Lundi 6 mars 2017 1 06 /03 /Mars /2017 01:30

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.


 

Pendant que je fais mes ablutions, j'entends que ça bouge au rez-de-chaussée. Jean Claude donne des ordres à ses chiens. Mon excitation est à son comble. Pourtant, au fond de moi, quelque chose, ma raison, sans doute, me demande « Tu es vraiment sûr de ce que tu t'apprêtes à faire ? Tu as bien mesuré les conséquences ? C'est un chien, tout de même ! Il est peut-être encore temps de renoncer. » Mais ça n'a aucun effet sur moi. Oui, je suis sûr de ce que je vais faire ! Oui, je vais me faire saillir par un chien ! Et je n'ai pas la moindre intention de renoncer ! 

 

Il est juste là, en bas, ce Iago, ce mâle magnifique qui va me monter dessus et me saillir, me couvrir comme une femelle de son espèce ! Il en a autant envie que moi, c'est évident, et si je n'avais pas eu peur de la réaction de son maître, l'autre jour, il m'aurait déjà possédé dans la cour de la ferme, devant la bande des mâles humains qui m'avaient baisé tout au long de la journée ! Mais aujourd'hui, nous allons vraiment nous accoupler, le molosse et moi ... et avec la bénédiction de son maître ! Je me sens excité, impatient ... toutes les fibres de mon corps réclament, fébriles, ce rapport charnel avec cet animal ! Je veux qu'il me pénètre de son énorme sexe, je veux sentir son énorme appareil génital investir, remplir, occuper mes entrailles, je veux qu'il y accomplisse son rôle de mâle reproducteur, d'étalon, je veux qu'il me possède ...

 

Il me reste quelques interrogations. Je sais qu'en principe, un accouplement avec un chien est physiologiquement possible, mais, est-ce que, avec ce chien-là, ça va marcher ? Je ne doute pas qu'il ait envie de me saillir, mais est-ce qu'il va seulement réussir à me pénétrer ? Me pénétrer entièrement, je veux dire ... pas seulement me mettre un peu le bout de son sexe dans l'anus. J'ai envie qu'il parvienne à introduire et à gonfler son knot en moi, je veux me sentir étroitement tenu, riveté à l'animal par son appareil génital gonflé dans ma chair. Ce qui est sûr, c'est que, si il y arrive, moi, j'ai l'intention d'aller jusqu'à un rapport sexuel complet … c'est-à-dire jusqu'à ce que le chien répande sa semence dans mon ventre. 

Depuis que ce fantasme me travaille, je me suis documenté, et j'ai lu que, quand un chien s'accouple avec une chienne, la grosse partie à la base de son sexe gonfle - pour les vétos c'est le "bulbe érectile", et pour les éleveurs – et les zoophiles -, c'est le "knot" - et ce bulbe, ce knot gonfle dans la vulve de la chienne une fois que la verge en érection est entièrement entrée … avec certaines races de chiens, le knot peut faire jusqu'à huit centimètres de diamètre une fois gonflé ! C'est pour ça que le mâle reste collé à la chienne … jusqu'à ce que sa queue dégonfle quand il a fini d'éjaculer et que la vulve de la chienne se décontracte ! Moi, ça ne me fait pas peur, je me suis godé avec des jouets énormes, jusqu'à 7,5 centimètres. La bite du chien sera bien moins grosse que ça au moment où il me pénétrera. Ce n'est qu'ensuite, à l'intérieur, que son knot gonflera, et je suis sûr que mon rectum est largement capable de le loger. 

 

On entend bien parler de femmes qui seraient restées collées avec leur chien et qui ont dû appeler des secours, mais il me semble que ça tient plus de la rumeur que de la réalité. Et, comme on est chez Jean-Claude, on pourra attendre tranquillement de se décoller naturellement. Est-ce que je vais y prendre du plaisir ? Sûrement … au moins sur le plan cérébral. Et le chien, il va y prendre aussi du plaisir ? Je sais aussi qu'il va commencer à éjaculer tout de suite, comme l'autre jour, et qu'après, ça peut durer plusieurs minutes. Même si il ne peut pas me rentrer entièrement sa bite, et même s'il éjacule rapidement, j'espère que ça durera quand même un peu … 


Je suis terriblement excité de pouvoir enfin réaliser ce fantasme, et je bande à l'idée de ce qui va m'arriver, mais j'ai des sensations que je n'ai jamais eues jusqu'à présent, même avant ma tournante géante: je me sens fébrile, la bouche sèche, j'ai des bouffées de chaleur, la tête qui tourne un peu et je tremble d'impatience … 

 

Je suis venu ici dans l'espoir de convaincre Jean-Claude de me baiser, mais d'une certaine manière, je suis content qu'il ait refusé, puisque ça nous conduit à ce que ce soit son chien qui le fasse … Le maître, un jour ou l'autre, je trouverai bien le moyen qu'il me baise aussi …

 

Quand je redescends dans le salon, seulement vêtu de mon porte-jarretelles et de mes bas, avac la bite légèrement gonflée, Jean-Claude me regarde, les yeux ronds, sidéré. Dans son regard, je lis à la fois de l'incrédulité et un jugement ... quelle salope je suis, à ses yeux ! J'ai l'impression qu'il réalise que je ne plaisantais pas et que je compte bien faire ce que j'ai dit. Il s'attendait sans doute à ce que, une fois en tête à tête avec moi-même dans la salle de bain, je réfléchisse et que je me dégonfle. Me voir reparaître dans cette tenue semble le désemparer:

- Alors … tu vas VRAIMENT le faire ?

- Ben oui. Qu'est-ce que tu croyais ?

- Ah, nom de dieu !

 

Sa surprise fait brusquement place à de l'exaltation. Il a attaché l'autre chien, Into, avec une courte chaîne au pied du canapé. Il se tient debout devant le fauteuil, Iago assis à ses pieds entre ses jambes. Dès que je parais, la bête cherche à se lever pour se pércipiter vers moi. Je remarque tout de suite que son sexe dépasse encore de son étui pénien … il bande et son sexe a bavé une petite flaque de fluide translucide sur le carrelage ! Putain, on est dans le même état, tous les deux ! Il est tellement excité à l'idée de me sauter qu'il a déjà commencé à juter !  Il tend vers moi son énorme tête pleine de douceur, et il redresse ses oreilles … il me regarde fixement comme si j'étais une friandise … de ses pattes avant, grosses comme mon poignet, il trépigne d'impatience … maintenant, j'en suis sûr, il se souvient de ce qu'on a fait l'autre jour, lui et moi … il a reconnu cette femelle étrange qui voulait se faire saillir et qui l'avait laissé grimper sur elle ... d'ailleurs, je suis dans la même tenue que l'autre jour, porte-jarretelles et bas ... il doit se rappeler la sensation de son sexe dans la tiédeur humide de mon anus ... il a envie de recommencer … pour lui, à cet instant, je suis une chienne à laquelle son instinct lui commande de faire des petits … Oh putain, oui, tu vas me couvrir, Iago ! Je sens mon sexe gonfler un peu plus … Jean-Claude a bien du mal à retenir son molosse:

- Assis, Iago ! Assis, fils !

 

La bête hésite et se rassoit, visiblement à contre-cœur. Ce torse imposant, cette musculature saillante sous ce pelage soyeux, ce sexe impressionnant qui s'agite sous son ventre d'athlète … au-delà de son apparence placide, il émane de cet animal une impression de bestialité absolue … non, ce n'est pas avec un être humain, que je vais m'accoupler, c'est avec un animal … avec une BÊTE ! Une BÊTE dans ce qu'elle peut avoir de plus brut, de plus bestial … presque de sauvage ! Loin de m'effrayer, loin de m'inquiéter, bien au contraire, en plus de l'excitation, ça fait naître en moi de drôles de sensations ... à la fois une envie viscérale de me soumettre à lui pour recevoir les gênes d'un mâle aussi puissant ... et une véritable fierté d'être désiré par un tel étalon ... c'est sans doute ce que ressent une chienne en chaleurs face au puissant molosse qui s'apprête à lui faire une portée ... .

