Récits pornographiques

Vendredi 15 juin 2018 5 15 /06 /Juin /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.


Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Il est bien évident aussi que je réprouve et condamne totalement toute violence ou toute contrainte exercée sur autrui.

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

 

M'appuyant de tout mon poids sur le ventre de Christine, je la force à rapprocher ses mains au-dessus de sa tête. Elle essaie de résister, mais je suis beaucoup plus fort qu'elle … quand ses mains sont réunies, je prends ses deux poignets dans ma main droite … heureusement que j'ai des grosses pognes … et je descends ma main gauche entre nos deux ventres … je saisis ma queue et je la guide … voilà, je glisse mon gland entre ses petites lèvres … putain, c'est lubrifié à souhait, là-dedans … je remonte ma main gauche, je reprends son poignet et j'écarte ses mains de part et d'autre de sa tête … mes yeux dans les siens, je m'enfonce lentement en elle … elle a arrêté de se débattre, mais je sens sa rage … je finis de m'enfoncer et je commence à aller et venir … elle ferme les yeux, et:

- Tu vas me le payer ! Tu crois pas que j'vais aller voir les flics, hein …

- Si, j'te crois … mais j'te répète, ça m'étonnerait beaucoup que j'aille en taule …

- Et pourquoi ?

- Ben, pour prouver que je t'ai violée, ils vont t'emmener à l'hôpital pour faire des prélèvement de sperme dans ta chatte … non ?

- Ben … oui …

- Et ben tant mieux …


Je continue d'aller et venir lentement en elle.


- Quoi … pourquoi "tant mieux"?

- Ben, tu devras leur expliquer pourquoi ils trouvent pas seulement mon sperme dans ta chatte, mais aussi ceux de tes deux baiseurs …

- … 


Elle réfléchit intensément, puis:

- Ben … je leur expliquerai …

- Tu leur expliquera quoi ? Qu'on t'a violée à trois, ou que tu t'étais fait volontairement baiser par ces deux types avant que je te viole ?

- J'm'en fous … que vous m'avez violée tous les trois …


Oui, comme ça, elle se vengerait de ses deux rockers pour l'avoir plantée comme ça …

- Alors, tes deux rockers vont se retrouver en taule avec moi … tu crois pas qu'ils vont raconter ce qui s'est vraiment passé entre eux et toi ?

- Et alors … bon, je dirais aux flics que j'étais d'accord pour qu'ils me baisent … mais pas toi …

- Très bien, très bien …


Elle rouvre les yeux … elle est interloquée:

- Quoi, "très bien" …

- Ben oui … comme ça, tu avoueras aux flics que tu me trompes avec des inconnus …

- Et alors … c'est pas illégal de coucher avec d'autres mecs que son mari …

- Non, en effet, c'est pas illégal … mais si on ajoute les autres …

- Les autres ? Quels autres ?

- Ben, par exemple les sept joueurs de foot que t'as ramenés à la maison l'autre nuit, et les cinq jeunes que t'as dragués à La Plage au bord de la Marne, et tous ceux qui t'ont baisée quand tu foutais le camp je ne sais où le soir …

- Mais tu peux rien prouver pour ceux-là …

- Tu crois ?


Ah putain, je suis bien, dans sa chatte ! Elle me regarde, les sourcils froncés … elle commence à douter:

- Comment tu pourrais prouver ? ! ? !

- Ben, je suis sûr que les flics n'auront aucun mal à retrouver les cinq jeunes … tu m'as dit toi-même qu'ils allaient souvent à La Plage … et au passage, je te rappelle que, d'après toi, il y a un mineur, dans le lot … 

- Si tu crois que les flics vont perdre leur temps à les chercher …

- Tu sais, le viol, c'est  pas une infraction, c'est un crime … et les assises … alors il y aura enquête approfondie … et compte sur moi pour déballer tout … le jeunes et les joueurs de foot … en enquêtant dans les cafés qui sont à côté d'un cinéma porno à Paris, les flics les retrouveront … il ne doit pas y en avoir des dizaines, des cafés autour des cinémas pornos où on baise …


Je continue d'aller et venir dans son ventre …

- Comment tu sais que …

- Comment je sais où tu les as trouvés, les footeux ? C'est le grand qui me l'a dit quand il est venu me parler dans la cuisine pendant que ses potes te sautaient dans le séjour … et puis il y a aussi les cinq mecs du Huitième Ciel …

- Mais pour ceux-là, tu pourras rien prouver …

- Tu crois ? Je demanderai aux flics de faire des prélèvements sur les sièges de nos voitures … sur le siège passager de la mienne, ils retrouveront l'ADN des cinq mecs du Huitième Ciel … rappelle-toi, ta chatte s'est vidée sur le siège pendant qu'on rentrait … et sur le siège conducteur de ta voiture, ils retrouveront sans doute plein d'ADN différents, puisque quand tu te fais baiser, tu gardes le sperme des types dans ta chatte et il se répand sur ton siège … 


Je la laisse digérer tout ça. Je sens que ça fait son effet. Elle réfléchit quelques secondes, puis:

- Bon … et alors ?

- Alors ? Comment tu crois que les flics ou un juge vont considérer ta plainte pour viol contre moi, ton mari, quand ils vont réaliser que tu te fais passer dessus par des dizaines de mecs ?

- …


Elle est blême … elle réalise que ça ne sera pas aussi simple qu'elle le croyait. J'enfonce le clou:

- Cela dit, tu peux toujours essayer et te lancer là-dedans, mais, j'te répète, ça m'étonnerait beaucoup que je finisse en taule … par contre, avec les résultats d'enquêtes de ce genre, un divorce à tes torts exclusifs, ça fera pas un pli …


D'un seul coup, je la sens littéralement s'effondrer, se liquéfier sous moi … alors que, jusque là, elle était raide, en tension, elle devient toute molle … elle tourne la tête sur le côté et ferme les yeux … Je continue d'aller et venir en elle … putain, ce que je suis bien ! Je bande à mort … bizarrement, ce qui contribue à m'exciter comme ça, c'est pas tellement de la sentir à ma merci … non, c'est de penser que … oui, en l'espace d'un mois, il y a sans doute une quarantaine de mecs qui l'ont baisée avant moi … oh oui, une bonne quarantaine, à mon avis … déjà, les cinq au Huitième Ciel, les sept footeux l'autre soir, les cinq jeunes à la Mini et les deux d'aujourd'hui, ça fait déjà dix-neuf … vingt avec le Patrick … et puis il y a tous ceux qui l'ont baisée les soirs du mois de juillet, quand elle partait à l'aventure … rien que le soir où elle s'est fait tabasser, elle a dit qu'elle avait commencé avec quatre types sur le quai au bord de la Marne, et qu'ensuite, dans le squat où ils l'avaient emmenée, il y en avait eu AU MOINS une douzaine ! Ça fait donc déjà trente types sûr ! Mais tous les autres soirs où elle est sortie … et elle sortait à peu près un soir sur deux … elle s'est sans doute aussi fait sauter par au moins un mec à chaque fois … elle doit donc en être à bien plus qu'une quarantaine de types qui l'ont baisée au cours de ce mois ! 


Putain, j'avais jamais fait le compte, mais … plus d'une quarantaine de mecs qui ont baisé Christine en l'espace d'un mois ! Des dizaines de types qui … qui l'ont touchée, tripotée, pelotée … des dizaines de types qui se sont couchés sur elle … corps contre corps, peau contre peau … des dizaines de types qui ont … qui ont enfoncé leur sexe dans son sexe … qui ont enfoncé leurs glands jusqu'au fond de son ventre … leurs … leurs glands décalottés qui vont et viennent dans ses chairs chaudes et mouillées … leurs glands gonflés de sang, tendus, turgescents qui prennent du plaisir à se frotter aux muqueuses de Christine … les sensations de ces types qui savent qu'ils vont pouvoir aller jusqu'au bout de leur jouissance en elle, sans se retenir, sans se retirer … la sensation de plénitude dans leurs couilles qu'ils vont pouvoir laisser se vider sans retenue dans cette … dans cette femelle en rut ! Plus de quarante types … quarante mâles qui ont possédé Christine … totalement … qui l'ont … inséminée, fécondée … qui ont injecté leur … leur sperme, leur semence au fond de son ventre … au fond de son utérus ! 


CHRISTINE, FILLE DE JOIE … CHRISTINE,VIANDE A BITES … CHRISTINE, SAC A FOUTRE !


Hhmmmm, je sens mon gland ouvrir son chemin en repoussant ses chairs … c'est chaud et humide, là-dedans … j'adore ça ! Toutes ces bites … putain, TOUTES CES BITES !!! C'est de la folie ! J'essaie de visualiser ce que ça représente, plus de quarante bites ! Et je me rends compte que j'aime d'autant plus l'idée qu'elle se fasse baiser par d'autres mecs, qu'ils sont nombreux à se la taper à la chaîne, en tournante … Les deux, là, qui viennent de se barrer, j'ai aimé ça, mais les cinq du Huitième Ciel, c'était vraiment autre chose ! Et les sept joueurs de foot, alors ! Même les cinq jeunes … mais rien que l'idée de la douzaine de types du squat qui lui sont passés dessus les uns après les autres … ouaaaaahhhh ! Oh, putain, pourquoi on continuerait pas ? Qu'elle en ramène d'autres à la maison, des mecs … qu'ils la baisent ici, devant moi, je m'en fous … non, mieux que ça, j'aime vraiment ça, qu'elle se fasse baiser, ma nymphomane, ma pute, ma salope … ma … ma paillasse ! Qu'elle s'en prenne encore des coups bites et des coups bites … Alors, tout en continuant d'aller et venir en elle:

- Tu sais, plutôt que de se faire la guerre, on pourrait continuer, tous les deux … j'm'en fous que tu te fasses sauter par des inconnus … au contraire, t'as bien vu, j'aime ça … tu pourrais en ramener autant que tu veux à la maison, et te faire baiser … et me laisser regarder … je peux même aller t'en chercher, des mecs, moi, si tu veux … ou t'accompagner pour te faire encore sauter où tu veux … je te ramène dans ce squat, là, si tu veux … ça me plaît de voir des mecs te prendre les uns après les autres … ça me plaît que tu sois devenue une viande à bites et que le premier mec venu puisse te sauter … 


Oh putain, ça y est, je sens que ça vient … je vais bientôt jouir … J'ai relâché la pression de mes mains sur ses poignets … mais elle n'en profite pas, elle se laisse faire, comme résignée … Oh putain, mes abdominaux se contractent brutalement, me coupant le souffle, ma queue se raidit et je sens comme une légère douleur, un pincement du côté ma prostate … prémices de l'éjaculation … et … 


AAAAAAaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh !


Je jouis ! Oh, putaiiiiin, ce que c'est bon ! J'éjacule longuement … encore quatre ou cinq fois, et j'ai une drôle de sensation … c'est un peu comme si je contrôlais mes éjaculations ... comme si après chaque décharge, comme si c'était moi qui commandait la suivante … ça ne m'avait jamais fait ça … oh, je sais bien qu'en fait c'est ma queue et ma prostate qui dirigent tout ça, mais putain, c'est une sensation vraiment très agréable … 


Voilà, j'ai fini … je suis à bout de souffle et je reste comme ça, dans Christine, quelques secondes … et puis, prenant appui sur mes mains, je me redresse et je sors d'elle … rapidement, je me remets sur mes pieds … je me demande comment elle va réagir … privée de la possibilité de me faire payer ce que je viens de lui faire en recourant à la police et à la justice, je la crois assez capable d'un geste de rage, d'un geste violent … alors je me tiens sur mes gardes … elle reste un moment couchée, cuisses écartées … puis elle se redresse lentement, elle se lève, me jette un coup d'œil par en dessous … et elle me tourne le dos et se dirige vers la maison …


Je la suis, à quelques pas … elle monte à l'étage et je l'entends s'enfermer dans la salle de bain … elle fait quoi ? Elle s'habille pour aller tout de même chez les flics, ou elle se lave ? Je ne tarde pas à avoir la réponse … j'entends l'eau couler … longuement … elle doit prendre un bain, elle doit se laver … éliminer le sperme qu'elle a dans le ventre … Je n'étais pas plus inquiet que ça qu'elle aille chez les flics … je crois que je ne risquais pas grand chose à part subir des interrogatoires et perdre du temps … Alors, si elle se lave, c'est qu'elle a compris qu'elle ne gagnerait rien à porter plainte contre moi … Je me rhabille. 


Une vingtaine de minutes plus tard, elle redescend. Elle porte une robe légère, assez près du corps, mais plutôt sage par rapport à ce qu'elle met depuis le début du mois. Sans un regard pour moi, elle récupère son sac, ses clefs de voiture, et elle sort. Oh, évidemment, je ne m'attends pas à ce qu'elle rentre ce soir. Où est-elle partie ? Avec qui ? Je ne me pose pas vraiment la question. Ce que je me demande, c'est si elle ne mijoterait pas je ne sais quel truc tordu pour me faire payer tout de même ce que je viens de lui faire. Maintenant que je l'ai vue se lâcher avec des mecs, je la crois capable de tout. Elle n'a plus de limites. Alors, le soir venu, par précaution, juste avant de me mettre au lit, je démonte le loquet de la porte en haut de l'escalier de façon qu'elle ne puisse pas recommencer à me coincer à l'étage, et je bloque la porte de mon côté … comme ça, pas de surprise possible en pleine nuit … Je me dis qu'avec les événements de cette journée,  je vais peut-être avoir un peu de mal à m'endormir, mais pas du tout, je plonge dans le sommeil sans difficulté et la conscience tranquille …


En effet, elle ne rentre pas de la nuit … pas plus le dimanche … ni dans la nuit de dimanche à lundi … Dans deux jours, nous serons en août et je serai en congé. Il y a … trois mois, nous avions prévu de partir chez des amis à elle dans le Sud-Ouest, pour une ou deux semaines. Evidemment, la question ne se pose plus, et je présume qu'elle les aura prévenus ou qu'elle le fera. 


Lundi matin, je quitte la maison pour aller terminer quelques bricoles chez des clients. Quand je rentre du travail, Christine n'est pas là. Ça ne change pas beaucoup, mais, en montant dans notre chambre, je trouve la porte de notre penderie ouverte. Alors que je m'apprête à la refermer, je m'aperçois que presque tous les vêtements de Christine ont disparu ! Je regarde dans le cellier … la grande valise aussi. Elle est partie. Je parcours la maison à la recherche d'un mot, d'une explication … rien. Où est-elle ? Je l'appelle sur son portable. Elle ne répond pas, elle doit filtrer les appels, reconnaître notre numéro. Je laisse un message sur son répondeur. Le lendemain, je recommence. Et puis, au bout de deux jours, je ne peux même plus lui laisser de message. Elle a blacklisté notre numéro ! Qu'à cela ne tienne, je l'appelle depuis le téléphone fixe d'un voisin à qui je fais croire que j'ai égaré mon portable et que j'ai une urgence. Ça marche, mais dès qu'elle reconnaît ma voix, elle raccroche. Je n'insiste pas.


Quelques jours passent. Pour m'occuper, je consulte notre compte en banque par Internet. Rapidement, je m'aperçois que, depuis la mi juillet, elle ne fait plus aucune opération sur notre compte commun. C'est bizarre. D'habitude, elle paie pratiquement tout par carte bancaire, comme moi ... mais là, rien … pas la moindre facture de courses … il est vrai que c'est moi que me paie cette corvée depuis début juillet … mais pas de facture de carburant non plus … pourtant, elle circule pas mal … pas  le moindre achat de vêtements alors qu'elle en a mis plusieurs que je ne lui connaissais pas … rien ! Elle fait comment ? Elle ne se ferait quand même pas payer en liquide pour se faire sauter ! Ou alors, elle se fait entretenir par un mec ? Patrick ? Il lui avait bien offert un flacon de parfum, en juin … Si ça se trouve, elle est avec lui et c'est lui qui paie … Mais il y a sa femme … Pour en avoir le cœur net, je vais l'espionner. Je me rends tout de suite compte que, dans la journée, il est chez lui, et le soir avec sa femme. Christine n'est donc pas avec lui. Un soir, tard, je retourne même au Huitième Ciel. L'enseigne au néon est éteinte et il y a un panneau blanc sur la porte. Je m'approche: « L'établissement est fermé du 1er au 31 août pour congés annuels ».


C'est notre banquier qui me met sur sa piste sans le vouloir. Il téléphone:

- Marin ?

- Oui.

- Salut, c'est Gilles. Tu peux me passer Christine ?

- Euh, non, elle n'est pas là.

- Tu peux lui demander de me rappeler ?


Oui, nous avons sympathisé avec notre banquier, surtout depuis que j'ai hérité pas mal d'argent de mes parents. Il lui veut quoi, à Christine ? Généralement, il n'a affaire qu'à moi. Et je lui dis quoi, à Gilles ? Qu'elle s'est barrée ? Son appel m'intrigue, alors:

- Non, je peux pas. Qu'est-ce qui se passe ?


Evidemment, il est surpris que je ne puisse pas demander à Christine de le rappeler:

- Ah, mais … je … comment … comment ça se fait que … que tu peux pas ?


Je le sens inquiet, presque paniqué … Bon, de toute façon, tôt ou tard, il saura que ça ne va pas entre Christine et moi. Alors je me lance:

- Ecoute … elle est partie … je ne sais pas où, et elle ne répond plus à mes appels …

- Ah bon ? ! ? ! Mais … 

- Ouais, on s'est sérieusement accrochés … Tu lui voulais quoi ?

- Ah merde ! Non, ben … tant pis … je vais voir, alors …

- Ben dis-moi … tu as l'air inquiet …

- Je … je vais me démerder … salut.


Et il me raccroche au nez. Je cogite. Ça a l'air d'être grave. J'ai envie de le rappeler … mais je pense qu'il ne m'en dira pas plus … je ferais mieux de descendre le voir … face à face, il n'osera pas se défiler … je me dépêche de me préparer … juste au moment où je m'apprête à sortir pour prendre ma voiture, il rappelle:

- C'est encore Gilles … bon … euh … en principe, je devrais pas te le dire, mais … Voilà, j'ai un souci avec Christine …

- Vas-y, raconte …

- J'ai pas reçu sa paie, fin juillet …

- T'as pas reçu sa paie ? Mais si, j'ai consulté notre compte il y a deux ou trois jours, et elle est passée … 

- Ouais … sur votre compte joint … mais en principe, elle devait passer sur un autre compte …

- Un autre compte ?

- Ouais … je devrais pas te le dire … le secret bancaire, même entre époux … mais voilà, il y a … je sais plus … trois semaines, elle m'a fait ouvrir un compte à son nom … toute seule …

- Ah bon ?

- Ouais … et elle m'a dit qu'elle allait faire virer sa paie sur ce compte … et je lui ai donné un chéquier et une carte bancaire …

- Et alors ?

- Ben … elle s'en sert, de son chéquier et de sa carte … le problème, c'est qu'il n'y a pas d'argent sur le compte …

- Et t'as pas son numéro de portable ?

- Si … enfin … celui qu'elle avait donné il y a un an ou deux, elle ne répond pas ... et je ne peux même plus laisser de message sur le répondeur de ce numéro-là … mais … toi, t'as pas son autre numéro ?

- Son autre numéro ? QUEL autre numéro ?


Je l'entends déglutir au téléphone:

- Ben, quand elle a ouvert son compte, elle m'a donné un autre numéro … un 07 … mais elle s'est assurée que je n'avais pas le droit de le communiquer … à personne … même pas à toi …


Ah oui … SURTOUT pas à moi … 

- Et alors ? Elle ne te répond pas non plus sur ce numéro ?

- Non … en fait, c'est pas ça … je pense … je pense qu'elle s'est trompée en me donnant ce numéro… je tombe sur quelqu'un d'autre … 

- Qui ?

- Une femme … non, mais c'est pas elle, c'est pas sa voix … et j'ai vérifié, je lui ai demandé ses coordonnées … c'est quelqu'un qui habite en Alsace, j'ai vérifié, j'ai son nom, son adresse  … c'est pas elle, c'est sûr ... et puis, je vois pas pourquoi elle se ferait passer pour quelqu'un d'autre auprès de moi ...


Ouais, l'Alsace, ça m'étonnerait qu'elle soit allée se planquer en Alsace. Au fond, ça ne m'étonne pas. Christine a toujours été fâchée avec les chiffres. Elle a dû en inverser en les donnant à Gilles. Il poursuit:

- Ce qu'il y a, c'est que ça commence à faire un gros découvert … bien plus que sa paie … et si je dois attendre sa paie du mois d'août, au rythme où elle fait des cartes bancaires et des chèques …

- Ben … prends le montant de sa paie de juillet sur notre compte joint …

- J'ai pas le droit de faire ça tout seul … il me faut un ordre de sa part … ou de la tienne …

- Et elle avait pas un compte sur livret à son nom ? 

- Si, mais il n'y avait plus grand chose dessus, et elle a pris le reste en liquide … alors si toi, tu n'interviens pas, compte tenu des circonstances, je vais avoir du mal à justifier ce découvert à ma hiérarchie …

- Compte tenu des circonstances ?

- Oui … si elle a ouvert un compte à son seul nom, c'est que, à ce moment-là, quelque chose n'allait pas entre vous … et logiquement, je ne devais pas compter sur ce que tu as chez nous …


Ah OK ! Il est coincé. Et tant qu'à se faire taper sur les doigts, il préfère que ce soit pour avoir failli au secret bancaire plutôt que pour avoir un gros mécompte … Je pourrais lui suggérer de mettre une opposition sur la carte bleue de Christine, ça lui couperait les vivres, mais, telle que je la connais, ça ne la ferait pas revenir pour autant, ni me contacter. Elle est capable de se faire dépanner par des amis ou par sa famille. Et par ailleurs, ces dépenses en carte bancaire, c'est le seul fil qui peut me relier à elle et me permettre de savoir où elle est et ce qu'elle fait. Immédiatement, je vois l'avantage que je pourrais tirer de la situation … avec Gilles, ce sera donnant-donnant. J'entends le banquier se racler la gorge:

- Euh … est-ce que tu pourrais … faire … quelque chose ?

- Je voudrais que tu me communiques le détail de ce qui passe sur son compte … factures carte bleue et chèques ... le nom et la localisation des commerces, la date, le montant … tout !

- J'ai pas le droit.

- T'avais pas le droit de me dire qu'elle avait ouvert un compte personnel … et ça ne t'a pas gêné … alors écoute, je vais être clair, c'est donnant-donnant  … tu me donnes tout ça … ou mieux, tu fais en sorte que je puisse consulter son compte par Internet … et je couvre son découvert …

- …

- Alors ?

- Tu me garantis que tu luis diras pas, si je le fais ?

- Je te garantis seulement que t'auras pas d'emmerdement avec ta hiérarchie pour son découvert … 

- Bon OK. Je fais le nécessaire … et je te rappelle pour te donner les codes d'accès …

- Très bien, salut …

- Salut … et merci.


Bon, il a vu où était son intérêt. Il faut dire que depuis que j'ai touché  la succession de mes parents – pas mal d'argent – il est aux petits soins pour moi. Une demie heure après, il me rappelle et me donne les codes d'accès. Waouhhhh ! En effet, elle a fait chauffer sa carte bancaire ! Aussitôt, je fais un virement du montant de la paie de Christine depuis notre compte joint sur son compte individuel. Ça ne couvre pas tout, mais ça va rassurer Gilles ... et pour le reste, je ferai d'autres virements au fur et à mesure des besoins …


Maintenant, je peux savoir ce qu'elle a fait depuis environ une dizaine de jours. A part quelques dépenses courantes au cours de la dernière quinzaine de juillet … pharmacie, boutique de vêtements, mécanicien auto … la première chose que je remarque, c'est une série de factures de stations service et de péages d'autoroute tout de suite après qu'elle ait disparu. Le dernier péage à Agde-Pézenas. Agde-Pézenas … qu'est-ce qu'elle est partie faire là-bas ? Je pense tout de suite à la réputation d'Agde et du Cap d'Agde … j'ai entendu dire que c'est non seulement un point de rendez-vous pour les naturistes de toute l'Europe, mais surtout que c'est celui des libertins, des échangistes et autres partouzeurs … Il y aurait une plage réservée aux naturistes et une autre réservée aux libertins où ça baiserait en public à couilles rabattues, au point qu'elle est surnommée la Baie des Cochons. Oui, c'est sûrement pour ça qu'elle est partie là-bas … mais toute seule ou en compagnie ? Et dans ce cas, avec qui ? 


Et puis, je détaille soigneusement les autres factures, tout au long de son parcours … elle a payé 84 €uros dans une brasserie sur une aire d'autoroute  … 84 €uros ! Putain, 84 €uros dans un restaurant d'autoroute ! Pour elle toute seule, c'est pas possible ! Elle n'était pas seule … mais combien ils étaient ? Et à la même date, 67 €uros dans un hôtel … dans un hôtel ? Elle aurait fait le voyage en deux étapes, avec une nuit à l'hôtel ? Mais non, c'est la même date que celle des péages à Clermont-Ferrand et à Agde ! Elle a fait tout dans la même journée, avec un arrêt dans un restau et un autre dans un hôtel ? C'est con, j'ai bien la date des factures, mais pas l'heure. Alors je cherche où se trouvent ce restau et cet hôtel … le premier est sur l'aire d'autoroute de l'Allier et l'autre sur celle des volcans d'Auvergne … et il n'y a que 50 kilomètres entre les deux ! Ça va, j'ai compris … à mon avis, elle était avec un mec et après avoir mangé, ils ont eu une urgence et ils se sont arrêtés dès qu'ils ont trouvé un hôtel … coup de chance, il y en avait un pas trop loin sur l'autoroute elle-même … elle était avec un mec ... ou avec plusieurs mecs, parce que 84 €uros à deux dans un restau d'autoroute … Alors, soit elle est partie d'ici avec trois ou quatre types, soit elle les a ramassés en route … peut-être en train de faire du stop …


Et puis, après le péage d'Agde, rien d'autre qu'une station service … 55 €uros. Ça correspond à un plein de carburant.  Rien pendant deux jours, puis une facture d'une trentaine d'€uros: "CAMP.NATURE LIBERTÉ AGDE". Je cherche sur Internet. CAMPING NATURE ET LIBERTÉ ! En fait de camping "nature", c'est un camping naturiste à Agde. Un camping naturiste … à Agde ! Sur son site Internet, rien de choquant, on explique même que c'est familial. Ce n'est même pas vraiment un camping … il n'y a que des mobil home et des chalets de luxe. J'hésite, puis je me décide à appeler:

- Bonjour ! Nathalie du Camping Nature et Liberté à votre service. En quoi puis-je vous être utile ?


C'est la voix d'une femme mature à l'accent méridional très prononcé.

- Bonjour. Une amie devait descendre chez vous il y a un jour ou deux. Elle devait me dire si elle était bien arrivée, et je n'ai pas de nouvelles. C'est pas normal. Est-ce que vous pourriez me confirmer qu'elle est bien arrivée ?

- Monsieur, elle n'a pas le téléphone, votre amie ?

- Si, elle a le téléphone, mais je n'arrive pas à la joindre et je commence à être inquiet.  

- Elle s'appelle comment votre amie ?


Je lui dit.

- Je note, monsieur. Un moment, je vous prie, monsieur. Muriel … dis, Muriel, tu peux regarder si on a ce nom, depuis un jour ou deux ? Tiens, là, sur ce papier …


Je l'entends poser le téléphone. En bruit de fond, plusieurs voix .. on parle allemand et français. Ça doit être l'accueil du camping. Pendant que Muriel cherche, celle qui m'a répondu, Nathalie, s'occupe d'un client. J'entends Muriel:

- Non, je l'ai pas, ce nom …


Le même accent méridional.

- Tu es sûre, hein ? Tu as regardé dans les colocs ?

- Les colocs ? Ah non.

- Regarde, alors, s'il te plaît. Tu sais, c'est l'autre liste …

- Ah oui, c'est vrai. Attends … ah oui, je l'ai ! Elle est au trente deux … ah oui, elle est chez le lyonnais … elle est arrivée le … le 5

- Merci ma chérie … 


Je l'entends reprendre le téléphone:

- Allô ? Monsieur ?

- Oui. Je vous écoute.

- Elle est bien là, votre amie. Elle est arrivée le 5 et elle est au chalet numéro trente deux.

- Au chalet 32 ? Elle a loué un chalet ?

- Non .. elle sous-loue, si vous voulez … c'est un chalet occupé par un monsieur de Lyon … vous savez comment ça marche, chez nous ?

- Euh non … expliquez-moi …

- Et bien, certaines personnes nous louent un GRAND chalet ou un GRAND mobil home et comme ça, ils peuvent … recevoir … même des gens qu'ils connaissent pas … vous voyez ce que je veux dire ?

- Pas vraiment …

- Hé, monsieur … on est au Cap d'Agde ! C'est une station balnéaire libertine, vous savez … 

- Oui, je sais, mais …

- Et bien … nous, on est un camping naturiste familial, hein … mais autour, il y a des hôtels, des clubs, des restaurants VRAIMENT libertins … comme le Village Naturiste Libertine par exemple … et celui-là, quand il est complet, les gens se rabattent chez nous, mais seulement pour l'hébergement, hein … pas pour le reste. A l'entrée du Village Naturiste, il y a un panneau d'affichage où n'importe qui peut laisser une annonce … pour des rencontres coquines ou même pour proposer un hébergement … et plus si affinités, comme on dit … vous comprenez ?

- Oui, je comprends.

- Alors, notre résident, le monsieur de Lyon, avait dû laisser une annonce dans ce genre, et votre amie l'aura trouvée … d'accord ?

- D'accord.

- Après, nous, hein, ce qui se passe entre les résidents et les gens qu'ils reçoivent, ça nous regarde pas … du moment qu'ils sont discrets, ou qu'ils vont faire ça ailleurs … dans les clubs spécialisés ou à la Baie des Cochons par exemple … et qu'ils paient pour leur séjour, évidemment …

- Evidemment. Bon, j'ai compris. Je vous remercie.

- A votre service, monsieur. Au revoir.

- Au revoir.


Elle pouvait difficilement être plus claire. Et c'est bien ce que je pensais. En fait, dans une certaine mesure, ça me rassurerait plutôt qu'elle soit là-bas plutôt qu'ailleurs. D'après ce que j'ai vu sur Internet, le Cap d'Agde, certes, c'est le paradis du cul, mais au moins, c'est structuré, canalisé, et elle pourra trouver ce qu'elle cherche dans un milieu disons ... civilisé. C'est mieux que si elle était partie totalement à l'aventure, avec le risque de tomber sur je ne sais quel tordu. 


Je sais où elle est. Et si je ne sais pas avec qui elle est, au moins, je me doute de ce qu'elle fait. L'idée me vient bien de descendre aussi au Cap d'Agde … mais pour quoi faire ? La convaincre de rentrer ? Ce serait peine perdue. L'espionner ? Bof, à quoi ça servirait ? Laissons la assouvir ses envies de cul et peut-être se lasser … Je me contente de regarder passer ses factures de carte bancaire et de couvrir son découvert de temps à autre. Au cours des presque trois semaines qui suivent, si la surveillance de son compte ne me dit pas précisément ce qu'elle fait, au moins, je vois qu'elle est toujours à Agde, avec quelques escapades ici ou là … Sète, Valras, Béziers …


Trois jours avant la rentrée des classes, elle réapparaît, bronzée. Evidemment, elle n'est pas dans de meilleures dispositions à mon égard. Pour la forme, je lui demande où elle était passée au cours de ce mois d'août, me gardant bien de lui dire que je le sais. Elle ne me répond pas. Je lui explique quand même que j'ai payé ses dépenses, au fur et à mesure que la banque me signalait leur arrivée. « Et alors ? ». Elle a l'air de trouver ça normal. Cette fois, sa paye est bien arrivée sur son nouveau compte. 


Elle reprend le travail et, tout comme au cours du mois de juillet, certains soirs, elle rentre au milieu de la nuit. Puis il lui arrive de ne pas rentrer du tout et de ne repasser par la maison que deux ou trois jours plus tard. Je ne sais toujours pas où elle vit dans ces moments-là. Comme je me suis fait à l'idée que ça ne s'arrangera pas entre nous, je finis par lui proposer de divorcer. Pas de réponse. Un jour, alors que, venue chercher quelques vêtements à la maison, elle en profite pour prendre un bain, je trouve, dans le salon, son téléphone portable à côté de son sac à main, et, coincée sous le téléphone, une page arrachée d'un agenda … griffonnés à la main, deux numéros de téléphone … un en 01 et un en 07. Je m'empresse de les noter. Une fois qu'elle est partie, je les appelle. Le premier, c'est le Huitième Ciel, du moins son répondeur avec un message publicitaire. Quand on répond au numéro en 07, je reconnais immédiatement la voix … c'est Mamadou ou un de ses frères … cet accent africain … et cette intonation autoritaire, c'est plutôt Mamadou ! Je raccroche. Elle a dû retourner au Huitième Ciel, ou obtenir ces numéros je ne sais comment, parce que je suis sûr que quand nous avons quitté le club, ce fameux soir de juin, elle n'avait strictement rien dans les mains et elle ne portait que sa petite robe transparente … donc pas le moindre endroit où dissimuler ne serait ce qu'un petit bout de papier avec des numéros de téléphone. J'ai la conviction qu'elle est retournée là-bas … et sans doute qu'elle s'y donne encore en spectacle en s'ébattant avec les trois frères … Putain, elle est donc accro à ce point à leurs bites, à ces trois sénégalais ?


Et puis, un soir, quand je rentre du travail, cette fois, c'est la totalité de ses vêtements et de ses chaussures qui ont disparu, avec une autre valise … ainsi que des papiers personnels et sa documentation professionnelle ! Pas un mot, pas une explication. Cette fois, je ne vais pas attendre qu'elle me dise si elle est d'accord ou pas pour divorcer … je vais entamer la procédure. Dès que je peux, je fais constater son départ par un huissier et je cherche un avocat. Evidemment, je dors mal et, à force de ressasser tout ça, une idée me vient … le constat d'huissier, ça serait sûrement suffisant pour obtenir le divorce, mais en plus,  je veux lui faire mal ! Aussitôt, je me relève et je cherche les coordonnées d'un détective sur Internet. Putain, ça ne manque pas ! J'en choisis un pas trop près de chez moi et je lui adresse immédiatement une demande de rendez-vous par mail.


Je rencontre cet enquêteur deux jours plus tard. Je lui explique tout dans le détail, y compris la séance au Huitième Ciel, et toutes ses séances de baise à la maison … et je lui donne tous les noms et les adresses que je connais: son collègue Patrick, le Huitième Ciel, le camping du Cap d'Agde et je lui parle de ce "monsieur lyonnais" … J'évoque aussi ses arrêts au restaurant et à l'hôtel sur l'autoroute et je lui donne les dates et les montants. Malheureusement, je n'ai que ça, mais pas les factures elles-mêmes. Le détective me dit qu'il verra, mais qu'a priori il ne faut pas attendre grand chose de ce côté là. Je lui donne aussi deux photos de Christine et un bon acompte, et il s'en va en m'assurant qu'il me donne des nouvelles dès qu'il a quelque chose.


