Récits pornographiques

Lundi 21 août 2017 1 21 /08 /Août /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

- Alors, vous avez choisi ?

 

Non, je n'ai pas encore choisi par lequel des quatre autres chiens de l'éleveur je vais maintenant me faire baiser. Son Cane corso vient tout juste de finir de m'inséminer, et ça n'a pas calmé la furieuse envie qui m'enflamme le cul et le ventre, bien au contraire ... j'ai bel et bien l'intention de me faire aussi sauter par ses deux Mastiffs et par ses deux Danois ! Une occasion comme ça n'est sûrement pas près de se représenter.

 

L'éleveur, je le sens excité, pressé … mais pressé de quoi, au juste ? De me voir à nouveau copuler avec un de ses chiens ? Sans doute, mais pas seulement ! Il a aussi hâte de pouvoir faire des photos. 

- Non, je n'ai pas encore choisi … toi, tu me conseillerais lequel ?

 

Surpris, il se demande si je plaisante:

- Vous voulez que …  je vous conseille ?

 

Il me regarde fixement, et il réalise que je suis sérieux. Le voilà rasséréné, et, à sa mine, je le sens tout heureux que je le sollicite. 

- Ah ben alors, si vous voulez mon avis, puisque vous avez déjà essayé les dogues allemands de Jean-Claude, moi, je vous conseille le Mastiff !

 

Incroyable, un tel changement de comportement ! Ma demande a réveillé ses réflexes d'éleveur … et de commerçant. On croirait entendre un vendeur de bagnoles ou de lave-linge me faire l'article ! Sauf que ce n'est ni une voiture, ni un lave-linge, ni même un chien de garde qu'il va m'aider à choisir, c'est … un amant … le CHIEN qui me baisera le mieux ! Il se dirige vers les stalles. Profitant qu'il nous tourne le dos, je fais signe à Jean-Claude et, désignant Pierrot d'un coup de menton, je mime le geste de prendre une photo. Il a compris et il sort son smartphone. Je rejoins l'éleveur près de la stalle où est attaché Gordo, le mastiff que j'ai tripoté tout à l'heure. Pierrot m'attend, une main sur la tête du chien assis à ses pieds. Il ne peut pas s'empêcher de m'examiner en détail, de la tête aux pieds … quand je dis "de la tête aux pieds", pas vraiment, en fait: il regarde mon sexe, encore en érection et que je tripote ostensiblement. En me voyant approcher, le mastiff remue la queue. 

 

- Ah, vous êtes encore en train de nous filmer …

 

Je me retourne. Jean-Claude braque son smartphone sur nous sans chercher à se cacher. L'éleveur, fataliste:

- Remarquez, au point où on en est, ça me gêne pas … 

 

Il a raison, ça ne change plus grand chose. Il reprend:

- Bon, ben, mes Mastiffs, vous avez vu … ils sont impressionnants, mais ils sont gentils … c'est la façon de les élever, qui fait ça … vous n'avez vraiment rien à craindre … et alors, point de vue …

 

Gordo.jpg

 

Comme tout à l'heure, de ses mains, il dessine un cercle conséquent à hauteur de son propre bas-ventre. C'est clair: une fois encore, il évoque la taille du sexe de ses bestiaux.

- … hein, point de vue … SEXE … vous avez vu avec Falco … ben eux, les Mastiffs, c'est pareil ! Vous savez, dans le milieu de l'élevage, mes Mastiffs, ils sont réputés pour leur beauté ... ils sont exactement au standard de la race. Alors ils sont recherchés par les propriétaires de femelles pour les faire couvrir. Si je voulais, ils arrêteraient pas de saillir, mes chiens. Mais je limite exprès … je les ménage. Mais ce que je peux vous dire, c'est que pour beaucoup c'est un honneur que leur chienne ait été saillie par un de mes Mastiffs. Voilà. Je vous conseille de prendre Gordo … il a déjà fait votre connaissance et j'ai bien vu … vous lui plaisez, c'est sûr ! 

 

Il s'arrête, semble réfléchir, puis:

- Dites, euh … ça vous gênerait qu'on se tutoie ? Je trouve que … maintenant que vous avez couché avec Falco, on pourrait …

 

« … maintenant que vous avez COUCHÉ avec Falco » ! Il aurait pu me dire « On peut se tutoyer, maintenant que je t'ai vu à poil ». Mais non, je sens que ce n'est pas seulement ça. Il sous-entend qu'en quelque sorte, je fais partie de la famille, maintenant que j'ai "couché" avec Falco ! Il me voit comme le petit ami de son molosse ! C'est évident, le rapport de force s'est inversé. Tout à l'heure, c'est Jean-Claude et moi qui étions sur la défensive. Maintenant, c'est lui qui demande la permission de me tutoyer, alors que je le tutoie déjà depuis un bon moment sans qu'il ait protesté. En fait, je le sens, il me ménage ... maintenant, c'est lui qui est demandeur … il a visiblement très envie que je "couche" avec un autre de ses chiens, pour pouvoir faire des photos. 

 

Je me suis approché tout près du chien … au contact. Il remue la queue en haletant, content de me voir revenir vers lui. Je prends son énorme tête pleine de plis dans mes mains, et je tends mon bassin vers lui. Je plaque ma bite contre cette gueule effrayante. Son souffle sur ma queue ! Frisson … adrénaline … émotion mêlant le plaisir et un reste de peur de me faire broyer la queue entre ces énormes mâchoires … Ah putain, que c'est bon ! Il sent que c'est un sexe masculin, que je lui présente ? S'il détecte l'odeur du fluide d'excitation qui mouille mon gland, il pourrait me prendre pour un mâle concurrent … Et il doit sentir le sperme de Falco qui me souille toujours les fesses ! Il pourrait m'émasculer d'un seul coup de dents. Mais non, il donne un coup de langue sur ma queue. Et un autre encore … Hhhmmm, brave bête ! C'est chaud, c'est humide, c'est râpeux … j'adore ! Jean-Claude me filme, en train de me faire lécher par ce chien. 

 

Son maître revient à la charge:

- Alors, je peux vous tutoyer ?

- Oui.

- Ah, merci. Oui, alors … Gordo, il a fait votre … il a fait TA connaissance, tout à l'heure, et tu lui plais, c'est sûr … il a bien aimé que tu lui tripotes la bite, alors je suis sûr qu'il voudra bien te … 

 

Il laisse sa phrase en suspens.

- Il voudra bien me ... me baiser ?

- Oui, enfin, te … te saillir … Ça me fait drôle de dire "baiser" pour mon chien … 

- Pourquoi ? Il ne m'a pas BAISÉ, ton Falco ?

 

Indifférent à cette conversation, Gordo poursuit son exploration avec sa langue. J'ai redressé ma bite et maintenant, il me lèche les couilles, attiré par la semence de Falco qui a coulé jusque là. Jean-Claude ne filme plus ça: accroupi à côté du molosse, il est en train de lui filmer … la bite ! Bonne initiative. Ça me plaît beaucoup qu'il ait eu l'idée de filmer ces préliminaires avec le Mastiff. L'autre, les yeux rivés sur la gueule de son chien qui continue de me lécher, poursuit: 

- Si, il t'a baisé ! Mais … "baiser", c'est pas un terme qu'on emploie, normalement, pour les chiens … je pourrais pas dire « Falco, il a baisé une chienne ». On dit "couvrir" ou "saillir" quand c'est une chienne … mais oui, avec toi, on peut dire "baiser" … il t'a … il t'a vraiment baisé ... j'ai pas l'habitude, c'est tout …

- Je comprends. Mais, tu sais, pour moi, tu peux dire aussi "saillir" ou couvrir". Moi, ça me va, si tu dis que ton Cane corso m'a sailli ou que ton Mastiff va me couvrir …

- Ouais, t'as raison ! Si on y réfléchit bien … en fait, c'est vraiment ça … mon Falco, il t'a sailli comme une chienne …

- Une chienne, je sais pas, mais ce qui est sûr, c'est que quand il a commencé à me grimper, il me prenait pour une femelle …

- Ouais … peut-être … Alors ? Tu veux que ce soit lui, Gordo, qui te … qui te couvre ?

- Oui, va pour ton Mastiff.

 

Son visage s'illumine:

- Ah ! Très bien. Tu seras pas déçu ... lui aussi, c'est un bon géniteur. Il va bien te BAISER !

 

Voilà, ça vient … "il va bien te BAISER" ! Aussitôt, il entreprend de détacher la laisse de la cloison. Je me serais bien fait lécher encore un peu, mais le maître est pressé. Le spectacle de son molosse me passant sa langue sur la bite et les couilles l'excite moins que la perspective de le voir me baiser. Cramponnant la laisse, il entraîne le chien:

- Allez, viens, Gordo ! Tu vas te l'faire !

 

« Tu vas te l'faire » ! En paraissant adresser cette remarque anodine à son chien, il l'a prononcée pour lui-même, puisque la bête ne peut pas la comprendre. Et mine de rien, elle révèle sa véritable motivation: c'est bel et bien le plaisir de son molosse qu'il vise … et sûrement son plaisir à lui … voir son chien saillir un mec !  Et bien, ça me plaît ! A sa façon, ce mec m'offre à son chien … à SES chiens … tout comme Denis et Jacky m'ont offert à des potes à eux. Ça me plaît, que des mâles m'offrent à d'autres mâles, hommes ou animaux …

 

L'énorme bestiau se laisse entraîner comme à regret d'une démarche lourde, pesante … il tourne la tête vers moi avec l'air de me dire « Ben alors, tu viens pas avec moi ? ». Je les suis, son maître et lui. Arrivés au bord du tapis, ils s'arrêtent et m'attendent. Pierrot sort son smartphone de sa poche et me le montre:

- Alors, je peux ? 

 

Pourquoi pas:

- Ouais, vas-y. Mais, t'as l'intention d'en faire quoi, des photos ?

- Ben … rien de spécial … c'est pour … je sais pas …

- Ta ta ta ! T'as l'intention de les montrer …

- Oh, ben … non ! A qui je les montrerais ?

- A des copains … à d'autres éleveurs … à ta femme … Au fait, t'es marié ?

- Ben … oui, je suis marié … 

- Ecoute, de toute façon, je sais bien qu'une fois parti d'ici, avec tes photos dans ton téléphone, t'en feras ce que tu voudras, mais … fais quand même gaffe à qui tu les montres …

- Co … comment ça …

- Ben, faut pas que ça tombe sous les yeux de quelqu'un qui serait contre les pratiques zoophiles et qui nous balancerait tous les trois ... aux flics, à la justice … faut que tu sois sûr de ceux à qui tu les montres … C'est autant pour toi que je te dis ça. Je te rappelle que maintenant, on est tous les trois dans la même galère … je plonge, tu plonges aussi …

- Ah … ben oui, bien sûr … t'inquiète pas, je les montrerai qu'à des gens sûrs ...

 

Ben voilà, en moins de dix secondes il vient d'affirmer ne pas avoir l'intention de les montrer, PUIS prévoir de les montrer seulement à des gens sûrs ! Au fond, ça aussi, ça me plaît, qu'il les montre. Je l'imagine déjà, sortant fièrement son smartphone devant des connaissances incrédules: « Vous voulez voir le mec que mes chiens se sont tapé ? Regardez ! Si, si, je vous assure, ils l'ont BAISÉ ! Attendez, je vous montre ... ».

- Alors si t'es conscient des risques, ça va …  tu peux faire des photos. Tu peux même faire des vidéos, si tu préfères  ...

- C'est vrai ?

- Si je te le dis ...

 

Je prends la laisse des mains de Pierrot et j'entraîne le chien:

- Allez, viens, toi ... tu vas me sauter sur le tapis … 

 

Il me suit en sautillant à côté de moi – si tant est qu'on puisse dire qu'une bête de cette taille sautille – il est joyeux, impatient ... il a compris où on va et pourquoi on y va. Arrivé sur le tapis, je m'assois. Aussitôt, il se met à me débarbouiller la tronche avec sa langue tout en essayant de me grimper. Il pue de la gueule, mais je le laisse faire … c'est sûrement comme ça qu'il fait avec les chiennes qu'il doit saillir, et il faut qu'il sente qu'avec moi, c'est pareil, que je suis aussi sexuellement disponible …  A force de me sauter dessus, il me renverse à moitié sous son poids. Je me retrouve à demi allongé sur le dos, appuyé sur un coude, le chien au-dessus de moi. Putain, il est vachement impressionnant, vu de dessous … d'un coup d'œil, je vois que son maître nous a suivis et qu'il braque son smartphone sur nous … Jean-Claude, resté un peu en arrière, a ressorti son appareil et filme aussi, non seulement Gordo et moi, mais sans doute aussi l'éleveur … C'est bien, il continue d'accumuler les preuves de la complicité de ce type. Gordo s'agite, je sens bien qu'il a toujours envie de s'accoupler, mais il ne sait pas trop comment s'y prendre dans cette position … Penché sur moi, il secoue ses oreilles et me donne encore des coups de langue sur la figure, sur les épaules, sur le torse … Je me laisse tomber complètement sur le dos, et là … là ... je vois … son sexe ! 

 

Il bande déjà un peu et sa verge dépasse de quelques centimètres de son étui pénien. Oh la laaaa ! Ça n'a vraiment rien à voir avec une bite d'homme ! L'extrémité en est effilée, fuselée et tellement … étrange … animale …. c'est ce … ce TRUC bizarre qui va s'introduire dans mon cul ... et qui va … décharger sa semence dans mon ventre ? De le voir comme ça, je me rends compte à quel point ce sexe n'est pas humain … c'est le sexe d'une BÊTE ! C'est le sexe d'une BÊTE qui va me BAISER ! Un frisson de désir me parcourt de la tête aux pieds … ce sexe m'affole, ce sexe m'excite … 

 

JE VAIS ME FAIRE BAISER PAR UN ANIMAL !

 

- Pierrot … ou Jean-Claude … tenez le chien, je vais …

 

Dès que je vois Jean-Claude empoigner le collier du chien, je me glisse sur le dos jusque sous cet … appareil génital tellement … animal … Je saisis son étui pénien et je le fais glisser pour le décalotter un peu plus. La BÊTE a arrêté de s'agiter. Elle doit comprendre que je vais m'occuper de son sexe. Oh oui, je vais m'en occuper, de ton sexe, le chien ! Sa verge frémit et se secoue de bas en haut au rythme du halètement du molosse. Il sent vraiment le chien … pas tout à fait la même odeur que le Cane corso, il me semble. Et là … ses couilles ! Bien rondes, chacune dans sa bourse couverte de poils noirs, ras et luisants. Je les caresse, je les prends dans ma main. Ces deux grosses boules-là doivent être pleines de sperme qui ne demande qu'à servir ! Vue l'excitation de l'animal, ça doit commencer à grouiller, là-dedans … une effervescence de spermatozoïdes qui sentent qu'ils ne vont pas tarder à être largués dans une chienne pour une mission de fécondation ! C'est bien, préparez-vous au grand saut ! Ce sera sans parachute ! Parce que vous n'allez pas finir bêtement au fond d'un étui en latex, vous allez vous retrouver bien au chaud au fond de mon ventre ! 

 

En attendant que cette semence arrive en flots successifs dans mes entrailles, je vais la sucer, cette bite tellement étrange ! Hhhmmmm ! Je me soulève un peu, je m'appuie sur un coude et j'approche ma bouche … Accroupi à côté de moi, je vois Pierrot braquer son smartphone. Ça aussi, ça contribue à mon plaisir … me faire filmer sans pudeur en train de tailler une pipe à son chien … Je prends ce sexe dans ma bouche .. Oh la laaaaaa ! J'adore ! Il est brûlant, sur ma langue … frémissant … il a un léger goût d'urine … je l'enfonce lentement dans ma bouche, repoussant avec mes lèvres son étui pénien … jusqu'au fond de ma gorge … jusqu'à ce que j'aie sa base, un peu plus étroite, entre mes lèvres … Je garde sans bouger cette verge toute chaude entre ma langue et mon palais, savourant le plaisir d'avoir dans ma bouche un pénis de molosse … un pénis en début d'érection … un pénis qui palpite - il aime ça, le chien, de se faire sucer ! -, et un pénis qui doit commencer à éjaculer dans ma gorge, parce que j'ai soudain un besoin urgent de déglutir !

 

C'est la première fois qu'un être humain lui fait une fellation, à Gordo … ça doit être une découverte, pour lui … si tu aimes ça, Gordo, des pipes, je suis prêt à t'en tailler autant que tu veux ! Je commence à faire aller et venir ma bouche sur sa verge … Oh putain, ce que c'est excitant ! Sucer une BÊTE ! Je réalise que, par réflexe, j'ai commencé à me masturber … Sa verge gonfle lentement dans ma bouche … il aime ce que je lui fais … je lui donne du plaisir … Oh Gordo ! Mon amant … mon mâle … mon mâle qui va me baiser ! Ce sourd gémissement … je prends conscience que c'est de ma gorge qu'il naît … spontanément … remontant de mon ventre, il ne peut jaillir par ma bouche, occupée par le sexe du chien … Sucer des sexes d'hommes, pour moi, c'est toujours une fête, mais sucer le sexe d'un chien ! Un sexe aussi étrange, aussi animal ! La bestialité de cette fellation décuple mon plaisir …

 

- Oh oh oh oooooooohhh !

 

Ce … gloussement attire mon attention. Pierrot est juste là, à côté de moi, un genou au sol et une main sur le dos de son chien, et c'est lui qui vient de rire d'une façon aussi expressive. Du coin de l'œil, je le vois accompagner son gloussement d'un geste et d'une mimique à l'intention de Jean-Claude qui tient toujours le chien. La bouche ouverte en forme de O et les yeux écarquillés, Pierrot secoue sa main libre dans un geste qui témoigne de façon éloquente qu'il n'en revient pas du spectacle que je lui offre. De la même manière que, tout à l'heure, il a examiné sans vergogne le verrouillage de son Cane corso dans mon anus, il contemple maintenant la pipe que je taille à son Mastiff. Mais ni sa présence, si proche et si intrusive, ni son rire ne me gênent … bien au contraire … je continue de sucer fiévreusement le sexe de son chien … et de gémir sans retenue … Vas-y, régale-toi, Pierrot ! Ça ne me gêne pas que tu lorgnes cette relation bucco-génitale d'une manière aussi … clinique et sans-gêne … le respect des convenances, la discrétion et la délicatesse n'ont pas leur place ici ! Et j'aime qu'on me regarde copuler ou sucer le sexe d'un mâle ! Alors regarde, contemple, observe comment je suce ton chien et quel plaisir j'y prends ! Je continue, ravi de me donner en spectacle devant le maître de mon amant.

 

Brusquement, je réalise que, si je continue d'exciter Gordo en le suçant, son knot pourrait bien finir par gonfler là … et après, pour qu'il arrive à me le rentrer dans le cul … Alors, je sors délicatement son sexe de ma bouche, et je l'observe. C'est comme si ce n'était plus le même sexe que celui que j'ai glissé dans ma bouche il y a quelques instants ! Il a grossi, il s'est allongé, évidemment, mais en plus, il n'a plus la même forme ni la même apparence ! Son extrémité n'est plus pointue, effilée, mais elle se termine presque perpendiculairement à l'axe de la verge … comme si elle avait été tranchée par un coup de hachoir ! Et il y a une sorte de … de petit appendice, pointu, au-dessus … Et puis, sa verge est toute rouge … parcourue sur toute sa longueur  par une multitude de vaisseaux sanguins à fleur d'une peau extrêmement fine… comme une chair à vif … Putain, c'est ÇA que j'avais dans la bouche … c'est ça, que j'étais en train de sucer ! Rien à voir avec le sexe d'un homme ! Ce sexe me semble encore plus … animal, encore plus bestial que tout à l'heure ! Je ne sais pas pourquoi, il a quelque chose de brut … de sauvage … de … de primitif … J'adore ça ! D'un coup de langue, j'essuie quelques gouttes translucides qui s'écoulent de son méat. Je me sens tellement … heureux … et même … fier … d'avoir des relations sexuelles avec cet animal … avec ces animaux … au pénis tellement … non humain … Dans un instant, cette BÊTE va introduire en moi cet appareil génital tellement bestial, et nous allons nous verrouiller pour que l'animal puisse décharger tranquillement sa semence au fond de mon ventre ! Je vais avoir ce sexe … cette chose … bizarre, intimement mêlée à mes chairs … Je lui donne encore quelques petits coups de langue et, toujours en rampant sur le dos, je remonte vers sa tête. La bête, contente, recommence à me lécher la figure. Me suspendant à son garrot, j'enfouis mon visage dans la fourrure de son cou:

- Elle me rend dingue, ta grosse bite, Gordo ... mon mâle ... je veux que tu me BAISES !

 

J'entends son maître pouffer, à côté de nous. Le chien halète et tente de me donner quelques coups de langue sur la figure, puis, de nouveau, il essaye de me grimper dessus maladroitement.

- Oui, c'est bien … tu le sens, que j'ai envie que tu me baises ? Tu vas bien me baiser, hein ?

 

Je le sens agiter son bassin … et il doit sentir que ma vulve n'est pas à la portée de son vit, parce que j'ai l'impression qu'il abaisse son arrière-train vers mon ventre. Putain d'instinct ! Nous avons tous les deux autant envie l'un de l'autre. Mais, pour le moment, il parvient tout juste à effleurer mon ventre avec son sexe. Il faut que je l'aide avant qu'il se décourage. J'ai les jambes entre ses pattes arrière. Tant bien que mal, je les dégage l'une après l'autre pour que ce soit ses pattes entre mes jambes. Quand c'est fait, pliant les genoux et ramenant mes pieds vers moi, je prends appui dessus et je soulève mon bassin à la rencontre de son ventre. Il me sent, sous lui, et il s'agite plus frénétiquement. Je veux sentir son sexe s'introduire en moi … mais  il vient seulement se frotter sur le mien. Je ne suis pas bien placé … trop près de ses pattes arrière … je remonte encore un peu vers sa tête, et, immédiatement, sa bite vient frapper mon périnée. Ah oui, c'est bien comme ça, le chien, continue, tu y es presque ! Oh, putain, baise-moi !

 

- Attends, bouge pas, Marin ! Ça va pas aller, comme ça. J'vais t'aider. Tiens, toi, prends cette laisse !

 

C'est encore Jean-Claude … Cette soudaine intrusion me sort brutalement de la bulle de sexe fiévreux dans laquelle le chien et moi nous étions isolés. Mais Jean-Claude à raison … il a rendu la laisse à l'éleveur. Je me tords le cou et je le vois foncer vers le fond de l'écurie. Quand il revient, il porte un gros truc marron … comme un … cube … Ah non, de près, je comprends ce que c'est: deux poufs l'un sur l'autre ! Deux poufs en cuir. Il s'agenouille sur le tapis à côté de moi, et:

- Soulève-toi un peu, je vais mettre ça sous toi …

 

Ah, Jean-Claude ! Il avait vraiment tout prévu: le chauffage dans l'écurie et des poufs, cachés dans une stalle ! Il avait dû se souvenir que je lui en avais réclamé un quand je m'étais fait saillir par ses chiens. 

 

Je pose mes fesses sur le tapis et, toujours suspendu au cou du chien, je relève mon torse. Jean-Claude me glisse un pouf dessous. 

- Soulève tes fesses, maintenant. 

 

Même manœuvre. Nous sommes maintenant ventre contre ventre, Gordo et moi. La BÊTE semble comprendre ce qui se passe, et il attend, placide et haletante. Jean-Claude reprend:

- Tu sais, je pense qu'il faudrait que tu remontes tes jambes … enfin, que tu ramènes tes cuisses sur ton ventre … j'vais t'aider … 

 

Alors ça ! De mieux en mieux ! Il me sidère, monsieur coinçoss ! Voilà qu'il me donne des conseils. Mais il a raison. 

- Ouais, aide-moi.

 

Il saisit délicatement ma cheville et il la soulève. En trois secondes, je me retrouve jambes en l'air, cuisses écartées sous le molosse. Ouaaaaaahhh ! Ce chien va me baiser dans la position du missionnaire ! Comme si la bête avait saisi l'idée, elle recommence à secouer son bassin d'arrière en avant et, immédiatement, je sens son sexe effleurer ma raie. Les bras passés autour de son cou, je presse mon amant contre moi. Cette position est tellement étrange … c'est la position dans laquelle un homme et une femme font l'amour ! Mais ce n'est pas un homme qui me fait l'amour, c'est un CHIEN ! Me faire prendre en levrette, l'autre fois, par Iago et Into, et aujourd'hui par Falco, c'était une chose … je savais, je sentais que c'était des chiens qui me baisaient, mais je ne les voyais pas … je sentais seulement leur poids, sur mes reins et sur mon dos … et par certains côtés, c'était finalement assez semblable à des coïts avec des hommes, si ce n'est leur façon de s'accrocher à mes hanches avec leurs pattes, et évidemment, ensuite, le … la chose énorme qu'ils ont fait gonfler dans mon rectum et leur verrouillage … mais LÀ ! 

 

LÀ … j'ai cette tête et ce torse poilus, ÉNORMES, juste au-dessus de moi … ce cou puissant, musculeux … cette gueule sombre, plissée, aux bajoues retombantes et baveuses, qui halète en laissant pendre sa langue … et cette odeur … C'est vraiment une BÊTE, qui est sur moi … et qui cherche à me saillir ! Là, dans cette position, dans ce face-à-face, l'animalité de mon amant s'impose à moi, ainsi que la bestialité de cet accouplement ! Oh, putain, mon amant est un CHIEN … un MOLOSSE ! Je vais me faire couvrir, saillir et inséminer par un MOLOSSE ! Une vague de chaleur voluptueuse me parcourt de la tête aux pieds, et j'enfouis encore ma figure dans la fourrure de son cou. Hhhhmmmm, cette odeur animale, puissante, enivrante ! Oh, Gordo, baise-moi, BAISE-MOI et fais-moi des petits Mastiffs ! 

 

Ah, ça y est, je viens de sentir sa bite frôler mon anus … mais sans s'y arrêter. Instantanément, ma rondelle réagit, comme pour s'ouvrir à la pénétration de ce sexe et le gober au passage ! Et je le sais: comme l'autre molosse tout à l'heure, la tête chercheuse de cette bête va finir par sentir la tiédeur humide de ma vulve, et trouver l'entrée de ce fourreau où elle pourra pénétrer et s'épanouir. Cette attente de la pénétration d'un sexe de chien en moi est délicieuse. Les bras toujours autour de son cou, j'avance ma tête et je donne un coup de langue à sa babine … c'est chaud et baveux … Par réflexe, il referme sa gueule avant de la rouvrir et de recommencer à haleter … Je récidive, pressant maintenant mon visage contre sa bajoue, j'introduis ma langue jusque contre ses dents … cette fois, surpris, il suspend son mouvement du bassin, ferme de nouveau sa gueule une fraction de seconde ... la rouvre, me regarde, sa langue un peu sortie et la tête penchée sur le côté, comme s'il me demandait « Qu'est-ce que tu me veux ? ».  Je donne un coup de langue sur la sienne. Et cette fois, plutôt que de refermer la gueule, il se met à me lécher la figure tout en reprenant l'exploration de mon entrejambe avec son sexe. Alors, à mon tour, je lui lèche les bajoues et la langue chaque fois qu'elle passe à ma portée …

 

Et de nouveau, son sexe passe sur mon anus, et … ah non … encore raté. Alors, n'y tenant plus, je lance:

- Pierrot ! Aide-le, il ne trouve pas l'entrée de ma chatte ! Guide sa bite !

 

Pierrot me regarde, les yeux ronds, mais il ne réagit pas, l'air effaré. Regarder ses chiens me grimper, oui, me prendre en photos et me filmer, oui ... mais apparemment, aider son chien, lui toucher la bite, il ne peut pas ! C'est Jean-Claude, une fois encore, qui vient à notre secours. Je le vois se placer sans un mot derrière le chien et se pencher. Je ne vois pas ce qu'il fait, mais, aussitôt, je sens le vit tout chaud et mouillé du molosse venir se plaquer contre mon anus … et commencer de s'y enfoncer. Ouaaaaahhhh ! Instantanément, Gordo s'agite frénétiquement. Il sent qu'il entre dans ma vulve, elle aussi chaude et mouillée. Je vois Jean-Claude se redresser, se décaler un peu sur le côté, et, soulevant d'une main la queue du chien, contempler notre coït:

- Ça y est ! Il est dedans, là … Tu le sens ?

- Oui …

- Oh, putain … mais j'suis pas sûr qu'il va pouvoir te rentrer son … son machin, là … tu sais, le gros truc … la position est pas terrible.

 

Pour le moment, ça ne fait rien. Je profite de cette pénétration. Oh oui, qu'est-ce qu'il me met, le Gordo ! Je ne sais pas s'il arrivera à me rentrer son knot, mais pour le moment, il s'agite frénétiquement, et il bande de plus en plus fort … je sens qu'il gonfle en moi. Ça glisse tout seul … il doit déjà être en train de me lubrifier en éjaculant … et puis, il doit baigner dans les reste de la semence de Falco … Il est content, le molosse, il doit se sentir bien dans mon rectum … et il me donne, de temps à autre, de grands coups de langue sur la figure … et parfois, il ralentit son va et vient et me regarde … C'est un effet de mon imagination, ou cette expression, dans ses yeux … ce serait un homme, je jurerais qu'il m'interroge du regard « Tu la sens, ma grosse bite ? Tu aimes ça ? ». Mais non, c'est forcément mon imagination ! 

 

Je commence à fatiguer, avec les jambes en l'air. Je plie les genoux et je croise mes chevilles sur les reins du chien. Hhhhmmm, ah oui, c'est mieux, comme ça ! Dès que j'ai été installé sur les poufs, Pierrot a laissé tomber la laisse, et s'est empressé de retourner vers mon cul. Il est à côté de Jean-Claude, et il est masqué par la masse de son chien, mais je suis sûr qu'il est en train de filmer notre coït. D'ailleurs, il me lance:

- Dis … je … je crois que son … bulbe … il commence à gonfler … mais … il est pas dedans, son bulbe …

 

En effet, il nous examine de près ! Jean-Claude:

- Ouais, il a raison. J'te l'avais dit … il pourra pas y arriver, comme ça … si tu veux qu'il te le foute dans le cul, son … son bulbe, tu devrais changer de position …

 

Comme je ne réponds pas instantanément, il insiste:

- Dis, Marin, t'entends ? Une fois que son … son bulbe sera gonflé en dehors de ton cul, ce sera foutu … il pourra plus te le foutre dans le cul …

- OK, je change. Tenez-le !

 

C'est encore Jean-Claude qui se précipite. Décidément, j'ai l'impression qu'il y tient, à ce que Gordo gonfle son knot dans mon cul et se verrouille en moi ! Aussitôt, il chope le collier et tire résolument. Je dénoue mes chevilles. Le chien couine et essaie de résister, mais son maître intervient:

- Descends, Gordo ! Allez ! Descends, j'te dis !

