Récits pornographiques

Jeudi 21 janvier 2016 4 21 /01 /Jan /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


Ce n'est pas une découverte: les mecs se comportent parfois pour le sexe comme pour la nourriture. A table, ils peuvent manger pour le plaisir, prendre leur temps, savourer, déguster … mais ils peuvent aussi se jeter sur la bouffe pour calmer une fringale et bâfrer, se goinfrer, s'empiffrer … Pour la baise, c'est pareil: ils peuvent embrasser, caresser, cajoler longuement et prendre le temps de longs préliminaires avant de … faire l'amour … mais s'ils ont seulement besoin de soulager une urgence, si leurs couilles, trop pleines, doivent être vidangées rapidement, alors ils peuvent s'accoupler sans préambule et tirer un coup vite fait … Et bien, ce matin, les participants à ce gang bang – à MON gang bang – ne se sont pas comportés en gourmets, mais en morfals. Arrivés chez Jean-Claude avec une monstrueuse fringale sexuelle, dès qu'ils ont eu sous la main ce qu'il y avait au menu (en l'occurrence mon cul comme plat principal), ils se sont précipités dessus ... ou plutôt dedans ... comme sous l'effet d'une incoercible pulsion. Si la plupart se sont directement attaqués à ce plat de résistance (qui, d'ailleurs, n'a pas résisté du tout), quelques uns ont préféré commencer par des amuse-bouche (et ils se sont amusés avec ma bouche). Tout ça n'était pas fait pour me déplaire, bien au contraire. Et comme c'était "buffet à volonté", certains n'ont pas hésité à se resservir.


Bref, cette bande de crevards avait besoin de se vider les couilles avant tout autre chose … 

… alors, ils se les sont vidées …


Et puis, à tant s'appliquer à calmer cette fringale sexuelle, ils se sont ouvert l'appétit … alimentaire, cette fois. Ces deux besoins satisfaits, en bons mâles, ils se sont tous plus ou moins assoupis. Quelques uns font une vraie sieste ou se contentent de somnoler, d'autres fument, picolent ou discutent, et m'oublient presque, me laissant à la fois désœuvré, disponible et surtout toujours affamé de sexes, de membres, de queues, de bites … Heureusement, "le comptable", une fois remis de ses deux saillies de ce matin, une fois son estomac rassasié et ses couilles rechargées, a été pris d'une envie subite, et il m'a emmené avec le plus jeune de l'équipe, pour me prendre en levrette sur le portail qui ferme la cour. 


Et là, alors qu'ils avaient commencé à me fourrer, chacun par un bout, j'ai aperçu trois têtes au-dessus du mur qui borde le chemin d'accès à la ferme … on était en train de nous mater. Avec mes deux baiseurs, nous étions venus involontairement nous donner en spectacle, comme à domicile, juste au pied de voyeurs. Me faire saillir par deux mecs sous les yeux de spectateurs clandestins n'était pas pour me déplaire, mais, interrompant notre partie de cul, je suis allé voir, accompagné du comptable, de qui il s'agissait. Trois jeunes, étaient venus se rincer l'œil, sans doute en se branlant, grimpés sur le cadre de leurs vélos. Il y avait entre autres un dénommé Grégory, le commis du traiteur. Pas étonnant ! Quand son patron et lui étaient venus livrer la bouffe en fin de matinée, ils avaient débarqué au moment où je me faisais bourrer à la chaîne sur le bar par ma bande de mâles en rut. Son patron l'avait bouclé dans la camionnette pour qu'il n'assiste pas à cette débauche, mais, même de loin, le gamin en avait vu assez par la vitre pour comprendre qu'il y avait du sexe dans cette ferme. Alors il était discrètement revenu avec deux copains, pour mater, planqués derrière ce mur. 


D'abord très gênés de s'être fait repérer et inquiets de ce qui pourrait leur arriver, ces trois jeunes se sont peu à peu laissés amadouer … tant et si bien que, leur ayant proposé de regarder le comptable me prendre en levrette sous leurs yeux, ils ont accepté. Evidemment, assistant à notre accouplement en direct, ils se sont branlés tous les trois. Ça m'a permis de découvrir que le commis du traiteur, Grégory, a une bite … une bite … Ouaaaah, l'engin ! Ses deux potes ont joui rapidement, mais lui s'est retenu… et tant mieux, parce que, maintenant que j'ai vu comment il est équipé, je n'ai plus qu'une envie, m'occuper de sa queue … Bien sûr je n'ai pas l'intention de me contenter de la tripoter, je compte bien arriver à la sucer, voire plus, mais je me garde de l'effaroucher et je lui demande seulement si je peux la toucher. Et là, tandis que ses potes, qui s'apprêtent à s'en aller, cherchent à l'entraîner, il décide de rester ! Le voilà, seul avec nous. J'insiste:

- Alors ? Je peux la toucher ?


Il cligne des yeux et déglutit bruyamment. Je suis sûr que c'est oui. S'il reste, plutôt que de filer avec ces potes, alors que je viens de lui dire que j'ai envie de toucher sa bite, c'est qu'il en a aussi envie … et peut-être pas seulement que je la touche …


Mes yeux plantés dans les siens, je pose mes doigts sur sa main, celle avec laquelle il tient son sexe. Etonné, il fronce les sourcils. Il devait s'attendre à ce que je touche directement sa bite. Je serre un peu ma main sur la sienne et je commence à la faire aller et venir, doucement … Il s'est masturbé sans se décalotter. Il me regarde, bouche entrouverte, souffle suspendu, et se laisse faire. Je le masturbe comme ça un moment, en serrant sa main … puis, de lui-même, il retire doucement ses doigts, me laissant continuer seul ce début de masturbation. Le comptable est retourné s'adosser au mur et je devine qu'il nous observe. Ça me plaît bien, qu'il me regarde chauffer ce petit jeune. Si ça se trouve, il nous filme encore, discrètement. Je me sens la rondelle un peu humide, collante. Sans doute des restes de lubrifiant mêlés à la semence du comptable … il n'a pas dû éjaculer grand chose, vu qu'il avait déjà giclé deux fois ce matin. Je continue de masturber Grégory du bout des doigts.

- Dis donc, la nature t'a gâté, toi …

- Je … je sais pas …

- Je te le dis … tu es sacrément bien monté … et des bites, j'en ai déjà vu beaucoup … mais la tienne … hhmmm !

- Ah bon ?

- Oui … Elle me plaît beaucoup, ta bite …

- … 

- J'ai envie de te sucer …

- Je …

- T'as pas envie ?

- Je … je sais pas … 

- T'as envie de quelque chose, puisque tu es resté … tu préfères peut-être autre chose … tu veux me baiser?

- Oh ! N… non, non … 


Ça, me baiser, c'est non, visiblement … Il est peut-être encore puceau … ça va peut-être trop vite pour lui … ou c'est peut-être trop hors normes …

- Pourtant, si tu veux me baiser, tu peux … moi, ça me plairait … tu voudrais pas me baiser, pour ton anniversaire ?

- Euh … c'est pas encore … dans une semaine …

- Oui … pour tes dix-huit ans … Alors, ça te dirait de me baiser ?


Il hésite, baisse le nez, secoue la tête. Non, vraiment pas.

- Tu veux que je te suce ? J'ai très envie de te sucer … Si tu en as envie aussi, je te suce … 


Il jette un coup d'œil vers mon comparse, et, dans un souffle:

- D'accord …


Je tombe à genoux à ses pieds. Je lui fais lâcher son bermuda et son caleçon et je les descends sur ses chevilles. Il porte d'énormes chaussures de sport, heureusement lacées seulement à moitié. Je n'ai aucun mal à les lui enlever. Il paraît un peu réticent pour enlever complètement short et caleçon, mais il finit par se laisser faire. 


Là, juste sous mes yeux, il y a une merveille, tellement longue et lourde qu'elle tombe un peu, tête en bas  entre ses cuisses. Sa bite est bien droite, la verge est large, épaisse et longue, longue … Je la soulève. Son urètre est bien saillant … les veines gonflées … sous le prépuce, je devine la silhouette de son gland aux formes bien nettes, un peu aplati sur le dessus, presque retroussé, la couronne bien marquée … toute la partie de son gland qui dépasse de l'ouverture de son prépuce est couverte d'une liqueur translucide … sa verge est un peu resserrée juste sous le gland, la peau est lisse, dorée, sans défaut … pas une tache, pas un bouton … une vraie gourmandise qui invite à une dégustation … une assez belle paire de couilles … le tout à peine garni de poils blonds-châtains, comme un léger voile … Je salive d'avance et l'examinant attentivement … je passe doucement mes doigts dessus … il me regarde, intimidé … Je pose deux doigts sur la liqueur qui baigne son méat et j'en étire un long fil visqueux jusqu'à mes lèvres. Sa queue a une espèce de soubresaut. Me voir prendre sa mouille dans la bouche a dû lui procurer une bouffée d'excitation. J'avance mon visage et, d'un coup de langue, je finis d'essuyer l'extrémité de son gland. 


Puis j'empoigne résolument sa verge. Nom de dieu ! Je pourrais … je peux y mettre mes deux mains, l'une au-dessus de l'autre … au moins vingt centimètres ! Et sans compter le gland, même pas encore décalotté ! Depuis quelques temps, pour moi, une bite c'est une bite, un mâle c'est un mâle, qu'il ait une grande queue ou un petit zizi, et je suis prêt à m'occuper de toutes les bites qui se présentent à moi … mais là, quand même … ce môme là, avec un engin pareil, il faut que je lui donne envie de me revoir, il faut que je lui donne envie de me baiser, il faut que je lui donne envie de prendre des habitudes avec moi … J'ouvre la bouche, et je prends son gland entre mes lèvres. De la main qui serre sa verge, je fais coulisser sa peau vers son pubis en même temps que j'avance ma tête. Son gland se décalotte en s'enfonçant dans ma bouche. Oh la la, il est tout chaud, tout lisse, tout doux … Je continue d'avancer vers lui et son sexe s'enfonce dans ma bouche en glissant sur ma langue … Oh putain, quel morceau ! Quel morceau ! J'entends le môme aspirer l'air à grandes goulées … je sens que je lui fais beaucoup d'effet … Je le ressors lentement de ma bouche en le recalottant, et:

- Allonge-toi !

- Dans … dans l'herbe ?

- Oui. 


Docile, il s'assoit et attend, les mains appuyées un peu derrière lui. Je m'avance entre ses pieds et je lui écarte les jambes. 

- Elle est vraiment belle, ta queue … et grande … on te l'a déjà dit ?

- Non …


Il a murmuré.

- Tu t'es déjà fait sucer ?

- Non ..

- Tu es puceau ?

- …

- Tu peux le dire … y'a pas de honte …

- Oui m'sieur… 

- Je suis ton premier coup, alors … 


Il hoche la tête.

- Ben dis donc … quand tu vas t'y mettre, tu vas faire un malheur, avec une bite comme ça … avec les filles et avec des mecs comme moi … 


Je me penche et je pose mes lèvres sur sa hampe. Elle a un soubresaut. Waouhhhhh ! Il est super excité ! J'éloigne un  peu mes lèvres. Je lui caresse le ventre, puis je glisse ma main sous son T-shirt et je lui caresse la poitrine en appuyant pour qu'il s'allonge complètement. Il se laisse faire.

- J'ai l'impression que tu es très excité … alors laisse-toi aller … te retiens pas … je vais te sucer et tu peux jouir dans ma bouche … 


Il redresse la tête, me regarde, visiblement étonné:

- Ah bon ? Mais … je  … vous allez …

- T'inquiète pas, j'ai l'habitude … le sperme, j'aime …

- Ah bon …

- Tu sais, tu peux me regarder te sucer … ça aussi, j'aime ça, que le mec que je suce me regarde …


Il hésite une seconde, puis se redresse un peu plus, s'appuie sur ses coudes et attend. Je pose de nouveau mes lèvres sur sa verge. Cette fois, elle ne réagit pas. Je passe ma langue sur son urètre, depuis la base jusqu'au dessous de son gland. Je vois les muscles de son abdomen se contracter. J'ouvre les lèvres et je prends son sexe dans la bouche. Il a une espèce de réflexe des reins, comme s'il se cambrait. Sa queue se décalotte spontanément et je sens son gland s'épanouir sur ma langue. Je sens que ça va aller très vite. De la langue, je presse le dessous de sa verge … et j'enfonce son sexe dans ma bouche … son gland frotte mon palais et, avant qu'il ne soit arrivé à ma gorge, un premier jet de sperme m'inonde la bouche . Il halète, il gémit, soulève son bassin par réflexe, comme pour enfoncer sa queue au fond de ma gorge … un autre jet … un autre … un autre … j'avale au fur et à mesure … un autre encore … encore … encore … et ça se calme … Nom de dieu, quelle éjaculation ! Quelle dose il m'a injectée !


Il s'écroule sur le dos en respirant bruyamment. Je garde un peu son sexe dans ma bouche, dégustant le plaisir d'avoir ce gros morceau ce chair tiède entre ma langue et mon palais. Putain, c'est la première fois que ce gamin jouit dans quelqu'un ! Celui-là, il faut absolument que j'arrive à le sucer à nouveau un de ces jours … et il faut que j'arrive  à ce qu'il me baise ! Je sors son sexe de ma bouche et je me redresse. Je lui caresse le haut des cuisses. Sa respiration se calme peu à peu.

- Alors, c'était bien ? 


Il se redresse, s'appuie sur un coude et sourit:

- Oui …

- C'est mieux que de se branler ?

- Oh oui …

- Tu sais, j'aimerais bien te revoir … pour recommencer … pour te sucer … si tu as envie, c'est quand tu veux, je te suce quand tu veux … mais surtout, j'aimerais bien que tu me baises … 


Il hoche encore la tête et s'assoit. Je me relève. Il récupère ses vêtements et se rhabille.


- Dites … mon patron … vous lui direz rien, hein …

- Alors, tu l'as vu ? Ton patron, tu l'as vu, avec nous ? 


Il me regarde, gêné. Il hoche la tête. Oui, il l'a vu.

- Bon. Je compte sur toi et tes potes pour garder ça pour vous … Vu ? 


Il ne réagit pas. 

- Hé ! Regarde-moi ! Si j'apprends que vous avez parlé … 


Je lui désigne le comptable qui comprend immédiatement. Il brandit son smartphone;

- Vous êtes là-dedans … tous les trois … 


Grégory blêmit. 

- Vous allez pas … montrer …

- Vous vous taisez … on se tait … Vu ?

- Oui, vu …

- Dis-le à tes potes …

- Oui, d'accord.


Il réfléchit un instant, puis, osant à peine de regarder:

- Euh … si je … vous avez dit … pour me revoir … comment …


Yessss ! Il veut savoir comment faire pour me revoir … il vient de se faire soulager, alors il ne doit pas avoir envie de recommencer immédiatement, mais il doit penser à l'avenir … Je pourrais donc encore le sucer … au minimum ! 

- Comment on fait pour se revoir ? C'est ça ?

- Oui.

- Tu as envie qu'on se revoie ?

- Ben … ou… oui …

- Je t'appellerai chez ton patron ..

- Ah … mais … non !

- Ne t'inquiète pas, je serai discret …

- Ah … bon …

- Tu veux qu'on se revoie pour te faire encore sucer ?

- Je … je sais pas … oui … si vous voulez …

- Bien sûr, que je veux … je te l'ai dit … quand tu veux … je te suce quand tu veux …


Il a un large sourire. Je marque un temps et:

- Et peut-être que tu auras aussi envie de me baiser …

- Je … je sais pas … on verra …

- Ça me plairait …

- Ah bon ?

- Oui. Penses-y …

- Bon, je vais y penser … alors … au … au revoir …

- Salut …


Il hésite, finit par me tendre la main. Je la lui serre. Il serre aussi la main du comptable puis reprend son vélo.  Il passe la tête au coin du mur pour vérifier que personne ne le voit depuis la ferme, enfourche sa machine et s'éloigne. 


Le comptable pose une main sur mon épaule et, en secouant la tête:

- Tu perds pas une occasion, toi …

- Tu as vu comme il est monté, ce môme ? Tu voulais pas que je laisse passer ça sans rien faire …

- Ouais … mais c'est un môme … les deux autres aussi, d'ailleurs …

- Oui, ils sont jeunes, mais ils sont majeurs, tous les trois … sexuellement, je veux dire …

- Mouais …


Nous retraversons le chemin en sautillant sur les graviers et nous nous glissons entre les barreaux du portail.


- Alors … c'était qui ?


Notre jeunot a surgi de je ne sais où. Il a remis son bermuda et enfilé sa chemise sans la boutonner.

Le comptable le dévisage et d'un ton méprisant:

- Tu t'es barré … t'avais qu'à venir voir …


Le soleil tape maintenant vraiment très fort. Il doit être dans les deux heures ou deux heures et demie. Je ramasse au passage mon flacon de lubrifiant abandonné tout à l'heure au pied du portail, et je me dirige vers l'ombre des hangars, les deux autres à ma suite. Le jeunot insiste:

- C'était qui, alors …

- C'était trois gamins …

- Ah bon ? Et alors … qu'est-ce qu'ils ont vu ?

- Qu'est-ce qu'ils ont vu … tout … ils ont tout vu …

- Ah bon ? Merde …

- Ne t'inquiètes pas … t'as pas à t'en faire …

- Ah bon ? Pourquoi ?


Le comptable me regarde en souriant.

- Parce que  … ils ne diront rien …

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Ah bon ? Ah bon ? T'as pas autre chose à dire ? …


Le comptable commence  s'énerver. L'autre me regarde, interrogatif. Alors je lui explique:

- Ils ne diront rien parce que … on leur a offert un spectacle privé … j'ai sucé … je ne sais même pas comment tu t'appelles …


D'un coup de menton, je désigne le comptable.

- Guy … je m'appelle Guy …

- Guy … j'ai sucé Guy devant eux … et après, il m'a baisé …

- Devant eux ?

- Ouais … et ils se sont branlés en nous matant ….

- Ho ! Tu déconnes …

- Non, demande à Guy …


J'ai encore les fesses qui glissent l'une sur l'autre, lubrifiées par la semence de Guy. Ça n'est pas désagréable, mais comme la tournante peut redémarrer à tout moment, il faudrait bien que j'aie le cul propre. Je prends une fois de plus la direction du tuyau d'arrosage, les deux autres sur les talons. 


Guy:

- Ouais … il m'a sucé et je l'ai pris en levrette devant les trois mecs … En fait, y'en a deux qui se sont branlés … mais le troisième …


Il laisse sa phrase en suspens. Le jeunot:

- Ben quoi … qu'est-ce qu'il a fait, le troisième ?

- Il l'a sucé …

- Ah bon ? 


Le jeunot me rattrape et me demande: 

- C'est vrai ? Tu l'as sucé ?Mais … mais t'as dis que c'était des gamins …


Nous voilà au robinet. Je l'ouvre et tout en m'accroupissant pour me rincer le cul:

- Oui … des gamins … c'est une façon de parler … des gamins par rapport à nous … il y en a un qui a dix-huit ans passés, un dix-sept et demi et celui que j'ai sucé, aura dix-huit ans dans quelques jours … 

- Ah bon ?

- Il a raison, Guy, arrête un peu avec tes "ah bon". Je ne l'ai pas forcé, ce môme, il en avait envie …

- C'est jeune quand même, dix-huit …

- Ben, et toi … tu as quel âge ?

- Moi ? Vingt et un …

- T'es aussi un  gamin, alors …


J'ai fini de me laver. Je me relève, le cul et les cuisses mouillées. Avec cette chaleur, ça séchera tout seul. Guy:

- Et tu devineras jamais qui c'est ce môme …

- Ben … non … je sais pas …


Ah merde ! Vaut mieux pas que d'autres sachent que c'était le commis du traiteur, ça pourrait finir par arriver à ses oreilles. Alors je fusille Guy du regard et de la main, je lui fait signe de la fermer:

- Ouais, ben, c'est bon … il n'a pas besoin de savoir … 


Guy semble réaliser qu'il allait faire une bourde. Pour détourner le jeunot de sa curiosité, je poursuis:

- du coup, comme tu t'es sauvé, tout à l'heure et je t'ai pas fini … 


Je m'approche et je plaque une main sur sa braguette:

- Tu as toujours envie ?

- Ben … ouais …

- Fais voir …


Je me colle à lui, je passe ma main gauche sur ses reins et je glisse l'autre dans son bermuda. Sa queue pend tête en bas, décalottée, dans sa jambière, mais je la sens quand même un peu gonflée. 

- Ah oui, on dirait bien que t'as encore envie … dis donc … tu as pourtant déjà joui deux fois, ce matin … tu t'es branlé dans mon string et tu m'as baisé sur le bar … non ?

- Oui …

- Tu veux quoi, maintenant ? Tu veux que je te suce ? Je t'ai pas encore sucé …

- Ben oui, je veux bien que tu me suces, mais pas … pas jusqu'au bout … je voudrais bien encore te baiser …

- Bon … arrive, alors …


Quand même, ils m'étonnent un peu, ces deux là. Le comptable et lui ont déjà tiré leur coup deux fois ce matin, mais ça n'a pas empêché le premier de recommencer il y a un quart d'heure … et qui plus est, de jouir rapidement … et lui, le jeunot, à son tour, il veut … Moi, il m'arrive de jouir deux fois de suite, mais après, je suis bien incapable de me remotiver … et surtout je ne serais pas en mesure de tirer un coup une troisième fois … Cela dit, aujourd'hui, dans cette cour de ferme, les conditions sont quand même particulières: ces mecs ont à leur disposition un cul, une bouche et des mains, dont ils peuvent user sans autre limite que de devoir, parfois, attendre leur tour … et les séances de copulation ont été quasiment ininterrompues depuis le milieu de la matinée … les scènes de fornication permanente auxquelles ils assistent ont de quoi les maintenir en rut, leur suggérer de nouvelles expériences, susciter de nouvelles envies, d'une manière d'autant plus excitante qu'ils savent qu'ils peuvent les assouvir sur le champ  … 


Alors, le jeunot, ça ne m'étonne qu'à moitié, qu'il ait encore envie de me baiser … J'extrais ma main de son bermuda, je le prends par le poignet et je l'entraîne vers "la scène". Je grimpe les cinq marches, l'entraînant à ma suite. Je n'ai pensé venir là que pour le confort du matelas, mais, une fois sur cette estrade, je découvre d'un coup d'œil circulaire tous les autres participants à ce gangbang. Quelques uns dorment ou somnolent encore dans le hangar du foin, mais la plupart sont autour de cette scène, et en contrebas de nous, les uns à table, les autres éparpillés ici ou là … Ils ne prêtent pas attention à nous, mais cette position surélevée et ces types qui nous entourent me rappellent que ce matelas est non seulement un lieu de baise, mais que c'est aussi un lieu de spectacle … un lieu de spectacle qui n'a pas encore vraiment servi … un lieu où je vais me donner en spectacle en me faisant fourrer, unique jouet sexuel de cette bande de mâles, de cette bande d'étalons, unique … femelle dans laquelle ils vont encore introduire leurs sexes, dans laquelle ils vont encore prendre du plaisir et déverser leur semence … A la perspective d'être à nouveau traité comme un simple morceau de barbaque à niquer, à tringler, à fourrer, à baiser, à remplir de sperme, une bouffée de chaleur m'envahit en même temps qu'une espèce de frémissement me parcourt le bas ventre et la prostate. 


Tout de même, je n'en reviens pas d'en être là ! Pas une ombre de culpabilité, non … quelque chose au fond de moi me souffle bien que tout ça n'est pas normal, n'est pas moral, mais cela ne m'atteint pas … quelque chose me parle de débauche, de perversion, de dérèglement, de dépravation … mais au lieu de m'accabler, ça m'excite. Masochisme? Non, aucune souffrance … Humiliation ? Non, ni avilissement ni honte. Soumission ? Pas davantage, ces mecs ne me font que ce que je veux bien qu'ils me fassent. Je me vois même comme le dominant de cette horde, comme la femelle alpha de cette meute … Immoralité ? Sans aucun doute. Lubricité, stupre et luxure ? Certainement ! Impudeur, indécence et même obscénité ? Oui, trois fois oui. 


De plus en plus excité, je monte sur le matelas, je me retourne pour faire face au jeunot resté en haut des  marches, et je m'assois en posant les mains sur sa braguette. Sa queue a encore gonflé, tête en bas, dans son bermuda et tend un peu la toile. Je devine la forme de son gland qui se presse contre l'étoffe. Je palpe fébrilement sa queue à travers le tissu et je la sens se raidir davantage, essayant en vain de se redresser, coincée dans cette jambière. Je lève les yeux vers lui et nos regards se croisent. Dans le sien, je lis l'excitation, l'envie, et comme une avidité bestiale qui lui retrousse convulsivement la lèvre supérieure. Son comportement a changé du tout au tout. Un peu intimidé tout à l'heure quand il m'a accompagné avec Guy jusqu'au portail, carrément apeuré quand je lui ai signalé les voyeurs, maintenant, il fait son mec, il fait son mâle … sa bite et ses glandes ne vont pas tarder à prendre les commandes à la place de son cerveau ...


Il saisit fermement ma tête entre ses mains et tend convulsivement son bassin et sa queue vers moi. Ça m'excite et je pétris fébrilement son membre, maintenant très raide. N'y tenant plus, j'avance la tête et je couvre son sexe de baisers fiévreux accompagnés de petits gémissements. J'ouvre la bouche et je prends entre mes lèvres ce rouleau de chair emmailloté de tissu. Je sens sa chaleur à travers la toile. C'est follement excitant, de jouer avec une bite en érection à travers un vêtement ou une lingerie. Je passe ma langue sur le relief de son gland quand, brusquement, il déboutonne son bermuda en me bousculant le visage, descend son zip, glisse sa main brutalement entre ma bouche et sa queue, et sort son engin … Il l'empoigne fermement et le colle contre mes lèvres:

- Suce-moi, maintenant, saaaaalooope !


J'ouvre la bouche et, tout en enfournant son organe, je repousse sa main pour y substituer la mienne. Oh la la … sa queue, gorgée de sang, est brûlante sur ma langue. Je vais le faire jouir encore une fois. Je commence à le sucer en le masturbant. Il prend ma tête entre ses mains, et, comme mû par un réflexe incontrôlé, il plie légèrement les genoux et se met à osciller du bassin d'avant en arrière pour me baiser la bouche. Je le branle fiévreusement, il grogne, et au bout d'un moment, il écarte ma main:

- Arrête de me branler … suce !


Je pose mes deux mains sur ses fesses et je commence à faire aller et venir ma bouche sur son pieu. Il accompagne mon mouvement du bassin, puis il m'immobilise la tête et se met à son tour à aller et venir. Chaque fois qu'il enfonce sa bite au fond de ma bouche, il m'écrase le nez contre son pubis et je sens ses couilles venir battre contre mon menton. Ses couilles ! Il a déjà joui deux fois, mais pour pendre comme ça, c'est qu'elles sont encore chargées. Je veux son sperme ! Je le veux sur ma langue et dans ma gorge ! Je glisse ma main entre ses cuisses, jusque sous ses boules et je les prends entre mes doigts … Hhhmmmmm … ses couilles … son sperme ! Et lui a l'air de prendre tellement de plaisir à me baiser la bouche que j'ai brusquement envie qu'il jouisse maintenant … sur ma langue … Je m'entends gémir d'envie … Soudain, il repousse ma tête, et:

- Fous-toi sur le dos ! J'vais t'baiser ….


Je reste interdit. Je m'attendais tellement à ce qu'il me remplisse la bouche de sa crème que j'ai un instant de frustration. Et puis je réalise que c'est le ventre qu'il va me remplir. Dans le fond, c'est ce qu'il voulait, me baiser à nouveau … Alors oui, baise-moi, baise-moi ! La main droite serrée sur sa bite, de l'autre, il me pousse en arrière. Je bascule sur le matelas. Me voilà sur le dos. Il ôte son bermuda, enlève sa chemise, et se penche sur moi. Il m'écarte les genoux, me prend par la taille, et d'un même mouvement, il me soulève en m'attirant vers le bord du matelas. Il me saisit les chevilles et relève mes jambes jusqu'à ce que mes genoux se trouvent au-dessus de mes épaules et mes pieds au-dessus de ma tête. Il se penche sur de moi, ses mains sur le matelas de part et d'autre de ma tête, et je sens ses hanches se poser sur l'arrière de mes cuisses … et … un truc chaud et humide se plaque contre ma raie … sa queue ! Il soulève son ventre, se tortille un peu et il pose son engin à plat sur mon périnée. Je sens ses couilles sur ma fleur. Ses couilles … pleines de sperme … qu'il va m'injecter dans le ventre … La lèvre toujours retroussée, les yeux plantés dans les miens, il guette mes réactions:

- J'vais te rentrer dedans, et j'vais t'baiser …

- Oui …


J'ai murmuré. 


- T'aimes ça, hein, te faire baiser …

- Oui …

- T'es … t'es une … t'es vraiment …

- … une salope … je suis une salope … j'aime la bite … mais tais-toi, maintenant, et baise-moi !


En disant ça, j'ai bougé mon cul tant bien que mal sous son ventre, comme pour l'inviter à me pénétrer. Il hésite, glisse une main jusqu'à son ventre, soulève un peu son bassin et je sens son gland glisser de mon périnée jusqu'à mon fourreau … y entrer … un peu … il s'immobilise, ramène sa main à côté de ma tête, replonge se yeux dans les miens … Alors, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, je rejette la tête en arrière:

- Vas-y, baise-moi … BAISE-MOI !


Il entre lentement en moi. Je ferme les yeux, et bouche grande ouverte, j'aspire l'air à grandes goulées:

- Ah ouiiiii !


J'ai encore une queue dans le cul ! J'ai encore un mâle en moi ! Je le sens s'enfoncer dans mes chairs. Je visualise mentalement la progression de son sexe dans mes entrailles, son gland se frayant un chemin en repoussant les parois de mon rectum. Voilà son pubis qui bute contre mon périnée. Il n'ira pas plus loin. J'ouvre les yeux. Il me dévisage, et:

- J'suis au fond …


Oh non, mec, t'es pas au fond ! Ça serait trop beau ! Il est loin, le fond. D'ailleurs il n'y en a pas, de fond. Quatre-vingt centimètres, je me suis déjà fourré … et je n'étais pas encore au fond … Mais je ne peux pas lui dire ça. Alors:

- Oui, t'es au fond … vas-y, baise-moi … fais-toi du bien …


Il commence à aller et venir, lentement. Je glisse mes mains jusque sur ses reins et je le caresse, parfois du bout des doigts, parfois du bout des ongles. Il a l'air d'apprécier. Les yeux et la bouche grand ouverts, il est concentré sur ce qu'il me fait … ou plutôt ce que ressent sa bite dans la tiédeur humide de mon cul. Ma position n'est pas très confortable, mais qu'importe … j'ai un mec en moi, qui est en train de se donner du plaisir, et qui va me … Comme s'il avait lu dans mes pensées, il déglutit bruyamment et:

- J'vais te … j'vais … te faire … 


Silence. Il ferme les yeux et baisse la tête. Il va me faire quoi ? Il va me faire crier ? Il va me faire jouir ?

