Lundi 23 mars 2015 1 23 /03 /Mars /2015 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Cette dernière expérience, avec Philippe, le long du canal, me travaille la tête tous les jours. Cette fois, contrairement à ce qui avait suivi la séance avec les huit blacks à l'hôtel, je n'éprouve ni culpabilité ni peur. Tout de même, si j'ai bien digéré l'idée que j'ai définitivement basculé, je n'en reviens pas d'en être là ! Ce qui vient de se passer avec Philippe me paraît irréel: non seulement j'ai taillé une pipe à ce parfait inconnu moins d'une heure après l'avoir rencontré, mais j'ai accepté sa proposition de participer à une autre tournante avec des types qu'il doit recruter, tout aussi inconnus que lui ! Et c'était sans aucune arrière pensée de renoncer ou de me défiler: j'ai vraiment, j'ai réellement envie d'être le centre de ce nouveau gang bang.


J'ai toujours - et de plus en plus - envie de bite, et je réalise que plus rien ne me retient, ni morale, ni orgueil, ni crainte de me faire plomber. Maintenant, je suis prêt à tout pour m'occuper de la queue d'un mâle. Avant de franchir le pas, je ne rêvais que de belles et grosses bites, avec un gland comme ceci, une verge comme cela, tel genre de couilles, etc. Maintenant, l'aspect, la taille d'une bite, je m'en fous. N'importe quelle queue fait l'affaire: grosse, petite, noire, blanche, poilue ou pas ... même si, évidemment, plus elle est grosse, plus elle est belle, plus ça me plaît. Et mes envies ont changé de nature. Jusque là, j'attendais d'une queue qu'elle me donne du plaisir, anal ou buccal. Depuis que j'ai perçu l'intensité de la jouissance des mâles qui se sont introduits et qui se sont soulagés en moi, ce dont j'ai envie désormais, c'est leur donner du plaisir. Maintenant, je veux faire jouir des mecs … pas forcément plusieurs mecs à la fois comme m'a proposé Philippe, même si l'expérience à l'hôtel m'a montré que c'est une volupté décuplée … extraordinaire … non, même un mec tout seul ça me va … mais beaucoup, souvent … C'est un tel bonheur, une telle extase de donner du plaisir à des mâles, de les faire jouir, de finir par leur faire répandre leur semence, de préférence à l'intérieur de moi… Voilà, c'est ça qui me plaît, et maintenant que j'y ai goûté, je ne peux plus m'en passer. J'ai envie, j'ai besoin de cet instant où, parvenus au sommet de leur plaisir, ils ne peuvent plus se retenir, où, dans une explosion de jouissance, leur prostate, leurs couilles expulsent au fond de mon ventre, dans quelques gouttes de semence, des millions de spermatozoïdes qui se précipitent pour me féconder les entrailles …


Pour les junkies, c'est le premier rail de coke ou la première piquouse d'héro qui ont été fatals. Moi, il m'aura fallu du temps, mais je suis maintenant totalement et profondément addict. Le premier coup de queue avec Thomas, et les … piqûres de rappel de Laurent, de Gabriel et Steve ont préparé le terrain, mais c'est cette tournante avec les huit blacks qui m'a vraiment rendu accro. Philippe, finalement, n'a été que la révélation. La facilité avec laquelle j'ai tout accepté, ou presque, de cet inconnu, y compris de le branler, puis de le sucer devant du public, l'envie que j'avais que les mecs qui nous ont surpris au bord du canal viennent en profiter, mon acceptation immédiate d'une nouvelle tournante … tout ça me démontre que je n'ai plus aucune inhibition, plus aucune barrière …


En plus, la manière dont Philippe m'a abordé me convainc qu'il y a maintenant quelque chose en moi qui pousse le premier mâle venu à me solliciter, à me présenter sa bite, comme s'il sentait qu'il peut tenter sa chance, comme s'il sentait qu'à coup sûr je vais m'occuper de son organe. Est-ce mon apparence physique? Sans doute pas, je n'ai rien d'efféminé, pas même d'androgyne ... Est-ce mes manières, mes postures? Certainement non, sans être rustaud, je suis masculin ... Certains mecs ont un comportement, des regards, des mimiques, des réflexions qui font immédiatement penser que ce sont des queutards, prêts à enfiler indistinctement tout ce qui bouge, femmes comme hommes. Je suis le contraire de ça. J'ai plutôt l'impression que, telle une femelle en chaleurs, je répands des effluves qui excitent et attirent les mâles. Si certaines femmes, pourtant bien foutues, dégagent un je ne sais quoi qui glace et dissuade les hommes de les aborder, d'autres, au contraire, exhalent quelque chose d'animal, de charnel, de lascif, qui annonce qu'elles ne sont pas farouches, comme un appel au coït … J'ai de plus en plus l'impression que je suis comme ça …

 

