresse de ceux qui vont lui succéder:

- Vous avez déjà fait ça ?

- Quoi ?

- Un double sodo …

- Ben … non.

- Non.

- Vous allez voir … à deux là-dedans … sa chatte … putain, c'est … une vraie pompe à bites …


La toilette du sexe de Gilles terminée, je me redresse et je m'assois. Gilles me regarde et pose ses doigts sur ma lèvre tuméfiée par son coup de dents de tout à l'heure:

- Je t'ai fait mal ?

- Ça va …


A son tour, il se lève et descend du matelas. Philippe et le blondinet se regardent, comme pour s'encourager mutuellement, se décident, montent sur les balles de fourrage qui cernent le matelas et restent plantés là, gauchement, ne sachant pas trop comment s'y prendre. Je m'agenouille et, tendant les mains vers eux, je les invite:

- Allez …venez …


Ils approchent, côte à côte, le petit blond plus résolument que Philippe. Sa belle grosse bite, gonflée et décalottée, tient toute seule à l'horizontale. Celle de Philippe, tout aussi raide, le gland couvert de son prépuce, baisse le nez vers le bas. J'en prends une dans chaque main:

- Alors ? Comment vous voulez faire ?


Le petit blond:

- Ben … comme eux … avec Philippe dessous … et moi … moi dessus …

- OK. Et tu veux encore mettre une capote ?

- Non non … c'est bon …

- Tu veux que j'aille me laver ?

- Non, j'te dis, c'est bon …


Je laisse leurs queues et je m'écarte pour laisser Philippe s'installer. Il s'étend sur le dos, le torse légèrement relevé, appuyé sur les coudes et il attend. Je tombe à quatre pattes entre ses jambes et je m'avance vers son ventre. L'autre me suit, et, une main entre mes fesses, il entreprend de m'explorer le cul. Je pose ma langue à la base de la verge de Philippe et je commence à la remonter vers son gland. Je le prends dans la bouche et je le décalotte en serrant les lèvres. Il s'épanouit sur ma langue. Hhhmmmm, je suce encore une bite ! J'en aurai sucé combien aujourd'hui ? Je les ai toutes sucées? Je sais plus … Derrière moi, le petit blond qui me fouille le cul avec deux ou trois doigts, patauge dans le foutre. Lui qui a tenu à mettre une capote quand il m'a baisé la première fois … c'est comme Hamid, maintenant, plus d'inhibition, plus de retenue … Je le sens qui avance à genoux, entre mes mollets. Il va m'enculer. Tout en continuant de pomper Philippe, j'écarte un peu plus les genoux et je relève le cul: vas-y, encule-moi ! En effet, ses mains sur mes hanches, le petit blond m'enfile directement et d'un seul coup sa grosses bite dans le cul. Oh putain … l'engin ! Le ventre plaqué contre mes fesses, il se met à me caresser les reins et le dos:

- T'aimes ça, hein, t'en prendre plein ton cul …


C'est une constatation, et ça n'appelle pas de réponse. De toute façon j'ai la bouche pleine. Il poursuit:

- T'es … t'es vraiment … une …


Il cherche ses mots, une expression assez forte pour exprimer ce que je lui inspire:

- T'es vraiment la plus grosse salope que j'aie jamais vue … Putain, te faire fourrer … comme ça … par … par une vingtaine de mecs …

- Une trentaine !


C'est la voix de Philippe. Le petit blond:

- Hein ?

- On est pas une vingtaine, à le fourrer … on est une trentaine … enfin, je crois … peut-être un peu moins, mais plus d'une vingtaine, en tout cas …


En apportant cette précision à son compère, il a posé une main sur ma nuque et, dans son intonation, ainsi que dans la manière dont il me caresse l'arrière du crâne, je perçois comme une admiration teintée d'incrédulité et de je ne sais quoi d'autre. Il n'en revient pas: 

- Quand je pense  que, l'autre jour, au bord du canal, j'ai failli ne même pas t'adresser la parole …


Il se remémore notre rencontre, il y a deux semaines. C'est tout à fait ça, il n'en revient pas d'avoir dégotté un mec à ce point accro à la bite, à ce point "fille facile" … il n'en revient pas non plus que les choses soient allés aussi vite … et aussi loin … Il y a quinze jours, on ne se connaissait même pas, et aujourd'hui, c'est lui qui m'a livré, totalement et sans limite, à une trentaine de types en rut ! Oui, il y a aussi de ça: je le sens content de lui-même … et fier, aussi. Je sors sa queue de ma bouche et, tout en continuant de le masturber délicatement:

- Ça aurait été dommage, hein …

- Quoi …

- Que tu ne m'adresses pas la parole, l'autre jour au bord du canal …

- Comme tu dis … Si je t'avais pas parlé, tu me l'aurais adressée, la parole ?

- Non …

- Alors j'ai bien  fait …

- Oui … merci …

- Tu voudras recommencer ?

- Quoi …

- Une tournante comme ça …

- Oui.

- Avec autant de mecs ?

- Oui …

- Et avec plus de mecs ?

- Oui, si tu veux …

- Bon, je vais voir, alors …


Je le reprends entre mes lèvres. Oui, mec, vois ce que tu peux faire … Maintenant que tu sais comment on organise une séance comme celle-ci, je compte sur toi. L'autre a commencé à aller et venir doucement dans mon cul. Tout en allant et venant des lèvres et de la langue sur le pieu de Philippe, je jette un coup d'œil à droite et à gauche. Je crois que tout le monde est là, au pied de la scène, et nous regarde. Certains sont accoudés sur les rouleaux de foin, au plus près du spectacle. Un peu en retrait, Manoel, avec force gestes et coups de menton dans ma directon, est en train d'expliquer je ne sais quoi à trois autres types. Ils me regardent et se marrent. Il doit leur faire un compte-rendu. Au moment où je me concentre à nouveau sur la queue de Philippe, il me repousse délicatement:

- Bon … faudrait peut-être … je … autrement, je sais pas si je tiendrai …


Je sors son sexe de ma bouche et je me tourne vers le petit blond:

- On y va ?

- On y va.

- Je sais même pas comment tu t'appelles …

- Ah bon ? Je croyais te l'avoir dit … c'est Gérard.

- Je ne crois pas que tu me l'aies dit … Alors, salut, Gérard …


Il sourit en secouant la tête d'un air de "il est pas vrai ce mec", il extrait sa queue de mon cul et se recule un peu. J'enfourche Philippe, je m'allonge sur lui, ventre contre ventre, et je glisse lentement mon cul en direction de son membre. Je le sens qui vient se loger entre mes fesses … qui se pose sur ma rondelle … je recule encore pour le gober, mais il ripe et glisse vers mes reins … j'ondule du bassin pour le remettre en position, je tends la main, je le saisis et, en le maintenant, je commence à l'introduire en moi … Ça fait déjà beaucoup d'effet à Philippe: la tête légèrement rejetée en arrière, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, le souffle suspendu, il attend que je m'empale sur son pieu. Alors, d'un lascif coup de reins, je finis de l'enfourner tout au fond de moi. Appuyé sur les coudes, je bouge doucement mon bassin. Je le regarde: les yeux fermés, il déglutit bruyamment et je le sens se concentrer pour ne pas se laisser submerger par le plaisir. Il me tapote les reins:

- Attends … bouge plus … bouge plus …


Les cuisses du petit blond contre les miennes. Philippe:

- Attends, Gérard … laisse-moi … laisse-moi un peu, sinon, je … 


L'autre a compris. Toujours à genoux, il s'immobilise et attend, se contentant de me palper délicatement les fesses:

- Ils ont raison, les deux qui viennent de te baiser … t'as un cul … nom de dieu ! Ça donne vraiment envie d'aller dedans … c'est un vrai garage à bites !


Je me penche vers le visage de Philippe et je pose mes lèvres sur son menton. Il ne réagit pas, se laisse faire … ou plutôt, c'est comme si, entièrement occupé à retarder son orgasme, il ne se rendait pas compte de ce que je lui fais. Je continue et je pose de petits baisers sur ses joues, sur les ailes de son nez, m'approchant peu à peu de ses lèvres entrouvertes … je m'enhardis et je prends sa lèvre supérieure entre les miennes … toujours pas de réaction … je glisse ma langue contre ses dents … et là:

- Arrête ! Qu'est-ce que tu fais ?

- Je veux te rouler une pelle … je veux ta langue dans ma bouche …

- Non ! Arrête !


Ça y est, il s'est repris. Il soulève la tête, regarde son comparse par-dessus mon épaule, et:

- C'est bon, Gérard, tu peux y aller …


Gérard plaque sa main sur le matelas à hauteur de mon épaule. Je sens sa grosse bite qui se pose et glisse dans ma raie. De l'autre main, qui cramponne et guide son gourdin, il le presse contre ma rondelle et la bite de Philippe. Philippe qui ouvre une bouche et des yeux tout ronds. En se comprimant, le gland de Gérard progresse peu à peu dans mon sphincter et, d'un seul coup, je le sens s'épanouir dans mon rectum. C'est l'extrémité de sa verge, juste sous le gland, qui est maintenant dans mon anus et qui me force à m'ouvrir. Il pousse et la partie de plus en plus grosse de sa verge commence à progresser. Oh la la, quelle bite ! De nouveau, je me sens rempli, le rectum complètement occupé … Je laisse échapper un gémissement aigu. Le blondinet s'arrête:

- Je te fait mal ?

- Oh non ! Au contraire … tu me fais du bien … ta grosse bite … vos deux bites … continue … baisez-moi !


D'un violent coup de reins, il finit de me pénétrer. Ouaaah, la vache ! Et il repart aussitôt dans l'autre sens, sans précaution. J'ai l'impression que sa queue, en sortant, fait aspiration. Il ne ressort qu'à moitié, revient en force et entame un va et vient vigoureux. Bien plus petit que moi, il appuie son front entre mes omoplates et peu à peu, il se met à gémir. Comme par réflexe, surexcité, j'entrouvre la bouche et je cherche celle de Philippe. Surpris, il détourne le visage … je le poursuis en gémissant aussi, essayant de fourrer ma langue entre ses lèvres. Il résiste quelques secondes, puis, vaincu, il se laisse faire, me prend le cou fébrilement, et nous nous roulons une longue galoche enflammée. Sa langue explore ma bouche, s'enroule autour de ma langue, comme une espèce de petite bestiole chaude et mouillée, à la fois ferme et souple, vivante … 


Oh, putain ! J'ai encore deux bites en moi ! Je suis encore en train de me faire baiser par deux mecs en même temps … deux mâles accouplés avec moi comme … comme avec une vraie femelle … une vraie femelle très salope … je les excite, je les fais bander, ils ont envie de moi et ils prennent du plaisir à me fourrer, à me baiser … leurs deux bites directement dans mon cul, sans capote … chair contre chair, viande dans viande … et eux aussi vont m'inséminer, imprégner mes muqueuses de leurs semences …


Et ça recommence, comme tout à l'heure, avec Gilles et Manoel … un spasme de mon anus … je le ressens encore plus fort parce que les deux bites que j'ai dans le cul sont encore plus grosses … surtout celle de Gérard ! Cette fois, la contraction de mes muscles dure plus longtemps … quatre, peut-être cinq secondes. Ils l'ont senti, tous les deux: Philippe détache sa bouche de la mienne et me regarde, étonné; Gérard a ralenti son va et vient, comme en attente … Mon cul se détend … Gérard redémarre … quatre ou cinq secondes … nouvelle contraction … encore plus forte … et je réalise que la sensation n'est pas la même sur tout le pourtour de ma rondelle: je sens beaucoup mieux mon sphincter presser la bite de Gérard … pas tellement parce qu'elle est plus grosse que celle de Philippe, mais surtout parce qu'elle est plus raide, plus dure et qu'elle offre plus de résistance … celle de Philippe semble se comprimer davantage …


Gérard:

- Hhmmmm, c'est bon, ça, dis donc … continue …

- Je … je le fais pas exprès … c'est mon cul … il le fait tout seul

- Ah ouais ?


Philippe prend ma tête à deux mains, plante ses yeux dans les miens, interrogatif, attendant une explication.

- Ça me l'a déjà fait, tout à l'heure, avec les deux autres …


Gérard, qui a ralenti son ramonage:

- Tu jouis du cul, quoi …

- C'est un peu ça … c'est pas vraiment un orgasme, c'est … je sais pas …

- Ça te fait mal ?

- Non.

- Et t'aimes ça ?

- Oui … beaucoup …

- Décidément, t'aimes la bite, toi, hein ?

- Oh ouiiii … baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-moi !


Simultanément, le petit blond se remet à me bourrer tandis que Philippe me prend par la nuque et plaque sa bouche contre la mienne en agitant convulsivement son bassin. Les contractions de mon anus s'accentuent et se rapprochent, alimentant notre excitation commune. Au bout d'un moment, je me rends compte que Gérard s'est progressivement synchronisé aux spasmes de mon sphincter: dès que mes muscles se relâchent, il fait un rapide aller et retour, et se replante au fond de mon cul en attendant la contraction suivante … il semble apprécier de se faire pétrir la bite par mon fourreau en folie …


Malgré la bouche de Philippe plaquée contre la mienne, malgré nos langues qui s'emmêlent furieusement, je ne peux retenir des gémissements de plaisir … Soudain, manquant d'air je m'arrache au baiser de Philippe, je me redresse autant que je peux sous le poids de Gérard et:

- AaaaAAAaaaaAAAAAAhhh ouiiiiii les mecs ! Ah oui ! Ah oui ! Ah oui !

Ah ouiiiiiiiiii ! 


Philippe, tête en arrière, yeux fermés, me caresse fiévreusement les épaules et les flancs et j'entends Gérard respirer bruyamment par le nez.


- Ah oui, les mecs ! Baisez-moi, les mecs ! Baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-mooooiiiii ! 


A côté de nous, des rires éclatent … et des applaudissements. Je tourne la tête vers la gauche, d'où viennent ces manifestations bruyantes. Evidemment, il y a du monde au niveau de nos pieds … ils contemplent cet accouplement hors norme, ce double coït, ces deux bites qui me fourragent le cul … mais il sont aussi une bonne demi-douzaine au niveau de nos têtes, qui me dévisagent, ébahis par mon hystérie … Regardez, les mecs ! Ça me plaît de me faire fourrer en sandwich comme ça sous vos yeux et de me laisser aller sans retenue, sans pudeur … Oui, je suis une paillasse ! Oui je suis une traînée ! Oui, je suis une folle du cul ! Oui, je suis une viande à bites … Je geins, je gémis, je couine en agitant convulsivement mon bassin …


Soudain, une masse devant moi … Sam, la brute tatouée vient de tomber à genoux à côté de moi … à côté de nous … tout près de nos têtes … et devant mes yeux, son énorme bite en érection et sa grosse paire de couilles… j'ai tout juste le temps de voir ses veines saillantes sous les écailles de serpent tatouées sur sa verge, et son énorme gland, rouge, tendu, luisant, avec un peu de fluide translucide qui perle au bout de son méat … sa grosse queue qui s'approche de mon visage, et ses grosses pognes qui saisissent ma tête pour la maintenir … et Sam me colle sa bite contre la bouche. Oh oui, je veux te sucer pendant que les autres me fourrent ! J'empoigne sa verge et je bâille … son gland est brûlant sur ma langue … je presse son urètre avec les doigts, et je sens quelques gouttes de fluide visqueux s'étaler sur mes papilles … J'ai encore trois bites dans moi ! Je veux les faire gicler toutes les trois … je vais leur faire cracher leur sperme ! Dans un coin de ma tête, une petite voix me souffle "ne fais pas jouir Sam en le suçant … il faut encore qu'il te baise ! " mais je ne l'écoute pas, j'ai trop envie de me faire inséminer, féconder par ces trois mâles en même temps … maintenant ! Je  gémis de plus belle … Je sens qu'après une seconde de surprise,  Philippe et Gérard ne sont pas perturbés le moins du monde par l'intrusion de Sam … au contraire … Ils ont son énorme queue juste sous les yeux, à quelques centimètres, ils peuvent en contempler le moindre détail, et tout en continuant de me troncher, ils regardent l'autre se faire sucer… et je sens que ça ajoute à leur excitation. 


Ça achève Philippe. Il se met à haleter … il bouge son bassin … sort un peu sa queue de mon cul … et la rentre d'un seul coup, à fond ! Et il jouit . Je sens sa queue qui s'agite en moi. In crache son sperme, il m'insémine ! Je couine en redoublant d'ardeur sur la bite de Sam … allez, toi aussi, répands-toi, inonde-moi la gorge ! Mon esprit se met à divaguer, se fixe l'espace de quelques secondes sur ce sexe en train d'éjaculer au fond de mon cul … puis je passe à la grosse bite du blondinet qui continue imperturbablement à aller et venir au rythme des spasmes de mon anus, en pataugeant dans ce que la bite de Philippe est en train de cracher … avant de me concentrer sur l'énorme organe que je suis en train de téter … et je reviens à la jouissance de Philippe … à la bite de Gérard … au gourdin de Sam … 


Oh, les mecs ! Vous me rendez dingue ! Vos bites ! Vos bites ! Vos biiiiiites !