- Tu vas me faire quoi ?


Il secoue la tête de droite à gauche.

- Allez, dis-moi … tu vas me faire quoi …

- Non, c'est con …

- Si … dis-le moi …


Il hésite, penche la tête vers mon oreille, et dans un murmure:

- J'vais te faire … un petit …


Quoi ? Je suis sûr d'avoir bien entendu, mais c'est tellement … Je n'en reviens pas … Alors je mens:

- Tu vas me faire quoi ? J'ai pas compris … 

- …

- Répète, j'ai pas compris ce que tu m'as dit … tu vas me faire …

- …


Ma bouche contre son oreille, sur un ton suppliant:

- redis-le moi … tu vas me faire …


Dans un souffle:

- … un petit …


Je suis submergé par une bouffée de … je ne sais même pas de quoi … Que, sous l'effet de l'excitation, mes élucubrations délirantes me fassent me prendre pour une femelle, ce n'est pas un scoop … mais ce mec …  il est très quelconque, physiquement, sexuellement aussi … il est en train de me baiser, non pas parce que j'ai une attirance physique pour lui, mais parce que c'est un mec, un mâle … et qu'il a une bite … un mâle parmi d'autres mâles … et pourtant, en quelques mots murmurés au milieu de cette partie de cul, il vient de toucher quelque chose bien enfoui en moi … bien enfoui, mais hyper sensible … ce mec ne vient pas de me parler de baise, de copulation, il vient de me parler … de reproduction …  Il va me faire un petit ! Pour lui, à cet instant, je ne suis plus un trav, une taffiolle, une viande à bite … pour lui, je suis une femelle qu'il va féconder ! Je suis même une femme … et il va me faire un petit ! J'ai soudain chaud de partout … et ce n'est pas dû au soleil de cette fin d'été !


Je remonte mes bras jusqu'à son torse et je le presse langoureusement contre moi, ma joue contre sa joue. J'approche ma bouche de son oreille et:

- Oh ouiiii … fais-moi un petit …

- J'suis con, hein …


Je lui caresse la nuque et, presque malgré moi, je pose un baiser sur sa joue:

- Non … Oh non, t'es pas con … Ça me fait tellement plaisir que tu aies envie de me faire un petit … Moi aussi, j'ai envie de ça … que tu me fasses un petit …

- C'est vrai ?

- Oui, c'est vrai … je me sens tellement … femelle … Allez, vas-y, fais-le moi, ce petit …


Je lui caresse le dos, les épaules, la nuque … J'attire son visage vers moi et je recommence à l'embrasser, approchant ma bouche de sa bouche. Il a comme un mouvement de résistance, puis finit par se laisser faire … mes lèvres contre ses lèvres … ma langue entre ses lèvres … ma langue contre ses dents … ma langue contre sa langue … Il n'a pas cessé son va et vient, et je le sens … plus raide en moi. Il respire bruyamment par le nez, accélère son mouvement … sa langue participe à notre baiser … le rythme de son va et vient en moi devient irrégulier, son mouvement incontrôlé … ça y est, ce n'est plus sa tête qui pilote, c'est sa bite, c'est son organe reproducteur … il est certainement submergé par des flots d'hormones et dans un instant, ses glandes vont envoyer une cohorte de spermatozoïdes à l'assaut de mes entrailles, à la recherche d'un ovule à assaillir, à investir, à féconder … Allez, venez ! Précipitez-vous, inondez mon rectum, vautrez-vous dans la chaleur de mon cul, fouillez les replis de mes intestins, pénétrez mes muqueuses … fécondez moi …


Brusquement, il détache sa bouche de la mienne et en râlant, presque en criant, il me met un grand coup de boutoir … un autre … un autre encore … il sort à moitié de mon cul … n'y revient qu'avec difficulté … Il jouit  … il me féconde … il me fait un petit ! Je le serre contre moi:

- Ho, doucement … calme-toi … reste au fond …


Il se plaque contre moi, s'immobilise, geint … son bassin est pris de soubresauts qu'il maîtrise à grand peine. Puis ça se calme. Sa respiration s'apaise, je le sens se détendre, se ramollir sur moi … je lui caresse les épaules, la nuque:

- Ça va ?


Il me répond dans un grognement qui doit vouloir dire que ça va.

- Moi aussi, ça va … j'ai beaucoup aimé que tu me fasses un petit … je ne sais même pas comment tu t'appelles …

- Kevin …


Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !


Il me faut quelques secondes avant de réaliser que des applaudissements retentissent. D'abord ceux d'un seul mec. Quand mon cerveau capte ça, je devine que ces applaudissements s'adressent à nous, et qu'un autre mec s'est joint au premier, puis un troisième. Je tourne les yeux et je vois quatre têtes, juste à hauteur du matelas, qui contemplent notre coït. Kevin les découvre à son tour. Il me souffle à l'oreille:

- T'en parles pas aux autres, hein …

- T'inquiète pas … tu m'avais un peu chagriné, ce matin, quand tu t'es masturbé dans mon string … je me suis dit « celui-là, il ne veut pas me baiser » …

- Si, je t'ai baisé sur le bar …

- Oui, tu me l'as dit, mais je ne le savais pas … je ne savais pas qui me baisait sur le bar …

- Ben, maintenant, tu sais …

- Oui … et en plus, ça m'a plu …

- On pourra se revoir ? Que nous deux, je veux dire …

- Pour me faire d'autres petits ?

- Arrête … j'suis con, hein …

- Non, t'es pas con … mais oui, ça me plairait que tu m'en fasses encore, des petits …

- Euh … je pourrais … je pourrais garder ton string ?

- Pour te masturber encore dedans ?

- Par exemple …

- D'accord, mais à une condition …

- Laquelle ?

- Chaque fois que tu te masturbes dedans, tu m'envoies un mail ou tu me téléphones …

- OK … tu me donneras tes coordonnées …

- Oui oui …


Il se dégage de mon étreinte, et s'extrait lentement de moi. Je sens son sexe, déjà un peu ramolli, sortir de mon fourreau en faisant des bruits de bulles. Il se relève avec difficulté, et pendant qu'il récupère ses vêtements et se rhabille, je redescends mes jambes, je pose les pieds sur la paille, et en me tortillant sur le dos, je remonte tant bien que mal vers le milieu du matelas. Puis, à demi allongé, appuyé sur mes coudes, les jambes un peu pliées, je jette un coup d'œil autour de moi. D'autres têtes ont rejoint les premières à côté de la scène. A leurs regards, à leurs sourires, à leurs hochements de tête, ces mecs semblent me dire des choses du genre « ben mon vieux, tu n'arrêtes pas … te voilà encore sur le dos … tu viens encore de te faire couvrir … ». Entre mes genoux, je vois Kevin descendre de la scène, et croiser Hamid dans l'escalier. Ça y est, la sieste est finie ? Ça redémarre ? 


De voir comme ça, entre mes jambes, le beau marocain monter ces quelques marches pour me rejoindre, je réalise l'impudeur, la lubricité de ma position, face à l'escalier, cuisses écartées, attendant le mâle … l'espèce de vague de … sensiblerie qui m'a submergé il y a un instant reflue d'un seul coup et des images m'assaillent !'esprit … je me vois soudainement comme ces putes de bordel, livrées à l'abattage, contraintes de subir chaque jour des saillies par dizaines, véritables réceptacles à bites et à foutre … sauf qu'aujourd'hui, le mâle qui monte l'escalier, certainement pour me baiser, c'est moi qui l'ai voulu … les autres mâles qui commencent à se rassembler au pied de cette scène, c'est aussi moi qui les ai voulus … tous ces autres mâles qui vont rejoindre ce beau mec, ou lui succéder sur ce lit pour me baiser à nouveau, à leur tour … je me sens comme une catin, une putasse, une roulure, un paillasson, une viande à bites … et ça me plaît …


Hamid n'a gardé que sa chemise blanche, ouverte sur son poitrail doré. Dans une main, il tient une des bobines de papier absorbant de Jean-Claude, et dans l'autre mon flacon de lubrifiant. Une fois sur les premiers rouleaux de paille, il marque un temps d'arrêt, me regarde, un large sourire sur les lèvres … un sourire qui veut dire « tu vas  encore y passer … tu vas encore y avoir droit … je vais encore te baiser … ».  Ça m'étonne un peu qu'il vienne me prendre sur scène devant les autres, parce que, ce matin, dans la salle de bain, j'avais eu l'impression que ça le coinçait de faire ça sous les yeux des trois intrus … et là, ça va être devant plus de vingt mecs ... Il faut croire que, depuis ce matin, il a perdu toute pudeur … Je baisse les yeux sur son entrejambe … Hhhmmmm… sa belle bite toute dorée bande déjà un peu, tête en bas entre ses cuisses ! C'est ma fornication avec Kevin, qui l'a excité comme ça … ou la perspective de me baiser ? Les yeux braqués avec gourmandise sur son membre, anticipant sa saillie, je me sens vraiment indécent … lubrique … bestial … 


Il avance, balance le flacon à côté de moi, s'agenouille sur le matelas, s'approche jusque entre mes pieds, déchire une bonne longueur de papier absorbant qu'il chiffonne, et pose le rouleau sur le matelas à côté du lubrifiant. De toute évidence, il a l'intention de m'essuyer le cul, mais je le prends de vitesse … je me redresse, je tends la main vers son sexe, et je l'empoigne. Surpris, il se laisse faire. Je commence à faire aller et venir ma main sur sa verge … hhmmmm, sa bite … si épaisse … si longue … si …

- Qu'est-ce que tu vas me faire, Hamid ?

- Je vais te baiser …

- Hhhmmmm oui ! Et tu vas me baiser comment ?

- A quatre pattes …

- Hhhmmmm ! Et tu vas me … tu vas jouir dans mon cul ?

- T'en as envie ?

- Oui … je peux te sucer un peu, avant ?

- Si tu veux …


Je le masturbe encore un peu et sa queue grossit dans ma main, cherchant à se redresser … Il se laisse faire un moment, puis:

- Bon, allez … soulève un peu ton cul, que je t'essuie …


Je lâche sa queue et je me remets en position. Arc-bouté sur les coudes et les pieds, je soulève mon bassin. Hamid me passe délicatement le papier entre les fesses, insiste sur l'entrée de mon fourreau pour éponger la semence de Kevin. Je ne le quitte pas des yeux … il s'applique … je trouve ça très excitant, de le voir si concentré … il me regarde à son tour, et, avec un petit sourire, remplace le chiffon par ses doigts … hhmmmm … je pose mes fesses sur le matelas et je m'affale complètement, jambes écartées … il s'avance un peu au-dessus de moi, s'appuie d'une main sur le matelas, et, ses yeux dans les miens, il m'enfonce deux ou trois doigts dans le cul … je soulève de nouveau mon bassin à la rencontre de sa main … il m'ouvre, il m'écartèle … ses doigts glissent tout seuls dans mon fourreau, lubrifié par les restes de la crème de Kevin et mon mucus … Ooooooh, ce que c'est boooon ! Il observe mes réactions, satisfait de l'effet qu'il me fait:

- Putain, tu aimes vraiment ça, de te faire … travailler le cul !


Et puis il ôte se doigts !

- Bon … je vais te baiser maintenant … tourne toi …


Je me redresse. Il s'est un peu reculé, agenouillé et assis sur ses talons. Sa bite est dressée, toute raide à la verticale devant son ventre. Je m'assois, puis je me mets à genoux et je me penche vers sa queue. Il me laisse faire, ouvre ses cuisses et tend un peu le ventre à la rencontre de ma bouche. Je prends sa bite entre mes lèvres. Oohh, ce gland, un peu trop petit, mais tellement … Tout en enfonçant son pieu dans ma bouche, je cherche sa main à tâtons … la voilà … je l'attire vers ma tête et je la lui fais poser sur ma nuque … Tandis que je monte et descends mes lèvres sur sa hampe, il me caresse l'arrière du crâne …

- Allez … mets-toi à quatre pattes …


Quand je relève la tête en extrayant lentement son membre, je m'aperçois qu'il y a maintenant une bonne douzaine de types, debout au pied de la scène, qui viennent de contempler la courte fellation que je viens d'administrer à mon beur … et aux mimiques hilares et aux hochements de tête, pouce levé, que m'adressent certains, je vois que ça leur a beaucoup plu …  je me mets en position, le cul tourné vers l'escalier … appuyé des deux mains sur le matelas, j'écarte les genoux et je me cambre, prêt à recevoir cette nouvelle saillie … tournant la tête, je regarde Hamid venir s'installer derrière moi … il ôte sa chemise, s'avance à genoux entre mes chevilles, pose les mains sur mes fesses, me les caresse, me les pétrit … au moment où je m'apprête à détourner la tête, j'aperçois  un mouvement au pied de la scène … deux … non, trois types convergent vers l'escalier et je les entends se faire des politesses en riant … « vas-y … non, après toi … je t'en prie … bon, merci … ». Aaaahh, ils vont se mettre à plusieurs sur moi ! Il y a le premier qui m'a baisé et fécondé en levrette, debout contre une table ce matin, et le type timide, un peu mou et un peu pâle que j'ai presque obligé à me tripoter, dès mon arrivée … celui-ci, je ne me souviens pas qu'il m'ait baisé, mais il doit faire partie de ceux qui m'ont fourré sur le bar … du troisième, masqué par les deux autres, je ne vois que quelques cheveux sur le haut de son crâne, mais je ne le reconnais pas … 


Sur ma gauche, Manoel vient d'approcher un fauteuil en plastique au pied de la scène, et s'installe pour assister au spectacle … le voyant faire, Gilles et un grand type brun aux cheveux mi-longs, que j'ai sucé, à plat ventre sur le bar, font comme lui … assis ou debout, les spectateurs discutent entre eux en riant et commentent, la plupart d'entre eux scrutant alternativement Hamid et moi, observant nos réactions respectives aux préparatifs à ce coït … derrière moi, je sens Hamid m'écarquiller la rondelle … le contact frais et humide du gel lubrifiant contre ma fleur … puis dans mon rectum … ses mains sur mes reins … aaahhh, ça y est, on va s'accoupler … ses mains sur mes hanches … un contact contre ma fleur … c'est son gland … hhmmmm … il me pénètre lentement … juste un peu … au pied de la scène, les mecs ont les yeux rivés sur mon cul … sur la bite d'Hamid qui commence à s'enfoncer en moi … j'ai l'impression que, cette fois, mon beau marocain prend plaisir à faire le spectacle … ça y est les types qui étaient au pied de l'escalier sont là: deux paires de jambes, sur le rouleau de paille à ma gauche, et une autre paire à ma droite … une main d'Hamid glisse depuis ma hanche jusque entre mes omoplates … il appuie pour m'inciter à me pencher … je m'accoude et, cul en l'air, je pose mon front sur le matelas … sa main regagne ma hanche … ses deux mains me pressent les hanches, fermement … je sens sa grosse queue glisser dans mon sphincter lentement, doucement … je la sens m'ouvrir … hhmmmmm … quelle bite !  


Un mouvement, sur le matelas, à ma gauche … je tourne la tête … un de ceux qui sont montés sur la scène vient de s'asseoir … et se rapproche de moi …


Ça y est, le ventre d'Hamid vient de buter contre mes fesses … il va ressortir … il ressort … aussi lentement qu'il est entré … oh la laaa … je me vide ! Son membre coulisse dans ma rondelle … encore … encore … encore … encore … 


Stop !


Il est à deux doigts de sortir complètement … Il marque une pause et .. brusquement, il rentre ! Il m'envoie littéralement sa queue au fond du cul. Son ventre rebondit contre mes fesses, et il repart aussitôt, entamant un pilonnage en règle … à chaque pénétration, il m'attire brutalement contre lui en même temps qu'il lance son bassin en avant, et à chaque extraction, il me repousse vigoureusement, tout en reculant son bassin … bref, il me secoue aussi facilement qu'il ferait aller et venir un sextoy sur sa queue … 


Plafff ! Plafff ! Plafff ! Plafff ! Plafff ! Plafff !


Et soudain, tout en continuant à me secouer, je l'entends demander:

- Bon … qui c'est qui le veut ?


Un moment d'étonnement. Aucun des spectateurs ne s'attendait à ça … pas plus que moi, d'ailleurs … 

Ah, putain … « qui c'est qui le veut ? ». J'adore ça ! Pour eux, je ne suis rien d'autre qu'un sex toy qu'ils se passent quand ils se sont assez amusés avec ... On ne demande pas à un sex toy s'il a envie de changer de bite. 


- Moi, je veux bien …


C'est le type, debout sur ma gauche … en grognant, Hamid me donne encore deux ou trois coups de boutoir moins vigoureux, puis il s'extrait et se relève … Je tourne la tête et je lève les yeux sur celui qui vient de répondre … c'est le premier mec qui m'a baisé ce matin … lui aussi a une bite magnifique … je me souviens aussi de sa belle paire de couilles … Je n'ai pas plus de temps pour le contempler, il est déjà derrière moi. Je ferme les yeux et je me souviens … ce matin, j'avais commencé par le sucer, comme d'autres, à genoux au milieu de la cour, et puis, sous l'effet de l'excitation, il s'était mis à me pilonner la bouche, avant de m'entraîner en urgence contre une table, pour me prendre en levrette … et là, il avait joui en un rien de temps … le premier à avoir joui dans mon cul aujourd'hui … 


Au matelas qui s'écrase sous son poids, je le sens s'installer à son tour entre mes mollets … une main sur mes reins … un morceau de chair toute chaude dans mon anus … sa main qui vient de guider son gland jusqu'à l'entrée de ma caverne m'effleure la fesse avant de se poser sur ma hanche … et il s'enfonce en moi à son tour … lentement … il ressort presque entièrement, tout aussi lentement … et rentre, d'un seul coup … il ressort de nouveau très lentement … et rentre d'un seul coup … il ressort de nouveau très lentement … et rentre d'un seul coup … une autre façon de prendre son plaisir, une autre façon de me baiser, moins saccadée, moins violente … il ressort de nouveau très lentement … je sens parfaitement son sexe glisser dans mon anus, millimètre par millimètre … et je devine la jouissance qui doit être la sienne à sentir son gland frotter ainsi contre la muqueuse tiède et mouillée de mon rectum …


- Hé, mec ! Tu veux pas pousser ta jambe ? On voit rien, avec ta cuisse …


Ça vient d'en bas, sur notre gauche … d'un des types qui sont au pied de la scène. J'ouvre les yeux … Gilles et Manoel sont maintenant debout, un peu derrière moi, au milieu d'autres types … ils ont dû se lever pour contempler notre coït de près. A leurs airs hilares, je suis sûr que ça vient d'un de ces deux-là … d'ailleurs, en s'apercevant que je les regarde, Manoel hausse les épaules et lève les mains, paumes vers le ciel, dans une mimique qui veut clairement dire « ben oui, quoi … on voit rien … ». L'autre, derrière moi, continue imperturbablement … soit il n'a pas entendu, concentré sur ce qu'il me fait … soit il n'a pas l'intention de changer de position … Je me redresse un peu, je me tourne vers lui, je glisse ma main gauche jusqu'à sa cuisse et je l'attire tant bien que mal vers l'avant pour qu'il la soulève un peu. Il arrête son va et vient, se penche vers moi, interrogatif:

- Qu'est-ce que tu fais ?

- Pose ton pied là … de l'autre côté de mon mollet … et soulève ta cuisse … 

- Mais … pourquoi ?

- D'en bas, il ne voient rien … ta cuisse leur masque ta queue qui entre et qui sort de mon cul …


Il les regarde, comme s'il venait de découvrir leur présence.

- Ah OK !


En se cramponnant à mes hanches, il change de position.

- C'est bon, comme ça ?

- Yesss mec !


C'est Manoel qui lui répond, debout, pouce levé, et qui déplace son fauteuil en écartant d'autres spectateurs pour l'installer un peu plus en arrière de notre accouplement. Gilles s'accroupit à côté de lui. De là où ils sont, ils ont maintenant une vue directe, en contre-plongée sur notre coït. Mon baiseur, bien accroché à mes hanches, en équilibre sur son pied gauche et son genou droit, reprend ses va et vient. 

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Vendredi 18 décembre 2015 5 18 /12 /Déc /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


Dans le hangar de paille, plusieurs mecs roupillent. Ils sont couchés sur les rouleaux  étagés comme des gradins jusque sous les bardages du toit. Il y a le gros Thierry, qui a réussi à hisser sa masse sur la première rangée de ballots, et qui ronfle, vautré sur un duvet de campeur qu'il a dégotté je ne sais où. Sur les rouleaux supérieurs, trois autres types sont allongés sur des nappes récupérées sur des tables qu'ils ont débarrassées. Il y a celui qui a des ailes tatouées sur le pubis … c'est quoi, son nom, à lui ? Bof, je ne sais même pas … Au même niveau, le dénommé Gilles, le grand type qui m'a fait l'amour en me roulant des pelles ce matin … il somnole, couché sur le ventre, le bras pendant le long du ballot de paille, les yeux dans le vague. Au-dessus encore, le vidéaste, assis directement sur la paille (ouille, ça doit gratter) et adossé à un rouleau, et qui consulte son smartphone. A côté de lui, j'aperçois un corps allongé sur une nappe qui déborde des rouleaux, mais je ne le reconnais pas … tout en haut, le même type que tout à l'heure, et qui n'a pas bougé …

 

Après le repas, la séance de cul s'est bien calmée … Il faut dire que, comme l'a remarqué l'un d'eux il y a un instant, je les ai déjà tous "épongés", et certains deux fois … vingt-sept avant de passer à table, plus quelques uns que j'ai sucés sous les tables, le gros Thierry qui a voulu que je m'empale sur son gourdin pendant qu'il mangeait, Alexis le traiteur, copain de Jean-Claude, et enfin Jean-Claude lui-même qui a seulement éjaculé contre ma fleur … Et depuis, ils se reposent … en faisant carrément la sieste pour certains, en somnolant ou simplement en discutant autour des tables pour d'autres. Moi, j'ai hâte que cette tournante reprenne, en particulier parce que je les ai décidés à assouvir un autre de mes fantasmes ... la double sodomie. Huit mecs … quatre duos ... vont me faire une double … les uns après les autres !

 

En attendant ça, je viens juste d'essayer de débaucher le plus vieux de la bande, mais il m'a gentiment éconduit. Alors, je jette un coup d'œil autour de nous à la recherche de celui qui voudra bien me laisser m'occuper de sa queue avant la reprise des accouplements. Merde, ils sont près de trente … je vais bien en trouver un disposé à se laisser tripoter ou sucer … 

 

Un mouvement attire mon regard. C'est Gilles … il vient de se tourner sur le côté gauche, le bras droit replié sur le flanc. Tel qu'il est, allongé juste au bord des rouleaux, je vois son torse, son ventre, ses cuisses, ses genoux et son long sexe qui pend mollement. Lui aussi me découvre, assis au pied du hangar. Il se redresse, s'accoude, appuie sa tête sur sa main gauche et me regarde, fixement. Je vois sa main droite glisser lentement vers son ventre. Il saisit sa queue, et commence à se tripoter … toujours en me regardant. Il commence à bander … moi aussi. Alors je fais comme lui … je prends ma queue et je commence à me masturber … Le type dans son fauteuil à côté de moi n'en revient pas. Bouche entrouverte, yeux mi clos, je regarde Gilles en me paluchant. Gilles lâche son sexe un court instant, juste le temps de me faire signe de la main … "Viens !" …

 

Je me lève. En deux enjambées, je suis au pied de la meule. Je m'appuie sur le premier rouleau et d'un bond, je grimpe. J'enjambe le gros Thierry qui ronfle comme un sonneur, et me voilà devant Gilles qui sourit, arrête de se masturber, et attend. Il est juste à la bonne hauteur, le bassin à hauteur de ma poitrine: je n'aurai qu'à me pencher légèrement pour prendre son sexe dans la bouche. Il bande un peu mollement. Je le parcours des yeux, de la tête aux pieds. C'est toi qui m'a fait l'amour ce matin. Je pose une main sur son torse et l'autre sur sa hanche et je le caresse … Son sexe … son long sexe courbe … dans ma main … je fais aller et venir mes doigts, doucement … je le décalotte … je me penche et je le prends entre mes lèvres … Un mouvement, au-dessus de moi, sur ma droite … C'est le vidéaste qui, me voyant faire, vient de se pencher pour braquer son smartphone sur ce début de fellation. 

 

Oooh sa bite ! Sa longue bite qui m'a si bien baisé ce matin ! C'est étonnant, pour un type qui a tiré un coup deux fois il y a peu de temps, mais ses couilles pendent encore pas mal dans ses bourses. Je les entoure de mon index et de mon pouce, et je me mets à les pétrir en tétant doucement son dard … Il durcit dans ma bouche. J'ai très envie de le faire jouir, mais j'ai peur que ça compromette la double sodo qu'il doit me faire tout à l'heure. Je le suce comme ça un moment, puis je le sors de ma bouche et je me contente de donner de grands coups de langue tout au long de sa hampe. Je lui demande:

- Tu veux quoi ?

- Ça … continue … suce moi, c'est bien …

- Tu vas jouir ?

- Je ne sais pas …

- Mais ...

 

Je m'interromps. Le vidéaste qui me filmait en train de sucer Gilles, vient de sauter de son rouleau de paille, et il approche de moi, en évitant tant bien que mal de piétiner le gros Thierry, couché à mes pieds. Je remarque immédiatement qu'il bande. Vraiment belle queue ! Je tends la main vers elle. Il se faufile derrière moi:

- T'occupe pas de moi … continue …

 

"T'occupe pas de moi" … il en a de bonnes ! Il glisse ses pieds entre les miens, ses genoux entre mes genoux et me les fait écarter … Ses intentions sont on ne peut plus claires. Alors j'écarte les pieds, j'écarte les genoux, j'écarte les cuisses … si je n'avais pas les deux mains occupées, je m'écarterais aussi les fesses … et je me cambre. 

 

Et oui, c'était bien ça: une main sur ma hanche, de l'autre, il guide sa queue vers mon fourreau, il me pénètre et vient coller son torse contre mon dos, m'écrasant contre le fourrage … et c'est tout ! Il pose son menton à l'angle de mon épaule et de mon cou, et il ne bouge plus … pas même le plus petit va et vient … 

- Continue, j'tai dit ….

 

Gilles, qui l'a regardé s'installer, me demande:

- Tu allais me dire quelque chose …

- Je ne sais plus …

- Tu me demandais si j'allais jouir …

- Ah oui … si je te suce et que tu jouis … après, tu pourras encore me baiser ?

- Je ne sais pas …

 

Je pose mes lèvres sur ses couilles. Je les embrasse.

- Ah bon ? Tu ne sais pas ?

- Pourquoi ?

- Tu as déjà pris ton pied deux fois, ce matin …

- Mouais …

- Si tu jouis encore maintenant … tu ne pourras plus me baiser, tout à l'heure …

- Peut-être …

 

Je passe ma langue sur ses deux boules:

- Alors, je préfère que tu gardes ce qu'il y a là-dedans pour tout à l'heure …

- Bon … alors suce-moi un peu les couilles …

 

Je ne me fais pas prier. Elles ne sont pas très grosses et je n'ai pas besoin de bailler beaucoup pour en aspirer une dans ma bouche. Toujours accoudé, il pose sa main sur ma tête et me regarde faire. De la langue, je joue à faire bouger son olive à l'intérieur de sa bourse. C'est très agréable … J'ouvre un peu plus la bouche et je parviens à aspirer son autre couille. Entre ma langue et mon palais, j'ai ses deux boules, ses deux glandes qui servent à produire sa crème, à fabriquer ses petites graines, à élaborer son sperme … c'est plus qu'agréable, c'est très excitant. Si seulement, en les faisant incuber comme ça dans la tiédeur humide de ma bouche, je pouvais accélérer leur production de semence … Je les frotte, je les caresse, je les bouge avec ma langue … et sous mes yeux, je vois son sexe grossir, durcir, se tendre. Ooooh, si je n'avais pas une telle envie qu'il puisse me prendre tout à l'heure, comme j'aimerais le faire éjaculer maintenant, sentir ses couilles frémir dans ma bouche, se vider, envoyer son foutre dans son urètre … Il s'écroule complètement sur le dos et repousse ma tête:

- Arrête, maintenant !

 

A regret, je sors ses couilles de ma bouche, et j'appuie ma joue sur sa cuisse. Derrière moi … dans moi … l'autre n'a toujours pas bougé. Je sens tout juste sa présence en moi. Je tends la main vers sa cuisse et je le caresse:

- Tu dors ?

- Non.

- Tu veux me baiser ?

- Non.

- Qu'est-ce que tu veux, alors ?

- Rien … je suis bien comme ça … je suis bien ... au chaud dans ton cul …

- Tu bandes encore ?

 

Pour toute réponse, il décolle son torse de mon dos et bouge son bassin d'avant en arrière … deux ou trois fois. Oh oui, il bande encore ! 

- Baise moi …

 

Il se plaque de nouveau contre moi:

- Non … je t'ai déjà baisé …

- Baise moi encore …

- Non. Tout à l'heure … on te baisera à deux …

 

Oh oui, vous allez me baiser à deux ! Deux bites à la fois dans mon cul … deux étalons qui me fourrent et qui me fécondent … puis deux autres … et encore deux autres … et pour finir, les deux plus grosses bites de l'assemblée … 

 

Je me mets à rêvasser, à anticiper ce qu'ils vont me faire … Après tout, je ne suis pas si mal comme ça, une bite dans mon cul, une autre juste sous mon nez, et ces vingt et quelques étalons autour de moi, qui vont encore me saillir dans pas longtemps … J'ai hâte d'y être. Je les ai déjà tous soulagés, ces vingt neuf étalons ! J'ai beau formuler ça silencieusement dans ma tête, j'ai un peu de mal à réaliser que c'est bien à moi que c'est arrivé ... que c'est bien dans mes chairs que tous ces types ont dégorgé leurs trop-pleins de foutre. Pourtant, pourtant je ne rêve pas … il y a sous ma joue la cuisse dure et chaude d'un mec en chair et en os … et devant mes yeux ses testicules et son sexe, que je viens d'avoir dans la bouche … et il y a ce type, derrière moi, qui m'écrase contre cette balle de fourrage, avec sa queue, raide, plantée au fond de moi …

 

Mais la crudité, l'immoralité, l'inconvenance de cette débauche de sexe, de fornication, d'accouplements contre nature, ne sont rien en regard de l'espèce de sentiment de volupté, de satiété dans lequel je baigne à présent. J'ai mon harem autour de moi … je devrais plutôt dire mon écurie, comme on parle d'une écurie de course ... Quoique ... en réalité, ces mecs ne se sont pas des chevaux de course, mais des étalons ... des étalons reproducteurs ... voilà, c'est ça, vingt neuf étalons réunis ici pour saillir et inséminer une poulinière ... moi ! Et il y a un peu de tout: des pur-sang fins et racés comme Gilles et Manoel, de l'arabe comme Hamid, du cheval de trait puissant comme Sam le tatoué, du gros bourrin comme le gros Thierry ... et tous ... TOUS, m'ont couvert, m'ont sailli, et m'ont injecté leurs gènes, leurs gamètes ...