Et ça me plaît … 


La pensée de ce que Philippe est en train de préparer ne me quitte plus.  A tout instant, la perspective de ce gang bang géant (que j'espère géant) m'obsède. Tantôt, je suis saisi de doutes: cette tournante aura-t-elle bien lieu ? Philippe ne m'a-t-il pas mené en bateau ? Arrivera-t-il à réunir assez de mecs ? Tantôt, le souvenir de son air décidé me rassure. Alors, j'anticipe ce qui va se passer, m'efforçant d'imaginer cette bande de mecs en rut attendant leur tour pour me passer dessus, et, bien que je m'efforce de penser à autre chose, des images de sexes, de fellation, de sodomie s'imposent constamment à mon esprit … Tant et si bien que je suis dans un état quasi permanent de semi érection … J'attends avec impatience d'avoir des nouvelles de Philippe.

 

 

24 septembre

Ça n'a pas tardé, ce matin, je trouve enfin un mail de Philippe dans mon courrier:

«Salut,

Si tu es toujours d'accord, on pourrait faire comme on avait projeté l'autre jour au bord du canal, c'est-à-dire se retrouver pour une partie à plusieurs.

Je suis allé voir Jean-Claude, c'est le paysan qui nous a proposé de le faire dans sa ferme. Je voulais voir si ça serait vraiment possible chez lui.

C'est pas mal. C'est tranquille, entièrement fermé. Le seul truc, c'est que l'intérieur de la maison n'est pas terrible (beaucoup de place mais on voit qu'il est célibataire). 

A l'extérieur, c'est très grand et il y a des annexes qu'on pourrait utiliser si ça te va: un hangar pour les machines, un hangar pour le foin, un atelier, etc.

Ça serait top de pouvoir faire ça tant qu'il fait encore beau. On se mettrait dehors. J'ai pensé à un barbecue. On peut faire autre chose si tu veux.

Autrement, j'ai contacté des potes. Certains sont d'accord pour participer. 

Si tu es toujours décidé, il faudrait que tu me dises quand ça pourrait se faire (évidemment un week-end et le plus tôt serait le mieux pour profiter des derniers beaux jours) et combien de mecs tu es d'accord pour … 

Appelle-moi. Mon portable: 06…………


P.S: tu m'as bien sucé, ma salope. J'y pense tout le temps. J'ai hâte de recommencer et la prochaine fois, je te baise»


Ouahhhh ! Direct et pressé de concrétiser, le Philippe ...  Il doit avoir peur que je réfléchisse ou que je me rétracte, et il a voulu battre le fer pendant qu'il est chaud. Tant mieux, ça me va. Il a vraiment envie que ça se fasse et c'est apparemment déjà en bonne voie ! J'ai hâte de voir les lieux … ça me permettra de donner un cadre à mes rêveries en attendant que  … Je suis conscient qu'aller à ce rendez-vous chez Jean-Claude, c'est m'engager irrémédiablement, mais je n'ai pas la moindre hésitation et j'appelle immédiatement Philippe. 


Je le sens à la fois soulagé que je le contacte, et aussi un peu coincé. Il n'ose pas parler ouvertement de cette … journée, et de ce qui va m'arriver. Je n'insiste pas, et nous convenons seulement de nous retrouver en fin d'après-midi, le lendemain, chez Jean-Claude, pour examiner les lieux. Quand je raccroche, un voluptueux frisson d'adrénaline m'envahit et m'enflamme le périnée, l'anus, la prostate … cette fois, c'est sûr, dans quelques jours … des mecs  vont … je vais me faire … combien de bites … 


25 septembre.

Jean-Claude nous avait expliqué comment aller chez lui. C'est une ferme à l'ancienne, au bout d'une ruelle signalée en impasse. On entre par un porche qui peut se fermer par une énorme porte en bois. 

 

portail

 

Les bâtiments, accolés les uns aux autres, forment un rectangle autour d'une immense cour, fermée à un bout par un haut mur. Les trois quart de la surface de la cour sont goudronnés, le reste est engazonné. La façade de la maison d'habitation, orientée plein sud, fait face à l'entrée. Au premier coup d'œil, l'impression est très bonne: si le temps le permet, on pourra s'ébattre en extérieur, tout en étant à l'abri d'éventuels regards réprobateurs ou malveillants. Quand j'arrive, Philippe est déjà là, qui discute avec Jean-Claude. Celui-ci porte encore la combinaison de travail aux deux grands zips qu'il avait le jour où ... Ils s'approchent tandis que je me gare à l'ombre. Quand j'entrouvre ma portière, deux énormes têtes de chiens se glissent dans l'entrebâillement. Dans un mouvement réflexe, je retiens ma portière comme pour la refermer.

- Les chiens !!!


C'est Jean-Claude qui intervient et qui empoigne les deux bêtes par leurs colliers et les fait reculer.

- N'aie pas peur. Ils ne te feront rien. Assis !!!


