Récits pornographiques

Dimanche 18 décembre 2016 7 18 /12 /Déc /2016 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

"Là-bas", il y a un amoncellement de mobilier: chaises, dessertes, guéridons, tables, entassés n'importe comment. Qu'est-ce qu'il veut qu'on aille faire "là-bas" ? Tout en déchirant d'un coup de dents l'étui de la capote, il me fait signe de le précéder. Je me décolle de la table et j'avance, le type sur mes talons. Mes fesses, lubrifiées par le gel que Jacky m'a fourré, glissent l'une contre l'autre. Très agréable. J'entends Jacky et "petite bite", dans l'escalier, qui redescendent dans le café. Des éclats de voix arrivent du rez-de-chaussée. Ça s'engueule, en bas, ou ça rigole ?

 

Ah, OK ! En approchant du coin que le type m'a désigné, je m'aperçois qu'au milieu du capharnaüm, il y a un comme espace un peu plus … organisé. Ah oui, c'est même carrément … un lit ? Non. Sous une sorte de grande nappe rouge, je vois des poufs en cuir … trois, les uns à côté des autres … et, à vue de nez, il doit bien y avoir cinq ou six rangs de trois. Ça forme comme … un sommier. Le tout est coincé entre des tables renversées, plateaux à la verticale, de façon à maintenir bien serrés les uns contre les autres la quinzaine de poufs. Les tables elles-mêmes sont bloquées par d'autres meubles posés sur et contre leurs pieds. Ce … ce lit de poufs, ça doit être leur baisodrôme. Ça me rappelle la façon dont les mecs de mon gang bang chez Jean-Claude avaient installé la "scène", avec des rouleaux de paille maintenus par des sangles.

 

Je me jette dessus à plat ventre. Ouais, pas mal ! C'est assez ferme et les poufs n'ont pas bougé.

 

- Dis donc, t'es pressé !

 

Le joueur de dés m'a rejoint. Je tourne sur le côté pour le regarder. Jambes écartées pour retenir son pantalon qui glisse sur ses cuisses, il est en train de dérouler sa capote sur sa bite:

- J'vais te baiser par derrière.

- En levrette ?

- Non. Reste allongé sur le ventre, comme t'étais.

 

Il a fini de d'habiller sa bite. Elle est vraiment pas mal. Pas aussi belle et grosse que celle de Jacky, mais pas mal. Il bande, mais pas aussi fort que Jacky et sa queue pend entre ses jambes. Il ôte ses tennis et son pantalon, puis sa veste:

- Allez, tourne-toi.

 

Je m'allonge sur le ventre, j'écarte les cuisses et je me cambre. Rien que de me mettre en position comme ça pour me donner à un mec, ça me plaît. Le nez sur l'espèce de nappe qui recouvre les poufs, je passe mes mains derrière moi, je m'empoigne les fesses et je m'ouvre à lui, à sa pénétration. Vas-y, prends-moi ! Je l'entends rire derrière moi. Hhhhmmm, l'odeur du cuir des poufs traverse la toile de la nappe, j'adore. Entre mes pieds, je sens le matelas improvisé s'affaisser quand le type monte dessus. Ah, putain, m'offrir comme ça à un inconnu, me donner à lui sans réticence, lui ouvrir le plus intime de mon intimité, l'inviter à introduire son sexe en moi, c'est une volupté indicible ! Me donner à un inconnu, je trouve ça encore plus excitant que de me donner à un type que je connais. Je me sens encore plus salope ! Ses genoux contre mes genoux, il pose ses mains de part et d'autre de mon torse. Dans un instant, ce type, dont je ne connais même pas le nom, va me pénétrer et me posséder, comme si j'étais sa femelle. J'ai hâte de le sentir m'écraser sous son poids. J'ai beau m'être déjà fait baiser par plusieurs dizaines de mecs, m'apprêter à recevoir un nouveau sexe, un nouveau mâle en moi, c'est toujours la même émotion. Curieusement, une idée saugrenue me traverse l'esprit: la jeune vierge qui se donne pour la première fois à son amoureux doit ressentir la même chose que moi en ce moment. Certes, je ne suis plus vierge, mais chaque fois qu'un nouvel organe masculin s'introduit dans mon fourreau, c'est comme si je perdais ma virginité. A chaque fois. Et j'adore ça !

 

Voilà, il a posé sa queue à plat dans ma raie et il la fait glisser de haut en bas et de bas en haut. Il étale le lubrifiant que les coups de bites précédents ont fait ressortir de ma fleur. Les poils de ses couilles me chatouillent l'entrecuisses. Par moments, je sens aussi ceux de son ventre me frôler les fesses. Un mec poilu. Finalement, ça ne me déplaît pas, les mecs poilus. C'est un symbole de masculinité, à défaut d'être un symbole de virilité. Quand sa verge effleure ma rondelle, je la sens frémir toute seule, impatiente de se faire pénétrer. Il s'affale sur moi. Putain, il pèse son poids, le gaillard. Il doit faire dans quatre vingt cinq ou quatre vingt dix kilos ! J'adore. Le mâle sur la femelle. Prends-moi la nuque entre tes dents, pénètre-moi, insémine-moi et fais-moi une portée ! Il ne s'est pas complètement laissé aller. A demi appuyé sur les coudes, il ne repose pas le haut de son torse sur mon dos. Mais je sens son souffle dans mon cou. Il sent bon. Parfum ou après-rasage ? Il glisse une main entre son ventre et mes fesses. Je le sens saisir sa bite et la guider. Ah yessssss , il entre ! Les mains toujours cramponnées à mes fesses, je ne peux retenir un gémissement. J'écarte un peu plus les cuisses, je me cambre un peu plus. Ah putain, ça y est, il est en moi ! 

 

Ah putain ! Ah, putain ! Ça me rend dingue ! Il presse son ventre contre mes fesses. Je sens son pubis plaqué contre mon coccyx. Oui, vas-y, entre ! Va tout au bout ! Enfonce ton sexe au fond de mes entrailles ! Ah putain, son gland enfoui au chaud dans mes chairs ! Pourquoi je l'ai laissé mettre cette capote ? Je voudrais qu'on soit chair dans chair, intimement mêlés. Je lâche mes fesses. Le bras gauche replié sous ma tête, je pose ma joue sur mon avant-bras. Je passe ma main droite derrière ma tête et je cherche la sienne. Surpris, il hésite, puis il pose son menton à l'angle de mon cou et de mon épaule. Je lui caresse la nuque. Il commence à aller et venir lentement. Seul son bassin bouge. La bouche tout près de mon oreille, il souffle:

- C'est vrai qu'on dirait une chatte.

- Qui, moi ?

- Non, ton cul.

 

Il rit, marque un temps, puis:

- Remarque, toi aussi, on dirait une chatte en chaleurs.

 

Il recule un peu sa tête, pose ses lèvres dans mon cou. Je sens ses lèvres, chaudes, sa langue tiède et humide. Hhhmmmm ! 

- Je voudrais que tu me baises sans capote.

 

C'est sorti tout seul. L'envie de me faire inonder le ventre de semence est plus forte que la prudence. Et puis, après tout, je ne connaissais pas davantage tous ceux qui me sont passés dessus à cru jusqu'ici. Trente types, l'autre jour ! Il a suspendu son mouvement. 

- Tu voudrais quoi ?

 

Il semble sidéré.

- Je voudrais que tu me baises sans capote. Que tu éjacules dans mon cul.

 

Il hésite, réfléchit. Puis:

- Mais … t'as pas peur ?

- Non.

- Et … et moi, je prends un risque si je te baise sans capote ?

- Non.

 

Il réfléchit encore une seconde, puis je le sens sortir sa queue de moi, se soulever, glisser de nouveau une main entre son ventre et mes fesses, fourrager du côté de mon périnée et me pénétrer de nouveau. Il s'affale encore sur moi et agite sa capote sous mon nez:

- Voilà.

- Merci.

 

Ça le fait rire que je le remercie. Maintenant, nous sommes chair dans chair. Plus intimement noués que cela, ce n'est pas possible. Il n'y avait pourtant pas grand chose entre nous, à peine quelques microns de latex, mais notre coït n'a plus rien à voir. Maintenant, c'est vraiment un mâle qui me baise, alors qu'il y a un instant, c'était … à peine différent d'un godemiché. Il a reposé sa bouche dans l'angle de mon cou et de mon épaule et il suce, tète et aspire ma peau. Je glisse mes deux bras replié sous mon torse, tête penchée en avant et je me cambre autant que je peux. Oui, comme une chatte en chaleurs qui offre son vagin à son mâle. Allez, matou, fais-moi des petits ! Sa bouche toujours collée à moi, il respire bruyamment par le nez. Il respire même de plus en plus fort, emporté par la jouissance qui monte. Essoufflé, il finit par décoller sa bouche de mon cou, et il se met à haleter. Il approche sa bouche à mon oreille et, entre deux halètements:

- T'es sûr, hein ?

- Oui ! Baise-moi ! Baise-moi !

- Rhâaaaaaaaaââââââaaaaaaaaa !

 

Il jouit. Je sens les soubresauts de sa queue dans mon anus. Il décharge sa semence dans mon ventre ! Une longue plainte s'échappe de ma gorge. Ah la laaaaaaa, il me féconde ! Il me féconde en continuant d'aller et venir en moi. Et puis, il arrête ses va et vient et se laisse complètement tomber sur moi, aspirant et soufflant de grandes goulées d'air sur ma nuque. Il rit. Je sens son ventre se secouer sur mes reins:

- Ah ah ah ah ah aaaah ! Puuuu…taiiiiin ! Quel pied !

- Ah, ça y est, t'as pris ton pied, Tiago ?

 

Une voix, derrière nous. La voix de Jeanneau. Concentré sur ce coït, je ne l'ai pas entendu arrive. Mon baiseur – Tiago, si j'ai bien compris – mon baiseur se soulève et se retourne:

- Ah ouais ! La vache !

- C'était bien, on dirait.

- Ouais. Je … pourtant, je croyais pas … avec un … avec un mec. 

 

Il sort de moi et se relève. Avant de descendre du lit improvisé, il me donne une petite claque sur une fesse, et:

- Merci, hein. T'es mon premier … travelo, et je suis pas déçu.

 

Je ne bouge pas. Tiago reprend:

- Ah ouais, Jeanneau, faut que je te dise … je l'ai baisé sans capote.

- Ah bon ?

- Ouais. C'est lui qui a voulu. Alors il faudra qu'il se lave, peut-être, avant que tu …

- Ah ouais ? Tu t'es pas retiré, tu lui as tiré dans le cul ?

- Voilà.

- Bon. J'ai ce qu'il faut. Bouge pas, toi. J'arrive.

 

Ça devait s'adresser à moi, il a ponctué son "bouge pas, toi", d'un coup de pied dans la rangée de poufs. Je me tourne sur le côté. Jeanneau s'éloigne vers l'autre bout de la pièce. Tiago est en train de se rhabiller. Il me sourit et s'inquiète:

- Ça va ?

- Ça va, merci. 

- Tu te fais souvent baiser comme ça … sans capote ?

- Oui.

 

Il remet ses tennis quand Jeanneau revient, un gros rouleau de papier absorbant à la main. Il le lance sur le "lit":

- Tiens, essuie-toi avec ça. Ça suffira. De toute façon, je vais mettre une capote.

 

Il exhibe un étui. Je déchire une bonne longueur de papier et je m'accroupis au bord du "lit". Pendant que Jeanneau ôte ses chaussures, je pousse un peu et, dans un bruit de bulles, j'expulse ce que Tiago m'a injecté. Pas mal ! Je m'essuie et je m'assois. Jeanneau déboutonne sa braguette et descend pantalon et caleçon:

- Va falloir m'aider. J'ai un peu de mal à bander, maintenant.

 

Il s'avance devant moi, entre mes pieds. Sa queue est très ordinaire, au milieu d'une touffe de poils grisonnants. Je lui caresse le ventre, puis je prends son sexe dans la main. Aucune réaction. Je caresse sa verge, son gland, je palpe ses couilles. Il remarque:

- Ça y est, tu te seras fait tout le monde …

- Comment ça ?

- On t'auras tous baisé, je veux dire.

- Euh, non. Il y a encore le mec en survêtement. Il y est pas passé, lui.

- Je sais. Mais il y passera pas. Je l'ai viré.

- Ah bon ? 

- Ouais. C'est une tête de con. Il a eu une embrouille avec ton pote. Il voulait le suriner.

- Ah ouais ? Lequel ?

- Le petit, là. Celui qui vous a amenés en bagnole.

- Nadir ?

- Ouais, Nadir. Il a fallu que je sorte ma batte, autrement, ton Nadir, il se faisait planter. Il s'est barré aussi, d'ailleurs. 

- Ah bon ? 

- Ouais. Vous allez devoir rentrer à pied. A moins qu'un de mes potes vous remmène ... si ils se sont pas barrés aussi, ceux-là. Bon, allez …

 

" Bon, allez ". Autrement, dit "suce". Alors, je le prends dans la bouche. Il ne sent pas la rose, le Jeanneau. Il semble imprégné des odeurs de son troquet. Il sent aussi la clope froide, genre Gauloise ou Gitane … et la sueur … et un peu la crasse, aussi. Bof, je m'en fous, j'ai sa bite, toute molle, dans la bouche. Ses balloches dans une main, je tourne ma langue autour de son gland. Des balloches assez grosses, et qui pendent sacrément ! Peu à peu, en passant le bout de ma langue entre son gland et son prépuce, je le décalotte. Il ne bande toujours pas. Moi, ça ne me dérange pas, j'aime assez sucer des bites molles. Mais il n'y a rien à faire, ça ne vient pas. J'ai beau essayer de le téter, de le branler entre ma langue et mon palais, de le serrer entre mes lèvres, de l'enfoncer aussi loin que je peux dans ma bouche, rien n'y fait ! Et je sens que ça l'énerve, il s'agite:

- Rhâ, putain, ça fait chier !

 

Je le sors de ma bouche:

- Je suis désolé, hein …

- Tu y es pour rien, c'est moi. J'ai envie, mais ça vient pas. Même avec les bonnes femmes, je peux plus.

- Faut que t'essaies le Viagra.

- Ouais. Faudrait.

 

Je le reprends dans la bouche. Il se laisse faire un moment, puis il repousse ma tête:

- Laisse tomber. C'est pas la peine, ça viendra pas.

 

Il recule et remonte caleçon et pantalon:

- Ça me fait chier … j'avais envie. Les autres m'ont dit que tu vaux le coup. Mais quand la mécanique veut pas …

- Je sais pas quoi te dire … Si, fais-toi prescrire du Viagra et appelle-moi.

- T'es gentille, ma poule. Je ferais peut-être ça. Bon, allez, on redescend.

 

Au moment où je me lève, Jacky émerge en haut de l'escalier, remontant du rez-de-chaussée. Il me fait signe:

- Attends, bouge pas ! J'ai deux mots à te dire.

 

Il s'approche. Qu'est-ce qu'il me veut ? En le croisant, Jeanneau lui dit:

- T'éteindras en redescendant, Jacky ?

- OK, Jeanneau. 

 

Il me prend par un coude et m'entraîne vers la table où il m'a baisé. Sur le guéridon d'à côté, il y a les trois capotes usagées, plus ou moins pleines de sperme. La trace, la preuve des coups de bites que j'ai pris. Jacky me tourne face à lui. 

- C'est ton mac, celui qui voulait nous filmer ?

- Mon mec ?

- Non, ton mac … ton maquereau.

- Denis ? Mon mac ?

- Ouais, ton homme, ton maquereau, ton souteneur, quoi … tu sais pas ce que c'est qu'un mac ?

- Si, je sais ce que c'est, mais Denis, c'est pas mon mac.

- C'est pourtant lui qui t'a amené ici pour qu'on te baise, non ?

- Oui, mais c'est pas mon mac.

- Tu fais ce qu'il te dit, tu lui obéis …

- Je lui obéis … non … je dirais pas ça. Là, j'ai fait ce qu'il voulait … parce que … ça me plaît.

- Hé, dis, arrête tes conneries ! Il t'amène ici pour que tu te fasses baiser par des mecs que tu connais pas, et non seulement il te demande pas ton avis, mais il te prévient même pas ! Et tu le fais quand même ! Tu te fais baiser !

- Ben … oui. 

- Ben ça, c'est obéir.

- Si tu veux. Mais je l'ai fait surtout parce que j'aime ça.

- Ouais, je te dis pas le contraire. On a vu que t'aime ça. Mais … tu te fais pas payer ?

- Ben non. Je vous ai pas fait payer …

- Et lui, il se fait pas payer ?

- Ben non. En plus, c'est la première fois qu'il m'amène comme ça, à des mecs.

- Il t'avait jamais amené à des mecs, avant ça ?

- Ben non. On se connaît seulement depuis quinze jours. Je l'ai rencontré à mon gang bang. Il vous a pas expliqué, Jeanneau ?

- J'avais pas compris que ton gang bang c'était seulement y'a quinze jours.

- Ben si, c'était y'a quinze jours. Je l'ai rencontré là, Denis. Yann aussi, d'ailleurs. 

- Yann ?

- Oui, le plus jeune. Les autres, je les ai rencontrés seulement ce soir, chez Denis.

- Et … ils t'ont tous baisé, tes potes ?

- Ce soir ? Non. Dominique, seulement. Les autres, je leur ai seulement taillé une pipe.

- " seulement taillé une pipe" ! Des mes que tu connais pas !

- Ben oui, comme vous.

- Alors, un type que tu connais que depuis quinze jours t'entraîne ici pour que tu te fasses sauter … et ça te paraît … normal … 

- Normal, je sais pas … mais ça me plaît, en tout cas.

- Et t'es vraiment sûr qu'il va pas nous demander du fric ?

- Ben, il te l'aurait déjà demandé, non ?

- Mouais ...

 

Il n'a pas l'air convaincu. Il réfléchit. Ça a l'air de le perturber. Il me regarde:

- Bon, enfin, si ça te plaît … Pour en revenir au fric, ce que je veux te dire, c'est que si toi, tu te fais pas payer, t'as tort. Tu DEVRAIS te faire payer. Tu y'as jamais pensé ?

- Ben non.

- Pourtant, avec un cul comme le tien … et vu comme t'es doué pour les pipes, tu ferais une sacrée bonne gagneuse..

- …

 

Qu'est-ce qu'il me dit, ce mec ? Me faire payer pour me faire baiser et sucer des bites ? Gagneuse ? Pute ? Tapineuse ? Je veux bien faire ma salope avec des mecs … avec plein de mecs, même, mais faire la pute …  Où ça, d'abord, faire la pute ? Il m'observe et reprend:

- Tu devrais y penser. T'imagines, le fric qu'on pourrait se faire ?

- Le fric qu'ON pourrait se faire ?

- Ouais, toi et moi. Si tu veux, je peux m'occuper de toi. 

- T'occuper de moi ?

- Oui. J'te mets dans un appart et j'te trouve des clients. Avec le monde que je connais et ton cul, on ferait de l'or, tous les deux, j't'assure !

- Tu voudrais faire mon mac.

- On peut dire les choses comme ça. Et vu que t'aimes te faire fourrer par n'importe qui, là, tu serais servi. Tu t'en prendrais de la bite, et plusieurs fois par jour. Et à chaque fois … bling bling bling bling bling !

 

Il fait le geste d'actionner la poignée d'un bandit manchot. Ça me trouble. Oh, pas le fric. A la limite, je m'en fous, du fric. Mais c'est cette image … un appartement … des clients … des mecs qui viennent me baiser ou se faire sucer … des inconnus, plusieurs par jour, les uns derrière les autres … et moi qui passe la journée sur mon lit, cuisses écartées et qui les regarde entrer, se déshabiller, plier soigneusement leurs vêtements sur une chaise et qui viennent se coucher sur moi, qui me pénètrent, qui prennent leur plaisir et qui éjaculent en moi … Il insiste:

- Alors ? T'en dis quoi ?

- Je … mais … tu … tu fais ça ? Le mac ? T'es un mac ?

- Un mac … disons que j'ai des … des copines. Je leur prête un appart et je leur amène des clients.

 

Ouais, c'est un mac, donc. Il enrobe ça, mais c'est un mac. Et … elles en voient beaucoup, des clients, ses … copines ? Et elles gagnent combien ? La tête penchée vers moi, il m'observe:

- Alors ? A quoi tu penses ?

- Je … elles en voient beaucoup, des clients, tes copines ?

 

Il sourit. Il doit sentir que l'idée fait son chemin, puisque je me renseigne. Je m'en fous. Il secoue la tête:

- Ça dépend d'elles. Ça peut être seulement quatre ou cinq par jour, comme ça peut être dix ou douze …

- Et … c'est .. c'est combien, la passe ?

- Ça dépend de ce que tu fais … les filles, elles prennent 40 €uros pour une pipe et 80 ou 90 pour un rapport … mais toi tu pourrais prendre plus ...

- Ah bon ?

- Ouais. C'est pas les mêmes clients qui veulent un mec. Et comme les mecs c'est plus rare, il sont prêts à payer plus … C'est la loi du marché.

- C'est-à-dire …

- Toi qui débutes, tu pourrais prendre … je sais pas, 30 ou 40 €uros pour une pipe, et … 80 ou 100 pour une sodomie … au début. Histoire de te faire un clientèle. Après, si les types sont contents, quand ils reviennent, tu peux monter les tarifs … Je sais pas, je dirais au moins 50 pour une pipe et 120 pour une sodo.

 

Ce n'est pas tellement les chiffres en eux-mêmes qui me troublent, c'est l'idée … l'idée que sucer une queue ou me faire enculer me rapporterait de l'argent … l'idée que mes … "prestations " vaudraient quelque chose, seraient tarifées ... Il insiste:

- T'imagine ? Six mecs par jour à 100 €uros … six cent €uros ! Dix mecs … mille €uros ! Par jour !

- …

- Alors ? T'en dis quoi ?

- Je … il faut que je réfléchisse. Je … j'ai jamais pensé à ça.

- Ben penses-y ! Si ça te dit, tu m'appelles. Je vais te laisser mon téléphone.

- Oui, laisse-le moi.

- Bon. On peut redescendre.

 

Quand j'arrive en bas, Anton, Tiago et "petite bite" sont encore là avec avec Yann et Dominique et rigolent en sirotant du Champagne, assis autour d'une table. En me voyant revenir, Jeanneau et Denis, qui discutaient en aparté derrière le comptoir, se séparent. Je me fais des idées, ou Denis a l'air embarrassé, comme s'il venait de se faire prendre en faute. Jeanneau claque son tiroir-caisse dans un bruit sec et se tourne vers moi:

- Encore une coupette, ma poule ?

- Non, merci, ,j'ai assez bu.

 

Qu'est-ce qu'il foutaient là, tous les deux ? Et si Jacky avait raison ... si Jeanneau venait de donner du fric à Denis ... Jacky arrive à son tour. Jeanneau, en me tendant une flûte:

- Bon, tu peux revenir quand tu veux, ma poule. Mes potes ont l'air content.

 

J'ai pris ça pour un compliment, mais il a l'air d'attendre une réponse:

- Alors ? Tu reviendrais ?

- Je … je sais pas. On verra …

- Enfin, c'est quand tu veux, hein, les mecs …

 

Les mecs approuvent. Jeanneau pousse vers moi le string que j'avais abandonné sur le comptoir avant de monter. Et il poursuit:

- Alors, vous voulez que Tiago vous ramène chez vous ? Il s'est proposé.

 

Pendant que je remets ma petite culotte, Denis me consulte du regard:

- T'en dis quoi ? Tu veux qu'il nous ramène, ou on rentre à pied ? Y'en a pour une petite demie heure …

 

Traverser M. dans cette tenue ? Je n'avais pas envisagé ça. Pour le coup, balader mon cul en ville avec cette jupe à ras le bonbon, ça devrait être excitant. Je n'ai jamais eu le courage d'essayer ça dans la journée, alors c'est l'occasion. A cette heure de la nuit et en cette saison, il ne doit pas y avoir grand monde dans les rues. Et puis là, je serai accompagné. Alors:

- OK, on peut rentrer à pied … si ça vous dit aussi.

 

Denis interroge les autres:

- Ça vous dit ?

 

Ça leur dit. Denis regarde mes cuisses:

- Il fait frais. Tu vas te cailler les miches …

- Ça va aller, j'ai l'habitude.

 

Jeanneau propose de finir la bouteille de Champagne. Je décline l'offre. Denis et Dominique aussi. Seul Yann accepte, ainsi que "petite bite " et Tiago. Il y a un instant de flottement au moment de nous quitter. Avec leurs tronches de durs  à cuire, les cinq mecs semblent embarrassés. Alors je m'approche d'eux tour à tour et, tout en leur serrant la main, je leur passe l'autre main sur le bas ventre:

- Merci, Anton … merci Tiago … 

 

Surpris que je les remercie, ils sourient et se regardent. Je continue:

- merci toi … je ne sais même pas comment tu t'appelles …

- Euh, moi … c'est Jean-Paul …

- Alors merci Jean-Paul … merci Jeanneau … merci Jacky …

 

Lui garde ma main dans la sienne et me retient:

- Tu réfléchis à ce que je t'ai dit, hein  … 

- Oui, oui.

- Et tu m'appelles. Tiens, Jeanneau, t'aurais pas un stylo ?

 

Jeanneau fouille dans son tiroir-caisse et lui tend un stylo. Jacky se penche par-dessus le comptoir, récupère un sous-bock et griffonne quelque chose dessus:

- Tiens, c'est mon numéro. Tu m'appelles, hein !

 

Pendant que je serrais des mains, Denis a récupéré nos vêtements sur un portant et m'a tendu mon blouson. Je fourre le carton dans une de mes poches. Nous voilà prêts. Au dessus du bar, la pendule marque 10h30. Nous sortons.

 

Naturellement, il fait nuit et, dans cette rue Saint Jean, étroite et mal éclairée, il fait très sombre. Il fait aussi plutôt frais. Quand même légèrement inquiet, je jette un coup d'œil des deux côtés de la rue. Personne. Instinctivement, je tire sur le bas de ma jupette pour me couvrir autant que je peux. Mais j'ai beau faire, elle est toujours aussi courte, et je parviens tout au plus à la descendre à mi cuisses. Il nous reste tout le centre ville à traverser pour rentrer chez Denis. Yann et Dominique, pas mal éméchés se marrent et font les cons. Nous ne sommes qu'à quelques mètres du bar, quand Yann ouvre son blouson d'un geste théâtral, et en sort une bouteille:

- Ta tiiiiiiiiiiiiiiin !

 

C'est une bouteille de vodka. Il a dû la piquer dans le bar, puisqu'il n'avait rien dans les mains quand on y est arrivés ! Denis, qui devine la même chose que moi, râle:

- T'es con, hein. Jeannot, c'est un pote. Il va gueuler.

- Il gueulera. Je le paierai.

 

Puisque le mal est fait, ça n'empêche pas Denis de s'en taper une bonne lampée quand Yann lui tend la bouteille. Moi, la vodka, beurk ! Surtout tiède. Et puis, j'ai assez picolé et je refuse son offre d'un geste. C'est maintenant que nous somme sortis du "Saint Jeanneau" que je réalise ce qui vient de m'arriver dans ce café: ces mecs m'ont amené là, et m'ont littéralement livré à d'autres types pour qu'ils me baisent ! D'ailleurs, je n'ai plus aucun doute … Dominique et Yann étaient au courant de ce qui m'attendait. Nadir aussi, sans doute, et j'étais donc le seul à ne pas savoir. Au fond, ça me plaît ! Je préfère même ne pas avoir été prévenu. Putain, j'en suis là ! Des mecs m'utilisent, se servent de moi, me prêtent comme … comme un sex toy … et j'aime ça ! Je m'approche de Denis, je le prends par le bras et je l'embrasse sur la joue:

- Merci, Denis.

 

Surpris, il esquisse un mouvement de recul, puis se ravise:

- Merci ?

- Oui … merci de m'avoir amené chez Jeanneau.

- Ah bon ?

- Oui, et de m'avoir offert ces mecs.

- … de T'AVOIR offert ces mecs ? Mais … c'est plutôt le contraire … on t'a … on t'a offert A ces mecs.

- Oui, je sais, Mais du même coup, tu me les as offerts.

- Ah bon ! Ben … tant mieux. 

- Dis, Denis ... tu t'es fait payer par Jeanneau ?

- Quoi ? Pour... pourquoi ?

- Tu t'es fait payer par Jeanneau pour que lui et ses potes me baisent ?

- Mais ...

 

Il regarde les deux autres, comme s'il cherchait leur soutien. Domi sourit en coin. Yann n'a pas suivi la discussion. Denis hésite et reprend:

- N.. non, il m'a pas payé.

- Je te crois pas. Quand je suis redescendu, vous étiez tous les deux derrière le comptoir et il s'est empressé de refermer son tiroir-caisse. 

 

Je l'entends déglutir. Je ;lui sers le bras:

- Il t'a payé. Dis-le moi. Ça me plaît si ils ont payé pour me baiser.

 

Il sourit bêtement. J'insiste:

- Combien ?

- D... deux cent.

- Deux cent ... Euros ?

- Oui, mais ... c'est seulement Jeanneau ...

- Seulement Jeanneau ?

- Oui. Et c'est pas ... c'est pas ... en fait, ça serait pas le tarif pour cinq pass... pour cinq ... cinq ...

- Cinq passes ?

 - Oui. C'est plus, normalement, cinq pass... passes. Non, là, c'est pour que je te ... pour que tu ... reviennes une autre fois ...

 

Cinq passes ! Il croit que j'ai fait cinq passes ! Jeanneau n'a pas du lui dire que lui ne m'avait pas baisé. Denis fouille dans sa poche et en sort une poignée de billets:

- Tiens.

- Garde les, j'en veux pas.

- Je m'excuse, hein.

- T'excuse pas, ça me gêne pas que des mecs paient pour mon cul. Au contraire.

 

Il hésite, refourre les billets dans sa poche. Au moment où on se met en route, il me prend par le coude:

- Et, au fait, il te voulait quoi, le Jacky ?

 

Tiens, ça l'intrigue. J'hésite, je lui dis ou pas ? Bah, après tout, je m'en fous:

- Il voudrait me mettre au tapin .

- Hein ? Il veut quoi ?

- Il voudrait me mettre au tapin … et faire mon mac, mon julot, mon souteneur …

- Il veut te foutre sur le trottoir ?

 

Il semble outré. Il s'est arrêté. Les deux autres, en entendant "tapin", "mac", "souteneur", se sont rapprochés. Denis insiste:

- Hein, il veut te mettre sur le trottoir ?

- Non, pas sur le trottoir, en appartement.

- Ha, putain !

- Oui, exactement !

- Non, mais c'est pas pour toi que je dis ça. Et … et … tu … tu lui as dit … quoi ?

- Rien.

- Tu l'as pas envoyé chier ?

- Non.

- Tu … t'es … tu serais d'accord ? Tu serais prêt à faire … la pute pour lui ?

- Hé ! Pour toi ou pour lui, c'est pas le problème !

 

Silence général. Qu'est-ce qui le dérange ? Il a fait le mac, Denis, en m'amenant chez Jeanneau.. Il veut l'exclusivité ? Pour couper court à cette discussion, je lance:

- De toute façon, c'est moi qui décide de ce que je fais de mon cul, Jacky ou pas Jacky !

 

Il prend ça aussi pour lui et il n'insiste pas. Pensif, il se remet en marche. 

 

Au fond de moi, je le sais, l'idée de faire la pute a commencé à faire son chemin. Toutes mes inhibitions, tous mes scrupules sont tombés. Plus de tabou, plus de morale, plus de décence. Je me sens prêt à toutes les débauches, à tous les débordements. Jusqu'où ça ira ?

 

Nous commençons à remonter la rue en direction de la place de la cathédrale. Pendant quelques minutes, légèrement anxieux, je surveille la rue où nous circulons et celles qui la croisent. Je ne suis pas vraiment tranquille parce que je redoute de croiser des gens dans cette tenue de pute, et surtout avec cette jupe ultra courte. D'autant qu'avec les hurluberlus pompettes qui m'accompagnent, nous allons immanquablement nous faire remarquer. Heureusement, à cette heure de la nuit, il ne circule plus grand monde en ville, et cette inquiétude là finit par se dissiper. D'autant qu'avec mes trois "gardes du corps", même s'ils sont un peu bourrés, je me dis qu'il ne peut rien m'arriver de grave. Et puis, je dois dire que je commence à apprécier les sensations que me procure l'air frais sur mes jambes et la bise qui s'insinue entre mes cuisses et jusque sur mes fesses. Me balader en ville dans cette tenue en pleine journée a toujours été un de mes fantasmes, mais je n'ai jamais eu le culot de le réaliser. Alors, le faire de nuit, c'est déjà très agréable et excitant. Nous abordons la place Saint Etienne, devant la cathédrale, beaucoup plus éclairée que la rue Saint Jean. Personne ici non plus. Et voilà Denis qui sort son smartphone de sa poche et qui le braque sur moi:

- Montre nous ton cul !

- Photo ou vidéo ?

- Vidéo.

 

Il semble avoir ravalé sa mauvaise humeur. Alors, je jette un coup d'œil autour de nous. A part nous quatre, la place est déserte. Je fais face à Denis, je soulève ma jupe et je descends mon string sous mes couilles. Ils se marrent tous les trois. La jupette toujours relevée, je fais un demi tour sur moi même, et, quand je suis dos à Denis, je m'arrête et je me penche en avant:

- Tu le vois bien mon cul, comme ça ?

- Ouais ! 

 

Les autres se marrent en me tournant autour. Denis:

- C'est bon. Terminé. Allez, on y va.

 

Pendant que je me rajuste, Denis s'approche et me colle une main au cul. Espérant qu'il en fasse plus, je m'immobilise, mais ça s'arrête là, et nous commençons à descendre la rue du Général de Gaulle. C'est une rue piétonne et très commerçante, très éclairée, à la fois par des lampadaires et par les vitrines des commerces demeurées allumées. Denis prend quelques mètres d'avance sur nous, se retourne et recommence à filmer. Je fais signe aux deux autres de se rapprocher, et quand ils sont tout près de moi, je les prends par le cou. Domi en profite pour me coller à son tour une main au cul. Quand Denis nous fait signe qu'il est satisfait de notre numéro, je lâche mes deux mecs et nous redémarrons. Bien que nous ne soyons comme en pleine lumière, je me sens maintenant tout à fait à l'aise. 