 

C'est un moment d'apaisement, de calme. Au fond de moi un mélange de plénitude, de satisfaction d'avoir assouvi un fantasme aussi … improbable, et de fierté d'avoir donné du plaisir à autant de mâles. Il y a là vingt neuf bonshommes, vingt neuf mâles plus ou moins bien équipés du bas ventre, mais qui, tous, ont ce qu'il faut entre les jambes pour être en mesure de copuler avec une femelle. D'ailleurs, la plupart, vingt trois, ont dit être mariés ou en couple avec une femme. Certains sont bi, c'est évident, quelques-uns le sont peut-être devenus seulement aujourd'hui, et il y a peut-être aussi des gays parmi les autres… mais ils sont tous actifs, c'est-à-dire que tous tiennent le rôle de l'homme. Et bien, ce qui alimente aussi ma satisfaction et ma fierté, c'est que tous ces types, qui pourraient être en train de copuler avec leur femme ou leur compagne, pour certains avec leur mec, pour d'autres avec une pute ou une salope de rencontre, tous ces types sont ici pour s'accoupler avec moi, pour forniquer, pour se partager mon cul, pour me baiser, moi … et pour me féconder !

 

Quelques uns dorment, d'autres somnolent, certains se reposent, bavardent, fument ou sirotent du vin ou du "fort" … tous refont leurs forces, rechargent leurs batteries, non pas pour rentrer chez eux et honorer leur épouse ou leur maîtresse, mais pour me grimper moi, à nouveau, pour me couvrir, pour me chevaucher, me troncher, me niquer, me tringler … et ça tombe bien, parce que la furieuse envie de bites qui m'a amené ici n'est toujours pas apaisée …

 

- Dis … tu veux pas venir ? Je voudrais bien … encore … encore te baiser

 

Ah putain … ouiiiii ! Oui, je veux bien venir … oui, oui moi aussi j'ai envie que tu me baises ! 

Je ne sais pas qui, je ne l'ai même pas entendu arriver. Il est derrière moi … derrière nous (j'ai toujours le vidéaste avec sa queue plantée dans mon cul) … il est derrière nous, un peu sur ma gauche. Je décolle ma joue de la cuisse de Gilles, je me redresse et je tourne la tête. C'est "le comptable" … le mec à la tête de comptable … celui qui a pris tant de plaisir à me filmer avec son smartphone pendant que je le suçais, tout en me faisant enculer par l'ours … par Manoel. 

 

 

Je caresse la cuisse de l'autre vidéaste, toujours planté en moi et qui ne fait pas mine de bouger:

- Allez, pousse-toi … lui, il veut bien me baiser ...

 

Il se décolle de moi, lentement, et je sens son sexe, toujours aussi raide, sortir de mon fourreau. Je m'écarte du rouleau de fourrage contre lequel il m'avait coincé et je me retourne. Le comptable réalise que l'autre était en moi et s'excuse:

- Je m'excuse, hein … tu bougeais pas … alors j'ai cru … je savais pas …

- T'excuse pas … j'étais pas en train de le baiser … j'avais seulement mis ma queue au chaud dans son cul …

- Ah bon …

 

J'empoigne la queue qui vient de s'extraire de moi, toute chaude et gluante de mon fluide anal, et je lui applique deux ou trois va et vient:

- A tout à l'heure, toi …

 

M'adressant au comptable:

- On y va ?

 

Nous enjambons le gros Thierry, qui continue de ronfler, et nous descendons des rouleaux de fourrage. J'ajuste mon porte-jarretelles, je lisse mes bas et je demande:

- On va où ?

 

De la main, il désigne le fond de la cour. 

- On va par là.

 

Il se met en route et récupère au passage mon flacon de lubrifiant qui traînait sur le coin d'une table. "... par là … " Ça me surprend un peu, parce qu'il n'y a rien par là … la pelouse … il veut peut-être me prendre sur la pelouse … et au-delà, il n'y a que la barrière métallique qui ferme la cour … Tout en lui emboîtant le pas, je jette un coup d'œil vers lui. Il a encore son smartphone à la main. Il bande un peu et sa queue bat d'un côté à l'autre au rythme de ses pas.

- Où vous allez ?

 

C'est le jeunot, celui qui s'est masturbé dans mon string ce matin. En train de se balancer sur sa chaise, il a l'air de s'emmerder ferme et semble à l'affût d'une occupation.

- Là-bas …

- Je peux venir ?

 

Le comptable m'interroge:

- Il peut venir ?

- C'est à toi de voir … pour moi, c'est oui … il peut même participer, si il veut …

- Bon. Amène-toi …

 

Nous voilà partis, le comptable à ma gauche, le jeunot à ma droite. Je tends la main vers le comptable et j'attrape son sexe au vol.

- Tu vas me faire quoi ?

- J'tai dit, je vais te baiser …

- Tu m'as déjà baisé ce matin …

- Oui … sur le bar … et avant, tu m'avais sucé sur le matelas ...

- Ah oui, c'est vrai, je tai sucé ... et tu m'as baisé sur le bar ? Tu as déjà pris ton pied deux fois, alors ...

- Oui …

- Et tu vas pouvoir encore ?

- Tu verras …

 

Nous avons traversé la pelouse jusqu'à la barrière. C'est un portail à deux battants faits de quatre grosses barres cylindriques soudées horizontalement sur des montants verticaux, le tout en acier galvanisé. Il doit faire dans les six ou sept mètres de large sur un mètre cinquante de haut. A la façon dont il braque son smartphone sur moi en marchant, il est sûrement en train de me filmer.

- Mets-toi là …

 

Il me montre la barrière métallique. 

- Appuie-toi dessus …

 

Je pose mes deux mains sur la barre du haut, presque brûlante sous les rayons du soleil.

- Non, sur celle d'en dessous …

 

 Un peu penché en avant, je fais comme il veut.

- Recule un peu les pieds … écarte …

 

Je recule les pieds, j'écarte les jambes, je me cambre … Ça doit lui plaire de me filmer pendant qu'il me donne des ordres et qu'il m'installe pour me prendre. Je sens qu'il parle assez fort pour que son appareil capte ses paroles. Il a changé de ton. Il y a un instant, quand il est venu me chercher, il était réservé, presque timide. Maintenant, je le sens dominateur. Je veux le voir venir se placer derrière moi pour me fourrer. Je le regarde du coin de l'œil. Il a posé le flacon de lubrifiant à ses pieds. Derrière moi, un peu sur ma gauche, les yeux braqués sur son appareil, il me contemple à travers la vitre de son smartphone en se tripotant. 

- J'vais encore te baiser …

- Oui.

 

Je joue le jeu, je lui réponds assez fort pour que son smartphone m'enregistre aussi.

- J't'ai déjà baisé, tout à l'heure …

- Oui, je sais …

- J't'ai baisé sur la table au milieu des apéros …

- Tu m'as baisé en levrette, alors …

- Ouais. Et j't'ai aussi filmé pendant que j'te baisais …

- Et tu vas encore me prendre en levrette ?

- Ouais. 

 

Je tourne mon cul vers lui, je m'empoigne la fesse gauche et je l'écarte:

- Allez, viens … prends-moi … baise-moi … fourre-moi …

- Putain, quelle salope !

 

Il pose son appareil au sol, saisit le lubrifiant et s'approche. Il presse le flacon, s'enduit les doigts et me les fourre dans le cul. La fraîcheur du gel est très agréable. Il s'essuie la main sur mes reins et retourne échanger le tube de gel contre son smartphone. Le voilà derrière moi. L'appareil dans une main, braqué sur mon cul, il guide son sexe jusqu'à ma rondelle. Son gland une fois entré dans mon anus, il pose sa main libre à plat sur mes reins et commence à s'enfoncer lentement. Il doit être en train de filmer en gros plan la progression de sa queue dans mon cul. J'adore ça, être filmé pendant qu'on me baise. C'est très excitant. Alors je me laisse aller à gémir.

- T'aime ça, hein, salope …

- Hhhhhhmmmm ! Tu vas encore jouir dans mon cul, hein …

- Ou… ouais …

- Et lui aussi, là, il va me baiser ?

 

J'ai tourné la tête vers la droite. Le jeunot est campé à cinquante centimètres à côté de nous, les yeux exorbités, il regarde la queue du comptable qui va et vient dans mon cul, et il se masturbe … Le comptable:

- Tu veux qu'il te baise aussi ?

- Oui … et avant, j'ai envie de le sucer, pendant que tu m'encules …

- Tu veux qu'il te suce, pendant que je l'encule ?

- Ouais ouais !

 

Aussitôt, le gamin s'élance vers la barrière, se glisse entre deux barres et vient se placer devant moi, le ventre en avant, la queue à la main. Je pose mes avant bras sur la barre et je me penche vers sa bite. Une mousse d'un blanc éclatant baigne l'ouverture de son prépuce. Je l'essuie d'un coup de langue et je prends son gland entre mes lèvres. Il aspire l'air bruyamment entre ses lèvres arrondies en cul de poule. Salivant abondamment, je glisse ma langue entre son prépuce son gland. Il se décalotte et je le sens qui s'épanouit sur ma langue. Je commence à faire aller et venir ma bouche sur sa verge. Il prend ma tête entre ses mains. Derrière moi, j'entends:

- Oh la vache !

 

Et du coin de l'œil, je vois le smartphone maintenant braqué sur ma fellation. Un bras toujours appuyé sur ce barreau, je glisse mon autre main entre les cuisses du jeunot et je lui palpe les couilles. Elles ne sont pas très grosses, mais elles pendent pas mal. Cette caresse, ajoutée à ma turlute, lui fait beaucoup d'effet:

- Ooooh, doucement … j'ai aussi envie de te fourrer …

- Tu veux le fourrer ? Viens …

 

Le gamin recule son bassin et sort sa queue de ma bouche. Il passe la barrière dans l'autre sens. Le comptable:

- Tiens, prends mon smartphone, recule un peu et filme moi … tu le baiseras après …

 

Je tourne la tête vers lui. Le jeune a reculé de cinq ou six pas pour faire un plan large. L'autre, derrière moi, me prend pas la taille de ses deux mains libres et va et vient lascivement. Puis il se courbe, se colle contre moi, la tête dans mon cou et:

- T'aimes ça, hein, te faire baiser …

- Oui.

- T'aimes ça, la bite, hein …

- Oui.

- Dis-le à la caméra … t'aimes la bite, hein ?

- Oui, j'aime la bite …

- T'aimes te faire prendre par les deux bouts …

- Oui, j'aime ça …

- Et t'aimes te faire prendre par plusieurs mecs en même temps …

- Oui … j'aime ça …

- Tu t'es fait baiser par combien de mecs, aujourd'hui ?

- Vingt neuf … Je me suis fait baiser par vingt-neuf mecs …

- Vingt neuf ?

- Oui … 

- Ah, la salope ! Bon allez, on change … viens, toi … tu vas prendre ma place … donne moi mon smartphone, mais continue de filmer, qu'on voit bien qu'on l'encule chacun notre tour …

 

Il se redresse et sort de mon cul. Le jeunot approche, lui tend son appareil et vient se placer derrière moi. Pendant qu'il plaque son gland contre ma fleur, je me redresse un peu, et là … 

 

là …

 

… au-dessus du mur de pierres bordant le chemin qui longe cette barrière … il y a trois têtes ! Ou plutôt, le haut de trois têtes … des cheveux, quoi … qui bougent … et une main, posée sur le faîte du mur … On nous regarde … ou on nous regardait … il y a trois personnes derrière ce mur, sans doute grimpées sur quelque chose, et qui nous regardent … qui se rincent l'œil. Ce mur-là, lors de ma première visite chez Jean-Claude, j'avais cru qu'il fermait le quatrième côté de la cour de la ferme. En fait, non. Il y a ce chemin empierré entre le mur et la cour. Les trois voyeurs ont dû se baisser quand mes deux baiseurs ont échangé leurs places, mais pas assez … le haut de leurs têtes dépasse encore … Ça me rappelle ma voisine qui m'avait surpris en train de me faire tringler par Gabriel sur ma pelouse … 

 

Sur le coup, en découvrant ces trois têtes au-dessus du mur, mon rythme cardiaque a fait un bond sous l'effet de la surprise …  j'ai baissé la tête en pensant « merde, on va me reconnaître », et aussitôt, je réalise que c'est con … je m'en fous … et puis, dans le fond, ça me plaît plutôt, que des voyeurs nous matent…

 

J'ai un peu oublié le jeunot qui s'est installé, et qui a commencé à aller et venir dans mon fourreau, les mains sur mes reins. Qu'est-ce que je fais, je me tais et je laisse les voyeurs mater ? C'est excitant. Et puis, les deux, là, si je leur dis ce que j'ai vu, ils vont peut-être prendre leurs jambes à leur cou ... Je décide de me taire … pour le moment … Le comptable filme, le jeunot m'encule. Tout à cette séance de cul, ils n'ont rien vu. Je veux vérifier si on nous regarde encore. Je ferme les yeux presque complètement, et je relève lentement la tête. Entre mes paupières presque fermées, je distingue maintenant trois paires d'yeux, au ras du mur, sous trois tignasses coiffées en crêtes. Ça doit être des jeunes ! Le mur est à une dizaine de mètres de nous, mais j'ai bien l'impression que j'entends des chuchotements et des ricanements … Hhmmmmm, très bien ! Regardez … je ne sais pas qui vous êtes, mais j'espère que le spectacle vous plaît, que ça vous excite … Moi, ça m'excite … mais je crois que ça m'exciterait encore plus si vous regardiez franchement, sans vous cacher … Je tourne le truc dans ma tête … comment faire pour que les deux autres continuent de me baiser devant ces voyeurs ? Alors, je me lance à voix basse:

- Hé, les mecs, vous avez déjà baisé en public ?

- Quoi ?

- Est-ce que vous avez déjà baisé quelqu'un en public ?

 

Le comptable:

- Ben oui … toi, ce matin …

- Non, pas comme ça … baisé devant des voyeurs … devant du public …

- Non … et toi ?

- Plus ou moins … 

 

M'adressant au jeune:

- et toi ?

- Moi … non 

- Ça vous dirait ?

- Quoi …

- … de le faire … de me baiser devant des spectateurs …

 

Le comptable, sur un ton bravache …

- Moi ? Pas de problème …

 

Le jeunot:

- Je sais pas … ça dépend …

 

Le comptable:

- Pourquoi tu demandes ça ? Tu voudrais aller faire ça sur la place du village ?

- Heemmm ! Pas besoin … des voyeurs … il y en a déjà … ici… on nous regarde …

- Quoi ? Où ça ?

 

Evidemment, il se met aussitôt à chercher, et il a tout juste le temps de voir disparaître les trois têtes derrière le mur …

- Oh putain ! C'est qui, ça ?

 

Le jeunot, affolé, sort de mon cul instantanément et je le sens, derrière moi, prêt à détaler …

- Où ça ? J'ai rien vu … je me barre …

 

J'essaie de le calmer:

- Attends … de toute façon, c'est trop tard, ils nous ont vus … et depuis un moment, à mon avis …

- Ouais, mais j'veux pas … j'ai pas envie … c'est qui, ces mecs … ils sont où ?

 

Je me redresse complètement et, haussant la voix:

- C'est bon, les mecs ! Vous êtes grillés. Sortez de là !

- Ils sont où ?

- Derrière le mur, juste en face …

 

A mon avis, ils sont coincés. A notre droite, là où le chemin se termine en impasse, le mur en question est effondré … à l'autre bout, sur la gauche, il se termine brusquement. Ils ont dû se glisser derrière sans qu'on les remarque, occupés que nous étions autour des tables et ailleurs. Mais, maintenant qu'on les a repérés, ils ne peuvent sortir de derrière ce mur que par un bout ou l'autre, et on ne peut pas les manquer. Ils ont dû m'entendre, mais ils ne bougent pas. 

- J'y vais !

 

Je me glisse entre les barres métalliques et j'ai le temps d'apercevoir le jeunot, les mains sur le bas ventre en guise de cache-sexe, filer en direction du hangar le plus proche … le comptable passe la barrière à ma suite. Pieds nus sur le gravier, je regarde à droite et gauche. A droite, c'est un cul-de-sac fermé par un énorme roncier. A gauche, le chemin fait un coude pour longer d'un côté les murailles et les hangars de la ferme de Jean-Claude, et de l'autre un mur aveugle. Ça doit être l'arrière d'un ancien bâtiment agricole dont la façade donne sur la place du village. De ce côté, ce mur nous masque à la vue des habitants. Je me souviens que Jean-Claude m'a dit que ce chemin privé lui appartient. Nous le traversons en sautillant, pieds nus sur les graviers. Le comptable n'a pas l'air plus gêné que moi de se balader à poil, la queue en bannière. Nous voilà sur l'herbe de l'autre côté du chemin, et à l'angle du mur. 

 

Ils sont trois, en effet. C'est des gamins … des ados. Ils sont grands, presque aussi grands que moi, un peu frêles, et ils ont des têtes de gamins, avec leurs espèces de crêtes luisantes de gel et leurs tempes presque rasées. Il y a aussi trois vélos appuyés contre le mur, et de toute évidence, ils étaient montés sur leurs selles ou sur leurs cadres pour mater par-dessus le faîte. Ils sont estomaqués de nous voir débouler devant eux, à poil … enfin, moi, avec mon porte-jarretelles et mes bas, je ne suis pas exactement à poil. Alignés, chacun agrippé au guidon de son vélo, prêts à filer ... mais nous leur barrons leur seul passage qui leur permettrait de s'enfuir. Ils baissent le nez pour ne pas affronter nos regards … ou nos nudités, et se jettent des coups d'œil en ricanant. Je demande:

- Alors, les jeunes … on mate ?

 

Alors que les deux les plus proches de nous semblent pétrifiés, le troisième enfourche son vélo et lance:

- Bon ... on se barre, les mecs ...

 

J'interviens:

- Tsss tsss tsss ... minute ! On va pas vous bouffer ...

 

Ils sont désemparés, se demandent ce qui va leur arriver.

- Ça vous a plu, ce que vous avez vu ?

 

Ils se regardent par en-dessous, ricanent encore … Il y en a un, apparemment plus jeune que les deux autres, qui tremble … Et le plus grand, celui qui a enfourché son vélo et qui semble diriger le trio … il a beau baisser le nez, je le reconnais … Tout à l'heure, je ne l'ai vu que de loin, mais c'est sûr … c'est le commis du traiteur ! Et là, je réalise qu'ayant dû emprunter un chemin à la fois notoirement privé et en impasse, ce mec et les deux autres ne sont pas arrivés là par hasard. Et pour avoir choisi comme poste d'observation discret le seul endroit d'où ils pouvaient voir toute la cour de la ferme, il fallait non seulement qu'ils connaissent la topographie des lieux mais qu'ils aient su, ou deviné, ce qui s'y passait. C'est clair, ce matin, en livrant les victuailles avec son patron, le commis a vu ! Alexis l'a empêché de venir avec lui jusqu'aux tables où j'étais en train de me faire saillir, il l'a obligé à rester dans la camionnette, mais ce môme a compris, de loin et très rapidement, qu'il se passait quelque chose d'intéressant dans cette cour de ferme. Il n'a dû avoir qu'une idée en tête, venir vérifier … et il a amené des copains.

- Je te reconnais, toi … tu es le commis d'Alexis …

 

Il ne ricane plus, baisse encore le nez. Je sens qu'il panique. 

- Vous allez pas lui dire … 

 

Ce que je me demande, surtout, c'est s'il a vu son patron à poil parmi nous … et le reste …

- Regarde moi. Vous êtes là depuis longtemps ?

- Oh non, m'sieur !

 

Mouais ! 

- Vous avez vu quoi … à part nous trois, là, à l'instant …

 

Ils se regardent, muets. Je me doute qu'ils ne savent pas quoi dire … ou comment le dire … Je m'adresse au commis. C'est lui qui a entraîné les deux autres …

- Tu m'as vu sur les balles de pailles, avec un type collé contre moi ? Juste avant qu'on vienne à ce portail     …

- Oui, m'sieur …

 

Je préfère ne pas lui demander s'il m'a vu ressortir du hangar avec son patron. Alors j'élude.

- Et avant, tu m'as vu m'asseoir sur les genoux du gros ?

- Oui, m'sieur … et … et sur l'autre aussi, avant …

- Le type tatoué, tu veux dire ?

- Celui … le crâne rasé, m'sieur …

 

Je me penche à l'extrémité du mur pour jeter un coup d'œil en direction de la rangée de tables. C'est loin, mais on voit clairement tout ce qui s'y passe. C'est râpé, il a forcément vu son patron. Si Alexis était sans doute en partie masqué par d'autres convives pendant le repas, il n'a pas pu le manquer quand nous somme ressortis du hangar aux machines …  Bah, c'est leur affaire ! Le comptable est toujours à l'extrémité du mur, comme pour couper la retraite aux trois gamins. Je réalise que, son smartphone dans la main gauche, il est sûrement en train de les filmer discrètement. Je viens me placer face au trio. Et là, je m'aperçois que les deux plus grands ont tous les deux une petite tache humide sur leur bermuda au niveau de la braguette. Je ne sais pas si ils se sont branlés, mais en tout cas, ils ont pas mal mouillé pour que ça traverse leurs caleçons et leur short. Le spectacle a dû pas mal les exciter ! Ils ne savent pas où regarder. Je poursuis:

- Et tu m'as vu entrer sous les tables à quatre pattes ?

- Oui, m'sieur …

- Tu sais ce que j'y faisais ?

 

Il sourit, les yeux baissés.

- Oui, m'sieur …

- Dis-le … ce que je faisais sous les tables … Dis-le …

- …

 

Le comptable:

- Allez, dis-le !

- Vous … vous avez … sucé les … les autres …

 

Il ricane.

- Tu as vu, ou tu as deviné ?

- J'ai deviné … d'ici, on voyait pas …

- Ça te choque ?

- Quoi, m'sieur ?

- Tout ça … ce qu'on fait … ce que les autres me font … ça te choque ?

- Ben … je sais pas …

- Vous savez comment ça s'appelle ?

- Quoi …

- Ce qui se passe … là … dans cette cour …

- Ben … une partouze …

 

Ça me fait rire intérieurement. Naïveté ou manque de vocabulaire ? Je rectifie:

- Disons plutôt un gang bang … ou une tournante, si vous préférez …

 

Le commis:

- Une tournante ? C'est avec … avec une fille, non ? C'est quand plusieurs … plusieurs personnes … des garçons … ils … ils violent une fille ...

- Oui, si tu veux … mais là, il n'y a pas de fille … c'est moi qui fais la fille … et les … les garçons, ils ne me violent pas … je suis d'accord … tu comprends ?

- Euh … ils … ils vous …

- Eux et moi, on fait ce que font normalement un homme et une femme … ou deux hommes … tu comprends ?

- …

- On baise … enfin … ils me baisent …

- Mais … ils vous font … ils vous le font … tous ?

 

Il a insisté sur le "tous". Je réalise que ce qui le surprend ou ce qui le choque, c'est moins la nature homosexuelle de cette "partouze", comme il dit, que le fait que je sois la seule "fille" pour tous ces hommes.

- Oui ... ils me le font tous … ils me baisent tous … Ça te choque ?

-  Ben … je sais pas, m'sieur …

- Tu as quel âge ?

- Dix-huit … bientôt ...

- C'est-à-dire ?

- C'est-à-dire ... quoi ...

- Tu auras dix-huit ans dans combien de temps ?

- La semaine prochaine ...

- Et vous deux, là ..

- Moi, j'ai dix-huit ans …

- Depuis ?

- Depuis trois mois ...

- Et toi ?

- Moi ... dix-sept et demi, m'sieur …

- Vous aviez déjà vu faire ce genre de choses, avant ?

- Oui, mais pas … pas en vrai … et avec des filles …

- Sur Internet ?

- Oui, m'sieur, sur Internet …

- Et vous en pensez quoi ?

- Ben …

- Ça vous fait de l'effet, de voir faire ça ?

 

Les deux plus grands se regardent en ricanant. Je sens que, peu à peu, ils se détendent. J'insiste:

- Ça vous excite ?

 

Ils ne répondent pas, secouent la tête en faisant la moue … non, ça ne les excite pas.

- Ça ne vous excite pas, mais vous avez mouillé … tous les deux, vous avez une tache sur vos shorts …

 

Ils baissent le nez tous les trois pour vérifier. Du coup, devant l'évidence, ils se sentent mal à l'aise. Le commis passe la main sur la tache, comme pour la faire disparaître.

- Elle ne partira pas comme ça … ça va sécher … tu t'appelles comment ?

- Moi ? Grégory …

- Et vous ?

- Pascal …

- Jordan …

- Oui … donc, ça vous excite …

 

Ils se demandent où je veux en venir. 

- Vous avez des copines ?

 

Ils secouent la tête, tous les trois … Pas de copines …

- Vous vous branlez, de temps en temps ?

 

Ma question les sidère.

- Hé, les mecs ! Vous pouvez le dire … vous nous avez vus baiser, tous les deux … tous les trois … vous m'avez vu me faire baiser par plusieurs mecs, en sucer d'autres … hein … vous avez vu tout ça, non ?

- Oui … oui m'sieur …

- Alors, vous pouvez bien nous dire si ça vous arrive de vous branler …

 

Le commis … Grégory:

- Oui, ça m'arrive …

- Moi aussi …

 

Le plus jeune, Jordan, hoche la tête … ça lui arrive aussi …

 

- Et ça vous a excités, de nous voir …

 

Je n'ai pas demandé, j'ai affirmé. Ils baissent le nez. Leur mine est une réponse: oui, ça les a excités … 

 

- Ça vous fait envie ?

 

Je regarde le comptable. Il fronce l'œil, sourit, se demande visiblement où je veux en venir. Il y a un moment de silence gêné. C'est vrai que ma question est ambiguë. Qu'est-ce qui peut leur faire envie, de seulement regarder, ou de le faire aussi ? Les trois jeunes, têtes baissées, se jettent des coups d'œil, ne comprenant pas …

- Ça vous fait envie de nous regarder baiser ici … à côté de vous ?

 

Le comptable:

- Tu déconnes ? On va pas … devant eux …

- Ça fait quoi ? Tu l'as fait devant vingt mecs, ce matin … et tout à l'heure, ces trois-là nous ont regardés … tu le savais pas, mais ils nous regardaient …

- Mouais …

 

Grégory hausse les épaules … il ne sait pas … il ne comprend pas … J'insiste:

- Moi, ça me plaît, que vous ayez regardé … j'aime ça, me faire baiser devant des spectateurs … alors, si ça vous dit, on le fait devant vous … vous avez déjà commencé à regarder, alors, pourquoi pas continuer sans vous cacher derrière ce mur … 

 

Je me tourne vers le comptable:

- Alors, ça te dit ou pas ? Ça te gêne ?

- N… non … ça me gêne pas … 

 

Pas vraiment convaincu, le comptable. J'ai l'impression qu'il a accepté de peur de passer pour un dégonflé. J'insiste:

- Alors, les jeunes … mais vous n'êtes pas obligés … si vous n'avez pas envie de voir ça, vous pouvez partir …

 

Ça bouillonne dans leurs crânes. Ça doit vraiment les tenter de voir ça de près, et en même temps, ça doit leur faire peur. Alors, je prends le comptable par le poignet et je le pousse contre le mur. Je tombe à genoux à ses pieds, dans l'herbe, et je le prends par la taille. Il a débandé … enfin, pas complètement. Un peu surpris, il se laisse faire. Je pose mes lèvres sur sa verge et je la lèche. Puis je saisis sa queue, je la soulève, et je lui lèche les couilles. Ça y est, il raidit. Je prends sa queue dans la bouche et je commence à le pomper. Je pense que, finalement, la situation lui plaît bien. Il se prend au jeu, pose sa main sur ma tête … Je regarde les trois gamins du coin de l'œil. Sidérés … mais ils ne partent pas. La queue du comptable grossit entre ma langue et mon palais. La situation m'excite … j'ai envie de les faire bander, ces trois mômes … j'ai envie de les exciter … de leur donner envie … ça va pas être difficile, ils se sont déjà excités à nous regarder baiser sur cette barrière … mais je voudrais les voir sortir leurs bites et se branler en nous regardant … 

 

Le comptable s'est adossé au mur et il se laisse sucer les yeux mi-clos. Il bande vraiment, maintenant … Je le suce encore un moment, puis je le sors de ma bouche et je me relève. Il ouvre les yeux. Tout en le masturbant machinalement, je me tourne vers les trois gamins.

- Alors, les jeunes … ça vous plaît ? 

 

Muets, immobiles, le regard fixe, ils sont apparemment sous le choc de ce qui vient de se passer sous leurs yeux. J'insiste:

- Ça vous a plu ?

 

Le commis déglutit et secoue la tête. Oui, ça lui a plu. Les deux autres hésitent, puis l'imitent. En tout cas, tous trois semblent beaucoup moins gênés par notre nudité, ils nous regardent franchement, hésitant seulement à poser leur regard directement sur nos ... anatomies. Sur le bas ventre de Grégory, une bosse tout en longueur tend la toile de son bermuda jusqu'à la petite tache humide. Il bande de nouveau. Les deux autres … je ne vois pas, leurs shorts sont trop amples. Je poursuis:

- Bon ... la pipe ça vous plaît … et si il me baise, ça vous dit de nous regarder ?

 

Ils se regardent, interrogatifs.

- Vous n'êtes pas obligés, hein ... vous pouvez partir …

 

Ils n'osent pas répondre … se regardent les uns les autres … mais ils ne bougent pas … Je prends leur silence pour un  assentiment … Ça doit quand même drôlement les chambouler, ces trois jeunes ... se faire offrir ce genre de spectacle en live ... ils ne devaient pas s'attendre à ça en se faufilant derrière ce mur ! Je me tourne vers mon comparse, et tout en le masturbant, je lui demande:

- Tu vas me baiser, maintenant ?

 

Il hoche la tête. Oui, il va me baiser.

- Tu me prends à quatre pattes, ou debout contre le mur ?

- A quatre pattes …

 

Il se décolle du mur, vient se placer derrière moi, et me prend par la taille, attendant que je me mette en position. Sa queue toujours dans la main, je montre le mur.

- On va se mettre comme ça, face au mur … pour qu'ils nous voient bien, nos jeunes amis … Approchez, les jeunes … y'a pas de danger … et puis, vous pouvez poser vos vélos ...

 

Les deux plus âgés se consultent du regard et appuient de nouveau leurs engins contre le mur, aussitôt imités par le troisième. Inutile de préciser que ça me plaît qu'ils restent pour regarder.

- Vous pouvez vous branler, hein … Y'a pas de honte non plus … 

 

Je fais un pas en direction de Grégory. Le comptable me suit, sa queue, raide, toujours dans ma main. Un peu effrayé, le gamin se raidit, mais ne bouge pas. 

- Tu bandes déjà, toi, dans ton bermuda …

 

Il sourit bizarrement, un peu par gêne, un peu par défi, ouvre la bouche, s'apprête à nier … et renonce. J'avance ma main vers son bas ventre, sans le toucher.

- Je peux ?

 

Il baisse les yeux vers ma main. J'insiste.

- Je peux toucher ?