 

Tous les deux tirent, l'un sur le collier, l'autre sur la laisse. Le chien finit par céder et de sens son vit sortir de moi avec un bruit de succion. La bête aboie, désappointée … ces salauds interrompent sa saillie. S'il a commencé à gonfler son knot, il faut faire vite. Je bascule sur le côté, et, dans le même mouvement, je m'installe à quatre pattes sur le tapis.

 

- Rhôôôô, la vache ! Comment il tire, le bestiau !

 

C'est Jean-Claude qui vient de lancer ça en se marrant. Quand je jette un coup d'œil derrière moi, je vois Gordo foncer vers moi au plus direct, par-dessus les poufs, en entraînant son maître et le fermier qui s'empêtrent dans les coussins. Jean-Claude parvient à garder son équilibre en lâchant le collier, mais l'éleveur s'affale sur un des poufs et la laisse lui échappe des mains. Voilà le molosse contre moi … non, SUR moi, déjà agrippé à mes hanches … le cœur battant, je me cambre autant que je peux pour présenter ma vulve à la pénétration du molosse dans la meilleure position possible. Je sens … je sens mon anus béer, attendant ce sexe. Il n'y a rien à faire, c'est à chaque fois une telle émotion, de m'offrir de cette façon à la saillie d'un mâle, de m'apprêter à recevoir son sexe en moi, d'anticiper le moment où il va injecter sa semence au fond de mon ventre … Déjà, le vit, chaud et humide de mon amant, frappe rapidement deux fois l'intérieur de ma fesse droite, tout près de ma raie … je le sens rajuster sa prise sur mes hanches … et son vit frappe alors mon périnée, si près de l'entrée de ma vulve qu'il l'effleure … et enfin, après un ultime élan, je sens ce sexe entrer d'un seul coup dans mon anus !

 

OH, PUTAIIIIIIIIN !

 

La levrette, c'est sans conteste la position idéale … à la fois la plus naturelle et surtout la plus pratique puisque, cette fois, il a suffi de trois tentatives à Gordo pour trouver l'entrée de mon fourreau … Il est en moi ! Oh la laaa … le sexe de ce chien EST dans mon anus ! La bête sent que son sexe est maintenant au chaud dans ma viande, et elle va et vient à une vitesse folle ! Et pourtant, elle maîtrise parfaitement l'ampleur de son mouvement pour éviter de ressortir. L'expérience ! Je sens ma rondelle s'ouvrir, béer sous cet assaut frénétique …

 

- Ouaiiiiiis, cette fois, ça va être bon comme ça …

- Ouais, il va pouvoir lui rentrer son gros truc …

 

Les oreilles bourdonnantes, ce n'est que dans une sorte de brouhaha que me sont parvenues, comme étouffées, les réflexions de Jean-Claude et Pierrot commentant ce qu'ils voient. Cet échange me rappelle leur présence, derrière nous, en train d'observer le molosse qui commence à me troncher … et une fois encore, me faire sauter sous les yeux de spectateurs … et par un chien … ajoute à mon plaisir. Mais, totalement absorbé par ce qui est en train de m'arriver, j'oublie rapidement la présence de ces deux types … Je sens … je sens le sexe du chien continuer de grossir en moi … et s'enfoncer de plus en plus profondément, au fur et à mesure que son érection l'allonge … mentalement, j'imagine ce cylindre gorgé de sang se frotter à mes muqueuses, attisant le plaisir du molosse … j'imagine son extrémité, avec cette petite excroissance que j'ai remarquée tout à l'heure, forcer son chemin dans mes entrailles à chaque coup de reins de la bête, tout en crachotant de petits jets de sperme … Ça y est, le molosse m'insémine ! Il injecte sa semence en moi ! 

 

Et … et maintenant … OUIIIII ! Je sens .. je sens, au niveau de mon sphincter … c'est de plus en plus gros … comme si … comme si son bulbe était en train de gonfler juste à l'entrée de mon anus … Brusquement, le chien ralentit son furieux va et vient … jusqu'à l'arrêter complètement … Collé à moi, immobile, il halète au-dessus de mes omoplates … Il a aussi senti son knot gonfler et il ne bouge plus pour ne pas le ressortir … L'instinct ! L'expérience ! Ah, oui, je sens que ça enfle toujours ! Il veut se verrouiller, rester collé à moi ! C'est bien, le chien ! Ne bouge plus ! Ah, la bonne bête ! Oh, putain, ça gonfle encore ! Oh, ce que j'aime ça ! Des animaux … nous copulons VRAIMENT comme des animaux … ce qui m'arrive, ce que ce chien me fait … c'est une VRAIE saillie ! Ce chien me couvre comme il couvrirait n'importe quelle femelle de sa race ! 

 

Ce que je vis est indicible … extraordinaire ! C'est beaucoup plus intense que les trois coïts que j'ai vécus avec les Dogues de Jean-Claude et le Cané corso de Pierrot … avec les Dogues, même si j'ai beaucoup aimé, ce n'était … que des essais, des répétitions … je sentais les bêtes impatientes, fébriles, malhabiles, inexpérimentées … et moi, encore un peu inquiet et nerveux, je ne m'étais pas totalement laissé aller … pareil avec le Cané corso, même si celui-là, déjà expérimenté, était plus sûr de lui … Mais là … quelle ivresse … quelle volupté ! Là, je sens que je peux m'abandonner sans la moindre réticence à ce molosse, que je peux me donner sans retenue à cette BÊTE, la laisser me chevaucher, la laisser me fourrager, la laisser se verrouiller en moi, la laisser me féconder … 

 

- Rhôôô, putain ! Vous avez vu, Jean- Claude ? Ça y est, ils sont collés ! Rhôôô, puuutaiiiiiiiin !

 

Il est juste derrière nous, et je pense qu'il est de nouveau accroupi, en train d'examiner le knot de son chien, verrouillé dans mon anus ! Jean-Claude ne lui répond pas, mais je l'entends, à côté de nous, bouger les poufs.

 

- Attends, Marin, je vais glisser ça sous toi.

 

Il pousse un des poufs contre mon flanc. Ah, Jean-Claude ! Toujours aux petits soins pour moi ! Je me soulève un peu et il glisse le coussin sous mon ventre. Gordo, toujours haletant sur moi, ne bouge, de temps en temps, que ses pattes arrière, l'une après l'autre, comme pour soulager une crampe, et me piétine un peu les mollets.

 

- Tiens, Marin, tu veux aussi celui-là ?

 

Il tend l'autre pouf vers moi. Je me soulève encore, et il glisse le pouf sous mon torse et ma tête.

 

- Hé, Jean-Claude ! Vous croyez que Gordo, il est en train … il est en train de le … de lui …

- … de lui juter dans le cul ? Ben oui, évidemment, que votre chien, il est en train de lui juter dans le cul ! 

- Rhôôô, putain ! Mes deux chiens ! Ils l'auront … ils l'auront baisé tous les deux !

 

Oh, je suis bien ! Etrangement, par certains côtés, ce que je vis à cet instant précis m'évoque cette nuit, passée au lit avec Dominique et Denis, quand lui, Denis, est venu se vautrer sur moi pendant mon sommeil, pour m'enculer encore une fois, et que je me suis rendormi avec son sexe dans mon cul et celui de Dominique dans ma main … Les avant-bras croisés sur ce pouf, la joue appuyée dessus, je sens cette masse sur mon dos … un chien qui me baise ! Je le sens surtout DANS moi. Cette présence, ÉNORME, gonflée et bloquée dans mon anus, c'est le sexe d'un molosse en train de me saillir ! Et je le sais, vingt centimètres plus loin, sa verge est en train de cracher sa semence à petits jets au fond de mon ventre ! Oh la laaa, j'aime tellement me faire remplir de sperme ! Malgré son caractère assez dingue, cette situation a je ne sais quoi de … de tranquille, de paisible … de rassurant … c'est sans doute dû à la force bestiale qui émane de ce chien … je me sens en sécurité entre ses pattes – j'allais écrire "entre ses bras" – comme une femme se sent en sécurité, blottie contre son homme. Je devine qu'en cas de danger, ce molosse n'hésiterait pas à protéger sa femelle … moi, en l'occurrence pour le moment. 

 

Et surtout, ce qui ajoute à mon bonheur, c'est que le coït que je vis en ce moment, n'est pas un coït ordinaire … ce n'est pas avec un homme que je copule … c'est avec un mâle d'une autre espèce ! AVEC UN ANIMAL !  

 

JE COPULE AVEC UN ANIMAL !!!!

 

Et la saillie que cette bête m'inflige est une vraie saillie animale … totale, intégrale … le chien ne se contente pas de me fourrer pour tirer un coup vite fait, bien fait … non, il m'a fait comme il fait aux femelles de son espèce, il s'est verrouillé en moi et il me féconde ! La bête et moi, nous sommes collés, soudés, elle dans moi, par ce bulbe génital, véritable rivet de chair qui s'est expansé dans ma vulve pour nous maintenir assemblés tout le temps de ma fécondation … et j'adore ça ! Non seulement pour le pur plaisir anal d'avoir le rectum investi, occupé, rempli par cette chose tellement … monstrueuse … mais aussi parce qu'à cet instant, l'animal - mon amant, mon mâle … et quel mâle, nom de dieu !- l'animal est si indissolublement inséré, emboîté en moi et nous sommes si intimement unis, liés, attachés l'un à l'autre par nos anatomies respectives, son appareil génital et mon anus, que nous ne formons plus qu'un seul corps, un seul être hybride, mi animal, mi humain … pas uniquement mû par la seule pulsion de fornication, d'ailleurs … mais aussi par … l'instinct de reproduction ! C'est dingue, mais pour moi, là, Gordo et moi ... nous sommes un couple ... il n'y a plus ni chien ni homme, mais un mâle et une femelle en train de faire des petits ... Gordo est en train de me faire des petits Mastiffs !

 

Encore une fois, cette idée folle s'impose à moi … j'avais déjà ressenti quelque chose dans ce genre avec certains mecs, notamment pendant mon gang bang … et plus ou moins avec Iago et Into, les Dogues allemands de Jean-Claude quand ils m'ont sauté … mais là, c'est comme une évidence … pour le Mastiff, ça n'est rien d'autre que l'instinct de reproduction. Mais pour moi ! Je sens confusément que dans le plaisir de cet accouplement, il n'y a pas uniquement l'ivresse lascive, lubrique d'une sodomie … le chien, en me prenant rigoureusement comme une femelle de son espèce - la localisation de son coït exceptée - avec verrouillage et insémination, m'a ramené à l'état de femelle animale … femelle non seulement consentante, mais demandeuse et active puisqu'adoptant spontanément, instinctivement, les postures propices à réussir une saille … levrette, pattes écartées et reins cambrés … Et si la toute petite voix de la raison me souffle que cette insémination restera nécessairement stérile, une intense jubilation me dit que ce molosse est bel et bien en train de me faire des petits !

 

Les yeux fermés, je me sens bien … serein ... heureux de me trouver sous ce molosse, heureux de m'être donné à lui … heureux … et … oui, c'est dingue, mais en plus, je me sens honoré ! Honoré qu'un mâle aussi … viril ait bien voulu s'accoupler avec moi … un mâle aussi viril et, si j'en crois le speach de son maître, tout à l'heure, un mâle aussi beau et recherché par les femelles Mastiffs, qui ne doit pas manquer d'occasions de tirer un coup … un mâle qui peut se permettre de faire le difficile … et pourtant, il m'a choisi, moi … il m'a désiré, il a eu envie de me saillir … alors oui, je suis heureux et fier qu'il me possède comme il posséderait une femelle, heureux qu'il me nique, heureux qu'il soit en train de m'inséminer … 

 

Je n'ai plus peur, plus le moindre doute, plus la moindre réticence … pas la moindre honte … finis, les scrupules du genre "C'est défendu, c'est mal, de faire ça. C'est une déviance, c'est une perversion". Non, c'est bien, de faire ça ! C'est tellement bon ! On n'a pas forcé ce molosse, pas plus qu'on n'a forcé les autres chiens … Iago, Into, Falco et Gordo … tous les quatre ont eu envie de me saillir …  et je les ai laissés faire, je me suis donné à eux, c'est tout. Oh, je sais bien qu'en me faisant niquer par des chiens, je transgresse un tabou, je sais bien que pour la société, tout ça est immoral, dépravé, scandaleux … je le sais, mais je n'arrive pas à culpabiliser, ça ne m'atteint pas … je suis heureux et je sens que la bête aussi, est heureuse … et toujours aussi bizarre, ce qui ajoute à mon bonheur, c'est que cet accouplement, hors normes à tous points de vue, se déroule en présence de deux témoins … Je suis en train de me faire saillir comme une chienne sous les yeux d'un type qui m'a baisé et du maître de mon ... "amant" !

 

Ce qui est surtout bizarre, c'est que, contrairement aux autres chiens, Gordo ne cherche pas à se retourner pour se mettre cul contre cul … Il est seulement remonté un peu plus haut sur mes reins … il est maintenant à cheval sur mes fesses, ses pattes arrière de part et d'autre de mon cul, le long de mes cuisses … il me chevauche dans les deux sens du terme: sexuellement et par sa position ! Du coup, il ne prend plus appui sur le sol avec ses pattes arrières et doit constamment rectifier sa position pour ne pas glisser … et c'est … un vrai bonheur anal … parce que, à chacun de ses mouvements pour garder son équilibre, d'un côté à l'autre, ou d'avant en arrière, je sens son énorme bulbe pivoter légèrement dans mon rectum … Et c'est un régal ! En me pressant la prostate, son knot me fait expulser un peu de mon propre sperme … je sens … je sens que mon urètre est plein de ma semence qui s'écoule toute seule sur le tapis.  Malgré son inconfort, cette position semble convenir au chien. Tant mieux, moi, j'adore ! Sentir bouger sur moi et EN MOI le mâle qui me baise, c'est tellement … je ronronne de plaisir et, à mon tour, je me mets à haleter …

 

- Hé ! Ça vous … euh … ça te fait quoi, que mon chien, il te …

 

J'ouvre les yeux. Tout d'abord, je remarque seulement que Pierrot est maintenant debout à ma gauche, un peu penché vers moi, son smartphone toujours à la main. Puis je m'aperçois que, de son autre main, il se pétrit la bite à travers la toile de son pantalon. Ça l'excite tellement, de voir son chien me baiser, qu'il en perd à son tour toute retenue. Tant mieux. Au moins, il n'aura pas perdu sa journée, le Pierrot. Il insiste:

- Hein, ça te fait quoi, que mon chien, il te baise ?

- Fous lui donc la paix ! Ça te plairait que quelqu'un te pose des questions pendant que tu te fais niquer ?

 

Je tourne la tête: Jean-Claude est de l'autre côté, et un peu en retrait. Adossé à un montant au bout de la cloison d'une stalle, il se … il se masturbe ! Ouvertement ! Il a sorti sa bite … sa belle grosse bite et ses couilles … par sa braguette, et il se masturbe ! Oh, putain ! J'adore ça ! Lui aussi, ça l'excite, et il doit avoir envie de prendre la suite du chien, quand il aura fini … comme l'autre jour, quand il m'a pris après ses deux chiens ! Ah … et ça doit être de le voir se palucher qui a décidé l'autre à se tripoter ouvertement devant moi ! Putain, je fais bander tous les mâles, dans cette écurie, hommes et chiens ! Oh oui, j'espère que Jean-Claude me prendra encore, après le Mastiff … comme l'autre jour … et surtout, j'espère que la présence de Pierrot ne le bloquera pas … Oh putain, oui, baisez-moi ! Baisez-moi tous !

 

Gordo s'agite davantage … et autrement … Ah oui, il essaie de descendre sur le côté. Oh putain ! Son knot tire sur mon  anus ! Je me demande … je me demande si il va sortir ou … si il veut se mettre cul à cul, ou … ou si il a fini … 

 

- Merde, il descend !

 

Son maître se précipite et, bien que je ne le voie pas, je devine qu'il chope son chien par le collier. La bête a déjà passé sa patte avant gauche au-dessus de mon dos et il est prêt de basculer complètement sur ma droite. Ah la vache, ça tire fort ! Il remonte sa patte arrière gauche et essaie de la passer aussi sur mon dos … en me griffant les reins au passage … 

 

- Doucement, Gordo ! Doucement ! Merde, qu'est-ce qu'il veut faire ?

 

Le maître s'affole. Je sens le knot du chien commencer à me forcer la rondelle … heureusement, habitués à des sextoys énormes, mes muscles se dilatent, se distendent, et jusque là, ce n'est pas douloureux … Et d'un seul coup, flaaaaaaaatchh … la bite du chien sort de moi d'un seul coup … toute sa bite: son knot et sa verge ! Ouuuuutch ! Je dois avoir la fleur béante ! Je sens encore quelque chose de chaud s'écouler sur mon périnée et sur mes couilles … et le long de mes cuisses … la semence du Mastiff !

 

- Viens, mon chien … c'est bien … tu l'as bien baisé … Oh, la vache ! Vous avez vu sa bite, Jean-Claude, comme elle est grosse ? J'espère qu'il a pas mal à sa bite … 

 

C'est la bite de son chien qui le préoccupe ! Pas l'état de mon trou du cul, après cette espèce de … d'arrachement. Mais en fait, il va très bien, mon trou du cul. J'ai bien fait de me défoncer avec des godes énormes, quand je m'amusais tout seul !

 

- Vire-le de là, ton chien, bordel … et va l'attacher !

 

C'est Jean-Claude qui l'engueule ! Je tourne la tête. Il a quitté son poteau et s'est approché de moi, la queue toujours à la main.  Les yeux braqués sur mon cul, il m'effleure le mollet avec son pied, et:

- Toi, tu bouges pas !

 

Qu'est-ce qu'il veut ? Je me réinstalle sur le pouf et je pose mon menton sur mes mains croisées. Derrière moi, j'entends un bruit de tissu qui glisse … je tourne la tête et … il descend son pantalon ! Il va me baiser ! Ah, yesss ! Oh putain, ses grosses couilles qui pendent et ballottent dans ses bourses ! Je suis à peine remis de mon coït bestial avec Gordo, mais, comme par réflexe, j'écarte un peu plus mes genoux, que la descente plutôt brutale du chien m'a fait resserrer, et je me cambre … prêt à recevoir un nouveau coup de bite ! Putain ! Baisé à la chaîne par des chiens et par un mec ! Le voilà à genoux entre mes mollets … probablement pressé par l'urgence, il n'a pas pris le temps d'ôter son pantalon, et il l'a seulement descendu sur ses cuisses … une main sur ma fesse … de l'autre, il cramponne son sexe, les yeux rivés sur l'entrée de mon fourreau … il approche son gland et le pose contre ma rondelle … hhmmmm, même après l'énorme appareil génital de Gordo, sa queue me fait un effet terrible … je vais encore me faire tringler ! Tout de même, il me sidère, le Jean-Claude … la plupart des mecs refusent de tremper leur bite dans un cul déjà plein du sperme d'autres types, mais lui, ça ne le gêne absolument pas de barboter avec sa queue dans du foutre de chien ! Quand il commence à s'enfoncer, il lève les yeux sur moi et s'aperçoit que je le regarde du coin de l'œil, par-dessus mon épaule:

- Ça te plaît, hein … t'es fier de toi, saaaalope !

 

Il m'engueule ! Il commence à me baiser et il m'engueule ! Ah, putain … sa queue s'enfonce … Oooh, c'est tellement bon ! J'arrête de le regarder, je tourne la tête et je ferme les yeux. Oh oui, je suis fier de moi ! Fier de faire bander aussi bien des mecs que des clebs … fier de me laisser grimper par tous les mâles qui en ont envie … à la chaîne, les uns après les autres, si ça leur dit … fier de laisser n'importe qui se vider les couilles dans mon cul … fier de me faire remplir de sperme … Il progresse doucement, ses deux mains autour de ma taille … Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, je savoure cette nouvelle pénétration … le coït avec Gordo m'a enflammé la rondelle, et je sens chaque millimètre de la bite de Jean-Claude coulisser en moi … ça glisse tout seul, tellement le chien m'a lubrifié … Il ne m'a pas laissé le temps de souffler, le Jean-Claude ! A peine le chien était sorti qu'il prenait sa place ! J'aime ça ! Comme pendant le gang bang, quand je ne sais combien de mecs m'ont baisé à la chaîne sur le bar ! J'ai maintenant sa grosse bite qui s'enfonce profondément dans mon rectum. Je l'entends  souffler entre ses dents serrées … et je reçois des postillons sur les reins … il est vraiment très excité ! Voilà son ventre contre mes fesses … il va repartir en arrière … non ! Il déplace ses mains à l'angle de mes cuisses et de mon ventre et il me presse contre lui … il commence à râler … et soudain, un premier soubresaut de sa queue dans mon anus … il jouit ! Ah la vache, en effet, ça pressait ! Souffle coupé, il halète comme un chien … je sens sa bite comme … vibrer en moi … oh, putain, ça y est, il décharge ! A son tour, il décharge sa semence au fond de mon ventre … comme Gordo ! Il mêle son sperme au sperme du chien … Oh, putain, j'aime tellement ça ! 

 

Le sperme, le sperme, LE SPERME !

 

C'est comme si l'imprégnation de sperme dans mes muqueuses provoquait en moi je ne sais quelle réaction chimique … ou hormonale … mon cœur qui bat la chamade … des bouffées de chaleur qui partent de mon ventre et se diffusent avec de délicieux fourmillements dans tout mon corps … un bien être indicible … 

 

Les doigts enfoncés dans le gras de ma hanche gauche, Jean-Claude se met à aller et venir … brutalement … il fait claquer son ventre contre mes fesses, soulignant chaque pénétration d'un "han !" puissant … des gargouillis s'échappent de mon anus … tout en éjaculant, il brasse son foutre et celui de Gordo avec sa queue …

 

J'ouvre les yeux, et je m'aperçois que le Pierrot nous regarde … nous regarde et nous filme ! Et ça me plaît ! Mais ce qui m'étonne, c'est que Jean-Claude ne réagisse pas, qu'il le laisse le filmer en train de me baiser ! Lui qui refusait même de me toucher devant les autres pendant le gangbang ! Il ne s'en est peut-être pas rendu compte, concentré sur ce qu'il me fait … ou alors les yeux fermés … Je tourne la tête et … ah, je comprends mieux ! Tout en me baisant, lui aussi est entrain de nous filmer ! Ou plutôt, il braque son smartphone sur notre coït … sur sa queue qui va et vient dans mon cul ! C'est pour ça qu'il me tenait par une seule hanche. Il a remarqué que j'ai tourné la tête vers lui. Il braque son appareil vers moi, et:

- T'aime ça, de t'faire enculer, hein …

- Oui.

- Les mecs, les chiens … tu t'fais sauter par tout le monde …

- Oui.

- T'aimes la bite, hein …

- Oui, j'aime la bite … j'aime LES bites … toutes les bites !

- T'es une grosse salope … mais t'es vraiment bonne …

 

C'est la première fois qu'il me traite aussi crûment. De nouveau il braque son smartphone sur sa queue, il ralentit son va et vient et il se marre:

- Putain, ça fait d'la mousse !

 

Pierrot s'approche pour filmer "la mousse". Et tout aussi brusquement qu'il m'avait pris, Jean-Claude sort de moi. S'appuyant d'une main sur mes fesses, il se relève. Un flot tiède s'écoule sur mon périnée et sur mes couilles. Il remonte son pantalon et s'écarte. Pierrot en profite pour se placer derrière moi, se pencher et braquer son smartphone sur ma fleur:

- Oh putain, la dose que vous lui avez mis, Gordo et toi, Jean-Claude !

- Tu sais, tu peux aussi te l'faire …

- Hein ?

- Marin … tu peux te l'faire, si tu veux … tu peux le niquer … tu bandes et je t'ai vu, tout à l'heure, tu te tripotais … alors, si t'as envie, toi aussi tu peux le sauter et te vider les couilles … il dira pas non. Pas vrai, Marin ?

- Oui … c'est vrai. Si t'as envie, tu peux aussi me sauter …

 

Pierrot s'est relevé précipitamment, comme effrayé. Il me regarde, bouche bée, yeux ronds, se demandant si nous plaisantons ou pas. Alors, je me retourne, j'appuie mon torse sur le pouf, je passe mes deux mains derrière moi, j'empoigne mes fesses et je les écarte:

- Tiens, regarde. Allez viens, baise-moi !

- Mais … non, non !

- Mais si … t'as entendu ce que t'a dit Jean-Claude ? Je suis bonne … Tu verras comme tu seras bien, avec ta queue au fond de mon cul … allez, vas-y, baise-moi !

- Non, non … merci … je … je fais pas ce genre de chose avec un … je fais pas ça …

- J'te fais bander … je suis sûr que t'en as envie … alors te gêne pas …

- Non … merci, merci … ça va … mais c'est non.

- Tu as tort. Alors, si tu veux pas, offre-moi à tes autres chiens ! 

- Quoi ? ! ? !

- Oui … offre-moi à tes autres chiens, fais-moi BAISER par tes autres chiens … je suis sûr qu'ils feront moins les difficiles … et puis, ça te plaît, que tes chiens me baisent … 

- Euh … ben …

- Allez … s'il te plaît … va chercher un des Dogues …

- Euh non … je … ça va pas être possible, parce que va falloir que j'y aille … 

 

Je me retourne et je m'assois face à lui sur le tapis:

- Comment ça, va falloir que tu y ailles … t'as pas amené tes cinq chiens pour qu'ils me sautent tous ?

- Ben … pas forcément tous les cinq … là, t'en as eu deux, c'est déjà pas mal … et puis c'est bientôt midi … faut qu'je rentre … ma femme va m'attendre pour manger …

 

"C'est bientôt midi ! ". On aura tout entendu ! Ce mec vient de me faire couvrir par deux de ses molosses, et il faut qu'il s'en aille parce que sa femme va l'attendre !

- Appelle-la, j'ai de quoi manger pour trois au congélateur … 

 

C'est Jean-Claude qui intervient. Il poursuit:

- On mange vite fait et après, vous continuez … mais sans moi, je peux pas rester cet après-midi, je vais récupérer une remorque dans la Marne … mais je vous laisse vous débrouiller tous les deux …

 

L'autre secoue la tête en se pressant vers les stalles où ses molosses sont attachés:

- Non, merci … ma femme, j'lui ai dit que je rentrerais…  une autre fois … on aura qu'à recommencer … 

 

Il est déjà en train de détacher Gordo. D'un hochement de menton, Jean-Claude m'interroge:

- Et toi, tu fais quoi … tu manges avec moi ?

- Je … je sais pas … tu … tu me laisserais ici avec Iago et Into, cet après-midi ?

- Pourquoi, tu veux encore te faire sauter ?

- …

 

Pierrot sort déjà de l'écurie pour ramener son chien à son fourgon. Jean-Claude insiste:

- Hein, tu veux encore te faire sauter ?

- Ben … oui …

- T'en n'as pas eu assez ? Deux clebs et moi …

- Ben non, j'en ai pas eu assez … j'ai déjà fait plus que ça, je te rappelle …

- Quoi … ton gangbang ici ? Ouais, mais c'était que des mecs … Enfin, de toute façon, franchement, j'aime mieux pas …

- Pourquoi ? Ils me connaissent, maintenant, tes chiens …

 

Il ricane:

- C'est le moins qu'on puisse dire, qu'ils te connaissent !

- Alors …

- Alors, j'te dis, j'aime mieux pas …

- T'as peur qu'ils me bouffent ?

- Non, c'est pas ça, mais j'préfère être là …

- Je vois pas ce que …

- Bon ! J'te dis que c'est non ! C'est mes chiens et c'est moi qui décide !

- Ben dis donc, tu faisais moins le fier, ce matin …

- Ouais, ben ce matin, c'était ce matin … et cet après-midi, c'est cet après-midi ! 

 

Putain, l'enfoiré ! Il tourne les talons et, en sortant, il croise Pierrot qui revient chercher un autre chien et qui s'inquiète:

- Qu'est-ce qui se passe ? Vous vous engueulez ?

- En quelque sorte …

- Dites ... euh, DIS, au fait … je me demandais … aujourd'hui, je peux pas rester, mais … une autre fois, ça serait possible de … enfin … si tu veux, si t'as envie, je peux … moi, ça me dérangerait pas que tu recommences avec mes chiens … et même avec trois, quatre ou cinq, cette fois … autant que tu veux … j'en ai d'autres, hein, des chiens … j'ai pas que ces cinq là … alors, si ça te dit, j'te le fais visiter, mon  élevage …

 

Oh putain, j'allais lui demander et c'est lui qui y vient ! Je me lève. Ça me coule, tiède et visqueux, le long des cuisses.

- Ben, ouais … pourquoi pas …

- Bon, OK, OK !

 

Il est tout content:

- Hein, j'te répète … j'te ferais d'abord  visiter mon élevage, mais après, si t'as encore envie de te faire … baiser par mes chiens, pas de problème pour moi … si tu veux, je t'aiderai encore à choisir …

- Dis donc, ce matin, ça te choquait que je me sois fait sauter par les chiens de Jean-Claude …

- Oui, mais … ce matin, c'était ce matin …

- Mouais … c'était de la comédie …

 

Il se contente de ricaner:

- Hé hé hé …

- Bon, enfin, on verra.

- Ah, super ! Tu sais, moi, j'ai pas voulu te … te sauter … Je m'excuse, hein, mais passer derrière mes chiens … et derrière Jean-Claude, je … je peux pas …

- Ouais, j'avais compris …

- Mais … lui, Jean-Claude … il t'avait … il t'avait déjà baisé ?

- Oui. L'autre fois, quand Iago et Into m'ont sauté …

- Ah bon …

- Oui. Déjà tout de suite après ses chiens. Ça le gêne pas lui …

- Ah, OK, OK. Tiens, tu m'aides à mettre ceux-là dans mon camion ?

- Oui.

 

Je récupère le peignoir de Jean-Claude, je le remets et je noue la ceinture sur mon ventre. Puis j'enfile les savates et je rejoins Pierrot. Il a détaché le Cané corso et il me tend sa laisse. Le chien remue la queue en me voyant approcher. Il se dit quoi, dans sa tête, le molosse ? « Tiens, revoilà la salope que j'ai baisée tout à l'heure ! ». J'essaie de l'entraîner, mais au lieu de me suivre vers la porte de l'écurie, il se précipite résolument vers moi, et me fourre sa truffe dans l'entrejambe, entre les deux pans du peignoir ! Il a dû sentir les effluves de sperme qui émanent d'entre mes cuisses. Hhhmmmm, cette gueule énorme qui me souffle son haleine chaude sur le bas ventre ! J'adore ! Je lâche la laisse, je dénoue la ceinture du peignoir, j'en écarte les pans et je prends la tête massive entre mes mains. Pierrot passe près de nous en traînant l'autre Mastiff. Il s'arrête, nous regarde et repart en secouant la tête d'un air désabusé. Le molosse qu'il entraîne resterait bien avec nous. Falco a déjà commencé à me donner des coups de langues sur le haut des cuisses, et il aventure maintenant son museau sous mes couilles pour me lécher le périnée. Pour lui faciliter son exploration, je soulève mes couilles et j'écarte les jambes. Puis, quand il me semble qu'il a fini de me lécher de ce côté, je le repousse un peu et je me retourne … je soulève le bas du peignoir pour lui dévoiler mon cul et je lui offre ma raie à nettoyer, ainsi que mes fesses que j'écarte à deux mains. Hhhmmmm, cette langue, chaude et râpeuse, qui me passe sur la rondelle ! De lui-même, quand il a terminé, il arrête et sort son museau de mon intimité. Quand je me retourne, je le trouve assis, qui attend en levant les yeux sur moi. Je me penche, je reprends sa tête entre mes mains et je l'embrasse:

- Hhhmmmm, merci, mon Falco. T'es un bon chien.