 

Toutefois, quand je vois, loin devant nous, trois silhouettes qui avancent dans notre direction, mon cœur se met à battre un peu plus vite et une légère vague d'adrénaline me submerge. Mais ça me plaît, et je me régale d'avance de l'effet que va produire notre quatuor sur ces noctambules. Tout de même, je me rapproche de Dominique, je me colle à lui, et je passe mon bras sur ses épaules. Surpris, il me regarde, sourit, et passe son bras derrière mes reins. Nous devons former un drôle de couple, parce qu'il mesure presque une tête de moins que moi. Le trio que nous allons croiser, c'est une femme et deux hommes. Quand ils ne sont plus qu'à une dizaine de mètres, je remarque qu'ils sont assez jeunes, dans les vingt, vingt deux ans, et que tous les trois nous dévisagent ouvertement. Soudain, je sens que Dominique me colle sa main au cul, sous ma jupe ! Ah le salaud, il le fait exprès. Mais ça me plaît. Voilà les trois jeunes à notre hauteur. Ils observent notre équipe sans vergogne, mais particulièrement Dominique et moi, et ils sourient. Ils voient bien qu'il y a quelque chose d'étrange dans notre couple, mais ils ne réalisent apparemment pas quoi. Pas encore. La jeune femme, aussitôt imitée par ses compagnons, nous lance:

- Bonsoir !

 

Nous leur répondons en chœur:

- Bonsoir.

 

Ça y est, ils sont derrière nous ! Ce salaud de Dominique en profite pour soulever légèrement ma jupe. Hhhmmmm, j'aime ça, espèce de salaud ! Si ces trois jeunes se retournent, ils vont voir mon cul ! Allez, retournez-vous, les jeunes ! Bingo ! Ils éclatent de rire. Alors, tant qu'à faire, j'enlève mon bras du dos de mon "homme", je saisis le bas de ma jupette à deux mains et, me penchant en avant, je la relève complètement ! Les jeunes redoublent de rires et se mettent à applaudir. Mes trois compagnons se retournent en se marrant, Denis et Yann, qui marchaient un peu devant nous, sans savoir ce qui vient de se passer. Je me retourne à mon tour, et je vois les trois jeunes s'éloigner en riant et en commentant. Ce genre d'intermède, j'adore ça ! Et ça a bien plu aussi à Dominique, qui se rapproche encore de moi, et me glisse de nouveau sa main sous ma jupette et ses doigts dans ma raie, jusque sous la ficelle de mon string. Je pose mon bras sur ses épaules. Nous parcourons comme ça quelques mètres, et il me demande:

- Tu serais cap, de me sucer ici, dans la rue ?

 

Oh, putain, que oui, je suis cap ! Je m'arrête. Nous sommes devant un magasin de parfumerie dont la devanture illuminée éclaire la rue a giorno. Mes trois mecs se sont aussi arrêtés et me regardent, attendant ma réaction devant ce défi. Je jette un coup d'œil des deux côtés de la rue. A l'exception du trio que nous venons de croiser, et qui est maintenant devant la cathédrale, il n'y a personne. Alors, je chope Dominique par la ceinture de son pantalon, et je l'entraîne vers la parfumerie. Surpris que j'accepte aussi facilement, et surtout que je le fasse ici, dans un endroit aussi éclairé, à son tour, il vérifie que la rue est déserte. Alors, tout souriant, il se laisse faire. Je m'accroupis, les fesses posées sur les talons, et je m'appuie des reins contre le soubassement de la vitrine. 

 

- Hé ! faites pas les cons, les mecs ! Tu … tu vas pas lui tailler une pipe ici ?

 

C'est Denis qui s'inquiète. Je ne réponds même pas. Hilare, Domi déboutonne de lui-même son pantalon et descend son zip. Je saisis aussitôt la ceinture de son caleçon, et je l'abaisse pour dévoiler son sexe. Il pend, tête en bas, mais il me semble qu'il commence déjà à bander un peu. Hhmmmmm, oui, toi, la bite, je vais te sucer ! J'avance ma tête, et je la prends directement dans ma bouche. Oh putain, ce que c'est bon, de sucer un mec comme ça, en pleine rue ! Et surtout dans CETTE rue ! Pour moi, c'est un endroit familier: j'y passe très souvent, seul ou en compagnie, soit pour me balader, soit pour y faire des achats. Le magasin de téléphonie, juste en face de la parfumerie, c'est là que j'ai acheté mon portable et pris mon forfait. Quand je repasserai ici dans quelques jours, sûr que ce sera avec plein d'émotion !

 

Je commence à bander. D'accord, c'est la nuit, d'accord, il n'y a personne dans cette rue, mais c'est habituellement la voie piétonne la plus fréquentée de ce centre ville commerçant ! Et même à cette heure, à tout moment, il peut surgir quelqu'un d'une des rues adjacentes. La plus proche, c'est la rue des Moulins, à seulement une vingtaine de mètres sur ma gauche.  Et là où je suce Domi, nous sommes en pleine lumière, comme en plein jour, et si quelqu'un arrivait, nos positions respectives ne laisseraient aucun doute sur la nature de nos activités. J'adore ça ! Tout à l'heure, dans le bar de Jeannot, derrière la vitrine, c'était bien, mais c'était à l'intérieur et plus ou moins à l'abri des espèces de calcomanies. La bite de Domi grossit dans ma bouche. Du coin de l'œil, je vois Denis et Yann s'approcher pour regarder. Inquiet, Denis jette sans cesse des coups d'œil autour de nous. Agrippé de la main gauche à la bite de Dominique, que je masturbe en même temps que je le suce, de la main droite, je dégage ma propre bite de mon string et je commence à me branler. Denis est inquiet, mais ça ne l'empêche pas de dégainer à nouveau son smartphone. Hhhmmmm, t'as raison, Denis. Filme-moi en train de tailler une pipe à Domi en pleine lumière dans cette rue, ça m'excite.

 

L'ivresse me gagne et je m'active de plus en plus fiévreusement sur l'organe de Domi. Se rappelant mon goût pour cette marque de possession, il pose une main sur ma tête. Il est de plus en plus raide dans ma bouche, et contribue de cette façon à accroître mon plaisir, mon désir et ma fébrilité. Yann se marre et Denis, oubliant de surveiller les alentours, se met à pousser des "Oh, putain ! Oh, putain !" à la fois d'excitation, d'enthousiasme et d'envie. Dominique passe sa main sous mon menton et me fait lever les yeux sur lui. Je m'aperçois alors que, lui aussi, a sorti son smartphone sans que je m'en rendes compte, et qu'il est aussi en train de me filmer. Gros plan sur la bouche d'une salope qui suce une queue. 

- T'aime ça, sucer ma bite, hein ?

 

Sans sortir sa queue de ma bouche, je hoche ma tête: "Oh oui, j'aime ça ! ". 

- Et me sucer comme ça, en pleine rue, ça te plaît aussi, hein ?

 

Là, je me sens obligé de sortir sa queue de ma bouche. Je regarde des deux côtés de la rue:

- Oui, ici, c'est encore mieux !

 

Il relève son smartphone et fait un panoramique sur la rue. Il veut capter non seulement qu'il se fait sucer, mais OÙ il se fait sucer. Je le reprends dans ma bouche.

 

- Maintenant, regarde moi !

 

Il veut que je le regarde tout en le suçant. Ses yeux sont braqués sur moi, sur ma bouche qui va et vient goulûment sur sa bite. Il sourit et plonge son regard dans le mien. J'y lis … j'y lis qu'il est fier du pouvoir que sa queue exerce sur moi … j'y lis qu'il sait qu'à cet instant, je suis tout à lui … j'y lis qu'il devine que dans l'état où je suis, il pourrait exiger de moi n'importe quelle folie … Là, il me demanderait de me mettre à quatre pattes au milieu de cette rue pour me prendre en levrette, ce serait sans hésiter, passants ou pas … Oh, putain, ces mecs me rendent dingue, avec leurs bites ! Je l'aime, sa queue, et je la pompe de plus en plus fiévreusement.

 

Et ce que j'avais anticipé … se produit. Un mouvement sur ma gauche attire mon attention. Du coin de l'œil, entre Yann et Denis, je vois déboucher de la rue des Moulins une ombre qui se dirige vers nous. C'est un homme qui marche à pas pressés, remontant la rue dans notre direction, tête baissée. Il ne nous remarque pas immédiatement. Mes compagnons lui tournent le dos et ne l'ont pas vu, occupés, l'un à se faire sucer et les deux autres à nous regarder. Je me garde bien de les alerter. Ils pourraient prendre peur et me faire interrompre cette pipe. Le type qui approche VA me découvrir dans un instant, et il va me voir en train d'administrer une turlute à Dominique. Tant bien que mal, je le suis des yeux, en m'efforçant de ne pas signaler la présence de cet intrus à mes mâles. Il est maintenant derrière Denis et, quand il réapparaît fugacement entre lui et Dominique, je me rends compte que, cette fois, il nous regarde. Les trois autres ne l'ont toujours pas remarqué, bien que ses pas fassent un peu de bruit sur les pavés. Jusque là, étant plus ou moins dissimulé par mes compagnons, ce type, s'il avait bien deviné ma présence, n'avait pas vraiment réalisé ce qui se passait. Il passe derrière Dominique, réapparaît à mes yeux, un peu sur ma droite, et cette fois, il s'arrête, me regarde, et:

- Non, mais … vous n'avez pas honte de faire ça ici ? ! ? !

 

Les trois autres sursautent. Et, bien que Dominique se tourne un peu vers lui, je ne lâche pas sa queue, et je continue de la sucer fougueusement. Le type est outré:

- En peine rue !!! Vous êtes ... vous êtes comme ... des bêtes !!! Pires que des bêtes !!!

 

Je continue de sucer Domi tant bien que mal, sans quitter ce type des yeux: " Oui, mon pote, je suis en train de tailler une pipe à ce mec devant toi, et ce n'est pas toi qui va m'arrêter ! ". Et justement, voyant que je continue malgré sa présence, il s'adresse apparemment à moi:

- Surtout vous, mademoiselle ! Vous devriez avoir honte !!!

 

Alors là, c'est plus fort que moi. " Mademoiselle" !!!! Je suis pris d'une incoercible envie de rire et je me mets à pouffer, à demi étouffé par la bite de Dominique. Je la sors précipitamment de ma bouche, et je ris. Dominique remballe précipitamment sa queue, et gêné, n'ose pas se retourner et faire face à l'intrus. Moi, je me relève tant bien que mal, les jambes ankylosées par ma position accroupie. Je remballe comme je peux ma queue, raide, dans mon string, et je m'efforce de rabattre ma jupe, retroussée à l'angle de mes cuisses et de mon ventre. Mais elle reste coincée par la bosse de ma queue, qui dépasse encore. Le type a eu le temps de voir ma bite, et là, il réalise que je ne suis pas à proprement parler une "demoiselle". Loin s'en faut. Il écarquille les yeux, bouche bée et ne sait plus quoi dire. De nous quatre, c'est Yann, malheureusement, qui réagit le premier, avec une élocution approximative due à l'alcool qu'il n'a pas cessé de biberonner:

- Qu'est-ce t'as, connard ? T'es pas content ?

 

Et il s'avance vers le passant, menaçant. Mesurant en une fraction de seconde les conséquences d'un éventuel affrontement avec ce type, j'interviens, bousculant Domi, pour m'interposer:

- Ça va, Yann. Laisse ce monsieur tranquille. On l'a choqué, alors il nous dit ce qu'il pense de nous. C'est tout. C'est son droit et c'est nous qui sommes en tort. Alors, t'as pas à l'insulter !

 

Yann me regarde, ébahi par mon intervention. Denis, qui a dû anticiper, comme moi, les risques d'un affrontement, le chope par le bras et l'entraîne:

- Ta gueule, Yann. On se barre.

 

Tirant sur le bas de ma jupe, je me tourne vers le type:

- Excusez nous, monsieur. Comme vous voyez, on a un peu bu et on s'est laissés aller. Désolé si on vous a choqué. Ce n'était pas voulu.

- Oui, ben, allez faire vos saloperies ailleurs.

- On arrête, on arrête ! On rentre chez nous. Excusez nous encore.

 

Et je m'éloigne aussi à la suite de Domi, qui a suivi les deux autres. Je rattrape le trio et je pose la main sur l'épaule de Yann:

- Dis, mec. Dans ce genre de situation, il vaut mieux faire profil bas.

- Ben pourquoi ?

- D'abord, pas de baston. Ça peut mal tourner. Et puis, même sans ça, si le type appelle les flics, on est mal. Alors calmos. OK ?

- OK, OK.

 

C'est marrant, de nous quatre, c'est moi la lopette, c'est moi qui mets docilement mon cul et ma bouche à la disposition de ces trois mâles, et pourtant, j'ai une espèce d'ascendant sur eux. Privilège de l'âge ? Dominique:

- Putain, je l'ai pas entendu arriver, ce mec ! Vous l'aviez entendu, vous ?

 

Les deux autres secouent la tête: non, ils ne l'avaient pas entendu. Domi s'arrête et se tourne vers moi:

- Toi non plus ?

 

Je souris. Il insiste:

- Quoi. Tu l'avais entendu arriver ?

- Entendu … non.

- Tu … tu l'avais vu ?

- Yes !

- Et t'as rien dit ?

- Non. Je sais pas si t'as remarqué, mais j'avais la bouche pleine ! Je pouvais rien dire !

- Ah, le con ! Ah, le con !

 

Et il se marre. Il s'approche, se colle contre moi, passe une main derrière mes reins et de l'autre, il m'empoigne une fesse:

- Ça te plaît, hein, salope, de sucer en public …

- Ouais.

- Tu l'as fait exprès.

- Oui. Tu voulais savoir si je serais cap de le faire. Tu as vu !

 

A deux mains, je lui palpe le paquet à travers la toile de son jean. J'ai l'impression qu'il bande encore un peu. Je poursuis:

- Et là, si tu veux, je suis prêt à recommencer. Seulement pour le plaisir.

- Plus tard.

 

Il se laisse tripoter un peu, puis il me lâche et on se remet en marche. Les deux autres se sont rapprochés de nous pour suivre la conversation. Domi reprend:

- Tu irais jusqu'où, dans ce genre ?

- Je sais pas. Ça dépend de l'endroit, ça dépend avec qui, ça dépend de l'ambiance …

- De l'ambiance ?

- Oui. Si on m'a bien chauffé avant, je suppose que je peux aller très loin. Vous avez vu, toi et Denis, chez Jean-Claude le fermier, jusqu'où je suis allé …

- Ouais, mais c'était dans un lieu privé. Dans un lieu public, tu irais jusqu'où ?

- Dans un lieu public, je suis déjà allé assez loin. Avec Philippe, le long du canal. Il vous a pas raconté ?

- Si, si. Tu l'as branlé devant des randonneurs et tu l'as sucé devant des cyclistes.

- Voilà.

- Et tu ferais quoi, encore ?

- Je sais pas. Mettez-moi au défi. On verra.

- OK. Attends.

 

Il s'arrête et nous faisons comme lui. Il me regarde comme s'il réfléchissait à ce qu'il pourrait bien me proposer. Il regarde les autres, et:

- Vous avez pas une idée ?

 

Yann, toujours embrumé, n'a pas l'air d'être en mesure de réfléchir. Denis:

- Je sais pas … On n'a qu'à avancer, on trouvera bien une idée.

 

De mon côté, en voyant passer un bus au bout de la rue où nous sommes, je me souviens que, là-bas, c'est la place François 1er. La place François 1er, c'est un peu le cœur de M. C'est sans doute l'endroit le plus animé de la ville. Les six ou sept rues qui aboutissent là y drainent un flot permanent de circulation, y compris la nuit. D'ailleurs, après le bus, je vois passer plusieurs voitures. De plus, la place elle-même est entièrement entourée de commerces, dont le cinéma Majestic et ses sept salles. Le Majestic ! A l'heure qu'il est, il se pourrait bien que des films se terminent, et qu'on rencontre des spectateurs sortant de leur salle. Oui, mais pour rentrer chez Denis, il va falloir passer là, à moins de faire un long détour par des petites rues ! Mes trois mecs s'apprêtent à se mettre en route. Dominique se tourne vers moi:

- On y va ?

- Hé, pour traverser la place, il va falloir passer devant le Majestic.

- Et alors ?

- Alors ? Si c'est l'heure de la sortie des séances, dans ma tenue, ça pourrait être chaud !

- Ah ouais. T'as raison. Ça te fait peur ?

- A moi, non. Mais vous, vous êtes prêts à vous afficher avec moi ?

 

Yann:

- Moi, pas de problème.

 

Dominique, s'adressant à Denis:

- Et toi, t'en dis quoi ?

 

Denis me regarde, comme pour évaluer l'effet que je pourrais produire sur un public non averti, et, avec un petit sourire:

- On verra bien.

 

Dominique:

- Alors, en route.

 

Ils se tournent vers moi et attendent que je donne le signal du départ. Je me mets en marche et, tous les trois m'emboîtent le pas, euphoriques et excités. Je ralentis un peu pour les laisser revenir à ma hauteur, Yann et Dominique à ma gauche, Denis à ma droite. Après quelques mètres, Denis:

- Ça y est, les mecs, je sais !

- Tu sais quoi ?

- Le défi.

- Ah ! Et c'est quoi ?

- Ben, c'est simple, en fait. Le défi, c'est qu'on t'encule ou que tu nous suces partout où on te le dit. T'as jamais le droit de dire non. Enfin, quand je dis "on t'encule ou tu nous suces", on tire pas un coup à chaque fois, hein. Simplement, on te fourre un bon moment, ou tu nous suces un bon moment, comme tout à l'heure, avec Domi, et après, on se trouve un autre endroit. Ça vous va, les mecs ?

 

Visiblement, je n'ai pas mon mot à dire, parce que la question ne s'adressait visiblement pas à moi. Mais, ça ne fait rien, ça me plaît qu'il me traitent comme ça. Et puis leur défi, ça me va. Les autres aussi, ça leur va. Je me tourne vers Denis:

- Moi aussi, ça me va. On commence où ?

- Ben … je sais pas. Sur la place ?

- Sur la place François 1er ?

- Oui. Y'a un jardin public.

- D'accord. Va pour un coup de bite dans le jardin public. 

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Dimanche 18 décembre 2016 7 18 /12 /Déc /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Ça y est, mon week-end chez Denis a commencé. Ses invités sont arrivés: Nadir, son collègue, Yann, un des participants à mon gang bang chez Jean Claude, et Dominique, un voisin de sa résidence. Ils ont déjà tous eu droit à une petite turlute. Petite turlute … enfin … turlute complète, en fait: Denis, Yann et Nadir m'ont inondé la gorge. Il n'y a que Domi qui a résisté à ma fellation, mais lui, il m'a baisé sur le canapé. Bref, après le repas, ils ne sont amusés à me goder au rouleau à pâtisserie. Yann ayant commencé à se lâcher un peu brutalement avec moi, Denis a jugé qu'il était temps qu'on aille poursuivre la soirée dans le troquet de son pote Jeanneau. Alors je me prépare.

 

Une fois dans la salle d'eau, je ne me contente pas d'essuyer le lubrifiant qu'ils m'ont fourré dans le cul, je me fais aussi plusieurs lavements. On ne sait jamais. J'ignore comment la soirée va tourner après notre passage chez ce Jeannot, alors je dois être prêt à toute éventualité. Quand je reparais dans le salon, mes quatre … potes sont prêts et m'attendent en discutant. L'ambiance quelque peu plombée par Yann s'est détendue et ils se marrent. Denis me tend mon blouson:

- Ça y est, CHÉRIE, t'es prête ?

- Oui, je suis "prête".

- C'est Nadir qui nous emmène. T'as pas pris ton sac ?

- Euh, non. J'aurais dû ?

- Ben … j'ai vu qu'il y a des capotes, dedans.

- Je vais en avoir besoin ?

- On sait jamais.

- Ah bon ? Et quoi d'autre ?

- Ben, c'est tout. 

 

Lui aussi se dit qu'on ne sait jamais. Comme quoi, les grands esprits se rencontrent, comme on dit. Il faut dire que je suis venu chez lui pour de la bite et du cul, pas pour un week-end "culture". Alors on verra. J'entreprends un demi-tour pour aller chercher mes capotes, mais il m'arrête:

- Attends, j'y vais. Vous, commencez à descendre. Je vous rattraperai. De toute façon, on peut pas monter à cinq dans l'ascenseur.

 

Domi s'efface devant moi et me fait signe de le précéder. Au passage, il me claque les fesses:

- Roule, ma poule !

 

Nous parcourons en silence le couloir qui dessert les appartements de l'étage, et nous attendons l'ascenseur. Quand il arrive à l'étage, Nadir m'ouvre la porte et nous montons. Yann vient à côté de moi:

- Je m'excuse, hein. J'ai déconné, tout à l'heure.

- Ça va, je te dis. 

 

Alors, pour lui prouver que l'incident est oublié, je me colle à lui, je passe une main derrière ses reins, je plaque l'autre sur son bas ventre, et, tout en lui palpant le paquet, je l'embrasse dans le cou en ronronnant. Je le sens tout gêné. Les deux autres ricanent. Je lui roulerais bien une pelle, mais je ne suis pas sûr qu'il se laisserait faire. Alors:

- Mais quand même … pour ta punition …

 

Je laisse ma phrase en suspens. Inquiet, il demande:

- … pour ma punition ?

- pour ta punition, tu devras me baiser avant minuit.

 

Les deux autres se marrent ouvertement. Nous arrivons au rez-de-chaussée. C'est Denis qui nous ouvre la porte. Essoufflé. Il a dû dévaler les escaliers. Il me tend une poignée de capotes:

- Tiens, mets ça dans ta poche. J'ai pris ça aussi.

 

Le flacon de lubrifiant ! Je lui brandis mon index sous le nez:

- Ben tiens !  Toi, t'as une idée derrière la tête !

- Nan, nan, j'tassure ! J'me dis seulement que la soirée peut ... évoluer … Mais j'ai pas spécialement d'idée derrière la tête …

- Mouais. Prends-le, toi, le lubrifiant. Mes poches sont trop petites.

 

Ça me fait un drôle d'effet, de traverser le hall de l'immeuble et le parking, encadré par mes quatre lascars … mes quatre mecs ! Et puis, je réalise que c'est la première fois que je me balade en trav, comme ça, en extérieur, pas vraiment dans un lieu public, mais quand même, dans un endroit où je pourrais rencontrer n'importe qui. Je m'attendais à ce que, de son côté, Denis soit un peu gêné de se balader dans sa résidence avec un travelo. Mais non, il a l'air de s'en foutre. 

 

La voiture de Nadir, c'est une grosse berline allemande. Un modèle un peu ancien, mais nickel. Denis prend place à côté du chauffeur, et d'office, Dominique me fait asseoir à l'arrière entre Yann et lui. Avant de boucler sa ceinture de sécurité, il déboutonne son pantalon et ouvre sa braguette. Puis, sans un mot, il prend ma main et l'attire vers son sexe. Je commence à lui pétrir le gland, et je tends la main vers le ventre de Yann. Aussitôt, il fait comme Dominique. Je leur tripote déjà la bite avant qu'on soit sortis de la résidence. Denis guidant Nadir, nous traversons lentement M. Il y a encore pas mal de circulation et des gens qui se hâtent sur les trottoirs. Ça me plaît beaucoup, cette balade en ville, une queue dans chaque main. Yann et Dominique bandent et se laissent tripoter, chacun regardant par sa vitre. A un feu rouge, Denis se retourne et me voit palucher ses potes:

- Ça va, derrière ?

- Comme tu  vois …

- Oui, oui, je vois ça. C'est bien. On est presque arrivés.

 

Nous voilà dans la vieille ville, au bas la rue Saint Jean, étroite et sombre, qui monte jusqu'à la cathédrale. Denis montre à Nadir une place de stationnement sur la gauche:

- On y est, gare-toi là.

 

Pendant que Nadir manœuvre, Yann remballe sa bite et referme sa braguette. Dominique, lui, attend que l'on soit garés, et descend, la bite à l'air. Il se remballe sur le trottoir pendant que je m'extrais de la voiture. Nous sommes garés juste devant le bar. Je ne l'avais jamais remarqué. Pourtant, je suis passé devant des dizaines de fois dans la journée. La rue Saint Jean, c'est une des rues qui conduit au centre-ville historique et commerçant. S'il y a peu de commerces dans le bas de la rue où nous sommes, un peu plus haut, les boutiques sont à touche-touche des deux côtés. Pour ce que j'en vois, la devanture du bar est assez terne et banale. Pas de quoi attirer l'attention. Là, on la remarque seulement parce qu'elle est éclairée, contrairement aux immeubles qui l'encadrent. Au-dessus de la porte en verre, une petite enseigne: "le Saint Jeannot", jeu de mots à tiroirs sur le nom du patron, sur le nom de la rue et sans doute sur le Cinzano ! Denis pousse la porte et me fait signe d'entrer.

 

L'intérieur n'est pas beaucoup plus reluisant que l'extérieur. C'est vieillot et ça sent comme dans tous les vieux rades: un mélange d'odeurs aigrelettes où dominent celles de la bière, du café et de l'anis. D'abord, je ne remarque que le type accoudé derrière le comptoir, qui doit être le fameux Jeannot, et les deux clients qui discutent avec lui, assis sur de hauts tabourets en bois. Jeannot doit avoir dans les soixante ans, les cheveux gris et ras, mal rasé, le teint malsain des types qui boivent et qui fument, le visage dur … la parfaite gueule du vieux voyou ! Les deux autres, bien que plus jeunes, ne valent pas beaucoup mieux. A mon entrée, tous les trois arrêtent leur conversation et me dévisagent … ou plutôt, me déshabillent du regard. Leurs yeux me caressent, me palpent, me tripotent. J'adore.

- Salut, Jeannot !

 

Denis me dépasse et fonce vers le bar. Il serre la main à Jeannot et aux deux clients, et se tourne vers moi:

- Bon, ben voilà, c'est Marin. C'est notre euh … notre COPINE, quoi …

 

"Copine" ! Le mot m'amuse. Tout comme "copain", ça veut dire "qui partage le pain", "copine", doit vouloir dire "qui partage la pine". C'est vrai qu'il doit arriver que des copines partagent la même pine, Mais en ce qui me concerne, ce n'est pas approprié, parce que je ne partage pas de pine. Ça serait même plutôt le contraire: c'est les pines qui me partagent.

 

Je tends la main au patron par-dessus le bar. Il me la serre en souriant:

- Alors, comme ça, c'est toi, la … COPINE que Denis nous amène ?

 

Ce n'est pas qu'il insiste sur le mot "copine" qui m'intrigue, c'est qu'il ait dit " … que Denis nous amène ? ". Ça veut dire quoi, " … que Denis nous amène " ? C'est curieux, je sens qu'il n'a pas dit ça par erreur et que la formulation n'est pas anodine. Et il y a cette poignée de main un peu appuyée et ce sourire salace. Alors, comme ça, Denis "m'amène" à ces mecs ! Contrairement à ce qu'il m'a dit, j'ai l'impression qu'on n'est pas venus ici seulement pour boire un coup. Déjà, tout à l'heure, il me fait prendre des capotes et du lubrifiant, et là, d'après Jeannot, il "m'amène" à eux … Ça veut dire que … qu'ils vont me … Une vague d'adrénaline me submerge et un frémissement me saisit depuis la taille jusqu'aux genoux, m'électrisant le sexe, la prostate et l'anus. Oooooh, putain, si ça se trouve, le coup, je ne vais pas le boire, mais je vais me le prendre dans le cul ! Jeannot me tient toujours la main, attendant que je lui confirme que je suis bien la COPINE que Denis "leur amène":

- Et oui, c'est moi.

- Bien, bien …

 

Il hoche la tête d'un air satisfait. Vu ce qu'avait dit Denis au sujet de ma tenue, je ne m'attendais pas à un accueil aussi … bienveillant. Ça a l'air de lui convenir. Justement, Denis lui demande:

- Alors ? Ça te va, sa tenue ?

- Ouais, ouais, ça me va. J'avais pas compris ça. J'avais compris plus … voyant, plus vulgaire, plus pute, quoi. Je voulais pas qu'il se fasse remarquer dans le quartier. J'ai eu assez d'emmerdes avec ça. Mais là, ça va.

- Ben oui, c'est pas une Drag Queen, quand même !

 

Bon ! C'est quand je serre la main aux deux clients assis au bar, que je me rends compte qu'il y en a trois autres, à une table dans la salle, en train de jouer aux dés. Domi, Nadir et Yann se sont regroupés autour de moi et serrent aussi des mains. Les trois types de la salle se lèvent et s'approchent. Ce que je me demande, c'est ce qu'ils ont en tête, Denis et les types de ce rade. On est venus faire quoi, exactement, dans ce troquet ? Pas seulement boire un coup, ça me paraît évident ! Et Domi, Nadir et Yann, ils sont au parfum de ce qui se prépare ? Si ça se trouve, il n'y a que moi qui ne suis pas au courant ! Ce qui me paraît de plus en plus évident, c'est qu'il y a de la bite et du cul dans l'air. Mais quoi, exactement ? Denis ne m'a quand même pas "amené" ici pour que Domi, Nadir, Yann et lui me baisent devant ces mecs ! Ça me plairait bien, mais ça m'étonnerait parce que, si c'était ça, Denis ne m'aurait pas fait prendre des capotes. Plus ça va, plus je me dis qu'il m'a "amené" ici, ou plutôt qu'il m'a "amené à ces mecs" pour que EUX me baisent ! 

 

Du coup, je les regarde d'un autre œil et, immédiatement, je me demande ce qu'ils ont dans le froc, ces … trois et trois ... six mecs. Putain, six nouvelles bites ! Mais aussitôt, je suis pris d'un doute … à part Jeanneau, si ça se trouve, les autres, c'est seulement des consommateurs ordinaires qui se trouvent là par hasard. C'est peut-être seulement Jeanneau qui va me baiser. Oui, mais il a dit "la copine que Denis NOUS amène ". NOUS ! Je les regarde tous, les uns après les autres. T'es là pour me baiser, toi ? Et toi ? Et toi ? Et toi …  Y'a pas à dire, ils ont tous de ces tronches, ces mecs … Un metteur en scène pourrait les recruter pour incarner une équipe de malfrats ! Mais leurs gueules, je m'en fous ! Les trois joueurs de dés viennent à leur tour nous serrer la main. Ils se déplaceraient pour nous dire bonjour, si c'était des clients ordinaires ? Sûrement pas. Ils viennent faire … connaissance. Le premier m'examine sans vergogne de la tête aux pieds. Le deuxième garde ma main dans la sienne, me fait pivoter d'un quart de tour pour me voir de profil avant de me ramener face à lui, et siffle doucement entre ses dents. Le dernier me déshabille du regard et hoche la tête d'un air entendu. Ces mecs aux regards et aux sourires lubriques, qui me reluquent et qui me jaugent comme un boucher examinerait un bestiau avant de l'acheter, ça me trouble … et ça m'excite. Ils se sont contentés de me caresser du regard, mais ça me fait le même effet que s'ils m'avaient tâté les miches pour juger de la fermeté de ma chair, comme s'ils m'avaient palpé les cuisses pour estimer la douceur de ma peau. Cette fois, j'en suis à peu près sûr, ces types sont ici pour me baiser ! Ah, putain ouiiiii ! Une bouffée de chaleur m'envahit et un frisson m'électrise l'anus.

 

Quand je me retourne, je m'aperçois que Denis m'observe, comme s'il guettait mes réactions. Au drôle de petit sourire qu'il arbore, j'ai l'impression qu'il est satisfait. Rassuré, plus exactement. Ça se voit tant que ça, que je suis content qu'il m'ait "amené" à ces mecs ? Juste à côté de moi, Nadir et Yann me regardent aussi, mais d'un air un peu gêné. Quant à Dominique, la situation a l'air de beaucoup lui plaire. Aux mimiques et aux sourires qu'échangent Denis et Jeannot, c'est comme si je les entendais: « C'est bon, mec, c'est dans la poche ! ». C'est sûrement ça ! Tous les deux devaient se demander si j'allais être d'accord pour passer à la casserole ! Evidemment, que je suis d'accord pour passer à la casserole. Six mecs de plus ! Six mecs à soulager ! Après une trentaine l'autre jour, c'est pas six mecs qui vont me faire peur ! Si vous en avez envie, allez-y ! En tout cas, moi, j'en ai envie !

 

Jeannot lance à un des deux types assis sur un haut tabouret:

- Tiens, Anton, laisse ta place à … euh, comment tu veux qu'on t'appelle ?

- Comme tu veux … Marin … ou Marine … ou "ma poule", Dominique m'appelle "ma poule" … comme tu veux.

- Bon, alors, ma poule, je te sers quoi ?

 

Anton m'a docilement abandonné son tabouret. Je me hisse et, bien entendu, mon entrejambe, dévoilé par ma jupe qui remonte à l'angle de mes cuisses, n'a pas échappé à Jeanneau, de l'autre côté de son comptoir. Il a un petit hochement de tête admiratif et il insiste: il me sert quoi ? 

- Je … je sais pas ..

- Une coupette ?

- Ah oui, une coupette.

- Coupette pour tout le monde ?

 

Oui, coupette pour tout le monde. Ah non, Nadir lève la main:

- Pas pour moi. Euh, un whisky, c'est possible ?

- Pas de problème. Un baby !