 

Je m'agenouille devant le molosse, et, du bout des doigts, je commence à faire aller et venir son étui pénien sur son vit. Le chien s'impatiente, remue, prêt à se lever, mais il sent la poigne de son maître sur son collier, et il se retient. Personne n'a jamais dû le masturber, alors il aime ce que je lui fais, mais il a hâte, maintenant. Je suis fasciné par ce sexe. J'en ai d'autant plus envie que, par sa taille et par son aspect, il n'a vraiment rien à voir avec le sexe d'un homme. C'est vraiment le sexe d'une bête ! Alors, sans aucune pudeur devant Jean-Claude, je commence à me masturber. 

Jean-Claude, les yeux exorbités me regarde faire. Il me regarde masturber son chien et il me regarde me masturber. Je l'entends déglutir bruyamment à intervalles réguliers. 

Malgré l'intensité du moment, une idée de traverse: dans un instant, mon accouplement avec un animal, ce sera la fornication de l'Homme avec le "plus fidèle ami de l'Homme", la saillie du dominant par le dominé, la copulation de l'Humain et de l'Animal, l'Homme ravalé au niveau de la Bête, ramené à ce qu'il est: un animal, soumis à ses instincts les plus bestiaux ! 

 

Au bout de son pénis rouge violacé, perle toujours une liqueur translucide, et la petite flaque s'étale un peu plus au sol. Le chien, pressé de s'accoupler, cherche à se lever en me donnant de grands coups de langue sur la figure. Il le sait, il le sent, il va me couvrir comme une chienne. Tant bien que mal, Jean-Claude le force à se rasseoir:

- Assieds-toi, fils ! T'inquiète pas, tu vas l'grimper, fils !

 

Il paraît maintenant aussi impatient que son chien. La présence du maître contribue aussi à m'exciter. S'il avait refusé que son molosse me saute, j'aurais fait mon possible pour arriver à le faire en douce, mais le fait qu'il soit là, qu'il assiste à ce coït, qu'il participe, même, d'une certaine manière, ça ajoute je ne sais quoi d'excitant. J'ai l'impression d'être une chienne à qui on amène un mâle pour qu'il lui fasse une portée.

Le gland de Iago est tout gonflé, mais à part son méat qui suinte, il est sec et mes doigts ne glissent pas dessus. J'ai peur de lui faire mal. Alors je crache un peu de salive sur mes doigts et je le reprends. Voilà, comme ça, je peux le masturber … De temps à autre, il lève les yeux sur son maître, comme pour lui demander un encouragement, comme s'il attendait son ordre pour me chevaucher. Et le maître l'encourage:

- Oui, fils … attends, attends ! T'inquiète, tu vas te le faire ! 

 

Et à mon intention:

- Rhô, putain, j'en reviens pas ! C'est sûr, il a compris qu'il va te sauter ! Puuutaiiin !

 

En fait, à son ton, je sens que c'est surtout Jean-Claude qui réalise que ça va vraiment se passer. Je lève les yeux sur lui. Il bande aussi … Il ne doit porter, comme d'habitude, ni slip ni caleçon, et je vois son sexe, tête en bas, qui tend la jambière de son pantalon et fait une bosse en cherchant à se redresser. Je tends la main et j'effleure cette protubérance:

- Tu bandes, Jean-Claude … ça t'excite, hein ...

 

Contrairement à d'habitude, quand il voit que je veux lui toucher le sexe, il ne se dérobe pas. Il baisse les yeux sur son ventre, et face à l'évidence de la bosse qui déforme la toile de son pantalon, il sourit:

- Ben ouais ... putain, mon chien va te baiser !

 

Alors j'en profite et j'accentue ma caresse: je presse sa queue entre mes doigts à travers la toile de son pantalon. Et il a l'air d'apprécier ! Il plie même un peu les genoux et tend son bassin vers moi, comme pour m'encourager: « Vas-y, tripote-moi la queue ! ». Oh putain, j'ai la bite du maître dans une main, et celle de son chien dans l'autre. Il sourit:

- Putain, j'en reviens pas que tu vas VRAIMENT te faire … BAISER par mon chien ! Ça te fait pas peur ?

 

Peur ? Il me demande si ça ne me fait pas peur ! Il réalise que je vais … non, que son chien et moi, on va vraiment copuler ! Il ne doute plus que ce soit possible ? Peur ? Non, même si ce chien est vraiment énorme ! C'est vrai que son frère et lui, je les trouvais déjà imposants comme chiens de garde … Quand ils nous tournaient autour, le soir de la tournante, j'avais remarqué qu'ils étaient aussi hauts que les tables ! Rien qu'en levant la tête, ils arrivent à me donner des coups de langue sous le menton … Mais là … celui-ci, cet après-midi, ce n'est plus comme chien de garde, que je le vois … je le vois comme … comme un amant qui va me … qui va me baiser … Quelque chose me dit que je devrais peut-être avoir peur de cet animal … pas peur qu'il me morde, non, je sens bien que je ne risque strictement rien de tel … non, ce que ma raison me souffle, c'est que je devrais avoir peur de m'accoupler avec un animal aussi gros, de me faire pénétrer par un sexe aussi énorme … mais paradoxalement, c'est précisément sa taille et sa puissance bestiale qui aiguillonnent mon désir et mon excitation … c'est la taille de son sexe qui me fait tellement envie …

 

Oui, c'est exactement ça: un désir bestial, d'autant plus fort que, justement, la bête est grosse, que la bête est puissante … Je le sais, ce que je m'apprête à faire, c'est une dépravation totale, une déviance, un tabou que la société, la morale et le droit réprouvent, interdisent et sanctionnent. Mais, à cet instant précis, rien ne pourrait m'arrêter: je vais me donner à ce molosse, et comme, de toute évidence, il a envie de moi comme j'ai envie de lui, comme il me considère comme une chienne, il va me grimper dessus comme sur une chienne, il va me prendre comme une chienne, il va me saillir comme une chienne et il va me féconder comme une chienne … Aux yeux de la plupart des gens, ce serait abject, avilissant, mais pour moi, être désiré par un tel molosse, c'est une fierté, me donner à lui, c'est une fierté, me faire monter par cet étalon, c'est une fierté ! Tout à mes pensées, je tripote maintenant ces deux sexes … ces deux énormes sexes:

- Non, ça ne me fait pas peur … et, tu vois qu'un chien peut avoir envie d'un mec …

 

Nouveaux coups de langue sur la figure et, soudain, il aboie comme pour me dire quelque chose. De sa voix grave et puissante qui vibre jusque dans ma poitrine et mon ventre, le chien manifeste son impatience, le molosse m'ordonne « allez, fous-toi à quatre pattes, que je te saute ! ».

- Oui, mon gros pépère …tu vas être un bon chien … tu vas me grimper … et tu vas me baiser … allez, mets-toi debout …

 

Je lâche le sexe du maître et, la main sous le poitrail du chien, je l'incite à se lever et à pivoter pour me présenter son flanc. Son maître lui tapote le dos et l'encourage:

- Allez, fils, lève-toi ! Ça y est, tu vas tirer un coup ! Ah, putain, c'est dingue !

 

Il a dû croire que le moment était venu. Mais avant, j'ai envie de sucer un peu la bête. Je m'agenouille et je me penche sous son ventre. Le chien tourne la tête et me regarde. Comme s'il avait compris que je vais lui sucer la bite, il soulève un peu sa patte arrière et tourne la tête vers moi. Son sexe dépasse de plus en plus de son étui pénien. Une main au sol et l'autre sur ses reins pour me retenir, j'avance ma tête et je prends son gland brûlant entre mes lèvres. Il est tellement haut que je n'ai pas besoin de me pencher beaucoup pour le sucer. Le fluide visqueux qui coule de son méat est un peu acide. J'enfonce son sexe dans ma bouche et je me mets à le presser avec ma langue … Oh putain, quel morceau ! Au fur et à mesure qu'il s'enfonce dans ma bouche, je repousse avec mes lèvres son prépuce velu vers sa base de sa verge … il aime ça, il trépigne d'une patte sur l'autre … il est de plus en plus long dans ma bouche … et je sens des petits jets brûlants s'étaler en rythme sur ma langue … ça y est, il commence à éjaculer …

 

Ah, la vache ! Je suis en train de tailler une pipe à un chien ! Et il éjacule déjà ! Il jouit sur ma langue ! Du sperme de chien ! Ça a le goût de … de sperme … hhmmmm, vas-y, jouis, mon pépère, inonde-moi la bouche ! Je déglutis et je sens cette semence tiède s'écouler dans mon œsophage. Je suis en train d'avaler le sperme d'un chien ! Putain, ce vit brûlant qui s'agite dans ma bouche et cette semence que je sens descendre dans mon estomac, c'est tellement … concret … mais je vis ça comme … un rêve ! Je continue de faire aller et venir mes lèvres sur son sexe et le chien continue de se soulager à petits jets dans ma bouche. Ah, la brave bête ! Vas-y, vas-y, jouis, éjacule ! Je me régale, et lui aussi. Son maître aussi:

- C'est bon, hein, fils ! Il te suce bien, hein !