Grimpez-moi, fourrez-moi, bourrez-moi, pinez-moi, sautez-moi, tringlez-moi !


Et soudain, Gérard, le front calé entre mes omoplates, se met à souffler entre ses dents serrées … une sourde plainte commence à monter, comme jaillissant de son ventre … son va et vient se fait moins régulier … il perd le contrôle…  au point qu'il n'est bientôt plus synchrone avec les contractions de mon anus … au point qu'à un moment, son sexe est presque entièrement sorti de moi quand mes muscles se resserrent … il donne un coup de reins et sa queue, au lieu de s'enfoncer en moi, manque de s'échapper, de sortir complètement … Oh nooon ! Jouis dans moi ! Féconde-moi ! Je me cambre pour faciliter sa pénétration ... il s'immobilise, attend que ma porte s'ouvre à nouveau …  et quand mon fourreau bâille, il s'engouffre dans un mugissement, plaque son ventre contre mes fesses, et jouit à son tour  … Sa queue bouge en moi à chaque éjaculation, comme si elle se gonflait au passage de son sperme … Oh, putain, je me sens tellement femelle à cet instant ! Je SUIS une femelle ! Deux mâles m'ont saillie ensemble et … et ils sont en train de me féconder tous les deux, de m'engrosser! Gérard s'écroule sur moi en reprenant son souffle, la joue posée sur mon dos.


J'ai encore la grosse bite de Sam à faire jouir … sa grosse paire de couilles à vider. Je lui tète furieusement le gland et je le sens grossir entre ma langue et mon palais, comme si mon aspiration y faisait affluer le sang. Ses grosses pognes sur ma tête, il me souffle entre ses dents serrées:

- C'est bien continue comme ça, ma p'tite salope, ma p'tite pute …


En me contorsionnant, j'essaye de lui passer la main entre les cuisses pour lui tripoter les couilles. Je les aperçois qui pendent sous sa queue. Mais il est trop près de moi et sa cuisse droite me gêne. Il s'en rend compte, la soulève et pose son pied sur le matelas contre le bras de Philippe. Ah, oui comme ça, j'ai maintenant assez de place. Je caresse le dessous de sa cuisse, puis ses fesses, puis son périnée … sous mes doigts, je sens cette espèce de crête médiane qui court depuis son anus jusqu'à la base de sa verge, en passant par ses bourses … cette crête est saillante, tendue … en fait, tout son périnée est comme gonflé … je plaque enfin la paume de ma main sous ses boules. C'est comme … on dirait … elles sont grosses comme … presque comme des œufs de poule ! Tout en continuant de lui téter le gland, je soulève un peu ma main … Ouaaaaah ! Elles bougent, elles roulent l'une contre l'autre à l'intérieur de ses bourses … Je les sens lourdes, pesantes … Sa réserve de sperme s'est reconstituée ? Il va encore pouvoir m'inonder la gorge ?

- C'est bon, maintenant …


Sans douceur, ses grosses pognes repoussent ma tête. En gémissant, je m'efforce de garder son gland dans la bouche, mais rien n'y fait, il s'échappe dans un bruit de succion et Sam commence à se relever. Je me rends compte que les deux autres restent comme hébétés, hypnotisés par le spectacle auquel ils viennent d'assister. Il faut dire qu'ils étaient aux toutes premières loges, le nez quasiment sur l'énorme membre du tatoué. C'est Gérard, le petit blond, qui, en riant, réagit le premier:

- Ben putain ! Impressionnant, l'engin !


Avec une mimique explicite, Philippe approuve d'un hochement de tête:

- Tu vas te prendre ça dans le cul, maintenant ?

- Oui.

- En même temps que celle du gros, là ? Je sais plus comment il s'appelle …

- C'est Thierry …

- Ah ouais, Thierry … t'es sûr que tu vas pouvoir te prendre les deux ? T'as vu sa queue, à Thierry ?

- Oui … j'ai même fais plus que la voir … il m'a déjà baisé deux fois …

- Mais … les deux … en même temps … 

- Ils vont te défoncer …


C'est Gérard qui vient de me mettre en garde en murmurant tout près de mon oreille. Il poursuit:

- Déjà, nous, c'était limite … non ?

- Non … je me suis déjà pris beaucoup plus gros … et du solide, du dur … T'inquiète, là, mon cul va se dilater encore plus ... et leurs queues vont se comprimer …


Je sens la bite de Philippe, devenue toute molle, glisser hors de moi en entraînant celle de Gérard.

- C'est bon, là, les discussions ?


C'est Sam qui s'impatiente. Je sens toute la scène bouger sur notre droite. Je jette un coup d'œil: c'est le gros Thierry qui vient de débarquer. Gérard, en se relevant, me lance:

- Bon, ben … bon courage, hein …

 

Je roule sur le côté pour laisser Philippe se relever. A demi étendu sur le dos, je sens une bouillie tiède s'écouler de mon cul. Alors je m'assois et, m'appuyant d'une main un peu derrière moi sur le matelas, j'écarte les cuisses, je me penche en avant et je me fourre trois doigts dans le cul. Serrés en forme de cuiller, je les ressors, pleins de sperme. Ce que j'ai dans la main, c'est le sperme de combien de mecs ? Six ? Sept ? Plus ? Je ne sais plus … Je me rends compte qu'autour de moi, tout le monde a remarqué mon manège et m'observe, devinant ce que je vais faire, un petit sourire au lèvres.


- Allez, vas-y ! Lèche, maintenant …


C'est Thierry.


- Attends, montre …


C'est Guy, le comptable, sur ma droite au pied de la scène, le smartphone toujours en main. Je tends la main vers lui et je lui montre. Avec une mimique à la fois de stupéfaction et de dégoût, il poursuit:

- Oh putain, tu vas pas bouffer ça ?


Je hoche la tête: oui, je vais bouffer ça !


- Fais voir par ici …


C'est venu de je ne sais qui sur ma gauche. Je me tourne vers les quatre ou cinq types appuyés aux rouleaux de foin de la scène, et je leur montre le contenu de ma main. Ils se marrent:

- Allez … vas-y !


Je porte mes doigts à ma bouche et je m'apprête à laper le contenu de ma main. Comme je sens que le spectacle les fascine, je réfrène une furieuse envie d'avaler le tout d'un seul coup, et je me contente de tremper le bout de ma langue dans le mélange tiède. Quand je relève la tête, un filament visqueux s'étire entre ma main et ma lèvre et finit par rompre et s'étaler sur mon menton. Alors je trempe ma langue plus résolument dans ce cocktail de liqueurs séminales … Brusquement, je réalise que pour les mecs qui me regardent, ce que j'ai au creux de la main, c'est seulement du foutre, de la jute, de la jouissance de mecs, du jus de partie du cul … mais pour moi, cette espèce de crème grumeleuse, c'est plus que ça: sur mes doigts et sur ma langue, il y a des spermatozoïdes de je ne sais plus combien de mâles ! Des milliers de spermatozoïdes … peut-être des millions … si ces mecs, au lieu de me baiser, moi, avaient engrossé des femmes, ça aurait pu faire combien de mômes ? Sept, huit, neuf ? Peut-être plus, je ne sais plus combien d'entre eux m'ont inséminé en une heure … C'est donc la moitié du patrimoine génétique d'une tripotée de gamins potentiels que je m'apprête à avaler … J'imagine ces spermatozoïdes qui nagent frénétiquement dans cette sauce … tiens, en voilà un de Philippe qui en rencontre un de Manoel … et là, deux petites graines de Gérard qui font la course avec une de Gilles et une de Jérôme … Est-ce qu'avec un microscope, on arriverait à distinguer les spermatozoïdes d'un mec de ceux d'un autre mec ? Pourquoi l'idée que je vais avaler des cellules reproductrices de ces types m'excite à ce point ?


Hhhhmmmm, voilà, j'ai cette bouillie visqueuse et un peu acide sur la langue. Un concert de rires, d'applaudissements, de yeaahh, retentit. Je ressors ma langue, maculée de foutre pour la leur montrer, et j'avale, je déglutis. Tandis que je me lèche consciencieusement les doigts, un à un, je sens cette gelée glisser lentement dans mon œsophage. J'en veux encore. Alors je replonge mes doigts dans mon fourreau qui continue de dégorger sous moi, et j'en ressors la valeur d'une cuillerée à soupe que je m'empresse de porter à ma bouche. 


- Bon, ça y est ? T'as fini ?


C'est Sam, à ma droite, qui a maintenant la bite raide, dressée toute seule à 45°. Thierry à ma gauche, bande aussi, mais sa queue … sa pine, comme il l'appelle, baisse le nez sous son propre poids. Je vois leurs deux énormes organes en contre-plongée … impressionnant ! Ils me regardent tous les deux … Sam, les poings sur les hanches, avec un air déterminé, impatient, presque dur, semble me dire "je vais te bourrer, salope" … Thierry me dévisage par-dessus sa bedaine, hilare et semble me demander "alors, tu la veux toujours, ma grosse pine ?". 


- Mets-toi entre eux deux …


C'est Jérôme, au pied de l'escalier, qui brandit son smartphone et qui semble vouloir immortaliser … quoi, exactement ? Ma rencontre, ma confrontation avec ces deux grosses queues avant de me les prendre dans le cul ? Alors oui … et d'autant plus volontiers que, de cette façon, que ce soit en vidéo ou en photo, on pourra mieux estimer le diamètre et la longueur de leurs organes. En pleine action dans mon cul, je ne suis pas sûr qu'on se rende bien compte du calibre de ces gourdins. Les deux compères ont l'air de trouver aussi que c'est une bonne idée et, pendant que je me redresse et me mets à genoux, ils se rapprochent de moi et attendent en prenant plus ou moins la pause. M'adressant à Jérôme:

- Tu fais quoi … photos ou vidéos ?

- Photos, pour le moment, non ? Je … je vous filmerai quand ils seront en train de te … 

- Ouais, très bien …

- Tu peux faire euh … tu sais … le mec euh … étonné par la taille de leurs bites … euh … et même le mec un peu … effrayé … tu vois ce que je veux dire ?

- Ouais, je vois …


Alors évidemment, je joue le jeu … une fois à genoux entre eux deux, j'ai leurs grosses bites à hauteur du visage, j'en prends une dans chaque main et, les yeux ronds et les lèvres semblant émettre un énorme "Ooooh", je mime tant bien que mal la stupéfaction … Jérôme:

- Ah ouais … bien … Fais le mec effrayé, maintenant … qu'on sente que tu sais que tu vas te les prendre dans le fion et que ça va faire mal …


Je fais me mec effrayé … Les deux comparses jouent aussi le jeu, tendant leurs bassins vers moi, comme s'ils m'imposaient leurs bites …

- Relève-toi, maintenant, et mets-toi de dos … qu'on voie que c'est dans ton cul qu'ils vont te les fourrer, leurs queues …


J'obtempère. En me relevant, je sens une bouille poisseuse me couler le long des cuisses.

- Ouais, écarte les jambes, maintenant, et tends ton cul … et vous, les mecs, approchez vos bites de son trou du cul … comme si vous vouliez tous les deux l'enculer …


J'écarte les jambes, je me cambre, je m'empoigne les fesses à deux mains pour m'ouvrir et je tourne la tête vers Sam, comme si j'attendais qu'il me fourre … Ils plaquent tous les deux leur queue contre mes fesses, leur gland tout près de ma rondelle … Jérôme:

- Ouais … excellent !


Sam:

- Ouais … c'est bon, maintenant … on la baise, cette salope !


A suivre …

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Samedi 26 mars 2016 6 26 /03 /Mars /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Ça y est, me voilà enfin sur scène ! 


Comment ça "quelle scène ?" Mais si, souvenez vous … la scène installée avec les moyens du bord … dans la cour d'une ferme … pour un gang bang organisé par Philippe … 


Philippe … vous voyez qui je veux dire, ou non ? Rappelez-vous, Philippe, c'est cet inconnu à vélo, rencontré au bord d'un canal et qui m'avait demandé de le branler devant des randonneurs … vous ne voyez toujours pas ? Mais si … après, pendant que j'étais en train de lui tailler une pipe, on s'était fait surprendre par un cultivateur … Jean-Claude …  qui s'était masturbé en nous regardant, et qui m'avait éjaculé dans le dos …


Ah, ça y est, vous vous souvenez ? Et bien, après ça, Philippe avait proposé de m'organiser un gang bang dans la ferme de Jean-Claude, le cultivateur … un gang bang pour moi … pour moi tout seul ….


Un gang bang … en fait, pas vraiment. Moi, j'appellerais plutôt ça une tournante. Déjà à cause du nombre de participants, pas loin d'une trentaine … rien que des inconnus, exceptés Philippe et Jean-Claude qui nous héberge dans sa ferme. Voilà, vous y êtes … Pour moi, c'est une tournante aussi pour la façon dont ces mecs me sont passés dessus dès mon arrivée à la ferme: à la chaîne et sans fioritures, uniquement pour se vider les couilles. Pour donner une image, c'était un peu comme ce pote à qui tu offres l'apéritif et qui te demande d'abord deux grands verres d'eau pour la soif, avant de savourer ton apéro. Ce matin, tous ces mecs étaient tellement en urgence qu'en moins de trois heures, je les avais déjà tous épongés. C'est aussi pour ça que ça me rappelle vraiment ce que subissent certaines nanas dans des caves sordides de cités. La différence avec ce genre de tournante plutôt glauque, c'est d'une part que moi, j'étais demandeur pour me faire grimper par tous ces mecs, et que d'autre part, ici, le cadre est bucolique et l'ambiance plutôt sympa. 


Bref, ces mecs ont eu une idée géniale: dresser une espèce de scène avec des gros rouleaux de paille et des palettes, sur laquelle ils ont installé un matelas. Comme ça, pendant que je me fais troncher, les autres sont au spectacle. Ça me plaît beaucoup parce que, dès que j'ai commencé à me faire fourrer par un de ces mecs sous les yeux des autres participants, j'ai découvert quel plaisir c'est de me faire tringler en public. En plus ça contribue à exciter et à donner envie à ceux qui regardent de venir me baiser à leur tour.


Et là, depuis une petite demie heure, j'ai commencé mon show sur scène. Pas tout seul, évidemment …

 

Il a fallu que ce soit moi qui entraîne l'un d'eux, Kevin, sur cette estrade pour que les autres se décident à leur tour. Bon, OK, il y a eu la sieste après le repas, mais j'ai plutôt l'impression que la plupart des mâles ici présents n'osaient pas commencer et attendaient que d'autres inaugurent l'installation. Voilà, c'est fait, et de voir un ou deux de leurs comparses me fourrer comme au spectacle, ça les a excités et ça les a décidés à y venir aussi. 


Et là, il y en a déjà cinq ou six qui me sont passés dessus sur scène, sans compter deux ou trois qui sont venus se faire téter le poireau ou se faire branler. Excepté Kevin, les tout premiers qui m'ont fourré ici, l'ont fait sans prendre leur pied, comme s'ils se réservaient pour plus tard, et puis le grand brun à la belle queue a été le premier à vraiment me tirer sa cartouche. Après lui, il y en a eu deux autres, et le cocktail de semences que ces trois mecs ont commencé à concocter, s'écoule déjà de mon cul. Le dernier vient tout juste de se décoller de moi et de se relever. Il s'est à peine éloigné que je sens déjà le matelas s'aplatir entre mes genoux sous le poids d'un nouveau venu.

- Bouge pas … reste comme ça ….

 


Une main se pose sur ma fesse et glisse directement dans ma raie … des doigts pataugent à l'entrée de mon fourreau:

- Oooh putain ! T'as le cul plein de foutre !


C'est la voix d'Hamid. Il m'a déjà un peu ramoné, tout à l'heure, après que le petit Kevin m'ait fécondé. Mais il n'a pas joui … pas encore. Là, à son intonation, je sens que sa remarque sur mon cul plein de foutre n'est pas un reproche … plutôt une constatation teintée de stupéfaction … Il continue de me travailler la rondelle et sans hésiter il m'enfonce un doigt. Hhmmmm ! Ça me surprend de sa part … jusqu'ici, il m'avait paru plutôt coincé et je pensais que ça le dégoûterait de patouiller comme ça dans le sperme des autres… d'ailleurs, tout à l'heure, il m'a soigneusement essuyé le fourreau avant de me chevaucher … Comme quoi … Alors je me cambre, à la fois pour l'inviter à continuer et pour faciliter son exploration. Il a compris, et il m'introduit un deuxième doigt ... puis un troisième ... comme par réflexe, ma fleur bâille toute seule sous sa caresse … hhmmmm, je le sens barboter dans le mélange tiède et visqueux qui baigne mon rectum … il sait y faire, le salaud … avec ma rondelle rendue hypersensible par tous ces coups de bites, son doigtage me rend dingue, et je me mets à gémir de plaisir …

- T'aimes ça, hein, le foutre …

- Oui … et tes doigts aussi … rrrhhhh … rrrhhh … rrrrrrhhhh …

- Hé, les mecs ! Il ronronne comme une chatte en chaleurs !