 

A part deux des joueurs de dés qui se parlent à l'oreille, tout le monde reste silencieux. A la façon dont ils m'ont tous examiné, maintenant c'est une certitude, tous ces mecs sont ici pour du sexe avec moi. Hhhhmmmm, ça m'excite ... non seulement parce que je vais encore me faire baiser par des inconnus, mais aussi parceque Denis a pris l'initiative de m'amener à ces mecs sans me demander l'autorisation et même sans m'en avertir ! Et ce qui ajoute à mon plaisir, c'est que, visiblement, dès qu'ils l'ont vue, ils ont eu envie de la baiser, la salope qu'on leur a amenée ! C'est dingue, quand même ! Dans cette affaire, tout devrait me ... me choquer, me scandaliser. L'autre jour, quand une trentaine de mecs m'on baisé chez Jean-Claude, c'est moi qui me suis offert à eux. C'était MA décision, MA volonté. Mais là, non seulement mon amant du jour ... MES amants du jour m'ont utilisé pour leur plaisir, mais en plus, maintenant, ils me livrent d'autorité à d'autres types pour qu'ils me baisent, comme ... comme une marchandise, comme un objet sans volonté, sans libre arbitre. Je devrais me sentir méprisé, humilié, avili d'être traité comme une chose, comme un objet sexuel qui n'a pas à donner son consentement ! Et bien, c'est exactement le contraire ! Je ne me sens ni humilié, ni avili ... ça me plaît, ça m'excite d'être traité comme ça ! Je me sens ... je me sens fier. On me traite comme la dernière des salopes, comme une viande à bites ? Tant mieux ! Je fais bander des mâles, ils ont envie de me baiser, alors qu'ils me baisent, c'est tout ce que je demande ! 

 

Maintenant, je n'arrête pas de penser à ce qu'ils ont entre les jambes, à ces six nouveaux sexes, encore cachés dans ces pantalons, là, tout près de moi. Dans un petit moment, ils vont me les introduire l'un après l'autre ... dans ma bouche ou dans mon fourreau … ils vont s'y donner du plaisir … et ils vont y déverser leur semence ! Penser à ça, c'est … oh la la ! Me dire que ces six types, des inconnus, vont tous me passer dessus, introduire leur sexes en moi et me posséder, ça me ... brrrrrr ... un frisson de plaisir me parcourt de la nuque aux genoux. Pour le moment, aucun d'eux n'ose encore passer à l'acte, ou commencer à me tripoter, ou simplement aborder la question. Ça m'amuse et je les laisse lanterner un peu. Si aucun ne se décide, c'est moi qui m'attaquerais à la braguette de l'un d'entre eux. Anton est resté à côté de moi. Ce sera lui. Jeanneau pousse une flûte de Champagne vers moi:

- Bon, euh … ma poule, tu sais, t'es le premier … travelo à venir ici. D'habitude, c'est des putes qu'on fait venir. Ou des bourgeoises salopes qui veulent de la bite, mais jusqu'à présent, toujours des femmes. Avec mes potes, on s'est encore jamais fait un travelo, hein … 

 

Voilà, c'est dit: c'est bel et bien pour lui ET ses potes que je suis ici. Yessss ! Mais avant, je vais m'amuser un peu:

- Hein ? Mais pourquoi tu me dis ça ? Quel travelo, vous voulez vous faire ? Moi ? Mais je suis pas au courant …

 

Il blêmit. Je regarde Denis. Lui aussi devient tout blanc. Jeannot:

- Hein ? Qu'est-ce que c'est que ces conneries ?

 

Il a l'air furibard. Denis bafouille, me regarde d'un air suppliant:

- Je … je pensais … mais … tu ...

- Tu m'as rien dit, Denis ! T'as seulement parlé de venir boire un coup !

 

Jeanneau le fusille du regard, prêt à exploser. Les autres se regardent, interloqués. 

 

J'éclate de rire:

- Ah ! Vous avez eu peur, hein ! Je déconne, évidemment ! Denis, j'ai compris que si tu m'as "AMENÉ" à ton pote Jeanneau … et à ses … clients, c'est pas pour lire des poèmes. J'ai commencé à m'en douter quand tu as voulu que je prenne des capotes. 

 

Jeannot secoue la tête:

- Je comprends rien à vos conneries. T'étais pas au courant que … tu veux dire que t'étais pas au courant pourquoi tu venais ici ?

- Est-ce que j'étais au courant que Denis "M'AMENAIS" ici pour que je me fasse baiser ? Non, j'étais pas au courant. Tel qu'il m'avait présenté la chose, on venait seulement boire un coup. 

- Ah bon ? Alors ? Maintenant que tu sais que t'es là pour euh … te faire baiser, t'es d'accord, ou t'es pas d'accord ?

- Maintenant que je sais ... rassure-toi, je SUIS d'accord. Je suis TOUJOURS d'accord pour me faire baiser ... J'ADORE me faire baiser !

 

Denis soupire:

- Ah t'es con, hein !

 

J'ai l'impression d'entendre un soupir de soulagement général. Maintenant, Jeanneau, ses cinq clients et moi, nous savons tous ce qui va se passer ! Même les quatre mecs avec qui je suis venu. Dix mecs ! Dix mecs autour de moi, et au centre … MOI ! Est-ce un effet de mon imagination ? Maintenant que j'ai annoncé la couleur, j'ai l'impression qu'il règne brusquement une atmosphère de stupre et de luxure dans ce troquet ! Comme quand je suis arrivé dans la cour de la ferme de Jean-Claude, au matin de mon gangbang. Dans ces pantalons, des queues doivent déjà frémir, des glandes doivent commencer à sécréter de la liqueur. J'ai même l'impression que ça sent le mâle là-dedans, comme si, à l'idée de forniquer avec moi, ces types s'étaient mis à exsuder de la testostérone. J'adore ! Lentement, je les regarde à nouveau, ces dix mecs. Je me sens comme un gamin qu'on aurait amené devant la vitrine d'un magasin de jouets en lui disant « Sers-toi, tu peux prendre tout ce que tu veux ». Et je le sais, à cet instant précis, dans la tête de ces dix mecs, c'est comme dans la mienne, des images, des envies, des pulsions se bousculent: sexe … baise … bites … cul … pipe … accouplement … bouche … masturbation … fornication … langue … jouissance … éjaculations … sperme … spermesperme

 

Autour de moi, comme une garde rapprochée, il y a les quatre à qui je me suis donné chez Denis, qui ont déjà introduit leurs sexes en moi, et qui ont déjà joui de moi et EN moi. Et dans un deuxième cercle, il y a les six autres. Six mâles inconnus avec qui je vais forniquer. A mon tour, et sans vergogne, je les dévisage, un à un. Celui-ci, il va poser ses gros doigts courts sur moi, me caresser les cuisses, m'explorer les fesses et la raie, peut-être me les introduire dans le fourreau … Jeannot va peut-être poser ses lèvres sur moi, dans mon cou, il va peut-être vouloir me rouler une pelle, glisser sa langue dans ma bouche … ou dans mon cul … je sens déjà sa barbe de deux jours me gratter les cuisses… Lui, là, Anton, il va presser son corps contre le mien … frotter son sexe en érection dans ma raie … me pétrir les hanches de ses longs doigts fins … Celui-ci, assis à côté de moi, s'il me prend en levrette, je vais sentir les poils de ses cuisses caresser mes cuisses … L'autre, qui est derrière moi et dont je ne vois que le visage dans le miroir en face de moi, c'est la touffe de poils de son pubis que je vais sentir contre ma rondelle et mon périnée, quand il va me fourrer … 

 

Ah, putain, leurs doigts, leurs langues vont s'introduire dans ma bouche et dans mon anus … leur bites … leurs bites vont pénétrer ma bouche … leurs bites vont s'enfoncer dans mon cul … leurs semences toutes chaudes vont jaillir et se répandre dans mon ventre … Six mâles à qui je viens de m'offrir ! Six mâles à qui je viens de dire que OUI, ils vont me baiser ! Six mâles à qui je vais ouvrir mes orifices pour qu'ils y introduisent leurs membres ! Six appareils génitaux que je vais soulager ! Je sens ma propre queue frissonner et commencer à gonfler dans mon string.

 

C'est Jeanneau qui rompt le long silence au cours duquel eux comme moi ont mentalement anticipé ce qui va se passer:

- Oui, je te disais qu'ici, on s'est encore jamais fait un travelo, et ... Denis m'a dit tellement de bien de toi, que j'ai fini par céder. J'te cache pas, ça me plaisait pas au début … je suis pas … enfin, à la base, on est pas des … des pédés, si tu veux … mais il m'a montré tes vidéos. En fait, tu suces et tu te fais baiser comme n'importe quelle salope … 

 

Il a l'air d'attendre que je confirme. Alors je confirme:

- Exact. JE SUIS une salope !

 

Denis renchérit:

- Ouais, il suce même encore mieux que beaucoup de salopes, vous verrez. Et son cul, c'est … woufff !

 

Jeanneau:

- Bon, et puis, comme dit Denis, faut pas mourir idiot. Une bouche c'est une bouche et un trou du cul, c'est un trou du cul … de pute, de salope ou de travelo ….

 

Ses potes approuvent. Il poursuit:

- Et de nos jours, baiser un travelo, ça choque plus personne. 

 

C'est marrant, j'ai l'impression qu'il essaie surtout de se convaincre qu'il n'est ni pédé, ni pervers. Il poursuit:

- Euh, alors je pense que t'as compris que mes potes qui sont là …

 

Il me les désigne d'un geste la main:

- … c'est eux qui vont te …

- … me baiser ? Ben oui, c'est ce que j'ai cru comprendre. Si c'est prévu comme ça, qu'ils me baisent ! 

- Ah bon ! Mais … t'as pas d'objections ?

- … d'objections ?

- Ben oui … des fois que tu voudrais pas de l'un ou de l'autre …

- Ah non. Je prends tout le monde, je m'en fous. Du moment qu'un mec a une bite en état de marche, je prends. Toi aussi, Jeannot, tu va me baiser ?

- Ben … oui. 

 

Denis intervient:

- Tu vois, Jeanneau ? J'te l'avais dit. 

- Bon, alors … à ton cul, ma poule !

 

Il lève sa flûte. Les autres aussi, en chœur:

- A ton cul !

 

Et ils rient. On boit. Je repose ma flûte sur le bar, et je me tourne vers celui qui vient de me laisser son tabouret, Anton. Les yeux sur son bas-ventre, je désigne sa braguette d'un coup de menton:

- Alors ? Tu me montres ?

 

Surpris, il me regarde, semble ne pas comprendre. Je précise:

- … ta queue. Tu me la montres ?

 

Ça y est, il a compris. Il sourit, regarde les autres, pose sa flûte sur le bar et entreprend d'ouvrir sa braguette. Ah, ben voilà ! Je descends de mon tabouret et je lui fais face. J'écarte ses mains et je glisse la mienne dans sa braguette. Ah putain, ma main dans la chaleur de son pantalon ! Rien que ça, glisser ma main dans une braguette, àa me ... J'ai le cœur qui bat. Autour de moi, des rires discrets, des exclamations à peine retenues. J'entends vaguement murmurer « bite », « aime ça », « pute », « salope », … Ouiiii, j'aime ça, la bite. Oui, je suis une salope. J'entends Denis murmurer quelque chose à Jeanneau. Je ne saisis ses paroles, mais à son ton, ça doit être quelque chose comme « Tu vois ? Qu'est-ce que je t'avais dit ! ».

 

Anton ne porte rien sous son pantalon. Sous mes doigts, je sens déjà les poils de son ventre, puis sa peau nue et chaude … la touffe plus dense de son pubis, et enfin sa queue, qui pend dans sa jambière. Nouveau frisson dans mon anus. Hhhmmmm, encore une bite ! Une nouvelle bite ! Un sexe d'homme ! C'est tellement ... émouvant ! Un sexe que, tout à l'heure, il va introduire en moi ! Un coude toujours sur le bar, il me regarde faire et pose sa main libre sur ma hanche. Je parcours sa verge du bout des doigts. Il bande déjà un peu, il me semble. Je plante mes yeux dans les siens, et je le caresse. Hhhmmmm, oh oui, mec, tu vas me baiser avec ça ! Merci ! Je sens son sexe commencer à se redresser légèrement. Je l'empoigne plus fermement et je le masturbe. Dans ses yeux, qu'il plisse en souriant, je lis quelque chose comme « toi, t'es une sacrée salope ! Toi, tu aimes vraiment la bite ! ». De ma main libre, je déboutonne son pantalon et j'en écarte les pans. Son pantalon commence à glisser sur ses hanches. Il le retient. Je sors délicatement sa bite. Pas mal ! Pas énorme, mais correcte. Toi, ma chérie, tu es très jolie, je t'aime déjà, je vais te câliner, j'ai hâte que tu viennes te mettre au chaud dans ma tanière. Tu verras comme on y est bien. Je vais te faire jouir, je vais te faire éjaculer, elle est pour mon ventre, ta semence ! Les yeux mi-clos, je le masturbe doucement. J'ai la bouche sèche. Je passe ma langue sur mes lèvres. Je jette un coup d'œil autour de nous. Les autres me regardent en souriant, fascinés. Oui, ça me fait cet effet-là, de tripoter une bite !

 

Deux joueurs de dés s'approchent et se glissent entre Yann et Nadir, qui s'écartent pour leur laisser la place. D'eux-mêmes, ils ouvrent leurs braguettes. Ça y est, le premier, juste à côté d'Anton sort sa queue. Oh oui, c'est ça, les mecs, montrez-moi vos bites ! Celle-ci est petite et pendouille, toute molle, au milieu d'une touffe de poils roux. Le type extrait aussi ses couilles et il tend son ventre vers moi. Sans cesser de branler Anton, je prends ce petit sexe entre mes doigts. Oh, toi aussi, mignon petit jésus, je t'aime ! Aussitôt, au contact de mes doigts, je le sens réagir et commencer à grossir. L'autre a aussi sorti sa bite. Hhhhmmmm, celle-ci est nettement plus grosse et plus longue. Lui, il commence à bander. Ah la la ! Tout à l'heure, je vais avoir cette queue dans mon cul ! J'abandonne Anton et je tripote les deux joueurs de dés. Tiens, voilà le troisième. Lui se contente d'abaisser la ceinture de son pantalon de jogging sous ses couilles. Grosse touffe noire d'où émerge une bite au repos, assez ordinaire. Il regarde son bas ventre et le tend vers moi. Voilà quatre des bites qui vont pénétrer en moi, quatre des bites que je vais faire jouir ! Ah putain ! Ça me rend folle, les sexes d'hommes ! Adossé au comptoir, je passe de l'une à l'autre, les pelotant, les tripotant, les masturbant alternativement. Je vais toutes les sucer ! Ces mecs vont me prendre, me posséder ! L'excitation, la fébrilité me gagnent. Le contexte y contribue aussi: branler ces mecs dans un troquet ! Quel pied ! J'ai une bouffée de chaleur. Je me laisse aller sans pudeur à tripoter ces queues lascivement, fiévreusement. J'imagine déjà les sensations que vont me procurer ces sexes dans ma bouche, je les imagine déjà s'enfonçant dans mon fourreau quand ces types vont s'accoupler avec moi. 

 

Tous les yeux sont braqués sur moi. Dans les regards, je lis de l'amusement, mais aussi une espèce de sidération de me voir aussi … affolé, avide, impatient, excité par ces sexes, et sans aucune retenue. Mes quatre amants, maintenant en retrait, m'observent aussi. Le regard et le sourire de Denis en disent long: il est satisfait … il est content de moi … il est FIER de moi, même. Ou plutôt non, il a la tête du mec qui est fier d'exhiber à des potes la … "trouvaille" qu'il a fait… La "trouvaille", en l'occurrence, c'est moi. C'est ça: il est content d'avoir dégotté une "fille facile" comme moi et de l'avoir "amenée" à Jeannot et à ses potes ! Moi aussi, ça me plaît, Denis ! Non seulement que tu aies voulu me partager avec Nadir, Dominique et Yann, mais que tu m'aies offert, livré à cette bande de mâles en rut qui vont maintenant me passer dessus … tous les six !

 

Un mouvement, à côté de moi. Le type qui discutait avec Jeanneau et Anton quand on est arrivés, toujours juché sur son tabouret, vient de pivoter vers moi. Les talons sur le repose-pieds, un coude sur le comptoir, le poing sur la hanche, il écarte et serre les cuisses plusieurs fois, et me sourit. C'est seulement maintenant que je remarque qu'il porte un jean beige très ajusté. Chaque fois qu'il resserre ses cuisses, ça lui remonte et ça lui gonfle le paquet et sa braguette fait une grosse bosse. Magnifique ! C'est un appel, une invitation. J'abandonne ses quatre potes, et des deux mains, je lui palpe le bas ventre. Oh la vache, il doit y avoir un sacré morceau là-dedans ! Les mains à plat sur ses cuisses, je me penche et je pose ma bouche sur cette bosse. Hhhmmmm, c'est tout chaud, et c'est ferme là-dessous. Je passe mes lèvres sur cette protubérance. Oh la la, c'est sa queue, là, je la sens. Il commence à bander, et ça m'excite. Je me frotte fiévreusement les joues, le menton, la bouche sur son paquet en gémissant sans pudeur. C'est sûr, il bande de plus en plus et le tissu de son jean moule de plus en plus nettement la forme de sa verge ! Sa bite s'allonge sur la droite. A mon avis, si elle peut s'étaler comme ça, c'est qu'il ne porte ni slip ni caleçon, là-dessous. Et même comme ça, il doit commencer à être à l'étroit là-dedans, parce que, de lui-même, en tirant et en soulevant la toile du jean, il donne un peu de place à son sexe tendu. Je frotte ma joue sur cette protubérance en ronronnant, puis je prends cette forme entre mes lèvres et je la parcours sur toute sa longueur. Hhhmmmm, ce que c'est bon ! C'est ça que tu vas introduire en moi et c'est avec ça que tu vas va m'inséminer. Où est ton gland ? A cette extrémité, je pense ... oui, il est là ! Je le presse entre mes lèvres. Le type se laisse faire. Il a l'air de beaucoup apprécier ce que je lui fais. Il attend visiblement que ce soit moi qui lui déballe la queue. 

 

La main sur sa bosse, je me redresse et je regarde ses quatre potes qui ont sorti leurs queues. La bite toujours à la main, ils se tripotent. Dans leurs yeux, pas le moindre reproche de les avoir abandonnés pour ce type. Au contraire, j'ai même l'impression que le spectacle que je leur donne les excite. Ils paraissent impatients d'assister à la suite. J'ai chaud. J'ôte mon blouson et, avant que j'aie pu le lancer sur le dossier d'une chaise, quelqu'un me le prend des mains. Je reviens au type au jean moulant, et je m'attaque au bouton métallique de son jean. Je suis fébrile, et il est tellement serré que j'ai un peu de mal. Il rentre son ventre. Voilà ! Je descends son zip. Son paquet apparaît. En fait, il porte un … un micro slip en tissu noir, très fin, hyper moulant, qui dessine parfaitement la forme de sa queue. On voit même les reliefs de son urètre et de son gland, moulés par ce bout de tissu. Oh putain, quelle merveille ! Quel morceau ! Ça, c'est un mâle ! Sa queue, couchée en travers de son ventre tend le tissu juste sous la ceinture du micro slip. Elle cherche à se redresser, à sortir, mais elle reste coincée dans le minuscule triangle noir. Elle a bavé d'excitation et son fluide a traversé le fin tissu. Je le savais, je savais que ces types allaient commencer à mouiller. Il a envie de forniquer avec moi, il bande, il mouille ! Je me penche à nouveau et je parcours encore sa verge du bout des lèvres. Hhmmmm, un sexe d'homme, tout chaud et bien ferme. Il remonte le bas de son T-shirt et dévoile un ventre plat, musclé et totalement imberbe. Je prends de nouveau son gland entre mes lèvres et, du bout de la langue, je lèche les quelques gouttes de fluide qui ont imprégné le tissu. Hhhmmmm, ça y est, j'ai déjà un peu de sécrétions masculines sur ma langue. Toi aussi, la grosse bite, je suis déjà amoureux de toi. Je vais te prendre entre mes lèvres et je vais donner du plaisir à ton gland. Un flot de salive m'envahit la bouche.

 

Enfin, je glisse ma main sous la ceinture du slip. J'effleure sa verge du bout des doigts. Ça m'électrise la prostate et l'anus. Je descends la ceinture d'un seul coup. Sa queue jaillit et se dresse à la verticale. Ah, la vache ! Quel morceau ! Oh, bien sûr, ce n'est pas la bite de Gabriel, ou de Sam, mais qu'elle est belle ! Longue et épaisse. Pas un poil, et dorée sur toute sa longueur, à l'exception de son gland et de deux centimètres sous la couronne de son gland. Ce mec est circoncis ! Son gland aussi, est une merveille ! Je crois que c'est une des plus belles bites que j'aie vues jusqu'ici. J'effleure sa verge du bout des doigts sur toute sa longueur. Oh, putain, il va me mettre ça dans le cul ! Et ses couilles, elles sont comment ? Je tire sur la ceinture de son slip, j'insinue mes doigts à l'intérieur et, délicatement, je les glisse sous ses boules. Immédiatement, je sens qu'elles bougent librement à l'intérieur de ses bourses. Elles doivent pendre. Doucement, je les sors. Oh, putain ! Pas étonnant que tout ça lui gonflait la braguette comme ça ! En effet, il a des grosses couilles qui pendent. Je me penche encore et, tout en lui masturbant la queue, je pose des baisers sur ses testicules. Ça le fait rire. Ce qu'elles sont belles ! Sa semence doit commencer à bouillonner là-dedans, impatiente de jaillir ! Oui, les filles, c'est moi qui vais vous soulager, c'est moi que vous allez inséminer ! Mon excitation monte en flèche. Je lèche sa verge deux ou trois fois, et je finis par le prendre dans ma bouche.

 

Alors, il n'y a plus que ce mec et moi. Ce mec que je ne connaissais pas il y a un quart d'heure ! Et là, il n'y a plus que son sexe et moi ! Son sexe magnifique dans ma bouche, et moi. J'ai chaud, mes oreilles bourdonnent. Un brouhaha sourd autour de nous … des voix … des rires ? Tout à la volupté de sucer ce membre magnifique, je me suis fermé à tout ce qui nous entoure. Une fois encore, je n'en reviens pas de la chance que j'ai de pouvoir sucer un tel organe ! Un appareil génital de cette taille, et aussi beau, c'est fait pour impressionner les femelles, pour les attirer, c'est fait pour qu'elles aient envie de se faire pénétrer, de se faire féconder. Si la nature a équipé un mâle d'un organe comme celui-ci, c'est pour en faire un mâle alpha, un reproducteur, un étalon ! Et là, ce type, doté d'une telle virilité, ce n'est pas dans le vagin d'une femelle qu'il a fourré son organe en érection, c'est dans ma bouche ! Je suis en train de tailler une pipe à un étalon ! Et tout à l'heure, ce n'est pas avec une femelle qu'il va s'accoupler, c'est avec moi ! Si ce type me le demande, je reste avec lui et je laisse tomber Denis et ses potes. S'il veut, je me donne à lui et à son sexe, je leur appartiens.

 

Brusquement, je réalise deux choses: ce gémissement de plaisir… c'est de ma gorge qu'il surgit, et cette main qui me masturbe … c'est la mienne. Machinalement, j'ai glissé ma main sous ma jupe, j'ai sorti ma bite de mon string et je me branle en tétant le sexe de ce type. Mais je réalise autre chose encore: il y a une main entre mes fesses ! Une main qui m'explore, une main qui passe ses doigts dans ma raie. Et je me rends compte qu'inconsciemment, instinctivement, comme par réflexe, en sentant cette main se glisser entre mes miches, j'ai écarté les cuisses ! 

 

- Allez, viens, on va là-bas !

 

L'étalon a passé une main sous mon menton et il me repousse. Hébété, je me redresse. Il descend de son tabouret, il me prend le poignet et commence à m'entraîner. Je résiste:

- Attends !

 

Je dégage ma main, je relève ma jupe et je descends mon string sur mes cuisses, puis sur mes mollets. Me tenant d'un main au bar, je finis de l'enlever et je le pose sur le zinc. Les autres, tous les autres, nous regardent, ébahis. Retenant son jean, l'étalon me reprend la main et m'entraîne dans la salle … jusqu'à une table près de la devanture. Il saisit le dossier d'une chaise, l'adosse à la vitrine, et s'assoit:

- T'es vraiment une bonne salope, toi ! Allez, suce-moi encore !

 

Il écarte les jambes. Je m'agenouille et je le reprends dans la bouche. Oh la la, cette bite ! 

 

- Hé ! Qu'est-ce tu fous, Jacky ?

 

C'est la voix sourde de Jeannot. Visiblement, il s'adresse à l'étalon. Il s'appelle Jacky, donc. Il ne répond pas, me prend la tête entre ses mains et accompagne mes va et vient sur sa queue. Putain, ce gros membre, chaud, lisse, doux, dans ma bouche, ça me rend dingue !

 

- Hé ! Jacky ! Y'a du monde qui passe dans la rue ! Arrête, bordel !

 

Encore Jeannot. Il y a du monde qui passe dans la rue ? Tout en continuant de pomper Jacky, je jette un coup d'œil à droite et à gauche, de part et d'autre de son ventre. Personne. Aux mouvements de son bassin, je sens que lui se tourne pour regarder dans la rue derrière lui. 

- Y'a personne, Jeannot !

 

Oui, tout de suite, là, il n'y a personne, mais je réalise la situation: je suis en train de tailler une pipe à un mec, juste derrière la vitrine de ce troquet ! La rue est sombre et le café est éclairé. Alors, en effet, si quelqu'un passe dans la rue et regarde dans le bistrot … Décharge d'adrénaline. Ma parole, il l'a fait exprès, le Jacky ! Mais ça me plaît ! Oh, bien sûr, sur la vitre de la devanture, il y a ces espèces de bandes opaques, de quelques centimètres de large, et qui ne laissent passer que la lumière, mais, entre les bandes …

 

Un bruit de moteur … les phares d'une voiture qui remonte la rue en direction de la cathédrale. Jeanneau:

- V'là une bagnole, Jacky !

- Ils peuvent pas nous voir, Jeanneau ! Continue, toi !

 

Oh oui, je continue ! Ce n'était même pas la peine que tu appuies sur mon épaule. Je continue même de plus belle, tellement la situation m'excite. J'en suis à espérer que quelqu'un passe sur le trottoir, devant cette vitrine, me voie et s'arrête pour me regarder tailler une pipe à ce mec ! Dans des flashes, des images s'imposent à mon esprit: en plein jour, dans la même situation, je suce Jacky et des passants s'agglutinent sur le trottoir devant le troquet pour regarder … 

 

Des bruits de pas derrière moi. Des potes de Jeanneau se sont rapprochés. Ah oui, voilà Anton, toujours la bite à l'air, qui fait comme Jacky: il tire une chaise contre la vitrine, il s'assoit et se tripote en me regardant. J'arrête de sucer Jacky, je sors sa bite de ma bouche et, tout en le masturbant, je regarde autour de nous. Ils sont tous là ! Les trois à qui j'ai aussi tripoté la bite, qui continuent de se palucher, debout derrière moi, et il y a même Denis, Yann, Domi et Nadir ! Ils ont tous l'air d'apprécier le spectacle. Je me penche de nouveau et je recommence à sucer l'étalon, malgré Jeanneau, resté derrière son bar, qui nous regarde avec l'air furax. 

- Tu fais chier, hein, Jacky ! On va encore avoir les flics ! Et toi, là, Marin, va plutôt finir de le sucer à l'étage !

- Laisse-les finir ici, Jeanneau. C'est top. C'est pas les salopes qui viennent là d'habitude qui feraient ça ! 

 

Du coin de l'œil, je remarque un mouvement sur ma droite. Tout en suçant Jacky, je lève les yeux. C'est Denis, smartphone à la main:

- Ça te dérange, Jacky, si je vous filme, pendant qu'il te suce ?

- Nous filmer ? Ça va pas, non ? Pas question !

- Je filme pas ta tête, on te reconnaîtra pas. 

- Et lui, on le reconnaîtra pas ?

- Il a l'habitude. Il aime ça, même. Pas vrai ?

 

Je hoche la tête: oui, j'aime ça ! Denis insiste:

- Alors ?

- Non ! Pas question ! Remballe ton machin.

 

Je vois seulement les jambes de Denis s'éloigner. Et ce que j'espérais, et que Jeanneau redoutait tellement, survient: sur ma droite, une ombre apparaît, passe devant la porte en verre du bistrot, puis le long de la devanture, derrière Jacky. J'entends les autres se marrer ! La silhouette longe le café. C'est un homme qui remonte la rue à pas rapides. Il disparaît de mon champ de vision. Apparemment, il n'a rien remarqué. N'empêche, une onde d'adrénaline me traverse. Entre ce passant et nous, il n'y avait que l'épaisseur de cette vitrine ! C'est la même émotion, le même plaisir que quand j'ai masturbé Philippe devant un couple de randonneurs au bord du canal ! Les types autour de moi rient et commentent à voix basse Je poursuis ma fellation encore plus fiévreusement.

 

- Attention ! En v'là d'autres !

 

Il n'a pas fallu deux minutes avant que quelqu'un lance cet avertissement. Je lève les yeux. Apparemment, ceux-là arrivent aussi du bas de la rue. Cette fois, c'est un couple. Ils marchent lentement, serrées l'un contre l'autre sur le trottoir étroit. A travers la vitre, je les entends parler. Hey, les passants ! Regardez ! Tournez la tête ! Je suis en train de sucer la bite de ce mec ! Les voilà derrière Jacky. Il continuent… s'éloignent, toujours en bavardant … et brusquement, au moment où ils vont arriver au bout de la vitrine, ils s'arrêtent. J'entends nettement la voix de la femme: elle pose une question à l'homme. Il fait un pas en arrière et opère un demi-tour en entraînant sa compagne. Et tous deux regardent vers nous ! Oui ! Ils regardent à l'intérieur du troquet ! 

 

ILS NOUS ONT VUS !!!

 

L'homme, qui marchait le long de la devanture a du nous voir sans réaliser immédiatement ce qui se passait, et, le temps de comprendre ce qu'il avait vu, il a du le dire à sa compagne. Allez, approchez ! Tu as bien vu, monsieur: dans ce café, un travelo est en train de tailler une pipe à un mec ! Collez votre nez à la vitrine, et regardez ! A-t-il vu que je suis un trav ? A-t-il vu que …

 

Soudain, un bruit sec, et le noir. Le bistrot se retrouve brusquement dans l'obscurité. Seule la lueur orangée d'un lampadaire, un peu plus haut dans la rue, éclaire faiblement l'intérieur du café. Des rires, des exclamations:

- Ooooooooh, Jeanneau !

 

Jeanneau a coupé tout l'éclairage de son établissement. Je sors la queue de Jacky de ma bouche et je me redresse. Le couple, surpris, a renoncé de percer l'obscurité du café, et a peut-être pris peur en voyant la lumière s'éteindre. En tout cas, il a fait demi-tour et a disparu en direction de la place de cathédrale. La voix de Jeanneau:

- Arrêtez vos conneries, maintenant. Monte le baiser là-haut, Jacky !

 

En riant, Jacky me prend sous les aisselles et me fait relever:

- Ouais, allez viens, on monte.

 

Je me relève et, il commence à m'entraîner. Puis il se ravise:

- Dis … t'as besoin de te laver le cul ?

- Non, non. Je l'ai fait avant de venir.

- Sinon, y'a ce qu'il faut derrière, hein …

- Non, je te dis. C'est fait.

- Tu savais ce qui t'attendait, alors.

- Je me disais que la soirée pouvait tourner à la partie de cul, mais je ne savais pas que ça se passerait ici.

- Allez, on monte.

 

Jeanneau a rallumé. De nouveau, Jacky m'entraîne. A l'angle de la salle, à côté du comptoir, il y a l'amorce d'un escalier que je n'avais pas remarqué quand nous sommes arrivés. Je jette un coup d'œil à mes spectateurs. Plantés au milieu de la salle, ils nous regardent, Jacky et moi, nous diriger vers l'escalier. Je leur lance:

- Allez, venez, les mecs !

 

Etonnés, ils se regardent, hésitent. J'insiste:

- Allez, montez avec nous … Denis, tu leur donnes les capotes et le lubrifiant ?

 

Mais Jacky, pressé, cramponnant son jean d'une main, me pousse devant lui:

- Allez, monte !

 

Quand je gravis les premières marches, je jette un coup d'œil derrière moi. Ça y est, Anton s'est décidé et il nous suit, imité par les trois autres. C'est parti, je monte me faire baiser ! J'ai juste le temps de voir Domi, Yann et Nadir, verre à la main, s'asseoir autour d'une table et Jeanneau passer une éponge sur son zinc. L'escalier en bois n'est pas très large, et assez raide. J'entends les pas des cinq mecs qui me suivent faire grincer les marches derrière moi. J'ai le cœur qui bat. Je suis en train de monter comme une pute monte avec son client. A part que moi, je ne monte pas avec UN client, mais avec CINQ, et que c'est autant pour mon plaisir à moi que pour celui de mes "clients". Au fait:

- Il monte pas avec nous, Jeanneau ?

- T'inquiète, il va monter !

 

Ah bon ! En haut de l'escalier, une pièce très sombre. Sous mes pieds, une moquette assez épaisse. Seule, une veilleuse signalant l'issue de secours, au dessus de l'escalier, éclaire l'endroit d'une faible lumière verdâtre. Je distingue des formes sombres le long des murs. Des meubles ? Jacky me pousse vers le milieu de la pièce:

- Bouge pas.

 

Tandis qu'il s'éloigne et manipule je ne sais quoi au fond de la pièce en bougonnant, je sens les autres arriver derrière moi et se disperser comme des ombres dans cette obscurité. Ah non, ils ne se dispersent pas tous. Des mains se posent sur mes fesses … des mains qui relèvent ma jupe … des mains qui me pétrissent les miches …. puis un corps qui se colle à moi … un ventre contre mon cul … un ventre et … un sexe … je le sens, chaud, entre mes fesses … chaud et humide. Ce mec mouille déjà du gland. Je passe mes mains derrière mes reins et, à tâtons, j'explore. Ah voilà ! Une boucle de ceinture .. une braguette … ouverte … et une bite. Hhhmmmm, il bande … et en effet, son gland est déjà mouillé. Je saisis sa queue et je commence à le masturber. Anton ou l'autre, le deuxième joueur de dés ? Ce n'est pas la petite bite, en tout cas. Ni le type au survêtement. Je m'apprête à me retourner et à m'agenouiller pour le sucer, quand il colle son menton à l'angle de mon cou et de mon épaule et, tout en me caressant les hanches et le haut des cuisses, il me souffle:

- T'es vraiment une sacrée salope ! 