 

Et soudain, je réalise qu'il ne faudrait pas qu'il m'en crache trop dans la bouche, il faut qu'il en garde pour mon cul !

 

Je sors doucement son vit de ma bouche, et je me relève en m'essuyant les lèvres. Sans vergogne, Jean-Claude a une main cramponnée à son sexe … son sexe qui a l'air d'être en complète érection, mais tête en bas dans la jambière de son pantalon. Lui, d'habitude si coincé, se tripote ouvertement devant moi. Une petite tache mouillée qui s'étale sur le tissu au niveau de son gland, trahit son excitation. Pas du tout gêné, il hésite une seconde, puis:

- C'était bien, de … de … sucer mon chien ?

- Oui.

- C'est comme … sucer un mec ?

- Ben, là, c'était même mieux … il avait déjà commencé à éjaculer …

- Ah Bon ? Mais … mais tu l'as … tu l'as laissé … éjaculer ?

- Oui. C'était bien.

- Mais … t'as … t'as avalé son …

- Son sperme ? Oui. 

- Ah putaiiiin !

 

Le chien trépigne et s'élance pour essayer de me grimper. De sa main libre, Jean-Claude le retient par le collier. Je lève les yeux sur lui. Sans cesser de se pétrir la queue, il me regarde avec un drôle de sourire. Je m'avance à genoux jusqu'à lui sous les assauts de son chien, pressé de me chevaucher. Même pas surpris de me voir approcher, le maître continue de se malaxer le sexe. Mes yeux plantés dans les siens, je repousse délicatement sa main de son sexe. Il se laisse faire docilement et je pose mes doigts sur la grosse bosse que fait sa queue. Les yeux braqués sur moi et sur son ventre, il attend … il attend quelque chose de moi. Je parcours sa verge du bout des doigts et je la sens frémir sous ma caresse, et chercher à se redresser davantage. Ça l'a vraiment excité, de me voir sucer son chien ! Il a envie de quoi, là, tout de suite ? Se faire sucer, lui aussi ? Me baiser ? Je sens que ça pourrait être le moment. Mais il fallait te décider avant, Jean-Claude ! Maintenant, c'est ton chien, qui va me baiser. Au point où on en est, je ne vais pas laisser passer cette chance d'assouvir ce fantasme de bestialité … et courir le risque que tu changes d'avis et me refuses ensuite cet accouplement avec ton chien. Une occasion comme celle-ci pourrait bien ne jamais se représenter. Me faire baiser par toi, Jean-Claude, je pourrais ré-essayer plus tard. Là, au bout de son sexe, son gland fait une bosse sous le tissu. Je pose ma bouche dessus et je le presse entre mes lèvres. Je sens la chaleur de son sexe à travers la toile épaisse. Et contre toute attente, Jean-Claude pose sa main libre sur ma tête ! Je suis sûr que là, il aimerait bien que je le suce ! Hhhhhmmmm, ça me plaît que ça t'excite à ce point de me voir avec ton chien ! Du bout des lèvres, je parcours sa verge sur toute sa longueur en gémissant … plusieurs fois … et sans le prévenir, je m'écarte en espérant le laisser frustré. 

 

Pendant ces quelques secondes, le chien a couiné, trépigné et aboyé à nouveau. Je me lève, je me retourne et, tout en rajustant mon porte-jarretelles, j'examine le salon. Pendant mon séjour dans la salle de bain, Jean-Claude a poussé la table basse dans un coin pour faire de la place. Plein d'attentions, le mec ! Je m'avance sur le tapis, resté au milieu de la pièce, et je me tourne vers le chien:

- Allez, viens, mon pépère ! Viens me baiser !

 

Il redresse ses oreilles et il tire sur son collier. Il sent que je suis prêt à le recevoir. Jean-Claude le lâche:

- Allez, vas-y, fils … grimpe-le !

 

Le dogue est contre moi, et il me bouscule dans sa précipitation, il me tourne autour, il me donne des coups de langue sur la bite, sur les fesses, sur les bras, les cuisses, et il essaie de me monter dessus. Tandis qu'il me tourne autour, je lui caresse tant bien que mal les flancs, le dos, le ventre. Avec difficulté, je parviens à l'enfourcher … il se demande ce que je veux, mais il se laisse faire, dressant sa tête vers moi pour me donner des coups de langue sur la figure, et il se calme un peu …. hhmmmmm, quelle sensation ! Le contact de ce corps, chaud et puissant entre mes cuisses, ce pelage si doux sous mes fesses, sous mes couilles … cet animal énorme, musclé, puissant, va me grimper dessus et va me posséder ! Je me penche et j'enserre son poitrail … Je bande, et ma bite, coincée entre mon ventre et son dos, se décalotte toute seule contre sa fourrure. Sous son ventre, j'effleure son sexe qui sort de plus en plus de son étui … Nous sommes tous les deux de plus en plus excités à l'idée de cet accouplement. Oooh, Iago, maintenant, il faut que tu me couvres !

 

Je descends de son dos et je m'agenouille à côté de lui … Maintenant, il faut qu'il me prenne ! Il se remet à me tourner fébrilement autour, toujours en me donnant force coups de langue … instinctivement, il cherche par où me pénétrer … il cherche ma vulve … le voilà vers mon cul, il le renifle et me donne trois coups de langue sur les fesses … il revient vers ma tête, fébrile, impatient … non, il sent bien que ce n'est pas par là et il retourne vers mon cul … alors, je me mets en position, les mains à plat sur le tapis … à quatre pattes, le chien derrière moi … Putain, ça y est ! Je suis en position pour me faire grimper … saillir … baiser … féconder par un chien ! Je me suis si souvent foutu à quatre pattes pour me faire baiser en levrette par des mecs, et à chaque fois, ça a été une telle émotion, de m'abandonner, de me livrer à eux, à leurs sexes ! Et là, c'est à un CHIEN, c'est à ce MOLOSSE, que je me donne ! Je suis encore pris d'une espèce de vertige … j'ai le cœur qui bat à fond, les oreilles qui bourdonnent, le sang qui bat à mes tempes … un long frisson me parcourt de la nuque jusqu'aux pieds, suivi d'une bouffée de chaleur. Je ne ressens ni peur, ni honte, ni culpabilité … c'est comme un aboutissement ! Comme si cet accouplement contre nature était ce qu'inconsciemment je recherchais depuis quelques mois, en me faisant passer dessus par tant de types … être … être considéré comme … une femelle, pas seulement par des hommes, mais par des mâles, par n'importe quels mâles, y compris d'une autre espèce !

 

Iago me redonne quelques coups de langue dans la raie… Oui, le chien … c'est là !  Vas-y, maintenant ! Jean-Claude, lui-même, l'encourage:

- Oui, c'est bien, fils ! Vas-y, c'est par là !

 

Mais non, il revient vers ma tête, de plus en plus fébrile, et me lèche en couinant. Je sens soudain la présence de Jean-Claude à côté de moi. Il saisit le collier du chien et l'entraîne vers ma croupe:

- C'est là, fils, j'te dis ! T'es con, ou quoi ? Vas-y, prends-le, bordel !

