Mercredi 25 janvier 2012 3 25 /01 /Jan /2012 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Laurent.

 

Mercredi 21 juin.

Ce matin, c'est grand beau. Ça me donne envie d'aller me balader dans la campagne. Plus exactement, ça me donne envie de faire une de ces promenades masturbatoires dont j'ai pris l'habitude. J'irais bien marcher sur le chemin de randonnée que j'ai repéré il y a quelques jours, et y faire quelques photos ... à poil.

 

Je prépare donc mon matériel, appareil-photo avec trépied, serviette et le reste, le tout dans mon sac à dos. Et je m'équipe. Ce matin, vu le ciel bleu et le soleil, ce sera en short avec rien dessous et T-shirt. A tout hasard, j'ajoute dans le sac à dos mon porte-jarretelles favori et mes bas ainsi qu'un pantalon à enfiler par-dessus en cas de rencontre inattendue.

 

Et me voilà parti. 

J'aime beaucoup. Non seulement être à poil dans la nature, mais aussi dans des endroits où je suis susceptible de rencontrer des gens.

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Non pas que je cherche à m'exhiber, mais parce que le risque de me faire surprendre me provoque des décharges d'adrénaline très agréables. Au fil du temps, je prends d'ailleurs de plus en plus de risques. Finalement, je suis sans doute exhibitionniste. En plus, j'aime me photographier dans ces situations: à poil sur un chemin de randonnée, au bord d'une route, dans un champ, dans un bois, etc.

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Bref, me voilà parti.

 

En route, comme à mon habitude, je me tripote au volant. Je commence en me pétrissant la queue à travers mon short.

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Puis je sors ma bite par la jambière et je me masturbe. J'aime bien traverser les villages la queue à l'air, m'arrêter aux feux et me tripoter à côté des piétons et des autres automobilistes qui ne se doutent pas de ce que je fais. Il m'est même arrivé de faire ça en ville, en pleine circulation.

 

Me voilà sur le coteau qui surplombe la rivière. J'arrive au point de départ du chemin de randonnée et je me gare. Personne à gauche, personne à droite. Je vais aller à droite. Ça monte vers un endroit dégagé. Peut-être que je pourrai me livrer à mon "hobby" au sommet en surveillant le chemin assez loin des deux côtés pour voir arriver d'éventuels randonneurs.

En route. Evidemment, tout en marchant, je recommence à me pétrir la queue. Je regarde aussi à droite et à gauche du chemin à la recherche d'un endroit sympa pour quelques photos ou vidéos.

Me voilà au "sommet". En me retournant, je vois le chemin d'où j'arrive, jusqu'à ma voiture. Il y a plus de 500 mètres. Et personne en vue. Ça me laisse du temps de ce côté avant d'être surpris. De l'autre côté, le chemin redescend en bordure d'un bois et, à cause d'un faux-plat, je ne vois pas assez loin pour me sentir en sécurité. Je décide donc d'aller explorer un peu plus loin. Après 300 mètres, le chemin tourne à droite et ressort du bois. La vue est dégagée assez loin. Personne. J'ai donc le temps de faire quelques photos au sommet. Je rebrousse chemin.

 

En remontant, un peu avant le sommet, je remarque une construction en maçonnerie à laquelle je n'avais pas fait attention à l'aller. Si j'en profitais ? En quelques secondes, j'ai ôté mes chaussures, mon short et mon T-shirt, enfilé mon porte-jarretelles et préparé mon appareil photos. Je programme le retardateur et je me mets dans ma position favorite: appuyé sur la maçonnerie, les jambes écartées, le cul cambré. Clic-clac. Merci Kodak.

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Trois ou quatre photos, une vidéo, et me voilà reparti après avoir remis mon T-shirt et enfilé mon pantalon par-dessus mon porte-jarretelles.