Mais Christine m'a pris de vitesse: le samedi suivant, le facteur me remet un recommandé. C'est une demande de divorce. Elle avait déjà lancé la procédure. Je ne sais toujours pas où elle est, ni avec qui … comme adresse, elle a donné celle de son avocate. Qu'à cela ne tienne, je laisse le détective continuer. Et je ne regrette pas: ce mec, c'est un bon ! Je m'en rends compte au bout d'une dizaine de jours, quand il vient me faire son rapport. D'emblée, il m'annonce:

- Bon, vous allez être content ! Avec ce que j'ai, votre divorce, ça fait pas un pli … ça sera à ses torts exclusifs, à votre femme … Ce qui s'est passé en juillet, et que vous m'avez raconté, c'est très bien, mais en fait, avec ça, c'est comme si vous n'aviez rien,  … pas de preuves … Là, des preuves, j'en ai … et du lourd !

- A ce point ?

- Oh oui, à ce point. Mais … est-ce que vous êtes prêt à tout voir ? Je vous préviens, c'est plus que chaud, hein …

- Ça ne fait rien, je veux voir. J'en ai déjà vu pas mal de mes propres yeux, mais ce que je veux, maintenant, c'est des preuves …

- Bon, comme vous voulez. Vous allez en avoir, des preuves !


Il commence par m'expliquer. Il a d'abord pensé filer Christine à la sortie de son école, pour voir où elle habite et avec qui. Mais il s'est dit que, ça, ça pouvait attendre, et il a préféré commencer par le reste. Alors, dès le samedi qui a suivi notre rencontre, il est allé planquer devant le Huitième Ciel avec sa femme. Vu le genre de l'endroit, il s'était dit que ce serait plus facile d'entrer s'il arrivait en couple plutôt que tout seul. Bingo ! Christine s'est pointée sur le coup des vingt-trois heures … seule. Elle a embrassé les deux gorilles de l'entrée, comme si elle était une habituée du club. Mon détective et sa femme sont entrés dans le club en se faisant passer pour un couple de provinciaux tentés par l'échangisme et venus tester cette boîte qu'ils ne connaissaient pas. Les videurs à l'entrée se sont un peu fait prier, prétextant une soirée plus ou moins privée et ils ont fini par céder devant un billet de cent €uros. J'avais prévenu mon enquêteur que s'il entrait au Huitième Ciel, il ne pourrait pas faire de photos avec son smartphone. Il m'avait répondu que, pour lui, ça ne serait pas un problème, qu'il était équipé pour … Il propose de me montrer. Il s'assoit à côté de moi, sort sa tablette et l'allume:

- Bon, je vous le dis, avec ma femme, on n'est pas restés jusqu'à la fermeture … à peu près deux heures, seulement … Mais vous verrez, ça n'aurait servi à rien de rester plus longtemps … on en avait largement assez avec ce que j'ai pu filmer.


D'après les angles de vue, mon enquêteur a sans doute filmé avec une micro caméra intégrée à des lunettes posées sur son nez. D'ailleurs, il me touche le poignet pour attirer mon attention, et:

- J'ai filmé avec ça.


De la poche de poitrine de sa veste, il sort à moitié une paire de lunettes à grosse monture noire. Ce qu'on voit sur sa tablette est étonnamment net. D'après les premières images qu'il me montre, la soirée commence comme ce vendredi soir fatidique de juin, par une séquence de danses. Mais Christine est déjà en mains avec le "latin lover". Tout de suite, je remarque qu'elle s'est fait couper les cheveux … très court … quatre ou cinq centimètres … et elle est maintenant d'un blond clair … Ça lui va très bien et ça la rajeunit un peu. Bêtement, je m'attendais à la trouver dans la même mini robe que ce soir de juin dernier. En fait, elle porte une autre robe que je ne lui connais pas, sans manches, en tissu imitation lamé de couleur argent, hyper courte et hyper moulante, et qui a déjà commencé à lui remonter sur les fesses. Putain, ça commence fort ! Je sais bien que le détective et sa femme ne sont pas entrés dans la boîte tout de suite après Christine, mais elle n'a vraiment pas perdu de temps ! Je remarque tout de suite qu'elle ne porte ni petite culotte, ni même de string. Elle a déjà eu le temps de l'enlever entre le moment où elle est entrée dans la boîte et l'arrivée du détective et de sa femme ? Ou alors, elle n'en avait pas mis. Elle fait vraiment salope, comme ça, avec le bas de sa robe au ras de la moule. L'autre, le Jo, la tripote ouvertement. A leur attitude, à tous les deux, on sent qu'au-delà de ces attouchements, ils se connaissent bien. Elle avait déjà dû revenir avant ce soir là. Pendant que je regarde, je sens que le détective m'observe, et guette mes réactions. Brusquement, il arrête la vidéo:

- Vous êtes vraiment sûr que vous voulez voir la suite ?

- Oui.

- Je vous ai dit … la suite, c'est plus que chaud … j'ai tout filmé, mais là, ce que je vais vous montrer, c'est seulement un "échantillon" … j'ai fait un montage du plus … représentatif.

- Allez-y, montrez. Vous savez, la première fois qu'on est allés dans cette boîte, elle s'est fait baiser à la chaîne devant moi par cinq types …

- Ouais, ben là …


Il secoue la tête avec l'air de dire "Ouais, ben là, c'est encore pire ! ", et il relance la vidéo. En effet, sur "l'échantillon" qu'il me montre, on n'assiste pas à la progression de la soirée. Sans aucune transition, on passe des manœuvres d'approche du "latin lover" à une véritable orgie … sur les images que le détective fait défiler, Christine est maintenant complètement à poil … et cette fois, elle ne se contente pas du "latin lover", de Morad et des trois frères sénégalais … elle se fait peloter et tripoter par … plein de mâles … et puis, après une série de courtes séquences de ce genre, la voilà à genoux au milieu de la piste de danse, en train de sucer des mecs … plusieurs mecs … plus ou moins longuement … cet "échantillon" est un montage d'une multitude de très courtes séquences … quelques secondes tout au plus … mais le détective a pris un tel soin pour filmer chaque mec qu'elle suce que l'on voit bien que ce n'est pas toujours les mêmes … en une trentaine de secondes, je compte au moins une dizaine de types différents … en fait, elle prend en bouche toutes les bites qui se présentent à elle ! Je l'ai déjà vue en action en direct, mais ce que le détective me montre, comme ça, en vidéo, ça me … j'en ai le souffle coupé, le cœur qui s'emballe et des espèces de frissons dans la nuque … putain, il n'y a rien à faire, j'aime ça et, cette fois encore, ce spectacle réveille quelque chose dans mon bas ventre. De nouveau l'enquêteur arrête sa tablette:

- Avant d'aller plus loin, faut que je vous prévienne … la suite est encore pire que ça … Je vous cache, pas, avec ma femme, on n'avait encore jamais vu ça … de la part d'une non-professionnelle, je veux dire … pourtant, je peux vous dire … on en a vu !

- Ça fait rien, allez-y, montrez.

- Bon. Mais avant que je vous montre la suite, il faut que vous voyez ce qu'il y avait dans le hall d'entrée … vous savez, là où on laisse ses affaires et son téléphone … vous voyez où ?

- Oui, je vois …

- On l'avait pas vu en entrant … seulement en repartant, mais je l'ai filmé quand même … vous verrez, ça explique ce qui se passe ensuite …


Il redémarre sa tablette. Il a filmé le panneau que j'avais remarqué quand nous étions venus en juin, celui où des affiches annonçaient des soirées "spéciales". Là, après une affiche annonçant une "soirée Lingerie" et une "soirée Sex toys", il s'attarde longuement sur une autre annonçant, justement pour ce samedi, une "soirée spéciale Christine" ! Une "soirée spéciale Christine" ! ? ! ? Ça veut dire quoi, ça ? Et il n'y a aucun doute, il s'agit bien de Christine … de MA Christine, puisque l'affiche est assortie d'une photo d'elle en pied, visiblement prise dans le club … Christine, totalement nue, encadrée par deux grands et jeunes types … dans les 25 ans … plutôt bien foutus et musclés … ils me rappellent un peu les deux rockers qu'elle avait amenés à la maison ce samedi de fin juillet … deux types, donc, également totalement nus, qu'elle tient par la taille et qui ont passé tous les deux un bras sur ses épaules ... et du côté du bas ventre, ils sont dans un état ... disons qu'ils sont motivés, ces deux mecs ... à mon avis, soit ils sortaient d'une partie de cul avec Christine, soit ils s'apprêtaient à en commencer une ... Sur cette photo, elle n'a pas encore les cheveux coupés . Pour avoir fait cette photo dans ce club, c'est qu'elle y est déjà revenue au moins une fois. Alors, le Huitième Ciel aurait organisé une soirée spécialement pour elle ! ? ! ? Mais ça veut dire quoi, exactement, une "soirée spéciale Christine" ? Que s'est il passé, exactement, après qu'elle ait sucé tous ces types ? Après toutes les précautions oratoires de mon détective et ses avertissements sur la suite, au fond de moi, je le devine, ce qui s'est passé … et que, maintenant, je vais voir.


Le détective reprend:

- Vous savez, pour moi, c'est pas naturel, de se comporter comme ça … à mon avis, votre femme, elle avait pris quelque chose …

- Quelque chose ?

- Ouais, dans ces boîtes, il circule toujours un tas de saloperies … de la drogue, du GHB, des poppers …

- Du GHB ?

- Oui, le GHB … c'est la drogue du violeur …

- Ah oui, je connais, j'en ai entendu parler … mais vous savez, je pense pas que les types qui la tripotent et qui se font sucer ont eu besoin de lui faire prendre quoi que ce soit … la première fois qu'on est venus là-dedans, elle n'avait rien pris à part un peu d'alcool … et pourtant …

- Ah, peut-être … mais des fois, c'est les femmes elles-mêmes qui prennent ces trucs là parce que ça a des effets désinhibiteurs et euphorisants … Il y a aussi les poppers … ça, c'est des excitants … Elle a pu prendre volontairement un truc dans ce genre … en tout cas, pour moi, c'est sûr, elle avait pris quelque chose, votre femme … Bon, alors, on continue ?

- On continue.


En effet, après tous ceux qu'elle s'est tapés au cours du mois de juillet, Christine a franchi un nouveau palier dans la débauche ! Là encore, pour "l'échantillon" qu'il me montre, l'enquêteur n'a gardé que de courtes séquences et en a fait un montage. Il a regardé et filmé Christine de vraiment très près, mêlé aux autres voyeurs, comme moi ce soir de juin. Ce que je vois est ... époustouflant ! Mon enquêteur a beau m'avoir averti, je suis scotché … je ne suis pas étonné, en fait, mais c'est tellement … je sens mon pouls s'accélérer … je sens le sang batte à mes tempes … une bouffée de chaleur m'envahit … Dans ces nouvelles séquences, comme l'autre jour en juin, elle se retrouve sur le matelas au milieu de la piste de danse. Mais cette fois, ce n'est pas avec quatre ou cinq types … ce n'est pas une orgie, c'est un véritable gangbang, une tournante. Elle se fait prendre successivement par … je ne sais combien de types, dont au moins deux des frères sénégalais … et dans toutes les positions … debout, sur le dos, en levrette … les types, la bite à la main, attendent leur tour pour lui passer dessus … tout ça dans une ambiance démentielle … on entend le DJ brailler des commentaires au micro, on entend les spectateurs discuter, commenter, rigoler… quand un type en a terminé avec elle, c'est Christine qui invite le suivant à venir la … la baiser … à plusieurs reprises, à quatre pattes sur le matelas, elle taille une pipe à un type pendant qu'un autre la fourre … 

 

à suivre ... 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 14 mai 2018 1 14 /05 /Mai /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Se tenant de la main gauche au dossier de la chaise, Christine est comme suspendue au-dessus du ventre de son jeune amant … les doigts serrées sur sa verge, elle incline la bite du type vers sa chatte et …  alors que je m'attendais à la voir finir de plier les genoux et s'empaler sur ce membre en s'affaissant, elle … elle se contente de frotter le gland du type entre ses petites lèvres … elle lui fait faire des allers et retours sur son clitoris et entre ses petites lèvres … elle avait déjà fait ça avec la bite de ce Jo, debout au milieu de la piste de danse au Huitième Ciel … bouche grande ouverte et nuque cassée en arrière, elle gémit de plaisir … Visiblement, le type a été surpris …  comme moi, il devait s'attendre à ce qu'elle enfonce sa bite dans son vagin … mais ce qu'elle lui fait semble quand même beaucoup lui plaire … il a compris ce qu'elle veut et, les yeux toujours braqués sur son gland qu'elle continue de presser et de frotter contre sa chatte, il se laisse faire … Rapidement, d'où je suis, je me rends compte que, maintenant, son gland et la partie de sa verge que Christine fait glisser entre ses petites lèvres sont déjà tout luisants de … de mouille … elle est tellement excitée, elle lubrifie tellement que sa chatte répand sa sève en abondance … Rien qu'à regarder, c'est super excitant ! Alors j'imagine ce que ce mec ressent … ce que sa bite ressent ! A son tour, le dos calé contre le dossier de sa chaise, il rejette sa tête en arrière et, les yeux fermés, il se délecte de ce délicieux va et vient … 


Christine est revenue il y a à peine un quart d'heure, avec ces deux types qu'elle est allée racoler dans un hôtel de luxe de la région .. deux jeunes types, tout juste une trentaine d'années, un brun, un blond, plutôt beaux mecs et qui font partie d'un groupe de rock, si j'ai bien compris … et tout de suite, les choses ont été claires: elle les a amenés à la maison pour baiser, ils savaient que je serais là et que j'assisterais à leur partie de jambes en l'air … elle les a entraînés dans le jardin, à l'ombre des grands noisetiers, et, avec le brun, il ont commencé à se rouler des pelles et à se tripoter … ce mec est équipé d'une bite vraiment hors norme, longue et large … elle l'a déjà un peu branlé, et surtout, elle l'a sucé … Christine et lui sont maintenant tous les deux complètement à poil … le blond, lui, est vautré sur un transat à côté d'eux, et il les regarde en se caressant … et comme ma présence n'a pas l'air de les déranger, je me suis assis à deux ou trois mètres d'eux et, moi aussi, je me tripote …  Bizarrement, alors que, jusqu'ici et depuis le début du mois, elle s'était montrée hostile à mon égard, et même agressive, aujourd'hui, elle a radicalement changé de comportement … elle m'a parlé, presque gentiment, et j'ai même l'impression qu'elle est plutôt contente que j'assiste à ses ébats avec ses deux jeunes étalons … j'en arrive à me demander si ça ne cacherait pas quelque chose et si elle ne me préparerait pas je ne sais quelle nouvelle saloperie … mais on verra bien, et, en attendant, je profite … 


Pour le moment, Christine continue de se donner du plaisir en frottant le gland de son jeune amant entre ses petites lèvres et sur son clitoris. Si c'était à moi qu'elle faisait ça, je sais bien que je ne tiendrais pas aussi longtemps que ce mec … je jouirais comme ça, dans sa main, sur mon ventre … ou alors il faudrait qu'elle fourre ma bite sans tarder dans sa chatte … mais lui, ce type, il tient le coup … moi qui me contente de les regarder, j'ai dû arrêter de me tripoter … j'étais déjà au bord de l'éjaculation … je dois presser mon propre gland entre mes doigts pour faire retomber mon excitation et me retenir … elle continue donc de se donner du plaisir avec le sexe de son amant, et je réalise qu'elle se sert de la bite de ce mec comme d'un vibromasseur, à ceci près que cette bite ne vibre pas … mais son contact avec sa vulve et son frottement semblent lui procurer les mêmes sensations … cela dit, à mon avis, cette espèce de … de masturbation mécanique n'est pas seule responsable de son plaisir … je pense qu'il y a aussi une grande part cérébrale … la perspective de bientôt s'enfoncer ce membre hors norme dans le ventre … la perspective de se faire prendre et inséminer par cet inconnu … par CES inconnus … la perspective de se faire baiser devant moi … le fait d'avoir réussi à séduire deux nouveaux étalons  … deux jeunes et beaux étalons … bref, je ne sais pas exactement ce qui se passe dans sa tête à elle à ce moment, mais à moi, tout ces pensées contribuent à mon excitation en plus du seul spectacle de leur … de leur fornication … son gémissement s'est mué en un feulement entrecoupé de grognements …


Soudain, le "jeune étalon" se redresse et je le vois saisir le poignet de Christine … il interrompt son va et vient, il se redresse et la presse contre lui … le visage dans son cou, il lui parle … je n'entends pas le début de sa phrase, mais ça finit par:

- … jouir !

- Ah non ! Pas maintenant ! Attends, attends, retiens-toi !


Elle est instantanément redescendue du petit nuage sur lequel elle était … elle se relève un peu au-dessus des cuisses du type … elle serre toujours sa bite et, les yeux braqués dessus, elle s'inquiète:

- Ça va ? Tu … tu tiens le coup ?

- Oui … ça va … ça va aller …


Il a lâché le poignet de Christine et plongé sa main entre ses cuisses … je ne vois pas ce qu'il fait, mais je pense qu'il serre la base de sa verge pour stopper les premiers soubresauts de son éjaculation … Christine ôte sa main de sa queue:

- T'es sûr, hein ?


Je la sens prête à … à je ne sais quoi … mais telle que je la connais depuis un mois, je suis sûr que si le type n'arrivait pas à se retenir, elle s'empresserait de s'empaler sur sa bite ou elle la prendrait dans sa bouche pour ne pas perdre le précieux nectar qui pourrait s'en échapper …

- Ouais, ça va …

- Bon … c'est bien …


Elle se penche et murmure quelque chose à l'oreille de son amant. Il hoche la tête:

- Ouais, d'accord …


Elle me jette un coup d'œil et finit de se relever. Lui, serrant toujours sa queue, me regarde aussi. Elle recule et se tourne vers l'autre, le jeune type blond, toujours vautré dans le transat, toujours la main dans son bermuda … à la façon dont il la regarde et sourit, je me rends compte qu'il a compris … ça va être son tour, elle va s'occuper de lui … mais elle ne bouge pas, elle reste debout à côté du type brun … et lui, le blond, il regarde fixement Christine au niveau de … au niveau du bassin … non, plutôt au niveau de sa chatte … qu'est-ce qui se passe … pourquoi elle reste là sans bouger … elle attend quoi … elle me tourne le dos et je ne vois ni son expression, ni ce qu'elle fait … ah, mais si, elle bouge … elle a légèrement écarté les pieds et elle ondule imperceptiblement du bassin ... ah oui … je ne vois que le haut de ses bras, au-dessus des coudes … elle a ses deux avant-bras devant elle, et … et elle est … oui, elle est en train de … de se masturber … peu à peu, elle fléchit les genoux, agite son bras de plus en plus vigoureusement … elle me tourne toujours le dos, mais des gémissements mêlés de halètements me parviennent … Le type blond, est fasciné … les yeux rivés sur le ventre de Christine, la mâchoire tombante, je le vois déglutir plusieurs fois … il n'en revient pas du spectacle qu'elle lui donne … maintenant, sa queue dépasse de son bermuda et lui aussi se branle de plus en plus énergiquement … il faut dire … voir cette femelle nymphomane se masturber aussi impudiquement devant lui et se dire qu'il ne va pas tarder à se la taper, je comprends que ça l'excite …


- Rhââââââââââââââââââââhhhhh !


C'est Christine qui vient de pousser ce râle ! Elle s'est redressée … je l'entends haleter, essoufflée. Elle a joui ? Oui, je suis presque sûr qu'elle a joui ! Elle rit et elle s'approche du type blond:

- A toi, maintenant …


Il déglutit encore … il serre toujours sa bite, mais il a stoppé sa masturbation. Elle s'agenouille sur le transat entre les jambes du jeune type, elle se penche sur lui, et, appuyée d'une main sur le coussin, des doigts de son autre main, elle effleure le gland qui émerge du bermuda … je suis sûr … je suis sûr qu'elle va le sucer ! Décalotté, tout gonflé et luisant de mouille comme il est, pour elle, c'est une friandise … il lui fait forcément envie, il doit la faire saliver … Yessss ! Elle finit de se courber et elle le prend dans sa bouche … la queue de ce mec est beaucoup moins grosse que celle de son pote, mais hhhmmmm, ce qu'elle doit être bonne ! Putain, je réalise que je suis en train de saliver ! Voilà Christine, le cul en l'air, la chatte offerte … et je vois ses seins qui caressent les genoux du type … lui ne sait pas trop quoi faire de ses mains … il les tient un peu écartées au-dessus des épaules de Christine, comme s'il n'osait pas la toucher … Vas-y, mec, touche-la ! Elle, elle te touche, elle est en train de te sucer la bite ! Et tout à l'heure, ta bite, tu vas lui fourrer dans la chatte … alors, vas-y, touche-la, pelote-la ! Tout en le suçant, elle a glissé sa main à l'intérieur du bermuda et elle est certainement en train de lui tripoter les couilles … puis sans sortir sa bite de sa bouche, elle ressort sa main et essaye de descendre le bermuda sur les cuisses du type … en vain … le bermuda, coincé sous les fesses du type, refuse de glisser … alors Christine se redresse brusquement, comme agacée, elle saisit les deux pans du bermuda et entreprend de le lui ôter … il appuie ses mains sur le transat, et soulève son bassin … Ah, voilà ! Christine peut enfin déculotter son jeune étalon blond … fébrilement, elle descend le bermuda sur ses chevilles, elle lui ôte ses mocassins et finit de lui enlever son short qu'elle laisse tomber au pied du transat. 


- Enlève ça !


D'un geste autoritaire, elle a soulevé la chemisette du type et elle se réinstalle entre ses jambes. Pendant qu'elle se penche à nouveau sur son ventre, il s'empresse de passer sa chemisette par-dessus sa tête … le voilà à son tour complètement nu … Putain, ils sont tous les trois à poil … C'est … waouhhhhh ! Christine et deux jeunes types qu'elle a ramenés à la maison pour baiser … complètement à poil … au beau milieu de notre jardin … C'est … c'est beau … c'est érotique … ILS SONT beaux et érotiques ! Je les trouve d'autant plus beaux et érotiques, tous les trois, que je sais qu'ils ne sont pas là simplement pour faire du naturisme … il suffit de voir les bites en érection de ces deux types et la chatte impudiquement exhibée de Christine pour se rendre compte qu'ils vont baiser tous les trois … ces deux jeunes types vont prendre Christine, ils vont lui faire l'amour, ils vont la BAISER ! Pour le moment, elle est en train d'en sucer un alors que l'autre, le brun, est toujours vautré sur sa chaise, un peu à l'écart … il serre sa bite dans sa main droite et il se masturbe doucement en contemplant les deux autres … Il vaudrait mieux qu'il se joigne à eux, qu'il participe … je sais pas, il pourrait fourrer Christine pendant qu'elle taille une pipe à son pote … il faudrait qu'ils soient tous les deux sur elle … putain, qu'est-ce qu'il attend, ce mec … ça me démange de lui dire "allez, vas-y, rejoins-les et baisez-la à deux !".


C'est comme s'il m'avait entendu réfléchir, le voilà qui tourne la tête vers moi, me regarde, et, dans ses yeux, comme tout à l'heure, je lis provocation, défi et arrogance: « regarde, ta femme, maintenant, elle suce mon pote … tu vois comme elle aime ça, la bite ? Et bien, c'est nous qui allons la baiser, ta femme … elle est à nous, ta femme … et on va la baiser devant toi … ». C'est comme un réflexe, mes yeux plantés dans les siens, d'un coup de menton, je désigne le couple sur le transat et je lui lance:

- Et ben … qu'est-ce que t'attends ? Vas-y !


Surpris, il hausse les sourcils, et il se lève … Oh, putain ! Maintenant qu'il est debout, je le vois … en entier ! Et surtout, je vois son … son appareil génital, en entier ! Jusque là, j'avais vu sa bite, mais je n'avais fait qu'apercevoir un petit bout de ses couilles … la vache ! Non seulement elles sont grosses, mais en plus, elles pendent … deux gros œufs de poule dans des bourses presque complètement dépourvues de poils … Oui, c'est ça … le terme qui vient à l'esprit pour l'ensemble, pour ce gros sexe et ces deux gros testicules, c'est "appareil génital" … ça a quelque chose de … d'animal … ce type est vraiment un étalon … Je réalise l'effet que la découverte d'un tel organe reproducteur a pu produire sur Christine … elle qui mouille à la vue de la moindre petite quéquette, découvrir ÇA a dû vraiment l'affoler …


Il s'approche d'eux, vient se poster à côté du pied du transat, et il plaque sa main gauche entre les fesses de Christine … Immédiatement, sans vérifier qui vient de la toucher de cette manière, sans même interrompre sa fellation, elle écarte ses genoux et les repose sur le matelas du transat, de part et d'autre de ceux du type blond, et elle se cambre … elle est prête … elle attend, elle veut un doigt dans sa chatte …  la première phalange du majeur du type brun disparaît entre ses petites lèvres … immédiatement, tout en accentuant sa fellation, elle laisse échapper un gémissement aigu … oh, évidemment pas un gémissement de douleur … encouragé, le type brun continue d'enfoncer son doigt en elle … est-ce la situation qui lui fait de l'effet, ou bien est-ce les sensations de son doigt qui glisse dans la chatte de Christine, je vois sa grosse bite relever un peu la tête … mais son poids l'empêche de se redresser complètement … il empoigne sa verge et commence à se masturber lentement … ses couilles lourdes, pesantes, suivent le mouvement ... fascinant ! Maintenant, totalement concentré sur les ébats de leur trio, il ne fait plus du tout attention à moi … le blond a posé sa main gauche sur la tête de Christine et, de sa main droite, il lui palpe les seins … je vois le regard du brun passer alternativement du cul de Christine à sa nuque … je le sens fasciné autant par la pipe qu'elle taille à son pote que par le doigtage en règle que lui-même lui administre … aux mouvements saccadés de sa main gauche, à la vigueur croissante des va et vient de son majeur dans la chatte de Christine, je sens son excitation monter … 


Si ça se trouve, c'est la première fois que ces deux types se tapent une femme ensemble … ils ont beau être sexy, tous les deux, c'est pas pour autant qu'une occasion comme celle-là s'est déjà présentée à eux … après tout ce n'est pas si courant qu'une femme accepte – et même demande – de se faire sauter par deux mecs en même temps … 


Soudain, le type brun sort son doigt de la chatte de Christine et vient se placer derrière elle … il pose un genou sur le transat, une main sur la fesse de Christine, et il se penche … le voilà avec la tronche entre les fesses de Christine … nouveau gémissement aigu … il veut lui bouffer la chatte ! Vu de derrière, il est encore plus impressionnant … entre ses cuisses, je vois sa grosse paire de boules qui pend … et j'aperçois un peu de sa bite … Mais il me semble que sa position n'est pas terrible … il est trop grand et il a beau se pencher, ça m'étonnerait qu'il arrive à lui lécher correctement la moule et le clito … au mieux, il va pouvoir lui fourrer sa langue dans le trou du cul … et ça m'étonnerait qu'elle le laisse faire, elle n'aime pas ça … Elle a compris ce qu'il veut, et, tendant la main vers son cul, elle empoigne sa fesse et l'écarte … elle s'ouvre pour faciliter le cunnilingus que le brun s'apprête à lui faire … je le vois s'échiner à descendre sa bouche vers la chatte de Christine … ça lui casse la nuque … ça doit être pénible, et il ne doit pas aller assez loin, mais à la manière dont il bouge, je sens que ça l'excite … il doit être comme moi, il doit aimer ça, bouffer de la chatte … ça a quelque chose de … de bestial … les animaux font ça … quand une chienne est en chaleurs, les mâles commencent toujours par lui lécher la vulve avant de la couvrir … moi, j'adore … c'est tellement doux … enfoncer ma langue dans la vagin … mordiller les petites lèvres … téter le clitoris … lécher la liqueur … hhhmmmmm !


Le jeune type brun me masque le cul et la chatte de Christine avec sa tête … je devine ce qui se passe, mais je ne vois rien … alors, aussi discrètement que je peux pour ne pas le troubler, je me lève, je prends ma chaise et je me déplace … voilà, comme ça, je le vois de profil … Oh la vache, en effet, ça l'excite ! Sous son ventre, je vois maintenant sa grosse bite relevée à l'horizontale … mais non, il n'y a rien à faire, il n'arrive pas à lui bouffer la chatte comme il faut … il a descendu son genou du transat, il s'est plus ou moins accroupi sur l'herbe et il a fait un peu pivoter le cul de Christine, mais ça ne suffit pas … je sens que ça l'énerve … et elle aussi … elle doit avoir hâte de sentir la langue du mec s'introduire dans son vagin, et ses dents lui mordiller les petites lèvres, mais ça ne vient pas … putain, qu'est-ce qu'il attend pour changer de position ?


C'est elle qui prend l'initiative. Brusquement, elle se redresse, mettant fin à la pipe qu'elle taillait au blond:

- Attends, ça va pas aller comme ça …


Elle se redressant, elle a bousculé le brun qui se relève à son tour … elle s'installe sur le deuxième transat, juste à côté de celui du blond … elle s'assoit, saisit la manette qui commande l'inclinaison du dossier, et elle se laisse descendre doucement … la voilà à demi allongée … elle lève les yeux sur le brun et:

- Allez, viens Alex … continue … bouffe-moi …


Ah, tiens, il s'appelle Alex, celui-ci. C'est la première fois qu'elle prononce son prénom. Elle écarte largement les cuisses, descend ses mains vers son entrejambe et, du bout des doigts, elle entrouvre ses petites lèvres … Putain, ce que c'est beau ! Terriblement indécent … terriblement excitant ! La bite à la main, il l'a regardée s'installer … il se tourne vers moi et me jette un rapide coup d'œil … puis il enfourche le transat et, un pied de chaque côté, il se tient debout au-dessus des mollets de Christine … les yeux rivés sur sa chatte, il la contemple … elle a commencé à se masturber, ventre offert … les yeux levés, elle fixe sa bite qu'il serre et qu'il branle lentement, et sa grosse paire de couilles … ce qui lui passe par la tête à ce moment est évident … elle anticipe le moment où il va la pénétrer avec sa grosse bite et celui où il va vider au fond de son ventre le contenu de ses testicules …


- Allez, Alex, viens … mets-moi ta langue !


Alors il s'agenouille sur l'extrémité du transat, pose ses mains de part et d'autre des hanches de Christine et se penche … voilà, sa tête est entre les cuisses de Christine … dès que sa bouche entre en contact avec le sexe de Christine, elle se cambre, nuque cassée, et gémit … elle lui prend la tête à deux mains et se met à se tortiller sur son matelas … putain, elle aime vraiment ça ! Elle remonte ses cuisses et les serres sur les oreilles de … d'Alex … je vois son abdomen se contracter sous l'effet du brasier qui lui dévore le ventre … les yeux fermés, elle gémit de plus en plus fort … c'est presque un cri ... heureusement que notre voisine n'est pas là en ce moment … sûr que de son jardin, elle entendrait Christine feuler comme une chatte en chaleurs … et brusquement, elle arrête de crier, et rouvre les yeux … haletante, elle continue de caresser les cheveux d'Alex … je me demande … je me demande si elle n'aurait pas joui … elle tourne la tête du côté du blond et tend la main vers lui:

- Viens, toi …


Je l'avais presque oublié, celui-ci. Toujours allongé sur son transat, il bande et cramponne sa queue … il devait se branler en regardant son pote bouffer la chatte de Christine. Il se lève et, debout à côté de Christine, il la regarde, attendant visiblement qu'elle lui dise ce qu'elle attend de lui … elle tend la main:

- Approche … je vais te sucer la queue …


Alors il monte sur le transat, enjambe Christine, pose ses genoux de part et d'autre de sa poitrine et, se retenant des deux mains au dossier du siège, il tend son ventre et lui présente sa bite … sans l'ombre d'une hésitation, elle la prend dans sa main et l'enfonce dans sa bouche … Ouaaaaahhh, quel spectacle ! Christine à la fois en train de se faire bouffer la chatte par un type, et de tailler une pipe à un autre ! Putain, j'adore ! Si seulement je pouvais filmer ça ! Oh, j'y pense depuis qu'ils se sont installés dans le jardin. C'est les footeux qui l'ont baisée ici l'autre nuit qui m'y ont fait penser … eux, ils l'ont filmée avec leurs smartphones, pendant qu'ils la baisaient … Mais moi, je sais bien que c'est même pas la peine que j'essaie … elle aurait peur que je me serve de ça pour la faire chier, la faire chanter ou je ne sais quoi ..


Elle se donne totalement et sans retenue à deux jeunes types … deux jeunes types qu'elle vient seulement de racoler … à sa façon de se comporter, de rouler une pelle à cet Alex dès leur arrivée, de tout de suite l'inciter à la tripoter, à lui lécher les seins, à sa façon de se déshabiller sans pudeur, de tripoter, masturber et sucer sans hésitation la bite de ces deux types, on pourrait croire qu'ils sont ses amants depuis un moment et que ni elle ni eux n'ont plus besoin de cette période de séduction où on se jauge, où on teste l'autre, où on cherche à savoir jusqu'où on peut aller, où on laisse monter le désir … non, pas besoin de ces préliminaires entre Christine et eux … ces deux types se sont déplacés jusqu'ici pour du sexe avec elle, et il y avait urgence … Je trouve ça … génial ! Maintenant que Christine a bien excité ses deux étalons, la présence de son mari ne les gêne pas le moins du monde … au contraire, ils vont la monter devant son cocu et je suis sûr que ça les excite … tous trois ne se soumettent plus qu'à leurs désirs, à leurs envies, à leurs pulsions … baiser … baiser comme des animaux … sans pudeur, sans retenue, sans considérations morales … baiser, baiser, baiser … il n'y a plus que ça qui compte … 


A la manière dont elle suce le blond, fébrile, nerveuse, je sens à quel point elle est excitée … quelle jouissance ça doit être pour elle d'être investie comme ça par ces deux mecs … le brun, Alex, le cul en l'air, la tronche enfouie dans l'entrejambe de Christine, lui pétrit les seins de la main droite … entre ses cuisses, je vois ses couilles suivre le mouvement de sa main gauche qui va et vient lentement sur sa verge … ouaaah, ce mec, dans cette position, je le trouve … si j'étais une femme, j'aurais sûrement envie de m'allonger sur le dos, sous lui, pour lui lécher les couilles, pour les prendre dans ma bouche … je ne suis même pas sûr que j'arriverais à en prendre une seule, tellement elles sont grosses … putain, à quoi je pense, moi ! Le blond a posé ses avant-bras sur le sommet du dossier du transat, et maintenant, c'est lui qui fait aller et venir sa bite entre les lèvres de Christine … tête baissée, il regarde sa queue qui entre et sort de sa bouche … de sa main gauche, Christine lui tient la taille, et de sa main droite, elle lui tripote les couilles …  et elle gémit encore … 


- Putain, Christine … je tiens plus !