 

D'un seul coup, la lumière ! Le mec derrière moi me lâche et s'écarte. C'est une grande pièce, au décor assez … exotique. Une moquette rouge, des murs … rouges, le long des murs des banquettes en velours … rouge, des poufs en cuir, des tables basses … C'est quoi, cet endroit ? Un claque ? Un bordel ? Et puis, en regardant mieux, je me rends compte que les murs sont décorés de motifs arabisants, qu'il y a des sièges à haut dossier recouverts de tissu … rouge, évidemment, des tables hautes, un tableau représentant une oasis à palmiers avec des chameaux, au plafond une grosse lampe en cuivre au milieu d'un drapé de tissu du même rouge que les murs et la moquette, et un peu partout, sur les tables et sur les murs, des lanternes finement ajourées. Il y a même deux narguilés sur une des tables. Décor étonnant, après l'aspect minable du rez-de-chaussée. Anton et "petite bite " sont assis sur une banquette, et le type au survêt sur un pouf. On dirait qu'ils ont leurs habitudes dans cet endroit. Tous les trois ont encore la bite à l'air, et ils se tripotent. En effet, c'est le deuxième joueur de dés qui s'était collé à moi. Il va aussi s'asseoir. Jacky revient vers moi, toujours en retenant son jean. Il a un peu débandé, mais il n'a pas remballé sa bite:

- A chaque fois, c'est le même bordel, avec le tableau électrique.

 

 Je prends son sexe dans la main et, tout en le masturbant doucement, je m'étonne:

- C'est quoi, cet endroit ?

- C'était un restau marocain. Ils ont fait faillite et ils ont tout laissé comme ça quand Jeanneau à racheté. C'est ici qu'on baise les salopes et les putes, d'habitude. Ça te plaît ?

- Oui, c'est sympa. Plus qu'au rez-de-chaussée.

- T'as une préférence ?

- Une préférence ?

- Oui, tu veux que je te baise sur la moquette ? Ou sur une banquette, ou sur une table … tu préfères quoi ?

- Ah ! Comme toi tu aimes. 

- Sur une table, ça te va ?

- Oui, n'importe où, n'importe comment … tout me va.

- Viens par là.

 

Il m'entraîne vers le fond de la pièce. Des tables et des chaises sont entassées le long du mur. On a voulu faire de la place au centre de la pièce. Nous voilà devant une table assez grande:

- J'vais te baiser là. 

 

Il ôte son blouson et le jette sur une chaise. Au moment où il passe son T-shirt par-dessus sa tête, je me laisse tomber à genoux à ses pieds, je saisis à deux mains la ceinture de son jean et je le descends sur ses cuisses. Hhhmmmm, cette bite ! Cette bite ! CETTE BITE ! Je prends ses couilles dans une main, sa verge dans l'autre, et je recommence à le masturber. Les poings sur les hanches, il me regarde en souriant. Tiens, il a un tatouage sur l'avant-bras gauche. Un entrelacs stylisé. J'embrasse sa verge, je passe ma langue sur toute la longueur de son sexe, sur ses couilles, je remonte, jusque sous son gland, et je le prends dans la bouche. Oh putain, il va me mettre ça dans le cul ! Comme tout à l'heure, dans la salle du bistrot, ses potes se rapprochent pour regarder et s'assoient, toujours la bite à la main. Tant bien que mal, je les regarde l'une après l'autre. Oh la la, celles-ci aussi, elles sont pour moi ! Elles ne sont pas aussi belles que celle de Jacky, mais je m'en fous, du moment qu'elles me rentrent dedans et qu'elles crachent leur sperme ! Anton a remarqué de quelle façon je contemple leurs bites. Il se marre et, comme pour m'exciter davantage, il dresse son engin et se malaxe le gland:

- Regarde ! Moi aussi, j'ai une sucette pour toi. T'as envie d'y goûter ?

 

Je me contente de cligner des yeux et de hocher doucement la tête: oh oui, j'ai envie d'y goûter, à ta sucette ! Sans quitter sa bite des yeux, je m'active sur celle de Jacky. Oh, ils me rendent dingue, ces salauds, avec leurs queues ! Je me concentre sur cette fellation. Je n'en reviens pas d'avoir la chance de téter une telle merveille ! Je vais le sucer jusqu'à ce qu'il jouisse. Et je m'en fous, il peut m'éjaculer dans la bouche, le Jacky. Pas besoin de mettre une capote. 

 

- Ah, putain, regardez-le, comment il aime ça !

 

C'est Anton qui commente. 

 

- Ah ouais, même les plus grosses salopes qu'on a baisées jusqu'ici étaient pas aussi … aussi … salopes que lui !

 

C'est "le survêt" qui renchérit. Ils se marrent tous. Putain, ce que j'aime ça ! C'est jubilatoire, de manifester d'une manière aussi indécente mon addiction à la bite devant ces inconnus. Me dévoiler ainsi à eux, sans honte, sans retenue et sans pudeur contribue à mon bonheur. Et je sens que ça les excite, ces mecs. Oui, les mecs, il n'y a pas d'erreur, j'aime la bite ! J'aime VOS bites ! Vous me voyez comme une salope ? Vous avez raison: JE SUIS une salope ! Je suis une salope que tous les mecs peuvent se taper, je suis un trou à bites, je suis une viande à bites ! J'aime sucer, j'aime écarter les cuisses, j'aime me faire passer dessus, j'aime me faire prendre dans toutes les positions, j'aime me faire BAISER … je suis une pute, une fille de joie que les mecs se refilent ! Oh, Denis, Denis ! Merci de m'avoir offert et livré à ces mecs, à ces inconnus, pour qu'ils me tronchent ! Merci ! Merci ! Merci !

 

- Bon, allez, fous-toi sur cette table !

 

Jacky s'est penché sur moi, m'a encore pris sous les aisselles et me fait relever. A regret, je sors sa bite de ma bouche, mais je la garde dans ma main, et, sans la lâcher, je recule jusqu'à la table et j'y appuie mes fesses. Maintenant que je suis debout, face à lui, je m'aperçois qu'il a aussi un tatouage sur l'épaule: une fille à poil, le haut du corps comme allongé sur sa clavicule, la tête sous son cou, les jambes sur le haut de son bras et le cul qui épouse juste la forme de son épaule. Délicatement, il saisit mon poignet, me fait lâcher son sexe et recule hors de ma portée. Je n'arrive pas à détacher mes yeux de sa queue. Elle est très raide et elle tient toute seule, dressée à la verticale. Comment une queue aussi longue, aussi lourde arrive-t-elle à ne pas retomber sous son propre poids ? Une  érection aussi … spectaculaire, c'est celle du cerf au moment du brame, c'est le rut dans ce qu'il a de plus animal, de plus primitif. Il va me saillir avec ça ! Je n'en reviens pas qu'un mec puisse bander comme ça à la perspective de me baiser. Putain, c'est LE mâle s'apprêtant à se reproduire ! Il ne va pas simplement me baiser, il va me couvrir comme une chienne en chaleurs ! Instinctivement, j'ai empoigné ma propre bite et je me masturbe. Il finit d'ôter son jean et son minuscule slip. Qu'est-ce qu'il est beau ... tout en muscles ! Il s'approche de moi et tend la main vers un guéridon, sur ma droite. Je m'aperçois que quelqu'un y a déposé la poignée de capotes et mon tube de lubrifiant. Oh merde ! Dans l'état où je suis, j'aimerais mieux qu'il n'en mette pas, j'aimerais mieux qu'il m'insémine directement. Je me lance:

- Tu sais, t'es pas obligé …

 

Il prend un étui de capote, me regarde:

- Je suis pas obligé ?

- Oui, t'es pas obligé de mettre une capote.

 

Il me regarde, étonné:

- Tu voudrais que je te baises sans ?

- Oui, j'aimerais mieux.

 

Il prend l'étui entre ses dents, le déchire, et:

- Installe-toi !

 

Merde, il va la mettre. Les yeux toujours rivés sur son membre, j'ôte mes ballerines, je me hisse jusqu'au milieu de la table. Les pieds posés sur le rebord, je me penche en arrière et je m'appuie sur les coudes pour regarder entre mes cuisses le mâle qui, dans un instant, va me saillir. Il déroule la capote sur sa bite. Tant pis, le regarder faire me trouble quand même: j'adore cet instant où un mâle qui s'apprête à me baiser se prépare, la bite raide d'envie de s'introduire en moi. Voilà, il est prêt, et on va s'accoupler et copuler … on va s'accoupler et copuler devant d'autres mâles … sans pudeur, sans honte … comme des animaux ! Et quand ce mâle-ci en aura terminé et se sera soulagé au fond de moi, ces autres mâles viendront, chacun leur tour, s'accoupler aussi avec moi et copuler … l'un après l'autre, sans pudeur et sans honte … comme des animaux ! Jacky prend le flacon de lubrifiant et s'approche de moi. Il me sourit, ouvre le tube, le presse, récupère du gel sur ses doigts et repose le flacon. Il avance sa main entre mes pieds, entre mes cuisses, entre mes fesses et je sens la fraîcheur du produit contre ma fleur.

- Allonge-toi !

 

Je me laisse tomber sur le dos, mains croisées sous ma nuque, cuisses grandes ouvertes. Il m'introduit ses doigts, d'abord doucement, prudemment … puis plus résolument:

- Dis donc, t'es drôlement dilaté ! T'as dû te prendre des sacrés calibres !

 

Je me cambre. Hhhmmmm ! Quelques va et vient dans mon fourreau, puis il essuie ses doigts sur ma jupe, me prend sous les reins et m'attire les fesses jusqu'au bord de la table. C'est devenu un réflexe, je passe mes mollets de part et d'autre de son torse et, cuisses relevées, je croise mes chevilles sur ses reins. J'attends sa pénétration. Raide et dressé, il n'a pas besoin de guider son sexe de la main. Je sens son gland se plaquer contre mon périnée, glisser vers mon anus et, d'un seul élan, me pénétrer. Ah la vache !Calé au fond de moi, il s'immobilise:

- Putain, c'est bien, ça ! Ça rentre tout seul là-dedans ! J'avais jamais fourré un cul aussi … accueillant. On se croirait dans une chatte de salope !

 

Hhhmmmm, ça y est, le mâle est en moi ! Je sens mon rectum rempli. Il me tient par la taille et je sens sa queue glisser dans mon fourreau. Ah, putain, ce que j'aime ça ! Il me prend … comme une femelle ! Sa grosse queue dans mon cul, il me possède … le temps de ce coït, je suis à lui … le temps de ce coït, je SUIS sa femelle ! Oui, baise-moi ! BAISE-MOI ! La chaleur de ses mains sur moi, la chaleur de son ventre qui vient se plaquer contre mon périnée, la chaleur de ses hanches contre mes cuisses … et son sexe qui va et vient en moi…

 

SON SEXE QUI VA ET VIENT EN MOI !

 

CE MEC ME BAISE !

CE MEC ME BAISE !

CE MEC ME BAISE !

 

Je suis submergé de plaisir: adrénaline, bouffées de chaleur, frissons d'extase, cœur battant … Il n'y a pas que le plaisir sensuel de cet accouplement … il y a aussi la délectation cérébrale de cette fornication contre nature, en public, immorale, indécente, bestiale …, il y a la gratitude d'avoir été livré par un mâle à d'autres mâles inconnus pour qu'ils s'accouplent avec moi et se soulagent en moi … il y a la satisfaction d'avoir susciter en eux ces désirs de saillie, de copulation, la fierté d'avoir provoqué leur rut … il y a la volupté animale de me soumettre docilement à leurs pulsions, à leurs instincts, de leur offrir sans retenue mes orifices et mes chairs chaudes et humides pour qu'ils y enfouissent leurs sexes, pour qu'ils y prennent leur plaisir et y déversent leur semence … et il y a autre chose encore … un sentiment ? Oui … une espèce de sentiment amoureux pour ces mâles et leurs bites … Je les aime, puisqu'ils me baisent. Je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus … mais ils me baisent, ils me font ce que j'aime, ils me donnent ce dont j'ai besoin, ce dont je ne peux plus me passer … du sexe avec des mâles.

 

L'étalon qui me fouille le ventre m'arrache soudain à mes pensées: il se met à souffler bruyamment par la bouche. J'ouvre les yeux et je le regarde. Les yeux écarquillés, il contemple son membre qui entre et sort de moi. Ça l'excite. Ses potes se sont levés, se sont approchés, et ils regardent aussi. Tiens, il y a même Denis, Dominique et Yann ! Tant mieux. A la façon dont ces trois-là me regardent, à leurs sourires, je sens que ça leur plaît de me voir me faire troncher par ce mec à qui ils m'ont offert. Moi aussi, ça me plaît de me faire sauter devant vous, les mecs. Et ça me plaît que tu m'aies offert et livré à ces types, Denis.

 

Brusquement, sans le moindre avertissement, Jacky jouit ! Je le devine aux mouvements erratiques de son bassin et à la crispation de ses doigts sur mes hanches. La tête rejetée en arrière, il aspire et souffle l'air très rapidement par la bouche. Avec une bite pareille, je pensais qu'il allait tenir longtemps, mais sa performance sexuelle n'est pas en rapport avec la taille de son sexe. Il penche sa tête en avant, les yeux braqués sur notre coït, et il me donne un coup de boutoir … rrrran ! Un autre …. rrrrran ! Encore un … rrrrran ! Et il s'immobilise, essoufflé. Il reste comme ça quelques instants, les yeux à moitié révulsés, puis il redresse la tête, me regarde, sourit … et il sort sa queue de moi. C'est déjà fini. Je dénoue mes jambes et il s'écarte. J'aimerais bien voir quelle dose de sperme il a crachée dans le fond de cette capote. Je n'ai pas le temps ! J'ai déjà un autre mâle entre les cuisses … 

 

Anton ! Je relève la tête et je regarde son sexe. Il est déjà "habillé". Il a dû mettre une capote pendant que Jacky me baisait. Lui a gardé sa chemise. Je ne vois pas s'il a ôté son pantalon. J'aurais bien aimé la goûter, sa sucette à celui-ci, avant qu'il me baise.

 

Il me prend les jambes et me dresse les cuisses à la verticale. Il ôte une main le temps de guider sa queue, et il me pénètre lentement:

- T'as raison, Jacky ! Il a le cul comme une chatte !

 

Une fois au fond, il pose ses mains derrière mes genoux, il m'écarte les cuisses, et il commence à aller et venir. Il me regarde, et tout en guettant mes réactions:

- Tout de même, ça me fait bizarre ... baiser un cul et voir sa bite de travelo qui bande juste au-dessus de ma queue ... mais c'est excitant ... j'aurais jamais cru !

 

Oui, je bande, évidemment, je bande. De moi-même, je mets mes mains à la place des siennes pour retenir mes jambes au-dessus de moi. Alors, tout en me fourrant, il se met à me peloter les cuisses, les hanches, les fesses. Appuyé à une table, Denis est en train de parler l'oreille du type en survêtement. Tous les deux me regardent en hochant la tête. Visiblement, ils parlent de moi. Qu'est-ce qu'ils se disent ? A côté de nous, Jacky se rhabille en me regardant, un petit sourire aux lèvres. Je sens les couilles d'Anton m'effleurer les fesses à chaque pénétration. Et lui aussi, ça va très vite. Il se cale au fond de mon cul, se courbe au-dessus de moi et il jouit en grognant. C'est marrant, je ne suis même pas déçu que ces deux mecs aient joui aussi rapidement. Au fond, je n'attendais pas d'eux qu'ils me fassent longuement l'amour. Qu'ils me ramonent et tirent leur coup vite fait suffit à mon bonheur. C'est ce qu'on appelle de l'abattage dans les bordels. Ça me va. De la baise, j'en aurai sûrement plus tard, avec Denis et ses potes. Anton reprend son souffle, se redresse, relève mes cuisses et me les caresse. Et il se retire. 

 

Les mains derrière mes genoux, je maintiens mes cuisses levées, les jambes repliées, et j'attends le suivant. Le suivant, c'est "petite bite". Il est en train d'habiller son petit oiseau avec un imperméable. Il a un peu de mal avec cette capote trop grande pour lui. Enfin, il y arrive. Il a laissé une partie du préservatif roulé à la base de sa verge. Le voilà devant moi. Sa petite quéquette est carrément à l'horizontale. Il faut dire que ce n'est pas son poids ou sa longueur qui peuvent lui faire baisser le nez. Je lui demande:

- Je reste comme ça ?

- Oui. C'est bien comme ça !

 

Il pose ses deux mains à plat sur les côtés de mes fesses et il s'avance. Sa bite doit être pile à la hauteur de mon fourreau, parce que, sans ôter les mains de mes fesses, je le sens qui pose son gland contre ma rondelle. Et il entre. Oh, évidemment, il ne me dilate pas l'anus, mais je le sens. Il m'a rapidement rentré tout son jésus, parce que , maintenant, je sens aussi les poils de sa touffe contre ma rondelle. Il se met à aller et venir à petits coups rapides. Il me sourit. J'entends son ventre claquer contre mes fesses: flap, flap, flap, flap, flap, flap, flap, flap, flap … C'est sûr, celui-ci ne me fera pas jouir du cul. Mais ça me plaît de me laisser baiser par un type mal équipé de l'entrejambe. Je suis prêt à me faire prendre comme ça par tout le monde, même les petites bites. Ce qui compte, c'est qu'ils prennent du plaisir dans mon cul et qu'ils tirent un coup. Peu à peu, il glisse ses mains depuis mes fesses jusqu'à l'angle de mes hanches et de mes cuisses, et à sa tête, nuque raide, bouche ouverte, yeux à demi fermés, je me rends compte que son plaisir commence à monter … mon excitation aussi, d'ailleurs. Un type qui a son sexe en érection dans mes chairs et qui s'apprête à y jouir, ça me … Je ne vais pas jouir du cul, mais je jouis de la tête: je commence à haleter et à gémir. Il s'en rend compte. D'abord incrédule, il n'en revient pas de me faire autant d'effet. Et peu à peu, il réalise que oui, c'est bien ses coups de bite qui me mettent dans cet état. Alors, les yeux braqués sur les miens, il se déchaîne. Et ça l'achève … il jouit. Il jouit en geignant sans cesser de me bourrer de petits coups de queue. Son geignement se transforme rapidement en un long râle modulé par ses va et vient. Et sans avertissement, il sort de moi, toujours ses yeux dans les miens, ses mains encore sur mes cuisses:

- Rhââââââ, putain !

 

Et il se recule. Entre mes cuisses, je le vois presser sa queue pour finir de la vider, puis enlever sa capote. Il la pose sur le guéridon, à côté des capotes neuves. Je m'aperçois qu'il y a déjà deux capotes usagées, pleines de sperme. Jacky et Anton ont fait comme lui. Je commence à avoir les jambes engourdies, à force de les avoir en l'air comme ça. Je me redresse et je m'assois au bord de la table. Tiens, Denis, Domi et Yann ne sont plus là. Le "survêt" non plus. Il reste seulement "petite bite", Jacky et le troisième joueur de dés qui me regarde avec l'air de dire « c'est mon tour ». Il prend une capote sur le guéridon et, d'un coup de menton, il me montre un coin à l'autre bout de la salle, sur ma gauche:

- On va aller là-bas.

 

à suivre

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 21 novembre 2016 1 21 /11 /Nov /2016 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Denis:

- Tiens, si, allez, passe-le moi. J'vais quand même lui en foutre un p'tit coup.

 

Aaaah ouiiii ! Cette discussion et le spectacle de Domi qui me fourre lui ont donné envie. Il abandonne plat et soufflés et contourne l'îlot central en ouvrant sa braguette. Voir ce mec commencer à déballer sa queue pour venir me la mettre dans le cul, ça me bouleverse. D'autant plus que j'en ai déjà une dans le cul. Toujours agrippé au robinet et au bord de l'évier, je repose ma joue sur le bois du plan de travail et j'attends. Un mec va sortir sa bite de mon fourreau pour qu'un autre prenne sa place ! J'adore que des mâles se succèdent de cette façon dans mon cul. Dominique attend que Denis soit à côté de lui pour se retirer:

- J'te le laisse comme ça, la jambe relevée ?

- Ouais.

 

Domi sort lentement de moi et je sens sa queue retomber en glissant contre mon périnée. Il maintient mon genou sur le meuble et Denis vient se coller à son tour contre moi. Je sens sa main qui enserre sa bite et qui la plaque contre ma fleur, encore béante. A son tour, il me pénètre. Maintenant que personne ne retient plus ma jambe, je la remonte vers le milieu du meuble, m'ouvrant encore un peu plus. Denis est encore un peu mou et je sens qu'il a du mal. Sa bite, pas encore assez raide, se tord à l'entrée de mon fourreau. Je lâche le robinet, j'empoigne ma fesse et je m'ouvre. Ça y est, il est en moi. Il me prend par les hanches, et:

- C'est bien. T'es une bonne fille.

 

Il commence à aller et venir et, au fur et à mesure, je sens sa queue se raidir. Vas-y, mec, fais-toi du bien dans ton jouet. A la manière dont il va et vient, cramponné à mes hanches, je sens qu'il savoure les sensations de son gland qui glisse dans mes chairs:

- Hhhhmmmm, puuutaiiiiin, t'es boooonne !

 

Alors, vas-y, si je suis bonne ! Et t'arrête pas, va jusqu'au bout, jouis, remplis-moi de sperme. Oh la la, ta queue, ta queue, TA QUEUUUUE ! De nouveau, je halète, je gémis et je sens que ça attise son excitation. Les doigts plantés dans le gras de mes hanches, il respire bruyamment pas la bouche. Ouais, ça vient, laisse-toi aller, lâche-toi, baise-moi, baise-moi ! Soudain, il s'immobilise, la queue au fond de moi, il se plie en deux, se couche sur moi, le menton entre mes omoplates, et il grogne. Ouiiiii, il va jouir ! Il souffle entre ses dents serrées, me postillonne jusque dans le cou. Je guette le premier spasme de sa queue dans mon anneau. Je l'encourage:

- Vas-y, jouis ! Jute-moi dans le cul !

 

Mais non. Rien. Peu à peu, il reprend souffle. Il se redresse en s'appuyant sur mes reins … et sort sa queue ! A son tour, il me claque la fesse, et:

- Pfiouuuuu ! C'était limite !

 

Il se marre:

- Ah, la vache ! J'étais à deux doigts de prendre mon pied ! Quelqu'un d'autre ? Yann ?

- Non, non. Tout à l'heure.

 

Il descend doucement mon genou de la table, me fait poser le pied au sol, s'éloigne en remontant son pantalon et se remet à ses préparatifs. Yann et Nadir disparaissent de mon champ de vision. Putain, les salauds ! Je reste couché sur le plan de travail en reprenant mon souffle. Une pensée incongrue me traverse: c'est bien comme hauteur, cet îlot central de cuisine. C'est plus haut qu'une table standard. Plus haut, en tout cas, que la table où je me suis fait bourrer à la chaîne chez Jean-Claude. Ça doit faire dans les 90 centimètres, et je trouve ça plus confortable. 

 

Tandis que Denis installe des plats dans son four, je me redresse, je rajuste une fois de plus mon string, et je retourne à mon tour au salon. Domi, qui a regagné son fauteuil, me regarde revenir en souriant, sa flûte de Champagne à la main. Quand je passe près de lui, il s'empresse de me glisser son autre main entre les jambes et il la pose derrière mon genou. Ah ! Il va me peloter. Je m'immobilise, debout à côté de lui. Il me caresse l'intérieur de la cuisse:

- Dis donc, t'es vraiment chaud, comme … mec.

- Tu trouves ? Ça te plaît ?

 

Il rit:

- Ben oui. Au moins, tu fais pas ta chochotte, tu te fais pas prier pour prendre des coups de bite dans le cul.

- Je suis là pour ça. Mais vous êtes des salauds, tous les deux …

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Ouais. Vous me chauffez, et vous vous tirez sans finir. C'est frustrant.

 

Il rit:

- Ça viendra, mec, ça viendra.

 

Tant pis pour le pelotage. Je contourne son fauteuil et je viens devant lui. D'autorité, je lui décroise les jambes, je les écarte et je m'agenouille entre ses pieds. Il me regarde faire en souriant. J'ouvre sa braguette et je glisse ma main dans son pantalon. Voilà sa queue, toute chaude, sous mes doigts. Je l'extrais:

- Je ne l'avais pas encore vue, ta bite ! Tout à l'heure, tu me l'as mise dans la bouche avant que j'aie eu le temps de la voir, et dans la cuisine, tu m'as pris en traître.

- Ah, mais oui, c'est vrai.

 

Il se marre. Il a débandé, mais même comme ça, elle est plutôt sympa, sa bite. Pas beaucoup de poils. Ça donne l'impression qu'il les a désépaissis au ciseau. Alors, c'est ça qu'il m'a fourré dans le cul ! Je la caresse du bout des doigts, puis je me penche et je pose des baisers tout au long de sa verge et sur son gland. Il me regarde faire, amusé, les bras écartés. Je saisis les deux pans de son pantalon et je fais mine de le lui enlever. Il s'appuie des avant-bras sur les accoudoirs et soulève son bassin. Je descends son pantalon jusque sur ses pieds, je lui enlève ses chaussures et je finis de lui ôter son pantalon. Je me réinstalle entre ses genoux. Délicatement, je remonte ses couilles coincées entre ses cuisses:

- J'aime bien, comme tu m'as pris sur le plan de travail, mais j'aurais bien voulu que tu ailles jusqu'au bout et que tu tires un coup.

- Hé hé. Je te le ferai, mais avant, il faut prendre le temps de s'amuser, non ?

- Oui, d'accord. Mais ce soir, tu vas bien arriver à tirer ton coup plusieurs fois, non ? 

 

Je tire doucement sur ses bourses, j'enserre ses couilles entre mon pouce et mon index et, à leur tour, je les embrasse, je les lèche:

- Je veux te les vider. Je veux ce qu'il y a dedans. J'en ai envie. Hein, dis, tu pourras jouir plusieurs fois ?

- Oui, oui, t'inquiète pas, je l'ai déjà fait.

 

Je me penche à nouveau, je prends son sexe dans ma bouche, et je le suce. Il se laisse faire un moment, grossit entre ma langue et mon palais, puis il repousse délicatement ma tête:

- Bon. Va un peu sucer les autres, maintenant.

 

Je me redresse et je me retourne. Denis nous a rejoints et s'est assis dans le canapé. Nadir me regarde, l'air inquiet. Lui, il n'a pas envie de se faire sucer maintenant. Denis me fait un signe de tête:

- Allez, viens.

 

A son ton, c'est évident, il n'a pas plus envie que ça de se faire sucer, mais, sans doute parce que je suis "une bonne fille", il veut bien me laisser me faire plaisir avec sa queue. Moi, ça me va, je veux bien venir chercher ma récompense. Il pose sa flûte sur la table basse et se lève. Pendant que je contourne la table basse à genoux, il ouvre sa braguette, il ôte son pantalon, récupère sa flûte et se rassoit au fond du canapé. En passant devant Nadir, je lui passe la main sur le bas ventre:

- Allez, Nadir, sors aussi ta queue. Je vais vous sucer tous les quatre pendant que vous prenez l'apéro.

 

Il me regarde, inquiet, mais ne bouge pas. Me voilà entre les genoux de Denis. Il attend, toujours le même petit sourire sur les lèvres, les jambes écartées. Sa bite, toute molle, repose paresseusement sur sa cuisse. Je me penche et je la prends dans la bouche. Hhhmmm. Merci. Merci de me laisser jouer avec ta bite, merci d'avoir invité tes potes pour que je les suce et pour qu'ils me baisent. Je ne sais pas comment va se passer cette soirée, ni les quatre jours qui viennent, mais déjà, là, tu m'as fourni quatre sexes. Merci ! Merci ! Merci ! Malgré tout le soin et la fébrilité que je mets à le sucer, il reste mou. Il se contente de me caresser distraitement la tête en sirotant son Champagne. Les autres, silencieux, doivent regarder. Soudain, Yann demande:

- Au fait, Denis, on ira chez ton pote, tu sais, le mec du bar ?

 

Pourquoi "au fait" ? Qu'est ce qu'il vient faire là,  le "mec du bar" ? Denis:

- Ah ouais, tu fais bien d'en parler. Faut que je l'appelle, le Jeannot. Tiens, tu veux pas aller me chercher mon téléphone ? Là-bas, sur le meuble.

 

Il me caresse la nuque:

- Continue, toi.

 

J'entends Yann se lever, et après quelques secondes, donner l'appareil à Denis, qui pianote:

- Jeannot ? C'est Denis.

- …

- Ouais. Bon, alors, on pourra venir, ce soir, avec mes potes ? 

- …

- Ben ouais, avec le … le … le trav aussi. Ouais, il est là, et il viendrait avec nous.

- … 

- Non, non … il a une tenue un peu … il a une minijupe très très courte, si tu veux, mais autrement  …

- …

- Ben tu verras par toi même. Tu nous diras … si tu trouves ça trop … on restera pas …

- …

- Ouais, d'accord. A tout', Jeannot.

 

Il coupe la communication, pose le combiné à côté de lui, et il me met de nouveau la main sur la tête:

- Bon, ça marche. Jeannot, est d'accord. Pour toi, Marin, il a demandé si ta tenue de trav faisait pas trop … pute. C'est bizarre, parce que d'habitude, il est pas si … Bon, enfin, il veut pas que … Mais, à mon avis, ta tenue, là, c'est un minimum. On verra bien …

 

Pendant sa conversation avec Jeannot, je n'ai pas arrêté de le sucer. Il me tapote sur l'épaule:

- Tiens, va donc un peu sucer Yann ou Nadir. Je vais faire chauffer la bouffe.

 

Je sors sa bite de ma bouche et je me redresse. Il m'enjambe pour aller vers la cuisine. Nadir me jette un coup d'œil inquiet. Toujours pas décidé ! Il est venu ici pour quoi faire, celui-là ? Un petit sifflement sur ma gauche. C'est Yann. D'un signe de tête, il me fait signe d'approcher. Ah, merci, Yann ! Il se lève, ouvre sa braguette et, en se contorsionnant, il fait sauter ses tennis, baisse son pantalon, l'enlève à son tour et se rassoit. Je m'avance à genoux jusque entre ses jambes. Tout sourire, il me regarde approcher. Lui, il bande déjà un peu, sûrement excité de m'avoir vu sucer les deux autres. Je lui tripote un peu la queue, je prends ses couilles dans ma main, et je me penche. En prenant son sexe entre mes lèvres, je réalise qu'il y a une dizaine de jours, l'apéro se passait exactement de la même manière à L.F., en suçant les convives les uns après les autres ! Yann a déjà tiré un coup tout à l'heure, mais il est encore en forme. Instantanément, dès qu'il est dans ma bouche, il se met à grossir. En revenant, Denis m'enjambe de nouveau pour regagner sa place, se laisse tomber lourdement sur le canapé, et:

- Dis, Nadir, tu veux pas enlever ton froc ? T'es le seul à l'avoir gardé. Ça te gêne pas ?

- Non, non, ça fait rien.

- Ben si, ça fait. Nous trois, on l'a enlevé. En plus, toi, on dirait que t'as pas envie que Marin s'occupe de toi.

- C'est pas ça … 

- Si t'avais pas envie de te faire un trav, fallait pas venir.

- C'est parce que j'ai pas l'habitude.

- Pas l'habitude … Allez, ôte-le … et laisse-toi sucer. Fais-lui plaisir, à Marin. Il demande que ça, de nous sucer tous les quatre.

 

J'entends Nadir soupirer. Puis des bruits de tissu. Denis:

- Et ben voilà !

 

Je sors la bite de Yann de ma bouche et je me retourne. Nadir est debout, en train d'ôter son pantalon. Yann me prend par l'épaule et me dit:

- Vas-y ! Profites-en, va le sucer !

 

Je me lève et, au moment où je passe devant Denis, il m'arrête:

- Attends ! Bouge pas.

 

Il retrousse ma jupe, passe ses doigts dans la ceinture de mon string, et le descend sur mes cuisses:

- Enlève ça !

 

Je finis d'ôter mon string et je le pose sur la table, au milieu des flûtes. Denis:

- Non, non. Donne !

 

Il tend la main. Je lui donne mon string. Il le froisse entre ses doigts, le sent, et:

- Dis donc, il est mouillé, là, devant ! T'as pissé ?

 

Il le sait, pourquoi j'ai mouillé mon string, mais il veut me l'entendre dire. Alors:

- Ben non, j'ai pas pissé, c'est l'excitation.

- Ah ouais ! Tu mouilles comme une femme. Et qu'est-ce qui t'excite comme ça ?

- Ben vous, vos bites, évidemment.

 

Il me caresse l'intérieur de la cuisse et remonte ses doigts jusque entre mes fesses:

- Vas-y, maintenant. Suce-le !

 

Nadir s'est rassis et attend. Je m'installe entre ses genoux et je prends sa queue dans une main, et ses couilles dans l'autre. Lui aussi, a commencé de bander ! Je ne comprends pas. Si il est excité, pourquoi il est réticent comme ça ?

- La tienne aussi, elle me plaît beaucoup, ta bite, Nadir.

- Ah bon ?

 

Il paraît vraiment surpris. Tout en lui pelotant les boules, j'explique:

- Oui. Pour moi, elle a la forme parfaite. Ton gland, surtout: il est un peu retroussé, il est profilé pour la pénétration … j'aime beaucoup. J'ai hâte que tu m'encules, Nadir.

- Ah bon ?

 

Vraiment surpris. Je donne de petits coups de langue sur son gland, sur sa verge, sur ses couilles. Et ça lui fait de l'effet, il grossit, il durcit. Je commence à le masturber, et je le prends dans ma bouche. Il aspire une bonne goulée d'air et se cale bien au fond du canapé. Sans arrêter de le pomper, je lève les yeux sur lui. Les yeux écarquillés, la bouche ouverte, il me regarde. Les bras tendus sur les côtés, comme pour éviter de me toucher, il respire bruyamment. Je jette un coup d'œil sur le côté. Denis regarde son pote, lui aussi les yeux écarquillés, la mâchoire pendante, il n'en revient pas de le voir dans cet état. Il lui enlève son verre de whisky de la main:

- Donne ça, tu vas le renverser !