 

J'estime que j'ai encore le temps d'arriver au sommet et de faire quelques autres photos, pourvu qu'il n'y ait personne sur l'autre versant par où je suis arrivé. En effet, personne. La vue est dégagée, le paysage magnifique sous le ciel bleu et le soleil. Je me déshabille et je prends de nouveau quelques clichés et quelques vidéos. 

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Puis je redescends vers ma voiture. Je vais aller voir plus loin si je ne trouve pas un autre endroit sympa. Arrivé à ma voiture, je fais de nouveau quelques photos le pantalon baissé près d'un autre cabanon et appuyé sur la barrière qui interdit l'accès au chemin. Ici, je ne vais pas jusqu'à me mettre complètement à poil… trop près de la route.

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Je redémarre et je m'arrête un peu plus loin. Un chemin d'exploitation conduit dans les champs. Je pourrais sans doute faire des photos dans un champ de blé. Je me gare de nouveau et je m'engage sur le chemin. Un petit bois le borde. Je décide de le longer pour voir où ça me conduira. Peut-être que, dans le sous-bois, je trouverai un endroit agréable pour faire d'autres photos, me masturber ou me fourrer des trucs dans le cul … Mais non, le sous-bois est sombre, pas assez de lumière pour les vidéos, et rien d'intéressant à m'introduire …

Plus loin, j'arrive à un pré qui a été fauché, fané et récolté récemment. Les rouleaux de foin sont toujours sur place. 

Aubaine ! J'ai envie depuis longtemps de me prendre en photo devant des rouleaux comme ceux-là. Va savoir pourquoi ... D'où j'arrive, ce serait étonnant qu'il vienne quelqu'un. Le pré en pente douce est bordé d'un côté par le bois que je viens de longer, de l'autre par une haie vive. Je suis tout en haut du pré, caché d'un côté par le bois, de l'autre par la haie. Il ne peut arriver quelqu'un que par le bas du pré. J'ai le temps de le voir venir et de me planquer dans le bois ou dans le champ d'à côté en passant à travers la haie.

 

Je choisis deux rouleaux de foin accolés en bordure du bois. Là je serai tranquille. Et je m'installe: j'ôte T-shirt et pantalon, je prépare mon appareil et je commence à me photographier. Il fait très bon, pas encore trop chaud, et je sens le soleil sur mes fesses et sur mon dos. C'est très agréable.

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En contrôlant mes photos, je remarque des jeux d'ombre et de lumière sur mon corps. Ça promet d'être plutôt bien sur écran … Ça m'excite un peu, et, la poitrine appuyée sur un rouleau de foin, je commence à me tripoter le cul et la queue. Bien sûr j'ai mis en route mon appareil en position vidéo …

 

Et soudain, derrière moi, retentit un:

- Alors, on s'amuse bien ?

 

En un fraction de seconde, j'ai l'impression que tout mon sang s'est retiré de mon corps, mes jambes flageolent, mes oreilles bourdonnent. Je ne l'ai pas entendu arriver.


Je me retourne. Il y a là un type hilare, quarante-cinq, cinquante ans, costaud. A sa tenue, on dirait un cultivateur, peut-être le propriétaire des rouleaux de foin.


Je me sens vraiment ridicule comme ça, à poil, le cul et la bite à l'air, avec mon porte-jarretelles.


Le sang revient dans mon corps aussi vite qu'il l'avait quitté. Et surtout dans ma tête: je sens que je pique un fard. Que faire? Récupérer mes vêtements pour me rhabiller? Mais, justement, il est tout à côté de mes habits. Il a deviné mon idée, et il fait:

- Tsss! Tsss! On ne bouge pas!

 

Aïe! Il est campé devant moi, les jambes un peu écartées, les poings sur les hanches. Hors de question de l'affronter. Je ne suis pas sûr de faire le poids, et puis, dans cette tenue …

- Je voudrais me rhabiller.

- Y'a pas le feu! Alors, comme ça, on porte des trucs de femme … et on se prend en photo …

 

Comme je ne peux pas nier une telle évidence, autant assumer. Ce constat posé, cette décision prise, je reprends un peu d'assurance:

- Comme vous voyez. Ça vous pose un problème ?