C'est Alex … il vient de se redresser … il comprime sa bite … 


- Faut que … faut que j'te baise ! Viiite !


Elle repousse brutalement le blond qui manque de se casser la gueule, et, dans le même mouvement, elle se redresse aussi … la voilà assise … 

- Où ? Où tu veux me baiser ?

- Je … je sais pas …

- Sur la table, alors !


Il est déjà debout … elle descend précipitamment du transat, prend Alex par la main et l'entraîne … cette fois, il va vraiment la baiser … comme je suis sur leur trajet, ils doivent me contourner … je me lève de ma chaise … Christine me jette un coup d'œil, elle sourit … lui ne fait pas plus attention à moi qu'à cette chaise … ils me frôlent … hhmmmm, cette odeur, qu'ils dégagent … parfum et sexe … Opium, phéromones et testostérone … odeur de sexe, odeur de partie de cul … Christine se tourne, dos à la table, se hisse en s'appuyant des mains et, dans un même mouvement, s'étend à moitié, relève et écarte les cuisses et s'appuie sur les coudes …

- Allez, vas-y, baise-moi !


Elle n'a pas besoin d'insister … il est déjà contre elle, et, directement, il présente sa bite devant sa chatte … je me suis déplacé et rapproché de la table … j'hésite un instant, et puis, basta, je me décide … comprimant toujours ma bite de la main droite, tant bien que mal, de ma main gauche, je descends mon short sur mes cuisses, puis sur mes genoux… et il tombe tout seul sur mes chevilles … Christine a repéré mon manège … elle me jette seulement un bref coup d'œil … je finis de me débarrasser de mon short d'un coup de pied qui l'envoie sous la table … en tout cas, ma présence, juste là, tout près d'eux, à moitié à poil, ne les dérange absolument pas … j'ai même l'impression que Christine jubile de me voir là, si près d'elle, alors qu'un autre mâle va la posséder sous mes yeux … lui, il n'a pas pu lui échapper que je viens d'ôter mon short, mais il ne me jette pas même un regard … il va la baiser là, à cinquante centimètres de moi … 


Appuyée sur un coude, elle a tendu la main vers son ventre, et elle écarte ses petites lèvres du bout des doigts … putain, j'adore quand elle fait ça, qu'elle ouvre sa chatte à la pénétration d'un mâle … Ça y est, le gland d'Alex est entre ses petites lèvres … Oh, putain, ce contact entre leurs deux sexes ! Les yeux rivés sur son entrejambe, Christine laisse échapper un gémissement aigu … Debout à côté de la table, j'ai la bite douloureuse, tellement je bande … je suis obligé de comprimer mon urètre, juste sous les couilles, pour stopper les spasmes d'une éjaculation … le sexe, la grosse queue d'Alex s'enfonce doucement … voilà, son gland est maintenant complètement entré dans le vagin de Christine … il lâche sa bite, pose ses mains derrière les genoux de Christine et il lui écarte les cuisses en grand… lui aussi, il a les yeux braqués sur son sexe qui progresse lentement en elle … on dirait … on dirait qu'il a du mal à la pénétrer, on dirait que ça résiste … et puis, d'un seul coup … "haaaaaaaa !" … il est entré d'un seul coup en laissant échapper une exclamation … il se penche brusquement en avant, le bassin agité de tressaillements … ma parole, il est déjà en train de jouir ! Je n'en reviens pas … à peine entré, il jouit !


Boummmm ! "Aaah OUIIIIIIII !" … Christine s'est laissée tomber en arrière et sa tête a heurté la table … elle gémit, balance sa tête d'un côté à l'autre … je suis sûr qu'elle a senti Alex éjaculer dans son ventre et, à son tour, haletante, gémissante, elle jouit … je vois son ventre se contracter en spasmes … une fois encore, sentir un mâle la féconder déclenche son orgasme … 


Plié en deux, courbé au-dessus d'elle, il halète en grognant … elle l'a saisi au niveau des omoplates et elle l'attire contre elle en continuant de se balancer d'un côté à l'autre … il a ôté ses mains de l'arrière des genoux de Christine et il a posé ses avants bras à plat sur la table, de part et d'autre de Christine … il va et vient en elle par saccades régulières, comme s'il cherchait à s'enfoncer au plus profond d'elle à chaque coup de reins … c'est comme la résurgence d'un réflexe animal … pour assurer sa reproduction, le mâle fait en sorte que son appareil génital injecte bien sa semence tout au fond de l'utérus de la femelle … putain, avec un engin comme le sien, il doit … il doit buter au fond du vagin de Christine … il doit lui défoncer le ventre … mais visiblement, il ne lui fait pas mal, parce qu'elle gémit de plus belle … elle miaule littéralement comme une chatte en chaleurs en train de se faire couvrir par un gros matou … heureusement que nos voisins sont absents en ce moment, parce que ses miaulements d'extase, de plus en plus puissants, ne laissent aucun doute sur ce qui les provoque … et je suis sûr que, même si Yolaine, notre voisine la plus proche, avait été là, Christine ne se serait pas davantage retenue … et là, ses feulements de tigresse doivent même retentir jusque chez le couple qui habite au bout de la ruelle et dont je jardin est contigu au nôtre … ceux-là aussi sont en vacances …


Je m'aperçois que le blond a fait comme moi … il s'est approché de la table pour regarder son copain inséminer Christine … fasciné par le spectacle, je ne l'avais pas vu arriver … le regard fixe, la bite à la main, il se masturbe … 


Après une série de puissants coups de reins, Alex s'immobilise … enfoncé dans le ventre de Christine, il reprend son souffle … visiblement, il a fini de jouir … Christine aussi … elle a plié les genoux, croisé ses chevilles sur les reins de son amant et elle l'enlace … elle cherche sa bouche, voulant sans doute lui rouler une pelle … mais, contre toute attente, il se dérobe … devant l'insistance de Christine, il finit même par s'écarter d'elle, et il commence à se redresser … elle s'accroche à lui, elle insiste … alors, il lui saisit les poignets et il la force à le lâcher … étonnée, elle se laisse retomber sur la table … il dénoue ses jambes d'autour de sa taille et commence à sortir lentement son sexe d'elle … elle est saisie … elle ne me jette pas un coup d'œil, mais je la sens plus que surprise … sans doute vexée, en particulier que ça se passe sous mes yeux … je regarde la grosse bite d'Alex finir de glisser hors du sexe de Christine … putain, elle n'est visiblement plus aussi raide, mais elle est encore bien gonflée … elle est luisante … luisante de sperme et de sécrétions vaginales … oh, la vache, voilà son gland … et sous le gland, une sorte de cocktail qu'il a raclé contre les parois du vagin de Christine en ressortant … c'est un mélange de liqueur transparente, marbrée de traces blanchâtres, et de grumeaux caoutchouteux … voilà, sa grosse bite retombe sur le bord de la table, entre les fesses de Christine … 


Christine tend la main vers le blond, toujours debout à côté de la table:

- Allez, à toi, maintenant … viens, baise-moi …


Il y a je ne sais quoi qui sonne faux dans son intonation … je la sens choquée par l'attitude d'Alex et en attirant l'autre, elle cherche à atténuer une impression de malaise … Alex se recule, comme pour céder la place à son pote, et il contourne la table pour récupérer ses vêtements que Christine y a jetés tout à l'heure … le blond s'approche, face à Christine, qui reste jambes en l'air, cuisses écartées et tend toujours la main vers lui … il la contemple … de la tête aux … de la tête au sexe … et il se masturbe … Christine:

- Allez … baise-moi !


Il se contente de lui poser sa main libre sur la cuisse, et de la caresser. A la fébrilité de ses mouvements, j'ai l'impression qu'il est au bord de l'éjaculation, mais il ne se décide pas à la pénétrer. Impatiente, elle insiste:

- Allez, quoi … baise-moi !

- Non … j'ai pas l'intention de tremper ma bite là-dedans …

- Quoi ? ! ? ! 


Et il jouit ! Il éjacule en longs jets qui se répandent sur le ventre de Christine et jusque sur sa poitrine … Elle est sidérée … je dois dire que, moi aussi, je suis surpris … pour avoir joui aussi rapidement, ce mec devait être très excité … et pourtant, il a résisté à l'invitation de Christine et sans doute à l'envie de déverser sa semence dans la chaleur de son ventre … à sa place, je n'aurais pas pu résister … il finit de jouir en haletant … elle, appuyée sur un coude, le regarde, dépitée … il presse sa verge et finit de se vider sur la vulve de Christine …

- Espèce de connard !


Elle a mis toute sa rage et son dépit dans ces trois mots. Il se contente de ricaner et il se recule … A son tour, il récupère ses vêtements au pied du transat … Je me sens tiraillé entre deux impressions contradictoire: bien sûr, j'aurais bien voulu le voir la baiser à son tour, mais d'un autre côté, je ne sais pas pourquoi, ça ne me déplaît pas qu'il lui ait refusé ce plaisir … moi, ce brusque changement d'atmosphère m'a bien calmé … enfin, je bande encore, mais je ne suis plus au bord de l'éjaculation … 


Le blond commence à se rhabiller … l'autre, Alex, a fini et il est déjà en train de remettre ses tennis … et Christine … Christine, toujours appuyée sur un coude, les cuisses toujours grandes ouvertes, est en train d'étaler le sperme du blond sur son ventre … ou plutôt, elle le racle, elle … elle le récupère du bout des doigts … à mon avis, elle va sans doute se lécher les doigts et l'avaler … ah non … elle vient de se plaquer l'index, le majeur et l'annulaire, pleins de sperme, contre sa chatte … et elle … elle se rentre les doigts maculés de sperme DANS la chatte ! Et maintenant, elle se caresse … les deux types la regardent faire, sidérés … ils secouent la tête avec un air consterné … rapidement, er pour la deuxième fois en l'espace de deux minutes, Christine jouit en gémissant, la tête rejetée en arrière,  …


Alex récupère son casque et fait lentement quelques pas en direction de la maison … il se retourne, attend son pote … le blond enfile rapidement bermuda et chemisette, il saute dans ses chaussures, et le voilà prêt à son tour … il prend son casque et suit Alex … 


Je me sens quand même frustré … au fond de moi, j'espérais plus ou moins que ces deux mecs passeraient l'après-midi à la maison à baiser Christine devant moi… alors c'est plus fort que moi, je ne peux pas m'empêcher:

- Vous êtes des sacrés salauds …


Alex s'arrête, se retourne et me contemple, avec, dans le regard, un air de dégoût et de mépris:

- Pardon ?

- Vous êtes des salauds …

- Ah ouais ?

- Vous auriez pu rester et continuer … 

- … à baiser ta femme ?

- Oui.

- Vous êtes vraiment des tordus, tous les deux … elle voulait qu'on vienne chez elle … enfin, chez vous … "pour nous finir", comme elle a dit … alors voilà, elle nous a finis, et on se barre … qu'elle se plaigne pas, elle a aussi pris son pied … t'as qu'à la sauter, toi, ta putain …


Il ricane, hausse les épaules, me tourne le dos et il rejoint son copain, déjà à l'entrée du salon … ils disparaissent dans la maison … Au moment où je me retourne pour voir ce que fait Christine, elle passe à côté de moi à petits pas pressés, en ondulant du cul … elle entre à son tour dans le salon … je la suis … Les deux types sont déjà dehors et Christine les suit:

- Vous êtes des fumiers, tous les deux ! C'est pas ça, que vous aviez dit … 


Sans se donner la peine de lui répondre, les deux mecs se hâtent en direction de leur moto …  sautillant sur les graviers qui lui blessent les pieds, Christine les suit jusqu'au milieu de la cour:

- Pour des mecs qui se vantaient de pouvoir niquer pendant des heures, vous êtes seulement des éjaculateurs précoces …


Alex a démarré sa moto dans une pétarade impressionnante et je ne suis pas sûr qu'ils aient entendu ses invectives … le blond enfourche la moto à son tour et Alex manœuvre … voilà Christine, complètement à poil au milieu de la cour, en plein après-midi … il pourrait passer n'importe qui dans la rue, elle s'en fout complètement ! La moto est à l'entrée de la cour … Alex se tourne vers Christine, lâche son guidon d'une main, la lève et lui adresse un doigt d'honneur … et il s'élance …


J'ai assisté à la scène depuis la porte d'entrée … j'ai la bite à l'air et, contrairement à Christine, je ne tenais pas à m'exhiber dans cette tenue à la vue des deux rues … et puis, je ne vois pas ce que j'aurais eu à faire au milieu de notre cour, c'était avant tout son affaire à elle … elle rentre, toujours en sautillant sur les graviers, elle passe devant moi et me lance un regard furibard:

- Quoi ! Tu trouves ça drôle ? 

- Je t'ai rien dit …

- Ça vaut mieux !


Elle traverse le salon dans l'autre sens et, au moment de ressortir dans le jardin, elle se ravise … elle ouvre l'armoire, en sort une grosse couette qu'elle serre sous son bras et passe la porte-fenêtre … Pas un instant elle ne semble avoir envisagé de monter à la salle de bain pour se laver le cul … je pense qu'elle aime garder longtemps en elle le sperme de ses amants … j'avais déjà eu l'occasion de le remarquer … je la suis encore … elle se dirige vers le salon de jardin … il fait de plus en plus chaud … elle étale la couette dans l'ombre des grands noisetiers, à peu près à l'endroit où je l'avais trouvée il y a quelques jours, allongée sur un drap, alors qu'elle venait de se faire sauter par les cinq jeunes types à la Mini … elle s'étend sur le ventre … Appuyé au montant de la porte-fenêtre, je la contemple … je la vois bouger le bassin, se cambrer … ma parole … elle se caresse ! Oui … elle a glissé une main sous son ventre, elle a écarté un peu les cuisses, et elle se caresse … putain, elle n'arrête pas ! Elle a déjà joui deux fois, et elle n'en a pas encore assez ! D'où je suis, j'aperçois ses doigts qu'elle bouge entre ses petites lèvres … c'est seulement maintenant que je m'aperçois que le haut de ses cuisses est luisant … et entre ses fesses aussi … et ce n'est sûrement pas de la sueur … le foutre qu'Alex lui a injecté dans le ventre, et celui du blond qu'elle s'est fourré dans la chatte ont dû s'écouler et ressortir … et elle se donne du plaisir en pataugeant dans le sperme de ses amants … 


Je m'approche … l'avant bras replié sous sa joue, elle se masturbe les yeux fermés … c'est pour ça qu'elle ne se lave pas après s'être fait baiser … sentir des hommes éjaculer dans son ventre lui provoque déjà des orgasmes, mais ensuite, elle éprouve un plaisir supplémentaire à se servir de leur semence comme … comme lubrifiant pour se masturber … sentir la … la semence de mâles lui maculer la vulve doit l'exciter … et si ça se trouve, cette substance a des effets aphrodisiaques, en lui pénétrant les chairs comme le ferait une crème hydratante … les hormones mâles qu'elle contient, en imprégnant son clitoris et ses muqueuses vaginales, réagissent peut-être avec ses hormones à elle, en particulier l'hormone du plaisir … 


Putain, moi aussi, ça m'excite ! Et voir son cul, là … son cul qui bouge lentement … ses reins cambrés, qui réclament l'accouplement et la saillie … et sa moule … sa moule luisante, dans laquelle elle glisse et enfonce son majeur … je suis sûr … je suis sûr qu'en faisant ça, elle pense à une bite … une bite qui s'enfoncerait en elle, à la place de son doigt … ou aux bites, à la multitude de bites qui se sont enfoncées dans son ventre depuis un mois … Putain, je bande à nouveau … et … et alors que ça ne m'était pas arrivé depuis je ne sais combien de temps, de nouveau, j'ai envie de la baiser … là, maintenant … j'ai envie de la prendre et de fourrer ma bite dans sa chatte déjà pleine de sperme ! Putain, depuis … depuis plusieurs semaines, je n'avais plus du tout envie de la sauter … je bandais de la voir se faire baiser par d'autres types, mais à aucun moment je n'avais eu envie de me la taper, moi aussi … mais là … ça me … non seulement, je bande pour elle, mais ça me taraude le ventre … Oh, c'est même pas la peine que je lui demande si je peux … je connais déjà la réponse … mais cette fois, je ne vais pas me contenter de me branler … qu'elle soit d'accord ou pas, je vais la baiser !


Toute à sa masturbation, elle m'a complètement oublié. Elle a remonté sa cuisse droite, presque perpendiculairement à l'autre … la voilà grande ouverte, béante … Je finis de me déshabiller. Il faut que … je ne dois pas lui laisser la moindre chance de m'en empêcher … elle va se débattre … mais contre moi, elle ne fait pas le poids … ses à peine cinquante kilos contre mes quatre vingt cinq bien tassés … et j'aurai l'avantage de la surprise … et en plus, elle est déjà dans la bonne position … Oh, la vache … l'idée même de la prendre de force ajoute à mon excitation … ma queue se redresse toute seule à l'horizontale ! 


J'approche encore et, brusquement, je me précipite … d'abord à genoux entre ses mollets, et directement couché sur elle, mon ventre sur son cul, ma bite entre ses fesses … de la main droite, je bloque sous son ventre la main avec laquelle elle se masturbe et de la main gauche, j'immobilise son poignet gauche… et je pèse sur elle de tout mon poids … aussitôt, elle réagit, soulève sa tête, ouvre les yeux:

- Qu'est-ce tu fous ! ? ! ?

- Je vais te baiser.

- Non ! Me touche pas … Salaud ! Fumier !


Elle se débat, mais je sens tout de suite qu'elle n'arrivera pas à m'échapper … c'est la première fois qu'on lutte, tous les deux … qu'on lutte vraiment, je veux dire … je me demandais si, de rage, elle ne parviendrait pas à se dégager de mon emprise, mais je sens que c'est gagné … en se débattant, elle a sorti sa main droite de sous son ventre et j'en profite pour lui saisir le poignet … j'avais un peu peur, si elle gardait cette main entre ses cuisses, qu'elle m'empoigne les couilles et qu'elle me fasse mal … problème réglé … il ne me reste plus qu'à la pénétrer … et ça devrait le faire sans difficulté … cette courte lutte m'a raidi encore un peu plus ... Oh, bien sûr, elle s'agite, elle essaie de se dégager, de rouler sur le côté, de me donner des coups de boule dans la tronche, mais rien n'y fait … tout en la pressant avec mon torse, je soulève un peu mon bassin et je sens ma queue glisser toutele long de sa raie des fesses lubrifiée par le sperme des deux mecs qui viennent de se barrer … Oh putain, le contact entre nos deux corps … elle, toute chaude, que je vais BAISER de force !


- Ordure ! Je vais te tuer !


Je sens que mon gland est maintenant tout près de sa chatte … sa chatte que je devine béante, maintenue ouverte par sa position cuisses écartées … je continue de glisser, très lentement, pour ne pas manquer l'entrée … ah oui, je sens, c'est … c'est tiède et humide, par là … et … ah merde, c'était vraiment trop glissant, ma queue a loupé l'entrée et vient de tomber … et j'ai beau bander, je sens que ma queue ne se redressera pas assez pour arriver à la pénétrer comme ça … alors je prends le risque de lui lâcher le poignet et, soulevant mon bassin, j'empoigne ma queue et je la guide … Christine en profite pour tenter de nous faire rouler sur le côté en s'aidant de cette main libre … mais ça y est, mon gland est dans sa chatte … je lâche ma bite et, tout en m'enfonçant en elle, je saisis de nouveau tant bien que mal son poignet … 


Ouaaaaaaaaaaaahhhh !!!! Putain, ce qu'elle est étroite ! Ce n'est pas une découverte, mais la vaaaaache , ce que c'est bon ! Ça m'achève … c'est trop … c'est trop fort … j'ai l'impression que mon gland va exploser ! Oh putain, un premier spasme ! Je sens … je sens mes couilles se … comme se contracter dans mes bourses et remonter vers mon périnée, et … aaaaaaaaaaah ouiiiiiiiii … j'éjacuuuuuuule ! Mes abdominaux se contractent … ça me coupe le souffle … je sens ma queue cracher au fond de son ventre … une fois … deux fois … trois fois … quatre fois … Ah, putain, ce pied ! Voilà, c'est fini … ah on, j'éjacule encore … et je finis de m'effondrer sur elle, la queue bien calée dans son vagin … mon gland baignant dans mon sperme et dans celui d'Alex … c'est doux, c'est chaud … ah, putain, ce que je suis bien ! Je l'ai baisée, cette salope ! Je l'ai prise de force ! Haletant, j'essaie tant bien que mal de reprendre mon souffle … 


Je réalise que pendant que je prenais mon pied, elle n'a pas arrêté de gueuler et de s'agiter pour essayer de me virer … mais c'est comme si j'étais devenu sourd … et sous mon poids, elle s'est démenée pour rien … Je lui lâche les poignets et je bascule sur le côté … ma queue glisse hors d'elle … la voilà libérée. Aussitôt, elle se relève:

- Espèce d'enculé ! Tu m'as … tu m'as violée, ordure !


Dressée au-dessus de moi, elle prend son élan pour me donner un coup de pied … elle vise le ventre … ou les couilles … mais j'ai tout de suite deviné ce qu'elle s'apprêtait à faire, je pare son coup, je lui saisis la cheville et je la déséquilibre … elle tombe lourdement à moitié sur la couette, à moitié sur le gazon … surprise, elle reste sonnée une ou deux secondes, à moitié allongée sur le dos … j'en profite et je me précipite sur elle et, de nouveau, je lui saisis les poignets … me voilà encore entre ses cuisses, mais face à face cette fois … je redresse mon torse au-dessus d'elle pour mettre ma tronche hors de portée d'un coup de boule … ses yeux lancent des éclairs:

- Tu vas … tu vas me le payer, ordure !


Blême, elle me crache à la figure et poursuit:

- T'as eu tort de faire ça, connard … c'est un viol … on a beau être encore mariés, tu m'as prise de force … c'est un viol … j'vais aller voir les flics et tu vas finir en taule !

- Ça, ça m'étonnerait !


Elle continue de se débattre sous moi, elle essaie de se dégager en rampant sur le dos, mais malgré ses efforts, je la maintiens plaquée au sol sans difficulté … je dois dire que la situation me plaît bien … la position, déjà … couché sur elle, entre ses cuisses … ventre contre ventre, ma bite qui repose sur la couette, tout près de sa chatte … et puis la contrainte aussi … la tenir prisonnière, impuissante, à ma merci … c'est … c'est vachement excitant … Il y a quelques années, à l'époque où ça allait bien entre nous, on a joué à ça … à lutter, comme si je cherchais à la prendre de force et comme si elle tentait de m'en empêcher … mais en ce temps là, c'était un jeu, et elle et moi, nous savions comment ça allait se terminer … on allait baiser … Mais là, tout de suite, c'est autre chose … là, nous luttons vraiment … là, elle n'est pas d'accord du tout … ce n'est pas du chiqué et je sens que … non, je SAIS que, si je veux, je peux la prendre encore contre sa volonté … c'est super excitant et, bien que je vienne tout juste de tirer un coup, je bande déjà à nouveau …


- Ça t'étonnerait, enculé ? Tu verras ! J'ai ta pourriture de sperme dans le ventre et je vais avoir des marques sur les poignets … T'es MORT, CONNARD ! Tu vas finir en taule, j'te dis !

- Ah bon ? Je vais finir en taule parce que t'as ma pourriture de sperme dans le ventre ? Très bien, alors, tant qu'à faire, je vais t'en remettre une dose … je vais encore te baiser !


Elle écarquille les yeux … elle n'en revient pas, sa menace ne me fait pas peur:

- Mais … t'es dingue ! ? ! ? J'te dis que j'vais aller aux flics !

 

 

 

à suivre ...


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 16 avril 2018 1 16 /04 /Avr /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

 

Je suis dans le séjour en train d'ouvrir et de trier du courrier quand je reconnais le bruit de la voiture de Christine qui entre dans notre cour … immédiatement suivi d'un autre bruit de moteur … sourd, puissant … Je jette un coup d'œil à la pendule … midi et demie ! Elle est partie chasser le mâle il y a à peine une heure et demie et la voilà déjà revenue … Intrigué par ce retour inattendu, je regarde par la fenêtre. C'est bien elle … mais pas seule. Une énorme moto noire est en train de manœuvrer de l'autre côté de la cour, avec deux types dessus … ils en descendent et le pilote la met sur sa béquille … c'est deux grands types, la trentaine, minces, athlétiques … belles silhouettes, je dois dire … pendant qu'ils ôtent leurs casques, Christine contourne l'avant de sa voiture, vient prendre le pilote de la moto par la main, et elle l'entraîne vers la maison … Je n'ai pas besoin d'explications, je devine ce que ces mecs viennent faire ici …  Putain, voilà autre chose ! Jusqu'ici, elle s'était arrangée pour amener des mecs chez nous plus ou moins en douce … les petits jeunes à la Mini, d'abord … je les avais croisés uniquement parce que j'étais rentré plus tôt que prévu … et les sept footeux qui la baisaient au rez-de-chaussée pendant que je dormais à l'étage … ceux-là, j'aurais pu ignorer complètement leur présence si je ne sais quoi ne m'avait réveillé … Mais là, elle ramène deux types à la maison en pleine journée, alors qu'elle sait pertinemment que je suis là ! Peut-être JUSTEMENT parce que je suis là ! J'ai soudain le cœur qui s'emballe … oh, pas de peur ou de … de colère, ou de je ne sais quoi … non, c'est … je sais ce qui va se passer … et ça me plaît !


Une évidence s'impose à moi … en allant chercher des mecs et en les ramenant ici pour qu'ils la baisent alors que je suis là, elle veut à la fois me prouver qu'elle n'a pas besoin de moi pour racoler … et elle veut me faire chier … Tout à l'heure, elle m'a craché que je n'avais rien compris … mais toi non plus, tu n'as pas tout compris, Christine ! OK, tu as réalisé que ça m'excite de voir des inconnus te baiser, mais si tu crois que je vais me sentir gêné ou humilié parce que tu amènes tes étalons à la maison pour qu'ils te sautent en ma présence, tu te goures …


Les voilà qui entrent … Tenant toujours un des types par la main, elle passe devant moi et, en plantant ses yeux dans les miens:

- Voilà, c'est lui, mon mari …


La première chose que je remarque, c'est qu'elle et ce type baignent dans des effluves de … d'Opium … c'est curieux, je reconnais le parfum qu'elle porte depuis le début du mois, mais il est légèrement différent de tout à l'heure, quand elle est descendue de la salle de bain … il m'évoque toujours le SEXE, mais il y a autre chose …  son odeur à lui ? Non, ce n'est pas une odeur masculine … au contraire, c'est plus subtil … oui, c'est ça, mêlée au bouquet si particulier d'Opium, il y a une odeur nettement féminine … je dirais même une odeur de … de femelle … comme si il émanait d'elle je ne sais quelle substance, je ne sais quelle sécrétion nettement … sexuelle ! Tout au long de ce mois de juillet, après chacune de ses escapades nocturnes, après chacune de ses séances de cul avec des inconnus, j'ai perçu les effluves de sexe qui l'entouraient … des vapeurs d'Opium, plus ou moins fortes ou atténuées, plus ou moins mêlées aux odeurs de déodorant, d'eau de toilette ou d'après rasage des mâles qui lui étaient passés dessus, et toujours accompagnées d'odeurs de sperme … mais c'est la première fois que je remarque ces exhalaisons de … oui, de femelle … et comme si mes nerfs olfactifs étaient directement connectés à mon appareil génital, un frémissement me parcourt le bas ventre … 


Christine semble euphorique. Et en effet, il est pas mal, ce type, vu de près … oui, la trentaine … grand, musclé, des cheveux noirs, mi-longs, bouclés, une barbe de plusieurs jours, un anneau dans l'oreille … T-shirt noir sans manches, imprimé de motifs genre "heavy metal", jean étroit, élimé et qui fut noir, lui aussi, vieilles tennis, large ceinturon de cuir avec une grosse boucle de laiton … et surtout … des tatouages plein les bras … et même depuis la naissance du cou, sur les épaules et jusque sur les mains … un look de "rockeur". En passant devant moi, il me reluque comme une bête curieuse, un petit sourire ironique aux lèvres … Je lui lance:

- Bonjour …


Surpris que je le salue, il grommelle je ne sais quoi. A la façon dont Christine m'a présenté " Voilà, c'est lui, mon mari ", il est clair qu'elle leur a parlé de moi avant d'arriver … elle a dû les prévenir que j'étais à la maison. Elle balance son sac à main sur le canapé et elle entraîne ce type vers la porte-fenêtre qui donne sur le jardin et repousse les volets de bois que j'avais tirés pour empêcher la chaleur d'envahir le séjour:

- Venez, les garçons, on va au jardin …


La lumière éblouissante et la chaleur déferlent dans la maison. Quand l'autre type passe à son tour devant moi, il me regarde par en dessous, avec un sourire un peu gêné et c'est lui qui me lance:

- Salut.

- Salut.


Il suit Christine et son pote, déjà au milieu de la pelouse. Même âge que l'autre, également athlétique, même coupe de cheveux, mi-longs, bouclés, mais blonds … pas de barbe … lui porte une chemisette claire à carreaux et une sorte de bermuda large qui lui descend sous les genoux … pieds nus dans des espèces de mocassins en cuir, un peu avachis … un seul tatouage discret sur l'avant bras droit … 


Bon, elle ramène deux types à la maison, et pour moi qui la connais, il est évident que c'est pour qu'ils la baisent … mais eux, je me demande si ils savent ce qui les attend vraiment … si ça se trouve, jusque là, elle leur a seulement proposé de venir boire un verre et elle compte aller plus loin maintenant. Déjà, si c'est ça, si elle ne les a pas prévenus ouvertement qu'ils sont là pour la sauter, le type brun a sans doute été surpris qu'elle se montre aussi familière avec lui en le prenant comme ça par la main, surtout en ma présence … mais en plus, je me demande comment ils vont réagir quand elle va leur proposer de baiser … qui plus est alors que je suis à la maison … Alors, je suis curieux de voir comment les choses évoluent.


A mon tour, je m'approche de la porte-fenêtre. Christine a entraîné le premier type jusqu'au salon de jardin, dans l'ombre des grands noisetiers, et elle lui désigne une des chaises. Elle doit l'inviter à s'asseoir. Il pose son casque sur la table et obtempère. Sans hésiter, Christine s'assoit sur ses genoux et lui passe son bras droit sur les épaules … Et bien voilà ! Ça commence fort, et ça répond à mes interrogations … ils en sont déjà là … ils sont déjà suffisamment "familiers" pour qu'elle se permette de s'asseoir sur ses genoux et de le prendre par le cou tout de suite en arrivant … elle n'en est donc plus à la phase d'approche et de … et de flirt … Ouais, pour en être à ce stade, alors qu'elle n'a quitté la maison qu'il y a une heure et demie, je mesure à quel point elle a dû faire ouvertement du rentre-dedans à ce type … ou à CES types … parce que, telle que je la connais, ça m'étonnerait que le blond ait été invité uniquement pour tenir la chandelle. 


Tout de même, ça fait maintenant presque un mois qu'elle se tape des mecs plusieurs fois par semaine depuis la première fois, au Huitième Ciel … des inconnus qu'elle doit racoler n'importe où … et elle ne se contente pas d'un mec seul à la fois … une fois cinq et une fois sept d'un coup ! Et encore, je ne suis pas au courant de tout ce qu'elle a fait, les nuits où elle est allée se faire sauter je ne sais où. Combien de types ont pu lui passer dessus ? Qu'est-ce qui lui est arrivé, pour que, soudainement, elle ait une telle fringale de sexe ? Est-ce physiologique, comme une soudaine surproduction d'hormones ? Est-ce psychologique, comme une addiction à l'acte sexuel, au coït ? Mon impression, c'est qu'elle en a BESOIN … elle a BESOIN de bite … BESOIN de sentir des bites en elle … BESOIN de sentir des mâles décharger leur semence au fond de son ventre … maintenant, c'est apparemment ça qui déclenche ses orgasmes … et ses orgasmes sont d'une telle puissance ! C'est comme une drogue … si j'en crois la fréquence de ses sorties nocturnes et de ses séances de cul depuis fin juin, il lui faut au moins un shoot de … de sperme … peut-être pas tous les jours, mais au moins tous les deux jours … et plutôt que de la soulager, plutôt que de l'apaiser, j'ai l'impression que ça ne fait qu'alimenter son désir et lui donner encore plus envie …


Je ne sais pas où elle est allée les chercher, ces deux là, mais mon avis, si on tient compte d'un minimum de délai de route pour aller et pour revenir, elle leur a sûrement proposé la botte dès qu'elle les a trouvés … Mais eux, est-ce qu'ils en sont au même stade qu'elle ? Ils savent déjà sans doute ce qu'elle attend d'eux, mais est-ce qu'ils sont déjà prêts à passer à l'acte ? Est-ce qu'ils n'en sont pas encore au stade de la séduction … et dans une certaine expectative ? 


Le blond les a rejoints et s'est installé sur un des transats, dans l'ombre juste à côté d'eux. Je les entends parler … à cette distance, je ne comprends pas ce qu'ils disent, mais ils rient … Le type brun se trouve plus ou moins de profil par rapport à moi, et Christine, assise en travers de ses genoux, me tourne le dos … lui, après avoir jeté un coup d'œil dans ma direction, a posé sa main gauche sur les reins de Christine, au niveau de la ceinture de sa jupe mais surtout sous le bas de son chemisier … directement contre sa peau, donc … ça peut paraître anodin, comme ça, mais le fait qu'il se permette déjà ce contact étroit, épiderme contre épiderme, ça veut dire qu'il est d'ores et déjà prêt à la proximité la plus intime … j'ai quand même l'impression qu'il n'ose pas encore lui caresser les fesses … peut-être à cause de ma présence … je ne vois pas ce qu'il fait avec sa main droite … il me semble qu'il a posé son avant-bras droit sur les cuisses de Christine … elle se tourne un instant vers la maison, comme pour vérifier que je suis là, et je la vois prendre le type par le menton, se pencher vers lui et chercher sa bouche … il hésite, mais il finit par se laisser faire … ils se roulent une pelle … Bon, c'est clair, maintenant ! La nature, et surtout le degré d'avancement de leur relation ne font plus de doute. J'aimerais bien savoir ce qui se passe dans la tête de ce type, à cet instant précis … se faire rouler une pelle par une femme, une inconnue, sous les yeux de son mari … ça ne doit pas être courant … et ça doit lui faire une drôle d'impression … Est-ce que ça l'excite ? Est-ce que ça lui fait un peu peur ? Christine y met vraiment beaucoup de conviction … lui, entraîné par cette fougue, lui glisse la main sous le chemisier et commence à lui caresser le dos …


L'autre, le blond, a sorti une cigarette de sa poche de poitrine, l'a allumée, et, amusé par la situation, il nous regarde alternativement, Christine et le type brun, et moi. Christine et le type brun décollent enfin leurs bouches, et je la vois qui ôte son bras du cou du type, se tourne vers moi et lance un regard dans ma direction … elle s'assure que je les regarde toujours … Oui, oui, ma chérie, je vous regarde ! Continuez. Je n'ai pas l'intention de me cacher ni de vous reluquer en douce … et cette fois, tu ne me coinceras pas à l'étage. Sans doute satisfaite, elle se retourne … elle penche un peu la tête en avant et je la vois faire je ne sais quoi … à ses mouvements, je ne tarde pas à comprendre … elle est en train de déboutonner son chemisier et elle en écarte maintenant les deux pans … puis je la devine qui saisit la main droite du type et qui l'attire vers ses seins … Décidément, ça va très très vite ! Le type jette encore un coup d'œil dans ma direction, et à ses mouvements à lui, je devine qu'il lui caresse la poitrine … Une main sur ses reins, une main sur ses seins … Et bien voilà ! On n'est déjà plus dans le flirt, on est carrément dans les prémices du sexe ! Puis elle le prend par la nuque et elle l'attire vers sa poitrine … il se laisse faire et se penche … Christine le masque à ma vue et je ne vois pas ce qu'il fait, mais je devine à sa posture qu'il est en train de lui embrasser les seins … peut être même de les lui lécher … ça frémit dans mon bas ventre … alors, sans doute pour lui faciliter les choses, elle pivote un peu, se tourne pour être face à lui, et, une main posée sur la nuque de son amant, elle rejette sa tête en arrière … whoooohhhh … maintenant, elle se trouve de profil par rapport à moi, et je vois distinctement le mec lui pétrir les seins à deux mains, tout en … oui, il a un sein dans la bouche … et il le suce, il le lèche … et à son comportement fébrile, je sens qu'il est gagné par l'excitation … hhhmmmm, elle aime ça … je dois dire que moi aussi … je sens ma queue commencer à frémir … 


L'autre, le blond, en oublie de tirer sur sa cigarette, il les regarde, fasciné, et n'arrête pas de jeter de rapides coups d'œil dans ma direction … à mon avis, voir son comparse commencer à tripoter ouvertement Christine de cette manière devant moi le trouble beaucoup. Je prends le parti de m'installer carrément à leur vue … pourquoi je devrais me gêner ? Je m'appuie de l'épaule contre le chambranle de la porte-fenêtre … De leur côté, ça dure comme ça un petit moment, le type brun malaxant, embrassant, léchant et suçant les seins de Christine … puis il se redresse et me regarde, l'air quand même un peu gêné. Il parle à Christine en me désignant d'un coup de menton. Elle se tourne vers moi, hausse les épaules et fait non de la tête. Il soupire. Elle me regarde à nouveau … et elle se lève. Elle vient dans ma direction ... elle n'a même pas pris la peine de resserrer les deux pans de son chemisier sur sa poitrine, qui s'écartent et dévoilent ses seins … ses tétons, encore luisants de salive, pointent d'excitation … apparemment, ce type l'a bien chauffée … Qu'est-ce qu'elle me veut ? Une fois devant moi, ses yeux plantés dans les miens, elle me lance sur un ton plein de défi:

- Quoi … qu'est-ce qu'il y a ? 

- Rien, rien … tu les as ramassés où, ces deux là ?


Encore une fois, je n'attends pas de réponse, et je m'écarte de mon chambranle pour la laisser entrer dans le séjour … mais elle s'arrête sur le pas de la porte-fenêtre:

- Au Marriott.

- Au Marriott ?

- Oui, à l'hôtel … à côté du parc d'attraction … 


Tiens, on dirait qu'elle a envie de parler – Hhhmmmm, cette odeur de sexe, qui émane d'elle ! Ça m'excite ! - Le Marriott, je connais … ce n'est pas vraiment un hôtel … plutôt une résidence de luxe où les clients logent dans des maisons individuelles … ça coûte un max. Je ne peux pas m'empêcher de m'étonner:

- Qu'est-ce que tu foutais au Marriott ?

- Ben, qu'est-ce que tu crois … je cherchais des hommes … 

- T'as pu entrer au Marriott ? Je croyais qu'il fallait montrer patte blanche à l'entrée …

- Oui, mais je connais un des agents de sécurité … c'est le père d'un de mes élèves …


Oui, pas de doute, elle a envie de raconter … à mon avis, c'est plus pour me provoquer qu'autre chose … mais je m'en fous. J'enchaîne:

- Ah oui ? Et tu lui as montré ton cul pour qu'il te laisse entrer, au père de ton élève     ?

- Non, j'ai pas eu besoin … son fils avait tabassé un autre gamin en classe et c'est moi qui avais convaincu les parents de pas porter plainte … alors il me devait un service …

- Et alors, pourquoi tu cherchais des mecs spécialement au Marriott ?

- Je me suis dit qu'en ce moment, c'était là qu'il fallait aller … y'a plein de touristes … ces deux là, c'est pas des touristes, mais ils prenaient leur petit déj' à côté de la piscine … 

- Ces mecs là étaient au Marriott ? C'est pas des clients friqués qui logent au Marriott ?

- Ces mecs là, c'est des membres d'un groupe qui va faire un concert au parc d'attraction … c'est pas eux qui paient leur séjour, ils sont invités … 

- Alors, tu les as abordés comme ça, et tu leur a proposé de venir te sauter à la maison …


Elle sourit:

- Non … c'était pas aussi direct … faire comme ça, ça ferait peur à n'importe quel mec …

- Alors ?

- Alors, je me suis installée à une table juste en face d'eux … et j'ai fait semblant de ne pas les avoir remarqués … 

- Et c'est eux qui t'ont abordée ?

- Exactement. 


Elle soulève un peu le bas de sa minijupe … elle me dévoile le triangle de son string … celui-ci, je ne l'avais encore jamais vu … enfin si, tout à l'heure, juste avant qu'elle parte, mais j'avais seulement aperçu le mince cordon blanc entre ses fesses … non seulement il est minuscule, ce string, mais en plus, il est en voile transparent … à travers, je distingue nettement la bordure de ses petites lèvres qui dépasse légèrement de la fente de son pubis  … image très sensuelle et érotique … elle poursuit:

- Il suffisait que je leur laisse voir ça …

- Ah, en effet … et je suppose que t'as écarté les cuisses …

- Ben oui, naturellement … tu sais, en général, les mecs ne résistent pas à la vue d'une petite culotte si ils ont l'impression de l'apercevoir par inadvertance … alors ça n'a pas manqué, le brun s'est levé et il est venu me proposer de m'asseoir à leur table … les mecs, vous êtes tellement faciles à harponner ... ce n'est même plus drôle, à force ... mais ça tombe bien, j'ai pas de temps à perdre ...


Je ne sais pas exactement ce qui se passe, mais, après des jours à me faire la gueule et à n'être qu'agressive et désagréable, la voilà qui déballe … comme tout à l'heure, avant de partir en chasse … pourquoi elle est venue me parler et me raconter tout ça ? Là, je sens qu'elle attend que je demande encore des précisions. Alors:

- Et alors ? Tu t'es assise à leur table ?

- Ben oui … puisqu'on est là … 


Ben oui, forcément … elle a … ou ils ont engagé la conversation … même si ils sont visiblement plus jeunes qu'elle, elle ne les a sûrement pas laissés indifférents … elle est encore très appétissante … et puis ils ont dû se dire qu'une femme qui porte une petite culotte comme ça sous une minijupe "ras de la moule" est forcément portée sur le sexe … et que pour écarter les cuisses en public comme elle le fait, il faut qu'elle ne soit pas farouche … et puis, il y avait aussi ce parfum … il doit leur faire le même effet qu'à moi … ils ont dû tout de suite penser qu'ils avaient une ouverture … et tous les trois, ils n'ont sans doute pas tardé à parler cul.

- Et c'est eux qui ont commencé à parler cul, ou c'est toi ?

- Le brun, là, il m'a dit " j'ai aperçu ce que vous avez sous votre jupe, c'est très joli " ... il voulait parler de ma petite culotte, alors, j'ai un peu relevé ma jupe pour qu'il la voie mieux ... ça les a sciés, les deux mecs, ils étaient même un peu gênés parce que, il y avait pas mal de monde autour ... et pour me provoquer, il a ajouté " ce qui est dessous doit être très mignon aussi " ... il voulait me gêner, ou me mettre au défi ... alors j'ai ôté mon string ... tiens, attends, ils ont voulu faire une photo avec mon smartphone ...

 

Elle fouille dans son sac, en sort son téléphone, pianote et me le colle sous le nez:

- Tiens, regarde ...

 

010 

 

Ah oui, en effet, on aperçoi sa chatte. A quoi elle joue, pour me montrer ça ?rètement

- T'as enlevé ton string là ... au bord de la piscine et devant les autres clients ... et ils ont fait une photo ..

- J'ai fait ça discrètement ... et on a été faire la photo un peu plus loin dans le parc ...

- Et après ?

- Ben, après ... je leur ai dit que si ils voulaient la voir mieux, il n'y avait pas de problème ... et plus si affinités, comme on dit ... ils se sont regardés et le brun m'a proposé de les suivre dans leur suite ... et voilà ...

 

- Et ils n'ont pas cherché à te sauter sur place, au Marriott ?

- Si, bien sûr. Ils m'ont emmenée dans leur résidence presque tout de suite, et on a un peu … commencé ... tous les trois … je les ai laissés s'exciter et quand ils ont été bien chauds, je leur ai annoncé que je voulais bien les finir, mais ici, à la maison … et que c'était à prendre ou à laisser !


"… je leur ai annoncé que je voulais bien LES FINIR !" Quelle classe ! 


- T'as pas eu peur qu'ils te prennent  de force dans leur suite ?

- Si, j'y ai pensé … mais peur, non, pas vraiment … de toute façon, ça n'aurait pas été un drame s'ils m'avaient prise de force … je me serais laissé faire, tu sais … mais bon, apparemment, c'est pas leur genre, alors il me restait qu'à les convaincre de venir ici.

- Mais alors … pourquoi à la maison et pas là-bas ?

- C'est pas ce que tu veux … que je me fasse sauter devant toi ?

- Tu les as ramenés ici pour te faire sauter devant moi ? Tu veux que je les regarde te baiser ? ! ? ! Alors, tu leur as annoncé que je serais à la maison …

- Oui … non seulement que tu serais là, mais qu'en plus, tu les regarderais sûrement me baiser…

- Ah ben oui, évidemment … et ils ont tout de suite accepté … c'est tellement banal qu'une inconnue invite des types qu'elle vient de rencontrer à venir la baiser devant son mari … 

- Non, mais … je dis pas qu'ils ont accepté tout de suite … il a fallu les convaincre … mais ça, je sais faire …

- Et eux, ça les gênera pas, de te baiser devant moi ?

- Ben, en fait, ils savent pas trop … ils disent qu'ils ont jamais fait ça, baiser une femme devant son mari … ils sont pas sûrs … ils disent que ça pourrait les bloquer … ils verront au fur et à mesure … mais jusque là, ça va … ça se passe plutôt bien … moi, je suis sûre que ça ira … je te l'ai dit, l'autre fois, avec ce que je leur fais, aux mecs, ils finissent par s'en foutre que tu les regardes me baiser … 

- Mmmm … de toute façon, dis toi bien que j'ai pas l'intention de disparaître sous prétexte qu'ils seraient gênés … tu … je suppose que tu leur as dit qu'ils n'avaient rien à craindre … de ma part, je veux dire …

- Ben oui … je leur ai expliqué, et c'est pas par peur de toi qu'ils pourraient avoir du mal à me baiser … plutôt par gêne … mais à mon avis, ça devrait aller … quand ils seront bien chauds, ça m'étonnerait qu'ils renoncent à me sauter parce que tu es là … ils sont prévenus, et ils ont dit qu'ils veulent bien essayer. Bon. Ils m'attendent … ils veulent une bière …


Mouais … si c'était seulement pour aller leur chercher une bière, elle pouvait entrer directement dans la cuisine depuis le jardin … pas besoin de faire un détour par le séjour. C'était donc bien pour me parler qu'elle est passée par ici. Je finis de lui laisser le passage, elle entre et se dirige vers la cuisine … Je n'en reviens pas … elle a radicalement changé d'attitude à mon égard ! Je suis scié … non seulement elle me raconte tout, mais elle a même fini par me parler sans agressivité … presque gentiment. Est-ce que, par hasard, elle aurait pris goût à se faire sauter devant moi ? Je me tourne vers les deux types … le grand brun, penché en avant, les avant-bras posés sur les cuisses, parle à son pote en riant et en jetant des coups d'œil vers moi … Je lui souris et je lui fais un signe de la main. De la cuisine me parviennent le bruit du frigo qui se referme et celui de canettes qui s'entrechoquent … Christine repasse devant moi, des bières dans les mains … elle s'arrête:

- Alors, tu vas nous regarder baiser ?

- D'après toi … 

- Ben oui … tu vas nous regarder …


Elle sort … se ravise et fait demi tour:

- Euh … y'a plus rien, dans le frigo … 

- Comment ça, y'a plus rien … j'ai fait des courses hier … t'as pas vu ?

- Si, si, j'ai vu, il reste des choses, mais je veux dire … y'a plus rien de prêt … 

- Pourquoi ? Ils ont faim, en plus d'avoir soif ?

- Non, ils ont pas faim … pas encore, mais ça pourrait venir … tu pourrais pas … euh …

- Quoi ! Vous faire à manger pendant que vous baisez ? 

- Ben … je sais pas …

- Te fous quand même pas trop de ma gueule, hein … que tu te fasses sauter à la maison par des mecs que tu connais pas, je m'en fous … ça me plaît plutôt, même, mais ne …

- Justement … comme ça te plaît, tu pourrais faire un effort … ça serait sympa de …

- Non !

- Bon … oublie … 


Elle hésite une fraction de seconde, puis:

- En tout cas, si tu regardes, tu vas voir … le mec, là … 


D'un coup de menton, elle me désigne les deux types qui l'attendent.

- LE mec ? Lequel …

- Le brun, celui à qui j'ai roulé une pelle … et ben, il a une des ces … UNE DE CES BITES ! ! !


Elle sort et me plante là. Elle a lâché ça avec une espèce de … jubilation gourmande ! Hé oui, elle l'a déjà vue, sa bite à ce mec … puisque tout à l'heure, elle m'a dit qu'ils avaient "un peu commencé", dans leur suite, tous les trois … Alors oui, bien sûr que je vais vous regarder ! Je veux voir ça, une bite qui l'épate à ce point. Elle rejoint les deux types … elle leur tend leurs canettes en leur parlant et elle s'assoit de nouveau sur les genoux du type brun, un peu tournée vers lui. Ils boivent … elle, toujours avec son bras passé sur les épaules de ce mec. A la réflexion, je regrette presque d'avoir dit non pour la bouffe. Elle semble avoir changé d'avis en ce qui concerne ma présence pendant ses parties de cul … J'ai réagi trop impulsivement et j'aurais peut-être dû faire un effort. Après tout, j'aime bien cuisiner et en fin de compte, ça ne me coûterait pas de faire de la bouffe pour les types qui la baisent … et ça la disposerait bien à mon égard … Bon, on verra …


Elle sirote lentement la moitié de sa bière puis elle se penche pour poser la canette à ses pieds … elle se redresse et, dans le même mouvement, elle soulève ses fesses des genoux du type, glisse ses mains sous le bas de sa jupe, à hauteur de ses hanches, et se met à se tortiller … et sous ses fesses, je vois apparaître la ligne blanche de son string ! Les doigts passés dans la ceinture de la minuscule culotte de dentelle, elle se tortille encore et elle le descend sur ses cuisses … se rassoit … finit de le descendre jusqu'à ses pieds, l'ôte complètement et le lance au blond, vautré sur son transat … Il rit, pose aussi sa bière, prend la boule de tissu, la déroule, et, les pouces passés dans la ceinture du string, il tend le minuscule triangle de dentelle devant ses yeux … je suis sûr qu'il va le sentir … il jette un coup d'œil vers moi et … Yesss, j'en étais sûr ! Il hume la petite culotte qui vient tout juste de sortir d'entre les fesses et la chatte de Christine, et il se marre de plus belle …


Les deux potes n'arrêtent pas de me jeter des coups d'œil en riant … Ils doivent se foutre de ma gueule, mais je m'en fous, ils se détendent. Je vois Christine bouger, et il me semble qu'elle a de nouveau pris la main du type brun, mais, cette fois, c'est apparemment vers ses cuisses qu'elle l'attire … Et oui, bien sûr … pour elle, maintenant qu'elle a ôté son string, il est temps qu'il commence à lui tripoter la chatte ... le désir doit lui tarauder l'entrejambe et elle doit commencer à mouiller … sa chatte doit lubrifier toute seule pour se préparer à recevoir le sexe de ce mec … de CES mecs … Elle se retourne une fraction de seconde, comme pour s'assurer que je regarde toujours … et elle entreprend aussitôt de pivoter vers moi et de tourner le dos au type brun … elle doit considérer que je ne vois pas suffisamment … la voilà maintenant assise plus ou moins à califourchon sur les cuisses du type brun … C'est bien ça ! Elle a dû se dire que si elle restait dans la même position, je ne profiterais pas du spectacle ! Maintenant, elle est presque de trois quarts par rapport à moi … elle s'adosse au torse du mec, lui prend les deux mains, et les attire vers ses hanches … il hésite, me regarde, puis se laisse faire … elle écarte les cuisses … sa minijupe, retroussée en plis à l'angle de ses hanches, me dévoile son pubis et sa chatte … tous les deux bien roses et toujours totalement imberbes ! Je remarque que, telles une crête de coq rose pâle, ses petites lèvres dépassent légèrement de ses grandes lèvres encore un peu serrées … Putain, ce spectacle est à la fois tellement … impudique et adorable ! Paradoxalement, il y a une espèce d'innocence dans sa manière d'écarter les cuisses et de dévoiler sa vulve ! Elle fait ça avec autant de naturel qu'elle montrerait ses pieds ou ses genoux à une terrasse de café ! Il n'y a rien à faire, ça me trouble, ça me bouleverse toujours autant … je ne me lasse pas de la voir se comporter comme ça ! Cette fois, ce n'est plus un frémissement que je ressens dans ma queue … je commence à bander !


Elle tient toujours fermement les mains du type et il me semble qu'elle continue de le forcer … il n'ose pas lui toucher la chatte aussi ouvertement devant moi et il résiste … elle renverse sa tête en arrière, sur l'épaule du type, et elle lui parle … Je n'entends pas, évidemment, mais je n'ai aucun mal à imaginer ce qu'elle lui dit: « Vas-y, mets-moi tes doigts … tripote-moi la chatte … n'aie pas peur, il ne te dira rien ». Alors il cède … il lui glisse sa main gauche sur le ventre, sous la jupe, et il descend sa main droite sur son sexe ! Oh, putain, oui, vas-y ! J'ai beau être assez loin d'eux, je vois que, cette fois, sans hésiter, et directement, il lui plaque ses doigts sur le sexe. De là où je suis, je vois nettement son majeur s'enfoncer doucement entre son index et son annulaire … il lui a glissé entre les petites lèvres … Elle réagit instantanément … elle se cambre sous l'effet de ce début de caresse, redresse sa tête et me regarde … lui, ça semble le décoincer … sans doute le contact de son doigt dans la douceur de cette vulve humide … parce que je suis sûr qu'elle mouille déjà d'excitation … et sous son doigt, à la jonction de ses petites lèvres, il a dû sentir son clitoris déjà gonflé de désir … rien de tel pour exciter un mec, que de sentir qu'une femme "bande", mouille et lubrifie … ce qui le décoince, c'est peut-être aussi de la sentir aussi sensible et réactive à sa caresse … Oh la la, le doigt de ce type qui commence à aller et venir en glissant entre les petites lèvres de Christine et sur son clitoris … cette première phalange qui s'introduit de temps en temps dans l'entrée de son vagin pour y prélever un peu de fluide lubrifiant … à moi aussi, ça me fait un effet terrible !


Elle a lâché les mains du type et, de plus en plus vautrée sur lui, son chemisier grand ouvert sur sa poitrine, elle lui presse fébrilement les hanches … elle respire rapidement et je vois son abdomen se soulever au rythme de son souffle … je sens qu'elle me regarde … Soudain, comme soumise à une impérieuse nécessité, elle se décolle du torse de son amant, passe ses mains derrière ses fesses et elle se met à lui palper, à lui pétrir le bas ventre … et ça lui plaît, à ce mec … ça lui plaît même tellement que, pour mieux se prêter à ce jeu, il se cale bien au fond de sa chaise … et comme, en avançant son bassin, Christine a mis sa chatte hors de portée des doigts de son amant, il la prend par les hanches et braque son regard sur les mains de Christine qui lui tripotent fébrilement le bas ventre … On dirait qu'il a oublié ma présence … Il me semble … il me semble que je distingue une bosse dans son jean … une assez grosse bosse, en effet … elle le fait bander, à lui tripoter la bite comme ça …


Ce petit jeu doit rapidement s'avérer insuffisant pour Christine …  elle ôte ses mains, se lève, se retourne et se rassoit à califourchon sur les genoux du type, mais face à lui, cette fois … elle se penche et la voilà qui entreprend de lui déboucler sa ceinture … Quel spectacle ! Une femme … "ma" femme … la jupe retroussée à l'angle de ses hanches … "ma" femme, penchée sur le ventre d'un type bien plus jeune qu'elle …  "ma" femme qui va déballer la queue d'un inconnu … qui va sans doute la branler …  mais elle est tellement impatiente et fébrile qu'elle s'y prend mal…  impatience et fébrilité communicatives, parce que le mec lui repousse les mains et se charge de défaire lui-même sa ceinture et d'ouvrir sa braguette … il écarte les deux pans de son jean avant de la laisser continuer … elle y plonge sa main et, délicatement, mais fermement, elle en extrait un … oh putain, l'ENGIIIIIN !

 

Elle avait raison … même d'ici, je peux me rendre compte que ce mec à une bite vraiment hors normes ! La vaaaaache ! Non seulement elle paraît vraiment très longue, mais en plus, putain … quel calibre ! C'est un organe sexuel qui a la longueur de la bite de ses amants sénégalais … et le diamètre de la bite de … comment il s'appelle, déjà, leur pote beur ? Alors que ce type a un teint plutôt clair, légèrement hâlé mais clair, sa verge est très sombre, basanée … mais ce n'est pas ça le plus frappant … le plus frappant, c'est vraiment la taille de cet organe ! Pourtant, j'en ai vu, des queues, depuis un mois … au Huitième Ciel déjà, et pas seulement celles des cinq types qui ont baisé Christine … celles des spectateurs aussi … et l'autre nuit, les bites des sept joueurs de foot qui l'ont baisée ici … mais jusqu'ici, c'est vraiment celle-ci la plus grosse … et de très loin … Le type bande … il est encore calotté, mais sous son prépuce, je devine sa forme très ourlée, très profilée de son gland … magnifique ! 


Putain, je … cette bite … cette bite, elle me … non non … non non … je peux pas penser à des trucs comme ça… c'est seulement pour les femmes, une bite comme ça … c'est pour Christine … moi, je suis un mec … je peux pas avoir … mais putain, je comprends qu'elle ait envie de se faire … de se faire fourrer par un truc comme ÇA ! Mais moi, non non … je peux pas avoir envie de … je suis content pour elle, c'est tout … moi, je … c'est pas possible que j'aie … je ne pourrais pas … Oh, merde, qu'est-ce qui me prend ?


Je me déplace un peu, et cette fois, je m'adosse ostensiblement au battant de la porte-fenêtre … Dès que la bite de ce type est apparue, Christine l'a empoignée de sa main droite, et, la tête penchée, elle la contemple, comme fascinée par ce qu'elle tient entre ses doigts … oh la vache … sa main, sa main si petite et si fine, qui serre cet énorme engin ! J'ai l'impression que ses doigts n'en font pas complètement le tour ! Je me demande à quoi elle pense, à cet instant précis … Le type avance sa tête et pose son front contre le front de Christine … il lui saisit le poignet avec lequel elle tient sa queue et il lui parle … elle hoche doucement la tête et elle se met à faire coulisser lentement sa main le long de cette hampe … elle commence à le masturber … dans un mouvement parfaitement synchronisé, tous deux tournent la tête vers moi, me regardent et il me semble qu'ils m'envoient chacun un message silencieux… Elle: « Qu'est-ce que je te disais … t'as vu, ce morceau ? » Lui: « Regarde, mec … c'est avec ça que je vais baiser ta femme »… Oh oui … j'ai hâte de voir ce … ce sexe énorme s'enfoncer dans le ventre de Christine …


Putain, j'en ai le cœur qui bat la chamade … J'ai … j'ai une furieuse envie de m'approcher … pour voir ce phénomène de près … pour voir la main de Christine monter et descendre le long de cette … de cette GROSSE BITE  ! Le front toujours collé au front de son amant, Christine a aussi serré sa main gauche sur ce sexe … et ses deux mains tiennent facilement l'une au-dessus de l'autre… elle le masturbe à deux mains et, peu à peu, son gland se décalotte … lui, il a plaqué ses deux mains sur la poitrine de Christine et il lui palpe doucement les seins … Merde, je n'y tiens plus … jusque là, je craignais plus ou moins que ma présence ne gêne ce type si je me montrais trop curieux ou indiscret, et que ça le décourage … mais, visiblement, ce n'est pas le cas … ou ce n'est PLUS le cas … Alors, je me décolle de ma porte-fenêtre et je m'approche … on verra bien, je tente le coup … Mon mouvement ne lui a pas échappé … il me jette un rapide coup d'œil par en dessous et il chuchote quelque chose à Christine … sur ses lèvres à elle, je lis "oui" … Me voilà près d'eux … à trois mètres à peine … je prends une chaise de jardin, je la tourne, je m'assieds à califourchon et je croise mes avant-bras sur le dossier… Elle tourne alors la tête vers moi et, tout en continuant de masturber cette grosse queue, elle me regarde … je lui souris … elle approche alors sa bouche de l'oreille du type et lui parle … puis elle ôte sa main gauche de sa bite, elle lui saisit le poignet droit et l'attire vers son entrejambe … il se laisse faire, glisse sa main entre les cuisses de Christine et, sans doute, il recommence à lui tripoter la chatte … Comme tout à l'heure, elle réagit instantanément … je l'entends aspirer une grande bouffée d'air, elle tend son bassin vers l'avant pour faciliter le doigtage du type, et elle accélère le mouvement de sa main droite sur sa bite … sa bite maintenant complètement décalottée … son gland … son gland est magnifique … je crois que … je crois qu'une petite goutte de fluide translucide perle déjà à l'entrée de son méat … Si j'étais Christine, j'aurais envie d'essuyer ce fluide avec ma langue …


Putain, moi aussi, je bande ! Je bande et ma bite, coincée dans mon short, n'arrive pas à se redresser … j'hésite quelques secondes, puis je me décide … je glisse ma main dans la ceinture de mon short, et je décoince ma bite … heureusement, dessous, je n'avais mis ni slip ni caleçon … ffffffffff … ça va mieux … Je … je fais quoi, maintenant … je ne sais pas si ils ont remarqué mon geste … j'ôte ma main de mon short, ou je la laisse ? Si j'en profitais, maintenant que c'est fait, maintenant que j'ai ma queue à la main … ils n'ont rien remarqué … ils sont trop concentrés sur ce qu'ils sont en train de se faire mutuellement … mais, je ne sais quoi me retient … une espèce de honte … pourtant, l'autre nuit, je me suis ouvertement tripoté devant les sept types qui baisaient Christine … et puis, j'ai un peu peur que sortir ma queue maintenant et me palucher devant ce mec lui coupe ses moyens … il vaut mieux attendre qu'il soit vraiment chaud … alors je sors ma main de mon short … Christine et le type brun sont concentrés et de plus en plus fébriles … Christine, en particulier … surexcitée par le gros membre qu'elle est en train de masturber et par les doigts du type qui lui fouille la chatte, elle s'active de plus en plus vigoureusement … sans lâcher la verge qu'elle actionne de la main droite, elle a glissé sa main gauche dans le jean du type et, apparemment, elle cherche à lui tripoter les couilles … mais le jean est tellement étroit que son poignet est coincé et qu'elle ne parvient pas à ses fins … 


Alors brusquement, très agacée, elle sort sa main du jean, elle lâche la bite, elle se lève, recule, saisit le jean du mec au niveau de ses hanches et essaie de le descendre … il soulève ses fesses du siège et elle glisse un peu le pantalon sous ses cuisses … puis elle plonge à nouveau sa main dedans et cette fois, elle en extrait les couilles du mec ! Ouaaaahhh ! Sacrés morceaux aussi, du moins pour ce que j'en vois … ses couilles, au lieu de s'affaisser dans son entrejambe, sont retenues par la toile du jean tendue entre ses cuisses … affalé, il s'agrippe à deux mains à l'angle entre l'assise et le dossier de sa chaise, et, le bassin tendu en avant, le dos bien calé, il regarde Christine et attend qu'elle s'occupe de lui … Appuyée d'une main sur une cuisse du type, elle approche sa main … et elle reprend ce gros membre entre ses doigts … 


Lentement, elle fait coulisser sa main … elle le masturbe ... et soudain, sans lâcher cet énorme sexe, Christine tombe à genoux dans l'herbe entre les pieds du type … elle paraît de plus en plus fascinée par le membre exceptionnel qu'elle tient dans sa main, et, tout en continuant de le branler, elle semble observer comment il réagit … j'imagine qu'elle se demande aussi ce que ça lui fera d'avoir ÇA dans le ventre … Le type la regarde … il sourit … il se tourne vers son pote et je m'aperçois que l'autre a sa main dans son bermuda, et qu'il est en train de se caresser … 


Maintenant, Christine, il est temps de la prendre dans ta bouche, cette bite … allez, vas-y, suce la … goutte la … pour voir ce que ça fait d'avoir un morceau comme ça dans la bouche … Moi, j'aimerais bien savoir ce que ça fait … ça doit être chaud … ça doit être doux … ça doit palpiter sur la langue … ça doit être vachement … putain, je suis pas bien, moi, ou quoi … prendre la bite d'un mec dans ma bouche ! Et puis quoi, encore ! Et, comme si nos envies … enfin, non, pas nos envies … nos idées … comme si nos idées avaient suivi le même cheminement, je vois Christine se pencher, commencer par poser sa langue à la base de la verge du type, qu'elle tient toujours dans sa main, et la remonter lentement le long de son urètre … Oh, putain, ce que ça doit être bon ! Pour elle, je veux dire … Arrivée juste sous le gland, maintenant complètement décalotté, elle s'arrête, la langue toujours collée à cette verge … elle braque son regard sur le visage du type … ils sont les yeux dans les yeux … il lui sourit … il lui murmure quelque chose … elle frotte un peu sa langue sous son gland … et brusquement, elle empoigne plus vigoureusement cette bite … et elle enfourne ce gland dans sa bouche !  Ouaaaah, la vaaache ! Ça y est, elle le suce ! Vue la taille de l'objet, et bien qu'elle bâille autant qu'elle peut, il lui est impossible d'enfoncer entre ses lèvres beaucoup plus que le gland … alors, plutôt que de faire aller et venir ce gros truc jusqu'au fond de sa gorge, elle bouge vigoureusement sa tête un peu dans tous les sens … J'imagine … j'imagine qu'en même temps, elle tourne sa langue tout autour de ce gland … Ça y est, elle l'a dans sa bouche, la mouille de ce type ! Hhhhhmmm, quel goût ça a ?


Délicatement, il pose ses deux mains sur le crâne de Christine et, la tête un peu penchée sur le côté, il la regarde le sucer … Ça a l'air de lui plaire, à ce mec … de temps à autres, elle sort cet énorme truc de sa bouche, le temps de reprendre son souffle, elle l'observe, lui donne de petits coups de langue sur la verge, sous le gland … prend même ses couilles dans la main pour les lécher à leur tour … une ou deux fois, je la vois ôter de sa langue un poil de bite ou de couille égaré, mais ça ne la décourage pas … elle recommence aussitôt … c'est … pfiouuuu … à cette espèce de concentration, à la manière dont elle retourne jouer de la langue et des lèvres sur ce sexe … avec une telle gourmandise, on sent que non seulement elle cherche à donner autant de plaisir qu'elle peut à ce type, mais qu'elle y prend elle-même beaucoup de plaisir … elle aime vraiment ça, sucer de la bite ! 


Au bout d'un moment, elle sort cet engin de sa bouche, elle se recule un peu, saisit à nouveau les côtés du jean du mec et elle le descend sur ses mollets … puis elle lui ôte ses tennis l'une après l'autre, puis ses chaussettes, et finit de lui enlever son pantalon qu'elle lance sur la table … le voilà à moitié à poil … alors, de lui même, il passe son T-shirt par-dessus sa tête et l'envoie rejoindre son jean … il est maintenant complètement à poil … il est aussi tatoué sur tout le côté du torse, depuis l'aisselle jusqu'à la hanche … tel un félin qui s'étire, il se vautre un peu plus sur sa chaise, tend les jambes de chaque côté de Christine et croise ses mains derrière sa nuque … L'intention est claire: il s'est installé en position pour qu'elle continue de le sucer … il lance un rapide coup d'œil vers moi … j'ai l'impression que ma présence ne le dérange plus vraiment … pourtant, complètement à poil devant quelqu'un qu'on ne connaît pas, il y en a plus d'un qui serait gêné … lui, non … pour faire preuve d'une telle assurance, il faut qu'il ait vraiment conscience de sa beauté … Les mains sur les cuisses de ce mec, Christine le contemple, visiblement avec admiration … elle a raison, il est vraiment beau … et je dois dire que, même si je trouve Christine encore bien foutue et sexy, je suis quand même étonné qu'un mec comme lui, bien plus jeune, très beau et bien monté comme il l'est, ait envie de se taper une femme comme elle … il doit pouvoir se faire toutes les petites jeunes qu'il veut … il faut croire que, comme elle l'a dit, elle sait se montrer persuasive … elle compense les conséquences de l'âge sur son physique par ce comportement ouvertement provoquant, indécent et lubrique … comment des types jeunes et en plein bouillonnement sexuel pourraient-ils résister à ça ?


Elle remonte ses mains le long de ses cuisses, elle effleure sa bite au passage … sa bite toujours en érection… elle s'avance autant qu'elle peut entre ses cuisses, se met à lui caresser les abdominaux … puis les flancs … suit du bout des doigts le dessin d'un tatouage … frôle ses pectoraux … puis elle redescend ses mains sur son ventre, prend à nouveau son sexe dans la main, lève les yeux sur lui, et tout en le masturbant;

- Je te suce encore ?


Il tourne la tête vers moi et me regarde, une drôle de lueur dans les yeux …


- Oui, vas-y, suce-moi … 


Elle se penche et reprend son gland dans la bouche … cette fois, elle le suce avec moins de fougue, moins d'ardeur … c'est beaucoup plus sensuel, plus voluptueux … à lui, ça lui fait encore beaucoup d'effet … tête rejetée en arrière, bouche grande ouverte, il halète … elle alterne fellations et masturbations … Soudain, il redresse la tête et pose un main sur la nuque de Christine … aussitôt, je perçois un changement de comportement aussi bien chez lui que chez elle … c'est léger, subtil, mais c'est évident … pour lui, la crispation de ses doigts sur le cou de Christine, d'abord hésitante, se fait plus ferme, plus intense, au fur et à mesure qu'il sent qu'elle l'accepte … pour elle, le contact, la pression de cette main sur sa nuque, c'est à la fois la contrainte, la domination et le plaisir … alors que jusque là, c'était elle qui prenait les initiatives, elle qui se servait de ce type, voilà qu'il joue au mâle dominant … et elle l'accepte … il la possède, et elle se soumet à lui … j'adore !


Vautré sur sa chaise, la main toujours serrée sur le cou de Christine, le type se tourne vers moi et me regarde … et puis, comme assuré de sa domination sur elle, il se met à lui caresser la tête et la nuque en me dévisageant … ce n'est plus de la gêne que je vois dans ses yeux … c'est un mélange de provocation, de défi, d'arrogance: « regarde, ta femme, c'est moi qu'elle est en train de sucer … elle est à moi, ta femme … elle est à moi et à mon pote … et on va la baiser, ta femme … devant toi … ». Maintenant, c'est évident, non seulement il s'est fait à l'idée que je vais les regarder baiser, mais en plus, ça l'excite ! Très bien …


Moi, si les choses évoluent comme ça, ça me va. Jusque là, tout ça est vraiment très excitant … déjà, de regarder Christine sucer consciencieusement cette superbe bite et donner du plaisir comme ça à ce type … mais en plus, le fait que ça se passe en extérieur, dans notre jardin, ça ajoute au mien, de plaisir … quand je pense qu'il y a seulement … deux jours … ou trois jours … elle se faisait déjà baiser là par sept types, dans le jardin, sur cette table et sous la lumière blafarde de la pleine lune … aujourd'hui, elle taille une pipe à ce mec en plein jour, et sous mes yeux … et si elle lui fait visiblement beaucoup d'effet, à ce mec, elle y prend aussi beaucoup de plaisir … ça se voit, elle ne suce pas ce sexe machinalement ou seulement pour faire plaisir à ce mec … non, elle se régale, elle savoure littéralement l'organe qu'elle a dans la bouche … elle en tire autant de jouissance qu'elle en donne … tout en lui tétant langoureusement le gland, elle le masturbe toujours avec sa main gauche, mais maintenant, je m'aperçois qu'elle a glissé sa main droite entre ses cuisses … je suis sûr qu'elle se masturbe aussi … Je jette un coup d'œil vers l'autre, le blond … il a les yeux rivés sur Christine et son copain, et il continue de se donner du plaisir … je remarque que, pour se tripoter plus à son aise, il a déboutonné sa ceinture, descendu le zip de sa braguette et écarté les deux pans de son bermuda … et il a maintenant les deux mains dedans … il doit se masturber d'une main et se tripoter les couilles de l'autre … son excitation monte, c'est évident … lui aussi a dû sentir le changement qui s'est opéré entre son pote et Christine … il doit se dire que, tout à l'heure, c'est sa bite à lui qu'elle sucera, cette salope, et qu'ils vont se la faire tous les deux … moi aussi, j'espère bien que je la verrai le sucer, lui aussi, et qu'ils vont la baiser tous les deux … 


Puisque Christine et ses deux amants se laissent maintenant aller ouvertement, je ne vois pas pourquoi je continuerais de me gêner … je glisse ma main dans la jambière de mon short et, tant bien que mal, j'en extrais ma bite toute raide et mes couilles … putain, ma queue bave déjà … je mouille d'excitation ! Je commence à me masturber doucement … Elle avait raison, Christine … moi aussi, je suis sûr que ça va le faire … ils vont la baiser devant moi … 


Sans sortir le gland du type brun de sa bouche, elle tourne la tête vers moi et me regarde du coin de l'œil… elle baisse les yeux sur mon ventre et se rend compte que j'ai sorti ma queue et que je me masturbe … elle m'observe comme ça un moment, puis elle sort la bite du type d'entre ses lèvres, lève les yeux sur lui, et:

- Qu'est-ce que je t'avais dit … tu vois ? Il se branle …


A son tour il me regarde et sourit:

- Oui, j'ai vu …


Ils me regardent tous les trois … c'est bizarre … quelque chose me dit que je devrais être gêné … ma femme et les deux mecs qui vont la baiser devant moi me regardent me branler … mais, au contraire, j'en tire un plaisir supplémentaire … je n'interromps pas ma masturbation … 


- Ça te plaît, hein, de me regarder lui tailler une pipe …


Tiens, voilà autre chose … elle m'interpelle en pleine action … je n'ai pas l'impression qu'elle attende que je réponde à sa remarque, mais:

- Ben oui, évidemment ça me plaît …


Comme si mon échange avec Christine ajoutait à son excitation, le type lui prend alors la tête à deux mains et la presse vers son sexe;

- Allez, toi … suce-moi encore … 


Mais elle résiste:

- Non … attends …


Elle se dégage et se relève … elle détache le bouton qui ferme la ceinture de sa mini jupe et, en se tortillant, elle la descend sur ses cuisses, finit de l'enlever et l'envoie rejoindre les vêtements du type sur la table … puis elle ôte son chemisier… la voilà complètement nue … ils sont beaux, tous les deux à poil … oh, bien sûr, la différence d'âges saute immédiatement aux yeux … et même la différence de générations … il doit avoir une quinzaine d'années de moins qu'elle, ou au moins une douzaine, mais on sent nettement cet écart de génération, et pas seulement à des détails physiques … c'est difficile à définir … c'est aussi dans la gestuelle, dans le comportement, dans l'assurance, dans l'aisance dont elle fait preuve et qui lui manque encore, à lui … dans le fait que c'est elle qui prend les initiatives … dans l'ascendant qu'elle semble avoir pris sur ce jeune type … dans l'espèce de respect, de déférence qu'il lui manifeste (malgré les circonstances, puisque, il faut bien le dire, elle se comporte tout de même avec lui comme une véritable salope nymphomane) … voilà, il y a de ça … bien qu'il s'apprête à la baiser, il demeure entre eux comme une … comme une distance … la même distance générationnelle qu'il doit avoir avec les amies de sa mère … et avec sa mère … 


Oui, la différence d'âges et de générations saute au yeux et dans leur nudité impudique, ils ont quelque chose d'un couple incestueux … ce jeune homme va prendre, va posséder, va connaître charnellement cette femme plus âgée que lui, ils vont s'accoupler, forniquer et il va la féconder … et paradoxalement, en dépit de ce sexe masculin qui se dresse avec toute la vigueur de l'excitation sexuelle, en dépit de ce pubis féminin totalement épilé et de cette vulve que je devine déjà lubrifiée de désir, à mes yeux, c'est un tableau plein de fraîcheur, presque de candeur et d'innocence que Christine et son amant offrent à mon regard … Adam et Eve au jardin d'Eden … Adam et Eve avant que l'Eglise n'invente le péché originel et ne souille le SEXE de sa morale morbide … eux deux, là, ce jeune mâle et cette femelle mûre qui s'apprêtent à forniquer pour le seul plaisir de leurs sens, ils se sont totalement émancipés de toute morale et il sont seulement beaux et terriblement érotiques.


Elle s'avance, à califourchon au-dessus des cuisses de son amant, lui empoigne le sexe, tend son bassin en avant et commence à fléchir les genoux … elle va s'empaler sur son pieu ! Et c'est à chaque fois la même chose … voir le sexe d'un homme qui s'apprête à pénétrer le sexe de Christine et à s'enfoncer dans son ventre, ça me bouleverse … Je ne sais pas précisément ce qu'elle a voulu dire, tout à l'heure, quand elle m'a expliqué qu'ils avaient "un peu commencé" tous les trois à l'hôtel, mais j'imagine qu'elle les a seulement masturbés et sucés,  sans les laisser la pénétrer … alors là, ça va être la première fois que ce jeune mec va introduire ce … cet énorme membre dans le vagin de Christine … il a pris Christine par la taille et, la tête baissée, le regard braqué sur sa queue, il attend que son gland entre en contact avec sa vulve et s'y enfonce … il doit anticiper les sensations de son membre se frayant un chemin en progressant dans les chairs humides et tièdes de cette femme … 


 

 

 

à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 15 mars 2018 4 15 /03 /Mars /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Le type entre les pieds de Christine, après avoir promené ses doigts sur son clitoris et ses petites lèvres, a commencé a les lui fourrer dans le vagin … son index, d'abord … puis son majeur … puis les deux en même temps …

 

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Evidemment, il n'a pas lâché son smartphone, et il continue de filmer ce qu'il lui fait … et ce qu'il lui fait …  lui fait beaucoup d'effet … les yeux fermés, elle halète et se cambre … il la fouille, il va et vient un moment, puis il retire lentement ces doigts là, et commence à enfoncer délicatement son pouce … quand son pouce est totalement enfoui, ses autres doigts plaqués sur son pubis, il fait osciller son poignet et il lui masse le clitoris avec la bride de peau entre son pouce et son index … son halètement se transforme alors en gémissement … les autres se regardent, les yeux écarquillés de stupeur … ils n'en reviennent toujours pas de la voir réagir aussi intensément … elle ne simule pas et ils le sentent … ils n'ont sans doute jamais vu une femme aussi addicte au sexe … ils doivent se dire que c'est un véritable phénomène qui les a racolés dans ce café parisien … la plupart d'entre eux se sont rapprochés du canapé … ils veulent être aux premières loges pour assister au spectacle … et ils veulent être les premiers à prendre la suite quand leur pote en aura terminé avec elle … ils ont hâte d'être à leur tour celui qui lui donne ainsi du plaisir … maintenant, elle gémit et secoue sa tête de droite à gauche … Et soudain:

- Allez, baise moi, maintenant !

 

Christine a ouvert les yeux, s'est un peu redressée et a crié ça en jetant un rapide coup d'œil vers moi … elle ôte son bras droit de sous sa nuque et tend sa main vers son amant pour l'inviter à la … à la couvrir … Son bref regard vers moi a rappelé ma présence aux autres types. Je sens leurs yeux sur moi … simplement curieux … ils guettent ma réaction … Lentement, je gagne le pied de l'escalier et, sans quitter des yeux le duo qui s'apprête à s'accoupler, je m'appuie au premier pilier de la rampe. Alors les six autres reportent leur attention sur ce qui se prépare sur le canapé. 

 

Le type extrait son pouce du vagin de Christine, pose son smartphone sur le coussin du canapé et commence à se lever … puis il s'agenouille entre ses mollets et se penche au-dessus d'elle …  elle le regarde … elle le regarde même avec une espèce de lueur amoureuse dans les yeux ! Ce type, cet inconnu, va la baiser, et elle est pleine de gratitude pour lui … il a empoigné son membre, et, appuyé de l'avant bras sur l'accoudoir où elle repose sa tête, il guide son sexe, les yeux rivés entre leurs deux ventres … elle aussi, la tête penchée en avant, cherche à voir le sexe de son amant s'enfoncer en elle … maintenant qu'il me masque l'entrejambe de Christine, je ne peux que deviner, au mouvement de son basin, qu'il est en train de la pénétrer … je ne peux qu'imaginer son membre qui s'enfonce lentement dans la tiédeur humide de ses chairs … Ça leur fait un effet terrible à tous les deux … elle, les mains posées sur les flancs de son amant, se cambre et halète, la nuque cassée, les yeux fermés et la bouche grande ouverte … lui, la bouche entrouverte dans une moue de stupeur, écarquille les yeux … Pas de doute, l'étroitesse du vagin de Christine amplifie ses sensations … tout à l'heure, le grand type m'a fait remarquer combien elle est serrée … et deux des triplés sénégalais me l'avaient dit aussi au Huitième Ciel … 

 

Ça y est, il est en elle et il entame un lent va et vient … comme par réflexe, elle enserre de ses jambes les jambes de son amant, puis elle l'enlace de ses bras et, tout en lui caressant fiévreusement le dos et les reins, elle le presse contre elle. Voilà, ils font l'amour … Christine et un inconnu font l'amour sous mes yeux et visiblement, elle y prend beaucoup de plaisir … lui, le visage dans le cou de Christine, se met à grogner … Le grand type, lui, n'a pas arrêté de filmer … son appareil braqué sur le couple qui baise, il se tripote la bite … Elle rouvre les yeux et balaie lentement l'assistance du regard … et rapidement, je comprends qu'en fait, ce qu'elle contemple, c'est les bites en érection des six types debout devant le canapé … Il n'est pas nécessaire qu'elle dise quoi que ce soit, son regard et son expression parlent pour elle … toutes ces mecs bandent pour elle … toutes ces mecs ont envie de la baiser … et leurs bites, elle les veut  … elle sait qu'elle va aussi se les prendre dans la chatte, ces six bites … elle sait que ces mecs vont tous lui passer dessus, l'un après l'autre, quand celui-ci en aura fini … cette perspective ajoute à son extase … nos regards se croisent … les yeux plantés dans les miens, elle passe se langoureusement la langue sur les lèvres … "tu vois, il me baise … et après lui, les autres aussi vont me baiser. "… je me trompe peut être, mais, à de subtiles réactions de son corps, j'ai l'impression que me voir assister à cette … à cette partie de cul entre elle et ces sept types (à ce véritable gangbang) accroît son extase … Tant mieux … si seulement ça pouvait l'inciter à me laisser assister à ses prochaines orgies … 

 

Brusquement, les grognements de son amant se transforment en un râle sourd … ses coups de reins se font plus erratiques … il est au bout de sa résistance et il ne maîtrise plus les réactions de son sexe, il ne maîtrise plus les mouvements de son bassin … il se laisse aller … il va jouir … il va éjaculer dans le ventre de Christine ! Son râle se mue maintenant en un gémissement qui va croissant … Christine a senti que le mâle qui est en elle est au bord de l'orgasme et qu'il va bientôt l'inséminer, noyer son utérus de sa semence … et ça alimente sa propre excitation … elle le presse et le caresse de plus en plus fiévreusement … les voilà emportés tous deux par ce furieux embrasement … elle se met aussi à gémir et à secouer sa tête de droite à gauche … Oh putain ! Assister à ça, c'est absolument …  beau et fascinant ! Je me suis approché, comme les autres, pour mieux voir, et je bande à mort … comme les six autres types … je bande tellement que ma verge en est presque douloureuse … j'ai la sensation que ma bite est lourde … et mes couilles aussi … comme si … comme si, à la vue de ce spectacle, elles s'étaient mises à produire et à stocker une quantité phénoménale de sperme … mais je sais bien que, physiologiquement, ça ne se passe pas comme ça … c'est seulement une impression … et je réalise que, moi aussi, je suis en train de me masturber … aussi, pour éviter de jouir, je suis brusquement obligé de serrer la base de ma verge, juste sous les couilles … je veux rester excité pour voir les six autres types la baiser à leur tour …

 

Après un ultime coup de reins, le type a plaqué son ventre contre le ventre de Christine, et le torse un peu soulevé au-dessus d'elle, la tête penchée vers elle, il halète, les dents serrées, et il postillonne sur elle … là, tout de suite, c'est évident, il est en train de jouir … il éjacule … il est en train de répandre sa semence au fond du ventre de Christine … Elle l'a senti et, prise d'une incontrôlable furie, bouche grande ouverte, elle se met à crier "Oh ouiiiiiiiii … ouiiiiiii … ouiiiiiiiiii … ouiiii … ouiiiiiiiiiiiiii" … à son tour, c'est sûr, elle jouit ! Putain, quel pied elle prend ! Essoufflé, le type se remet alors à aller et venir … avec brutalité ! Il lui donne de violents coups de bite, faisant claquer son pubis sur le pubis de Christine … elle ne crie plus, elle laisse échapper un long gémissement … plus qu'un gémissement, c'est le feulement amoureux d'une femelle que son mâle est en train d'inséminer … entre deux coups de reins de ce mec, je vois le ventre de Christine se soulever et se contracter spasmodiquement sous l'effet de son orgasme … fébrilement, elle se met à chercher la bouche de son amant … elle la trouve et elle le prend par la nuque … ils s'embrassent avec fougue, lui, continuant à la pilonner, mais un peu moins vigoureusement … et peu à peu, il ralentit et s'affaisse sur elle … ils finissent par décoller leurs bouches et il fourre de nouveau sa tête dans le cou de Christine … Voilà, c'est fini. Ce mec a tiré son coup, il s'est vidé les couilles. Il reprend son souffle et je vois son torse se soulever et s'abaisser comme un soufflet de forge … elle aussi s'efforce de retrouver sa respiration … ils restent comme ça un petit moment, puis un des spectateurs s'avance jusqu'au canapé, donne un coup de genou dans le genou de son pote, et:

- Allez, Chris ! Ça y est, t'as fini ! Laisse la moi, maintenant …

 

" Laisse la moi ! ". Je n'en reviens pas de la façon dont il parle de Christine … comme … comme d'un objet … comme d'une chose … et curieusement, au lieu de me choquer, je trouve ça … je trouve que ça cadre bien avec la situation … pour lui, Christine n'est rien d'autre qu'une espèce de poupée gonflable vivante … et en plus, je dois dire que ça me plaît ! "Laisse la moi ! ". Celui qui la veut, c'est le type un peu enrobé qui était venu nous retrouver dans la cuisine quand je discutais avec le grand … il s'appelle Gérard, il me semble. Tout à l'heure, quand il est arrivé dans la cuisine, sa bite baissait le nez, bien que, visiblement, il bandait … mais là, il est tellement excité que sa bite tient toute seule à l'horizontale, et je vois une énorme veine qui parcourt sa verge depuis la base jusque sous la couronne de son gland. Ce type n'est pas un perdreau de l'année … et c'est le contraire d'un Apollon, il a du ventre, il a des seins, il grisonne et il est déjà bien dégarni du crâne … rien de génial en soi, mais voir un mec comme lui, vieux et moche, s'apprêter à baiser Christine, je trouve ça tout aussi fascinant … troublant … excitant, que si c'était un jeune étalon fringant … Elle se tape vraiment tout le monde et n'importe qui du moment qu'il a une bite en état de marche ! D'un seul coup, ce … Gérard empoigne sa queue et la comprime … à l'évidence, il cherche à retarder une éjaculation imminente, et comme son pote Christophe ne réagit pas, qu'il ne lui laisse pas la poupée gonflable, il insiste:

- Allez, Chris ! Laisse la moi, j'te dis … ça urge !

 

Alors Chris appuie ses deux mains sur le canapé de part et d'autre du torse de Christine et commence à se soulever. Elle dénoue ses jambes et ses bras d'autour de son amant. Il se décolle, braque de nouveau son regard entre leurs deux ventres et il extrait lentement sa bite du ventre de Christine … les mains plaquées sur l'intérieur de ses cuisses, elle aussi penche sa tête pour regarder ce sexe sortir de son ventre … D'où je suis, je vois la verge encore gonflée de Chris glisser lentement entre les petites lèvres de Christine … elle est couverte d'un sperme très blanc et très épais ! Et là, je réalise … si j'en crois ce que m'ont dit le grand type et l'autre, tout à l'heure dans la cuisine, Chris est le quatrième à avoir joui … à avoir éjaculé dans son ventre ! Christine a approché ses mains de sa chatte et, en enserrant la bite de Chris avec ses doigts, elle racle son sperme qui s'accumule sur ses phalanges … elle semble ravie … voilà le gland de Chris qui, à son tour, passe entre ses petites lèvres … lui aussi est encore tout gonflé et rouge, tout maculé de sperme … 

 

Quel spectacle ! Je viens de regarder la bite d'un mec, d'un inconnu, sortir du ventre de ma femme où il vient de décharger sa dose de sperme ! Une fois encore, ça me bouleverse littéralement … et après lui, il va y avoir ce … ce Gérard … et encore d'autres après ! Je me demande … je me demande si je vais pouvoir tenir le coup … résister à l'excitation des accouplements suivants sans éjaculer à mon tour … Chris est maintenant complètement redressé, à genoux entre les jambes de Christine, il tient sa bite encore raide dans sa main et il la contemple, les yeux exorbités, comme ébahi de ce qui vient de se passer et de voir son sexe encore dans cet état … Christine, elle, glisse ses doigts dans son vagin, les bouge un peu, les ressort tout maculés de sperme, et, sans hésiter, elle les porte à sa bouche et les lèche avec gourmandise … Chris descend du canapé et récupère son téléphone:

- Oh, merde ! Quel pied j'ai pris !

 

Le Gérard ne perd pas de temps … il doit vraiment avoir une urgence … sa queue est turgescente, ses veines font saillie, son gland, décalotté, est gonflé … Putain, ce que ça me plaît de voir ces mecs se succéder comme ça sur Christine … sans la moindre pause ! A son tour agenouillé entre les jambes de Christine, il se penche, lui met ses mains derrière les genoux:

- Allez, remonte tes jambes … vite !

 

Il l'incite à fléchir ses jambes et à remonter ses cuisses de part et d'autre de son ventre … docilement, elle saisit l'arrière de ses genoux et les attire vers elle dans un bruit de bulles visqueuses qui s'échappent de son ventre … ça la fait rire … la voilà, les cuisses repliées sur son ventre, qui attend que ce nouveau type la prenne à son tour et se serve d'elle … Je n'en reviens pas, j'adore la voir se comporter comme ça … comme … une vraie salope … une paillasse … une viande à bites à la disposition de ces types ! Visiblement, elle se fout que ce mec soit vieux, mal foutu et gras du bide … il va la baiser et c'est tout ce qui compte pour elle ! C'est vraiment du sexe brut ! Lui est pressé: penché au-dessus de Christine, appuyé d'une main sur le dossier du canapé, il est déjà en train de guider sa queue à l'entrée de son vagin … voilà … son gland commence à disparaître entre ses petites lèvres … ça aussi, ça me bouleverse … voir le sexe d'un type commencer à disparaître dans le sexe de … de "ma femme" … ma queue en a même une espèce de spasme d'excitation … comme quand je m'apprête à éjaculer ! Chris a repris ses esprits et il s'est remis à filmer. Maintenant assuré d'être en place, le type qui vient de prendre son tour se laisse descendre brusquement entre les cuisses largement écartées de Christine et, dans le même mouvement, il finit de s'enfoncer en elle avec un énorme soupir… encore un type qui la baise … un parfait inconnu, un type qu'elle n'avait jamais vu il y a seulement quelques heures ! Oh, Christine, Christine ! Moi, des mecs, je peux t'en trouver d'autres et te les amener ici pour qu'ils te baisent ! 

 

Oh la la, ce Gérard était vraiment dans l'urgence ! Je crois que … oui, il est déjà en train de jouir ! Il gémit et agite convulsivement son bassin. Simplement s'introduire en elle a suffi pour déclencher son orgasme. Elle le sent … elle lâche ses genoux, croise ses chevilles dans le dos de son amant et l'enlace à son tour … les yeux fermés, la bouche ouverte, je la sens se concentrer … et brusquement, à son tour, elle jouit ! Putain, elle a déjà eu un orgasme, il y a quoi … deux, trois minutes, et elle recommence ! Elle gémit doucement … je ne suis même pas sûr que ce soit la présence de cette bite dans son sexe qui lui procure un tel plaisir … je crois … je crois que c'est de sentir qu'il est en train de la féconder ! C'est de sentir qu'un mâle lui déverse du sperme dans le ventre qui la rend dingue ! C'est ça qui lui déclenche un orgasme et c'est pour ça qu'elle ne veut pas qu'ils mettent de capote. Maintenant, tandis que Gérard se répand en elle en ahanant, elle le tient par le cou et gémit de volupté … et ça ressemble à … un sanglot de bonheur … 

 

Putain, j'adore ça ! Ce qui se passe là, sous mes yeux, c'est vraiment du sexe brut … pas du sexe brutal, non, du sexe BRUT … en fait, ces mecs ne lui font pas l'amour, ils la baisent ! Jusque là, de mes propres yeux, je n'en ai vu que trois la baiser … le premier, quand je suis descendu tout à l'heure, et les deux autres juste à l'instant … et pendant que je discutais avec le grand dans la cuisine, j'en ai entendu deux autres … et c'est évident, aucun sentiment, aucune tendresse de la part de ces types … et c'est assez normal, ils ne la connaissent pas … pour eux, elle n'est qu'un jouet sexuel, une chatte dans laquelle ils peuvent donner du plaisir à leur queue et un ventre dans lequel ils peuvent se vider les couilles … une femelle que n'importe lequel d'entre eux peut couvrir comme il veut … pas de sentiment ni de tendresse, mais quand même de la douceur …  peut-être, d'ailleurs, que pouvoir disposer d'elle comme ils veulent finirait par leur donner envie de la revoir, de recommencer, et susciter une forme de … d'attachement. Mais, pour le moment, on n'en est pas là ! Et pour elle … c'est aussi du sexe brut … elle aime LA BITE … elle aime se faire baiser … elle aime surtout se faire inséminer, se faire remplir de sperme … mais, à la différence de ses amants d'un jour, chaque fois que l'un d'eux tire un coup dans son ventre, en plus d'un orgasme purement physique, j'ai l'impression qu'elle se laisse submerger par une vague … disons par une vague sentimentale …

 

Et moi, dans tout ça ? Et bien … moi, je trouve tout ça génial ! Je ne ressens plus la moindre gêne, je n'ai plus la moindre inhibition ni le moindre scrupule … toute cette débauche a eu raison de mes tabous, de mes interdits, de toutes mes barrières mentales, qu'elles soient morales ou sentimentales … Je ne ressens pas la moindre jalousie … au contraire, ça me fait carrément plaisir pour Christine de la voir se faire baiser par ces types, et en tirer une telle jouissance ! Il subsiste bien un tout petit quelque chose, dans ce qui me reste de raison, qui me souffle que tout ça est radicalement immoral, vicieux, pervers … je sais bien qu'aux yeux de la société et de sa morale, s'accoupler comme le fait Christine avec autant d'hommes … autant d'inconnus, et copuler sans frein avec eux est considéré comme des actes contre nature. Mais à mes yeux à moi, c'est exactement le contraire … pour moi, on est en plein dans le "naturel" au sens strict ! Christine et ces hommes qu'elle racole pour la chevaucher, s'abstraient des règles morales que la société prétend leur imposer … elle et eux ne se soumettent qu'à ces forces NATURELLES que sont leur désir brut et leurs pulsions sexuelles, comme le font … oui, comme le font les animaux … Et alors ? En quoi ça la regarde, la société, du moment qu'ils ne se livrent pas à ce libertinage en public ?

 

Et pour moi, la morale ? Elle n'a plus aucune prise sur moi, la morale … elle est étouffée par l'excitation purement sexuelle que me procure le spectacle de ces multiples coïts … excitation doublée d'une espèce de jubilation, d'exaltation cérébrale de voir cette femme … MA femme, au regard de la loi … ainsi possédée, utilisée sexuellement par des hommes qu'elle ne connaît même pas … et l'effet en est d'autant plus puissant sur moi que Christine ne triche pas, qu'elle va vraiment jusqu'au bout … en se faisant VRAIMENT baiser … en refusant que ses amants d'un soir mettent une capote … en se faisant VRAIMENT inséminer par tous ceux qui lui passent dessus, si nombreux soient ils … elle recueille VRAIMENT au fond de son ventre, jusque dans son utérus, la semence de tous ces types qui se succèdent en elle … Alors oui, je n'ai qu'une envie … que ça continue ! Que ça continue là, maintenant, cette nuit même, évidemment … mais aussi qu'à l'avenir, Christine continue d'aller provoquer des hardes de mâles, qu'elle continue de les mettre en rut en répandant ses effluves de femelle ou en collant sous leurs nez sa vulve humide et brûlante de désir … bref, qu'elle rabatte à la maison des mâles excités pour se faire saillir et couvrir encore et encore devant moi … 

 

Je verrais même assez bien que se constitue autour d'elle une espèce de … de cercle d'habitués, comme une "troupe régulière", regroupant les baiseurs les plus vigoureux et les plus endurants … une brigade de "tireurs" d'élite, en somme … comme un harem inversé … ou plutôt comme un haras … et on pourrait organiser un planning, de manière qu'il y ait constamment six ou sept étalons d'astreinte, à tour de rôle, afin de pouvoir satisfaire jour après jour son inextinguible fringale de bites et de foutre … On n'aurait sans doute aucun mal à recruter des volontaires ... pour peu qu'après avoir rempli leur office de reproducteurs on les laisse se "régénérer" pendant deux ou trois jours, je pense que des mecs tant soit peu portés sur le cul ne pourraient qu'être disposés à venir se vider les couilles régulièrement … une femelle constamment demandeuse de coups de bite, qu'ils n'auraient pas besoin de séduire ou de draguer, qu'ils n'auraient même pas à chercher à faire jouir, puisque c'est leur éjaculation qui lui fait prendre son pied, et qu'ils pourraient niquer aussi souvent qu'ils veulent … que demander de plus, pour des mecs ?

 

Tandis que mon imagination vagabondait, Gérard avait continué de se soulager dans le ventre de Christine et, du même coup, de la faire jouir … Ils ont fini, tous les deux, et ils reprennent leur souffle … Lui, toujours vautré entre les cuisses repliées de Christine, le visage enfoui dans son cou, comme l'autre, tout à l'heure, il semble apaisé … il remue doucement son bassin, comme s'il voulait sentir sa bite bouger dans ce vagin … elle l'enlace, lui caresse le dos … et elle l'embrasse dans le cou et sur la joue … image de la femme comblée et amoureuse … Et elle ne le connaissait pas il y a seulement quelques heures ! Et si ça se trouve, elle ne sait même pas comment il s'appelle ! Moi, j'étais pas loin de jouir aussi, il y a un instant, mais c'est passé … l'excitation est un peu retombée.

 

- Bon, ça y est, Gérard ?

 

Qui vient de rompre le charme de cette étreinte ? On dirait que c'est le grand … celui qui est venu discuter avec moi dans la cuisine … il est tout contre le canapé, il serre sa bite dans une main et de l'autre, il filme en gros plan le couple enlacé … Gérard sort sa tête du cou de Christine et regarde son pote:

- Ouais, ça y est !

 

Il commence à se soulever … Christine dénoue ses bras et ses chevilles pour le libérer, et elle regarde le grand, debout au-dessus d'elle … Il bande et sa bite se dresse à quarante cinq degrés ... et elle doit avoir une vue directe en contre plongée …  Gérard se redresse en s'appuyant sur le dossier du canapé, et finit de se relever … sa queue est toute molle … Christine redescend ses jambes et pose ses pieds sur le canapé … on dirait qu'un peu de sperme blanchâtre s'écoule de son vagin … sans quitter le grand type des yeux, elle descend sa main sur son ventre et glisse ses doigts sur son sexe … visiblement, elle attend quelque chose de lui … qu'il la prenne à son tour … qu'il lui ordonne ou lui demande je ne sais quoi … lentement, il promène son smartphone au-dessus d'elle, dans une sorte de traveling depuis sa tête jusque … et quand il arrive au-dessus de son ventre, elle écarte largement les cuisses et elle fourre son majeur entre ses petites lèvres … alors le grand type pose un genou sur le canapé, entre les pieds de Christine, et il braque son smartphone à une vingtaine de centimètres de son entrejambe … il filme en gros plan … les deux pétales roses et le haut des cuisses de Christine sont moites, mais je sais que, même s'il fait encore très chaud à cette heure de la nuit, ce n'est pas de la sueur qui les fait luire ainsi … ravie de voir ce mec la filmer, elle se prend au jeu et se met à jouer des doigt sur ses petites lèvres et son clitoris … je trouve ce tournage pornographique tout aussi excitant que les parties de cul elles-mêmes … c'est absolument indécent, lubrique, cru, obscène … et j'adore ! Et brusquement, le grand type détourne l'objectif de son appareil et le pointe … et le pointe sur sa bite ! Et, tout en filmant complaisamment son propre sexe, du dessus, de côté, de face, puis de nouveau du dessus, il lance à Christine:

- Tu veux que j'te la mette, ma queue ?

 

Un peu surprise, elle marque un temps … alors il braque de nouveau son smartphone sur elle et il insiste:

- Hein … tu la veux, ma bite ?

- Oui …

- Je vais te baiser …

- Oui …

- T'aimes ça, hein, te faire baiser …

- Oui, j'aime ça … 

- Et t'aimes te faire baiser devant ton mari, hein …

- Je m'en fous, de lui … j'aime me faire baiser, c'est tout …

- Bon, est-ce qu'il y a quelqu'un d'autre qui y est pas encore passé ?

 

Apparemment, c'est à ses complices qu'il s'adresse … il les balaie avec l'objectif de son appareil.

- Moi ! Mais c'est bon … j'irai après … toi et moi, on est les derniers, je crois …

 

C'est un petit brun à l'air juvénile qui vient de répondre. Oui, si j'ai bien tout compris, ils l'ont déjà tous plus ou moins fourrée, mais sur les sept, il n'y en a que cinq qui ont tiré leur coup … autrement dit, pas vraiment les derniers à y être passé, mais les derniers à se vider les couilles …

 

- Ouais, mais moi, j'ai l'intention de recommencer … 

 

C'est le rouquin qui intervient … celui qui était déjà en train de la baiser quand je suis descendu de la chambre, tout à l'heure … il me regarde et me sourit …

 

- Ouais, ben moi, pareil … je vais lui en remettre un coup …

 

Celui-ci, c'est le type qui était en train de tripoter la poitrine de Christine pendant que le rouquin la ramonait … lui, il a dû la baiser pendant que j'étais dans la cuisine … Je m'aperçois que le grand type me regarde avec insistance … il n'attend quand même pas que je commente … comme je ne réagis pas, il comprend que je ne dirais rien, et il reporte son smartphone sur Christine … elle sourit … elle est ravie ! Là, tout de suite, il y en a deux qui vont la baiser et deux qui veulent recommencer ! Elle tend la main vers le grand:

- Allez, viens, maintenant !

 

Son téléphone toujours en main, il lui tapote la cuisse gauche:

- Bon, alors tourne –toi un peu, s'il te plaît …

- Sur le ventre ?

- Non, pas complètement … tourne toi sur le côté … comme ça …

 

Il l'aide, il la guide … la voilà allongée sur le côté droit, face à nous, son coude sur le coussin et le menton appuyé sur sa main, elle regarde le grand se mettre en position … il lui fait remonter sa cuisse gauche vers son ventre et il s'installe à califourchon, les genoux repliés de part et d'autre de la jambe allongée de Christine … son smartphone braqué sur elle dans une main, de l'autre, il lui caresse la cuisse qu'il vient de lui faire remonter avant d'aventurer ses doigts entre ses fesses … tout en lui tripotant les petites lèvres,  il s'avance lentement vers elle, un genou après l'autre … il approche son ventre de la fesse de Christine … surtout, il approche son sexe en érection du sexe de Christine … elle a compris ce qu'il veut … elle tend le bras, elle pose sa main sur sa fesse et elle s'ouvre … elle s'ouvre à la pénétration de ce sexe dont elle ne doit voir que le gland dépasser au-dessus de sa fesse … Oui, il va la prendre comme ça … on a déjà baisé dans cette position, Christine et moi, et c'était vachement bien … j'étais resté longtemps collé à elle, immobile, mon sexe gonflé baignant dans la chaleur mouillée de son ventre, à la caresser et à manipuler son clitoris et ses lèvres avec mes doigts … je me souviens, elle avait joui plusieurs fois et à chacun de ses orgasmes, j'avais senti son vagin se contracter en spasmes sur mon gland … quel bonheur ! Il va lui faire pareil … il va aussi la faire jouir plusieurs fois … j'espère, du moins … et il va goûter à cette béatitude d'être comme … comme tout entier dans les sensations de son sexe à l'intérieur des chairs de cette femme … 

 

Tout en filmant et sa queue et le cul de Christine, il avance encore un peu et, du bout des doigts, il appuie sur sa verge pour l'incliner et la présenter horizontalement à l'entrée du vagin de Christine … oh putain … son gland, rouge, luisant, turgescent, n'est plus qu'à un centimètre des petites lèvres … un nouveau spasme secoue ma propre bite … je la comprime pour éviter d'éjaculer … pas maintenant … pas encore … putain, c'est trop … trop excitant, de voir ce sexe masculin s'apprêter à s'enfoncer dans ce sexe féminin … Christine descend un peu plus ses doigts et, délicatement, elle soulève sa petite lèvre pour ouvrir le passage à cette … à cette bite ! Voilà ! Oh putaiiiin, ça y est, le gland du grand type se glisse entre les petites lèvres de Christine … elle l'a senti et ça semble lui faire un effet terrible … elle aspire une grande goulée d'air et se met à gémir en haletant … le grand type la filme, haletante et gémissante … elle pose sa tête sur l'accoudoir et, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, elle attend que le grand type finisse de la pénétrer et la possède … Il braque de nouveau son smartphone sur sa bite et le cul de Christine et avance encore un peu ses genoux … ça y est, il s'enfonce en elle … Je ne quitte pas sa verge des yeux … son gland est maintenant entièrement enfoui en elle, et je vois le reste de son sexe progresser lentement … son genou gauche est maintenant arrivé au niveau du nombril de Christine, et il continue d'avancer lentement … j'imagine les sensations de son gland qui glisse en écartant au fur et à mesure les chairs chaudes et soyeuses de ma femme … et … 

 

ah … ah … aah … aaaahhhh … putain … putain … ça y est, je … je jouiiiiiiiiis !

 

Ça a été plus fort que moi ! Ah la vaaaaaache … voir ce mec s'enfoncer dans le ventre de Christine … et elle … et elle qui se délecte de cet accouplement ! J'éjacule dans mon pyjama en haletant … longs spasmes … violents … qui me plient presque en deux et me coupent le souffle … oh putain, ce que j'aime ça, la voir se faire baiser ! Et c'est bien plus jouissif que la dernière fois que je l'ai baisée moi-même il y a … il y a déjà plusieurs mois, maintenant … ça avait été de la baise … mécanique … Là, c'est … Ouaaaaaaaaaaahhhh ! Je sens mon sperme s'écouler sur ma cuisse et le long de la jambière de mon pantalon de pyjama … jusque sur mon genou … Je déglutis et je reprends mon souffle … un coup d'œil autour de moi … apparemment, personne ne s'est aperçu que j'étais en train de jouir … ils sont tous fascinés par le spectacle … plusieurs compriment leur bite, sans doute pour ne pas jouir, eux aussi … Bon, mais je ne peux pas rester comme ça .. la toile de mon pyjama commence à se coller sur ma cuisse … lentement, discrètement, je recule … arrivé au pied de l'escalier, je le monte sans bruit … je vais me nettoyer et me changer … ou peut-être ne rien remettre du tout et redescendre à poil, pour assister à la suite dans la même tenue que ces types … à poil ...

 

J'ouvre la porte en haut de l'escalier et je m'éclipse à l'étage … Au moment où je m'apprête à entrer dans la salle de bain, j'entends comme un brouhaha au rez-de-chaussée … et distinctement la voix de Christine … "viiiite !" … pourquoi "vite !" … puis des pas et comme une bousculade dans l'escalier … et aussitôt, un bruit contre la porte que je viens de refermer derrière moi … des rires et des éclats de voix un peu étouffés … qu'est-ce que … quelqu'un veut me suivre à l'étage ? Mais non, personne n'ouvre la porte … personne ne me rejoint … qu'est-ce qu'ils ont foutu ? Alors, pris d'un soupçon, je fais demi-tour pour redescendre et voir ce qui se passe en bas … mais … pas moyen d'ouvrir la porte ! Je m'escrime, je secoue le loquet … rien ! Elle reste bloquée … et des nouveaux rires éclatent en bas … Putain … ils m'ont enfermé à l'étage ! Et ça les fait marrer ! Bande d'enfoirés ! C'est Christine qui a dû leur demander d'aller bloquer cette foutue porte ! La garce ! 

 

C'est une vieille porte en haut d'un vieil escalier dans une vieille maison … elle se ferme pas un simple loquet à l'ancienne … il n'y a pas de serrure … mais les précédents propriétaires, pour empêcher leurs enfants de descendre au rez-de-chaussée à tout moment, avaient improvisé un système pour bloquer ce loquet en glissant dedans une simple cheville en bois … nous n'avons jamais eu besoin d'utiliser ce système, mais nous n'avons pas non plus pris la peine de le supprimer … et pas moyen pour moi de descendre par un autre accès … je ne peux pas sauter par une fenêtre, au risque de me péter quelque chose … me voilà coincé à l'étage comme un con … Putain, ça a bien dû les faire marrer de m'enfermer et de m'entendre m'escrimer sur cette porte ! Je les entends discuter … des voix masculines, basses, sourdes … mais aussi celle de Christine … et ils continuent de se marrer … Je ne vais quand même pas leur demander de m'ouvrir … Je fais quoi, maintenant ? Putain, quelle salope ! Peu à peu, le bruit des conversations s'atténue … J'ôte mon pantalon de pyjama et je me nettoie vite fait dans la salle de bain … Et si … et si j'appelais les pompiers … en leur disant que je suis enfermé chez moi … Ouais … mais en débarquant ici, ils comprendraient vite la situation et j'aurais l'air encore plus con … Je retourne près de cette foutue porte … pratiquement plus de bruit, en bas … juste avant que je monte, c'était déjà plutôt silencieux … tout le monde regardait sans mot dire Christine se faire fourrer … la séance de cul a dû reprendre … le grand type doit être en train de la ramoner … Putain, j'aurais bien voulu le voir prendre son pied, celui-là !

 

J'ai beau réfléchir, je ne trouve vraiment pas le moyen de me sortir de ce piège … Ça ne sert à rien de rester derrière cette porte … plus aucun bruit ne filtre à travers … Je retourne dans mon lit … et puis, je pense à ce que je viens de voir … ces types … SEPT types … SEPT inconnus, que Christine a racolés dans un bar, ramenés à la maison, et qui la baisent l'un après l'autre devant moi ! Putain, j'aime vraiment ça ! Les images défilent dans ma tête … et peu à peu, je me remets à bander … elle se fait vraiment sauter par n'importe qui … l'autre fois, des blacks … trois blacks, et un beur … ensuite des petits jeunes … dont un de seulement seize ans, d'après elle … et aujourd'hui ces mecs … avec un, visiblement le plus vieux des sept, qui est gros, gras et moche … sans compter ceux que je n'ai pas vus, au cours de ses précédentes escapades nocturnes … 

 

Il faudrait … il faudrait que j'arrive à la convaincre de me laisser participer à ses parties de cul … ou plutôt à assister … je sens bien qu'elle n'a aucune intention de me laisser participer, et, à vrai dire, je n'en ai pas tellement envie … je préfère regarder … de toute façon, je n'aimerais pas tremper ma queue dans le foutre de mecs que je ne connais pas … oui, c'est ça, assister à ses parties de cul … l'accompagner dans ses virées de racolage … et pourquoi pas recruter moi-même des types pour elle … et même, la conduire moi-même aux mâles … aller avec elle dans des endroits fréquentés par des mecs et leur proposer de la baiser … je sais pas … dans des clubs de sport, par exemple, comme celui des sept footeux qui sont là cette nuit … ou dans des salles de fitness ou de muscu … je me vois très bien débarquer avec elle, habillée en salope, robe transparente comme celle qu'elle portait au Huitième Ciel, ou en mini jupe ras de la moule, et pas de culotte, et dire aux types qui sont là « Regardez … c'est ma femme … ça vous dirait de la sauter ? » … En dehors des clubs de sport, il y aurait quoi d'autre comme concentrations de bonshommes ? Là où les fanas de bagnoles se réunissent … ah oui, sur un parking … ils pourraient la baiser sur un capot de voiture, comme les footeux de cette nuit ont fait avant de rentrer dans la maison … ou sur le plateau à l'arrière d'un pick-up … il y aurait aussi les mecs sur les chantiers … dans des maisons en construction … ou plutôt dans des IMMEUBLES en construction … il y a plus de monde sur les gros chantiers … 

 

Oui, je vais lui dire ça … que ça me dérange pas qu'elle se fasse sauter par des tas de mecs … que … qu'elle n'a rien à craindre de ma part, au contraire … que je suis prêt à l'aider à trouver des mecs qui veulent la baiser … que j'ai des idées où en trouver et que je peux l'accompagner … et que, si elle veut, on peut en ramener autant qu'elle veut à la maison … 

 

J'en suis là de mes élucubrations quand un brouhaha au rez-de-chaussée attire mon attention … des voix … dont celle de Christine … le grincement d'une porte … on dirait la porte de la penderie, là où sont rangés draps et couettes depuis qu'elle couche sur le canapé … et un autre bruit … le raclement des volets de la porte-fenêtre qui donne sur la terrasse … quelqu'un sort dans le jardin … Je me lève et je file dans le bureau … sa fenêtre donne sur l'arrière de la maison … coup de pot, je l'avais laissée ouverte, ainsi que les volets, pour laisser entrer un peu de la fraîcheur de la nuit … mais de fraîcheur, pas vraiment cette nuit … le jardin est éclairé par la pleine lune comme la cour tout à l'heure … il est plongé dans une lumière laiteuse qui donne une impression fantasmagorique … tout paraît décoloré, seulement baigné de nuances allant du gris clair au noir le plus intense … les ombres elles-mêmes paraissent beaucoup plus profondes et ténébreuses que dans la journée … tout ça me donne une drôle de sensation … comme du déjà vécu … ah non, je sais … c'est l'atmosphère de certains de mes rêves … je prends soin de rester dans la pénombre du bureau et je jette un coup d'œil à l'extérieur … c'est Christine qui vient de sortir et qui commence à traverser la pelouse … Christine et un des types … il me semble reconnaître la silhouette juvénile de celui qui disait être le dernier à ne pas y être encore passé … il a un bras passé sur ses épaules, elle le tient par la taille et je les entends rire … sous son bras libre, elle porte une espèce de masse indistincte … sans doute un drap ou une couette, et c'est pour y prendre ça que je l'ai entendue ouvrir l'armoire … équipés comme ça, ils vont sûrement aller baiser sur la pelouse … mais oui, bien sûr, avec cette chaleur, ils vont baiser dehors … et baiser sous la lune … plusieurs autres types les suivent en discutant et en riant…

 

Soudain, freinant Christine dans son élan, le jeune type s'arrête et pivote vers la rangée de noisetiers qui borde la pelouse … les mêmes noisetiers sous lesquels elle s'est fait baiser par les jeunes à la Mini il y a quelques jours … il lui dit quelque chose … elle approuve et rit encore … il se tourne alors vers ses potes et leur fait signe … ils le rejoignent et, avec lui, ils  disparaissent à deux ou trois dans l'ombre des noisetiers … je les vois ressortir, portant la table de jardin, et la poser au milieu de la pelouse … en pleine lumière … enfin, dans la lumière étrange de cette pleine lune … immédiatement, je devine ce qui va se passer maintenant … ce jeune type va baiser Christine sur cette table … lui et d'autres, peut-être … sûrement, même … Oh putain, bien sûr ! La baiser à l'extérieur … mais aussi la baiser sur cette table … et surtout, SURTOUT, la baiser sous la pleine lune ! Ils auraient aussi bien pu la baiser sur cette table dans l'ombre des noisetiers, mais ils préfèrent le faire en pleine lumière … ou, du moins, dans la lumière si particulière de cette pleine lune …

 

Le grand type y a fait allusion, tout à l'heure, quand il me racontait qu'ils avaient commencé à fourrer Christine sous la lune, dans la ruelle, sur le capot d'une voiture … l'un de ses potes leur avait dit que la pleine lune, ça excite, et qu'il y a des gens qui baisent comme des bêtes les nuits de pleine lune … il faut dire, moi aussi, ça me plairait … on l'a fait, avec Christine … une seule fois, il y a longtemps … on était partis se balader à travers champs … au départ, une balade banale, sans arrière pensée … et puis, c'était venu tout seul … le calme et la chaleur de la nuit, la même chaleur que maintenant, la certitude de ne croiser personne … et cette lumières si singulière … on avait commencé par se déshabiller et par se promener comme ça, tous les deux complètement nus, avec une certaine innocence, mais on avait fini en baisant à même l'herbe d'un chemin, entre un champ de blé tout juste moissonné et un autre de maïs … 

 

C'est pour ça que, cette nuit, je suis convaincu que Christine et ces types ressentent aussi l'influence de cette pleine lune … bien sûr, Christine s'est déjà offerte à ces sept types, mais le fait que, maintenant, elle se livre à eux, là, dans ce jardin et sous la lueur blafarde de la lune, ça prend une autre dimension … ça a quelque chose d'un rituel païen, primitif … ce à quoi ils vont se livrer, c'est un de ces sabbats nocturnes, comme il en existait au Moyen Age … à ceci près qu'à l'époque, non seulement il s'agissait d'orgies sexuelles, mais on y pratiquait aussi des rites sataniques …  avec une telle ambiance, on s'attend à voir surgir un satyre aux pieds fourchus ou un bouc et même Belzébuth en personne, accourus s'accoupler avec cette diablesse de Christine … évidemment, rien de tout ça … seulement sept types – si on peut dire "seulement" – sept types qui vont la baiser encore et encore … la victime consentante va se livrer à ses "bourreaux" … 

 

Et voilà ! En effet, le jeune type a posé ses mains sur la taille de Christine et l'a attirée près de la table … elle a laissé tomber sur la pelouse la couette qu'elle tenait sous son bras … le type la presse contre lui, plaque sa bouche sur celle de Christine, et, lui tenant la nuque d'une main, il lui pétrit le cul de l'autre en l'embrassant fougueusement … malgré la distance, je me rends compte qu'elle se prête fiévreusement à ce baiser torride … elle aussi, je la vois pétrir fébrilement d'une main le dos de son amant … et comme je ne vois pas son autre main, cachée par le corps du type, je présume qu'elle s'active sur sa bite … et soudain, il décolle sa bouche, il soulève Christine, lui fait poser ses fesses au bord de la table et la fait basculer en arrière … elle se retient, d'abord avec ses mains, puis elle appuie ses coudes sur le plateau de la table … il lui fait remonter ses jambes qu'elle lui plaque sur le torse et il s'avance … il me tourne le dos et je ne le vois que de trois quarts, mais à sa posture, je devine ce qu'il fait … tête inclinée en avant, il doit regarder vers l'entrejambe de Christine et, à la position de son bras droit, je suis sûr qu'il cramponne sa queue pour la présenter à l'entrée de son vagin … il est en train de la pénétrer … oui, il lâche sa bite, maintenant introduite dans Christine, il remonte sa main le long de sa cuisse jusqu'à son genou, et je le vois commencer à aller et venir lentement et très régulièrement … 

 

Les autres se sont regroupés autour de la table et, tout en discutant, ils regardent leur pote en train de fourrer Christine … de temps à autres, en plus du bourdonnement sourd de leurs voix, des rires me parviennent … elle, toujours appuyée sur ses coudes, tantôt regarde son jeune amant la baiser, tantôt discute avec les spectateurs et rit …  et puis l'un d'eux – je ne reconnais pas sa silhouette – l'un d'eux s'approche du jeune type, lui pose une main sur l'épaule et semble lui parler … le jeune type va et vient encore deux ou trois fois, et il se retire … de toute évidence, d'après sa gestuelle maîtrisée, il n'a pas joui … aussitôt, l'autre prend sa place … il procède comme le jeune type, guide sa bite, puis, posant sa main – sans doute SES mains – sur les genoux de Christine qui a toujours les jambes en l'air, il commence à la pilonner … celui-ci est plus dans le puissant coup de reins que dans le va et vient régulier … rapidement, je vois Christine finir de s'allonger sur la table et croiser ses mains sous sa nuque … il la secoue, il la bouscule … et puis, peu à peu, il ralentit son mouvement et je le vois tourner la tête vers ses comparses … et leur parler … alors un autre s'approche à son tour … j'imagine que le "baiseur" leur a demandé un truc du genre « qui est-ce qui la veut ? » … on dirait que c'est la silhouette du rouquin qui s'est approchée …  j'ai le temps d'apercevoir sa bite en ombre chinoise … sa bite que lui aussi serre dans sa main … et de nouveau, celui-ci remplace celui qui ramonait Christine … ouaaaaahhhh ! Ces mecs se relaient … si ça se trouve, ils vont tous la tringler sur cette table, chacun à leur tour !

 

Et ben oui, c'est bien ça ! Quand le jeune type a installé Christine sur la table, les autres se sont spontanément groupés autour du couple, de manière disons … désordonnée, seulement de façon à assister à leur aise à ce spectacle … mais maintenant, j'ai l'impression que … oui, on dirait qu'ils se placent, qu'ils … qu'ils s'alignent, qu'ils se mettent en rang … regarder les trois premiers prendre Christine comme ça, sur cette table, a dû finir par donner envie aux autres de faire pareil … et maintenant, ils prennent leur tour, ils font la queue … ils vont tous la fourrer sur cette table … elle est vraiment ramenée à l'état d'objet … d'objet sexuel … ni plus ni moins qu'une vulgaire poupée en silicone … à ceci près que, pour ces mecs, c'est quand même beaucoup plus agréable de fourrer le corps chaud, humide et vivant de Christine qu'une espèce de baudruche inerte et froide ! Et je suis sûr … je suis sûr qu'à elle aussi, ça lui plaît d'être utilisée comme ça, pour le plaisir lubrique de ces mâles … de laisser tous ces mecs fourrer leur sexe dans son sexe pour se faire du bien, qu'ils soient jeunes ou vieux, moches ou beaux, bien montés ou avec une petite bite … 

 

En effet, toujours planqué dans la pénombre de mon bureau, je vais les voir la prendre l'un après l'autre … elle toujours allongée sur le dos sur cette table, le sexe offert, et eux, chacun à sa manière, plus ou moins rapidement, plus ou moins vigoureusement, plus ou moins fébrilement, mais tous plusieurs fois, me semble-t-il … je pense que … qu'aucun d'eux ne va jusqu'au bout, qu'aucun d'eux ne va jusqu'à jouir, qu'ils s'arrêtent juste à temps et cèdent la place au suivant … je me rends bien compte que pour ces types, c'est une sorte de jeu, mais dans la lumière étrange qui baigne toute cette scène, leur défilé entre les cuisses de Christine a vraiment quelque chose d'une cérémonie, d'un rite de … de magie noire ou de messe noire … avec, comme autel du sacrifice, la table où gît la "victime" à immoler … "victime" ô combien consentante … et ces sept types sont les officiants de ce rituel chargés de pratiquer avec leur victime une espèce de communion charnelle et lubrique … « prends, ceci est ma bite ! »

 

Je les entends discuter et rire, même si, à cause de la distance, je ne comprends pas ce qu'ils disent … par moments, elle aussi leur parle et rit …  la chatte au ras de la table, pile à la bonne hauteur pour leurs bites, elle a toujours les jambes en l'air, même si parfois elle les dresse à la verticale le long du torse de l'un, et si parfois elle croise ses mollets sur les reins d'un autre … Ce manège dure comme ça un bon moment, puis, alors que l'un d'eux s'applique à la queuter consciencieusement, la silhouette du jeune type s'approche et semble leur parler, à lui comme à elle … je ne sais pas ce qu'il leur dit, mais je les vois tous deux hocher la tête avec conviction … ils sont d'accord … d'accord pour quoi, je ne sais pas … le niqueur se retire, elle redescend ses jambes, se redresse, aidée par le queutard, et pose ses pieds au sol … alors je vois le jeune type lui faire signe … il lui montre la pelouse, juste à côté de la table du "sacrifice" et aussitôt, elle se laisse tomber à genoux … ah non, à quatre pattes, même … Compris ! Maintenant, le jeune type veut se la faire en levrette et ça va se passer là …

 

Et en effet, dès qu'elle est en position, il s'agenouille derrière elle, il lui fait écarter un peu plus les genoux, et, une main plaquée sur sa hanche, il guide sans doute sa queue, il la pénètre et commence à aller et venir … ils me tournent encore le dos, pratiquement dans l'axe de mon champ de vision, et le jeune type me masque presque entièrement Christine, mais je la vois quand même se cambrer et baisser la tête … la plupart des autres se regroupent autour d'eux et regardent … deux se sont appuyés des fesses contre la table et discutent … deux ont tiré des chaises de jardin près d'eux et se sont assis … un autre s'est agenouillé juste à côté, les fesses reposant sur ses talons, et le dernier est resté debout … et, pour ce que je vois, ils ont tous la bite à la main … à mon avis, le défilé va recommencer comme ça … ils vont tous la prendre à quatre pattes sur la pelouse … Pour le moment, le jeune type va et vient lentement, un peu comme tout à l'heure, quand il a commencé à la baiser sur la table … mais là, ça paraît plus … lascif … d'où je suis, je ne vois qu'une seule de ses mains, avec laquelle il tient Christine par la hanche, au niveau de l'angle que fait sa cuisse avec son ventre, mais j'ai la conviction qu'il fait pareil avec son autre main, celle que je ne vois pas … il la tient par les deux hanches et il s'enfonce lentement en elle … il reste plaqué à elle un bon moment avant de ressortir et de se renfoncer … hhmmm, j'imagine ses sensations … sa bite qui glisse dans le vagin étroit de Christine, son gland qui s'épanouit au fond d'elle … 

 

Putain, quelle soirée ! Ou, plutôt quelle nuit ! Je crois que, cette fois, ça dépasse tout … du moins pour ce que je sais … la toute première fois, au Huitième Ciel, quand elle s'est fait sauter d'abord par ce Jo, puis, aussitôt après par les trois blacks et le beur, ça avait duré … je ne sais plus, peut-être une heure et demie en tout … après, avec les cinq jeunes à la Mini, dans le jardin, d'après elle, elle les avait ramassés vers les midi, et je les avais vus partir vers les cinq heures et demie … mais apparemment, au cours de cet après-midi, ils n'avaient pas fait que baiser, ils avaient aussi mangé et bu … évidemment, les soirs où elle est allée se faire sauter je ne sais où, je n'ai aucune idée de ce qui s'est passé … quand elle s'est fait tabasser, elle-même ne sait pas combien de mecs lui sont passés dessus … elle sait seulement qu'ils étaient "beaucoup" … c'est combien "beaucoup", pour elle … mais là, à part se taper aussi ma bière et mon whisky, depuis des heures, ces mecs ne font rien d'autre que la baiser … elle les a commencés dans une voiture en venant ici, ensuite ils l'ont prise SUR le capot d'une voiture dans la ruelle devant chez nous, puis dans le salon, puis dans le jardin sur la table ... et maintenant sur la pelouse … il faut dire, pour ces mecs, c'est vraiment une occase inespérée … une salope qui ne demande qu'à se faire baiser … dans toutes les positions et autant de fois qu'ils veulent … et dans laquelle ils peuvent se vider les couilles sans capote … ils veulent en profiter à fond et autant qu'ils peuvent … c'est humain … mais elle … comment elle peut se faire … se faire baiser comme ça pendant des heures ? Elle ne devrait pas avoir la chatte en feu, irritée, meurtrie, à vif, à force de se prendre coups de bite sur coups de bite ? Mais non, ça a l'air d'aller … elle accepte tout … sans hésitation … avec gourmandise, même …

 

Une fois encore, pour moi, cette scène a quelque chose d'étrange, de bizarre, d'irréel … pas à cause de ce que font ces mecs et Christine … ou pas SEULEMENT à cause de ce qu'ils font, qui est tout de même assez fou, extravagant, mais en raison de l'atmosphère fantasmagorique qui les entoure … cette lumière, les ombres tellement denses de leurs corps … Et ce que j'avais prévu se produit … le jeune type se recule, se relève et son pote, agenouillé à côté de lui et de Christine prend sa place … à son tour, il commence à fourrer Christine qui n'a pas bougé … et … MERDE ! Qu'est-ce que …

 

Ah merde ! Je crois qu'il m'a vu ! Le jeune type … en se relevant, il s'est tourné machinalement vers la maison, et il est tombé comme en arrêt … et puis soudain, il s'est adressé aux autres en tendant le bras dans ma direction … je me suis reculé et caché derrière le mur à côté de la fenêtre … mais il a dû avoir le temps de me voir … les pensant suffisamment captivés par le spectacle, je m'étais imprudemment avancé dans l'encadrement de la fenêtre … à présent, dissimulé dans l'ombre de mon bureau, je ne jette plus que des rapides coups d'œil dans le jardin … maintenant, ils regardent tous par ici, et je les entends discuter et se marrer … Christine aussi, a tourné la tête … la voilà debout … elle ramasse la couette qu'elle avait lâchée dans l'herbe tout à l'heure, elle prend par la main celui qui était en train de la tringler et elle l'entraîne vers le fond du jardin … 

- Venez, les garçons !

 

Sa voix a claqué dans le silence de la nuit. Les autres types hésitent et jettent encore des coups d'œil dans ma direction … 

 

- Allez, venez, les garçons ! On va continuer par là …

 

Je sens que c'est autant à mon intention qu'à la leur qu'elle insiste … alors ils se décident à la suivre … Entraînant toujours son amant par la main, la voilà au niveau de l'abri de jardin, espèce de grande remise en bois où je range ma tondeuse et mes outils … j'ai tout juste le temps de la voir déplier sa couette et la lancer sur la pelouse, et elle disparaît derrière le cabanon avec son baiseur … Quelle salope ! Les autres les rejoignent et disparaissent aussi de ma vue … à l'exception de deux d'entre eux qui se plantent là, juste au ras de l'abri de jardin … et à leur posture, je me rends compte qu'ils regardent ce qui se passe au sol, pratiquement à leurs pieds, mais que moi, je ne vois pas … la partie de cul a dû reprendre derrière le cabanon … leur pote a recommencé à baiser Christine … sans doute en levrette … Je ne vois plus ce qui se passe, mais je n'arrive pas à quitter mon poste d'observation … et puis, au bout d'un moment, je vois un des deux types avancer, se laisser tomber à genoux et disparaître à son tour derrière la remise … ça doit être son tour de se taper Christine … le deuxième type se déplace et disparaît aussi de ma vue … je ne vois vraiment plus rien, mais je reste là un moment … seuls me parviennent, de temps en temps, des rires et des éclats de voix … je suis frustré … j'aurais voulu la voir continuer à se faire baiser … l'excitation de ce spectacle pornographique retombant, la fatigue commence à se faire sentir … je baille … ça ne sert à rien de rester là … je retourne sur mon lit et je finis par m'endormir …

 

Ce sont des voix sur la cour, devant la maison, qui me réveillent … le jour pointe tout juste … je me lève et je regarde par la fenêtre … le soleil n'est pas encore levé … c'est les amants de Christine qui parlent sur la cour … tout en se dirigeant vers leurs voitures, ils finissent de se rhabiller, l'un enfilant sa chemise, un autre remontant son jean, un troisième fermant sa braguette … ils sont euphoriques … ils le seraient à moins … leur troisième mi-temps s'est formidablement bien terminée, ils ont baisé chez elle une salope qui leur a bien vidé les couilles … qui leur a même ESSORÉ les couilles … la salope en question est là, au milieu de la cour, complètement nue dans les bras du grand type … elle se fout apparemment de risquer d'être surprise là dans cette tenue et avec ces types … mais à cette heure, ils ne tisquent pas gran chose, tout le monde dort dans la village ... avec le grand type, ils se roulent une pelle torride … dès qu'ils ont terminé, c'est le jeune type qui s'approche d'elle et, à son tour, tout en lui pétrissant les fesses, il galoche Christine longuement, fougueusement… il devait être le dernier à lui faire ainsi ses adieux … il rejoint les autres et tous montent en voiture … elle s'approche de la ruelle, évidemment toujours complètement à poil, elle regarde les voitures manœuvrer, faire demi-tour et avancer vers la rue qui conduit à la place de l'église …  coups de klaxon … elle leur fait un signe de la main … ils disparaissent au coin de la rue … départ pas vraiment discret … heureusement que nos voisines ne sont pas là et qu'à cette heure il ne circule personne dans notre campagne … elle se retourne, lève les yeux vers la fenêtre de la chambre et me voit … elle entre dans la maison … quelques secondes plus tard, j'entends un bruit contre la porte en haut de l'escalier … elle vient d'ôter la cheville de bois qui bloquait le loquet … Sans hésiter, j'ouvre la porte et je descends.

 

Elle est déjà allongée sur le canapé, en train de s'enrouler dans un drap … seul dépasse le haut de son crâne … elle doit avoir la chatte pleine de foutre et elle n'est même pas montée à la salle de bain pour se laver !

 

- Pourquoi t'as fait ça ?

- Hein ?

 

Elle sort la tête du drap. Je répète:

- Pourquoi t'as fait ça ? Pourquoi tu m'as bloqué en haut ?

- Ah, j'ai sommeil et j'ai froid… fous moi la paix !

 

Elle s'enroule encore dans le drap. J'insiste:

- Qu'est-ce que ça peut te foutre, que je te regarde te faire sauter ? Je laisse ces mecs te baiser, ça me dérange pas qu'ils te baisent, alors tu pourrais me laisser regarder …

- …

- Hé ! Je te parle ! Ça te dérange, que je te regarde ? Ça t'empêche de prendre ton pied ? T'as peur que ça refroidisse tes étalons ?

 

Elle repousse le drap et me regarde, pleine d'ironie et de mépris:

- Pfffffff ! T'as vraiment l'impression que ça ne me dérange, que tu me regardes me faire baiser ? T'as l'impression que ça m'empêche de m'envoyer en l'air et de prendre mon pied ? Et mes étalons, comme tu les appelles, t'as l'impression que ça les refroidit, que tu les regardes me baiser ? Avec ce que je leur fais, ils s'en foutent, mes étalons, que tu les regardes me grimper … au contraire, ça les excite, mes étalons, que le cocu les regarde me monter … non, c'est uniquement pour te faire chier que je t'empêche de regarder, c'est tout … je sais que ça t'excite de voir des mecs me baiser, alors ça me plaît que tu puisses pas voir, que tu restes frustré … Voilà, t'es content ? Maintenant, retourne te coucher … ou branle-toi en pensant à mes étalons … mais FOUS … MOI … LA … PAIX !!!

- Et alors … ça t'aide à jouir, que je sois frustré ? 

- Oh non, même pas … tu comptes pour rien dans tout ça … ni dans un sens, ni dans l'autre … que tu voies ou que tu voies pas, ça ne me fait ni mieux jouir, ni moins bien … 

- Alors, justement … si ça te fait rien, laisse-moi regarder …

 

Elle me regarde en secouant la tête d'un air las:

- Oh la la ! Tu me soûles … Bon, laisse-moi ... je me suis tapé sept mecs, je te rappelle, et plusieurs fois … alors faut que je dorme … on parlera de ça une autre fois …

 

Elle s'enroule dans son drap, me tourne le dos et, après seulement une seconde ou deux, elle se met à ronfler … Inutile d'insister.

 

Moi, je dois aller travailler dans quelques heures, alors je ne me recouche pas. Je me fais du café et, la tasse à la main, je sors dans le jardin. La table sur laquelle Christine s'est fait sauter cette nuit est toujours au milieu de la pelouse. Je pousse jusqu'à la remise à outils … la couette est restée par terre, froissée … autour, le gazon est aplati, piétiné par ceux qui regardaient … sur la couette, des traces douteuses en plusieurs endroits … des grumeaux blanchâtres collés au milieu de taches humides … du sperme et des fluides vaginaux … Putain, qu'est-ce qu'ils lui ont mis ! Voir comme ça le sperme de ces types … le sperme qu'ils ont craché au fond du ventre de Christine … jusque dans son … jusque dans son utérus … et qui a fini par … par ressortir, ça me … un frémissement me secoue le bas ventre … je me dis que je suis dingue d'être excité comme ça par le sperme des types qui ont baisé ma femme … enfin, Christine … et puis je me dis que je m'en fous, qu'au point où on en est, être excité à la vue du sperme de ces types, ce n'est qu'un détail … je ramasse la couette, je la renifle … de nouveau un spasme dans mon bas ventre … hhhhmmm, cette odeur … l'odeur du sexe … l'odeur de la partie de cul … je ne vais pas la laver, cette couette. Je rentre me préparer pour partir travailler.

 

Deux jours plus tard, c'est-à-dire le samedi, alors qu'une chaleur étouffante me fait lever en milieu de matinée, j'ai la surprise de trouver Christine debout, en peignoir, et en train de prendre un café dans la cuisine, les fesses appuyées au plan de travail. Hier, elle était sortie en fin de soirée, et je m'attendais à ce qu'elle soit rentrée tard d'une nouvelle partie de cul nocturne, et qu'elle soit encore en train de dormir sur le canapé du salon.

- Tiens, t'es pas encore couchée ? 

 

Je n'espère pas vraiment de réponse, et, comme à son habitude, elle me lance un regard plein d'indifférence et continue de siroter son café en silence. Tout en me disant que ça servirait seulement à l'énerver davantage, j'insiste pour le seul plaisir de l'emmerder:

- Tu viens seulement de rentrer ?

 

Elle hausse les épaules et, contre toute attente, elle me lance:

- Non, je viens de me lever …

- Ah bon ? Mais … tu t'es pas couchée tard, alors …

- …

- T'es pas sortie, hier soir ?

- Si, je suis sortie …

- Et ? T'es rentrée plus tôt que prévu ?

- Voilà …

- Ah bon ? Qu'est-ce qui s'est passé ?

 

Je n'en reviens pas … elle m'a parlé ! Elle soupire … je l'emmerde. Elle se décolle du plan de travail et se ressert une tasse de café. Quand elle a quitté sa place, son peignoir s'est entrouvert … elle n'a pas pris la peine de le refermer et j'ai eu juste le temps d'apercevoir son pubis … plus de trace de tatouage … je ne peux pas m'empêcher de lui faire remarquer:

- Tiens, t'as plus de tatouage ?

- Ça se voit, non ?

- Tu l'as fait enlever ?


Elle reprend son poste contre le plan de travail et laisse son peignoir entrouvert:

- Si on veut ... c'était un tatouage temporaire … 

- Un tatouage temporaire ?

- Ouais … un essai … je voulais voir ce que ça donnait, avant d'en faire un définitif … 


Elle se caresse rêveusement le pubis, puis:

- De toute façon, il n'était pas complet …

- Pas complet ?

- Non … au départ, je voulais un truc du genre "entrée libre", ou "entrée gratuite" … enfin, tu vois l'idée  …  mais, avec le tatoueur, on n'avait eu le temps d'en faire que la moitié …

- Ah bon ? Comment ça se fait ?

- "Comment ça se fait ?" … devine …


Elle se fout de ma gueule. J'ai une vague idée de pourquoi ils n'avaient as eu le temps, mais je voudrais être sûr, alors je prends mon air le plus con et j'insiste:

- Ben … comment veux-tu que je devine … il avait un autre rendez-vous ?

- "Il avait un autre rendez-vous ? " T'es con ou quoi ?

 

Elle m'a imité avec une mimique de dégoût. Elle enchaîne:

- Il avait pas un autre rendez-vous, mais il me tatouait le pubis et forcément, il arrêtait pas de me toucher la chatte …

- Ah bon ?

- Ben oui … pour me tatouer, il doit tendre la peau … avec ses doigts, tu vois … alors, à force, ça m'a excitée et je mouillais … et il a fini par s'en rendre compte … 

- Et alors …

- Tu le fais exprès, ou quoi … alors, on a arrêté le tatouage et on a baisé … 

- Ah, OK ! 

- Et si tu veux des précisions, je peux même te dire qu'on a baisé dans sa boutique … voilà, t'es content ?

 

Content, ce serait exagéré, mais ça ne me fait ni chaud ni froid. Elle avale son café, elle pose sa tasse et disparaît dans le salon. Je me sers à mon tour un café et je la rejoins. Elle est en train d'ôter ses draps froissés du canapé. Je la relance:

- Ouais, alors, tu me disais ... hier, t'est sortie et t'es rentrée plus tôt que prévu ? T'as pas trouvé de mecs pour te sauter ?

- Non.

 

Putain, elle me répond encore ! J'en profite:

- T'as pas essayé le Huitième Ciel ?

- Il est fermé …

- Fermé ? ! ? ! Fermé-fermé ou c'est temporaire ?

- Fermé pour congés …

- Et t'as pas …

- Si, J'AI ! 

 

Agacée, elle m'a sèchement coupé … et elle poursuit:

- J'AI essayé de trouver des mecs autrement … C'est bien ça, que tu veux savoir ? Si j'ai cherché d'autres mecs ailleurs ? J'AI essayé … les trois frères, les sénégalais, ils sont au Sénégal … ils rentrent en septembre … et Jo … tu sais, c'est le …

- Oui, je sais qui c'est …

- Lui, j'ai pas pu le joindre … après, j'ai fait les bars en ville … y'avait personne … enfin, que des cons … ou des mecs avec leur bonne femme ou des branleurs qui ont eu peur de moi … C'est les vacances … y'a plus personne … plus personne de valable, en tout cas. Alors je suis rentrée, finalement …

 

Putain, tout en repliant ses draps, elle m'a déballé tout ça aussi naturellement qu'elle m'aurait expliqué avoir cherché en vain une boulangerie ouverte ! "Plus personne de valable " ! C'est plus fort que moi, ça part tout seul:

- Pourquoi ? Tu ne cherches plus que des mecs "valables" ? Tu te fais plus sauter par tout le monde et n'importe qui ?

 

Elle se retourne, me fusille du regard, récupère ses vêtements sur un fauteuil et s'apprête à monter à la salle de bain. Tant que le fer est chaud, il faut le battre … alors j'enchaîne avant qu'elle n'arrive à l'escalier:

- Si tu veux, je peux essayer de t'en trouver, moi, des mecs …

 

Elle s'arrête net, se retourne, et me dévisage, stupéfaite:

- Toi ? Me trouver des mecs ?

- Oui. Pourquoi pas ? Je te trouve des mecs et je te les amène ici … pour qu'ils te baisent, évidemment …

- Mais … t'as vraiment rien compris ! Tu crois que j'ai besoin de toi pour me trouver des mecs ?

- Ben on dirait … la preuve. Tu vois, là, je …

 

Elle me coupe encore:

- Cette nuit, si j'en ai pas ramené à la maison, des mecs, c'est seulement parce que ceux que j'ai trouvés me plaisaient pas … et … 

- Je croyais que tu prenais n'importe qui …

- Ça dépend … De toute façon, je me ferais certainement pas sauter par des mecs que TOI, tu aurais trouvés …

- Ah bon ? C'est con … que ce soit toi ou moi qui les trouve … du moment qu'ils sont prêts à te baiser …

- Bon ! Ça suffit ! J'ai pas besoin de toi, j'te dis …

 

Elle tourne les talons et s'élance dans l'escalier. Fin de la discussion.

 

Une demie heure plus tard, elle redescend … habillée … mini jupe ultra courte en jean et petit chemisier blanc sans manches, assez transparent … pas de soutien gorge, parce que je devine ses aréoles plus sombres à travers le tissu … une simple paire de sandales aux pieds … elle est quand même très bandante, avec ses cuisses toutes bronzées sous cette jupe ... elle est aussi légèrement maquillée, et surtout, parfumée ... hhhmmmm, ce parfum ! Depuis qu'elle à commencé à le porter, fin juin, il m'évoque irrésistiblement ... le SEXE ! Est-ce exprès ou involontaire ... en prenant la pochette qui lui sert de sac à main, elle fait tomber ses clefs de voiture devant moi, et se baisse pour les ramasser, me dévoilant son cul … entre ses fesses, uniquement le trait blanc d'un string … Aucun doute, dans cette tenue, elle part à la chasse au mâle. Elle sort de la maison et j'entends sa voiture démarrer dans la cour. Je m'attends à la revoir au plus tôt en fin de journée … ou demain … 

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 19 février 2018 1 19 /02 /Fév /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Mon cœur qui cogne à se rompre, le sang qui bat contre mes tempes, le souffle qui me manque, tout ça n'est pas dû à la seule découverte de cette scène hallucinante … non, à la vue de cette scène, j'ai été submergé par une vague faite d'un mélange de peur et d'une espèce de vertige érotique … peur de tous ces types à poil que je viens de surprendre en train de baiser ma femme … et vertige de voir Christine forniquer encore avec … avec combien de types, au fait ? 

 

Comment expliquer ? Elle est … elle est à genoux devant ce canapé où elle dort depuis quelques semaines … elle est entièrement nue, comme tous ceux qui se trouvent dans le salon … devant elle, un type est affalé dans le canapé, cuisses écartées … un type aussi entièrement nu, évidemment, et qui bande … Christine appuie ses aisselles sur les cuisses de ce type … sa tête un peu penchée au-dessus du ventre du type, elle … elle est en train de … de … de sa main droite, elle masturbe lentement ce type … et, le visage à quelques centimètres de ce sexe en érection, elle semble contempler … amoureusement … comme fascinée, le gland turgescent et luisant de ce type … comme si elle s'apprêtait à l'engloutir …

 

C'est long à expliquer comme ça, mais en fait, une fois que j'ai eu repéré Christine, j'ai compris tout la scène en une fraction de seconde. Sur le canapé, un autre type, complètement nu, affalé à côté du premier, qui se masturbe en la regardant …

 

Ce n'est pas tout … à côté d'elle, à sa droite, un troisième type est accroupi contre les jambes des deux premiers … il s'appuie de l'avant-bras gauche sur le dos de Christine et lui fait je ne sais quoi de la main droite, sous … sous son buste … et vue sa position, je suppose qu'il est en train de lui tripoter la poitrine … 

 

De l'autre côté, sur sa gauche donc, un quatrième type, accroupi contre elle, ou à genoux, je ne vois pas bien, lui caresse les reins et les fesses en se masturbant, lui aussi … enfin, je devine qu'il se masturbe aux mouvements de son bras, parce que son bas ventre est masqué par le corps de Christine …

 

Enfin, derrière elle, agenouillé entre ses mollets, un cinquième type, un rouquin, le ventre bien collé à ses fesses, ses deux mains plaquées à l'angle de son bassin et de ses cuisses est, de toute évidence, en train de la baiser ! Il va et vient à petits coups de reins appliqués, séparés par des pauses d'une seconde … hon … hon … hon … hon … hon … hon … 

 

Et elle … nom de dieu ! Elle est l'image même du sexe … l'incarnation de la volupté charnelle ! Bien que les quatre types qui l'entourent, qui la serrent de si près, la masquent en grande partie à ma vue, je me rends compte qu'elle s'abandonne totalement aux explorations manuelles des uns mais surtout à l'étreinte, à la possession sexuelle de l'autre: genoux largement écartés, cuisses grandes ouvertes, telle une poulinière en chaleurs, elle creuse les reins pour mieux recevoir dans son sexe le sexe de l'étalon en rut en train de la saillir, pour mieux recevoir au fond de son ventre la semence avec laquelle elle veut qu'il la féconde … haletante et les yeux mi-clos, à chacun des coups de reins de ce mâle, son corps réagit en se cambrant un peu plus … la tête toujours un peu penchée, la voilà qui se met à parcourir fiévreusement de la langue et des lèvres la verge en érection et le gland du type vautré devant elle … elle s'abandonne totalement au désir de ces hommes, elle leur livre son corps, elle offre à leurs sexes son sexe et sa bouche … 

 

C'est à ce moment là que je remarque vraiment les autres sexes … en fait, je n'en vois vraiment que quatre … mais tous les quatre sont en érection … raides, tendus, dressés … gonflés de désir … presque agressifs … il y a le sexe du type qu'elle suce et celui du type qui se masturbe … et il y a aussi celui d'un autre, debout à côté du canapé, sur la gauche de Christine … et enfin celui d'un grand type baraqué, vautré dans le gros fauteuil en face du canapé, et qui se tripote tranquillement le gland, en contemplant l'amas de corps devant lui … Je ne vois pas les sexes des deux types agenouillés à côté de Christine … l'un parce qu'il me tourne le dos, l'autre parce que son bas ventre est masqué par Christine elle-même … et le dernier, enfin, parce qu'il est DANS Christine … Je le répète, mon œil a saisi tout cela en peut-être une seconde ou une seconde et demie … 

 

Le tableau qui s'offre à moi a quelque chose de … à la fois bestial et extrêmement sensuel … il me rappelle l'image de Christine dans ce club libertin, cernée par les trois frères sénégalais et leur copain beur, l'image d'une petite femelle, assaillie par quatre grands mâles s'apprêtant à s'accoupler avec elle … Là, devant moi, c'est la même petite femelle, mais cette fois, c'est avec SEPT mâles qu'elle fornique … SEPT grands mâles … SEPT grands mâles EN RUT … SEPT grands mâles qui n'en sont déjà plus aux manœuvres d'approche, qui n'en sont déjà plus à la parade sexuelle qui précède l'accouplement …  un des ces SEPT grands mâles EST accouplé avec elle … une petite femelle, mais pas une petite femelle qui subit … au contraire, c'est une petite femelle volontaire, une petite femelle heureuse de copuler avec ces mâles, une petite femelle qui, visiblement, réclame les sexes de ces mâles …  une petite femelle qui aime la bite … au milieu d'eux, elle paraît si petite, si menue, ainsi couverte de mains, de bras, de corps … Une évidence s'impose à moi: à cet instant, Christine, ma femme, est heureuse avec ce sexe enfoncé dans son ventre, et les six autres, en érection et prêts à se succéder en elle !

 

Sept mâles ! Elle baise avec sept mâles ! L'autre jour, quand elle est rentrée avec la lèvre amochée, elle m'a dit qu'elle n'avait pas compté combien de types l'avaient baisée, mais qu'ils étaient beaucoup … j'avais senti que ce n'était pas seulement de la provocation, mais je n'avais pas réussi à l'imaginer au centre d'une telle … partouse … ou d'une telle tournante … Quelques jours plus tard, les cinq jeunes que j'avais croisés dans cette Mini, sortant tout juste de chez moi … et sortant tout juste de Christine … je ne les avais pas vus en action, et je m'étais contenté de les imaginer en train de la sauter chacun leur tour sur notre pelouse … ceux là n'étaient pas plus nombreux que ceux qui l'avaient baisée au Huitième Ciel … Mais là, cette nuit, je vois ! Sept types ! Elle baise avec sept types … chez nous ! Et contrairement à la séance au Huitième Ciel, où il m'avait fallu du temps avant d'admettre que ça me plaisait, cette fois, je réalise immédiatement que ça me plaît ! 

 

Dans un premier temps, mon œil a seulement saisi l'image d'un amas de corps indistincts … maintenant, je me rends compte que les types qui sont là sont plus vieux que les cinq que j'ai croisés l'autre jour … plutôt entre trente cinq et quarante … il y a du poil sur les torses et les abdos … et même sur les épaules de celui qui baise Christine … il y a des crânes qui commencent à se dégarnir … il y a un peu de ventre chez certains …

 

Sept types en train de forniquer avec Christine, ma femme, chez moi, dans mon salon ! Tout de suite après la sidération, non seulement je sens mes battements de cœur se calmer et mon souffle s'apaiser, mais quelque chose frémit du côté de mon entrejambe et de mon périnée … 

 

D'un seul coup, je réalise … les deux voitures rangées sur la ruelle, en face de notre cour, c'est eux ! Christine a dû leur demander de laisser leurs voitures loin de la maison pour ne pas faire de bruit en entrant dans la cour … elle-même s'est garée en face pour la même raison … tous les huit ont dû entrer dans la maison et commencer leur séance de cul vraiment discrètement. 

 

Evidemment, mon apparition a jeté un froid … voilà les sept types littéralement statufiés … pas Christine, qui continue de lécher et d'embrasser fiévreusement la verge et le gland de ce type, soit qu'elle n'ait pas remarqué ma présence, soit qu'elle s'en foute. Certains de ces types ne m'ont pas vu tout de suite, concentrés qu'ils étaient sur ce que Christine leur faisait ou sur ce qu'ils faisaient à Christine … mais celui qui est debout à côté du canapé, le premier à m'avoir aperçu, en toussotant avec insistance, a attiré l'attention des autres … Les deux qui sont agenouillés ou accroupis de part et d'autre de Christine, se sont redressés et ont sorti leurs mains de sous elle … le baiseur s'est immobilisé, sa bite toujours dans le sexe de ma femme, le ventre toujours plaqué contre son cul, ses mains crispées sur ses hanches et la tête tournée vers moi … mais à voir ses yeux légèrement révulsés et vitreux et son souffle saccadé, j'ai la conviction que, tout en me regardant, le gland bien au chaud tout au fond de ma femme, il continue de se vider tranquillement les couilles … En voilà au moins un qui aura eu le temps de tirer son coup !

 

Sept paires d'yeux me regardent … des yeux écarquillés de surprise mais pas vraiment d'inquiétude … Moi-même, après le premier choc de la découverte, je me suis rapidement repris … comme si je m'étais attendu à découvrir un jour quelque chose de ce genre jusque chez moi… comme si je m'y étais préparé … comme si je l'avais espéré … Je réalise quel chemin j'ai parcouru mentalement depuis … depuis quand, au fait ? Pour avoir accepté aussi rapidement et aussi facilement que Christine se fasse sauter d'abord par ce Jo, ce "latin lover" ce soir de fin juin dans ce club libertin, il fallait qu'au fond de moi, j'aie déjà eu un fantasme de ce genre … Et ce soir … ou plutôt, ce matin, je suis heureux que Christine ait ramené ces sept types à la maison pour se faire sauter …

 

Après le choc de la découverte de cette orgie, je parcours à nouveau cette scène, plus posément, cette fois … et je me rends compte que le grand type assis dans le fauteuil en face du canapé tient dans sa main un … oui, c'est un smartphone ! Il essaie plus ou moins de le cacher entre sa cuisse et l'accoudoir du fauteuil … enfin, pas vraiment de le cacher … plutôt de ne pas l'exhiber ouvertement …  Je comprends tout de suite que ce n'est pas pour la fonction téléphone qu'il l'a en main … il devait être en train de faire des photos, voire des vidéos, quand je suis arrivé … ben oui … il veut garder des souvenirs de cette soirée … des souvenirs ou des preuves … des fois que ceux à qui il raconterait cette orgie ne voudraient pas le croire … Et je réalise que le type en face de lui, celui qui est assis sur le canapé et qui se fait masturber par Christine, cache aussi un smartphone contre sa cuisse … Tous les deux, ils devaient être en train de filmer Christine en train à la fois de se faire baiser et de tailler une pipe … 

 

Mon œil balaie le reste de la pièce … pour faire de la place, on a éloigné la table basse de sa place habituelle, devant le canapé, et, poussée sous la fenêtre, elle est encombrée de verres, de canettes de bière, d'une bouteille de whisky et de ma bouteille de vieux Cognac … non seulement ces mecs se tapent ma femme, mais il se tapent aussi mes alcools. Je descends deux marches …

 

- Hé Christine ! Y'a quelqu'un !

 

C'est le grand type dans le fauteuil, à peine inquiet, plutôt amusé, qui interpelle ma femme. Alors, elle se redresse, elle tourne la tête vers moi et:

 

- Ah oui … c'est mon mari !

 

Aucunement troublée. Je ne sais pas à quoi ils s'attendaient, ces mecs, mais le fait que ce soit le mari qui débarque au milieu de leurs ébats, et pas quelqu'un d'autre, ça semble les sidérer bien davantage que ma seule apparition. Le grand type:

- Ton mari ? Ah bon ? Mais … je … tu …

 

Elle hausse les épaules:

- T'inquiètes pas ! Il commence à avoir l'habitude … 

 

Appuyée d'une main sur la hanche du type qu'elle était en train de lécher, elle continue de le masturber mécaniquement de l'autre main … il n'a pas débandé si peu que ce soit, le type … il a commencé à se redresser dans le canapé, appuyé d'une main sur l'accoudoir et de l'autre sur le coussin où il est assis, comme prêt à se lever … mâchoire pendante, il me fixe … Christine me regarde avec un air de mépris dans les yeux et leur lance:

- On peut continuer, les garçons … faites comme si il était pas là … il vous fera rien … 

 

Ça semble les rassurer ... le baiseur, ragaillardi, me jette un coup d'œil ironique, sourit, ajuste ses mains sur les hanches de Christine et reprend son va et vient … celui-ci, ça n'a pas l'air de le gêner de baiser une femme devant son mari, au contraire … celui qui est agenouillé à droite de Christine hausse les épaules avec une mimique qui veut dire "je ne comprends pas, mais c'est pas grave", et il replonge sa main vers sa poitrine tout en me surveillant du coin de l'œil … le type vautré à coté de celui qu'elle suçait, tend la main vers celle de Christine et, tout en guettant ma réaction, il l'attire vers son sexe … il veut qu'elle le masturbe … après la surprise due à ma soudaine apparition, ces types se sont repris et n'ont visiblement pas l'intention de s'arrêter en si bon chemin … sans même me regarder, Christine en rajoute:

- Vous verrez, il va vous regarder me baiser et il va se branler … je suis sûre que là, il bande déjà … ça l'excite que je me fasse sauter devant lui …

 

Elle a raison, ça ne se voit pas parce que mon pantalon de pyjama est très large, mais je sens, en effet, que ma queue a commencé à gonfler … Maintenant, ceux qui ne sont pas franchement sur ou dans Christine m'observent … à leurs regards, je les sens à la fois dans l'expectative et dans le défi … ils se demandent comment je vais réagir, mais je les sens également prêts à … à m'affronter … physiquement … pas pour se défendre au cas où je les attaquerais … sept types ! Comment je pourrais m'attaquer à sept types ! Non, je les sens résolus à … à poursuivre cette partie de cul avec ma femme et à me … à me neutraliser si c'est nécessaire … 

 

Alors, je fais quoi ? Je ne vais quand même pas faire demi tour et remonter piteusement dans ma chambre pour les laisser la baiser tranquillement … je ne peux pas non plus rester planté là, en haut de cet escalier et les regarder continuer … d'un autre côté, je me dis que pour aller jusqu'à la cuisine boire un verre d'eau comme je l'avais prévu, je vais devoir passer au milieu de ces types … il ne faudrait pas qu'ils se méprennent sur mes intentions, qu'ils se sentent si peu que ce soit menacés … je n'ai pas du tout envie de me faire casser la gueule … je vais devoir faire très attention à tous mes gestes. Je ne dois pas non plus leur laisser croire qu'ils me font peur … Je finis de descendre tranquillement l'escalier … Le grand type, vautré dans le gros fauteuil me scrute, comme prêt à bondir … quand je passe devant lui, il lève les yeux sur moi avec un sourire ironique, et replie ses jambes pour me laisser passer … pendant que je me dirige vers la cuisine, j'entends encore Christine:

- Vous voyez, il vous fera rien … allez, les garçons, baisez-moi !

 

Ouaaafffff, la tension est palpable ! Mais on me laisse passer. Je sens leurs regards sur moi, à la fois ironiques et étonnés. Quand je traverse la salle à manger, je me rends compte qu'elle a servi de vestiaire. Sur la table, sur les chaises, et jusque par terre, des pantalons, des chemises, des T-shirts, des chaussettes, des chaussures, des caleçons … l'air chaud de la cour se répand dans la maison par la porte d'entrée restée ouverte … je devine pourquoi on ne l'a pas refermée … quand on l'ouvre, cette porte ne grince pas, mais quand on la ferme, elle fait un boucan terrible … un peu de graisse suffirait, mais la flemme ... Christine ne l'a pas fermée pour éviter de me réveiller … dans le rectangle de lumière qui se découpe sur les graviers de la cour, juste devant cette porte, je reconnais une jupe et un corsage de Christine, ainsi qu'une petite culotte et une paire de ballerines … comme si elle s'était foutue à poil là, devant notre porte d'entrée … aussitôt, j'ai la conviction que sa partie de cul avec ces types avait commencé dehors … sans doute dans une des voitures de ces types … 

 

Une fois dans la cuisine, je tire un grand verre d'eau au robinet et, en l'avalant, je réfléchis, les fesses appuyées à l'évier … je fais quoi, maintenant? Je fais comme elle a dit, c'est-à-dire RIEN … ou je réagis ? Mais réagir comment ? Affronter ces types, essayer de les virer ? Je ne me fais pas d'illusion, c'est la même situation qu'au Huitième Ciel … je ne ferais pas le poids face à ces sept types … sept types visiblement plus jeunes que moi et sportifs, apparemment … s'ils refusent de s'en aller, ils pourraient même me casser la gueule et baiser quand même Christine … on en serait au même point, mais en plus, j'en aurais pris plein la tronche pour rien … pour l'honneur ? Bof ! L'honneur, au point où on en est … Il aurait fallu que j'aie une arme … seulement, au mieux, ça me permettrait de leur faire peur et de les virer de chez moi, mais je suis sûr que Christine partirait avec eux … et puis au fond, maintenant, ça n'est plus tellement le fait que des inconnus la baisent, le problème … que ce soit à la maison ou ailleurs, de toute façon, des inconnus l'ont baisée, et que ce soit à la maison ou ailleurs, des inconnus la baiseront encore … Bon, mais … je remonte dans ma chambre, ou je reste en bas et j'assiste au spectacle ? Je ne suis pas sûr que ces types soient disposés à me laisser les regarder baiser ma femme.

 

Soudain, le grand type déboule dans la cuisine … évidemment toujours à poil ! Il est un peu plus grand que moi, assez baraqué, le torse et le ventre poilus, les cuisses et les bras aussi … 

 

Il me jette un coup d'œil, prend aussi un verre, le remplit au robinet et, sans un mot, il s'installe en face de moi, les reins appuyés à l'îlot central. Tout en vidant son verre, il m'observe et, dans cette confrontation muette, je sens de la provocation … Ce type ne se contente pas d'être simplement à poil devant moi avec son "petit oiseau" à l'air … non, en fait, il m'exhibe ostensiblement sa queue … et sa queue dans un état qui ne laisse aucun doute sur l'usage qu'il était en train d'en faire … ce qu'il me montre, ce n'est pas un zizi, une bistouquette qui sert à faire pipi, c'est bel et bien un appareil génital, un braquemard dont la fonction est de copuler, de forniquer, de baiser ! Je sens qu'en me collant sous le nez la bite avec la quelle il va fourrer ma femme, ou avec laquelle il l'a déjà baisée, il cherche à me faire chier ! Mon pauvre ami ! Si tu savais … je n'en suis plus là ! Au contraire … maintenant, ça me plaît, que ma femme se fasse sauter par des inconnus … par plusieurs inconnus en même temps … savoir que cinq, six, sept types lui passent dessus à la chaîne et la baisent vraiment, ça m'excite ! Quand je dis "la baisent vraiment", je veux dire qu'ils jouissent, qu'ils éjaculent dans son ventre … et contempler les sexes des types qui la baisent, savoir qu'ils se sont enfoncés ou qu'ils vont s'enfoncer dans son vagin pour y déverser leur semence, j'aime !

 

Oh, bien sûr, la sienne, de bite, n'est plus aussi raide et dressée qu'il y a un instant et elle baisse un peu le nez entre ses cuisses, mais elle est encore assez gonflée pour manifester clairement son excitation. Et puis, je réalise que … sa queue est … correcte, mais sans plus … on s'attendrait à ce qu'un type bâti comme lui soit mieux monté. Cliché ! Sa bite n'est pas aussi grosse qu'on pourrait s'y attendre, vu son physique, mais en revanche, il a une assez belle paire de couilles qui pendent un peu … il est décalotté et son gland est humide … une goutte de fluide d'excitation perle à la sortie de son méat … Et j'ai soudain une conviction: ce type a déjà baisé Christine. D'abord, vu l'état du salon au moment où j'ai débarqué, les verres sales, les bouteilles d'alcool presque vides et les canettes renversées, il est évident que Christine et ces sept types sont ici depuis un bon moment … et ils n'ont sans doute pas passé le temps en parlant littérature … ça a dû déjà pas mal baiser et je ne serais pas étonné que tous les sept lui soient déjà passés dessus une fois  … Alors lui, le grand type, je suis sûr qu'il l'a déjà baisée.

 

- Tu l'as déjà baisée ?

- Pardon ?

 

Il n'en revient pas que je lui pose cette question aussi directement et aussi crûment. Sidéré, les yeux ronds, il secoue la tête avec l'air de me prendre pour un dingue. J'insiste:

- Ma femme … ça y est, tu l'as déjà baisée ?

 

Il était venu dans cette cuisine pour … je ne sais pas quoi exactement … me provoquer, se foutre de moi, et c'est moi qui le cueille. Visiblement, il est déstabilisé. J'en remets une couche:

- Quoi ! T'es là, à poil devant moi, la bite encore en érection, un de tes potes est en train de fourrer ma femme, et je te choque en te demandant si toi tu l'as déjà baisée ?

- Je … ben … oui … enfin, je l'ai … j'ai pas encore joui, hein … mais .. oui, je l'ai déjà … disons que je l'ai déjà "fourrée", comme tu dis, mais pas jusqu'au bout … j'ai pas encore pris mon pied … 

 

Il a accompagné son expression "je l'ai déjà fourrée" d'un geste symbolisant des guillemets. 

- Et les autres …

- Quoi, les autres ?

- Oui, tes potes … ils l'ont aussi déjà "fourrée" ?

- Ben … oui …

- Tous ?

- Euh … oui … je crois …

- Ton copain le rouquin, lui, il était en train de jouir, quand je suis descendu …

- Ben … oui …

- Vous êtes là depuis longtemps ?

- Je … je sais pas … une heure, peut-être … mais … c'est tout ce que ça te fait, qu'on soit là à … à baiser ta femme ?

- T'occupes pas de ce que ça me fait … elle vous a trouvés où, toi et tes potes?

 

Le parfum de ce type arrive jusqu'à moi … after shave ou eau de toilette, je ne sais pas … autre chose aussi … une odeur indéfinissable … pourquoi ça me fait penser à l'odeur d'une ménagerie … ou d'une écurie … ou d'une fauverie ? Bien sûr en beaucoup moins puissant, mais … ce serait l'odeur du mâle ? L'odeur de la testostérone ? En tout cas, pas vraiment désagréable … un peu troublant, même … De l'autre côté, dans le salon, j'entends des voix qui murmurent … des voix d'hommes et la voix de Christine … ils doivent commenter mon apparition. 

 

Je reprends:

- Alors, toi et tes potes, elle vous a trouvés où ?

- Comment ça …

- Oui, vous l'avez rencontrée où ?

- Ah oui. Ben … dans un bar, à Paris … 

- Dans un bar ? Tous les sept ?

- Oui, on faisait une troisième mi-temps … on fait partie d'une équipe de foot … en amateurs, hein, on joue seulement pour se marrer … on fêtait le dernier match de la saison, et elle était aussi là, dans ce bar …

- Et je suppose qu'elle n'était pas toute seule, dans ce bar …

- Ben non, en effet ! Elle était avec un mec et ça avait l'air de mal se passer entre eux … ils s'engueulaient … j'ai même cru que c'était son mari, tellement on aurait dit un couple ordinaire … C'est pour ça, tout à l'heure, quand elle a dit que t'étais son mari, ça m'a surpris …

- Ça devait être son amant, dans ce bar … t'as pas entendu comment il s'appelle, ce type ?

- Si, elle nous a parlé de lui … attends … euh …

- Patrick ?

- Oui, c'est ça ! Patrick !

 

Tiens donc, alors qu'elle continue de se faire baiser par des inconnus, elle sort toujours avec lui ! Ben alors, cette fois, c'est d'abord lui qu'elle cocufie! 

 

Venant du salon, un sourd gémissement nous parvient … long et fort, mais comme étouffé. La fête continue à côté, et Christine est en train de prendre son pied  … la bouche occupée, apparemment. Je me demande ce qui l'a fait jouir, cette fois. Clitoris ? Vagin ? Bouche ? Le grand type tourne la tête vers le salon en souriant … il a entendu, lui aussi, et il a compris ce qui se passe à côté … ça l'amuse … et il a une réaction incontrôlable … ou plutôt, SON CORPS a une réaction incontrôlable qui attire mon regard: sa bite se met à gonfler et à s'allonger … son imagination travaille … la mienne aussi, d'ailleurs … je sens que je me mets aussi à bander … mais comme c'est dans mon pantalon de pyjama, lui ne peut pas s'en rendre compte … Par contre, il a remarqué que son érection ne m'a pas échappé … il baisse les yeux sur son sexe, relève la tête et me regarde, un sourire ironique sur le visage … pas gêné du tout que sa bite trahisse son excitation …   

 

- Ce Patrick, c'est son amant.

- Ah, tu le connais ?

- Oui. Et alors, ensuite … dans ce bar …

- Pourquoi tu veux savoir tout ça ? Ça t'excite ?

- T'occupes pas … raconte. Mais raconte tout, hein … si c'est vous qui l'avez abordée ou si c'est elle … mais je suppose que c'est elle … comment elle s'y est prise, ce qu'elle vous a dit, comment elle vous a attirés ici … enfin, tout … et n'hésite pas à entrer dans les détails, hein … même les détails les plus hards …

 

Il hésite, me dévisage, visiblement décontenancé, puis il se lance:

- Bon, ben … pendant qu'on buvait un coup, avec mes potes, tout en s'engueulant avec ce type, elle arrêtait pas de me regarder … je sentais que je lui déplaisais pas, quoi … même mes potes, ils m'ont fait remarquer que j'avais une ouverture … mais, bon, sur le coup, je comptais pas en profiter … y'avait son mari … enfin, je CROYAIS que c'était son mari … et puis un moment donné, je suis descendu aux toilettes … la bière, ça me fait … bref …  elle est descendue aussi … dans les toilettes des hommes, hein … y'a des toilettes pour femmes, dans ce café, mais elle est entrée dans celles des hommes, hein … j'étais en train de … de pisser et elle est venue se planter derrière moi … au début, je me suis demandé ce qu'elle voulait, je savais pas quoi lui dire … et quand elle a vu que j'avais fini de pisser, elle m'a chopé par le bras et elle m'a obligé à me retourner … avant que j'aie eu le temps de remballer ma bite dans mon pantalon, quoi … "la range pas !" qu'elle m'a dit ! Et aussitôt, elle était à genoux à mes pieds, et elle … elle … elle a pris ma bite dans sa bouche …

 

C'est ça, mec, prends moi pour un con … une femme, petite et menue comme Christine, capable de forcer un gaillard bâti comme toi à se retourner … oh, mon dieu, ça a dû être terrible ! Au secours, au secours, cette femme veut me sucer la bite ! Ça, qu'elle t'ait suivi dans les chiottes, je veux bien le croire, mais après, t'as compris ce qu'elle voulait et t'as seulement vu une occasion de te faire sucer la tige … c'est humain. Il laisse un long silence, puis:

- Qu'est-ce que tu veux … elle suce vachement bien, ta femme … alors je me suis laissé faire … et puis, il y avait son mari … enfin, j'te dis, je CROYAIS que c'était son mari, là-haut …

- Et c'est excitant, hein, de se faire sucer par une femme quand le mari n'est pas loin …

- Ben oui … 

- Et ensuite …

- Ben … ensuite … y'a un de mes potes, Yann, qu'est aussi descendu pisser … et il nous a trouvés là, dans les chiottes … elle, ça l'a même pas fait sursauter .. elle a continué à me sucer comme si … comme si y'avait personne … alors …

- Alors elle a aussi sucé ton pote Yann …

 

Il écarquille les yeux, étonné que j'aie deviné:

- Ben oui … elle l'a aussi sucé …

 

Il se bidonne et je sens que c'est autant de se remémorer cette séance dans les chiottes du café que de réaliser que si j'ai deviné, c'est que Christine n'en était sans doute pas à son coup d'essai:

- Ça n'a pas l'air de t'étonner … elle avait déjà fait ça …

- Ça précisément, je ne sais pas … elle ne me dit pas tout … mais des choses dans ce genre, oui …

- Ah, OK ! Je vois … 

- Pourquoi … tu croyais que vous étiez les premiers mecs qu'elle racolait ?

- Ben … plus ou moins, oui … 

 

Il réfléchit, puis:

- En fait, on s'est pas vraiment posé la question … on a cru qu'elle voulait surtout se … je sais pas … se venger de son … de son mec, ce … ce Patrick …

- Bon … et ensuite … elle vous a sucés, ton pote Yann et toi … et puis …

- Ben en fait, sur le coup, elle est pas allée jusqu'au bout … je veux dire … elle a arrêté avant que … avant qu'on jouisse, quoi … elle s'est relevée, et elle nous a dit "si vous voulez que je vous finisse, on peut aller chez moi … et vous pourrez même me baiser". On n'en revenait pas, avec Yann … c'était … on n'avait jamais … on nous avait jamais … proposé un truc pareil …

 

Du salon nous parvient le bruit d'une discussion et de rires. J'ai reconnu la voix de Christine, mêlée à celles des types qui sont avec elle … l'atmosphère a l'air de se détendre, par là … je me demande ce qui les fait rire comme ça … Un autre type entre dans la cuisine. C'est celui qui était debout à côté du canapé et qui m'a vu le premier. Ça doit être le plus vieux de la bande … quarante-cinq ans bien sonnés, à mon avis. Il est assez gras du bide et des hanches … il a même un peu de poitrine et son crâne commence à sérieusement se dégarnir. Il s'appuie au montant de la porte, mais il ne dit rien. Il doit venir aux nouvelles. Je regarde aussi sa bite, au nouveau venu … vraiment pas grosse, même si, de toute évidence, et bien qu'elle baisse le nez, elle soit en érection … lui aussi est décalotté et son gland rouge vif est luisant d'humidité … il mouille d'excitation, ou il sort juste de la chatte de Christine ? Je lui lance:

- C'est toi qui a fait jouir ma femme, il y a un instant ?

 

Il est interloqué. Il regarde le grand type, cherche une aide. Le grand type hausse les épaules et insiste, un sourire aux lèvres:

- C'est toi ou c'est Yann ?

- Ben … oui … c'est Yann …

 

Je me tourne de nouveau vers le grand type:

- Oui, alors, tu me disais … elle vous a proposé de vous finir ici …

- Ouais, ben, elle nous avait vraiment chauffés, Yann et moi, alors on avait une urgence … au début, on a cru qu'elle nous voulait tous les deux … enfin, seulement nous deux, Yann et moi … Quand elle nous a demandé "alors, les garçons, ça vous dit ?", ben forcément, on lui a dit oui … on était prêts à planter nos autres potes et la fin de la troisième mi-temps pour aller la baiser … Alors elle a dit "on remonte " ... et pendant qu'on remontait des chiottes, elle a dit "on va aussi demander à vos copains si ils veulent venir" … On s'est regardés, avec Yann … on n'en revenait pas … on a même cru qu'elle déconnait, qu'elle oserait pas … Mais si, elle est venue au milieu du reste de la bande, et là, elle leur a carrément dit qu'elle avait commencé à nous sucer dans les chiottes, Yann et moi, et qu'elle allait nous emmener chez elle pour qu'on la baise … et que si les autres en avaient envie, ils pouvaient venir aussi … J'vous cache pas, on était tous sciés … Y'en a un qui lui a fait remarquer qu'on était quinze et il lui a demandé si elle était sûre qu'on pouvait tous venir pour la baiser …

- … et elle a dit oui.

- Ouais … elle a dit oui !

 

Il jette un coup d'œil à son pote, toujours appuyé au montant de la porte et tous les deux se marrent. Il marque un temps, et il reprend:

- Quinze ! Bon, finalement, on est pas venus à quinze parce que y'en a qui ont pas voulu … mais je me demande … si on était tous venus …

- … elle se serait fait baiser par les quinze …

- Ah bon ? Tu crois ?

- Oui. Je pense qu'elle en est capable …

- Bon, enfin … elle a dit "réfléchissez, je reviens", et elle est allée parler à ce mec, là, Patrick … sûrement pour lui dire qu'elle s'en allait avec nous … ils se sont encore bien engueulés, il a essayé de l'entraîner dehors, de force, mais elle s'est débattue en nous montrant, et il a dû avoir peur qu'on intervienne … alors il s'est barré en la traitant de tous les noms … alors elle est revenue vers nous … en se marrant … et elle s'est mise à chauffer nos autres potes, en leur demandant "tu veux venir, toi ?" … elle les a chauffés … pas en les suçant, hein … non, elle leur a tripoté la bite à tous … comme ça … à travers leur pantalon … et elle leur demandait "alors, ça te dit, de venir aussi me baiser ?" … alors, forcément … à part un ou deux, ils étaient tous d'accord … 

- Mais … tu me dis que vous étiez quinze et qu'il y en a un ou deux qui n'ont pas été d'accord … vous n'êtes pas treize ou quatorze …

 

Il avale encore un peu d'eau, puis:

- Ben non. C'est parce que, un moment, elle a dit que si on venait, il faudrait qu'on la baise tous sans capote … là aussi, on s'est demandé si elle déconnait ou pas … mais bon, elle nous a expliqué qu'on risquait rien et que elle, ça lui faisait pas peur … là, quand même, y'en a qui … qui étaient plus d'accord, quoi … ils voulaient bien la baiser, mais en mettant une capote … Finalement, voilà, on s'est retrouvés seulement à sept … enfin, quand le dis "seulement à sept", c'est par rapport aux quinze qu'on était au départ … J'crois qu'on était pas mal bourrés et bien excités, alors on a pas réfléchi … pour pas de capote, j'veux dire … et puis, je pense qu'on s'est tous dit que c'était une occasion euh … se faire à sept une nana qui en a envie, ça se présente pas deux fois dans une vie … 

 

Tout en m'observant, il semble réfléchir, et, de lui-même, il reprend:

- On lui a même demandé si il faudrait qu'on paie, hein … Franchement, on se demandait si c'était pas une pute … mais elle nous a dit que non … Y'en a aussi qui se sont demandé si c'était pas un piège, un traquenard … mais, vu qu'on était sept, on s'est dit qu'on pourrait faire face … bref, on a laissé nos autres potes dans le bar et on s'est mis en route … Elle a voulu … elle a dit qu'elle voulait monter avec nous dans une voiture pour qu'on … pour commencer en chemin, quoi … alors, elle a donné ses clefs à un de nous pour qu'il conduise sa voiture, et elle lui a dit qu'il cherche "maison" dans son GPS, et que ça le ramènerait chez elle et que les autres n'auraient qu'à suivre … et elle est montée avec nous dans la voiture à Christophe …  

 

Il est intarissable, ce mec. Je n'ai même plus besoin de le relancer. Il se délecte … il m'explique tout ça dans le détail comme il confierait une histoire de cul à un copain, mais en plus, je sens que raconter ça au mari de la femme que ses potes et lui sont en tain de baiser, ça ajoute à son plaisir … De nouveau, il s'est arrêté et il me regarde. Maintenant, ce qui arrive du salon, c'est le bruit mat d'une chair qui frappe une autre chair avec la régularité d'un métronome … un ventre qui tape conte des fesses ? Il y a aussi le bruit … pas exactement le bruit d'un halètement … plutôt le bruit mouillé de quelqu'un qui aspire et souffle l'air entre ses dents serrées … Putain, ça doit y aller, par là ! Je voudrais bien savoir ce qu'ils lui font … Visiblement, le grand type a aussi entendu et ça l'amuse. Il sourit, et:

- On était quatre avec elle, dans la voiture à Christophe, et en chemin, elle nous a encore euh … elle nous a tous un peu … branlés et même sucés … même Christophe, pendant qu'il conduisait … et …

- Pendant qu'il conduisait ? Elle l'a branlé et sucé PENDANT qu'il conduisait ?

- Oui, branlé … Christophe, elle l'a branlé … elle était monté derrière, entre moi et Gérard, mais en se penchant entre les deux sièges de devant, elle lui a sorti sa bite et elle l'a branlé … pareil pour Max qui était assis à l'avant à côté de Christophe … mais nous, à l'arrière, elle nous a branlés ET sucés … et là, on a senti qu'elle aimait vraiment ça … sucer et branler des bites … Elle aime VRAIMENT ça, la bite, ta femme !

 

Il s'interrompt. Les bruits et les gémissements qui nous parviennent du salon, de plus en plus forts, accaparent son attention … la mienne aussi … D'un haussement de sourcils et d'une moue expressive, il manifeste un étonnement amusé et admiratif… Il aimerait bien savoir ce qui se passe à côté … et voir … moi aussi, d'ailleurs …  Et bien qu'il ne voie pas, ce qu'il entend agit de nouveau sur le grand type, comme tout à l'heure … il se met de nouveau à bander … dans un geste machinal, il empoigne sa bite et se met à la pétrir … il écoute pendant quelques instants, puis, très naturellement, tout en se tripotant la queue, il reprend son récit: 

- Pendant qu'elle nous branlait, on a discuté … on voulait comprendre … ça nous étonnait qu'elle ait plaqué son mar… enfin ce … ce mec … pour venir avec nous … et là, elle nous a expliqué qu'elle l'avait entraîné là, ce … Patrick, dans un cinéma pas très loin du bar où on était … c'est un cinéma porno, le Beverly … ils passent des films de cul, mais surtout, y'a des mecs qui viennent là pour se branler entre eux, et des fois, y'a des femmes qui y vont pour se faire sauter par tous ceux qui veulent … elle avait entraîné ce … Patrick là-dedans pour ça … parce qu'elle avait entendu dire que là, dans ce cinéma, elle pouvait se faire … se faire sauter, quoi … mais lui, quand il a compris pourquoi elle l'avait amené là, et que des types ont commencé à leur tourner autour, il a pas supporté et il l'a forcée à sortir … et ils se sont retrouvés dans le café où on était … c'est pour ça qu'ils s'engueulaient … Nous, sur le coup, on a cru qu'en fait, c'était la première fois qu'elle essayait un truc comme ça … avec plusieurs mecs, je veux dire … En fait, on s'est pas posé plus de questions … c'était une occasion tellement … incroyable … une sal… une femme qui demande à se faire baiser par plusieurs mecs … en plus, c'était pas comme si c'était avec des types qu'on connaît pas … on est tous copains, on se connaît tous depuis des lustres …

 

Pas de doute, ce mec est en train de se justifier vis-à-vis de moi ! Il a déboulé dans la cuisine comme pour me provoquer, et maintenant, il veut que je le comprenne ! Il enchaîne:

- Donc, voilà … on est venus jusqu'ici … ça nous a paru vachement loin … loin de Paris, j'veux dire … on se demandait si on allait bientôt arriver ou pas … mais comme ça avait l'air de valoir le coup … on n'avait rien à perdre à faire tout ce chemin …

 

Il semble réfléchir encore, et il reprend:

- Alors, c'est pour ça … avec mes potes, on veut … on veut continuer, quoi … enfin, on veut finir … elle nous a bien chauffés et on n'a pas envie de repartir comme ça … sans avoir … euh … 

 

Il toussote … je n'en reviens pas, il est presque gêné, maintenant ! C'est moi qui enchaîne:

- Vous n'avez pas envie de repartir sans avoir tiré votre coup …

- Ben oui …

- Vous n'avez pas encore tiré votre coup ?

- Ben non … enfin, pas tous …

- Ah bon ? Vous ne l'avez pas déjà baisée en chemin … dans votre voiture ?

- Non, non … j'te dis, elle nous a tous plus ou moins sucés ou branlés pendant le trajet, mais elle s'est arrêtée avant qu'on … avant qu'on jouisse, quoi … elle disait qu'elle voulait nous garder en forme pour ici … et même une fois arrivés devant chez vous, elle …

 

Il hésite, me regarde par en dessous, sourit … Je le relance:

- Quoi … vas-y, raconte …

- Ben … quand on est arrivés, on est tous descendus de voiture … elle nous avait dit qu'il fallait pas faire de bruit, pas claquer les portières, tout ça, quoi … on s'est dit qu'elle voulait pas réveiller les voisins … à ce moment là, on pensait qu'il y avait personne chez elle … enfin, chez vous … et là, elle a recommencé … elle nous a tripoté la bite à tous … là, dans la rue … et … et y'en a qui ont sorti leur bite … alors elle a recommencé à nous sucer … les uns après les autres … alors, ça a commencé à vraiment nous exciter, forcément … et en plus, se faire sucer comme ça, dehors … c'était super excitant … pendant quelle suçait, certains ont commencé à … la tripoter, tu vois … sous sa jupe … dans son corsage … et elle s'est laissée faire, ça avait l'air de lui plaire … on a commencé à lui déboutonner son corsage, et là, c'est elle qui l'a carrément enlevé … après, elle a aussi enlevé sa jupe et son slip … elle était complètement à poil dans la rue …  ça avait pas l'air de la gêner … au contraire, ça avait l'air de l'exciter … nous, au début, on se demandait … on avait peur de se faire surprendre … mais c'est un petit village, apparemment, c'était le milieu de la nuit et on a fini par se dire qu'il ne devait pas circuler beaucoup de monde … 

 

Ça y est, il est reparti, pris par l'excitation de son récit et prêt à tout raconter … je n'ai plus besoin de le pousser:

- … c'était vachement chaud, hein … on n'avait jamais fait un truc comme ça … aucun de nous … du sexe, comme ça, en pleine rue … à plusieurs sur une seule femme … bon, dans un bled paumé et de nuit, mais c'était quand même un peu risqué … alors c'était encore plus excitant … En plus, y'avait la pleine lune … on voyait comme en plein jour … Christophe, il dit que la pleine lune, ça excite … qu'il y a des gens qui tuent, les nuits de pleine lune … et qu'il y a des gens qui baisent comme des bêtes à cause de la pleine lune … et un moment donné, y'a quelqu'un … je sais plus qui … y'a quelqu'un qui a … qui a dit qu'il avait envie de la prendre là, tout de suite, sur le capot de la voiture à Christophe … on n'a même pas eu besoin de lui demander … dès qu'on a parlé de ça, elle s'est installée toute seule … d'abord en levrette … elle s'est penchée, elle s'est appuyée avec les mains sur le capot, elle a écarté les jambes et elle nous a demandé de la baiser là … pas vrai, Gérard ?

- Si, si, c'est vrai …

 

Emporté par son récit, il revit tout… et il le revit tellement, que je vois sa bite qui gonfle et qui redresse un peu le nez entre ses cuisses …

 

- Cette fois, c'était sûr, on allait tous pouvoir se la faire … C'était vraiment dingue, on n'en revenait pas … aucun de nous … j'te dis, c'était la première fois qu'il nous arrivait un truc comme ça ! C'est là qu'on l'a déjà tous un peu … baisée … sur le capot de la voiture …  mais même à ce moment là, on n'est pas allés jusqu'au bout, on n'a pas joui ! Elle voulait pas .. elle disait "retiens-toi, hein … tu tireras ton coup tout à l'heure" . C'était vachement difficile de se retenir … d'abord, on était tous vachement excités, mais en plus … 

 

Il hésite, me regarde, se mord la lèvre, comme quelqu'un qui réalise qu'il en a trop dit. Je le relance:

- Quoi … "en plus" quoi …

- Ben … je m'excuse, hein, mais ta femme, elle est vachement serrée …

- Ah, c'est pour ça ? Ben oui, je sais qu'elle est vachement serrée … 

- Ouais, on a l'impression de fourrer une … pucelle … enfin, j'veux dire une gamine … rien qu'à lui rentrer sa bite, c'est … vachement bon. Et y'en a qui ont commencé à faire comme elle … à se déshabiller … enfin, à ôter leur pantalon … Après, c'est elle qui a voulu faire autrement … elle a voulu continuer, mais sur le dos … elle voulait nous regarder pendant qu'on la baisait … toujours sur le capot, hein … alors, on l'a encore tous niquée comme ça … et elle insistait pour qu'on n'aille pas jusqu'au bout … "pas tout de suite", elle disait … elle voulait que ça dure … qu'on passe tous plusieurs fois … un moment, y'a Alain … c'est notre pote rouquin … y'a Alain qu'est monté sur le capot, au-dessus d'elle, et qui lui a donné sa bite à sucer … et ben, elle l'a sucé … direct ! Et nous on a continué … putain, c'est VRAIMENT chaud, hein … à deux sur elle ! Y'en a même qui ont arrêté parce que … ils étaient prêts à jouir … et qu'elle avait dit "plus tard" … et puis alors … y'a une voiture qu'est passée dans la rue …

- Dans la ruelle ? Là où vous êtes garés ?

- Non, dans l'autre rue … mais c'était quand même assez près … on s'est demandé si ils nous avaient pas vus … mais non, apparemment … enfin, Alain, il est quand même redescendu vite fait … ta femme, ça l'a fait rire … et comme nous, ça nous avait pas mal refroidis et qu'on s'est mis à baliser, elle a décidé que c'était le moment de rentrer dans la maison pour continuer … Là, elle nous a seulement dit "faites pas de bruit, y'a quelqu'un qui dort à l'étage" … on a cru que c'était … je sais pas, une copine, un gamin … mais pas son mari … nous, son mari, on l'avait laissé dans le bar, à Paris … Mais, j'te répète, hein, à ce moment là, aucun de nous n'avait encore joui …

- … et depuis, vous n'avez pas encore tous tiré votre coup ….

- Ben non … elle nous a dit qu'on pouvait prendre notre temps … profiter, quoi … Avant que t'arrives, y'a que Christophe, qui a joui …

- Et l'autre, là, celui qui la baisait quand je suis descendu …

- Alain ?

- Je sais pas, le rouquin … celui qui était en train de la baiser quand je suis descendu …

- Ouais, c'est ça, le rouquin, c'est Alain … ouais, lui aussi … il était en train de … il prenait son pied juste au moment où t'es arrivé …

- Et pendant qu'on discutait ici, tous les deux,  je l'ai entendue prendre son pied, ma femme … 

 

Je me tourne vers l'autre, toujours appuyé de l'épaule contre l'encadrement de la porte:

- T'as dit que c'était qui, déjà, qui la faisait jouir ?

- Ouais … c'était Yann …

- Il a aussi pris son pied, celui-là ?

- Ben … ouais … 

 

Le grand type intervient:

- C'est pour ça … nos trois potes, là, ils ont … ils ont pris leur pied, mais pas nous … alors on voudrait bien …

 

J'ai nettement l'impression qu'il demande mon autorisation. C'est marrant, il n'est plus aussi assuré que tout à l'heure … tout à l'heure, il ne l'a pas formulé ouvertement, mais à son attitude, c'était plutôt "ta femme, on va la baiser, que tu sois d'accord ou pas" … et maintenant, c'est "on voudrait bien" … Je le laisse mijoter quelques instants, puis:

- Au fait, tu faisais quoi, avec ton smartphone, tout à l'heure ?

 

Il ne s'attendait pas à ça. Il hésite, réfléchit:

- Avec … mon smartphone ?

- Oui, tu l'avais en main … t'essayais plus ou moins de le cacher, mais je l'ai bien vu … tu filmais tes potes en train de baiser ma femme ?

- Ben … c'est-à-dire … je …

- Tu filmais ! ? !

- Ou… oui.

- Ben dis-le, alors. Je m'en fous, ça ne me dérange pas plus que le reste …

- Oui, oui, je filmais …

- Tu vas montrer ça à d'autres potes … à ceux qui ne sont pas venus … 

- Ou… oui. Sinon, ils nous croiront pas …

- Et ton pote, celui qui est assis dans le canapé … lui aussi, il filme …

- Heeemmm, ben oui …

- Vous lui avez demandé si elle était d'accord ?

- On … on lui a pas demandé, mais elle nous a vus et elle a rien dit … ça l'a fait rire, même … elle s'en fout, je crois …

- Ça m'étonne pas …

- Alors ? Tu … t'en dis quoi ?

- A quel sujet ?

- Ben … pour ça .. pour qu'on … pour qu'on finisse, nous aussi …

- Ah, pour ça ? Mais … elle vous l'a dit, tout à l'heure … vous pouvez continuer …

- Ah bon ? Et toi, tu … tu t'en fous ?

- Tu l'as entendue ? Quand je suis descendu, tout à l'heure, elle vous a dit aussi que je commence à avoir l'habitude … et même si j'étais pas d'accord, je pourrais faire quoi ? Essayer de vous virer ? Vous êtes sept … et de toute façon, elle partirait avec vous pour que vous la sautiez ailleurs … alors autant que ça se fasse ici …

- Bon, alors … on peut …

- … continuer ? Oui.

- Et tu vas faire quoi, pendant ce temps là ? Tu vas regarder ?

- Ça te gênerait, que je regarde ?

- Ben oui, quand même … 

 

Il m'observe, comme s'il essayait d'imaginer ce que ça lui ferait de sauter Christine en ma présence, puis:

- … enfin, je sais pas …

- Tout à l'heure, tu m'as dit que tu trouvais ça excitant de te faire sucer par une femme quand le mari n'est pas loin …

- Ouais, mais … si t'es là … si tu regardes … c'est pas pareil … Et toi … t'as ENVIE de regarder ? T'as ENVIE de nous voir en train de … de baiser avec ta femme ?

- Et pourquoi pas ! Puisque tu veux tout savoir, ça me plaît de la voir se faire baiser par plusieurs mecs en même temps … autant ça me faisait chier de savoir qu'elle baisait avec son amant, ce Patrick, autant la voir se faire passer dessus par plusieurs types, ça m'excite …

 

Il hausse les sourcils en me dévisageant … il semble perplexe. J'essaie de le convaincre:

- Apparemment, ça te dérange pas de la sauter devant tes copains … je me trompe ?

- Ben non.

- Alors, t'as qu'à faire comme si j'étais un de tes potes …

- Mouais …

 

Je me tourne vers l'autre, toujours appuyé au montant de la porte:

- Et toi … ça te gênerait de baiser ma femme devant moi ?

- Moi ? Ben … non …

 

Il se marre, regarde le grand et hausse les épaules:

- J'm'en fous, moi … ça me gêne pas …

 

Je saute sur l'occasion. Je décolle mes fesses du bord de l'évier et je fais signe à ce mec:

- Bon alors, on retourne dans le salon ?

- Ouais.

 

Visiblement pas  fâché que je lui fournisse un prétexte pour revenir dans le salon où les choses se passent, il me précède. Le grand type nous suit. Quand nous entrons, d'un coup d'œil, je saisis l'ensemble de la scène: Christine est maintenant couchée sur le canapé, mais elle n'est plus en train de baiser. Allongée sur le dos, la tête calée sur un accoudoir, son avant-bras droit sous la nuque, cuisses largement écartées, elle se caresse machinalement le sexe. Je remarque que sa chatte est toujours glabre, intégralement épilée et c'est très … appétissant. Ça donne envie d'y plaquer sa bouche et d'y enfouir sa langue, et aussi d'y introduire sa queue … Un type est assis contre elle, au niveau de son épaule … c'est le type qui lui pelotait déjà la poitrine tout à l'heure … penché au-dessus d'elle et se tenant d'une main au dossier, il lui tripote encore les seins … Il bande, et sa bite, raide, décalottée et aux veines saillantes, se dresse gaillardement devant son ventre … A l'autre bout du divan, un autre type est assis, de biais, entre les mollets de Christine qui lui a posé son pied sur la cuisse … c'est celui qui était déjà assis à cet endroit tout à l'heure et qui voulait qu'elle le masturbe … maintenant, il lui caresse l'intérieur des cuisses d'une main et de l'autre, il braque son smartphone sur son entrejambe … Notre arrivée semble interrompre une conversation entre eux … ils se tournent vers nous … en me voyant, son œil à elle s'assombrit, tandis que le type, pas troublé le moins du monde, sourit et continue de lui effleurer la cuisse … celui qui lui tripote la poitrine tourne tout juste la tête vers nous avant de reprendre son pétrissage … Visiblement, ces mecs on intégré ma présence comme une chose normale … Ceux là, ça ne les dérange visiblement pas que je les voie tripoter ma femme … Très bien, moi, ça me va … 

 

Christine se tourne de nouveau vers celui qui lui caresse la cuisse et, ostensiblement, du bout des doigts, elle écarte ses petites lèvres … exactement comme elle l'avait fait au Huitième Ciel, quand un des étalons sénégalais se préparait à lui fourrer son long sexe noir … encore une fois, elle ouvre son sexe à la pénétration d'un inconnu, elle lui offre son ventre … mais en plus, elle s'ouvre avec tellement d'indécence à l'objectif du type qui la pelote, qu'il est évident que ça lui plaît beaucoup qu'il la filme comme ça … Quand je pense qu'elle a toujours refusé que je la prenne en photo lorsqu'elle était quelque peu dénudée ! Y compris sur la plage, quand elle avait seulement les seins à l'air … Je me rappelle sa réaction outrée quand je lui avais proposé de la photographier nue, allongée sur notre lit … elle trouvait ça malsain ! Et là, elle s'offre avec une telle impudeur aux objectifs de ces types ! Je regrette de ne pas avoir, moi aussi, un smartphone. Oui, mais de toute façon, je suis persuadé qu'elle refuserait que je la filme, moi aussi … ces inconnus, oui … moi, sûrement pas !

 

Quoi qu'il en soit, le spectacle qu'elle nous offre est vraiment … bouleversant ! Elle dégage son avant bras de sous sa nuque et elle saisit le poignet du type pour l'attirer vers son entrejambe … De nouveau, elle me jette un coup d'œil: " regarde, ce type va me baiser ! ". Bien sûr, qu'il va te baiser … évidemment, qu'il va te baiser … J'ESPÈRE BIEN qu'il va te baiser … Même si je n'avais pas été là, elle se serait donnée à ce type, mais sa provocation à mon égard est évidente … Lui, ma présence ne le perturbe absolument pas … au contraire, même … tout en laissant Christine attirer sa main vers son sexe, il me jette des coups d'œil en coin et sourit … cette situation lui plaît … il va baiser ma femme sous mes yeux … 

 

Je regarde autour de moi … tous les autres, fascinés, contemplent Christine et leur pote qu'elle est en train d'inviter à la baiser … Il faut dire que le spectacle est torride et hallucinant … elle, les cuisses ouvertes avec cette impudeur, qui écarte ses petites lèvres si lubriquement et qui s'offre à ce type d'une manière aussi indécente … et lui qui bande comme un âne … Et là, je me rends compte qu'en fait, tous ces mecs bandent comme des ânes en rut … TOUS … y compris, donc, ceux qui ont déjà tiré un coup … Putain, quel spectacle ! Sept bites en érection ! Plus ou moins dressées, mais toutes vraiment très raides ! Les deux qui tripotent Christine, évidemment … et parmi les spectateurs, trois se masturbent ouvertement, un autre, la bite à l'horizontale, se tire sur la peau des couilles, et le dernier, le grand type, a récupéré son smartphone et il filme ce qui se passe sur le canapé … lui, sa queue se dresse toute seule à la verticale !  Je crois qu'en fin de compte, il n'aura pas de mal à baiser ma femme en ma présence. De toute manière, il ne fait plus attention à moi. 

 

Cela dit, moi aussi, je bande ! Et bizarrement, pas parce que j'ai aussi envie de baiser … ma femme ! Oh, je la trouve franchement bandante et désirable, mais d'abord, je sais pertinemment que ce n'est pas la peine que j'envisage de participer à la fête … elle se refuserait à moi, c'est sûr … Non, ce qui m'excite à ce point, c'est vraiment l'idée que ces sept types, sept inconnus, vont la baiser l'un après l'autre … La vache ! Sept types qui bandent comme ça pour cette … femelle en chaleurs ! Oui … cette "femelle en chaleurs" ! A cet instant, je réalise que quelque chose a radicalement et brutalement changé en moi: celle qui est étendue sur ce canapé et qui réclame de … de se faire couvrir par les sept mâles qui l'entourent, ce n'est plus MA femme. Ça n'est pas que je la renie par colère ou par jalousie à cause de son infidélité … non, je ne ressens ni jalousie ni colère … au contraire … ça me plaît de la voir se faire passer dessus par d'autres hommes … ce n'est plus MA femme parce que notre lien conjugal n'existe tout simplement plus … pour moi, cette nuit, Christine, c'est simplement une femelle à l'appétit sexuel exacerbé, une femelle qui veut du sexe … une femelle qui a besoin de sexe … une femelle qui a besoin de se faire saillir et féconder par autant de mâles que possible … une femelle nymphomane ! Il me paraît évident que les sept mâles qui sont là vont tous la saillir … ils vont tous s'accoupler avec elle l'un après l'autre … et la féconder … même les trois qui ont déjà forniqué avec elle et qui l'ont déjà inséminée … 

 

En moi, nul dégoût, nul jugement, nulle condamnation … Quelque chose me souffle que ce qui se passe ici devrait me paraître absolument obscène, immoral, scandaleux … parce que, aux yeux de la loi et de la société, c'est encore ma "femme" qui se livre à une telle débauche avec des inconnus et parce que c'est radicalement contraire à la morale et aux mœurs de notre société ainsi qu'à ma propre éducation …  mais en fait, pour moi, tout ça est maintenant tout à fait … normal … ou plus exactement "naturel" … au sens de "ce qui relève de la nature": ici, la morale n'a pas sa place… ici, la fidélité, la vertu, la décence ou la pudeur n'ont aucun sens … si leur relation a débuté par le libertinage et la luxure, maintenant, cette femelle et ces sept mâles, ne sont animés que par un désir brut, par une puissante pulsion sexuelle, par un instinct vital, primitif et violent … A cet instant, ces huit êtres sont submergés par leur animalité. J'avais déjà ressenti quelque chose de cet ordre ce soir de juin, dans ce club libertin, quand Christine s'était fait baiser successivement par cinq inconnus …  

 

Alors, une évidence s'impose à moi: cette … femelle avec sa vulve béante, avec ce sexe tout rose et ses deux pétales humides de désir qu'elle écarte du bout des doigts … avec, à leur jonction, le bouton de son clitoris que son excitation gorge de sang, et, entre ses petites lèvres l'étroite entrée de son vagin, lui aussi d'un rose tendre et luisant … cette femelle est vouée au SEXE … cette femelle est vouée à la FORNICATION … cette femelle est vouée à la BAISE … oui, sa vulve, son sexe, son vagin, tout cela est destiné à recevoir … non pas UN sexe d'homme, mais DES sexes d'hommes … ou plus exactement LE SEXE DES HOMMES … pas seulement le sexe des sept types présents cette nuit, mais le sexe de tous les hommes qui, demain, auront envie de s'y inviter pour s'y donner du plaisir et jouir … Il est tellement … beau, ce sexe ! Il est tellement … joli, appétissant … comment un mâle normalement constitué pourrait-il ne pas avoir envie de s'y introduire ? Et non seulement il est beau et désirable, ce sexe, mais en plus, avec ses deux pétales ainsi écartés du bout des doigts et l'entrée de son vagin déjà lubrifiée, il appelle la pénétration, il cherche la pénétration des sexes d'hommes, il réclame l'accouplement ! 

 

Quand Christine était jeune, elle attirait déjà les hommes, à commencer par moi, essentiellement grâce à un atout physique … son petit cul. Enfin, pas seulement son petit cul … ça commençait par sa chute de reins … une cambrure exceptionnelle avec un ventre plat … et puis il y avait ses fesses … rebondies … pas grosses, mais parfaitement proportionnées au reste, à ses hanches, à sa taille … et fermes … rien qu'à les regarder, on devinait leur fermeté … et pour finir, il y avait ses cuisses, idéalement galbées, fuselées … l'ensemble était … waouhhhh ! Des courbes parfaites, que ce soit de profil ou de dos ... Nous n'avions pas vingt ans et j'ai immédiatement flashé sur elle et sur son petit cul ! Il faut dire qu'elle savait qu'elle avait un cul exceptionnel et elle savait en jouer … d'autant plus qu'elle savait aussi le mettre en valeur, son petit cul … jeans hyper moulants et mini jupes au ras des fesses … Je pense que, d'une manière générale, les hommes sont très sensibles à certaines formes, à certaines courbes du corps féminin, en particulier à celles là … la chute de reins, les fesses, les cuisses … sans doute aussi les seins … je suis aussi convaincu que se trouver en présence de telles formes, de telles courbes suscite instinctivement chez les mâles des désirs sexuels … C'est une sorte de programmation que la nature a implanté dans le cerveau masculin et qui lui souffle "cette femelle a les formes idéales pour la reproduction et il faut que tu t'accouples avec elle". Selon moi, c'est un vestige de notre animalité primitive.  

 

Bref, pour en revenir à Christine, je n'étais évidemment pas le seul à flasher sur son cul … presque tous les mecs du lycée bavaient dessus … certains profs inclus … mais c'est moi qui l'ai eue, la Christine … et son petit cul avec elle ! Et même après que nous nous soyons mis en couple, j'en ai vu des mecs la mater … y compris parmi nos copains … certains en douce, sournoisement, et d'autres plus ouvertement, allant parfois jusqu'à me manifester explicitement l'impression que son cul produisait sur eux, soit par une mimique expressive, soit en esquissant le geste de lui coller une main aux fesses … mais toujours sans toucher. J'en étais très fier de voir tous ces mecs avec les yeux exorbités et la langue pendante … Christine, elle était A MOI ! Et son petit cul aussi, était A MOI !  

 

Mais ça, c'était il y a bien  plus de vingt ans ! Et le temps a produit ses effets sur elle comme sur moi. Elle a gardé quelque chose de la magnificence passée de son postérieur … sa cambrure, bien qu'un peu moins marquée … ses fesses, encore assez charnues, mais que l'on devine moins fermes … ses cuisses, un peu moins galbées … et son ventre et ses hanches se sont légèrement empâtées. Alors si, comme on dit, elle est encore pas mal pour son âge, elle n'est tout de même plus la jeune pouliche fringante qu'elle était et qui excitait les étalons par sa seule apparition. Alors, puisque ça n'est plus cet exceptionnel atout physique qu'était son cul qui explique son succès actuel auprès des hommes, y compris des hommes beaucoup plus jeunes qu'elle, il doit bien y avoir autre chose qui la rend aussi … irrésistible … bien sûr, il y a sa façon directe et crue d'allumer les mâles, de leur faire savoir qu'elle est demandeuse de coït, réceptive … mais ça pourrait avoir l'effet inverse … les effrayer … et quand bien même, est-ce vraiment suffisant pour décider des mâles, y compris des jeunes mâles à passer à l'acte ? Je pressens autre chose … comme si il émanait d'elle un je ne sais quoi qui annihile les défenses des mâles qu'elle sollicite, qui leur fait renoncer à toute morale, qui leur fait aveuglément négliger les risques, notamment celui d'une contamination vénérienne, qui les soumet aux seules pulsions de leur organe génital, bref, qui les réduit à l'état d'animaux en rut …

 

Alors oui, je sais que ces sept types vont tous la baiser ! Eux aussi le savent ... ils en ont envie et elle le leur demande ! Et certains vont sans doute la baiser pour la deuxième fois … et ceux qui ne l'ont pas encore baisée recommenceront peut-être, eux aussi … Ils vont lui donner ce qu'elle veut … ils vont lui donner de la bite … ils vont lui donner leur semence … elle l'a demandé, elle l'a exigé … 

 

à suivre ...

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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