Je descends. C'est effectivement deux énormes chiens gris, le poil ras, la gueule massive qui me regardent attentivement, assis aux pieds de leur maître. 

- C'est quoi, ces monstres ?

- Des dogues bleus … des dogues allemands ... 

- Bleus ?

- Oui, ils sont gris, mais pour cette race on dit bleu. Ils sont impressionnants, mais tant que je suis là, ils ne te feront rien. Ils veulent seulement faire ta connaissance.


dogge-01.jpg

 

Je leur caresse la tête. Ils se lèvent … leur dos est … haut comme … comme une table, leur gueule pratiquement à hauteur de ma poitrine … chacun leur tour, ils viennent me coller leur museau contre le bas ventre, puis me font la fête. Jean-Claude:

- Doucement les chiens !!!


Ils se calment et s'éloignent.


Je perçois une sorte de gêne chez Philippe et Jean-Claude. Ils avaient l'air moins timide l'autre jour. Pour dissiper le malaise, tout en serrant la main de Philippe, je plaque mon autre main sur sa braguette et je lui palpe la queue en faisant mine de m'adresser à elle:

- Alors, toi, tu as encore envie de te faire sucer ?


Philippe apprécie: il me saisit le poignet et me maintient fermement la main contre son bas ventre:

- Oui, elle a envie de se faire sucer … et même bien plus …


Jean-Claude baisse le nez, gêné. Je lui tends la main et, approchant l'autre de sa braguette, je l'interroge:

- Je peux ?

- Non, toujours pas.

- Mais, à travers ton … vêtement … 


Philippe intervient:

- Allez, Jean-Claude … Tu crains quoi ? De devenir pédé, si il te touche ? C'est pas contagieux, tu sais …


L'autre nous regarde tour à tour, hésite et soupire:

- Fffffff ! Bon, allez, si ça t'amuse ..


Yesssss ! Je lui palpe aussi le bas ventre. Pour le moment, je sens sa queue à travers le tissu. Elle pend dans sa jambière, et j'ai l'impression qu'aujourd'hui encore, il ne porte rien dessous. 

- Elle me fait … rêver, ta queue, Jean-Claude …

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Elle est tellement grosse … si tu me baises, je suis sûr que tu me feras jouir …

- Ouais, ben … toujours pas d'accord. Dans tes rêves, comme on dit.


Je n'insiste pas. C'est un premier pas, il ne faut pas le braquer. Il y viendra. Ça prendra le temps qu'il faudra, mais il y viendra. Je l'aurai, ta grosse queue, mon gars


Philippe sourit, et me désignant d'un geste l'ensemble de la ferme:

- Bon, tu en dis quoi ?

- Faites-moi visiter.

- Tu vois, la cour est grande. Si il fait beau, ça serait sympa, de faire une bouffe ici, dehors, genre barbecue, ou autre chose ... J'ai regardé la météo sur deux semaines, et le week-end prochain, en principe, c'est soleil et ciel bleu. Mais tu seras peut-être pas libre …

- Si, je peux me libérer … samedi.

- Impec. Les potes que j'ai contactés sont libres aussi … enfin, la plupart.

- Ah oui… Combien ?

- Comment ça ?

- Combien de mecs ?

- Ah oui. 


Il se racle la gorge, me regarde, un peu embarrassé.

- Hhmmm ! Pour le moment … hhmmm … une quinzaine …

- Oh, très bien … c'est déjà deux fois plus que l'autre jour, à l'hôtel … tu me gâtes ... Ils ont fait connaissance avec moi ?

- Comment ça ?

- Tu leur a parlé de mon blog ? Il l'ont regardé ?

- Ah oui. Ils l'ont regardé. Et moi aussi … Mon salop … Ceux qui sont d'accord pour venir l'ont tous vu … Mais … ça te … ça te dérange pas, quinze mecs ?

- Non. Puisque je te le dis … Je n'osais pas rêver à quinze mecs, mais puisque tu me les offres … Et je voulais te dire aussi … ceux qui viendront, ce sera uniquement pour moi …

- Comment ça ?

- Ils viennent seulement pour me baiser moi ! C'est pas une partouze dans laquelle chacun baise qui il veut, que tu organises. C'est une tournante, ou un gang bang, appelle ça comme tu veux, uniquement pour me baiser moi … 

- Ah ben … oui. C'est aussi comme ça que je le voyais …

- Bon, mais dis-leur bien à eux … qu'il n'y ait pas de surprise …

- Pas de problème …Mais euh, je ne suis pas sûr qu'ils viendront tous … en principe oui, mais certains vont peut-être … changer d'avis … je crois que … ça sera une première pour beaucoup … pour moi, déjà, ça sera une première …

- Ah oui ? Alors … essaie d'en trouver plus … 


Ça le fait rire:

- Ah bon ? Je vais voir … Combien ?

- Autant que tu peux … 


Tous deux écarquillent les yeux.

- Je vous choque ?