Ben oui, j'aime ça ! Je le sens bouger, à genoux entre mes cuisses, et le matelas s'affaisse un peu à côté de mon aisselle gauche en même temps qu'il retire ses doigts de mon cul …

- T'aimes le foutre ? Tiens, en voilà …


Il s'est penché au-dessus de moi, et il me colle sa main toute enspermée contre les lèvres. Un peu surpris, j'ouvre la bouche et il y glisse ses doigts. Je commence par lécher précautionneusement cette mixture douceâtre et un peu poisseuse, et puis, à l'idée que c'est bel et bien un cocktail de la semence des trois mâles qui viennent de me passer dessus … hhhmmmm … ça m'excite, alors je saisis le poignet du marocain et je lui suce consciencieusement les doigts un à un … ça le fait rire … Une fois sa main nettoyée, je me tourne sur le côté gauche, appuyé sur le coude, la jambe droite légèrement repliée … je sens une espèce de bouillie tiède s'écouler de mon cul en faisant des bulles. Hamid, toujours à genoux entre mes cuisses, se demande ce que j'ai l'intention de faire … je le regarde, je lui caresse le ventre et j'effleure son sexe, dressé à 45 degrés … il est excité et il a encore envie de me fourrer … 

- Tu vas encore me baiser, Hamid ?


Il hoche vigoureusement la tête. Je parcours sa queue du bout des doigts.

- Tu vas aussi prendre ton pied dans mon cul ?

- Ouais.

- Tu veux m'essuyer le cul, comme tout à l'heure ?

- Nan …


Je soulève ma jambe droite, écartant largement mes cuisses, et j'étale sur mes couilles et sur ma queue la gelée poisseuse qui souille mon périnée … Hamid se marre en secouant la tête. Dans son regard, je lis clairement ce qu'il pense: "quelle salope !". Il a raison, c'est exactement ça, je me sens vraiment très salope, et ça me plaît ! Je crois qu'en effet, tous ces mecs me prennent maintenant pour une fieffée salope. Je dois dire que de ce point de vue, aujourd'hui, j'ai été à la hauteur. Je m'étonne moi-même. Il n'y a pas si longtemps, quand je regardais une vidéo dans laquelle une femme, au milieu d'une bande de mâles en rut, se comportait comme de la viande à bites et se faisait remplir et couvrir de foutre, je trouvais ça assez limite. Mais là, tous ces mecs m'ont déjà baisé, et certains deux fois, et ça ne m'a pas calmé, bien au contraire. Ils bandent encore pour mon cul, et j'ai toujours autant envie de me les prendre dans le fion … Il paraît que dans le monde animal, il y a des femelles qui repoussent les mâles dès qu'elles ont été fécondées. Moi, c'est l'inverse … comme si la semence de ces mecs, en imprégnant les muqueuses de ma bouche et de mes entrailles, agissait comme un puissant aphrodisiaque alimentant mon irrépressible envie de bite et de foutre ! 


C'est un cercle vicieux. Un délicieux cercle vicieux ! Ô combien vicieux !


Alors oui, je ne demande que ça, prendre des coups de queue, encore et encore ! Ça m'excite d'autant plus que, tout à l'heure, avant de me baiser, le grand brun a annoncé la couleur: maintenant, ceux qui vont venir me fourrer vont tremper leur queue dans le sperme des autres ! Pas question que je me vide ou que je me lave entre deux coups de bites. Je vais encore me faire remplir à la chaîne, comme ce midi, sur le bar …


Au départ, quand Philippe m'a proposé cette tournante, je ne l'avais pas vraiment imaginée comme ça. Même au cours de la semaine qui a suivi, et jusque à mon arrivée ce matin, je l'anticipais plus sage, moins débridée et moins pleine de ces sécrétions, de ces liqueurs éjaculatoires … j'imaginais bien ces mecs me passer dessus l'un après l'autre … pas autant de mecs, d'ailleurs, une quinzaine tout au plus – putain, trente mecs ! Je me fais troncher par trente mecs ! - je les imaginais me prendre, les uns en levrette à quatre pattes sur la pelouse, les autres sur le dos sur une table, tirer leur coup plus ou moins rapidement … et, tout en espérant qu'ils ne voudraient pas mettre de capote, je m'attendais à ce que certains en mettent, et que les autres exigent que je me lave le cul entre deux … fécondations … et j'imaginais qu'après avoir tiré un coup, ils se taperaient un apéro, mangeraient et rentreraient chez eux … Je ne suis pas sûr qu'eux-mêmes s'attendaient à une telle débauche, mais ils ont fini par réaliser qu'il n'y aurait pratiquement aucune limite, hormis la violence, l'humiliation et le scato … Alors la copulation à laquelle je me suis abandonné sans retenue avec chacun d'entre eux a alimenté l'excitation collective. 


Et ce sperme, tout ce sperme ! Bien sûr, chaque fois que l'un d'eux a joui dans ma bouche ou dans mon cul, nous n'étions que deux à le sentir physiquement … lui et moi … mais les autres se rendaient bien compte qu'il était en train de prendre son pied et de répandre sa semence dans ma gorge ou dans mon cul … et puis, de là où se trouve la plupart des spectateurs, les yeux à la hauteur de mon cul, ils sont assez près pour entendre les gargouillis que font les bites qui me ramonent et voir en gros plan ce qui s'écoule de mon fourreau. Et j'ai l'impression que ce cocktail de spermes, devenu omniprésent, fait maintenant partie du jeu pour cette bande de mâles. Ils n'ont pas l'air d'être dégoûtés ou de craindre une contamination à l'idée de tremper leur bite là-dedans. C'est un peu comme si ça les excitait, eux aussi, comme si ça leur donnait envie de venir ajouter leur propre semence à ce cocktail …


Au pied de la scène, ils sont toujours une bonne vingtaine à regarder, les autres un peu plus loin, autour des tables. Dans leurs yeux, je lis aussi "quelle salope !". Dans leurs sourires, ou plutôt dans leurs rictus, je lis "je vais venir encore te bourrer". Alors, tout en les regardant l'un après l'autre, je glisse ma main entre mes fesses, jusqu'à mon fourreau, et à mon tour, j'y introduis trois doigts … je les ressors pleins de sperme que je lèche avec application. Quand c'est fait, je me tourne un peu vers Hamid, je saisis sa queue, et tout en le tripotant machinalement, je lance à l'assemblée:

- Bon, maintenant, les étalons, vous allez venir me remplir … tous …


"Les étalons" … Ça leur plaît autant qu'à moi, de les appeler les étalons. Et ça décide deux types qui se faufilent au milieu du groupe et se dirigent vers l'escalier au pied de la scène … Tiens, en tête, c'est l'autre connard avec qui je me suis fritté à midi … et à sa suite, le type un peu mou qui l'accompagnait dans la salle de bain de Jean-Claude, ce matin  … un autre leur emboîte le pas, sa tête ne me dit rien … et derrière lui, le vidéaste, celui qui m'a fourré, debout sur la paille après le repas, ainsi que le mec avec un tatouage sur le pubis. Ces deux-là, il me semble que c'est un des duos qui doit me faire une double sodomie. Ma première double ? En tout cas, voilà cinq mecs, la bite raide, qui se préparent à monter à l'assaut ! Cinq bites ! L'une, toute gonflée et lourde, pendouille la tête en bas, deux autres sont fermement empoignées par leurs propriétaires, et les deux dernières se dressent toutes seules à 45° ! 


Voilà les deux premiers en haut des marches. En tête, le connard, que j'ai foutu par terre au milieu du repas pendant que je le suçais sous la table. Hamid l'a reconnu: c'est aussi ce mec qui était venu faire chier mon marocain quand il voulait me sauter dans la salle de bain. Hamid me tapote le poignet pour attirer mon attention, et me le désigne du menton:

- Tu … tu vas le laisser te baiser ?

- Je sais pas … il s'est calmé, non ? Tu t'es calmé ?

- Ouais, ouais …

- J'aurai pas besoin de Sam ?

- C'est qui, Sam ?

- Le costaud … le tatoué …

- Ah ouais … nan, t'en auras pas besoin …

- Bon … visiblement, t'as encore envie de me baiser …


Il serre sa queue et se masturbe doucement.

- Ça se voit, non ?

- Ouais, ça se voit … 

- Alors ? J'pourrai te baiser ?

- Pas de violences ?

- Nan, pas de violences.

- Bon, alors tu pourras me baiser … attends ton tour.


Je me tourne vers Hamid:

- Bon, et toi, tu me baises comment ?

- A quatre pattes, ma poule …


Il me tapote la hanche pour m'inviter à me remettre en position. Je me retourne, mains à plat sur le matelas, cuisses bien écartées. La mixture que je me suis étalée sur la bite et sur les couilles a commencé à sécher et me tiraille un peu la peau, mais ce n'est pas désagréable. Hamid s'approche, ses genoux entre les miens, glisse ses mains sur mes hanches, se soulève un peu pour poser sa queue à plat dans ma raie, et commence à manœuvrer pour faire glisser lentement son gland jusqu'à ma fleur. Ah la la … ce que j'aime cet instant qui précède l'accouplement, juste avant la pénétration … Voilà, je sens la chaleur et le contact de son gland contre mon anus … un peu dedans … une pression sur mes hanches, une poussée … je me cambre … Aaaaaaaaah ouiiiii, il est en moi ! Je sens que c'est pour maintenant … tout à l'heure, il m'a fourré comme ça, sans tirer son coup, mais là, c'est sûr, je le sens prêt, il va jouir dans mon cul … et après lui, il y en a encore cinq autres, prêts aussi à me tirer. Comme tout à l'heure, quand il est monté sur scène la première fois, Hamid appuie entre mes omoplates pour que je pose ma tête sur le drap. J'obtempère docilement. Je croise mes avant bras sur le matelas et j'appuie mon front dessus. Vas-y, mec, fais-toi plaisir ! Il commence à aller et venir. 


Maintenant, j'aimerais bien que lui et les cinq qui le suivent me prennent tous comme ça, dans la même position, qu'ils me baisent et qu'ils se soulagent vite fait, sans que je sache qui est en train de me fourrer … j'aimerais que les autres, ceux qui sont en train de regarder, se décident à leur tour et fassent la queue … j'aimerais sentir qu'une longue file de mâles, bite en main, s'étire dans l'escalier et au pied de la scène pour venir, les uns après les autres introduire leur sexe en moi et y déverser leur sperme …


Tout en me ramonant, Hamid me caresse fiévreusement les fesses et les hanches. Je l'entends respirer bruyamment par la bouche. Il est au bord de l'orgasme.

- Ah … pu … tain ! Putain ! Puuuuu … taiiiiin !


Son ventre frappe mes fesses de plus en plus vite dans un bruit de gargouillis … plach … plach … plach … plach … plach … plach … plach … plach … et il se colle soudain à moi en râlant:

- Rhhaaaaaaaa … puuuu … taiiiiiiiin !


Il jouit . Je ne bouge pas. Immobile, il éjacule et me remplit, les mains crispées à l'angle de mes cuisses. Je sens une gelée tiède s'écouler lentement sur mon périnée, comme si sa sève, en se déversant dans mon cul, chassait celles des autres. Enfin, Hamid s'appuie des deux mains sur mes reins, et se relève péniblement. Un petite claque sur ma fesse, et je sens le matelas, libéré de son poids, reprendre sa forme entre mes mollets. J'attends, inerte. J'entends Hamid bougonner je ne sais quoi quand il croise le connard en haut de l'escalier. Quelqu'un se laisse lourdement tomber sur le matelas entre mes genoux. Qui ? Peu importe. Sa main sur ma hanche … quelque chose de tiède contre ma rondelle encore béante … sans doute son gland … la main qui le guide effleure mon périnée ruisselant de crème, se pose sur mon autre hanche … un coup de reins et son sexe est en moi. Ses mains glissent jusqu'à la ceinture de mon porte-jarretelles, à l'angle de mes aines, comme celles d'Hamid il y a un instant, et m'empoignent fermement. Le sexe se met à aller et venir.


Il n'y a pas à dire, les deux mains d'un mec à cet endroit, ça participe beaucoup à mon plaisir quand je me fais prendre en levrette. Bien sûr, me faire caresser les fesses, les hanches, les cuisses, le ventre et les reins pendant qu'on me baise dans cette position, c'est très agréable, mais dès qu'un mec m'empoigne comme ça, à l'angle de mon ventre et de mes cuisses, ça ajoute quelque chose de très puissant à mon plaisir. Un mec qui s'accroche à moi de cette façon, ce n'est pas seulement pour rester collé à moi, ce n'est pas seulement pour me maintenir, pour piloter notre coït, c'est aussi comme ça que le mâle marque sa possession, sa domination sur moi: avec ses mains agrippées à mes aines et son sexe dans mon cul, il ne fait pas que me tenir, il me prend, il me possède, je suis à lui.


Qui est en train de me baiser ? Le connard ? Un autre ? Non, sûrement le connard, c'est lui qui était en tête de la colonne, en haut l'escalier … Vas-y, baise-moi aussi, connard ! Du moment que tu ne joues pas au sadique vicelard, tu peux me fourrer autant que tu veux. Et en effet, à la manière dont il m'envoie sa queue au fond du cul, à ses doigts qui s'enfoncent convulsivement dans le gras de mes aines, je pense reconnaître la violence à peine contenue de ce mec. Il serre sûrement les dents, et il aimerait sans doute me faire mal tout en me baisant, mais, par peur de Sam, il se retient et ça doit ajouter à sa rage. Et dans le fond, ça me plaît de me faire sauter par cette espèce de bombe prête à exploser. 


Décroisant mes avant bras, je glisse une main sous mon ventre, jusque entre mes cuisses. Les siennes sont là, collées aux bas qui gainent les miennes. Je remonte doucement ma main et, au moment où il plaque son ventre contre moi, mes doigts effleurent ses couilles. Il s'apprêtait à repartir en arrière, mais il sent mes doigts, hésite, et reste finalement plaqué contre moi. Je frôle ses boules poilues, puis je les caresse plus résolument. Je l'entends aspirer l'air violemment entre ses dents. Je lui fais beaucoup d'effet, avec mes doigts sur ses couilles. A force de venir heurter mon périnée, ses bourses sont poisseuses du cocktail de spermes qui s'écoule de mon cul.

- Ah oui, putain, tripote-moi les couilles !


Je les saisis, et je les pétris précautionneusement, en tirant délicatement sur ses bourses.

- Ah oui ! Ah oui ! Vas-y, s……, vas-y, saaalope !


Il se laisse faire quelques secondes, puis il recule son bassin, sort sa queue de mon cul, et:

- Ah putain ! Relève-toi ! Je veux te tirer la gueule !


Sur le coup, je ne comprends pas. Alors, il insiste:

- Relève-toi et tourne toi ! Je vais te juter dans la gueule !


Je me retourne et je m'assois face à lui. Dans cette position je sens du sperme s'écouler tout seul de mon cul et s'étaler sur le drap. Le connard s'avance sur les genoux entre mes jambes pour me présenter sa queue. Il la tient, serrée sous les couilles. Elle est effectivement couverte de sperme, en particulier sous la couronne de son gland: en sortant de mon cul, elle a raclé la crème que les autres mecs ont laissée. Je saisis le milieu de sa verge entre mon pouce et mon index et de mon autre main, je lui fais lâcher sa queue. Je m'approche et je m'apprête à lécher la mousse blanchâtre qui couvre sa bite. Dès que ma langue touche son gland, sa queue a un soubresaut réflexe. Il est super excité … ça ne devrait pas durer longtemps. Je passe le bout de ma langue tout autour de son gland, juste sous la couronne, là où le cocktail qu'il a ramené de mon cul s'est accumulé … hhmmmmm … c'est mousseux, légèrement grumeleux et un peu salé … c'est le sperme de quatre mecs … c'est le désir, la jouissance, l'orgasme de quatre mâles, que je suis en train de lécher sur cette bite !