- Ah ! Ah ! Ah ! Je vais …

- Oui, oui, vas-y ! Tire ton coup ! Il ne demande que ça, que tu lui jutes dans la bouche !

 

Oui, il va jouir, je le sens ! Ses couilles remontent vers son périnée.

- Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaah !

 

Ça y est, il jouit . Je sens son urètre gonfler et aussitôt, un flot tiède s'étale sur ma langue. Hhhmmmm ! J'avale et je continue de faire aller et venir ma bouche sur son sexe. Un autre jet … un autre encore … J'avale au fur et à mesure. Encore … Encore … Il halète, essoufflé. Et voilà, on dirait que c'est fini. J'arrête mon va et vient, et je garde sa queue dans ma bouche. Il reprend son souffle:

- Ah putain ! Ah putain !

 

Il repousse ma tête:

- Bon. Laisse-moi, maintenant.

 

Je me redresse. Denis:

- Ça y est, il t'a juté dans la bouche ?

- Oui.

- Ben, tu vois, Nadir, c'était pas compliqué ! Bon, faudrait se mettre à table, avant que ça crame.

 

Il se lève, ramasse son pantalon et se penche pour le remettre. Je l'arrête:

- Hé ! Qu'est-ce que tu fais ? Reste comme ça !

- Le cul à l'air pour manger ?

- Oui, restez le cul à l'air pour manger. Mais surtout la BITE à l'air.

 

Un petit sourire sur les lèvres, il regarde les autres. Yann, qui avait aussi récupéré son pantalon, lui signifie d'une mimique "Pourquoi pas ?", et pose son jean sur le dossier du canapé. Dominique:

- Pas de problème.

 

Alors Denis laisse tomber son pantalon, tourne les talons et se dirige vers le coin salle à manger, suivi de Yann. Je leur emboîte le pas. Soudain, Denis bifurque vers la fenêtre et entreprend de descendre le store. Je réalise que, dehors, il fait déjà sombre et que le plafonnier au-dessus de la table, ainsi qu'un lampadaire et deux autres lampes au sol sont allumés. Il a sans doute fait ça quand il est allé enfourner les plats. Il doit avoir peur que, de l'immeuble d'en face, on voit ce qui se passe ici. Je m'approche de lui, et je lui prends la main qui actionne le mécanisme:

- Laisse ouvert, Denis.

- Mais … en face, ils vont nous voir …

- Je sais. Tant mieux. Ça te fait peur ?

 

Il hésite, regarde les autres, comme pour leur demander ce qu'ils en pensent. Dominique fait une grimace qui veut dire "je m'en fous", Yann se marre, Nadir ne comprend pas ce qui se passe. Il finit de descendre le store:

- Mouais. Faut pas pousser, quand même. 

 

Mais il règle les lames pour qu'elles soient à l'horizontale:

- Comme ça, ça te va ?

 

Bon, tant pis. Ça m'aurait bien plu qu'il remonte complètement le store. Mais comme ça, les gens du quatrième, dans l'immeuble en face, pourront quand même nous voir entre les lames. Dominique m'a rejoint. Il me claque le cul:

- Dis, ma poule, tu vas avoir encore faim ? 

- Pourquoi ?

- Tu t'es pas déjà pris deux … éjacs ?

- Si, mais c'est pas deux éjacs qui vont me couper l'appétit.

 

Il rit. Moi, ce qui m'amuse, c'est de voir ces trois mecs qui vont se mettre à table le cul à l'air. Nadir, quant à lui, s'éclipse vers la salle d'eau. La table est déjà mise. Denis me désigne la chaise en bout de table, du côté de la fenêtre:

- Mets-toi là. Et vous, les mecs, mettez-vous où vous voulez, mais laissez-moi une place du côté de la cuisine.

 

On s'installe. Dominique prend place à côté de moi, sur ma gauche, et Yann à côté de lui. Un geste de Dominique attire mon attention: une fois assis, il se remonte les couilles et se les cale au-dessus des cuisses. Et là, je réalise qu'à travers le plateau en verre de la table, j'ai une vue directe sur sa bite. Seule l'extrémité du set de table qui se trouve sous son assiette et ses couverts me gêne un peu. En revanche, comme Yann est plus loin de moi, son set de table ne me gêne absolument pas, et je vois très bien sa queue. Ah putain, je vais manger avec leurs sexes en permanence sous les yeux ! Mon regard braqué sur son bas ventre n'échappe pas à Dominique. Il rit, secoue la tête d'un air de dire « Alors, toi, tu ne perds pas une occasion ! », et complaisamment, il pivote vers moi sur sa chaise, écarte les cuisses et se met à se pétrir le paquet. Il est assez près de moi. Je tends la main et je la pose sur sa queue. Il se cale bien au fond de son siège, passe un bras sur son dossier et se laisse malaxer le gland. Je prends ma propre bite dans mon autre main et je commence à me tripoter. Yann, qui a repéré notre manège, se lève et vient s'asseoir de l'autre côté de la table, juste à ma droite. Lui aussi a envie de se faire peloter. Il approche sa chaise et tend aussi son ventre vers moi. Alors tant pis, je lâche ma bite, et, penché sur la table, je tripote mes deux voisins. Hhhmmm, une bite dans chaque main, j'adore !

 

Denis qui revient, un plat dans les mains, nous regarde et sourit. Il pose le plat au milieu de la table et s'apprête à s'asseoir. Mais il se ravise, contourne Yann, vient se planter à côté de moi et empoigne sa bite, visiblement avec l'intention de participer à notre jeu. Il doit vouloir que je le suce. Mais dans cette position, je ne peux pas à la fois tripoter ses deux potes et lui tailler une pipe. Entre branler ces deux mecs et le sucer, lui, il n'y a pas photo:

- Désolé, les mecs. Ça, je ne peux pas résister.

 

Je les lâche et je me tourne vers Denis, qui se masturbe et recommence à bander. Dominique, en riant:

- Ouais, vas-y ! Profite !

 

Denis remonte son T-shirt sur son ventre et tend sa queue vers moi. Je le prends dans la bouche. Hhhmmm ! Je commence à le sucer en lui caressant les abdominaux, les hanches, les reins. Je lève les yeux sur lui. La tête penchée sur le côté, il me regarde, un petit sourire sur les lèvres. Il pose sa main libre sur ma tête et, à son tour, il me caresse. Rapidement, je sens son excitation monter. Il aspire et souffle bruyamment par la bouche. Cette fois, je le sens, il va aller jusqu'au bout. Du coin de l'œil, je vois Yann, fasciné, qui me regarde en silence tailler cette pipe à son pote. Il est aux premières loges. Je tourne le dos à Domi, mais je suis sûr qu'il regarde aussi. Et là, je réalise que, dans la position où nous sommes, Denis et moi, de profil par rapport à la fenêtre, nous devons être parfaitement visibles entre les lames du store, depuis l'immeuble d'en face. Sans cesser de sucer Denis, je jette un coup d'œil sur le côté. Mon champ de vision est réduit, mais j'aperçois quand même deux fenêtres éclairées, et une autre obscure. Aux fenêtres éclairées, personne. Mais impossible de savoir si quelqu'un nous observe ou non depuis la pièce qui est dans le noir. Maintenant, Denis halète. Oui, pas de doute, je sens qu'il a l'intention de se laisser aller jusqu'à l'éjaculation ! Et je sais que lui, comme Yann tout à l'heure, il va me répandre son sperme dans la bouche sans état d'âme. C'est une volupté indicible de jouir dans quelqu'un, mais certains mecs se retiennent par peur de la réaction de leur partenaire. Moi, ça me plaît beaucoup, que les mecs me lâchent leur jouissance dans la gorge sans scrupule, sans hésitation. La pression de sa main, derrière ma nuque, se fait plus ferme et fiévreuse. Oh oui, vas-y, jouis ! De plus en plus excité, je gémis et j'accentue ma fellation. Vas-y, jouis, jute, éjacule, crache ton sperme !

 

Et il jouit en haletant et en pressant ma tête contre lui. Le nez écrasé contre ses abdominaux secoués de spasmes, je sens son sperme se déverser directement dans ma gorge. Oh oui ! Oh oui ! Oh ouiiiiii ! Du sperme, du sperme, du sperme ! Ça me rend dingue. Je gémis, je couine tout en avalant sa semence. Lui grogne au rythme des soubresauts de son sexe dans ma bouche. Voilà. Il se calme. Il a fini d'éjaculer et il souffle comme un bœuf. Sa main se fait plus douce sur ma nuque et je le sens qui recule son bassin en se marrant:

- Ha ! Ha ! Haaa ! Puuuu taiiiiin, la vaaaache ! 

 

Je presse sa queue entre mes lèvres pendant qu'il la sort lentement de ma bouche. Depuis ma nuque, il passe sa main sous mon menton. Quand sa bite finit de sortir, il lève mon menton vers lui et, sans prévenir, il se penche sur moi, et il plaque sa bouche sur la mienne. Je n'ai pas eu le temps de la refermer. J'ai déjà sa langue entre mes dents … contre ma langue. Hhhhmmmm, oui, roule-moi une pelle ! Le goût de son sperme toujours dans ma gorge, je le sens qui explore ma bouche avec sa langue. Nos langues se frottent, se caressent, s'entortillent, nos salives se mélangent, nos dents se heurtent … Enfin, à bout de souffle, il se redresse, il lâche mon menton et se plante devant moi en secouant la tête d'un air épaté:

- Ah, putain, comment tu suces !

 

Yann approuve:

- Ah ouais ! Sa bouche, c'est …

 

Il cherche ses mots, une expression:

- … c'est diabolique ! Ce qui me tue, moi, c'est de sentir comment ça l'excite, de sucer de la bite !

 

Dominique se marre. Denis reste là à me regarder:

- T'as tout avalé, évidemment !

 

Je bâille pour lui montrer que oui, j'ai tout avalé:

- Ben oui, j'aime ça.

 

Denis recalotte son gland en retournant s'asseoir à sa place:

- Y'a plus que toi, Domi, qu'as pas encore tiré ton coup .

 

C'est vrai. Sur les quatre, il n'y a plus que lui. Pendant que je suçais Denis, Nadir est revenu et s'est assis à côté de Dominique. Denis:

- Bon, allez, on mange.

 

Oui, Mangeons. Denis se relève et me sert un verre de vin blanc:

- Tiens. Tu dois avoir besoin de te rincer la bouche. Elle sentait le sperme.

 

Hhmmmm, c'est un premier cru de Chablis. Il a fait les choses bien, le Denis ! On mange et on boit. La conversation s'engage sur leurs envies, sur leurs expériences sexuelles, sur les miennes, et continue sur des anecdotes avec des femmes. Au passage, j'apprends que Dominique a été marié et que Denis a vécu en couple. Rapidement, la discussion glisse sur des sujets plus banals, les voyages, les vacances, le travail … L'ambiance de la soirée me rappelle celle de la journée chez Robert: un repas ordinaire entre potes. Denis est aux petits soins pour moi et veille à ce que mon verre ne reste pas vide. Yann écluse pas mal, tend son verre à Denis, se sert tout seul. Les trois autres sont plus raisonnables. Un repas ordinaire … à ceci près que nous sommes tous les cinq à table avec la bite à l'air. Tout en mangeant, je ne peux m'empêcher de jeter des regards appuyés sur ces quatre bites à travers le plateau en verre de la table. Elles sont maintenant toutes au repos. Seul Yann, entre deux plats, se tripote machinalement le gland. De temps en temps, l'un ou l'autre me surprend en train de contempler son sexe. Yann, alors, par provocation, se masturbe plus franchement, Denis se tourne vers moi et écarte les cuisses, et Dominique se pétrit complaisamment le paquet dans un geste obscène. Seul Nadir détourne la tête d'un air gêné. Lui ne se fait pas à cette demi nudité. Quand nous arrivons au dessert, je n'y tiens plus. Pendant que Denis remplace les assiettes par des coupes en verre, je quitte ma chaise et je m'agenouille à côté de Domi. Il devine immédiatement mes intentions, mais il prend un air faussement indifférent et ne bouge pas:

- Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ?

 

Je le prends par les cuisses et j'entreprends de le faire pivoter sur sa chaise. Il rit, résiste un peu, et finit par se tourner face à moi. Il écarte même tout seul les cuisses, passe son bras droit sur le dossier de sa chaise, pose sa main gauche sur ma tête et appuie pour que je me penche sur son ventre:

- Allez, suce-moi !

 

Je l'aurais fait de toute façon, sans qu'il ait besoin de me "forcer", mais ça me plaît. Il ne bande pas. Je le prends dans ma bouche. J'aime beaucoup sucer un sexe encore mou. Je pense que c'est un peu le même plaisir que celui qu'éprouve un gamin qui suce une tétine, et c'est très agréable. Je prends ses couilles dans ma main. Je tournicote ma langue autour de sa bite. 

 

- Marin ! Je te sers ton  dessert ? C'est des profiteroles. 

 

C'est Denis. Je ne réponds pas. Mon dessert, je l'ai dans la bouche. Il insiste:

- Bon, je te mets le chocolat pendant qu'il est chaud. Tu voudras de la Chantilly ?

 

C'est Domi qui lui répond:

- Il est bien élevé, ce garçon, il ne parle pas la bouche pleine. 

 

Alors je sors la bite de Dominique de ma bouche et, tout en le masturbant, je me redresse:

- Non, ne me mets pas de Chantilly. La Chantilly, c'est Dominique qui va me la donner.

 

Ils rient tous les quatre. Je le reprends entre mes lèvres. Sa bite commence à gonfler. J'espère que, cette fois, il est mûr, et qu'il va se laisser sucer jusqu'au bout. Il commence à bander, mais ça ne l'empêche pas de s'occuper de ses profiteroles. Il prend sa coupe et il s'attaque à la pâtisserie au-dessus de ma tête. J'entends le bruit de sa cuiller qui grince contre le verre de sa coupe. Ça aussi, ça me plaît, lui faire une turlute pendant qu'il mange. J'entends confusément que tous les quatre ont repris leur conversation, comme si de rien n'était, Dominique y compris. Ils évoquent leurs desserts et leur pâtisserie préférés. Tant qu'il parle et déguste son dessert, Domi ne gonfle presque pas dans ma bouche. Mais dès qu'il a fini ses profiteroles et qu'il pose sa coupe sur la table, je sens sa queue grossir et s'allonger. Il prend délicatement ma tête à deux mains. Alors, je le sens qui se concentre sur ce que je lui fais.

- Putain, il a raison, Yann. C'est dingue comme t'aimes ça, sucer de la bite !

 

Rapidement, il bande vraiment, et ne participe plus à la discussion que par monosyllabes et grognements. Il commence à prendre du plaisir. Cette fois, il est raide et, au bout d'un moment, il se met à souffler par la bouche. Ça vient. Brusquement, il me prend la tête à deux mains, la repousse pour m'enlever de sa bite, et se lève:

- Lève-toi !

 

A son ton, je comprends qu'il a une urgence et qu'il projette autre chose. Engourdi par ma position, je me relève péniblement. Il me prend par le coude et me pousse vers le salon. Je ne peux m'empêcher de vérifier dans quel état j'ai mis sa queue. Elle est raide et tendue à l'horizontale. Son gland est gonflé à mort et rouge. Sur sa verge, ses veines sont gonflées.

- Mets-toi là, sur le dos !

 

Il me désigne l'angle du canapé. Ah yesss, il va me baiser ! Tandis que je m'assois, il me fait basculer en arrière, puis soulève mes deux jambes, les écarte et me positionne les fesses au bord du siège. Puis il se penche au-dessus de moi, s'appuie d'une main à côté de mon épaule et, de l'autre, il guide son sexe. Je sens son gland contre ma fleur. Il va m'enculer à sec ! Je ne sais pas dans quel état est mon fourreau. Moi, ça ne me gêne pas, j'ai l'habitude de me goder comme ça, et ça ne m'irrite même pas. Mais lui … il risque de se faire mal. Je lui demande:

- Tu ne veux pas me lubrifier ? J'ai du gel.

- T'inquiète ! 

 

Et il me pénètre. Ça rentre tout seul. Il passe le goulet de mon sphincter comme si de rien n'était. Après, il s'enfonce d'un seul coup … complètement. Son pubis vient se plaquer contre mon périnée. Les sécrétions de mon rectum doivent me lubrifier suffisamment. Et il se remet à me bourrer comme tout à l'heure, dans la cuisine: boum !

 

Mais maintenant, il ponctue chaque coup de queue d'une onomatopée, entre un grognement et un gémissement. Si, tout à l'heure, contre le plan de travail, il gérait, il se maîtrisait, maintenant, il se laisse submerger par son désir.

Boum !

 

Courbé au-dessus de moi, bouche entrouverte, il regarde alternativement mon visage et sa queue qui entre et sort de moi. Boum !

 

Cette fois, c'est sûr, il va jouir. Je pose mes mains sur ses reins, je les glisse sous son T-shirt et je lui caresse le dos. Boum !

 

Il souffle de plus en plus fort. Les trois autres sont restés à table. Je ne les vois pas, masqués par Dominique. Quand il m'a entraîné vers le canapé, je les ai entendus rire et commenter. Maintenant, je pense qu'ils contemplent, silencieusement. Boum !

 

- J'vais … j'vais t'juter dans l'cul !

 

Entre deux halètements-grognements, il m'a soufflé ça dans le cou. Oh oui, oui ! 

- Oui, vas-y, jouis ! 

 

Oui, jouis, répands-moi ton sperme dans le ventre ! Insémine-moi ! Engrosse-moi ! Boum !

 

A mon tour, je gémis, je halète en lui pétrissant le dos, les omoplates, les reins. Alleeeeeez, vas-y ! Baise-moi, féconde-moi ! Boum !

 

Et brusquement, il n'est plus qu'un halètement, rapide, puissant. Il va jouir ! Boum ! Mais cette fois, il reste plaqué tout au fond de moi. Mes mains derrière ses reins, je le presse contre moi, EN moi. Je veux qu'il déverse son sperme au plus profond de mon ventre. Et je sens un premier soubresaut de sa bite dans ma rondelle. Ça y est, il éjacule ! J'imagine son méat, béant, déversant dans mon ventre sa crème, toute blanche, qui s'insinue dans mes chairs. Je geins, je gémis, je couine ! Je suis encore en train de me faire féconder par un mâle ! Combien de mâles ont joui en moi ? Combien de mâles m'ont rempli le ventre de leur semence ? Quarante ? Cinquante ? Encore ! Encore ! Encore ! Je veux encore des mâles ! Je veux encore des bites ! Je veux encore du sperme, de la semence, de la jute, du foutre !

 

Il s'effondre sur moi en reprenant bruyamment sa respiration. Il doit avoir fini. La joue posée sur ma clavicule, il me souffle son haleine chocolatée dans le cou. Je lui caresse la nuque et je pose des baisers sur son front et sur ses paupières fermées. Hhhmmmm, tu m'as bien baisé, Dominique, tu m'as fécondé,  et je crois que tu as pris un pied monumental. Peu à peu, sa respiration se calme et, à son tour, il se met à me caresser les cuisses, les hanches, les fesses.  

 

Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !

 

Les applaudissement viennent de la salle à manger. Dominique se redresse et regarde vers ses trois comparses en riant. Vautré comme ça sur l'arrière de mes cuisses, il commence à être lourd:

- Laisse-moi redescendre mes jambes, Dominique.

 

Il me regarde, me sourit:

- Ça t'a plu ?

- Oh oui. Tu as joui dans mon ventre !

- Oui. 

 

Il se relève et me tend la main pour m'aider à faire pareil. Je redescends mes jambes et je m'assois, mais il se ravise:

- Attends ! Reste sur le dos !

 

Je suis surpris, mais j'obtempère, appuyé des coudes sur le canapé. En deux pas, le voilà près de la table. Il prend ma coupe de profiteroles et revient vers moi:

- Tu voulais de la crème Chantilly ? Mets-la là-dedans !

 

OK. Je vois ce qu'il veut. Pas de problème. Il s'accroupit et tend la coupe vers mon cul:

- Vas-y, pousse !

 

Inutile de pousser. Le simple fait de m'asseoir devrait suffire. Dans un bruit de bulles, je sens sa semence sortir de mon cul. Il regarde, fasciné. Les trois autres se marrent. Je glisse une main entre mes cuisses et, avec deux doigts, je m'ouvre le sphincter. Voilà, le plus gros a dû s'écouler. Je lui prends la coupe des mains et je me lève. Je racle sur bord de ma coupe ce qui reste de crème collée à mes doigts, et je retourne m'asseoir à table. Tant bien que mal, je serre les fesses et je contracte mon sphincter pour éviter de souiller ma chaise avec ce qui a pu rester de semence dans mon cul. Dominique est aussi retourné à sa place et tous les quatre m'observent. Ils ont deviné la suite et ils se demandent visiblement si je vais oser le faire. Yann, Denis et Dominique sont hilares. Seul Nadir me regarde d'un œil réprobateur. Alors je coupe avec ma cuiller un morceau de chou couvert de chocolat, je le trempe consciencieusement dans la crème de Dominique, et je le porte à ma bouche.

 

- Yeeeeaaahhhh !

 

Exclamation de Denis. Les profiteroles, il faut les manger dès qu'elles sont servies pour apprécier le contraste entre la chaleur de la sauce au chocolat et le froid de la glace à la vanille. Là, pendant que je taillais une pipe à Dominique et qu'il me baisait, la glace a eu le temps de fondre et le chocolat de refroidir. Ça ne fait rien, pour le moment, ce n'est pas ça l'essentiel. L'essentiel, c'est que je suis en train de déguster une profiterole au sperme ! Oh, je ne le sens pas vraiment, le sperme: la saveur puissante du chocolat et celle, plus subtile de vanille masquent complètement son goût, mais je me régale autant du plaisir de cette pâtisserie spéciale que de voir mes trois … amants me regarder. 

 

Quand j'ai terminé, Denis se lève:

- Bon, qui veut un café ?

 

Il commence à débarrasser la table, aidé de Yann et Nadir. Dominique retourne s'asseoir sur le canapé. Je le suis. Il tapote le siège à côté de lui:

- Assieds-toi là !

- Deux secondes. Je ne veux pas souiller le canapé de Denis.

 

J'ai sans doute encore un peu de sperme dans le cul. Je disparais dans la salle d'eau. Vite fait, je me refais un lavement et je me sèche. Quand je reviens, je trouve Nadir assis dans l'angle du canapé et Yann dans le fauteuil en face. Je m'assois à côté de Dominique, et je prends son sexe entre mes doigts. Il pose une main sur ma cuisse:

- Alors, t'es content ? Ça y est, on a tiré un coup tous les quatre.

- Oui. Merci.

 

Ça l'amuse que ce soit moi qui lui dise merci. Il sourit:

- Pas de quoi, on est là pour ça. N'empêche, t'es un phénomène, toi.

- Ah bon ?

- Oui. C'est la première fois que j'ai affaire à quelqu'un qui aime autant la bite.

- Hééé ! C'est bien, non ?

- Bien sûr, que c'est bien. Quelqu'un qui se pose pas de questions, que t'as pas besoin de draguer, que t'as pas besoin de séduire pour te le taper, c'est top. Au moins, avec toi, on perd pas de temps en politesses, ou en discussion, on peut y aller direct: on veut te niquer, on te nique ! Excuse-moi de te dire ça, hein, mais tu serais une fille, on dirait que t'es une "fille facile".

- Mais ça me va tout à fait. T'excuse pas. Ça me plaît d'être considéré et traité comme une "fille facile". 

 

Denis, qui pose deux tasses de café sur la table basse:

- Ouais, t'es même plus qu'une fille facile, parce que, avec un "saute au paf" comme toi, on a même pas besoin de prendre l'initiative. Du moment que tu sais qu'un mec est là pour ça, c'est toi qui t'attaques à sa queue ! T'es prêt à tout pour sucer de la queue ou te faire enculer. Le rêve pour les mâles, quoi !

 

Yann, qui continue à se tripoter machinalement, comme tout à l'heure, à table:

- Ouais. Et en plus, t'es jamais rassasié ! Vingt et quelques mecs, quand même, l'autre fois, chez Jean-Claude ! Et c'qu'est dingue, c'est qu'tu prends tout le monde ! On dirait que t'as rien à foutre du physique des mecs. Du moment qu'ils ont une queue, c'est bon.

 

Il a l'élocution un peu laborieuse, conséquence de ce qu'il a picolé en mangeant. Notre conversation doit lui donner des idées parce qu'il se lève et vient, en titubant, s'affaler à côté de moi sur le canapé:

- Tiens, vas-y !

 

Il écarte les cuisses et s'empoigne le paquet à pleine main. Bon, il veut que je le suce. Je demande à Dominique:

- Tu permets ?

- Evidemment. 

 

Je lui tourne le dos et je commence à me pencher sur le ventre de Yann. Dominique se ravise:

- Attends, attends ! Allonge-toi sur moi. Tu seras mieux pour le sucer.

 

Ouais, peut-être. Je me redresse. Il me prend par les hanches et il me guide pour que je m'installe, le ventre sur ses cuisses. En m'allongeant, je réalise qu'il a sûrement une idée derrière la tête. On verra bien. Je me penche sur le ventre de Yann, je saisis sa queue et je commence à lui passer la langue sur la verge. Hhhmmmm, il n'y a rien à faire, je ne m'en lasse pas. Je pourrais passer des heures à lécher et à sucer une bite … ou des bites. Je le prends dans ma bouche. Aussitôt, il pose sa main sur ma tête. Il bande mollement, mais j'aime ça. Je commence à aller et venir, doucement. Je déguste le plaisir d'avoir ce sexe mou, tiède et doux, qui se laisse dorloter dans ma bouche. Il a peut-être encore envie d'éjaculer sur ma langue, mais pour le moment, je ne cherche pas à le faire jouir. Pour le moment, égoïstement, je le suce seulement pour mon plaisir à moi. J'ai passé un bras entre ses cuisses, j'ai pris ses couilles dans ma main et, de temps à autre, je les lèche aussi, je les prends une à une dans ma bouche et je les tète avant de reprendre sa bite. J'entends vaguement qu'il est question de café et de sucre entre Denis, Nadir et Dominique. Il me semble même que Denis a tendu une tasse à Yann, qui l'a bue tout en se laissant sucer, avant de la lui rendre. 

 

- Tiens, Denis, tu peux reprendre aussi la mienne ?

- T'en veux un autre ?

- Non, merci.

 

C'est la voix de Domi, suivie du bruit de deux tasses qu'on pose sur la table basse.  Aussitôt, je sens qu'on retrousse ma jupe sur mes reins. "On" … Dominique, forcément. Il se met à me caresser les fesses. Hhhmmm ! Sa main s'insinue entre mes cuisses … jusqu'à mes genoux … avant de revenir sur mes fesses. Peu à peu, il ne me caresse plus, il me palpe, il me pétrit les miches … fermement. Hhhmmmm, c'est boooon ! Je soulève mon bassin. Oh oui, pelote-moi le cul ! Et soudain, tout en continuant de me pétrir une fesse, il insinue les doigts de son autre main dans ma raie. Depuis les reins jusqu'au périnée. Alors là ! Là, j'écarte les cuisses en glissant mes genoux sur le cuir du canapé. Je sens son ventre se secouer contre ma hanche. Ça le fait rire:

- T'aimes ça, hein !

 

Il remonte ses doigts en direction de mes reins et s'attarde une fraction de seconde sur ma fleur. Je gémis et, comme par réflexe, je soulève un peu plus mon bassin. Il rit encore:

- Regarde-le ! Là, il a envie que je lui mette un doigt.

 

Oui, j'ai envie que tu me mettes un doigt ! Ses doigts quittent ma raie, j'entends un bruit de succion et, presque aussitôt, il les pose sur ma rondelle. De sa main qui me pétrit la fesse, il m'ouvre. Je le sens, ses doigts glissent sur mon anus. Il a dû les mouiller à la salive. Je sens mon fourreau frémir et j'ai l'impression qu'il bée tout seul. Etonnamment, tout ça ne me détourne absolument pas de la pipe que je suis en train de tailler à Yann. Au contraire. Excité par ce que Dominique est en train de me faire, et à l'idée de ce qu'il s'apprête à me faire, je suce Yann encore plus fiévreusement. Ah, ça y est ! Il enfonce un doigt dans mon cul ! Oh, putain, ce que c'est bon ! Voilà son doigt entièrement en moi. Il le bouge et mon anus se détend, s'ouvre tout seul.

- C'est bon, ça, hein ? T'aimes ça, hein ?

 

Il ressort un peu son doigt, et il en glisse un deuxième. Hhhhmmmm ouiiiii ! Il me rend dingue. Je gémis de plus belle en remuant convulsivement mon bassin. Et je sens qu'il écarte ses doigts délicatement mais fermement pour m'ouvrir l'anus ! Ouiiiii, vas-y, ouvre-moi ! Et mets-en un autre ! Ouiiiii, il m'en met un autre ! Ah, putain ! Mets-moi ta main, maintenant ! Mets-moi ta main ! Ah, j'en peux plus, j'en peux plus ! Je halète tellement que je ne peux plus garder la bite de Yann dans ma bouche. Appuyé des avant-bras sur ses cuisses, je me cambre à la recherche de toujours plus de saillie. Et il me fourre encore un doigt ! J'ai quatre de ses doigts dans le cul ! C'est très légèrement douloureux au moment où il ajoute un doigt, mais une fois mes muscles détendus, la douleur disparaît et ce n'est plus que du plaisir ! Je geins. Yann m'appuie sur la tête. Il veut que je continue de le sucer ? Mais je ne peux pas ! Ah non. Il a empoigné sa bite, et il se contente de me frotter son gland sur la figure. Je lui donne de petits coups de langue quand son gland passe près de mes lèvres. Dominique continue de me forcer. Il a même dû me mettre son pouce. Mais ça ne rentre plus. Ses doigts restent bloqués au niveau de la première phalange. J'ai beau essayer de m'ouvrir autant que je peux, rien n'y fait. 

- T'aurais pas quelque chose à lui foutre dans le cul, Denis ?

- Hein ?

- Ouais. Je sens qu'il voudrait bien que je le fiste, mais ma main rentre pas. Ça passe pas, regarde.

 

Et il fait des va et vient qui bloquent tous au même endroit. 

- Ou alors … fais voir ta main  …

- Quoi ! Tu veux que je le fiste ? Marin … tu veux te faire fister ?

- Ouiiiiii !

 

Je hoche la tête vigoureusement. Denis reprend:

- Ouais, mais … ça va pas le faire, j'ai la main aussi grosse que la tienne, Domi.

 

Je relève la tête et je regarde la main de Yann, qui cramponne toujours sa queue. Ça le fera pas non plus. D'ailleurs, il confirme:

- Moi, c'est pareil, j'ai la main trop grosse. Et toi, Nadir ?

- Non, non. Trop grosse aussi, ma main. Et de toute façon, moi, je fais pas ça.

 

Domi continue de me travailler le fourreau. Soudain, Denis:

- Attends. Je crois que j'ai ce qui faut !

 

Je l'entends s'éloigner en direction de la cuisine. Bruit de tiroir qu'on ouvre. Bruit de tiroir qu'on referme. 

- Regarde ça ! Ça devrait lui plaire !

- Ah ouais. T'as raison. Mais c'est pas du bois, au moins.

- Nan. C'est du plastique. Regarde, Marin.

 

Je tourne la tête vers lui. Il revient en exhibant un long cylindre blanc:

- Ça te dit, ça ? C'est mon rouleau à pâtisserie. C'est du plastique anti-adhésif.

 

Il me le colle sous le nez. Ça doit faire dans les cinq centimètres de diamètre et les bords des extrémités sont arrondis. Je le prends dans la main. C'est très lisse. Ça va le faire:

- Oh oui, ça me dit. Allez-y, fourrez-le moi !

- Attends, je vais lui mettre une capote, quand même …

- Nan. Pas besoin. 

 

Je lui arrache littéralement des mains, et je le porte à ma bouche. Je crache dessus et j'étale ma salive avec mes lèvres et ma langue, avant de le tendre vers mon cul:

- Vas-y, Domi, fourre-le moi !

 

Dominique rit et, sans hésiter, il le prend et le présente aussitôt à l'entrée de mon fourreau:

- Putain, c'est quand même un gros morceau ! T'es sûr, Marin ?

- Oui. J'ai déjà pris plus gros. Vas-y !

- Bon. Comme tu veux.

 

Je sens qu'il m'écarte les fesses et qu'il pose l'extrémité contre mon anus. C'est frais. Il commence à pousser. Le godemiché improvisé me pénètre doucement en écartant mes chairs. Ça résiste un peu. Domi:

- Ça va ? Je te fais mal ?

- Non, vas-y ! Ça me fait pas mal.

 

Il pousse encore. Yann a arrêté de me badigeonner sa bite sur la figure, et il l'a même lâchée. Il doit être en train de regarder ce que me fait Dominique. Denis aussi, qui est maintenant debout près de mon cul. Ça y est, l'extrémité du rouleau a passé le goulet étroit de mon sphincter, et je le sens qui s'enfonce dans mon rectum. Je me cambre. Oh putain, ce que c'est bon ! Je m'affale complètement sur les cuisses de Yann, je passe mes deux mains derrière moi, je m'empoigne les fesses et je les écarte. Dominique rit:

- Oh oooooh ! J'en reviens pas ! Ça rentre tout seul ! Je continue ? Tu me diras quand il faut que j'arrête.

- Vas-y. Tu le sentiras, quand tu seras au fond.

 

Il continue et, tout en l'enfonçant, il se met à tourner un peu le rouleau de droite à gauche dans mon cul. Voilà, ça résiste. Il est au fond. Hhhmmmm ! C'est encore meilleur de se faire goder par quelqu'un que de se le faire tout seul. Dominique remue un peu le rouleau dans mon cul, puis commence à le retirer. Hhhmmm, ça aussi c'est bon !

- Putain, j'en reviens pas de ce que je t'ai rentré dans le cul ! Regarde ça, Denis ! 

 

Je sens le godemiché glisser lentement dans mon anus. Et Dominique le sort complètement ! Ça fait un petit "plop !" mouillé. Je m'écarte de nouveau les fesses, attendant qu'il me remette ce truc. Qu'est-ce qu'il attend. Je le sens qui bouge contre moi, comme s'il se penchait au-dessus de mon cul. Et je sens un truc chaud tomber sur mon anus. Denis:

- Tu veux pas lui mettre plutôt du lubrifiant, au lieu de lui cracher dans le cul ? T'en as, du lubrifiant, Marin ?