- Tu es sûr ? Déjà … quinze mecs … Tu l'as jamais fait …

- Non, en effet, mais je n'avais jamais fait ça avec trois mecs, et je l'ai fait. Je n'avais jamais fait ça avec huit mecs, et je l'ai fait. Même, à un moment donné, je n'avais jamais fait ça avec un seul mec … 

- T'es sûr, hein ? Tu vas pas … 

- Je vais pas quoi ? Vous poser un lapin ?

- Ben, oui … changer d'avis au dernier moment …

- T'inquiète pas. Je suis là, non ? Avant, je fantasmais de me faire gang-banguer, et pour moi, sept ou huit mâles, c'était le top, le rêve inaccessible … Et puis, ça m'est arrivé. Je ne l'avais pas cherché, mais ça m'est arrivé. Et j'ai adoré ça. Tu ne peux pas imaginer ce que c'est de faire bander plusieurs mâles, de sentir, de voir à leurs queues toutes raides qu'ils ont envie de te baiser … et alors, quand ils te passent dessus … l'un après l'autre … que tu les sens qui prennent du plaisir dans ton cul, dans ta bouche … Oh la la ! Il n'y a rien de comparable … Alors, sept ou huit mecs à la fois, c'est sûr, si ça se présente à nouveau, je recommencerai … mais, maintenant, j'ai envie de m'en faire plus … beaucoup plus … Alors, vas-y …


Jean –Claude intervient:

- C'est la première fois que je vois ça, un mec qui veut se faire … mettre … par quinze types … que tu connais même pas, en plus … déjà un seul, je m'excuse hein, mais j'ai du mal …

- Ecoute, tu verras ça samedi … Tu sais, chacun ses envies, ses fantasmes … Toi, tu n'es pas pédé, comme tu dis, mais l'autre jour, de me voir tailler une pipe à Philippe, ça t'a excité, non? 

- Ouais … c'est qu'il se fasse tailler une pipe qui m'a … excité, pas que ça soit un autre mec qui lui fasse … Mais, tu prends du plaisir à te faire … ?

- A me faire baiser ? Oui, j'adore … sucer aussi … C'est comme ça. Bon, vous me montrez le reste?


Jean-Claude, nous désigne de la main la porte du bâtiment contigu au porche d'entrée. C'est une large porte en bois, à deux battants superposés. 

- Bon, là, c'est l'ancienne écurie. C'est plus ou moins l'abri des chiens quand il pleut ou qu'il fait froid … 

- On peut regarder ?

- Ah … ben … oui …


A l'intérieur, il y a quatre stalles délimitées par des cloisons de bois, et devant les stalles, un large espace pavé et couvert de paille. Ça sent le cheval, la poussière et la paille.


écurie

 

J'interroge Jean-Claude:

- Tu as des chevaux, là-dedans ?

- Non, non … pourquoi ?

- Ça sent encore …

- Ah oui, les gens qui avaient la ferme avant moi en ont eu longtemps … Et puis, de temps en temps, il y a des cavaliers en randonnée qui passent la nuit ici. L'odeur est tenace …

- J'adore cette odeur. On pourra venir là ?

- Pour … pour quoi faire ?

- Devine, Jean-Claude … pour baiser, bien sûr …

- Ah ? Ici … dans l'écurie ?

- Oui, c'est sympa, cet endroit … dans les stalles, ou par terre …

- Ah bon ? Ben oui, alors … j'enlèverai la paille …

- Non … enfin … si tu peux seulement la changer … en mettre de la neuve …

- Ah oui, pas de problème …

 

Nous ressortons. Dans le prolongement de la grange, deux hangars, côte à côte.

- Là, c'est le fourrage … Vous pourrez aussi y faire … vos affaires, si ça vous dit … Y'en a qui aiment ça.

- Oui, moi, j'aime ça ! 

Je ne sais pas pourquoi, j'ai toujours été attiré par les rouleaux de paille et de foin dans les champs. Mystérieusement, pour moi, ils évoquent le sexe. Et je garde un souvenir très intense de ma partie de cul sur la paille avec Laurent… Alors, ici, avec la puissante odeur de fourrage qui se dégage de ce hangar ...


hangar-foin.JPG

 

- Et là, c'est les machines …

 

Dans l'ombre du deuxième hangar, immense, à côté de l'énorme tracteur bleu dans lequel Jean-Claude nous avait surpris, s'aligne tout un matériel: moissonneuse, presse à paille et chargeur, semoir, remorques … Ici, règnent de puissantes odeurs: celle, indéfinissable de la mécanique, celle du caoutchouc des énormes pneus des machines, le gas oil, la graisse et l'huile de vidange … Tout ça suscite en moi des images de types baraqués en bleu de travail, le visage et les mains tachés de cambouis ...