 

Je reprends la laisse et, sans refermer le peignoir, je l'entraîne vers la sortie. Son maître nous rejoint avec un des Dogues. Il ne peut pas s'empêcher de regarder fixement mon bas ventre entre les pans du peignoir. Docilement, les deux monstres s'élancent lourdement pour remonter dans leurs cages. :

- Bon, je vais récupérer mes habits.

- Hé, attends ! Donne-moi ton téléphone.

 

Il sort son smartphone et tape mon numéro. Je rentre dans la maison. Jean-Claude est en train de s'activer dans sa cuisine. Je lui lance:

- Je vais récupérer mes habits.

- Ouais, vas-y ! Tu manges quand même avec moi ?

- Ben … non. Je vais faire comme Pierrot, je rentre chez moi .

 

Mon pote, puisque tu ne veux pas me laisser tout seul avec tes chiens, toi, tu manges tout seul.

- Bon, comme tu veux. Dis … de quoi vous parliez, avec l'autre, là, dans l'écurie ?

 

Tiens, comment il sait qu'on a parlé, après qu'il soit parti ? A son air, on dirait que ça le contrarie, qu'on parle, Pierrot et moi.

- Il m'a proposé de visiter son élevage …

- Ah ouais !

- Ouais …

 

Pierrot entre à son tour:

- Bon, les mecs, j'y vais.

 

Il va tendre la main à Jean-Claude:

- Bon, euh, Jean-Claude … sans rancune, j'espère. 

- Mouais, c'est bon. Tu m'feras plus chier avec mes chiens ?

- Non, non, t'inquiète. Mais tu me dois encore des saillies, avec tes dogues, hein …

- Ouais, ouais …

 

Ils se serrent la main, puis Pierrot vient serrer la mienne:

- Bon, ben, salut, Marin. J't'appelle, hein … Faut me laisser une peu de temps ... que je m'organise ...

- OK. Dis ... tu déconnes pas avec les photos et les vidéos, hein …

- Non, t'inquiète !

- Tu me les enverras ?

- Les photos et les vidéos ?

- Oui. Je te donnerai mon mail, quand tu m'appelleras.

- OK, OK. Bon … salut.

- Salut.

 

Il sort. Jean-Claude me regarde, l'œil froncé:

- Pour quoi il doit t'appeler et s'organiser ? 

- Pour me faire visiter son élevage.

- Et tu vas y aller ?

- D'après toi …

- D'après moi, oui … parce je suis sûr que t'as l'intention te faire encore sauter par ses chiens … 

- Exactement.

 

Il hausse les épaules et retourne à ses casseroles. Je monte à la salle de bain. Pendant que je me rhabille, j'entends le fourgon de Pierrot démarrer et manœuvrer. Quand je redescends, Jean-Claude est toujours dans sa cuisine et il me tourne ostensiblement le dos. Je lance:

- Salut, Jean-Claude.

- Ouais, salut.

 

Il me fait la gueule ! Je vais récupérer ma voiture sous le hangar au fourrage. Quand je m'apprête à sortir de la ferme, je vois Iago et Into jaillir de la porte du petit bâtiment à côté de la maison. Ils m'accompagnent en sautant autour de ma voiture jusqu'à ce que je passe le grand portail. Je prends le chemin du retour à petite vitesse en repensant  à cette matinée un peu dingue. Sous moi, je sens suinter les restes de ce que le Cané corso, le Mastiff et le fermier m'ont injecté chacun leur tour. Ça va tremper le fond de mon pantalon, mais je m'en fous, j'aime ça. Je suis un peu perdu dans mes pensées quand un fourgon ressemblant à celui de Pierrot attire mon attention, garé en bordure de route, à côté d'un bosquet. Je ralentis en arrivant à sa hauteur. C'est bien Pierrot ! Il regarde quelque chose au niveau de son volant. Je suis sûr qu'il est en train de visionner ses photos et ses vidéos sur son smartphone ! Et si ça se trouve, il se branle ! Concentré sur ce qu'il regarde, il ne me remarque pas. Je ré-accélère et je m'éloigne. 


Ah, il n'a pas perdu sa matinée, le Pierrot !

à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Samedi 22 juillet 2017 6 22 /07 /Juil /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

- Alors … vous allez VRAIMENT le faire ?

 

J'ai l'impression que ce type, cet éleveur, n'y croit pas encore. Oui, je vais me faire sauter par son molosse, par son ... Cane corso. Jusqu'ici, il a tout fait pour voir ça. Prétextant que les deux Dogues allemands qu'il avait vendus à Jean-Claude avaient sans doute sailli d'autres chiennes que les siennes, il a d'abord parlé d'un procès. Puis, quand Jean-Claude lui a révélé qu'en fait, ils n'avaient pas sauté des chiennes mais quelqu'un, il a mis sa parole en doute. Ensuite, Jean-Claude m'ayant persuadé de rencontrer ce type, j'ai reconnu m'être fait couvrir par les deux Danois, cet enfoiré a fait planer la menace d'une dénonciation pour zoophilie. En fait, il n'avait qu'un but: voir ça de ses propres yeux. Et pas seulement pour se faire convaincre, parce que, quand je lui ai annoncé que j'étais prêt à recommencer en sa présence, sa véritable motivation est devenue évidente: en fait, l'idée l'excite et sa véritable intention était de voir ça de ses propres yeux, et même que ce soit un de ses chiens qui en profite. A tel point qu'il n'a pas amené que son Cane corso pour me sauter, mais aussi deux Dogues allemands et deux Mastiffs !

 

- Alors … vous allez VRAIMENT le faire ?

- Vous en doutez encore ? Je vais le faire dans l'écurie … venez voir …


Il paraît un peu désappointé, mais il tire sur la laisse du chien et il me suit. Au moment où nous entrons dans l'écurie, Jean-Claude nous rejoint, un tapis roulé sur l'épaule. Il avait disparu sans que je m'en aperçoive, captivé et troublé que j'étais par le molosse qui va être mon amant. En effet, il fait bon dans l'écurie. La puissante odeur de cheval et de paille me saute encore au nez, comme le jour de mon gangbang. Hhhmmmm, ici, sur cette paille, il y a quelques semaines, cinq ou six types me sont passés dessus les uns après les autres, et m'ont baisé sous le regard d'une douzaine d'autres … Le souvenir de cet épisode ajoute à mon émotion. Mon trouble doit être visible, parce que Jean-Claude, qui m'observe avec insistance, attend de capter mon regard pour balayer des yeux cet endroit, me sourire et m'adresser un clin d'œil qui veut clairement dire "tu te souviens de ce qui t'es arrivé ici ? ". Je hoche la tête: oui, je me souviens.


- J'ai amené un tapis … tu seras mieux que sur la paille …


Et dans un autre murmure, accompagné d'un clin d'œil:

- … et j'ai mon smartphone … dans ma poche ...


Pendant qu'il déroule le tapis sur la paille, je prends momentanément congé:

- Bon, attendez moi, il faut que je passe à la salle de bain … je n'en ai pas pour longtemps …


L'éleveur paraît surpris, et JC intervient:

- Je vais vous expliquer …

 

Je sors. C'est parti ! Je vais me faire sauter par le molosse de cet éleveur, par son ... Cane corso. Sacré bestiau ! Comment résister ? Ce n'est évidemment pas seulement pour aider Jean-Claude à sortir de cette situation et faire cesser le chantage que ce type exerce sur lui. Ça, j'ai bien fait comprendre à ce mec que ça ne peut plus prendre ... Et prouver à ce type qu'un accouplement avec un chien est possible, si gros soit-il, n'est plus qu'un prétexte. Non, évidemment, je vais le faire parce que j'en ai envie ... j'ai ENVIE de me faire sauter par cette BÊTE !

 

En passant devant les portes restées ouvertes de la camionnette, je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil aux quatre autres molosses. Ça sent vraiment le fauve, là-dedans … le fauve et le mâle ! Comment il a dit qu'ils s'appellent, les deux autres chiens ? Des Mastiffs ? Peut-être qu'après le Cané corso ... Il m'a donné envie, cet enfoiré, en me disant qu'ils sont encore plus gros ... mais l'aspect brutal du Cane corso, ça me ...

Je rentre dans la maison, procéder à mes ablutions. Pendant une fraction de seconde, une pensée m'assaille: tout de même, avoir encore un rapport sexuel avec un animal ... je suis vraiment un dépravé, un immoral ... un pervers ... je suis peut-être même un anormal ... mais je m'en fous, le violent désir qui me taraude le bas-ventre et l'anus balaie tout ça. Là, penser à cet autre chien, encore plus massif que les Dogues, et à sa très grosse bite, ça me trouble … il est moins racé que les Dogues, plus … brutal, plus bestial … il m'impressionne, et ça me plaît, ça m'affole, même, de me livrer à cette brute … et puis, ce mastard va me prendre sous les yeux de son maître … Ce mec est un tordu, mais je m'en fous, ce qui compte, c'est que je vais me faire baiser par son chien … et je dois reconnaître qu'au fond de moi, après que j'ai pris la décision de me donner à son molosse, une autre considération s'est imposée à mon esprit … ce mec a tout un élevage … un élevage de molosses, surtout … et ça commence à me le rendre … intéressant, à défaut de le rendre sympa … il élèverait des Yorkshire, des Teckel ou des Jack Russel, je m'en foutrais ... mais des molosses ! Dans un flash, je revois les quatre autres bestiaux derrière leurs grilles, à l'arrière de ce fourgon ... quatre autres mâles amenés là pour avoir du sexe avec moi et gardés là en attendant leur tour de me passer dessus ... comme une réserve de baiseurs ! Il n'y a pas à dire, il faut que je trouve le moyen de garder le contact avec ce type … je me demande combien il a de chiens … enfin ... de mâles, dans son élevage … 

 

Une fois ma toilette terminée, j'avise un peignoir en éponge, suspendu à une patère derrière la porte. Vu sa taille, pas de doute, il est à Jean-Claude. Alors, plutôt que de me rhabiller, je l'enfile et, au passage, je chausse une paire de savates qui traîne près de la porte d'entrée. Puis je m'empresse de retourner auprès de mon futur amant … UN CHIEN ! La vache, c'est fou, ça, quand même ! Je me sens aussi fébrile et impatient que si je m'apprêtais à rejoindre une équipe de mecs en rut ! UN CHIEN ! Pour moi, ça ne fait pas de différence … chien ou homme, c'est un mâle … Avant de traverser la cour, par réflexe, je jette un coup d'œil sur le tableau de bord du fourgon. Le smartphone est toujours là. Je remarque que les portes arrière du fourgon ont été refermées.

 

Quand j'entre dans l'écurie, je fais à peine attention à Jean-Claude et à l'éleveur … je remarque tout juste qu'ils me contemplent, stupéfaits de me voir débarquer en peignoir … je devine ce qu'ils pensent: si je suis en peignoir, c'est que je suis à poil en-dessous … et donc bel et bien décidé à me faire saillir par le molosse. Oui, je fais à peine attention à eux parce que la scène qui s'offre à moi est … stupéfiante ! Le Cane Corso est bien là, au milieu de la paille et tenu en laisse par son maître, mais il y a aussi ses quatre autres chiens, chacun attaché à l'entrée d'une stalle ! Une vague d'adrénaline me submerge et je reste cloué sur place, tellement le tableau est … extraordinaire !

CINQ ÉNOOOORMES CHIENS !

Je reçois comme un choc au creux de l'estomac … j'en ai le souffle coupé … vertige ! Instantanément, pour moi, c'est une évidence … je l'avais deviné, tout à l'heure: les quatre autres bestiaux sont aussi là … POUR DU SEXE AVEC MOI ! Du mélange confus d'émotions qui m'assaillent, celle qui domine toutes les autres, c'est d'abord le désir sexuel … un désir sexuel brut … irraisonné … bestial … violent … devant moi, ce ne sont pas cinq animaux de compagnie ou cinq chiens de garde … non, ce sont cinq mâles, cinq étalons reproducteurs ... POUR MOI ! Peu importe qu'eux et moi ne soyons pas de la même espèce, là, maintenant, leur rôle, leur fonction, leur mission, c'est de s'accoupler avec moi et de m'inséminer ! Je sens mon anus, ma prostate et mon sexe frémir de désir pour ces bêtes … Je sais qu'au fond de moi, la décision est prise ... je suis prêt à me faire couvrir par les cinq ! Un gangbang avec des cheins !

 

La deuxième chose dont je prends immédiatement conscience, c'est l'acceptation. Ce type n'a pas amené les deux dogues allemands et les deux mastiffs dans cette écurie pour faire joli, c'est évident ! Bon, admettons ... au départ, il ne savait pas que la personne que les Dogues de Jean-Claude avaient saillie était un homme ... mais maintenant, il le sait, et il a amenés ces quatre là en plus du Cane corso pour qu'eux aussi copulent avec moi ... et certainement pas pour me faire plaisir à moi … non, je le sens, il veut M'OFFRIR à ses molosses … évidemment pas pour qu'ils me fassent des petits, mais comme … un jouet sexuel … comme il leur offrirait un moment de détente, une récréation qui les sorte de leur train-train de géniteurs … Et bien soit ! Mon envie est si forte qu'elle balaie tout … raison, morale, scrupules, tabous, dignité, pudeur … et j'accepte ! Ou, plus exactement, je me sens incapable de résister, de refuser … je suis un junky du sexe !

 

Les deux dogues tachetés sont devant des stalles en face de la porte par où je viens d'entrer, et les deux mastiffs devant des stalles en vis-à-vis … Seuls manquent les dogues de Jean-Claude qui a du les enfermer ailleurs.

CINQ ÉNOOOORMES CHIENS …


CINQ SAILLIES HORS NORME !

 

C'est tellement … bouleversant … que je ne me demande même pas comment ce type a pu oser amener ses quatre autres monstres dans cette écurie ! Je me ressaisis tant bien que mal et je réalise que le type en question est en train de m'observer, indécis. Il n'a sans doute pas perçu mon trouble, et il doit se demander comment je vais prendre son initiative. N'y tenant plus, il me lance:

- Je me suis permis d'amener les autres aussi … mais avant, j'ai demandé la permission à monsieur … Jean-Claude …

 

Jean-Claude, s'adressant à moi:

- Euh, la permission, non ! Il m'a demandé si d'après moi ça te gênerait que ses autres chiens te regardent pendant que celui-là te ... te baise ... Alors j'ai seulement dit que ça m'étonnerait que ça te gêne … c'est tout.

 

C'est ça, oui "pour qu'ils regardent " ! L'autre:

- Euuuuh, oui, Jean-Claude … on a dit "seulement pour qu'ils regardent … ÉVENTUELLEMENT" … mais j'ai pensé que … si … si vous vouliez … enfin … bon … ils sont là … si vous … si vous avez envie d'un autre … pour … Mais, si vous n'en voulez pas … ça fait rien  …

 

Je l'avais deviné, mais il me le confirme: s'il les a amenés dans l'écurie, c'est bel et bien avec l'idée de me les proposer pour du sexe … et pas seulement pour qu'ils assistent au spectacle:

- Qu'est-ce que vous voulez dire par "si j'ai envie d'un autre" ? Un autre à la place du Cane Corso, ou un autre EN PLUS du Cane Corso ? ! ? ! 

- Ben, un autre à la place ou un autre en plus, comme vous voulez … et même … les quatre, en plus, si vous voulez … moi, ça me gêne pas …

 

Tu 'étonnes, que ça le gêne pas ! En les embarquant dans son camion ce matin, il avait déjà l'intention d'offrir une femme à ses cinq bestiaux ! Il n'imaginait sans doute pas qu'au lieu d'une femme ce serait … un mec. Mais, une fois la surprise passée, il ne change rien à ses plans. Je me plante devant lui:

- Donc, on est bien d'accord: vous ne cherchez pas SEULEMENT à avoir la preuve que Jean-Claude vous avait dit la vérité … un seul chien aurait suffi, pour ça …

- Ben Si, c'est vraiment pour ça … pour avoir la preuve … mais après … qu'est-ce que ça peut faire, deux chiens … ou trois, au lieu d'un seul ? Vous l'avez bien fait avec les deux dogues de Jean-Claude … non ? 

 

Il n'est même pas gêné que j'aie compris sa véritable motivation, cet enfoiré !

- Ça, c'est mon affaire, un chien ou plus … mais vous, tout à l'heure, avec votre air offusqué, vos leçons de morale et vos insultes … vous auriez dû vous contenter d'un seul chien … et encore ! Les autres, je ne vous les ai pas demandés. Si vous me les proposez, c'est parce que l'idée vous excite ! Vous m'avez traité de pervers, mais finalement vous l'êtes autant que moi … 

 

Il ne répond pas, nous regarde alternativement, Jean-Claude et moi, avec un sourire con. Comme je me suis approché de lui et de son Cane corso, le chien s'est levé et il me regarde … il y a je ne sais quoi de gentil dans ses yeux. Tu te souviens, je t'ai touché la bite, tout à l'heure. Alors, tu devines ce qui va se passer, hein, dans ta tête de molosse ?  Face à ce mec, presque à le toucher - il est un peu plus petit que moi - je plante mes yeux dans les siens:

- Maintenant que je connais vos vraies motivations, je peux très bien vous envoyer chier, avec vos chiens … vous ne me verriez pas me faire sauter par vos chiens et vous ne pourriez rien faire contre Jean-Claude ou contre moi …

 

Il pâlit, son visage se décompose. Il s'apprête à me répondre, mais je ne lui en laisse pas le temps:

- … mais, rassurez-vous, je vais le faire quand même … vous allez pouvoir vous régaler … je vous l'ai dit, j'aime ça, me faire baiser par un chien … et je vais le faire aussi parce que, en plus, je vais le faire devant vous et que j'aime qu'on me regarde quand je me fais baiser …

 

Tout en lui disant ça, j'ai ostensiblement dénoué la ceinture du peignoir, et j'en ai écarté les pans, lui dévoilant ma nudité. Il ne peut s'empêcher de regarder mon bas ventre, mais il ne sait plus où poser les yeux … l'idée de m'accoupler successivement avec chacun de ses cinq chiens a fait son effet sur moi … je bande … alors il cherche Jean-Claude du regard … Je finis d'ôter le vêtement que je lance sur la cloison d'une stalle, et je quitte les savates. Me voilà nu comme un ver et je sens le type me détailler du coin de l'œil. Regarde moi bien, connard ! T'as vu ? Je suis déjà excité à l'idée de me faire saillir par tes chiens … et regarde bien mon cul, aussi … c'est lui qui a le don d'exciter les mâles, et c'est dans lui que plein de mâles, hommes et chiens, ont déjà fourré leur sexe et répandu leur semence … et c'est dans lui qu'un de tes monstres va fourrer le sien, de sexe … un de tes monstres ... pour commencer … 

 

Je m'accroupis devant son chien, je lui caresse la tête et, pendant qu'il me donne de grands coups de langue sur la figure, je glisse de nouveau mes mains sous son ventre. Le bout de sa bite, tout fin, tout pointu, dépasse de son étui pénien. C'est ÇA, ce sexe rouge-rosé, comme à vif, qu'il va enfoncer au fond de mon cul ! Là, il a un peu débandé, mais ça, quand ça bande, un truc comme ça, ça devient plus gros qu'une bite d'homme !

- Il va falloir faire grossir ça, hein, mon pépère … Il s'appelle comment, ton chien ?

- Falco … et il a quatre ans …

- Il a déjà couvert des femelles, alors …

- Oui, oui, plusieurs … il est même déjà grand-père …

- Il sait s'y prendre ?

- Ah oui … avec les chiennes, pas de problème … mais avec un …  avec un homme, je sais pas, il l'a jamais fait … je sais pas si il va vouloir …

- Moi, je pense qu'il va vouloir.

 

Je me relève et je m'approche de la première stalle. Je sens le regard du mec sur moi …

- Je peux les caresser ?

- Oui, sans problème … ils sont tous habitués aux gens …

 

C'est un dogue allemand qui est attaché là. Le chien s'est levé à mon approche, et il remue la queue. Il me semble encore plus grand que ceux de Jean-Claude. Sa gueule arrive pratiquement à hauteur de ma poitrine. Je lui caresse aussi la tête. Il me lèche la main, et il abaisse son mufle pour me sentir la bite. Coup de langue chaude et râpeuse sur ma verge. Je n'ai même pas peur qu'il me morde ! Mes deux mains sur les côtés de son énorme tête, je me laisse lécher. Hhhmmmm, c'est bon ! De son énorme langue, humide et brûlante, il arrive même à me lécher les couilles … Je sens ma queue continuer de réagir … Je jette un coup d'œil à son maître. Il devait s'y attendre, mais il n'en revient pas de me voir me balader, sans pudeur, complètement à poil, la queue raide devant lui et ses chiens. Dans ses yeux, je devine à la fois de l'étonnement et de l'excitation. Il doit être en train de se dire que c'est bon, que je vais me faire sauter par tous ses chiens …

- Il a quel âge, celui-ci ?

- Aussi quatre ans …

- Il a déjà sailli une chienne ?

- Oui, oui … plusieurs … lui aussi …

 

Je me penche pour regarder la bite du molosse. Elle sort un peu de son prépuce, rouge et mouillée. Il commence à bander ? Sans doute … j'ai l'impression qu'il commence à s'exciter et à trépigner comme pour me sauter dessus. Aurait-il senti que je suis sexuellement disponible ? Aurait-il deviné ce qui va se passer ?

 

Dans la stalle voisine, c'est l'autre dogue. Il tire sur sa laisse pour s'approcher de moi.

- Celui-ci aussi, il a quatre ans … c'est son frère … Allez-y, vous pouvez vous approcher, il ne vous fera rien.

 

Lui aussi, colle son mufle sur ma queue … coups de langue. Hhhmmmm ! Je lui caresse la tête, j'empoigne son collier pour l'immobiliser tant bien que mal et je m'accroupis à côté de lui pour toucher sa bite. Il s'agite, essaie de me lécher, me bouscule … Pas moyen de lui tâter l'organe dans ces conditions. Je me relève et je l'enfourche … Putain, j'ai les pieds qui touchent juste le sol. Sensation très agréable: son pelage court, lisse et luisant … et sa chaleur animale entre mes cuisses, sous mes fesses, contre mes couilles … Il s'agite, se demande ce que je fais … Il sent vraiment le chien … mais ce n'est pas désagréable. Agrippé d'une main à son collier, à demi allongé sur lui, tandis qu'il essaie de me donner des coups de langue sur la figure, je passe ma main sous son ventre. Je sens sa bite qui pointe hors de son étui pénien. Je l'empoigne et je le masturbe. Quel morceau ! Hhhmmm, j'adore ça ! C'est très excitant … lui manipuler le sexe, sentir la chaleur et la douceur de son pelage contre ma queue, entre mes cuisses … je bande de plus en plus … Alors je l'enserre de mes bras et, la joue collée contre son garrot, je me frotte ouvertement la bite sur son dos … je me donne du plaisir sans honte et sans pudeur sous les yeux de son maître. Jean-Claude m'a déjà vu à l'œuvre, mais l'autre n'en revient pas et roule des yeux effarés. Ce gros sexe poilu dans ma main … je vais me le faire loger dans le cul ! Dans ma tête, c'est le déclic dont j'avais besoin. Oui … oui … oui … je vais sûrement me faire couvrir par les cinq molosses ! Du moins, je vais essayer … on verra.

 

Putain, cinq mâles ÉNOOOORMES ! Des BÊTES ! Je vais me faire baiser … inséminer par des BÊTES ! Un gangbang de BÊTES ! C'est encore plus excitant que si c'était cinq mecs !

 

D'abord surpris par ce que je lui faisais, le dogue a fini par s'immobiliser, et, la tête tournées vers son ventre, il me regarde le masturber … et il a l'air d'apprécier … il ne s'agite plus. Mon érection, combinée à mon va et vient dans sa fourrure … je sens ma queue se décalotter toute seule … Je me frotte encore un peu, puis je me redresse et je descends du dogue qui me fait la fête … Jean-Claude et l'autre sont ébahis: je passe à la stalle d'en face en me pétrissant la bite. Je me fous de leur montrer mon excitation, à ces deux-là ! Ah oui, pas de doute, le Mastiff est un énorme chien. Celui-ci est aussi haut que … qu'une table … SON DOS est aussi haut qu'une table … sa tête noire, massive, plissée, est à la hauteur de mon sternum ! Et il doit peser … au moins soixante dix kilos … Si sa bite est proportionnée … Celui-ci aussi a un regard très gentil, bonasse, avec tous ces plis sur sa trogne. Il tire sur sa laisse à mon approche…

- Allez-y … il ne vous fera rien … attendez, je viens …

 

Il est quand même très impressionnant ! Et s'il me chopait la bite … Un coup de dents, et il n'en ferait qu'une bouchée … Le type donne la laisse du Cane Corso à Jean-Claude et me rejoint. Il jette sans cesse des coups d'œil à ma queue, que je continue de tripoter sans retenue. A son approche, le Mastiff lui fait fête et tire tellement sur sa chaîne qu'il secoue la cloison de la stalle où il est attaché. Certes, ce sont des cloisons en bois qui datent de je ne sais quand, mais apparemment, c'est du chêne, et c'est censé résister aux bourrades d'un cheval … Le maître empoigne le collier du chien à deux mains et me dit:

- Allez-y, approchez … Doucement, Gordo !

 

J'approche. La bête colle ta truffe froide sur ma queue et reste immobile comme ça quelques instants, aspirant l'air par le nez et soufflant par la bouche … Ce souffle brûlant sur ma bite … hhhmmmm, ce que c'est bon ! Son maître, les yeux rivés sur mon sexe en érection, paraît fasciné … Il ne devait pas imaginer que la perspective de me faire saillir par un chien pourrait m'exciter à ce point. Brusquement, le chien recule sa gueule et cherche à bondir sur moi, sans agressivité, comme pour me faire fête … Son maître le retient avec difficulté: 

- Doucement, Gordo ! Il veut … il veut vous … Approchez …

 

J'approche, et le chien se dresse sur ses pattes arrière, pose ses pattes sur mes épaules, manquant de renverser son maître. Putain, il est plus grand que moi ! Et il est lourd ! Il saute d'une patte sur l'autre, tout en me débarbouillant la figure à grands coups de langue. Dans ses efforts pour trouver son équilibre, je sens sa bite venir taper contre ma cuisse ! 

- Vous voyez … il vous fait la fête … gentil Gordo !

- Il pèse combien ?

- Presque quatre-vingt kilos … lui aussi, il a déjà couvert des chiennes … plein … et jamais une chienne a refusé de s'accoupler avec lui. Aucun de mes chiens, d'ailleurs … pour ça, ils ont toujours bien fait leur travail … vous savez, les chiennes le sentent, quand un mâle va faire un bon géniteur …

 

Je descends la main vers le ventre du "géniteur" et je palpe son sexe. Impressionnant, lui aussi, même comme ça, au repos… Oh putain, ça doit être quelque chose de se faire … de se faire enculer par une bête comme ça … et de se faire … inséminer … Mon geste n'a pas échappé au maître. Fasciné, il me regarde masturber son chien:

- Alors ? Vous allez vous faire ... euh … vous voulez que les cinq vous … 

 

Il voudrait bien savoir si je vais me faire sauter par ses cinq chiens. Comme je ne répands pas, il poursuit:

- ... hein, ça vous fait quoi de … de le branler, comme ça ? 

 

Il a des tremblements dans la voix. Il anticipe ce qui va se passer … je ne lui ai pas encore dit que j'avais l'intention d'essayer de me faire ses cinq molosses, mais il doit se dire que si je les passe en revue tous les cinq, c'est que je les veux tous. Comme je ne lui réponds pas, il insiste:

- Hein ? Ils vous font envie ? Tous ? Vous pouvez y aller, hein … vous pouvez les avoir tous les cinq, si vous voulez, ça me dérange pas ! Vous savez, quand ils sont … quand ils sont excités par … quand ils sont excités, leur sexe est … vraiment … ÉNOOORME ! C'est pour ça que leurs saillies sont toujours fécondes, à mes chiens … leur sexe est tellement … tellement gros, qu'ils restent bien coincés dans les femelles, et comme ça, ils les fécondent bien … vous verrez, si vous vous faites euh … saillir … vous verrez comme leur sexe est gros …

 

Ah, on peut pas dire, il les vante, ses reproducteurs ! Il y tient, à ce que ses chiens me niquent ! Alors, il fait tout ce qu'il peut pour me donner envie. J'ai pas vraiment besoin de ça, mais je dois dire que d'entendre ce mec encenser et me recommander ses géniteurs de cette façon, ça me plaît. Il a compris comment il faut me parler, ce type. Et lui ! Je le sens aussi très excité ! Je me recule et le chien retombe sur ses quatre pattes. Je regarde le maître. Tout à l'heure, j'avais envie de lui cracher à la gueule, mais il y a ses cinq bestiaux. Sans un mot, je tourne les talons et je m'approche de Jean-Claude et du Cane corso, assis à ses pieds. J'enfourche le chien et je le frictionne vigoureusement de la tête aux cuisses:

- Bon allez, au premier ! Tu vas bien me baiser, toi, hein, le Falco ! Bon chien … hhmmm!!!

 

Le maître s'approche précipitamment:

- Alors … c'est oui ?

 

Surexcité ! Je ne lui réponds pas. Il interroge Jean-Claude:

- Il a dit "au premier" … ça veut dire qu'il voudra aussi les autres, après ?

- Je sais pas. Tenez.

 

Jean-Claude lui rend la laisse du molosse. Je descends du chien qui me fait fête, et je lance à son maître:

- Tenez-le bien … je veux voir quelque chose.

 

Sans poser de question, il cramponne le collier du chien. Je passe derrière la BÊTE, je me penche et je soulève sa queue. Ah oui, belle paire de couilles poilues … toutes rondes, noires et luisantes … je les caresse et je les prends dans la main. Hhhhmmmm, Falco, Falco ! Je vais te les vider tes couilles ! Parce que ce n'est pas seulement me faire fourrer sa bite dans le cul, que je veux, c'est aussi me faire inséminer le ventre !