- Oui. Dans mon sac. Il doit être dans la salle d'eau.

- Bougez pas.

 

Il n'y a pas de risque que je bouge. D'autant que Domi a de nouveau enfoncé l'extrémité du rouleau à pâtisserie sur quelques centimètres dans ma rondelle, et qu'il a commencé à le faire aller et venir rapidement. Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Hop ! Ça a l'air de beaucoup l'amuser. Et moi, ça me fait du bien. Denis revient:

- Hé ! Ça aussi, c'est pas mal !

 

Il arbore mon tube de lubrifiant. C'est vrai qu'avec son extrémité arrondie et son diamètre assez conséquent, il fait envie, lui aussi. D'ailleurs, je me le suis déjà fourré dans le cul à la maison. Je suis persuadé que le fabricant a choisi cette forme et ces dimensions pour que ce flacon de lubrifiant puisse servir de jouet sexuel. Domi sort le rouleau à pâtisserie de mon cul. Plop ! Rapidement, je sens le froid du gel sur ma rondelle, puis un doigt (un pouce ?) me l'étaler et me le rentrer dans le fourreau en faisant plusieurs allers et retours.

 

- Allez, fous-lui le tube dans le cul.

 

C'est Domi qui vient de dire ça à Denis. Lequel ne se le fait pas dire deux fois. Je les entends rire doucement, tous les deux. Je sens le bout du tube se poser sur ma rondelle et s'enfoncer immédiatement en moi.

- Oh putain !

 

Domi est scié ! Je ne sais pas lequel des deux est à la manœuvre, mais il m'a enfoncé ce tube d'un seul coup. Et entièrement ! Ou presque. J'approche ma main de mon trou. Du tube, il ne dépasse plus qu'un centimètre ou deux, c'est-à-dire le bouchon. Des doigts (ceux de Denis ou de Dominique ?) appuient dessus  pour le maintenir dans mon cul. Ils se marrent. Je tourne un peu la tête. Denis est penché au-dessus de moi. C'est lui qui pousse ce tube dans mon cul. Domi me demande:

- Ça va toujours ?

- Oui. Gode moi encore.

- Enlève tes mains.

 

Je les enlève et je les croise sous mon menton sur les genoux de Yann. Je sens que Domi m'empoigne les fesses et me les écarte. Denis sort le tube rapidement (j'ai l'impression de me vider), et le renfonce d'un seul coup. Hhhmmmm ! Ils se marrent de plus belle. Puis il le sort à moitié et se met à le faire aller et venir en rythme. Avec la dose de lubrifiant qu'ils m'ont fourrée, ça glisse tout seul. De temps à autre, Denis me l'enfonce de nouveau à fond et continue d'appuyer, comme pour essayer de me le rentrer complètement dans le cul, avant de reprendre ses va et vient. Dominique demande à Denis:

- Laisse-moi essayer …

 

C'est maintenant Denis qui m'ouvre bien le cul en m'écartant les fesses. Domi me fait la même chose que lui, mais à un rythme légèrement différent, plus lascif. La joue posée sur la cuisse de Yann, je me laisse faire. Ça me plaît. Non seulement que ces mecs me fassent quelque chose que j'adore, mais aussi qu'ils s'amusent avec mon cul. Ils jouent, ils expérimentent.

 

- Yann, tu veux essayer ?

- Ouais. Attends.

 

Il se dégage de sous moi, se lève, et je le sens qui monte sur le canapé et s'agenouille entre mes mollets.

- Enlève-lui ce truc-là. Ça, c'est plus gros.

- T'as raison.

 

"Ça", c'est sûrement le rouleau à pâtisserie. Quelqu'un sort le tube de mon cul, et Yann me pose le rouleau sur la rondelle. Il commence à me l'enfoncer délicatement. Il ne doit pas y avoir une grosse différence de calibre, mais en effet, "ça", c'est plus gros. Je tourne la tête. Denis s'est assis sur la table basse. Alors ça doit être Domi qui me maintient les fesses écartées. Yann demande:

- Je peux lui mettre jusqu'où ?

- Vas-y, t'as encore de la marge. Regarde, t'as la trace, là. Moi, je lui ai enfoncé jusqu'où c'est mouillé. 

- OK.

 

Une fois au fond, il ressort et commence à me goder comme les deux autres. Je l'entends rire:

- Ça te plaît, ma poule ?

- Oui.

 

Ah putain, trois mecs qui s'amusent avec mon cul ! J'adore ! Yann me ramone comme ça pendant un moment, puis il se met à faire pivoter doucement l'engin sur lui-même. Hhmmmm, c'est bon, ça !

- Ça aussi, ça te plaît ?

- Oh oui !

 

Ça l'encourage et il fait tourner le gode un peu plus vite. Je gémis, je geins, je soulève mon bassin, je me cambre. Ils se marrent. 

- Dis, Denis, t'aurais pas un truc un peu plus gros ?

 

A son ton, je sens que Yann s'excite à me ramoner comme ça. Denis:

- Plus gros ? Non, je crois pas. 

- T'es sûr ?

 

Maintenant, c'est à la brutalité de ses gestes, que je sens que Yann s'excite. Denis:

- Ouais, je suis sûr. Et puis là, tu t'excites trop, Yann. Vas-y mollo. Vas pas nous l'esquinter. Il faut qu'on puisse encore s'en servir. Pas vrai, ma poule ?

 

Denis s'est levé. Il me claque la fesse, et je sens que le ramonage s'arrête brusquement. Je tourne la tête. Denis a saisi le gode improvisé et empêche Yann de continuer:

- Arrête, Yann ! De toute façon, c'est l'heure d'aller chez Jeannot.

 

Je tourne la tête. Denis et Yann tiennent tous les deux le godemiché, le premier empêchant le second de continuer à me ramoner comme ça. Leur affrontement se répercute dans mon cul à travers le rouleau à pâtisserie.

- Ouais. Arrête tes conneries, Yann. Tu dérapes, là.


Cette fois, c'est Dominique qui intervient. Il y a deux ou trois secondes de flottement, puis je sens qu'on sort lentement le jouet de mon fourreau. " Plop ! ".


- Ouais. Je crois que j'ai un peu trop picolé. Désolé.


Denis se redresse et s'éloigne vers la cuisine, son rouleau à la main. Dominique, en me pétrissant la fesse:

- Ça va, ma poule ?

- Ça va.


Je sens Yann descendre du canapé. Je me relève. Il se tient devant moi, tout penaud:

- Je t'ai fait mal ?

- Non, ça va. Mais il était temps d'arrêter.

- Ouais. Excuse-moi.

- Ça va, je te dis. Mais contrôle-toi quand tu picoles.

- OK, OK.


Denis:

 

- Bon, allez. On se prépare.

 

Pendant qu'il ramasse son pantalon et commence à l'enfiler, je récupère mon string:

 

- J'arrive. Il faut que je passe à la salle d'eau.

 

à suivre.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 21 novembre 2016 1 21 /11 /Nov /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Vendredi 13 octobre. 17 heures.

J'arrive à l'entrée du parking souterrain. Ce matin, au téléphone, Denis m'a donné le code d'accès et le numéro de la place où je pourrais me garer. Il m'a expliqué où il aura planqué la clef de son appartement. Ça marche, la porte du parking est en train de basculer. Dès que je pointe le nez de ma voiture dans l'ombre de ce sous-sol, l'éclairage s'allume. Voilà, place n° 112. Ça pue là-dedans: caoutchouc des pneus, huile des moteurs, gaz d'échappement et cette indéfinissable odeur de crasse de tous les parkings souterrains. Il fait frais, aussi. La température a pas mal baissé depuis quelques jours, et il a plu la nuit dernière. La fraîcheur me caresse les cuisses et s'insinue sous ma minijupe, jusque sur mes fesses. Très agréable.

 

Ma balade en voiture avec Nicolas, samedi dernier, m'a permis d'attendre aujourd'hui sans être trop en manque. Je me suis seulement masturbé deux ou trois fois en regardant les photos et les vidéos du gang bang. Il faut dire que Guy m'a de nouveau envoyé toute la série, mais cette fois avec les visages floutés, pour me demander s'il pouvait les diffuser comme ça. Apparemment, plusieurs participants lui ont demandé de les flouter aussi. Alors, il a flouté tout le monde. Comme ça, je trouve ça beaucoup moins excitant. Mais je m'en fous, moi, j'ai la version intégrale. Forcément, revisionner tout ça m'a passablement excité. D'où mes branlettes. Depuis, à la perspective des deux, trois ou quatre jours que je vais passer chez Denis, l'envie de bite est revenue.

 

Oui, Denis ne m'a donné aucune consigne pour ma tenue et j'ai décidé d'arriver chez lui en trav. Je suis habillé entièrement en toile de jean bleue. J'ai mis la minijupe en toile stretch que j'ai achetée la semaine dernière. Ultra courte, elle m'arrive vraiment à ras le bonbon. Si je n'avais pas mis un string, ma bite dépasserait sous l'ourlet. C'est dire ! De plus, elle est très extensible, et elle me moule vachement bien le cul. C'est sûr, elle va chauffer les mecs. Et c'est un régal à porter. En haut, un blouson de marque, aussi en toile de jean, avec plein de poches, que j'ai dégotté sur une brocante il y a cinq ou six mois. Dessous, un T-shirt noir moulant. Et c'est tout ! Enfin, j'ai quand même mis mon mini string rose flashy et des ballerines. Ni collant, ni porte-jarretelles et bas. Je suis jambes nues. Ah oui, j'ai aussi mis un postiche à cheveux courts, et j'ai mon baise-en-ville avec une tenue de rechange, de la lingerie, une nuisette, du lubrifiant, des capotes … bref, tout le nécessaire. Et évidemment, avant de partir, régime habituel: lavements et rasage complet. 

 

Je trouve immédiatement la clef de Denis, scotchée dans la poignée d'un extincteur. Tandis que je me dirige vers l'ascenseur, la porte du parking s'ouvre et une voiture entre. Je presse le pas pour pouvoir prendre l'ascenseur avant que le nouveau venu ne soit garé et descendu de sa voiture. Pas la peine que les voisins de Denis me voient dans cette tenue. Merde ! L'ascenseur n'est pas à ce niveau. Le bouton d'appel lumineux clignote et j'entends des cliquetis métalliques derrière la porte, mais derrière la vitre, c'est l'obscurité. Ah la vache ! La voiture s'est garée seulement à quelques mètres de l'ascenseur, et au volant, c'est une femme. Et si je montais par l'escalier ! Re-merde ! Généralement, les escaliers se trouvent à côté de la cage d'ascenseur, mais pas dans ce parking ! L'escalier est là-bas, à quinze mètres. Pas le temps de traverser, d'autant que, ça y est, la conductrice est descendue. Bêtement, je lui tourne le dos. C'est con, parce que, malgré ma tenue, et vu ma taille et la largeur de mes épaules, je ne peux pas faire illusion. Au moment où je vois la lumière de la cabine d'ascenseur descendre le long de la vitre, j'entends la femme claquer sa portière et s'approcher. Bon, tant pis, on verra bien. La voilà derrière moi, et je sens les effluves de son parfum dominer les odeurs du parking. 

 

J'ouvre la porte et je m'efface pour la laisser entrer dans la cabine. En passant devant moi, elle lève les yeux sur moi et sourit:

- Bonjour.

- Bonjour.

 

La trentaine, pas très grande, brune aux cheveux mi-longs, vêtue bon chic sans ostentation, elle ne paraît pas surprise le moins du monde. C'est évident, même de dos, elle a vu que je ne suis pas une femme. Et puis, je l'ai laissée passer, vieux réflexe masculin. Enfin, à ma voix, elle ne peut plus avoir de doute, s'il lui en restait. Elle se colle contre la paroi du fond et me regarde entrer dans la cabine, toujours souriante. Je lui demande:

- Quel étage ?

- Cinquième.

 

J'appuie sur le cinq, et j'hésite. Denis habite au quatrième. Je ne sais pas combien il y a d'appartements par étage. Je ne voudrais pas le trahir en appuyant sur le quatre. Mais si j'appuie sur un autre bouton, cette femme risque d'imaginer que je vais chez tel ou tel autre locataire. Bon, tant pis. Quatre. Je m'adosse à la paroi de côté. Du coin de l'œil, elle me regarde de la tête aux pieds. Du coin de l'œil, mais sans se cacher et sans gêne. Soudain:

- Très jolie votre jupe en jean. Elle vous va très bien. Surtout avec vos jambes bronzées.

- Merci. 

 

Comme il est évident qu'elle a vu que je suis un travesti, je crois bon de me justifier:

- J'espère que je ne vous choque pas. Je pensais ne rencontrer personne.

- Ça ne me gêne pas. Chacun vit comme il veut. Du moment qu'on n'embête pas les autres.

 

Elle doit se demander ce qu'un travesti, dans une tenue aussi ostensiblement "sexe", vient faire dans son immeuble. Ou pas: si elle est tant soit peu délurée, elle doit bien en avoir une petite idée. Ma tenue n'est pas exactement le genre de déguisement qu'on met quand on veut simplement déconner entre potes. Elle est même assez parlante, ma tenue. Oui, oui, ma cocotte, là, tel que tu me vois dans cette cabine, je suis en train de … "monter à la bite ". Putain, cet ascenseur est particulièrement lent. Elle continue de me jeter de petits coups d'œil. Ah, j'aimerais bien lire dans ses pensées. Enfin, dans une secousse, l'ascenseur s'arrête. Quatrième étage.

- Au revoir.

- Au revoir. Et bonne soirée.

 

De l'ironie dans son "bonne soirée" ? Je me demande. Je pousse la porte et je sors. J'appuie sur un bouton à côté de la cage d'ascenseur. La lumière éclaire un long couloir. Sept portes dont celle de la cage d'escalier. Donc, six appartements. Ça va, la femme de l'ascenseur ne peut pas deviner chez qui je vais. Tout au bout du couloir, voilà le 4F, c'est l'appartement de Denis. J'entre. C'est pas mal. Moderne et assez … pas luxueux, mais très clair, sobre, des meubles modernes et de qualité. C'est curieux, ça ne ressemble pas au personnage. Comme quoi, les idées préconçues … En tout cas, cet appart, c'est le jour et la nuit avec le pavillon miteux du gros Robert. Autant c'était vieux, sombre et crade chez lui, autant c'est neuf, propre et moderne chez Denis. Mais au fait, il m'a dit qu'on pouvait difficilement être plus de quatre ou cinq chez lui parce que ce n'est pas très grand ! Il y a largement la place !

 

Je cherche tout de suite la salle de bain. Je ne sais pas à quelle heure Denis et ses invités vont arriver, et je pourrais bien me retrouver rapidement avec une bite à l'entrée de mon fourreau. Alors, il faut que je sois nickel. La vache, elle est immense, cette salle de bain ! Il y a même une porte-fenêtre à trois vantaux avec un store à lames verticales pour l'intimité. Ah oui, il y a un autre immeuble juste en face, et sans ce store, les occupants des étages supérieurs de l'immeuble d'en face auraient une vue plongeante sur ce qui se passe ici. Pas de baignoire, mais une douche à l'italienne: receveur de plain-pied, sol carrelé sur pratiquement la moitié de la surface de la pièce, et une simple cloison de verre pour l'isoler de la vasque qui sert de lavabo. En plus du large pommeau de douche fixé au mur, il y a une douchette à main au bout d'un flexible. Impeccable, longue et cylindrique, elle a un diamètre idéal pour me rentrer dans le cul. Je m'administre deux nouveaux lavements. Je fignole aussi le reste: ultime coup de rasoir sur ma bite, mes couilles et mon pubis, et crème hydratante partout. 

 

Un fois rhabillé, je visite l'appartement. Dans la chambre, pas de sommier, mais un matelas, assez large, posé sur des espèces de tatamis, avec une couette par-dessus. Je vais sûrement me faire baiser là-dessus… et peut-être même y dormir. Le long du mur, une sorte de banquette-coffre. De chaque côté de la tête du "lit", des lampes de chevet posées à même le sol. En face du lit, toute la surface de la cloison est occupée par trois miroirs montés sur les portes pivotantes d'un dressing. Hhhmmm, à quatre pattes sur le lit, face à ces miroirs, avec Denis  - ou je ne sais qui – en train de me prendre en levrette … A part un bureau minuscule et un cellier, le reste de l'appartement consiste en une vaste pièce d'un seul tenant. A un bout, un salon avec deux gros fauteuils en cuir crème, un grand canapé d'angle assorti et une table basse; au milieu, une assez grande table au plateau de verre reposant sur un piétement métallique et six chaises, et à l'autre bout, une cuisine moderne avec un large îlot central.

 

Il y a aussi une porte-fenêtre qui donne sur un balcon avec une petite table de bistrot et deux chaises. Sur la moitié de sa longueur, le balcon est sécurisé par un garde-corps en barreaux métalliques et sur l'autre moitié par une maçonnerie. Je jette un coup d'œil aux alentours. L'appartement de Denis se trouve à l'extrémité de l'immeuble, et son balcon donne aussi sur l'avenue et sur l'entrée de la résidence. Au pied de l'immeuble, un espace vert avec une aire de jeux pour enfants. Sur un banc, deux femmes bavardent en surveillant une poignée de gamins qui se chamaillent sur un toboggan. En face, à une trentaine de mètres, l'autre immeuble: six étages, avec également des balcons. Par une fenêtre au rez-de-chaussée, j'aperçois une femme qui, apparemment, s'active dans sa cuisine, et, au deuxième étage, un homme d'un certain âge lit dans un fauteuil à côté de sa fenêtre. Sur un balcon, au quatrième, donc au même niveau que moi, un type, accoudé au garde-corps, fume en regardant distraitement les deux femmes et leurs mômes dans le jardin. Ces scènes de vie ordinaire, alors que je m'apprête à me faire grimper par plusieurs types, j'adore ça. Je me dis que, tout à l'heure, pendant que ces gens vaqueront tranquillement à leurs occupations, moi, je serais en train de sucer une ou plusieurs bites, ou de me faire enculer ! Cette pensée réveille quelque chose du côté de mon bas ventre et de ma prostate. Je commence à bander. Comme je suis sur la partie du balcon protégé par le muret, celui-ci me dissimule depuis la taille jusqu'aux pieds. Alors, je glisse une main sous ma jupe, je descends la ceinture de mon string sous mes couilles, et je commence à me tripoter. 

 

Putain, si les potes de Denis ne se dégonflent pas, je vais encore me faire quatre mecs ! Quatre mecs, dont deux inconnus ! Deux nouvelles queues à mon palmarès ! Un de ces jours, il faudrait que je compte combien j'ai fait jouir de mecs, combien j'ai fait éjaculer de bites. Ah, putain, le bouche à oreille commence à vachement bien fonctionner. Comme les mecs qui m'ont baisé sont contents de moi, ils en parlent autour d'eux et ils recrutent. Allez-y, les mecs, recrutez, jouez les rabatteurs, amenez-moi de la bite ! Ou si vous préférez, amenez-moi A la bite ! Quand je prends la peine d'y réfléchir, je suis sidéré d'en être arrivé à offrir mon cul au premier venu, et de m'être fait grimper par autant d'inconnus. Bon, ce qui est sûr, c'est que, tout comme un novice peut devenir accro à l'héroïne dès son premier shoot, moi, je suis devenu addict à la bite dès ma première pipe ou dès ma première sodomie. Ce qui m'étonne presque autant, c'est justement le nombre de types qui me sont passés dessus en l'espace de quelques mois. Comment ai-je pu en attirer autant, qui me sont tombés dessus comme des mouches sur un pot de miel ? Je n'ai pourtant pas un physique efféminé, ni même androgyne ! Un peu plus grand que la moyenne, plutôt costaud sans être baraqué, des pognes assez grosses, un visage masculin, je n'ai jamais rien eu d'un "minet" susceptible d'intéresser les amateurs de délicats éphèbes. 

 

Bon, c'est vrai, il y a mon cul. J'ai réalisé son pouvoir d'attraction sur les mâles quand j'ai commencé à le montrer en photos sur Internet. Les premiers commentaires élogieux que j'ai reçus à son propos m'ont d'abord étonné et quelque peu gêné. Je ne pensais pas mon cul aussi … attirant pour des mecs. Il faut dire que je ne le connaissais pas, mon cul: pendant longtemps, je l'avais seulement aperçu dans un miroir, et encore, par accident, et pas entièrement. On n'en voit au mieux que la moitié, dans un miroir, et en se tortillant, qui plus est, ce qui le déforme en partie et n'en donne qu'un vague aperçu. Il n'y a qu'en photos ou en vidéos qu'on le voit tel qu'il est vraiment. C'est donc seulement quand j'ai commencé à me photographier et à me filmer au cours de mes séances de sexe en solo, que je l'ai vraiment découvert. Ça a été un choc pour moi: j'ai réalisé que j'avais un cul … musclé mais pas trop, rebondi mais pas trop, et surtout galbé et mis en valeur par une assez belle cambrure naturelle des reins … bref, un cul bandant. Enfin, un cul qui me faisait bander, moi ! Oui, contempler mon propre cul, me faisait bander ! Le comble du narcissisme. Au début, ces photos et vidéos de mon cul étaient à usage strictement personnel et je n'avais absolument pas l'intention de les montrer à qui que ce soit, et surtout pas de les publier sur Internet. Et puis, quand je me suis décidé, "pour voir", à mettre en ligne quelques photos parmi les plus soft, le succès auprès de visiteurs masculins a été immédiat. Il n'a été que croissant au fur et à mesure que je montrais des photos plus hard, surtout en lingerie féminine. Ce succès, je ne l'avais justement attribué qu'au caractère fétichiste et pornographique de ces images, mais à la réflexion, mon cul y était sans doute pour beaucoup.

 

Il y a donc mon cul, qui attire des mâles, mais il n'y a pas que ça. D'une manière ou d'une autre, quelque chose en moi doit leur dire que je suis amateur de bite, et à tendance passive. D'ailleurs, c'est si net, cette tendance passive, qu'à une ou deux exceptions près, tous les mecs qui m'ont baisé ou que j'ai sucé ne m'ont pas demandé la réciproque. Pour les mecs, je suis celui qu'on pénètre, pas celui qui pénètre, celui qu'on baise, pas celui qui baise. Et ça me va très bien. Mais en plus, pour qu'ils n'hésitent pas à m'aborder et à me proposer très directement leur bite, il faut aussi qu'ils me devinent accueillant, facile, docile ! Bref, je ne sais pas ce qui leur garantit qu'ils ne se prendront pas un râteau avec moi et qu'ils pourront m'introduire leur queue pour tirer un coup, mais ça me va aussi. Philippe, par exemple, mon cul, il ne l'avait pas vu, ou pas vraiment, quand il s'est décidé à me … solliciter au bord de ce canal. Thomas, mon premier "vrai" coup, il n'avait pas vu mon cul non plus, quand il s'est mis à "manœuvrer" pour se retrouver dans mon lit,  et se coller à moi pour me ... Parmi tous ceux qui m'ont fourré jusqu'ici, il y a eu de vrais homos et de vrais bi – actifs, essentiellement -. Pour ceux-là, il était dans l'ordre des choses de me draguer et de me baiser. Il y a eu aussi des baiseurs d'occasion. Parmi eux, certains n'avaient ni a priori ni préjugé, et, pour peu qu'une occasion de tirer un coup se présente, ils ne voient pas de problème à fourrer leur bite dans n'importe quel trou, qu'il soit masculin ou féminin.  Enfin, il y a des paumés comme Robert et ses potes, peut-être foncièrement hétéros, mais trop moches, trop timides, trop marginaux ou trop complexés pour arriver à trouver une vraie femme, et qui se rabattent sur la moindre occasion qui s'offre à eux, même si l'occasion est un travelo. Et pour ceux-là, l'occasion qui s'est offerte à eux, au propre comme au figuré, c'était moi. Moi, je m'en fous, je prends tout ce qui se présente: vrais homos, vrais bi, baiseurs d'occasion, hétéros en manque … tout le monde !

 

Dans l'immeuble d'en face, le type a fini de fumer sur son balcon. D'une pichenette, ce porc balance son mégot sur la pelouse. Je réalise qu'il m'observe peut-être depuis un moment, sans doute intrigué à la fois par mon apparence et par mon bras qui bouge, à demi dissimulé derrière le garde-corps. Oui, mec, tu vois bien, je suis en train de me tripoter. Je m'en fous, je continue. Il me regarde avec insistance. A cette distance, je suis sûr qu'il peut voir que je ne suis pas une femme. J'ai l'impression qu'il me sourit. Il me fait un petit signe de la main. Je lui réponds d'un signe de tête, et il disparaît dans son appart.

 

Bon, je remballe ma queue et je rentre. En attendant, pour m'occuper, je regarde si il n'y aurait pas quelque chose à faire dans cette cuisine. Dans le lave-vaisselle, un bol, un verre, deux assiettes et quatre couverts. Ça ne vaut pas le coup de laver tout ça à la main. Au point de vue propreté, tout le reste de la cuisine est nickel, y compris l'intérieur de l'énorme frigo. Dedans, je remarque plusieurs cartons, genre boîte à pâtisserie. Ça vient de chez le meilleur traiteur de la ville. Et deux bouteilles de Champagne, ainsi que du Chablis. Je retourne sur le balcon et je regarde le trafic sur l'avenue et les gens qui circulent aux alentours. Ça finit par me lasser et je rentre à nouveau, cette fois pour regarder la télé, vautré dans le grand canapé.

 

Il n'y a pas cinq minutes que je suis là, à zaper pour trouver un programme intéressant, quand j'entends des bruits de clef et de serrure à la porte de l'appartement. Ah voilà quelqu'un. Sans doute Denis. Un frisson m'électrise la prostate et le bas ventre, et des images de bites en érection s'imposent à mon esprit. Je ne bouge pas. Dans l'entrée, je reconnais la voix de Denis qui s'adresse à quelqu'un, et, aussitôt, un type entre dans le salon, suivi de Denis. La trentaine, pas très grand, un visage ingrat, les cheveux châtains, l'inconnu est littéralement stoppé dans son élan en me découvrant. C'est certainement un des deux types que Denis a recrutés. Alors, lui, c'est un des mecs qui vont me baiser ce soir ? Je me lève. Denis contourne le type mec et me voit à son tour: 

- Tiens, t'es déjà là ! Salut.

- Salut.

- Je te présente Nadir. Nadir, Marin.

- Bon … bonjour.

- Bonjour.

 

Nadir ! C'est un prénom arabe. Ça doit être son collègue. Il est moche, mais pas typé comme Hamid. Dans un coin de ma tête, je constate que, comme beaucoup d'autres avant lui, son physique déplaisant m'est totalement indifférent. Je n'éprouve aucune répulsion, et je sais que je n'aurai aucune réticence à me le taper, à lui sucer la bite, à le laisser me sodomiser. Tout ce qui m'importe, c'est ce qu'il a entre les jambes.  Denis dépose une mallette sur la table en verre, s'approche de moi, et m'embrasse sur les deux joues. Tiens, c'est le premier à me faire ça. Il se tourne vers son collègue:

- Bon, ben reste pas là, Nadir. Serre-lui la main ou embrasse-le. C'est lui que tu vas te taper, mec !

- Oui, oui.

 

Il me tend la main. Je la lui serre et il reste scotché sur place, me déshabillant du regard. Alors, histoire de détendre l'atmosphère et de commencer à entrer dans le vif du sujet, j'emploie le truc qui m'a déjà servi: je m'écarte un peu et je fais un tour sur moi-même, pour qu'il voie en détail dans quoi il va introduire sa queue. Denis se marre:

- Ah dis donc, tu vas mettre le feu aux braguettes, avec cette jupe !

- Elle te plaît ?

- Devine.

 

Il s'approche et me met une main au cul. Il me palpe les fesses à travers la toile.

- Elle a plu aussi à une de tes voisines.

- Ah bon ?

- Oui, je l'ai rencontrée dans le parking et je n'ai pas pu éviter de prendre l'ascenseur avec elle.

- Comment elle est ?

- Petite, brune, elle habite au cinquième, sympa …

 

Il me coupe la parole, tout en me pelotant, en commençant même à me glisser ses doigts sous la jupe:

- Sa place de parking est tout près de l'ascenseur ?

- Exact.

- Je vois qui c'est. Elle t'a dit quelque chose ?

- Elle m'a fait un compliment sur ma jupe.

- Et ?

- Et c'est tout. Elle a bien vu que je suis un trav, mais ça n'a pas eu l'air de la choquer.

- Tu lui as dit où tu allais ?

- Ben non.

- Bon. Enfin, elle, je m'en fous qu'elle sache. C'est pas le genre à faire des ragots. Alors, Nadir, tu le touches, ou tu vas te contenter de le regarder ?

- Je … attends. Il faut que je …

 

Denis ôte sa main de mon cul, saisis la mienne, et me la plaque contre le bas ventre de son pote:

- Vas-y, toi. Commence, il est trop timide.

 

Alors, je palpe le paquet de Nadir. Il est saisi et il ne sait pas où poser son regard, ni quoi faire de ses mains. Avec les miennes, j'explore son entrejambe à travers la toile de son pantalon. Pas énorme, ce qu'il y a là-dedans ! Pour le moment, du moins. J'espère qu'il va grossir et durcir. Denis a récupéré sa mallette et s'est éclipsé vers son bureau. En commençant à glisser une main à l'intérieur du pantalon de Nadir, je lui demande:

- Tu t'es déjà fait un travesti ?

- N… non.

- Un homme, alors ?

- Non plus. C'est … la première fois.

- Tu as envie de me faire quoi ?

- Je … je sais pas. Tu veux que je te fasse quoi ?

- Ah, mais moi, je fais tout ce que tu veux. J'accepte tout sauf la violence, le SM, le scato, enfin, tous ces trucs-là. Autrement, je te masturbe, je te suce, tu me baises dans la position que tu veux … tout ce qui te fait envie. Je suis à ta disposition pour que tu prennes du plaisir et pour que tu tires un coup … ou plusieurs.

 

Bouche bée, yeux ronds, il a écouté, visiblement scotché. Sous son pantalon, il porte un slip moulant en coton. Je glisse aussi ma main dedans. Voilà, je sens sa queue. Toute chaude. Hhhmmmm ! Toute serrée dans ce caleçon, j'ai un peu de mal à la saisir. Délicatement, je la prends dans mes doigts. Elle est encore molle, mais je crois qu'elle commence à gonfler. Il est circoncis et je sens son gland, à nu sous mes doigts. Ah putain, je n'y tiens plus, je veux le prendre dans ma bouche. Tout en palpant sa bite de la main droite, j'entreprends de déboutonner fébrilement son pantalon de la gauche. A force, j'ai acquis à cet exercice une dextérité surprenante. Voilà son zip descendu, les deux pans du pantalon écartés et la ceinture de son slip abaissé sous ses couilles. Je tombe à genoux sur la moquette. Hhhmmmm, quelle merveille ! Je crois que je trouve merveilleuses toutes les nouvelles bites que je découvre. Celle-ci n'est pas très grosse, mais elle est exactement proportionnée. Et puis, elle est toute brune, sauf sur deux centimètres sous le gland, qui sont tout roses. Et son gland ! SON GLAND ! Retroussé, légèrement aplati et élancé, juste comme je les aime ! Je m'approche et j'embrasse sa verge sur toute sa longueur. C'est une véritable friandise, une gourmandise que j'ai maintenant une furieuse envie de goûter, de déguster. Il repousse ma tête, délicatement:

- Attends, attends ! Il faut que je me lave …

 

Ah oui. Maintenant qu'il le dit, je perçois une légère odeur d'urine. Mais à ce détail près, sa bite à l'air toute propre. Alors, basta, j'en ai sucé des plus "sales". J'ouvre la bouche et je le prends. Oh putain  ce que c'est bon ! Chaud, caoutchouteux, vivant. Je ne peux pas retenir un gémissement de plaisir. Sous ma langue, je sens les deux bosses que fait la couronne de son gland, de part et d'autre de son frein. J'adore ça ! Et son urètre, que je sens gonfler au fur et à mesure qu'il grossit dans ma bouche. Ah, ce que c'est bon, de sucer une bite ! Il se laisse faire. Il n'a plus du tout envie d'aller se laver. Contre mon front, je sens qu'il relève le bas de sa chemise. Je lève les yeux. Il me regarde, fasciné. Je lui caresse le ventre d'une main et je glisse l'autre sous ses couilles.

 

- Et ben, mes salauds, vous avez déjà commencé !

 

C'est Denis qui se ramène dans le salon. Il vient à côté de nous, je le vois du coin de l'œil. Il me regarde sucer son collègue, et il commente:

- Alors, Nadir, il est chaud, hein, mon pote …

 

Nadir ne répond pas, mais aux secousses de son ventre, je devine qu'il hoche la tête. Denis insiste:

- Il suce bien, hein …

 

Re-hochement de tête. Je devine un mouvement à côté de moi et, presque aussitôt, je sens une main – une main de Denis, évidemment – se glisser sous mes fesses. Il agrippe le bas de ma jupette, et la retrousse d'un seul mouvement sur mes reins. Hhhmmmm, c'est parti ! J'adore quand ça démarre comme ça, qu'on entre tout de suite dans le vif du sujet, directement, sans préliminaires. J'ai déjà une queue dans la bouche et le Denis commence à m'entreprendre à son tour ! Avant longtemps, j'aurai sa bite dans le cul ! Je le sens qui s'accroupit maintenant à côté de moi, et qui glisse ses doigts dans ma raie en direction de ma rondelle:

- Ça serait une femelle, une vraie femelle, je veux dire, je suis sûr qu'il mouillerait à c't'heure !

 

Tu as raison, sûr que je mouillerais déjà, si j'étais une vraie femelle. Il écarte la ficelle de mon string, pose un doigt sur ma rondelle, sans doute son majeur, et il le bouge légèrement, comme pour m'avertir qu'il va me pénétrer. Il me demande:

- T'es propre ? Tu t'es lavé le cul ?

