Vendredi 22 avril 2016 5 22 /04 /Avr /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Et ben, ça y est ! J'y ai eu droit, à ma première double sodomie ! 


En principe, cette première, ça devait être Jérôme, vous savez, celui que j'avais surnommé "le comptable". Il devait me baiser avec Angelo, le type qui a une paire d'ailes tatouée sur le bas ventre … Au départ, ça se passait bien, Jérôme s'était allongé sur le dos et je m'étais empalé sur lui, mais, quand Angelo est venu me fourrer sa queue en plus de celle de son comparse, il était tellement excité qu'il a juste réussi à me rentrer son gland, et il a joui tout de suite … 


Je n'ai même pas eu le temps d'être frustré. Gilles, le grand type brun à longue bite recourbée, et Manoel, l'ours velu, étaient en haut de l'escalier qui conduit à la scène, et attendaient leur tour de venir me faire aussi une double sodo. Quand il a vu qu'Angelo abandonnait piteusement la partie, Gilles s'est empressé de venir prendre sa place …


Et là … là ! Oh putain !


Lui a réussi à me fourrer complètement sa queue en plus de celle de Jérôme. Deux bites dans mon cul … je vous dis pas la sensation ! D'autant plus que Gilles, après m'avoir roulé une pelle torride comme ce matin, a appelé son comparse Manoel à la rescousse pour que je le suce pendant que Jérôme et lui me baisaient. 


Trois mecs ! Trois mecs en même temps … deux dans mon cul et un dans ma bouche … Ça m'a rendu dingue, hystérique. J'étais tellement excité que j'ai bien  cru que j'allais jouir à mon tour …


Et puis, non. C'est Jérôme, sous moi, qui a cédé le premier: sa bite comprimée et malaxée par le va et vient de celle de Gilles, il a joui au fond de mon cul.


Et là, pour le libérer, Gilles vient de basculer sur le côté en m'entraînant, et il se retrouve à son tour sur le dos, moi à plat ventre sur lui, sa queue toujours plantée dans mon cul et baignant dans la semence que je ne sais plus combien d'autres mâles m'ont injectée depuis un moment.


Tandis que Jérôme descend de la scène. Gilles me saisit par le menton, écarte un peu mon visage du sien, et, ses yeux dans les miens:

- Alors, on continue ?


Pour toute réponse, je plaque ma bouche sur la sienne, ma langue cherchant sa langue, et j'oscille du bassin pour faire aller et venir sa queue en moi. Un bras autour de mon torse, une main plaquée sur ma nuque, il répond à mon baiser … longuement, fougueusement, fiévreusement. Il aime ça, me rouler des pelles, et contre toute attente, alors que je n'imaginais pas pouvoir prendre du plaisir à mêler ma langue à celle d'un autre mec, je dois dire que moi aussi, j'aime ça … du moins avec lui … Quand je décolle mes lèvres des siennes pour reprendre mon souffle, il me caresse le dos, les épaules et les reins. La joue appuyée sur son épaule, je descends mes deux mains sur mes fesses, je les empoigne, je les écarte et je lance:

- Manoel ? Allez, viens aussi !


Jérôme avait raison, il y a instant, en me lançant "Toi, t'es vraiment une bonne salope". Je me sens effectivement tellement traînée, salope, pute, chiennasse, à écarquiller mon trou du cul comme ça pour me prendre une nouvelle saillie, alors que j'ai déjà une bite en moi !  Pas besoin d'en dire plus à Manoel: immédiatement, je sens ses deux mains à l'intérieur de mes cuisses:

- Écarte un peu plus …


J'écarte un peu plus. Je le sens s'agenouiller entre mes jambes et celles de Gilles. Il s'appuie de la main gauche sur le matelas à hauteur de mon épaule, guide de son autre main sa queue entre mes fesses, et force son gland à se glisser entre la bite de Gilles et le bord de mon anus. Je relève mon visage au-dessus de celui de Gilles. Les yeux plissés, un petit sourire sur les lèvres, il observe mes réactions. Les yeux écarquillés, la bouche entrouverte, le souffle suspendu, les doigts crispés autour de ma fleur, je sens Manoel me pénétrer lentement en me distendant la rondelle. Du bout des doigts, je m'ouvre l'anus autant que je peux. Gilles me donne des petits coups de langue sous le menton. Une fois à l'intérieur, le membre de Manoel glisse tout seul dans le cocktail de semeces laissé par ceux qui l'ont précédé. Quand son ventre entre en contact avec mes mains:

- C'est bon, enlève tes mains …


Je lâche mes fesses et je ferme les yeux. Je me sens rempli, gorgé, plein … Il pousse sa queue toujours plus profondément en moi. Quand son pubis bute contre mon coccyx, il s'affale sur moi, m'écrasant de tout son poids, et il pose son menton au creux de mon épaule, son souffle sur ma joue:

- Alors, grosse salope… c'est ça que tu voulais ?


Il accompagne sa question d'un bon coup de reins. Hhmmmmm ! Oh oui, c'est ça que je voulais … Etre pris en sandwich entre deux mâles … vraiment pris en sandwich ! Parce que, si l'autre jour, en visitant la ferme de Jean-Claude, j'ai aimé me retrouver coincé entre Philippe, assis sur un rouleau de paille pour que je le suce, et Jean-Claude, qui frottait sa grosse queue entre mes fesses, si j'ai aimé avoir à la fois une bite dans la bouche et une autre dans le cul, à maintes reprises, notamment aujourd'hui, là, ça n'a rien à voir … là, il y a un mec sous moi et un mec sur moi qui m'écrase de tout son poids … je sens leur chaleur à tous les deux, je sens nos sueurs mêlées qui font glisser nos peaux l'une sur l'autre … et je sens leurs deux queues épanouies, dures, raides, chaudes, vivantes, qui me remplissent le cul … 


Si c'est ça que je voulais ? Je caresse la joue de Manoel et je n'arrive à émettre qu'une espèce de couinement en hochant la tête. "Oui, oui, oui, trois fois oui, c'est ça que je voulais !" Ce qui m'arrive est tellement … ces mecs sont en train de réaliser un fantasme si … si fort … si improbable … jamais je n'avais espéré pouvoir un jour me faire baiser par deux mecs en même temps … c'est pour ça que, depuis que j'ai commencé à avoir envie de me faire sauter par des mâles, j'en suis arrivé à jalouser les femmes … les vraies femmes … d'abord parce qu'étant femmes, il me semble qu'il leur est plus facile de trouver plusieurs mecs pour les baiser en même temps, et aussi parce qu'elles sont naturellement dotées de trois orifices susceptibles de recevoir simultanément des bites. Et, alors que mon statut de mec m'a toujours convenu, y compris depuis que j'ai commencé à assumer mes pulsions homo, je me surprends parfois à regretter de ne pas être né femelle. Mais, tout à l'heure, avec seulement deux orifices, j'ai eu, moi aussi, trois mâles en moi. Et là, tout de suite, je n'en ai que deux, mais je sais que ces deux-là, dans un instant, vont me faire le cadeau de déverser leurs semences dans mon ventre … et qu'après eux, deux autres … puis deux autres encore … Ooooh ces mecs ! Ces meeeecs !


C'est très bizarre, en plein milieu d'une partie de cul aussi débridée, dépravée, débauchée, obscène, immorale, impudique, dans une position aussi peu sentimentale, aussi peu romantique, ce que je ressens pour ces mecs, c'est … une espèce de gratitude, de reconnaissance pour ce qu'ils me font … mais pas seulement … je me sens brusquement submergé par autre chose … qui me serre un peu la gorge … qui me fait comme une boule au creux du ventre … Oh, je sais bien que, pour eux, il est seulement question de baiser une salope, de fourrer leurs queues dans une viande à bites et de s'y vider les couilles, sans chercher plus que ça à lui donner du plaisir … mais n'empêche, ces mecs, en plus d'aimer leurs queues … putain … je suis … je suis amoureux d'eux ! De ces deux-là, en train de me baiser, évidemment … mais des autres aussi … de ces vingt et quelques mecs qui m'ont tous fourré depuis ce matin … les beaux, les moches, les gros, les petits, les grosses bites et les petits zizis … tous ! Et d'un coup, je voudrais que cette tournante d'une journée devienne … devienne permanente … je voudrais qu'on vive tous ensemble, jour après jour … et que je sois … leur femelle … leur femelle à tous … leur femelle en permanence à la disposition de leurs envies … que tous les jours, ils me prennent, qu'ils me baisent dès qu'ils en ont besoin … un par un ou à plusieurs …


- On te fait mal ?


Gilles me sort de mes réflexions. Je secoue la tête de droite à gauche … Oh non, vous ne me faites pas mal ! Au contraire ...


- Tu pleures …


Ah bon ? Je ne m'en suis même pas rendu compte. Manoel ne peut pas voir mes larmes, mais en entendant la remarque de son comparse, il s'immobilise. Je souris à Gilles:

- C'est pas de douleur …


A sa mimique, je vois qu'il ne comprend pas. 

- Non. Si je pleure, c'est parce que … parce que … j'aime tellement ce que vous me faites. Baisez-moi encore ! Baisez-moi !


Manoel rit, s'appuie des deux mains sur le matelas, se soulève un peu, ne laissant que son ventre en contact avec mes fesses, et il commence à sortir sa queue lentement de moi. Je sens parfaitement sa bite coulisser dans mon sphincter, et j'ai l'impression de me vider. Il s'arrête juste avant que son gland ne sorte, il marque une pause, et repart en avant, tout aussi lentement. Son sexe est assez raide pour progresser sans difficulté. Oh putain, quel effet ! Son pubis contre mes fesses. Il repart en arrière, plus vite, cette fois. Il a pris ses marques, il sait jusqu'où il peut sortir sa bite … et il rentre plus vigoureusement. Aaah, c'est bon ! C'est booon !

- Ah oui, baise-moi, Manoel ! Baise-moi !


Je m'appuie des coudes sur le matelas, de part et d'autre de la tête de Gilles, et, à mon tour, je me décolle un peu de lui. Je me cambre pour recevoir la saillie de l'ours au plus profond de moi. La tête rejetée en arrière, les yeux fermés, la bouche grande ouverte, je déguste chaque coup de bite de Manoel. Sous moi, je sens que Gilles s'est mis à onduler du bassin, sans trop d'ampleur pour maintenir sa queue dans mon cul. La rondelle échauffée par les allers et retours du membre de Manoel, je le sens de plus en plus nettement. Mentalement, j'imagine ces deux sexes, gonflés, rigides, collés-serrés dans mon rectum, le gland de Manoel – le si beau gland de Manoel – glissant dans mes muqueuses imprégnées de semences. Je gémis. Sur ma nuque, la main de Gilles. Son souffle sur mon visage. Sa bouche contre la mienne. Sa langue entre mes lèvres, qui cherche la mienne … qui la trouve. Restant appuyé d'un coude sur le matelas, je passe mon autre main derrière sa tête et nous nous roulons de nouveau une pelle ardente, sauvage … si sauvage que nos dents se heurtent, que nos salives mêlées jaillissent … Soufflant entre ses dents serrées, Manoel me ramone de plus en plus vigoureusement …


Et brusquement, c'est comme une de ces crampes soudaines qui vous raidissent un mollet ou une cuisse … sauf que ce n'est pas à un mollet ou à une cuisse que ça m'arrive, mais … à mon anus … sauf que ce n'est pas douloureux … juste une contraction … puissante ... Je connais déjà quelque chose de ce genre, quand je me ramone avec mon énorme godemiché. Après m'être progressivement dilaté le fourreau, après m'être introduit ce gros jouet, après que mes muscles se soient bien détendus, au bout d'un moment, ils finissent pas se contracter tout seuls et se resserrer spontanément autour de mon jouet. Là, c'est le même phénomène, mais plus soudain et beaucoup plus puissant. Mon anus se contracte autour de ces deux sexes et les serrent. Pour eux, ce n'est sans doute pas une pression bien forte, mais ils le sentent: Manoel marque comme une hésitation, comme si, pas bien sûr de ce qu'il vient de ressentir, il en cherchait confirmation, et la langue de Gilles se calme dans ma bouche. 


Et mon anus se détend … juste deux ou trois secondes … et se contracte de nouveau … Gilles détache sa bouche de la mienne:

- C'est toi qui fais ça ?


Incapable d'articuler quoi que ce soit, je secoue la tête … " Non … c'est mon cul … tout seul …"


Nouveau relâchement … deux secondes … contraction … deux secondes … relâchement … deux secondes … contraction … 

- Oh putain, tu jouis du cul …


Je couine, je halète sous l'effet de cette espèce d'orgasme anal qui n'en est pas vraiment un. Attisé par l'idée qu'ils me font jouir du cul, Gilles attire mon visage si brutalement vers le sien que ses dents heurtent ma lèvre. A la fièvre avec laquelle il me roule ce nouveau palot, je le sens surexcité. Il agite son bassin de plus en plus fort. Manoel, lui aussi, paraît encore plus fougueux. Je sens soudain sa bouche, chaude et mouillée, se poser à l'angle de mon cou et de mon épaule … comme l'autre, tout à l'heure, le jeune type à la crête, qui m'a fait un suçon en ronronnant ! La bouche de Manoel reste collée quelques secondes à ma peau tandis qu'il respire bruyamment par le nez. Et brusquement, il bâille davantage et me saisit avec les dents, tel un félin qui plante ses crocs dans le cou de la femelle qu'il est en train de saillir. Il respire par la bouche en grognant, aspire l'air bruyamment entre ses dents serrées sur ma peau, il souffle en répandant des bulles de salive sur mon épaule. Et brutalement, il m'administre un violent coup de boutoir et reste plaqué à moi, immobile. Il jouit, le souffle haché par chaque éjaculation  ! La bête fauve féconde sa femelle !


Gilles a dû sentir les soubresauts de la bite de son comparse ou le jaillissement de son sperme, brûlant, contre son propre gland, et ça déclenche son orgasme. Sous moi, je sens les contractions de ses abdominaux et les secousses erratiques de son bassin … il détache sa bouche de la mienne, renverse sa tête en arrière en haletant et éjacule à son tour . Je ne bouge pas un cil de peur de troubler leurs jouissances, et je visualise mentalement leurs deux glands, serrés l'un contre l'autre, et leurs méats béants qui déversent et mêlent dans mes chairs les flots de leurs  semences ... Je m'attends à sentir la coulée tiède de leurs spermes se répandre sur mon périnée … Mais non, et je réalise que, faute de place entre leurs verges et la paroi de mon rectum pour s'écouler hors de mon cul, leurs liqueurs séminales doivent être en train de remonter dans mes entrailles, imprégnant mes muqueuses à la recherche effrénée d'un ovule à féconder. 


Je sens une tache mouillée s'étaler entre mon ventre et celui de Gilles. Pourtant, je ne pense pas avoir éjaculé. Mais la pression de leurs bites sur ma prostate et ma propre excitation m'ont sans doute faire crachouiller un peu de sperme. 


Ils ont joui presque simultanément, et ils reviennent à eux en même temps … et de la même manière… en se marrant ! Manoel desserre l'étreinte de sa mâchoire et, le front posé sur l'arrière de mon crâne, le nez contre ma nuque, il rit nerveusement:

- Ah, ah, ah, ah, aaaah … nom de dieu ! 


Gilles, l'avant bras replié et posé sur son front:

- Hé, hé, hé, hé, hé … la vache !


Et les deux, exactement en même temps:

- Quel cul !

- Quel cul !


Et ils rient de plus belle. Leur rire, en contactant leurs ventres commence à faire sortir leurs bites de mon cul. Je sens Manoel se redresser un peu et, du coin de l'œil, je vois qu'il tend la main vers celle de Gilles, et ils font un "check" à la manière dont se saluent ou se congratulent les jeunes. Ils sont contents d'eux-mêmes, les deux mâles ! Il y a de quoi … alors:

- Merci, les mecs !

- Ça … ça t'a plu ?


Je lui caresse la joue en hochant vigoureusement la tête.

- T'as joui ?

- Non … mais c'était au bord …

 

Je sens Manoel se relever lentement en laissant sa bite s'extraire doucement de mon cul dans un petit bruit mouillé. Gilles me tapote délicatement l'épaule:

- Bon, excuse-moi. Vous êtes lourds, tous les deux …


J'approche mon visage du sien et je pointe ma langue … il y colle la sienne quelques secondes, et, tant bien que mal, je me redresse, laissant son membre s'échapper de mon cul en même temps qu'un flot visqueux. Je me retrouve accroupi au-dessus de lui, les genoux sur le matelas de part et d'autre de son abdomen, les fesses effleurant son ventre, et je glisse une main derrière moi, à la recherche de sa bite. Il croise ses mains sous sa nuque, redresse la tête, et me regarde. Manoel, debout à côté de moi, me regarde aussi, un sourire aux lèvres. A tâtons, je trouve la queue de Gilles. Ramollie, mais encore un peu gonflée, elle est couverte d'une liqueur gluante. Je le masturbe une ou deux fois, et il sourit. Je glisse ma main entre ses cuisses. Ses couilles doivent être vides, mais elles semblent encore pesantes, et pendent lourdement dans ses bourses, elles aussi couvertes d'une crème collante. 


Les couilles des mâles ! Il faudrait que ce soit inépuisable, il faudrait que ça produise du sperme en continu et en grande quantité. Là, tout de suite après qu'il m'ait fécondé le ventre, je voudrais pouvoir lui tailler une pipe, qu'il me gicle dans la gorge pour que je puisse me repaître de son sperme … Je me relève, je m'agenouille entre ses cuisses. En haut de l'escalier, je découvre Philippe et le petit blond qui attendent leur tour, la queue raide. Et derrière eux, Sam … le tatoué, assis sur une marche … et le gros Thierry, debout à côté de lui. Tous les quatre sont prêts à monter me bourrer. Me bourrer … c'est vraiment le terme, tellement deux queues à la fois, ça me remplit, ça me bourre … Oh la vache ! Je vais encore me prendre deux bites … et encore deux autres après … Tout en prenant le sexe de Gilles dans une main, je tends l'autre vers le ventre de Manoel et je saisis sa queue qui baisse la tête entre ses cuisses. Il s'approche de moi, pose sa main derrière ma tête et l'attire vers son bas-ventre:

- C'est ça que tu veux ?


Les yeux levés vers lui, je passe mes lèvres sur son gland, puis j'ouvre la bouche et je glisse sa queue entre mes lèvres … Elle a un goût de … de sperme, simplement … Oh, putain, savoir que ce liquide douceâtre et visqueux qui s'étale sur ma langue, c'est … non seulement la jouissance de ces mecs … mais c'est surtout leur liqueur séminale … c'est avec ça qu'ils engrossent leurs femelles, avec ça qu'ils font des petits … et là, c'est dans mon ventre qu'ils ont déversé ça … pas dans celui de leur femelle, non, dans le mien … et c'est ça que je suis en train de sucer, de téter sur cette bite tout juste sortie de mon cul … hhhmmmm, ces mecs me rendent dingue avec leurs bites ! Tandis que je le suce de plus en pus fiévreusement, il se penche sur moi, essuie la salive qu'il a laissée sur mon épaule:

- Ah, tiens, t'avais déjà un suçon ... Dis donc, je t'ai fait une belle marque, avec mes dents … Excuse-moi, hein, je voulais pas te faire mal …


Je sors sa bite de ma bouche:

- T'excuses pas … j'ai aimé ça …

- Ah bon … bon, allez, je vais me laver … Hé, dis donc, y'a la queue dans l'escalier … ou plutôt, y'a LES queues ! Ouaouhhh, je crois que tu vas encore prendre cher …


Il s'éloigne. Je me penche sur le ventre de Gilles, qui attend toujours. En passant devant Philippe et son comparse, j'entends Manoel qui leur lance:

- Elle est à vous, les mecs … 


« ELLE est à vous … » Oh, Manoel, si tu savais comme tu me fais plaisir avec ce ELLE ! Pour toi, ce ELLE, c'est peut-être pour dire « cette salope », mais je préfère penser que c'est parce que, à ce moment, il me considère vraiment comme une femelle. Tandis que je passe ma langue sur la verge de Gilles, et que je soulève ses couilles pour les lécher consciencieusement, j'entends Manoel qui poursuit à l'adresse de ceux qui vont lui succéder:

- Vous avez déjà fait ça ?

- Quoi ?

- Un double sodo …

- Ben … non.

- Non.

- Vous allez voir … à deux là-dedans … sa chatte … putain, c'est … une vraie pompe à bites …


La toilette du sexe de Gilles terminée, je me redresse et je m'assois. Gilles me regarde et pose ses doigts sur ma lèvre tuméfiée par son coup de dents de tout à l'heure:

- Je t'ai fait mal ?

- Ça va …


A son tour, il se lève et descend du matelas. Philippe et le blondinet se regardent, comme pour s'encourager mutuellement, se décident, montent sur les balles de fourrage qui cernent le matelas et restent plantés là, gauchement, ne sachant pas trop comment s'y prendre. Je m'agenouille et, tendant les mains vers eux, je les invite:

- Allez …venez …


Ils approchent, côte à côte, le petit blond plus résolument que Philippe. Sa belle grosse bite, gonflée et décalottée, tient toute seule à l'horizontale. Celle de Philippe, tout aussi raide, le gland couvert de son prépuce, baisse le nez vers le bas. J'en prends une dans chaque main:

- Alors ? Comment vous voulez faire ?


Le petit blond:

- Ben … comme eux … avec Philippe dessous … et moi … moi dessus …

- OK. Et tu veux encore mettre une capote ?

- Non non … c'est bon …

- Tu veux que j'aille me laver ?

- Non, j'te dis, c'est bon …


Je laisse leurs queues et je m'écarte pour laisser Philippe s'installer. Il s'étend sur le dos, le torse légèrement relevé, appuyé sur les coudes et il attend. Je tombe à quatre pattes entre ses jambes et je m'avance vers son ventre. L'autre me suit, et, une main entre mes fesses, il entreprend de m'explorer le cul. Je pose ma langue à la base de la verge de Philippe et je commence à la remonter vers son gland. Je le prends dans la bouche et je le décalotte en serrant les lèvres. Il s'épanouit sur ma langue. Hhhmmmm, je suce encore une bite ! J'en aurai sucé combien aujourd'hui ? Je les ai toutes sucées? Je sais plus … Derrière moi, le petit blond qui me fouille le cul avec deux ou trois doigts, patauge dans le foutre. Lui qui a tenu à mettre une capote quand il m'a baisé la première fois … c'est comme Hamid, maintenant, plus d'inhibition, plus de retenue … Je le sens qui avance à genoux, entre mes mollets. Il va m'enculer. Tout en continuant de pomper Philippe, j'écarte un peu plus les genoux et je relève le cul: vas-y, encule-moi ! En effet, ses mains sur mes hanches, le petit blond m'enfile directement et d'un seul coup sa grosses bite dans le cul. Oh putain … l'engin ! Le ventre plaqué contre mes fesses, il se met à me caresser les reins et le dos:

- T'aimes ça, hein, t'en prendre plein ton cul …


C'est une constatation, et ça n'appelle pas de réponse. De toute façon j'ai la bouche pleine. Il poursuit:

- T'es … t'es vraiment … une …


Il cherche ses mots, une expression assez forte pour exprimer ce que je lui inspire:

- T'es vraiment la plus grosse salope que j'aie jamais vue … Putain, te faire fourrer … comme ça … par … par une vingtaine de mecs …

- Une trentaine !


C'est la voix de Philippe. Le petit blond:

- Hein ?

- On est pas une vingtaine, à le fourrer … on est une trentaine … enfin, je crois … peut-être un peu moins, mais plus d'une vingtaine, en tout cas …


En apportant cette précision à son compère, il a posé une main sur ma nuque et, dans son intonation, ainsi que dans la manière dont il me caresse l'arrière du crâne, je perçois comme une admiration teintée d'incrédulité et de je ne sais quoi d'autre. Il n'en revient pas: 

- Quand je pense  que, l'autre jour, au bord du canal, j'ai failli ne même pas t'adresser la parole …


Il se remémore notre rencontre, il y a deux semaines. C'est tout à fait ça, il n'en revient pas d'avoir dégotté un mec à ce point accro à la bite, à ce point "fille facile" … il n'en revient pas non plus que les choses soient allés aussi vite … et aussi loin … Il y a quinze jours, on ne se connaissait même pas, et aujourd'hui, c'est lui qui m'a livré, totalement et sans limite, à une trentaine de types en rut ! Oui, il y a aussi de ça: je le sens content de lui-même … et fier, aussi. Je sors sa queue de ma bouche et, tout en continuant de le masturber délicatement:

- Ça aurait été dommage, hein …

- Quoi …

- Que tu ne m'adresses pas la parole, l'autre jour au bord du canal …

- Comme tu dis … Si je t'avais pas parlé, tu me l'aurais adressée, la parole ?

- Non …

- Alors j'ai bien  fait …

- Oui … merci …

- Tu voudras recommencer ?

- Quoi …

- Une tournante comme ça …

- Oui.

- Avec autant de mecs ?

- Oui …

- Et avec plus de mecs ?

- Oui, si tu veux …

- Bon, je vais voir, alors …


Je le reprends entre mes lèvres. Oui, mec, vois ce que tu peux faire … Maintenant que tu sais comment on organise une séance comme celle-ci, je compte sur toi. L'autre a commencé à aller et venir doucement dans mon cul. Tout en allant et venant des lèvres et de la langue sur le pieu de Philippe, je jette un coup d'œil à droite et à gauche. Je crois que tout le monde est là, au pied de la scène, et nous regarde. Certains sont accoudés sur les rouleaux de foin, au plus près du spectacle. Un peu en retrait, Manoel, avec force gestes et coups de menton dans ma directon, est en train d'expliquer je ne sais quoi à trois autres types. Ils me regardent et se marrent. Il doit leur faire un compte-rendu. Au moment où je me concentre à nouveau sur la queue de Philippe, il me repousse délicatement:

- Bon … faudrait peut-être … je … autrement, je sais pas si je tiendrai …


Je sors son sexe de ma bouche et je me tourne vers le petit blond:

- On y va ?

- On y va.

- Je sais même pas comment tu t'appelles …

- Ah bon ? Je croyais te l'avoir dit … c'est Gérard.

- Je ne crois pas que tu me l'aies dit … Alors, salut, Gérard …


Il sourit en secouant la tête d'un air de "il est pas vrai ce mec", il extrait sa queue de mon cul et se recule un peu. J'enfourche Philippe, je m'allonge sur lui, ventre contre ventre, et je glisse lentement mon cul en direction de son membre. Je le sens qui vient se loger entre mes fesses … qui se pose sur ma rondelle … je recule encore pour le gober, mais il ripe et glisse vers mes reins … j'ondule du bassin pour le remettre en position, je tends la main, je le saisis et, en le maintenant, je commence à l'introduire en moi … Ça fait déjà beaucoup d'effet à Philippe: la tête légèrement rejetée en arrière, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, le souffle suspendu, il attend que je m'empale sur son pieu. Alors, d'un lascif coup de reins, je finis de l'enfourner tout au fond de moi. Appuyé sur les coudes, je bouge doucement mon bassin. Je le regarde: les yeux fermés, il déglutit bruyamment et je le sens se concentrer pour ne pas se laisser submerger par le plaisir. Il me tapote les reins:

- Attends … bouge plus … bouge plus …


Les cuisses du petit blond contre les miennes. Philippe:

- Attends, Gérard … laisse-moi … laisse-moi un peu, sinon, je … 


L'autre a compris. Toujours à genoux, il s'immobilise et attend, se contentant de me palper délicatement les fesses:

- Ils ont raison, les deux qui viennent de te baiser … t'as un cul … nom de dieu ! Ça donne vraiment envie d'aller dedans … c'est un vrai garage à bites !


Je me penche vers le visage de Philippe et je pose mes lèvres sur son menton. Il ne réagit pas, se laisse faire … ou plutôt, c'est comme si, entièrement occupé à retarder son orgasme, il ne se rendait pas compte de ce que je lui fais. Je continue et je pose de petits baisers sur ses joues, sur les ailes de son nez, m'approchant peu à peu de ses lèvres entrouvertes … je m'enhardis et je prends sa lèvre supérieure entre les miennes … toujours pas de réaction … je glisse ma langue contre ses dents … et là:

- Arrête ! Qu'est-ce que tu fais ?

- Je veux te rouler une pelle … je veux ta langue dans ma bouche …

- Non ! Arrête !


Ça y est, il s'est repris. Il soulève la tête, regarde son comparse par-dessus mon épaule, et:

- C'est bon, Gérard, tu peux y aller …


Gérard plaque sa main sur le matelas à hauteur de mon épaule. Je sens sa grosse bite qui se pose et glisse dans ma raie. De l'autre main, qui cramponne et guide son gourdin, il le presse contre ma rondelle et la bite de Philippe. Philippe qui ouvre une bouche et des yeux tout ronds. En se comprimant, le gland de Gérard progresse peu à peu dans mon sphincter et, d'un seul coup, je le sens s'épanouir dans mon rectum. C'est l'extrémité de sa verge, juste sous le gland, qui est maintenant dans mon anus et qui me force à m'ouvrir. Il pousse et la partie de plus en plus grosse de sa verge commence à progresser. Oh la la, quelle bite ! De nouveau, je me sens rempli, le rectum complètement occupé … Je laisse échapper un gémissement aigu. Le blondinet s'arrête:

- Je te fait mal ?

- Oh non ! Au contraire … tu me fais du bien … ta grosse bite … vos deux bites … continue … baisez-moi !


D'un violent coup de reins, il finit de me pénétrer. Ouaaah, la vache ! Et il repart aussitôt dans l'autre sens, sans précaution. J'ai l'impression que sa queue, en sortant, fait aspiration. Il ne ressort qu'à moitié, revient en force et entame un va et vient vigoureux. Bien plus petit que moi, il appuie son front entre mes omoplates et peu à peu, il se met à gémir. Comme par réflexe, surexcité, j'entrouvre la bouche et je cherche celle de Philippe. Surpris, il détourne le visage … je le poursuis en gémissant aussi, essayant de fourrer ma langue entre ses lèvres. Il résiste quelques secondes, puis, vaincu, il se laisse faire, me prend le cou fébrilement, et nous nous roulons une longue galoche enflammée. Sa langue explore ma bouche, s'enroule autour de ma langue, comme une espèce de petite bestiole chaude et mouillée, à la fois ferme et souple, vivante … 


Oh, putain ! J'ai encore deux bites en moi ! Je suis encore en train de me faire baiser par deux mecs en même temps … deux mâles accouplés avec moi comme … comme avec une vraie femelle … une vraie femelle très salope … je les excite, je les fais bander, ils ont envie de moi et ils prennent du plaisir à me fourrer, à me baiser … leurs deux bites directement dans mon cul, sans capote … chair contre chair, viande dans viande … et eux aussi vont m'inséminer, imprégner mes muqueuses de leurs semences …


Et ça recommence, comme tout à l'heure, avec Gilles et Manoel … un spasme de mon anus … je le ressens encore plus fort parce que les deux bites que j'ai dans le cul sont encore plus grosses … surtout celle de Gérard ! Cette fois, la contraction de mes muscles dure plus longtemps … quatre, peut-être cinq secondes. Ils l'ont senti, tous les deux: Philippe détache sa bouche de la mienne et me regarde, étonné; Gérard a ralenti son va et vient, comme en attente … Mon cul se détend … Gérard redémarre … quatre ou cinq secondes … nouvelle contraction … encore plus forte … et je réalise que la sensation n'est pas la même sur tout le pourtour de ma rondelle: je sens beaucoup mieux mon sphincter presser la bite de Gérard … pas tellement parce qu'elle est plus grosse que celle de Philippe, mais surtout parce qu'elle est plus raide, plus dure et qu'elle offre plus de résistance … celle de Philippe semble se comprimer davantage …


Gérard:

- Hhmmmm, c'est bon, ça, dis donc … continue …

- Je … je le fais pas exprès … c'est mon cul … il le fait tout seul

- Ah ouais ?


Philippe prend ma tête à deux mains, plante ses yeux dans les miens, interrogatif, attendant une explication.

- Ça me l'a déjà fait, tout à l'heure, avec les deux autres …


Gérard, qui a ralenti son ramonage:

- Tu jouis du cul, quoi …

- C'est un peu ça … c'est pas vraiment un orgasme, c'est … je sais pas …

- Ça te fait mal ?

- Non.

- Et t'aimes ça ?

- Oui … beaucoup …

- Décidément, t'aimes la bite, toi, hein ?

- Oh ouiiii … baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-moi !


Simultanément, le petit blond se remet à me bourrer tandis que Philippe me prend par la nuque et plaque sa bouche contre la mienne en agitant convulsivement son bassin. Les contractions de mon anus s'accentuent et se rapprochent, alimentant notre excitation commune. Au bout d'un moment, je me rends compte que Gérard s'est progressivement synchronisé aux spasmes de mon sphincter: dès que mes muscles se relâchent, il fait un rapide aller et retour, et se replante au fond de mon cul en attendant la contraction suivante … il semble apprécier de se faire pétrir la bite par mon fourreau en folie …


Malgré la bouche de Philippe plaquée contre la mienne, malgré nos langues qui s'emmêlent furieusement, je ne peux retenir des gémissements de plaisir … Soudain, manquant d'air je m'arrache au baiser de Philippe, je me redresse autant que je peux sous le poids de Gérard et:

- AaaaAAAaaaaAAAAAAhhh ouiiiiii les mecs ! Ah oui ! Ah oui ! Ah oui !

Ah ouiiiiiiiiii ! 


Philippe, tête en arrière, yeux fermés, me caresse fiévreusement les épaules et les flancs et j'entends Gérard respirer bruyamment par le nez.


- Ah oui, les mecs ! Baisez-moi, les mecs ! Baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-moi ! Baisez-mooooiiiii ! 


A côté de nous, des rires éclatent … et des applaudissements. Je tourne la tête vers la gauche, d'où viennent ces manifestations bruyantes. Evidemment, il y a du monde au niveau de nos pieds … ils contemplent cet accouplement hors norme, ce double coït, ces deux bites qui me fourragent le cul … mais il sont aussi une bonne demi-douzaine au niveau de nos têtes, qui me dévisagent, ébahis par mon hystérie … Regardez, les mecs ! Ça me plaît de me faire fourrer en sandwich comme ça sous vos yeux et de me laisser aller sans retenue, sans pudeur … Oui, je suis une paillasse ! Oui je suis une traînée ! Oui, je suis une folle du cul ! Oui, je suis une viande à bites … Je geins, je gémis, je couine en agitant convulsivement mon bassin …


Soudain, une masse devant moi … Sam, la brute tatouée vient de tomber à genoux à côté de moi … à côté de nous … tout près de nos têtes … et devant mes yeux, son énorme bite en érection et sa grosse paire de couilles… j'ai tout juste le temps de voir ses veines saillantes sous les écailles de serpent tatouées sur sa verge, et son énorme gland, rouge, tendu, luisant, avec un peu de fluide translucide qui perle au bout de son méat … sa grosse queue qui s'approche de mon visage, et ses grosses pognes qui saisissent ma tête pour la maintenir … et Sam me colle sa bite contre la bouche. Oh oui, je veux te sucer pendant que les autres me fourrent ! J'empoigne sa verge et je bâille … son gland est brûlant sur ma langue … je presse son urètre avec les doigts, et je sens quelques gouttes de fluide visqueux s'étaler sur mes papilles … J'ai encore trois bites dans moi ! Je veux les faire gicler toutes les trois … je vais leur faire cracher leur sperme ! Dans un coin de ma tête, une petite voix me souffle "ne fais pas jouir Sam en le suçant … il faut encore qu'il te baise ! " mais je ne l'écoute pas, j'ai trop envie de me faire inséminer, féconder par ces trois mâles en même temps … maintenant ! Je  gémis de plus belle … Je sens qu'après une seconde de surprise,  Philippe et Gérard ne sont pas perturbés le moins du monde par l'intrusion de Sam … au contraire … Ils ont son énorme queue juste sous les yeux, à quelques centimètres, ils peuvent en contempler le moindre détail, et tout en continuant de me troncher, ils regardent l'autre se faire sucer… et je sens que ça ajoute à leur excitation. 


Ça achève Philippe. Il se met à haleter … il bouge son bassin … sort un peu sa queue de mon cul … et la rentre d'un seul coup, à fond ! Et il jouit . Je sens sa queue qui s'agite en moi. In crache son sperme, il m'insémine ! Je couine en redoublant d'ardeur sur la bite de Sam … allez, toi aussi, répands-toi, inonde-moi la gorge ! Mon esprit se met à divaguer, se fixe l'espace de quelques secondes sur ce sexe en train d'éjaculer au fond de mon cul … puis je passe à la grosse bite du blondinet qui continue imperturbablement à aller et venir au rythme des spasmes de mon anus, en pataugeant dans ce que la bite de Philippe est en train de cracher … avant de me concentrer sur l'énorme organe que je suis en train de téter … et je reviens à la jouissance de Philippe … à la bite de Gérard … au gourdin de Sam … 


Oh, les mecs ! Vous me rendez dingue ! Vos bites ! Vos bites ! Vos biiiiiites !


Grimpez-moi, fourrez-moi, bourrez-moi, pinez-moi, sautez-moi, tringlez-moi !


Et soudain, Gérard, le front calé entre mes omoplates, se met à souffler entre ses dents serrées … une sourde plainte commence à monter, comme jaillissant de son ventre … son va et vient se fait moins régulier … il perd le contrôle…  au point qu'il n'est bientôt plus synchrone avec les contractions de mon anus … au point qu'à un moment, son sexe est presque entièrement sorti de moi quand mes muscles se resserrent … il donne un coup de reins et sa queue, au lieu de s'enfoncer en moi, manque de s'échapper, de sortir complètement … Oh nooon ! Jouis dans moi ! Féconde-moi ! Je me cambre pour faciliter sa pénétration ... il s'immobilise, attend que ma porte s'ouvre à nouveau …  et quand mon fourreau bâille, il s'engouffre dans un mugissement, plaque son ventre contre mes fesses, et jouit à son tour  … Sa queue bouge en moi à chaque éjaculation, comme si elle se gonflait au passage de son sperme … Oh, putain, je me sens tellement femelle à cet instant ! Je SUIS une femelle ! Deux mâles m'ont saillie ensemble et … et ils sont en train de me féconder tous les deux, de m'engrosser! Gérard s'écroule sur moi en reprenant son souffle, la joue posée sur mon dos.


J'ai encore la grosse bite de Sam à faire jouir … sa grosse paire de couilles à vider. Je lui tète furieusement le gland et je le sens grossir entre ma langue et mon palais, comme si mon aspiration y faisait affluer le sang. Ses grosses pognes sur ma tête, il me souffle entre ses dents serrées:

- C'est bien continue comme ça, ma p'tite salope, ma p'tite pute …


En me contorsionnant, j'essaye de lui passer la main entre les cuisses pour lui tripoter les couilles. Je les aperçois qui pendent sous sa queue. Mais il est trop près de moi et sa cuisse droite me gêne. Il s'en rend compte, la soulève et pose son pied sur le matelas contre le bras de Philippe. Ah, oui comme ça, j'ai maintenant assez de place. Je caresse le dessous de sa cuisse, puis ses fesses, puis son périnée … sous mes doigts, je sens cette espèce de crête médiane qui court depuis son anus jusqu'à la base de sa verge, en passant par ses bourses … cette crête est saillante, tendue … en fait, tout son périnée est comme gonflé … je plaque enfin la paume de ma main sous ses boules. C'est comme … on dirait … elles sont grosses comme … presque comme des œufs de poule ! Tout en continuant de lui téter le gland, je soulève un peu ma main … Ouaaaaah ! Elles bougent, elles roulent l'une contre l'autre à l'intérieur de ses bourses … Je les sens lourdes, pesantes … Sa réserve de sperme s'est reconstituée ? Il va encore pouvoir m'inonder la gorge ?

- C'est bon, maintenant …


Sans douceur, ses grosses pognes repoussent ma tête. En gémissant, je m'efforce de garder son gland dans la bouche, mais rien n'y fait, il s'échappe dans un bruit de succion et Sam commence à se relever. Je me rends compte que les deux autres restent comme hébétés, hypnotisés par le spectacle auquel ils viennent d'assister. Il faut dire qu'ils étaient aux toutes premières loges, le nez quasiment sur l'énorme membre du tatoué. C'est Gérard, le petit blond, qui, en riant, réagit le premier:

- Ben putain ! Impressionnant, l'engin !


Avec une mimique explicite, Philippe approuve d'un hochement de tête:

- Tu vas te prendre ça dans le cul, maintenant ?

- Oui.

- En même temps que celle du gros, là ? Je sais plus comment il s'appelle …

- C'est Thierry …

- Ah ouais, Thierry … t'es sûr que tu vas pouvoir te prendre les deux ? T'as vu sa queue, à Thierry ?

- Oui … j'ai même fais plus que la voir … il m'a déjà baisé deux fois …

- Mais … les deux … en même temps … 

- Ils vont te défoncer …


C'est Gérard qui vient de me mettre en garde en murmurant tout près de mon oreille. Il poursuit:

- Déjà, nous, c'était limite … non ?

- Non … je me suis déjà pris beaucoup plus gros … et du solide, du dur … T'inquiète, là, mon cul va se dilater encore plus ... et leurs queues vont se comprimer …


Je sens la bite de Philippe, devenue toute molle, glisser hors de moi en entraînant celle de Gérard.

- C'est bon, là, les discussions ?


C'est Sam qui s'impatiente. Je sens toute la scène bouger sur notre droite. Je jette un coup d'œil: c'est le gros Thierry qui vient de débarquer. Gérard, en se relevant, me lance:

- Bon, ben … bon courage, hein …

 

Je roule sur le côté pour laisser Philippe se relever. A demi étendu sur le dos, je sens une bouillie tiède s'écouler de mon cul. Alors je m'assois et, m'appuyant d'une main un peu derrière moi sur le matelas, j'écarte les cuisses, je me penche en avant et je me fourre trois doigts dans le cul. Serrés en forme de cuiller, je les ressors, pleins de sperme. Ce que j'ai dans la main, c'est le sperme de combien de mecs ? Six ? Sept ? Plus ? Je ne sais plus … Je me rends compte qu'autour de moi, tout le monde a remarqué mon manège et m'observe, devinant ce que je vais faire, un petit sourire au lèvres.


- Allez, vas-y ! Lèche, maintenant …


C'est Thierry.


- Attends, montre …


C'est Guy, le comptable, sur ma droite au pied de la scène, le smartphone toujours en main. Je tends la main vers lui et je lui montre. Avec une mimique à la fois de stupéfaction et de dégoût, il poursuit:

- Oh putain, tu vas pas bouffer ça ?


Je hoche la tête: oui, je vais bouffer ça !


- Fais voir par ici …


C'est venu de je ne sais qui sur ma gauche. Je me tourne vers les quatre ou cinq types appuyés aux rouleaux de foin de la scène, et je leur montre le contenu de ma main. Ils se marrent:

- Allez … vas-y !


Je porte mes doigts à ma bouche et je m'apprête à laper le contenu de ma main. Comme je sens que le spectacle les fascine, je réfrène une furieuse envie d'avaler le tout d'un seul coup, et je me contente de tremper le bout de ma langue dans le mélange tiède. Quand je relève la tête, un filament visqueux s'étire entre ma main et ma lèvre et finit par rompre et s'étaler sur mon menton. Alors je trempe ma langue plus résolument dans ce cocktail de liqueurs séminales … Brusquement, je réalise que pour les mecs qui me regardent, ce que j'ai au creux de la main, c'est seulement du foutre, de la jute, de la jouissance de mecs, du jus de partie du cul … mais pour moi, cette espèce de crème grumeleuse, c'est plus que ça: sur mes doigts et sur ma langue, il y a des spermatozoïdes de je ne sais plus combien de mâles ! Des milliers de spermatozoïdes … peut-être des millions … si ces mecs, au lieu de me baiser, moi, avaient engrossé des femmes, ça aurait pu faire combien de mômes ? Sept, huit, neuf ? Peut-être plus, je ne sais plus combien d'entre eux m'ont inséminé en une heure … C'est donc la moitié du patrimoine génétique d'une tripotée de gamins potentiels que je m'apprête à avaler … J'imagine ces spermatozoïdes qui nagent frénétiquement dans cette sauce … tiens, en voilà un de Philippe qui en rencontre un de Manoel … et là, deux petites graines de Gérard qui font la course avec une de Gilles et une de Jérôme … Est-ce qu'avec un microscope, on arriverait à distinguer les spermatozoïdes d'un mec de ceux d'un autre mec ? Pourquoi l'idée que je vais avaler des cellules reproductrices de ces types m'excite à ce point ?


Hhhhmmmm, voilà, j'ai cette bouillie visqueuse et un peu acide sur la langue. Un concert de rires, d'applaudissements, de yeaahh, retentit. Je ressors ma langue, maculée de foutre pour la leur montrer, et j'avale, je déglutis. Tandis que je me lèche consciencieusement les doigts, un à un, je sens cette gelée glisser lentement dans mon œsophage. J'en veux encore. Alors je replonge mes doigts dans mon fourreau qui continue de dégorger sous moi, et j'en ressors la valeur d'une cuillerée à soupe que je m'empresse de porter à ma bouche. 


- Bon, ça y est ? T'as fini ?


C'est Sam, à ma droite, qui a maintenant la bite raide, dressée toute seule à 45°. Thierry à ma gauche, bande aussi, mais sa queue … sa pine, comme il l'appelle, baisse le nez sous son propre poids. Je vois leurs deux énormes organes en contre-plongée … impressionnant ! Ils me regardent tous les deux … Sam, les poings sur les hanches, avec un air déterminé, impatient, presque dur, semble me dire "je vais te bourrer, salope" … Thierry me dévisage par-dessus sa bedaine, hilare et semble me demander "alors, tu la veux toujours, ma grosse pine ?". 


- Mets-toi entre eux deux …


C'est Jérôme, au pied de l'escalier, qui brandit son smartphone et qui semble vouloir immortaliser … quoi, exactement ? Ma rencontre, ma confrontation avec ces deux grosses queues avant de me les prendre dans le cul ? Alors oui … et d'autant plus volontiers que, de cette façon, que ce soit en vidéo ou en photo, on pourra mieux estimer le diamètre et la longueur de leurs organes. En pleine action dans mon cul, je ne suis pas sûr qu'on se rende bien compte du calibre de ces gourdins. Les deux compères ont l'air de trouver aussi que c'est une bonne idée et, pendant que je me redresse et me mets à genoux, ils se rapprochent de moi et attendent en prenant plus ou moins la pause. M'adressant à Jérôme:

- Tu fais quoi … photos ou vidéos ?

- Photos, pour le moment, non ? Je … je vous filmerai quand ils seront en train de te … 

- Ouais, très bien …

- Tu peux faire euh … tu sais … le mec euh … étonné par la taille de leurs bites … euh … et même le mec un peu … effrayé … tu vois ce que je veux dire ?

- Ouais, je vois …


Alors évidemment, je joue le jeu … une fois à genoux entre eux deux, j'ai leurs grosses bites à hauteur du visage, j'en prends une dans chaque main et, les yeux ronds et les lèvres semblant émettre un énorme "Ooooh", je mime tant bien que mal la stupéfaction … Jérôme:

- Ah ouais … bien … Fais le mec effrayé, maintenant … qu'on sente que tu sais que tu vas te les prendre dans le fion et que ça va faire mal …


Je fais me mec effrayé … Les deux comparses jouent aussi le jeu, tendant leurs bassins vers moi, comme s'ils m'imposaient leurs bites …

- Relève-toi, maintenant, et mets-toi de dos … qu'on voie que c'est dans ton cul qu'ils vont te les fourrer, leurs queues …


J'obtempère. En me relevant, je sens une bouille poisseuse me couler le long des cuisses.

- Ouais, écarte les jambes, maintenant, et tends ton cul … et vous, les mecs, approchez vos bites de son trou du cul … comme si vous vouliez tous les deux l'enculer …


J'écarte les jambes, je me cambre, je m'empoigne les fesses à deux mains pour m'ouvrir et je tourne la tête vers Sam, comme si j'attendais qu'il me fourre … Ils plaquent tous les deux leur queue contre mes fesses, leur gland tout près de ma rondelle … Jérôme:

- Ouais … excellent !


Sam:

- Ouais … c'est bon, maintenant … on la baise, cette salope !


A suivre …

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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