Lundi 22 février 2016 1 22 /02 /Fév /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


Cette fois, c'est vraiment reparti …

Après le déchaînement frénétique de ce matin et la pause du déjeuner, ma meute de mâles en rut s'est calmée. Pendant la sieste quasi générale qui a suivi le repas, j'ai tout de même pu satisfaire ma fringale de bites … quoi … six ou sept fois ? Voyons: Sam la brute tatoué, mais il n'a pas joui, le gros Thierry, Alexis, le charcutier traiteur, Jean-Claude le fermier, Gilles avec sa longue tige toute fine et le vidéaste, qui m'ont pris sur le foin en sandwich, un dans la bouche, un dans le cul, mais qui n'ont pas joui non plus, Guy le comptable et Greg, le commis d'Alexis, que j'ai fait jouir l'un après l'autre derrière le mur au bout de la ferme, et enfin Kevin, le jeunot, qui a été saisi d'une curieuse et subite envie de "me faire un petit" …

 

Ah oui, tout de même … ça fait neuf bites ! Depuis le repas, je me suis occupé des bites de neuf mâles …


Kevin, c'est moi qui l'ai entraîné sur le matelas … ou plutôt sur l'espèce de scène que Philippe, Jean-Claude et les autres ont dressée pour moi ce matin au pied du hangar. Ils ont imaginé cette installation pour que ceux qui veulent me regarder pendant que je me fais baiser puissent assister confortablement au spectacle. Moi, l'idée me plaît beaucoup, évidemment …  sucer des queues et me faire fourrer sous les yeux d'une assistance de mâles … les voir s'exciter, bander, se tripoter … leur donner envie de monter aussi sur scène … leur donner envie de monter aussi sur moi … ouaaaahhh !


D'ailleurs, le spectacle de Kevin en train de me "faire un petit" a inspiré d'autres mâles, et quand il en a eu terminé avec moi, c'est Hamid, le beau marocain, qui m'a rejoint sur cette scène, tandis que trois autres mecs se préparaient à prendre leur tour à sa suite. Ça doit être ça qu'on appelle "se mettre à la queue leu leu" ! Hamid, après m'avoir vigoureusement ramoné à quatre pattes, m'a offert à qui avait envie de me prendre à son tour … et c'est ce type plutôt bien monté, le premier à m'avoir fécondé ce matin, qui a pris le relais …

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- Hé, mec ! Tu veux pas pousser ta jambe ? On voit rien, avec ta cuisse …


Manoel, l'ours velu, vient de lui demander de changer de position, et mon baiseur s'est bien volontiers plié à cette requête avant de reprendre son va et vient méthodique dans mon fourreau. 


Tout en me faisant secouer, je parcours des yeux la troupe, de plus en plus nombreuse, qui se regroupe à nos pieds … en plus de Manoel et de Gilles, il y a Philippe, il y a l'aîné de la troupe (comment il s'appelle, celui-là ? Je ne sais même pas …), il y a le gros Thierry, enfin réveillé, il y a Sam le tatoué, il y a le comptable, et le petit blond, il y a … il y a … il y a … … ils sont maintenant une bonne vingtaine à mater, la plupart sur notre gauche et derrière nous … De là où ils sont, les yeux juste à hauteur de mon cul, ceux qui sont debout doivent avoir une vue imprenable sur notre coït … 


De mon côté, ce qui me ravit, c'est que, non seulement tous ces mecs nous matent, mais qu'en plus, ils ont la bite à l'air … le haut des rouleaux de paille qui supportent la scène me masque le bas des mecs les plus proches, et je ne vois donc pas l'équipement de ceux-là  … mais je sais qu'ils l'ont aussi à l'air … en fait, ils ont tous la bite à l'air … et beaucoup de celles que je vois sont déjà plus ou moins en érection … Manoel, par exemple, sa belle trique, raide, qui émerge de sa touffe de poils noirs, repose sur le dos, sur son ventre … comme si c'était elle qui me regardait me faire ramoner … comme si c'était elle qui avait envie de venir se plonger dans ma viande … dans le fond, il y a un peu de ça … elle bande parce qu'elle a envie de venir se mettre au chaud dans mon cul … Philippe bande aussi, et il se pétrit le gland à l'intérieur de son prépuce … même Sam, la brute tatouée, un peu en retrait … sa grosse bite n'est pas dressée (pas encore), mais elle est toute gonflée et elle pend, tête en bas, entre ses cuisses … elle aussi, elle viendrait bien se mettre au chaud dans mon cul … et là, un peu en arrière de moi, tout contre la scène, il y en a deux, les yeux rivés sur mon fourre-tout et sur le membre qui le pilonne … ceux-là, à leurs mouvements d'épaule, je devine qu'ils sont en train de se branler, carrément et sans complexe … Et comme de bien entendu, mes deux vidéastes sont aux premières loges, et filment notre accouplement en gros plan … et tout ce monde-là discute, plaisante, rigole, s'interpelle … ça fait un joyeux brouhaha … l'ambiance est plus celle d'une fiesta entre potes que celle d'une partouze ou d'une tournante  … encore que … la tournante que m'ont fait "subir" mes huit blacks de l'hôtel, sur la fin, elle n'était pas spécialement morose …


- Allez, à moi !


Ça vient du type à ma droite, un de ceux qui sont montés sur la scène à la suite d'Hamid. Absorbé par la contemplation des mâles attroupés à ma gauche, je n'ai même pas eu le temps de voir de qui il s'agit. Il est déjà derrière moi, attendant que celui qui est en train de me besogner lui cède la place. Encore deux allers et retours, et celui-là s'extrait de moi et se relève péniblement en s'appuyant sur mes reins … Hamid et lui m'ont fourragé sans éjaculer … c'est bien, qu'ils réservent ça pour plus tard … qu'ils restent bien excités … ils sont sans doute l'intention de revenir me chevaucher, et cette fois pour jouir … ça me plaît bien de me faire passer dessus comme ça … dans un premier temps "à blanc", en quelque sorte, avant de me faire vraiment tirer leurs cartouches les uns après les autres ..  


Je sens le matelas s'enfoncer entre mes mollets sous le poids du nouveau venu … ses mains sur mes fesses … il me caresse le cul … le haut des cuisses … les hanches … il remonte mon porte-jarretelles sur mes reins et je le sens se déplacer … il m'enfourche, un pied de chaque côté de moi, un peu en avant de mes genoux … je le sens qui plie ses jambes … ses mains sur mes épaules … il appuie, me force à aplatir mon torse sur le matelas … et puis … un contact tiède et humide contre ma rondelle … son sexe ? Oui, son sexe … qui me pénètre … oh putain, je suis le cul en l'air, il est au-dessus de moi et il va me fourrer comme ça ! Ses mains sur ma taille … et il commence à aller et venir … vite .. et fort …

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- Ça va, comme ça ? Vous voyez bien ?


Sans s'arrêter, sans même ralentir, il interroge les spectateurs !

Il faut dire que maintenant, ni ses cuisses ni ses mollets ne risquent de masquer le spectacle … J'imagine très bien ce que les autres ont sous les yeux … une sorte de triangle, le matelas entre mes genoux comme base, mes cuisses écartées comme côtés … à leur angle, mon cul, et à son sommet, l'entrée de ma caverne dans laquelle la bite de ce mec va et vient, comme un pilon déchaîné … ses mollets sont un peu en avant de mes cuisses … du coup, la vue est dégagée à plus de 180° autour de mon cul, laissant notre accouplement visible à la fois par derrière et sur les côtés ! S'ils voient bien comme ça? Oh oui, à leurs grognements et à leurs hochements de tête, ils ont l'air satisfait. 

 

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Ah putain, moi aussi ça me plaît ! La queue qui me ramone n'est pas très grosse et elle me pénètre sans me forcer, elle va et vient en moi comme dans du beurre avec des bruits de mouillé … même cette espèce de gargouillis humide me plaît bien… il est sans doute dû au reste de gel lubrifiant dont Hamid m'a enduit tout à l'heure … il y a aussi ce que sécrètent mes muqueuses pour se protéger des effets de ces multiples va-et-vient de chairs dans mes chairs … certainement aussi quelques gouttes de ce fluide lubrifiant que les queues qui se sont succédé en moi ont bavé l'une après l'autre  … et peut-être des restes de la semence de Kevin que les bites qui l'ont suivi ont brassés … par moments, j'ai même l'impression qu'arrivent à mon nez comme des relents de … c'est un mélange du parfum subtil du sperme frais et de celui, plus acide, du vieux sperme – pourtant, je me suis rincé plusieurs fois, mais il en est sans doute resté, imprégné sur ma peau et dans ma lingerie - … il y a aussi l'odeur de mon mucus anal, plus léger, mais que je connais si bien … et des touches d'autres odeurs, sans doute celles des fluides corporels que tous ces types ont laissés sur moi et que n'arrivent plus à couvrir leurs déodorants … bref, ce qui arrive à mon nez, c'est l'odeur du sexe … l'odeur du cul et de la bite … l'odeur de la partie de cul … l'odeur aphrodisiaque de la fornication, de la baise …


Sous le regard de tous ces mecs, je me sens d'une indécence totale, les cuisses écartées, le cul en l'air, offert, ouvert, prêt à recevoir toutes les saillies, à accueillir toutes les virilités qui auront besoin de se soulager … cette position, cette exhibition, devant cette assemblée de queues en érection, c'est plus qu'une invitation, plus qu'une provocation … c'est une supplication, une imploration lancées à tous ces mâles: « allez, venez … grimpez ces marches … montez sur cette scène … et baisez-moi ! 

baisez-moi !


BAISEZ-MOI ! »


La joue droite sur le drap, je parcours des yeux ma bande d'étalons, je les observe, guettant le moment où, submergés par l'excitation, regarder ne leur suffira plus … le moment où le rut les forcera à venir éteindre l'embrasement de leur queue dans la moiteur ruisselante de mon cul … Chez quelques uns, ce n'est encore qu'une espèce d'hilarité qui domine, mais pour la plupart, le spectacle que nous sommes en train de leur offrir a déjà commencé à les enflammer … à leurs regards rivés sur notre coït, à leurs rictus … je sais qu'ils s'imaginent à la place de celui qui me pilonne, je sais qu'ils devinent les sensations de son gland qui me fourrage les muqueuses, je sais qu'ils sentent l'incoercible montée de son plaisir, je sais qu'ils anticipent le moment où, à leur tour, ils vont monter sur cette scène, tremper en moi leur membre incandescent pour apaiser leur fiévreux désir … et me baiser … me baiserme baiser


Je croise le regard de Sam … lui ne contemple pas mon cul … il me dévisage, observe mes réactions, déchiffre mon comportement. Au plissement de ses yeux, au rictus qui déforme son sourire, je réalise qu'il lit tout à la fois mon addiction à la bite, ma soumission au mâle et ma fringale d'accouplements … et, à la façon dont il me regarde, je perçois chez lui l'expression de quelqu'un qui a découvert une faille chez autrui et qui compte l'exploiter à son profit … pas pour en user dans l'immédiat … ou pas seulement … Dans l'immédiat, je le sais, il va profiter de ma dépendance à la bite pour venir me baiser, seul ou avec le gros Thierry … non, ce que je ressens, c'est autre chose … une détermination, une intention plus lointaine … moins immédiate … comme s'il me disait silencieusement « J'ai des projets pour toi … j'ai un programme pour ton cul … ». Je baisse les yeux sur sa queue. Oh putain ! Il bande plus fort qu'il y a un instant. C'est de me regarder me faire sodomiser, ou de penser à ce qu'il me réserve ? Maintenant, sa grosse bite, toujours la tête en bas, a commencé à se redresser à 45° … ses veines sont gonflées, saillantes, son gland est tendu, luisant, turgescent  …


Brusquement, le type qui me pilonne le cul depuis un moment sort de moi et s'écarte … à mon avis, sans avoir joui, lui non plus … il laisse la place à … je ne sais pas qui … qui m'enfourche aussi et prend la même position, au-dessus de moi … qui frotte son gland contre ma fleur … une fois … deux fois … trois fois … l'introduit dans mon cul .. lentement … hhmmmmm … Hamid ? On dirait la bite de mon marocain … je me tords le cou pour voir qui vient d'entrer en moi … oui, c'est Hamid … je tends la main vers son mollet et je le caresse … Oh oui, Hamid, vas-y, fourre-moi encore ! 

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Je regarde de nouveau Sam … il capte mon regard et baisse les yeux vers son bas ventre, comme pour m'inviter à le regarder aussi ... il a empoigné sa queue et sa main va et vient doucement le long de sa verge … Oh putaaaaiiinnn ! Quel engin ! Tout à l'heure, il va encore me fourrer ça dans le cul ! Et avec celle du gros Thierry, qui plus est … Soudain, la démesure de ce qui m'attend m'apparaît … quand ces deux mecs vont vouloir introduire en même temps leurs deux énormes sexes dans mon cul … est-ce que … est-ce qu'ils vont y arriver ? Si ils forcent, est-ce qu'ils ne vont pas me faire mal ? Est-ce qu'ils pourraient me déchirer le cul ? Je cherche l'obèse des yeux… le voilà … juste au pied de la scène … il ne me regarde pas, il me tourne presque le dos, et discute en se marrant avec … je ne sais même pas son nom … ce type un peu pâle, un peu gras, un peu mou … 


Un coup de sifflet … c'est Sam … tout le monde se tourne vers lui, moi compris … il regarde Thierry et lui fait signe de la tête et de la main « viens par ici … » … le gros le rejoint, interrogatif … Sam, un sourire méchant sur le visage, lui parle à l'oreille … alors Thierry me fait face et, hilare, il soulève sa bedaine d'une main et me désigne du doigt sa … sa pine, comme il l'appelle … Oh la vache ! Il ne bande sans doute pas … il est dans une espèce d'entre-deux, pas vraiment au repos, mais pas raide non plus … et … putain … lui aussi, quel morceau ! Je réalise qu'Hamid a ralenti son va et vient, sans doute en entendant le coup de sifflet de Sam … et il doit contempler, lui aussi, le spectacle des deux plus grosses queues de la bande, côte à côte ! C'est sûr, en appelant Thierry à côté de lui, Sam a voulu que je voie ce qui m'attend … autour d'eux, les autres mecs sont fascinés par ces deux sexes hors normes … certains, bouche bée, les yeux ronds, hochent la tête d'un air incrédule … d'autres, sourire aux lèvres, se tournent vers moi pour voir ma réaction …


Oh, merde, j'ai peut-être été trop gourmand pour une première fois … pour commencer, j'aurais dû me contenter d'une double sodomie par des plus petites bites … et puis voir au fur et à mesure ce que ça donne, quitte à solliciter ces deux grosses queues ensuite … mais maintenant, c'est trop tard, c'est moi qui leur ai réclamé cette double sodo … et même si je leur dis que j'ai changé d'avis, ils vont quand même vouloir me fourrer à deux … une fois lancés, je ne pourrai plus les arrêter, ils seront trop excités, et je ne pourrai pas les empêcher, ils sont trop forts pour moi, ils vont me contraindre … me forcer … ils vont me … ils vont me violer !


… et à cette évocation, cette poussée d'adrénaline, ce frémissement qui parcourt mon bas ventre, mon rectum, ma prostate, cette chaleur qui m'envahit depuis les cuisses jusqu'à la poitrine … tout ça, ce n'est pas de la peur … c'est … c'est … Oh putain,  je réalise que j'ai envie de ça ! Pas seulement de me faire baiser par les deux en même temps … non, j'ai envie qu'ils me prennent en me contraignant, en me … en me tenant … en m'immobilisant … en me forçant … en me violentant … j'ai envie de me sentir coincé entre eux, impuissant, soumis à leurs désirs, soumis à leurs envies, soumis à leurs énormes bites … je ferme les yeux et, dans des flashs, je me vois sur le dos, couché sur le ventre du gros lard, et immobilisé à la fois par son gourdin, fiché au fond de mon cul, et par ses énormes bras enserrant les miens et mon torse … et Sam, au-dessus de nous, qui pousse en moi son monstrueux engin, comprimé contre celui de Thierry, et qui progresse, inexorablement, en dilatant, en distendant les muscles de mon anus … je sens mon rectum, déjà occupé par le membre du gros, se faire envahir et combler de force par cette autre énorme bête fouisseuse … je visualise le gland du gros, gonflé, tendu, terré tout au fond de mon ventre, et celui du tatoué qui se fraie un chemin en s'insinuant implacablement entre la verge du gros et ma muqueuse … 


Et peu à peu, je réalise que mes craintes, il y a un instant, sont vraiment ridicules … je me suis fourré dans le cul des trucs au moins aussi gros que ces deux sexes réunis … et bien plus durs, bien plus raides … bouteilles, bûches, courgettes … et je ne me suis pas déchiré. Allez, ça va le faire ! Leurs queues sont souples et aussi compressibles que ma rondelle est extensible. Alors je les veux, ces deux énormes choses, toutes les deux en même temps dans mon cul … et j'ai hâte, je voudrais qu'ils montent maintenant sur cette scène et qu'ils me prennent … Je ne sais même plus qui est en train de me chevaucher … c'est toujours Hamid, ou il m'a encore passé à quelqu'un d'autre ? Je rouvre les yeux et je jette un coup d'œil derrière moi … 


En effet, contre ma cuisse, ce n'est plus le mollet doré d'Hamid. Je me tords le cou pour lever les yeux sur le nouveau venu. C'est … c'est un de ceux que j'ai sucés à quatre pattes sous la table … Tout à ma rêverie de double sodomie, je ne me suis même pas rendu compte du changement de cavalier. Celui-ci va et vient doucement, les deux mains à plat sur mes reins, penché au-dessus de moi, concentré, la bouche entrouverte, il déguste le lent glissement de son sexe dans mon fourreau … Quand il s'aperçoit que je le regarde, il me sourit, semble réfléchir et demande:

- Ça te plaît ?

- Hhmmmm oui ! Mais je croyais que c'était encore Hamid …


Il sourit:

- Ah non, c'est moi ! Je me doutais que t'avais pas vu qu'on changeait … Ça te plaît quand même ?

- Hhhhhmmmm oui … c'est toi que j'ai sucé en premier sous la table …

- Ouais … et avant, je t'avais tringlé dans l'écurie …

- Ah oui ! C'est quoi, ton nom, déjà ?

- Franck …

- Ah oui. Et toi, ça te plaît ?

- Hhhmmm oui … 

- Tu vas encore jouir ?

- Je … je sais pas … pas tout de suite, en tout cas … là, comme ça, je pourrais tenir des heures …

- alors, vas-y, fais toi plaisir …


Je me redresse un peu et j'appuie mon menton sur mes avant-bras croisés sur le matelas. Ça ne dure pas des heures:

- Tu vas te finir ?


Cette voix vient de derrière moi … de derrière nous … Je décroise mes bras, je pose mon front sur le matelas et je regarde entre mes cuisses. Debout sur les rouleaux de paille en haut des marches, juste au bord du matelas, je vois des mollets, fins et galbés … je ne reconnais pas … au-dessus, des genoux et des cuisses, fines et musclées … encore au-dessus, cette belle bite, raide, tendue à l'horizontale … il me semble que je la reconnais … je crois que je l'ai sucée ce matin … je ne vois pas ce qu'il y a au-dessus, masqué par mon propre ventre et ma bite – tiens, je bande … - mais je vois qu'il y a deux autres types, derrière lui dans l'escalier …


Ce n'est sans doute pas à moi que ce nouveau venu a demandé si j'allais me finir … En effet, c'est Franck, après une hésitation, qui lui répond:

- Nan, pas maintenant …

- Bon, alors, tu nous le laisses ? On est encore pas mal à vouloir passer …

- OK …


« On est encore pas mal à vouloir passer … ». Y'a pas à dire, j'adore ça ! 

Franck, en se tenant à mes hanches, sort sa queue, lentement … et je le sens descendre du matelas. Ma position, tête en bas, commence à être un peu pénible, alors j'en profite pour me redresser complètement, toujours à genoux, et je me retourne. Derrière moi, celui qui s'écarte pour laisser Franck descendre de la scène, c'est bien le grand type brun, aux cheveux mi-longs que j'ai sucé ce matin, vautré dans les cacahuètes du bar … j'avais bien  reconnu sa belle queue … Il monte à côté de moi sur le matelas et pose une main sur mon épaule. Pendant que je rajuste mon porte-jarretelles, quelque peu bousculé par ces chevauchées, il lance à la cantonade:

- Bon, euh … y'en a d'autres qui veulent passer ? hein, avant que je… avant qu'il soit plein de …


J'ai son sexe en érection, encore encapuchonné, juste sous le nez. Ce type est monté sur scène avec la queue déjà raide d'envie ! Raide d'envie de me baiser … il bande pour mon cul ! Alors, je ne peux pas résister … je m'avance à genoux, je prends son membre dans la main, j'approche mes lèvres, et je pose des baisers tout le long de sa verge. Il me laisse faire, se marre, puis regarde autour de nous, attendant une réponse des spectateurs… Tout en titillant de la langue le dessous de son gland, je le masturbe. Il commence à se décalotter. Quelqu'un que je n'ai pas entendu, a dû lui demander quelque chose, parce qu'il précise:

- Ben ouais … parce que si tu veux pas tremper ta bite dans le sperme des autres, c'est maintenant … là, il est encore propre, vu que personne n'a encore joui dans son cul depuis qu'il s'est lavé …

- Toi, tu vas le … tu vas jouir dans son cul maintenant ?

- Ouais … alors, si ça te dégoûte de passer derrière moi … et derrière les autres, faut le dire … 

- Non, c'est bon pour moi … on a déjà fait comme ça ce matin …

- Ouais, mais y'en a peut-être qui l'ont pas fait et qu'ont pas envie de le faire … Non ? Personne ? On peut y aller ?


Il ne reçoit pour toute réponse qu'un brouhaha d'exclamations, de rires et de commentaires, dont il ressort apparemment que … oui, il peut y aller … J'ai même l'impression que, non seulement la perspective de tremper leurs bites dans un cul déjà gorgé de spermes ne les dérange pas, mais que contribuer à le remplir ajoute à leur excitation ! C'est très bizarre: ces mecs viennent de se mettre d'accord pour m'inséminer les uns après les autres, pour me remplir de leurs semences à la chaîne, sans même penser à me demander mon avis… il faut dire que, ce matin, c'est moi qui leur ai commandé de me faire ça … très bizarre, mais surtout très agréable et très excitant … ils me traitent comme un vulgaire morceau de barbaque chaude et mouillée dans laquelle ils vont venir tour à tour soulager leurs quéquettes en feu … et ça me plaît!  Je suis sûr qu'ils seraient moins enthousiastes à l'idée de faire ça avec une poupée gonflable ! Il est vrai que, contrairement à une poupée gonflable froide et inerte, moi je suis chaud, vivant, et je manifeste mon plaisir à me faire troncher …


J'enfonce son sexe dans ma bouche, et je le décalotte en serrant sa verge entre mes lèvres … Du coin de l'œil, je perçois des mouvements autour de nous: les types qui le suivaient dans l'escalier se regroupent sur la scène … ils ne sont pas deux, ils sont trois … Voilà, le moment est venu, et si j'ai bien compris, maintenant, il va me baiser vraiment … quand je dis "me baiser vraiment", je veux dire qu'il va me tringler jusqu'à ce qu'il jouisse en moi … Pour moi, c'est ça, me faire baiser … il faut que le mâle éjacule dans mon cul … ni coïtus interruptus, ni capote … Apparemment, c'est ce qu'il a l'intention de faire … et les autres aussi, à sa suite …  Le grand brun se laisse sucer un moment, puis il recule son bassin, extrait sa queue de ma bouche, passa sa main sous mon bras et m'incite à me lever:

- Viens … mets toi à quatre pattes … je te prends en levrette …


Je profite de me retrouver debout pour retendre et lisser mes bas qui vrillent sur mes cuisses et mes mollets. Sur la scène, avec nous, il y a un des autres types que j'ai sucés sous la table, celui qui a une grosse paire de couilles et qui m'avait fourré son orteil dans le cul … il y a aussi le petit brun timide que j'ai sucé sur le bidet dans la salle de bain de Jean-Claude, ainsi qu'un autre, assez jeune, les tempes rasées et une crête luisante de gel, et dont je ne me souviens même pas qu'il m'ait baisé ou que je l'aie sucé … mais si j'en crois les décomptes de Philippe pendant le repas, ils m'ont tous baisé ce matin, alors lui aussi, forcément … Le grand brun me pousse vers le milieu du matelas et vient se placer derrière moi … les trois autres s'installent sur le drap autour de moi … à genoux ou à demi allongé … Hhhmmmm, je sens que je vais devoir m'occuper de leurs queues pendant que l'autre me fourrera …


- Allez, vas-y … à genoux …


Je ne me le fais pas dire deux fois. Je m'agenouille, je pose les mains à plat devant moi, j'écarte les cuisses et je me cambre, prêt à me faire couvrir … c'est sans conteste la position que je préfère … et non seulement c'est la position dans laquelle j'aime me faire prendre, mais rien que de m'installer dans cette posture, ça remue quelque chose en moi… je ne saurais pas bien dire pourquoi … je sens qu'au-delà de son caractère érotique, sensuel, lascif, cette position a quelque chose de primitif, d'animal … j'ai lu je ne sais où qu'une partie du comportement de l'être humain serait encore dictée par son cerveau reptilien … et la fonction du cerveau reptilien, c'est d'assurer la satisfaction des besoins primaires, vitaux, et notamment la reproduction … alors, il doit y avoir de ça … ce qui me pousse, quasi instinctivement, à adopter cette position, c'est autant une nécessité relevant d'un instinct dénaturé de reproduction, que le plaisir sensuel, la volupté de m'apprêter à laisser un mec prendre du plaisir en moi… 


Et puis, il y a autre chose encore … cette posture, c'est bel et bien celle de la soumission. Chez les mammifères, c'est avant tout la position naturelle du coït de reproduction, et le fait, pour le mâle, de saisir dans sa gueule le cou de sa femelle, notamment chez les félins, a d'évidence une signification de domination/soumission. Et bien, pour moi, me mettre à quatre pattes devant un mâle, bien sûr, c'est solliciter un coït, mais c'est aussi m'offrir à lui et vouloir lui appartenir, c'est lui signifier que je me plie à sa volonté et à son désir, bref, que je me soumets à lui. Je n'ai pas encore goûté au plaisir de me faire mordre la nuque par un mâle en train de me grimper, mais à plusieurs reprises, des mâles m'ont empoigné la nuque au cours de nos ébats … simplement pour me contraindre à les sucer ou pour m'inciter à me mettre en position de levrette, mais aussi parfois ouvertement en signe de domination … et bien à chaque fois, ça a été pour moi une volupté particulière, faite de soumission, d'abandon, d'acceptation, et pas du tout d'humiliation … au contraire, et paradoxalement ça a éveillé en moi une espèce de fierté … fierté d'avoir suscité en eux un désir tel qu'ils aient éprouvé le besoin ou l'envie de marquer ainsi que je leur appartenais. Il m'est même arrivé de chercher cette marque de possession, en attirant la main du mâle sur ma tête pendant que je le suçais …


Bref, pour moi, la levrette à quatre pattes, c'est l'appel au mâle, c'est l'invitation au coït, à l'accouplement, à la fécondation … c'est la position du "viens me baiser" … et puis, il faut bien dire qu'il n'y a rien de tel que cette position pour donner envie à un mec … même moi, voir une femelle (une vraie femelle) ou un mec, à quatre pattes, reins cambrés et cuisses écartées, ça me donne envie de m'y accoupler …


Je ne suis pas sitôt installé que le type aux grosses couilles se précipite devant moi, lui aussi à genoux, la main serrée entre son pubis et ses boules, le ventre en avant, et il me présente sa bite à sucer … Je le laisse poireauter un peu comme ça, parce que ce qui se passe derrière moi me captive beaucoup plus que sa queue: les genoux du grand brun viennent de se poser entre les miens, et ses cuisses frôlent l'intérieur des miennes … je suis suspendu à l'instant précis où il va mettre ses mains sur moi et poser l'extrémité de sa queue contre ma fleur …


Ah oui, voilà ! Quelque chose de … tiède … commence à glisser dans … mais … c'est bizarre … ma rondelle … elle ne réagit pas comme d'habitude … elle est … plus sensible? Oui, c'est ça … d'habitude, quand quelque chose, objet, doigt ou sexe, vient toucher mon anus, je sens bien ce contact … je sens même si c'est chaud ou froid … je peux même sentir sa texture, lisse ou rugueuse … mais là, c'est autre chose … ça ressemble aux sensations de mes lèvres … c'est beaucoup plus net, beaucoup plus précis que d'habitude … et surtout, c'est beaucoup plus sensuel que d'habitude … ce sexe qui glisse dans la moiteur, dans la mouillure de mon anus, ce sont les mêmes sensations que quand je prends un gland gonflé entre mes lèvres humides … Oh putain, ce que c'est bon ! 


Et d'un coup, l'évidence s'impose à moi … Cette soudaine sensibilité, ça ne peut être que la conséquence de ces multiples et successives pénétrations, de ces innombrables frottements de sexes en érection, allant et venant dans mon sphincter anal … combien de fois des verges sont-elles entrées puis sorties de mon anus depuis ce matin ? Un type qui me sodomise, il va et vient combien de fois dans mon cul ? Evidemment, ça dépend de son excitation et de sa résistance … et certains, trop excités, ont joui presque en me touchant … mais les autres … ils m'ont limé combien … dix fois, en moyenne ? Non, sûrement plus … Vingt fois ? Trente fois ? Plus ? Pour certains, c'est sûr, ils m'ont ramoné plus de trente fois … Et une trentaine de types qui m'enculent, les uns après les autres, et certains à deux reprises, ça fait combien d'allers et retours ? Cinq cents ? Oh non, beaucoup plus … mille ou mille cinq cents ! Rrooohh la vache, j'ai sans doute pris entre mille et mille cinq cents coups de bites, depuis ce matin ! Pas étonnant que j'aie la rondelle en fleur ! Non, en fait, je n'ai pas la rondelle en fleur … la rondelle en fleur, c'est quand c'est irrité, enflammé ou douloureux … Là, ce n'est pas douloureux du tout … au contraire … 


Pendant que ces idées se bousculent dans ma tête, le grand brun continue de progresser dans mon rectum … je sens chaque millimètre de sa verge s'insinuer entre mes … entre mes lèvres anales … Concentré sur ce qui se passe de ce côté-là, je ne me suis même pas rendu compte que l'autre, devant moi, le type à la grosse paire de couilles, avait poursuivi son projet et m'avait plaqué son gland contre les dents, entre mes lèvres entrouvertes … alors, je bâille et je gobe sa queue … Tandis qu'il la fait glisser délicatement sur ma langue, je sens le ventre du grand brun venir buter contre mes fesses … Il va repartir dans l'autre sens, et je vais sentir à nouveau chaque millimètre de sa queue glisser dans mon anus … 


Non … il ne bouge pas … il reste plaqué là … mon anus est tellement … sensible, que je sens même sa touffe de poils, à la base de sa bite, contre mes … lèvres anales … et à l'autre bout, le nez écrasé contre le pubis de "grosses couilles", sa courte queue maintenant entièrement dans ma bouche, je sens aussi les poils de sa verge sur ma langue … La vache ! J'ai encore deux bites en érection au chaud dans mes orifices … un mec dans chaque trou … et je sais, je sens qu'ils sont tous les deux décidés à envoyer la purée … là, dans un instant ! Hhhhmmm, je vais me faire gorger de sperme par les deux bouts ! "Grosses couilles" pose une main sur l'arrière de mon crâne, me saisit fermement la nuque (hhmmmm oui, vas-y, j'aime ça …) et entreprend un léger mouvement longitudinal du bassin … il me baise la bouche … Le grand brun, derrière moi, reste collé à moi … mais penché sur moi, il passe ses mains sous mon ventre et me le caresse, me le pétrit … j'ai l'impression … oui, j'ai l'impression qu'il me le palpe comme s'il essayait de sentir sa queue à l'intérieur de mon ventre, à travers l'épaisseur de mon abdomen … et il commence à bouger à son tour, d'avant en arrière … lentement … Il y en a deux qui m'ont fait la même chose, ce matin sur la pelouse … 


Fourré par les deux bouts … je suis en train de me faire fourrer par les deux bouts … mes deux orifices sont occupés par des types qui y prennent du plaisir ! J'ai beau fermer les yeux, je ne parviens pas à fixer mon attention sur l'une ou l'autre des deux bites qui sont en train d'aller et venir en moi. Mon esprit zappe de l'une à l'autre, guettant les signes de la montée du plaisir de ces deux mecs … Celui de devant, c'est au durcissement de son gland et à la dilatation des veines de sa verge que je sentirai la volupté l'envahir … et c'est un soubresaut de son membre, suivi du brusque gonflement de son urètre sur ma langue qui m'annoncera le jaillissement de sa semence dans ma gorge … Celui de derrière, ça commencera sans doute par la crispation de ses mains sur ma taille ou sur mes hanches, et par le dérèglement du rythme de sa sodomie, avant qu'il se plaque contre moi ou qu'il accentue ses coups de boutoir en éjaculant … 


Je sens le matelas s'écraser sur ma droite … quelqu'un agrippe ma main et tente de la soulever … immédiatement, je me doute de ce qui va suivre … le type à la crête, agenouillé sur le matelas à côté de moi, doit vouloir que je le tripote, que je le masturbe … je garde les yeux fermés, parce que l'idée de donner du plaisir à une bite anonyme me plaît beaucoup … de la main gauche, je me cale bien sur le matelas, et je laisse ce type attirer ma main à lui … C'est ça: je sens mes doigts frôler ses genoux, puis sa cuisse, et il guide ma main jusqu'à son sexe … petit sexe, mais très raide et très dur … Waouhhhh ! Déjà deux bites qui vont et viennent en moi, et maintenant, une troisième dans la main ! Du bout des doigts, j'explore cette nouvelle queue, j'effleure son gland, décalotté … très gros par rapport au calibre de sa verge … sans doute en forme de champignon … au contact de mes doigts, j'entends ce type aspirer une grande goulée d'air entre ses dents serrées … j'effleure sa verge … je sens ses veines, saillantes, et son urètre … j'effleure ses boules … j'enfonce mes doigts dans sa touffe de poils … il tient toujours mon poignet … je serre mes doigts autour de sa verge et je commence à les faire aller et venir …


"Grosses couilles", devant moi, se met à grogner sourdement … ça y est, ça vient de ce côté là ! Dans ses boules, grosses comme des œufs de poule, ça doit commencer à bouillonner, des millions de petites graines doivent piaffer d'envie de se précipiter à l'assaut d'un ovule à féconder … allez, foncez, c'est mon estomac, que vous allez féconder ! Derrière, le grand brun va et vient imperturbablement … il a seulement ôté ses mains de mon ventre, et il me caresse maintenant les reins, les flancs et les fesses … J'entrouvre les yeux et j'essaie de regarder sur ma gauche. La tête coincée par la main de "grosses couilles" posée sur ma nuque et par sa queue dans ma bouche, je ne vois que du coin de l'œil le type allongé sur le matelas à côté de moi. C'est le petit brun timide que j'ai sucé sur le bidet de Jean-Claude … il est en train de se masturber en regardant les deux qui me fourragent … et il se masturbe, le gland toujours caché dans son prépuce … c'est vrai, je me souviens, ce mec a du mal à se décalotter … et il attend son tour … Par dessus lui, je ne peux voir, au pied de la scène, que quelques uns des spectateurs en train de contempler "grosse couilles" qui me baise la bouche … je ne peux pas voir Manoel et Gilles, assis plus en arrière … et je ne vois plus ni Sam … ni Thierry … ni Philippe … ils ont dû se déplacer avec les autres, plus nombreux, et doivent être derrière moi, à regarder celui qui est en train de me sauter … 


Ce qui me frappe, c'est que la joyeuse agitation qui régnait tout à l'heure s'est calmée. Quand certains d'entre eux ont commencé à monter sur cette scène pour me baiser, il régnait encore une atmosphère de bringue, de java rigolarde et bruyante … maintenant, je ne perçois plus que de rares échanges à voix basse, et pratiquement plus de rires … Sans doute captivés par le spectacle que nous leur donnons, ils doivent tous être excités, ils doivent tous bander, se tripoter, se branler, certains doivent imaginer comment ils vont me baiser à leur tour, ils doivent se demander quand ils vont pouvoir monter sur scène pour s'accoupler avec moi et soulager ce qui leur tenaille le bas ventre …


C'est "grosses couilles" qui cède le premier. Il s'est immobilisé, la queue à moitié sortie de ma bouche, il grogne en haletant … est-ce qu'il va jouir, ou est-ce qu'il attend seulement que son excitation retombe un peu ? Je réalise que de la salive s'échappe de mes lèvres et coule en abondance sur mon menton. Son gland reposant au milieu de ma langue, j'attends aussi, bouche entrouverte, tout en continuant de manipuler la queue du type à ma droite. Et soudain, la bite de "grosses couilles", prise d'un spasme violent, se soulève, se plaque contre mon palais, et je reçois un jet tout chaud directement au fond de la gorge . Je referme la bouche, enserrant sa bite dans ma tiédeur mouillée. Nouveau spasme et nouveau jet de sperme. Il me serre la nuque convulsivement. Les spasmes de sa bite se succèdent, de plus en plus rapprochés .. troisième … quatrième … il geint et son sperme s'accumule sur ma langue … cinquième spasme … sixième … j'avale et je sens sa crème, toute chaude, s'écouler dans mon œsophage … hhmmmm … septième spasme … huitième … ça ne va pas en finir … neuvième spasme … un peu du mélange de sa semence et de ma salive déborde et coule sur mon menton … dixième spasme … et … non … c'est tout … j'avale encore … j'ai l'impression de sentir sa crème arriver dans mon estomac … je l'entends haleter … il relâche sa pression sur ma nuque et glisse sa main sur ma joue, sous mon menton … ses doigts glissent dans son sperme étalé jusque dans mon cou … je l'entends se marrer et je sens sa queue s'agiter dans ma bouche au rythme de son rire …

- Ah, putaiiiin ! Qu'est-ce que je t'ai mis, hein ?


Il s'extrait et, content de lui, il soulève mon menton pour me regarder dans les yeux:

- t'en as plein le menton … t'en as avalé quand même ?


Je lâche la queue du mec de droite, je m'essuie le menton et je me lèche les doigts …

- Oui … mais à la fin, il y en avait trop … tu m'as mis la dose …

- Hé hé hé !


Très fier de lui, "grosses couilles" … Il insiste:

- Alors, ça t'a plu ?

- Oui …

- T'aimes ça, le sperme, hein ?

- Oui …

- T'es une salope, hein ?

- Oui …


Derrière moi, le grand brun a ralenti, comme pour ne pas perturber "grosses couilles" et le laisser finir de jouir tranquillement. Je reprends le sexe sur ma droite et je recommence à le masturber, un peu machinalement. "Grosses couilles", assis sur ses talons, recalotte son gland. Il débande un peu. Le petit brun sur ma gauche est en train de se lever, sans doute pour prendre sa place:

- Bon … tu me laisses la place, s'il te plaît ?


C'est bien ça. "Grosses couilles" amorce un mouvement, comme pour se lever. Je lâche la bite de droite, et je pose ma main sur la cuisse de "grosses couilles" et, en levant les yeux sur lui: 

- Attends … reste là … deux secondes …


Surpris, mains sur les cuisses, il reste en suspens et attend. Je lui fais signe:

- Approche un peu … ta bite … approche un peu ta bite …


Il hésite une seconde, puis tend son ventre vers moi. Je passe ma main sous sa grosse paire de couilles, je soulève tout son paquet … sa bite est à peine dégonflée, je me penche et je pose une série de baisers tout au long de sa verge:

- Mmff, merci … mmff, merci … mmff, merci … mmff, mmff, mmff …


Il rit, pose sa main sur ma tête:

- Ah, ben dis donc … t'aimes ça, toi, la bite, hein ?


Pour tout réponse, je prends son gland dans ma bouche … j'adore ça … cette queue qui vient de jouir, toute chaude, encore un peu gonflée, encore frémissante … je tourne ma langue tout autour trois ou quatre fois, je la sors de ma bouche, et tout en lui malaxant délicatement les bourses:

- Oui, j'aime ça, la bite … et toi, j'aime aussi beaucoup tes couilles … et ce que tu m'as envoyé dans la gorge …


Il ne s'attendait sans doute pas à ça. Il paraît d'abord un peu troublé … à la fois surpris, fier, et même … ému. Je l'entends déglutir, et:

- Bon … ben … quand t'en voudras encore, t'auras qu'à demander, j'suis à ta disposition …


Je plante mes yeux dans les siens:

- Non, c'est moi qui suis à ta disposition… quand tu veux tirer un coup, tu m'appelles et je te pompe …

- Ah bon … OK alors … tu me donneras ton téléphone …

- Oui, je vais vous le donner à tous … tu m'appelleras, hein, si t'as besoin de tirer un coup ?

- Ou … oui …


Je lâche ses couilles et je lui caresse la cuisse:

- Allez, laisse la place au suivant ….


Il se lève et s'écarte. Le petit brun, tout en s'agenouillant devant moi:

- Bon, euh … tu me suces un peu, mais après, je t'encule …

- Vas-y, installe-toi … dis donc, tu n'as plus peur, on dirait …

- N… non … tu vois …


Il s'approche en glissant un genou après l'autre sur le matelas. Sa bite est raide, dressée presque à la verticale, et il tend son ventre vers moi:

- Tu … tu peux me faire comme ce matin ?

- C'est-à-dire ?

- Ben … tu sais … pour sortir mon … mon bout, quoi …

- Pour te décalotter, tu veux dire …

- Oui …


Je me penche et je prends sa bistouquette entre mes lèvres. Il n'a plus peur, mais je le sens quand même tendu. Pour lui, le décalottage doit parfois être douloureux. Du bout de la langue, j'enduis comme je peux la partie de son gland qui dépasse de l'ouverture de son prépuce, et je commence à faire aller et venir mes lèvres sur sa verge. Il ne se décalotte toujours pas. Alors, comme ce matin, je presse son gland entre mes lèvres pour le vider autant que possible de son sang et lui permettre de sortir de son abri. Mais cette fois, il bande bien plus fort que ce matin, et j'ai un peu de mal à parvenir à mes fins. Enfin, d'un seul coup, je sens son bout jaillir littéralement de son prépuce et s'épanouir sur ma langue. Il sent maintenant que son gland, enfin tout nu, baigne directement dans la tiédeur humide de ma bouche, et je le sens se détendre. Il applique son abdomen contre mon crâne, se penche sur moi et m'enserre la tête de ses bras, comme il l'avait fait ce matin. Je joue à taquiner sa queue avec ma langue. Il me laisse faire quelques secondes, puis:

- Arrête, arrête ! Je … ça va aller trop vite …


Je continuerais bien, mais il a dit qu'il a envie de m'enculer. Alors je le garde au chaud sur ma langue sans bouger. Je continue de masturber le type de droite … de plus en plus raide. Le grand brun a repris son va et vient, et d'après ce que je sens dans mon anus, je me demande si lui aussi ne serait pas plus raide, ses veines plus saillantes. J'ai aussi l'impression qu'il y a quelque chose de changé dans son rythme … comme s'il maîtrisait moins la cadence qu'au début. Hhmmmm, celui-ci devrait jouir à son tour avant longtemps … ma petite séance avec la bite et les boules de "grosses couilles" l'aurait-elle un peu plus excité ?


Putain, quelle dose de foutre il crachée, ce "grosses couilles" ! J'ai la sensation d'en avoir encore dans le fond de la gorge et dans l'œsophage … Y'a pas à dire, les gros éjaculateurs, c'est vraiment le pied … J'ai un plaisir particulier à sentir un mec jouir dans mon cul, mais, à la limite, la quantité de jus qu'il m'injecte à ce moment là ne m'importe pas vraiment … ce qui compte, c'est qu'il se vide les couilles et qu'il me féconde le ventre … tandis que, quand je taille une pipe, mon plaisir est d'autant plus fort que le mec me procure beaucoup de sperme … Là, avec "grosses couilles", j'ai été servi, mais je n'en ai pas vraiment profité pleinement … en partie parce que la queue que je masturbais et celle qui me fourrageait le cul en même temps, m'ont empêché de me concentrer celle qui se répandait sur ma langue, mais surtout à cause de ma position … pas vraiment idéale pour déguster ce qui jaillissait du shaker de "grosses couilles" … Celui-ci, il faudra vraiment que je lui taille une pipe en tête à tête et au calme, de façon à pouvoir me régaler de sa crème au fur et à mesure qu'il la crachera …


Devant moi, le petit brun s'est redressé et a glissé ses doigts jusqu'à ma bouche … il palpe à la fois mes lèvres et sa verge, comme s'il voulait vérifier que sa bite est bien dans ma bouche … il bouge imperceptiblement son bassin pour s'enfoncer un peu plus en moi … En pressant son urètre avec ma langue, je plaque son gland contre mon palais … il aspire l'air à grandes goulées … il est au bord de l'orgasme:

- Arrête, arrête !


Je relâche ma pression. Il ressort un peu sa bite et:

- Hé, mec ! T'en as encore pour longtemps ?


Visiblement, cette fois, ce n'est pas à moi qu'il s'adresse. Ça ne peut être qu'au grand brun en train de me saillir. Mais celui-ci ne se donne pas la peine de répondre et continue imperturbablement à aller et venir dans mon cul … 

- Hein ? Dis … parce que, moi, ça presse … et je voudrais bien le baiser, moi aussi … Alors, t'en as encore pour longtemps ?


Derrière moi, je ne sens qu'un léger mouvement latéral, presque imperceptible, comme si le grand brun avait secoué la tête et que ce léger balancement, en se communiquant à son torse et à son bassin, s'était transmis à mes fesses et à mes reins.  Il y a deux ou trois secondes sans aucune autre réaction, sans aucune parole, puis ses mains se crispent sur mes hanches et:

- Aaaaaaaaaaaaaaahhh, laaaa vaaaaaaaache !


Et boum ! Il se recule légèrement et me fout un grand coup de bite.

- Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Aaaaah ! Aaaaah ! Aaaaa !


En effet, il n'en avait plus pour longtemps … il a joui en râlant, presque en criant . Collé à mes fesses, je le sens qui se presse contre moi, les doigts enfoncés dans le pli de mes aines, comme s'il voulait entrer tout entier en moi, il me soulève presque du matelas … puis, à la pression que son ventre exerce sur mes fesses et à son halètement bruyant, je le devine légèrement penché au-dessus de moi … Je l'entends déglutir deux ou trois fois, tout aussi bruyamment, puis:

- Waoooooh … puuuu … tain … la vache !


Tandis que la pression de ses mains sur mes hanches se fait moins brutale, je sens la bite du petit brun, devant moi, glisser précautionneusement hors de ma bouche. Il a compris que l'autre vient de prendre son pied:

- Bon, allez … à moi !


Il est déjà debout et je le vois se précipiter vers … mon cul. Mais le grand brun finit de reprendre son souffle, la queue bien calée au chaud au fond de mon cul …

- Allez … laisse-moi la place …

- Minute !


Il sort lentement sa queue de mon fourreau et se relève péniblement. Il a tout juste le temps de s'écarter, et l'autre est déjà à genoux entre mes mollets, une main sur mes reins … je sens son sexe entrer brusquement dans mon cul, son ventre venir buter contre mes fesses et, aussitôt:

- Aaaaah … meeeeerde !


Je ne sens que quelques brèves secousses dans mon étui … de toute évidence, il est en train de jouir . Lui aussi me tient par les hanches et il me donne des petits coups de bite, courts et rapides, en geignant, presque en couinant … Ça pressait trop, il était trop excité et le simple contact de son gland contre ma rondelle a déclenché son orgasme … Maintenant, il respire bruyamment par le nez, ralentit ses va et vient et, brusquement, il sort de mon cul et se relève en grommelant je ne sais quoi … 

015

J'ai continué de masturber machinalement le mec à la crête, sur ma droite. Je regarde derrière moi: le petit brun, qui se précipite dans l'escalier, y croise deux mecs qui montent sur la scène. Je reconnais l'un d'eux: ce matin, il me matait pendant je me faisais fourrer sur la pelouse par je ne sais plus qui, mais je ne me souviens pas l'avoir sucé ou l'avoir remarqué faisant la queue pour me prendre à la chaîne sur le bar. Pourtant, il m'a déjà sûrement baisé, soit là, sur le bar, soit dans l'écurie … Pas mal … assez costaud … pas costaud sportif … plutôt le genre travailleur de force … un peu de bide … une bite déjà raide… dans la moyenne, mais très poilue … comme son torse … L'autre, pareil, sa tête me dit bien quelque chose … je crois qu'il faisait partie des premiers à m'accueillir quand je suis arrivé à la ferme, mais ensuite … je crois qu'il était assis à table en face de moi, un peu sur ma gauche … mais aucun souvenir qu'il m'ait fourré … lui est plus mince, glâbre, assez pâle … bite un peu petite avec des poils clairsemés…


Je sens l'ensemble de la scène bouger quand ils arrivent sur les balles de paille … Le premier, le costaud, tombe directement à genoux derrière moi, entre mes pieds …

- Hé ! Tu permets ? C'est mon tour … Ça fait un moment que je suis là !


C'est le type à la crête, celui que je masturbe depuis un moment. Il vient de repousser ma main et se lève précipitamment. Le nouveau venu hésite, puis il se lève:

- Ah, excuse-moi … je pensais pas que tu attendais ton tour … vas-y …


"La crête" est déjà derrière moi, une main sur mes reins … un peu comme le font, le premier jour des soldes, les gens qui se précipitent à l'ouverture des magasins, et qui posent la main sur un téléviseur ou un lave-linge pour le réserver … Là, c'est « prem's ! C'est moi qui le baise ». Le nouveau venu s'efface devant lui et je sens "la crête" écraser la mousse du matelas entre mes pieds.

- Allonge-toi !


Il accompagne son injonction d'une pression sur mes reins. Je me laisse tomber à plat ventre, je pose ma joue sur mes avant bras croisés et j'attends. Je sens du sperme s'écouler de mon cul.

017

 

"La crête" tapote l'intérieur de mes cuisses, un peu au-dessus des genoux:

- Écarte …


J'écarte les cuisses et je me cambre. Ses genoux entre les miens … sa main gauche sur le matelas, à hauteur de mon aisselle … sa main droite qui guide son sexe jusqu'à mon étui … il me pénètre … sa main droite qui se pose à son tour contre mon aisselle droite … son membre qui s'enfonce en moi en même temps que son ventre se pose sur mes fesses … son torse sur mon dos … je sens sa peau glisser sur la mienne, et je réalise qu'avec cette chaleur de fin d'été nous sommes tous les deux un peu en sueur … son menton entre mes omoplates … il souffle entre ses dents … commence à aller et venir lentement …

- Putain, t'es plein …

- De sperme ?

- Ouais …


C'est vrai: non seulement je le sens patauger dans ce que les deux autres m'ont injecté, mais chacun de ses va et vient fait des bruits mouillés.

- Ça te gêne de mettre ta queue là-dedans ?

- Non.

- Tu vas m'en mettre aussi ?

- Du sperme ? Ouais.


Il rit.

- Tu m'as déjà baisé, aujourd'hui ?

- Ouais.

- Où ça ?

- Je t'ai enculé sur la table … tu sais, où y'avait les apéros …

- Ah oui …


Ma position préférée pour me faire prendre, c'est la levrette et à quatre pattes, mais ce mec qui pèse sur mon dos en me baisant, aplati sur ce lit, c'est aussi très agréable … pas aussi fort qu'avec le gros Thierry, ce matin, au milieu de la pelouse, mais j'aime bien quand même … en plus, nos transpirations mêlées font un peu lubrifiant, alors son torse glisse sur mon dos, et ça fait aussi des petits bruits mouillés quand il bouge, quand il se décolle de moi ou quand il se plaque sur moi … ces fluides, ces sécrétions organiques, leurs odeurs, les bruits qu'ils font, loin de me sembler crades, de me dégoûter, commencent à participer à mon plaisir quand je me fais tringler … j'aime aussi ça … 


Lui aussi, tout ça a l'air de lui faire de l'effet: ses mains vont et viennent en me caressant les flancs, depuis mes aisselles jusqu'à mes cuisses … il a posé sa joue sur mon omoplate et je sens son souffle sur ma nuque … A la façon lascive dont il ondule, je sens qu'il cherche à procurer à sa bite autant de jouissance qu'il peut de ses frottements dans mes chairs, et à tirer le maximum de plaisir de cette copulation. J'appuie mon front sur mes avant bras, et je me cambre autant que je peux pour faciliter son queutage et accroître son plaisir …


Il … mais oui, il ronronne … c'est de plus en plus net. Et … et là … dans mon cou … tout chaud et un peu humide … il a posé ses lèvres à l'angle de mon cou et de mon épaule, et il … il m'embrasse … ou plutôt, il me fait un suçon … ce n'est plus un simple coup de bite, là … et ça remue quelque chose en moi … c'est moins fort que quand Kevin a voulu me "faire un petit", mais une douce chaleur m'envahit, qui n'a rien à voir avec la température de l'air … je ne peux étouffer un gémissement de plaisir … Il ronronne de plus belle et je le sens au bord de l'éjaculation … 


En effet, il m'empoigne les deux avant bras, se redresse légèrement pour se caler au-dessus de moi, et se met à me bourrer de grands coups de queue, suivis de pauses de deux ou trois secondes au fond de mon cul … chaque coup est accompagné d'un gémissement … et soudain, il jouit  ! Il ne gémit plus, il râle, dents serrées, et je sens qu'à chaque pause, entre deux coups de boutoir, il éjacule … Oh oui, vas-y ! Vide tes couilles et remplis-moi aussi ! Chaque fois qu'il m'envoie sa queue au fond du cul, ça provoque un bruit de clapotis entre mes fesses et je sens quelque chose de tiède s'écouler sur mon périnée … Il avait raison, tout à l'heure, je suis plein … il est le troisième à m'inséminer à la suite et ses coups de piston doivent faire gicler de mon cul le mélange de leurs semences …


Enfin, dans un ultime coup de bite, il s'écroule sur moi en soufflant bruyamment dans mon cou … Il reprend peu à peu son souffle … puis:

- Ah, bordel !


Il rit et je sens son ventre se secouer sur mes reins:

- J't'ai bien baisé, hein …


Tant bien que mal, je passe ma main jusque derrière sa tête et je lui caresse la nuque …

- Oui … tu m'as bien baisé …

- T'es vraiment plein, maintenant … tu débordes, même …

- Oui, j'ai senti … ça coule …

- Bon, ben …


Il ne sait pas trop comment conclure. Je viens à son aide:

- Allez … laisse la place aux autres …

- Ouais …


D'un seul élan, il se décolle de moi dans un bruit de gargouillis visqueux, et il se relève.

018

 

Il a tout juste le temps de s'éloigner, je sens déjà le matelas s'aplatir entre mes genoux … je me redresse un peu et je m'appuie sur mes coudes … mais:

- Bouge pas … reste comme ça ….


à suivre ...

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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