 

Sans recracher la queue de Nadir, de plus en plus grosse, je hoche la tête aussi vigoureusement que possible: Oui ! Oui ! Oui ! Je me suis lavé le cul ! Tu peux y aller ! Fourre-moi ton doigt ! Et, tant bien que mal, toujours en suçant son pote, j'écarte mes genoux sur la moquette et je me cambre pour faciliter sa pénétration. Vas-y, Denis, doigte-moi le cul ! Denis:

- Regarde-le Nadir, comment il écarte les cuisses et comment il se cambre pour que je lui fourre mes doigts dans le cul ! 

 

Au-dessus de moi, je sens Nadir se pencher un peu pour regarder par dessus mon épaule, Denis qui s'apprête à me doigter. Alors, je passe ma main droite derrière moi, je m'empoigne la fesse et je l'écarte. Ça y est, il enfonce son doigt ! A sec et complètement ! Ah la vache ! C'est rien, un doigt, mais il me fait un effet terrible. L'humidité résiduelle de mon dernier lavement me lubrifie suffisamment pour que ça ne soit que du bonheur. Je gémis de plus belle. Allez-y, les mecs, fourrez-moi tout ce que vous voulez dans mes deux trous, vos doigts, vos bites, vos langues, n'importe quoi ! Il retire son doigt et pendant quelques secondes, il ne passe rien. Mais je suis convaincu qu'il ne va pas s'arrêter là, le Denis. En effet, maintenant, j'entends de légers bruits de succion: il est en train de se mouiller le doigt avec sa salive. Il va encore me le fourrer ! Puis je sens de nouveau sa main sous mes fesses. Oh, putain, il m'en fourre au moins trois, cette fois ! Oh oui ! Il s'installe confortablement, agenouillé derrière moi, un peu sur ma gauche, un genou derrière mon cul et un genou à côté de mon genou gauche. Il plaque sa main gauche contre mon ventre, comme pour me retenir, et il enfonce ses doigts ! Il n'y va pas vraiment en douceur, et il me force le sphincter. Heureusement que j'ai habitué mon cul à ce régime avec des jouets au moins aussi gros. Rapidement, je sens mes muscles se détendre. Denis aussi le sent:

- Tu t'ouvres, hein, ma salope ! Toi, tu as vraiment le cul accueillant ! T'aimes ça, hein, te faire défoncer le fion !

 

Pas la peine de confirmer, il le sent, il le sait. A son souffle, je devine qu'il commence à s'exciter sérieusement. D'ailleurs, je sens qu'il essaie de déboutonner son pantalon de la main gauche., Il doit commencer à bander et à être à l'étroit. Il n'y arrive pas et commence à extraire ses doigts de mon cul, sans doute pour s'aider de la main droite. Alors je tends précipitamment ma main gauche vers son ventre et je le déboutonne d'un seul mouvement. Il se laisse faire, réintroduit ses doigts  dans mon fourreau et descend son zip de la main gauche. A tâtons, je cherche sa queue. La voilà. En effet, il bande et son gland est coincé dans la ceinture de son caleçon. Je le manipule un peu pendant qu'il écarte les pans de son pantalon et abaisse la ceinture de son caleçon. Du bout des doigts, à l'aveugle, j'explore sa bite sur toute sa longueur. Oh, putain, Denis ! Ta bite ! Ta bite ! TA BITE ! Tu vas me baiser ! Je le décalotte et je commence à le masturber. 

 

Et soudain, Nadir recule brutalement son bassin, sortant d'un seul coup sa queue de ma bouche:

- Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaah ! Faut arrêter !

 

De la main, il serre fermement sa verge. Il soupire, il souffle, les yeux braqués sur sa bite. Il est au bord de l'éjaculation. Je tends la main:

- Reviens ! Tu peux jouir dans ma bouche.

- Non, non ! Plus … plus tard. 

 

Et, comme s'il craignait que je lui saute dessus, il s'éloigne de moi, en comprimant toujours sa queue. Ah, dommage ! Denis, ses doigts dans mon cul, s'excite de plus en plus. Alors, je lâche la queue de Denis, je me plie en deux et je pose mes deux mains à plat sur la moquette devant moi, pour une levrette à quatre pattes. Je tourne la tête vers Denis. Je me cambre autant que je peux, telle la femelle réclamant sa saillie:

- Vas-y, mec, baise-moi !

 

Il me sourit, se campe bien sur ses genoux, me pose une main sur les reins, écarte un peu mieux la ficelle de mon string, et … il me remet ses doigts ! Il se met à aller et venir. Ma parole, il n'y en a pas que trois ! Oh putain, il me défonce ! J'ai le sphincter détendu au maximum. J'ai l'impression que s'il y allait un peu plus brutalement, il arriverait à me fourrer sa main entière dans le cul ! Un fist ! Je ne me suis jamais fait fister ! Je n'ai même jamais essayé de trouver un mec avec la main assez fine pour me la rentrer entièrement.

 

Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz ! On dirait la sonnette à la porte. Denis suspend son ramonage et:

- Nadir ! Who, Nadir, où t'es ? Où il est cet animal ?

 

Nadir ne répond pas. Denis soupire et, en désespoir de cause, il sort ses doigts de mon cul et se lève péniblement:

- C'est l'interphone. Ça doit être Yann. Bon, ben, on reprendra ça plus tard. Fait chier, Nadir !

 

Il se dirige vers l'entrée en remballant plus ou moins sa queue. Je m'assois sur la moquette. J'entends Denis dans l'entrée:

- Oui ?

- C'est Yann !

- Ouais. Je t'ouvre. Quatrième étage. Porte 4F, au bout du couloir.

- Bzzzzzzz !

 

Je l'entends tourner un verrou, entrouvrir sa porte, et il revient:

- Bon, on reprendra tout à l'heure, hein ...

- Comme tu veux.

- Il est où, l'autre animal ?

 

L'autre animal reparaît, sortant de la salle de bain:

- Je … je me suis … lavé. Et rafraîchi.

- Tu m'as pas entendu ? Je t'ai appelé.

- Non.

- C'est Yann qui arrive. Manquera plus que Dominique.

 

Je me lève, je rajuste mon string au fond de ma raie, je palpe ma rondelle pour m'assurer que je ne fuis pas, et je vais m'asseoir dans le canapé. Nadir remarque:

- Dis, Denis, elle est vachement bien, ta salle de bain. Elle est immense.

- Ouais. A l'origine, c'était une chambre, avec la salle de bain juste à côté. J'ai abattu le mur entre les deux. J'avais toujours rêvé d'une salle de bain comme ça. C'est pour ça qu'il y a une porte fenêtre. Elle était dans la chambre.

- Ah ouais. Mais, comment t'as fait pour … tu sais, l'évacuation … au ras du sol …

- T'as pas remarqué ? La salle de bain, elle est plus haute que le reste de l'appart. Il y a une marche pour entrer.

- Ah ouais, c'est vrai.

- On a fait un faux plancher. Toutes les alimentations et les évacuations sont dessous. Et on s'est repiqué sur celles de la salle d'eau d'origine. Il y avait bien un autre système, mais c'était plus compliqué et plus cher. C'est un pote à moi, un pro, qui a fait tout ça.

 

On entend la porte d'entrée s'ouvrir, se refermer, et Yann arrive. Ça y est, je le reconnais. Il doit avoir dans les … vingt-cinq ans, mais il fait très gamin, pas très grand, plutôt fluet, une belle petite gueule, toujours souriant. Lors de mon gangbang, je ne sais pas pourquoi, il m'avait fait l'effet d'être un déconneur. Pas grande gueule, mais toujours prêt à participer aux déconnades des uns et des autres. En effet, chez Jean-Claude, je lui avais fait une turlute, il me semble – complète, avec éjac dans la gorge - et je crois qu'il m'a aussi baisé sur le bar … ou sur la scène. En fait, exception faite de la douzaine de types les plus marquants, comme Sam ou Thierry, parmi les plus discrets de mes étalons, je ne sais plus trop qui m'a fait quoi, ni où. Il serre la main à Denis, qui lui présente Nadir, et:

- Je te présente pas Marin, tu l'as déjà niqué chez Jean-Claude.

 

Comme je fais mine de me lever, Yann me fait un signe de la main:

- Reste assis. Salut, ma poule. Alors, t'es venu te prendre encore quelques coups de bite ?

- Oui, comme tu vois.

 

Denis;

- D'ailleurs, on avait commencé. Plus ou moins. Ça a démarré dès qu'on est arrivés, avec Nadir.

 

Yann, à mon intention:

- T'es encore affamé, alors ?

- Oui.

- Mais là, on va pas être vingt et quelques, comme chez Jean-Claude. Ça va te suffire ? On va être combien, au fait, Denis ?

- Ici, quatre. Seulement quatre ! 

 

Il se marre.

 

Yann:

- Ben, ma poule, faudra faire avec !

- Oui, mais ce sera à vous d'assurer.

 

Il est resté devant moi. Je me redresse, je tends la main, je saisis la ceinture de son pantalon, et je l'attire vers moi:

- D'ailleurs, viens là, toi.

 

Il se laisse faire en souriant. Je m'avance et je colle mon visage sur son bas ventre. Il rit et me prend la tête dans ses mains. Sous mes lèvres, je sens la bosse de son sexe. Je me frotte la bouche dessus en ronronnant. Denis:

- Bon, ben, allez-y, commencez. Moi, je vais préparer l'apéro. Domi ne devrait pas tarder.

 

Pendant que je me frotte la bouche et les joues sur son sexe, je sens que Yann déboutonne son pantalon et descend sa fermeture éclair. Hhhmmmm, il est pressé, il a déjà envie. Tant mieux. Dans quelques secondes, j'aurai sa bite dans la bouche ! Je devine Nadir qui s'assoit sur le canapé à ma gauche. Yann descend son pantalon et son caleçon sur ses genoux. Oh oui ! Je me souviens de sa bite, maintenant. Il bande déjà un peu. Il s'est rasé depuis l'autre jour. Complètement. Il devait avoir tous ses poils, chez Jean-Claude, mais je la reconnais, sa bite. Je le prends directement dans ma bouche et je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Ça le fait rire:

- Tu aimes toujours autant ça, hein …

- Il est complètement accro, tu veux dire ..

 

C'est Denis qui revient dans le salon. Je ne le vois pas, derrière Yann, mais j'entends cliqueter des verres. Oui, j'aime toujours autant ça, oui je suis complètement accro. Les sexes des hommes. Leurs organes génitaux. Leur bite, leurs couilles. Leur sperme qui s'écoule, tiède et gluant, dans mon œsophage. Leur semence qui se répand dans mon ventre. Ça me rend dingue. Yann remarque:

- C'est bon pour nous, ça. Avec une folle de bite comme ça, pas besoin de la séduire, pas besoin de lui faire la cour, pas besoin de tourner autour du pot pendant des heures. Même pas besoin de lui payer un restau ou un ciné ! Tu claques des doigts, et aussitôt, elle te suce ou elle te donne son cul ! C'est une bonne fifille, ça madame ! 

 

Ah oui, continue de parler de moi comme ça, pendant que je te suce, j'adore ça ! Ecouter ce genre de discours, ça m'excite, et je le suce de plus en plus fiévreusement. Oui, je suis une fille facile. Oui, je suis une fille docile. Oui, je suis une fille soumise. Oui, je suis une fille soumise à ta bite. Je suis une fille docile et soumise à toutes les bites, en fait ! Je suis une viande à bites ! J'ai l'impression qu'il a compris que ses paroles m'excitent et agissent sur la fébrilité de ma fellation. Et la fébrilité de ma fellation accentue son excitation. Il bande de plus en plus fort et son souffle est de plus en plus rapide et bruyant ! Il poursuit:

- Elle en veut, de la bite, la fifille ? Elle va en avoir, de la bite ! Et pas qu'un peu, hein, espèce de salope ! Elle va tous nous sucer, la gourmande ! Elle veut aussi de la jute ? On va lui en donner de la jute ! Elle va en avaler, de la jute ! 

 

Il me cramponne la tête à deux mains. Denis s'est affalé dans l'angle du canapé, à ma droite. Il a ressorti sa bite, il bande et il se masturbe. Il a une vue directe sur ma fellation. Hhmmmm, je suis en train de faire une turlute à ce mec, avec deux autres types qui me regardent, un à ma droite et un à ma gauche ! C'est tellement bon de sucer ou de se faire baiser devant du monde. Yann se met à souffler rapidement par la bouche, comme  un joggueur pendant l'effort. Je lève les yeux sur lui. Il a la tête rejetée en arrière. Je ne vois pas ses yeux, mais je suis sûr qu'ils sont fermés. Et soudain:

- Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaaaaaaaaaah ! Puuuuu … taiiiiiiiin !

 

Il jouit . Son sexe est secoué par un violent spasme dans ma bouche et je sens un jet brûlant s'étaler sur ma langue. Ah putain, j'aime ça ! Cet instant où le mec, arrivé au sommet de sa jouissance, lâche sa semence en moi, tranquillement, sans hésitation, sans scrupule … comme une chose naturelle. Et le goût de ce sperme ! Il est chaud, il est suave, il est un peu salé. C'est un nectar dont je ne peux plus me passer. Encore, j'en veux encore ! Un nouveau jet. Je déglutis et je sens cette crème fabuleuse s'écouler dans ma gorge. Ça me rend dingue, un mec qui jouit dans ma bouche ! Il continue de se répandre sur ma langue, jusque dans ma gorge. Je gémis de plaisir, je gémis d'excitation, je gémis de bonheur ! Je voudrais sucer des dizaines de queues, les faire jouir et me faire remplir la bouche et l'estomac de sperme jusqu'à l'écœurement. Tout le corps de Yann est secoué par cet orgasme et il bouge spasmodiquement son bassin d'avant en arrière. Et brusquement il sort sa queue de ma bouche et:

- Arrête, arrête, arrête ! Wouhouhouuuuuuuuu !

 

Il s'écarte de moi, empoigne sa queue et la presse:

- Ah, la vaaaaaaache ! Comment elle m'a pompé !

 

Il se marre. J'avale ce qu'il m'a répandu sur la langue et je m'affale contre le dossier du canapé. Je soulève le bas de ma jupe et j'extrais ma queue de mon micro-string où elle commençait à être à 'étroit. Yann me fixe:

- Ça t'excite, hein, de te faire juter dans la bouche. T'as tout avalé ?

- Oui.

 

Je baille pour lui montrer. Il se marre encore. Les deux autres aussi. Je les regarde alternativement:

- Venez, vous deux. Je vous fais pareil !

 

Je tends la main vers Nadir:

- Allez, viens, toi !

- Non, non. Plus tard.

 

Prudemment, il s'écarte.

- Denis, viens ! Donne-moi ta bite !

 

Ah oui, il se lève et s'approche. 

 

Ding ! Dooooong ! La sonnette dans l'entrée, cette fois.

 

Tandis qu'il vient se placer face à moi, Denis lance à Yann:

- Tu peux aller ouvrir, Yann ? C'est sûrement Dominique.

 

Je saisis sa queue, j'approche mon visage et je me passe son gland partout sur la figure en ronronnant, lui donnant, de temps à autre, de petits coups de langue. Oh la la, je suis fou de leurs bites ! Toi aussi, je vais te faire jouir ! Je le prends dans ma bouche et je commence à le lécher, à le sucer, à le téter, à le mordiller, à le mâchouiller, je lui titille le gland du bout de la langue … je le sors de ma bouche et je lui lèche les couilles, avant de le reprendre.

 

- Salut Denis !

 

Je sens Denis se tourner légèrement vers l'entrée de la pièce:

- Salut, Domi !

- Ah, t'es déjà en mains !

- "En mains", pas vraiment. Plutôt en bouche, comme tu vois.

 

Je sens que, d'une main, il soulève sa chemise. Il pose l'autre sur ma tête:

- Bon, ben … Dominique, j'te présente Marin. Continue, toi. 

 

Oui, oui, je continue. Je n'avais pas l'intention de m'interrompre pour saluer le nouveau venu. Il poursuit les présentations:

- Celui qui t'a ouvert, c'est Yann …

- Oui, on s'est présentés.

- Yann, il était du gangbang dont je t'ai parlé.

- Ah, OK. Et lui, qui te suce, c'est Marin, c'est lui que vous avez baisé, à ce gangbang ?

- Voilà, et c'est lui que tu vas baiser ce soir. Et lui, là, c'est Nadir, un collègue de travail.

- Salut Nadir.

- Bonjour.

 

Domi s'est approché, a serré la main à Nadir. Denis:

- Tiens, Domi, sors ta queue et viens prendre ma place. 

- Déjà ? Je lui ai même pas dit bonjour.

- T'inquiète ! Crois-moi, il préfère te sucer que te dire bonjour. Demande à Yann. Dès qu'il a été là, il lui a sauté au paf pour lui faire une turlute. 

 

Comme je ralentis ma fellation pour me préparer à accueillir la bite du nouveau venu, Denis me presse l'arrière de la tête:

- Continue, toi, en attendant. 

 

A ma gauche, j'entends le bruit d'un zip qu'on descend et de tissu qu'on froisse. En une fraction de seconde, Denis extrait sa queue de ma bouche, et une autre se présente à moi. Je n'ai même pas le temps de voir à quoi elle ressemble. Domi me l'a tout de suite collée contre les lèvres. J'ouvre la bouche, je la prends et je passe mes mains derrière ses cuisses. Denis:

- Tu vois ? Qu'est-ce que je te disais ! 

 

Hhhmmmm, ça, ça me plaît ! Commencer à tailler une pipe à un mec que je n'ai même pas encore vu ! Je lève les yeux sur lui. De dessous, comme ça, je ne vois pas grand chose. Il est brun, et il a sans doute une belle gueule. On verra tout à l'heure. Il ne bande pas et il m'a fourré sa queue encore calottée. J'aime bien. Un bite encore molle, le gland encore dans son prépuce, c'est un régal. La tiédeur humide de ma bouche lui fait tout de suite de l'effet, et je le sens s'allonger et grossir sur ma langue. Il remarque:

- Ben dis donc, t'es pas farouche, toi !

 

Denis confirme:

- T'as même pas idée à quel point, il est pas farouche ! Pour te dire, le jour du gangbang, sur une trentaine de types qui étaient là pour le baiser, il en connaissait … hein, chérie, t'en connaissais combien, des mecs du gangbang ?

 

Je tends la main, pouce et index levés: deux ! J'en connaissais deux: Philippe et Jean-Claude ! Et encore, pas depuis longtemps.

 

- Tu vois ? Deux ! Ça l'a pas empêché de se faire sauter par tout le monde. Y'a des moments, je suis sûr qu'il savait même pas qui c'est qu'était en train de l'enculer ! Ça y allait, à la chaîne, les uns derrière les autres !

 

Je sens son gland se décalotter peu à peu entre ma langue et mon palais. Rapidement, il est raide, Dominique. Il bande vraiment. Et j'ai l'impression qu'elle est pas mal, sa bite. Sans doute recourbée vers le haut. A tâtons, je cherche ses mains. Les voilà, posées sur ses hanches. Il retient son pantalon pour l'empêcher de tomber sur ses pieds. Je les saisis. Il hésite et se laisse faire. Je les attire sur ma tête. Denis se marre:

- Regarde-le ! Ça, tu vois, Dominique, tes mains sur sa tête, c'est un signe de soumission.

 

Ça a l'air de lui plaire, à Dominique. Il me caresse le crâne et, de lui-même, il passe une de ses mains derrière ma nuque. Encore mieux ! Tout en me serrant l'arrière du cou, il commence à bouger imperceptiblement son bassin en fléchissant les genoux. Peu à peu, son mouvement s'amplifie, il commence à aller et venir:

- Hum, c'est bon, ça !

 

Il a dit ça entre ses dents serrées. Son gland me frotte le palais et je sens, sur ma langue, la bosse de son urètre. 

 

- Tu peux lui juter dans la bouche, hein, Domi. Il aime ça.

 

C'est Denis qui commente, tout en continuant à préparer l'apéro sur la table basse derrière Dominique.

 

- Moi, je viens de lui faire !

 

C'est Yann, cette fois. Je m'aperçois qu'il s'est assis où était Denis tout à l'heure. Il poursuit:

- Pareil, il m'a sucé dès que je suis arrivé. Et je lui ai tiré une cartouche ! Dans la bouche. Et il a tout avalé, hein.

- Moi aussi, il m'a sucé tout de suite quand je suis arrivé. Mais moi, je n'ai pas … joui.

 

Nadir, cette fois. Dominique desserre son étreinte sur ma nuque et extrait doucement sa bite de ma bouche:

- Ouais, c'est très bien tout ça ! Moi, je vais attendre un peu, avant de lui tirer une cartouche. On va s'amuser un peu, avant.

 

Il remballe sa bite, referme son pantalon, et me tend la main:

- Bon, ben … bonjour quand même, Marin. Enchanté.

- Bonjour. Moi aussi, enchanté.

 

Je lui serre la main. En effet, il est pas mal, ce mec. Denis:

- Bon, on boit un coup ? Assieds-toi, Domi.

 

Dominique s'écarte et je m'aperçois que Denis a sorti le grand jeu: 

- Champagne pour tout le monde ?

 

Yann et Dominique acquiescent. Mais Nadir:

- Non, pas moi.

 

Denis:

- Ah ouais, c'est vrai. T'es musulman ? Excuse-moi, je … je pensais pas.

- Ah non, c'est pas ça, je pratique pas. Mais je supporte pas le Champagne. T'as pas un whisky ?

- Si. 

 

On commence à boire. On discute. Denis et Yann racontent notre gangbang à Nadir et Dominique. Il me font raconter mon aventure à l'hôtel avec les huit blacks. J'en profite pour parler de mes paumés de L.F. Je remarque que Dominique, assis dans le fauteuil en face de moi, reluque sans arrêt mon entrejambe. Il faut dire que, vautré comme je le suis dans ce canapé, ma jupe remontée à l'angle de mes cuisses, je ne lui cache rien de mon intimité. Quand j'avais débandé, j'avais remballé tant bien que mal ma bite dans mon micro string rose. Je crois que c'est cette tache fluo entre mes cuisses qui attire irrésistiblement son attention. Alors, je m'amuse à écarter et resserrer les cuisses en guettant ses réactions. Quand la première bouteille de Champagne est terminée, Denis se lève, et:

- Je vais commencer à m'occuper de la bouffe. Yann, il y a une autre bouteille de Champ, dans le frigo. Tu veux bien t'en occuper ?

 

Les voilà partis. Je me lève aussi et tout en rabattant comme je peux ma jupe sur mes fesses, je rejoins Denis:

- Je peux t'aider ?

- Si tu veux. Tiens, t'as qu'à mettre ces trucs-là dans ce plat.

 

Il a sorti du frigo une des boîtes du traiteur qu'il pose sur l'îlot central. J'ouvre le carton et je commence à disposer une multitude de minuscules soufflés sur le plat en faïence. Je tourne le dos au salon, où Yann a rejoint Dominique et Nadir. Alors, ce n'est qu'en voyant Denis sourire en regardant derrière moi, que je devine qu'il se passe quelque chose. Je n'ai pas le temps de me retourner pour voir de quoi il s'agit, des mains se posent sur mes hanches et un corps se plaque contre moi, me coinçant contre le meuble. Un souffle dans mon cou:

- Bouge pas !

 

Il se frotte le bas ventre contre mes fesses en me caressant les hanches, les fesses et la taille. Je tourne un peu la tête. C'est Dominique. Il a posé ses lèvres dans l'angle de mon cou et de mon épaule. Sa main droite descend le long de ma cuisse, se glisse sous ma jupe et commence à me pétrir la fesse. Il se décolle un peu de moi, et se met à m'explorer la raie. Ses doigts s'aventurent maintenant vers ma fleur, sous la ficelle de mon string. Tant bien que mal, j'écarte les jambes pour lui faciliter son exploration. Ah, voilà ! Comme Denis tout à l'heure, il a posé son doigt contre ma rondelle. Oh oui, il va me doigter ! Hhhmmmm, ça y est, il me pénètre. Je ne peux retenir un gémissement et j'écarte encore mes cuisses, mes fesses, je me cambre pour me livrer à sa pénétration. Son doigt qui va et vient en moi me fait un effet terrible. Denis me regarde en souriant, tend la main vers le carton de soufflés et vers le plat, que je tiens toujours:

- Donne-moi ça, je vais finir. Tu vois, je PENSE qu'il va t'enculer.

 

Dominique sort son doigt de mon cul. Toujours en me maintenant contre le meuble, je sens qu'il ouvre sa braguette et descend son pantalon sur ses cuisses. Puis il retrousse ma jupe, m'appuie entre les omoplates pour que je couche mon torse sur l'îlot, passe sa main droite sous mon genou droit, le soulève fermement, mais délicatement, et me le fait poser sur le plan de travail. Ah oui ! Il va me baiser là-dessus, comme les mecs, l'autre jour, sur le bar chez Jean-Claude ! Je pose ma joue sur le bois lisse et j'attends. Je le sens qui écarte la ficelle de mon string, qui guide sa queue, et il pose doucement son gland contre ma rondelle. Hhhmmmm ! J'ai l'impression qu'elle s'ouvre toute seule pour accueillir son sexe ! Et il s'enfonce en moi. Ah, putain, ça y est, j'ai une bite dans le cul ! Oh, oui, baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi !

- Oui ! Baise-moi ! BAISE-MOI, DOMINIQUE !

 

J'ai presque crié. Sa main gauche sur ma hanche, sa main droite qui maintient mon genou sur le plan de travail, il se recule et me rentre brusquement dedans. Boum !

 

En levant les yeux vers Denis, je m'aperçois qu'au lieu de finir de mettre les soufflés dans le plat, il me regarde, un petit sourire aux lèvres. 

 

Boum ! Nouveau coup de bite. Tiens, voilà Yann, une flûte de Champagne à la main, qui vient assister au spectacle.

 

Boum ! Coup de bite. Ah, putain ! Ce que j'aime ça ! Vas-y, encule-moi !

- Vas-y, Domi, ENCULE-MOI, putain ! Encule-moi ! ENCUULE-MOIIIIII !

 

Yann pouffe. Denis rigole plus franchement. Boum ! 

 

Riez, riez, je m'en fous ! Ça me plaît de me laisser aller sans pudeur et sans retenue devant vous ! Au contraire. J'aime la bite et je tiens à le faire savoir ! La main gauche accrochée au bord de l'évier, la main droite agrippée au col de cygne du robinet, j'attends le coup de queue suivant, ce sexe en érection qui se propulse violemment tout au fond de moi. Je le sens coulisser d'un seul coup dans mon anus, et ressortir en glissant lentement. Un mâle, un mâle de plus s'est accouplé avec moi, et il se donne du plaisir, et il ME donne du plaisir ! Boum !

 

Yann s'accoude sur le plan de travail, les mains croisées sous son menton, et me regarde. Ce n'est pas notre coït qui l'intéresse. C'est mes réactions. Bouche ouverte, mes yeux dans les siens, je halète sans pudeur sous l'effet du plaisir que me procure cette queue dans mon cul. Boum !

 

Nadir, à présent, à côté de Yann. Je jette un coup d'œil à Denis, pour m'assurer qu'il me regarde toujours. Ils sont maintenant trois, autour de ce meuble, qui me regardent me faire baiser. Oui, les mecs, voyez comme je me soumets à votre pote qui me baise ! Et je me soumettrai à vous aussi quand vous me baiserez ! Oui, je suis accro à la bite ! Regardez comme sa bite me rend dingue ! Vous me feriez faire n'importe quoi pour de la bite ! Boum !

 

Et voilà Yann qui approche une main de moi … de ma bouche. Poing serré, il me présente son pouce et commence à l'introduire entre mes lèvres … Boum !

 

Je referme ma bouche sur ce pouce et je commence à le sucer. Hhhmmmm, oui, ce n'est qu'un pouce, mais ça me plaît. Boum !

 

Yann joue à faire aller et venir son pouce dans ma bouche. C'est excitant et je sens que ça l'excite aussi. Boum !

 

Vas-y, Domi, maintenant, jouis ! Insémine-moi !

 

- Quelqu'un veut continuer ?

 

Ah, putain, NOOOOOON ! C'est Dominique qui demande aux autres ! Continue, Dominique. Je recrache le pouce de Yann:

- Toi, continue Dominique. BAISE-MOI !

 

Il rit:

- Non. C'est tout pour le moment. Alors, quelqu'un d'autre ? Denis ? Yann ? Nadir ?

 

La suite juste au-dessus.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 31 octobre 2016 1 31 /10 /Oct /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


C'est très bizarre. Mon gangbang géant chez Jean-Claude ne m'avait pas assouvi. Pourtant, en me faisant baiser à la chaîne par une trentaine de types en rut, j'avais réalisé un de mes plus puissants fantasmes. Mais, le soir même, sur le chemin du retour, j'avais déjà essayé de lever un inconnu sur le bord de la route, comme s'il me fallait encore de la bite, encore du foutre. Et, dès le lendemain, je m'étais remis en quête de queues. J'avais encore envie de bite, j'avais encore besoin de bite, il me fallait encore de la bite … dans mes mains, dans ma bouche, dans mon cul. Je n'étais encore pas rassasié.

 

C'est bizarre, donc, parce que, là, je viens de me taper "seulement" cinq mecs à L.F., et me voilà calmé. Pourtant, pas des flèches, les cinq mecs en question. Des paumés. Mais, à la réflexion, je pense que plusieurs choses ont contribué à m'apaiser. Déjà, contrairement à ma horde d'une trentaine de queutards, réunis spécialement pour me baiser, deux jours avant chez Jean-Claude, cette fois, quatre des cinq lascars de L.F. me sont "tombés dessus" un peu par hasard et de façon inattendue. Par ailleurs, dans cette bande de paumés, il y avait trois frères: Gégé, Jean-Louis, et Cricri - seize ans, le Cricri ! Et une bite … MIAMMM ! -. Je me suis donc fait baiser par une fratrie au complet ! Cerise sur le gâteau, deux des frangins, Jean-Louis et Cricri, ainsi que Robert, le maître de maison, c'est dans mon cul qu'ils ont répandu leur semence dans quelqu'un pour la première fois ! Trois puceaux ! Je me suis donc tapé, dans la même journée, non seulement trois frères, mais aussi trois puceaux ! Et enfin, je me suis fait prendre successivement par ces cinq types sur cette table de cuisine crasseuse, et ça, c'était … hhhmmmmmm !

 

Bref, maintenant j'attends sereinement, apaisé, que Denis me rappelle. Il a promis de le faire dans la semaine. Denis, c'est un des participants à mon gang bang géant. Après m'avoir baisé dans la cour de la ferme, il m'avait dit qu'il aimerait bien que je vienne habiter chez lui pendant quelques jours pour être à sa disposition et à celle de certains de ses potes. Décidément ! C'est exactement ce que mes paumés de L.F. m'ont demandé, habiter avec eux chez le gros Robert, faire le ménage et la bouffe, et me faire troncher par eux cinq quand ils en auraient envie. En somme, être leur "petite femme" à tous, comme a dit Gégé ! Oh, l'idée ne me déplairait pas. Vivre avec cinq, six ou sept mecs, et être leur "petite femme", ou plutôt être leur femelle, être à leur disposition pour me faire saillir et inséminer chaque fois que ça démangerait l'un d'entre eux. C'est-à-dire, de mon point de vue, au minimum une fois par jour … Mais, même si j'ai apprécié l'ambiance "famille tuyau de poêle" de cette journée chez Robert, je ne suis pas du tout tenté de vivre plus longtemps avec ces cinq paumés-là. Y aller de temps en temps pour qu'ils m'en mettent un coup, je dis pas. Mais pas plus. Avec Denis, c'est pareil, on verra. Je fais un essai et je déciderai après si je prolonge ou si je renouvelle l'expérience. 

 

Jeudi 5 octobre. 20 heures.

Téléphone.

- Oui ?

- Salut, c'est Denis.

- Ah ! Salut ! Alors ?

- Alors, tu vois, je t'avais dit que je t'appellerai.

- Oui, c'est bien. 

- Oui, mais je peux pas te recevoir avant vendredi de la semaine prochaine. On sera … le 14. 

- Ah bon ?

- Ouais. Jusque là, je serai en province pour le boulot. C'était pas prévu. Je remplace un collègue qui a eu un accident.

- Ah bon. 

- Mais par contre, pour me dédommager, mon patron me donne le lundi et le mardi qui suivront. Et comme ça, si tu restes à la maison, on aura du vendredi soir au mardi.

- Ah OK.

- Et, autre bonne nouvelle, on aura des invités. Je t'avais dit que j'en trouverais.

- Oui. Et c'est qui ?

- Tu te rappelles de Yann ?

- Yann ? Non.

- Hé, mec, il t'a baisé pas plus tard que samedi dernier ! Il était chez Jean-Claude.

- Ah bon ? Je vois pas.

- Bon, enfin, tu verras, vendredi. Et il y aura aussi Nadir, un collègue à moi … c'est un beur, ça te gêne pas ?

- Ben non, pas du tout. Chez Jean-Claude, il y en avait un aussi. Black, blanc, beur, je prends tout le monde.

- Bon, OK. Et j'ai aussi invité Domi. C'est un voisin de mon immeuble. On sera quatre. Ça te va ?

- Ben oui. Tu peux même en inviter d'autres, si tu veux.

- Je vais pas avoir trop le temps de chercher, mais je verrai. Et puis, c'est pas grand, chez moi. Autre chose … ça serait possible, qu'on aille en ville, je sais pas, par exemple le vendredi soir, ou le samedi soir ?

- En ville ?

- Ouais, faire un tour dans un troquet que je connais. Jeannot, le patron, c'est un pote. On pourrait aller y boire un verre … 

 

Aller boire un verre dans un troquet ? Je ne vois pas l'intérêt. Mais bon, puisque je vais chez lui, en principe pour quatre jours, c'est sûr qu'on ne va pas baiser en permanence. Il faudra des intermèdes, sortir, prendre l'air, faire des courses … Et puis, ça peut être amusant de me balader en trav en ville. Je ne l'ai jamais fait et ça me tente. Il insiste:

- Alors ? Ça te dirait ?

- Pourquoi pas.

- Super ! Bon, je t'appelle jeudi soir ou vendredi dans la journée pour te dire où c'est chez moi.

- J'attends ton appel.

- Salut.

- Salut.

 

Ça a l'air de drôlement l'exciter, cette idée d'aller boire un verre en ville. Comme si … je sais pas … comme si il y avait autre chose, derrière ce projet. On verra bien. 