- Là, si jamais il pleut, je sortirais tout le matériel sur la cour, et vous vous mettrez ici…


Je ne peux réprimer un sourire: « vous vous mettrez ici ». C'est Philippe et ses copains qui vont "me mettre" … ici ou ailleurs, mais ils vont "me mettre" … Philippe sourit et me fait un clin d'œil. Il a aussi relevé le jeu de mots involontaire de Jean-Claude.

- En face, c'est quoi ?

- C'est rien. Là une buanderie. Là un atelier, un cellier, un ancien logement d'ouvrier ... Je préférerais qu'on y aille pas ...

- Comme tu veux ... il y a assez de place comme ça ...

 

Nous voilà au bout de la cour. Mauvaise surprise: en fait, la cour n'est pas entièrement close. Ou plutôt, à son extrémité, elle donne sur un chemin caillouteux, et n'est fermée que par une barrière métallique. Le haut mur que j'avais aperçu en arrivant, et dont je pensais qu'il formait le dernier côté du rectangle, est en fait de l'autre côté du chemin. Je fais remarquer à Jean-Claude:

- C'est ouvert, de ce côté ...

- Oui, c'est ouvert, les machines sont trop larges pour l'ancienne porte d'entrée ... j'ai été obligé de faire une ouverture ...

- Et si quelqu'un passe sur le chemin ...

- Normalement, il passe personne, le chemin est à moi, c'est privé ...

 

Nous faire surprendre en pleine action par des voyeurs, ça ne me gênerait pas vraiment ... au contraire ... Mais, même si cette ferme est un peu à l'écart, elle est tout de même dans le village ...

- Tu n'as pas des voisins malveillants ? Tu n'as pas peur du scandale si ils découvrent ce qui se passe chez toi ...

- Et alors ! Qu'est-ce qu'ils feront ? Si ils voient ce que ... ce qui se passe, c'est qu'ils seront entrés chez moi ... Il y a un  panneau "accès interdit, chemin privé" au bout de la rue. Ils sont prévenus, ils n'ont rien à faire là ! Et de toute façon, mes voisins, je les emmerde ... Ils peuvent découvrir tout ce qu'ils veulent, je m'en fous!

- Bon, si tu le dis ...

 

 

Philippe, visiblement inquiet que la découverte de cette configuration des lieux me décourage, me demande:

- Alors, et toi, tu en dis quoi ?

- Moi, ça me va … Puisque Jean-Claude dit qu'il n'y a pas de problème, ça me va ...

- Bon, on dit samedi, alors ?

- OK.


Jean-Claude:

- Je vous offre un verre ?


Philippe me regarde:

- Un verre ?

- Volontiers.

- J'ai de la bière, du whisky, du pastis, du vin …

- Bière.

- Pareil.

- Verre ou bouteille ?

- Comme tu veux.

- Bougez pas, je reviens.


Jean-Claude s'éloigne. Philippe:

- Alors, ça te va, qu'on fasse une bouffe ? Le midi, évidemment …

- Oui, oui, ça me va.

- Comme ça, on aura tout l'après-midi ..

- Exactement. Tes copains, ils sont tous sûrs ?

- Normalement, oui. Ils font tous le test anti Sida. Mais, tu veux pas qu'on mette des capotes ? Tu serais tranquille …

- Non, je préfère sans capote. Je n'ai pas envie de sucer des bites dans du latex ou de me faire ramoner par des queues qui ressemblent à des godemichés en plastique. Des godes en plastique, j'en ai à la maison. Et puis … je veux … recevoir leur crème … enfin, votre crème, à tous … Et je suis sûr que tes copains préféreront tirer leur coups comme ça, plutôt que dans une capote …

- Ouais, pour ça, tu as sans doute raison …

- Alors, pas de capote, et seulement des mecs sains … Bon, si certains y tiennent absolument, qu'ils mettent quand même une capote … Les autres, je compte sur toi pour vérifier leurs tests. Moi, j'aurais le mien. C'est dans notre intérêt à tous. Tes potes, il faut qu'ils se rendent compte que, si un seul est malade, il contaminera tous les autres par mon intermédiaire …

- C'est clair. 

 Un silence, puis:

- Alors, ça te … je veux dire … samedi prochain … tu en dis quoi ?

- Je t'ai dit, ça me va.


Soudain, quelque chose se plaque contre mes fesses. Pendant que nous discutions, un des chiens s'est approché discrètement et fait plus ample connaissance avec moi en me reniflant le cul. Je le repousse doucement, mais il se dresse, m'enserre la taille de ses pattes avant, et d'un mouvement du bassin, simule un début de copulation. A moitié déséquilibré par son poids, j'essaie de m'en débarrasser:

- Hé, pépère, tu fais erreur …


Philippe me regarde me débattre en riant:

- Hé, mec, tu excites même les chiens ! T'es en chaleurs ?


J'arrive enfin à repousser le mastard qui n'insiste pas et s'éloigne.