- Ce qui me pose un problème, c'est que tu fais ça chez moi … que tu t'exhibes à poil dans mon champ et que tu te fais … je sais pas quoi!

- Je ne savais pas que c'était chez vous. Et je ne me suis pas exhibé, j'ai cherché un endroit tranquille où je pensais ne pas être vu. Je ne pouvais pas deviner que vous alliez arriver aussi … discrètement. Bon, je peux récupérer mes habits ?

- Attends … Explique-moi quel plaisir tu as à t'attifer comme une gonzesse.

- Ben, il n'y a pas d'explication. J'aime porter ça et j'aime me prendre en photo parce que je trouve ça … sexy… 

- Tu en fais quoi de tes photos ?

- Rien. Enfin, je les garde pour moi. Ce n'est pas pour vendre …

 

Et soudain, d'une manière tout à fait inattendue, la gêne que je ressentais disparaît ... brusquement, comme une bulle de savon qui éclate ! Et une espèce de ... une espèce de chaleur m'envahit ... une espèce de chaleur et de ... plaisir ! Oui, ça me plaît d'être à poil, et même dans cette tenue indécente, devant cet inconnu. C'est à la fois un plaisir sensuel, avec ce soleil et cette légère bise sur mon corps, et un plaisir cérébral. Toute pudeur s'est envolée, et le regard de ce type, posé sur moi, sur mon corps, sur mon sexe, ça me plaît !

- T'es homo?

 

Aïe ! Si c'est un homophobe, je risque de passer un sale quart d'heure. J'esquive:

- Ça, c'est autre chose. On peut aimer porter des porte-jarretelles sans être homo … On pourrait plutôt dire que je suis … travesti, mais, travesti, c'est s'habiller entièrement en femme …

- Mouais … je te fais remarquer que comme ça, t'es habillé en femme. Pas la peine de finasser. Montre tes photos.

 

Au point où j'en suis, autant obtempérer. Ce qu'il verra en photo n'est pas pire que ce qu'il voit maintenant. Et ça aussi, ça me plaît, il va voir les autres photos que j'ai faites tout à l'heure. J'esquisse un geste vers mon appareil. Il m'arrête d'un geste:

- Bouge pas. Explique comment ça marche. Je ne connais pas ce genre d'appareil.

- Je vais vous montrer …

- Pas de connerie, hein!

 

Il a posé un pied sur mes vêtements. Il sait que, dans cette tenue, je suis en position d'infériorité et que je ne peux pas me cavaler.

- Non, non, je n'ai pas l'intention de faire de connerie ...

 

Il me laisse prendre mon appareil et je lui fais défiler les premières photos. Il a compris comment ça marche, il me prend l'appareil des mains et il continue tout seul. Je l'observe. Il paraît vraiment très intéressé par ce qu'il voit.


- Ben, dis donc, tu ne t'ennuies pas …

- J'essaye.

- T'es quand même gonflé. Là je reconnais, c'est sur le chemin de randonnée. Tu sais qu'il est fréquenté? N'importe qui peut te voir.

- Je fais attention qu'il n'y ait personne. Je vous l'ai dit, je ne cherche pas à m'exhiber. Si c'était le cas, je ferais ça où il y a du monde …

- Alors, ça te plaît de te balader à poil … enfin … comme ça, dans la nature?

- Oui. 

- Et là, t'es pas gêné? Ça n'a même pas l'air de t'embarrasser plus que ça d'être à poil devant moi …

- Qu'est-ce que je peux faire ? Je me rhabillerais bien, mais vous m'en empêchez. On ne va pas se battre, non ? Et puis, à mon âge, j'assume ce que je fais. Ce n'est pas un crime. J'aurais préféré ne pas me faire surprendre, mais, maintenant que c'est fait … 

 

L'ambiance s'est quelque peu détendue. Je me suis un peu reculé et je me suis appuyé au rouleau de foin.