 

Je n'attends pas la réponse. Je palpe. Oui, il bande ... et putain ... ce que j'ai dans la main ... c'est ... Il plante ses yeux dans les miens avec l'air de me dire « oui, je bande et je m'en fous, tu peux toucher ».

- Tu peux la sortir et te branler, pendant qu'il me baise …

 

Je fais demi-tour, et je m'installe à quatre pattes, face au mur, genoux écartés, reins cambrés, croupe offerte. Le comptable s'agenouille entre mes mollets, pose son smartphone dans l'herbe à côté de moi, et m'empoigne la hanche. Je tourne la tête vers les trois jeunes. Ils matent, les yeux écarquillés. L'autre, derrière moi, prend son temps … son gland dans mon anus. Je ferme les yeux, la tête rejetée en arrière, la bouche ouverte. Ah putain, que c'est bon de se faire prendre comme ça, sous les yeux de ces jeunes mecs ! Il s'enfonce tout doucement en moi. Oh ouiiiiiiii ! Ça y est, il est au fond. Il commence à aller et venir, lentement … De ses deux mains, il me caresse fébrilement le dos, les flancs, les reins, les fesses … Je sens que, finalement, la situation l'excite aussi beaucoup. Alors, il va peut-être pouvoir jouir une troisième fois … Je tourne encore les yeux vers les jeunes. Grégory, les yeux braqués sur mon cul, a la main posée à plat sur son bas ventre et presse la grosse bosse de son bermuda. Son copain, à côté de lui a une main dans une poche et doit être en train de se triturer la queue. Le plus jeune, derrière eux, tend le cou pour regarder par-dessus leurs épaules, et je ne vois pas ce qu'il fait de ses mains. J'essaie de capter le regard de l'un ou l'autre. Enfin, Grégory me regarde. Je hoche la tête et, sans émettre le moindre son, j'articule à son intention « branle-toi ».  

 

Il a compris. Il déglutit, hésite un instant, jette un coup d'œil à son voisin ... et déboutonne son bermuda … Oooooh ouiiii, il va sortir sa bite ! Il va se branler ! Je lui souris, je l'encourage du regard. Il descend sa fermeture éclair, plonge sa main dans son caleçon, écarte les pans du bermuda, et sort sa queue ! Oooh la laaaa ! Il est vachement bien monté, ce môme ! Bouche bée, j'écarquille les yeux … Oh, mec, quelle queue ! Un peu étonné, il a quand même compris mon message silencieux. Il baisse le regard vers son sexe, le contemple quelques secondes, relève les yeux vers moi, et souris. Je pense qu'il vient de réaliser qu'il a un sexe qui sort de l'ordinaire. Alors, cramponnant un pan de son bermuda d'une main, il se met à se masturber ouvertement. Son pote Pascal, à côté de lui, a perçu ses mouvements. Il le regarde, étonné de le voir la queue à l'air et, d'un coup, il sort sa main de sa poche, se déboutonne à son tour et déballe aussi sa bite. Il bande aussi, évidemment. Plus fine, plus courte. Allez-y, les mecs, branlez vous !

 

C'est parti ! Leurs deux mains s'activent à toute vitesse. A ce rythme, ils vont se répandre très vite … Derrière moi, l'autre grogne … J'ai l'impression qu'il est au bord de l'éjaculation … En effet, ses va et vient sont de plus en plus saccadés. Brusquement, il plaque son ventre contre mes fesses, s'immobilise et, dans grand "hooooooooooonnnnn!", il jouit . Je regarde les jeunes. Ils ont compris que je suis en train de me faire remplir. Pascal, yeux et bouche grands ouverts éjacule en trois ou quatre jets brefs. Oh putain, il aurait bien voulu me baiser aussi, celui-là ! Grégory a ralenti, mais il ne jouit pas … Derrière eux, le plus jeune s'agite un instant, puis il ferme les yeux et se plie en deux en gémissant. Ces trois mômes qui m'ont regardé me faire baiser … ça m'excite … je bande …

 

Le comptable reprend lentement ses va et vient en gémissant aussi et en déglutissant bruyamment. Il me caresse doucement les fesses. Puis il s'extrait et se relève péniblement … Je reste un instant à quatre pattes, et je me relève à mon tour.

 

Pascal et Jordan ont remballé leurs queues et baissent les yeux, un peu honteux … Grégory est un peu mal à l'aise, maintenant qu'il est le seul du trio encore la bite à la main. Mais il bande toujours. A côté de moi, le comptable a les yeux braqués sur le sexe du gamin. Il vient seulement de le découvrir et il n'en revient pas. Le môme fait mine de remballer aussi son engin.

- Attends !

 

D'une enjambée, je le rejoins et je saisis son poignet. 

- Attends un peu … la range pas … je peux la toucher ?

 

Il cligne des yeux, surpris par ma demande … il ne sait pas quoi faire … Son pote Pascal:

- Bon … on s'en va ? Tu viens, Greg ?

 

Greg ne répond pas. Je sens qu'il hésite. Je me demande si il hésite parce qu'il a envie que je lui touche la bite, ou si il hésite parce qu'il a peur de me contrarier en refusant. Il déglutit et, ses yeux plantés dans les miens:

- Allez-y, les mecs, je vous rejoins …

 

Yesssss !

Ses potes, étonnés, ouvrent de grands yeux. Pourquoi il ne part pas avec eux ? Il y a un instant de silence gêné, pendant lequel ils dévisagent Grégory, puis je vois à sa mimique que Pascal a compris:

- Bon, viens, Jordan. On y va.

 

Ils récupèrent leurs vélos, les enfourchent et filent sur le chemin. 

 

Je me tourne de nouveau vers Grégory. " Allez-y, les mecs, je vous rejoins …". Ça veut dire qu'il reste … et qu'il reste alors que je viens de lui demander si je peux lui toucher la bite. Je plonge mes yeux dans les siens:

- Donc, je peux toucher … 

 

à suivre ...

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 12 novembre 2015 4 12 /11 /Nov /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année. 

 

Ah la laaa, quel pied ! Pour être franc, j'étais loin d'imaginer que cette tournante évoluerait comme ça. C'est vrai, j'espérais qu'elle durerait un bon moment, mais je me disais qu'une fois qu'ils auraient tiré un coup et qu'ils se seraient rempli la panse, soulagés et repus, ces mecs n'auraient plus qu'une idée en tête, rentrer chez eux pour embrasser leur femme … En plus, ça avait démarré vraiment très fort, puisque dix minutes après mon arrivée dans la cour de la ferme, j'étais en train de sucer une queue, et moins de vingt minutes plus tard, un mec s'était déjà soulagé dans mon cul ! Et après, ça n'a pas arrêté, tant et si bien qu'au bout de deux heures, 26 des 28 étalons présents s'étaient déjà vidés soit dans mon cul soit dans ma gorge … Je dois dire que j'ai vécu tout ça dans l'instant, sans me poser de questions, dégustant chacune de ces saillies et ces fellations sans anticiper la suite, espérant seulement que ça durerait le plus longtemps possible …


Après m'être tous passés dessus d'une manière ou d'une autre, leurs urgences apaisées, ces exercices les ayant creusés, mes … mes mâles se sont mis à table … pour manger, je veux dire. Ça a été ma première vraie pause … une vingtaine de minutes, avant que l'un d'eux vienne me chercher pour sucer encore quelques queues sous les tables ! Ça a été l'occasion d'un incident regrettable avec un tordu, mais, comme consolation, presque aussitôt, je me suis retrouvé empalé sur le pieu de Sam, la brute tatouée, devenue presque tendre …  avant de m'asseoir sur le gourdin de Thierry, le gros poussah, qui lui, m'a injecté sa semence pour la deuxième fois … Et surtout, ça a été l'occasion de parler de la suite des réjouissances !


Dès le milieu du repas, je n'avais plus vraiment d'inquiétude sur ce qui m'attendait dans l'après-midi. Bien que les participants aient déjà tous tiré un coup ce matin, à l'exception de Jean-Claude et de son pote Alexis, le traiteur, j'étais rassuré: ils avaient tous l'intention de rester, et cette tournante allait donc se poursuivre … Je suis désormais convaincu que, repus, et pour la plupart un peu pompettes, non seulement ils sont décidés à continuer cet après-midi, mais ils seront tous plus ou moins en mesure de me baiser à nouveau et même de cracher leur sauce une deuxième fois … voire une troisième pour certains ! Et ceux qui ne pourront pas, à défaut de me grimper, seront toujours là simplement en spectateurs. 

Il faut dire que depuis que Philippe m'avait proposé ce gang bang, une idée me trottait dans la tête … une double sodo … me faire saillir par deux mecs en même temps ! Ça ne m'est encore jamais arrivé, et j'en rêve: pris en sandwich entre deux mâles, grimpé, fourré et ramoné par leurs deux queues en même temps … et surtout, des mâles qui jouissent tous les deux dans mon ventre ! Jusque là, j'avais attendu que ça vienne d'eux, en particulier de Philippe. Mais non, personne ne semblait y avoir pensé, pas même lui. Pourtant, ils s'était montré beaucoup plus imaginatif et entreprenant lors de notre rencontre au bord du canal, et même très culotté et vicelard au bon sens du terme. D'ailleurs, je n'y avais pas fait attention jusqu'ici, mais aujourd'hui, ce mec est beaucoup plus … passif … presque timide par moments … bizarre … 

Depuis que j'avais goûté, tour à tour, aux deux énormes bites de Thierry et de Sam, l'idée d'une double sodomie par ces deux-là me travaillait la tête … et pas que la tête ! Bref, si aucun d'eux n'avait eu l'idée ou le courage de me proposer – ou même de m'imposer – une double sodo, je me disais que la perspective de fourrer leur queue dans mon cul en même temps qu'un autre mec les répugnait … d'autant que la plupart ne se connaissaient pas jusqu'à ce matin. Et puis, partager la même salope, fourrer le même cul, faire patauger leur bite dans un fourreau déjà plein du foutre d'autres types … tout ça a contribué à faire tomber d'éventuelles réticences. Il ne restait plus qu'à lancer l'idée de la double sodo.

Voilà, c'est fait. Les deux mâles les mieux membrés de l'assemblée ont accepté de me fourrer ensemble ! Leurs deux énormes bites dans mon cul … toutes les deux ! Je n'osais pas y croire. Et, cerise sur le gâteau, je n'aurai pas droit à cette seule double sodo, mais à quatre autres, avant … au moins quatre autres ! Franchement, je ne m'attendais quand même pas à avoir autant de candidats … dès que j'ai parlé de double sodomie, plusieurs volontaires se sont immédiatement manifestés … plusieurs duos, devrais-je dire … quatre, donc, en plus de Sam et de Thierry ! Alors, maintenant, je sais que ça va être encore ma fête … et pas qu'un peu ! Qu'est-ce que je vais me prendre dans le cul ! J'attends donc avec impatience la reprise des hostilités.


Je viens donc de me relever de sur les cuisses du gros Thierry, et, toujours pas repus de bites, je me demande comment je vais m'occuper en attendant que le gangbang reprenne. Je vais bien trouver une ou deux queues, ne serait ce qu'à tripoter. Je rajuste mon porte-jarretelles et je lisse mes bas pendant que Thierry s'essuie la queue dans une serviette en papier, et je me dirige vers ma place à table. Il règne ici le même joyeux bordel qu'à la fin de n'importe quel repas de fête: plats et bouteilles vides, verres renversés, assiettes sales, convives bavardant, dispersés autour des tables et jusque sous les hangars, certains sirotant un verre de vin, certains fumant une cigarette, un pétard ou un cigare … Des cigares !  Ils ont sorti des cigares ! Je ne peux m'empêcher de me dire qu'en général, on ne sort des cigares que pour les occasions exceptionnelles … Ça ressemble à n'importe quel repas de fête, à ceci près que tous ces mecs sont à poil ! Ou plutôt presque tous ces mecs, puisque quelques uns ont gardé un T-shirt ou une chemise … A quelques mètres de Thierry, ils sont quatre qui ont tiré leurs chaises un peu en retrait des tables et qui discutent en fumant. Ça forme comme un demi cercle. Il y a là Philippe, le petit blond bien monté (le seul à m'avoir baisé avec une capote), l'ours au torse velu et le grand qui m'a roulé des pelles en me faisant l'amour. 

Au passage, l'ours m'arrête en me posant la main sur le bras:
- Cigarette … cigare ?
- Non, merci … 
- Ah, c'est vrai … tu préfères les pipes …

Ils se marrent. Avant que j'aie pu répondre, l'ours poursuis:
- Et même, tu avales la fumée …
- Voilà … ça, par contre, une pipe, je veux bien … si l'un d'entre vous, là, tout de suite …
- Ah, putain ! T'en as jamais assez, hein …

Ils se consultent du regard, secouent la tête:
- Non, pas maintenant … si tu veux qu'on assure, tout à l'heure, pour tes doubles … il faut nous laisser souffler un peu …
- OK. Comme vous voulez …
- Sérieux, hein … avec Gilles, on te la fera, ta double sodo …
- Ah, c'est Gilles, toi ? 
- Oui.
- Toi, tu as déjà joui deux fois, ce matin … tu pourras encore ?
- T'inquiète pas … ça me fait pas peur …
- Bon … merci, alors … Et toi, c'est comment, ton nom ?
- Manoel … avec un o … pas avec un u …
- OK, Manoel …
- Nous pareil, hein … on est OK pour te … pour te le faire à deux …

Philippe ! Du menton, il me désigne, à côté de lui, le petit blond bien monté, celui qui m'a baisé avec une capote ce matin. En signe de remerciement, je me penche et je passe mes doigts sur le ventre puis sur le sexe de Philippe et, m'adressant à son comparse:
- Tu mettras encore une capote ?
Il rit:
- On verra, on verra … 

Je passe mon chemin. Devant moi, debout, un des potes de Philippe, celui qui a des ailes tatouées sur le pubis, la main posée sur l'épaule d'un type à côté de lui, me désigne en se marrant leurs deux sexes:
- Et nous … ça te va ?

Le tatoué aux ailes … avec sa bite longue et fine … C'est le premier que j'ai sucé en avalant, ce matin. Et l'autre, ça y est, je le reconnais: c'est lui qui, le premier, a dégainé son smartphone pour me filmer. Mais à ce moment là, il avait encore son pantalon. Pas mal, ce mec … enfin, sa queue … imberbe et plutôt épaisse. Je prends leurs bites dans les mains. M'adressant au tatoué:
- Toi, je t'ai sucé, ce matin …
- Ouais … je t'ai juté dans la gueule, et t'as avalé …
- Oui … 
- … et je t'ai aussi baisé …
- Ah bon ! Te vexes pas, mais je n'ai pas remarqué. Et … ça va aller ? Je veux dire … tu pourras m'en mettre encore un coup ?
- No problem !

M'adressant à l'autre:
- et toi … tu m'as baisé ?
- Oui … sur le bar … dans les cacahuètes …
- Ah bon ? Je ne savais pas …
- Ben non … tu nous tournais le dos …

Ils rient. Je poursuis:
- Alors ? Vous allez me fourrer tous les deux en même temps ?
- Yes ! Mais avant, moi, je vais peut-être faire comme le gros, là … une petite sieste …
- Ouais, moi aussi …
- Bon … A tout à l'heure, alors … 
- A tout à l'heure …

En m'éloignant, je sens mes fesses glisser l'une contre l'autre, lubrifiées par le sperme de Thierry, qui s'écoule de mon cul. Je contourne la rangée de tables et je retourne me vider et me laver une troisième fois au robinet et au tuyau d'arrosage. Puis je rejoins ma place entre Jean-Claude et son copain Alexis. Le fermier a l'attitude du mec repu et un peu bourré: vautré, un bras replié sur le dossier de sa chaise, les jambes allongées sous la table, il a la paupière lourde et l'œil qui vacille dans son orbite. Entre ses cuisses largement écartées, j'aperçois sa queue. Il ne bande pas vraiment, mais il n'est pas au repos non plus, loin s'en faut. Lui aussi, en cette fin de repas bien arrosé, il est chaud du bas ventre. Il va peut-être se laisser aller … Mais, pour ne pas le braquer, je décide de le laisser tranquille … et même de l'ignorer … dans cet état, il y viendra peut-être tout seul … Je lui tourne délibérément le dos. Alexis me regarde m'asseoir et demande:
- Ça va ?
- Ça va. Et toi ?
- Moi aussi.
- Tu voudras participer ?
- A quoi ?
- Tout à l'heure, on va me faire des doubles sodos … Ça te dit ?
- Des doubles sodos ? C'est … quoi ?
- Des doubles sodomies … pas des seaux où on met de l'eau … ils vont m'enculer deux par deux, quoi …
- Ah oui ! Deux …en même temps ?
- Oui …
- Mais … c'est possible, ça ? Deux … ils vont … comment … je comprends pas … comment vous faites ?

En me tournant vers lui pour répondre à ses questions, j'ai collé involontairement mon genou contre le sien. Il n'a pas réagi. Je pose ma main sur sa cuisse. Il baisse les yeux, regarde ma main, ne bouge pas … me regarde …  regarde derrière moi, sans doute son copain Jean-Claude … me regarde à nouveau. Le voilà amadoué, je crois. Je lui explique:
- Et bien, un mec se couche sur le dos, je viens m'allonger sur lui, aussi sur le dos, et il me fourre sa queue … et puis un deuxième mec vient sur nous … enfin, sur moi … et il me fourre aussi sa queue …
- Ah bon ? Mais … les deux … euh … les deux … ça peut … ça peut rentrer ?

Il me fait rire. Il est vraiment naïf. Je le sens tout gêné de se montrer à la fois aussi curieux et aussi peu au courant de ces choses-là. Je caresse l'intérieur de sa cuisse:
- Oui, ça rentre … Avec des sexes de taille normale … de diamètre normal, je veux dire, ça devrait rentrer sans problème … je me suis déjà introduit des … jouets plus gros que deux sexes … 
- Ah bon ? 
- Oui … ce qu'il y a, c'est que … j'ai demandé à Sam, tu sais, le costaud tatoué de partout, et à Thierry, c'est le gros mec, là-bas … je leur ai demandé de m'enculer tous les deux en même temps …
- Ah bon ? Et alors ?
- Alors ? Tu as vu la taille de leurs bites ?

Machinalement, en le caressant, j'ai glissé ma main jusqu'à son entrejambe et j'effleure ses couilles du bout des doigts. Il regarde ma main, et déglutit. Il réfléchit, puis;
- Oui … le tatoué, oui … j'ai remarqué sa … mais l'autre, non …
- Le gros ? Tu n'as pas remarqué ? A peu près aussi grosse, sa bite …
- Ah bon ? Et vous … et tu crois … tu crois que ça va … rentrer ?
- J'espère. J'en rêve !
- Mais … mais vous avez … enfin, tu as dit DES doubles sodomies …
- Oui … il n'y aura pas qu'eux deux … avant, il va y avoir trois … comment dire … trois duos qui vont me faire ça aussi …
- Trois ?
- Oui … peut-être plus, si d'autres se décident … C'est pour ça que je te demande si ça te dit …
- Oh non ! Non non non ! Je … je fais pas ça …

J'ai son sexe, tiède et mou, dans la main. Il jette un coup d'œil vers son pote Jean-Claude. Je poursuis:
- Tu fais quoi, alors ?
- Moi, c'est … je fais … c'est plus …
- Plus classique ?
- Oui, c'est ça …
- Tu es marié ?
- Non, non …
- Et là, tu voudrais faire quelque chose ?
- Là … tout de suite ?
- Oui … tu as fini de manger, on dirait … 
- Euh, oui, j'ai fini … je … je sais pas …

Il bande un peu et, les doigts délicatement serrés sur sa verge, je commence à les faire aller et venir doucement entre son pubis et son gland:
- Dis moi ce que tu veux… je te fais tout ce que tu veux … 
- Ben … ça … c'est bien …
- Tu veux que je te masturbe ?

Sa queue s'allonge, grossit entre mes doigts. Il déglutit encore. J'insiste:
- Tu préfères pas que je te suce ? Ou tu me baises, si tu veux … je suis clean, je viens de me laver …
- Je … je sais pas …
- Moi, je préférerais te sucer … ou alors que tu me baises …

Je me lève. Il hésite, me regarde, regarde Jean-Claude, comme pour lui demander la permission. Jean-Claude:
- T'as envie, ou t'as pas envie ?
- Oui … j'ai envie …
- Alors vas-y !

Je me penche et je le prends par la main:
- Viens.

Il se lève. Je l'entraîne vers la réserve de fourrage et de paille. Jean-Claude, pour installer le support de la "scène", a prélevé des rouleaux sur les différentes piles entassées sous le hangar, et ça forme maintenant comme des gradins qui s'étagent depuis la rangée la plus proche de la cour jusque sous les bardages du toit. Sur la pile du fond, la plus haute, un type est grimpé, a étalé je ne sais quoi, un plaid ou un duvet, dont le bord pend le long des rouleaux, et il s'est installé pour piquer un roupillon sur la paille, couché sur le ventre. Je ne vois pas qui c'est. Je ne vois de lui que sa nuque, son bras qui pend, et le haut de ses fesses.
- Ici, ça te dit ?

Je montre le premier rouleau de paille à Alexis qui secoue énergiquement la tête: 
- Oh non ! Pas ici … Y'a trop … y'a trop de monde … je pourrais pas …

Il ne s'est pas encore fait à l'idée de faire ça en public. Dommage, ça m'aurait bien plu qu'il s'assoit sur un ballot de paille pour que je le suce ... comme Philippe la semaine dernière … ou alors qu'il me prenne en levrette debout contre un rouleau de fourrage … Dans quel endroit discret l'emmener ? C'est Jean-Claude qui nous souffle la solution … ou plutôt qui nous siffle la solution. De sa place, il nous a suivis du regard, et il a compris la situation, deviné la proposition indécente que je faisais à son pote, et vu celui-ci dire non. Alors, d'un sifflement à peine perceptible, il a attiré notre attention et d'un coup de menton, il nous désigne le hangar voisin, celui des machines. J'ai compris. Alexis aussi …  soulagé, il s'empresse dans cette direction. 

Je me faufile à sa suite le long du tracteur bleu dans lequel Jean-Claude nous avait surpris, Philippe et moi, au bord du canal. Derrière, calé contre le mur du fond du hangar, une de ces remorques qui servent à charrier les balles de paille ou de fourrage. Son plateau est encore couvert de brindilles et une bonne odeur d'herbe sèche se mêle aux relents de gasoil, d'huile et de cambouis des machines. Alexis se retourne et me regarde, interrogatif. Je lui montre le plateau:
- Grimpe là-dessus.

Il prend appui des mains sur le bord de la remorque, s'élance et se retrouve debout sur l'engin. Il se retourne, fléchit les genoux et me tend la main, comme pour m'aider à monter. Qu'est-ce qu'il croit qu'on va faire, là-dessus ?
- Non, non, je ne monte pas … toi, tu t'assieds ici, au bord …

Il hésite pendant deux secondes … balaye du pied quelques brindilles, et s'assoit en jetant un coup d'œil vers l'entrée du hangar. Personne en vue. Le voilà rassuré. Je m'avance et je lui écarte les genoux. Je retrouve son odeur de déodorant. Tremblant, le souffle court, il ne sait pas quoi faire de ses mains. Je caresse l'intérieur de ses cuisses, depuis les genoux en remontant peu à peu vers son entrejambe. Ça a l'air de lui plaire: je vois son sexe gonfler et commencer à se redresser. Je le prends dans une main et je pose mes lèvres sur sa cuisse droite que j'embrasse, également depuis son genou jusqu'à son entrejambe. Ça y est, sa queue est raide dans ma main. Tout en commençant à le masturber, j'enfouis mon nez dans sa toison, à la base de sa verge. Je sors ma langue, je la plaque, à travers ses poils, sur son urètre – tiens, ses poils sont soyeux et ce n'est même pas désagréable – et je commence à la remonter en direction de son gland, encore caché dans son prépuce … un long prépuce, tout blanc … comme toute sa bite et son pubis, d'ailleurs … tout ça ne doit pas voir souvent le soleil ! La langue plaquée sous son gland, les lèvres entrouvertes, je lève les yeux vers lui. Regarde, mec: dans un instant, ton sexe sera dans ma bouche. Tu sens ma langue, chaude et mouillée, posée sous ton gland ? C'est pareil dans ma bouche: chaud et mouillé. Je vais te décalotter avec mes lèvres, avec ma langue. Ton gland, tout nu, va baigner dans cette tiédeur humide et douce. Il va aller et venir depuis mes lèvres jusqu'au fond de ma gorge jusqu'à ce que tu … 

Sans avoir eu besoin de prononcer un mot, je sais qu'il a compris tout ça. Il attend, souffle suspendu, bouche entrouverte, les yeux braqués sur moi. Je penche la tête, et j'enfourne le bout de son sexe. Hhmmmmm ! C'est doux, c'est chaud, c'est vivant … J'ai toujours le même plaisir intense à prendre ça dans ma bouche, simplement à introduire un sexe d'homme entre mes lèvres, entre ma langue et mon palais … un sexe dur ou un sexe mou … décalotté ou caché dans son prépuce … à chaque fois, une boule de chaleur explose dans mon ventre, et aussitôt naît en moi le besoin impérieux de donner du plaisir à ce sexe, de l'amener à la volupté suprême et de sentir jaillir ou s'écouler sur ma langue et dans ma gorge cette liqueur du plaisir et de la vie …

Je tourne ma langue autour de son gland … trois fois, quatre fois … je le sens gonfler encore, tendre son prépuce, commencer à en sortir … il entoure ma tête de ses avant-bras et appuie son torse sur le haut de mon crâne, penche sa tête vers moi … Je serre les lèvres et je descends ma bouche vers la base de sa verge. En s'enfonçant dans ma gorge, son gland se décalotte …. Quand je le sens complètement nu, je remonte … Alexis halète au-dessus de moi:
- Attends … arrête un peu … je … ça va trop vite …

Je m'immobilise et j'attends …

Un bruit, sur ma droite … comme un frôlement. La tête emprisonnée par Alexis, je ne peux pas regarder ce qui se passe … Mais il se redresse et ôte ses bras … Sans sortir sa queue de ma bouche, je regarde du coin de l'œil. Se découpant comme en ombre chinoise sur la tache de soleil qui inonde la cour, je reconnais la silhouette de Jean-Claude qui se glisse vers nous le long de son tracteur. L'index barrant sa bouche, il souffle:
- Chuuuuut !

A l'attention de qui ? Il doit bien se rendre compte qu'Alexis et moi ne pouvons pas ignorer son arrivée ! Alors ce doit être pour que nous ne signalions pas son intrusion aux autres. Le voilà tout près de moi. Ah putain, il vient … il vient faire quoi ? Mon rythme cardiaque s'accélère, un frisson me parcourt … C'est la mâme situation que la semaine dernière, quand il m'a coincé contre une balle de paille pendant que je suçais Philippe. Il veut recommencer, ou cette fois il va enfin me baiser ? Sa main sur ma hanche … sur mes reins … Il est maintenant derrière moi … Alexis, surpris, s'est redressé, s'est penché un peu en arrière et s'appuie des deux mains sur le plateau de la remorque … Je le sens presque inquiet. Il doit se demander ce que son pote vient faire là … Je sens, entre ma langue et mon palais que cette soudaine irruption l'a refroidi: son sexe s'est brusquement dégonflé … Submergé par une vague d'excitation à l'idée de ce qui va m'arriver, coincé entre ces deux mecs, j'entoure de mes bras les fesses d'Alexis, et je reprends ma fellation … vigoureusement.

Jean-Claude a posé ses mains sur ma taille et je m'attends à avoir sous peu sa queue … sa grande queue entre les fesses … Oui, voilà ! Ooooh la laaaa, Jean-Claude ! Il avait l'air pompette, juste avant qu'Alexis et moi, on s'éclipse … alors j'espère qu'il est assez éméché et désinhibé pour enfin se laisser aller à me saillir ! Il se penche un peu, et se colle à moi, qui suis courbé au-dessus des cuisses d'Alexis. Et je sens sa verge plaquée au fond de ma raie … son gland juste à la naissance de mes fesses, presque sur mes reins … et ses boules, ses énormes boules qui frôlent le haut de mes cuisses … Tant bien que mal, j'écarte les jambes pour qu'il s'installe au mieux entre mes cuisses. Je sens qu'Alexis a compris que son pote en a seulement après mon cul. Rassuré, il se détend, et sa queue reprend très rapidement du volume. Ça y est, Jean-Claude entame un va et vient entre mes fesses. Il grogne en soufflant une haleine avinée. Peu importe, amuse-toi, prends ton plaisir, excite-toi … et baise-moi ! 

Je crois que c'est la situation qui achève Alexis: Se faire sucer pendant que son pote me coince en sandwich, c'est trop fort pour lui … Toujours appuyé d'une main derrière lui, sur le plateau de la remorque, il pose son autre main sur ma nuque et se met à haleter, puis à gémir, et enfin à râler … et ça va très vite. Poussant des haaa ! haaaaa ! haaaaaaa … il jouit . Sa queue est secouée d'un seul spasme, et sa semence, très fluide, presque liquide et acide, se répand d'un seul jet dans ma bouche … Il me pétrit délicatement la nuque, puis me lâche, et s'effondre sur le dos au milieu des brins de paille … Je finis de vider et de nettoyer sa queue, et je me redresse un peu, appuyant mes mains sur la remorque, de part et d'autre du ventre d'Alexis. Jean-Claude, ses grosses pognes toujours sur ma taille continue son va et vient … lentement … Oh, putain, cette queue ! Cette queue ! 

Je me redresse complètement, collant mon dos à son torse. Aussitôt, lâchant ma taille, il m'enserre la poitrine de ses bras et pose son menton au creux de mon épaule. Maintenant, chaque fois qu'il glisse sa grosse massue vers le haut, je sens son gland, chaud et humide, qui vient toucher le milieu de mes reins, tandis que sa grosse paire de couilles frôle le bas de mes fesses … comme pour se glisser aussi entre elles … Je colle ma joue à la sienne et je pose ma main derrière sa nuque … Il grogne sourdement dans mon cou. A la recherche de l'accouplement, je me cambre autant que je peux … Tu le sens, Jean-Claude, comme je tends mon cul vers ta bite ? Je te le donne, mon cul … Prends-le … prends-moi … Baise-moi, Jean-Claude ! Baise-moi !

- Attends … je m'en vais …

C'est Alexis qui essaie de se dégager. En bougeant et en parlant, ce con a rompu le charme torride et voluptueux qui commençait à s'installer entre Jean-Claude et moi. J'ai beau me dire que, l'ayant perçu, il a cru bien faire en cherchant à s'éclipser pour ne pas nous gêner, ça me fout en boule, parce que je sens que, cette fois, j'étais à deux doigts de me faire fourrer par le fermier étalon. Bordel, Alexis, il fallait rester … tu ne nous gênais pas !

Je me décolle du bord de la remorque pour le laisser se relever. Jean-Claude desserre son étreinte, se recule un peu, pose ses mains sur mes épaules et attends que son pote se remette sur ses pieds. On va recommencer, après … hein, Jean-Claude … on va pas s'arrêter là … Je me réinstalle, mains à plat sur la remorque, jambes écartées, reins cambrés, mais, au lieu de se coller à moi, Jean-Claude me plaque une main sur chaque fesse:
- Viens plutôt par là !