- Il y a sûrement de ça. Il faut croire que je diffuse des phéromones …

- Ben, tu vois, tu attires tous les mâles. Ça devrait te faire plaisir …

- Mais oui, ça me plaît …

- C'est vrai ?

- Tu veux savoir si ça m'excite ?

- Oui.

- Viens par ici …


Je le prends par l'épaule et je l'entraîne à l'ombre, vers les rouleaux de foin. 

- Assieds-toi là-dessus.

Il ne pose pas de question, et se hisse d'un seul élan sur un des rouleaux, couché à plat à l'entrée du hangar. Le voilà, le bas ventre à hauteur de mes abdominaux. Je lui écarte les cuisses, je déboutonne son bermuda, je descends son zip et je glisse ma main à l'intérieur. Sa queue est molle, au repos. Je la manipule un peu et je la sens gonfler sous mes doigts.

- Toi, ça n'a pas l'air de beaucoup t'exciter …

- Tu vas me sucer ?

- Oui. Enlève-le.


Il se tortille sur la balle de foin et, tant bien que mal, parvient à ôter son bermuda et son caleçon qu'il laisse tomber à mes pieds. Il anticipe ce que je vais lui faire, et il commence à bander. De nouveau entre ses genoux, je le tripote doucement. Je me penche, j'approche ma bouche et je prends son gland entre mes lèvres. Du bout de la langue, je titille son méat. Il s'affale en arrière, appuyé sur les coudes et il me regarde commencer à le sucer.

- Ah, y'a pas à dire, tu sais y faire, ma salope … 

- …

- Tiens, revoilà, Jean-Claude.


Je me retourne, et je vois notre hôte faire quelques pas dans notre direction, des canettes à la main. Ebloui par le soleil, il ne nous voit pas immédiatement, abrités dans l'ombre du hangar où nous sommes. Une fois ses yeux accoutumés, il nous repère et s'approche. Il semble surpris de trouver Philippe juché sur celle balle de fourrage, mais je fais écran, et il ne peut pas voir qu'il a la bite à l'air, ni ce que je suis en train de le tripoter. Ce n'est qu'à quelques pas qu'il réalise la situation. Il s'arrête, et gêné:

- Ah bon ! Euh … je … je reviens …

Il entame un demi-tour et Philippe l'interpelle:

- Hé, Jean-Claude, reste … tu ne nous gênes pas … Hein, il ne nous gêne pas ?

- Non, non, reste … ça ne me gêne pas … L'autre jour, au canal, ça ne t'a pas gêné …

- Bon ... OK.

 Il revient et s'approche, nous tend une canette à chacun. Philippe:

- Euh … attends un peu, tout à l'heure, pose-la par terre.


Jean-Claude réalise qu'on a mieux à faire, pour le moment, que de boire une bière. Il pose nos canettes à quelques pas, baisse le nez, encore un peu gêné. Je l'invite:

- Regarde … ça t'a excité l'autre jour … et moi, ça me plaît, que tu regardes … ça m'excite …


Je reprends la queue de Philippe dans la bouche et je le décalotte avec ma langue. Du coin de l'œil, j'observe Jean-Claude. Il ne bouge pas, se dandine d'un pied sur l'autre. Tout en suçant Philippe, je déboutonne mon short et je le fais glisser à mes pieds. Dessous, je porte mon micro string rose "sexe". Je le fais aussi glisser à mes pieds. Jean-Claude a les yeux écarquillés. Je recrache encore une fois le membre de Philippe:

- Tu me montres ta queue ?

- …

- S'il te plaît … approche et sors-la …


Il hésite une fraction de seconde, fait deux pas dans notre direction et commence à descendre un de ses zips. Je reprends Philippe et je le suce en surveillant l'autre du coin de l'œil. Voilà son braquemard ! Il le sort de sa combinaison. Il bande déjà un peu. Oh la la, quel engin ! Involontairement, j'accentue à la fois la fellation que j'administre à Philippe et ma masturbation. Comme j'aimerais le sucer, lui aussi … Jean-Claude commence à se caresser. Sa queue gonfle, gonfle … Plus il bande, plus il m'excite … Je me mets à gémir. Je veux voir aussi tes couilles … Tes couilles ! Tes couilles ! 

 

Mais il ne comprend pas mes mimiques et mes regards appuyés. J'abandonne encore Philippe et:

- Tes couilles … montre-moi tes couilles …


Il descend un peu plus son zip, et son énorme paire apparaît, lourde, massive, pendant entre ses cuisses … J'en reste bouche bée, les yeux rivés sur son bas ventre. J'en oublie de reprendre Philippe, mais, d'un coup d'œil, je m'aperçois que, lui aussi, est fasciné par ce qu'il voit. Jean-Claude reprend sa masturbation, et je vois ses boules descendre et monter au rythme de son mouvement. Oh la la, toute la semence qu'elles contiennent … L'énorme jet qu'il m'a répandu dans le dos l'autre jour me revient en mémoire. Comme j'aimerais qu'il m'en répande un comme ça dans la gorge ou dans le ventre ! Pourvu qu'il change d'avis, pourvu qu'il me laisse m'occuper de son engin …


Philippe, que je continue de branler distraitement tout en contemplant l'engin de Jean-Claude, se rappelle à moi, en me poussant la tête vers sa queue. Je la reprends et je me mets à la sucer fébrilement, les yeux fermés et la tête assaillie par des images du bracquemard de Jean-Claude me déversant un flot de sperme dans les entrailles.


