Vendredi 10 février 2017 5 10 /02 /Fév /2017 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Il a posé ses mains sur ma tête et il se laisse sucer le zizi … oui, là, ce n'est pas une queue, une bite, un braquemard, c'est seulement un zizi … un petit zizi attendrissant … pas vraiment recroquevillé, mais détendu, tranquille … il se laisse sucer le zizi, et ça ne l'excite même pas, ça ne le fait même pas bander, même pas frémir entre ma langue et mon palais … et c'est tant mieux, parce que, pour l'instant, ça me va, qu'il reste comme ça … Je me régale … et je salive abondamment … Quand je l'ai bien sucé, quand je l'ai tété tout mon soûl, je le sors délicatement de ma bouche, lui donnant quelques ultimes coups de langue pour essuyer ma salive, et je me relève. Il me sourit encore:

- C'était bien ?

- Hhhmmm, oui.

- On va se coucher ?

- Oui.

- Tu vas mettre quoi, pour la nuit ? T'as amené quelque chose ?

- Oui … des nuisettes.

- Montre.

 

 Je sors de mon sac ma nuisette noire, très courte et en voile transparent, et celle couleur crème, hyper moulante. Il me montre la noire:

- Mets celle-là !

 

Il me regarde l'enfiler, sifflote entre ses dents, et il m'ouvre la porte. Je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre à chaque pas. La crème hydratante ! Quand nous entrons dans la chambre, Domi ronfle, allongé à poil sur le ventre. Il dort déjà. Denis me demande:

- Tu veux dormir au milieu ou au bord ?

- Au milieu, entre vous.

 

Je me glisse sous la couette et je m'allonge en chien de fusil, à moitié sur le ventre, serré contre Domi, mon bras passé sur son dos. Il ne réagit pas. Je sens Denis se coller à moi et glisser lui aussi son bras entre mon torse et le flanc de Domi. Coincé entre mes deux mecs … entre mes deux hommes … entre mes deux amants … hhhmmmm … je suis bien, entre mes deux hommes. Mes deux hommes qui m'ont baisé, tous les deux … et qui, demain, vont encore me baiser. Je glisse ma jambe sur celles de Domi. Dans son sommeil, il se tourne à demi sur le côté, lui aussi en chien de fusil. Nous voilà tous les trois emboîtés l'un dans l'autre. Après la frénésie de sexe de ce soir, ce moment de calme, de douceur, de tendresse, même … j'adore. Je caresse doucement le torse de Domi, descendant peu à peu ma main jusque sur son bas ventre et je prends son sexe entre mes doigts. Evidemment, il est au repos, un peu ratatiné … son gland effleure le matelas. Mais il ne s'en rend pas compte, et il dort toujours, apparemment assommé, sans doute un peu par l'alcool, un peu par cette longue virée au grand air, un peu par nos séances de baise et ses éjaculations. Je passe mon autre bras derrière moi et, à tâtons, je cherche la bite de Denis. Il devine ce que je veux et, pour m'aider, il recule son bassin. Ah, voilà ! Lui aussi est un peu mou, mais pas vraiment au repos. Je lui pétris délicatement le gland. Un sexe dans chaque main ! Les sexes que j'ai sucés et qui me sont entrés dedans, les sexes avec lesquels mes deux amants m'ont sailli et fécondé. 

 

Dans un demi sommeil, je me remémore toute cette soirée, depuis mon entrée dans cet appartement … l'arrivée, les uns après les autres, des quatre mâles qui allaient me baiser … la découverte de leurs sexes … leur premier contact avec mes lèvres, avec ma bouche … cette sodomie sur l'îlot central de la cuisine … et sur le canapé … ce repas, tout le monde la bite à l'air ... la séance de godage au rouleau à pâtisserie … la traversée de la ville en voiture, une bite dans chaque main … l'arrivée chez Jeannot et la rencontre avec six inconnus à qui Denis m'offre … les quatre qui me prennent chacun à leur tour, et tirent leur coup … la traversée de M. à pied et cette espèce de parcours du combattant émaillé de défis, d' "épreuves" de cul, de baise en pleine vile, tellement excitantes … cette course avec les flics au cul … cette ultime baise à la Plage, sous les yeux des jeunes … et notre retour ici … et …

 

Le sommeil me gagne … je m'endors …

 

Je me réveille … je ne sais pas au bout de combien de temps. Malgré ma position, Denis est en train de me grimper dessus. J'ôte mon bras du dos de Dominique et mon genou de sa jambe, et je m'allonge complètement à plat ventre. J'écarte les jambes et Denis s'allonge sur moi. Il glisse sa main entre son ventre et mes fesses et je le sens manipuler son sexe. Il va encore me prendre ! Putain, il bande encore ! Je passe mes mains derrière moi, j'empoigne mes fesses et je m'ouvre à la pénétration de son membre. Il m'arrache un halètement quand il loge son gland dans mon anus. Et de nouveau, il s'enfonce lentement. La crème hydratante qu'il m'a fourrée dans le cul et l'humidité résiduelle de mes lavements de tout à l'heure me lubrifient suffisamment. Et puis l'élasticité des muscles de mon anus lui permettent de s'introduire en moi sans difficulté. Je le sens à nouveau vraiment très raide. Décidément, mon cul l'inspire ! Je n'en reviens pas de le faire bander comme ça. Voilà son pubis contre mon coccyx. Je sens ses poils qui me chatouillent le pourtour de la rondelle. Je remonte mes mains et je croise mes avant bras sous ma joue. Vas-y, mec, fais moi ce que tu veux. Use de mon cul. Prends ton plaisir. Il finit de s'affaler sur moi. Il m'écrase sous son poids. Je sens son ventre peser sur mes reins, son torse sur mon dos. Les poils de ses cuisses contre mes cuisses ouvertes. J'adore ça, me faire écraser, aplatir par un mec vautré sur moi. J'adore ça, avoir les cuisses ouvertes pour accueillir un mâle. Il pose sa tête entre mes omoplates et sur ma nuque. Vas-y, Denis, baise-moi encore ! Mais non, il ne bouge pas. Ou à peine. Il oscille imperceptiblement du bassin, comme pour parfaire sa pénétration, sa position. Je sens son souffle, chaud, sur mon cou et sur ma joue. Hhhmmmm, ça aussi, j'aime ! C'est à la fois sexuel et tendre. Me voilà planté, cloué, punaisé sur ce matelas par un mec qui m'a enfoncé sa queue dans le cul ! Sa bouche contre mon oreille, il souffle:

- Fais-moi comme l'autre jour …

-  Comme l'autre jour ?

- Oui, à la ferme, chez Jean-Claude … tu m'avais serré la queue avec ton cul … tu te rappelles ?

 

Ah oui ! C'est à lui, que j'avais fait ça ? Je me concentre et je m'efforce de contracter mon sphincter sur sa queue. Mais j'ai la rondelle tellement détendue que je dois m'y reprendre à plusieurs fois. Il murmure:

- Tu veux pas ?

- Si, si. Attends. J'ai les muscles trop relâchés. Il faut que j'arrive à les contracter. Ça va venir.

 

Je le sens qui pose sa bouche, tiède et humide, au coin de mon épaule, et qui attend. Ça vient. Je sens que ça vient. Peu à peu, j'arrive à contracter mon anus de plus en plus fort. Je commence à bien sentir sa hampe dans mon étui. Lui aussi doit commencer à sentir mes contractions. Il se met à ronronner. Il me mordille la base du cou, le lobe de mon oreille, il me lèche, il me tète … Puis, la bouche toujours contre mon oreille, il souffle:

- Rhââ, putain ! Quel cul ! QUEL CUL !

 

Dominique bouge à côté de nous. Il se tourne sur le côté, face à moi, son genou contre ma cuisse. Une lumière, restée allumée dans le couloir, atténue l'obscurité de la chambre, et à un reflet dans un de ses yeux, je me rends compte qu'il me regarde. On l'a réveillé ? Pourtant nous sommes vraiment silencieux, et pratiquement immobiles. Il remarque Denis, couché sur moi, et il sourit. Tout en continuant de presser en rythme le membre de Denis avec mon cul, je tends ma main vers le bas ventre de Domi. Il se tourne un peu et soulève sa cuisse pour me faciliter l'accès à son sexe. Je le saisis. Toujours au repos. Je lui palpe le gland, je lui caresse la verge. Je me reconcentre sur ce que je fais à Denis. J'ai sa queue en érection en moi ! Son gland épanoui, enfoui dans la tiédeur humide de mes chairs. Domi approche son visage du mien, presque à me toucher:

- Il te … ?

 

Ces deux mots suffisent: il veut savoir si son copain est en train de m'enculer. Je cligne des yeux et je hoche la tête: 

- Oui, il m'encule !

 

Il sourit, comme satisfait de savoir que son pote est en train de m'enculer. Il ferme les yeux et, après quelques secondes, il se remet à ronfler. A mon tour je ferme les yeux. Dans ma main, j'ai le sexe d'un de mes mâles, et dans mon cul, il y a la bite en érection de mon autre mâle … est-ce que, cette fois, il va prendre son pied … est-ce que, cette fois .. il … va … me …

 

 

J'ouvre les yeux. Le jour filtre à travers les lames du volet roulant. Je suis bien, à moitié en chien de fusil, j'ai chaud. Et j'ai un début d'érection. Tiens, Domi n'est plus là, à côté de moi. Mais je sens Denis, derrière moi … contre moi. Ah oui, au fait, hier soir … non, ce n'était pas hier soir … c'était cette nuit … avant que je m'endorme, il était couché sur moi, sa bite dans mon cul … il m'a fait quoi, au juste ? Il m'a baisé ? Il a joui ? Une fois endormi, je ne me suis plus rendu compte de rien. Je glisse une main entre mes cuisses, jusqu'à ma rondelle. Je tâte du bout des doigts. C'est sec. La crème hydratante a pénétré et je ne sens aucune trace humide. Mais Denis m'a quand même peut-être injecté une dose de sperme. J'ai peut-être encore ça au fond du ventre. Je me retourne face à lui. Couché sur le côté, il dort encore profondément, je le sens à sa respiration. Aujourd'hui, on va recommencer, tous les quatre. Ils vont encore me baiser … toute la journée … tous les trois. A moins que Yann déclare forfait. On va faire quoi ? On va baiser ici, ou on va aller baiser je ne sais où ? Si c'est dehors, j'espère qu'il ne fera pas trop froid. Je glisse ma main vers son ventre. Là, sous sa cuisse, je sens sa queue. Je la prends entre mes doigts. Il ne bouge pas, et continue de ronfler doucement. J'aimerais bien qu'ils m'amènent encore à des types, comme hier chez Jeannot. J'aimerais bien qu'ils me fassent encore couvrir par des inconnus. Où on pourrait aller, pour trouver des mecs à qui ils pourraient me prêter ? On est samedi et il y a le marché, place de la Halle. Ouais, mais on peut pas faire ça là, au milieu du marché. Ou alors, il faudrait trouver … je sais pas … une camionnette de commerçant … ou un couloir d'immeuble … ou alors, il y a le centre commercial, un peu en dehors de la ville … et le parking … ouais, mais là, il y a plein de caméras … Et puis, on verra bien, je vais me laisser guider par eux. Ce sera la surprise. Cette fois, je bande vraiment. 

 

Je me glisse sous la couette, jusqu'à avoir la tête au niveau du bassin de Denis. Dans cette position, sa bite (son zizi !), est cachée sous sa cuisse … Je pose ma main sur son genou, et je le pousse. Ça ne le réveille pas. Voilà, son petit oiseau est là. J'avance ma tête, et je le prends dans ma bouche. Hhhmmmm, ce que c'est agréable, de sucer une petite quéquette au réveil ! Elle a un goût de … non, pas de sperme … seulement … seulement un peu de mon mucus anal séché … Oui, c'est ça … avec, peut-être, un peu de gel douche … ou de crème hydratante … A mon avis, cette nuit, il n'a pas joui … s'il avait éjaculé, sa queue aurait le goût du sperme. 

 

Cette fois - ah putain, il dort encore, je l'entends ronfler doucement – cette fois, je sens sa queue frémir sur ma langue … oui, elle gonfle ! Ah putain, il se met à bander en dormant ! Oh oui, dors ! Je vais te tailler une pipe ! Tout en le suçant, je glisse ma main entre ses cuisses et j'effleure ses couilles. Elles pendent dans leurs bourses. Elles sont toutes chaudes et à travers la peau de ses bourses, je sens ses deux grosses olives bouger. Hhmmmm ! Je les prends au creux de ma main. J'aime tellement les bites ! J'aime tellement les sucer ! Quelles merveilles ! Tiens, celle-ci, elle sait où elle est … toute seule ! Elle n'a pas besoin de son … de son mec, de son propriétaire, pour sentir qu'elle est bien dans la tiédeur humide de ma bouche, et que je lui fais du bien … elle réagit, elle répond toute seule, comme une grande … Et oui, parce qu'en plus, elle est de plus en plus grande … dans ma bouche ! Je t'aime, toi, la bite à Denis. Je t'aime parce que tu t'es déjà introduite plusieurs fois en moi et que j'aime ça ! Déjà l'autre fois, chez Jean-Claude, tu étais entrée plusieurs fois dans moi … dans ma bouche et dans mon cul … et tu y avais déchargé des doses de sperme. Je t'aime parce que, hier, tu as recommencé, ici, pendant le repas, et qu'ensuite, sur ce banc au bord de la rivière, tu t'es de nouveau laissée aller au fond de mon ventre … tu m'as fécondé … 

 

Denis grogne et bascule sur le dos. Je l'ai réveillé ? Non. Il se contente, par réflexe, de se gratter un peu les poils du pubis, et il se remet à ronfler. Quand il a bougé, sa queue a glissé toute seule hors de ma bouche. Je me soulève au-dessus de son ventre, et je remets sa queue au chaud entre ma langue et mon palais. Je la suce, je la tète, je la pompe doucement, goûtant le plaisir d'avoir ce cylindre de chair tiède, doux et vivant en moi. Elle se décalotte peu à peu et j'enfonce son gland aussi loin que je peux dans ma bouche. 

 

- Hhhhhmmmm ! Qu'est-ce tu fous ?

 

Denis a grogné. Cette fois, il est réveillé, et il ronchonne. Qu'est-ce que je fous ? Je te suce, je te taille une pipe, mec ! A tâtons, il cherche ma tête, la trouve. Il pose sa main sur mes cheveux et il me caresse. Maintenant qu'il est réveillé, il bande de plus en plus nettement. Il a ronchonné, mais maintenant, ça lui plaît bien, d'être réveillé par une turlute. Alors, toujours caché sous la couette, je m'installe entre ses jambes, à genoux, les fesses posées sur mes talons et courbé au-dessus de son ventre … et j'accentue ma fellation. Tout en le suçant, je lui caresse le ventre, le torse. Hhhmmm, ça y est, on va encore baiser ! L'excitation me gagne. J'hésite … je le fais jouir dans ma bouche, ou dans mon cul ? J'ai bien envie de sentir son sperme s'étaler sur ma langue et s'écouler dans mon œsophage … mais j'aimerais bien aussi qu'il éjacule au fond de mon ventre … Et si ils me prenaient tous les deux en même temps, avec Domi ! Un qui me tire dans la bouche et l'autre dans le cul ! Où il est Domi ? Je gémis … Et j'entends Denis dire quelque chose … mais je ne comprends pas, sa voix est étouffée par la couette. Alors, je la soulève tout en sortant son sexe de ma bouche:

- T'as dit quoi ?

- J'ai dit "arrête de me sucer et pose ton cul sur ma queue".

 

Ah oui ! Je finis de rejeter la couette et je l'enjambe ... à califourchon au-dessus de son ventre, les genoux de part et d'autre de son bassin. Il me regarde en souriant. Quand j'ai le cul au-dessus de son sexe, je le saisis et je le dresse à la verticale. Denis soulève sa tête pour assister, entre mes cuisses, à la pénétration de son membre dans mon fourreau. J'abaisse lentement mon cul en guidant sa bite en direction de mon anus. Ah, voilà ! J'ai son gland contre ma rondelle ! Je descends lentement. Ah putain ! Son gland tout chaud dans mon sphincter ! Je reste quelques secondes comme ça, immobile, jouissant du bonheur de ce début de pénétration. Puis je finis de m'empaler, lentement … Hhhmmmm, je sens son sexe coulisser dans ma rondelle. Voilà ! Mes fesses reposent sur son ventre. J'oscille un peu du bassin pour ingurgiter complètement sa queue et je me cambre. Ah putain, ce que c'est bon, d'être assis sur cette bite ! Je me penche en avant et je pose mes mains sur son torse. Je bouge mon cul pour bien le sentir en moi. Il me regarde, il me sourit ... il pose ses mains sur mes genoux et les remonte le long de mes cuisses, jusqu'à mes aines … il les glisse sous ma nuisette et me caresse les hanches, la taille, le bas ventre. Moi aussi, je bande. Je le sens qui bouge son bassin sous moi.

 

- T'arrête jamais, hein ?

- Quoi ?

- T'arrête jamais … t'en a jamais assez … il te faut tout le temps une bite dans le cul …

- …

- Un mec, ça te suffirait pas …

- Un mec ?

- Oui, avoir seulement un mec, un copain, un homme … un seul mec, ça te suffirait pas …

- Ça dépend … si il assure …

- Mouais … je crois pas …

- Pourquoi ?

- Je crois pas qu'un seul mec suffise pour te satisfaire … et puis, t'aime trop te faire prendre par plusieurs mecs … pas vrai ?

- Oui, j'aime ça.

- Tu vois … 

 

Je me redresse et je me mets à monter et descendre mon cul. Je sens sa queue aller et venir en moi. Ça a l'air de lui faire de l'effet. 

 

- Et … t'as jamais pensé à faire ça … pour de l'argent ?

 

Nous y revoilà. Je me demandais quand il remettrait ça sur le tapis. Voyons où il veut en venir:

- … à faire ça pour de l'argent ?

- Oui, à faire la pute, quoi … comme l'autre, le Jacky, il t'a proposé …

- Ben non. Je m'en fous, de l'argent … j'en ai pas besoin … ce que je veux, c'est seulement me faire baiser …

- Oui, mais, si tu faisais la pute, tu serais sûr d'avoir tout le temps des mecs qui viennent te baiser … alors que sans ça, c'est aléatoire … t'es pas toujours sûr de trouver des mecs …

- Ouais, peut-être … c'est vrai que pour le moment, je suis pas toujours sûr de trouver des mecs … mais ça va sûrement changer …

- Comment ça ..

- Ben oui, je débute, si tu veux … je sais pas si je t'ai dit, mais mon premier mec, la première fois où j'ai baisé avec un mec, c'était seulement début juillet, c'est-à-dire il y a seulement un peu plus de trois mois … depuis, ça a été très vite .. je m'en suis fait pas mal, des mecs … 

- Tu sais combien ?

- Non.

- A peu près …

- A peu près ? Je sais pas … une quarantaine … déjà, une trentaine à mon gangbang … et … les huit blacks à l'hôtel … les trois routiers … tu vois, ça fait déjà plus de quarante … je t'avais raconté, la première fois où je me suis fait baiser par plusieurs mecs ? C'était avec les trois routiers, au bord de l'autoroute … 

- Ouais, chez Jean-Claude, tu nous as raconté …

- Tu vois ? Tout ça en moins de quatre mois …

- ...

- Mais ce qui m'a fait vraiment … basculer … c'est les huit blacks, à l'hôtel. Là, c'était début septembre. Et ceux-là, c'est pas moi qui les ai cherchés, c'est eux qui m'ont trouvé … oh la la, c'est eux qui m'ont … c'est avec eux que j'ai … c'est eux qui m'ont rendu accro à … à me faire prendre à la chaîne … ah putain, se faire baiser par plusieurs mecs, les uns derrière les autres … je te dis pas ! C'est vraiment là que ça a été la révélation, pour moi … Après, me faire baiser dans un gangbang géant, c'était devenu une évidence, pour moi. C'est pour ça que j'ai pas hésité quand Philippe me l'a proposé … et ensuite, il y a eu les cinq types à L.F., deux jours plus tard …

 

Ça m'excite de me remémorer tous les coups de bites que j'ai pris. Tout en parlant, j'ai passée une main derrière moi, je l'ai glissée entre ses cuisses et je lui tripote les couilles. Il me coupe la parole:

- Ah bon ? Les cinq mecs à L.F., je savais pas. Deux jours après ton gangbang ? Cinq mecs ?

- Ouais. Et quelques jours après eux, y'a eu Nicolas, un autre mec du gangbang, qui a voulu me revoir pour que je lui taille une pipe … ben lui, c'était il y a juste une semaine … 

- Mais … il y a une semaine ... on avait pas déjà pris rendez-vous, tous les deux ?

- Ben oui … peut-être …  pourquoi ?

- Nan, comme ça … je … je pensais pas que tu verrais un autre mec entre temps …

- Ben si. T'étais pas censé avoir l'exclusivité … alors, tu vois, avec ces cinq là et les quatre de chez Jeannot, je suis plutôt à une cinquantaine de mecs qui me sont passés dessus … ça commence à faire du monde … et certains de ces mecs qui m'ont déjà baisé, ils veulent recommencer, comme Nicolas ... et toi ... et Yann … tu vois, de proche en proche, et avec le bouche à oreille, je devrais pas manquer de bites à soulager …

 

Il ricane:

- Ouais, t'as raison … mais du coup, faire le tapin, ça va être non …

- J'ai pas dit ça. 

- Ah bon ? T'es pas vraiment contre ?

- Je sais pas … faut que je réfléchisse … 

- Mmm Mmm ! En tout cas, moi j'aurais peut-être déjà des clients pour toi …

- Ah bon ? Encore les mecs de chez Jeannot ?

- Non non … pas les mecs de chez Jeannot …

- Qui, alors ?

 

Il arbore un sourire mystérieux. J'insiste:

- Vas-y, raconte …

- Le jeune … le jeune de la Plage … tu sais, celui qui m'a demandé mon téléphone …

- Je m'en doutais …

- Ouais. Il dit qu'il peut réunir des potes à lui … qui seraient prêts à te … baiser.

- Mais … des potes de son âge ? Ils ont quoi ... la vingtaine à tout casser … 

- Lui, non, il a vingt-trois ans, je crois. Les autres, avec qui il était, oui, ils ont dans les dix-neuf, vingt ans … mais c'est pas avec eux qu'il veut faire ça. Il fait partie d'une autre bande … des mecs plus âgés, apparemment … Il va leur en parler, et il doit me rappeler … 

- Ah ouais ? C'est marrant, celui-là, quand il m'a dit au revoir, j'ai senti qu'il était prêt à me demander quelque chose, mais il s'est dégonflé.

- Nan, c'est pas ça, il a préféré me demander à moi. Quand il m'a pris à part, il m'a dit « Je vous demande à vous, comme Marin, il est à vous et que c'est vous qui décidez si vous le prêtez ou non … ». Tu vois, il croyait que c'était moi … enfin, nous, qui décidions. Je m'excuse, hein, on venait de leur dire ça, aux jeunes ... que t'étais à nous …

- T'excuses pas, ça me va …

- Quoi …

- Ça … que vous disiez aux autres que je suis à vous … ça me plaît … ça me plaît d'être à vous … ça me plaît que vous me dirigiez, que vous décidiez … que vous me traitiez comme ça … comme un objet … comme votre … jouet … ça me plaît que vous me prêtiez à d'autres mecs … et lui, le jeune, là, si il te demande, tu voudras bien me prêter à lui et à sa bande de potes ?

- T'as envie ?

- Oui

- Tu sais même pas qui c'est !

 

C'est plus fort que moi, j'éclate de rire. Alors lui ! Il participe à un gangbang d'une trentaine de types dont je ne connais … si on peut dire … dont je ne connais que l'organisateur et le propriétaire des lieux … lui-même, pas plus tard  qu'hier soir, m'entraîne dans un troquet pour me faire tringler par des types que je n'ai jamais vus … et là, il s'étonne que j'aie envie de me faire sauter par d'autres inconnus. Je reprends sur le même ton que lui:

- "Tu sais même pas qui c'est !". Je m'en fous, Denis, de connaître ou pas les mecs qui me baisent. Je vous connaissais pas non plus, vous, les vingt cinq ou trente mecs de mon gangbang .. ni tes potes de chez Jeannot. Qu'est-ce que je risque, avec ce mec de la Plage et sa bande ? Qu'ils me violent ? Hhmmmm, comme mes huit blacks à l'hôtel ? Ah si ! Ce que je risque c'est que ça soit des casseurs de pédé, et qu'ils me cassent la gueule. Alors, il faudra seulement que tu m'accompagnes, avec Domi et Yann.

- Ben oui, faudra qu'on veille sur notre … jouet. Faudrait quand même pas qu'ils l'abîment …

- Il t'a dit combien ils seront, ses potes, au jeune ?

- Ah, t'es un cas, toi alors … non, il m'a pas dit combien ils seront … tu sais, je suis même pas sûr qu'il va m'appeler …

 

La porte de la chambre s'ouvre et Domi entre. Il est déjà habillé:

- Ah, vous êtes réveillés, à ce que je vois. Denis, je crois qu'il y a un truc qui a sonné dans ton bureau … plusieurs fois

- Ah, merde ! Ça doit être mon téléphone pro. Qu'est-ce qu'ils me veulent ? Dis, tu peux me l'amener, s'il te plaît ? Il est dans ma mallette. Tu peux l'ouvrir …

 

Pendant que Domi disparaît, Denis se remet à me peloter. Pendant notre conversation, j'avais ralenti mon va et vient sur sa queue. Je m'y remets avec plus de conviction. Domi revient et tend son téléphone à Denis. Il pianote sur son écran, et:

- Ah merde, c'est mon patron. Faut que je l'appelle. Je m'excuse …

 

Je continue d'aller et venir sur son pieu, et il pianote de nouveau:

- Allô ? Salut, Michel ... Non, vas-y, qu'est-ce qui se passe ? … Hein ? ! ? ! Tu déconnes … Quand ça ? 

 

Ça aussi, ça me plaît: aller et venir sur sa bite pendant qu'il parle avec son patron. Il le sait, son patron, qu'il baise un mec, le Denis ? Le téléphone à l'oreille, il me caresse distraitement la cuisse de sa main libre:

- Mais … qui c'est qu'a … Ah putain, les cons ! … Ouais … Nan, tu penses bien, hier, en partant, on leur a bien expliqué … ouais … ouais, on a même mis un énorme panneau "Pas toucher ce terminal sans nous" … Si, demande à Nadir … Bon, alors … Ah, putain ! … Ouais, j'm'en doute … Ouais, mais ça me fait chier, j'avais prévu des trucs, ce week-end …

 

Ça oui, il avait prévu "des trucs". Il en a même un, assis sur sa queue, "un truc". Je continue de le baiser, mais il n'est plus vraiment avec moi. Par contre, Domi, oui: il s'est agenouillé au bord du futon, à côté de moi, et, une main posée sur mon ventre, sous ma nuisette, il est en train de me peloter le cul, suivant mes mouvements de va et vient sur la bite de son pote. Il se penche et me souffle à l'oreille:

- T'arrête jamais, hein …

 

La même réflexion que Denis, tout à l'heure ! Il approche ses doigts de ma rondelle. Il va me doigter pendant que Denis m'encule ? Denis poursuit avec son patron:

- Ben ouais … ça me fait chier, Michel … ouais, bien sûr, je comprends … Ouais, en voiture, on met autour de cinq heures et demie, à chaque fois … Ouais … Bon, ben tu me rappelles, alors ? … OK, à tout'

 

Il pose son téléphone:

- Putain ! Ils me font chier ces cons !

 

Domi, une main toujours sur mon cul, et une sur mon ventre:

- Un souci, on dirait …

- Ouais. Y'a un con de la boîte chez qui on bosse en ce moment qui a fait une connerie. Il a planté le système …

- T'es toujours sur ton affaire d'hypermarché ? Je ne sais plus où ?

- Ouais. C'est à Saint-Etienne … une plate-forme logistique qui alimente dans les cent cinquante moyennes et grands surfaces. Ça fait des mois qu'on bosse là-dessus avec Nadir et un autre collègue … on leur change entièrement leur système informatique … mais fallait surtout pas qu'ils activent le nouveau réseau pendant que l'ancien tourne … Nous, on fait nos tests la nuit, quand l'ancien réseau est en mode " off " … Et là, y'a un con qu'a voulu voir ce qu'on avait fait et qui a activé le nouveau terminal …

- Et alors ?

- Ben alors, il a tout planté. Le système comprend plus rien, si tu veux … Y'a plus rien qui marche, ni le nouveau, ni l'ancien réseau … plus de commandes des magasins, plus de commandes vers les fournisseurs … la compta H.S. … le planning des livraisons pareil … tous les camions bloqués … bref, le bordel ! 

- Ils peuvent pas remettre tout ça en route ? 

 

Denis s'est remis à me peloter, lui aussi.

- Ça se reboote pas comme un PC. On va devoir y aller. Mon patron, Michel, il arrive pas à joindre Nadir. Alors, il va venir avec moi. Mais Saint-Etienne, c'est pas la porte à côté, et il faut que ça redémarre le plus vite possible … en tout cas avant lundi … bon, ma poule, c'est foutu, pour ce week-end … mais Domi et Yann, ils vont continuer à s'occuper de toi …

 

Domi secoue la tête:

- Moi, aujourd'hui, je peux pas, Denis … je t'avais dit, j'ai un boulot à rendre impérativement lundi … je suis en retard, faut que je m'y mette … Et puis Yann … il est pas bien … je crois que tu pourras pas non plus compter sur lui ..

- Qu'est-ce qu'il a ?

- La gueule de bois, déjà … et la crève … et peut-être même la chiasse …

- Bon, ben, désolé, ma poule … ton week-end de cul s'arrête là …

 

Putain, en principe, c'était parti pour trois jours de baise avec quatre mecs et ça s'arrête là, au bout d'une demie journée. Je m'étais déjà fait tout un cinéma sur ce que ça allait être, de vivre vingt quatre heures sur vingt quatre avec ces quatre types, de faire ma salope avec eux, d'être à leur disposition à tout moment, de passer de l'un à l'autre au gré de leurs envies et de leur excitations, de me faire prendre partout et dans toutes les positions dans cet appartement et ailleurs … Si il était allé là-bas, à Saint-Etienne, en voiture avec Nadir, je lui aurais proposé de les accompagner. Je me serais occupé d'eux pendant le trajet, et ensuite à leur hôtel – je suppose qu'ils vont à l'hôtel - , mais si c'est avec son patron, je pense que c'est même pas la peine d'y penser. Alors, en finir pour en finir, autant que ce soit en beauté. Je secoue la tête:

- Non, il s'arrête pas là. Baisez-moi tous les deux … maintenant.

- Co … comment ça, tous les deux …

- Baisez-moi tous les deux … enculez-moi ensemble … fourrez-moi vos deux bites en même temps …

- Tu .. tu veux dire … 

- Je veux dire que je veux une double sodomie.

- Ben … j'ai jamais fait ça. Et toi, Domi, t'as déjà fait une double sodomie ?

- Non, moi non plus … Et toi, Marin, t'as déjà fait ça ?

- Oh que oui, il a déjà fait ça !

 

Denis ne m'a pas laissé le temps de répondre. Il poursuit:

- … et pas qu'un peu ! L'autre jour, à la ferme, tu t'en es pris combien à la suite, des doubles sodos ?

- Quatre. 

- QUATRE fois ! Il s'est fait enculer par deux bites à la fois QUATRE fois de suite ! Et les derniers, j'peux te dire que c'était des sacrés morceaux ! J't'ai pas montré les vidéos, Domi ?

- Non, pas celles-là …

- T'es sûr que tu veux ça, ma poule ?

 

Je hoche la tête. Oui, je veux ça. Deux d'un coup ! Si ça doit s'arrêter là, ce week-end, qu'ils me baisent tous les deux en même temps ! Il y en a visiblement un autre qui veut ça: Domi s'est relevé et il est déjà en train d'ôter son pantalon. Il n'a pas attendu que son pote me dise oui. J'ai arrêté d'aller et venir sur la bite de Denis. Bien assis sur son ventre, sa queue bien enfoncée au fond de mon cul, je me suis redressé. Pendant que Domi passe sa chemise par-dessus sa tête, et je lui tripote la queue. Il commence à bander. L'idée de me prendre en sandwich, sans doute. Maintenant complètement à poil – ah non, il a gardé ses chaussettes - debout à côté du lit, il me regarde d'un drôle d'air. Je lève les yeux sur lui:

- Domi, il faudrait que tu ailles chercher mon lubrifiant. Il doit encore être dans la poche de mon blouson. Je l'ai laissé sur un fauteuil, il me semble …

 

Il hésite, regarde ma main qui lui palpe la bite. Ah OK, il attend que je le laisse tranquille. Je lâche sa queue et il fait aussitôt demi-tour pour quitter la chambre. Je me penche de nouveau au-dessus de Denis, et je change de position. J'allonge mes jambes de part et d'autre des siennes et je me couche sur lui. Appuyé sur les coudes, ma figure au-dessus de la sienne, je bouge mon bassin:

- Ça te gêne, de m'enculer avec Domi ?

- N… non.

- Moi, j'en ai une furieuse envie.

 

Tout en bougeant mon bassin, en faisant aller et venir mon cul sur sa queue, j'approche mon visage du sien et je pose mes lèvres sur son cou juste sous son oreille:

- Vous allez me baiser tous les deux, hein …

 

Il hoche la tête:

- Oui

- Je veux vos deux queues dans mon cul.

- … 

- Et vous allez jouir tous les deux dans mon  cul …

- ...

 

Domi est de retour. Inutile de lui préciser ce que je veux. J'entends déjà le plop du bouchon de mon flacon de lubrifiant, et, presque aussitôt, le bruit mouillé du gel qui sort du tube. J'écarte bien les cuisses. Denis a aussi compris ce qui se passe … il m'empoigne les fesses et me les ouvre pour faciliter la tâche à Domi. Je sens la fraîcheur du gel sur ma rondelle. Domi:

- Attention, Denis, je vais … je vais lui en mettre aussi dedans …

- Vas-y, mec.

 

Oui, pour me mettre du gel lubrifiant jusque dans le cul, il va devoir me rentrer ses doigts contre la queue de Denis. Ah yess ! Ça y est, il m'a rentré un doigt … Il le fait aller et venir … Il le sort … Nouveau bruit du gel qu'il extrait du tube … et de nouveau son doigt … non, SES doigts. 

- J'te fais mal, Marin ?

- Non. Vas-y. Doigte moi encore … il faut me détendre les muscles …

- Et toi, Denis … ça va ?

- Ça va, mec. Tu m'excites, Domi …

- Arrête tes conneries.

 

Il y va plus vigoureusement. Ils font les malins, mais je perçois quand même comme une gêne. M'enculer ou se faire sucer l'un devant l'autre, ça va, ils assument, mais là … toucher la bite à son pote … ça doit être la première fois qu'ils se touchent comme ça, ces deux-là. Et tout à l'heure, ils vont être queue contre queue, gland contre gland … et j'espère bien qu'ils vont finir avec leurs deux glands baignant dans le mélange de leurs spermes. Plus intimes que ça, c'est pas possible. Tête baissé au-dessus de celle de Denis, je ferme les yeux. Oh, putain, j'aime ça. Dans un instant, je vais encore me prendre DEUX bites dans le cul ! Accouplé avec deux mâles ! Sailli par deux mecs en même temps ! Je ne peux retenir un gémissement. Domi sort ses doigts de mon cul, et j'entends mon flacon de lubrifiant tomber sur le sol.

 

Je sens le matelas s'enfoncer entre mes pieds. Ça y est, Domi va venir sur moi … Denis me tient toujours les fesses et me les écarte. Je sens les genoux de Domi venir se poser contre les miens sur le matelas … et il s'appuie d'une main à côté de mon épaule … Ah, voilà, je sens ses cuisses qui effleurent l'intérieur des miennes … il est en train de s'étendre au-dessus de moi … sa main, contre ma fesse … il guide sa bite … Oh, putain, oui, je sens son gland contre mon anus … contre la verge de Denis … il glisse … il n'arrive pas à s'insinuer entre la verge de son pote et le bord de ma rondelle … il se remet en position … il force … ça résiste un peu … et d'un seul coup, je sens sa bite qui entre ! Ah, la vache ! Je me sens ouvert, forcé par ces deux sexes gonflés … Domi cramponne toujours sa queue .. entre mes fesses, je sens sa main qui serre sa verge pour la raidir et la maintenir en place … Il s'enfonce … il s'enfonce … Oh putain, ça y est, j'ai leurs deux bites dans le cul ! J'ai deux mecs qui me baisent ! Je halète … Domi lâche sa queue et finit de s'affaler sur moi . Ça y est, me voilà pris en sandwich entre mes deux mâles ! Ah, j'aime ça … coincé, écrasé entre deux types qui me baisent ! Là, je me sens tellement ... tellement femelle ! Saillie par deux mâles en même temps ! Viande à bites ! Réceptacle à queues ! Vide couilles ! Domi, sa bouche contre mon oreille:

- Ça va, ma poule ? 

 

Je hoche la tête "Oh oui, ça va !"

 

- T'as pas mal ?

 

Je secoue la tête "Oh non, j'ai pas mal ! "

 

- Et toi, Denis ?

- Ça va, mec … ça va même très bien !

- Moi aussi … Putain, c'est la première fois pour moi !

 

Doucement, précautionneusement, il se met à bouger son bassin et à sortir lentement sa queue … il s'arrête .. et re-rentre … Je le sens haleter contre mon oreille. Il recommence … sort un peu plus … et re-rentre … Sous moi, Denis respire par la bouche … le va et vient de Domi contre sa queue a l'air de lui faire beaucoup d'effet. Domi prend de plus en plus d'assurance et se met à aller et venir plus franchement, avec plus d'amplitude … Ah putain, je sens vraiment bien leurs queues qui me forcent, qui me dilatent la rondelle … Mentalement, je les visualise, au fond de mon cul … la bite de Denis, immobile, pressée, écrasée, aplatie par celle de Domi qui glisse, qui coulisse en moi … leurs deux glands qui se frottent, compressés l'un contre l'autre par mon rectum inondé de lubrifiant et sans doute aussi par leurs liqueurs pré-éjaculatoires … Domi se met à me lécher l'oreille, puis à me la mordiller … il gémit:

- Ah putaiiiin … ah puuuuutaiiiin, quel cul d'enfer !

 

Il halète de plus en plus fort:

- Je vais … je vais … je vais … ah puuutaiiiin … je vais jouir !

 

Encore deux va et vient et soudain, il s'enfonce en moi et s'immobilise:

- AaaaahhhAAAAaaaaaHHHhhhaaaaAAAAAhhhaaaaaaaaaa !

 

Je … je le sens ! Il jouit ! Je le sens éjaculer ! Je sens sa queue gonfler, pulser à chaque éjaculation … Il me remplit de sperme … il m'insémine ! Et soudain, sous moi, je sens le ventre de Denis se contracter contre mon ventre, en même temps qu'il se met, lui aussi à haleter … Le sperme chaud de Domi lui inonde le gland .. et ça déclenche son orgasme … Les mains crispées dans le gras de mes hanches, il jouit à son tour … Ah, les mecs ! Ah les mecs ! Je vous aime ! Baisez-moi ! Fécondez-moi ! Là, il y a des millions de microscopiques bestioles qui grouillent dans mes entrailles à la recherche d'un ovule à fertiliser. Allez-y, je suis une femelle, faites-moi des petits ! Ah, putain, quel bonheur ! Quelle volupté ! Baisé et inséminé par deux mâles en même temps ! 

 

Sous moi, entre le ventre de Denis et le mien, je sens ma queue qui baigne dans … je ne sais quoi ... Je n'ai pas joui, pourtant … et vu la quantité, ce n'est pas seulement de la "mouille" … la pression de ces deux bites contre ma prostate en a sans doute fait sortir un peu de sperme … 

 

Ils soufflent, ils halètent tous les deux ... je sens que leurs deux orgasmes sont très puissants, exceptionnels ... Ils ne sont plus que deux bites qui jouissent, qui explosent et qui crachent leur sperme au fond d'un cul ... d'un seul et même cul ... C'est Denis qui se met à rire le premier. Il a fini d'éjaculer, et je sens son ventre se secouer sous mon ventre … Ça déclenche le rire de Dominique qui se laisse complètement aller sur moi, tel un corps mort. Il me donne un coup de langue sur l'oreille, m'embrasse dans le cou, et:

- Ça va, ma poule . T'as pris ton pied ?

- Non.

- Ah bon ? Nous, oui … hein, Denis ?

- Ah ouais ! Et quel pied !

- T'es content quand même, ma poule ?

- Oh oui ! Merci … mes hommes … mes mâles ... Merci à vos queues ...

 

Ils rient et reprennent leur souffle. La pression contre les muscles de mon anus diminue … leurs queues sont en train de ramollir … 

 

Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! Bzzzz ! C'est le téléphone de Denis, resté sur le lit pendant nos ébats. Denis le cherche à tâtons, le trouve, et:

- Ouais, Michel ! …. Ouais … Ah bon ? … Où ça ? … bon … ouais … très bien … Ouais, ben là, j'étais justement en train de me préparer …

 

Le menteur ! Je lève les yeux sur lui. Il me sourit, me fait un clin d'œil et poursuit:

- OK … Ouais, je l'attends … à tout' !

 

Il repose son téléphone:

- Bon, va falloir que je me prépare vraiment, les mecs … Avec mon patron, on va descendre à Saint-Etienne en avion. C'est le PDG du groupe pour qui on bosse qui met son avion perso à notre disposition … on part d'Orly. Ils envoient une moto-taxi me chercher. Elle est là dans vingt minutes, il paraît. 

 

Je me redresse un peu au-dessus de lui et je le regarde:

- Et tu reviens quand ?

- Ben, je sais pas combien de temps ça va nous prendre … surtout si y'a pas Nadir. Michel, mon patron, c'est surtout un commercial … il est pas trop technique, alors il ne va pas être très efficace … Alors, je sais pas … et puis, tant qu'à être là-bas, après, je vais sûrement rester jusqu'à la fin de la semaine … histoire d'avancer … Je reviendrai sûrement seulement le week-end prochain …

 

Dominique bascule sur le côté. Je sens - et j'entends - sa queue sortir de mon cul dans un bruit mouillé. Denis me tapote l'épaule:

- Allez, descends, s'il te plaît … vous étiez lourds, tous les deux …

 

Domi s'écarte et, à mon tour, je bascule à côté de Denis. Il se tourne vers moi:

- Tu vas faire quoi, alors ?

- Je vais rentrer chez moi.

- Tu reviendras ?

- Sans doute … un de ces jours …

- Et … ce week-end, tu vas …tu vas encore chercher des mecs ? Tu vas essayer de te faire encore baiser ?

- Ça, je sais pas … mais ce que je sais, là, tout de suite …

 

Je me redresse, et je m'accroupis sur le lit, entre eux deux:

- Bougez pas !

 

Ils me regardent, surpris. Je me glisse jusqu'au milieu du lit, à hauteur de leurs bassins, et je me penche sur le ventre de Denis:

- Tu vas pas partir comme ça, avec la queue pleine de sperme …

 

Et je prends sa bite dans la bouche. Elle est toute molle, et elle est enduite du mélange de leurs spermes et de gel lubrifiant. Hhhmmmm, j'adore faire ça ! Tout en la suçant, je fais signe à Domi d'approcher. Il sourit et vient coller sa hanche contre celle de Denis. Tous les deux s'accoudent pour me regarder faire, un sourire aux lèvres. Une fois la bite de Denis nettoyée, je m'occupe de celle de Dominique. Sous moi, je sens leurs semences commencer à s'écouler de mon cul dans un bruit de bulles. Je glisse ma main sous ma rondelle …pas uniquement pour ne pas souiller le futon de Denis. Quand la queue de Domi est nickel, je me redresse, je remonte ma main de sous mon cul et j'y mets l'autre. Je tends ma main pleine de sperme vers mes deux amants et je la leur montre. Ils me regardent, se demandant visiblement ce que je fais. Alors, je lape le contenu de ma main et je me lèche consciencieusement les doigts. Dominique s'écroule sur le dos en se marrant, tandis que Denis, toujours accoudé, secoue la tête d'un air désabusé. Je recommence avec mon autre main. Denis:

- Putain, t'aime vraiment ça, hein …

- Ouais.

- Quelle salope … bouffeuse de jute !

- Ouais.

- Bon. Allez, faut que je passe à la douche. L'autre va bientôt arriver, avec sa moto. Tu te doucheras ici, Domi ?

- Non … je saute dans mon froc et je redescends chez moi.

 

Les voilà debout tous les deux. Denis disparaît vers la salle d'eau. En sortant de la chambre, ses vêtements sous le bras, Domi me lance:

- Tiens, au fait, il y a des croissants. Je suis allé en acheter pendant que vous dormiez.

- Merci. 

 

Je me lève à mon tour. J'hésite un instant: je rejoins Denis sous la douche ? Non, j'ai faim ... croissants. Dans le salon, Yann, la tronche en biais, le teint verdâtre, est vautré sur le canapé, une tasse  la main.

- Salut.

- Salut.

 

Domi, tout en s'habillant: 

- Marin, si tu veux te faire un café, la machine est là-bas … j'ai laissé les dosettes à côté. T'en veux un, Yann ?

- Eeeeuuuuuuuuurrrrrrk !

- Un croissant, alors ?

- Eeeeuuuuuuuuurrrrrrk !

 

Domi se marre:

- Petite nature.

 

Je lui demande:

- Et toi, Domi, t'en veux, un café ?

- J'en ai déjà pris un tout à l'heure, mais je veux bien.

 

J'en prépare deux. Pendant que les tasses se remplissent, je m'assois sur un des tabourets à côté de l'îlot central de la cuisine. Oh putain, j'ai encore la rondelle humide. Je n'ai pas dû me vider complètement, tout à l'heure. Tant pis, j'essuierai le tabouret plus tard. Je plonge la main dans l'énorme sac de croissants et j'en attaque un premier. C'est Domi, une fois rhabillé, qui m'apporte mon café avant de s'envoyer d'une seule bouchée la moitié d'un croissant:

- Putain, ça m'a donné la dalle …

 

Il termine son croissant, avale une gorgée de café, et:

- Tu reviendras ? Demain, je pourrais peut-être me débrouiller pour me lébérer un moment ...

- Je … je sais pas …

- Ah bon ? Mais … ça t'a plu, la soirée d'hier et … et ce matin …

- Ah oui … c'était super … surtout hier soir … mais … pour l'avenir, ça dépendra de ce que Denis me proposera … Denis ou toi, d'ailleurs …  

- Ah ! OK ! Tu voudrais pas recommencer la même chose …

- Voilà, il y a de ça. Et puis, je ne sais déjà pas ce que je vais faire demain, ou après-demain, ou dans trois jours … alors, dans une semaine ou dans quinze jours, je peux pas prévoir …

- Ouais, compris … pas de routine …

- Voilà.

- Bon. J'y vais. Peut-être à plus, alors …

- Ouais.

 

Il hésite, me regarde, finit par s'approcher, me tend la main, change d'avis, se penche et m'embrasse sur la joue:

- Bon, salut ma poule. J'espère que tu reviendras.

 

Pendant ce temps, Yann s'est levé péniblement et a enfilé son manteau. Domi hésite encore et se dirige vers l'entrée. Yann passe à côté de moi et me tend la main:

- Bon, à un de ces jours … peut-être …

 

Domi:

- Tu veux que je te remmène chez toi, Yann ?

- Nan. Ça va aller, je peux conduire.

- OK.

 

On se serre la main, et il emboîte le pas à Domi. J'entends la porte se refermer … clac ! Je continue à descendre des croissants en sirotant mon café. Après quelques minutes, Denis sort de la salle d'eau, habillé, rasé et s'engouffre dans son bureau. Il en ressort, sa mallette à la main et vient la poser sur son îlot de cuisine:

- Ils sont partis ?

- Ouais.

- Comment il allait, Yann ?

- Apparemment assez bien pour rentrer chez lui tout seul.

- Bon.

 

Il se fait couler un café, et, tout en dévorant un croissant:

- Alors, t'as décidé ? Tu reviens quand ?

- Je sais pas. Ça dépendra de ton emploi du temps  … et du mien …

- Mais … t'as rien contre …

- Oh non, j'ai rien contre, mais c'est les événements qui décideront … la preuve, t'avais prévu trois jours, presque quatre, et ça a duré moins de vingt quatre heures …

- Bah ouais. Tu regrettes ?

- Je regrette que ça s'arrête ... mais pour ce qu'on a fait ... oh non ! 

 - Je …

 

Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz ! La sonnette de l'interphone. Il va répondre. Je l'entends, dans son entrée:

- Oui ?

- …

- OK. Je descends. Je suis là dans une minute.

- …

 

Il revient:

- C'est ma moto. Faut que j'y aille … bon, t'as la salle d'eau pour toit tout seul … Tu fermeras en partant ? Tu remets la clef au même endroit …

 

Il se ravise:

- … euh, non. Mets la plutôt dans la boîte à lettres de Domi … dans le hall d'entrée. C'est le numéro 215.

- OK.

 

Il avale son café, puis

- Bon, ben … salut, ma poule …

 

Comme Domi, il s'approche, hésite, et finit par m'embrasser sur les joues:

- On se rappelle, hein …

- D'accord.

 

Il pioche un autre croissant dans le sac, récupère sa mallette et disparaît dans son entrée. Clac ! La porte.

 

Je finis mon café. C'est en allant mettre ma tasse dans le lave-vaisselle, que mon regard tombe sur la pendulette du four. Elle marque un peu plus de neuf heures et demie ! Je n'en reviens pas. Elle est à l'heure ? Je croyais qu'il était plus de onze heures ! Je retourne dans la chambre pour en avoir le cœur net. Le radio-réveil à côté du lit marque la même heure. Alors, on s'est réveillés à quelle heure ? 

 

Bon, une douche, et je rentre. Mais, en me dirigeant vers la salle d'eau, une sensation de fraîcheur humide, du côté de ma rondelle, me fait changer d'avis. Comme après mon gangbang chez Jean-Claude et ma journée chez le gros Robert, j'ai bien envie de repartir avec le cul encore souillé de sperme. Là, j'ai évacué le plus gros, mais je sens qu'il s'en écoule encore un peu quand je bouge, quand je marche. Je passe ma main dans ma raie. Ah oui, il y en a encore pas mal ! Deux mecs qui éjaculent ... et ils ont dû m'envoyer ça loin dans le ventre ! Allez, c'est décidé, je rentre comme ça. Ça me plaît beaucoup de garder en moi la trace de la jouissance des mecs qui m'ont baisé. Tout excité à l'idée de me balader une fois de plus les miches enspermées, je me dépêche de m'habiller. Je remets ma minijupe en jean: elle a été pas mal tachée de jus de bites au cours de la soirée, et même si ça a séché, ça me plaît. Est-ce que je mets un string, ou une petite culotte ? Non, ça épongerait, et j'ai envie de sentir ce cocktail visqueux m'engluer les fesses et le haut des cuisses. Je ramasse vite fait dans mon sac toute ma lingerie et mes accessoires, je fais le tour de l'appart pour vérifier si je n'oublie rien, et je me mets en route.

 

En parcourant le long couloir qui dessert ce quatrième étage, je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre au rythme de mes pas. Décidément, j'ai bien fait, j'adore cette sensation ! L'ascenseur est à l'étage. C'est vrai, il faut que je m'arrête au rez-de-chaussée pour mettre la clé de Denis dans la boîte de Domi. Au troisième, l'ascenseur s'arrête. Aïe ! Je vais me retrouver avec un voisin de Denis … ou une voisine. Quand la porte s'ouvre, c'est un type d'une soixantaine d'année qui apparaît, avec un chien tenu en laisse … un Jack Russell, il me semble. Quand il m'aperçoit, le type ne peut retenir une grimace de stupeur. Il hésite, retient son chien qui commençait à monter dans l'ascenseur. Mais comme je me recule au fond de la cabine pour leur faire de la place, il n'ose pas battre en retraite. Je lui souris:

- Bonjour.

 

Il marmonne je ne sais quoi et monte en prenant bien soin de rester loin de moi. L'ascenseur démarre. Il baisse les yeux, le nez collé à la porte, et n'ose pas me dévisager ouvertement, mais je sens qu'il me regarde en sournois, par en dessous. Son chien, plus direct, tire sur sa laisse en remuant la queue pour venir me renifler. Il a sûrement perçu les odeurs de sperme qui se dégagent de mon cul, et il viendrait bien me fourrer sa truffe entre les cuisses pour faire connaissance. Mais son maître, agacé, le tire brusquement à ses pieds. Lui aussi a peut-être senti le délicat fumet de sperme qui émane de mon entrecuisse. Rez-de-chaussée. Le type sort précipitamment et s'empresse vers la porte d'entrée de l'immeuble. Il se retourne pour voir si je le suis. Cette fois, il me scrute plus ouvertement. Regard désapprobateur. J'attends qu'il s'éloigne pour glisser la clé de Denis dans la boîte à lettres de Dominique. Inutile que ce type sache avec qui je fréquente dans cet immeuble. Voilà, c'est fait. Je cherche l'escalier qui descend au sous-sol.

 

A la suite de ma journée chez les paumés de L.F., j'avais pris la précaution de me mettre une alèse dans mon coffre pour épargner mon siège après mes prochaines séances de cul. Il faut dire que j'avais eu un peu de mal à le nettoyer le lendemain de mon gang bang chez Jean-Claude et ma journée chez le gros Robert à L.F.. Alors, avant de me mettre au volant, j'installe cette protection. Quand je sors du parking souterrain, j'ai un instant d'hésitation. Et si je faisais un tour en ville pour revoir de jour les endroits où je suis passé avec mes mecs cette nuit ! Allez, c'est parti !

 

La minijupe remontée à l'angle de mes cuisses et de mon bassin, la bite qui dépasse de l'ourlet, je commence au plus près, par l'avenue où Domi avait commencé à me baiser dans un massif du terre plein central. C'est vrai qu'au milieu de ces fleurs, ce n'était vraiment pas discret. Je m'engage ensuite sur l'avenue qui conduit à la place François 1er. Il y a pas mal de circulation et du monde sur les trottoirs. Le portail du cabinet d'avocats est fermée et la cour est vide. Je fais le tour de la place et je longe le square. Il est ouvert et des gamins jouent sur le toboggan, surveillés par leurs mères. Quand je pense que je me suis fait fourrer là par Denis, appuyé à cet arbre ! Ensuite, le dédale des sens uniques m'oblige à faire un grand tour dans le quartier résidentiel, un peu moins animé que le centre ville. Je finis par me retrouver au bas de la rue Saint-Jean, que je remonte à petite vitesse. Je m'arrête deux secondes devant le "Saint Jeannot". Apparemment, il n'est pas encore ouvert. Etonnant. Là, derrière cette vitrine pas très nette, j'ai taillé une pipe à Jacky, et là-haut, à l'étage, je me suis fait baiser par quatre types, pendant que mes mecs attendaient en bas qu'ils aient fini de me faire mon affaire.

 

Je redémarre et, place de la cathédrale, je bifurque dans une rue tortueuse. La rue du Général de Gaulle étant piétonnière, je ne peux pas retourner voir cette parfumerie devant laquelle j'ai taillé une pipe à Dominique. Impossible aussi de m'engager vers la Halle pour passer sur le Pont Vieux ou sur le quai qui longe le port de plaisance: c'est jour de marché et il y a des camelots partout. Je poursuis donc jusqu'au parc de la Plage, et je fais un tour sur le parking. Il y a déjà pas mal de voitures garées là, et je croise je ne sais combien de joggueurs et de cyclistes qui font leur exercice matinal. Mais j'aperçois au loin une table de ping pong. Celle où Domi m'a baisé ? Je ne suis pas sûr. Dans l'obscurité, je n'ai pas pu repérer où elle était. En tout cas, un promeneur matinal aura sans doute eu la surprise de découvrir là un string et une poignée de capotes. Il aura sans doute imaginé qu'une fille ou une femme se sera fait fourrer ici. Voilà, maintenant, je vais rentrer. Sur mon trajet vers chez moi, je passe place des fainéants. Des ados y font du skate et, sur le banc où j'ai masturbé Dominique, deux clodos, une canette à la main, picolent. 

 

Je finis de rentrer à petite vitesse avec toujours le même plaisir de circuler dans cette tenue indécente au milieu du trafic. Sous moi, je sens une tache tiède s'agrandir peu à peu. Loi de me gêner, ça me procure un plaisir aussi cérébral que sensuel. Tout de même, je dois vraiment être pervers, pour aimer à ce point garder en moi la semence de mes amants, pour aimer à ce point la sentir me souiller l'anus, les fesses, les cuisses … Quand j'arrive dans ma rue, je croise ma voisine, Yolaine, qui part en voiture. Dommage, ça m'aurait bien plu de la provoquer encore en lui annonçant que, depuis hier soir, je me suis fait baiser par huit hommes !

 

à suivre ...

 

 

 


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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