Il se recule, et désignant de la main l'extrémité de la remorque, il me fait passer devant lui. Je longe le chargeur avec lequel, ce matin, il a manipulé les ballots de paille, et il me fait signe de continuer. Je contourne la presse à paille et j'arrive dans un coin du hangar où il y a une sorte d'atelier: au-dessus d'un établi, des outils sont soigneusement accrochés au mur, d'autres traînent un peu partout au sol, trois énormes pneus de tracteur, tout neufs, sont empilés dans un coin, des pièces de machines sont disséminées un peu partout …. Tout ça dans une sorte d'espace clos, au milieu des machines et séparé de la cour par la moissonneuse.
- C'est mon atelier … je l'ai planqué derrière la moissonneuse pour qu'on me pique pas des outils … j'les connais pas, ces mecs …

Il a presque l'air de s'excuser.
- Viens là !

Il me montre, dans un coin de son … atelier, un fût métallique … un fût d'huile, si j'en juge par le sigle peint sur son flanc.
- Appuie-toi là-dessus …

C'est on ne peut plus clair. Il veut continuer ici. Je me penche et je m'accoude, agrippant le bord du couvercle à deux mains. Je me demande si ce fût est stable … ou plutôt s'il est plein ou vide, et dans quelle mesure on peut s'appuyer dessus en confiance. J'essaie de le bouger … il est plein. Tant mieux. J'écarte les jambes, je me cambre et je tourne la tête vers mon … étalon. Etalon ? Non, pas étalon … du moins jusqu'ici. Boute-en-train serait plus approprié. En termes d'élevage, le boute-en-train est un mâle chargé de chauffer une femelle en simulant un accouplement pour la rendre réceptive à un autre mâle à qui on la destine. Mais le boute-en-train ne consomme pas …  Il faudrait peut-être que je lui dise ça, pour qu'il se décide à me saillir ! Bon, quoi qu'il en soit, je veux voir sa grosse bite. Je veux le voir approcher sa grosse bite de mon cul et me la carrer entre les fesses.

Ce fût est plus bas que le plateau de la remorque que nous venons de quitter. Il le remarque et va fouiller sous le plateau de son établi. Il en sort une espèce de bloc de mousse carré, épais, et s'approche de moi. J'ai le regard irrésistiblement attiré par sa queue, qui bande encore un peu, et par ses couilles qui pendent entre ses cuisses et qui ballottent d'un côté à l'autre au rythme de ses pas. Il me tend le bloc de mousse:
- Mets ça, si tu veux …

Dense et brûlée par endroits, la mousse beige est maculée d'huile et de cambouis. Je la pose sur le fût et j'appuie un coude dessus. Je le regarde se placer derrière moi. Lui, c'est par mon cul que son regard est captivé. Il plaque une main sur mes reins etempoigne son sexe de l'autre. De ma main libre, je m'empoigne une fesse et je l'écarte, comme une invitation à entrer … Mais non, il n'entre pas … serrant sa queue dans sa grosse pogne, il frotte vigoureusement son gland dans ma raie, puis il plaque sa verge entre mes fesses, pose ses mains sur mes épaules et reprend son mouvement de va et vient. Tout à l'heure, contre la remorque, sa queue était plus dure, plus raide, bien droite. Là, je la sens encore un peu molle … au point qu'elle épouse la courbure de ma raie. Mais peu à peu, ça vient … je la sens se raidir de nouveau au fur et à mesure que grandit son plaisir. De mes épaules, ses mains passent à mes flancs , puis à ma taille, puis à mes hanches …

Vas-y, Jean-Claude, les mains sur les hanches … c'est la meilleure position pour prendre une femelle en levrette … pour lui foutre des grands coups de bite … Je l'entends respirer par la bouche … Tu vas m'enculer, nom de dieu ? Baise-moi ! Je me retiens de lui crier ça … je sais qu'il suffit d'un rien pour le braquer … il faut que je laisse y venir tout seul … Je me redresse, tenant tant bien que mal en équilibre, seulement appuyé du bas ventre et du haut des cuisses contre le fût, et je plaque mes mains contre ses fesses à lui. Le torse de nouveau contre mon dos, il pose de nouveau son menton sur ma clavicule. Il souffle maintenant bruyamment entre ses dents serrées. Son excitation est revenue et continue de monter … Cambré autant que je peux, j'empoigne alors mes deux fesses et je les écarte, je m'ouvre … Entre, Jean-Claude, entre donc … Viens mettre ta queue au chaud dans mon cul  … ton gland enfoui tout au fond de mon ventre … tu verras comme on est bien, là-dedans … c'est chaud, c'est doux, c'est mouillé … tu pourras laisser ta queue y déverser toute cette semence qui pèse si lourd dans tes couilles … soulage-toi, Jean-Claude, soulage-toi !

Oh putain ! Ça y est ! Il a ôté sa main droite de ma hanche, il recule un peu son bassin, sort sa queue de ma raie, et je devine qu'il l'empoigne … son gland glisse entre mes fesses jusqu'à … Oh putain ! Son gland … son gland est contre ma fleur ! Il va me baiser! Je retiens mon souffle, je m'écarte les fesses au maximum, je me campe solidement sur mes pieds dans l'attente de son assaut, je me cambre … Vas-y, entre ! Oh putain ! Il entre ! Son gland … son gland est entré … pas beaucoup … pas profond … juste dans mon sphincter … Il ne bouge plus, souffle maintenant par le nez … Il hésite … je bouge imperceptiblement mon bassin, je détends mon anus … Mais vas-y, bordel ! Entre, enfonce-toi ! 
- Vas-y, Jean-Claude, entre ! Baise-moi ! S'il te plaîîîîît … baise- moi …

Ça a été plus fort que moi, je n'ai pas pu me retenir … J'ai une furieuse envie de projeter mon bassin vers l'arrière pour m'empaler sur son pieu … ce serait facile, puisqu'il est déjà un peu entré … j'empoigne les bords du tonneau et je commence à reculer … tout doucement … il le sent … il hésite, recule aussi … mais pas trop, et laisse le bout de sa bite en moi … juste le bout de sa bite … je bouge encore un peu, comme pour l'avaler: 
- Alleeeez ! Entre complètement… s'il te plaît … tu as commencé à entrer … continue … j'ai envie que tu me baises … s'il te plaîîîîîît … baise-moi …

Il grogne je ne sais quoi … il bouge … il bouge sa queue … il ne l'enfonce pas … j'ai l'impression que … oui, il est en train de … il est en train de remuer le bout de sa queue dans mon anus avec sa main … il frotte son gland de droite et de gauche contre les muscles de mon anus … il le tourne … et il se met à haleter en secouant son gland de plus en plus convulsivement dans mon cul … Il va jouir ! Oh putain ! Entre et jouis dans moi ! Il gémit … un spasme … violent …  à l'entrée de mon anus, et presque aussitôt, une vague brûlante m'inonde le sphincter  … je recule brusquement, espérant ingurgiter sa queue pour qu'il finisse de se vider en moi … mais il recule aussi … plus que moi … sa queue sort … un jet de sperme s'étale sur le haut de ma cuisse droite … il remet aussitôt son gland dans mon anus … pas plus … juste à l'entrée … et une nouvelle vague chaude m'inonde … inutile d'insister, il ne me fécondera pas le ventre … j'attends, immobile … il éjacule encore trois ou quatre fois à l'entrée de mon cul en grognant … seulement à l'entrée de mon cul … et il se retire …

Je me courbe, je pose mon avant-bras gauche sur le bloc de mousse et j'appuie mon front dessus. De l'autre main, je pars explorer ma fleur et le haut de mes cuisses. Ouaaahh ! La dose … la dose qu'il m'a mis ! Je l'entends s'éloigner vers son établi, puis revenir vers moi. Je me redresse. Planté de l'autre côté du fût d'huile, il me tend une bobine orangée, de ce papier absorbant qui sert ordinairement à s'essuyer les mains dans les ateliers:
- Tiens, essuie-toi …

Toujours prévenant … 
- Merci … pourquoi t'as pas voulu me … pourquoi t'as pas voulu me baiser ? T'étais au bord… t'étais presque dedans … il suffisait d'aller un peu plus loin … 
- Cherche pas … T'as essayé, hein ... J'm'en doutais … 
- Mais c'est quoi la différence … entre là où t'a joui et … et au fond de mon cul …
- Cherche pas, j'te dis … c'est pas pareil … c'est tout …
- Bon … peut-être un jour, je comprendrais …
- Ouais … Tu t'essuie pas ?

C'est vrai, j'ai toujours le rouleau de papier dans la main. Je regarde Jean-Claude, je pose le papier sur le fût, à côté du bloc de mousse, je plie un peu les genoux et je plonge ma main vers mon entrejambe … Il me regarde faire, impassible … jusqu'à ce que, ramenant ma main maculée du sperme que j'ai récupéré sur ma cuisse et contre ma rondelle, je me mette à me lécher les doigts avec gourmandise… Les yeux ronds, il secoue la tête d'un air effaré:
- Toi, alors … c'est pas vrai, un mec comme toi …
- J'ai envie que tu me baises … t'as une queue … elle est tellement … je voudrais que tu la mettes dans moi … que tu me …. elle est tellement …
- T'en as pas assez, des queues, avec les autres ?
- Non, j'en ai pas assez … c'est la tienne que je veux … et tes … tes couilles ! J'ai envie que tu te les vides dans moi … 

Il hausse les épaules, prend la bobine de papier et s'essuie le sexe:
- Bon, on y va ?

Il me montre un étroit passage entre le mur du hangar et sa moissonneuse, qui ramène vers la cour. J'arrache vite fait une feuille de papier, je m'essuie rapidement et je m'engage vers la sortie.

- Attendez !

On se retourne tous les deux. C'est Alexis qui débouche d'à côté de la presse à paille. Jean-Claude:
- Qu'est-ce tu fous là ? T'étais pas parti ?
- …
- T'étais où ?
- Là … par là …

Il désigne vaguement le coin du hangar de la remorque. En levant les yeux, je découvre, dépassant au-dessus de la presse à paille et du chargeur, les espèces d'échelles destinées à retenir les balles de fourrage au bout du plateau de la remorque. Jean-Claude les remarque aussi. Un petit sourie aux lèvres, il demande à son pote:
- Tu nous a regardés ?
- Non, non …
- Allez … mens pas … t'étais grimpé sur les échelles de la remorque … tu nous as maté …

Il ne demande pas, il affirme et s'engage le long de la moissonneuse en direction de la cour. L'autre, embarrassé, l'air penaud, ne répond pas … Pendant que nous nous glissons en file indienne derrière Jean-Claude, je demande à Alexis:
- Au fait, je ne t'ai pas demandé … c'était bien ?
- De … de quoi ? De vous regarder ?
- Mais non … quand je t'ai sucé …
- Ah … Ah oui ! Ah oui, c'était bien … très bien … très très bien …

Nous débouchons sur la cour. Quelques convives encore à table nous voient, un peu étonnés, débouler de sous le hangar. Jean-Claude, sans doute encore un peu gêné de se montrer à poil devant tous ces mecs, presse le pas vers sa place à table. Alors que je jette un coup d'œil sur les rouleaux de paille où se sont installés une bonne demie douzaine de type pour la sieste, Alexis me touche le bras:
- Alors ? Jean-Claude … il t'a … je m'excuse … dans l'atelier, il t'a …
- Est-ce qu'il m'a baisé ?
- Oui, c'est ça … je m'excuse …
- Ne t'excuse pas … Non, il ne m'a pas baisé … il a seulement joui juste à l'entrée de mon cul …
- Ah ? Ah bon ? Mais … comment … comment ça se fait ?
- Ben, quand on était contre la remorque, ça a failli … je suis sûr que si tu n'avais pas bougé …
- Ah bon ? Je savais pas … je m'excuse …

Mâchoire pendante, il réfléchit intensément. Puis:
- C'est un copain … je peux lui parler … tu … tu veux que je lui parle ?
- Non, ne t'en mêle pas … il faut qu'il y vienne tout seul …

Il se racle la gorge:
- heeemmmm ! Moi, si tu veux … je … je veux bien te … je veux bien t'enfoncer … t'enfoncer ma bite … pas maintenant, hein … mais une autre fois … et … et prendre mon pied … comme tu dis .. au fond …
- Oui … tu veux bien me baiser, quoi …
- Oui … voilà …
- Ben oui … si tu as envie de me baiser, tu me baiseras … même aujourd'hui, si tu veux …
- Ah non non … pas aujourd'hui … il faudrait … il faudrait qu'on se revoie … 
- Comme tu veux …
- Tu … tu me donnerais ton téléphone ?
- Si tu veux … Si je n'y pense pas, Philippe sait comment me joindre … 
- Moi, c'est pas difficile à me trouver, j'habite ici  … comme Jean-Claude … ma boutique est sur la place … faudra seulement … faudra être discret … je … 
- Mais … tu t'en vas ?
- Ben … faudrait que … j'ai encore plein de travail … c'était pas prévu que je reste … faut ranger, nettoyer … Mais … je reviens après … je viens récupérer la vaisselle, les glacières … tout ça … dans la soirée … c'est prévu comme ça avec Philippe …
- Ah OK … alors, à tout à l'heure … 
- Oui. A plus tard.

Il s'éloigne rapidement. Je le suis et je le vois récupérer ses vêtements … Un peu plus loin, le vétéran, le type à la cinquantaine grisonnante, celui qui m'a pris sur le dos sur le bar, avant le repas. Il est en train de se balancer dans son fauteuil, un pied sur une chaise, un verre de je ne sais quoi à la main.
- Ça va ?
- Ça va, merci.
- Alors ? Tu t'es encore fait baiser … là, derrière la moissonneuse ?
- Pas exactement ...

Il ôte son pied de la chaise et me la montre, pour m'inviter à m'asseoir.
- Comment ça, "pas exactement" ? Tu veux un coup de ça ? C'est du fort … c'est au proprio …

Je m'assois.
- Non, merci, pas de fort … 
- Alors ? Ils t'ont pas baisé, les deux, là ?
- Ben, lui, le traiteur, je l'ai sucé …
- A fond ?
- Oui, à fond ... il a joui …
- Dans ta bouche ?
- Oui.
- Et l'autre, le proprio ?
- Jean-Claude ? Lui, il s'est seulement frotté dans ma raie … 
- Il t'a pas baisé ?
- Non. Il ne veut pas … 
- Ah bon ? Il a pas joui, alors …
- Si, si … il a joui, mais pas en me baisant … il veut pas …
- C'est dommage pour toi … il a une des ces queues !
- Comme tu dis … 
- Mais, dis donc … il n'y avait plus que ces deux-là, que tu n'avais pas … vidé … c'est pas ce que tu disais, à table, avec Philippe ?
- Ah mais oui, tu as raison …

Je réalise que, cette fois, tous les mâles présents ont tiré un coup au moins une fois …
- Autrement dit, maintenant, on a tous tiré un coup … 
- Ben oui …
- Combien on est, en tout, il a dit, Philippe ?
- Vingt neuf …
- Putaiinnn ! Vingt neuf ! T'as épongé vingt neuf mecs ! T'es quand même un drôle de mec … une drôle de salope … 

Il réfléchit, et:
- Et certains ont même tiré un coup … deux fois …
- Oui. Et toi, tu me baiseras encore ? J'ai bien aimé comme tu m'as pris sur la table, ce matin …
- Hé ! MOI, je t'ai baisé deux fois !
- Ah bon ?
- Oui ... une première fois sur la pelouse ... sur le matelas ...
- Ah oui ? Je savais pas ...
- Ben non ... tu t'es pas rendu compte ... enfin, t'as pas vu que c'était moi ...
- Ah, c'est possible ... tu me baiseras encore ?
- On verra … peut-être … sans doute …
- Maintenant ?
- Non … pas maintenant … plus tard … alors, t'aimes ça, te faire prendre comme ça … en voyant le mec qui te fourre ?
- Oui. Regarder un mec … un mâle … qui prend du plaisir avec sa queue dans mon ventre, j'adore ! Et au moment où je le vois jouir, au moment où il se lâche … pour moi, c'est vraiment le pied … 
- Explique …
- Ben oui, à ce moment-là, le mec, c'est plus qu'une queue en train d'envoyer la purée … toutes ses sensations ont convergé vers sa bite et tout le reste de son corps est comme anesthésié … même sa tête … il ne commande plus rien, le mec … c'est sa queue qui pilote … tu sens … ça lui fait crisper ses mains sur tes hanches ou sur tes fesses, mais il ne s'en rend même pas compte … c'est comme un automatisme … et souvent, le mec te donne des coups de boutoir, à ce moment là … mais c'est pareil, c'est seulement un réflexe … c'est sa queue qui veut aller le plus profond possible pour envoyer la sauce le plus loin possible et qui commande à son bassin d'aller et venir comme ça « Bourre-le, bourre-le ! Envoie moi tout au fond de son cul ! » … 

Il se marre:
- C'est imagé, mais t'as sûrement raison, y'a de ça … Et ça te fait jouir, ça ?
- Jouir … je ne dirais pas jouir … j'ai du plaisir physique à sentir un mâle en moi … à sentir sa queue dans mon cul … mais c'est aussi beaucoup dans ma tête que ça se passe …
- C'est-à-dire …
- Je crois que ça me plaît à ce point … parce que, à ce moment-là, au moment où le mâle jouit, au moment où il éjacule … ça va te paraître con, mais je sens que c'est l'instinct qui prend le dessus … 
- L'instinct ?
- Oui … l'instinct animal … tu vois ? L'instinct de reproduction …
- Le mec qui te baise ? C'est pas par instinct de reproduction … il te baise pas pour se reproduire … il va pas te faire un petit …
- Je sais bien … il y a tout ce qui précède … l'envie, l'excitation, les préliminaires, les caresses, la masturbation, la pipe … tout ça … la fornication, quoi … là, le mâle est bien conscient que c'est un autre mec qu'il est en train de baiser, et que c'est uniquement pour le sexe, pour le plaisir, pour l'érotisme, et pas pour me faire un petit … mais je crois qu'au moment où son orgasme se déclenche, ça bascule … je ne sais pas … ça déclenche d'un seul coup en lui un déferlement massif d'hormones qui prennent les commandes … c'est les hormones qui se mettent à diriger ses glandes, ses muscles, et même son cerveau … ça met sa conscience en veilleuse et c'est son animalité qui prend le dessus … oui, une espèce d'instinct de reproduction … indépendant de sa volonté … si tu veux, au moment où ça bascule, ses hormones forcent sa queue et ses couilles à décharger sa semence malgré lui … pour féconder … pour engrosser … sa queue et ses couilles, elles ne savent pas que c'est dans un cul de mec qu'elles déchargent …  sa queue, elle est dans de la viande mouillée et tiède ... comme dans une chatte de femelle ... elle fait pas la différence ... alors quand c'est le moment, elle envoie un message aux couilles « allez-y, envoyez la sauce ! » ... sa tête, au mâle, évidemment, elle le sait, que c'est un cul de mec, mais sa tête, elle est plus là, au moment où il jouit … Enfin, peut-être que je me trompe, mais je le ressens comme ça … 

Le yeux plissés, il me regarde en souriant:
- T'as peut-être raison … Je voyais pas les choses comme ça, mais t'as peut-être raison …
- D'ailleurs moi aussi, cette espèce d'instinct de reproduction, je le ressens …
- Comment ça ?
- Oui … pendant tout le temps qu'un mâle me baise, je me sens … je me sens femelle, si tu veux … mais femelle salope, si tu vois ce que je veux dire … mais quand il jouit, quand il m'injecte son sperme… alors là, en moi aussi, ça bascule … comme si ses spermatozoïdes, en entrant en contact avec mes entrailles ... comme si ça me faisait produire des hormones femelles ... et là, je SUIS une femelle … et le mec EST un mâle … non seulement il m'insémine, mais il me féconde, il m'engrosse … et le voir à ce moment-là ... le voir qui lâche prise, complètement ... c'est … waouhhhh ! je peux pas expliquer … il m'engrosse ... il me fait un petit ... j'adore ça !

Il me dévisage, scotché. Je reprends:
- mais j'aime aussi autrement … je veux dire, me faire prendre autrement … par derrière … debout ou à quatre pattes … j'aime aussi me faire inséminer comme ça … mais dans cette position, le super pied, c'est quand des mecs, plein de mecs, défilent dans mon cul sans que je sache qui c'est … aussi pour me féconder …
- Comme ce matin …
- Oui, comme ce matin …
- Mais dans ce cas, tu sauras pas qui c'est le père …

Il rit. Je me penche vers lui et, prenant son sexe dans la main:
- Alors, t'es sûr ? Pas maintenant ?
- Putain … t'arrêtes pas …  Non, non, pas maintenant.

Je le lâche à regret et je me tourne vers le hangar de paille. 

à suivre ...
Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 13 octobre 2015 2 13 /10 /Oct /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année. 

 

« Tu vas t'en prendre plein le cul ! ». Les potes de Philippe m'avaient prévenu, ce matin, au moment de se mettre en route pour la ferme de Jean-Claude. Et bien, en effet, j'en ai pris plein le cul ! Ça a tout de suite démarré très fort, et au cours de la matinée, je me suis fait passer dessus par je ne sais combien d'entre eux contre une table, sur la pelouse, dans la salle de bain, dans l'écurie … sans compter quelques uns que j'ai sucés ici ou là. Et puis, une fois alcoolisés, ils se sont vraiment lâchés: ils m'ont installé à plat ventre sur le bar et ils m'ont fourré à la chaîne. Ah putain, qu'est-ce j'ai pris ! En plus, complètement désinhibés, ils se sont tous répandus dans mon cul, les uns après les autres, au point que le cocktail de leurs semences me coulait le long des cuisses.

 

Une fois tous soulagés, ils n'ont plus eu qu'une envie … manger. On est donc passés à table, y compris Alexis, le traiteur revenu participer à la fête après avoir raccompagné son commis. Ce début de repas a donné à Philippe l'occasion de faire une sorte de point à mi parcours, et de compter combien d'invités m'ont baisé et combien j'en ai sucé. Et on en est naturellement venus à évoquer mes précédentes expériences.

 

Alors, tout en mangeant et en buvant, je raconte … Ceux qui m'entourent écoutent, posent des questions, veulent des précisions … savoir pourquoi … savoir comment … savoir depuis quand … je sens que mes récits en excitent certains, mais plusieurs sont ouvertement dubitatifs … en particulier quand je leur explique que ça ne fait que quelques mois que j'ai cédé pour la première fois à mes envies de queue. Il est vrai qu'en être déjà à me faire passer dessus par autant de mecs à la fois après seulement quelques mois de pratique peut être difficile à croire.

 

C'est Philippe qui les convainc en racontant quand et comment nous avons fait "connaissance" le long du canal, et la facilité avec laquelle j'ai accepté qu'il organise ce gang bang:

- Je n'étais pas là quand tu t'es fait … violer par des blacks dans un hôtel, ni quand tu t'es fait baiser par des routiers au bord de l'autoroute, donc je peux rien dire là-dessus, mais j'étais là quand tu promenais ton cul au bord du canal tout près d'ici … C'était la première fois qu'on se voyait, mais je peux vous dire que j'ai pas eu besoin de le chauffer beaucoup pour qu'il me touche la bite, qu'il me branle et qu'il me suce … et en public, en plus … et ça, les mecs, c'était il y a seulement deux semaines … le 15 septembre exactement. Pas vrai ?

- Je n'ai pas noté la date, mais c'est à peu près ça … il y a une quinzaine de jours …

- Ah, mais moi, je suis sûr de la date … et il a dit oui tout de suite quand je lui ai parlé d'organiser un gang bang pour son cul … alors, je vois pas pourquoi le reste serait pas vrai …

 

J'interviens:

- Vous n'êtes pas obligés de me croire, et de toute façon, je m'en fous, je n'ai rien à prouver, mais le premier mec que j'ai laissé me toucher et se branler sur mon cul … de mémoire, au plus loin, ça devait être en mai dernier, ou plutôt en juin … d'ailleurs, c'était un collègue à toi, Jean-Claude … il m'avait surpris dans un pré à lui, en pleine séance de photos de cul … 

- Un collègue à moi ? Si ça se trouve je le connais. C'était qui ? C'était où ? 

- Je ne peux pas te le dire … Il est marié  et il tient à la discrétion … En fait, il n'y a que trois ou quatre ans que j'ai commencé à avoir des envies de bite,  et jusque là, je n'avais jamais osé franchir le pas … Justement, on dit qu'il n'y a que le premier pas qui coûte, et bien, ça a été comme si ce premier mec avait débloqué quelque chose en moi, et depuis, je rattrape le temps perdu.

- T'a raison … faut rattraper le temps perdu …

 

Une main s'est posée sur mon épaule. Je me retourne. C'est le blond à la coupe en brosse qui se tient debout derrière moi, celui avec qui j'avais esquissé une lambada et qui m'a fourré contre le lavabo dans la salle de bain de Jean-Claude. J'ai sa queue poilue juste sous les yeux, et il bande à moitié. Vue son élocution approximative, il est évident qu'il est éméché. Il poursuit:

- … amène-toi un peu par là, tu vas en rattraper, du temps perdu …

 

Philippe:

- Laisse-le … il a pas fini de manger …

- T'inquiète … on va lui en donner, à manger …

 

Philippe m'interroge du regard. Je le rassure:

- Laisse … ça va … 

 

Je recule mon siège et je me lève. Là, je réalise que, moi aussi, je suis quelque peu pompette. Il faut dire que, tout à mes récits de cul, j'ai pas mal bu mais je n'ai pas mangé grand chose … et ce n'est pas les huit doses de sperme que j'ai avalées au cours de la matinée qui m'ont rassasié. L'autre me fait signe de le précéder vers l'extrémité de la rangée de tables. Pendant que je parcours les quelques mètres qui m'en séparent, il me colle une main au cul, me glisse son majeur dans la raie et le plaque contre la fleur … Les mecs installés de part et d'autre de cette extrémité de la rangée de tables me regardent arriver, hilares. De toute évidence, ils savent ce qu'il est venu me demander. Le blond:

- Tu passes sous la table et tu nous suces !

 

Evidemment !

Je m'accroupis et je regarde sous les plateaux des tables. Je ne vois qu'un fouillis de genoux, de mollets et de pieds. Les nappes reposent sur les cuisses des convives et masquent tout ce qui se trouve au-dessus. Dommage, ça m'aurait bien plu de voir, sous les tables, un alignement des bites à sucer …

 

Allons-y !

 

Je me glisse sous le premier plateau. Pas très agréable pour mes genoux, mais, au moins, là-dessous, le goudron est lisse, et il n'y a pas le moindre gravillon. Jean-Claude a dû faire le ménage. J'ai un peu de mal à passer  entre les jambes des deux premiers mecs qui se font face, mais sentant qu'ils me gênent, l'un et l'autre reculent leurs fesses au fond de leur siège. Celui de droite, ou celui de gauche ? Allez, celui de droite. En approchant du bout de la table, j'ai remarqué que c'est un des trois qui m'ont baisé dans l'écurie. Je lui écarte les genoux, je me faufile et, pour accéder à sa queue, je soulève un peu le bord de la nappe qui retombe sur ses cuisses. Mais quand j'avance la tête vers son entrejambe, le haut de mon crâne cogne contre le plateau de la table. Je ne pourrai pas le sucer comme ça. Alors:

- Recule un peu, que je sorte ma tête de sous la table …

- Quoi ?

- Je ne peux pas te sucer comme ça … j'ai la tête dans la table … tu t'appelles comment ?

- Franck.

- Recule un peu, Franck …

677 1000

 

Il soulève la nappe et comprend le problème. Il repousse sa chaise en arrière et se réinstalle. Entre son ventre et moi, me masquant toujours son organe, il y a encore le bas de la nappe. Je le soulève un peu et je m'avance. Voilà la bête ! Mes deux bras repliés et appuyés sur ses cuisses, je saisis l'engin. Il bande déjà légèrement. J'ouvre les lèvres et je prends son sexe en bouche … Il réagit:

- Hhhhmmmmmmm … ouiiii !

 

HHhmmmmm ouiiii ! Moi aussi j'adore: à quatre pattes sous cette table, j'ai son sexe, chaud et vivant dans la bouche, et je vais lui donner du plaisir … Pour avoir moi-même participé à nombre de repas copieux et arrosés, je sais dans quelles dispositions, à la fois physiques et mentales, il se trouve à cet instant: rassasié, repu, certainement un peu gris, la tête embrumée, il est comme engourdi de partout, sauf du bas ventre et des cuisses, certainement parcourus de délicieux fourmillements … Pour atteindre la volupté totale, il ne lui manque effectivement que de se faire papouiller la queue jusqu'à la jouissance. Une simple branlette ferait l'affaire, mais dans cet état, une turlute est encore plus agréable … Et ça tombe bien, c'est exactement ce que je vais lui faire.

 

Ce début de fellation le faire bander un peu plus. Il s'installe confortablement, s'allonge un peu en glissant sur sa chaise, ventre en avant … je sens qu'il soulève le bord de la nappe. Il veut me regarder le sucer. Regarde, mec, regarde ! J'aime ça. Je sens, à un nouveau gonflement de sa queue dans ma bouche, que me voir le sucer ajoute à son excitation. Je déguste sa queue comme un esquimau. Je sens qu'il remonte le bord de la nappe sur la table, et j'entends qu'il la coince sous son assiette pour l'empêcher de retomber. Je réalise vite que c'est non seulement pour bien me voir le sucer, mais aussi pour se libérer les mains … il prend mon visage entre ses paumes, délicatement, et accompagne mes mouvements de va et vient sur sa queue:

- Hhhhmmmmm … putain, tu suces bien, ma salope …

 

 

Je lève le regard vers lui. Les yeux exorbités braqués sur moi, mâchoires serrées, lèvres retroussées, il respire bruyamment entre ses dents. Chaque mouvement de mes lèvres et de ma langue sur sa bite lui arrache un rictus. Je me demande s'il va tenir la distance. Avoir déjà tiré un coup tout à l'heure devrait pourtant lui permettre de résister. Mais c'est bien … ça me plaît de lui faire autant d'effet. Pour moi, c'est un plaisir qui s'ajoute aux sensations que me procure son sexe dans ma bouche …

 

Je réalise que, depuis que j'ai découvert la volupté d'une fellation, ma bouche est sans doute devenue ma zone érogène la plus sensible … plus que ma queue … plus de que mon cul ! Avec mon cul, si j'ai du plaisir sensuel à me le faire saillir, paradoxalement, c'est surtout un plaisir cérébral qu'il me procure … Tandis qu'avec ma bouche, c'est beaucoup plus tactile: mes lèvres, ma langue, l'intérieur de mes joues, mon palais même, perçoivent beaucoup plus nettement que mon anus la chaleur d'un sexe, la texture de sa peau, sa consistance, le relief de ses veines et de son urètre, son goût, même, ainsi que la tiédeur et le goût de son sperme quand il éjacule … et le plaisir cérébral est là aussi, puissant, addictif, par l'idée que je suce l'organe sexuel, l'organe reproducteur d'un mâle, pour lui donner du plaisir, et que c'est sa liqueur reproductrice qu'il va répandre sur ma langue, dans ma gorge … 

 

Cette fellation est très érotique, et moi aussi, je bande …  Mais, en plus, autour de nous, il y a les autres qui continuent de manger et de boire, comme si de rien n'était. J'entends, au-dessus de moi, le bruit des couverts dans les plats et les assiettes et celui des verres contre les goulots de bouteilles, mêlés au brouhaha des conversations et des rires … Tout cela compose une sorte d'ambiance sonore somme toute plutôt banale pour un banquet … il est même sans doute assez fréquent qu'à l'occasion d'orgies de ce genre, on rémunère une pute pour soulager les participants … mais, dans cette assemblée de mâles, tous complètement à poil, c'est moi qui suis à quatre pattes sous les tables, et qui ai entrepris de tailler une pipe à tous ceux qui en ont envie …

 

L'incongruité de cette situation ajoute beaucoup à mon excitation, et je suce la queue de ce mec de plus en plus fiévreusement, commençant même à laisser échapper de petits gémissements … L'intensité de nos plaisirs respectifs doit se remarquer, parce que je m'aperçois que quelqu'un s'est approché et se tient debout à côté de la table, à la gauche de Franck. Ça n'échappe pas non plus à son voisin de droite, qui s'est aussi un peu reculé sur sa chaise, et que je vois du coin de l'œil, vautré sur sa chaise, me regarder sucer en se masturbant doucement. Il se redresse un peu, tend la main vers moi, saisit mon avant bras posé sur la cuisse de Franck et attire ma main vers son bas ventre. Je prends sa queue, et je poursuis sa masturbation.