 

Il a bougonné, mâchoires serrées. Je sens enfin la truffe humide dans ma raie. Surexcité, l'animal m'explore fiévreusement la croupe avec son nez et sa langue. Par un réflexe totalement incontrôlé, j'écarte les cuisses et je me cambre. Iago me renifle et me lèche les fesses, le périnée, les couilles, la raie, et enfin, je sens sa langue chaude et râpeuse se poser sur ma rondelle. Ooooh quelle sensation ! L'endroit lui plaît. Mon cul est tout propre, naturellement exempt de tout fluide sexuel ou de toute effluve féminine, et pourtant, c'est indéniable, il sent que c'est par là que ça se passe, que c'est par là qu'il va me saillir. Sous ses coups de langue, je sens mon anus s'ouvrir, s'offrir. Curieusement, à cet instant, une idée, une conviction me traverse l'esprit: ce chien n'a pas encore connu de chienne, alors, pour lui, je suis une femelle … et là, maintenant, il va à se reproduire … 

 

Tout en continuant à me lécher et à me renifler, il ébauche des tentatives pour me grimper, vient un peu sur moi, commence à me chevaucher, redescend …Tout de même, je n'en reviens pas, mon cul n'excite pas seulement les mecs ! Il excite aussi vraiment UN CHIEN ! Parce que là, on n'est plus dans cette espèce de réflexe de jeu ou de volonté de domination qui pousse à peu près tous les chiens à se frotter sur la jambe de leur maître ou d'un étranger. Là, on est bel et bien dans des préliminaires à un accouplement: ce chien s'excite sur mon cul parce qu'il veut me saillir, parce qu'il veut me prendre ! Il me considère vraiment comme une femelle ! Quoi qu'il en soit, ces préliminaires sont absolument délicieuses, et, de mon point de vue, elles pourraient durer encore longtemps. Mais, brutalement, j'entends Jean-Claude s'approcher, je le sens arracher son chien à son occupation, le soulever et: 

- Oh putain, Iago, arrête de lui renifler le cul et monte-lui dessus, bordel ! Comme ça … et BAISE-LE, nom de dieu !

 

Choqué à la simple idée d'un coït entre son chien et moi, il n'y a qu'un quart d'heure, il est maintenant pressé de voir son chien me saillir ! Tellement pressé que, constatant la maladresse de son chien, il joint le geste à la parole, et il soulève l'animal par son collier pour le mettre en position sur moi ! Alors, le chien, en me retombant dessus, essaie de m'étreindre avec ses pattes avant. Je m'attendais à ce qu'il me saisisse par les hanches, comme les chiens le font quand ils grimpent une chienne, mais celui-ci est tellement grand que ses pattes avant se trouvent presque au niveau de mes omoplates, et il essaie maladroitement de m'agripper par les aisselles. Sa tête à hauteur de la mienne, il halète bruyamment et me donne de vigoureux coups de langue sur la figure, et surtout, il commence à donner de violents coups de reins … il cherche ma … vulve. Ooh, putain, dans un instant, sa bite va être en moi et je vais être sailli par ce chien !

 

C'est la première fois que je m'accouple avec un chien, et je ne sais pas trop comment l'aider. Je me cambre autant que je peux. Je sens son sexe humide frapper mon cul à petits coups et glisser de droite à gauche et de haut en bas entre mes fesses, à la recherche de l'entrée de mon fourreau. Il faut qu'il trouve, il faut qu'il y arrive avant de se décourager ! Je sens des jets brûlants s'étaler sur mes fesses, sur mes cuisses, jusque sur mes mollets … il continue d'éjaculer ! Je sens son sexe se rapprocher peu à peu du centre de sa cible. Putain d'instinct ! Et enfin, il trouve mon anneau, et il s'introduit d'un coup en moi. Ah putain, ça y est ! Ah la laaa, quelle sensation ! Ce vit chaud et dur qui s'enfonce dans mon anus ! Je ne peux réprimer un gémissement de plaisir. Ça y est, je suis … je suis accouplé avec un chien !

 

J'AI UN SEXE DE CHIEN EN MOI !!!!

 

Oui, le molosse est en train de me saillir ! Et je sens qu'il a commencé à éjaculer dans mon cul. Bien agrippé à moi, il me donne de rapides et violents coups de reins. Si violents mais si brouillons dans son impatience qu'il sort parfois accidentellement de moi, et qu'il doit s'y reprendre à plusieurs fois pour me pénétrer à nouveau. Mais après trois ou quatre échappées de ce genre, il finit par trouver la position adéquat et par doser son mouvement pour me remettre son sexe dans le cul du premier coup. Ces allers et retours fougueux sont très agréables tant j'ai la sensation de me remplir à chaque entrée de son membre et de me vider à chaque sortie… De plus, il me semble qu'il bande de plus en plus fort, que son vit est de plus en plus gros … Ça veut dire qu'il prend du plaisir dans la chaleur de mon cul … Est-ce qu'il va parvenir à me fourrer aussi son bulbe ?

 

- Ah bordel, ça y est, fils, T'ES DEDANS ! Nom de dieu, t'es en train de L'ENCULER ! C'est bien, fils … vas-y, BAISE-LE, BAISE-LE ! Aaaah, puutaiiiiin !

 

Jean-Claude, surexcité, les mâchoires serrées, encourage son molosse. Je le devine posté à côté de nous, un peu en arrière, et dans cette position, il doit vérifier que le sexe de son chien est bel et bien dans mon cul. A son intonation, je le sens non seulement excité par le spectacle, mais heureux pour son chien … heureux qu'il couvre sa première femelle, heureux qu'il y prenne du plaisir, heureux ... Son frère, Into, enchaîné au canapé, couine, geint, tire sur sa chaîne et fait bouger le meuble. Il doit comprendre ce que son frère me fait, et il voudrait participer à la fête… 

 

Progressivement, sur mon dos, Iago s'agite moins frénétiquement. Ooooh, c'est très bien aussi comme ça: ses coups de reins sont moins rapides, moins amples, moins violents, et je sens parfaitement son gros engin, tout chaud, en moi. Il doit continuer à m'inonder les entrailles de sa semence. Il m'insémine, il me féconde ! Comme j'aimerais voir sa bite aller et venir dans mon cul ! J'aurais dû amener mon camescope et demander à Jean-Claude de filmer ça ! Vu sa réaction, je suis sûr que ça lui aurait plu. Et moi, j'adorerais me voir en vidéo, ramené à l'état d'une bête, d'une chienne, couverte, saillie par ce molosse, son sexe d'animal en moi …  

 

Brusquement, je sens le membre du molosse comme … vibrer … dans mon cul. Comme s'il éjaculait maintenant en continu. Ça dure trois, quatre secondes, et tout aussi brusquement, la bête sort son membre de moi, descend de mon dos et se remet à me tourner autour en me donnant de grands coups de langue. C'est déjà fini ? Je m'attendais à un coït rapide, mais à ce point … je suis plutôt déçu … il ne m'a pas rentré son bulbe ! Ah merde ! Mais je sens un liquide chaud s'écouler sur mon périnée … j'ai l'impression que le molosse m'en a quand même mis une bonne dose …

 

- Putain ! Je le crois pas … mon chien t'a … mon chien t'a BAISÉ ! Tu te rends compte ? Tu t'es fait BAISER par mon chien ! Ah la vaaaaache !

 

Les avant-bras croisés à plat sur le sol, je pose mon front dessus et je me balance, cul en l'air, d'avant en arrière. Oh, putain, oui, ÇA Y EST, j'ai franchi le pas ! Je me suis fait couvrir par un chien ! Et je me suis fait INSÉMINER par ce chien ! Je ne me fais pas seulement baiser par des mecs, je me fais aussi baiser par DES CHIENS ! Ah oui, parce que c'est décidé, je recommencerai ! Je ne sais pas comment je vais faire, mais il faut que je trouve le moyen de me faire régulièrement baiser par un chien … par DES chiens ! Jean-Claude, tu vas me voir souvent. Iago est maintenant derrière moi, et il me colle sa truffe dans la raie. Il flaire ma rondelle et me donne deux ou trois coups de langue, comme pour nettoyer sa semence qui s'écoule de moi. Hmmmmm ! Putain, Iago, tu pourras recommencer ! Satisfait, le molosse se couche lourdement à coté de moi et entreprend de se lécher la bite. Je jette un coup d'œil entre mes cuisses, vers Jean-Claude. Quand le molosse s'est retiré de moi, son maître s'est affalé dans le canapé et là, il me regarde sans se rendre compte que, dans la position où je suis, je le vois par en dessous: il est en train de se tripoter, cette fois, la main DANS son pantalon.