Je nettoie consciencieusement la queue du connard puis je l'enfourne … jusqu'au fond de ma gorge … son gland contre ma luette, ses couilles poisseuses collées à mon menton … nouveau soubresaut. Il me prend la tête entre ses mains et je sens qu'il se maîtrise pour ne pas me la secouer. Je presse le dessous de sa verge avec ma langue et je recule ma tête. Son gland frotte mon palais. Ça l'achève. Je sens brusquement son urètre gonfler sur ma langue et un puissant jet tiède vient s'étaler au fond de ma gorge . Ooooh ouiiii, vas-y, jouis, donne-moi ton foutre ! Je déglutis et mon excitation monte …En poussant un long râle, il me bloque la tête pour ne pas sortir davantage sa queue de ma bouche … un autre jet … un autre encore … j'avale et je sens sa liqueur s'écouler dans mon œsophage … ça m'excite … c'est un connard, mais il est en train de me juter dans la gueule, comme il dit … encore un jet … vas-y … vas-y … VAS-Y, inonde-moi la bouche ! J'avale encore et j'attends un autre jaillissement … mais rien … c'est fini … Il lâche ma tête. En ressortant sa queue de ma bouche, je presse son urètre entre mes doigts pour en extraire le fluide qui reste … Il s'empresse de se recalotter, se relève sans un mot, me tourne le dos et descend l'escalier. 


Le type un peu mou qui le suivait s'approche en serrant sa queue dans sa main. Je l'interroge:

- Comment tu veux ?


De sa main libre, index dressé, il trace un cercle. 

Compris ! Ça veut dire "retourne-toi !". Il va aussi m'enculer en levrette. Demi-tour, à genoux, avant-bras croisés sur le matelas, le font appuyé dessus, cuisses écartées, reins cambrés … prêt ! Vas-y, baise-moi ! Le matelas s'écrase entre mes genoux … un truc chaud, caoutchouteux et un peu humide vient se plaquer contre ma fesse droite, juste à hauteur de l'entrée de mon fourreau … son gland. Et il commence à le frotter tout autour de ma rondelle, le passant de temps à autre sur l'ouverture de mon anus. Ça glisse tout seul dans la bouillie qui me souille le cul. Il joue, comme s'il voulait que j'essaie de le gober au passage … Et je sens ma rondelle se mettre à béer par réflexe … oui, elle la veut, cette bite ! Lui, ça ne lui a pas échappé, et ça le fait rire …

- Tu la veux, ma bite, hein …


Ce n'est pas à moi qu'il s'adresse … c'est à mon cul !

- Tiens ! La voilà !


Je sens le truc chaud et caoutchouteux se poser contre mon anus et s'enfoncer un tout petit peu, juste assez pour que, seul, son gland soit enfoui dans mes chairs. Il suffirait que je recule un peu mon bassin pour que toute sa bite s'enfouisse en moi, mais ça me plaît bien de le laisser jouer comme ça. Je ne bouge pas.

- Ah, la vache ! C'est chaud, là-dedans !


De la main, il bouge son gland à l'entrée de mon étui, il le fait tourner en rond.

- Ah, putain  suce-moi le gland, avec ton cul !


«Suce-moi le gland avec ton cul !» Ah oui, si mon sphincter était aussi agile que mes lèvres, ça me plairait de lui faire ça. Mais je peux seulement essayer de lui presser le gland avec mon cul. Mon sphincter, avec tous les coups de bites qu'il a pris, est vraiment très détendu, très relâché, et je dois m'y reprendre à plusieurs fois avant d'arriver à le contracter. Et peu à peu, ça vient … je contracte … je relâche… je contracte … je relâche… je contracte … de plus en plus fort. Il le sent:

- Ah, la vaaaache !


Il lâche sa queue, me prend par les hanches, se met à haleter:

- Ah la vaaaaache … hahhh … hahhh … hahhh … ah la vaaaache … hahhh … hahhh … ah putaiiiiiiin !


Et d'un violent coup de reins, il s'enfonce en moi, s'affale sur mon dos, passe ses mains sous mon torse, et jouit en me caressant . Il continue de haleter et je sens son souffle sur ma nuque, tandis que son bassin s'agite violemment d'avant en arrière, me bourrant de furieux coups de queue. Puis sa furia diminue, il se calme progressivement. Il déglutit bruyamment et me souffle à l'oreille:

- Putain, c'que t'es bonne, toi …


Je passe une main derrière sa nuque, je la caresse, et:

- Merci.

- Tu voudrais pas venir vivre avec moi ?

- Vivre avec toi ?

- Ouais … comme ça, j'pourrais … j'pourrais te niquer quand j'veux … et tu pourrais me faire des choses … comme là … c'que tu viens d'me faire …

- Oui, c'est gentil, mais ça va pas être possible … je veux pouvoir me faire sauter par d'autres mecs …

- Bon, ça y est ? T'as fini ?


C'est une voix, juste derrière nous … Un autre mec s'impatiente. Mon baiseur se redresse un peu, et:

- Ouais, minute …

- Ouais ben, arrête de tchatcher … grouille …


Il colle de nouveau sa bouche près de mon oreille:

- Tu veux pouvoir te faire sauter par d'autres mecs ? Pas de problème, tu pourrais te faire sauter autant que tu veux … même chez moi … même devant moi … je peux même t'en trouver, moi, des mecs …

- Ecoute, vivre en permanence chez toi, je … je pourrais pas. Mais, venir chez toi de temps en temps, un jour ou deux, pour te faire des choses, comme tu dis … et que tu me fasses aussi des choses … pourquoi pas …

- Bon, ça m'irait … et si je fais venir des potes à moi, tu … tu serais d'accord ?

- Des potes à toi … tu veux dire pour me baiser ? Un peu comme aujourd'hui ?

- Ben, ouais … pas autant de mecs … c'est pas grand, chez moi, mais … cinq ou six …

- Ben évidemment, cinq ou six mecs, ça m'irait … mais pas des tordus, ni des vicelards …

- C'est vrai ? Classe ! Bon, je vois ça et on se recontacte …

- Comment tu t'appelles ?

- Moi ? C'est Denis …

- OK, Denis, je te donnerai mes coordonnées …

- J'ai déjà ton mail … il est sur ton blog …

- Ah, OK …

- Salut …


Il sort de mon cul, se relève et s'éloigne. J'entreprends de me redresser en m'appuyant sur les mains, mais:

- Bouge pas ! Reste comme ça !


Une main vigoureuse m'appuie entre les omoplates pour me maintenir en position, puis elle glisse sur mon dos, sur mes reins et me caresse les fesses. Et sans aucun préliminaire, un sexe s'introduit en moi. Il n'a pas l'air d'être très gros, mais il est très raide, parce que je le sens exercer une pression dans mes entrailles au fur et à mesure qu'il s'enfonce. Le mec – quel mec, au fait ? – le mec a ses deux mains à plat sur mes reins. Quand je sens son ventre venir buter contre mes fesses, je vais à tâtons saisir sa main droite et je l'attire jusqu'à mon aine:

- Tiens-moi par là, pour me baiser.


De lui-même, il fait pareil avec sa main gauche. Il me cramponne fermement, recule son bassin et revient d'un grand coup de reins. 


Et c'est suffisant … il jouit  ! 


Un seul aller et retour, et il jouit ! Il avait effectivement une urgence. Le souffle coupé, il est immobile, et je devine qu'il jouit uniquement à la crispation convulsive de ses mains sur mes hanches, comme s'il voulait me pénétrer tout entier. Je sens aussi les contractions de son ventre contre mon cul, et je perçois un sourd gémissement. Je devine le jaillissement de sa semence dans mon ventre. Allez, mec, jouis, répands-toi, remplis-moi, féconde-moi ! Ça dure une dizaine de seconde, et il reprend son souffle en avalant bruyamment de grandes goulées d'air. Ses mains se décontractent sur mes hanches, et il me caresse les fesses.

- Ça y est, j'ai joui … il était temps

- On dirait, j'ai senti …

- Désolé, j'ai pas pu te …

- Me quoi ?

- Te donner du plaisir …

- Si … que tu prennes ton pied dans mon cul, ça me donne du plaisir…

- Bon, ben … tant mieux, alors …


Et il se décolle de moi et se relève. Je ne bouge pas, attendant le suivant.


- Bon, à nous …


On me tapote sur la fesse. Je me redresse et je me retourne. Le vidéaste et son comparse au tatouage sur le pubis sont là, debout sur les rouleaux de paille en haut de l'escalier. Lui, le tatoué, est très raide, sa longue bite toute fine dressée à 45°. Il me regarde avec les yeux exorbités. La queue de l'autre, bien plus épaisse est aussi toute gonflée, mais elle baisse le nez sous son propre poids. Lui me regarde avec un sourire à la fois amusé et salace:

- Alors, t'es prête ? C'est maintenant qu'on te la fait, ta double sodo ?


Oh oui, c'est maintenant ! Je sens mon anus totalement relâché, décontracté, distendu, même … Oui, ils vont pouvoir me fourrer tous les deux, c'est le moment … Deux mâles en moi, en même temps … deux bites dans mon cul … Je me sens comme une vierge qui s'apprête à se faire déflorer par son premier mâle ! Je hoche vigoureusement la tête:

- Oui, oui, oui, prenez-moi tous les deux ! 


Je m'agenouille et je tends les mains vers leurs bites. Le vidéaste fait un pas vers moi et je prends sa queue dans la main. L'autre fait pareil. Je me mets à embrasser leurs sexes l'un après l'autre:

- Vous allez me baiser tous les deux … mmfff mmfff mmfff … vous allez me baiser tous les deux … mmfff mmfff mmfff … baisez-moi … baisez-moi ensemble … mmfff mmfff mmfff …


Le vidéaste a posé une main bienveillante sur ma tête et il me regarde, épaté et hilare. Aux éclats de rire qui montent du pied de la scène, je réalise que c'est un couinement, plus qu'un gémissement qui est sorti de ma bouche. Je suis surexcité, dans l'urgence:

- Comment … comment vous … comment on se met ?


Le vidéaste se marre devant mon impatience:

- Comment tu veux, toi ? Tu préfères te faire prendre sur le ventre ou sur le dos ?

- Sur le dos, sur le dos …

- Bon, alors moi je m'allonge en dessous, tu viens sur moi, et Angelo au-dessus … ça vous va ?

- Oui, oui, ça me va … alors, toi, c'est Angelo ?


Le tatoué hoche la tête. Oui, lui, c'est Angelo:

- Moi aussi, ça me va …

- Et toi, tu t'appelles comment ?

- Moi, c'est Jérôme …


On va déjà essayer comme ça. Après, on essaiera autrement, moi sur le ventre … avec ces deux-là ou avec deux autres … Je continue d'embrasser et de léchouiller ces deux bites … dans un instant, elles vont être toutes les deux dans mon cul, leurs glands au fond de mon ventre … deux garçons, deux mâles qui vont s'accoupler avec moi en même temps pour se donner du plaisir … et vu l'état dans lequel se trouvent ces deux sexes, il est évident que ça les excite autant que moi … d'ailleurs, je bande, moi aussi …

- Bon, on y va ?


C'est le vidéaste – Jérôme - qui trouve sans doute que j'ai suffisamment cajolé leurs bites. Je me lève et j'attends qu'ils me disent quoi faire. Un coup d'œil autour de nous. Assis dans l'escalier, il y a Gilles le grand type maigre qui m'a fait l'amour sur la pelouse, ce matin, et debout à côté de lui, Manoel, le mâle velu et viril. Dans leurs yeux et dans leurs sourires, je lis « après, c'est à nous de te baiser en duo ». Oh, putain, cette fois, j'y suis ! Ma première double sodomie ! MES premières doubles sodomies ! Je n'en reviens pas. C'est une vieille envie, et depuis que j'ai franchi le pas avec des mecs, j'y pensais toujours plus ou moins, mais comme un fantasme difficile, presque impossible à assouvir … trouver deux mecs qui me plaisent physiquement et moralement, trouver une occasion et un endroit pour les réunir, les convaincre de frotter leur bite contre celle d'un autre mâle, surmonter ma propre peur … Et là, ce matin, je n'y pensais même pas … il a fallu que toutes mes inhibitions s'envolent, il a fallu que je réalise à l'épreuve des faits que j'étais vraiment prêt à me faire baiser par une horde d'inconnus – Rêver, fantasmer de me faire gang-banguer, c'était une chose … le faire, c'est autre chose … mais je n'ai pas hésité une seule seconde à venir ici et à me donner à cette bande de mecs, je n'ai pas hésité une seule seconde à les laisser jouir en moi totalement, sans protection – Du coup, les conditions se sont trouvée réunies pour réaliser aussi le fantasme d'une double sodomie: l'occasion et l'endroit, nous y sommes, des mecs volontaires et disposés à réunir leurs queues dans mon cul, ils sont là … et pas seulement deux mecs … non, huit mecs … quatre duos … c'est beaucoup pour une première fois ? On verra, mais, là, tout de suite ... même pas peur !


Ils sont là, mes huit mecs … deux sur scène avec moi, deux qui attendent leur tour dans l'escalier … et les autres ? Au pied de la scène, parmi les spectateurs qui nous observent en silence, il y a le duo numéro trois … Philippe et le petit blond. Philippe est tout contre la scène, il veut sans doute être aux premières loges pour assister au spectacle et, j'ai beau être debout, je ne vois pas l'état de sa queue, masquée par les rouleaux de paille qui supportent le matelas. Le petit blond est au pied de l'escalier, les yeux fixes, sa grande bite toute gonflée à la main, et il se masturbe machinalement. Je ne vois pas le gros Thierry, mais Sam est là, assis sur le dossier d'un fauteuil en rotin, les pieds sur l'assise. Quand je croise son regard, il écarte les genoux … sa grosse bite tatouée est raide, tendue à l'horizontale entre ses cuisses. Tous attendent avec curiosité que nous nous mettions en place. Whooooo, quel pied, de me faire enculer par deux mecs devant ce parterre de mâles !


Jérôme m'a écarté doucement du bord du matelas, et il découvre la tache de sperme qui macule le drap:

- Viens, on va se mettre au milieu …


Angelo me prend par le coude et me pousse vers le bord du matelas:

- Avant, elle va nous nettoyer tout ça … Pas vrai ?


Dans son expression, il y a à la fois comme un reproche – la vilaine qui a sali le drap va le nettoyer … - et comme un défi – pas cap' -. 


Si, mec, cap' ! Pour moi, ce n'est ni une punition, ni une difficulté … au contraire. Je m'agenouille. En effet, il y a une assez grosse tache de sperme, un rond presque parfait de la taille d'une belle assiette. Je ne pensais pas qu'il en était sorti autant de mon cul. Et si le pourtour de la tache est déjà bien absorbé par le drap et le matelas, il reste au centre une généreuse épaisseur de sauce. Les mecs ont eu beau touiller leurs semences dans mon cul avec leurs queues, elles ne sont pas complètement mélangées, et on en distingue encore de plusieurs sortes: ici, épaisse et d'un blanc éclatant comme de la crème fraîche, à côté presque translucide et comme marbrée de jaune pâle, là comme une mousse nacrée parsemée de grumeaux grisâtres … Je trempe mes doigts dans la crème fraîche et, plantant mes yeux dans ceux d'Angelo, je les suce un à un … Il se marre. Je m'appuie des deux mains de part et d'autre de la tache, je me penche et, à moitié en lapant, à moitié en aspirant, je nettoie la totalité de la souillure … c'est tiédasse, douceâtre, un peu salé et suave …


Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !


Les spectateurs applaudissent. 

Jérôme, à demi couché au milieu du matelas, me fait signe d'approcher. 

- Allez, viens, maintenant !


Dans cette position, sa bite est étalée sur son ventre. Je m'avance, je me tourne dos à lui, les pieds de part et d'autre de ses cuisses, et je m'agenouille, le cul au-dessus de son ventre.

- Vas-y, empale-toi …


Je descends lentement. Appuyé sur un coude, il tient sa queue à la verticale, la guidant pour la placer dans l'axe de mon fourreau … Voilà, j'ai son gland dans le cul … je descends doucement… sa verge me pénètre … je la sens qui s'enfonce en moi … je me penche pour regarder … sa bite est presque entièrement en moi … mes fesses touchent son ventre. Je n'irai pas plus loin. Je pose mes deux mains sur le matelas devant moi, et je commence à soulever mon bassin … lentement … jusqu'à ce que je sente son gland dans ma rondelle … alors, je redescends. Je me redresse et je me tords le cou pour le regarder. Il est appuyé sur ses deux coudes et il a les yeux rivés sur mon cul. Il regarde sa bite qui disparaît peu à peu entre mes fesses. Une fois de nouveau assis sur son ventre, je regarde Angelo, attendant qu'il approche. Il ne se fait pas prier, et me présente sa tige. Il se campe devant moi, poings sur les hanches. Je prends son sexe entre le pouce et l'index, et je commence par lui passer ma langue tout le long de la verge, avant de le prendre dans la bouche … Hhhmmm, j'ai une queue bien au chaud dans mon cul, et une autre dans la bouche … deux mecs, un dans chaque orifice, et dans un instant, la bite, toute chaude, qui est entre ma langue et mon palais, va rejoindre l'autre dans mon cul … Je saisis les deux mains d'Angelo et je les attire vers ma tête …


Oh, les mecs … les mecs ! Vous me rendez dingue, avec vos bites, avec vos couilles, avec votre sperme ! Je veux me faire tringler par tous les mâles, je veux me faire fourrer le cul, je veux me faire fourrer la bouche, je veux que vous me tiriez tous votre foutre …


Brusquement, Angelo repousse ma tête:

- Allez, fous-toi en position … j'vais te baiser ….