 

Franck a glissé ses doigts jusque autour de ma bouche, juste au contact de sa verge, pour sentir sa queue, humide de salive, entrer et sortir d'entre mes lèvres. De ma langue formant gouttière, je presse sa hampe par dessous et contraint ainsi son gland à frotter fermement contre mon palais, accroissant son plaisir. Il ronronne:

- Mhhhooooon ! Mhhhooooooooon !

 

Et soudain, de ses mains, il se met à me caresser rapidement la tête - nuque, crâne, joues, menton, cou, front – en même temps qu'il commence à haleter, et:

- Ah ! Putain ! Je vais te … je vais te … Raaaaaaahhh … puuuuu … taiiiiiiin !

 

Sa queue est secouée d'un violent spasme. Il va jouir ! Je gémis. Sous ma langue, je sens son urètre se gonfler et, aussitôt, un jet tiède s'étale dans ma gorge. Je m'entends couiner tout en accentuant fiévreusement mes va et vient. Haletant, il se plie en deux brusquement au-dessus de moi, tenant toujours ma tête pendant que sa semence continue de se déverser dans ma bouche . 

 

Voilà. Il a fini. Le torse toujours appuyé sur mon crâne, il se calme, reprend son souffle … Puis il se redresse en riant:

- Ah, la vache ! T'es une vraie pompe à jute !

 

Je sors son sexe de ma bouche. J'ai gardé sur la langue autant de crème tiède que j'ai pu. Je relève la tête et j'ouvre la bouche en grand pour qu'il voie ce qu'il m'a déposé. Il sourit:

-  Ah quelle salope ! Vas-y, avale !

 

Comme un défi.

J'avale.

Il éclate de rire.

- Ah, toi, alors, tu aimes le foutre !

- A moi !

 

C'est son voisin de droite, celui que j'étais en train de branler. 

 

Oui, à lui …


Je me déplace, toujours à genoux, jusque entre ceux du voisin, en prenant soin de ne pas filer mes bas en les frottant sur le goudron. Lui aussi a relevé le bord de la nappe. Je ne le reconnais pas … ou plutôt, je ne me souviens pas qu'il me soit déjà passé dessus … celui-ci a dû me baiser en levrette sur le bar sans que je vois sa tête. Il a reculé sa chaise, et il est tellement vautré dessus qu'il ne repose plus que sur le haut de ses fesses … presque sur ses reins. Cuisses largement écartées, il se tortille, tend son ventre vers moi.

 

Je commence par passer mes lèvres sur l'intérieur de ses cuisses, depuis les genoux jusqu'à son entrejambe. Le haut de ses cuisses, ses couilles – grosse paire de couilles qui pendent dans leurs bourses, lourdes, sans doute encore bien pleines de crème - sa queue – queue très ordinaire par rapport à la taille de ses boules -, son pubis et son ventre sont totalement imberbes, visiblement rasés depuis peu. Je passe ma langue sur ses couilles et je commence à remonter le long de sa hampe. Mais il pose sa main sur ma tête et me repousse vers ses couilles … croyant que c'est ce qu'il veut, je m'apprête à les prendre l'une après l'autre dans ma bouche … il appuie toujours sur ma tête … je soulève ses boules de la main pour lui passer la langue sur le périnée … il se tortille de plus belle en soulevant son bassin … 

 

Compris: il veut que je lui lèche le cul … OK ! En espérant qu'il est clean, je m'exécute. Mais, vu ma taille et nos positions respectives, je n'arrive pas à lui donner satisfaction. Il s'en rend compte immédiatement et, pour me donner accès à sa … pastille, il lève sa jambe droite et la tient, repliée, le genou au-dessus de sa poitrine. Il est aussi rasé dans la raie et autour de sa fleur et, bien que la journée soit déjà avancée, ça sent encore la mousse à raser et pas encore l'entrejambe en sueur. Ce genre d'exercice, ce n'est pas trop mon truc, et mon excitation retombe. Je m'applique quand même autant que je peux, tout en lui malaxant les couilles. Pour me motiver, je pense à ce qu'elles contiennent et j'anticipe le moment où elles vont répandre leur charge. D'où je suis, je vois qu'il se masturbe doucement pendant que je titille sa rondelle de la langue et ses boules de la main. Je sens son anus se détendre peu à peu sous l'effet des caresses de ma langue. Pourvu qu'il soit clean ! Jusque là, ça va … Il saisit ma main qui lui pelote les couilles et il l'attire sur sa bite. Il veut que je le masturbe. Ses couilles retombent sur mon nez. Ça dure comme ça quelques minutes, puis il me lance:

- Maintenant, suce-moi !

 

Ouf ! Je commençais à fatiguer. Il repose son pied au sol et s'installe mieux sur sa chaise. Je me redresse aussi et, passant d'abord par ses couilles, je glisse ma langue tout au long de sa verge, jusqu'à son gland, que j'enfourne dans ma bouche. Il est d'abord pris d'une sorte de ricanement nerveux, avant de pousser des espèces de petits "han … han … han …". Tout en le suçant, je lui caresse la poitrine et le ventre et, pour continuer de satisfaire son envie, je glisse les doigts de mon autre main entre ses fesses … je les fais aller et venir dans sa raie, accentuant leur pression chaque fois qu'ils passent sur sa rondelle. Au gonflement de sa queue dans ma bouche, je sens que ça lui fait un effet terrible. Je finis par plaquer mon pouce contre sa fleur encore toute mouillée de ma salive. Aussitôt, je sens son anus réagir … comme pour s'ouvrir … j'appuie mon pouce … ma première phalange pénètre dans son étui … la queue raide, le souffle suspendu, il attend que je m'enfonce davantage en lui … je glisse lentement ma deuxième phalange dans la tiédeur de son cul, et ma salive qui le lubrifie n'explique pas à elle seule la facilité avec laquelle je progresse … vu l'état de dilatation de son sphincter, je suis sûr que ce type a l'habitude des introductions anales … il a la rondelle totalement détendue, épanouie … J'entame un va et vient et après seulement trois ou quatre allers et retours, les muscles de son anus et sa bite sont pris simultanément d'un premier spasme. Il va jouir ! 

- Aaaah ! Aaaaaaah ! Wouaaaaaaahhhh !

 

Il jouit ! 

En même temps que sa rondelle se contacte convulsivement autour de mon pouce, sa queue est secouée de violents soubresauts qui m'inondent la bouche d'une liqueur épaisse et salée  … Ça n'en finit pas … et, alors que ça semble commencer à s'apaiser, ses éjaculations repartent de plus belle ! Ce type avait les couilles vraiment très pleines! Et pourtant, si les comptes de Philippe, tout à l'heure, étaient exacts, celui-ci m'avait déjà baisé ! Ayant l'intention, comme pour le précédent, de lui montrer sa liqueur sur ma langue avant de l'avaler, je me suis abstenu de déglutir à l'arrivée des premiers jets, mais, surpris par l'abondance du flot, je laisse échapper un mélange de bave et de sperme qui me coule sur le menton … alors, j'avale, au fur et à mesure qu'il se vide en moi … Enfin, ça finit tout de même par se calmer … Oh, putain, celui-ci, il faudra absolument qu'il me remplisse le cul !

- Aah, putain ! Quel vide-couilles !

 

C'est lui qui, en se tortillant sur son siège, repousse ma main de son cul et ma tête de sa queue … Je prends quand même la peine de lui nettoyer soigneusement la bite avec ma langue et, levant les yeux vers lui:

- Dis donc, mec … qu'est-ce que tu m'as mis ! Il y a combien de temps que tu n'avais pas tiré un coup ?

 

Il ricane.

 

- A moi !

 

« A moi ! » … décidément, ce sont deux mots magiques … en dépit de sa brièveté, de sa concision, cette formule dit tout ... c'est celle qu'on emploie sur un terrain de foot pour avoir le ballon, celle qui permet de prendre son tour dans un jeu ou un concours, celle qu'on utilise en bande pour faire tourner une bouteille ou un pétard ... et là, c'est moi, le jeu, c'est moi qu'on fait tourner ... j'adore, ça m'excite ... 

 

C'est le type juste derrière moi, à qui je tournais le dos … et le cul … pendant que je suçais "grosses couilles". Du bout du pied, il a accompagné son "invitation" de deux petits coups contre ma cuisse. Je me retourne péniblement sous la table. Celui-ci n'a pas relevé le bord de la nappe, et je ne vois de lui que le bas de son corps, mais je reconnais immédiatement la queue poilue du blond qui est venu me chercher pour les sucer … Il bande et serre si fort sa bite que son gland, rouge violacé, semble prêt à exploser … Je me glisse entre ses genoux … j'ai encore la tête qui cogne dans la table:

- Tu ne veux pas reculer un peu ? J'ai la tête dans la table …

- Non ! Suce, salope !

 

Pas la peine d'insister avec lui. J'ai déjà pu juger de son humeur dans la salle de bain. Inutile d'aller à l'incident. Il cramponne toujours fermement sa hampe, mais, en penchant la tête sur le côté, je parviens tant bien que mal à prendre son gland dans la bouche … Gorgé de sang, il est brûlant. Au contact de ma langue, il lâche son sexe et sa main disparaît de sous la nappe. Bien que je me tasse autant que possible sur moi-même, les fesses posées sur les talons, je n'ai pas assez d'espace pour bouger la tête de bas en haut. Alors je m'escrime de la langue sur sa queue, la frottant énergiquement sur sa verge, la tournant vigoureusement autour de son gland… Il reste d'abord impassible … au bout d'un moment, je m'aperçois même, aux bruits au-dessus de ma tête, qu'il s'est remis à manger: crissements de ses couverts dans son assiette, choc de son verre et d'un plat qu'il pose sur la table, bruissement du pain qu'il coupe … Il est vrai que ça doit être très agréable de se faire sucer pendant qu'on mange … Je réalise aussi que, tout en mangeant, il discute avec ceux qui l'entourent ! Il rit, il s'esclaffe, il s'agite sur son siège aussi naturellement que … que si je n'étais pas en train de le sucer ! Mais, vu l'état de sa queue, je sens … je sais que ma pipe lui fait de l'effet. 

 

Soudain, quelque chose touche ma fesse droite. C'est sans doute le convive derrière moi, celui que j'ai sucé il y a quelques minutes, qui m'a heurté involontairement du pied. Mais au lieu de s'écarter, le pied … oui … c'est bien un pied … un pied nu … ce pied se met à m'effleurer la fesse … à me la caresser … ou plutôt, à me l'explorer … délicatement. Je poursuis ma fellation, attendant de voir ce qui va se passer. Le pied explorateur passe sous mon cul en frôlant mes talons au passage … il me caresse la fesse gauche … revient vers ma raie … se glisse dans ma raie … enfin, pas vraiment un pied … des orteils, plutôt, qui se glissent dans ma raie … progressent vers … Ooooh ! Les voilà contre ma rondelle ! Oooooh ouiiii ! C'est boooon ! Tout en continuant à pomper l'autre, je relève légèrement mon cul et, en écartant les genoux, j'ouvre un peu plus mes cuisses. Les orteils sont contre mon périnée … frôlent mes couilles … reviennent vers ma fleur … Hhhhmmmmm  … se posent de nouveau sur ma fleur …

 

Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. En fait, maintenant, je le sens … c'est seulement son gros orteil qui est là ! Je relève mon cul, doucement, délicatement, pour éviter de perdre ce contact … l'orteil suit, toujours plaqué à l'entrée de mon fourreau … Je sens ma fleur réagir, bâiller, presque malgré moi … comme pour … comme pour ingurgiter cet orteil … Il l'a senti, lui aussi … sa pression se fait un peu plus forte … comme pour demander la permission … Oui, oui ! Vas-y ! Je me tortille, je recule comme je peux, retenu, comme hameçonné par cette bite plantée dans ma bouche et que je ne veux pas lâcher … Il a compris … son orteil me pénètre légèrement… Je gémis de nouveau … Encore, encore ! Je le sens qui affermit sa position sur son siège … et il enfonce son doigt entièrement … Oooh la la ! Je remue ma croupe, je me trémousse … Bouge-le, bouge-le ! Il a compris, et il se met à agiter son orteil dans mon cul … C'est plutôt limité, comme mouvement, mais qu'est-ce que c'est bon !

- Ça y est ?

- Ouais …

 

Celui qui questionne, c'est le blond, celui que je suis en train de sucer … et celui qui répond, c'est l'autre, derrière moi, qui est en train de me doigter avec son orteil … Mais, sur le coup, je n'y prête pas attention, tellement leur échange semble anodin et n'être que la poursuite d'une conversation … Ce n'est que rétrospectivement, et en entendant la suite que je réalise qu'il est question de moi:

- Tu y'as mis dans le cul ?

- Ouais …

- Et ?

- Et ? Et ben, elle aime ça, cette chienne …

- C'est vraiment une grosse pute ! Déjà, c'est une bouffeuse de jute, mais en plus, on peut lui foutre tout ce qu'on veut dans le cul, à cette salope …

 

Tout en éructant, mâchoires serrées, il m'a empoigné la nuque et il appuie comme un sauvage pour m'enfoncer son pieu au fond de la gorge. 

 

Ah non ! Pas ça avec toi ! Je sens qu'avec toi, c'est de la violence sadique … et en plus, tu ne me plais pas. En voulant me dégager, je me cogne la tête dans la table … alors, comme mû par un réflexe, tout en le repoussant d'une main plaquée sur son ventre, de l'autre j'empoigne le pied de sa chaise et je la soulève brusquement. Sous l'effet de ces deux forces combinées, il part en arrière avec sa chaise, tente en vain de se rattraper à la table et se retrouve au sol sur le dos … Je sors de sous la table et je me dresse au-dessus de lui. Sa tête à cogné le goudron de la cour … il est groggy … et surtout stupéfait … il me prenait pour une lope et il ne s'attendait pas à ça de ma part … Il se frotte l'arrière du crâne, l'air un peu ridicule, toujours assis sur sa chaise et la queue bien moins vaillante – la surprise et le choc l'ont fait débander instantanément -. Le doigt pointé sur lui, je lui lance:

- T'as peut-être besoin de te défouler … mais pas avec moi, connard !

 

Je pourrais profiter qu'il soit en position de faiblesse, mais je le laisse reprendre ses esprits et se relever. Tout à l'heure, en dansant la lambada collé à son ventre, puis quand il m'a baisé dans la salle de bain, j'ai pu juger de ses mensurations: il fait près d'une tête de moins que moi et surtout une vingtaine de kilos de moins … Il roule sur le côté et, à la fois sonné et ivre, il se relève péniblement, l'ai furax. A la façon dont il jette un coup d'œil autour de lui, je me dis qu'il cherche du renfort … mais ceux qui l'entourent, sans doute plus ou moins complices quand il est venu me chercher pour les sucer, ont compris ce qui se passe, le regardent d'un air plutôt ironique et ne bougent pas d'un cil pour l'aider à se relever … En revanche, d'autres, plus loin, se sont levés, interrogatifs, et certains approchent. Le blond me fusille du regard et, dents serrées:

- Toi … je vais te …

- Tu vas quoi ? Viens …

 

Avant qu'il ait pu faire un pas, le grand type maigre qui m'avait roulé des pelles en me baisant et l'obèse qui m'avait écrasé en me faisant jouir du cul s'interposent entre nous. Le premier lui dit calmement:

- Laisse tomber, mec … tu as dû lui faire un truc pas net, parce que … il accepte à peu près tout, autrement …

- C'est qu'une sale pute !

 

Le gros poussah:

- De toute façon, t'y touches pas !

- Quoi … qu'est-ce t'as, toi ?

- T'es bourré, mec, et puis ... j'te sens pas … Alors, j'te dis seulement qu't'y touches pas …

- C'est qu'une pute, j'te dis …

- Et alors ? On l'sait … on est tous là pour ça … pas pour la cogner ou je n'sais quoi … pour la baiser ... et c'est tout.

 

Pendant ce bref échange, d'autres se sont groupés autour de nous et lui font face. Il a quand même assez de lucidité pour comprendre qu'il est seul contre tous. Il grommelle je ne sais quoi et relève sa chaise, comme pour signifier qu'il laisse tomber. Alors, chacun commence à regagner sa place. Je remonte mes bas, distendus par cette position à genoux et je replace mon porte-jarretelles. Au moment où je m'apprête à regagner aussi ma place, je vois le tatoué … la brute tatouée … fendre le groupe précipitamment en direction du blond. Quand je me retourne, la brute, face au blond, le repousse, la main gauche plaquée sur la poitrine, et lui pointe l'index de la main droite sur le visage d'un air furibard. Très dissuasif ! L'autre est blême. La brute le chope à l'épaule et le force à s'asseoir sur sa chaise:

- Si tu veux rester, j'te conseille de dessaouler … ou alors tu t'barres … Vu ?

- C'est bon, c'est bon …

 

Tout le monde s'est retourné à l'arrivée du tatoué pour voir ce qui se passait. Lui s'approche de moi, me prend par le bras et m'entraîne vers l'autre bout de la rangée de tables:

- Ce fils de pute … il allait te cogner par derrière …

- Ah bon ? Merci …

- Tu veux que j'le vire ?

- Bah, non … pas la peine …

 

Philippe nous a rejoints:

- Qu'est-ce qui s'est passé ?

- Il m'a brutalisé pendant que je le suçais sous la table …

- Ah bon ?

 

Les yeux ronds, il poursuit, regardant alternativement la brute et moi:

- Mais … je croyais … ça me regarde pas, mais …

 

Ah, OK ! Tout à l'heure, je lui ai dis que la brute m'avait violenté et que j'avais aimé ça … alors, il se demande pourquoi, avec l'autre … J'explique:

- Celui-là, c'est un tordu sadique et vicelard …

- Ah … OK ! Tu sais, je le connais pas … je crois que c'est une recrue d'Internet … je m'excuse …

- Ne t'excuses pas, tu n'y pouvais rien … l'incident est clos …

 

Ça a jeté comme un froid et chacun est en train de reprendre place à table. Mon fauteuil est un peu plus loin, de l'autre côté de la rangée de tables. Je m'apprête à faire le tour, quand le tatoué m'attrape par le poignet et s'adresse à son voisin de droite:

- Tiens, mec, tu veux pas lui laisser ta place ?

 

L'autre se lève sans rechigner. Quand un type bâti comme le tatoué te demande gentiment quelque chose, tu ne peux pas lui refuser. Je m'assieds. Aux regards et aux sourires de ceux qui nous entourent, je comprends que pour eux, cette invitation du tatoué à mon encontre n'est pas anodine. Et ce n'est pas seulement parce que son corps et sa queue sont un spectacle en eux-mêmes … l'attirance que j'ai manifesté à plusieurs reprises pour son gros organe doit leur laisser espérer de nouveau du spectacle …

- T'as soif ?

 

Oui, c'est sûr, son expression n'est pas aussi élégante et correcte que celle d'un Philippe … mais ce n'est pas ça qui m'attire chez lui …

- Oui …

- Vin ? Bière ?

 

Je lui réponds en riant:

- De l'eau, déjà … j'ai besoin de me rincer la bouche …

- T'en as pompé combien, sous la table ?

- Trois … mais seulement deux jusqu'au bout …

- Comment ça ?

- Ben … il n'y en a que deux qui m'ont joui dans la bouche … le troisième … il a valsé …

- Ah, OK …

 

Il me sert un verre d'eau. De l'autre côté de la table, Alexis, le traiteur, ne me quitte pas des yeux. Dès que j'ai reposé mon verre, le tatoué me prend la main et l'attire vers son entrejambe. Ooooh yessss ! Sa queue est coincée entre ses cuisses puissantes, mais pour ce que j'en vois, elle paraît être dans le même état que tout à l'heure, déjà à demi gonflée. Ça ne serait pas cette esquisse de baston qui l'aurait excité ? Il recule un peu sa chaise, s'installe confortablement, se tourne légèrement vers moi, appuie son coude gauche sur le dossier de son voisin et écarte les cuisses. 

 

Et il attend. C'est explicite: sans un mot, LE mâle me présente sa bite, et attend …


Les autres, autour de nous, attendent aussi. Et ça me plaît beaucoup. Je me sens comme une femelle que son mâle soumet à ses envies sous le regard d'autres mâles. Femelle … et femelle en manque et docile … Ça me plaît d'autant plus que je sais que je vais exciter les spectateurs, tous autant qu'ils sont, que je vais les faire bander … et que, sans doute, après, le tatoué va m'offrir à eux …

 

Tel qu'il est installé, sa queue est appuyée, tête en bas, contre sa cuisse gauche, et dessous, j'aperçois ses couilles qui pendent bien plus bas que le plateau de sa chaise … Ce matin, il m'a déjà tiré une cartouche dans la bouche, mais il en a encore une pour mon cul … et une grosse ! Je passe le bout de mes doigts sur le dessus de sa verge. Il reste impassible. Je soulève sa queue et je l'empoigne fermement. Elle est toute chaude dans ma main. Je commence à faire aller et venir mes doigts. Cette fois, elle se réveille et frémit. Je continue et elle gonfle sous mes doigts, se redresse toute seule. Je ne peux pas résister plus longtemps. Je m'accroupis entre ses jambes et je passe ma langue tout au long de son urètre. Cette fois, sa queue gonfle à vue d'œil. Tout en donnant de grands coups de langue sur le serpent tatoué sur cette queue, je jette un coup d'œil circulaire. En effet, les autres regardent: nos voisins directs, assis à côté de nous, mais aussi ceux de l'autre côté de la table … qui se sont levés … d'autres aussi, qui se sont approchés et qui nous entourent … pour me regarder le sucer. Lui aussi a remarqué les autres … et il a remarqué que je les ai remarqué … et je sens qu'il a compris que ça m'excite de lui tailler une pipe en public …

- Comment tu t'appelles ?

 

Je m'étonne moi-même … je ne sais pas ce qui m'a pris de lui demander ça. Aussi surpris que moi, il ne répond qu'après quelques secondes pendant lesquelles je continue de lécher goulûment son esquimau:

- Moi ? C'est Sam …

- Sam … tu veux que je te suce encore comme tout à l'heure dans l'écurie … à fond … et que j'avale ? Tu sais, j'aimerais bien aussi que tu me baises et que tu me fécondes …

- …

- Alors ?

- Pour le moment, suce ! 

 

Alors, je le suce … 

Je le suce consciencieusement, je le suce sensuellement, je le suce lascivement, je le suce voluptueusement … Et tout en le pompant, je le masturbe de la main droite et je lui pelote les couilles de la main gauche, ne m'interrompant qu'un court instant pour prendre ses mains et les attirer sur ma tête.  

 

Autour de nous, les autres murmurent, comme pour ne pas troubler la cérémonie, mais je saisis quand même quelques commentaires, envieux et admiratifs. Envieux de se faire sucer comme ça, ou d'avoir une aussi grosse bite ? Admiratifs de cette énorme engin, ou de la façon dont je le suce ? A l'exception de la raideur de sa bite, rien ne trahit son plaisir à lui, son excitation, ni mouvements incontrôlés, ni halètements, ni gémissements … Et puis:

- Arrête … relève-toi !

 

Je me relève. Il se cale au fond de son siège, me fait pivoter, pose ses mains sur mes hanches et m'attire en arrière tout en glissant ses genoux entre les miens. Il veut … il veut que je m'assoie sur lui … sur sa queue ! Je recule, je plie un peu les genoux … 

- Attends !

 

Je m'immobilise. Il ôte sa main droite de ma hanche et il ne se passe rien pendant deux ou trois secondes, puis je sens ses doigts … trois doigts  … quatre doigts … contre ma rondelle … ils sont humides, sans doute de salive … il me les introduit … il me lubrifie … pose à nouveau sa main sur ma hanche et me presse vers le bas … son gland … son énorme gland contre ma fleur … je le sens, gonflé, tendu, chaud … je descends encore un peu … son gland dans ma rondelle … rien que son gland … Oooh la laaa ! La sensation est terrible ! Je le sens presque aussi intensément que s'il était entre mes lèvres ! C'est plus fort que moi, il faut que je voie, il faut que je regarde … Je me penche et j'écarte de la main ma propre queue et mes couilles. Je ne vois évidemment pas l'entrée de mon cul, mais je vois son énorme serpent, gonflé, dressé en direction de … en direction de ma caverne … je devine et je sens sa tête en moi … et plus bas, ses couilles qui pendent encore le long de l'assise de sa chaise … Je reste un court moment suspendu comme ça, immobile, savourant cet instant … Je sais que dans quelques secondes, le tatoué … Sam … va être entièrement en moi, son serpent complètement enfoui dans la tiédeur humide de mon cul … 

 

Il appuie sur mes hanches … je me redresse et je m'empale … lentement … Je sens chaque millimètre de son pieu glisser dans ma rondelle … je sens sa verge, mouillée de salive, ouvrir, forcer, dilater mon sphincter, lui aussi lubrifié de salive … je sens son gland repousser mes chairs et s'enfoncer de plus en plus profondément en moi … Les types autour de nous regardent, muets, les yeux ronds … je réalise alors que, moi aussi, j'ai la bouche entrouverte et les yeux écarquillés sous l'effet de l'énorme chose qui pénètre en moi …

 

Voilà. Mes fesses reposent sur ses cuisses. Il n'ira pas plus loin. Je me sens ouvert, béant … mais surtout occupé, rempli … plein de cet énorme pieu de chair chaude et vivante … J'attends. Qu'est-ce qu'il veut, maintenant ? Les mains autour de ma taille, il me pousse vers le haut. Je remonte, tout aussi lentement que je suis descendu … J'ai l'impression de littéralement me vider … c'est la même sensation que quand je me soulage sur les chiottes … et d'une certaine manière, c'est le même plaisir, comme un soulagement sensuel … à part que … à part que ce n'est pas de la merde qui sort de moi, mais une grosse queue … et que je sais qu'elle va me rentrer dedans à nouveau … La voilà presque entièrement sortie … je n'ai plus que son gland en moi, juste à l'entrée … Sam appuie sur mes hanches … Je redescends … un peu plus vite … le même plaisir de son gourdin qui s'introduit en moi … Je me penche un peu en avant, je m'appuie, une main sur chacun de ses genoux et j'entame un va et vient … Oh la laaaa ! Quelle sensation ! Sa queue est comme un piston et mon cul comme un cylindre … il me remplit à chaque pénétration, et provoque comme un vide, comme une aspiration quand il ressort … Je sens que ça me secoue, que ça me bouleverse les entrailles … D'ailleurs, sous l'effet du plaisir, de l'excitation (je bande à moitié) et du massage de ma prostate par son gland, un long fil de liqueur visqueuse s'écoule de mon méat jusque sur les cuisses de Sam … Je me penche encore un peu et je glisse ma main gauche entre ses cuisses jusqu'à ses couilles. Je les pelote, je les tripote, j'entoure le haut de ses bourses du pouce et de l'index et je soupèse ses testicules au creux de ma paume … Hhmmmm, tout à l'heure, vous deux, je vais vous faire cracher votre venin !

 

Ce massage de ses boules, ainsi que mes allers et retours sur sa queue semblent lui faire aussi beaucoup d'effet. Depuis que je vais et viens tout seul sur son engin, il a ôté ses mains de mes hanches et il me caresse les fesses et les reins … presque convulsivement. Ça fait aussi de l'effet sur les spectateurs: beaucoup bandent, plus ou moins fermement, et certains se tripotent même en nous regardant. D'ailleurs, voilà un des vidéastes de ce matin – le "comptable" qui se plante devant nous, et qui demande, en montrant son smartphone:

- Je peux ?

 

Visiblement, ce n'est pas à moi qu'il demande, mais à Sam qui répond:

- Ouais … vas-y …

 

Le comptable recule un peu et commence à filmer – plan large - avant de faire un rapide traveling sur l'assistance et de revenir sur nous … de s'accroupir et de tendre son appareil un peu au-dessus des cuisses du tatoué pour capter notre coït en gros plan … Me faire filmer avec cette énorme bite dans le cul m'excite toujours autant … 

 

Maintenant, Sam me caresse le ventre, les flancs, la poitrine … puis il m'attire à lui et plaque mon dos contre son torse. Je me laisse aller, yeux mi-clos, tête en arrière. Vautré sur lui, je passe ma main derrière sa tête et je lui caresse la nuque. Aussitôt, je sens ses lèvres et sa langue à l'angle de mon cou et de mon épaule. Il m'embrasse ! Ce type aux allures de brute n'a pas fini de me surprendre. Il m'embrasse, ou plutôt, il me lèche, il me suce, il me tête … Dans cette position, il m'est difficile d'aller et venir de bas en haut sur son membre. Alors j'ondule du bassin. Entre mes paupières, je vois le vidéaste continuer de filmer notre copulation en gros plan … et il bande. D'autres, à côté, se paluchent ouvertement, les yeux rivés sur mon entrejambe. Ils voudraient bien être à la place du tatoué … peut-être à la mienne, pour certains … 

 

Soudain, Sam me saisit fermement les hanches, m'immobilise, et, dans un souffle:

- Arrête un peu !

 

Je m'arrête et j'attends. Sans doute au bord de l'éjaculation, il respire très fort par le nez et je sens son souffle sur mon épaule. Il s'est retenu. Tant mieux, je préfère qu'il me féconde dans une autre position. Quand il semble calmé, je contracte mon sphincter deux ou trois fois autour de son membre. Il le sent et ça le fait rire. Il répond en gonflant sa queue également deux ou trois fois, puis:

- Allez, pousse-toi, maintenant …

- Ah bon ? On arrête ? 

- Ouais.

-  Mais ... tu me baiseras, tout à l'heure ?