- Tu vois que j'avais raison, Jean-Claude … je me suis VRAIMENT fait baiser par ton chien …

- Ah ouais ! Et il t'a … il t'a juté dans le cul ?

- Oui, il m'a VRAIMENT juté dans le cul. Tu vois, que c'était possible … et je peux te dire: c'était vachement bon  … trop rapide, mais vachement bon …

 

Excité par ce qui vient de se passer, les yeux braqués sur mon cul, il continue de se palucher sans se rendre compte que je le vois. Il se marre:

- Putain, j'en reviens pas ! Tu t'es laissé baiser par mon chien ! Et t'as été jusqu'au bout, tu t'es laissé mettre du … du sperme dans le cul ! Putain, j'en reviens pas ! Et … t'as pas peur, avec son sperme, dans ton cul… t'as pas peur qu'il t'aie … que tu …?

 

Je glisse une main jusqu'à mon cul … la vache, il en coule encore, du sperme … je m'enfile deux doigts. 

- Qu'il m'aie quoi ? Qu'il m'aie mise enceinte ?

- C'est vrai, je suis con …

- Ça t'a excité ?

- Quoi ?

- Ça t'a excité, de voir ton chien me baiser ?

- Ben … ouais …

 

Sans le prévenir, je bascule sur le côté, je me retourne et je m'assois en tailleur, face à lui. Surpris, il ôte rapidement sa main de son pantalon. Je lui souris:

- Tu sais, tu peux continuer de te tripoter. Ça ne me gêne pas. Au contraire. 

 

Il hésite. Alors j'insiste:

- Vas-y, je te dis !

- …

 

Il reglisse sa main dans son pantalon. Alors je m'avance vers lui, à quatre pattes. Il me regarde approcher, souriant. Je m'agenouille entre ses pieds. Le chien attaché au pied du canapé se lève et essaie de s'approcher de moi. Mais sa laisse est trop courte. Il couine un peu et s'assoit. Me voilà entre les pieds de Jean-Claude:

- Allez, Jean-Claude, ouvre ta braguette et sors ta queue. Tu ne vas quand même pas te sentir gêné de te masturber devant moi ! Je la connais, ta bite !

 

Il hésite encore. A travers la toile, je devine sa grosse main qui presse sa grosse queue et qui bouge lentement. Je pose doucement mes mains sur sa ceinture, au niveau de sa braguette:

- Laisse-moi faire …

 

Il se raidit contre le dossier de son siège et suspend le mouvement de sa main:

- Qu'est-ce que tu …

- T'inquiète pas. Je te touche pas. J'ouvre seulement ta braguette.

 

Il se détend. C'est bizarre, je le sens tiraillé entre la méfiance et l'envie de soulager l'excitation que lui a procuré ce spectacle. Je défais le bouton, je descends son zip et j'écarte les pans de son pantalon. Oh putain ! Quelle bite ! 

- Oh putain qu'elle est belle !

 

C'est sorti tout seul ! J'ai une furieuse en vie de me pencher et de prendre son gland encore calotté entre mes lèvres. Putain, lui tailler une pipe pendant que son chien me chevauche ! Je me retiens, pas la peine de le braquer. Il se détend, me sourit, et recommence à se masturber lentement. Je regarde sa main aller et venir sur sa longue hampe. L'extrémité de son gland, qui dépasse de son prépuce, est luisant de mouille. Ça n'a plus l'air de le gêner, de se donner du plaisir devant moi. J'ai même l'impression que ça lui plaît, de se tripoter comme ça, juste sous mon nez, en me faisant subir ce véritable supplice de Tantale. 

-  Avec tes chiens et toi, c'est vraiment la maison des grosses bites, ici …

 

Il sourit:

- Alors … c'était bon, avec mon chien ?

 

Je sens que dans sa façon de dire "mon chien", il y a beaucoup de fierté, d'émotion, même … comme s'il parlait de son enfant … d'ailleurs, à plusieurs reprises, il l'a appelé "fils" ! Avec cette question, il veut surtout savoir si son chien a été à la hauteur.

- Oh oui, c'était bon ! Et toi, ça t'a plu, de nous regarder ?

- Ben … oui. J'étais … j'étais content pour … pour lui.

- Ah oui ?

- Oui. C'était la première fois qu'il … qu'il tirait un coup, quoi … alors …

- Oui. Et moi, pour la première fois que je me faisais vraiment saillir par un chien, c'était par ce … par ce monstre … Oh, putain, j'adore ça !

 

Alors que je me retourne pour regarder le monstre, toujours en train de se lécher la bite, Jean-Claude constate:

- T'aimes vraiment ça, alors !

 

Il marque un temps, et:

- Et t'auras envie de recommencer ?

 

Je me trompe, ou il a envie de me voir à nouveau me faire couvrir par son chien ? Toujours à genoux, je m'approche de Iago. Il arrête de se lécher le bout du sexe, maintenant presque entièrement ratatiné dans son étui pénien, et il lève la tête vers moi. Je le caresse. Jean-Claude:

- Hein, dis ! T'aurais envie de recommencer ?

- Recommencer ? Ben … oui !

 

Il y a une espèce de silence pendant que Iago me donne des coups de langue sur les mains, puis:

- Tu veux l'autre ?

- Pardon ?

- Lui, là, Into …tu veux qu'il te baise aussi ?

 

Je me retourne. Il n'est plus vautré au fond du canapé. Il ne se tripote plus, et, penché en avant, il me regarde intensément en caressant la tête de son autre molosse assis à ses pieds:

- Hein ? T'as envie de te faire sauter aussi par celui-là ? Lui, il a envie, c'est sûr ! Hein, fils, que t'as aussi envie de te le faire !

 

La vache ! Il me propose son autre chien ! Je regarde le molosse enchaîné au canapé. Oreilles dressées, il me regarde, comme s'il avait compris ce que son maître me propose, comme s'il attendait ma réponse. Ah mais oui ! Cette première tentative, avec Iago, m'a laissé un goût d'inachevé … comme un dépucelage qui tourne court par précipitation et manque d'expérience … Alors, oui, je vais recommencer avec l'autre, et cette fois, on va essayer de faire mieux. J'ai le regard irrésistiblement attiré par le ventre du dogue. Le bout de son vit, rouge vif et luisant, commence à dépasser de son étui pénien. Il commence à bander ! Ah putain, lui aussi, je vais me le prendre dans le cul ! Jean-Claude, agacé:

- Alors … tu veux qu'il te saute aussi, ou pas ? Pourquoi Iago et pas celui-là ? Y'a pas de raison !

 

Putain ! C'est pas à moi qu'il veut faire plaisir, c'est à son chien ! Et à lui-même, sans doute. Ah oui, c'est ça ! Il a surtout envie de M'OFFRIR, MOI ... à son chien ! Pourquoi, au fond de moi, je trouve ça encore plus … gratifiant ? J'adore que des mecs m'utilisent pour se soulager … et bien là, c'est pareil, Jean-Claude veut se servir de moi pour … soulager son molosse ! Et ça me plaît !

- Mais oui, mec, je veux bien qu'il me saute aussi ! T'as raison … y'a pas de raison !

 

Jean-Claude sourit et tapote le dos de son chien:

- Aaaah, c'est bon, fils ! Tu vas aussi te le faire !

 

Je m'approche d'eux à quatre pattes. Le chien se lève et trépigne. Dès que je suis au contact, il me donne un grand coup de langue sur la figure et s'élance pour me grimper dessus. Je le repousse comme je peux et, pendant qu'il s'agite en me bousculant, je passe une main sous son ventre et je prend son sexe dans la main. Aussitôt, il se calme, et tourne la tête pour regarder ce que je lui fais. Ça lui plaît. Je le masturbe en faisant aller et venir son étui pénien sur son vit. Je lève les yeux sur son maître: 

- Celui-là, Jean-Claude, il faudra l'aider.