Je m'agrippe à ses hanches et, tant bien que mal, une jambe après l'autre, en m'efforçant de ne pas laisser échapper la bite qui est dans mon cul, je passe de la position à genoux à la position assise. Quand je commence à m'allonger en arrière sur le ventre de Jérôme, il plaque ses mains sur mes omoplates pour m'aider à m'allonger en douceur. Me voilà complètement étendu sur lui, mes jambes de part et d'autre des siennes. Il m'enserre de ses bras et oscille doucement du bassin sous moi pour faire bouger sa queue dans mon cul. Sa bouche contre mon oreille:

- Ça va ? T'es bien ?

- Ouais.

- T'es prêt ?

- Ouais.

- Vas-y, Angelo …


Je regarde Angelo. On dirait qu'il se demande comment s'y prendre. Il s'avance, les pieds entre les miens et ceux de Jérôme. J'écarte les cuisses autant que je peux en soulevant les mollets. Il s'agenouille, se penche au-dessus de moi, pose sa main gauche à côté de mon épaule, et je sens son autre main qui se glisse, armée de sa longue queue, entre mes cuisses. 


Il va me pénétrer ! Je sens son gland contre mon périnée, et qui cherche l'entrée de ma rondelle, déjà occupée par la bite de Jérôme. Je ferme les yeux. Ça y est, il a trouvé ! Il glisse son gland dans la fente entre la paroi de mon anus et la queue du vidéaste. J'en ai le souffle coupé. Il s'enfonce encore un peu, péniblement. Pourtant, c'est particulièrement lubrifié par tout ce que les cinq mecs précédents m'ont injecté. Dans ma tête, j'anticipe le moment où toute sa longue bite sera toute entière en moi … le moment où j'aurai deux bites dans mon cul … deux mâles dans moi … A mon tour, j'enserre le torse d'Angelo entre mes bras et j'entoure ses jambes avec les miennes. Je ne peux réprimer une gémissement de plaisir. Pour le moment, ça n'est absolument pas douloureux et je sens que mon anus pourra ingurgiter cette deuxième bite sans difficulté. J'en étais à peu près sûr, mais il restait un petit doute. Angelo halète à mon oreille. Ça a l'air de lui faire beaucoup d'effet. Sans doute autant l'idée d'être à deux dans un seul cul, que d'avoir sa queue serrée, compressée à ce point. Et d'un seul coup, son halètement s'accélère et il essaie, comme en panique, de s'enfoncer encore en moi.

- Oh meeeeeeerde !


Il éjacule. Il s'est à peine introduit en moi, et il jouit déjà . Je sens son sperme fuser entre la paroi de mon anus et leurs deux bites accolées. Il tente encore de me pénétrer davantage, mais en vain.

- Merde, merde, merde, merde, merde … putain … c'était trop … fait chier …


Il s'affale complètement sur moi en expirant bruyamment. Je sens sa queue s'échapper. Je ne sais pas quoi faire, ni quoi dire. Je ne m'attendais pas à ça. Pour une première, c'est raté. Je finis par lui murmurer:

- T'étais trop excité …

- Ouais … fait chier …


Il se relève. Sous moi, l'autre, toujours dans mon cul, bouge son bassin. Au moment où Angelo passe devant Gilles dans l'escalier, celui-ci lui demande:

- Ben … t'as fini ?

- Ouais … j'ai pas pu … trop excité …

- Ah merde … je … je peux y aller ? Hein, Manoel … je peux y aller ?

- Oui, mec, vas-y …


Le grand brun se lève, et:

- Je commence … tu viendras après …

- Pas de problème …


Gilles monte sur le matelas, se penche vers Jérôme et lui demande:

- Hé, mec, ça te dérange, si je prends la place à ton pote ?


Debout à côté de moi, il nous surplombe, et j'ai sa longue bite courbe sous les yeux. Il bande. Jérôme: 

- Non, pourquoi ça me dérangerait ?

- C'est pas moi qui était prévu pour le fourrer avec toi …

- Pas de problème …


Gilles commence à s'installer entre nos jambes.

- Moi non plus, ça ne me dérange pas …


Il me regarde, surpris de mon intervention.

- Toi, je m'en doute, que ça te dérange pas …


Lui ne guide pas sa queue entre mes fesses. Appuyé des deux mains sur le matelas à côté de la tête de Jérôme, il descend lentement sur moi. En bougeant son bassin, il cherche l'entrée de mon fourreau avec son gland. Il y est presque, mais ça glisse et sa tête chercheuse s'échappe à droite, puis à gauche … L'air contrarié, il tord la bouche, secoue la tête et se décide à glisser sa main entre mes cuisses. Je le sens guider son sexe … Aaaaaah ça y est… son gland commence à glisser en moi en me dilatant la rondelle … serrant toujours fermement sa queue, il progresse en force, lentement, en m'élargissant l'anus … mon sphincter résiste quelques secondes et brusquement se relâche. Gilles le sent, lâche sa queue et entre en moi d'un seul coup. Cette fois, j'ai vraiment deux bites dans mon cul ! Ah putain ! Deux mecs me baisent !


Le visage à quelques centimètres du mien, immobile, Gilles me regarde avec un petit sourire satisfait, guettant ma réaction. Les yeux mi clos, la bouche entrouverte, le souffle suspendu, je lui caresse le dos et les reins, savourant cette double présence qui me dilate le cul … cette présence, chaude, vivante, palpitante, c'est les sexes des deux mecs qui sont en train de me baiser, qui vont prendre, ensemble, leur plaisir en moi, et qui vont, dans un instant, m'inséminer … Gilles, les yeux toujours plantés dans les miens, commence à aller et venir, lentement. Je sens sa queue glisser sur celle de Jérôme … de plus en plus facilement. L'autre, sous moi, ne bouge pas … en partie pour ne pas laisser sa bite s'échapper, mais aussi parce que c'est inutile, celle de Gilles, en allant et venant, le masturbe en moi. Comme ce matin, sur le matelas au milieu de la pelouse, Le grand brun ne me baise pas mécaniquement, il me fait l'amour … Et comme ce matin, sa bouche cherche la mienne, la trouve … je lui agrippe la nuque, sa langue force mes lèvres, sa langue rencontre ma langue et, comme ce matin, nous nous roulons une longue pelle torride …


Puis il écarte son visage du mien, me sourit, tourne la tête vers l'arrière, et:

- Manoel …

- …

- Hé ! Manoel !

- Hein ? Tu veux quoi ?

- Viens … il va te sucer …


Il plante de nouveau ses yeux dans les miens, et:

- Hein, tu vas le sucer ?

- Oooh oui !


Sans un mot, Manoel apparaît sur ma gauche, au-dessus de nous, et me dévisage avec un sourire narquois. Sa belle queue poilue, raide, est dressée à l'horizontale. Il se laisse tomber à genoux à côté de moi. Je tends la main vers la toison de son ventre. Je le caresse, puis je saisis son sexe et je le masturbe. Il se laisse faire, poings sur les hanches. Mon excitation monte … trois mâles ! Je vais avoir trois mâles en même temps en moi !


Et je vois apparaître une tête derrière celle de Gilles … le comptable ! Le comptable qui vient de monter aussi sur scène, smartphone à la main, et qui le braque sur notre quatuor … je le regarde par-dessus l'épaule de Gilles … debout en haut des marches, il est en train de filmer la scène. Puis il s'accroupit. Gilles le masque à ma vue, mais je pense que maintenant, il filme notre coït en plan rapproché … notre double accouplement … Je me tourne vers Manoel:

- Viens, maintenant … donne …


Il a compris: c'est sa bite que je veux. Il avance, un genou après l'autre, jusqu'à me toucher. Gilles écarte un peu son bras pour lui laisser de la place. J'avance la tête et j'ouvre la bouche. Il s'introduit entre mes lèvres. Oh OUIIIIII ! Ça me rend dingue ! Deux bites dans le cul et une dans la bouche ! Je gémis en commençant à pomper l'ours velu. Sans que je lui demande, il passe spontanément une main derrière mon crâne et me serre la nuque délicatement mais fermement. Il a compris que j'aime cette marque de domination. Du coin de l'œil, je le regarde. Il contemple sa bite qui va et vient entre mes lèvres et observe mes réactions. Dans son sourire, dans la lueur de son regard, dans l'expression de son visage tout entier, je lis un mélange de fascination et d'incrédulité: il n'en revient pas qu'avec déjà deux mecs en train de m'enculer, il me faille une troisième bite dans la bouche. Je sens que, non seulement ça l'excite et qu'il en éprouve beaucoup de plaisir, mais qu'il ne demande qu'à m'aider à satisfaire ma fringale. 


Je réalise que, presque inconsciemment, j'ai glissé ma main entre ses cuisses, jusqu'à ses fesses et que je le cramponne, que je le presse fébrilement vers moi, comme si je craignais qu'il ne m'échappe … oui, vas-y, baise-moi la bouche ! Je découvre Guy, le comptable, en train de filmer cette fellation. Oh putain, je me rends compte que je gémis de plus en plus hystériquement … je bande à mort et je sens ma bite me mouiller le ventre … je ne suis quand même pas en train d'éjaculer, la queue masturbée par les mouvements de Gilles entre mon ventre et le sien ! Non, ça doit être la pression de ces deux bites sur ma prostate qui me fait cracher un peu de sperme … Notre excitation à tous les quatre est à son comble. Gilles tout en me titillant l'oreille avec la langue, me fout des coups de bite de plus en plus ardents … sous moi, je sens que, maintenant, Jérôme agite son bassin convulsivement en haletant et en me caressant fébrilement les flancs.


Et soudain, c'est lui qui craque le premier … son halètement se transforme en grognement, il me cramponne rageusement les hanches et, bouche grande ouverte, il aspire l'air à grandes goulées … et il jouit  en laissant échapper un long râle. Le sentir me féconder ajoute à mon excitation et je m'acharne des lèvres et de la langue sur la bite de Manoel. Gilles a dû sentir Jérôme éjaculer contre son gland. Il ralentit son va et vient. J'entends le gargouillis que fait sa queue en brassant cette nouvelle dose de semence. Manoel prend mon visage entre ses mains, et me repousse doucement en soufflant, les lèvres en cul de poule … il est au bord de l'orgasme. Sa queue sort de ma bouche et je m'efforce de lui donner encore quelques coups de langue. 


Jérôme se met à rire et je le sens tapoter les fesses de Gilles:

- Bon, laissez-moi sortir … vous m'écrasez, maintenant, les mecs …


Gilles:

- T'as pris ton panard …

- Ouais … t'as senti ?

- Ouais … bon, vas-y … pousse-toi un peu, Manoel …


Et d'un seul mouvement, me serrant contre lui, il bascule sur le côté et roule sur le dos. Je me retrouve allongé sur lui, le menton contre sa clavicule et sa queue toujours plantée en moi. Jérôme se relève, me donne une claque sur les fesses:

- Toi, t'es vraiment une bonne salope, hein … 


Et il s'éloigne. Gilles me saisit par le menton, m'écarte un peu de lui, et, les yeux dans les miens:

- On continue ?


à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 22 février 2016 1 22 /02 /Fév /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


Cette fois, c'est vraiment reparti …

Après le déchaînement frénétique de ce matin et la pause du déjeuner, ma meute de mâles en rut s'est calmée. Pendant la sieste quasi générale qui a suivi le repas, j'ai tout de même pu satisfaire ma fringale de bites … quoi … six ou sept fois ? Voyons: Sam la brute tatoué, mais il n'a pas joui, le gros Thierry, Alexis, le charcutier traiteur, Jean-Claude le fermier, Gilles avec sa longue tige toute fine et le vidéaste, qui m'ont pris sur le foin en sandwich, un dans la bouche, un dans le cul, mais qui n'ont pas joui non plus, Guy le comptable et Greg, le commis d'Alexis, que j'ai fait jouir l'un après l'autre derrière le mur au bout de la ferme, et enfin Kevin, le jeunot, qui a été saisi d'une curieuse et subite envie de "me faire un petit" …

 

Ah oui, tout de même … ça fait neuf bites ! Depuis le repas, je me suis occupé des bites de neuf mâles …


Kevin, c'est moi qui l'ai entraîné sur le matelas … ou plutôt sur l'espèce de scène que Philippe, Jean-Claude et les autres ont dressée pour moi ce matin au pied du hangar. Ils ont imaginé cette installation pour que ceux qui veulent me regarder pendant que je me fais baiser puissent assister confortablement au spectacle. Moi, l'idée me plaît beaucoup, évidemment …  sucer des queues et me faire fourrer sous les yeux d'une assistance de mâles … les voir s'exciter, bander, se tripoter … leur donner envie de monter aussi sur scène … leur donner envie de monter aussi sur moi … ouaaaahhh !


D'ailleurs, le spectacle de Kevin en train de me "faire un petit" a inspiré d'autres mâles, et quand il en a eu terminé avec moi, c'est Hamid, le beau marocain, qui m'a rejoint sur cette scène, tandis que trois autres mecs se préparaient à prendre leur tour à sa suite. Ça doit être ça qu'on appelle "se mettre à la queue leu leu" ! Hamid, après m'avoir vigoureusement ramoné à quatre pattes, m'a offert à qui avait envie de me prendre à son tour … et c'est ce type plutôt bien monté, le premier à m'avoir fécondé ce matin, qui a pris le relais …

11

- Hé, mec ! Tu veux pas pousser ta jambe ? On voit rien, avec ta cuisse …


Manoel, l'ours velu, vient de lui demander de changer de position, et mon baiseur s'est bien volontiers plié à cette requête avant de reprendre son va et vient méthodique dans mon fourreau. 


Tout en me faisant secouer, je parcours des yeux la troupe, de plus en plus nombreuse, qui se regroupe à nos pieds … en plus de Manoel et de Gilles, il y a Philippe, il y a l'aîné de la troupe (comment il s'appelle, celui-là ? Je ne sais même pas …), il y a le gros Thierry, enfin réveillé, il y a Sam le tatoué, il y a le comptable, et le petit blond, il y a … il y a … il y a … … ils sont maintenant une bonne vingtaine à mater, la plupart sur notre gauche et derrière nous … De là où ils sont, les yeux juste à hauteur de mon cul, ceux qui sont debout doivent avoir une vue imprenable sur notre coït … 


De mon côté, ce qui me ravit, c'est que, non seulement tous ces mecs nous matent, mais qu'en plus, ils ont la bite à l'air … le haut des rouleaux de paille qui supportent la scène me masque le bas des mecs les plus proches, et je ne vois donc pas l'équipement de ceux-là  … mais je sais qu'ils l'ont aussi à l'air … en fait, ils ont tous la bite à l'air … et beaucoup de celles que je vois sont déjà plus ou moins en érection … Manoel, par exemple, sa belle trique, raide, qui émerge de sa touffe de poils noirs, repose sur le dos, sur son ventre … comme si c'était elle qui me regardait me faire ramoner … comme si c'était elle qui avait envie de venir se plonger dans ma viande … dans le fond, il y a un peu de ça … elle bande parce qu'elle a envie de venir se mettre au chaud dans mon cul … Philippe bande aussi, et il se pétrit le gland à l'intérieur de son prépuce … même Sam, la brute tatouée, un peu en retrait … sa grosse bite n'est pas dressée (pas encore), mais elle est toute gonflée et elle pend, tête en bas, entre ses cuisses … elle aussi, elle viendrait bien se mettre au chaud dans mon cul … et là, un peu en arrière de moi, tout contre la scène, il y en a deux, les yeux rivés sur mon fourre-tout et sur le membre qui le pilonne … ceux-là, à leurs mouvements d'épaule, je devine qu'ils sont en train de se branler, carrément et sans complexe … Et comme de bien entendu, mes deux vidéastes sont aux premières loges, et filment notre accouplement en gros plan … et tout ce monde-là discute, plaisante, rigole, s'interpelle … ça fait un joyeux brouhaha … l'ambiance est plus celle d'une fiesta entre potes que celle d'une partouze ou d'une tournante  … encore que … la tournante que m'ont fait "subir" mes huit blacks de l'hôtel, sur la fin, elle n'était pas spécialement morose …


- Allez, à moi !