- Ouais, j'te baiserai …

 

Lentement, je me redresse, je m'appuie des mains sur ses genoux, et je me relève. Je sens sa queue glisser lentement hors de mon cul. Je suis à peine debout que surgit devant moi le gros poussah, bousculant à moitié ceux qui l'entourent. Il me prend par la main et m'entraîne:

- Viens un peu par là, toi …

 

Je ne sais pas ce qu'il veut, mais je me souviens parfaitement de ce qu'il m'a fait ce matin. Et ce qu'il m'a fait, ce matin, c'était vraiment très bien. Alors je le suis.

- Tu vas aussi t'asseoir sur ma pine … mais à ma manière … on va à ma place …

 

Sa pine ? Elle bande … Sacré morceau, celle-ci aussi … Nous voilà à sa place … Sa place, je l'aurais reconnue tout seul, à la quantité de bouffe qu'il y a dans son assiette et au nombre de plats qui gisent tout autour. Il recule sa chaise, s'assoit et me désigne sa ... pine:

- Allez, assis-toi là-dessus …

 

Je commence à l'enfourcher pour me mettre dans la même position que sur Sam, mais il m'arrête:

- Non … pas comme ça … face à moi …

 

Je me retourne et je l'enjambe. Son énorme panse déborde sur ses cuisses. La moitié de sa queue seulement dépasse de sous sa bedaine. Agrippé à ses épaules, j'approche mon fourreau de son chibre qu'il guide de la main, et je m'empale. Autour de nous, toujours des spectateurs … moins qu'autour de Sam et moi il y a un instant, mais quand même ... cinq ou six qui me regardent m'installer. Un main sous chacune de mes fesses, c'est lui qui règle la vitesse de ma descente sur son pieu. Encore lubrifié par le mélange des salives de Sam et moi, je glisse tout seul sur la bête. Wooooowhhh ! Quel morceau ! Je suis vite bloqué à l'angle de son ventre et de ses cuisses. J'ai beau me tortiller, onduler du bassin, je sens que je n'irai pas plus loin. Mais ça paraît lui convenir: le gland enfoui bien au chaud au milieu de mes chairs, un sourire béat sur le visage, il contemple mon entrejambe, là où sa queue disparaît en moi … De ses deux pognes glissées entre ses cuisses et mon cul, il me pétrit les fesses… ou plutôt, il me les écarte, comme pour mieux me pénétrer. J'amorce un début de remontée et je lui demande:

- Tu veux que je … ?

- Nan ! Bouge pas … reste comme ça … je vais …

 

D'une vigoureuse pression sur mes reins, il me fait rasseoir, puis il se penche en avant, me poussant de sa poitrine proéminente tout en me retenant de ses mains passées dans mon dos. Ne sachant pas ce qu'il veut, je m'accroche à son cou. J'ai maintenant les reins contre le rebord de la table. Il me lâche et je le sens qui manipule je ne sais quoi, derrière moi, puis:

- Enlève tes mains de mon cou et reste comme ça … en arrière … appuie-toi sur mes genoux … ou sur la table, comme tu veux, mais reste penché en arrière … 

 

Je fais comme il dit, un main sur chacun de ses genoux, et il se redresse et se cale au fond de sa chaise. Dans une main, il a son assiette pleine de bouffe, et dans l'autre une fourchette ! Il sourit d'un air content de lui:

- Voilà ! Alors ça, ça va être le pied ! Bouffer avec ma pine dans ton cul !

 

Il tient son assiette entre nous, à hauteur de sa poitrine, et il commence à enfourner d'énormes fourchetées de … de salade piémontaise ! Du coup, je ne sais pas s'il doit ses mimiques d'extase à sa baffrerie, ou à notre coït … Au fond, peu importe … du moment qu'il prend son pied et que j'y contribue … Autour de nous, les autres regardent en se marrant. Je ne suis pas à l'aise, avec mes mains sur ses genoux, alors je me penche un peu plus en arrière et je m'accoude sur la table … Ce mec est … aux anges ! Je recommence à onduler doucement du bassin. Il m'interrompt:

- Nan, arrête ! Fais-moi comme ce matin … tu sais, tu me serres la pine avec ton fion …

 

Ah, OK ! Je me concentre et j'entreprends de contracter les muscles de mon sphincter. L'anus très détendu comme je l'ai, il faut quelques secondes pour que mes contractions commencent à être efficaces et qu'il les ressente. Mais alors:

- Ah ouaiiiiiis ! Comme çaaaaaa ! Rhaaaa putaiiiiin !

 

Il ferme à demi les yeux, savourant et la bouffe et ce que je fais à sa queue … La tête en arrière, je ferme les yeux et je m'applique à contracter mon anus aussi fortement que je peux. J'alterne des séries de trois ou quatre contractions rapides et de trois ou quatre contractions plus lentes … et je sens qu'au fur et à mesure,  j'arrive à serrer sa bite de plus en plus fort … Il le sent aussi, et à ses grognements sourds, je sens qu'il adore ça. Et moi aussi. Sentir son gros machin en moi qui prend du plaisir m'excite. Des vagues de chaleur de plus en plus fortes m'inondent le cul et tout le bas ventre … 

 

Je le sens bouger, se pencher brièvement vers moi avant de reprendre place au fond de sa chaise. Il a dû reposer son assiette … vide, évidemment … Il plaque ses mains contre mes fesses et:

- Bouge un peu ton cul, maintenant … doucement …

 

Je me tortille, j'oscille du bassin de droite à gauche et d'avant en arrière, tout en continuant de lui presser la queue avec mon cul. Exercice de coordination assez compliqué … mais très agréable et surtout efficace:

- Rhooo … pu…taiiiiiin ! T'as un cul … c'est pas un cul, c'est … pu…taiiiiin ! C'est une machine à niquer !

 

Un peu comme l'avait fait Sam quelques minutes auparavant, il se met à me caresser d'une manière désordonnée … les seins … le ventre … les reins … Puis il se penche vers moi, m'enserre de ses gros bras, la tête contre ma poitrine:

- J'vais jouir ! Putain ... j'vais jouir !

 

Ah merde ! Le cul en feu, je suis partagé entre le plaisir de savoir qu'il va se répandre en moi pour la deuxième fois et l'idée que ça va compromettre le projet qui a germé en moi, presque malgré moi, après qu'il m'ait fait jouir ce matin et que j'aie fait connaissance avec la brute tatouée. Mais au point où il en est, et vu le plaisir qu'il me donne encore en ce moment, je n'ai aucune envie d'arrêter net la montée de sa jouissance … De toute façon, c'est trop tard: il me serre convulsivement, par à-coups, en bougeant son bassin, comme pour s'enfoncer davantage en moi. Oui, il jouit ! Sa queue se secoue dans mon anus et une crème tiède baigne notre coït. Il halète.

 

Puis, ça se calme, il desserre son étreinte et s'adosse à sa chaise:

- Ah la vache ! Ma parole, tu m'as … tu m'as pompé avec ton cul ! Tu m'as fait jouir … rien qu'en me pompant avec ton cul !

- Dommage …

- Quoi ? Pourquoi dommage ?

- Tu as joui et tu vas plus pouvoir me baiser …

- Hé ! Qu'est-ce que je viens de faire, là ?

- Oui, mais j'aurais voulu … j'aurais voulu que tu me baises encore … enfin … avec Sam …

- Quoi ? C'est qui Sam ?

- C'est le tatoué, là …

- Avec lui ? Comment ça …

- J'aurais voulu que vous me fassiez une double …

- Une double ? Une double quoi ?

- Une double sodomie …

- Mais …

- Une double, quoi … que vous m'enculiez tous les deux en même temps …

- Attends … Sam ! Saaaam !!

 

A quelques mètres, Sam, qui s'était remis à table, se tourne vers nous:

- Quoi !

- Viens voir …

- Quoi !

- Viens, j'te dis ! Il a quelque chose à nous demander …

 

Sam se lève de mauvaise grâce et s'approche, suivi de plusieurs autres types sans doute en quête de croustillant:

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Tu sais ce qu'il veut ?

- Non.

- Il veut qu'on l'encule tous les deux en même temps !

- Ah ouais ?

- Ouais !

 

Aux mimiques et aux gestes sans équivoque qu'ils font, je suis sûr que la plupart de ceux qui nous entourent ont déjà compris. Et ça semble les réjouir d'avance. Certains même, aux commentaires qu'ils font, avaient déjà compris quand j'ai parlé d'une "double".

 

Sam, s'adressant à moi:

- Tu veux une double ?

- Oui … et même plusieurs …

- Avec lui et moi ?

- Oui, avec vous deux, mais avant, avec tous ceux qui veulent …

 

En disant ça, j'ai balayé de la main toute l'assistance. Et dans l'assistance, on se regarde les uns les autres… silencieusement … mais je suis convaincu qu'en leur for intérieur, beaucoup se demandent avec qui il voudraient bien m'en faire une, de double … Un peu comme au bal, ils cherchent déjà un cavalier qui leur plaise … C'est que là, il s'agira pour eux de mettre leur queue non seulement dans mon cul, mais en contact étroit avec une autre queue ... plus intime que ça, c'est difficile ... Sam, un petit sourire aux lèvres, poursuit:

- Comprends pas …

- J'ai envie que vous me baisiez deux par deux … enfin, que vous m'enculiez deux par deux … et que ça soit vous deux en dernier …

- Ah bon ? Pourquoi nous deux ?

 

Il s'amuse. Il le sait, pourquoi "eux deux" … Il a vu, comme tout le monde, comment le gros est équipé, et il sait aussi que c'est lui, Sam, qui a la plus grosse queue de tous les étalons présents … Mais il veut que je le dise. Le gros sourit. Lui aussi, sait pourquoi "eux deux". Alors, je tends la main vers Sam, je prends son sexe dans la main et:

- Pourquoi vous deux ? Parce que c'est vous qui avez les plus grosses bites ! Et j'ai envie que vous me preniez en même temps, tous les deux … vos grosses bites ... toutes les deux dans mon cul ... ensemble ...

- Tu t'es déjà fait faire une double ?

- Non, jamais …

- Et tu crois que pour ta première, tu peux te prendre dans le cul deux bites comme les nôtres ?

- Oui, je crois … on verra … c'est pour ça que je voudrais que les autres m'en fassent aussi avant ... pour … pour me préparer …

- Nous, on est OK !

 

Ça a fusé ! C'est le grand brun qui m'a roulé des pelles en me faisant l'amour, qui lève la main et qui désigne de l'autre l'ours, qui approuve. Ces deux-là se sont déjà mis d'accord ! Une double par ces deux-là … ça me va ! Derrière eux, d'autres mains se lèvent, nombreuses:

- Nous aussi ...

- Pareil ...

- Ouais ...

 

Oh, les mecs ! A la perspective de me faire mettre en double quatre ou cinq fois, une bouffée de chaleur m'envahit et des fourmillements me titillent la rondelle. J'ai toujours la bite de Sam dans la main, que je masturbe machinalement:

- et vous … vous en avez déjà fait, des doubles ?

 

Sam:

- Moi, ouais, mais … à une meuf … et dans sa chatte ...

 

Le poussah secoue la tête

- Moi, non … mais ça me dit ... c'qu'y y'a … il faudrait que tu me laisses récupérer, hein … moi, je t'ai déjà baisé deux fois …

- Aaaah merci !

 

Je n'ai pas pu me retenir, je me penche et je l'embrasse dans le cou … Un peu surpris et gêné, il ricane bêtement:

- hé hé hé … alors, il faut que je fasse une tite sieste …

 

Je lève les yeux vers Sam:

- Alors, et toi ?

- Ben … si vous êtes OK tous les deux … moi aussi …

 

Je me penche vers son sexe et j'y pose trois grosses bises:

- Merci ! Mmmfffon ! Mmmfffon ! Mmmfffon !

 

Et pendant que Sam regagne sa place, d'un coup de menton explicite, le poussah me signifie de m'en aller en me tapotant le dessous des cuisses. Quand je me relève, sa queue toute molle, s'échappe de mon cul dans un bruit de mouillé. 

- Tu t'appelles comment, toi ?

- Moi ? C'est Thierry …

- A tout à l'heure, Thierry … et fais une bonne sieste.

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 13 septembre 2015 7 13 /09 /Sep /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année. 

 

Et c'est reparti !


J'ai à peine eu le temps de boire un verre ! Après un passage plutôt agité dans la salle de bain de Jean-Claude, où j'ai dû soulager quatre étalons, je suis redescendu dans la cour de la ferme, tout propre et dans une tenue encore plus "sexe" que celle du début de matinée. Presque aussitôt, le costaud plein de tatouages m'a entraîné dans l'écurie où il m'a violenté physiquement et sexuellement sur la paille des stalles. C'est bel et bien la brute que j'imaginais. J'ai adoré ça ! Puis il a offert mon cul et ma bouche aux assauts de trois autres mâles. En revenant de l'écurie, je me suis rendu compte que le reste de la troupe avait dû écluser pas mal des verres, pendant que je me faisais fourrer là-bas. Il est vrai qu'il fait plutôt chaud, alors ils ont soif et c'est l'heure de l'apéro ! Et comme pour ces mecs, c'est jour de fiesta - surtout pour leurs bites – ils picolent tous plus ou moins. Chaleur plus alcool plus ambiance d'orgie … résultat, ils sont maintenant tous désinhibés, ils sont tous, ou presque, à poil, tous, ou presque, la queue raide, tous, ou presque, en train de se tripoter …


Alors, c'était inévitable, quand j'ai ramené mon cul près de la rangée de tables où ils sont réunis, je me suis tout de suite fait choper. Ils m'ont installé sur la table qui sert de bar, au milieu des gobelets d'apéro et des chips, à moitié couché sur le ventre, le torse dans une assiette de cacahuètes, cuisses écartées et cul béant… Et là, ils se sont mis à me fourrer à la chaîne dans un véritable déchaînement de frénésie sexuelle. Je me sens indécent, impudique, obscène … et je me sens surtout ouvert, offert, à disposition, comme un morceau de barbaque dans laquelle ils viennent se soulager l'un après l'autre … et j'adore ça ! En quelques minutes, plusieurs mecs - je ne sais pas combien - m'ont déjà tringlé et fécondé ! Oui, parce que, cerise sur le gâteau, ils m'ont tous baisé sans capote. Non seulement ils n'hésitent pas à me fourrer comme ça, à cru, sans crainte d'attraper une maladie, mais en plus, ça ne les gêne pas de patauger avec leur queue dans le foutre de ceux qui les ont précédés ! Et chaque nouvelle éjaculation, chaque nouvelle giclée dans mon cul, comme une injection de liqueur aphrodisiaque, ajoute à mon excitation. Je suis plein et ce cocktail me coule, tiède et gluant, le long des cuisses !


La joue appuyée sur la table, j'ai aussi sucé l'ours velu, le type qui m'avait baisé en cuiller ce matin. Après avoir été interrompu par le traiteur, venu demander s'il pourrait revenir me baiser après avoir ramené son commis, il me présente de nouveau sa queue à sucer. C'est une jouissance incroyable, de se faire saillir et fourrager, longuement, dans cette position. Mes deux orifices, ma bouche et mon cul, à la bonne hauteur sur cette table, sont tous les deux remplis, investis, occupés par des queues en érection, et je sais que, dans un instant, les deux mecs qui sont au bout de ces sexes, vont jouir dans moi, je sais que leurs deux queues vont aussi m'injecter leur jouissance, répandre leur liqueur séminale, l'un dans ma bouche et l'autre dans mon ventre …


En même temps que ces plaisirs immédiats - plaisir sensuel et plaisir cérébral - cette position, ouvert, écartelé, offert sur cette table, fait naître en moi un autre fantasme: l'envie que des mecs défilent dans mon cul … sept … huit … dix … quinze … vingt … les uns derrière les autres … pas pour me ramoner, non, simplement pour y jouir … qu'ils se branlent en faisant la queue derrière moi, jusqu'à être au bord de l'éjaculation, et qu'ils me pénètrent seulement au moment de se finir dans la chaleur humide de mon cul, pour y déverser leur sperme … j'ai envie de me faire remplir de semence par des mecs et des mecs … plein de mecs … des mains sur mes hanches ou sur mes reins, une bite dans mon cul, un ou deux va et vient, une éjaculation et au suivant … d'autres mains sur mes hanches, une autre bite dans mon cul, un ou deux va et vient, éjaculation et au suivant… encore des mains sur mes hanches, encore une bite dans mon cul, un ou deux va et vient, éjaculation et au suivant … Le mélange de millions de leurs "petites graines", des millions de leurs spermatozoïdes se croyant dans la chaleur du ventre d'une femelle, et faisant la course à la recherche d'un ovule à féconder … Je voudrais être rempli, gorgé, débordant d'un cocktail de liqueurs séminales …


Ces pensées, ma position obscène au milieu de tous ces mâles, les uns qui copulent avec moi, les autres qui regardent et se masturbent en attendant de s'accoupler à leur tour avec moi, c'est une volupté indicible. Mon excitation est telle que des gémissements de plaisir, jaillissent de mon ventre, et résonnent sourdement dans ma poitrine, étouffés par la bite que je suis en train de pomper fiévreusement. 


Malgré tout, alors que ce qu'on est en train de me faire devrait l'occuper tout entier, une partie de mon esprit a quand même constaté que quelques types, dont Philippe et Jean-Claude, ont commencé à déballer les caisses et les glacières que le traiteur vient de livrer, et de disposer des plats chargés de victuailles sur les tables à côté de moi. Et cette même partie de mon esprit a remarqué qu'on a bien fait les choses: pas de vaisselle en plastique, mais des assiettes en porcelaine, des verres à pied, des couverts en métal … et des nappes en tissu sur les tables ! Décidément, ces Messieurs – sans doute Philippe et Jean-Claude - ont organisé un véritable banquet à la hauteur de l'événement. D'autres mecs s'activent autour du barbecue, dont la fumée nous envahit par intermittence. 


Mais parmi la douzaine de ceux qui m'entourent encore, la frénésie sexuelle est à son comble, visiblement attisée par l'alcool pour la plupart de ces étalons. Ceux qui me sodomisent sont évidemment excités par notre accouplement, par la jouissance de leur sexe qui me fouille en glissant dans mes chairs … excités de me posséder sur cette table et dans cette position, image s'il en est de la domination, de la possession sexuelle… excités de me prendre sous les yeux d'autres mâles … à la suite d'autres mâles … avant d'autres mâles … excités par les feulements irrépressibles que leur saillie fait surgir de ma gorge. 

Naked amateur guys 497 2

Ceux qui regardent et s'apprêtent à me baiser à leur tour, sont excités par le spectacle que je leur offre, par ma position obscène, par les accouplements successifs que je subis … excités par la fellation que je prodigue fiévreusement à cette bite … excités par la perspective de me posséder à leur tour et de jouir en moi … excités par leur masturbation … excités par ma conduite débridée, indécente, hystérique … excités par mes gémissements impudiques … 


Le ventre de l'ours me masque la plupart d'entre eux, mais j'en vois deux, sur le côté, le sexe à la main, raides, qui s'astiquent fébrilement. Je porte mon regard alternativement sur leur bite et sur leurs yeux, m'efforçant de leur faire comprendre que je veux leur queue, que je veux qu'ils me prennent, que je veux qu'ils me baisent … je gémis autant à cause de mon accouplement actuel - de mes accouplements actuels, buccal et anal - qu'à cause du désir frénétique, de la furieuse envie de leurs queues … et bien qu'inarticulé, le message est explicite … à leurs yeux exorbités, à leur bouche entrouverte, à leur menton pendant, à leur masturbation soudain plus vigoureuse, je devine que le message passe.


Je tends la main. Le plus proche des deux s'avance. Je saisis son sexe et je poursuis fébrilement la masturbation qu'il avait entamée. Il se branle comme moi, le gland alternativement à demi décalotté puis enfoui dans le prépuce. Je continue de la même manière.


Mon lâcher prise est total: ooooh ouiiiiiii ! Baisez-moi ! Baisez-moi le cul ! Baisez-moi la bouche ! Fourrez-moi ! Remplissez-moi ! Souillez-moi !


Mon excitation est si communicative et mes gémissements si convaincants que l'ours ne résiste pas plus longtemps au déchaînement de ma main et de ma bouche sur son sexe. De ses deux mains, il m'immobilise la tête, extrait un peu sa queue, jusqu'à ce que son gland se trouve au milieu de ma bouche, et il jouit. Il jouit en poussant des râles . Son sperme, tiède, un peu sucré, se répand en quelques jets successifs sur ma langue et s'accumule dans ma joue. Son orgasme attise encore mon excitation et m'arrache des gémissements de plus en plus forts. 


Le type qui me fourre – je ne sais même pas qui est en train de me pilonner le cul – devait être au bord de la jouissance: m'entendre gémir et deviner que l'ours éjacule dans ma bouche déclenchent son orgasme. Allant et venant à grands coups de reins, accompagnant chacun d'eux d'un grand "haaaa !", il pose soudainement sa jambe sur la table, contre la mienne, et se couche sur moi, le ventre plaqué contre mes fesses. Le menton entre mes omoplates, il pousse un long "hooooooooooonnn" en jouissant . Je sens sa bite tressauter violemment dans mon cul. Mentalement, je visualise son gland, dilaté, épanoui, au milieu de mes chairs, son méat béant déversant un flot de crème nacrée qui se mélange à celles des étalons qui m'ont fécondé avant lui … 


Ces deux types ont joui simultanément, lâchant tous deux leur semence en moi sans retenue, sans réticence, sans précaution, sans scrupule … j'adore ça !


Je les laisse finir de jouir tranquillement, mais ma position, si excitante soit elle, commence à être inconfortable, une légère douleur, comme une crampe, s'est installée au niveau de ma taille du côté droit et ma jambe posée sur la table est toute engourdie. Et puis, ils s'attardent. Ils ont joui, il est temps qu'ils laissent la place. Je tapote la cuisse du type qui est sur moi et, écrasé sous son poids, je me soulève un peu, péniblement. Il comprend, s'appuie des deux mains sur la table, se relève et s'en va. Je sens sa queue déjà ramollie s'échapper de mon cul. Je pose mon pied droit au sol. Ça va mieux comme ça, la douleur dans ma hanche s'atténue et le sang afflue dans ma jambe. 


La queue de l'ours est déjà un peu molle dans ma bouche … je réalise que, ça y est, celui-ci m'a fécondé deux fois: une fois le cul, une fois la bouche … je réalise aussi qu'il y en a sans doute d'autres qui m'ont aussi fécondé deux fois, parce que, si je vois bien qui je suce, je ne vois pas toujours, et pour cause, qui me prend le cul … J'avale goulûment le dépôt visqueux de l'ours. A son tour, il se retire doucement. Sa semence, en s'écoulant dans ma gorge et mon œsophage, agit aussi comme un puissant aphrodisiaque: je veux … il me faut une autre queue … tout de suite ! Je lève des yeux éperdus vers son voisin, que j'étais en train de masturber, et, en faisant coulisser ma main d'un mouvement ample sur sa verge:

- Viens, maintenant … je te suce !


Je lâche sa queue et je m'empoigne une fesse de la main droite, je me redresse un peu, j'écarte les jambes et je me cambre. Pas besoin de leur faire une dessin: « Un autre dans mon cul ! Vite ! ». Quelqu'un se plie immédiatement à mon injonction silencieuse: des mains sur mes reins … un ventre contre mes fesses … un … un sexe, un membre, une queue dans mon cul … un nouvel étalon commence à me saillir … Le regard éperdu, la bouche ouverte, je tends fiévreusement les mains vers cette autre queue que je viens de masturber. Le type a pris la place de l'ours, et il serre son membre sous les couilles et me présente son dard, raide, gonflé … tout en lui taillant une pipe, je vais branler celui qui est à sa gauche … un grand type brun, jeune, cheveux mi-longs, avec une très belle bite. Je tends la main vers lui. Inutile de parler, il s'approche et je saisis son membre. 


Avant de prendre l'autre dans la bouche, je remarque au bout de son gland, dans l'ouverture de son prépuce, une espèce d'écume blanchâtre … déjà un peu de sperme, ou seulement sa "mouille" qui a moussé à force de branlette ? Je passe ma langue dessus. Le gland rendu ultra sensible par sa masturbation, il aspire l'air bruyamment entre ses dents serrées. Je bâille, il s'avance et, en gémissant de plaisir,  je serre mes lèvres sur sa verge, juste sous le gland. Il ne bouge plus, attend. Je passe ma main sur ses reins et je l'attire vers moi. En s'enfonçant dans ma bouche, son sexe se décalotte … ET … Oh oui ! Trop excité, trop masturbé, trop longtemps contenu, il éjacule en poussant des râles  ! Déjà ! Je masturbe l'autre fiévreusement, et je m'active de la langue en gémissant: oui, vas-y, jouis, jouis, jouis ! Trois longs jets de crème chaude s'écoulent dans ma gorge … 


Oh, putain ! Combien j'ai sucé de mecs jusqu'ici ? Combien j'ai avalé de sperme ? Encore ! Encore ! J'en veux encore ! Il a fini. Je le recrache, je le repousse, et j'attire l'autre, le grand brun, jusqu'à moi. Je l'enfourne et je commence à faire furieusement coulisser mes lèvres sur sa bite. Un autre type s'est approché, sur sa droite et se masturbe vigoureusement, tout près de moi. Je passe ma main sous les couilles de ce nouveau venu et je les pétris délicatement. Celui que je suce me prend la tête et m'immobilise avant de commencer à onduler du bassin d'avant en arrière. 


- Raaaah puuuu…. taiiiiiin !


C'est le type derrière moi, les deux mains sur mes reins, qui prend son pied . Celui-ci aussi a été très vite: ça ne fait pas deux minutes qu'il a commencé à me baiser ! C'est ça, les mecs ! C'est exactement ça que je veux ! Prenez-moi, baisez-moi vite fait et prenez votre pied. En finissant de se vider les couilles dans mon cul, de ses pognes plaquées sur mes reins, il m'écrase sur la table.

- Ah putain, c'que t'es bonne, toi !


Il continue d'aller et venir, lentement, lascivement. Mais puisqu'il a fini, il faut qu'il se barre ! Je lâche la paire de boules que j'étais en train de peloter, et passant la main derrière moi, je la pose sur le ventre de mon baiseur et je le repousse. Il résiste un peu: 

- T'en peux plus, hein ? T'as mal au cul ?


J'insiste et il finit par sortir en me claquant une fesse. Un flot de crème tiède s'écoule sur mon périnée et sur mes couilles. De nouveau, je m'empoigne la fesse et je me cambre.

- Ah, putain ! T'en veux encore ?


Il faut que je leur dise. Je repousse à son tour le type brun devant moi et je sors sa queue de ma bouche.

- Oui, j'en veux encore ! Baisez-moi ! Baisez-moi ! 


J'ai crié. Stupéfaction générale. Pas seulement de ceux qui m'entourent. D'autres, en train de dresser la table un peu à l'écart s'approchent, intrigués par mes cris.

- Qu'est-ce qui se passe ?


Ils me dévisagent, éberlués, se regardent, interrogatifs. 


- Venez ! Venez vous vider les couilles ! Tous ! Baisez-moi ! Baisez-moi vite fait ! Enculez-moi et jutez-moi dans le cul !


Je regarde derrière moi. Ils sont quatre, deux qui bandent mou et deux qui bandent dur et se tripotent … ceux-là sont sans doute déjà prêts à me saillir. 

groupes-mecs-nus

- Allez, vous deux …. Baisez-moi ! Et les autres, prenez votre tour et passez-moi dessus … venez tous me baiser !


Un des deux qui bandent dur se décide. Je le regarde s'approcher en m'écartant les fesses et en me cambrant.

- Oui, vas-y … encule-moi … et jouis dans mon cul, hein … et vite !


Je m'appuie des deux mains sur la table. Sa bite contre mon anus … dans mon  anus … ses mains sur mes épaules … il va et vient … Je regarde le grand brun que j'avais commencé de sucer:

- Je te sucerai plus tard. Viens me baiser !


Il secoue la tête de droite à gauche … pas d'accord. Mâchoires serrées, yeux mi-clos, il se branle furieusement. Il va éjaculer sur la table ! Et brusquement, il m'attrape par la nuque et me force à me plier en deux. Je comprends immédiatement ce qu'il veut. J'ouvre la bouche et, au moment où son gland pénètre entre mes lèvres, je reçois un jet de sperme sur la langue . La queue secouée de soubresauts, il se répand longuement dans ma bouche. Je le pompe consciencieusement … puisqu'il est là, autant qu'on en profite … tous les deux … Sa main fermement posée sur ma nuque, sa superbe bite dans ma bouche, son fluide qui n'en finit pas de se répandre … j'adore ça … je caresse son ventre pour lui manifester mon plaisir. Il m'a tellement rempli la bouche qu'un trop-plein de salive et de sperme s'écoule sur mon menton quand il se retire … J'avale le reste, et je m'essuie la bouche. Son voisin, qui attendait son tour, s'approche.

- Non … je ne suce plus … baise-moi ! Viens me baiser !


Je jette un coup d'œil derrière moi. Je sens que celui qui m'encule n'est pas loin de conclure. L'autre, qui bandait dur aussi, tout à l'heure, bande toujours et s'astique. Les deux qui bandaient mou sont raides, maintenant … et deux autres les ont rejoints et font ... la queue, bite en main ! Un qui m'encule, et cinq qui font la queue ! Je tapote la cuisse de mon baiseur:

- Grouille un peu, toi !

- Aaaaaah ! Aaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaah ! Aaaaaah !


C'est fait, il éjacule . Je le laisse finir … puis, la main sur son bas-ventre, je le repousse:

- Laisse la place, maintenant …


Il trébuche et manque de s'étaler en reculant. Le suivant est déjà contre moi. Pendant qu'il guide sa queue dans mon cul, il me souffle, dents serrées:

- T'es … t'es une chienne … tu te fais baiser comme une chienne …

- Oui ! Vas-y, baise-moi … fais vite !


Il entoure mon torse de ses deux bras et m'envoie un grand coup de boutoir … deux … trois … quatre …

- Aaaaaah … putaiiiiiiiiin !


Il jouit . Il avait dû bien s'exciter et beaucoup se branler, et il était déjà au bord de l'éjaculation quand il m'a pris. Oui, c'est ça que je veux. Je lance à la cantonade:

- Oui, c'est ça que je veux … deux ou trois coups de bite, et vous jouissez … Allez, suivant !


Il se retire. Je me cale bien, les mains sur la table, les jambes écartées, les reins cambrés. Un autre contre moi, je ne sais pas lequel, ses mains sur mes hanches … sa queue dans mon cul … 

- Fais vite, hein …

- T'inquiète …


Planté au fond de moi … il ressort … lentement … de nouveau au fond de moi … il ressort lentement … au fond de moi … et …

- Hhhhhhhhhmmmmmm ! Nom … de … dieuuuUUUU !