Soudain, j'entends, je sens un mouvement derrière moi et, presque aussitôt, une main se pose sur ma hanche. Ça ne peut être que Jean-Claude ! J'ouvre les yeux. Philippe est toujours accoudé sur le foin, la tête rejetée en arrière, tout à la fellation que je lui administre. 


Oh, l'autre me touche ! Il a posé une main sur moi ! On progresse. Au mouvement de sa main gauche sur ma hanche, je devine qu'il continue de se masturber de la main droite. Il glisse maintenant un genou entre les miens. D'un mouvement impérieux, il me fait écarter les jambes. Evidemment, j'obtempère. Je ne sais pas ce qu'il projette, mais je ne veux pas le décourager. J'espère seulement qu'il n'a pas en tête de me sodomiser. Pas maintenant, je ne me suis pas fait de lavement avant de venir … 


Mais non, pour le moment, il loge son énorme queue entre mes fesses, pose son autre main sur ma hanche et commence à se frotter. Il grogne, sourdement. La pression de ses mains s'accentue. Sa main droite monte de ma hanche à ma nuque. Il serre, fermement, mais sans brutalité. Geste de possession du mâle sur la femelle … Quand je pense qu'il ne voulait même pas se laisser toucher à travers son pantalon … Coincé comme ça entre ces deux mâles que je fais bander, c'est … hhhmmmmm ! Je réalise soudain que ce que je sens battre contre mes fesses, au rythme des frottements de Jean-Claude, c'est ... ses grosses couilles ! Au bord de la jouissance, j'atténue ma masturbation, mais j'intensifie ma fellation sur Philippe, et je sens qu'il réagit: il halète, il gémit, je vois, sous mon nez, ses abdominaux se contracter et, dans ma main, ses couilles remontent dans ses bourses. Il va éjaculer ! J'aime sucer longuement, mais cette pipe ultra rapide, signe d'une intense excitation, me plaît beaucoup … 


Oui, ça y est ! Son sexe s'agite dans ma bouche et, aussitôt, je reçois un jet brûlant sur la langue. Tout en avalant sa semence, je gémis à mon tour et j'accélère mon mouvement de va et vient sur cette bite pour lui faire cracher toute sa crème …


Jean-Claude, qui nous a entendu gémir, a aussi perçu les mouvements de ma tête sur la queue de Philippe. Il a compris que celui-ci était en train de jouir dans ma gorge. Ça doit l'exciter, parce qu'il se met à grogner de plus en plus fort, la pression de sa main sur ma nuque se fait plus intense, il ne se frotte plus, il me met de vrais coups de boutoir dans la raie, et, brutalement, dans un long râle:

- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh ! Nom de dieu, quelle ... quelle saloooope !


Et je sens un flot tout chaud m'inonder les reins. Il éjacule longuement, six ... sept ... huit ... neuf jets. Sa queue glisse maintenant toute seule dans le flot de sperme qui s'écoule dans ma raie. Enfin, ça se calme. Il redescend sa main de ma nuque à ma hanche et il se colle à moi, le visage enfoui dans mon cou. Il respire bruyamment et je sens son souffle chaud sur ma nuque. Il m'écrase de tout son poids contre le rouleau de foin. C'est un moment presque … tendre, celui où le mâle, assouvi, manifeste à la fois son affection et sa gratitude à celle qui vient de le soulager … Ce sperme qui me coule entre les fesses et à l'intérieur des cuisses, le goût un peu salé et légèrement acide de la semence de Philippe au fond de ma gorge, ces deux bites que je sens commencer à ramollir, l'une encore entre mes fesses et l'autre sous ma joue, le contact, la chaleur animale de ces deux mâles qui me coincent en sandwich … je viens encore de donner du plaisir à deux mecs … un qui ne demandait que cela, et l'autre, d'abord réticent et qui finit par capituler et se soumettre à ses pulsions … et celui-ci, je suis maintenant convaincu qu'il a très envie de me prendre, de me posséder, de me pénétrer, de jouir en moi … je sens que seuls des restes de préjugés moraux le retiennent encore de passer vraiment à l'acte … je ressens un mélange de plénitude, de volupté et d'excitation d'avoir soulagé ces deux mâles, de les avoir fait jouir, répandre leur semence… ça va très vite ... je jouis à mon tour. 


Philippe repousse ma tête et s'affale complètement sur le dos. Jean-Claude s'écarte de moi. Le temps de reprendre mon souffle, et je me redresse à mon tour. Jean-Claude a remonté son zip et s'est éloigné vers son hangar à machines. Il en revient avec un énorme rouleau de papier essuie-tout qu'il me tend sans un mot. Je lui demande:

- Ça t'a plu ?

Silence, puis, avec un petit sourire mi-gêné, mi-complice:

- T'es vraiment une salope …

- Moi, ça m'a beaucoup plu …


Je m'essuie, et Jean-Claude m'aide un peu gauchement à éponger les dégoulinures de son sperme entre mes cuisses. Pendant que je remets mon string et mon short, et que Philippe saute du rouleau de paille pour se rhabiller, Jean-Claude, un peu embarrassé, ramasse nos canettes de bière et nous les tend. Nous trinquons, un peu par réflexe … comme trois potes qui viennent de finir une partie de pétanque … Je les regarde tour à tour et, prenant conscience du côté surréaliste de la situation, j'éclate de rire … Ça détend l'atmosphère et ils se marrent aussi. J'avale une gorgée de bière, et:

- C'était vachement bien, comme ça, les mecs …


Philippe:

- Je t'ai senti … tu t'es branlé … et toi, Jean-Claude, ça t'a plu, on dirait … tu l'as … il t'a … ?

- Baisé ? Non, mais c'était bien aussi comme ça …


L'autre baisse un peu le nez, légèrement gêné. Philippe reprend:

- Ça serait quand même bien que tu le baises …

- Quoi ?

- Ben oui, Jean-Claude, ça serait sympa … il en meurt d'envie. C'est pas pour autant que tu deviendrais un pédé, comme tu dis. Après, tu redeviens hétéro …

- Mouais … Je … je pourrais pas … baiser un mec … non, non … je pourrais pas …


J'interviens:

- Tu as raison, faut en avoir envie, ça ne se commande pas … mais la libido, c'est comme le reste, ça peut évoluer …

- Oui, mais j'ai jamais enculé quelqu'un … même pas une femme … j'ai jamais enculé une femme…

- Bon, peut-être que samedi, en voyant faire les autres, ça te donnera envie …

- Et toi, Philippe, t'as déjà enculé un mec ?

- Euh, oui.

- Et samedi, tu vas l'enculer, lui ?

- Ben oui … hein, je vais t'enculer …

- Oui. Toi et les autres …

- Mais … comment vous … ça vous fait quoi ?

- A qui ?

- Ben à celui qui encule …

- C'est vachement bon, c'est comme de baiser une femme, mais c'est plus serré … enfin, en principe …


Oh, je sens que ça devient bon … Il se renseigne, il révèle ce qui le chiffonne, il cherche à se rassurer … Il m'interroge du regard.

- Oui, en principe … Un cul vierge, c'est même très étroit, très serré, parfois même impénétrable. Mais, moi, mon cul, il est loin d'être vierge, et il est assez … ouvert. Ça plaît quand même, hein ... ceux qui y sont entrés en étaient très contents … c'est chaud, c'est doux, c'est humide …

Ils se marrent. Jean-Claude reprend:

- Mais c'est quand même assez … euh…  comment dire … c'est crade, par là, quand même …

- Ah, je vois ce que tu veux dire. Evidemment, c'est crade en temps normal, mais quand on prévoit de se faire … enculer, on prend ses précautions, on se lave, on se fait des lavements …

- Ah bon ?

- Oui, c'est aussi propre que la chatte d'une femme. Même plus, parfois … Donc, samedi, avant de venir, je me ferai des lavements jusqu'à ce que ce soit impeccable … et même après, ici, je peux recommencer si c'est nécessaire. Tu as une salle de bain ? 

- Ben oui …

- Bon. Une baignoire, un pommeau de douche, et voilà. Ça m'est même arrivé de le faire avec un tuyau d'arrosage …

- Bon …


Philippe:

- Bon, je vais y aller … Alors, toujours partants pour samedi ?

- Oui.

- Moi aussi.

S'adressant à moi:

- Tu veux que je te tienne au courant du nombre de mecs qui viendront ?

- Non, non … Ça sera la surprise. Plus on est de fous …

- OK. Vous avez mon téléphone, vous m'appelez si il y a quoi que ce soit …


On se serre la main et nous remontons tous deux dans nos voitures. Philippe me précède. Une fois au centre du village, il s'arrête et me fait signe de faire comme lui. Il me rejoint:

- Hé, mec, tu vas y arriver, il va finir par te baiser, le Jean-Claude. Tu as vu, ça progresse, et il se renseigne …

- Oui. J'ai surtout senti que, cette fois, il s'est fait du bien dans ma raie du cul … Pas pédé, mais un peu quand même …


Il rit, remonte en voiture et s'éloigne.

 

Cette fois, l'affaire est vraiment engagée. Ni lui ni moi ne ferons marche arrière. 

 

à suivre ...

 


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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