 

Je reviens à côté du maître et de son chien, j'écarte les jambes, je crache de la salive sur le bout de mes doigts réunis en cuiller et je me les fourre dans cul. Devant l'air ébahi des deux voyeurs, j'explique:

- Je n'ai pas de lubrifiant … Si j'avais su que j'allais me faire sauter, j'en aurais amené …

 

Je renouvelle l'opération, puis je me plante devant le chien, de dos, jambes écartées, et je m'empoigne les fesses pour m'ouvrir à l'énorme gueule du molosse. C'est parti, je vais me donner à cette bête ! Au fond de moi, j'ai basculé ... il n'y aura pas de retour en arrière, je vais m'accoupler avec cet animal et nous allons copuler ! Je ne me sens ni immoral, ni pervers … dévergondé et lubrique, certainement … et plein de détermination. Aussitôt, la bête me fourre sa truffe dans la raie, me renifle, me lèche … Sa langue, chaude et humide, me râpe la rondelle … et s'aventure sur mon périnée … et jusque sur mes couilles ... avant de revenir sur mon orifice … hhhhmmmm, la bonne bête ! 

- Ah oui, c'est bien, le chien ! Oui, c'est là … vas-y, continue … hhhmmmm ! Ah ouiii …

 

J'ai l'impression qu'il a senti que c'est là, entre mes fesses, que ça va se passer. Brusquement, il arrête de me lécher et je le sens essayer de se dresser contre moi. Son maître a beau le retenir par la laisse, il me bouscule. Ça y est, maintenant, il veut me sauter ! Je fais trois pas et je m'agenouille sur le tapis, tourné vers le maître et son chien:

- Ça y est, il veut me sauter ! Lâche-le !

 

Le maître ne dit plus rien, bluffé par la scène. Il retient son chien qui tire sur sa laisse comme un fou. Je n'ai pas, si peu que ce soit, l'apparence d'une chienne, je ne diffuse pas de phéromones, et pourtant, c'est sûr, il réagit comme si j'étais une femelle en chaleurs: je l'excite et il veut me saillir ! Je me demande ce qui se passe dans la tête de ce chien … est-ce seulement l'instinct de reproduction qui le pousse à essayer de s'accoupler à moi ? Ou est-il sensible, comme les hommes, à une forme d'érotisme seulement lubrique ? Qu'importe, il me désire, il me veut … et il va m'avoir ! Le voilà contre moi …tout en me donnant de grands coups de langue sur la figure, il commence à me grimper un peu maladroitement … je suis à genoux, à sa hauteur, mais le torse encore vertical … Tant bien que mal, j'essaie de voir dans quel état est son sexe, j'essaie de le toucher. Il s'agite beaucoup, mais j'arrive à voir que son bout, gonflé, est déjà sorti de trois ou quatre centimètres de son étui pénien, et son méat commence à baver un fluide tiède sur mon poignet… 

 

La situation me plaît beaucoup: ça doit se passer comme ça quand le propriétaire d'une chienne l'amène au chien d'un autre maître pour la faire couvrir. Ils doivent tenir leurs bêtes en laisse pour qu'elles fassent connaissance, pour qu'elles se reniflent les parties génitales, qu'elles se lèchent mutuellement … Là, ce mec – je ne sais même pas comment il s'appelle -, ce mec me présente à son chien pour qu'il me couvre et me fasse une portée ! J'adore ça ! Mais je sens qu'il est temps: la bête, de plus en plus excitée, s'énerve et me bouscule. Alors je me mets à quatre pattes et je me cambre. Oh, putain ! Faire ça devant un mec et lui offrir mon fourreau, c'est déjà une telle volupté ! Mais faire ça devant un chien ! Me donner à UN ANIMAL ! Offrir ma … ma vulve … à une BÊTE pour qu'elle s'accouple avec moi en me disant que, tous les deux, on va aller jusqu'au bout … qu'elle va me remplir le rectum avec son bulbe érectile, que l'animal va se verrouiller en moi et … et me déverser sa semence au fond du ventre … Oh putain, c'est vertigineux !

 

- Allez, va-y Falco ! Grimpe-le, mon chien ! 

 

Le maître, qui tient toujours la laisse, encourage son chien et l'entraîne vers ma croupe. Il a hâte que son chien me prenne … Maintenant que je suis à quatre pattes, le molosse me monte dessus sans la moindre hésitation, me saisit par les flancs et je sens sa bite frapper mon périnée deux ou trois fois, très rapidement, puis, au coup suivant, me rentrer directement dans l'anus ! Oh, putain, ça y est, il a trouvé ! C'est plus fort que moi, je ne peux pas me retenir:

- Ah oui, c'est bien, le chien ! T'as trouvé … t'es dedans ! Vas-y, le chien, continue, baise-moi ! BAISE-MOI !

 

Dès qu'elle sent que son sexe baigne dans la tiédeur humide de mon anus, la BÊTE entreprend de me pilonner frénétiquement tout en dansant d'une patte arrière sur l'autre … Putain, il est en moi ! Et il ne ressort pas !


Cette BÊTE m'encule ! Cette BÊTE me baise !


Sur moi, l'effet de ce début de saillie est immédiat: comme par un réflexe involontaire, je me cambre davantage et je creuse mes reins pour offrir ma vulve à la pénétration du molosse dans la position optimum … c'est la fameuse lordose, la posture qu'adoptent les femelles qui se font couvrir … nom de dieu, d'où peut bien me venir un tel instinct, moi qui ne suis génétiquement ni animal, ni femelle ? Et lui, le mâle qui est en moi, comment a-t-il trouvé si rapidement l'entrée de ma tanière, simplement en tâtonnant, comme ça, à l'aveugle … pourtant, mon anatomie n'a pas grand chose à voir avec celle d'une femelle Cane Corso ! Avec une chienne de sa race, il y a compatibilité anatomique, alors un instinct inscrit dans les gênes du mâle suffit pour guider son appareil génital droit dans la vulve de la femelle. Mais avec moi ! Comment a-t-il trouvé le centre de sa cible ? Est-ce que c'est son gland, véritable tête chercheuse hypersensible, qui a détecté … je ne sais pas … une tiédeur différente, une moiteur, émanant de mon anus et qui lui a dit « c'est là qu'il faut que tu entres pour décharger ta semence » ? 

 

La BÊTE elle-même a dû ressentir mon changement de posture comme une acceptation de sa saillie, comme un consentement qu'il me féconde … fébrile, il assure davantage la prise de ses pattes sur mes hanches et accentue la fréquence de ses va et vient dans mon fourreau. La nuque cassée, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, je gémis, je feule comme une chatte en chaleurs, manifestant sans pudeur mon plaisir et ma soumission au mâle qui me pilonne … seule, une toute petite partie de ma conscience me rappelle que deux humains sont en train d'assister à notre accouplement bestial … mais c'est sans importance … à cet instant, il n'y a plus que cette BÊTE et moi, qui sommes en train de FORNIQUER … une BÊTE, que je n'avais encore jamais vue il y a moins d'une heure … une BÊTE qui m'a désiré et à qui je me donne … une BÊTE qui est en train de me posséder comme un mâle domine, soumet et possède une femelle !

 

Je sens son désir brûlant qui va et vient en moi, de plus en plus gros, de plus en plus raide. Je sens son souffle haletant sur mon cou, sur mes épaules … jusque sur mes joues … Je sens son odeur de mâle … animale, puissante, virile ... elle m'enivre, elle aiguillonne mon désir, elle excite mon œstrus de femelle … Je me sens … flatté… qu'une telle BÊTE m'ait désiré, qu'elle m'ait voulu et qu'elle soit en train de … de m'honorer. Des frissons de volupté me parcourent en vagues successives. La débauche à laquelle je me suis livré jusqu'ici, même avec tant d'hommes à la fois, n'est rien en regard de la bestialité de cet accouplement ! Je gémis de plaisir ... je gémis de bonheur ...

 

C'est une exclamation « Rhôôô la vache ! », venant de derrière nous, qui me ramène brutalement sur terre. Je tourne la tête. Le maître, l'éleveur, a détaché la laisse du collier et s'est reculé d'un ou deux pas. Accroupi, un genou au sol, appuyé d'une main sur le tapis, les yeux exorbités, la bouche grande ouverte, il regarde son chien me saillir, m'enculer, me baiser ! 

 

- Rhôôô la vache ! Ça y est ! Jean … Jean-Claude … vous avez vu ? Falco, il est … il est entré dans votre ami … et il est en train de … il est en train de le SAILLIR ! Rhôôô, la VACHE !

 

Que ce type examine notre coït de cette manière, ça ne me dérange pas, bien au contraire ! Mais pourquoi il n'a pas pu fermer sa gueule ? Le charme est en grande partie rompu. Je sens le sexe de son chien qui continue de gonfler tout en allant et venant dans mon fourreau. Oh oui, je sens son sexe grossir, s'allonger dans mon rectum. La BÊTE se sent bien dans moi et elle va aller jusqu'au bout … elle va m'inséminer ! D'ailleurs, ça y est, quelque chose de chaud coule déjà sur mon périnée … il a commencé à éjaculer et ses va et vient font ressortir un trop-plein … C'est bien, le chien ! Jouis, éjacule, féconde moi, fais moi des chiots ! Son rythme ralentit … et, m'enserrant toujours puissamment de ses pattes avant – je n'avais même pas remarqué qu'il me laboure l'intérieur des cuisses avec les griffes de ses antérieurs -, il continue d'agiter son bassin, mais avec moins d'ampleur et le ventre bien plaqué à mes fesses …

 

Il est lourd, le bestiau ! Et il a de l'expérience, il sait s'y prendre, il sait faire en sorte de ne pas sortir son sexe de ma vulve … pas besoin de l'aider, de le maintenir pour qu'il me loge tout son sexe dans le cul … et ça grossit encore, ça enfle, dans mon rectum … avec une pulsation … maintenant, c'est le renflement, le bulbe de son sexe qui gonfle en moi en même temps que des jets de semence se répandent dans mon ventre … ce chien … mon amant … cette BÊTE … est en train de copuler avec moi ET DE ME FÉCONDER ! J'ai un instant de vertige, comme une ivresse ... la tête me tourne. Oh, putain, ce que j'aime ça ! Il me remplit le cul à la fois de son knot et de son sperme … en plus du plaisir physique de sentir son sexe brûlant en moi, je ressens l'ivresse de savoir qu'il déverse sa semence dans mon ventre … Je passe une main derrière moi et je lui caresse la patte avec laquelle il me cramponne:

- C'est bien, le chien ! Tu me baises bien ! Vas-y, fais-moi des petits !

 

A quelques mètres de nous, les autres chiens nous regardent. Est-ce qu'ils comprennent ce qui se passe ? Est-ce que, comme des hommes qui regardent un couple baiser, ça les excite, de voir leur pote Falco me niquer ? En tout cas, ça les intéresse: ils pourraient se coucher et dormir … ou se faire une toilette … ou je ne sais pas … mais non, assis pour les uns, debout pour les autres, oreilles dressées, ils nous observent … le Mastiff ... Gordo est debout, et il tire sur sa laisse, comme s'il voulait nous rejoindre … il doit se souvenir que, tout à l'heure, il m'a reniflé la bite et que moi, j'ai masturbé la sienne. 

 

J'ai beau avoir la rondelle à la fois souple et dilatée de m'être tellement défoncé à l'aide d'énormes sextoys, je sens que cette … chose qui grossit en moi me force les muscles en me remplissant … c'est sûr, il ne pourra pas ressortir tout seul … il va se nouer, et nous allons nous verrouiller comme mâle et femelle ... et nous allons rester collés … comme un chien dans une chienne … et ça me plaît ! S'il me restait quelques doutes, quelques craintes, l'autre jour, quand je me suis fait prendre pour la première fois par les chiens de Jean-Claude, c'est terminé … plus la moindre appréhension … je peux profiter pleinement de ce coït ! Cette présence, en moi, énorme, chaude, vivante, fébrile, qui vibre, qui pulse au rythme des éjaculations de ce mâle … je n'arrive pas à la ressentir comme contre-nature, mais au contraire comme quelque chose d'absolument naturel. Pour Falco aussi, c'est naturel: comme il l'avait déjà fait avec des chiennes de sa race, son maître, aujourd'hui, l'a amené à une autre femelle, aussi pour la couvrir … A-t-il été surpris, le chien, par l'aspect de cette femelle ? Sans doute: elle est visiblement d'une autre race, et c'est certainement un peu étrange pour lui, tellement elle est semblable à son maître … mais puisque son maître l'a amené là pour qu'il la couvre et qu'il lui fasse des petits … et bien, il fait ce que son maître attend de lui … il la féconde … Brave bête !

 

Et il est aussi très content, le chien. Il halète au-dessus de moi et il danse toujours d'une patte sur l'autre, mais lentement, précautionneusement … Et soudain, il essaye de passer sa patte antérieure droite au-dessus de moi pour descendre de sur mon dos, et il se met à tourner, soulevant sa patte arrière pour la passer au-dessus de mon cul … il veut se mettre cul à cul, comme il le ferait avec une chienne … Mais je suis un peu grand pour lui, et il n'y arrive pas … J'écarte davantage les genoux pour abaisser le niveau de mes reins … Soudain, j'entends son maître:

- Attention ! Il va sortir !

 

Il a vu son chien s'escrimer, et il se précipite pour l'empêcher de descendre. Je tourne la tête et je l'arrête:

- Non, ça risque pas … on est verrouillés tous les deux ! Laisse-le, il veut se mettre cul contre cul comme avec une chienne …

- Comment ça "vous êtes verrouillés" ! C'est pas possible ! 

- Mais si, c'est possible ! Puisqu'on se tue à te le dire !

- Verrouillés … vous voulez dire … vous voulez dire que son … qu'il est …

- Oui, son bulbe érectile est gonflé dans mon cul … tu sais ce que c'est, son bulbe érectile ? 

- Ben oui, je sais ce que c'est … je l'ai vu, avec les chiennes … mais je croyais pas que ça ferait ça avec … avec un homme …

- Ben, tu vois … tu peux vérifier, tu sais …

 

Quand son maître a saisi son collier, le chien s'est immobilisé, sa patte avant toujours sur mon dos, et il attend placidement. J'ai dit au maître de vérifier que le knot du molosse est bien gonflé dans mon cul … et bien … il vérifie ! Je le vois qui s'approche davantage, qui pose un genou au sol, et qui se penche. Il n'ose pas toucher, quand même. Alors:

- Oh la vache ! Mais alors… vous êtes collés ? Oh, bordel !

- Pas de panique, c'est normal … aide-le, plutôt …

- Comment ça, "c'est normal" ? Mais alors… vous êtes VRAIMENT collés ? ! ? !

- Oui. Et alors !

- Mais … ça va vous … ça va vous faire mal … quand il va sortir …

- Mais non … il sortira seulement quand il aura fini son affaire … comme avec une chienne … aide-le à tourner, je te dis !

 

Il finit par aider son chien. Pendant que la BÊTE finit de se mettre cul contre cul, je sens son énorme bulbe tourner sur lui-même en glissant dans mon rectum et, tout au fond de moi, sa longue bite changer de position en me bousculant les entrailles. Le maître revient à la charge:

- Mais comment ça, "quand il aura fini son affaire"? Vous voulez dire qu'il va … qu'il est en train de vous …

 

Il est vraiment con, ce mec … Il croyait quoi, que son chien allait seulement me pénétrer, ressortir, et bonsoir ?

- Oui, il est en train d'éjaculer, là ! Il me prend pour une chienne et il est en train de me faire une portée ! 

- Oh merde ! Je … je pensais pas …

- Tu croyais quoi ? Qu'il allait seulement me mettre un ou deux coups de bite, et ressortir ? Non, là, il est en train de jouir, ton chien, il éjacule …

- Oh merde ! Je … je savais pas qu'avec un … qu'avec un homme … il allait aussi vous … vous inséminer… comme une chienne …

- Mais pour lui, je SUIS une chienne !

- Oh la vache ! Il est en train de vous … il éjacule … dans votre … et ça vous gêne pas ? 

- Non. Pas plus que si c'était un homme. 

- J'en reviens pas … mais, rester collé, ça vous gêne pas non plus ?

- Quand tu lui fais faire des petits à une chienne, ils ne restent pas collés ?

- Si, bien sûr … mais je pensais pas … avec un homme …

- C'est pareil. Quand il aura fini, il va débander, son bulbe va se dégonfler et il sortira tout seul … 

- Oui, je sais, c'est comme ça avec les chiennes … 

- La différence avec une chienne, c'est qu'elle, sa vulve se contracte spontanément sur le bulbe du mâle pour le garder en elle jusqu'à ce qu'elle soit fécondée. Avec moi, quand son bulbe aura un peu dégonflé, il pourra sortir tout seul …

- Et alors, là, d'après vous … il est en train de … d'éjaculer …

- Puisque je te le dis … il éjacule … depuis le début, il éjacule … dès que sa bite est entrée dans mon cul, il a commencé … et là, ça continue …

- Vous le sentez ? Vous sentez sa … son …

- Son sperme, tu veux dire ?

- Oui, son SPERME …

 

Brusquement, je sens en lui un changement de ton radical. A la façon dont il a prononcé "son SPERME", je perçois une espèce de délectation, d'excitation. Après un instant de panique quand il s'est rendu compte qu'on était collés, le voilà rassuré, et il revient à ce qui avait motivé le scandale qu'il menaçait de faire: le côté sexe, le côté pervers … la zoophilie. Je suis sûr qu'il n'imaginait pas qu'un chien puisse inséminer un homme. C'est une révélation pour lui, et une révélation qui a l'air de beaucoup l'exciter … Son chien, son Falco, son reproducteur est en train de répandre son SPERME dans un homme !

- En fait, je ne le sens pas vraiment … je sens surtout sa bite … comment dire … elle pulse dans mon cul au fur et à mesure qu'il éjacule …

- Ah bon … et … et ça … ça vous dérange vraiment pas ?

- Quoi …

- Qu'il vous … qu'il éjacule son SPERME dans votre … cul …

- Oh non, ça ne me dérange pas … au contraire, j'aime ça.

- Ça vous plaît ? Qu'un chien vous … vous remplisse de SPERME, ça vous plaît … 

- Oui, beaucoup. Plus, même, que quand c'est un homme …

- C'est excitant …

 

Il ne demande pas, il constate. Après cette leçon de choses, le voilà rassuré. Et même:

- C'est bien, mon Falco ! T'es un bon chien !

 

Il félicite la bête ! Et elle doit être sensible au compliment, parce que je sens sa queue balayer trois ou quatre fois mes fesses et mes reins.

 

- Dites … c'est un bon chien, hein … il vous baise bien, hein, mon Falco … franchement, j'y croyais pas … mais il vous … il vous insémine vraiment … comme une chienne … collés, verrouillés comme avec une femelle !

 

En fait, il ne s'adresse pas à moi … il se fait seulement des réflexions à haute voix. Je sens quelque chose frôler ma hanche. Je tourne encore la tête, et … oh merde, il vient de m'enfourcher ! Une jambe de chaque côté, il est au-dessus de moi, au niveau de ma taille … il soulève la queue de son molosse … et il regarde ! Il contemple notre … connexion, notre coït ! A mon avis, il doit faire la même chose quand son chien est en train de féconder une femelle, et qu'ils sont cul à cul, enfourcher l'un ou l'autre pour regarder ! Et là, ça doit lui paraître tout aussi naturel de faire ça avec moi: son Falco est verrouillé dans une femelle, et il regarde comment ça fait ! Il ne manifeste pas plus d'égards envers moi qu'il ne doit en manifester envers une chienne. Après la surprise, au fond, ça ne me dérange pas … pour lui, à cet instant, je ne suis que la femelle du jour de son Falco. D'ailleurs, satisfait, il lâche la queue de son chien, et:

- Ah la la, c'est BIEN, mon chien ! T'es content, hein … tu lui fais des petits, là, hein … T'es un bon géniteur … t'es mon champion … 

 

Comme si son "champion" était VRAIMENT en train de me faire des petits ! Penché au-dessus de son chien, il lui frictionne le poitrail, et la bête, qui sent que son maître le félicite, remue encore la queue, halète de plus belle et trépigne d'une patte sur l'autre, faisant bouger son knot dans mon rectum … c'est très agréable ! J'entends l'éleveur embrasser son chien, et il reprend!

- Et lui aussi, là, avec ta bite dans son cul, il est content que tu l'encules, hein, mon chien … tu le baises bien, alors il est content … pas vrai que vous êtes content ?

 

Apparemment, la dernière remarque s'adressait à moi. Comme je ne réponds pas, il insiste:

- Ça se voit, que vous êtes content et que ça vous plaît … remarquez, ça m'étonne pas. Vous savez … une bête comme Falco … vous vous rendez pas compte, hein, mais une bête comme Falco … vous savez combien certains maîtres sont prêts à payer, pour une saille de mon Falco ? 

 

Putain, j'y crois pas ! Il va me dire ce que coûte un coup de bite de son bestiau ! Il continue:

- Pas pour eux, hein, la saillie … pour leur chienne … et ben, une fois, on m'a proposé 900 €uros ! Faut dire, c'est un champion, mon Falco ! Il a gagné des concours ! Moi, en général, je fais payer la saillie 700 ou 800 €uros, pour une femelle à pedigree … mais une fois, un type m'a proposé 900 €uros ! Et ben, là, dites vous que ce que mon Falco, il vous fait, ça vaut 900 €uros !

- Tu vas me faire payer ?

- Non, non, bien sûr …  c'est pour dire !

 

Il se marre. Si son maître le dit, c'est sûrement un bon géniteur, le Falco, et un champion, mais pour moi, c'est surtout un bon amant ! Me faire baiser par cette bête, c'est beaucoup mieux que de me faire baiser par un mec ! La taille de son sexe est hors concours. Aucun homme ne m'a jamais rempli comme ça ! Ah si … Sam le tatoué et le gros Thierry, quand ils m'ont enculé tous les deux en même temps … Et il est endurant, le molosse ! Bon, je n'y mettrais pas 900 €uros, mais je dois reconnaître que son chien, c'est un champion pour la baise,  et les chiennes qu'il couvre ont bien de la chance. Mais … moi aussi, j'ai de la chance, parce que là, c'est moi qu'il est en train de féconder, le champion !

 

Satisfait de son examen gynécologique, content de son champion, le maître de Falco me ré-enjambe et je l'entends qui s'éloigne et retourne vers Jean-Claude. J'ai posé mes avant bras à plat sur le tapis et je regarde derrière moi. Ils sont en train de discuter à voix basses en me regardant. Visiblement, c'est de moi qu'ils parlent. Je croise mes avant bras sur le tapis et je pose mon front dessus. Allez-y, parlez ! Moi, ça me plaît beaucoup de me faire saillir devant vous, collé cul contre cul avec ce molosse qui injecte sa semence dans mon ventre … Je sens cette grosse boule, chaude, vivante, frémissante, qui remplit mon rectum … et j'ai l'impression que ce qui effleure ma raie, juste au-dessus de ma rondelle … c'est la paire de couilles du chien … ses belles couilles poilues qui sont en train d'envoyer au fond de mon ventre des millions de spermatozoïdes.

 

Putain, je me suis encore fait couvrir par un ANIMAL ! Oui, là, je suis accouplé avec un chien … un chien qui me prend pour une chienne … un chien qui me prend COMME une chienne … et qui m'insémine … Ce que je ressens par dessus tout, c'est une espèce de … plénitude, un mélange de volupté sexuelle et de satisfaction cérébrale … de fierté, même: je ne suis plus seulement une … une lope qui se fait passer dessus par tous les hommes qui en ont envie … je suis … un jouet … un substitut sexuel … un substitut sexuel inter-espèces … un objet sexuel universel … une sorte de femelle universelle, apte à s'accoupler à des mâles de n'importe quelle espèce, pourvu qu'ils soient dotés d'organes génitaux tant soit peu compatibles avec ma propre anatomie …

 

Oh oui, je me ferai saillir par d'autres chiens ! Par les chiens de ce type, d'abord, mais ce qu'il faudrait, c'est que ça fasse comme pour les mecs … que ma réputation de lope qui se fait saillir par des molosses, de chienne bonne à baiser se répande … que des éleveurs, que des propriétaires de chiens se refilent mes coordonnées … qu'ils m'amènent leurs mâles pour me couvrir … Et j'ai l'impression qu'avec ce tordu, là, ça pourrait bien le faire … tout à l'heure, il m'a dit que si ça m'intéresse, il connaît des éleveurs d'autres races de molosses … il a parlé de Pittbull … de chiens brésiliens … et … ah oui, et de dogues argentins, aussi … je ne sais pas à quoi ça ressemble …

 

Ça discute fermement, derrière moi ! Le ton monte, on dirait, même si Jean-Claude et l'éleveur font toujours en sorte que je n'entende pas ce qu'ils disent. Du coin de l'œil, je vois le Jean-Claude s'agiter en secouant la tête de droite à gauche … il ne veut pas quelque chose … mais quoi … et l'autre l'a pris par le coude et semble essayer de le convaincre … Et d'un seul coup, Jean-Claude se dégage et lève les bras au ciel dans un geste fataliste. L'autre se retourne vers moi, hésite, puis il se décide et s'approche, Jean-Claude sur les talons:

- Dites, euh … ça … ça vous dérangerait vraiment, si je…

 

Jean-Claude, s'adressant à moi, lui coupe la parole:

- Hé, je lui ai dit "même pas en rêve", hein …

- Laissez-moi finir, Jean-Claude … on verra bien …

- Ouais, ben c'est sûr, ça va être NON !

- Ben si c'est non, ce sera non … oui, je me demandais … ça vous dérangerait vraiment, si je prenais quelques photos ? On vous reconnaîtrait pas, je … je prendrais que … que votre cul … avec mon Falco qui vous … qui vous encule … on verrait pas votre tête … 

 

Ah, d'accord ! C'était ça, leur discussion ? Le laisser me prendre en photo ? Pour qu'après, il s'en serve contre moi pour zoophilie ? Cela dit .. si on voit pas ma tête, si on ne peut pas me reconnaître … et puis, ce serait avec SON chien, alors, il risquerait autant que moi … à condition qu'on puisse prouver qu'il était d'accord. Il faudrait que je demande à Jean-Claude si il a réussi à le filmer, pendant qu'il incitait son chien à me grimper … Je lève les yeux sur l'éleveur:

- Ecoute, euh … au fait, comment tu t'appelles ?

- Moi ? Pierre-Alain … mais on m'appelle Pierrot …

- Ecoute, Pierrot, j'ai deux mots à dire à Jean-Claude … alors, si tu pouvais t'éloigner un peu …

- M'éloigner ?

- Oui … retourne vers la porte de l'écurie, par exemple … je dis deux mots à Jean-Claude, et après je te dis si je suis d'accord …

- Ah bon … OK.

 

Je le sens jubiler. Il s'éloigne … son chien s'agite, derrière moi … je me demande si il n'aurait pas fini. Jean-Claude, qui se penche vers moi en surveillant le type du coin de l'œil, me souffle:

- Tu vas pas le laisser … je lui ai dit que tu serais pas d'accord …

- Attends, attends, t'emballes pas … tu as pu le filmer, avec ton smartphone ?

- Ben, oui … 

- A quel moment ?

- Comment ça ?

- Depuis le début ? Ou seulement quand il s'est mis au-dessus de moi et de son chien ? 

- Ah ouais … non, depuis le début …

- On le voit m'amener son chien pour qu'il me baise ?

- Ben oui …

- Montre.

 

Il jette encore un coup d'œil au type, se colle davantage contre moi pour masquer ce que l'on fait, fouille dans la poche de poitrine de sa chemise, en sort son appareil et l'allume. Il cherche … et:

- Tiens, regarde, c'est là …

 

Il place l'appareil sous mes yeux. En effet, c'est une vidéo, et on voit le type, Pierrot, qui tient son chien en laisse et qui l'accompagne vers moi, qui suis à genoux, à poil, au milieu du tapis … le chien qui me tourne autour et essaye de me grimper … je me mets à quatre pattes … et le type … on voit le type entraîner son chien vers mon cul … on le voit nettement l'inciter à me grimper ! Oh, putain, cette vidéo ! Me voir ! Me voir me donner à ce molosse ! Et voir le molosse me monter dessus et … et chercher ma vulve avec sa bite ! Jean-Claude arrête brusquement la vidéo:

- Alors ? Qu'est-ce que tu …

 

Ce que je viens de regarder, c'est ... bouleversant. Jean-Claude insiste:

- Alors ? Tu voulais voir quoi ?

- Ben, c'est bon … lui, là, on le voit nettement m'amener son chien et l'inciter à me baiser …

- Ben ouais.

- Alors, on le tient. Il ne peut plus rien contre nous …

- Ah, c'est ça, que tu voulais savoir ?

- Oui.

- Je l'ai même filmé quand il t'accompagne vers ses autres chiens … tu veux voir ?

- Non. Plus tard. Appelle-le.

 

Il se redresse et se tourne vers ce ... Pierrot:

- Hé ! Venez.

 

Quand son maître approche, son chien trépigne, remue la queue et je le sens qui tire sur son bulbe … Oh la vache ! Le morceau ! Mon anus résiste une seconde ou deux … et d'un seul coup, le chien s'extrait de mon cul dans un bruit de succion … c'est un séisme dans mes entrailles … je sens mon rectum se vider … comme aspiré ! Et aussitôt, quelque chose de chaud … très chaud … s'écoule sur mon périnée et sur mes couilles … la semence du molosse ! Je regarde derrière moi … le molosse s'est plus ou moins assis ventre en l'air sur le tapis, et, appuyé d'une patte avant, ses pattes arrières écartées, il est en train de se lécher le sexe. Je me retourne complètement et, à mon tour, je m'assois. Les deux autres sont scotchés, fascinés, et nous regardent alternativement, le chien et moi. A leurs têtes, je devine ce qu'ils pensent : « Il avait ÇA dans le cul ? Comment c'est possible ? ». Le maître s'accroupit à côté de son chien et lui caresse la tête:

- Ça va, mon chien ?

 

Le chien se tourne et se couche sur le dos en regardant son maître avec une expression … dans son regard, il y a à la fois de l'amour pour son maître, et comme une attente. Le maître l'a senti, lui aussi. Il le caresse:

- C'est bien, mon Falco … tu l'as bien baisé … t'es un champion.

 

Alors, à mon tour, je m'affale sur le tapis, appuyé sur un coude et, sans aucune pudeur, j'écarte les cuisses. De la main, je palpe ma rondelle pour vérifier dans quel état elle est. Ça va. Il ne m'a pas arraché. Ce n'est même pas vraiment douloureux … très sensible, mais pas douloureux. Une fois encore, je me félicite de m'être si bien préparé le sphincter, avec mes énormes sextoys. Jean-Claude et Pierrot me regardent, vautré, cuisses écartées, impudique et lubrique, et maintenant, ce que je lis dans leurs yeux, c'est « Quelle salope ! ». Sortant ma main, couverte de sperme, de mon entrejambe, je la leur montre:

- Il m'a vraiment mis la dose, ton chien ! J'en ai partout, regardez !