Dans mon anus, je ressens chaque spasme de son membre au passage de son sperme. Je sais que, tout au fond de mes chairs, il est en train de répandre sa semence, il est en train de me féconder . Je ne peux réprimer un  gémissement de plaisir … il a fini … il se retire en me donnant une claque sur la fesse …


Je m'accoude sur la table et je pose mon front dans mes mains croisées. Je sens une main dans ma raie … des doigts dans mon cul … qui pataugent dans le foutre … qui m'ouvrent … la tête dans les mains, je miaule … des doigts qui m'étalent ce yaourt tiède dans la raie, sur les fesses … un ventre contre moi … une queue en moi … un ventre claque contre mes fesses dans un bruit mouillé … encore … encore … encore … encore … le ventre plaqué contre mes fesses … immobile … pas un cri, pas un mot … seulement un halètement entre ses mâchoires serrées … il jouit . Oooh oui ! C'est comme ça que je veux que vous me baisiez ! Je gémis. Il se retire.


Une présence derrière moi, contre mes mollets … qui m'essuie les fesses avec un papier … entre mes fesses, un poing serré qui guide une queue vers mon cul … une bite en moi … encore une bite … combien de bites, aujourd'hui ? Combien de mâles m'ont couvert, m'ont sailli, m'ont pris ? Ses deux mains à plat sur mes fesses, il va et vient … je ne peux pas m'empêcher de compter … trois … quatre … mesurer leur excitation … six … sept … mesurer leur désir … neuf … il hésite … dix … et il jouit  … il me caresse les reins, se retire sans un mot.


- Tourne … je vais te baiser sur le dos …


Quoi ? J'ai un instant d'hésitation. Il insiste:

- Tourne-toi et mets-toi sur la table … je te baise sur le dos …


Je me retourne. C'est le plus vieux de la bande … la cinquantaine grisonnante et bedonnante de ce matin.

- Assis-toi sur la table …


Je retends vite fait mes bas et je rajuste grossièrement mon porte-jarretelles à demi vrillé sur mes reins, et je m'assieds. Il me pousse en arrière d'une main en me retenant de l'autre par l'épaule. Tiens, je remarque seulement maintenant que je bande. Mon excitation n'était donc pas uniquement cérébrale. Je m'allonge sur le dos et je croise les mains sous ma nuque. Il me relève les jambes, me pose les chevilles sur ses épaules, vient plaquer son ventre contre mes fesses. Je sens le cocktail crémeux s'écouler de mon cul. Tout en guidant sa queue vers mon fourreau:

- Je veux que tu me voies te baiser … T'aimes ça, voir les mecs te baiser ?

- Oui.

- t'es vraiment une sacrée salope …

- Oui.


Il va et vient.

- J'en connais, des salopes … mais toi, t'es … t'es la plus salope que j'aie vu …

- Tu trouves ?

- … et de loin …

- Merci.


Ses deux mains sur mes genoux, il ferme les yeux, rejette la tête en arrière, et bouche grande ouverte, il pousse un long Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh en continuant à aller et venir. Je ne sens pas sa queue tressauter, mais de toute évidence, il a joui . Il rouvre les yeux, se redresse;

- Ouais … des femelles, des vraies, qui aiment la bite, j'en connais … des tapettes aussi … mais des qui se font passer dessus comme ça … par … par autant de mecs …


Il se retire. Je replie les jambes, attendant le suivant. C'est le type un peu mou, un des premiers que j'ai … salués ce matin. La position lui convient. Il m'écarte les cuisses, ne sachant pas trop quoi faire de mes mollets. Je les passe autour de sa taille. Les mains sur mes cuisses, il doit être assez raide et dressé pour me pénétrer comme ça, sans avoir besoin de guider sa queue de la main. Yeux mi-clos, bouche entrouverte, il s'enfonce doucement en moi en haletant sourdement. De toute évidence, tout en savourant la lente progression de son membre dans mes chairs, il scrute mon visage, observe mes réactions. Le voilà le ventre tout contre moi … sa bite au fond de moi, immobile, et … ce que je sens contre mes fesses … oui, c'est ses couilles ! Je me cambre un peu plus, et, comme lui, yeux mi-clos et bouche entrouverte, je presse, comme par réflexe, mes mollets contre ses reins. Oui, vas-y ! Jouis ! Vide-toi dans mon ventre ! L'effet est immédiat: il rejette sa tête en arrière, recule un peu son bassin et revient le plaquer violemment contre mon cul en éjaculant  … encore… encore … accompagnant chaque coup d'un bref " ha ! " … " ha ! " … " ha ! "  … " ha ! " … " haaaaa ! " … Voilà … il a fini.  Il se retire lentement, baisse les yeux vers son sexe, le saisit, et je le sens qui le presse en frottant son gland contre mon anus … Puis il écarte mes genoux, dénouant mes mollets de derrière ses reins, et s'éloigne. 


Je reste sur le dos, jambes relevées, attendant une nouvelle saillie … Personne … Je relève la tête et regarde à droite et à gauche. Apparemment, les cinq ou six qui faisaient la queue sont tous passés. Le dernier, le type finalement pas si mou que ça, est en train de se rincer la queue au tuyau d'arrosage que j'ai employé un peu plus tôt. Tout le monde ou presque semble se désintéresser de moi. Deux ou trois finissent de dresser la table et de disposer les plats. Plusieurs sont déjà attablés, un verre à la main, prêts à manger. Les autres discutent, debout près des tables ou autour du barbecue. Seuls, un ou deux, me regardent en souriant. Je glisse ma main vers mon bas ventre. Du sperme a coulé sur mes couilles et ma queue et me tire un peu la peau, comme de la colle, là où il a commencé à sécher. J'en ai aussi plein le périnée. Je poursuis mon exploration entre mes cuisses. Des coulures ont même souillé le haut de mes bas. Putain, j'ai la semence de combien de mecs, sur moi … et dans moi ?

 

Le sperme frais ne sent pratiquement rien, mais la mixture que ces types ont élaborée dans mon ventre pendant la dernière demie heure a déjà commencé à se dégrader et son odeur si particulière arrive à mon nez. C'est le mélange de combien de spermes ? Combien de mecs m'ont baisé sur cette table ? Huit ? Dix ? Je pose les doigts sur mon anus. Waouhhh, drôle d'impression ! Comme si les muscles de mon sphincter étaient ressortis ! Je le palpe mieux: non, il est seulement un peu … boursouflé … non, tuméfié … non, même pas … légèrement enflammé … brûlant et … hypersensible, oui, c'est ça, hypersensible … En tout cas, c'est une sensation délicieuse, sans doute conséquence de ces dizaines – de ces centaines ? – de va et vient de queues dans mon cul … Encore béant après la dernière saillie, il déborde de liqueur qui s'écoule, gluante, sur mes fesses. 


D'un même mouvement, je me redresse et je descends de la table pour aller me rincer le cul au robinet près du hangar. Mes fesses glissent l'une contre l'autre avec des bruits de bulles. Un pied posé sur une chaise en plastique, je m'introduis dans le cul l'extrémité du tuyau qui débite l'eau fraîche à gros bouillons. Je sens la fièvre de mon fourreau se calmer, mon sphincter se contracter sur le tube de plastique. Tant qu'à faire, je me rince aussi les fesses et les cuisses, trempant au passage mes bas et mon porte-jarretelles, et je finis par une douche complète. Je rajuste tant bien que mal ma lingerie mouillée qui refuse de glisser sur ma peau. Je me sens bien, humide et frais dans la chaleur de cette fin d'été.


Il n'y a rien à faire, bien qu'ils m'aient sans doute tous fourré leur queue, la vue de cette bande mecs me trouble toujours autant. Seuls, quelques uns, timides ou frileux, ont gardé ou remis leur T-shirt. Beaucoup de bites sont maintenant au repos, plus ou moins ratatinées, le gland caché dans leur prépuce un peu fripé, mais il y en a encore pas mal en semi érection, un peu gonflées, un peu pendantes … sans doute pour certaines le simple plaisir d'être nues, pour d'autres l'effet de l'alcool, ou un reste d'excitation … quoi qu'il en soit, j'ai toujours autant envie de les tripoter … simplement, de les prendre entre mes doigts et de les malaxer … les ratatinées comme les autres.

party boys8

Je ne suis qu'à quelques pas d'un trio en train de discuter près de la rangée de tables. Il y a là, face à moi, le grand type maigre qui m'a roulé des pelles en me baisant, ce matin, et le petit blond bien monté; en voilà deux qui bandent à moitié. Et le troisième, qui me tourne le dos … on dirait l'ours velu. Tous trois sont complètement à poil et bavardent, un verre à la main. Je les observe à distance. C'est une drôle de sensation, de voir ces trois types qui m'ont baisé chacun leur tour, et qui discutent, à poil, tout aussi naturellement qu'ils le feraient dans un troquet. De quoi parlent-ils ? De moi ? De mon cul ? Ou seulement de foot et de bagnoles ? Ils m'ont baisé tous les trois, alors c'est quoi… mes amants ? Oui, d'une certaine manière, c'est … mes mecs … Je sais bien qu'on ne dit pas ça d'une aventure d'un jour, mais j'ai bien l'impression, à la façon dont ils m'ont baisé, qu'ils ne demanderaient pas mieux que d'établir une relation durable avec moi … le grand type maigre et l'ours, en particulier. Et puis, ça me plaît bien de voir les choses comme ça: ces trois mecs-là, c'est mes hommes, mes mâles … Et les autres aussi … enfin, ceux qui m'ont baisé … eux aussi, c'est mes mâles: Hamid … la brute tatouée … l'obèse qui m'a fait jouir … Philippe … le blond à la coupe en brosse et le type un peu mou qui m'ont baisé dans la salle de bain … et les autres … tous les autres … tous ceux qui m'ont fourré par derrière sans que je voie leur gueule … dans l'écurie … sur cette table … Tous ces mecs, c'est mes mecs  … c'est mes mâles ! 


Le grand type maigre et le petit blond se rendent compte que je les observe, à quelques pas d'eux. Ils me regardent en souriant. Le troisième se retourne – c'est effectivement l'ours – et s'écarte un peu pour me laisser entrer dans leur … cercle. Lui est au repos. J'approche, je m'insinue au milieu du trio et, sans un mot, je prends dans une main la bite du grand type maigre, et dans l'autre celle du petit blond. Ils se regardent, mi étonnés, mi amusés … Je soupèse leurs sexes, je les effleure délicatement, je les caresse … Leur contact, sous mes doigts, dans la paume de mes mains … quel plaisir ! Ils restent impassibles, mais je sens leurs membres réagir imperceptiblement … D'autres, derrière eux, m'ont vu finir mes ablutions et approcher du trio, et voient maintenant - ou devinent - ce que je fais. Ils se poussent du coude, murmurent, commentent, se déplacent pour mieux voir … Le grand type maigre, le regard pétillant, pose sa main sur mon poignet et le caresse. Il apprécie ce que je lui fais. L'autre est plus sur la réserve … 

preparation-physique

Puis je les lâche, je quitte leur cercle et je m'avance au milieu du reste de la troupe, effleurant au passage, ici un zizi frippé, là une bite pendante, plus loin une paire de boules … tous ceux qui sont à portée de ma main y ont droit.  Pendant que j'avance parmi eux, des doigts frôlent mes reins, des mains effleurent mes fesses … Et soudain, devant moi, la brute tatouée, assis au bord d'une table.  Tandis que les autres s'écartent, il me regarde approcher, un sourire goguenard sur les lèvres. Sa queue est dans le même état que ce matin, quand nous avons fait … connaissance: longue, gonflée, décalottée … Au repos, la bite de ce type est plus grosse que beaucoup d'autres en érection. Un canette de bière à la main, il attend, sûr de lui. Il sait l'effet que me fait sa queue, il sait le pouvoir qu'elle exerce sur moi. Je m'avance. A quelques centimètres de lui, je pose ma main droite sur ses reins et je lui effleure le torse de la main gauche. Je passe mes doigts sur son ventre, je le caresse … je prends sa queue dans la main … il ne bouge pas … je regarde autour de nous … les autres nous observent en souriant, et je sens qu'ils attendent quelque chose de moi, avec comme un encouragement dans leurs yeux pétillants. Alors, je passe le bout de mes doigts sur sa verge, puis je me penche, je pose mes lèvres sur son sternum, sur son ventre … je redresse son sexe à l'horizontale, je pose des baisers tout au long de sa hampe … et je finis par prendre son gland dans ma bouche. 


Eclats de rire ! Applaudissements ! Commentaires !


Je fais quelques va et vient de la bouche sur sa queue, et brusquement, je la sors d'entre mes lèvres, je me redresse et:

- Bon. On mange ?


Nouveaux éclats de rire. Alors que je me tourne pour m'éloigner de lui, le tatoué m'attrape par le bras, se redresse, pose sa canette sur la table et m'attire contre lui. Une main plaquée dans mon dos, il me serre contre lui, m'empoigne une fesse de son autre main. Il plante ses yeux dans les miens. Je passe mes bras autour de son cou. Sa main qui me pétrit la fesse s'égare dans ma raie, ses doigts glissent jusqu'à mon fourreau, s'y pressent, comme prêts à s'y enfoncer. Hhhhmmmm, ce que c'est bon ! Dans son regard, je lis que, tout à l'heure, ce n'est pas ses doigts qu'ils mettra à l'entrée de mon étui ! Je lis même que, non seulement il va me baiser, mais qu'il va m'en foutre une bonne pétée. Je sens encore sa queue qui pend contre mes cuisses et, tout à la fois, je ressens une furieuse envie qu'il me baise là, tout de suite, ainsi qu'un trouble plaisir à faire durer cette attente, comme un délice de frustration dont je sais qu'il se conclura par une jouissance d'autant plus forte que l'attente aura été longue. Et, à ma grande surprise, il penche la tête et pose ses lèvres sur les miennes. Surpris, j'ai un réflexe de recul, puis je sens sa langue qui force mes lèvres. Alors j'ouvre la bouche et nos langues s'entremêlent. C'est une pelle passionnée, ardente, impétueuse que nous nous roulons ! Je n'en reviens pas que ce mec, cette espèce de brute épaisse, me roule un tel patin ! Ça ne colle vraiment pas à son image … virile … plus que virile … brutale ... Tout à ce fougueux et surprenant baiser, je perçois confusément de nouveaux éclats de rire, applaudissements et commentaires !


Et tout aussi brusquement, la brute s'écarte de moi, me repousse et me donne une claque sur le cul. Il me faut trois secondes pour m'en remettre, et je réitère:

- Alors, on mange ?


C'est comme un signal: dans une espèce de tumulte, les autres s'assoient ou cherchent une place en reprenant leurs conversations. Ils doivent avoir faim ! Philippe, à quelques mètres de moi, me fait signe d'approcher, et me désigne un fauteuil de jardin. Tandis que je m'assois, il me demande:

- Tu as vu Jean-Claude ? Je ne sais pas où il est …


Jean-Claude est à l'autre bout de la cour; en train d'accueillir son copain traiteur qui, de retour, gare sa camionnette. Je le dit à Philippe qui, pour leur garder des places à côté de moi, fait déplacer deux types déjà installés à mes côtés.


Les plats circulent, les verres se remplissent. Beaucoup se jettent sur la bouffe avec appétit, comme après un effort. Je me dis que j'y suis pour beaucoup: après que je leur aie vidé les couilles, il faut qu'ils se reconstituent, comme on dit … Jean-Claude arrive, suivi de son pote qui regarde, les yeux ronds, cette assemblée de mecs à poils. Le commerçant porte une chemisette à discrets carreaux et un long bermuda beige. En tenue "civile", il est assez quelconque. Jean-Claude dépose deux gros cartons sur notre table et explique:

- C'est des flûtes … mon pote nous offre le Champagne … 


Se tournant vers son pote:

- Vas-y, mec, approche, avec ton Champagne …


Hésitant, intimidé, l'autre pose à son tour deux cartons de Champagne sur la table:

- Il est frais, il était dans ma chambre froide …


Des mecs l'acclament, déballent les flûtes, sortent les bouteilles et les font circuler. Philippe:

- Asseyez-vous … on vous a gardé des places, à côté de notre … à côté de Marin …


Ils contournent la rangée de tables et viennent s'asseoir, Jean-Claude à ma droite et son pote à ma gauche. Le copain traiteur dégage une fraîche odeur de déodorant et il a les cheveux encore humides. Je parie qu'il a pris une douche avant de revenir. Il ne sait pas trop où poser les yeux, apparemment gêné de se trouver ainsi au milieu d'une bande de types à poils. Je me demande si c'est la nudité des autres qui l'embarrasse, ou le fait qu'il soit le seul habillé … avec Jean-Claude. 

Philippe:

- Merci pour le Champagne … c'est sympa. Tu t'appelles comment ?

- Moi ? C'est Alexis.

- Tu sais, Alexis, tu peux te mettre à l'aise … à poil, comme tout le monde … 

- Je … je sais pas … tout à l'heure … 

- Toi aussi, Jean-Claude …

 

 

Je sens qu'Alexis me regarde à la dérobée, examinant sans doute le mec qu'il est revenu se taper.

Philippe:

- Jean-Claude … déshabille-toi … ton copain n'osera pas si tu reste comme ça …


Jean-Claude hésite un instant et, à ma grande surprise, se lève, déboutonne et ôte sa chemise, détache sa ceinture, fait sauter le bouton de son pantalon et descend son zip. Je ne veux pas manquer ça et je le regarde, aussi fasciné qu'étonné. Des convives applaudissent, sifflent, comme devant un strip-tease de danseuse. Cette fois encore, il ne porte rien sous son pantalon et, quand il commence à le baisser, les sifflets d'admiration redoublent. Si eux découvrent son gros engin, moi, je l'ai déjà vu, mais il me bluffe toujours autant. Ouaaaaaahhh, quelle queue ! Et quelle paire de couilles ! Les mecs les plus éloignés ne voient pas ce qui déclenche tant d'enthousiasme et de commentaires (j'entends plus ou moins prononcer les mots de nature, de gâter, d'injustice, de concurrence déloyale, de conversion ...), et se lèvent pour regarder. Jean-Claude finit d'enlever son pantalon, lance ses vêtements sur la balle de paille la plus proche, et se rassoit, gêné. Je n'arrive pas à détacher mon regard de ce qui repose, mollement, entre ses cuisses, sur le plastique de sa chaise de jardin.


- Hé !

C'est Philippe qui, s'adressant à moi, me lance un clin d'œil en désignant Alexis d'un coup de menton. Compris. Je me tourne vers le traiteur:

- Tu vas rester comme ça ?

- Beeen … comment ça ?


Les accoudoirs de mon fauteuil me gênent. Alors, je le tourne vers Alexis, je pose mes mains sur ses genoux, et je l'oblige à me faire face. Il résiste mollement, et finit par se laisser faire. J'entreprends de déboutonner sa chemisette. J'ai un peu de mal avec les minuscules boutons, et je décide d'employer les grands moyens: je saisis les pans de la chemisette et je la lui enlève d'un seul coup par-dessus la tête, comme un T-shirt. Sifflets, applaudissements. Je balance la chemisette sur un rouleau de paille et je me penche vers son ventre pour déboutonner son bermuda. Il grommelle je ne sais quoi, se tortille, fait mine de repousser mes mains. Mais j'insiste:

- Tu es revenu pour me baiser, non ?

- …

- et tu comptes me baiser en restant habillé ?


Il cède. Ce n'est pas un zip, mais des boutons. Premier bouton … deuxième bouton … tendu, penché en arrière, il rentre son ventre … troisième bouton … il tremble … quatrième et dernier bouton … J'écarte les pans du bermuda. La ceinture d'un caleçon apparaît. Je me redresse, je le regarde, et je glisse ma main entre son ventre et la ceinture du caleçon … d'ailleurs, ce n'est pas un caleçon, mais un boxer … moule-bite. Il a le souffle coupé, les yeux écarquillés. Sous mes doigts, une touffe de poils, dense, puis sa queue, recroquevillée dans le gousset du slip, mais je la sens, chaude dans ma main. Elle n'a pas l'air bien grosse, ni très vaillante, mais un frisson de plaisir me parcourt de la nuque à l'anus, et une espèce de décharge électrique contracte mon périnée et ma prostate. Brusquement, je sens … ou plutôt je réalise que ma rondelle est en contact direct avec le plastique de mon fauteuil … comme si mon cul s'était ouvert par réflexe à la perspective d'accueillir un nouvel étalon … Autour de nous, on regarde ce qui se passe. Certains se sont levés et approchés. 


La queue d'Alexis est coincée dans son slip et j'ai du mal à la redresser pour l'extraire. Je sors ma main, j'empoigne les deux pans du bermuda, et:

- Aide-moi … soulève-toi un  peu …


Il obtempère en regardant autour de nous d'un air effarouché. Je descends le bermuda et le boxer d'un seul mouvement sur ses mollets. Je pose mes mains sur ses genoux et, tout en les écartant, je m'accroupis devant lui. 

- Non … attends … qu'est-ce que tu …


Il proteste, de plus en plus affolé. Pour le rassurer, je pose une main sur son ventre et je le caresse:

- N'aie pas peur … Tu es revenu pour du sexe, ou seulement pour manger avec nous ?

- Oui, mais … je pensais pas que …

- Tu ne veux pas que je te suce un peu ? Après, on mange, et cet après-midi, tu me feras ce que tu voudras … D'accord ?

- B … bon … d'a… d'accord …


Son petit Jésus disparaît presque au milieu de sa touffe de poils pubiens. Je plonge vers son ventre pour prendre son sexe entre mes lèvres. Mon front bute contre son abdomen. Il est tendu, contracté, mais je sens qu'il se penche tout de même un peu en arrière pour me faciliter les choses. Voilà, j'ai son gland dans la bouche. Je le serre doucement entre mes lèvres, je caresse son méat du bout de ma langue en m'efforçant de la glisser entre son prépuce et son gland. Je le sens réagir immédiatement. Son gland gonfle un peu et sa verge s'allonge dans ma bouche. Hhmmmm, c'est très agréable de le sentir commencer à bander sous l'effet de ma fellation. Je serre mes lèvres un peu plus et j'enfonce son sexe dans ma bouche. Son gland se décalotte et s'épanouit entre ma langue et mon palais. Ooooh putain ! Décidément, j'adore ça, sucer des mecs ! J'ai probablement autant de plaisir qu'eux à leur tailler une pipe ! Et c'est encore meilleur de le faire quand d'autres mecs me regardent. Je vais et je viens sur sa bite de plus en plus raide. Et soudain, il prend mon visage dans ses mains, très délicatement, et il me repousse pour se dégager:

- Ah … arrête … s'il te plaît … arrête … je vais … 


Je serais bien allé jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'il jouisse dans ma gorge, mais je ne veux pas le brusquer. Je sors sa bite en érection de ma bouche:

- Comme tu veux … mais ça me plaisait … dommage …


Il regarde autour de nous, honteux … les quelques autres qui continuaient de regarder ont des mimiques approbatrices, l'un d'entre eux lève son poing serré, pouce levé, un autre applaudit discrètement. Ça semble le rasséréner. Tandis qu'il "rhabille" maladroitement son gland dans son prépuce, je me relève. 


En me rasseyant, je vois Jean-Claude, qui s'était sans doute tourné sur sa chaise pour contempler le spectacle, reprendre précipitamment sa place à table. Je n'y prête pas plus attention que cela, jusqu'à ce que mon regard, irrésistiblement aimanté par son bas ventre, tombe sur sa queue … dressée à la verticale … raide … les veines saillantes … le gland gonflé … le méat humide … Le début de pipe que je viens de tailler à son copain l'a excité. Ooh, Jean-Claude, quelle bite ! C'est plus fort que moi, je tends la main vers cette merveille, et:

- Ooooh, Jean-Claude, ta biiite ! Tu bandes … Je peux ?


Il repousse ma main:

- Non … laisse !

- S'il te plaît … laisse-moi te sucer aussi …

- Non !


Je minaude, je me fais chatte, le poignet sur son épaule, je lui caresse la joue:

- Allez, Jean-Claude, s'il te plaît … laisse-moi te sucer un peu …

- NON !

- Ils m'ont tous baisé … et ils vont recommencer … ton pote Alexis aussi, il va me baiser … tu vas être le seul qui me sera pas rentré dedans … allez, s'il te plaît … je te suce rien qu'un peu …

- NON ! Arrête, ou je me barre …


Il fait mine de se lever. J'avais cru qu'il jouait, mais je réalise qu'il est vraiment en pétard. Toujours la présence de témoins ? Pas la peine d'insister, il ne ferait que se braquer davantage. Je m'écarte en poussant un long soupir de déception. Je me rends compte que ça a jeté un froid, au moins parmi ceux qui sont directement autour de nous. C'est le gros poussah, celui qui m'a écrasé sous son poids ce matin, qui détend l'atmosphère:

- T'inquiète, si tu veux encore sucer de la bite, tu vas en sucer de la bite … à commencer par la mienne …


Philippe enchaîne:

- Tu … tu en as sucé combien, depuis ce matin ?

- Bah ! Aucune idée … six ou sept … J'ai pas compté …

- Seulement ? Bon, attends …


Il se lève et lance à la cantonade:

- Qui s'est fait sucer par Marin, ce matin ? 


Des mains se lèvent.

- Quatre … six … huit … neuf … onze … douze … quatorze … 


Il se rassoit:

- Tu vois ? Quatorze. Tu en as sucé quatorze !

- Oh non, pas tant que ça …

- Ben si, ils ont levé la main …


Une voix s'élève, au bout de la rangée de tables:

- Moi, il m'a sucé ET ... il a même avalé , c'te salope !


Eclats de rire. Je me penche pour voir de qui il s'agit. Je le reconnais, c'est le tatoué … pas la brute, l'autre, celui qui a une paire d'ailes tatouée sur le bas-ventre. Une autre voix:

- Ouais, moi pareil … moi aussi, il a avalé ! Et j'ai la preuve !


Ça, c'est le type au smartphone, celui qui m'a filmé pendant que je le suçais … D'ailleurs, il brandit fièrement son appareil. Philippe se relève:

- Bon, alors … qui s'est fait sucer … et lui a … éjaculé dans la bouche ? Alors … deux … cinq … sept … huit … C'est tout ? Ouais. Bon, tu en as sucé quatorze en tout, et seulement huit t'ont éjaculé dans la bouche… enfin … "seulement" … c'est déjà pas mal …

- Moi, il m'a sucé, mais je me suis retenu … et après, je l'ai baisé …


C'est Hamid, assis en face de moi, un peu sur ma gauche.

- Pareil ! Il a commencé en me taillant une turlute … mais je lui ai pas juté dans la gueule … mais après, je lui en ai foutue une bonne pétée dans le cul !


Ça, c'est le gros poussah ! Philippe se lève de nouveau:

- Bon, alors, écoutez, les mecs … Hé ! Ecoutez ! Maintenant, on va compter ceux qui l'ont baisé … mais baisé à fond, hein … ceux qui lui ont éjaculé … éjaculé dans le cul … hein, compris ? Alors … six … neuf … onze … quatorze … Oh, la vache ! Seize … dix-neuf … vingt-deux … Putain ! Vingt-cinq … et moi aussi, vingt-six ! Oh putain, mec … tu t'es fait … tu t'es fait baiser vingt-six fois ! 


Déchaînement de cris, de sifflets, de rires, d'applaudissements ! 

Pendant que les commentaires vont bon train autour des tables, Philippe se rassoit et me dévisage:

- Putain, tu t'es déjà fait baiser vingt-six fois, ce matin ! Baiser et … et …


Il ne trouve pas le mot. Je lui souffle:

- … baiser ET féconder …

- Ouais, c'est ça, baiser ET féconder !

- Ben oui … c'était le but … Pendant que tu comptais, tu as pu voir ? Tout le monde m'a baisé ?

- Euh, non, je sais pas … On est combien, en tout ? Attends …


Il se lève pour la troisième fois:

- … quatre … six … dix … seize … vingt … vingt-quatre … vingt-six, vingt-sept, et avec moi vingt-huit …  et … Alexis … vingt-neuf. Ouais, si tout le monde est là, on est vingt-neuf … donc … non, sur les vingt-neuf, on est que vingt-six à t'avoir … Il y en a trois qui t'ont pas baisé … Jean-Claude … Alexis … Alexis pas encore, mais … et puis, il y en a un autre qui t'a pas …


Haussant le ton, il enchaîne:

- Qui est-ce qui a pas baisé Marin, aujourd'hui ? Enfin, qui lui a pas … éjaculé dans le cul … 

- Moi ! Je l'ai baisé, mais j'avais mis une capote …


Le petit blondinet bien monté ... c'est vrai. Philippe se rassoit:

- Ben voilà … le compte est bon … La vache ! Non, mais, tu te rends compte ? Y'a des putes qui se font pas autant de mecs dans une journée ! Putain, si tu voulais, avec ton cul, tu pourrais te faire du fric ...


Il lève sa flûte de Champagne et la tend vers moi:

- Alors, à toi ! A toi et à ton … à ton cul !


D'autres lèvent leur flûte ou leur verre:

- A ton cul !

- A ton cul !

- A ton cul !

- A ton cul  de salope !

- Ah ouais ! Quelle salope !

 

J'attends que le toast se termine et je demande:

- Moi, je voudrais savoir ... parmi vous, lesquels sont mariés, ou en couple ... avec une femme ou avec un homme ...

 

Moment de gêne autour de moi. Philippe hésite une seconde, puis:

- Moi, je suis marié ...

- Qu'est-ce qu'il veut ?

- Il veut savoir qui est marié, ou en couple ...

- Moi ...

- Moi ...

- Moi aussi ...

 

Philippe se lève à nouveau:

- Qui est marié ou en couple ? Levez la main ... six ... huit ... douze ... quinze ... dix-sept ... dix-neuf ... vingt ... ving-trois ... avec une femme ou avec un mec ? Qui avec un mec ? Personne ? Voilà ... vingt-trois ... 

 

Il se rassoit:

- Pourquoi tu veux savoir ça ?

- Comme ça ...


Et les conversations et les agapes reprennent tout autour des tables. Je n'en saisis que quelques bribes, mais il est beaucoup question de cul … du mien, mais pas seulement … c'est le déballage général de leurs souvenirs de baise. Très bien, ça va les entretenir dans l'ambiance et, j'espère, leur donner des idées … A côté de moi, Alexis paraît détendu et je sens que, tout en écoutant les discussions, et en mangeant, il ne me quitte pas des yeux.


Philippe, s'adressant à moi:

- Ça va ?

- Très bien …

- T'as pas … t'as pas mal ? Je veux dire … après toutes ces … t'as pas mal au cul ?

- Après toutes ces queues, tu veux dire ? Non … je n'ai pas mal, mais il était devenu … super sensible. C'est très agréable. Et puis, tu sais, mon cul en a vu d'autres …

- Des queues ?

- Des queues … des godes … des jouets de toutes sortes … et du gros …

- Oui, mais là, c'est le … le nombre ! T'avais jamais … t'avais jamais eu … autant de mecs …

- Non.

- Tu m'as dit huit mecs, une fois …

- Oui. Et trois autres, avant ces huit …

- Ouais, trois, une rigolade … pour toi …

- Oui, mais c'était les premiers à … à me prendre en même temps …

- Raconte …


Alors, tout en mangeant et en buvant, je raconte … 

 

à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Profil

  • Solosexe
  • homme hétéro, amateur, aimant les plaisirs solitaires, porter de la lingerie féminine et les introductions anales

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés