Mercredi 5 avril 2017 3 05 /04 /Avr /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

C'est fou, ça m'a calmé, assouvi, appaisé, cette séance chez Jean-Claude. M'être fait baiser le même jour par lui et par ses deux molosses, c'est comme un aboutissement, comme si c'était ça que je cherchais plus ou moins inconsciemment. C'est tellement vrai que depuis ce jour-là, je n'ai plus d'envies ... enfin, plus d'autres envies que de recommencer avec lui .. et avec ses chiens. Je passe mon temps à rêvasser que je m'installe chez lui ... chez EUX ... et que je me fais saillir tous les jours soit par le maître, soit par ses dogues ...

 

Mardi 31 octobre. 9 heures. 

Je viens à peine de me lever quand le téléphone sonne. Numéro masqué. Je décroche quand même:

- Marin ?

 

Qui m'appelle ? C'est ma ligne fixe, et normalement, personne ne m'appelle à ce numéro en tant que … Marin ! C'est mon pseudo pour le cul, et pour ça, je ne communique que mon numéro de portable ! 

- Vous êtes qui ?

- Jacky.

- Jacky ?

- Ouais, Jacky.

 

Je n'en connais qu'un, celui de chez Jeannot, le Jacky qui m'a proposé de me mettre au tapin ! En effet, on dirait sa voix. Comment il a eu mon numéro ? Ça carbure à fond dans ma tête. Je flaire immédiatement le danger. S'il connaît ce numéro, il pourrait … les implications sont tellement … poussée d'adrénaline … pas d'excitation, non, de peur. Alors bêtement, je lance:

- Je vois pas …

 

Aussitôt, je réalise que c'est une connerie. Il ricane:

- Hé hé hé ! Te fatigue pas, mec. Tu vois très bien qui je suis. Je t'ai baisé, l'autre jour, chez Jeannot.

- …

- Ça y est, tu me remets ?

- Euh … oui.

- Bon ! 

- Mais, qu'est-ce que tu me veux ?

 

Oh, je devine, ce qu'il me veut: soit il veut encore me baiser, soit il revient à la charge pour cette histoire de tapin.

 

- Te baiser.

 

Voilà. Evidemment. Bon, si ce n'est que ça ... Pour le tapin, ce serait trop tôt, je n'ai pas encore réfléchi. Ou, plus exactement, je n'ai pas encore décidé. Mais bon, pour le moment, s'il veut seulement me baiser, ça va, je vais pouvoir lui donner satisfaction … surtout qu'il a une de ces queues !

- Ah ! Ben d'accord. Tu veux qu'on se voit quand ... et où ?

- Je veux te baiser MAINTENANT.

- Maintenant ?

- Ouais. D'ici quoi … un quart d'heure, vingt minutes.

- Un quart d'heure, vingt minutes ? Mais t'es où ?

- Je suis pas loin. 

- Ben, dis-moi, je te rejoins …

- Non, non, tu me rejoins pas, je viens te baiser CHEZ TOI.

- Chez moi ?

- Ouais, CHEZ TOI, 6 Chemin de la fontaine.

- …

 

Putain, il a aussi mon adresse ! 

 

- C'est bien ça ? T'habites bien 6 Chemin de la fontaine ? Enfin, je vois pas pourquoi je te demande, je le sais.

- Tu … veux venir chez moi ?

 

Merde ! A part Thomas, mon premier mec, et Gabriel, le grand black qu'il m'avait … offert, parmi les mecs avec qui j'ai baisé, personne n'est censé connaître mon adresse. 

- Ouais, je viens te baiser CHEZ TOI !

- Mais, comment tu sais où j'habite ?

- Hé hé ! Le samedi, tu sais, le lendemain du jour où je t'ai enculé … t'es repassé devant chez Jeannot, non ?

- Euh, oui.

- T'as pas fait attention, mais j'étais juste derrière toi. Je venais voir Jeannot, et quand t'as tourné devant moi, au bout de sa rue, je t'ai reconnu et je t'ai suivi. 

- Ah bon ?

- Ouais. Même qu'après, t'as fait tout un circuit en ville. Exact ?

- Ouais.

- Voilà. Je me suis demandé ce que tu foutais, mais je t'ai suivi jusqu'au bout, jusque dans ta rue, jusqu'à l'entrée de ta cour, même. Je t'ai même vu entrer chez toi, avec ta minijupe et tes miches à l'air.

 

Ah, d'accord … Putain … Bon, il faut absolument que j'évite qu'il vienne à la maison:

- Bon, OK. Mais, j'aime mieux pas que tu viennes chez moi. Je peux te rejoindre où tu veux. Dis-moi.

- Non non, je t'ai dit: je viens te baiser CHEZ TOI !

- Non, je suis pas d'accord.

- Attends, la fiotte ! Tu m'as pas bien écouté ! Je te demande pas si t'es d'accord, je te dis: JE VIENS TE BAISER CHEZ TOI !

 

Putain ! Alors, j'essaie autre chose:

- Et si je te laisse pas entrer …

- HA ! HA ! HA ! Me fais pas rire ! Yolaine C., 8 chemin de la fontaine, Lucienne B., 4 chemin de la fontaine … tu connais ?

 

C'est mes voisines ! 

 

- Alors ? Tu les connais ? C'est tes voisines, non ? Et attends. La Rando des Trois Vallées et les Fêtes au Village, tu connais aussi ?

 

Oui, je connais: le premier, c'est le club de rando avec qui je marche et l'autre, c'est la société des fêtes de ma commune !

 

- Tu connais, ou pas ? Tu veux que je te donne le nom des gens qui s'en occupent ? Je peux, je les ai. J'ai même leurs téléphones. Internet, c'est magique ! Une fois qu'on a le nom et l'adresse de quelqu'un, y'a plus qu'à chercher !

 

Ouais, évidemment, avec mon nom, sûrement relevé sur ma boîte à lettres en même temps que le nom de mes voisines, et avec mon adresse … et en cherchant les associations de la commune. J'ai fait partie de leurs conseils d'administration et ça doit encore figurer sur des sites Internet. Bon, j'ai compris. Il s'est renseigné sur moi et il pourrait aller baver sur mon compte auprès de ces gens-là ! Dans le lot, il y a des commères qui se feraient un plaisir d'aller répéter ça un peu partout. Il ne l'a pas formulé ouvertement, mais il y a de la menace dans tout ça. Putain, de merde ! Il insiste:

- Alors, tu connais ou pas ?

- Oui, ça va, j'ai compris.

- Bon. Alors, prépare ton cul, qu'il soit propre quand je vais arriver! Et mets-toi en tenue de salope, dans le genre de celle que tu portais l'autre jour chez Jeannot. On arrive !

 

Touuuuuut ! Il a raccroché. « ON arrive » ! Il est pas tout seul ? Putain ! Je fais quoi ?

 

Oh je n'ai pas besoin de réfléchir longtemps. Dans l'immédiat, je n'ai pas le choix, je ne peux pas le braquer. Sinon, je suis bon. Moi qui pensais avoir tout verrouillé pour préserver ma réputation dans le village … j'étais même tranquille du côté de Yolaine tout en lui ayant révélé ma dépravation ! Paniqué à l'idée que ce mec puisse déballer sur mon compte auprès de tout le village, je monte à la salle de bain. Malgré tout, je me prépare aussi soigneusement que pour un rendez-vous que j'aurais voulu: douche, lavements, coup de rasoir un peu partout et crème hydratante. Je m'introduis même un peu de gel lubrifiant dans le fourreau: Jacky a peut-être l'intention de me prendre dès son arrivée, alors il faut que je sois prêt. Puis je me plonge dans ma commode. Il a dit "une tenue de salope dans le genre de celle que je portais l'autre jour ". L'autre jour, en plus de ma minijupe en jean, c'était petit haut moulant et string en dentelle. Mais ça, c'était pour sortir en ville. Là, ça va se passer chez moi. Alors, j'opte pour une tenue d'intérieur: nuisette en voile noir, transparente à souhait, avec son motif de dentelle verte sur la poitrine. Quand je me regarde dans le grand miroir de la chambre, c'est pas mal, pas mal pour recevoir un mec. Ou peut-être DES mecs ! Mais ça ne me paraît pas suffisant, pas assez hot, pas assez sexe. Le Jacky, il faut que je le dispose bien à mon égard, il faut que je sois à la hauteur. Je décide de mettre, en plus, un porte-jarretelles. Ça met très bien le cul en valeur. Avec la ceinture du porte-jarretelles sur les reins et les bas sous les fesses, ça fait comme un cadre sombre au centre duquel on ne voit que le cul, comme une tache plus claire, comme une cible, en fait. Un porte-jarretelles, mais lequel ? J'hésite: celui-ci, en tulle brun, avec des suspensions et des petits nœuds roses, et une paire de bas assortis ? Je le trouve sexy ! Mais ça n'ira pas avec ma nuisette noire. Bon, porte-jarretelles en dentelle noire avec des bas en voile. Je mets aussi un string assorti à la nuisette: tulle noir, brodé du motif de dentelle verte. Et je finis par ce déshabillé rose pâle que je me suis offert la semaine dernière. 

 

9 heures 25.

Me voilà paré. Me préparer pour me faire grimper par ce salaud de Jacky m'a un peu calmé. Même si le coup de queue que je vais prendre dans un moment m'est imposé, me soumettre à ce rituel de la toilette et du choix d'une tenue m'a conditionné, à la fois physiquement et psychiquement: un coup de bite, c'est un coup de bite, même s'il m'est imposé. Mon "viol" par l'équipe de blacks me revient en mémoire. C'est lui qui m'a fait basculer, et je ne regrette pas, au contraire. Alors, même pour cet enfoiré de Jacky, je suis content de m'être pomponné. Et puis, s'il est content, me baiser suffira peut-être pour qu'il ferme sa gueule. Au fond, même si le coup de bite qui m'attend est contraint, la perspective de me faire baiser compense le côté dégueulasse du chantage. "Le coup de bite qui m'attend " ! Peut-être "LES coups de bites qui m'attendent" ! Il a dit "ON arrive" ! Il va peut-être amener un pote. Alors, un peu moins angoissé, je l'attends en jetant de temps à autre un coup d'œil par la fenêtre. Savoir qu'en ce moment, une bite est sur la route pour venir se fourrer au chaud au fond de mon cul, ça me … hhhmmm … 

 

Je remarque que la voiture de ma voisine est devant sa maison. Elle ne travaille pas, aujourd'hui ? Pourtant, on est en semaine. Elle est peut-être en congés, ou malade.Tiens, ce serait pas mal quelle voie ce mec arriver chez moi. A tous les coups, elle se dira qu'il vient me baiser. Soudain, je réalise que j'ai oublié de mettre du déodorant. Je retourne dans la salle de bain. Je suis en train de réparer cet oubli quand j'entends une portière claquer sourdement. Non ... deux ... trois portières. Je me précipite à la fenêtre. Ce qui me saute aux yeux en premier, c'est cette grosse bagnole, noire, rutilante, garée à l'entrée de ma cour. Je ne connais rien en voitures, mais je reconnais tout de même une grosse Mercedes d'un modèle récent. 

 

C'est n'est qu'ensuite que je me rends compte que c'est LUI, le Jacky, là, à côté de la Mercedes ! Et c'est LUI, mais avec QUATRE autres types ! Pourquoi j'ai seulement envisagé qu'il viendrait avec UN autre type ? "ON arrive ! " En une fraction de seconde, je prends conscience de deux choses: non seulement ils arrivent à CINQ, mais les CINQ vont me baiser ! Je ne sais pas pourquoi, dès que je vois les types qui accompagnent Jacky, j'en suis sûr: eux aussi vont me baiser ! J'ai le cœur qui bat et un frémissement m'électrise le bas-ventre, la queue, l'anus. Je le reconnais, ce frémissement: ça me fait ça quand je sais que je vais me faire fourrer ! Putain, j'ai beau être encore un peu stressé par la menace que Jacky représente, c'est plus fort que moi, même si ce qui va m'arriver m'est imposé, je vais me prendre cinq coups de bite ! En fait, ce qui m'est imposé, ce n'est pas les coups de bites, c'est qu'ils aient lieu chez moi, et ça, au fond, ce n'est pas si grave. C'est même curieux, mais cinq types qui se déplacent jusque chez moi pour tirer un coup, je trouve ça … je ne sais pas exactement … c'est plutôt agréable, comme idée. 

 

Ils se marrent. Ils se marrent et ils s'esclaffent bruyamment. Je les observe en détail. A part Jacky, je n'en reconnais aucun. Ceux-là, je ne les ai jamais vus. Et, ceux-là, c'est des mecs ! Je veux dire des mâles, des mecs virils, des machos. Je réalise que le Jacky, est plutôt costaud. Chez Jeannot, je ne l'avais pas vraiment vu comme je le vois maintenant. Dans le bar, j'ai toujours été près de lui. Il était le plus souvent assis, soit sur un tabouret de bar, soit sur la chaise où je l'ai sucé, et après, à l'étage, je l'ai eu entre les cuisses. Alors je ne m'étais pas rendu compte qu'il était aussi grand et aussi large d'épaules. Les autres ont un peu le même type physique - à l'exception de l'un d'eux, plus petit et plus râblé - , et le même look de … je sais pas … de voyoux. Je ne serais pas surpris que les potes de Jacky soient aussi des macs.  Ils ont tous dans les … quarante, quarante cinq, cinquante ans. J'ai capté tout ça en une fraction de seconde, alors qu'ils ne sont encore qu'au milieu de la cour, Jacky en tête. Et là, le Jacky, je le vois s'arrêter, se tourner vers chez Yolaine, dire quelque chose en souriant – ma fenêtre est fermée et je n'entends pas -, comme s'il s'adressait à quelqu'un. A Yolaine ? Je le vois hocher la tête, et se remettre en marche, les autres sur les talons. Ils se marrent encore. Les voilà devant ma porte. Ils frappent. Je descends. 

 

Je ne sais pas pourquoi, avant d'ouvrir ma porte, je remarque que ma pendule, dans l'entrée, marque 9 heures 30.

Quand j'ouvre, Jacky fait signe à ses copains d'entrer. L'un après l'autre, ils passent devant moi en me reluquant, sans un mot, sans me serrer la main. Je sens les regards des quatre copains de Jacky se poser sur moi et me détailler, comme s'ils me touchaient, me pelotaient à travers le satin de mon déshabillé. Jacky aussi m'examine, un petit sourire aux lèvres. Il semble satisfait. Est-ce parce que la tenue dans laquelle je l'accueille lui plaît, ou est-ce parce que je lui ai obéi, que je me suis préparé comme une femelle se prépare pour recevoir son mâle ? Il ferme lui-même la porte, et:

- Bon, voilà … c'est lui.

 

Quatre mots en guise de présentation. Un de ses potes lui lance en ricanant:

- Ça se voit.

 

Ils se marrent. Mon séjour est brusquement envahi, submergé de testostérone. De près, ils font encore plus "mecs". C'est marrant, ils n'ont vraiment pas l'apparence de types homo ou même bi, bref, de types qui baisent un autre mec. Je les imagine plutôt baiseurs de femmes. Ces mecs-là vont me fourrer ? Dans un coin de ma tête, une petite voix me souffle « Tu te sens pas ridicule, devant ces machos ? T'as vraiment l'air d'une fiotte, d'une tapette, dans ton déshabillé rose, ta nuisette et ton porte-jarretelles ». Non, je ne me sens pas ridicule. Je sais bien que, dans cette tenue, j'ai vraiment l'air d'une fiotte, mais une fiotte que cinq mecs se déplacent jusque chez elle pour la baiser. Je ne peux pas m'empêcher de porter mon regard successivement sur leurs bas ventres, y compris sur celui de Jacky. Lui, il porte encore un jean moulant.  Là, dans ces pantalons et dans ces jeans, il y a des BITES ! Des bites de vrais mecs ! Des bites que je vais sûrement me prendre dans le cul ! Un nouveau frémissement m'électrise la rondelle.

 

- Asseyez-vous, les mecs !

 

C'est Jacky, qui vient d'inviter ses potes à s'asseoir. Putain, il se prend pour le maître de maison ! Mais qu'est-ce que je peux faire ? Ses potes se posent déjà, les uns sur les fauteuils, les autres de part et d'autre de Jacky, dans le canapé. Lui me regarde avec un sourire narquois:

- Dis donc, elle est sympa, ta voisine. Yolaine, c'est ça ? 

 

Ouais, mec ! J'ai compris que tu sais comment elle s'appelle, ma voisine. Pas besoin de me rappeler. Il attend une réponse, alors:

- C'est ça. Pourquoi ?

- Ben, quand elle nous a vus descendre de voiture, elle a mis le nez à sa fenêtre pour nous demander qui on cherchait …

- Ah bon ? Tu lui as dit quoi ?

- Qu'on allait chez toi.

- Et …

- Et rien. Elle a dit qu'elle s'en doutait. 

- Ah bon !

- Ouais. Pourquoi elle s'en doutait, selon toi ?

- Je … je sais pas.

 

En fait, je sais. Après lui avoir dit à deux reprises que je me faisais baiser par des mecs en bande, quand elle voit débarquer cinq mecs aux allures de mâles, elle se doute qu'ils viennent pour me tirer. Elle est quand même gonflée de les avoir interpellés, cette garce. Jacky reprend:

- Rassure-toi, je lui ai pas dit que je venais te baiser … enfin … qu'ON venait te baiser …

 

Voilà ! J'en étais sûr, mais cette fois, c'est dit: ILS viennent me baiser ! Toujours souriant, il poursuit:

- Ouais, parce qu'on va TOUS te baiser …

 

Il guette ma réaction. Qu'est-ce que je peux lui dire ? Est-ce que je peux avouer que je l'avais deviné, que je me suis fait à cette idée ? Comme je ne dis rien, il reprend:

- T'as compris, ça, qu'on va TOUS te baiser ?

- J'ai le choix ?

- Nan ! T'as pas le choix ! Ça te pose un problème ? Je suis sûr que non. Je suis même sûr que ça te plaît. L'autre fois, chez Jeannot, j'ai bien vu comme t'aimes ça, te faire enculer, même par des mecs que tu connais pas. Hein, tes quatre potes, d'ailleurs, ceux-là, ils t'avaient déjà sauté avant de venir, d'après ce que m'a dit Jeannot. Tes potes, ils t'ont amené à nous, là, chez Jeannot, sans te prévenir que c'était pour qu'on te baise aussi, et t'as pas moufté quand t'as compris. Et ça t'a plu qu'on te baise, avec les autres mecs, chez Jeannot. Hein, que ça te plaît ...

- …

- Vas-y, dis-le.

- Ecoute … vous êtes cinq, alors j'ai pas le choix, comme tu dis. Qu'est-ce que je peux faire ? Refuser ? Tu m'as fait comprendre que tu irais balancer aux gens que je connais. Résister ? Je suppose que vous me prendrez de force. A cinq, bâtis comme vous êtes, je fais pas le poids. Alors oui, vous allez TOUS me baiser et j'en mourrais pas. Baisez-moi, mais ne me demande pas de sauter de joie …

 

Voilà, mon con. Ce que tu ne sais pas, c'est qu'intérieurement, sans "sauter de joie", je me suis fait à l'idée, et même tellement, que OUI, ça me plaît, en fait. Mais ne compte pas sur moi pour te le dire, espèce de salaud ! Il ricane, puis:

- Et ben c'est bien, t'es pas con, t'as tout compris, et tu vas gentiment te laisser faire. A moins que t'aie envie de te faire dérouiller, et de te faire quand même baiser après. T'as envie de te faire dérouiller ?

- Non.

- Bon, c'est bien. Tu nous paie un coup ? Je prendrais bien un café. Et vous ?

 

Il s'est adressé à ses potes. Eux aussi veulent bien un café. 

 

- T'as du café ?

- Oui. 

- Alors, va nous faire des cafés.

 

Salaud ! J'esquisse un mouvement pour aller dans la cuisine. Il m'arrête:

- Attends ! 

 

Je lui refais face. D'un geste de la main, il montre mon déshabillé: 

- Enlève ça et montre ! Que mes potes se rendent compte.

 

La main levée, il dessine un cercle avec son index. Ce geste, je connais: il veut que je fasse un tour sur moi-même, il veut que je montre la "marchandise" à ses potes. Je suis bien conscient de ce que ça pourrait avoir d'humiliant, mais je ne me sens absolument pas humilié … bien au contraire, j'adore faire ça. Déjà, parce que là, je me sens vraiment à mon avantage, sexy, bandante, baisable, et que je sais l'effet que produit la vision de mon cul sur les mecs. Et puis, si Jacky veut encore me baiser, s'il m'amène d'autres types, c'est que je vaux le coup ... le coup de bite. Je dénoue la ceinture de mon déshabillé, je l'enlève et je le lance sur le dossier du fauteuil où un des mecs est assis. Puis, spontanément, je croise mes mains derrière ma nuque et je commence à tourner. Lever les bras fait remonter ma nuisette qui me découvre alors un peu plus les fesses. Je me cambre et je pivote lentement pour les laisser m'examiner. Cinq paires d'yeux sont posées sur moi. Je les sens comme des caresses. 

- Putain , CE CUL !

 

C'est un des types, sur le canapé. Puis, jaillissant d'un des fauteuils, un hennissement, suivi de:

- Ah, la pouliche ! Elle doit être bonne à monter !

 

Yes ! En voilà deux de conquis. Frémissement de mon anus ! Et je sens, au moindre de mes mouvements de rotation, que ça glisse bien de ce côté-là. Le lubrifiant fait son effet. Hhmmmm ! J'ai hâte que l'un d'eux vienne y fourrer sa queue ! Je poursuis mon tour. Ils m'examinent sans vergogne, contemplent mon anatomie, explorent mon intimité, et je le sais, cet examen fait naître dans leurs têtes des images lubriques de sodomie, de copulation, de fornication. Ces types anticipent le moment où ce sera leurs sexes qui me toucheront, qui s'enfonceront dans mes chairs, qui y répandront leurs charges de sperme. Peut-être même que ça frémit déjà dans leurs frocs ! Quand j'achève mon tour, Jacky remarque:

- Regardez-le ! Ça lui plaît, hein, à c'te salope ! Il sourit ! Alors ?

 

Ce "alors ?" s'adresse à ses potes et il veut dire "qu'est-ce que vous en dites ?". 

 

Les mains maintenant sagement croisées dans le dos, j'attends. Ils n'en disent rien, mais le type assis à droite de Jacky se contente de se frapper les genoux du plat de ses mains et de s'esclaffer. Celui-ci se régale d'avance. Les autres, ils n'en pensent que du bien: deux d'entre eux hochent la tête d'un air convaincu, un autre reste bouchée bée, mâchoire pendante, et le dernier, juste à côté de moi, me regarde avec un sourire qui en dit long sur ce que je lui inspire. D'ailleurs, alors que j'attends que Jacky me donne congé pour aller leur faire du café, celui-ci tend la main, la passe derrière ma cuisse et m'attire à lui:

- Viens là. Assieds-toi  !

 

Il tapote ses cuisses. Il est costaud, je n'ai pas le choix. Je me laisse tomber. Avant que mon cul touche ses genoux, il glisse sa main gauche sous mes fesses. Je passe mon bras sur ses épaules. Dans cette position, je le domine légèrement. Il lève les yeux sur moi et, tout en commençant à me peloter la cuisse de sa main droite, il remarque:

- Alors, comme ça, tu te fais enculer par tous ceux qui veulent.

 

Ce n'est pas une question. Il poursuit:

- Remarque, t'as un cul plutôt bandant, et d'après Jacky, il est vachement accueillant, ton cul …

 

Sous moi, je sens qu'il bouge sa main: il commence par me caresser la fesse, puis ses doigts s'aventurent plus près de ma fleur. Hhhmmm ! Il n'est vraiment pas canon, ce mec. On dirait un gitan à l'ancienne mode, style Django Reinhardt: cheveux noirs plaqués et luisants, longues pattes, et fine moustache au ras de la lèvre. Je ne pensais pas que ça existait encore, ce genre de look. Ah, putain, un de ses doigts s'est glissé sous la ficelle de mon string, a trouvé ma rondelle et se presse contre elle. C'est plus fort que moi, je pousse un halètement de plaisir et j'enfouis mon visage contre son cou et sa nuque. Ricanements. Sa tête sent je ne sais quel gel bon marché pour les cheveux. Stupéfait par ma réaction, il remarque:

- Waouhhhh ! Tu démarres au quart de tour, dis donc !

 

Il se marre et il explique aux autres:

- Putain, il est d'jà chaud ! J'lui ai à peine touché l'fion ! 

 

Jacky:

- Qu'est-ce que j'vous disais !

 

Encouragé, le "gitan" enfonce sa première phalange. Ah putain, ce que j'aime ça ! Une fois qu'un mec commence à me faire ce genre de chose, je suis cuit. Même si je le voulais, je ne pourrais pas résister. Quand ça commence comme ça, ça ne peut se terminer que par une bite dans mon cul ! Je sens que, sa main coincée comme ça sous mes fesses, il ne pourra pas aller plus loin que cette première phalange. Alors, accroché à son cou, je me soulève un peu. Il a compris. Il se marre encore:

- Ah, la vaaache ! T'en veux plus, hein.

 

Et il m'enfonce une autre phalange. Ça m'arrache un gémissement.

 

- Mais dis donc, t'es déjà … hey, les MECS ! Il est déjà tout mouillé du cul ! 

 

D'un seul coup, il règne une drôle d'ambiance. Je ne les vois pas, mais je sens que les autres sont un peu désorientés. Ils ne devaient pas s'attendre à ce que je réagisse comme ça. Jacky a dû leur dire qu'ils allaient me baiser contre mon gré, que, peut-être, ils devraient me forcer, me contraindre, me violer, et ils découvrent que je suis déjà chaud bouillant, avide de me faire doigter. Oui, les mecs, OUI ! J'ai une furieuse envie que vous me baisiez ! Je ne réponds pas au "gitan" qui bouge son doigt plus résolument. Je me suis seulement lubrifié le fion pour que Jacky puisse m'enculer dès son arrivée. Je le sens qui s'excite, le "gitan": il est de plus en plus nerveux et il respire fort. Il doit commencer à bander. Je me mets à penser à sa queue. Comment elle est, sa queue ? Ça doit pas être le genre à s'épiler la bite et les couilles. Trop macho pour ça ! Il doit être velu de partout. Je ne sais pas pourquoi, je suis sûr qu'il doit avoir une grosse bite, à la peau toute brune et pleine de poils. J'enlève mon bras de derrière son cou et, tout en bougeant précautionneusement mon cul en direction de ses genoux, je glisse ma main entre ma cuisse et son ventre, et je la pose sur sa bite. J'adore ça, faire tout de suite la "fille facile" avec un inconnu, lui sauter au paf, lui montrer que ça ne me fait pas peur, une bite inconnue. Il lève des yeux ronds sur moi, incrédule. Il n'en revient pas que je prenne déjà cette initiative, mais il se laisse faire et il rentre son ventre. Il porte un large ceinturon de cuir avec une grosse boucle métallique. Je plaque ma main sur la bosse de sa braguette. Là, dessous, il y a sa queue et ses couilles. Je lui pétris le paquet à travers la toile de son jean. Oh putain, je veux qu'il me baise ! Mon visage tout près du sien, je plante mes yeux dans les siens et je gémis doucement. Ton doigt dans mon cul, ta queue dans ma main ! Oui, mec, je veux que tu me sautes ! Ça y est, il a compris que j'ai envie qu'il me tringle, que j'ai envie qu'il me baise. Et c'est parti, il s'excite, il me doigte le cul de plus en plus vigoureusement, il halète et je l'entends déglutir bruyamment:

- Ah putain ! Toi, tu veux d'la bite, hein !

 

Oh oui, je veux de la bite ! Et tripoter la sienne, comme ça, devant les autres, sans retenue, sans pudeur, m'excite terriblement. Et ça doit se voir: le type, dans le fauteuil juste en face de moi, s'esclaffe:

- Ho ho hoooo !

 

Peu à peu, je sens que la verge du "gitan" commence à émerger de la masse indistincte de son paquet, moulé dans son jean. Elle gonfle, elle grossit, elle s'allonge et elle durcit sous l'effet du pétrissage que je lui administre. Je sens ce cylindre de chair qui déforme maintenant la toile. Il doit être à l'étroit là-dedans. Alors, je n'y tiens plus, je me lève, faisant sortir son doigt de mon cul, je me dresse devant lui, puis je m'accroupis entre ses genoux. D'abord surpris, il comprend où je veux en venir. Spontanément, il écarte les genoux et il se cale bien au fond de son fauteuil. Les yeux braqués sur son entrejambe, je lui caresse les cuisses des genoux jusqu'aux aines, et je finis en lui pétrissant le paquet à deux mains Un ricanement du côté de Jacky et de ses autres copains. Je les balaie du regard. Lui, Jacky, il se marre, mais les trois autres sont scotchés de me voir littéralement sauter au paf du "gitan". Au moment où je reviens à lui et où j'entreprends de déboucler son ceinturon, j'entends un des autres lancer:

- Putain ! Tu l'as bien chauffé, Jo ! Fais gaffe, il va te bouffer la queue !

 

Ils se marrent. Comme j'ai du mal à défaire la boucle de sa ceinture, le "gitan" – Jo, donc -, le "gitan" s'en charge, fébrilement. Puis il s'apprête à déboutonner son pantalon et à ouvrir sa braguette, mais je repousse ses mains: c'est moi qui fais ça ! Mais avant, je m'avance, je me penche et je pose ma bouche sur la bosse de sa braguette. Hhhmmmm ! Sentir sous mes lèvres, à travers la toile rêche, la chaleur de son sexe, la forme de sa verge et, en dessous, la bosse que font ses couilles … Ah la laaa ! Les bites ! Les BITES ! Ça me rend dingue ! Là, je vais en découvrir encore une nouvelle. La bite d'un inconnu … une bite qui a sûrement déjà baisé des femmes ! Si ça se trouve il est marié, ce mec ! Ah oui, putain, là, à son annulaire … une alliance ! -, une bite qui a déjà joui dans des chattes, dans des bouches et dans des culs ! Et cette bite, je vais la sucer, je vais la téter, je vais la pomper, avant de me la faire mettre dans le cul ! Sous les rires de ses potes, je fais glisser plusieurs fois ma bouche sur la bosse de sa verge. Son gland est là, à gauche. Je devine sa forme, un peu plus renflée, à l'extrémité de sa queue. Je le presse entre mes lèvres. Hhhmmm, toi, tu vas me cracher ton sperme dans le cul ! Après m'être bien frotté les lèvres sur son paquet, je me redresse, je déboutonne sa ceinture, et je descends son zip. Puis j'écarte les deux pans du jean, je passe mes doigts dans la ceinture de son caleçon, je l'abaisse, et je découvre LA chose ! Oh putain, que tu es belle ! 

 

En fait, elle n'a rien d'exceptionnel: elle n'est ni grosse, ni longue, ni belle ! Elle est plutôt ordinaire, mais elle me plaît terriblement … c'est une bite ! C'est une bite qui va me pénétrer, c'est une bite qui va me fourrager, c'est une bite qui va me baiser ! Je suis dans un tel état d'excitation que n'importe quelle queue me plairait. Je la prends dans ma main, et, tant bien que mal, je m'efforce d'extraire délicatement ses couilles du fond de son caleçon. Voilà, c'est fait. Je le masturbe un peu. En effet, il est très poilu et sa bite émerge d'une grosse touffe de poils noirs. Son gland commence à s'échapper de son prépuce, et son méat est déjà tout luisant de mouille. Je lève les yeux sur lui. Il m'observe, les yeux ronds. Oui, mec, je vais te sucer ! Ses mains posées sur ses cuisses, je remarque qu'en plus de son alliance, il a plusieurs chevalières en or et un petit tatouage à moitié effacé à la commissure du pouce et de l'index. Il ne lui manque qu'une boucle à l'oreille pour être la caricature du manouche. Je jette un coup d'œil vers les autres. Ils ne ricanent plus, ils m'observent. Ils doivent se dire qu'eux aussi auront droit à ça. Je reviens à Jo et à sa queue. Je bande ! Et comme, moi aussi, je commence à être à l'étroit dans ce string, j'en sors rapidement ma queue. Je fais aller et venir ma main deux ou trois fois sur sa verge qui se décalotte un peu plus à chaque fois. Enfin, je me penche et d'un coup de langue, je nettoie ce qui perle au bout de son gland. 

 

- Bon, ben, on va aller se le faire nous-mêmes, ce café !

 

Du coin de l'œil, je vois le type qui est dans l'autre fauteuil se lever et passer derrière moi en direction de la cuisine. Pour le moment, va te le faire, ton café.  La main serrée sur la verge de Jo, je commence à donner de petits coups de langue tout autour de son gland. Une veine, toute gonflée, gorgée de sang, court jusque sur son prépuce. Hhhmmmm, ce qu'il est doux et chaud  sous ma langue. J'ouvre la bouche et je glisse son nœud entre mes lèvres. En les serrant, j'enfonce sa queue dans ma bouche. Elle finit de se décalotter et je sens son gland s'épanouir sur ma langue. Oh la laa ! Ça y est, j'ai son sexe en moi, c'est par ce tube de chair et de sang qu'il répand sa semence dans les ventres, dans les bouches et les culs ! Et là, il est dans ma bouche à moi, cet appareil génital ! Et c'est moi qui vais recevoir sa charge de sperme ! Oh, putain, ce que j'aime les bites ! Je commence à aller et venir. Il pose une main sur ma nuque. Ah oui, Jo, serre-moi la nuque ! Je l'entends qui souffle par la bouche. Je lui fais beaucoup d'effet. Je le suce délicatement comme ça un petit moment, et mon excitation, comme la sienne, monte, monte, monte … Et brusquement, il repousse ma tête sans ménagement:

- Arrête ! Relève-toi ! J'vais t'baiser ! MAINT'NANT ! 

 

Il a déjà une urgence. Je n'en reviens pas. J'espérais qu'il me laisse le sucer longuement, je m'attendais à ce qu'il tienne mieux la distance. Sans attendre que je sois relevé, il est debout et manque de me foutre par terre. Il me saisit le bras, me force à me mettre sur mes pieds et demande:

- Où, j'te baise ?

- Je sais pas. Où tu veux.

- T'as une table, par là ?

 

Il montre la salle à manger. 

 

- Oui.

- Alors go !

 

Ah oui ! Sur la table ! J'adore ça ! Allongé sur le dos ou debout, en levrette. Il me pousse devant lui. Nous voilà dans la salle à manger. Le type parti faire du café s'interrompt, surpris, et nous regarde. Jo me guide vers l'extrémité de la table, là où il n'y a pas de chaise, et me fait pivoter:

- Fous tes mains sur la table et écarte les jambes. J'vais t'enculer en levrette.

 

Il m'appuie sur une omoplate pour que je me courbe au-dessus de la table. Je résiste:

- Attends !

- Quoi !

 

Jacky et les deux types qui étaient restés avec lui dans le séjour apparaissent à leur tour. Ils viennent assister au spectacle. Tant mieux, j'aime ça. Un grand type aux cheveux poivre et sel, a sa main plaquée sur la bosse à côté de sa braguette. Il se caresse discrètement. Celui-là est mûr. Me voir sucer Jo l'a bien excité. Vas-y, mec, te gêne pas, tripote-toi pendant que l'autre me grimpe, j'aime ça. Il a vu que j'ai repéré son manège. Comme pris en flagrant délit, il esquisse un mouvement pour écarter sa main de sa queue, mais il se ravise, s'empoigne ostensiblement le paquet, et me sourit. C'est bien, mec, tripote-toi, en attendant ton tour, montre-moi que t'as envie de m'enculer. Sans le quitter des yeux, je soulève le bas de ma nuisette, je saisis les côtés de mon string, je le descends jusqu'à mes pieds, je l'ôte et je le pose sur la table. De nouveau, le "gitan" appuie sur mon omoplate. Je pose mes mains à plat sur le bois, j'écarte les jambes et je me cambre, prêt à me faire saillir. Ah putain le moment où je me mets en position pour me faire prendre ! Offrir son cul à un mâle, quel régal ! Et me faire prendre devant des spectateurs ! 

 

Brusquement, je réalise que Jo va sans doute me baiser sans capote. Je m'en fous, malgré la même petite voix qui me souffle que je suis con, que je ne le connais pas, qu'il peut me refiler n'importe quelle saloperie, y compris la pire. Mais je la fais taire, la petite voix. Là, c'est à cru que je veux me faire fourrer, que je veux me faire remplir les entrailles de sperme par ce mec, et j'espère bien que lui-même ne pensera pas à interposer une capuche en latex entre son zob et ma viande. Et c'est ce con de Jacky, qui ramène sa gueule:

- Jo ! Tu mets pas de capote ?

 

Jo, il a une main posée sur ma hanche et je pense qu'il cramponne déjà sa queue pour la présenter devant l'entrée de mon fourreau. 

 

- Nan, mec ! J'le baise comme ça !

 

Yes ! Sans hésitation, le Jo. Il doit être dans le même état que moi: surexcité et pressé de me saillir, de se vider les couilles et de m'inséminer. Et puis, je le sens hésiter, et il se ravise. Il me presse la hanche et me demande:

- Faut que j'mette une capote ?

- Non. Vas-y, baise-moi comme ça et jute-moi dans le cul !

 

Je ne sais pas s'il a demandé ça pour sa propre sécurité ou par égard pour moi. Peu importe, il faut qu'il y aille, maintenant. Et il y va: je le sens guider sa queue entre mes fesses, placer son gland contre ma rondelle et, d'un seul coup de reins, me pénétrer. Ah ouiiii ! Ça rentre tout seul. J'ai bien fait de me lubrifier avant qu'ils arrivent. Oh, ce que j'aime ça ! Ce que j'aime me faire prendre par les mecs ! J'aime les mecs, j'aime les mâles, j'aime les hommes ! J'aime que les hommes me baisent ! Il m'empoigne fermement par les hanches, et se plaque à moi, me donnant de petits coups avec son bassin, comme pour bien s'enfoncer au fond de moi:

- Rhâââ, puutaiiin ! Quel CUL !

 

Je me cambre autant que je peux pour bien recevoir cette saillie, pour qu'il aille bien au fond. Vas-y, prends-moi ! BAISE-MOI ! Il se met à aller et venir, sortant lentement, rentrant plus vigoureusement. Il souffle par la bouche, il halète. Jacky et les autres, autour de la table, nous regardent. Le type aux cheveux poivre et sel qui se palpait seulement la queue il y a un instant, se tripote maintenant ouvertement la bite à travers la toile de son pantalon, et il a passé son pouce dans sa ceinture, comme s'il s'apprêtait à la déboutonner pour sortir son engin. Vas-y, sors-la, ta queue ! Le type de la cuisine est maintenant tout près de nous, la cafetière à la main. Le café attendra, on dirait, il mate. J'aime toujours autant que des mecs me regardent pendant que je me fais tringler. Pour le plaisir de l'exhibition et aussi parce que je sais que ça les excite, que ça leur donne envie. Et à tous les coups, ça marche ! Quand quatre types me regardent me faire enculer par un cinquième, je sais que les quatre types vont aussi me baiser après lui. Ah putain, ce que j'aime ça ! 

 

A mon tour, la tête rejetée en arrière, je halète sans pudeur. C'est tellement boooon ! Le gitan me donne du plaisir, il m'enflamme la rondelle, et ça me plaît de lui faire savoir et de le montrer à ses potes. Je gémis et, les yeux mi-clos, je regarde ces types l'un après l'autre, leur adressant une supplique muette: « Tu vois comme j'aime ça ? Alors, toi aussi, viens me baiser ! ». Je crois qu'ils ont compris. Ils n'ont plus envie de ricaner, ils ne pensent plus à se foutre de ma gueule. Ma conduite de femelle nymphomane, dépravée, indécente et lubrique les sidère, et ils n'ont plus qu'une idée en tête: me faire comme le "gitan", me passer dessus, me faire ma fête, me baiser. Ça y est, le type poivre et sel sort sa queue ! Oh putain, il bande ! Sa bite est assez quelconque, mais il bande, il veut me fourrer, il VA me fourrer, et il commence à se branler ! Du coup, l'autre, à côté de Jacky, ouvre aussi sa braguette, et il sort aussi sa queue ! Oh, putain, c'est parti pour une nouvelle tournante ! Oh oui, sortez tous vos bites et baisez-moi ! Baisez-moi ! BAISEZ-MOI !

 

- Tu vas t'en prendre plein ton cul de salope !

 

C'est Jo, qui, comme moi, a vu ses potes déballer leurs queues et qui m'explique ce qui m'attend. Les doigts crispés dans le gras de mes hanches, il ahane:

- T'as vu ? Ils ont sorti leurs bites ! Tu les vois, leurs bites, à mes potes, hein ? Tu vas aussi t'les prendre dans ton cul d'salope ! Tu les veux, leurs bites, dans ton cul ? Hein, tu les veux ? Dis-le, salope !

- Oui, je les veux, leurs bites ! Baisez-moi ! BAISEZ-MOI, BORDEL ! FOURREZ-MOI ! ENCULEZ-MOI ! BAISEZ-MOI, PUTAIN DE MERDE ! BAISEZ-MOI TOUS ! S'IL VOUS PLAÎÎÎÎÎT, BAIIIISEEEEEZ-MOIIIII !!!!

 

Après être monté doucement, ça m'a brusquement submergé ! Les mots sont sortis tout seuls. Ils ne venaient pas de ma tête, ces mots, ils venaient … DE MON CUL … de mon cul qui veut de la bite, de mon cul qui veut plein de bite ! Après m'être mis à crier, perdant toute dignité, j'ai fini en suppliant ces mecs et en gémissant. Je les veux tous, ces mecs ! Je veux qu'ils me prennent tous. Je veux qu'ils me fassent ce qu'ils veulent. Là, je les observe. Ils n'en reviennent pas, ils se regardent les uns les autres, littéralement scotchés, sidérés ! Le type à côté de nous n'a plus la cafetière dans la main, il a sa bite ! Je tends la main vers elle, et aussitôt, il s'approche. Je la prends et je la presse entre mes doigts. Ah yesss ! Ça y est, ils ont tous les quatre leur queue à la main ! Et ils bandent ! Ils veulent aussi me baiser ! Déjà bien excité, ma sortie de femelle hystérique l'a achevé, le Jo ! A grand coups de reins ponctués de "Ouuuuch !" tonitruants, il jouit . Il jouit longuement, soufflant, éructant, me postillonnant sur les reins. Putain, sa queue est en train de me déverser sa semence dans le rectum ! Ça y est, il m'insémine, il me féconde, il m'engrosse. Je gémis de plus belle. Peu à peu, soulagé, les couilles vidées, il se calme. Il s'enfonce en moi, s'immobilise, et je le sens, je l'entends reprendre son souffle. Je lâche la queue que j'ai dans la main, je me plie complètement en deux, et je pose mon front sur mes avant-bras croisés sur la table. Quand il a retrouvé son souffle, je le sens se camper mieux sur ses pieds et se retirer lentement dans un bruit mouillé. Une petite claque sur ma fesse, et:

- T'es une sacrée salope, nom de dieu !

 

J'esquisse un mouvement pour me redresser, mais:

- Reste comme ça !

 

Ça vient d'à côté de moi et, déjà, une main se pose sur mes reins. Le type à la cafetière ? Je ne sais pas, je sens quelqu'un se placer derrière moi, ses genoux entre les miens. Je repose mon front sur mes bras.

 

- Tu veux pas qu'il se lave, avant ? J'lui ai juté dans l'cul …

 

C'était Jo.

 

- Non. J'm'en fous. Elle a l'feu au cul, elle est pressée de s'en prendre un autre coup. et elle m'a trop excité, c'te salope !

 

Tant mieux ! Baisez-moi comme ça, sans capote et les uns après les autres, comme des clebs ! Je les ai tellement excités qu'ils en oublient toute prudence, comme moi ! Le plaisir, et seulement le plaisir, maintenant ! La baise, la jouissance ! La BITE ! le CUL, le CUL, le CUL ! Le type est derrière moi, ses mains autour de ma taille, les doigts sous la dentelle de mon porte-jarretelles. Un truc chaud entre mes fesses ... sa queue ! Elle devait tenir toute seule à la verticale, super excitée, pas besoin de la guider ! Deux ou trois mouvements de va et vient, de bas en haut, et elle glisse lentement, précautionneusement en direction de ma … de ma vulve, qui n'attend que ça, de recevoir un autre sexe. Vas-y, prends-moi ! Voilà ! Ça doit être son gland, là, contre la fleur. Il entre, lentement. Je la sens bien, sa verge qui glisse dans mon anus. Il me serre très fort la taille. Ah putain, ça y est, j'ai une autre queue dans le cul ! Je ne sais même pas lequel de ces mecs est en train de s'accoupler avec moi.Je m'en fous. C'est la queue d'un inconnu. Encore un inconnu ! Je suis en train de me faire couvrir comme une chienne en chaleurs par une meute de clebs des rues, attirés par mon cul ! Avec le mélange de gel lubrifiant et de foutre du gitan que j'ai dans le cul, celui-ci glisse tout seul. Le front sur mes bras croisés, je gémis.

 

- T'aimes ça, hein ! Vas-y, couine, ma chérie ! Te gêne pas !

 

Oh oui, je couine ! Je m'en fous que vous me voyiez aussi chiennasse, aussi docile, aussi soumise, aussi addicte à vos bites, aussi impudique … je me fous que vous puissiez en profiter, que vous puissiez en jouer, en abuser, vous en servir. Oui, j'aime la bite, oui je suis accro à la bite, oui vous pourriez faire de moi ce que vous voulez pour de la bite ! Profitez de moi ! Abusez de moi !

 

Il va et vient lentement. Je suis sûr qu'il regarde sa queue qui entre et sort de mon cul. Tiens, en plus de ses mains autour de ma taille, je sens une autre main sur ma fesse. Je bouge un peu et je jette un coup d'œil sur le côté, entre mon ventre et le plateau de la table. Je vois quelqu'un, sur la droite, à côté de celui qui me baise. Enfin, je vois un bassin, depuis le milieu des cuisses jusqu'à la taille, et un pantalon, braguette ouverte, avec une main qui serre une bite en érection qui sort par la braguette. Une main qui masturbe cette bite en érection. Je devine aussi un autre mouvement, sur la gauche. Ah oui, à gauche aussi, un type  a contourné la table pour s'approcher. On dirait le jean de Jacky. Ah oui, c'est sa bite ! Vas-y, Jacky, pelote-moi aussi !

 

Ah, putain, ça y est, les clebs se pressent autour de mon cul, les clebs ont senti mes effluves de femelle, les clebs viennent me renifler la vulve, les clebs veulent me couvrir ! Ils vont tous me saillir, chacun leur tour ! Allez-y, fécondez-moi ! Je suis réceptive ! 

 

Je sens qu'un doigt se presse contre ma rondelle, tout contre la queue qui me ramone. Oui, vas-y ! Fourre-moi ton doigt, en plus de cette bite ! Qui est-ce qui me fait ça ? Celui qui me baise, ou l'autre, qui me pelotait la fesse ? Je m'en fous, il force. Mon anus n'est pas tout à fait assez détendu et c'est très légèrement douloureux, mais c'est si bon ! Dans un gémissement, je l'encourage:

- Ah oui ! Vas-y, mets-le-moi, ton doigt ! Ah ouiiiiiii !

 

Eclats de rire. La bite s'immobilise et le doigt (un pouce ? Oui, on dirait un pouce), et le doigt s'enfonce. Ah la vache ! Ça y est, il a passé le col étroit de mon sphincter et je sens sa première phalange bouger dans mon rectum. Oh la la ! Je couine à nouveau.

 

- Lui fais pas mal, quand même !

 

La voix est venue juste de derrière moi. C'est le type qui me baise.

 

- Nan, j'lui fais pas mal. Il couine parce que il aime ça. Pas vrai ?

 

Je me relève un peu et je hoche la tête « Oui, j'aime ça ! ». Alors, il agite son doigt un peu plus vigoureusement, et je sens mes muscles se détendre. Lui aussi, sans doute, et ça le fait marrer.

 

- Bon, allez, laisse-moi me finir, maintenant …

 

Le type qui me baise. Je sens le doigt sortir délicatement, et aussitôt, le va et vient de la queue reprend. Et pour celui-ci aussi, ça va très vite, comme si, maintenant, il voulait seulement tirer son coup vite fait. Il me bourre en soufflant entre ses dents serrées. J'aime bien quand un mec me tringle longuement, mais paradoxalement, j'aime bien aussi me faire baiser comme ça, vite fait, bien fait, c'est-à-dire quand un mâle se contente de se servir de mon cul pour se vider les couilles, pour se soulager. Je le sens qui se retire presque complètement, qui ne laisse que son gland dans ma rondelle, qui s'immobilise, qui aspire et souffle l'air à toute vitesse entre ses dents serrées. Qu'est-ce qu'il attend ? Ah, voilà ! Je ressens un soubresaut dans mon anus et, aussitôt, un truc chaud s'y répand. Il jouit  ! Il éjacule ! Il grogne et il s'enfonce d'un seul coup en moi. Le ventre collé à mes fesses, il continue d'éjaculer au fond de mon ventre, et je sens les spasmes de sa verge dans mon anus. Ah, ce que c'est bon de sentir un mec prendre son pied en soi ! Je tourne la tête et je pose ma joue sur mes avant bras croisés sur la table. Jacky est là, la bite à la main, qui se masturbe lentement. Il contemplait son pote en train de jouir dans mon cul, mais mon mouvement attire son attention. Il me regarde, me sourit, lève le pouce de sa main libre, et:

- Super, la fiotte ! T'en as d'jà pris deux coups dans l'cul ! Ça t'plaît ?

 

Je hoche la tête « Oui, ça me plaît ! »

 

- Alors, on continue !

 

Le baiseur se recule et je sens sa queue glisser hors de moi. Je me sens déjà inondé à l'intérieur, et oui, c'est bien l'odeur du sperme qui arrive à mon nez. Hhmmmm , j'adore ! Jacky:

- T'y vas ?

- Ouais, ça urge ! Elle m'a trop excité, c'te salope !

 

Ça, c'est le type au pouce, juste à côté de moi. Je réalise que le petit bruit indéfinissable, mais très rythmé que j'entendais, là, tout près de moi, c'était lui, en train de se branler, ses couilles qui battaient contre son pantalon, sa main qui allait et venait à cadence rapide sur sa verge. Putain, il y allait de bon cœur ! J'ai déjà son poing entre les fesses, son poing serré sur sa queue ! Son bout dans ma rondelle, et il s'enfonce d'un seul coup en même temps que, dans un ahanement, il plaque ses mains à l'angle de mes cuisses et de mon ventre:

- Aaaah, puuutaiiiiin ! Quelle salope !

 

Il jouit déjà  ! Ah oui, ça urgeait vraiment. Il était temps ! Pour un peu, il aurait éjaculé sur mon carrelage ! Il geint en me donnant de rapides petits coups de bite. Il continue de se répandre et, maintenant, j'entends vraiment le bruit mouillé, un peu visqueux, que fait sa bite en patouillant dans mon cul. Ça y est, j'ai déjà le sperme de trois mecs dans le cul ! J'adore ça ! C'est quand même beaucoup mieux que s'ils lâchaient leur crème dans des capotes ! A bout de souffle, il ralentit son mouvement et se met à me caresser les hanches et les reins:

- Pfouuu ! Nom de dieu, il était temps ! A qui le tour ? Jacky ?

- Euh, je sais pas. Max, tu veux y aller ?

- Comme tu veux, Jacky.

- Ouais, ben vas-y, Max, je me l'ferai en dernier.

- OK.

 

Max, apparemment, était resté de l'autre côté de la table. Je lève la tête. Il approche et l'autre se retire. L'autre, c'était le type "poivre et sel". Alors, ça doit être le type à la cafetière qui m'a baisé tout de suite après Jo. Max, c'est le petit râblé. Enfin, pas si petit que ça. Plus petit que les quatre autres, mais il doit faire quand même un bon mètre soixante dix. Jacky:

- Tu te l'fais aussi comme ça ?

- Comment "comme ça" ?

- Sans capote …

- Ah ouais. Hey, on a déjà baisé une même salope à plusieurs …

- Nan, pas Jo. Jo, c'est la première fois qu'il participe. Et les autres fois, c'était pas des fiottes …

 

Le Max, tout en discutant, s'est installé derrière moi, entre mes jambes, et il me pelote distraitement le cul:

- Ouais, c'était des filles … mais jouir à plusieurs dans une fille ou dans une fiotte, c'est pareil …

- Exact.

- Bon, voyons c'que ça donne, avec celui-là …

 

Il commence par me caresser les cuisses, depuis l'arrière des genoux jusqu'aux fesses. Je sens ses doigts glisser sur le voile de mes bas. Puis il me pétrit les fesses, me les claque pas trop fort …

- C'est bien, ça … bien en chair, assez ferme … on sent le muscle … ça devrait plaire …

 

Le maquignon qui tâte la viande du bestiau avant de l'acheter ! Et ça veut dire quoi, "ça devrait plaire" ? On dirait qu'il parle d'une nouveau produit à mettre sur le marché ! Je ne peux m'empêcher de me dire qu'il pense que c'est sur le trottoir que "ça devrait plaire" ! Mais ça fait rien, j'aime bien être traité comme ça. Cela dit, mon excitation est pas mal retombée pendant ces discussions. Mais bon, rester comme ça, passif, à leur disposition, que ce soit pendant qu'ils me font mon affaire ou pendant qu'ils discutent, ça me va. Comme les autres, Max guide sa bite et me loge son gland dans l'anus et s'enfonce d'un seul coup violent qui me propulse contre le bord de la table. Et alors, lui, c'est … 

 

Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf !

 

Ses mains à plat sur mes reins, son ventre rebondit contre mes fesses avec la régularité d'un métronome. Comme il a bien ouvert son pantalon, je sens celui-ci glisser sur ses cuisses et le long des miennes. En écartant largement les genoux pour l'empêcher de descendre jusque sur ses chevilles, il me force à écarter aussi les miens. Cuisses grandes ouvertes, cul offert, reins cambrés. Hhmm ! De temps à autre, Max grogne de plaisir. Je jette un coup d'œil autour de nous. Jo a disparu, sans doute dans le séjour. "Poivre et sel" est négligemment appuyé contre le mur et nous regarde. La "cafetière " a dû trouver le paquet de café et les filtres: j'entends le glouglou de l'eau qui s'écoule et ça commence à sentir. Soudain …

 

Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfouuuuuuu !

 

Max prend son pied  ! Max baise en rythme et Max jouit en rythme ! Au dernier Pfouu, il s'est collé à moi, et il finit de se vider en grognant. Je sens son ventre se contracter spasmodiquement contre mes fesses. 

 

- Waouuuuh !

 

Il se décolle et sort de mon cul. Bof ! Pas terrible, celui-ci. Mon excitation est presque complètement retombée. Le seul plaisir que je tire de ce coït, c'est que j'ai maintenant la semence de quatre types dans mon ventre. Je n'ai pas l'impression que Max m'en ait mis une grosse dose, mais ses va et vient ont touillé la crème des trois potes qui l'ont précédé, et je sens maintenant que ça me dégouline pas mal sur le haut des cuisses. Je passe une main sous mon ventre, et j'aventure mes doigts du côté de mon périnée. Ouaah ! Je suis trempé. Ça colle, et sous mes doigts, je sens même quelques grumeaux poisseux. J'adore ça, avoir le cul tellement plein de sperme qu'il déborde ! En plus, c'est le sperme de QUATRE mecs ! Je suis quand même surpris de la facilité avec laquelle ces types trempent leur bite dans le foutre d'autres mecs ! Les trois derniers n'ont pas hésité le moins du monde, comme si c'était tout à fait naturel ! Apparemment, ce n'est pas la première fois qu'ils font ça. Jacky est derrière moi, à son tour. Au lieu de se coller directement à moi, comme ses potes, il entreprend de rajuster mon porte-jarretelles, progressivement descendu de ma taille à mes hanches au gré des coups de bites que je viens de recevoir. Il se charge même de remonter et de lisser mes bas. Plein d'attention, le mac ! Je me redresse et je m'appuie les deux mains à plat sur la table. 

 

- Alors ? T'as réfléchi pour c'que je t'ai proposé ?

 

Ah ! Nous y voilà ! Je sens que ce n'est pas la peine de tourner au tour du pot. Je marque un temps, puis:

- Pour faire la pute ?

- Ouais, pour faire la pute …

 

Il me prend par les hanches, il se plaque contre moi, sa grosse queue entre mes fesses, et il commence à se frotter. Il insiste:

- Alors ? Toi et moi, on sait à quel point t'aimes ça, de te faire baiser. Alors, je vois pas ce qui te retient. Surtout que ça serait dans ton intérêt. 

 

Sous cette remarque formulée sur un ton doucereux, je sens la menace. Il n'y a plus que Jo et "poivre et sel" à nous regarder, à l'entrée du séjour, une tasse de café à la main. Les autres sont sans doute retournés se vautrer de l'autre côté. Les deux spectateurs ont l'air très intéressés par notre conversation.

 

- Je … je sais pas. C'est pas évident de décider ça. 

- Ouais, mais faudrait qu'je sache, moi. J'ai peut-être un studio en vue, faudrait que tu me dises ça vite fait, pour qu'il me passe pas sous le nez.

- J'ai peur qu'une fois là-dedans, je puisse plus faire marche arrière.

 

Putain, je sens sa grosse bite qui glisse entre mes fesses. Le salaud, il sait l'effet que me fait son gros zob, et il s'en sert pour me faire céder ! Allez, baise-moi ! Non, il continue de se frotter:

- Ben, tu veux faire un essai ?

- Comment ça, un essai ?

- Ben ouais, tu fais un essai avec quelques clients, et comme ça, tu vois si ça te plaît. 

- Mais … où, un essai ?

- Ben faut que je m'organise, et quand c'est fait, je t'appelle.

 

Ça cache quoi, cette histoire ? J'hésite. Il le sent. Il insiste:

- T'inquiète pas. Ça se passera bien. J't'expliquerai où et comment et tu décideras.

- B… bon.

- Ben voiiiiilààà !

 

Pourquoi les deux, là-bas, arborent-ils ce petit sourire ? Je sens Jacky reculer son bassin, laisser délicatement glisser sa queue dans ma raie, jusqu'à ma rondelle, et quand son gland arrive devant l'entrée de mon fourreau, je le sens saisir son engin à pleine main, et il me pénètre ! Wouffff ! Oh putain ! Y'a pas de doute, des cinq, c'est vraiment lui qui a la plus grosse queue ! Il m'arrache un gémissement. J'ai beau avoir eu l'anus dilaté, détendu par les quatre précédents, lui, c'est un autre calibre, et je le sens vraiment bien glisser dans ma rondelle. Il commence à aller et venir. Ah, Jacky, vas-y, baise-moi ! Je me laisse aller, je me laisse gagner par le plaisir. J'ai cet énorme phallus dans le rectum et c'est un bonheur ! Je suis vraiment étonné qu'un mâle aussi bien monté puisse bander pour mon cul. Il est homo ? C'est vrai, j'en sais rien. Pour moi, un type qui fait travailler des filles, est forcément hétéro. Mais au fond, je ne sais pas. Il faudra que je lui demande. En tout cas, pour le moment, c'est dans mon cul, qu'il a fourré sa grosse queue. Tout en me ramonant, il a remonté ses mains tout le long de mon torse, sous ma nuisette, et il me caresse, presque tendrement. Il m'appuie entre les omoplates. Il veut que je me penche en avant. Je me penche et je me cambre, femelle en chaleurs qui accueille son mâle en rut ! Appuyé sur un coude, je glisse de nouveau ma main sous mon ventre, jusque entre mes cuisses. Au moment où il s'enfonce en moi, ses couilles viennent effleurer mon poignet. Ses couilles ! Je passe ma main dessous. Il n'a pas ouvert son jean. Il a seulement ouvert sa braguette et sorti sa queue et ses couilles ! Ses couilles qui pendent, bien en dessous de sa bite. Hhmmmm, lui aussi, il va me les vider dans le ventre, lui aussi il va m'injecter leur contenu dans la viande !

 

Brusquement, il jouit ! Les doigts de nouveau crispés sur mes hanches, il agite son bassin de façon désordonnée. Je l'entends aspirer et souffler l'air bruyamment par la bouche, et soudain, il me fout un coup de boutoir … rrrran ! Un autre …. rrrrran ! Encore un … rrrrran ! Et il s'immobilise, à bout de souffle. Il ne bouge plus, bien calé tout au fond de moi… je devine qu'il est en train de répandre au fond de mon ventre un flot de semence, je perçois seulement, dans mon sphincter, les spasmes de son urètre au passage du sperme, et tout aussi brusquement, il sort sa queue: splatchhhh ! Il se décolle de moi et s'éloigne sans un mot. 

 

Je me redresse. Je sens que ça dégouline le long de ma cuisse, un truc visqueux, sirupeux ! Je baisse les yeux, et là, entre mes pieds, une tache blanchâtre, une GROSSE tache blanchâtre, du sperme ! Putain, la dose ! Non seulement j'en ai plein la cuisse, plein LES cuisses, jusque sur le haut de mes bas, mais il y en a aussi une grosse tache au sol ! Jacky, tout en remballant sa queue dans son jean, est en train de passer dans le séjour, suivi des deux spectateurs. Qu'est-ce que je fais ? J'ai très envie de garder tout ce foutre dans mon cul et sur mes cuisses, j'adore rester comme ça, souillé du sperme que des mâles ont répandu en moi, mais avec ces types, là, à côté,  j'hésite. Et puis tant pis. Après tout, c'est eux qui m'ont fait ça ! Ça m'étonnerait que ça les gêne. Alors, les fesses glissant l'une sur l'autre, je les rejoins. 

 

Max, le petit râblé et "la cafetière" sont assis, chacun dans un fauteuil. Jo, le "gitan" et "poivre et sel" sont debout, ainsi que Jacky, une tasse à la main, qui sirote son café. Tous les cinq me regardent entrer dans le séjour. Je me trompe où ils arborent tous le sourire de types qui ont réussi un bon coup ? Jacky pose sa tasse sur la table basse, et:

- Bon … Marin, on va y aller. J'vais t'organiser quelque chose pour que tu fasses un essai comme j't'ai dit,  et j't'appellerai quand ça sera prêt. Vu ?

- Oui, vu. 

- Très bien, alors. Fais pas de bêtise, en attendant.

 

Il passe devant moi, suivi de ses potes. Pas un ne me serre la main, pas un ne me dit seulement au revoir. Ils sortent. J'enfile vite fait mon déshabillé et je les suis jusque sur le pas de ma porte. Je les regarde rejoindre leur voiture. Ils discutent, rigolent, s'esclaffent. Je ne comprends pas ce qu'ils disent, mais je suis sûr que c'est à mon sujet. Quand ils arrivent près de la Mercedes, je vois ma voisine, Yolaine, surgir de chez elle, et s'adresser à mes baiseurs en se dirigeant vers sa propre voiture. A cette distance, je n'entends évidemment pas ce qu'elle leur dit. Ni ce que Jacky et "la cafetière" lui répondent. Mais eux, comme elle, sourient. Je me trompe, ou elle jette un coup d'œil vers moi avant de monter dans sa voiture. Tout le monde embarque. Ils se sont dit quoi ? Yolaine manœuvre, la Mercedes la laisse sortir de la cour avant de prendre le même chemin. Voilà, ils sont partis. Je rentre. 

 

La pendule à côté de la porte d'entrée marque 10 heures 10.

Ils ne sont pas restés trois quart d'heure !  Pourquoi, en m'apercevant de ça, je me sens tellement … c'est un drôle de sentiment, une espèce de satisfaction, presque de fierté ! Ces mecs ont débarqué et, en moins de quarante cinq minutes, ils m'ont fait mon affaire ! Pourquoi ça me plaît tellement qu'ils m'aient baisé tous les cinq en quarante minutes, montre en main ! Oh, bien sûr, il y a toujours cette menace, ce chantage de me dénoncer auprès de mes relations qui gâche un peu la fête. Il n'en reste pas moins que j'éprouve un vrai plaisir à ce que cinq types aient débarqué chez moi pour se soulager et pour se vider les couilles dans mon cul, vite fait, bien fait.

 

Je sens encore, entre mes fesses, et le long de mes cuisses, ce qui atteste de la jouissance de ces cinq mâles. Allez, c'est décidé, aujourd'hui, je n'ai rien de spécial à faire et je n'ai pas besoin de sortir, alors je vais rester comme ça toute la journée, en tenue de salope, avec le ventre, les fesses et les cuisses souillés de sperme.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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