 

Je me sens tellement … heureux, de m'être fait sauter et inséminer par cette BÊTE … et fier que ça se soit passé sous leurs yeux, à ces deux mecs ! Est-ce qu'au moins ils se rendent compte ? Ce molosse M'A SAILLI ET FÉCONDÉ, bordel ! Le maître sourit et nous regarde alternativement, Jean-Claude et moi, attendant visiblement un compliment du fermier pour la performance de son champion. Mais le fermier ne prête aucune attention à lui. Il me regarde, moi, avec une expression dans les yeux tellement … tellement lubrique ! Putain, ce regard ! J'ai l'impression … non, j'ai la conviction qu'il a une furieuse envie de me prendre à son tour ... là, au milieu de ce tapis … comme il avait fait l'autre fois, après que ses deux danois m'aient baisé … Me voir me faire fourrer par un chien l'excite ! Sa masse dressée au-dessus de moi, il me détaille sans vergogne … particulièrement là, entre mes cuisses, ma "vulve" souillée de sperme, mais surtout accessible … il doit bander et il doit avoir un furieux besoin de tirer un coup … il porte un pantalon un peu large et je ne vois pas si il bande … dommage ! Oh oui, ça me plairait beaucoup qu'il me saute à son tour, là, sur ce tapis, avant que je continue avec les chiens de l'autre con … un gangbang homme-chiens ? Pourquoi pas ! Me faire troncher par tous les mâles présents … hommes et bêtes ! Alors, toujours vautré sur le dos, cuisses ouvertes, je recommence à me fouiller ostensiblement la rondelle avec les doigts, en lui lançant le regard le plus salace et provoquant que je peux… « T'as envie de me baiser ? Viens ! ». Je le vois déglutir … Il a reçu le message, j'en suis sûr. Allez, Jean-Claude, ôte ton froc et baise-moi ! Mais tel que je le connais, je sais que la présence de l'éleveur le retient … d'ailleurs, l'autre aussi, le Pierrot, il pourrait me baiser … Mais apparemment l'éleveur a d'autres préoccupations, parce qu'il toussote, et:

- Alors, euh … vous … vous avez réfléchi … pour des photos ?

 

Je soupire, je me redresse et je m'assois:

- Tu perds pas le nord, toi …

 

Il hausse les épaules, un sourire con sur la tronche:

- Ben … non. Alors ? C'est oui ? C'est non ?

 

Dans le fond, maintenant que je sais qu'on le tient et qu'il ne peut rien contre nous, ça me plaît plutôt qu'il me prenne en photos. Ça toujours un côté excitant. Alors:

- C'est oui. 

 

Aaaah, le voilà soulagé ! Il jubile. Avec un large sourire, il s'empresse:

- Bon, mais alors … comme Falco a fini … vous allez …vous allez devoir le faire avec un autre ?

- Ben oui.

- Le… lequel ?

 

Il est surexcité à l'idée que je recommence avec un autre.

- Je sais pas …

- Bon, bon … réfléchissez … en attendant, je vais chercher mon smartphone …

 

Il s'apprête à faire demi-tour. Je l'arrête:

- STOOOOOP !!! Attends !

 

Je me lève et je me plante devant lui. Je sens quelque chose de chaud s'écouler sur le haut de mes cuisses … la liqueur de Falco ! Ma proximité, totalement à poil, paraît beaucoup moins le gêner que tout à l'heure. Je poursuis:

- On est bien d'accord … tu ne prends pas ma tronche en photos …

- Non, non … je la prends pas …

- Et tu devras nous laisser vérifier toutes tes photos, Jean-Claude et moi …

- Ah … beeeen … oui … d'accord …

- Et il faut que tu saches … même avec les photos que tu vas faire, tu nous tiendras pas …

 

Il écarquille les yeux:

- Ben … non … j'ai pas … j'ai pas l'intention de … mais, pourquoi vous me dites ça ?

 

Je me tourne vers Jean-Claude:

- Montre lui !

- Hein ?

- Montre lui tes vidéos …

- Mais …

- Ben si, qu'il voie pourquoi il ne pourra rien contre nous.

 

Je le vois, ça fait tilt dans la tête du fermier:

- Bon, comme tu veux.

 

Il sort son smartphone, le manipule et le montre l'éleveur. Je ne vois pas l'écran, mais je reconnais ma voix et celle de Pierrot qui sortent de l'appareil. Les yeux ronds, l'éleveur bafouille:

- Vous .. vous nous avez … filmé ?

- Comme vous voyez. Hein, là, vous faites le tour de vos chiens avec Marin … hein, on voit bien qu'il est à poil et que vous lui présentez vos chiens … on n'entend pas bien, j'étais un peu trop loin, mais vous étiez en train de lui vanter leurs grosses bites, à vos chiens … et là …

 

Il manipule encore son smartphone et dirige de nouveau l'écran vers le type:

- … et là, on vous voit amener votre chien à Marin et l'encourager à le sauter …

- Vous … vous m'avez filmé !

- Oui. Attendez … regardez …

 

Nouvelle manipulation du smartphone:

- … là, on vous voit agenouillé derrière eux pour regarder par en-dessous votre chien en train de l'enculer … on vous reconnaît bien, non ?

 

Le mec en reste baba. Il fait un effort sur lui-même et:

- Mais, vous savez, j'avais pas l'intention de vous faire des ennuis …

- Ah bon ? ! ? ! Mais vous m'avez quand même bien fait chier, hein … vous m'avez menacé ..

- C'était pour … c'était parce que je voulais … je voulais voir ÇA …

 

Il me désigne de la main. C'est moi "ÇA"? Non, il veut parler de ce qui vient de se passer, du spectacle d'un chien en train de me baiser. Moi, ça ne m'étonne pas qu'il ait fait chier Jean-Claude et qu'il l'ait menacé pour voir "ÇA". J'interviens:

- Bon. N'épiloguons pas. Tu saisis, Pierrot ? Ces vidéos, c'est notre assurance, à Jean-Claude et à moi. Tu nous emmerdes, on les montre et tu plonges avec nous pour complicité de zoophilie. Toi qui prétends connaître la loi, je pense que tu es au courant … dans ce cas-là, tu serais interdit à vie de posséder des chiens … Ça serait gênant, pour un éleveur. Bon, alors, si t'es toujours décidé, tu vas chercher ton téléphone … je vais choisir un autre chien.

- OK, OK ! Mais ... y'a pas de souci !

 

Il tourne les talons et se précipite. Il est pressé, on dirait. Jean-Claude remet son smartphone dans sa poche et me regarde en coin, un peu gêné. Il doit se douter que j'ai deviné ses pensées, il y a un instant.

- T'as envie de me baiser, Jean-Claude …

 

Il hésite, plante ses yeux dans les miens:

- Oui. 

Ah tiens ! Je ne l'avais encore jamais vu aussi spontané.

- Tu veux me baiser, avant un autre chien ?

- Ça va pas, non ?

- Ben quoi ...

- Pas devant l'autre con.

- Comme tu veux. Ça t'excite, de voir un chien me niquer ?

- Oui. T'es vraiment une grosse salope … enfin, excuse-moi, je … je veux dire une BELLE salope … et tu me fais bander.

- Non, mais tu sais, "grosse salope", ça me va aussi. Tu me baiseras, tout à l'heure ?

- Je sais pas.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 28 juin 2017 3 28 /06 /Juin /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


La loi n° 2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30.000 euros d'amende.


L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

Je ne sais pas trop quoi penser de mon essai comme pute dans cet hôtel. Globalement, je me sens frustré. Déjà, me faire baiser avec capote, il n'y a pas à dire, il me manque quelque chose … j'ai BESOIN de sentir que celui qui me baise éjacule en moi … mais en plus, comme ... "professionnelle", la relation avec les mecs n'est pas la même … il manque … une spontanéité … ces types m'ont baisé d'abord parce qu'ils avaient besoin de tirer un coup … ou parce qu'ils voulaient "essayer" un travelo … mais pas comme motivation première parce que mon cul les excitait … bon, mon cul les a excités, mais n'importe quel cul accueillant aurait fait l'affaire, je pense … je me suis senti en service commandé … et avoir un mac, un homme pour qui travailler, c'est agréable, mais au fond, je n'ai pas besoin de ça … 

 

Et puis, paradoxalement, alors que j'étais dans cet hôtel comme ... "professionnelle", c'est là que j'ai pris conscience du sentiment que j'éprouve pour tout mâle qui me baise ... de l'attachement, de la tendresse ... presque de l'amour ! C'est involontaire, automatique, de l'ordre de l'instinct. Ça doit être une question d'hormones sécrétées spontanément par mon cerveau aussitôt qu'un mâle s'accouple avec moi. J'ai lu quelque chose sur l'ocytocine, cette hormone qui déclenche l'attachement d'une mère pour son bébé, ou d'une femme pour son homme ... Cette chimie du corps qui induit nos actes et nos pensées doit être un vestige de notre animalité ... dopamine, endorphine, ocytocine ... hormones du sexe ! A commencer par les phéromones que, soit disant, les humains auraient perdu la faculté de percevoir ... et si, par je ne sais quelle inversion de l'évolution, certains individus avaient retrouvé cette faculté ... Je suis certainement de ceux-là, parce que, j'en suis sûr, les effluves diffusées par les mâles déclenchent en moi un besoin irrépressible de m'accoupler avec eux ...

 

Bon, continuer à vendre mon cul … ou plutôt à le louer, ça aurait l'avantage de me procurer plein de coups de bites … mais … je ne sais pas. Je vais réfléchir, mais ce n'est pas l'enthousiasme. Laissons passer un peu de temps. 

 

Je n'ai pas revu ma voisine. Quand je vais la voir, j'aurais mon essai à lui raconter, et elle qui a envie de se faire grimper par plusieurs types, il faudra que je lui suggère d'aller faire un stage chez Lionel et Carole.

 

Dimanche 19 novembre. 13 heures

 

Téléphone.

- Salut … c'est Jean-Claude …

- Ah ? Salut. Ça va ?

- Ça va, ça va … Et toi ?

- Moi ça va … Qu'est-ce qui me vaut …

- Faut que je te parle …

- Je t'écoute …

- Euh, je préfère pas par téléphone … Tu peux venir me voir ?

 

Si il veut que je vienne, ça peut être bon pour moi. Il va peut-être vouloir me baiser à nouveau …

- Ben oui … Quand tu veux … cet après-midi ?

- Euh, non, je peux pas … la semaine prochaine ?

- Dis moi quel jour, je te dirai si c'est possible …

- Samedi matin ?

- A priori, oui. Mais c'est à quel sujet ?

- Je peux pas te dire par téléphone … Il faut que … je dois te présenter à quelqu'un …

 

Tiens, me présenter à quelqu'un ! Pour quoi faire ? Compte tenu de la nature de nos rapports, c'est forcément pour une histoire de cul … Alors, pourquoi tant de mystères ?

- Ah bon ? Me présenter à quelqu'un ? Pour du cul ?

- Non, non … Dis moi à quelle heure tu pourras être là …

 

Il paraît vraiment embarrassé.

- Je ne sais pas, dix heures …

- Pas avant ?

- Bon, neuf heures ?

- Ouais. Mais neuf heures pétantes, hein …

- Pas de problème … Il faut que je mette une de mes tenues … spéciales ?

- Non, non, pas la peine. A samedi, alors. Salut.

- Salut. 

 

Une fois encore, il m'expédie. Qu'est-ce qu'il me veut ? Il veut me présenter à qui ? La question me turlupine un moment, et je finis par me dire que, malgré ses dénégations, c'est sûrement pour du cul … peut-être un de ses copains qui a besoin de tirer un coup …

 

Samedi 25 novembre. Neuf heures moins dix.

J'entre et je me gare dans la cour de la ferme. Les deux Dogues allemands sont dehors. Cette fois, plus d'inquiétude, je descends tout de suite de ma voiture. Ils m'accueillent en me faisant la fête. Ah, les bonnes bêtes ! Et les BELLES bêtes ! Une vague d'émotion me submerge. Ce qu'ils sont beaux, nom de dieu ! Des athlètes, musclés, puissants … qui dégagent une telle impression de force ! Quand je pense que je me suis accouplé avec ces deux molosses ! En les revoyant comme ça, je n'en reviens pas de m'être fait couvrir par ces animaux … PAR DES ANIMAUX ! Je n'en reviens pas non plus de m'être fait INSÉMINER par eux ! INSÉMINÉ … FÉCONDÉ … ENGROSSÉ par ces BÊTES ! Aucun sentiment de honte ou de culpabilité, j'ai pour eux le même sentiment de reconnaissance, d'attachement, de tendresse que pour n'importe lequel de mes amants ! 

 

Ils me font fête et pas seulement parce qu'ils ont reconnu quelqu'un de leur connaissance … non, je sens, je suis sûr qu'ils ont reconnu la femelle avec qui ils se sont accouplés il y a un mois  … ma présence réveille sûrement d'agréables souvenirs en eux. D'emblée, ils me fourrent leur mufle dans l'entrejambe. Puis l'un d'eux – Into ou Iago ? – se met à sauter joyeusement en direction de l'entrée de la maison, et se retourne vers moi, comme s'il attendait que je le suive … C'est sans doute un effet  de mon imagination, mais ça a tout l'air d'une invitation: « Viens avec moi dans le salon, comme l'autre jour, je vais t'en remettre un coup dans le cul ». Je le rejoindrais bien, en effet, si l'autre ne s'était pas dressé contre moi pour me donner de grands coups de langue sur la figure, m'obligeant à m'adosser à ma voiture pour ne pas tomber. Je me laisse faire, et j'en profite pour tendre la main sous son ventre et lui caresser le sexe comme je peux. Oh la la, cet énorme vit ! C'est avec ça qu'il m'a pénétré et inséminé ! Comme j'aimerais recommencer, me faire encore couvrir par ces deux molosses ! Prendre notre temps, cette fois … les laisser me saillir et s'installer … laisser leur bulbe érectile gonfler tranquillement en moi … les laisser se verrouiller dans mon rectum … rester collés … sentir leur sexe énorme vibrer en moi pendant qu'ils éjaculent … Une vague de chaleur m'inonde le bas ventre à cette évocation, et un frisson me parcourt la prostate et l'anus.

- Ça va, les chiens !!!

 

Je n'ai pas vu Jean-Claude apparaître sur le seuil de sa maison. Un autre amant … humain, celui-ci. Mon … amant canin m'abandonne et son frère et lui rejoignent leur maître.

- Salut. Entre.

 

Au moment où je passe devant lui, je lui effleure le bas ventre du plat de la main. Il réagit:

- Arrête, j'ai pas la tête à ça …

 

Ouh la la ! Qu'est-ce qui se passe ? Nous voilà dans le salon, mes deux potes chiens sur les talons. Jean-Claude me désigne un des fauteuils. Il a vraiment l'air gêné. Je m'assieds, les deux bêtes entreprennent aussitôt de me grimper dessus. Jean-Claude:

- Couchés, les chiens !!

 

Ils s'assoient devant moi,  et m'observent, les oreilles dressées. Un des deux chiens a le bout de sa bite qui sort de son épui pénien, rouge et luisant. Je le fais bander ! Moi aussi, ça m'excite. Mais Jean-Claude n'a pas l'air disposé à me laisser batifoler avec ses molosses. Alors j'attaque:

- Qu'est-ce qui se passe ? T'as l'air bien sérieux.

 

Il se râcle la gorge.

- C'est au sujet de mes chiens …

- Ils vont bien ? Je ne les ai pas traumatisés, au moins ? Je leur ai foutu une maladie vénérienne ?

 

Je plaisante, mais son air grave m'intrigue.

- Non, non, rien de tout ça … Mais, tu te rappelles, je t'avais dit que l'éleveur où je les ai achetés voulait que mes chiens fassent des saillies à des femelles …

- Oui, tu m'as parlé de ça … Et alors ?

- Alors, je les ai emmenés chez lui … il avait deux femelles en chaleurs … je les ai laissés … en principe pour une semaine … et le type m'a rappelé au bout de deux jours …

- Ah bon ? Et alors, c'est pas normal ? Ils n'ont pas réussi leurs saillies ? Ils n'ont pas voulu couvrir les chiennes ?

- Si, si … au contraire … c'était fait et même bien fait … tout de suite, le premier jour … Dès le lendemain, les chiennes ont refusé de se faire couvrir de nouveau … c'est le signe qu'elles étaient fécondées …

- Alors, où est le problème ? 

- Justement … c'est vraiment inhabituel pour des chiens aussi jeunes … enfin … pour des chiens qui couvrent une chienne pour la première fois …

- Et ben, c'est bien. C'est qu'ils sont doués …

- Oui, mais "ils sont doués", ça va pas comme explication. Quand je les ai achetés, je me suis engagé à réserver leurs cinq premières saillies à cet élevage, où je les ai achetés. C'était dans le contrat. Sinon, je les aurais payés bien plus cher. Alors, là, normalement, c'était leur première fois, et en principe, la première fois, ça prend du temps, ils ne savent pas comment s'y prendre, ils tournent autour de la femelle, ils ne la prennent pas comme il faut … des fois, ça peut mettre quatre, cinq jours …

 

Ah OK, je commence à voir … Jean-Claude poursuit:

- Alors que là, l'un comme l'autre, ils y sont allés direct, ils ont couvert les femelles du premier coup, et ils les ont fécondées aussi du premier coup …

- Bon, c'est du temps de gagné … Et alors ? En quoi je suis concerné ?

- Ben justement … l'éleveur a tout de suite flairé quelque chose de pas normal. Il a l'habitude, c'est son métier, ça fait vingt ans qu'il élève des Dogues allemands … et des chiens d'autres races, aussi … que des molosses … et il avait jamais vu ça. Dix jours avant, il avait eu chez lui deux frères de la même portée que Iago et Into, et ceux-là ont tâtonné, hésité … et l'un des deux a mis trois jours pour y arriver, et l'autre cinq jours … et c'est ça qui est normal, il paraît, pour des premières fois … pas qu'ils couvrent les chiennes du premier coup …

- Alors ? Il est peut-être étonné, mais il devrait être content, ton éleveur. Il devrait te remercier … enfin … ME remercier …

 

J'ai compris en quoi ça me concerne: c'est moi qui les ai déniaisés, et grâce à moi, ils ont trouvé tout de suite le mode d'emploi des femelles …

 

Jean-Claude:

- Ouais, ben c'est pas le cas. Au contraire, il me fait des histoires. Il pense que j'ai fait faire des saillies à mes chiens chez quelqu'un d'autre … pour de l'argent … alors qu'il devait avoir l'exclusivité …

 

Au fond, c'est marrant. Je ne peux réprimer un sourire:

- Ben c'est un peu ça … tu leur as bien fait faire des saillies … sauf que c'était pas sur des chiennes … et que c'était pas pour de l'argent … j'ai pas payé …

 

Ça ne le fait pas rire:

- Te marres pas, il parle de rupture de contrat … en plus, il est expert pour les tribunaux, et il me laisse entendre qu'il pourrait me faire vraiment chier, demander des dommages et intérêts … d'autant que, paraît-il, il y avait des témoins que mes chiens ont sailli les femelles sans hésiter … les maîtres des femelles et des gens qui ont réservé des chiots des futures portées et qui voulaient voir les mâles … c'est des chiens avec pedigree, tu sais … alors c'est tout un cérémonial …

- Bon … et alors ?

- Ben … il m'a fait tellement d'histoires que j'ai fini par lui dire ce qui s'est passé …

- Comment ça ? ! ? !

- Oui, je lui ai dit que c'était pas des chiennes qu'ils avaient couvert …

- Quoi ? Tu lui as dit qu'ils m'ont sailli ! ? ! ? ! ?

- Ecoute … j'étais emmerdé … il était vraiment en rogne … il m'a vraiment menacé … il m'a cité des articles de loi …  il m'a parlé d'un expert en comportement animal qu'il a contacté … tout ça, quoi. Il m'a paniqué et je savais plus comment m'en sortir … alors j'ai balancé ça sans réfléchir …

- Bon … et alors, il te fout la paix, maintenant ?

- Ben non … pas vraiment … c'est même encore pire …

- Comment ça ?

- Ben maintenant, en plus, il me menace de balancer que je me sers de mes chiens pour … pour ça … pour qu'ils niquent quelqu'un … il a parlé de … zoophilie … C'est ça ? C'est de la zoophilie, ce que tu as fait avec eux ?

- Oui, c'est ça. Et il te menace de balancer ça auprès de qui ?

- Je sais pas … des gens … il connaît plein de monde dans la région … des collègues à moi ... agriculteurs … il a cité des noms de collègues que je fréquente pour le boulot, au syndicat … il a parlé de journaux, aussi … 

- Alors, qu'est-ce qu'il veut, exactement ?

- Ben, il dit qu'il me croit pas … il veut une preuve … ou alors, il porte plainte contre moi et il me balance …

- Mouais, si il porte plainte en t'accusant d'avoir fait saillir d'autres chiennes que les siennes, il peut pas, en même temps, balancer que tes chiens ont baisé quelqu'un … faut être logique.

- Je … je sais pas. Tout ce que je sais, c'est que j'ai pas envie de me payer un procès et que j'ai pas envie d'avoir un scandale de … de zoophilie sur le dos …

- Bon. Il veut une preuve ? Quelle preuve ?

- Il veut rencontrer la personne qui a … qui a couché avec mes chiens, quoi …

- Pour quoi faire ?

- Pour que cette personne lui confirme ce qui s'est passé … en plus je lui ai pas dit que c'était … un homme … ni une femme, d'ailleurs … j'ai seulement dit "une personne" … j'ai dit "mes chiens, c'est une personne qu'ils ont saillie" … il m'a demandé si c'était moi … je lui ai dit que non, évidemment.

- Ben oui ... EVIDEMMENT. Et si je te comprends bien, tu voudrais que je rencontre ce mec, et que je lui dise "Oui, c'est moi qui me suis fais saillir par les chiens de Jean-Claude, c'était le pied, et j'ai joui comme une folle …"

 

Il me regarde, penaud. J'en rajoute une couche:

- Mais, t'es au courant que la zoophilie est interdite, en France ? Si il me balance, ou plutôt si il NOUS balance, ça peut se finir en taule … 

- Je pense pas qu'il nous balancera …

- « Je pense pas qu'il nous balancera …» Me voilà rassuré.

- Non … mais attends, je crois pas que ça ira jusque là … Il doit vouloir un dédommagement, ou je sais pas quoi … c'est un tordu, ce mec. Et puis quand même, il aura pas VRAIMENT de preuve que … que tu … il n'aura que notre confirmation verbale … ça ne suffit pas devant un tribunal, je pense … si il porte plainte pour ça, la zoophilie, on niera … comment il va prouver ? Il peut pas … Mes chiens ont niqué ses chiennes du premier coup ? Et alors ? Peut-être ils sont doués … peut-être ils ont niqué une chienne ici, sans que je le sache … une chienne, elle peut rentrer chez moi comme elle veut, si mes chiens ne peuvent pas sortir … Non ? Tu crois pas ? 

- Ben pourquoi tu t'es pas contenté pas de cette explication dès le départ ? C'est plausible. Pourquoi t'as eu besoin de lui dire que c'est un mec qu'ils ont sauté, tes chiens ?

- J'ai pas dit que c'était un mec … j'ai dit "quelqu'un … une personne" … et je sais pas comment c'est venu … il m'a manœuvré, il m'a mis la pression, il m'a pas laissé le temps de réfléchir, et sur le coup ça m'a paru moins grave de lui dire ça … je me suis dit qu'il s'en foutrait que mes chiens aient niqué quelqu'un plutôt que des chiennes, et que comme ça, il pourrait pas dire qu'il y avait rupture de contrat pour les saillies que je lui dois … je sais, c'est con … Bon, de toute façon, maintenant, c'est fait et faut s'en sortir … Tu lui dis "oui, c'est moi qui ai fait ça ", et voilà, le problème est réglé … 

 

Au fond, il a un peu raison. Reste que je me vois mal avouer froidement à un inconnu qu'en effet, je suis le genre de mec à me faire grimper par des chiens … Il insiste:

- Alors, t'en dis quoi ?

- J'en dis que … tu as sûrement raison: si c'est seulement verbal, ce qu'on peut lui dire à lui, ça n'est pas une preuve … c'est seulement une explication … 

- Voilà …

- Oui, mais … c'est plutôt gênant, d'avouer ce genre de chose …

- Oui, je comprends … mais ce mec, il te connait pas et tu le reverras jamais … alors, qu'est-ce que ça peut foutre ?

 

Facile pour toi, mec … Jean-Claude voit que je cogite et il me laisse mûrir tout ça quelques instants. Mais là aussi, au fond, il a raison, c'est vrai que je m'en fous d'avouer ça à un type que je ne connais pas. Quand on s'est fait passer dessus par trente mecs d'un coup, se faire saillir par deux molosses, c'est de la bricole … Et puis, d'un autre côté, ça ferait de Jean-Claude mon obligé: si je le tire de ce mauvais pas, il ne pourra pas me refuser une contrepartie … sa bite à lui ou celles de ses chiens … Bon, je me décide: je veux bien confirmer à l'éleveur ce qui s'est passé, à condition que ça soit seulement verbal et qu'il ne connaisse pas mon identité … Jean-Claude répète:

- Alors, t'en dis quoi ?

- Bon, admettons, je lui confirme … Comment on fait ? On va chez lui ? Tu le feras venir ?

 

Il se racle la gorge:

- Ben … il vient ce matin. C'est pour ça que je voulais que tu viennes tôt…

- Tu aurais pu me demander mon avis avant, non ?

- C'est ce que je fais: je te demande ton avis. Si t'avais pas été d'accord, tu l'aurais pas rencontré … je me serais démerdé autrement. Tu lui confirmes verbalement ce qui s'est passé, et puis voilà … je pense que ça suffira …

- Alors, deux conditions: il ne doit pas connaître mon identité … et déjà, il va falloir planquer ma voiture, je ne veux pas qu'il me retrouve par mon immatriculation … deuxièmement, tu vérifies qu'il n'a pas de micro ou de caméra, ou je ne sais quoi dans ce genre …

- Comment je fais ?

- Tu te débrouilles, tu le fouilles … Ou non, moi, je le fouille …

- Non non non !! J'aime mieux pas que ça soit toi qui le fouille … Je le ferai.

- Bon, comme tu veux … il arrive à quelle heure, ton éleveur ?

- Je lui ai dit neuf heures trente, dix heures …

- Où je peux planquer ma voiture ?

- Dans le deuxième hangar, celui du fourrage. J'en ai vendu et il y a de la place à côté des rouleaux qui restent …

- J'y vais.

 

Je sors, les chiens sur les talons, et je range ma voiture où il m'a dit. Quand je reviens dans le salon, il a l'air moins soucieux:

- Je voulais te dire … euuuuh, je te remercie …

 

Je profite de la situation:

- Ça méritera une compensation … tu crois pas ?

 

Il me voit venir, je pense. Il sourit, gêné:

- Quel genre de compensation ?

- Devine.

 

Je m'approche de lui et je tends la main vers son entrejambe:

- Qu'est-ce qui pourrait me faire plaisir, d'après toi ? 

 

A sa tête, je vois qu'il a compris. Je lui touche le pantalon, au niveau du sexe:

- Je peux, là ? Un acompte …

 

Ce n'est pas vraiment une question. Il ne répond ni oui, ni non. Je plaque franchement ma main sur son pantalon et je tombe à genoux à ses pieds. Les chiens dressent la tête et les oreilles, et tous deux se précipitent vers moi et entreprennent de me grimper. Leur maître les arrête:

- Into ! Iago !  Couchés !

 

Les deux molosses s'écartent et se couchent. En tout cas, Jean Claude se laisse faire. Je frictionne un peu sa queue, puis je pose ma bouche sur la bosse que font sa bite et ses couilles sous la toile. 

- J'ai envie de te sucer …

- Il va arriver, le mec …

 

Il finit à peine de dire ça … les deux chiens se mettent à aboyer – putain, quelles voix ! – et un bruit de moteur résonne dans la cour. Le type est déjà là. Vachement en avance ! Les chiens se lèvent. Je continue de parcourir la verge de Jean-Claude du bout des lèvres à travers la toile de son pantalon.

- Arrête, c'est lui !

- Hhhhmmmm … allez … vite fait …

- Mais, arrête, j'te dis …

 

Il me repousse. Je me relève pendant que Jean-Claude jette un coup d'œil à travers le rideau de la fenêtre.

- Ouais, c'est lui.

 

Il sort, ses deux chiens sur les talons. Je l'entends discuter avec quelqu'un. J'ai le cœur qui bat, la bouche sèche. C'est plus long qu'un simple accueil poli. Je regarde à mon tour par la fenêtre. A côté d'une grosse fourgonnette, un type qui doit avoir la cinquantaine, petit, enveloppé, grisonnant, habillé genre gentleman farmer. Les chiens lui font la fête. Ils le reconnaissent: ils sont nés chez lui, et dernièrement, ils sont même allés y tirer un coup. Ça discute fermement, avec force gestes véhéments. Je ne comprends pas ce qu'il dit, mais à son ton, je devine que Jean-Claude argumente. L'autre finit par secouer la tête, d'un air résigné et mécontent et il lève les bras à l'horizontale. Jean-Claude le palpe sous sa veste, puis au niveau des poches de son pantalon… avant de soupeser les poches de la veste … une fouille en règle. Je ne pensais pas que Jean-Claude le ferait. Le type sort un objet plat d'une poche … on dirait un smartphone … qu'il montre à Jean-Claude.  Jean-Claude fait un signe au type qui rouvre la portière de son fourgon, et qui dépose son téléphone sur le tableau de bord. Puis je vois Jean-Claude emmener ses deux dogues vers l'écurie en face, et les y enfermer. Enfin, Jean-Claude rentre, l'autre sur les talons. Je n'ai plus le cœur qui bat trop vite, mais j'ai les jambes en coton. Le type me découvre, surpris, l'œil froncé. Jean-Claude me présente:

- Voilà, c'est Monsieur qui a … enfin, vous savez quoi …

 

L'autre me dévisage, m'observe de la tête aux pieds, incrédule … et, bien sûr, il ne me tend pas la main:

- Mais … c'est … c'est un … c'est UN HOMME !

 

Jean-Claude, penaud:

- Ben oui … comme vous voyez …

- Mais … vous m'avez dit … vous m'avez parlé d'une femme …

- Non, je vous ai dit "une personne"  … je vous ai pas dit que c'était une femme … j'ai dit "une personne" … je suis sûr …

 

L'autre n'en revient pas. Il avait dû se faire un numéro en imaginant une femme avec les deux chiens de Jean-Claude, et voilà qu'il tombe sur un mec. Il n'en finit pas de me détailler, comme s'il devait mettre à jour son scénario:

- Alors, c'est vous qui … c'est vous le … c'est vous le … le PERVERS …

 

Il a craché ça avec mépris. Bon, pas la peine de l'exciter en répliquant vertement.

- Oui, c'est moi. Qu'est-ce que vous voulez savoir ?

- Déjà, je veux vous dire que c'est encore pire que ce que … Monsieur Jean-Claude m'avait dit. Un HOMME ! Un HOMME qui se fait … saillir par des chiens ! J'ai du mal à croire ça … déjà, une femme … 

- Ça vous paraîtrait plus naturel, si c'était une femme ?

- Non … mais … une femme et un chien … c'est femelle et mâle, tout de même … et j'ai déjà entendu dire que ça existait …

- Bon, ben ça aussi, ça existe … un homme et un chien … la preuve. 

- Mouais … mais avec un homme, je doute que ça marche … c'est … c'est pas possible !

- Pourquoi donc ?

- Ben … question de … de taille … Une femme, c'est … physiquement, c'est prévu pour, en tout cas … une femme, son … son … 

 

De la main, il désigne son bas-ventre:

- Comment ça s'appelle ? Quand elle accouche … 

- Son utérus ? Son vagin ?

- Voilà ! Son utérus, ou son vagin … ça peut laisser passer la tête d'un enfant, quand elle accouche. Alors la … la … la bite d'un chien, quand elle est gonflée, même si c'est énorme, d'accord, je veux bien croire qu'une femme puisse se faire … mais un homme, je vous le dis, j'y crois pas ! Vous avez déjà vu la … le … le sexe d'un chien, quand il … quand il couvre une chienne ?

- Ben oui … j'ai même fait mieux que voir …

- Hein ?

 

Il n'a pas compris et, tout à son emportement, il poursuit:

- Moi, j'ai déjà vu … quand mes chiens font une saillie … j'ai vu ce qu'ils sortent de la femelle quand ils ont fini ! 

 

Avec ses deux mains, il forme un cercle pour nous montrer la taille de l'objet, et il enchaîne:

- Et encore, à ce moment-là, quand ils sortent de la chienne, ça a déjà commencé à dégonfler … Alors, comment voulez-vous … ça peut pas rentrer … dans …

 

Jean-Claude toussote:

- Hemmmm ! Moi non plus, je croyais pas que c'était possible, avant … mais, j'ai vu, et si, c'est possible …

 

L'autre esquisse de nouveau la forme d'un bulbe érectile avec ses mains et éructe:

- De cette taille là ? ! ? ! Vous voulez me faire croire qu'un … qu'un truc pareil pourrait rentrer dans … dans un …

 

J'interviens:

- … rentrer dans un cul ? Ben oui, c'est possible. Dans le mien, du moins, ça peut rentrer, que vous le croyiez ou non. Question d'entraînement.

- Question d'entraînement ? Pourquoi, vous vous faites souvent … saillir … par des chiens ?

- Non. C'était la première fois. Je vous parle d'entraînement avec des jouets spéciaux … des sextoys … des gros sextoys … des TRÈS GROS sextoys !

 

Ça le scotche. Bouche ouverte, il roule des yeux tout ronds. J'enfonce le clou:

- Vous savez ce que c'est, des sextoys ? Des godemichés, quoi …

- Ben oui, je sais ce que c'est…

- Ben, il y en a des vraiment gros … très gros … c'est ça que j'utilise ..

- Ah bon ! Je vois, alors.

 

Bizarrement, ça semble le convaincre. Je lui demande:

- Bon. Et alors, vous voulez savoir quoi d'autre ?

- Alors, si c'est ça, vous me confirmez que vous vous êtes vraiment fait … saillir par les chiens de … Monsieur ?

- Oui, je vous le confirme.

- Par les deux ?

- Oui. Successivement, par les deux chiens … à quelques minutes d'intervalle …

 

Pour confirmer, Jean-Claude hoche la tête avec beaucoup de conviction. L'autre nous regarde à tour de rôle:

- Je n'en reviens pas … ça fait vingt cinq ans que j'élève des chiens, je n'ai jamais entendu une chose pareille … Vous savez que c'est répréhensible, de faire ça ?

 

C'est à moi qu'il s'adresse. Alors:

- Oui, oui, je sais, la loi prévoit ça … même s'il n'y a pas maltraitance … alors que la loi laisse faire des choses bien pires aux animaux dans certains élevages …

- Je n'ai jamais maltraité mes chiens, Monsieur !

- Je ne parle pas de vous ! Vous, je n'en sais rien, je parle d'élevages de porcs ou de volailles où il se passe des choses bien pires que ça … bien pires que des rapports sexuels entre un homme et des chiens. Et puis, je vous assure que Iago et Into, on ne les a pas forcés …

- C'est vous qui le dites … et de toute façon, vous pouvez affirmer tout ce que vous voulez pour … pour blanchir et pour protéger votre … ami Jean-Claude … ça ne prouve rien …

 

Ce type commence à me fatiguer, avec sa morale et ses arguties. Alors je tends un index menaçant vers lui:

- Ecoutez … laissez-moi vous dire comment je vois les choses …

 

Jean-Claude me regarde, un peu inquiet de ce que je vais dire. Mais, depuis que l'autre est entré, il n'a pratiquement pas pipé mot et il m'a laissé me démerder. Alors:

- Vous soupçonnez  Jean-Claude d'avoir fait saillir ses chiens ailleurs que chez vous, ce qui, selon vous, vous porterait préjudice. Bon, outre que la réalité d'un éventuel préjudice reste à prouver, à part votre prétendue expérience et votre prétendue expertise, vous n'avez aucune preuve matérielle … ce qui fait que le résultat d'un éventuel procès contre Jean-Claude pour n'avoir pas respecté votre exclusivité est plus qu'aléatoire … De plus, la cour de cette ferme n'étant pas hermétiquement close, Into et Iago auraient très bien pu saillir des chiennes errantes … Par ailleurs, si j'ai bien compris, vous menacez Jean- Claude, en plus, de le dénoncer pour zoophilie. Pour expliquer le comportement de ses chiens, Jean-Claude a eu le tort de vous révéler un événement, peut-être moralement et juridiquement condamnable, mais pour lequel vous n'avez pas, non plus, la moindre preuve … à l'exception de son aveu et du mien que, bien évidemment, nous ne réitérerions pas devant un juge … Quant à faire circuler une rumeur de cette nature, sans aucune preuve, ça s'appelle de la diffamation. Et ça aussi, c'est répréhensible. Donc, vous avez l'explication, disons de … l'expertise de Iago et Into avec vos chiennes, mais vous ne pouvez rien en faire non plus … Alors, en ce qui me concerne, je ne vois pas bien ce que vous voulez de plus…

 

Il est interloqué par ma démonstration, mais il ne se démonte pas:

- Mais … la PREUVE, Monsieur, la PREUVE !

- Comment ça, la PREUVE …

- Oui, vous me dites que vous avez fait ça, mais vous ne m'en donnez pas la PREUVE … je n'ai que votre … affirmation … Et permettez-moi de vous dire que c'est assez … incroyable, comme histoire … Moi, c'est une PREUVE, que je veux … A défaut d'une preuve, je n'hésiterais pas à faire quand même un procès, avec beaucoup de bruit autour, parce que, même si je ne le gagne pas, il aura coûté beaucoup de temps et d'argent à monsieur Jean-Claude, et ça pourra servir d'avertissement à d'autres clients …

 

Avec Jean-Claude, on se regarde. Il devine la même chose que moi ?

- Mais quelle preuve vous voudriez qu'on vous donne ? Jean-Caude ne m'a pas filmé …

- Ah non ? C'est dommage pour vous, parce que, à défaut d'une preuve, je reste sceptique sur la réalité … et même sur la possibilité de ce … de cet … de ce prétendu accouplement entre un chien et vous … et la seule hypothèse plausible de … l'expertise de Iago et Into, comme vous dites, ça reste qu'ils aient sailli une chienne …

- Ah, d'accord ! Je commence à voir où vous voulez en venir …

- Ah oui ?

- Oui ! Vous voudriez voir ça de vos propres yeux …

 

Il écarte les mains, hausse les épaules et fait une mimique qui veut dire "c'est exactement ça: soit tu le refais devant moi, soit je ne te crois pas. A toi de voir".

 

Jean-Claude, lui aussi, a compris. Dans son regard inquiet, je lis "fais-le, s'il te plaît, fais-le, que je sois tranquille". L'autre nous observe, un petit sourire aux lèvres. Ce type est vraiment un tordu. Je me demande ce qu'il espère vraiment: me voir me faire saillir par un chien, ou avoir la confirmation qu'on lui a menti … et dans ce dernier cas, il en ferait quoi ? Rien. Il ne pourrait rien en faire, et il le sait ! Alors, ça ne peut être que ça: il veut voir de ses yeux… Et si ça se trouve, depuis que Jean-Claude lui a expliqué ce qui s'est passé, il se fout de cette histoire d'exclusivité pour les saillies non respectée … si ça se trouve, ce n'est que l'envie d'assister au spectacle de quelqu'un se faisant couvrir par un chien qui le motive …

- C'est ça ? Vous voulez voir ça de vos propres yeux ? Vous voulez que je me fasse saillir par un chien, là, maintenant, devant vous ?

 

Haussant de nouveau les épaules, il se contente d'un:

- Hé !

 

C'est exactement ça ! De cette simple exclamation, de cette simple mimique, il me confirme qu'il veut que je me fasse sauter par un chien devant lui ! Putain, c'est dingue ! On est dans une espèce de partie de billard à trois bandes, Jean-Claude, ce mec et moi … ou plutôt dans une partie d'échecs … ou de poker. Je ne sais plus trop quoi penser. Est-ce que ce type fait de l'intox ? Si ça se trouve, dès le départ, dès que Jean-Claude lui a parlé de zoophilie, il n'avait qu'une idée en tête: voir ça de ses propres yeux … Mais si ça se trouve, il doute vraiment que ce soit arrivé, et il croit qu'on bluffe … et là, en nous mettant en corner, il essaie de nous obliger à montrer notre jeu: soit on reconnaît que je ne me suis pas fait niquer par les chiens de Jean-Claude, soit je lui prouve que c'est possible en recommençant … Ce qu'il ne sait pas, c'est que, loin de me gêner, je ne demande que ça, de me faire encore saillir devant lui ! Ce type est une ordure, c'est un tordu, un maître chanteur … mais sans le vouloir, il vient de m'offrir une occasion de me faire encore baiser par un des molosses de Jean-Claude … ou,  pourquoi pas, par les deux ! En fait, quand Jean-Claude a commencé à me raconter cette histoire avec son éleveur, j'ai pensé à ça tout de suite … j'ai revécu cette séance en pensée et ça m'a redonné envie. Et pendant que je discutais avec ce type, l'idée de me faire de nouveau passer dessus par les chiens devant lui se faisait de plus en plus nette. Alors, dès que j'ai compris que ce type demanderait à assister à ça, ma décision a été prise: oui, je vais encore me faire saillir par un des Danois de Jean-Claude ! Et avec d'autant plus de plaisir que ça va se passer sous les yeux de ce type. Je lui souris, à ce con:

- Alors, écoutez moi bien … comme je vous l'ai expliqué, en fait, vous n'avez rien, ni contre Jean-Claude, ni contre moi . Et comme on ne vous en donnera pas plus, vous ne pourrez rien faire contre Jean-Claude ou moi. Donc, vous voyez, rien ne m'oblige à vous donner satisfaction … 

 

Je laisse ma sortie faire son petit effet. Ce mec en reste coi. Il blêmit. Il croyait nous tenir, et brusquement, il sent qu'il est dans une impasse … son visage se décompose et il jette des coups d'œil à Jean-Claude, comme s'il attendait de lui qu'il essaie de me convaincre. Jean-Claude me regarde, surpris, inquiet. Je les laisse mijoter quelques secondes, puis je reprends: 

- ... rien ne m'oblige à vous donner satisfaction … mais je vais le faire quand même … 

 

Vu sa tête, le type n'a pas compris ce que je viens de lâcher. Il regarde Jean-Claude comme s'il attendait une traduction. Jean-Claude a l'air à la fois sidéré et soulagé. Je poursuis:

- Hein m'sieur… vous avez entendu ce que j'ai dit ? 

- Je … non, j'ai pas compris …

- Je vous ai dit que je vais le faire … je vais me faire de nouveau baiser par un des chiens de Jean-Claude … MAINTENANT … DEVANT VOUS !

 

Les yeux écarquillés, la mâchoire tombante, il regarde alternativement Jean-Claude et moi. Je le laisse réaliser, et je poursuis:

- Et vous savez pourquoi, je vais le faire ?

- N… non …

- D'abord parce que je sens que ça soulagerait Jean-Claude … il a tort, mais il surestime encore votre capacité de nuisance …

 

Jean-Claude fait une espèce de moue en secouant la tête, comme pour dire que non, qu'il n'est plus tellement inquiet. Avant qu'il ait le temps d'intervenir, je le coupe:

- … mais surtout, je vais le faire … parce que j'aime ça …

- Pardon ?

- Je vais le faire parce que j'aime me faire bsiser par des cheins ! Je vais recommencer parce que l'autre jour, quand Iago et Into m'ont baisé, j'ai adoré ça ! D'une manière générale, j'adore me faire baiser par des hommes, mais par des chiens montés comme ces deux-là, c'est vraiment autre chose ! Un SUMMUM !

 

L'autre est interloqué et ne sait pas quoi dire. J'enfonce le clou:

- Vous êtes conscient que vous ne pourrez rien faire non plus de ce que vous allez voir ?

- Ben … je … oui …

- Le seul avantage que vous en tirerez, c'est que, comme ça, vous verrez que c'est possible, et que Jean-Claude vous a dit la vérité ..

- …

 

Il ne répond pas, mais, à sa tronche, je sens que le voilà rasséréné. Il a même l'air satisfait … il va assister à ce pour quoi il a fait tout ce numéro … C'est même curieux, j'ai une drôle d'impression. Comme si ce n'était pas le fait que j'accepte qui l'étonne, mais le fait que j'accepte si facilement. Jean-Claude, lui, est soulagé:

- Tu … t'es sûr, hein …

- Oui … si t'es d'accord, bien sûr… c'est tes chiens …

 

L'autre s'empresse d'intervenir:

- Euh … attendez … vous faites ça avec un des chiens de Monsieur Jean-Claude, si vous voulez, mais  … j'en ai amené …

- Vous avez amené un chien ! ? ! ?

- Et pourquoi pas …

 

Encore plus tordu que je pensais, ce type ! On se regarde avec Jean-Claude. Moment de flottement. Je demande à l'autre:

- C'est quoi, votre chien ?

- Un Cane corso. Vous connaissez ?

- Non. C'est gros ?

- Ah oui, c'est gros ! 

 

Il a dit ça sur un ton de jubilation et de fierté. Jean-Claude hoche la tête avec conviction: lui aussi trouve que c'est gros, un Cane corso. Je demande:

- C'est plus gros que les Dogues de Jean-Claude ?

- Ah non. Si vous voulez, c'est moins … HAUT que le Dogue allemand, mais c'est plus râblé … C'est autre chose, vous verrez … Moi, je trouve ça plus impressionnant … et point de vue … 

 

D'un geste maladroit, il montre son propre entrejambe:

- … si vous aimez les gros hem hem… ça devrait vous plaire …

 

OK, compris ! Il veut dire "point de vue grosse bite" ! Une étincelle très vicelarde dans son œil. C'est ça, ironise, connard … Bien sûr, que j'aime les grosses bites, et j'espère bien que ça va me plaire, c'est surtout pour ça que je vais le faire. L'air excité, le type poursuit:

- Vous connaissez pas le Cane Corso ? Il a vraiment une grosse …

 

Les yeux écarquillés, un sourire lubrique sur les lèvres, il redessine d'un geste des deux mains, une forme plutôt conséquente. C'est quoi, le diamètre du knot de ce molosse, ou la longueur de sa verge ? Je lui demande:

- Il a une très grosse bite ?

- Oh oui ! Vous connaissez vraiment pas ?

- Non, je ne connais pas. Bon, vous permettez ? Je voudrais dire deux mots à Jean-Claude.

- Ben ... oui, faites …

 

J'entraîne Jean-Claude à l'entrée de la cuisine, et gardant un œil sur l'éleveur, je lui murmure:

- Tu connais ça, un Cane corso ?

- Ouais, j'en ai vu chez lui … c'est du GROS chien. De toute façon, il n'élève que des grosses races … que des molosses …

- Bon, je vais le faire … mais deux choses: il faut que son chien soit muselé, et lui, il ne faut pas le quitter d'une semelle. Je ne veux pas qu'il puisse prendre je ne sais quoi dans sa voiture, comme son smartphone ou autre chose. 

- T'es sûr, hein … je sais pas comment c'est, un Cane corso … point de vue … point de vue de la taille de sa bite  …

- On verra bien. Va avec lui chercher le chien … de toute façon, si c'est lui qui … fournit le chien, qu'est-ce que tu veux qu'il fasse, après … il devient complice … 

- Ouais, t'as raison … 

- En parlant de smartphone, t'en as pas un, ou un camescope, pour les filmer, lui et son chien, pendant que … ? Comme ça, on le tient, si il nous cherche encore des poux …

- Ben, oui, j'ai mon téléphone … il fait photo et vidéo …

- Très bien.

- Euh … dis … je voulais te dire …

- Oui ?

- Tu sais … même si y'avait pas eu cette histoire, avec ce type … et ben … 

 

Il déglutit, gêné, et il poursuit:

- … et ben, je t'aurais quand même appelé …

- Ah oui ?

- Oui. Pour te … tu vois ? 

- Non. Précise …

 

En fait, je me doute, mais je voudrais qu'il le dise. Il se dandine d'un pied sur l'autre:

- … pour recommencer … comme l'autre jour … toi et moi …

- Pour me baiser, tu veux dire ?

- Oui. J'arrête pas d'y penser.

- Hhhmmmm, très bien, Jean-Claude. On en reparlera. 

 

Yesss ! Ça y est ! Il a de nouveau envie de me baiser ! Bon, pour le moment, je dois penser à ce qui va se passer maintenant. L'idée du smartphone me plaît, non seulement parce qu'elle nous protège de velléités néfastes de ce type, mais aussi parce que, comme ça, je vais être filmé en pleine action … Je m'apprête à retourner vers l'éleveur, mais Jean-Claude me retient par le bras:

- Attends … je préfère que ça se passe en face, dans l'écurie … ça te dérange pas ?

- Ben … non, comme tu veux …

 

Il a l'air embarrassé. Il hésite une seconde, puis il reprend:

- Je … tu sais … ce mec, il m'avait fait comprendre qu'il voudrait voir ça de lui-même … et je me disais qu'il pourrait nous obliger … enfin, t'obliger, toi, à le faire ... et qu'il faudrait que … que tu recommences devant lui … 

- Ah bon !

- Oui. Alors j'ai … j'ai chauffé l'écurie … j'aime mieux que ça se passe pas dans la maison.

 

Il a vraiment tout prévu et organisé, le Jean-Claude !

- T'as chauffé l'écurie ?

- Ouais. J'ai un appareil pour chauffer les serres, tu sais … Je l'ai mis en marche depuis 8 heures, ce matin. Il doit y faire bon, maintenant.

- Bon. Comme tu veux. 

 

Ah, Jean-Claude ! Tu savais comment ça allait se terminer. Je reviens vers l'éleveur:

- Bon, je vais le faire avec votre chien … il est comment ?

- Le Cane corso, vous ne connaissez pas ? C'est un GROS chien. Et surtout, il a un GROS …

 

De nouveau, il me montre avec ses mains. Je lui coupe la parole:

- Attendez ! Ça, j'ai compris, vous me l'avez déjà dit: il a un gros sexe. Ce que je vous demande c'est si il est gentil, ou agressif. Vous avez une muselière ?

- En principe, pas besoin … il est très doux et il m'obéit … mais si ça vous rassure …

- Oui, ça me rassure … On fera ça dans l'écurie …

 

Je le sens surexcité, impatient. Moi, mon énervement est retombé. Je me sens calme, presque serein, même si je me sens aussi baigné d'adrénaline … je vais encore me faire sauter par un molosse ! Un Cane corso ! Je ne sais même pas à quoi ça ressemble, un Cane corso, et j'ai pourtant accepté de me faire saillir par un chien dont les deux, là, m'ont dit que c'est très gros ! Au fond de moi, ça me plaît d'être comme ça, d'accepter de me faire sauter par n'importe qui ou n'importe quoi ! Ça me procure une drôle de sensation … un peu comme quand j'ai compris que Denis m'avait amené dans le troquet de son pote Jeannot pour m'offrir à des inconnus … une espèce de gratitude à leur égard, mêlée de fierté !

Et là, ce type … cette ordure … c'est à son chien qu'il va m'offrir ! A SON CHIEN, putain ! Parce que c'est ça, qu'il veut faire, plus que d'avoir la preuve qu'il prétend vouloir, il veut m'offrir à son chien ! Comme il lui offrirait une femelle Cane Corso ! Et bien ça me plaît ! Ça me plaît de servir de substitut de femelle Cane Corso ! Que des mecs m'offrent à d'autres mecs … ou à leur chien, j'en ressens de la fierté ! Je n'en reviens pas … en plus, je me sens presque … redevable … reconnaissant, vis-à-vis de cette ordure d'éleveur ! Et tout comme j'avais accepté sans poser de question de me faire sauter par de parfaits inconnus, j'ai d'ores et déjà accepté de me faire couvrir par le molosse de ce type, alors que je ne l'ai même pas encore vu ! 

 

Ce type insiste tellement sur le fait qu'il est gros, plus impressionnant que le Dogue allemand … ce n'est même pas une question de grosseur de sexe … c'est l'idée de sa … bestialité … ça contribue à m'exciter. Nous sortons. Quand il ouvre les portes arrière de son camion, une puissante odeur de fauve nous saute aux narines. Et puis, c'est la surprise, le choc ! Dans ce fourgon, il n'y a pas un chien, mais … un … deux … trois … quatre … cinq ! Cinq chiens ! Sur le coup, dans la pénombre, je ne distingue que des mufles contre les grillages, et des ombres … énormes. Ils sont dans des cages individuelles: trois cages en bas, et deux autres au-dessus. J'ai un mouvement de recul. Cinq masses énormes se sont levées à l'ouverture des portes, et cinq truffes se collent au grillage des cages. Les cages ont beau être grandes, les bêtes peuvent tout juste se tenir debout, tellement elles sont énormes ! Plusieurs se mettent à aboyer de leurs voix rauques, graves, profondes. Jean-Claude est aussi stupéfait que moi, et il recule aussi sous l'effet de la surprise. Une fois les deux portes du camion ouvertes, je les vois mieux. Visiblement, ils ne sont pas tous de la même race. Dans deux des cages du bas, je reconnais des Dogues comme ceux de Jean-Claude, mais blancs tachetés de noir. Dans la troisième cage du bas et dans une du haut, il y a deux autres chiens vraiment énormes, beiges, aussi grands que les Dogues, mais plus massifs, plus lourds, et dans la dernière, encore un autre, tout noir, peut-être un peu moins grand, mais plus râblé, plus costaud … Cinq molosses … tous avec une énorme tête carrée. Chacun des bestiaux est impressionnant, mais l'ensemble est vraiment … saisissant. L'éleveur, une main toujours posée sur une des portières, nous observe … ou plutôt m'observe, moi. Il désigne le chien noir:

- C'est lui, le Cane corso.

 

Une idée s'impose à moi, comme une évidence: ce type m'a proposé son Cane Corso … seulement son Cane Corso, mais vicelard comme il est, il n'a sûrement pas amené les autres simplement pour les promener en camion. Je parie qu'il les a pris pour la même raison: me faire grimper par ses cinq chiens … M'OFFRIR à ses cinq chiens ! Enfin, offrir "une femelle" à ses molosses, puisqu'il pensait avoir affaire à une femme. Mais découvrir que c'est un mec qui a déniaisé les Danois de Jean-Claude ne lui fait pas changer ses plans. Moi, servir de femelle à ses molosses, ça me va ! Instantanément, mon anus et mon ventre réagissent … me faire … me faire prendre par cinq molosses … l'un après l'autre … me faire féconder par cinq bestiaux comme ça ! Ah putain ! On n'en est plus à ce que des mecs m'offrent à d'autres mecs, comme l'ont fait Denis et Jacky … et Philippe, à sa manière … là, c'est un maître … un éleveur … qui voudrait bien me livrer à des mâles de son élevage ! Ce type est un tordu, un connard, mais qu'il ait organisé ce coup, ça me plaît ! Je ne sais pas si je vais me faire sauter par ses cinq clebs aujourd'hui, mais déjà, dans ma tête, j'entrevois les possibilités que sa fréquentation m'offre pour l'avenir … Tant pis si c'est une ordure, il faudra que j'aille faire un tour dans son élevage. Je sens ma queue commencer à gonfler dans mon string.

 

Et cette odeur ! Ça sent le chien, évidemment… mais pas seulement ! Ça sent aussi le mâle … ça sent la bête en rut … ça sent … le sexe ! Et ça, ça me … ça m'affole et ça me bouleverse ! L'éleveur me regarde du coin de l'œil, un petit sourire aux lèvres, satisfait de son effet. Qu'est-ce qui le fait sourire comme ça ? Ma tête en découvrant cinq chiens au lieu d'un ? La fierté d'avoir des bêtes aussi … magnifiques ? Ou l'idée qu'il se fait des réactions d'un zoophile devant cinq molosses ? En moi-même, je dois reconnaître qu'une fois la surprise passée, mon regard a été irrésistiblement attiré vers le ventre de cet énorme chien noir, puisque c'est avec lui que je vais m'accoupler. Il s'est assis, dans sa cage, et il nous regarde alternativement, son maître et moi, en haletant. Il se passe quoi, dans sa tête, à ce moment ? Il le sent, il le devine, qu'il a devant lui une femelle que, dans un instant, il va devoir couvrir et inséminer ? S'il a déjà couvert des chiennes, peut-être qu'il ne voudra pas d'un mec … Sous son ventre qui palpite au rythme de son halètement, j'aperçois son étui pénien, velu, qui tressaute aussi … putain, il a raison, son maître, il a vraiment une grosse bite, ce clebs … et … et oui … je vois aussi l'extrémité de son sexe qui dépasse légèrement, rouge et luisant, de son étui pénien … comme le Danois de Jean-Claude, tout à l'heure. Il est déjà en érection ? Oh, putain, oui, je veux qu'il me fourre ÇA dans le cul ! 

 

Et les autres, ils sont aussi bien équipés ? Presque sans m'en rendre compte, je me retrouve accroupi devant les cages, à m'efforcer d'apercevoir leurs bites par en-dessous !

 

- C'est tous des mâles ?

 

Merde ! Je n'en reviens pas, c'est sorti tout seul ! Moi qui ne voulais pas révéler mon excitation à ce sale type, je pouvais difficilement être plus clair sur mes arrières pensées. Oh, et puis je m'en fous. Mais je n'ose pas le regarder. Il est à côté de moi, la main appuyée sur une des portes de son fourgon, et je sens son regard posé sur moi:

- Hé hé hé ! Oui, c'est que des mâles …

 

Putain ! Il a ricané sur un ton tellement salace, cet enculé ! A son ton doucereux, je le sens triomphant: « Oui, c'est que des mâles et toi, t'as envie de te faire grimper par les cinq ! »

 

- Je vais vous sortir le Cane Corso 

 

Je me relève et je m'écarte. Il ouvre la cage et il saisit le collier du chien noir. Quand la bête saute sur le plancher, ça fait bouger tout le fourgon. Putain, le bestiau !

 

Falco 

- Voilà, c'est celui-là. Ça vous va ?

 

Poussée d'adrénaline ... frisson ... maintenant que la bête est devant moi, deux chocs à la fois antagonistes et complémentaires me frappent ... ce molosse est effrayant mais son apparence elle-même, cette brutalité, cette sauvagerie ... aiguillonnent mon désir ! J'ai comme un frissonnement dans l'anus et tout le périnée.

 

- Alors ? Ça vous va ?

- Je …  je sais pas … enfin, oui, ça me va ... Il pèse combien ?

- Celui-là, cinquante cinq kilos. Il est EXCEPTIONNEL !

 

Le maître cramponne le collier du chien qui tire pour venir me renifler. En fait, il est gris foncé, le poil ras et luisant … en effet légèrement plus petit que les Dogues de Jean-Claude, mais plus massif, les muscles saillants sous le pelage, et il dégage plus que les Dogues une impression de force, presque de brutalité. LA BÊTE ! Mais sous cette apparence presque sauvage, il a un  air bonasse et il remue la queue. Je m'approche, je me penche et je lui prends la tête à deux mains. Sa tête est plus massive que celle des Dogues. Il essaie de me lécher les doigts et tire sur son collier. Il a le poil aussi soyeux que les Danois de Jean-Claude. J'avance mon bassin et je colle mon bas ventre contre son mufle pour qu'il fasse ma connaissance à la manière des chiens.

Je n'ai plus aucun doute: je VEUX que cette bête me saute ! J'espère que je te plais, parce que tu vas devoir me baiser, mon gros père ! Pendant qu'il me fourre son museau entre les cuisses, qu'il me renifle et souffle un air brûlant sur le périnée à travers la toile de mon pantalon, je lui caresse les flancs. Son maître n'en revient pas de me voir si à l'aise, si peu effrayé par ce monstre.  Cette chaleur, cette puissance, cette force bestiale, sous mes mains … je sens mon désir monter, j'ai des frémissements dans le ventre, comme des décharges électriques dans la prostate, et mon rectum frémit. Oh oui, j'ai envie de me faire prendre par ce molosse ! Il est moins élégant, moins racé que les Dogues allemands, mais cette … bestialité ! Putain ! Etre sa femelle ... me donner à lui ... me mettre à quatre pattes devant lui et lui présenter ma vulve ... le sentir me lécher, le sentir me monter dessus et me saisir les hanches entre ses pattes avant ... le sentir donner des coups de reins à la recherche de mon fourreau ... sentir son vit, déjà dur et mouillé, taper dans ma raie et contre mes fesses et s'approcher de plus en plus de ma vulve … jusqu'à ce qu'il me pénètre ! Je me demande si son bulbe érectile est aussi gros que celui des Dogues … j'espère !

 

Le chien me renifle longuement et semble satisfait de son examen: on dirait qu'il a senti que, même si je ne diffuse pas de phéromones, je suis quand même une sorte de femelle en chaleurs, réceptive, fécondable. Il est vrai qu'avant lui, par je ne sais quel mystère et pour mon bonheur, des hommes, dès notre première rencontre, m'ont déjà perçu et traité comme une femelle en plein œstrus, réceptive, disponible … et même plus que ça: demandeuse de coït, de saillie … Quant à moi, après avoir découvert cette part de ma féminité, ou devrais-je dire de "femellité", je découvre avec délectation ma part d'animalité, de bestialité. Quelle volupté de susciter du désir chez ce molosse après l'avoir suscité chez les Dogues de Jean-Claude ! Parce que je n'ai aucun doute: à la manière dont il m'a reniflé, à la façon dont il me regarde, à sa soudaine nervosité, j'en suis sûr, il me veut ! Il essaie de se dresser contre moi pour me faire la fête et me lécher la figure. Hein, mon gros pépère, que tu as envie de me saillir et que tu vas me faire une portée ! Son maître le retient.

- Vous voyez, il est gentil, il vous a adopté … 

 

Lui, par contre, n'a pas encore compris. Il croit que son chien me fait la fête seulement par gentillesse. Il n'a pas encore intégré qu'entre son chien et moi, c'est déjà une affaire de sexe. Moi qui suis maintenant devenu une sorte d'expert en mâles, moi qui sais déchiffrer leurs réactions, deviner leurs pulsions, je le sais, son chien a d'ores et déjà envie de s'accoupler, de copuler avec moi. Oui, il est gentil, mais il a surtout envie de me niquer. Ça tombe bien, parce que, moi aussi, j'ai envie qu'il me nique.

 

- Mais … vous en voulez peut-être un autre …

 

Je le regarde. Ça veut dire quoi "vous en voulez peut-être un autre ?". Un autre à la place de celui-ci, ou un autre … en plus ? Je m'accroupis à côté du chien, je regarde sous son ventre et je lui touche le sexe … grosse bite ! Son bout, rouge et humide, pointe de plus en plus hors de son étui pénien. Le chien me regarde d'un air satisfait. Je le décalotte un peu plus. Puis je le lâche et je lève les yeux sur son maître. Il est à la fois excité et sidéré de me voir me comporter avec aussi peu de retenue, aussi peu de pudeur. Mais la retenue et la pudeur, quand on s'apprête à se faire baiser par un chien …

- Non, c'est bien, celui-ci  … 

 

Et puis, c'est plus fort que moi:

- Mais … c'est quoi les autres, comme races ?

 

Il me dévisage, un petit sourire triomphant sur sa sale gueule:

- Ben … il y a deux Dogues allemands … les mêmes que Jean-Claude…

- J'avais reconnu.

- … et deux Mastiffs. Les Mastiffs, c'est LES PLUS GROS chiens que j'aie …

 

Sur "les plus gros", il a insisté sur un ton qui évoque d'évidence la taille de leur sexe, plutôt que la leur proprement dite. En tout cas, ces deux-là sont apparemment aussi grands que les Dogues, mais plus massifs, plus lourds, poils courts, beige, gueule carrée, fripée. Il précise:

- Je n'élève que ces trois races là, mais … si les molosses, ça vous intéresse, je connais des éleveurs qui en élèvent d'autres races …

 

Y'a rien à faire, cette remarque là est aussi chargée de sous entendus. Il enchaîne:

- Vous connaissez le Pittbull ? C'est aussi un molosse … dangereux, mais il est plus petit que ceux-là … et si vous les préférez très gros, il y a le Berger sud-africain … ça, c'est très gros, aussi … quatre-vingt kilos, c'est assez courant … et je connais un éleveur … y'a le Fila brésilien, aussi … ENORME, le Fila brésilien ! Je connais aussi un éleveur. Et le Dogue argentin ! C'est plus petit, le Dogue argentin, mais si vous aimez les chiens sportifs et musclés, c'est bien aussi le Dogue argentin … Mais moi, j'élève que ça, le Cane Corso, le Mastiff et le Dogue allemand …

 

Je le sens hésiter, puis:

- Les Dogues, c'est aussi deux mâles, évidemment … et je les ai amenés, parce que … vous … vous connaissez déjà … alors je me suis dit …

- Vous vous êtes dit …

- Ben … que vous voudriez peut-être recommencer … plutôt avec ... des Dogues …

 

Voilà. Il avait ça en tête depuis le début … avec les Dogues ou avec les autres. Et il insiste … ça fait deux fois qu'il me dit que c'est que des mâles, sur un ton plein de sous-entendus. Sans en avoir l'air, sans le formuler ouvertement, il me les propose tous. Il m'observe, avec toujours le même petit sourire … Dans un coin  de ma tête, il y a un "ça me plairait bien … mais on verra, si c'est pas les cinq aujourd'hui, ça pourrait être pour plus tard", que je me garde bien de formuler pour le moment. Il insiste:

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 1 juin 2017 4 01 /06 /Juin /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Alors que Francis, mon client – MON CLIENT ! – après m'avoir plaqué face à ce mur, en haut de l'escalier de l'hôtel, après m'avoir retroussé la jupe, est en train de me doigter, d'une main passée derrière moi, je lui tripote sa grosse queue à travers la toile de son pantalon. Si ça se trouve, excité comme il est, il va vouloir me prendre là, en levrette. Ça me plairait beaucoup. D'autant plus que, d'après Lionel, il reste des clients dans l'hôtel qui pourraient bien nous surprendre ici en pleine action. Me faire baiser, tout debout sous leurs yeux … ouaaaahhhh !

 

Mes deux autres clients – clients de baise, pas clients de l'hôtel - qui étaient montés avec nous, se sont éclipsés et sont entrés, pour nous attendre, dans la chambre qui, probablement, sert de baisodrôme. Dommage ! J'aurais préféré qu'ils restent pour nous regarder.

 

Je sens que je commence à perdre les pédales : la perspective de me faire fourrer par l'énorme queue de Francis et son doigtage en règle me rendent dingue. La joue collée sur mon avant-bras plaqué au mur, je me laisse emporter par ce ramonage digital et je commence à haleter. Comment résister à ça ?  Est-ce que les putes professionnelles se laissent aller à prendre du plaisir ?

 

Soudain, là-bas, à une quinzaine de mètres, au milieu du couloir, un type apparaît, une valise à la main. Il vient de sortir d'une chambre. Un client de l'hôtel ! Ah yessss ! Il ne nous remarque pas tout de suite, et ferme consciencieusement sa porte. Je me demande si Francis l'a vu, occupé comme il l'est à m'explorer la caverne avec ses doigts. Je balance: j'ai bien envie qu'on continue sous les yeux de cet inconnu, mais si moi ça m'excite de me faire tripoter en public, ce n'est peut-être pas le cas de Francis. Alors:

- Hé … il y a quelqu'un …

- T'inquiète, j'ai vu.

 

Ah bon, très bien ! Il a vu, mais il ne bouge pas … il continue de me fouiller le trou du cul avec ses doigts. Ça me va ! Me faire doigter comme ça devant un étranger ! Comme par réflexe, j'écarte un peu plus les jambes, et surtout les cuisses pour me faire fourrager le fourreau plus profondément. Le type qui vient d'apparaître est un homme entre deux âges … la soixantaine, peut-être … cheveux blancs, grand, mince, élégant dans un costume impeccable … cadre d'entreprise ou peut-être patron … Il se tourne dans notre direction pour gagner l'escalier où nous sommes … et il nous découvre. Il marque un temps d'arrêt, semble réfléchir … et il se met en marche … Douze mètres … Je l'observe, je veux voir ses réactions quand il va réaliser ce qui se passe. Dix mètres. Tout en avançant, il nous examine … Cinq mètres. Il me dévisage. Je suis conscient que, tel qu'il me voit, haletant, pantelant, bouche entrouverte, yeux mi-clos, je dois être l'image même de la femelle qui s'abandonne à la caresse du mâle.

 

Dans un flash, une image s'impose à mon esprit: ce type va s'arrêter, poser sa valise, taper sur l'épaule de Francis … « Vous permettez, Monsieur ? » … Francis va s'écarter, le type va sortir sa queue et il va me prendre, là, debout contre le mur de ce couloir … il va tirer son coup, puis remballer sa queue, récupérer sa valise et poursuivre son chemin … Mais non, il se contente de me sourire. Je lui rends son sourire. Francis, toujours collé à moi, continue de me ramoner ostensiblement. Tel qu'il est placé, le Francis, un peu en biais, je le sens, lui aussi est en train de regarder ce type avancer vers nous … ce type qui ne peut pas manquer de voir mon bras, passé derrière moi, et mon poignet, coincé entre mon cul et le ventre de Francis dans une position explicite: je suis en train de tripoter la queue de mon amant pendant qu'il me doigte le cul … Deux mètres. Le type a ralenti:

- Bonjour, Messieurs-dames … Ah non … seulement Messieurs … Belle journée, n'est-ce pas …

 

Ah, putain, j'adore ça ! Il a tout compris. Il a vu mes fesses, dévoilées par ma jupe remontée sur mes reins, il a vu la main de Francis, plaquée contre mon cul, ses doigts qui s'agitent, enfouis dans ma raie … et il a réalisé que je suis un mec … Il commence à descendre l'escalier, et malgré la main gauche de Francis, toujours sur ma nuque, je tourne la tête pour le suivre des yeux. Il s'arrête au palier intermédiaire, lève le regard sur nous, me sourit encore, hoche la tête d'un air entendu et reprend sa descente. Hhmmmmm, j'adore ça ! Faire ma salope en public ! Francis lâche ma nuque et sort ses doigts de mon cul. Il ricane:

- Hé hé hé ! Il a pas perdu sa journée, celui-là !

 

Je le prends par la main, et je l'entraîne en hâte vers l'extrémité du couloir:

- Allez, viens me baiser … vite …

 

Il se marre:

- Le Lionel, il va gueuler, si il sait que son client nous a vus !

 

Voilà ! Cette porte ouverte … c'est la 111 ! Mes deux autres clients sont là. Le barbu a quitté ses chaussures et son pantalon et, la bite à l'air, à demi allongé, le dos appuyé à la tête du lit, il se tripote. L'autre est resté habillé et attend, les reins appuyés au rebord d'une fenêtre. Est-ce que les vraies putes font des passes en présence d'autres clients ? Je ne sais pas. Mais ceux-là semblent être des habitués de l'hôtel, et se retrouver tous dans la même chambre a l'air de leur paraître normal … En tout cas, moi, ça me plaît.

 

C'est une grande chambre, avec un lit double – tiens, il y a seulement le drap du dessous, sur ce lit. Ni couette, ni couverture … seulement un drap -, il y a aussi deux fauteuils, une sorte de bureau, un mini bar, un téléviseur et un canapé … deux portes doivent desservir les toilettes et la salle d'eau … deux fenêtres, aussi … une petite, qui doit donner sur le mur du pignon, vu que cette chambre est tout au bout du bâtiment, et, derrière le canapé, une autre fenêtre, ou plutôt une large baie munie d'un store vénitien – à travers les lames du store et la rambarde de la galerie extérieure, j'aperçois la rue par où je suis arrivé tout à l'heure … ça circule pas mal, en voiture et à pied - … à côté de cette baie, une porte vitrée, à moitié masquée par un lourd rideau, et qui donne sur la galerie extérieure. 

 

Le barbu:

- Bon. Qui passe le premier ?

 

 Francis:

- Moi ! Ça commence à urger … Elle m'a bien chauffé, c'te salope ! Moi aussi, je l'ai bien chauffée … pas vrai, ma salope ?

 

Je me tourne vers le grand costaud, je lui fais face, et, tout en lui palpant à deux mains le paquet à travers son pantalon:

- Tu m'as mis le feu. Tu me prends comment ?

- Fous-toi sur le dos au bord du lit …

 

Je m'assois au bord du lit. Le barbu fait mine de se lever. Francis, tout en balançant sa veste sur une chaise:

- Tu peux rester, mec … Ça me gêne pas de le fourrer à côté de toi … t'étais déjà là la dernière fois, ou je me trompe ?

- Oui, j'étais là. C'était la grande blonde …

- Ah ouais, une vraie bonasse, cette bimbo !

 

Il commence à déboutonner sa chemise. Je lui fais signe:

- Viens …

 

Il approche et se plante devant moi, entre mes genoux, tout en déboutonnant les manches de sa chemise. Je passe de nouveau mes deux mains sur son bas ventre. Hhhmmmm, sa grosse bite ! J'avance ma tête et je frotte mes lèvres sur la bosse que fait son gland dans son pantalon. Il envoie sa chemise rejoindre sa veste, et pose ses mains sur ma tête. 

- Tu fais ça souvent ?

- Quoi …

- La pute dans un hôtel …

- Non, c'est la première fois …

- Oui, mais tu dois te faire sauter souvent … t'as l'air d'aimer ça, la queue … 

- Oui …

- Oui … tu te fais souvent sauter, ou oui t'aimes la queue ?

- Les deux …

- Ça se voit … t'as le cul accueillant … et t'es large …

- Je me fais souvent sauter, mais c'est la première fois qu'on paie pour me baiser …

 

Je recule ma tête et j'entreprends de déboutonner son pantalon. Je fais glisser son zip, et, d'un seul mouvement, je descends son pantalon et son slip. Sa bite apparaît et s'affaisse sous son propre poids …

 

Oh puuu … taiiiin, l'engin ! Une merveille ! Une sourde exclamation, sur ma droite, me rappelle l'existence de l'autre client, adossé à la fenêtre. Il n'a pas pu se retenir en voyant surgir cet énorme engin. Je le regarde. Les yeux ronds, il n'en revient pas. Je me tourne vers le barbu, toujours allongé derrière moi. Lui, paraît moins surpris … il a déjà dû voir cette queue quand ils ont baisé tous les deux la "grande blonde" … il n'en semble pas moins fasciné. Comment ne pas être fasciné par un tel gourdin ? Long … épais … je le prends entre le pouce et l'index, et je le soulève ... un gland magnifique, encore aux trois quarts caché dans son prépuce, mais je devine sa forme sous la peau … son méat, un peu béant, est déjà humide et la partie visible de son gland est mouillé d'excitation … il a besoin … ou envie … de se vider les couilles et il a déjà anticipé le moment où il va enfoncer son sexe en moi et y dégorger son trop plein de semence. Je redresse cette superbe queue et je la plaque sur son ventre … son urètre est gonflé et ses veines saillantes … en-dessous, une grosse paire de couilles, bien rondes, pendent dans ses bourses … le tout, couvert de poils blonds-roux, pas très fournis … Ça, c'est un SEXE ! Il évoque instantanément le coït, l'accouplement, la copulation, la fornication … la BAISE ! N'importe quelle femelle, en découvrant un tel organe, ne peut qu'avoir envie de se faire saillir ! Je me demande … je me demande si ce n'est pas la plus grosse bite que j'aie jamais vue ! Dans cette gamme de tailles, il y a eu celle de Gabriel, le black que Thomas m'avait offert … il y a eu  Andrej, le routier slovaque … il y a eu Sam, le tatoué et le gros Thierry pendant mon gangbang … il y a aussi eu ce gamin, que j'ai sucé derrière la ferme de Jean-Claude… comment il s'appelle, celui-là, déjà ? Je sais plus … le commis du traiteur … Ah oui, celui-là, sa bite était peut-être aussi grande … En tout cas, pour le moment, c'est celle-ci que j'ai sous la main … et dans la main … Je lève les yeux sur lui. Les poings sur les hanches, il me regarde, un petit sourire satisfait sur les lèvres. Il devine mon trouble:

- Elle est grosse, hein ?

- Oh oui !

 

Je n'ai pas pu m'empêcher de mettre dans ces deux mots toute l'admiration et l'envie que je ressens. 

 

- Elle te fait peur ?

- Oh non !

 

C'est plus fort que moi, je ne peux pas résister: j'avance ma tête et je pose des baisers tout le long de sa verge. Je ne sais pas si une vraie professionnelle ferait un truc comme ça, mais je m'en fous. Elle est chaude, elle est douce et je la sens vivante, sous mes lèvres. Hhhmmmm, ta bite, Francis, je … je l'aime ! Il rit et son ventre se secoue:

- C'est bien, alors, parce que y'a des femmes à qui elle a fait peur … et des mecs aussi.

- Moi, elle me fait pas peur !

 

Je l'embrasse de plus belle, et je lui donne de petits coups de langue. Ça fait glousser le barbu, derrière moi. Francis a dit « … et des mecs aussi ». Il a donc déjà dû se taper des mecs. J'empoigne sa verge et je le décalotte, précautionneusement. Ah la vache ! Le gland ! Superbe ! Retroussé et profilé pour pénétrer … Sa queue paraît encore plus longue comme ça. Je l'empoigne à deux mains … les deux, l'une au-dessus de l'autre, son gland dépasse encore entièrement ! Pourtant, j'ai des grosses mains ! Il a remarqué mon manège, il rit, et:

- Cherche pas … vingt-deux centimètres …

 

Et là, je réalise que, moi aussi, je bande … beaucoup plus modestement, mais je bande … ma queue soulève le bas de ma jupe … et je salive abondamment, comme devant une pâtisserie. De nouveau, j'avance ma tête, et je donne des coups de langue sous la base de son gland. Dans un instant, il va enfoncer ça au fond de mon ventre ! En attendant, je bâille et je prends son gland dans ma bouche. Hhmmmmm ! Ce que c'est bon ! C'est chaud, c'est vivant … ça a un goût de … un goût de bite, tout simplement … cocktail d'un peu d'urine et de beaucoup d'hormones mâles … J'adore ! Et tout en le masturbant, je commence à le pomper. Oh putain, si ses éjaculations sont proportionnelles à la taille de sa queue, ça doit être quelque chose de se faire tirer dans la bouche ! Oh, c'est bon, c'est booooooon ! Putain, ce que j'aime la bite ! Je sens son gland grossir dans ma bouche .. il se gorge de sang … et je sens aussi son urètre gonfler sur ma langue. Hhhmmmm, je le fais bander de plus en plus fort ! Je me laisse aller à gémir de plaisir. Pour un étalon, c'est un étalon, ce mec ! Je veux être à lui … je veux qu'il me prenne … souvent … et même sans payer …

- C'est ici, que ça se passe ?

 

Un type vient d'entrer … 

- Ah ouais, on dirait … Salut …

 

Du coin de l'œil, je le vois contourner Francis et serrer la main du type adossé à la fenêtre. Je le devine aussi qui serre celle du barbu, toujours allongé derrière moi:

- C'est lui qu'on baise ? T'es déjà passé , toi ?

 

Le barbu, à qui le nouveau venu s'est adressé:

- Non pas encore … c'est le grand, là, qui commence …

- Ah OK. Donc, je suis quatrième ..

- Voilà …

- Putain, bel engin, le grand …

 

Le nouveau venu a accompagné sa remarque d'une tape sur l'épaule de Francis, et je le sens, maintenant debout à côté de nous, sans doute en train de me regarder sucer "le grand". Francis:

- Merci, mec. 

 

Un long silence pendant lequel je sens leurs regards posés sur moi, puis le nouveau venu remarque:

- Dis donc, il a l'air d'aimer ça, hein …

- Ouais, j'ai l'impression. Et il s'y prend bien …

 

Vous avez raison, j'aime ça. Et puis, il n'y a rien à faire, j'ai toujours autant de plaisir à faire ça sous les yeux d'autres mecs. J'aime tellement qu'on me regarde pendant qu'un mâle prend du plaisir en moi, que ce soit dans ma bouche ou dans mon cul ! Tailler une pipe ou me faire baiser, j'adore, bien sûr, mais le faire en public me procure vraiment une volupté supplémentaire. J'aime être vu comme un objet … comme un jouet sexuel entièrement consacré au plaisir des mâles … et, qui plus est, un jouet sexuel en libre service … Mais là, tout de suite, il me manque quelque chose. Tout en continuant de le sucer, je tends les mains vers les hanches de Francis, à la recherche de ses mains à lui. Les voilà. Je les saisis et je les attire sur ma tête. Il se laisse faire et je sens ses deux grosses pognes se poser sur mon crâne. Ça ricane sur ma droite. Ricanez, ricanez ! C'est comme un automatisme: dès que ses mains ont touché ma tête, Francis me l'a littéralement empoignée et, me la tenant fermement, il a commencé à bouger son bassin d'avant en arrière, m'enfonçant son gros pieu jusqu'au fond de la gorge … Oh, putain, il est en train de me baiser la bouche ! Nom de dieu ! J'ai du mal à ingurgiter ce morceau ! Evidemment, il ne peut pas me rentrer sa queue entièrement, mais comme je m'applique à la presser contre mon palais avec ma langue, ça lui fait beaucoup d'effet … et il ne tarde pas à haleter et à accompagner chaque aller et retour de grognements … J'ai du mal à déglutir et je sens mon trop-plein de salive se déverser sur mon menton. Soudain: 

- Bon, faut qu'j'te baise, maint'nant !

 

Il repousse ma tête, et se retire en comprimant sa verge, sans doute pour stopper un début d'éjaculation. Il pousse sur mes épaules et je me laisse tomber sur le dos. Ma tête heurte la cuisse du barbu, toujours couché en haut du lit. Il esquisse un mouvement pour s'écarter et me laisser de la place. Je m'empresse de poser la main sur sa cuisse:

- Non, bouge pas ! C'est bien comme ça.

 

Je me tourne un  peu sur le côté et je le regarde. Putain, il est raide ! Me voir sucer Francis l'a vraiment excité. Sa bite, qui émerge d'une touffe de poils noirs tout frisés, est assez ordinaire. Je tends la main, je la saisis et je la masturbe deux ou trois fois. Il me regarde faire, les yeux tout ronds. Je me retourne complètement et, à quatre pattes sur le lit, cul en l'air, je m'approche de son ventre. Il écarte les bras, ne sachant que faire de ses mains. Je me penche et je pends son sexe dans la bouche. Ça se fait, quand on est pute, de s'occuper de deux mecs en même temps ? Je m'en fous, moi je le fais. Hhhmmm, de toute façon, celui-là aussi, il va me baiser ! Je le suce pendant quelques secondes, puis je le sors de ma bouche, et:

- Tu voudras bien que je mette ma tête sur ta cuisse, pendant que Francis me baise ?

 

Il ne répond pas, mais hoche vigoureusement la tête « oui, il voudra bien ». Je le masturbe encore un peu puis je me retourne et je me remets sur le dos. Je sens le barbu me prendre délicatement la tête, la soulever et glisser sa cuisse sous ma nuque. Là, je m'aperçois que le type adossé à la fenêtre a sorti sa queue par sa braguette et se masturbe. Ah, putain, trois queues de sorties ! Trois queues qui vont me baiser ! Lui, ça doit être de me voir m'occuper du barbu pendant que Francis se prépare qui l'a "motivé". Le dernier arrivé me regarde en souriant d'un air qui veut clairement dire « quelle salope ! ». Francis, qui a ôté son pantalon, est en train de fouiller dans une de ses poches, et en sort ce qui est apparemment un étui de capote. Quand il lance son falzar sur la chaise où gisent déjà sa veste et sa chemise, sa grosse bite, cachée jusque là derrière son pantalon, réapparaît ! Elle qui, tout à l'heure, pendait tête en bas, est maintenant tendue à l'horizontale, malgré son poids, encore plus gonflée et raide, et une veine énorme court depuis la base de sa verge jusqu'à celle de son gland … son gland turgescent et rouge, pointé vers moi … ses grosses couilles pendant très bas entre ses cuisses. Il va me fourrer avec ÇA ! Je ne peux en détacher mes yeux. Dans sa main, l'étui de capote qu'il déchire:

- J'ai amené les miennes … la dernière fois, Lionel n'en avait pas à ma taille …

 

Il déchire l'étui, extrait la couronne de latex et commence à la dérouler sur sa queue. Autour de nous, le silence s'est fait, les trois autres assistent religieusement à la préparation du sacrifice: le Minautore va immoler sa proie, non pas en la dévorant, mais en l'empalant. Vas-y, plante-moi ton énorme pal, ta victime est prête à se faire bourrer, fracasser, défoncer, déglinguer … Oh, putain, cet énorme chose dans mon cul ! Il se laisse tomber à genoux devant moi, il tend ses grosses pattes vers moi, les glisse sous mes fesses et, d'un seul mouvement, il me soulève et m'attire vers lui. J'ai maintenant les fesses à moitié hors du lit. Il passe ses mains sous mes genoux, me dresse les jambes à la verticale et appuie mes mollets sur ses épaules. Derrière moi, le barbu:

- Dis, mec … il voudrait mettre sa tête sur ma cuisse pendant que tu le baises … Ça te gêne ?

- Nan nan, vas-y ! Hé hé hé ! 

 

Il sourit, plante ses yeux dans les miens et:

- Tu veux me regarder te baiser, hein ! ? ! ? 

- Oui.

 

Je sens le barbu se rapprocher et, de nouveau, il glisse sa cuisse sous ma tête. Ça doit lui plaire d'être aux premières loges, comme ça, et, plus ou moins, de participer. De ses grosses pognes, Francis m'écarte les genoux, puis il saisit son gourdin et avance son bassin vers moi. Ah oui, ça y est, je sens son gland contre ma rondelle. Il s'enfonce … je ne peux retenir un halètement … il pousse encore … mon anus résiste … pourtant, je me suis lubrifié … Ce matin, chez moi, pour faire mes lavements, je me suis bien rentré le pommeau de douche dans le cul, mais mes muscles se sont retonifiés pendant le trajet jusqu'ici … et sur le bidet de Lionel, ce n'est pas la minuscule douchette qui a pu me préparer comme il faut … surtout pour un engin pareil … Et le doigt de Francis, tout à l'heure en haut de l'escalier, ça n'a rien à voir avec ÇA ! Ce n'est pas douloureux, mon cul en a vu d'autres, et sa capote est aussi légèrement lubrifiée, mais je m'attendais à ce qu'il me fourre sa queue d'un seul coup, et là, c'est laborieux … laborieux, mais très agréable ! Je sens son gland qui irradie sa chaleur contre mon anus, à travers le latex du préservatif.

 

Je le regarde … il est concentré … il s'enfonce encore, toujours en cramponnant son gourdin … Je sens mon sphincter s'élargir peu à peu … et soudain, il lâche sa queue, place chacune de ses mains sur l'arrière de mes cuisses, juste sous les genoux, et d'un violent coup de reins, il se précipite en moi …  Ouaahouuuhhh ! Les yeux écarquillés, j'avale un grand bol d'air … Ah la vache ! Cette fois, pour être dilaté, je suis dilaté ! Mais j'ai l'impression qu'il bute au fond de moi … alors que sa queue n'est sûrement pas entièrement entrée … je devrais sentir son pubis contre mon périnée, je devrais sentir ses couilles battre mes fesses … Il repart en arrière … rapidement … et revient d'un seul coup … il bute encore … soit son gland ne trouve pas le débouché au fond de moi, soit mes entrailles refusent de se soumettre à cette invasion hors norme … Il recule de nouveau … et, au moment où je sens qu'il va foncer en moi pour la troisième fois, je me cambre … et cette fois, il s'enfouit entièrement en moi … Du coup, il reste au fond, et appuie bien son ventre contre moi … et il se met à me caresser les cuisses, les fesses, les hanches … il bouge imperceptiblement son bassin, faisant bouger son énorme sexe en moi.

- Ça va, ma poule ?

- Oui.

- Ça te fait mal ?

- Non.

- Ça te plaît ?

- Ouiiiii !

 

Les trois autres pouffent de rire. Il faut dire que c'était plus un gémissement de plaisir qu'une réponse. Je m'en fous, pouffez, riez ! Oui, j'aime la bite et ça ne me gêne pas de manifester sans pudeur devant vous ce que je ressens.  Francis:

- Moi aussi ça me plaît … t'es … t'es drôlement profond … t'es … je suis bien, avec ma queue au fond de ton cul … c'est pas souvent que j'arrive à la fourrer entièrement, ma queue. Tu sais, ma bite, les femmes, des fois, elle leur fait peur … et des fois, ça leur fait mal … je … je peux jamais aller vraiment à fond … 

 

Je m'aperçois que les deux autres types, le nouveau venu et l'autre, se sont approchés et nous regardent, Francis et moi, les yeux rivés au niveau de son bas ventre et de mon cul. Ah, OK ! Ils voudraient voir cette énorme queue entrer et sortir de mon fourreau ! Mais là, ils ne voient rien, l'objet est entièrement enfoui dans moi. Francis poursuit:

- Là … là …

 

Il bouge encore son bassin:

- ... là, tu vois, je suis vraiment au fond … Tu me sens ?

- Ben oui, je te sens ….

- Au fond … tu me sens au fond ?

- Au fond, non, pas vraiment, mais là, à l'entrée, oh oui, je te sens … 

 

Satisfait, à la fois d'avoir pu loger entièrement sa queue dans mon cul et que je le sente à l'entrée, il bouge encore son bassin. Je demande:

- Alors, les femmes, tu peux pas leur rentrer complètement ta queue ? Pourtant, elles doivent être larges et profondes … et ça devrait leur plaire, une queue comme ça !

- Ben, faut pas croire ! Elles sont pas si profondes que ça … et y'en a pas tellement qui aiment ça.

- Ah bon ? Même quand tu les encules ?

- Surtout pas ! Elles veulent pas que je les encule … elles me trouvent trop gros … enfin, ma queue, trop grosse … je t'ai pas fait mal, à toi ?

- Non …

- T'as l'habitude ?

- Oui …

- Des grosses bites comme la mienne ?

- Quelques unes …

- Ah bon … QUELQUES UNES ? ! ? !

- Oui. Et une fois, deux bites à peu près aussi grosses que la tienne … en même temps …

- Tu veux dire … une double sodo ?

- Oui.

- Tu déconnes !

- Non. Je pourrais même te le prouver. J'ai des vidéos.

- Ah, putain ! Alors, ça m'étonne pas que je t'aie pas fait mal …

 

Il bouge doucement son bassin, goûtant le plaisir d'avoir son gros sexe entièrement enfoui dans mes chairs. Vas-y, mec, prends ton temps. Moi aussi, ça me plaît de sentir ton gros organe en moi, bien au chaud dans mon ventre.

 

Et puis, une main sur chacun de mes genoux, il commence sortir … lentement … J'ai l'impression de me vider ! Les trois autres écarquillent les yeux, bluffés par le spectacle. Je sens … je sens mon sphincter, non seulement forcé, dilaté, mais aussi comme … entraîné hors de moi par cette énorme chose qui glisse en lui … Oh, putain, l'étalon ! Oh, ce que c'est bon ! Je me cambre. Bouche grande ouverte, je sens chaque millimètre de sa bite coulisser dans mon rectum. Ah la vache ! C'est un plaisir … comment dire … physiquement, c'est un plaisir presque scatologique … c'est comme quand je me soulage d'une grosse envie … d'une très grosse envie … mais ce qui sort de moi, ce n'est pas de merde, c'est une queue … un sexe massif … et long ! Ça n'en finit pas, il prend vraiment son temps, dégustant, comme moi, cet instant exceptionnel. Du coin de l'œil, je vois que mes deux spectateurs n'en perdent pas une miette, fascinés par le spectacle de cet énorme organe sexuel qui s'extrait de moi. Et Francis s'arrête. Je réalise qu'il n'a plus que son gland, là, juste dans l'entrée de mon fourreau. Je le sens comme … palpiter. Il reste immobile deux ou trois secondes … et il repart en avant … tout aussi lentement …

 

Oh putain, ce que c'est bon ! De nouveau, sa queue me force un  peu, mais ma rondelle s'est détendue, et ça glisse tout seul. Je suis toujours cambré et il arrive encore à me rentrer toute sa queue dans le cul ! Putain, comme j'ai bien fait de me goder avec des jouets toujours plus gros ! A l'époque, je ne le savais pas encore, mais ça me préparait à recevoir ce genre de queue ! Aimer la bite et devoir refuser son cul à un mâle parce qu'il a un sexe trop gros, ça doit être une frustration terrible ! Ça y est, il commence à aller et venir un peu plus rapidement. Hhhmmmm ! Vas-y, Francis, baise-moi ! Je glisse mes mains entre ma tête et la cuisse du barbu et je croise mes doigts sous ma nuque. Les yeux à demi fermés, j'observe mon baiseur, concentré … il contemple, entre mes cuisses, son sexe qui entre et qui sort de moi … et chaque fois qu'il s'enfonce tout au fond de mon cul, il regarde mon ventre … comme s'il essayait de deviner à quel niveau de mon abdomen son gland peut bien se trouver …  Oui, mec, ton gland est loin, très loin au fond de moi … Oh, putain, ce que j'aime ça !