Ça vient du type à ma droite, un de ceux qui sont montés sur la scène à la suite d'Hamid. Absorbé par la contemplation des mâles attroupés à ma gauche, je n'ai même pas eu le temps de voir de qui il s'agit. Il est déjà derrière moi, attendant que celui qui est en train de me besogner lui cède la place. Encore deux allers et retours, et celui-là s'extrait de moi et se relève péniblement en s'appuyant sur mes reins … Hamid et lui m'ont fourragé sans éjaculer … c'est bien, qu'ils réservent ça pour plus tard … qu'ils restent bien excités … ils sont sans doute l'intention de revenir me chevaucher, et cette fois pour jouir … ça me plaît bien de me faire passer dessus comme ça … dans un premier temps "à blanc", en quelque sorte, avant de me faire vraiment tirer leurs cartouches les uns après les autres ..  


Je sens le matelas s'enfoncer entre mes mollets sous le poids du nouveau venu … ses mains sur mes fesses … il me caresse le cul … le haut des cuisses … les hanches … il remonte mon porte-jarretelles sur mes reins et je le sens se déplacer … il m'enfourche, un pied de chaque côté de moi, un peu en avant de mes genoux … je le sens qui plie ses jambes … ses mains sur mes épaules … il appuie, me force à aplatir mon torse sur le matelas … et puis … un contact tiède et humide contre ma rondelle … son sexe ? Oui, son sexe … qui me pénètre … oh putain, je suis le cul en l'air, il est au-dessus de moi et il va me fourrer comme ça ! Ses mains sur ma taille … et il commence à aller et venir … vite .. et fort …

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- Ça va, comme ça ? Vous voyez bien ?


Sans s'arrêter, sans même ralentir, il interroge les spectateurs !

Il faut dire que maintenant, ni ses cuisses ni ses mollets ne risquent de masquer le spectacle … J'imagine très bien ce que les autres ont sous les yeux … une sorte de triangle, le matelas entre mes genoux comme base, mes cuisses écartées comme côtés … à leur angle, mon cul, et à son sommet, l'entrée de ma caverne dans laquelle la bite de ce mec va et vient, comme un pilon déchaîné … ses mollets sont un peu en avant de mes cuisses … du coup, la vue est dégagée à plus de 180° autour de mon cul, laissant notre accouplement visible à la fois par derrière et sur les côtés ! S'ils voient bien comme ça? Oh oui, à leurs grognements et à leurs hochements de tête, ils ont l'air satisfait. 

 

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Ah putain, moi aussi ça me plaît ! La queue qui me ramone n'est pas très grosse et elle me pénètre sans me forcer, elle va et vient en moi comme dans du beurre avec des bruits de mouillé … même cette espèce de gargouillis humide me plaît bien… il est sans doute dû au reste de gel lubrifiant dont Hamid m'a enduit tout à l'heure … il y a aussi ce que sécrètent mes muqueuses pour se protéger des effets de ces multiples va-et-vient de chairs dans mes chairs … certainement aussi quelques gouttes de ce fluide lubrifiant que les queues qui se sont succédé en moi ont bavé l'une après l'autre  … et peut-être des restes de la semence de Kevin que les bites qui l'ont suivi ont brassés … par moments, j'ai même l'impression qu'arrivent à mon nez comme des relents de … c'est un mélange du parfum subtil du sperme frais et de celui, plus acide, du vieux sperme – pourtant, je me suis rincé plusieurs fois, mais il en est sans doute resté, imprégné sur ma peau et dans ma lingerie - … il y a aussi l'odeur de mon mucus anal, plus léger, mais que je connais si bien … et des touches d'autres odeurs, sans doute celles des fluides corporels que tous ces types ont laissés sur moi et que n'arrivent plus à couvrir leurs déodorants … bref, ce qui arrive à mon nez, c'est l'odeur du sexe … l'odeur du cul et de la bite … l'odeur de la partie de cul … l'odeur aphrodisiaque de la fornication, de la baise …


Sous le regard de tous ces mecs, je me sens d'une indécence totale, les cuisses écartées, le cul en l'air, offert, ouvert, prêt à recevoir toutes les saillies, à accueillir toutes les virilités qui auront besoin de se soulager … cette position, cette exhibition, devant cette assemblée de queues en érection, c'est plus qu'une invitation, plus qu'une provocation … c'est une supplication, une imploration lancées à tous ces mâles: « allez, venez … grimpez ces marches … montez sur cette scène … et baisez-moi ! 

baisez-moi !


BAISEZ-MOI ! »


La joue droite sur le drap, je parcours des yeux ma bande d'étalons, je les observe, guettant le moment où, submergés par l'excitation, regarder ne leur suffira plus … le moment où le rut les forcera à venir éteindre l'embrasement de leur queue dans la moiteur ruisselante de mon cul … Chez quelques uns, ce n'est encore qu'une espèce d'hilarité qui domine, mais pour la plupart, le spectacle que nous sommes en train de leur offrir a déjà commencé à les enflammer … à leurs regards rivés sur notre coït, à leurs rictus … je sais qu'ils s'imaginent à la place de celui qui me pilonne, je sais qu'ils devinent les sensations de son gland qui me fourrage les muqueuses, je sais qu'ils sentent l'incoercible montée de son plaisir, je sais qu'ils anticipent le moment où, à leur tour, ils vont monter sur cette scène, tremper en moi leur membre incandescent pour apaiser leur fiévreux désir … et me baiser … me baiserme baiser


Je croise le regard de Sam … lui ne contemple pas mon cul … il me dévisage, observe mes réactions, déchiffre mon comportement. Au plissement de ses yeux, au rictus qui déforme son sourire, je réalise qu'il lit tout à la fois mon addiction à la bite, ma soumission au mâle et ma fringale d'accouplements … et, à la façon dont il me regarde, je perçois chez lui l'expression de quelqu'un qui a découvert une faille chez autrui et qui compte l'exploiter à son profit … pas pour en user dans l'immédiat … ou pas seulement … Dans l'immédiat, je le sais, il va profiter de ma dépendance à la bite pour venir me baiser, seul ou avec le gros Thierry … non, ce que je ressens, c'est autre chose … une détermination, une intention plus lointaine … moins immédiate … comme s'il me disait silencieusement « J'ai des projets pour toi … j'ai un programme pour ton cul … ». Je baisse les yeux sur sa queue. Oh putain ! Il bande plus fort qu'il y a un instant. C'est de me regarder me faire sodomiser, ou de penser à ce qu'il me réserve ? Maintenant, sa grosse bite, toujours la tête en bas, a commencé à se redresser à 45° … ses veines sont gonflées, saillantes, son gland est tendu, luisant, turgescent  …


Brusquement, le type qui me pilonne le cul depuis un moment sort de moi et s'écarte … à mon avis, sans avoir joui, lui non plus … il laisse la place à … je ne sais pas qui … qui m'enfourche aussi et prend la même position, au-dessus de moi … qui frotte son gland contre ma fleur … une fois … deux fois … trois fois … l'introduit dans mon cul .. lentement … hhmmmmm … Hamid ? On dirait la bite de mon marocain … je me tords le cou pour voir qui vient d'entrer en moi … oui, c'est Hamid … je tends la main vers son mollet et je le caresse … Oh oui, Hamid, vas-y, fourre-moi encore ! 

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Je regarde de nouveau Sam … il capte mon regard et baisse les yeux vers son bas ventre, comme pour m'inviter à le regarder aussi ... il a empoigné sa queue et sa main va et vient doucement le long de sa verge … Oh putaaaaiiinnn ! Quel engin ! Tout à l'heure, il va encore me fourrer ça dans le cul ! Et avec celle du gros Thierry, qui plus est … Soudain, la démesure de ce qui m'attend m'apparaît … quand ces deux mecs vont vouloir introduire en même temps leurs deux énormes sexes dans mon cul … est-ce que … est-ce qu'ils vont y arriver ? Si ils forcent, est-ce qu'ils ne vont pas me faire mal ? Est-ce qu'ils pourraient me déchirer le cul ? Je cherche l'obèse des yeux… le voilà … juste au pied de la scène … il ne me regarde pas, il me tourne presque le dos, et discute en se marrant avec … je ne sais même pas son nom … ce type un peu pâle, un peu gras, un peu mou … 


Un coup de sifflet … c'est Sam … tout le monde se tourne vers lui, moi compris … il regarde Thierry et lui fait signe de la tête et de la main « viens par ici … » … le gros le rejoint, interrogatif … Sam, un sourire méchant sur le visage, lui parle à l'oreille … alors Thierry me fait face et, hilare, il soulève sa bedaine d'une main et me désigne du doigt sa … sa pine, comme il l'appelle … Oh la vache ! Il ne bande sans doute pas … il est dans une espèce d'entre-deux, pas vraiment au repos, mais pas raide non plus … et … putain … lui aussi, quel morceau ! Je réalise qu'Hamid a ralenti son va et vient, sans doute en entendant le coup de sifflet de Sam … et il doit contempler, lui aussi, le spectacle des deux plus grosses queues de la bande, côte à côte ! C'est sûr, en appelant Thierry à côté de lui, Sam a voulu que je voie ce qui m'attend … autour d'eux, les autres mecs sont fascinés par ces deux sexes hors normes … certains, bouche bée, les yeux ronds, hochent la tête d'un air incrédule … d'autres, sourire aux lèvres, se tournent vers moi pour voir ma réaction …


Oh, merde, j'ai peut-être été trop gourmand pour une première fois … pour commencer, j'aurais dû me contenter d'une double sodomie par des plus petites bites … et puis voir au fur et à mesure ce que ça donne, quitte à solliciter ces deux grosses queues ensuite … mais maintenant, c'est trop tard, c'est moi qui leur ai réclamé cette double sodo … et même si je leur dis que j'ai changé d'avis, ils vont quand même vouloir me fourrer à deux … une fois lancés, je ne pourrai plus les arrêter, ils seront trop excités, et je ne pourrai pas les empêcher, ils sont trop forts pour moi, ils vont me contraindre … me forcer … ils vont me … ils vont me violer !


… et à cette évocation, cette poussée d'adrénaline, ce frémissement qui parcourt mon bas ventre, mon rectum, ma prostate, cette chaleur qui m'envahit depuis les cuisses jusqu'à la poitrine … tout ça, ce n'est pas de la peur … c'est … c'est … Oh putain,  je réalise que j'ai envie de ça ! Pas seulement de me faire baiser par les deux en même temps … non, j'ai envie qu'ils me prennent en me contraignant, en me … en me tenant … en m'immobilisant … en me forçant … en me violentant … j'ai envie de me sentir coincé entre eux, impuissant, soumis à leurs désirs, soumis à leurs envies, soumis à leurs énormes bites … je ferme les yeux et, dans des flashs, je me vois sur le dos, couché sur le ventre du gros lard, et immobilisé à la fois par son gourdin, fiché au fond de mon cul, et par ses énormes bras enserrant les miens et mon torse … et Sam, au-dessus de nous, qui pousse en moi son monstrueux engin, comprimé contre celui de Thierry, et qui progresse, inexorablement, en dilatant, en distendant les muscles de mon anus … je sens mon rectum, déjà occupé par le membre du gros, se faire envahir et combler de force par cette autre énorme bête fouisseuse … je visualise le gland du gros, gonflé, tendu, terré tout au fond de mon ventre, et celui du tatoué qui se fraie un chemin en s'insinuant implacablement entre la verge du gros et ma muqueuse … 


Et peu à peu, je réalise que mes craintes, il y a un instant, sont vraiment ridicules … je me suis fourré dans le cul des trucs au moins aussi gros que ces deux sexes réunis … et bien plus durs, bien plus raides … bouteilles, bûches, courgettes … et je ne me suis pas déchiré. Allez, ça va le faire ! Leurs queues sont souples et aussi compressibles que ma rondelle est extensible. Alors je les veux, ces deux énormes choses, toutes les deux en même temps dans mon cul … et j'ai hâte, je voudrais qu'ils montent maintenant sur cette scène et qu'ils me prennent … Je ne sais même plus qui est en train de me chevaucher … c'est toujours Hamid, ou il m'a encore passé à quelqu'un d'autre ? Je rouvre les yeux et je jette un coup d'œil derrière moi … 


En effet, contre ma cuisse, ce n'est plus le mollet doré d'Hamid. Je me tords le cou pour lever les yeux sur le nouveau venu. C'est … c'est un de ceux que j'ai sucés à quatre pattes sous la table … Tout à ma rêverie de double sodomie, je ne me suis même pas rendu compte du changement de cavalier. Celui-ci va et vient doucement, les deux mains à plat sur mes reins, penché au-dessus de moi, concentré, la bouche entrouverte, il déguste le lent glissement de son sexe dans mon fourreau … Quand il s'aperçoit que je le regarde, il me sourit, semble réfléchir et demande:

- Ça te plaît ?

- Hhmmmm oui ! Mais je croyais que c'était encore Hamid …


Il sourit:

- Ah non, c'est moi ! Je me doutais que t'avais pas vu qu'on changeait … Ça te plaît quand même ?

- Hhhhhmmmm oui … c'est toi que j'ai sucé en premier sous la table …

- Ouais … et avant, je t'avais tringlé dans l'écurie …

- Ah oui ! C'est quoi, ton nom, déjà ?

- Franck …

- Ah oui. Et toi, ça te plaît ?

- Hhhmmm oui … 

- Tu vas encore jouir ?

- Je … je sais pas … pas tout de suite, en tout cas … là, comme ça, je pourrais tenir des heures …

- alors, vas-y, fais toi plaisir …


Je me redresse un peu et j'appuie mon menton sur mes avant-bras croisés sur le matelas. Ça ne dure pas des heures:

- Tu vas te finir ?


Cette voix vient de derrière moi … de derrière nous … Je décroise mes bras, je pose mon front sur le matelas et je regarde entre mes cuisses. Debout sur les rouleaux de paille en haut des marches, juste au bord du matelas, je vois des mollets, fins et galbés … je ne reconnais pas … au-dessus, des genoux et des cuisses, fines et musclées … encore au-dessus, cette belle bite, raide, tendue à l'horizontale … il me semble que je la reconnais … je crois que je l'ai sucée ce matin … je ne vois pas ce qu'il y a au-dessus, masqué par mon propre ventre et ma bite – tiens, je bande … - mais je vois qu'il y a deux autres types, derrière lui dans l'escalier …


Ce n'est sans doute pas à moi que ce nouveau venu a demandé si j'allais me finir … En effet, c'est Franck, après une hésitation, qui lui répond:

- Nan, pas maintenant …

- Bon, alors, tu nous le laisses ? On est encore pas mal à vouloir passer …

- OK …


« On est encore pas mal à vouloir passer … ». Y'a pas à dire, j'adore ça ! 

Franck, en se tenant à mes hanches, sort sa queue, lentement … et je le sens descendre du matelas. Ma position, tête en bas, commence à être un peu pénible, alors j'en profite pour me redresser complètement, toujours à genoux, et je me retourne. Derrière moi, celui qui s'écarte pour laisser Franck descendre de la scène, c'est bien le grand type brun, aux cheveux mi-longs que j'ai sucé ce matin, vautré dans les cacahuètes du bar … j'avais bien  reconnu sa belle queue … Il monte à côté de moi sur le matelas et pose une main sur mon épaule. Pendant que je rajuste mon porte-jarretelles, quelque peu bousculé par ces chevauchées, il lance à la cantonade:

- Bon, euh … y'en a d'autres qui veulent passer ? hein, avant que je… avant qu'il soit plein de …


J'ai son sexe en érection, encore encapuchonné, juste sous le nez. Ce type est monté sur scène avec la queue déjà raide d'envie ! Raide d'envie de me baiser … il bande pour mon cul ! Alors, je ne peux pas résister … je m'avance à genoux, je prends son membre dans la main, j'approche mes lèvres, et je pose des baisers tout le long de sa verge. Il me laisse faire, se marre, puis regarde autour de nous, attendant une réponse des spectateurs… Tout en titillant de la langue le dessous de son gland, je le masturbe. Il commence à se décalotter. Quelqu'un que je n'ai pas entendu, a dû lui demander quelque chose, parce qu'il précise:

- Ben ouais … parce que si tu veux pas tremper ta bite dans le sperme des autres, c'est maintenant … là, il est encore propre, vu que personne n'a encore joui dans son cul depuis qu'il s'est lavé …

- Toi, tu vas le … tu vas jouir dans son cul maintenant ?

- Ouais … alors, si ça te dégoûte de passer derrière moi … et derrière les autres, faut le dire … 

- Non, c'est bon pour moi … on a déjà fait comme ça ce matin …

- Ouais, mais y'en a peut-être qui l'ont pas fait et qu'ont pas envie de le faire … Non ? Personne ? On peut y aller ?


Il ne reçoit pour toute réponse qu'un brouhaha d'exclamations, de rires et de commentaires, dont il ressort apparemment que … oui, il peut y aller … J'ai même l'impression que, non seulement la perspective de tremper leurs bites dans un cul déjà gorgé de spermes ne les dérange pas, mais que contribuer à le remplir ajoute à leur excitation ! C'est très bizarre: ces mecs viennent de se mettre d'accord pour m'inséminer les uns après les autres, pour me remplir de leurs semences à la chaîne, sans même penser à me demander mon avis… il faut dire que, ce matin, c'est moi qui leur ai commandé de me faire ça … très bizarre, mais surtout très agréable et très excitant … ils me traitent comme un vulgaire morceau de barbaque chaude et mouillée dans laquelle ils vont venir tour à tour soulager leurs quéquettes en feu … et ça me plaît!  Je suis sûr qu'ils seraient moins enthousiastes à l'idée de faire ça avec une poupée gonflable ! Il est vrai que, contrairement à une poupée gonflable froide et inerte, moi je suis chaud, vivant, et je manifeste mon plaisir à me faire troncher …


J'enfonce son sexe dans ma bouche, et je le décalotte en serrant sa verge entre mes lèvres … Du coin de l'œil, je perçois des mouvements autour de nous: les types qui le suivaient dans l'escalier se regroupent sur la scène … ils ne sont pas deux, ils sont trois … Voilà, le moment est venu, et si j'ai bien compris, maintenant, il va me baiser vraiment … quand je dis "me baiser vraiment", je veux dire qu'il va me tringler jusqu'à ce qu'il jouisse en moi … Pour moi, c'est ça, me faire baiser … il faut que le mâle éjacule dans mon cul … ni coïtus interruptus, ni capote … Apparemment, c'est ce qu'il a l'intention de faire … et les autres aussi, à sa suite …  Le grand brun se laisse sucer un moment, puis il recule son bassin, extrait sa queue de ma bouche, passa sa main sous mon bras et m'incite à me lever:

- Viens … mets toi à quatre pattes … je te prends en levrette …


Je profite de me retrouver debout pour retendre et lisser mes bas qui vrillent sur mes cuisses et mes mollets. Sur la scène, avec nous, il y a un des autres types que j'ai sucés sous la table, celui qui a une grosse paire de couilles et qui m'avait fourré son orteil dans le cul … il y a aussi le petit brun timide que j'ai sucé sur le bidet dans la salle de bain de Jean-Claude, ainsi qu'un autre, assez jeune, les tempes rasées et une crête luisante de gel, et dont je ne me souviens même pas qu'il m'ait baisé ou que je l'aie sucé … mais si j'en crois les décomptes de Philippe pendant le repas, ils m'ont tous baisé ce matin, alors lui aussi, forcément … Le grand brun me pousse vers le milieu du matelas et vient se placer derrière moi … les trois autres s'installent sur le drap autour de moi … à genoux ou à demi allongé … Hhhmmmm, je sens que je vais devoir m'occuper de leurs queues pendant que l'autre me fourrera …


- Allez, vas-y … à genoux …


Je ne me le fais pas dire deux fois. Je m'agenouille, je pose les mains à plat devant moi, j'écarte les cuisses et je me cambre, prêt à me faire couvrir … c'est sans conteste la position que je préfère … et non seulement c'est la position dans laquelle j'aime me faire prendre, mais rien que de m'installer dans cette posture, ça remue quelque chose en moi… je ne saurais pas bien dire pourquoi … je sens qu'au-delà de son caractère érotique, sensuel, lascif, cette position a quelque chose de primitif, d'animal … j'ai lu je ne sais où qu'une partie du comportement de l'être humain serait encore dictée par son cerveau reptilien … et la fonction du cerveau reptilien, c'est d'assurer la satisfaction des besoins primaires, vitaux, et notamment la reproduction … alors, il doit y avoir de ça … ce qui me pousse, quasi instinctivement, à adopter cette position, c'est autant une nécessité relevant d'un instinct dénaturé de reproduction, que le plaisir sensuel, la volupté de m'apprêter à laisser un mec prendre du plaisir en moi… 


Et puis, il y a autre chose encore … cette posture, c'est bel et bien celle de la soumission. Chez les mammifères, c'est avant tout la position naturelle du coït de reproduction, et le fait, pour le mâle, de saisir dans sa gueule le cou de sa femelle, notamment chez les félins, a d'évidence une signification de domination/soumission. Et bien, pour moi, me mettre à quatre pattes devant un mâle, bien sûr, c'est solliciter un coït, mais c'est aussi m'offrir à lui et vouloir lui appartenir, c'est lui signifier que je me plie à sa volonté et à son désir, bref, que je me soumets à lui. Je n'ai pas encore goûté au plaisir de me faire mordre la nuque par un mâle en train de me grimper, mais à plusieurs reprises, des mâles m'ont empoigné la nuque au cours de nos ébats … simplement pour me contraindre à les sucer ou pour m'inciter à me mettre en position de levrette, mais aussi parfois ouvertement en signe de domination … et bien à chaque fois, ça a été pour moi une volupté particulière, faite de soumission, d'abandon, d'acceptation, et pas du tout d'humiliation … au contraire, et paradoxalement ça a éveillé en moi une espèce de fierté … fierté d'avoir suscité en eux un désir tel qu'ils aient éprouvé le besoin ou l'envie de marquer ainsi que je leur appartenais. Il m'est même arrivé de chercher cette marque de possession, en attirant la main du mâle sur ma tête pendant que je le suçais …


Bref, pour moi, la levrette à quatre pattes, c'est l'appel au mâle, c'est l'invitation au coït, à l'accouplement, à la fécondation … c'est la position du "viens me baiser" … et puis, il faut bien dire qu'il n'y a rien de tel que cette position pour donner envie à un mec … même moi, voir une femelle (une vraie femelle) ou un mec, à quatre pattes, reins cambrés et cuisses écartées, ça me donne envie de m'y accoupler …


Je ne suis pas sitôt installé que le type aux grosses couilles se précipite devant moi, lui aussi à genoux, la main serrée entre son pubis et ses boules, le ventre en avant, et il me présente sa bite à sucer … Je le laisse poireauter un peu comme ça, parce que ce qui se passe derrière moi me captive beaucoup plus que sa queue: les genoux du grand brun viennent de se poser entre les miens, et ses cuisses frôlent l'intérieur des miennes … je suis suspendu à l'instant précis où il va mettre ses mains sur moi et poser l'extrémité de sa queue contre ma fleur …


Ah oui, voilà ! Quelque chose de … tiède … commence à glisser dans … mais … c'est bizarre … ma rondelle … elle ne réagit pas comme d'habitude … elle est … plus sensible? Oui, c'est ça … d'habitude, quand quelque chose, objet, doigt ou sexe, vient toucher mon anus, je sens bien ce contact … je sens même si c'est chaud ou froid … je peux même sentir sa texture, lisse ou rugueuse … mais là, c'est autre chose … ça ressemble aux sensations de mes lèvres … c'est beaucoup plus net, beaucoup plus précis que d'habitude … et surtout, c'est beaucoup plus sensuel que d'habitude … ce sexe qui glisse dans la moiteur, dans la mouillure de mon anus, ce sont les mêmes sensations que quand je prends un gland gonflé entre mes lèvres humides … Oh putain, ce que c'est bon ! 


Et d'un coup, l'évidence s'impose à moi … Cette soudaine sensibilité, ça ne peut être que la conséquence de ces multiples et successives pénétrations, de ces innombrables frottements de sexes en érection, allant et venant dans mon sphincter anal … combien de fois des verges sont-elles entrées puis sorties de mon anus depuis ce matin ? Un type qui me sodomise, il va et vient combien de fois dans mon cul ? Evidemment, ça dépend de son excitation et de sa résistance … et certains, trop excités, ont joui presque en me touchant … mais les autres … ils m'ont limé combien … dix fois, en moyenne ? Non, sûrement plus … Vingt fois ? Trente fois ? Plus ? Pour certains, c'est sûr, ils m'ont ramoné plus de trente fois … Et une trentaine de types qui m'enculent, les uns après les autres, et certains à deux reprises, ça fait combien d'allers et retours ? Cinq cents ? Oh non, beaucoup plus … mille ou mille cinq cents ! Rrooohh la vache, j'ai sans doute pris entre mille et mille cinq cents coups de bites, depuis ce matin ! Pas étonnant que j'aie la rondelle en fleur ! Non, en fait, je n'ai pas la rondelle en fleur … la rondelle en fleur, c'est quand c'est irrité, enflammé ou douloureux … Là, ce n'est pas douloureux du tout … au contraire … 


Pendant que ces idées se bousculent dans ma tête, le grand brun continue de progresser dans mon rectum … je sens chaque millimètre de sa verge s'insinuer entre mes … entre mes lèvres anales … Concentré sur ce qui se passe de ce côté-là, je ne me suis même pas rendu compte que l'autre, devant moi, le type à la grosse paire de couilles, avait poursuivi son projet et m'avait plaqué son gland contre les dents, entre mes lèvres entrouvertes … alors, je bâille et je gobe sa queue … Tandis qu'il la fait glisser délicatement sur ma langue, je sens le ventre du grand brun venir buter contre mes fesses … Il va repartir dans l'autre sens, et je vais sentir à nouveau chaque millimètre de sa queue glisser dans mon anus … 


Non … il ne bouge pas … il reste plaqué là … mon anus est tellement … sensible, que je sens même sa touffe de poils, à la base de sa bite, contre mes … lèvres anales … et à l'autre bout, le nez écrasé contre le pubis de "grosses couilles", sa courte queue maintenant entièrement dans ma bouche, je sens aussi les poils de sa verge sur ma langue … La vache ! J'ai encore deux bites en érection au chaud dans mes orifices … un mec dans chaque trou … et je sais, je sens qu'ils sont tous les deux décidés à envoyer la purée … là, dans un instant ! Hhhhmmm, je vais me faire gorger de sperme par les deux bouts ! "Grosses couilles" pose une main sur l'arrière de mon crâne, me saisit fermement la nuque (hhmmmm oui, vas-y, j'aime ça …) et entreprend un léger mouvement longitudinal du bassin … il me baise la bouche … Le grand brun, derrière moi, reste collé à moi … mais penché sur moi, il passe ses mains sous mon ventre et me le caresse, me le pétrit … j'ai l'impression … oui, j'ai l'impression qu'il me le palpe comme s'il essayait de sentir sa queue à l'intérieur de mon ventre, à travers l'épaisseur de mon abdomen … et il commence à bouger à son tour, d'avant en arrière … lentement … Il y en a deux qui m'ont fait la même chose, ce matin sur la pelouse … 


Fourré par les deux bouts … je suis en train de me faire fourrer par les deux bouts … mes deux orifices sont occupés par des types qui y prennent du plaisir ! J'ai beau fermer les yeux, je ne parviens pas à fixer mon attention sur l'une ou l'autre des deux bites qui sont en train d'aller et venir en moi. Mon esprit zappe de l'une à l'autre, guettant les signes de la montée du plaisir de ces deux mecs … Celui de devant, c'est au durcissement de son gland et à la dilatation des veines de sa verge que je sentirai la volupté l'envahir … et c'est un soubresaut de son membre, suivi du brusque gonflement de son urètre sur ma langue qui m'annoncera le jaillissement de sa semence dans ma gorge … Celui de derrière, ça commencera sans doute par la crispation de ses mains sur ma taille ou sur mes hanches, et par le dérèglement du rythme de sa sodomie, avant qu'il se plaque contre moi ou qu'il accentue ses coups de boutoir en éjaculant … 


Je sens le matelas s'écraser sur ma droite … quelqu'un agrippe ma main et tente de la soulever … immédiatement, je me doute de ce qui va suivre … le type à la crête, agenouillé sur le matelas à côté de moi, doit vouloir que je le tripote, que je le masturbe … je garde les yeux fermés, parce que l'idée de donner du plaisir à une bite anonyme me plaît beaucoup … de la main gauche, je me cale bien sur le matelas, et je laisse ce type attirer ma main à lui … C'est ça: je sens mes doigts frôler ses genoux, puis sa cuisse, et il guide ma main jusqu'à son sexe … petit sexe, mais très raide et très dur … Waouhhhh ! Déjà deux bites qui vont et viennent en moi, et maintenant, une troisième dans la main ! Du bout des doigts, j'explore cette nouvelle queue, j'effleure son gland, décalotté … très gros par rapport au calibre de sa verge … sans doute en forme de champignon … au contact de mes doigts, j'entends ce type aspirer une grande goulée d'air entre ses dents serrées … j'effleure sa verge … je sens ses veines, saillantes, et son urètre … j'effleure ses boules … j'enfonce mes doigts dans sa touffe de poils … il tient toujours mon poignet … je serre mes doigts autour de sa verge et je commence à les faire aller et venir …


"Grosses couilles", devant moi, se met à grogner sourdement … ça y est, ça vient de ce côté là ! Dans ses boules, grosses comme des œufs de poule, ça doit commencer à bouillonner, des millions de petites graines doivent piaffer d'envie de se précipiter à l'assaut d'un ovule à féconder … allez, foncez, c'est mon estomac, que vous allez féconder ! Derrière, le grand brun va et vient imperturbablement … il a seulement ôté ses mains de mon ventre, et il me caresse maintenant les reins, les flancs et les fesses … J'entrouvre les yeux et j'essaie de regarder sur ma gauche. La tête coincée par la main de "grosses couilles" posée sur ma nuque et par sa queue dans ma bouche, je ne vois que du coin de l'œil le type allongé sur le matelas à côté de moi. C'est le petit brun timide que j'ai sucé sur le bidet de Jean-Claude … il est en train de se masturber en regardant les deux qui me fourragent … et il se masturbe, le gland toujours caché dans son prépuce … c'est vrai, je me souviens, ce mec a du mal à se décalotter … et il attend son tour … Par dessus lui, je ne peux voir, au pied de la scène, que quelques uns des spectateurs en train de contempler "grosse couilles" qui me baise la bouche … je ne peux pas voir Manoel et Gilles, assis plus en arrière … et je ne vois plus ni Sam … ni Thierry … ni Philippe … ils ont dû se déplacer avec les autres, plus nombreux, et doivent être derrière moi, à regarder celui qui est en train de me sauter … 


Ce qui me frappe, c'est que la joyeuse agitation qui régnait tout à l'heure s'est calmée. Quand certains d'entre eux ont commencé à monter sur cette scène pour me baiser, il régnait encore une atmosphère de bringue, de java rigolarde et bruyante … maintenant, je ne perçois plus que de rares échanges à voix basse, et pratiquement plus de rires … Sans doute captivés par le spectacle que nous leur donnons, ils doivent tous être excités, ils doivent tous bander, se tripoter, se branler, certains doivent imaginer comment ils vont me baiser à leur tour, ils doivent se demander quand ils vont pouvoir monter sur scène pour s'accoupler avec moi et soulager ce qui leur tenaille le bas ventre …


C'est "grosses couilles" qui cède le premier. Il s'est immobilisé, la queue à moitié sortie de ma bouche, il grogne en haletant … est-ce qu'il va jouir, ou est-ce qu'il attend seulement que son excitation retombe un peu ? Je réalise que de la salive s'échappe de mes lèvres et coule en abondance sur mon menton. Son gland reposant au milieu de ma langue, j'attends aussi, bouche entrouverte, tout en continuant de manipuler la queue du type à ma droite. Et soudain, la bite de "grosses couilles", prise d'un spasme violent, se soulève, se plaque contre mon palais, et je reçois un jet tout chaud directement au fond de la gorge . Je referme la bouche, enserrant sa bite dans ma tiédeur mouillée. Nouveau spasme et nouveau jet de sperme. Il me serre la nuque convulsivement. Les spasmes de sa bite se succèdent, de plus en plus rapprochés .. troisième … quatrième … il geint et son sperme s'accumule sur ma langue … cinquième spasme … sixième … j'avale et je sens sa crème, toute chaude, s'écouler dans mon œsophage … hhmmmm … septième spasme … huitième … ça ne va pas en finir … neuvième spasme … un peu du mélange de sa semence et de ma salive déborde et coule sur mon menton … dixième spasme … et … non … c'est tout … j'avale encore … j'ai l'impression de sentir sa crème arriver dans mon estomac … je l'entends haleter … il relâche sa pression sur ma nuque et glisse sa main sur ma joue, sous mon menton … ses doigts glissent dans son sperme étalé jusque dans mon cou … je l'entends se marrer et je sens sa queue s'agiter dans ma bouche au rythme de son rire …

- Ah, putaiiiin ! Qu'est-ce que je t'ai mis, hein ?


Il s'extrait et, content de lui, il soulève mon menton pour me regarder dans les yeux:

- t'en as plein le menton … t'en as avalé quand même ?


Je lâche la queue du mec de droite, je m'essuie le menton et je me lèche les doigts …

- Oui … mais à la fin, il y en avait trop … tu m'as mis la dose …

- Hé hé hé !


Très fier de lui, "grosses couilles" … Il insiste:

- Alors, ça t'a plu ?

- Oui …

- T'aimes ça, le sperme, hein ?

- Oui …

- T'es une salope, hein ?

- Oui …


Derrière moi, le grand brun a ralenti, comme pour ne pas perturber "grosses couilles" et le laisser finir de jouir tranquillement. Je reprends le sexe sur ma droite et je recommence à le masturber, un peu machinalement. "Grosses couilles", assis sur ses talons, recalotte son gland. Il débande un peu. Le petit brun sur ma gauche est en train de se lever, sans doute pour prendre sa place:

- Bon … tu me laisses la place, s'il te plaît ?


C'est bien ça. "Grosses couilles" amorce un mouvement, comme pour se lever. Je lâche la bite de droite, et je pose ma main sur la cuisse de "grosses couilles" et, en levant les yeux sur lui: 

- Attends … reste là … deux secondes …


Surpris, mains sur les cuisses, il reste en suspens et attend. Je lui fais signe:

- Approche un peu … ta bite … approche un peu ta bite …


Il hésite une seconde, puis tend son ventre vers moi. Je passe ma main sous sa grosse paire de couilles, je soulève tout son paquet … sa bite est à peine dégonflée, je me penche et je pose une série de baisers tout au long de sa verge:

- Mmff, merci … mmff, merci … mmff, merci … mmff, mmff, mmff …


Il rit, pose sa main sur ma tête:

- Ah, ben dis donc … t'aimes ça, toi, la bite, hein ?


Pour tout réponse, je prends son gland dans ma bouche … j'adore ça … cette queue qui vient de jouir, toute chaude, encore un peu gonflée, encore frémissante … je tourne ma langue tout autour trois ou quatre fois, je la sors de ma bouche, et tout en lui malaxant délicatement les bourses:

- Oui, j'aime ça, la bite … et toi, j'aime aussi beaucoup tes couilles … et ce que tu m'as envoyé dans la gorge …


Il ne s'attendait sans doute pas à ça. Il paraît d'abord un peu troublé … à la fois surpris, fier, et même … ému. Je l'entends déglutir, et:

- Bon … ben … quand t'en voudras encore, t'auras qu'à demander, j'suis à ta disposition …


Je plante mes yeux dans les siens:

- Non, c'est moi qui suis à ta disposition… quand tu veux tirer un coup, tu m'appelles et je te pompe …

- Ah bon … OK alors … tu me donneras ton téléphone …

- Oui, je vais vous le donner à tous … tu m'appelleras, hein, si t'as besoin de tirer un coup ?

- Ou … oui …


Je lâche ses couilles et je lui caresse la cuisse:

- Allez, laisse la place au suivant ….


Il se lève et s'écarte. Le petit brun, tout en s'agenouillant devant moi:

- Bon, euh … tu me suces un peu, mais après, je t'encule …

- Vas-y, installe-toi … dis donc, tu n'as plus peur, on dirait …

- N… non … tu vois …


Il s'approche en glissant un genou après l'autre sur le matelas. Sa bite est raide, dressée presque à la verticale, et il tend son ventre vers moi:

- Tu … tu peux me faire comme ce matin ?

- C'est-à-dire ?

- Ben … tu sais … pour sortir mon … mon bout, quoi …

- Pour te décalotter, tu veux dire …

- Oui …


Je me penche et je prends sa bistouquette entre mes lèvres. Il n'a plus peur, mais je le sens quand même tendu. Pour lui, le décalottage doit parfois être douloureux. Du bout de la langue, j'enduis comme je peux la partie de son gland qui dépasse de l'ouverture de son prépuce, et je commence à faire aller et venir mes lèvres sur sa verge. Il ne se décalotte toujours pas. Alors, comme ce matin, je presse son gland entre mes lèvres pour le vider autant que possible de son sang et lui permettre de sortir de son abri. Mais cette fois, il bande bien plus fort que ce matin, et j'ai un peu de mal à parvenir à mes fins. Enfin, d'un seul coup, je sens son bout jaillir littéralement de son prépuce et s'épanouir sur ma langue. Il sent maintenant que son gland, enfin tout nu, baigne directement dans la tiédeur humide de ma bouche, et je le sens se détendre. Il applique son abdomen contre mon crâne, se penche sur moi et m'enserre la tête de ses bras, comme il l'avait fait ce matin. Je joue à taquiner sa queue avec ma langue. Il me laisse faire quelques secondes, puis:

- Arrête, arrête ! Je … ça va aller trop vite …


Je continuerais bien, mais il a dit qu'il a envie de m'enculer. Alors je le garde au chaud sur ma langue sans bouger. Je continue de masturber le type de droite … de plus en plus raide. Le grand brun a repris son va et vient, et d'après ce que je sens dans mon anus, je me demande si lui aussi ne serait pas plus raide, ses veines plus saillantes. J'ai aussi l'impression qu'il y a quelque chose de changé dans son rythme … comme s'il maîtrisait moins la cadence qu'au début. Hhmmmm, celui-ci devrait jouir à son tour avant longtemps … ma petite séance avec la bite et les boules de "grosses couilles" l'aurait-elle un peu plus excité ?


Putain, quelle dose de foutre il crachée, ce "grosses couilles" ! J'ai la sensation d'en avoir encore dans le fond de la gorge et dans l'œsophage … Y'a pas à dire, les gros éjaculateurs, c'est vraiment le pied … J'ai un plaisir particulier à sentir un mec jouir dans mon cul, mais, à la limite, la quantité de jus qu'il m'injecte à ce moment là ne m'importe pas vraiment … ce qui compte, c'est qu'il se vide les couilles et qu'il me féconde le ventre … tandis que, quand je taille une pipe, mon plaisir est d'autant plus fort que le mec me procure beaucoup de sperme … Là, avec "grosses couilles", j'ai été servi, mais je n'en ai pas vraiment profité pleinement … en partie parce que la queue que je masturbais et celle qui me fourrageait le cul en même temps, m'ont empêché de me concentrer celle qui se répandait sur ma langue, mais surtout à cause de ma position … pas vraiment idéale pour déguster ce qui jaillissait du shaker de "grosses couilles" … Celui-ci, il faudra vraiment que je lui taille une pipe en tête à tête et au calme, de façon à pouvoir me régaler de sa crème au fur et à mesure qu'il la crachera …


Devant moi, le petit brun s'est redressé et a glissé ses doigts jusqu'à ma bouche … il palpe à la fois mes lèvres et sa verge, comme s'il voulait vérifier que sa bite est bien dans ma bouche … il bouge imperceptiblement son bassin pour s'enfoncer un peu plus en moi … En pressant son urètre avec ma langue, je plaque son gland contre mon palais … il aspire l'air à grandes goulées … il est au bord de l'orgasme:

- Arrête, arrête !


Je relâche ma pression. Il ressort un peu sa bite et:

- Hé, mec ! T'en as encore pour longtemps ?


Visiblement, cette fois, ce n'est pas à moi qu'il s'adresse. Ça ne peut être qu'au grand brun en train de me saillir. Mais celui-ci ne se donne pas la peine de répondre et continue imperturbablement à aller et venir dans mon cul … 

- Hein ? Dis … parce que, moi, ça presse … et je voudrais bien le baiser, moi aussi … Alors, t'en as encore pour longtemps ?


Derrière moi, je ne sens qu'un léger mouvement latéral, presque imperceptible, comme si le grand brun avait secoué la tête et que ce léger balancement, en se communiquant à son torse et à son bassin, s'était transmis à mes fesses et à mes reins.  Il y a deux ou trois secondes sans aucune autre réaction, sans aucune parole, puis ses mains se crispent sur mes hanches et:

- Aaaaaaaaaaaaaaahhh, laaaa vaaaaaaaache !


Et boum ! Il se recule légèrement et me fout un grand coup de bite.

- Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Aaaaah ! Aaaaah ! Aaaaa !


En effet, il n'en avait plus pour longtemps … il a joui en râlant, presque en criant . Collé à mes fesses, je le sens qui se presse contre moi, les doigts enfoncés dans le pli de mes aines, comme s'il voulait entrer tout entier en moi, il me soulève presque du matelas … puis, à la pression que son ventre exerce sur mes fesses et à son halètement bruyant, je le devine légèrement penché au-dessus de moi … Je l'entends déglutir deux ou trois fois, tout aussi bruyamment, puis:

- Waoooooh … puuuu … tain … la vache !


Tandis que la pression de ses mains sur mes hanches se fait moins brutale, je sens la bite du petit brun, devant moi, glisser précautionneusement hors de ma bouche. Il a compris que l'autre vient de prendre son pied:

- Bon, allez … à moi !


Il est déjà debout et je le vois se précipiter vers … mon cul. Mais le grand brun finit de reprendre son souffle, la queue bien calée au chaud au fond de mon cul …

- Allez … laisse-moi la place …

- Minute !


Il sort lentement sa queue de mon fourreau et se relève péniblement. Il a tout juste le temps de s'écarter, et l'autre est déjà à genoux entre mes mollets, une main sur mes reins … je sens son sexe entrer brusquement dans mon cul, son ventre venir buter contre mes fesses et, aussitôt:

- Aaaaah … meeeeerde !


Je ne sens que quelques brèves secousses dans mon étui … de toute évidence, il est en train de jouir . Lui aussi me tient par les hanches et il me donne des petits coups de bite, courts et rapides, en geignant, presque en couinant … Ça pressait trop, il était trop excité et le simple contact de son gland contre ma rondelle a déclenché son orgasme … Maintenant, il respire bruyamment par le nez, ralentit ses va et vient et, brusquement, il sort de mon cul et se relève en grommelant je ne sais quoi … 

015

J'ai continué de masturber machinalement le mec à la crête, sur ma droite. Je regarde derrière moi: le petit brun, qui se précipite dans l'escalier, y croise deux mecs qui montent sur la scène. Je reconnais l'un d'eux: ce matin, il me matait pendant je me faisais fourrer sur la pelouse par je ne sais plus qui, mais je ne me souviens pas l'avoir sucé ou l'avoir remarqué faisant la queue pour me prendre à la chaîne sur le bar. Pourtant, il m'a déjà sûrement baisé, soit là, sur le bar, soit dans l'écurie … Pas mal … assez costaud … pas costaud sportif … plutôt le genre travailleur de force … un peu de bide … une bite déjà raide… dans la moyenne, mais très poilue … comme son torse … L'autre, pareil, sa tête me dit bien quelque chose … je crois qu'il faisait partie des premiers à m'accueillir quand je suis arrivé à la ferme, mais ensuite … je crois qu'il était assis à table en face de moi, un peu sur ma gauche … mais aucun souvenir qu'il m'ait fourré … lui est plus mince, glâbre, assez pâle … bite un peu petite avec des poils clairsemés…


Je sens l'ensemble de la scène bouger quand ils arrivent sur les balles de paille … Le premier, le costaud, tombe directement à genoux derrière moi, entre mes pieds …

- Hé ! Tu permets ? C'est mon tour … Ça fait un moment que je suis là !


C'est le type à la crête, celui que je masturbe depuis un moment. Il vient de repousser ma main et se lève précipitamment. Le nouveau venu hésite, puis il se lève:

- Ah, excuse-moi … je pensais pas que tu attendais ton tour … vas-y …


"La crête" est déjà derrière moi, une main sur mes reins … un peu comme le font, le premier jour des soldes, les gens qui se précipitent à l'ouverture des magasins, et qui posent la main sur un téléviseur ou un lave-linge pour le réserver … Là, c'est « prem's ! C'est moi qui le baise ». Le nouveau venu s'efface devant lui et je sens "la crête" écraser la mousse du matelas entre mes pieds.

- Allonge-toi !


Il accompagne son injonction d'une pression sur mes reins. Je me laisse tomber à plat ventre, je pose ma joue sur mes avant bras croisés et j'attends. Je sens du sperme s'écouler de mon cul.

017

 

"La crête" tapote l'intérieur de mes cuisses, un peu au-dessus des genoux:

- Écarte …


J'écarte les cuisses et je me cambre. Ses genoux entre les miens … sa main gauche sur le matelas, à hauteur de mon aisselle … sa main droite qui guide son sexe jusqu'à mon étui … il me pénètre … sa main droite qui se pose à son tour contre mon aisselle droite … son membre qui s'enfonce en moi en même temps que son ventre se pose sur mes fesses … son torse sur mon dos … je sens sa peau glisser sur la mienne, et je réalise qu'avec cette chaleur de fin d'été nous sommes tous les deux un peu en sueur … son menton entre mes omoplates … il souffle entre ses dents … commence à aller et venir lentement …

- Putain, t'es plein …

- De sperme ?

- Ouais …


C'est vrai: non seulement je le sens patauger dans ce que les deux autres m'ont injecté, mais chacun de ses va et vient fait des bruits mouillés.

- Ça te gêne de mettre ta queue là-dedans ?

- Non.

- Tu vas m'en mettre aussi ?

- Du sperme ? Ouais.


Il rit.

- Tu m'as déjà baisé, aujourd'hui ?

- Ouais.

- Où ça ?

- Je t'ai enculé sur la table … tu sais, où y'avait les apéros …

- Ah oui …


Ma position préférée pour me faire prendre, c'est la levrette et à quatre pattes, mais ce mec qui pèse sur mon dos en me baisant, aplati sur ce lit, c'est aussi très agréable … pas aussi fort qu'avec le gros Thierry, ce matin, au milieu de la pelouse, mais j'aime bien quand même … en plus, nos transpirations mêlées font un peu lubrifiant, alors son torse glisse sur mon dos, et ça fait aussi des petits bruits mouillés quand il bouge, quand il se décolle de moi ou quand il se plaque sur moi … ces fluides, ces sécrétions organiques, leurs odeurs, les bruits qu'ils font, loin de me sembler crades, de me dégoûter, commencent à participer à mon plaisir quand je me fais tringler … j'aime aussi ça … 


Lui aussi, tout ça a l'air de lui faire de l'effet: ses mains vont et viennent en me caressant les flancs, depuis mes aisselles jusqu'à mes cuisses … il a posé sa joue sur mon omoplate et je sens son souffle sur ma nuque … A la façon lascive dont il ondule, je sens qu'il cherche à procurer à sa bite autant de jouissance qu'il peut de ses frottements dans mes chairs, et à tirer le maximum de plaisir de cette copulation. J'appuie mon front sur mes avant bras, et je me cambre autant que je peux pour faciliter son queutage et accroître son plaisir …


Il … mais oui, il ronronne … c'est de plus en plus net. Et … et là … dans mon cou … tout chaud et un peu humide … il a posé ses lèvres à l'angle de mon cou et de mon épaule, et il … il m'embrasse … ou plutôt, il me fait un suçon … ce n'est plus un simple coup de bite, là … et ça remue quelque chose en moi … c'est moins fort que quand Kevin a voulu me "faire un petit", mais une douce chaleur m'envahit, qui n'a rien à voir avec la température de l'air … je ne peux étouffer un gémissement de plaisir … Il ronronne de plus belle et je le sens au bord de l'éjaculation … 


En effet, il m'empoigne les deux avant bras, se redresse légèrement pour se caler au-dessus de moi, et se met à me bourrer de grands coups de queue, suivis de pauses de deux ou trois secondes au fond de mon cul … chaque coup est accompagné d'un gémissement … et soudain, il jouit  ! Il ne gémit plus, il râle, dents serrées, et je sens qu'à chaque pause, entre deux coups de boutoir, il éjacule … Oh oui, vas-y ! Vide tes couilles et remplis-moi aussi ! Chaque fois qu'il m'envoie sa queue au fond du cul, ça provoque un bruit de clapotis entre mes fesses et je sens quelque chose de tiède s'écouler sur mon périnée … Il avait raison, tout à l'heure, je suis plein … il est le troisième à m'inséminer à la suite et ses coups de piston doivent faire gicler de mon cul le mélange de leurs semences …


Enfin, dans un ultime coup de bite, il s'écroule sur moi en soufflant bruyamment dans mon cou … Il reprend peu à peu son souffle … puis:

- Ah, bordel !


Il rit et je sens son ventre se secouer sur mes reins:

- J't'ai bien baisé, hein …


Tant bien que mal, je passe ma main jusque derrière sa tête et je lui caresse la nuque …

- Oui … tu m'as bien baisé …

- T'es vraiment plein, maintenant … tu débordes, même …

- Oui, j'ai senti … ça coule …

- Bon, ben …


Il ne sait pas trop comment conclure. Je viens à son aide:

- Allez … laisse la place aux autres …

- Ouais …


D'un seul élan, il se décolle de moi dans un bruit de gargouillis visqueux, et il se relève.

018

 

Il a tout juste le temps de s'éloigner, je sens déjà le matelas s'aplatir entre mes genoux … je me redresse un peu et je m'appuie sur mes coudes … mais:

- Bouge pas … reste comme ça ….


à suivre ...

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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