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Lui a enlevé son pied de mes vêtements. Il sourit et hoche la tête:

- Je dois reconnaître que certaines de tes photos sont … assez …

- Oui ? C'est-à-dire ?

- Disons, elles sont pas mal. C'est vrai que c'est … comment tu dis ?

- Sexy ? Erotique ?

- Voilà, c'est ça.

 

Un ange passe. Il est très absorbé par ce qu'il voit sur mon appareil photos. Je trouve ça plutôt agréable, qu'il me mate en photos. Je demande:

- Bon, et on fait quoi, maintenant ?

 

Il ne répond pas tout de suite. Il me jette un coup d'œil par en-dessous. Il a l'air de cogiter intensément.

- Tu vas me sucer !

 

Boum ! Je ne m'attendais pas à ça. Mes photos ont dû l'exciter ! Ça me plaît ! Au fond, il doit être persuadé que si je suis travesti, c'est que je suis forcément homo, et que si je suis homo, je suce forcément qui le demande. 

- Non !

 

Il est décontenancé, il ne s'attendait pas à un refus, et du coup, il paraît un peu gêné de m'avoir dit ça. Je pousse mon avantage:

- Je ne vous sucerai pas ... je ne sais pas qui vous êtes, je ne sais pas si vous n'avez pas le SIDA ou je ne sais quoi. 

 

J'espère lui faire réaliser que, lui non plus, ne sait pas à qui il a à faire, et qu'il prend un risque inconsidéré. Mais, apparemment, il ne veut pas abdiquer complètement et il cherche quand même à tirer profit de la situation parce que, après une courte hésitation:

- Bon, alors, tu vas me branler !

 

Au fond de moi, je devais plus ou moins espérer qu'ile veuille ça après que j'aie refusé de la sucer. Et pourquoi pas ? J'ai le sentiment que le rapport de force s'est un peu équilibré. En fait, maintenant, il n'ordonne pas, il demande. Le masturber, ça ne me fait pas peur, au contraire. Je n'ai encore jamais masturbé un autre mec, mais, au fond, j'en ai très envie, et depuis longtemps. Je sens que quelque chose s'éveille dans mon ventre et entre mes cuisses. Et si l'occasion ne se présente pas dans les conditions auxquelles j'avais rêvé, ça ne porte quand même pas à conséquence. Et puis c'est sûrement le meilleur moyen de le calmer. Alors:

- Ça, je veux bien, mais faut voir …

- Faut voir quoi ?

- Ta queue … montre moi ta queue.

 

Il écarquille les yeux. Il s'attendait à un autre refus, et je demande à voir sa queue … Je sens que je suis de moins en moins en position de faiblesse. Après une courte hésitation, il déboutonne sa braguette ... Putain, il va sortir sa bite ! Il extrait son membre avec difficulté. Il faut dire qu'il est déjà un peu en érection. Ce n'est pas une bite énorme, mais elle n'est pas moche. Ce que je redoutais, c'est une bite répugnante. Mais là, ça va … j'ai le cœur qui bat.

- Montre le reste … tes couilles ...

 

Il déboutonne son pantalon, le baisse, puis baisse son caleçon. Ça va aussi.

- Approche.

- Attention, hein, pas de connerie …

- Ne crains rien …

 

Les pieds entravés par son pantalon et son caleçon, il se dandine jusqu'à moi. Maintenant, il doit se sentir aussi ridicule que moi. Je ne me sens plus du tout en position d'infériorité. Et je vais toucher la bite de ce mec ! C'est à la fois troublant et excitant ! Et le fait que ce soit un parfait inconnu ajoute à mon émotion. Je sens mes barrières psychologiques tomber. J'ai de plus en plus envie de passer à l'acte ... vraiment à l'acte. Seul un reste de peur me retient.

 

Je soulève sa chemise qui lui retombe sur le sexe, et je saisis son membre. Ouaaaah, ça me fait un effet terrible, même si il est poilu, ce que je trouve plutôt désagréable. Mais, à part ça, il a une bite plutôt sympathique, avec une belle paire de boules. Je commence à le masturber doucement. Il ne sait pas quelle contenance adopter, mais je sens son sexe grossir dans ma main. Tout en le masturbant de la main droite, je lui prends les couilles de la main gauche. Il aime. Je crois qu'il a perdu toute défiance. Il me semble même qu'il tremble un peu.

- Déboutonne ta chemise.

 

Il obtempère. Il a un peu de ventre, mais pas plus que moi, et ça reste acceptable.

En fait, sa queue me plaît bien. Je suis pris d'une subite envie de le sucer. Dommage que j'aie peur d'attraper le SIDA, parce que je la sucerais bien, finalement, cette bite. Je m'agenouille devant lui et j'observe l'engin de près, tout en le branlant. Vraiment, miammm, ça me met l'eau à la bouche !!! Je dois me raisonner pour le pas la prendre entre mes lèvres. Une goutte de liqueur perle au bout de sa queue. Du pouce, je l'étale sur son gland et je le décalotte. Maintenant, il est vraiment très excité. Je vois les veines de sa verge gonfler et son gland se dilater. Il me demande:

- T'as pas de capote ?

- Non, pourquoi ?

- J'ai envie de … te … de t'enculer …

- Pas plus ça qu'une pipe …  Pour la même raison. Désolé.

 

Mais après un instant de réflexion, je lui dis:

- Si tu veux, tu peux te frotter contre moi …

- Comment ça ?

 

Je lâche sa queue, je me relève, je me retourne et je me penche en avant, appuyé sur le rouleau de foin. Je lui offre mon cul, souligné par mon porte-jarretelles et mes bas. C'est la première vision qu'il a eu de moi, et je suis sûr que c'est ce qui l'a excité dans mes photos. Il s'approche, s'empêtre de nouveau dans son pantalon.

- Enlève donc ton pantalon …

 

Au fond de moi, je regrette de ne pas avoir emmené de capote. Çe me plairaît bien qu'il me baise ! Je le sens qui ôte ses chaussures et quitte son pantalon et son caleçon. Il me saisit par les hanches et vient se plaquer contre moi. Il glisse sa bite entre mes fesses et commence à monter et descendre dans ma raie. Comme il fait chaud et que je transpire, la sueur entre mes fesses fait lubrifiant. Tout ça m'excite aussi passablement. Je bande. De mes hanches, ses mains passent sur mon ventre et il se plaque complètement à moi. Sa tête contre la mienne, je sens son souffle. Je lui prends la main droite et la guide vers mon sexe. Il a un mouvement de résistance, puis il me saisit délicatement la queue et commence à me masturber. Son frottement contre mon cul devient plus vigoureux. C'est sûrement de me tripoter la queue qui l'excite davantage. Tout ça dure un bon moment. Puis, il s'écarte et je le sens s'agenouiller derrière moi. Il m'empoigne les fesses à deux mains et me les pétrit.

- Quel cul !

 

Il ne sait pas à quel point il me fait plaisir.

J'ai maintenant sa tête entre les fesses, son nez contre ma rondelle. Il reste comme ça quelques minutes.

Enfin, il se relève, se plaque de nouveau contre moi et reprend son va et vient. Puis je le sens s'écarter un peu de moi, et soudain, je sens sa bite qui se presse contre mon anus.

- Tu es sûr que c'est non ?

 

Il ne précise pas à quoi il pense, mais c'est évident: il veut me pénétrer. Je marque une hésitation, puis, à regret:

- Oui, c'est sûr … La plupart des contaminations HIV ont lieu au cours d'une première fois. C'est ta première fois, non ?

 

Je ne lui précise pas si je pense à le contaminer ou à ce que lui me contamine. Il grommelle je ne sais quoi. Ça doit être sa première fois. Et j'ai réussi à l'inquiéter suffisamment pour qu'il n'insiste pas.

Je marque une pause, puis:

- Une autre fois …

 

Il replaque sa queue entre mes fesses. Son mouvement devient soudain plus violent, et brusquement, je sens quelque chose de chaud couler contre mes reins. Il éjacule. Je sens les soubresauts de sa queue contre ma raie. Il râle, il geint, puis il s'écroule contre moi. C'est un rapide !

Enfin, il s'écarte et s'affaisse à côté de moi, le dos contre la meule. Je m'agenouille à côté de lui.

- On dirait que ça t'a plu …

 

Il a l'air gêné, il ose à peine croiser mon regard. Je lui redemande:

- C'était la première fois ?

- Ben oui. Qu'est-ce que tu crois ? Je ne suis pas un …

- Un quoi ? Un homo ? Un pédé ? Non, mais tu voulais quand même te faire sucer par un mec et tu m'aurais bien enculé …

- …

- Il n'y a pas de quoi avoir honte, surtout vis-à-vis de moi. Je pense qu'il faut profiter de tous les plaisirs qui se présentent. On n'a qu'une vie.

- C'est pas dans mon éducation.

 

Je me suis relevé et je sors un rouleau de PQ de mon sac à dos pour m'essuyer le dos et les fesses. Il remarque:

- Tu es drôlement prévoyant …

 

Je ne relève pas et je ramasse mes vêtements. Il ne fait pas un geste pour m'en empêcher. Je commence à m'habiller. Il fait pareil. Un lourd silence s'installe. Comme je m'apprête à remballer mon appareil photo dans mon sac à dos, il me dit:

- Donne-moi la cartouche de ton appareil.

- Pour quoi faire ?

- Je veux les photos.

 

Il a adopté un ton dur, presque menaçant. Mais, maintenant, je ne suis plus du tout en position d'infériorité: je suis habillé, et j'ai le trépied de l'appareil photo à la main, déployé, qui ferait une bonne matraque. Il s'en rend compte. Et je pense qu'il se rend compte aussi qu'il ne sait rien de mon identité, alors que je sais que nous sommes dans son champ et que je peux donc savoir qui il est. Je sens qu'il cogite. Va-t-il essayer de me prendre l'appareil de force ? Jusqu'où un affrontement physique irait-il ? Qu'est-ce que je peux faire contre lui ?

Pour détendre l'atmosphère, je lui dis:

- Si tu les veux, je te les donnerai, mais pas maintenant. Ça sera une occasion de nous revoir.

- Nous revoir ?

 

Ça a l'air de l'inquiéter.

- Oui, pourquoi pas ? Peut-être que tu auras encore envie de … te faire sucer …. Peut-être que je serai d'accord … si je suis sûr de ne pas attraper une saloperie.

- Comment ça ?

- Si tu fais un test de dépistage du SIDA … 

 

Il ne répond pas. Ça semble tourner à toute vitesse dans son crâne. Je poursuis:

- Dis-moi comment je peux te contacter et je t'appellerai.

 

Il réfléchit un moment, puis:

- J'ai un portable.

- Donne-moi le numéro. Tu as ma parole que je t'appelle.

- Bon. 06.27. …….

- Je n'ai pas de quoi noter.

 

Il sort un calepin de sa poche, griffonne son numéro, arrache la feuille et me la tend.

- Tu peux recevoir des photos sur ton portable ? 

- Euh, oui, mais je ne sais pas trop comment on fait.

- Je trouverai. Bon, je pars le premier. N'essaye pas de me suivre.

- Pas de problème. Il faut que je rentre mon foin.

- Dommage. Je trouve ça bien, les rouleaux de foin dans les champs …

 

Et je m'éloigne.

 

 

Finalement, ça ne s'est pas mal terminé. Il m'a fait un peu peur, mais ça a été aussi une décharge d'adrénaline comme je les aime. Et puis, je crois qu'il est mûr pour aller plus loin … quand je le déciderai. Je vais le laisser mijoter un peu. Tiens, au fait, je ne sais même pas comment il s'appelle.

 

à suivre ...

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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