- L'aider ? OK, OK ! Mais ... comment ça ?

 

De nouveau, je le sens exalté, impatient, soucieux de bien faire.

- Ben, tu devras l'aider à me rentrer TOUTE SA BITE dans le cul …

- Toute sa bite ? 

- Ouais, t'as pas vu, à la base de la bite de Iago, un renflement ?

- Non … j'ai pas fait attention …

- Un chien, quand sa bite est dans la chienne, bien à fond, normalement, il y a une espèce de truc qui se met à gonfler … dans la vulve de la chienne … ça l'empêche de ressortir tant qu'il a pas fini d'éjaculer. C'est pour ça qu'ils restent collés … T'as rien vu, à la base de la bite de ton chien ?

- Non, j'ai rien vu … il te l'a peut-être rentré … 

- Non, il ne me l'a pas rentré, je l'aurais senti … c'est énorme …

- C'est énorme ? Et … tu veux … tu veux qu'il te rentre un truc énorme dans le cul ? 

- Oui.

- Et tu … tu veux rester collé ?

- Je ne pense pas que nous, on restera vraiment collés. Si un chien et une chienne restent collés, c'est parce que la chienne contracte sa vulve. C'est comme un réflexe qu'elle ne maîtrise pas … mais moi, mon cul ne va pas se contracter … si je veux me débarrasser de la bite de ton chien, je pousse, et elle ressort …

- T'es sûr ? Et si vous restez quand même collés ?

- On verra … mais normalement, quand le chien a fini d'éjaculer, son gros truc se dégonfle tout seul. Voilà, j'attendrai qu'il ait fini d'éjaculer et qu'il débande … 

- Bon, bon, OK !

 

Il est prêt à tout, du moment que son chien me saute. Into, me regarde et continue de me donner des coups de langue. Pendant cet échange avec son maître, je n'ai pas cessé de tripoter la bite du molosse. Il a senti, il a deviné ce qui va se passer ? Je lui caresse la tête:

- Mon gros pépère … t'es un bon chien, toi aussi, et tu vas aussi tirer un coup.

 

Je lui palpe le membre. Maintenant, son sexe dépasse pas mal de son étui pénien. 

 

- Bon, comment on fait ?

 

Tiens, le maître s'impatiente. Il s'est levé, il a remballé sa bite, refermé son pantalon, et il me regarde.  

 

- Iago, viens là ! J'vais l'attacher.

 

Le chien se lève péniblement et rejoint son maître ! J'interviens:

- L'attache pas, Jean-Claude … laisse-le …

- Tu crois ? Il va t'emmerder …

- On verra … tu l'attacheras si il est chiant …

- OK, comme tu veux … Alors, explique ce que je dois faire avec l'autre …

- Ben, quand il aura commencé à me saillir, quand il bandera bien, tu essaieras de le pousser ou de le maintenir dans moi … tu vois ce que je veux dire ?

- Ouais, il me semble …

- Si ça lui plaît, il va bander de plus en plus, et c'est là que son gros … truc … va gonfler … et il faut qu'il gonfle DANS mon cul …

- Compris.

- Allez, détache-le, maintenant.

 

Il lâche son fauve et, tandis que je me remets à quatre pattes, Into fonce et me fourre directement sa truffe dans la raie … C'est sans doute l'odeur de la semence de son frère, mêlée à celle de mon cul qui l'attire … Coups de langue sur mes couilles, mon périnée, ma fleur … et là, ça semble lui plaire particulièrement … moi aussi, d'ailleurs … hhmmm, sa langue, chaude, humide et râpeuse … j'adore ça !

- Allez, fils, grimpe-le !

 

Jean-Claude, visiblement pressé d'assister à un nouvel accouplement plutôt qu'à des préliminaires, a chopé le collier de son chien et le soulève comme il peut pour le faire monter sur moi … Je sens le poitrail du molosse retomber lourdement entre mes omoplates. Il m'enserre de ses pattes antérieures et commence à agiter son bassin à la recherche de ma … vulve … Putain, il a tout de suite compris ce qu'on attend de lui ! Et il est très excité. L'instinct ! Je sens, comme avec son frère, quelques petits jets de sperme sur mes fesses, je sens sa bite tâtonner autour de ma rondelle puis, brusquement, s'y enfoncer d'un seul coup … Je m'attends à ce que, comme son frère, il ressorte dans ses mouvements désordonnés … mais non, il est bel et bien dedans, il s'agite, mais il ne ressort pas … Je baisse la tête et je vois les genoux de Jean-Claude entre les pattes de Into: il est derrière son chien et il le maintient ! Putain, du premier coup ! Je suis encore accouplé à un chien !

 

- Ça y est, mec ! Il est dedans ! Il est dans ton cul, mon chien ! Tu le sens ?

- Hhmmmm oui ! Tiens le bien, hein …

- Ouais. T'inquiète, je le tiens … C'est bien fils ! Vas-y, baise-le ! BAISE-LE !

 

« Il est dedans ! » Je réalise que son nom, Into, en anglais, ça veut dire "dedans" ! Oh oui, il est bel et bien dans moi ! Je sens la bite du molosse qui va et vient fébrilement dans mon cul, et je la sens qui gonfle, comme celle de son frère, tout à l'heure … 

 

- Jean-Claude … si tu peux, aide le à se décalotter … que sa bite sorte entièrement de son étui …

 

Il hésite une seconde, puis je le devine qui s'agenouille à côté de mon cul et je sens sa main m'effleurer les fesses … Il commente:

- Rhôô, la vache !

 

Et puis, oui ! Peu à peu, je sens mon rectum se remplir … comme si je m'étais enfilé un plug gonflable ! Mais ce n'est pas un plug gonflable, c'est LA BITE D'UN CHIEN ! Il ne me donne plus que de rares coups de reins. Je sens cette bite … vivante, chaude … c'est même très chaud … et je le sais, là, il est en train d'éjaculer à petits jets dans mon ventre. J'ose à peine bouger … j'ai peur qu'au moindre mouvement, le sexe du molosse sorte de mon cul avant de m'avoir complètement rempli. Pourtant, je meurs d'envie de vérifier que son sexe est bien gonflé, à l'intérieur de moi … 

 

C'est Jean-Claude qui me renseigne spontanément:

- Ah, putain, ça y est ! Il est … il est … je crois que sa bite est gonflée dans ton cul ! Tu la sens ?

- Oui, oui …

- Aaah, puutaiiiiin !

 

Oui, putain, ça y est ! Je suis sailli … VRAIMENT sailli par un chien ! Il halète en bavant au-dessus de moi, mais ne bouge presque plus, sauf, de temps à autre, un coup de boutoir, comme pour assurer sa prise. Je glisse mes doigts jusqu'à mon anus, et je tâte. Contre ma rondelle, je sens son prépuce poilu … et juste dans mon anus, je sens deux ou trois centimètres de … de verge … au-delà, à l'intérieur, quelque chose d'énorme occupe mon rectum … Je contracte mon sphincter et je bouge un peu … l'énorme chose me dilate légèrement, mais ne sort pas … A ce moment, je me demande si ce serait vraiment suffisant que je pousse pour expulser le chien de mon cul … ou si … ou si nous sommes vraiment collés … Mais je m'abstiens d'essayer de le faire sortir ... il ne pourrait sûrement pas me remettre son knot dans le cul. Et puis, je m'en fous qu'on reste collés. On verra bien ! Pour le moment, j'ai du mal à vraiment réaliser ce qui m'arrive. Pourtant, cet énorme molosse sur mon dos, et cette … cette CHOSE, en moi … ce SEXE … cet énorme ORGANE REPRODUCTEUR qui me remplit l'anus … je suis bel et bien en train de copuler avec un dogue allemand ... de me faire INSÉMINER par un dogue allemand ! Oh putain, c'est dingue ! LE BONHEUR !

 

- Oh merde ! Ça y est, vous êtes collés ! Vous êtes restés collés, bordel !

 

C'est Jean-Claude qui se met à paniquer.

- Non, non … t'inquiète pas … il jouit, il éjacule, mais après, il va débander …

- T'es sûr ?

- Oui, oui …

 

Je ne suis pas sûr à 100%, mais je m'en fous … Et même, curieusement, je réalise que, loin de me paniquer, cette situation me plaît … Finalement, cet accouplement se passe exactement comme si j'étais une chienne ! Je SUIS une chienne, et pour assurer ma fécondation, je retiens en moi le chien qui est en train de me saillir ! Oh, putain, je n'ai jamais été rempli comme ça, même avec mes jouets ! Et là, c'est pas un jouet … c'est un sexe de chien … il est sur moi et je sens sa chaleur, son souffle contre ma figure, ses pattes qui m'enserrent le torse … je sens son odeur … et dans moi, je sens sa chaleur, je le sens bouger, vibrer … il est en train d'éjaculer, de me féconder … d'ailleurs, j'ai l'impression que mon cul déborde, je sens que ça coule sur mon périnée … il devait rester de la semence de son frère en moi … D'un coup, ça me rassure: en me fécondant à son tour, Into me lubrifie … ça glisse dans mon cul, et ça devrait me permettre de l'expulser s'il ne se décollait pas tout seul … Heureusement, même lubrifié comme ça, je sens que son organe ne risque pas de sortir spontanément si je prends la peine de contracter un peu mon sphincter. C'est bien, mon pépère, reste dans moi … profite, finis de m'inséminer, tu débanderas après … on a tout notre temps.

 

Et il n'y a pas que mon cul qui déborde … les doigts toujours à l'entrée de mon anus, je sens que ma propre queue bave sur mon poignet … "bave", le mot est faible … je suis au bord de l'orgasme, et bien que je n'éjacule pas, ça ne peut pas être seulement du fluide pré-éjaculatoire qui coule comme ça … le bulbe du chien doit presser ma prostate et  faire écouler du sperme …

 

Brusquement, le chien lève sa patte droite et essaie de la passer par-dessus mes reins … Il cherche à se retourner comme il le ferait avec une chienne. Jean-Claude s'inquiète encore:

- Pas bouger, Into ! Putain, qu'est-ce qu'il fout ? 

- T'inquiète, il se retourne … c'est normal … ils font ça avec les chiennes …

- Tu crois ?

- Oui, oui … ils restent collés cul contre cul jusqu'à ce qu'ils aient fini.

 

Il n'a jamais vu des chiens baiser ? Je n'en reviens pas qu'un type de la campagne n'ait jamais vu ça ! Le molosse termine sa manœuvre et je sens son vit et son bulbe pivoter en glissant à l'intérieur de mon rectum. Putain, c'est un séisme ! Nous voilà cul à cul. Il est tellement grand du train arrière, par rapport à moi, que ça tire un peu sur sa bite … mais, comme je continue de contracter mon anus pour le garder en moi, il me soulève un peu … 

- Jean-Claude, s'il te plaît, mets-moi un coussin sous les genoux. Ton chien est trop grand pour moi …

 

Il se précipite, enlève un coussin en cuir d'un fauteuil et m'aide à le glisser sous mes genoux. Je pose mes avant bras à plat au sol, et j'appuie mon front dessus.

 

Ah, putain, c'est … c'est bestial ! J'adore cette situation, ces sensations … Je suis accouplée     avec un chien … non, pas seulement un chien … un molosse … un des plus gros chiens qui existent, et j'ai son énorme sexe de bête en moi, et je me sens vraiment … femelle … chienne … heureuse d'avoir donné envie à ce molosse, heureuse qu'il se soit accouplé avec moi … heureuse qu'il soit en train de m'inséminer. Mentalement, je visualise le vit, énorme, du chien en moi: son bulbe, tout gonflé, qui me remplit le rectum et, plus loin, à l'intérieur de mon cul, sa verge, énorme, qui décharge sa semence dans la tiédeur humide de mes entrailles ! Je me sens pleine, comblée au sens physique. J'hésite à me masturber, tellement je suis excitée. Je ne veux pas que le désir retombe. Je me demande si le chien jouit autant que moi de la situation … je voudrais lui donner tout le plaisir possible … 

 

- La vache, c'est énorme ! Rhôôô, putain !

 

Jean-Claude est au-dessus de nous … au niveau de notre coït … et je sens qu'il est en train de soulever la queue de son chien pour regarder …

 

- Ça te fait pas mal ? Putain, c'est vrailment ÉNORME !

 

Je me contente de secouer la tête de droite à gauche: non, ça ne me fais pas mal … Je savoure littéralement la situation. Je n'ai jamais rien ressenti de tel. Ça n'a rien à voir avec un accouplement avec un homme … ni avec deux hommes. C'est … c'est bestial, il n'y a pas d'autre mot. Je ne suis plus que ce rectum, dilaté, plein … entièrement rempli par le sexe, énorme, d'un animal … d'un chien … un sexe qui baigne dans le flot du sperme chaud qu'il est en train d'éjaculer … et ce sexe, je le retiens en moi, comme une chienne … Vas-y, mon gros pépère, jouis, remplis moi, féconde-moi ! Nous restons comme ça de longues minutes, moi avec le cul en l'air ... J'essaie de contracter mon sphincter pour bien sentir ce qui l'occupe. J'ai un peu de mal au début, tellement il m'a dilaté la rondelle. Mais avec un peu de persévérance, je finis par y arriver. Je me demande ce que fait Jean-Claude … il doit sans doute se masturber en nous matant, comme tout à l'heure, avec Iago. Je n'étais pas venu pour ça, mais aujourd'hui, je me serais fait couvrir, saillir, baiser et féconder par ses deux chiens … ses deux gros chiens … Et si je m'en achetais un … avoir un bestiau comme ça à la maison , ce serait mieux que tous les godemichés du monde … ou alors, il faudrait que j'arrive à convaincre Jean-Claude de m'offrir à ses molosses de temps en temps …

 

Subitement, Into s'agite … il se met à danser d'une patte sur l'autre … dans mon rectum, je sens l'énorme présence bouger … se dégonfler ? Into a joui … Into a éjaculé … Into débande ? En tout cas, il veut sortir de mon cul … il tire sur son organe … je le sens qui glisse doucement hors de moi .. je résiste un peu en contractant mon anus, puis je le relâche et Into s'extrait complètement en forçant légèrement le passage … Ma rondelle est toute dilatée, ouverte … et je reste là, le cul en l'air … Le molosse, comme son frère tout à l'heure, se laisse tomber sur le flanc à quelques pas de moi, et se met à se lécher la bite. Je suis comblé d'avoir vécu cet accouplement, mais ce n'est qu'une satisfaction cérébrale, je ne suis pas assouvi …

 

- Bouge pas !

 

Ça vient de derrière moi. L'ordre me rappelle à la réalité de l'instant présent. Et l'instant présent, c'est Jean-Claude qui s'agenouille derrière moi ! Mais … qu'est-ce qu'il fout ? J'ai déjà une de ses mains sur mes reins ! Il va me baiser ? Oh que non, je ne bouge pas ! Il va peut-être seulement de nouveau se frotter la bite dans ma raie. Le spectacle de son chien, collé à moi, en train de me baiser a dû finir de l'exciter … En tout cas plus que de voir des mecs me fourrer à la chaîne … Il ne serait pas jaloux de ses "fils" ? Tant mieux, ça me plaît … il doit avoir besoin de se soulager après s'être bien tripoté. J'aimerais bien qu'il me baise vraiment, comme ses chiens, mais coincé comme il est, faut pas rêver … Tiens, il ne plaque pas sa bite dans ma raie … il pose son gland directement contre mon œillet, comme dans son atelier, l'autre jour !!! Il doit déjà être au bord de l'orgasme, et il va éjaculer juste à l'entrée de mon anus …

 

Et d'un seul coup, il entre en moi ! Complètement ! Son ventre vient taper contre mes fesses … il est dedans ! Il est au fond ! Putain, il me baise ! J'en ai le souffle coupé … je halète … Il commence à aller et venir … Je ne sais pas ce qui m'étonne le plus: qu'il me prenne vraiment pour la première fois, ou qu'il fourre sa queue dans mon cul plein du foutre de ses chiens ... parce que, aux bruits que ça fait, ça doit dégouliner à flots ! A la façon dont il va et vient, à la crispation de ses mains sur mes hanches, à son souffle saccadé, je suis sûr qu'il va jouir vite fait … Je passe une main derrière moi pour lui caresser la cuisse … il a seulement baissé son pantalon ..

- Ah, oui, Jean-Claude, baise- moi !

- Ta gueule !

 

Et en effet, ça va très vite … il se met à grogner entre ses dents serrées … comme un long cri rentré … il me saisit aux aines et me fout de courts mais violents coups de bite … hon … hon … hon … hon … hon … hon … il jouit en haletant. Puis  il s'appuie du ventre contre mes fesses, s'immobilise, et pousse en avant, comme pour me faire allonger sur le ventre. Je me laisse faire et je m'écroule sur le tapis, son énorme poids sur mes reins et mon dos … Il respire bruyamment, le visage contre ma nuque … son ventre presse mes reins au rythme de son souffle … Oh, putain, j'ai sa grosse bite dans mon cul … et du sperme ... son sperme plein le ventre … Après les chiens, le maître ! Je n'en reviens pas … Oh oui, reste en moi … je sens cette présence dans mon cul … Longuement, il reprend son souffle …

 

Et soudain, il se décolle de moi. Sa queue glisse hors de mon cul dans un bruit mouillé, entraînant un flot de sperme sur mon périnée et mes couilles. Je reste allongé, la joue sur le tapis, cuisses écartées … Il m'a baisé ! Les trois mâles de la maison m'ont baisé … l'un après l'autre ! Une idée folle explose dans mon esprit: et si je venais vivre ici ! Me mettre à la disposition du maître et de ses chiens pour qu'ils me baisent … sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt quatre ! Il n'y a pas de femme dans cette maison, alors je pourrais leur faire le ménage, la cuisine et tout le reste … Bon, pas la peine de fantasmer, ça m'étonnerait que Jean-Claude accepte ça.

 

Bien qu'il ait une si grosse bite, je n'ai pas senti grand chose avec ma rondelle distendue comme elle l'était … Ce qui compte, c'est qu'il ait fini par y venir … Maintenant, je suis sûr qu'il recommencera … Les deux chiens tournent autour de moi, me reniflent, et je ne tarde pas à sentir de nouveau une truffe mouillée entre mes fesses … puis une grosse langue me lèche … je me cambre et je me laisse faire … Puis ils se couchent, un à côté de moi et l'autre à ma tête. Ma bite commence à être douloureuse dans les poils de ce tapis. Je me retourne et je m'appuie sur un coude. Sous ma cuisse, je sens une flaque de bouillie visqueuse et froide. Jean Claude est vautré dans le canapé, un verre de whisky à moitié plein à la main. Il a remis son pantalon et il me regarde. Je lui souris:

- Tu m'as baisé …

- Dis rien … ça vaudra mieux …

- Oui, mais tu m'as baisé …

 

Je retombe sur le dos et, face à lui, je me masturbe. Cambré, la tête rejetée en arrière, je revis en flashes tout ce qui vient de m'arriver … Alors ça va très très vite … je jouis sur mon ventre en haletant … Quand j'ai fini de reprendre mon souffle, je m'assois. Il me regarde toujours. Je me mets à quatre pattes et je m'approche de lui. Je me redresse, et je m'avance entre ses genoux. Il se recule tout au fond du canapé et tente de serrer les jambes, comme pour se protéger: 

- Qu'est-ce tu …

 

Trop tard, j'y suis. Je caresse l'intérieur de ses cuisses … sa queue est là, allongée dans la jambière de son pantalon. Sous la toile, je sens la longue bosse de son sexe, pas encore complètement dégonflé. Je me penche et je pose mes lèvres dessus. 

- Hhhmmmmmm, j'aime ta queue …

 

De sa main libre, il tente de repousser ma tête … mais sans conviction … Je pose des baisers sur le tissu, tout le long de sa hampe. Puis je me redresse et, tout en le tripotant machinalement:

- J'aime ta grosse queue … tu me baiseras encore, hein …

- Je … je sais pas …

- Si. Tu me baiseras encore … tu as franchi le pas, maintenant … c'était bien, non ? Tu me baiseras encore …

- On … on verra …

- Oui. Là, j'ai envie de te sucer … Laisse moi te sucer. 

 

J'entreprends de déboutonner son pantalon. Il se laisse faire. J'écarte les deux pans et je plonge ma main dans sa jambière. Son membre est là, sous mes doigts … Oh la la ! Délicatement, je  commence à le sortir. Il s'est recalotté. J'extrais aussi ses couilles de son pantalon. HHmmmm ! Cette fois, je l'ai eue en moi, cette queue énorme ! Je me penche et je pose des baisers tout au long de sa bite, puis sur ses couilles. Ça le fait rire. Son sexe sent le sperme. Je fais glisser mes lèvres sur sa verge, jusqu'à son gland, et je le prends dans ma bouche. Je fais tourner ma langue autour de son gland, puis la joue posée sur sa cuisse, je reste comme ça, immobile, avec cette chose, cette merveille dans ma bouche.

 

- Tu l'as fait ! J'en reviens pas. Tu t'es fait BAISER par mes chiens !

 

Je sors son sexe de ma bouche et, tout en le caressant du bout des doigts, je le regarde:

- Oui. Tu vois, c'était possible … Et toi aussi, tu m'as baisé.

 

Il hoche la tête:

- Ouais. Ça aussi, j'en reviens pas.

- Et ça t'a plu …

- …

- J'aimerais bien revenir de temps en temps chez toi … pour que vous me baisiez encore, tous les trois, toi et tes chiens.

- Non, non … je …

- Quoi ! Tu as dit "on verra".

- Oui, mais … j'ai dit ça comme ça ... 

- Alors seulement tes chiens.

 

Il me dévisage:

- Aaaaah, ça y est, j'ai compris ! C'est pour ça que, tout à l'heure, tu m'as proposé de venir t'occuper d'eux au cas où je partirais quelques jours … C'est ça, hein ? C'était pour venir te faire sauter … 

 

Je me contente de sourire. Inutile d'en dire plus, il a compris et il secoue la tête:

- Putain, t'en as jamais assez ! Bon, et puis écoute … tu vas devoir y aller. Moi, je dois descendre en ville. Il faut que je récupère une pièce pour mon semoir avant que ça ferme.

 

Il est soulagé, il a tiré son coup et il me vire:

- Ça va, j'ai compris. Tu me laisses quand même le temps de repasser par la salle de bain ?

- Ben ouais. Mais n'oublie pas ta lingerie, cette fois.

 

Je me relève en m'appuyant sur ses cuisses. Les deux chiens lèvent la tête et me regardent me diriger vers l'escalier. 

 

Quand je redescends, rhabillé, Jean-Claude m'attend à côté de sa porte d'entrée. On ne peut pas être plus clair, il est pressé que je me barre. Il ouvre pour me laisser passer. Into et Iago sont dans la cour et m'ignorent royalement. Eux aussi ont tiré leur coup, et je ne les intéresse plus. Je tends la main à Jean-Claude:

- Tu m'appelleras ?

- Pour quoi faire ?

- Si tu changes d'avis …

- Ah, ouais. On verra …

- Bon, salut.

- Salut.

 

Pendant que je manœuvre pour sortir de sa cour, je le vois qui se dirige vers son pick-up, garé sous le hangar, ses chiens sautant autour de lui.

 

Tout le long du chemin jusque chez moi, j'ai l'impression d'avoir encore cette présence énorme dans mon rectum, et je sens le cocktail tiède des semences des trois mâles de cette ferme s'écouler peu à peu au fond de mon pantalon.

 

ÇA M'EST ARRIVÉ ! ÇA M'EST ARRIVÉ ! 


JE ME SUIS FAIT BAISER PAR DES CHIENS !!!

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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