 

Samedi 7 octobre, 10 heures.

 

Téléphone:

- Allo ?

- Oui, bonjour. Euh, c'est Marin ?

- Oui. Bonjour. 

- Marin … le … celui qui était à la ferme chez ... chez Jean-Claude samedi dernier ?

- Euh, oui. Tu es qui ?

- Ah, bon. J'étais pas sûr. Moi, c'est Nicolas.

- Nicolas ?

- Ben ouais. Tu te souviens pas de moi ?

- Euh, comme ça, non. Vous étiez pas loin de trente, chez Jean-Claude. Dis m'en plus. Tu es comment ? Tu m'as fait quoi, samedi dernier ?

- Ben, déjà, je t'ai enculé … tu sais, sur la table où y'avait les apéros …

- Oui, mais ça, vous êtes plusieurs à m'avoir fait ça, et dans la position où j'étais, je ne voyais pas qui était en train de m'enculer …

- Ouais, t'as raison. Alors, après, tu m'as sucé sous la table, pendant qu'on mangeait. 

- Ça aussi, je l'ai fait à plusieurs …

- Oui, mais moi, tu m'as aussi léché le cul et … tu m'as … tu m'as mis un doigt … 

- Ah, OK. Ça, je me souviens. Et après, tu m'avais fourré ton orteil dans le cul, pendant que je suçais le mec en face de toi.

- Voilà !

- Ça me revient. Tu as une grosse paire de couilles … C'est ça ?

- Ou… oui, c'est ça.

 

Yess ! Alors lui, LUI, il a des couilles énormes ! Et des éjacs en proportion. Il m'en avait foutu une de ces doses dans la gorge, sous cette table ! Et il avait recommencé sur la scène, dans l'après-midi ! C'est "grosses couilles" ! Et si il m'appelle, c'est pour tirer un coup. Alors lui, OUI ! Trois fois OUI !

- Bon. Et tu veux quoi ?

 

Je me doute de ce qu'il veut.

- Ben … j'aurais bien voulu que … tu sais, Philippe nous a donné ton téléphone, alors je me suis dit que … tu serais peut-être d'accord pour … si tu veux aussi, hein …

- T'as envie de me baiser !

- Je … ou… oui. Enfin, je …

- Ecoute … Nicolas. Si j'ai dit à Philippe de vous donner mes coordonnées, c'est pas pour que vous m'envoyiez une carte postale. C'est pour que vous m'appeliez quand vous avez envie de tirer un coup.

- Ah bon. Je … j'étais pas sûr. 

- Ben si, c'est ça, forcément. Alors, t'as envie de tirer un coup ? Tu veux me baiser ?

- Je …je préférerais … si tu voulais bien me sucer …

 

Moi, c'est plutôt d'un coup dans le cul que j'ai envie. Il me dit qu'il m'a baisé sur le bar, mais ils se sont succédé à je ne sais combien, sur ce bar, et je ne me suis pas rendu compte quand c'est lui qui m'a fourré. Et d'ailleurs, est-ce qu'il m'a inséminé, à ce moment-là ? Parce que, après, à chaque fois, sous la table et sur la scène, il m'en a craché des sacrés doses ! A mon avis, c'est pas possible qu'il ait tiré un coup trois fois ce jour là. Il faut que je sache, alors j'élude sa remarque:

- Dis-moi exactement, Nicolas. Chez Jean-Claude, tu m'as VRAIMENT baisé, sur le bar ?

- Ben ouais.

- Tu m'as enculé, mais est-ce que tu as joui ?

- Ben … ouais.

 

Il a hésité. J'insiste:

- Alors, tu as tiré ton coup trois fois dans la journée …

- Ben …

- Tu m'as juté dans la bouche sous la table, et après, sur la scène. Et avant, tu m'avais déjà tiré une cartouche ?

- …

- Tu n'as pas joui, quand tu m'as enculé sur le bar …

- Non. Je t'ai seulement …

- Ouais, tu m'as ramoné, mais c'est tout.

- Oui. Je … je m'excuse … Alors, tu vas pas vouloir …

- Attends, attends ! T'excuse pas, hein. C'est pas un problème. Ça m'étonnait, c'est tout. Si tu as besoin de tirer un coup, tu vas tirer un coup. 

- Ah bon. Alors, tu veux bien ?

- Oui, bien sûr. Mais ce qu'il y a, c'est que, cette fois, j'aimerais bien que tu me fécondes le cul. Je veux bien te tailler une pipe, mais j'ai surtout envie que tu me tires une cartouche dans le cul.

- Ah ben oui, mais … je préfère …

- Tu peux pas faire les deux ?

- Je … je sais pas … Je crois qu'on aura pas le temps.

- Ah ! Explique !

- C'est parce que y'a ma femme.

- Tu es marié ?

- Oui.

- Et alors ?

- Alors, faudrait que tu viennes quand elle est pas là. Tu pourrais venir quand ?

- Quand tu veux. C'est où ?

- A C.

 

A C ? C'est bon, c'est à vingt kilomètres de chez moi: 

- Ouais, c'est pas loin. Tu veux que je vienne quand ?

- Cet après-midi ? Elle travaille, ma femme. Tu pourrais venir à deux heures ?

- OK. Dis-moi où exactement.

 

Il m'explique. C'est une cité. Je vois où elle est. J'y suis déjà allé pour une brocante de quartier, il me semble. Apparemment, il a seulement envie de se faire tailler une pipe. Aujourd'hui, on va faire ça. Un type équipé de l'entrejambe comme lui, vaut mieux pas le contrarier. Mais, tôt ou tard, il faudra bien qu'il m'en mette une dose dans le cul. 

 

- On fera ça chez toi ?

- Ben oui.

- OK.

- Et … tu viendras avec une tenue comme chez Jean-Claude ?

- Si tu veux.

- Bon, ben ... à tout à l'heure.

- A tout à l'heure.

 

A tout hasard, je me prépare quand même pour une sodomie. On ne sait jamais, il changera peut-être d'avis. Et je me mets en tenue.

 

14 heures.

Il fait beau mais frais. J'arrive pile poil à l'heure dans la cité. C'est des HLM assez récents, un peu en dehors de la ville. Il m'a indiqué l'immeuble et la porte. Je roule doucement, il y a pas mal de monde dehors: des gamins courent sur les pelouses, des ados font des figures en VTT dans les allées, et … des jeunes d'une vingtaine d'années fument, assis sur les marches devant le hall de l'immeuble de "grosses couilles". Oh oh ! Il va falloir passer devant eux. Pas discret, comme arrivée. Je vais peut-être l'appeler pour lui demander ce que je fais. Je repère une place de parking vide, presque en face de l'entrée de son immeuble, je me gare et je l'appelle sur son portable. Les jeunes me regardent, intrigués. Ça sonne … longuement. Qu'est-ce qu'il fout ? Merde, répondeur. Au moment où je coupe la communication, je le vois qui déboule de son hall. Il se dirige droit sur moi. Je lui ouvre la portière côté passager, et il monte:

- Putain ! Faut qu'on aille ailleurs, ma femme est rentrée. Elle est malade, soit disant. C'est pour ça que je t'ai guetté par la fenêtre. Vas-y, démarre !

- Tu lui as dit quoi ?

- Pour quoi ?

- Pour te barrer.

- Je lui ai dit qu'un pote venait me chercher pour une histoire de bagnole, de panne, de mécano …

 

Je démarre et je m'éloigne. J'espère que sa femme n'a pas regardé par la fenêtre, elle aussi. Parce que, depuis les étages, on devait avoir une vue plongeante sur l'intérieur de ma voiture et sur mes cuisses ! Nous sortons de la cité. 

- Elle t'a cru, ta femme ?

- Je m'en fous. J'ai même failli lui dire que j'allais me faire tailler une pipe par un trav.

- Ah bon ? Et pourquoi tu lui as pas dit ?

- On va sûrement divorcer. Je veux pas qu'elle puisse se servir de ça.

- Ça changerait quoi ?

- C'est pour les gosses. Elle leur dirait, cette salope. Je veux pas qu'ils le sachent.

- Tu as des gosses ?

- Ouais. Deux avec elle, et un avec une autre. Allez, euh … parlons pas de ça !

 

Je m'aperçois qu'il me reluque l'entrejambe depuis qu'on a redémarré. Il faut dire que ma jupe est remontée à l'angle de mes cuisse et dévoile mon mini string. Je tends la main et je la pose sur son bas ventre:

- Sors ta queue.

 

Il hésite pendant une seconde ou deux en regardant autour de nous, puis il se décide. Il détend sa ceinture de sécurité, il ouvre sa braguette et déballe sa bite. Il bande déjà un peu. Je prends son gland entre mes doigts et je commence à le lui pétrir. Lui me pose sa main sur la cuisse. Instinctivement, je me suis tout de suite dirigé vers la sortie de la ville. Je roule doucement. Nous longeons d'abord une autre cité, puis nous traversons une zone pavillonnaire. Oh putain, j'adore ça ! Circuler en voiture en tripotant la queue d'un mec assis à côté de moi. J'en ai fait des balades en voiture, seul, la bite à l'air, en rêvant que j'avais un passager complaisant. Ça y est, il bande ! Je jette constamment des coups d'œil sur sa queue, raide, dressée à la verticale. Son gland commence à dépasser de son prépuce. Tout à l'heure, je vais le sucer, son gland, et il va me cracher une bonne dose de sperme chaud dans la bouche ! Ses couilles sont toujours cachées dans son pantalon. Il aventure ses doigts sur mon string. Moi aussi, je bande ! Et ma bite commence à être à l'étroit dans ce truc minuscule. 

- Sors ma bite de mon string !

 

Il comprend tout de suite, et il glisse ses doigts sous ma jupe à la recherche de la ceinture de mon string. Voilà, il la passe sous mes couilles et se met à me tripoter le gland à son tour. Il faut que nous échangions nos places ! Il faut qu'il conduise pendant que je m'occuperais de sa queue. Si nous continuons comme ça, je vais jouir avant de lui avoir taillé sa pipe. Nous sommes maintenant dans la campagne. Je repère au loin l'amorce d'un chemin de terre entre deux champs. C'est là qu'il faut que je m'arrête:

- On va changer de place. Je m'arrête sur ce chemin, tu prends le volant et je vais m'occuper de ta queue pendant que tu conduis.

- Y'a du monde.

 

Ça a l'air de l'embêter de s'arrêter là. Oui, ça circule pas mal. Dans les deux sens. D'ailleurs, comme je roule lentement, on s'est fait dépasser par plein de gens pressés et énervés. Ça ne fait rien, moi aussi, j'ai une urgence. Clignotant. Je ralentis et je m'arrête sur l'entrée du chemin. Je détache ma ceinture et je regarde dans le rétroviseur. Il hésite. Je le presse:

- Magne-toi ! On en profite, il n'y a personne derrière.

 

Personne … c'est beaucoup dire. Les cinq ou six voitures qui nous suivaient ont profité que je me garais pour nous dépasser, et à quelques centaines de mètres, une autre file arrive. Il détache aussi sa ceinture et nous ouvrons en même temps nos portières. Nous manquons de nous télescoper en nous croisant devant le capot. Coup de Klaxon d'une voiture roulant en sens inverse. Quelqu'un a dû repérer mon cul dans ma minijupe ou Nicolas qui retient d'une main son pantalon. Nous remontons en voiture et nous nous asseyons. Il soulève son bassin et descend son pantalon sur ses cuisses. Yessss ! Il boucle sa ceinture. Je boucle aussi la mienne, mais uniquement la sangle ventrale, et je passe la sangle transversale derrière moi. Il profite du passage à notre hauteur de la file de voitures qui nous dépassent pour régler les rétroviseurs. Il met le clignotant, passe la vitesse et me regarde. Je me tourne vers lui et je prends sa queue dans la main:

- Vas-y, roule ! Je vais te sucer pendant que tu conduis.

- Si tu veux. Mais tu peux commencer en me branlant.

 

Il démarre. Hhhhmmmm, dans un moment, je vais me pencher sur son ventre et prendre son sexe dans ma bouche ! Il a à peine débandé, et ma caresse ne tarde pas à lui redonner toute sa vigueur. Je lui pétris le gland à travers son prépuce. Je me tourne complètement vers lui et, tout en le tripotant de la main gauche, de la droite, je remonte ses couilles coincées entre ses cuisses. Ah quelle paire, il a, ce mec ! Et ce n'est pas sa bonne femme, ni son ex, qui vont en profiter, de sa grosse paire de couilles et de son contenu, c'est moi ! Ce mec m'a choisi pour se faire sucer, plutôt qu'une femelle ! Savoir qu'il a une femme, et une ex, et que c'est à moi qu'il a demandé de lui vider les couilles, ça me rend … fier, d'une certaine manière. Mais, en plus, il a trois mômes ! Ce mec a déjà engrossé deux bonnes femmes avec cet appareil génital, que j'ai là, dans mes mains, et que je vais faire fonctionner tout à l'heure, ça me … ça ajoute une excitation supplémentaire. C'est un vrai mâle qui me confie sa queue et ses couilles ! Un mâle qui a fait ses preuves en tant que reproducteur, en tant qu'étalon. J'ai toujours considéré que ce que les mâles déchargent en moi au moment de l'orgasme, n'est pas uniquement la concrétisation de leur jouissance. Pour moi, c'est aussi la liqueur reproductrice, fécondante, indispensable à la perpétuation de l'espèce. Alors, ce que ce mec va répandre dans ma gorge tout à l'heure ce n'est pas que de la jute, que du foutre. C'est vraiment de la semence !

 

Dans la position où je suis, si l'automobiliste qui nous suit est un peu attentif, il doit bien voir que je ne suis pas vraiment à ma place, mais que j'ai le torse pratiquement entre les deux sièges. Il doit bien se douter de ce qui se passe. Je m'en fous. Tant mieux, même ! Je jette un coup d'œil derrière. Dans la voiture qui nous suit, c'est un homme qui conduit, la cinquantaine grisonnante. J'ai l'impression que c'est moi qu'il regarde. Et oui, mec, tel que tu me vois, je suis en train de tripoter la bite de Nicolas ! Il nous colle au cul. Il faut dire que Nicolas roule encore moins vite que moi. Il abuse, même: on est à 60 sur une ligne droite en pleine campagne ! Je me concentre sur cette queue que je tripote maintenant de la main droite. Soudain, le type derrière nous nous dépasse rageusement en klaxonnant et en faisant force gestes énervés. Je connais bien cette route où je venais régulièrement traîner au cours de mes balades de branlette au volant. Il y a un moment que je ne l'ai pas prise. Il faut dire que je suis passé à autre chose ! Mais ça me plaît bien d'y revenir avec une bite à m'occuper. Là, on va vers L/O.

 

Je pourrais rouler des heures comme ça, simplement en tripotant le conducteur. Et évidemment, en le suçant, de temps en temps. La voiture a un effet aphrodisiaque sur moi. Et là, c'est d'autant plus excitant que nous ne sommes pas seuls sur cette route. Derrière nous, il y a en permanence une file de voitures et de fourgonnettes qui attendent de pouvoir nous dépasser. Quand enfin ils y arrivent, les conducteurs nous regardent, à la fois énervés par notre lenteur et intrigués de me voir presque collé à mon chauffeur. Dans le fond, c'est très bien qu'il conduise aussi lentement, Nicolas. Habituellement, je n'aime pas trop faire chier le monde sur la route, mais là, ralentir ces automobilistes et les retenir derrière nous parce que je suis en train de tripoter ce mec, ça me plaît. Lui aussi, ça a l'air de l'amuser. Il pose sa main sur la mienne et accompagne ma caresse. A l'extrémité de son méat, perle une goutte d'excitation. Je pose mon pouce dessus et je l'étire en un long fil visqueux. Alors, c'est plus fort que moi, je recule mon cul au maximum le long de ma portière et je me penche sur son ventre. L'automobiliste derrière moi va obligatoirement me voir ! Nicolas soulève son bras pour me laisser la place. Hhhmmmm, je donne un coup de langue sur le bout de son gland, et je le prends dans ma bouche. Oh la la ! Il a une bite plutôt quelconque, mais prendre ça dans ma bouche pendant qu'on roule sur cette route de campagne, c'est … 

 

Soudain, série de coups de klaxon. Au son, je devine que celui qui corne comme ça est en train de nous dépasser. Contre mon oreille, je sens le ventre de Nicolas se secouer. Il se marre:

- Exactement, mec ! Il est en train de me faire une turlute !

 

Ça ne s'adresse pas à moi, mais à celui qui nous double. Il poursuit, cette fois à mon intention:

- Il a dû te voir te pencher pour me sucer, il m'a fait le geste de tailler une pipe !

 

Je le sors de ma bouche et je me redresse. C'est un gros 4X4 qui vient de nous dépasser, et dans son rétro, je vois les yeux du conducteur. Il nous regarde en s'éloignant. Une autre voiture nous dépasse, un break crasseux. Le type nous fusille du regard. Je continue de pétrir la queue de Nicolas. Nous approchons de L. Je connais bien, L. J'y passais souvent au cours de mes balades masturbatoires. C'est assez étendu et la rue principale est étroite, en sens unique et très commerçante, et j'adorais passer là au ralenti, la bite à l'air, à deux pas des badauds. Alors, je dis à Nicolas: 

- Tu vas passer par L.

- Euh, non, je vais plus loin.

- Si ! Tu vas passer par L. Tu vas entrer en ville et prendre la Grande Rue. Après, on ira plus loin si tu veux. Tu sais par où passer, pour prendre la Grande Rue ?

- Ouais, je connais.

 

Il me regarde, surpris. Je lâche sa bite et, en me tortillant sur mon siège, j'ôte mon string. J'allais le fourrer dans le vide-poches, mais je me ravise et je l'accroche au rétroviseur du pare-brise.

- T'es con !

 

Il se marre. Je recommence à le masturber doucement.

 

- Qu'est-ce tu veux faire, dans L. ?

- D'après toi !

- Quoi ! Tu veux me … me sucer en … en passant dans … dans la Grande Rue ?

- Oui. Ça te fait peur ?

 

Il réfléchit. Oui, ça doit lui faire un peu peur, mais ça doit quand même le tenter. Il secoue la tête en souriant. Je devine ses pensées: « Ce mec est dingue. Putain, ce mec me fais faire de ces trucs ! Ça me fait quand même vachement envie ! ». Nous abordons le faubourg de L. et sa zone commerciale. Et là, sans un mot, Nicolas tend le bras, me prend par la nuque, et appuie pour que je me penche sur son ventre. 

 

Yesssss ! Je le prends dans la bouche. Hhhhmmmm, je vais le sucer pendant qu'on traverse la ville ! Je suis passé ici tellement souvent, que je connais par cœur la configuration des lieux, et, même sans voir le paysage, je devine où nous sommes. Là, nous passons devant l'entrée du supermarché avec sa station-service. Maintenant, l'entrée de l'ancienne usine, puis large virage à gauche avant un autre à droite, pour aborder le pont au-dessus du canal (c'est à quelques kilomètres sur ce canal que j'ai rencontré Philippe !). Nicolas descend sa vitre et j'entends maintenant les bruits extérieurs: moteurs de voitures, freins qui grincent, souffle pneumatique d'un poids lourd … Nous sommes dans la descente qui conduit au rond-point de la mairie. Oh putain, cette fois, je le suce en plein ville ! Combien de fois je suis passé ici, la bite à la main ! Mais aujourd'hui, ce n'est pas à ma bite que je fais du bien avec ma main, c'est à celle de ce mec, et avec ma langue et mes lèvres ! Il doit y avoir du monde au rond-point un peu plus bas: il laisse la voiture descendre toute seule, avancer d'une place, il freine, avance de nouveau, freine … C'est toujours le bordel à ce carrefour. Tant mieux, comme ça, ça dure plus longtemps. Il pose sa main libre sur ma nuque. Dans un instant, nous allons passer le rond-point et nous engager dans la Grande Rue ! Oh, putain, ça m'excite et je bande !

 

Voilà ! Ça y est, je sens qu'on tourne et qu'on aborde la Grande Rue. Le fond sonore change, sans doute à cause de la proximité des façades d'immeubles et de commerces qui réverbèrent les sons dans cette rue étroite, qui n'a de "grande" que le nom. Et il y a d'autres bruits: des voix, des exclamations, un rire, le grincement des roues d'un vélo ou d'une poussette, le son mat de quelque chose qui vient de tomber au sol, des pas … J'adore ça ! Tailler une pipe à ce mec au milieu de toute cette vie. S'il y a des gens sur les trottoirs – et il y en a, je les devine, je les entends -, il leur suffit de jeter un coup d'œil dans la voiture pour me voir, penché sur le bas ventre du conducteur, en train de lui sucer la bite ! Et ils verront aussi ma queue qui bande, et qui dépasse du bas de ma jupe !

 

- Oh, putain !

 

Nicolas a freiné brusquement.

 

- Remonte, y'a les flics !

 

En une fraction de seconde, je dois décider si je continue de le sucer malgré la présence de flics – j'en ai une furieuse envie – ou si j'arrête. Là, quand même, le risque est fort. Je me redresse et je rabats vite fait ma minijupe sur ma queue. En effet, une camionnette blanche est arrêtée au milieu de la rue, feux de détresse allumés. Visiblement, c'est quelqu'un qui fait une livraison au café-tabac. Et comme il bloque la circulation (impossible de le doubler dans cette rue étroite), deux policiers à scooters sur le trottoir sont en train de l'emmerder. Ouais, il y a des flics, mais entre eux et nous, il y a cette camionnette et une autre voiture. Et ils ont d'autres chats à fouetter, les flics. Ça discute ferme. Nicolas a plus ou moins remonté son pantalon sur ses cuisses. Des gens s'attroupent pour assister à l'engueulade entre le livreur et les flics. A notre droite, une femme avec une poussette nous dépasse, à notre gauche, c'est deux vieux bonshommes, puis un ado. Dans le rétro latéral, je vois que, derrière nous, il y a plusieurs autres voitures. Personne ne fait attention à nous, alors, je tends la main et je me remets à tripoter la queue de Nicolas. Ça a l'air de lui plaire, et lui-même pose la main sur le haut de ma cuisse, et remonte insensiblement le bas da ma jupette. 

 

Enfin, le livreur grimpe dans sa camionnette et démarre. La voiture qui nous précède le suit, et Nicolas passe la première. Nous passons lentement à côté des deux flics, moi, toujours avec la queue de mon chauffeur à la main. Nous parcourons quelques mètres, et Nicolas, de nouveau, m'appuie sur la nuque pour que je retourne à sa bite. Il aime ça, le bougre, de se faire sucer en ville ! Je ne me fais pas prier, mais avant de replonger sur son ventre, je jette un coup d'œil derrière nous. Les flics sont en train de remonter sur leurs scooters. Je me penche et je le reprends. Hhmmmm, ce que c'est bon de le sucer ici ! Il laisse sa main sur ma nuque et me caresse. J'adore ça ! Par ce geste, non seulement il affirme sa domination, mais il manifeste aussi sa satisfaction: «Tu es une bonne fille. Tu suces bien. ». Ça me plairait bien de le faire jouir maintenant ! J'accentue ma fellation. J'ai envie qu'il m'éjacule dans la bouche pendant qu'on est en ville. Soudain, je le sens donner un léger coup de volant, et, par sa vitre ouverte, j'entends le ronronnement des scooters qui nous dépassent. 

 

- Y'a pas de quoi, les mecs !

 

Je comprends qu'il lance ça pour les flics. Il a dû se serrer un peu à droite pour les laisser nous dépasser et ils ont dû le remercier d'un geste de la main. Il se marre. Dans cette rue étroite, ils sont sûrement passés vraiment très près de nous, mais concentrés sur leur conduite périlleuse entre la voiture et les bordures de trottoir, ils n'ont pas pris le temps de regarder dans notre habitacle. J'ai l'impression que ça lui a plu, à Nicolas. Il sifflote entre ses dents, content de son coup. Mais il passe sa main sous mon menton et me repousse:

- Vas-y doucement, mec ! T'excite pas trop ! Remonte un peu.

 

Merde ! Pas grave. Quand je me redresse, je vois que nous sommes arrivés à la petite place au bout de la Grande Rue. Devant nous, les deux flics tournent à gauche. Nous nous retrouvons à l'entrée de L., en face du supermarché où nous sommes passés tout à l'heure. Il laisse passer quelques voitures, puis il s'engage en direction de la campagne. Je le tripote machinalement. Il se tourne vers moi:

- Dis donc, c'était chaud ! Les flics, je les ai vus arriver dans mon rétro, mais c'était trop tard pour te faire relever. Là, c'est sûr, ils t'auraient vu !

- Ça t'a plu ?

- Oh putain, oui ! Et toi ?

- Moi aussi. J'aurais bien voulu te faire jouir là, en ville. On va où ?

- Sur un endroit que je connais. C'est pas loin et c'est tranquille, tu verras.

 

Notre excitation à tous les deux s'est un peu calmée. C'est aussi très agréable, de rouler comme ça, tranquilles, moi avec sa bite entre les doigts. Il a pris une petite route que je ne connais pas.

 

- C'est là-bas.

 

Où ça ? De chaque côté de la route, des champs à perte de vue, dégarnis de leurs récoltes, pour la plupart. Ici, il ne reste que des betteraves ! Pas le moindre bosquet. Il compte peut-être s'engager dans un chemin de terre, mais pour aller où ? Il n'y a rien ! Ah tiens, un panneau "aire de pique-nique à 500 mètres". Qu'est-ce qu'une aire de pique nique fout au milieu de ce désert céréalier ? Et puis, arrivés au sommet d'une côte, je découvre, derrière, un bois assez vaste. Apparemment, c'est par là, parce qu'en arrivant à l'orée de ce bois, Nicolas met le clignotant. Il s'engage dans un chemin sous les arbres et nous débouchons immédiatement sur une aire de stationnement. En effet, c'est une aire de pique-nique avec table et poubelle. Il y a aussi les premiers agrès d'un parcours de santé, ainsi qu'un tas d'énormes troncs qui doivent attendre d'être enlevés. Nicolas se gare le long du tas de bois. Hhhhmmm, cette fois, il va me la tirer, sa cartouche !  Je me tourne vers lui:

- On fait ça ici ?

- Ouais.

- Dans la voiture ?

- Bouge pas.

 

Il ouvre sa portière et descend en retenant d'une main son pantalon. La bite raide, il contourne la voiture et s'approche de ma portière. Je l'ouvre, je me tourne vers lui et je pose les pieds par terre. Le voilà devant moi, entre mes jambes. Il soulève le bas de son T-shirt. Je saisis sa queue et je la prends directement dans ma bouche. Hhhmmmm ! Tout en tenant son T-shirt de la main gauche, il passe la droite sous mon menton, puis il l'approche de ma bouche. Du bout de ses doigts, il veut sentir son sexe qui va et vient entre mes lèvres. J'aime ça ! De ma main libre, je saisis ma queue et je commence à me masturber. Ça va très très vite, pour lui ! Il se met à haleter et je sens un premier spasme de sa verge sur ma langue. Ça y est, il va jouir ! Je vais recevoir un premier jet de sperme dans la gorge ! Je ne peux retenir un gémissement.

 

Et j'entends le bruit d'un moteur derrière moi ! Une voiture entre au ralenti sur cette aire de stationnement. Nicolas:

- Oh merde !

 

Et aussitôt, je l'entends aspirer l'air bruyamment par la bouche. C'est trop tard, il est submergé par la jouissance. Et dans un souffle:

- Ça fait rien, continue !

 

Sssschlaaaak !!! Je reçois un énorme jet de semence brûlante sur la langue. Ah oui, vas-y, jouis ! Inonde-moi la gorge ! Je me masturbe de plus en plus vigoureusement. Ses doigts toujours autour de sa verge et contre mes lèvres, il halète de plus en plus fort. Bruit de portière qu'on claque. Deuxième jet de sperme. J'avale. Ah putain, un mâle est encore en train de décharger dans ma bouche ! Je m'active fiévreusement sur ce sexe. Etre en train de me faire souiller la bouche de sperme en présence de cet intrus ajoute à mon excitation. Deuxième bruit de portière, et:

- Bonjour !

 

C'était une voix d'homme. 

- Bonjour !

 

Une voix de femme, maintenant. Troisième jet de sperme. J'avale encore. Ils me voient? Sans doute, au son de leurs voix, ils ne doivent être qu'à cinq ou six mètres. Ils voient ce que je fais ? Sans doute aussi, Nicolas a laissé sa portière ouverte. Vous pouvez venir voir ! Approchez, approchez ! Regardez comme je vide les couilles de ce mec !

- Bon … bonjour.

 

Nicolas, le ventre secoué de contractions incontrôlables, s'est efforcé de leur répondre. Quatrième jet de sperme. Derrière moi, j'entends leurs pas s'éloigner et leurs voix résonner discrètement. Ils commentent ce qu'ils viennent de voir ? Cinquième jet ! 

 

Et on dirait que c'est tout ! Hhhmmmm, une fois encore, il m'a mis la dose, l'ami Nicolas ! Il souffle par la bouche, tel un coureur de fond, puis:

- Ah putain ! Ah putain !

 

Il laisse retomber son T-shirt et, sa queue toujours dans ma bouche, il me caresse la tête à deux mains, et les joues, et la nuque, et le menton, et …

- Ah putain ! Tu suces comme … comme une … comme une vraie salope !

 

Il a cherché le terme le plus approprié, et le seul qui lui a paru convenir, c'est ça: "une vraie salope" ! Et je sais que pour lui, c'est le plus beau compliment qu'il ait trouvé. Et ça me va. Oui, je suis une vraie salope, une grosse salope, une salope à mecs ! Sa réflexion à la fois reconnaissante et admirative … sa queue encore dans ma bouche … sa queue toute chaude et qui ne ramollit pas …. ses couilles, ses grosses couilles contre mon menton … son sperme, que je sens encore dans ma gorge et dans mon œsophage … oh, putain, j'ai encore fait jouir un mec, j'ai encore fait jaillir sa semence à un mâle, et elle est maintenant au fond de mon estomac ! Alors, mon excitation est à son comble et c'est à mon tour de jouir. En gémissant, en couinant, je prends mon pied. Mon sperme s'écoule en "splatchs" visqueux sur le bas de caisse de la voiture.

 

A bout de souffle, je suis rapidement obligé de sortir sa queue de ma bouche. Le front appuyé contre son ventre, je reprends lentement ma respiration. Il me caresse la tête. J'ai cette grosse paire dans la main et sous mon menton, cette bite qui dégonfle peu à peu. Je la soulève et je pose des baisers sur ses couilles:

- Mfff ! Mfff ! Merci ! Mfff ! Mfff ! Mfff ! Merci ! Merci ! Mfff ! Mfff ! Merci !

 

Il se marre:

- C'est toi qui me remercie ?

- Oui. Pour moi, c'est du bonheur, que tu m'aies vidé tes couilles dans la bouche. Je les aime, tes couilles.

- Ben dis donc, elles ne m'ont jamais dit ça, mes bonnes femmes !

- Moi, tes couilles, tu pourras les vider dans moi chaque fois que tu voudras.

- Ah bon ? Ben ... d'accord.

- Mais il faudra que tu me les vides aussi dans le cul.

- Ou ... oui, OK.

 

Je me mets à lui lécher la verge, mais quand je m'apprête à reprendre son gland dans la bouche, il m'arrête en repoussant ma tête:

- Ouh la ! Non, pas ça ! C'est trop … sensible, maintenant.

 

Je me redresse:

- Au fait, c'était qui, tout à l'heure ?

- Ah oui. C'était un couple.

- Ils m'ont vu ?

- Oh oui. Ils ne pouvaient pas te louper.

- Ils ont réagi comment ?

- Ils ont souri, c'est tout. Bon. On y va ?

- Tu veux pas qu'on reste ? Peut-être, tout à l'heure, tu pourras me baiser.

- Ah ! Je vais pas avoir le temps, aujourd'hui.

- Ah bon !

 

Il ne faut pas que j'insiste, que je le harcèle:

- Tu m'appelleras quand tu seras décidé ?

- Pas de problème. 

- Bon. Allons-y. Je conduis.

 

Il s'écarte en remontant son pantalon. Je contourne la voiture et je m'installe au volant. Il s'assoit à son tour et, du doigt, il agite mon string, toujours accroché au rétroviseur:

- Tu ne remets pas ça ?

- Non.

 

Il sourit. Nous quittons l'aire de stationnement, puis le bois et nous reprenons la route de C. Il y a un moment de silence un peu gêné, puis c'est lui qui tend la main et qui la pose sur ma cuisse:

- T'es vraiment bonne, tu sais … Je m'excuse de te le dire comme ça, mais je sais pas comment te le dire autrement. Je vais pas te dire "t'es vraiment bon", hein …

- Non, non. Ça me va, "t'es vraiment bonne".

- Mes bonnes femmes, y'en a pas une qui m'a sucé comme toi.

- Ben, je suis content. Aucune des deux ne t'a jamais sucé comme ça ?

- Pas seulement les mères de mes gosses. Les autres aussi.

- T'en as eu beaucoup, des autres ?

- Beaucoup … non. Je sais pas … sept … huit … j'ai jamais compté. Ouais, ça doit être ça, sept ou huit. La plupart, elles aiment pas sucer, alors pour elles, c'est la corvée. Toi, t'aimes ça. T'aimes vraiment ça, ça se sent !

 

Pfiouuuuu ! Il me donne chaud tout partout, ce mec ! 

 

Quand nous arrivons dans sa cité, les jeunes sont toujours sur les marches à fumer et à siroter des canettes. En les voyant, Nicolas me dit:

- Te gare pas. Arrête toi un peu plus loin. 


Je m'arrête dix mètres plus loin. Il explique:

Les mômes, ils ont pas besoin de venir te reluquer. Surtout avec ton étendard accroché au rétro !

 

Mon étendard, c'est mon string. Je le décroche:

- Tu le veux ?

- Ah ... ouais ! Pourquoi pas ...

 

Il le fourre dans sa poche, me tend la main, me la serre, et, en descendant:

- Bon, à plus. Je t'appelle, t'inquiète pas.

 

Mouais ! Il descend et je prends le chemin du retour.

 

J'ai encore le goût de sa crème dans la bouche.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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