 

Sous ma tête, je sens la cuisse du barbu se secouer en rythme … mais pas au même rythme que le va et vient de Francis … Serait-il en train de … Je tends la main et, à tâtons, je cherche son sexe, juste là, tout près de mon crâne … sa main … oui, il est en train de se branler … je pose mes doigts sur les siens … il suspend son mouvement … je cherche son gland … ah tiens, il se masturbe comme moi, son prépuce toujours sur son gland … je le pétris un peu et je sens qu'il ôte sa main … alors je l'empoigne et, à mon tour, je le masturbe … hhmmmmm, branler un mec, sans le voir, pendant qu'un autre me baise ! 

 

Francis, lui, ferme aussi à demi les yeux, et je vois ses mâchoires se crisper. Son plaisir monte, il commence à perdre le contrôle et je sens que, dans peu de temps, il va jouir … Moi, quand il me pénètre, je sens mon rectum se remplir brusquement, et quand il se retire, non seulement je me sens me vider, mais j'ai l'impression de sentir son gland me racler la paroi du rectum … s'il sort de moi assez lentement, par contre, pour rentrer, il me fout maintenant de violents coups de boutoir qui me secouent tout entier sur ce lit … Il commence à grogner et peu à peu, ses grognements se synchronisent à ses coups de queue, et se transforment en cris:

- Haaaaa ! … Haaaaa ! … Haaaaa ! … Haaaaa ! … Haaaaa ! … Haaaaa ! Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !

 

Ça y est, tête en arrière, il jouit ! Je sens le barbu prendre ma main qui le branle et la repousser. Si ça se trouve, lui aussi est au bord de l'éjaculation. A cause de ses va et vient incessants, je ne sens pas les soubresauts de la queue de Francis dans mon cul, mais il jouit, j'en suis sûr ! Il éjacule en continuant de me bourrer, et j'ai l'impression de ressentir comme … des gargouillis mouillés à l'intérieur de mon ventre … c'est sa queue qui patouille dans son propre sperme à l'intérieur de sa capote … Enfin, il ralentit ses allers et retours, redresse la tête, ouvre les yeux et me regarde, essoufflé:

- Putain, ça y est … j'ai pris mon pied …

- J'ai senti …

- Putain, c'était bon … Y'avait longtemps que j'avais pas pris mon pied comme ça … t'es … t'es vraiment profond …

 

Il reprend son souffle. Encore quelques va et vient … et il sort délicatement sa bite, repousse tout aussi délicatement mes jambes et m'aide à poser mes pieds au sol au bout du lit. Je me redresse et je m'appuie sur les coudes

 

- A moi !

 

C'est le barbu, derrière moi, qui se manifeste. Je sens le matelas se soulever quand il saute du lit. Je regarde derrière moi. Debout à côté de la tête du lit, il vient de prendre une capote dans le panier posé sur la table de chevet. Je le regarde déchirer l'étui et se dérouler la capote sur la bite en m'observant.

 

- Fous-toi à quatre pattes ! Je vais te baiser en levrette.

- Sur le lit ?

- Non, par terre … sur la moquette.

 

Je descends du lit et je m'agenouille, sous le regard des deux autres. J'ai la rondelle en feu … j'ai l'impression de sentir encore cette grosse chose dans mon fourreau. Je glisse ma main entre mes fesses et je tâte … ah oui, j'ai l'anus encore dilaté … tout chaud … Francis, lui, après avoir ôté sa capote et l'avoir laissé tomber dans une corbeille, est déjà en train de remettre son pantalon. Il se tourne vers le barbu, et:

- Attends … excuses moi deux secondes, mec … faut que je lui dise quelque chose …

 

Il s'approche de moi en enfilant sa chemise:

- Euh, dis … tu reviendras, ici ?

- Je sais pas … peut-être …

 

Il hésite:

- Parce que … faut absolument qu'on se revoie …

- Ben oui, ça me plairait …

 

Je tends la main et je la passe sur son bas ventre. Il reprend:

- Un cul où je peux fourrer toute ma queue … y'a eu que le tien, jusqu'à présent. Alors, si tu revenais pas ici, faudrait qu'on se voie autrement … je … je paierais, hein, évidemment … comment … comment on peut faire ?

- Si je revenais pas ici, tu peux toujours demander à Lionel … il sait comment me joindre …

- Ah … oui. Bon, excuse-moi, barbu.

 

Le barbu:

- Y'a pas de souci.

 

Je regarde Francis enfiler sa veste, tâter ses poches et se diriger vers la porte. Juste avant de sortir, il se tourne vers nous:

- Bon, salut. Bonne bourre à vous, les mecs. 

- Merci. Salut.

- Salut.

- Salut.

- Salut, ma poule.

- Salut, Francis. 

 

Pendant cet échange, le barbu s'est approché, la queue toujours raide à la main. Une fois Francis parti, il me touche l'épaule: 

- Tiens, reste à genoux, mais appuie-toi plutôt sur le lit.

 

Ah bon, ce n'est plus à quatre pattes sur la moquette. Ça me va aussi. J'obtempère et je pose mon torse sur le matelas:

- Comme ça ?

- Ouais.

 

C'est pour le … boulot, mais j'ai toujours la même émotion à me mettre en position pour me faire chevaucher par un mec. Offrir ma croupe à un mâle pour qu'il s'accouple avec moi et qu'il s'y donne du plaisir, quel bonheur ! Là, en plus, ce type a payé pour me niquer ! C'est une drôle de situation: d'une certaine manière, je lui DOIS ce coup de bite, alors que, même s'il ne payait pas, je le laisserais me troncher … Dès que je suis en position, je sens le barbu venir entre mes mollets et s'agenouiller à son tour. Il pose ses mains sur mes fesses … me caresse … me palpe … glisse ses mains jusqu'à mes hanches … et je le sens qui approche encore un peu en avançant ses genoux ... et je sens … sa queue ? Oui, sa queue … se plaquer dans ma raie, entre mes fesses … Alors, la joue posée sur le drap, je passe mes mains derrière moi, je m'empoigne les miches et je les écarte dans une geste éloquent « Vas-y ! Mon cul est à toi ! Baise-moi ! ». Je sens mon fourreau béer tout seul, comme par réflexe. Face à moi, les deux autres me regardent en se marrant … le type qui s'était appuyé à la fenêtre, toujours en se paluchant la bite sortie par la braguette … et le dernier arrivé sa main dans son pantalon et se tripotant aussi …

 

Mon fourreau ainsi ouvert et offert, est un appel au coït, à la copulation. J'ai une furieuse envie qu'il me prenne, qu'il me baise … j'ai hâte de sentir son sexe s'introduire en moi, s'enfoncer en moi … j'ai faim de bite ! Qu'est-ce qu'il attend, bordel ? Ah, tout de même ! Je sens enfin le barbu poser son gland contre ma rondelle … il s'enfonce un peu et s'arrête … je le sens bouger un peu son gland dans mon anus, mais c'est tout … il ne va pas plus loin. Alors c'est plus fort que moi … je recule mon cul d'un seul coup et je sens sa queue s'enfoncer en moi ! Surpris, il pousse une exclamation … "haaa !" … entre un cri et un puissant halètement. Je ne bouge plus. J'ai son ventre contre mes fesses … je sens les poils de son pubis dans ma raie … et ceux de ses couilles contre mon périnée. Ses doigts se crispent dans le gras de mes hanches, je le sens se plier un peu au-dessus de moi, et il se met à haleter. Putain, il va jouir ! Déjà ! Alors, de lui même, il se met à aller et venir dans mon cul … lentement, méthodiquement … Il halète de plus en plus fort, commence à pousser un râle … son va et vient s'accélère et d'un seul coup, il se met à crier " haaa haaaaa haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! ". Ça y est, il jouit ! Je le devine plutôt que je ne le sens: il n'arrête pas d'aller et venir et si sa queue est prise de spasmes, je ne les sens pas. Il continue de me bourrer comme ça pendant un bon moment … son cri se transforme en un sourd grondement seulement interrompu, de temps à autre, quand il déglutit bruyamment … Puis il colle son ventre à mon cul et s'affale sur mon dos en reprenant son souffle:

- Rhââââââ, putaiiiiiiiin !

 

Rhââ, oui, putain, t'as raison ! Moi aussi, j'aime ça ! Avoir sur moi, et surtout EN MOI, un mec qui vient de prendre son pied, de jouir, d'éjaculer … un mec qui reprend son souffle et ses esprits … au plaisir sensuel, érotique, se mêle une plénitude cérébrale … maintenant totalement voué au plaisir des mâles, j'ai, une fois encore, accompli mon devoir de femelle, rempli ma mission … je viens de vider les couilles d'un type ! J'aurais préféré, de beaucoup, qu'il répande sa semence directement dans mes entrailles, plutôt que dans une capote, mais voilà, une fois de plus, mon cul a servi de réceptacle au plaisir d'un homme, à sa jouissance et à sa semence ! Je sens son souffle sur mon dos. Il se calme peu à peu, puis, prenant appui sur le matelas, il se relève en même temps qu'il sort sa queue de mon cul:

- Putain, t'es bonne, toi !

 

Je reste comme ça, immobile, le torse sur le lit, tourné vers les deux autres types. Ça va être le tour de celui de la fenêtre. La queue toujours à la main, il regarde derrière moi … sans doute ce que fait le barbu. Je tourne la tête vers celui-ci au moment où, à son tour, il laisse tomber sa capote dans la corbeille. Il se penche sur le lit et récupère son pantalon. Je me tourne de nouveau vers les deux autres clients, attendant qu'ils me disent quoi faire. Numéro trois me fait signe d'un coup de menton:

- Viens là !

 

Je me relève et j'approche. Il me montre le canapé, devant la baie vitrée:

- Mets-toi à genoux là-dessus !

- Comment … dans quel sens ?

- Ben, à genoux là, et t'appuie tes coudes sur le dossier …

 

OK. Il veut me prendre le tête tournée vers la baie ! Alors je m'installe … genoux bien écartés, les avant-bras appuyés sur le dossier, et je me cambre. Numéro quatre, sur ma gauche, la main toujours dans son pantalon, a reculé jusqu'au mur à côté de la porte de la salle d'eau, où il s'est adossé. Numéro trois me passe une main entre les cuisses et, délicatement, il remonte jusqu'à mon entrejambe en me caressant. Il me palpe les fesses et, à son tour, il retrousse ma jupette sur mes reins:

- T'as un  beau cul, pour un mec !

- Merci.

 

J'adore qu'un mec me dise ça ! Ça veut dire que je l'excite, que je le fais bander, qu'il a envie de m'enculer. Et je me sens tellement indécente, comme ça … cul offert, cuisses écartées, reins cambrés, à la merci de ces deux types … j'adore ! Oui, INDÉCENTE … pas indécent … je me sens aussi tellement femelle … femelle à bites ! Il continue de me caresser … et je le sens qui se rapproche … entre mes pieds, qui dépassent de l'assise du canapé … et je sens … il a du empoigner sa queue, et il se frotte le gland dans ma raie … hhhmmm, vas-y, baise-moi ! Mets pas de capote, et baise-moi comme ça ! C'est plus fort que moi:

- Vas-y, baise-moi !

- Attends … faut que je mette une ...

- Non ! Mets pas de capote ! Baise-moi comme ça !

 

Je l'entends rire, derrière moi:

- Hé hé hé ! Si si si … je vais mettre une capote. Je te fais … seulement … ça …

 

Et il enfonce un peu son gland dans mon  anus. Hhhmmm ! Je le sens … il est chaud … Je m'apprête à m'empaler sur sa queue, en reculant d'un seul coup, comme j'ai fait avec le barbu, mais … il a du deviner mon intention, et, ses deux mains plaquées derrière mes fesses, il me retient et rit de plus belle:

- Ha ha ha ha ! Raté ! Je m'en doutais !

 

Il sort son gland, et:

- Attends un peu, bouge pas.

 

Je me retourne. Il saisit un des cordons du store vénitien, le manœuvre, et commence à le remonter. Du coup, ce n'est plus à travers les lames de plastique que je vois la rue et le parking de l'hôtel, c'est directement à travers la baie vitrée et les barres de la rambarde du balcon. Ah oui, pas mal ! Je vais pouvoir contempler l'animation de la zone commerciale pendant qu'il va me niquer. L'idée me plaît. Satisfait, lui aussi, il ôte ses chaussures, se déshabille entièrement, prend une capote dans le panier, l'enfile – putain, lui aussi, sa queue est relevée à l'horizontale … pas très grosse, mais sympa … rasée – et il prend aussi le flacon de lubrifiant, l'ouvre, en presse un peu sur ses doigts et se rapproche de moi. Alors j'écarte un peu plus mes genoux, j'appuie mon torse sur le dossier du canapé, et, comme pour le barbu tout à l'heure, des deux mains, je m'écarte les fesses. Il pouffe, et aussitôt, je sens la fraîcheur du gel sur ma rondelle. Il m'enfonce ses doigts pour me l'étaler dans l'anus, puis je le sens qui s'essuie la main sur ma jupe. Je maintiens mes fesses écartées et j'attends.

 

Hhmmm, putain, j'aime tellement ça ! Ouvrir mon cul comme ça, sans retenue, et m'offrir à un inconnu pour qu'il m'encule, pour qu'il me baise ! Je me sens tellement impudique ! Impudique, pas seulement à cause de l'exhibition de mon anatomie la plus intime, mais surtout parce que je dévoile sans honte et sans réserve, à des types que je ne connais pas, mon addiction à la bite! Un type a les couilles engorgées ? Il a besoin de tirer un coup ? Il veut se soulager dans mon cul ? Alors, qu'il vienne, et qu'il me baise !

 

- Enlève tes mains !

 

Il me claque la fesse. Je ramène mes mains devant moi, je croise mes avant-bras sur le dossier du canapé et je pose mon menton dessus. Cette fois, ce n'est pas ses doigts qu'il enfonce dans mon cul … c'est sa queue ! Les mains sur mes hanches, il progresse lentement. Oh putain, j'ai encore un sexe en moi ! Je me laisse aller:

- OoooOOhhhh Ouiiiii ! Baise-moi ! Baise-moi ! BAISE-MOIIIII !!!!!

- Oh, putain ! Alors toi, t'aimes la bite !

 

Je pose maintenant mon front sur mes avant-bras, et je gémis:

- Ooooh ouiiii ! Ta bite ! Ta bite ! TA BIIIITE !!! 

 

Il rit:

- Pourtant, la mienne est moins grosse que celle du grand, là … le Francis …

- Je m'en fous ! Les grosses bites … les petites bites … j'aime toutes les bites ! Je veux que tu me baises ! Baise-moi ! BAISE-MOI, PUTAIN !!!

 

Alors, il me baise. D'abord lentement, méthodiquement, lascivement, langoureusement … il s'applique et prend pas mal de plaisir, je le sens à la pression de ses mains sur mes hanches, puis sur ma taille, et à la concentration qu'il met à me pénétrer … je suis sûr qu'il regarde son sexe entrer et sortir de moi … Je redresse la tête et je réalise que là, dehors, un étage en-dessous de nous, il y a du monde qui circule … des voitures, presque en continu sur la rue qui dessert l'hôtel, et aussi pas mal de piétons qui vont faire leurs courses … Hé, les gens ! Levez les yeux et regardez ! Là-haut, cette tête, derrière cette fenêtre … et le mec, qui bouge derrière moi … IL EST EN TRAIN DE M'ENCULER ! Oh, putain, je voudrais ouvrir cette baie et leur crier que là, tout de suite, j'ai sa bite dans le cul et qu'il me baise ! 

 

- Y'a du monde, dehors, hein ?

 

Ah, oui ! Est-ce qu'il a perçu mon trouble, quand j'ai relevé la tête ? Je ne sais pas, mais à son ton, c'est évident, lui aussi, ça l'excite de me fourrer en regardant passer ces badauds ! Soudain, une envie folle m'envahit. Je passe une main derrière moi, je lui caresse le ventre, et:

- J'ai envie que tu me baises dehors, sur la galerie !

- Quoi ? ! ? !

 

Il a arrêté son va et vient.

- Je veux que tu me baises dehors !

- T'es dingue ?

- Non. Je suis sûr que t'en as envie autant que moi … allez, baise-moi dehors …

- Je suis à poil !

- On s'en fout ! T'as qu'à remettre ton T-shirt !

 

C'est gagné ! Il hésite, il pèse le pour et le contre, mais je sens que c'est gagné ! Et en effet:

- Bon, OK !

- Ahhhh, merci !

 

Il se retire et aussitôt il récupère son T-shirt sur le lit. Sa bite n'est plus à l'horizontale, mais carrément dressée à la verticale. L'autre, toujours adossé au mur, ne peut s'empêcher de rigoler. Je descends du canapé, je rabats ma jupe sur mes fesses et j'ouvre la porte qui donne sur la galerie. Il fait frais, mais c'est supportable … un petit vent me caresse les cuisses et s'insinue jusque entre mes fesses … avivant la fraîcheur du lubrifiant qui me macule la rondelle … très agréable ! Je m'avance jusqu'à la rambarde. En fait, ce garde corps, c'est simplement quatre rangées de planches rabotées et vernies, séparés par des intervalles d'une quinzaine de centimètres. Même si ça nous dissimulera un peu, ce sera mieux que derrière le dossier du canapé … à part l'espèce de cloison à claires voies que constitue la rambarde, rien ne nous dissimule vraiment aux yeux des passants. D'ailleurs, maintenant que je suis dehors, j'ai l'impression que j'en entends certains qui discutent en passant sur le trottoir. Numéro trois sort à son tour sur cette galerie, seulement vêtu de ses chaussettes et de son T-shirt, et vient immédiatement se cacher derrière moi, sans doute pour que je dissimule sa nudité aux yeux de passants. Il pose ses mains sur mes hanches. Numéro quatre nous rejoint … il ne veut rien manquer du spectacle. Numéro trois, en glissant une main sous ma jupette:

- T'es une sacrée salope, hein !

- Non … tu crois ?

 

Je le repousse en me reculant légèrement, je me penche, je m'accoude au haut de la rambarde, j'écarte les pieds et je me cambre:

- Allez, baise-moi !

 

Il s'avance entre mes pieds et je sens ses genoux effleurer les miens, il relève légèrement ma jupe, remet une main sur ma hanche, plaque sa queue dans ma raie, bouge sa tête chercheuse et je la sens venir se loger dans ma rondelle. Hhhmmmm, j'ai son sexe, doux et chaud, dans mon anus ! Quand il me pénètre plus à fond, je ne peux retenir un gémissement. Oh la la ! Je suis en train de me faire enculer sur cette galerie … en extérieur … et nous sommes à … quoi … quinze ou vingt mètres à tout casser du trottoir … si des passants lèvent les yeux vers nous, ils me verront moi – mon corsage bariolé de couleurs vives ne passera sans doute pas inaperçu – et derrière moi, la tête de numéro trois en train de bouger … en train de M'ENCULER … ils me verront alors que j'ai UNE BITE DANS LE CUL ! Je meurs d'envie d'attirer l'attention des prochains qui passeront devant l'hôtel … en sifflant ? en les appelant ? Numéro trois a repris son va et vient … et je le sens vraiment très excité: il souffle en postillonnant entre ses lèvres entrouvertes et, de temps à autre, il déglutit bruyamment. Numéro quatre, appuyé à la rambarde à un mètre sur ma gauche, nous observe du coin de l'œil, une main toujours dans son pantalon. Vas-y, paluche-toi, pendant qu'il m'encule … après, c'est ton tour !

 

C'est soudain et brutal ! Numéro trois m'empoigne la taille à deux mains, enfonçant ses doigts dans le gras de mes poignées d'amour, et propulse son bassin en avant, m'envoyant sa queue au fond du cul et me coinçant le ventre contre la rambarde … genoux à demi pliés, il reste comme ça, immobile, le front appuyé à l'arrière de mon crâne, et, à son halètement entre ses dents serrées, à son sourd grognement, je devine qu'il jouit. L'excitation de me baiser ici, en extérieur, en vue de la rue, a été trop forte. ! Je passe une main derrière ma tête, derrière la sienne et, tant bien que mal, je lui caresse la nuque. Vas-y, mec ! Prends ton pied, soulage-toi ! Tiens, un couple de vieux passe sur le trottoir, la femme traînant un chariot à roulettes pour les courses. Ils n'imaginent sans doute pas qu'à quelques mètres au-dessus d'eux, il y a un type qui est en train de déverser son sperme au fond de mon cul ! 

 

Oh, putain, sentir ce type éjaculer, sa queue fichée tout au fond de moi … une vague d'émotion me submerge ! J'en ai le cœur qui bat la chamade … c'est tellement troublant … c'est tellement voluptueux … et je … oui, je ressens un drôle de truc pour ce mec … c'est un peu confus, mais je crois que c'est … de la reconnaissance pour ce qu'il est en train de me faire - ce type … ce type ME BAISE ! - … de la reconnaissance et peut-être même … de la tendresse … pourtant, une petite voix, dans ma tête, me souffle « Hé ! Te laisse pas aller comme ça, la pute ! T'es au boulot, là ! C'est seulement un client qui tire son coup. » … oui, j'ai de la tendresse pour ce type … pour cet inconnu … parce qu'après m'avoir enculé, il est en train de décharger son foutre au fond de mon cul !

 

En fait, je réalise seulement maintenant que c'est probablement ça que j'ai ressenti pour TOUS les mecs qui m'ont baisé … Je ne l'avais pas analysé jusqu'ici … je l'avais peut-être même refusé, refoulé … mais oui, en plus de l'espèce de fierté de me sentir désiré par autant de mâles, je me rends compte que l'impression trouble, indéfinissable, que j'ai ressentie pour CHAQUE type qui m'a baisé et inséminé, c'était ça … de la tendresse, de l'attachement … comme si tout coït avec un mâle … avec n'importe quel mâle … déclenchait ça en moi … en plus des hormones de la jouissance sexuelle – adrénaline pour l'excitation, dopamine et endorphine pour le plaisir – m'accoupler avec un mâle doit me faire instinctivement sécréter cette hormone de l'attachement … l'ocytocine, il me semble … Ah oui, ça ne peut être que ça ! Philippe, Thomas, Laurent … c'était ça ! Denis, lui aussi, non seulement quand il m'a baisé, mais aussi quand il m'a offert à ses potes chez lui, puis aux types de chez Jeannot … et ce Lionel ... Merci de me baiser … et merci de me faire baiser ! Même mes blacks, dans cet autre hôtel, après qu'ils m'aient pris de force, ce n'est pas seulement le plaisir anal que l'un d'eux m'a procuré qui m'a fait basculer … c'est à la fois cette fierté d'avoir suscité le désir sexuel chez ces six mâles … ET une sorte d'émoi, d'attachement sentimental … "Je vous aime parce que vous me baisez ! ". Et la débauche, la dépravation la plus totale à laquelle je peux me livrer n'y changent rien, parce que, oui, même les trente types qui me sont passés dessus chez Jean-Claude, je les ai aimés .. TOUS … parce que, les uns après les autres, ils se sont accouplés avec moi, ils m'ont enculé, ils m'ont baisé, ils m'ont inséminé !

 

Numéro trois a fini de jouir … il reprend son souffle et soudain, il pose ses lèvres chaudes et humides sur ma nuque et m'embrasse, attisant mon trouble. Mais aussitôt, il se décolle de moi et je sens sa queue sortir de mon cul. J'ai juste le temps de me retourner … il est déjà rentré dans la chambre. Numéro quatre me regarde en hochant la tête, un sourire aux lèvres:

- T'es vraiment une drôle de pute !

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Je sais pas .. j'en ai jamais vu se comporter comme ça. On dirait pas une pute.

- C'est parce que je débute.

- C'est pas que ça.

- Tu veux aussi me baiser ici, sur ce balcon ?

- Non, dans la chambre.

 

Il me fait signe de le précéder pour rentrer. Numéro trois est déjà en train de remettre son pantalon. J'attends que numéro quatre me dise ce qu'il veut. Il fouille sa poche, en sort un jeton rouge, me le montre et le dépose sur la table de chevet:

- Allonge toi sur le lit.

 

Oui, c'est vrai, c'est un client. Jeton rouge … il va me baiser. Je n'avais pas envisagé autre chose. Je monte sur le lit et je m'étends sur le ventre. Pendant qu'il commence à se déshabiller, je m'appuie sur les coudes, je pose mon menton sur mes mains croisées et je l'observe. Tout en déboutonnant sa chemise, lui aussi me détaille de la tête aux pieds en souriant. Alors, mine de rien, j'écarte les cuisses, je relève mes mollets à la verticale, je me cambre et je me mets à osciller lascivement du bassin de droite à gauche. Mon manège ne lui échappe pas. Ça le fait sourire. Il déboutonne son pantalon et en écarte lentement les deux pans. J'attends, languissant, de découvrir cette queue que je n'ai encore pas vue. Il ne porte ni slip ni caleçon … aaaah, voilà sa biiiite ! Elle n'a rien d'exceptionnel, mais elle bande ! Déjà ! Ou encore, puisqu'il s'est pas mal tripoté depuis qu'il est arrivé. Il n'y a rien à faire, découvrir le sexe d'un inconnu me bouleverse toujours, si banal soit-il … enfin, ça me bouleverse surtout quand c'est le sexe d'un inconnu qui va entrer en moi … et même si ce n'est que pour le stupre, la luxure, je ne peux m'empêcher de voir un sexe masculin d'abord comme un appareil génital, comme un organe reproducteur avant d'être un instrument de plaisir … et ce sexe, là, sous mes yeux, est déjà en érection, gonflé, raide de désir, alors que ce type ne m'a même pas encore touché ! 

 

Pendant qu'il finit d'ôter son pantalon, je lui lance, les yeux toujours rivés sur son membre:

- Tu sais, t'es pas obligé de mettre une capote.

 

Surpris, il écarquille les yeux:

- Ah bon ? Mais …

- J'aimerais mieux que tu jouisses directement dans mon cul …

- Moi aussi, ça me plairait, mais je te connais pas …

- T'as peur ?

- Non, je suis prudent.

 

Je sens qu'il est déterminé … pas la peine d'insister:

- Bon, comme tu veux.

 

A son tour, il se sert dans la corbeille de capotes et il en met une. Puis il me montre le flacon de lubrifiant:

- Tu crois qu'il y en a besoin ?

 

Je passe une main jusqu'à mon cul et je tâte:

- Non. Ce que l'autre m'a mis devrait suffire.

 

Alors il s'approche du pied du lit. Au moment où je sens le matelas s'affaisser sous son poids, j'écarte un peu plus les cuisses. Voilà, ses genoux entre mes genoux … il remonte ma jupe sur mes reins … le matelas s'affaisse maintenant près de mon coude droit … il a posé sa main à côté de moi … il est au-dessus de moi … ses cuisses contre mes cuisses … son torse contre mes omoplates … il pèse de tout son poids … j'écarte les bras et je me laisse aplatir sur le lit … hhhmmmm, sentir un homme sur moi, j'adore ! La joue posée sur le drap, je le sens bouger sa main droite entre mes fesses … il guide son sexe … il entre en moi et finit de s'affaisser sur mon dos … son ventre nu, sur mes fesses … à demi appuyé sur les coudes, les mains sur mes épaules, il commence à aller et venir … et tout de suite, à sa respiration, au gémissement de plaisir qu'il laisse peu à peu échapper, je sens que lui aussi, ça va aller vite ! Putain, c'est tous des rapides ! Ça se passe toujours comme ça, quand un mec baise une pute ? Je pensais que ça durait quand même plus longtemps … Il halète et je sens son abdomen qui se soulève sur mes reins au rythme de sa respiration. 

 

Et après seulement une dizaine de va et vient, il se lâche en laissant échapper un grognement sourd contre ma nuque. Lui ne se bloque pas, la queue au fond de mon cul, comme beaucoup, mais il continue d'aller et venir d'une manière désordonnée en ahanant. Enfin, à bout de souffle, il se retire, soulève son bassin et loge sa queue à plat dans ma raie avant de s'écrouler mollement sur moi en poussant un soupir de satisfaction. Y'a pas à dire, me faire baiser avec capote, c'est pas mon truc. Quatre types m'ont baisé, et je me sens … le ventre vide ! Dès qu'il a repris son souffle, après à peine une minute, numéro quatre se relève. La joue posée sur mes mains croisées, je le regarde ôter sa capote, s'essuyer vaguement la queue de la paume de la main et se rhabiller. Quand il a fini, il me sourit:

- Bon, salut …

- Salut.

 

Il disparaît, me laissant seul, fesses à l'air sur ce lit, attendant que Lionel fasse monter un autre client. Je n'attends pas très longtemps. Le téléphone mural, au-dessus d'une des tables de chevet se met à bourdonner. Ça ne peut être que pour moi. Je rampe jusque là et je décroche:

- Oui ?

- C'est Lionel.

- Oui.

- Tu peux descendre, il n'y aura plus personne.

- Ah bon ? Tu avais parlé d'une dizaine de …

- Je sais ! Mais à part ces quatre là, les autres habitués ne sont pas intéressés. Descends !

 

Bon. Je raccroche, je descends du lit et de sors de la chambre.

 

Quand j'arrive dans le hall, Lionel est en train de raccompagner numéro quatre à la porte de l'hôtel. Sur le guichet de l'accueil, deux bouteilles et des verres … whisky et Chablis … J'ai l'impression qu'il y a quelqu'un dans le bureau … je contourne le guichet et je passe la tête par la porte … Oh, putain ! 

 

Sur le canapé … sur le canapé, ils sont trois ! La femme de Lionel, Carole, est étendue, complètement à poil, la nuque sur l'accoudoir, les cuisses écartées et, entre ses cuisses … la tête du barbu … le barbu qui m'a baisé tout à l'heure, lui aussi complètement à poil, est en train de lui bouffer la chatte … et au-dessus d'elle, un pied au sol et l'autre sur le canapé, les mains appuyées sur le dossier, un autre type, lui aussi nu comme un ver, est en train de se faire sucer par cette … par cette superbe femelle ! Putain, quelle scène !

 

- Elle est pas belle comme ça, ma Caro ?

 

Lionel est arrivé sans bruit derrière moi, et il contemple sa femme … en train de baiser avec deux hommes ! J'en reste coi. Bon, tout à l'heure, il l'a regardée se titiller le clito pendant que je suçais leur client … il l'a même vue toucher la bite de ce mec … mais là … là … Carole, une main sur la tête du barbu qui lui broute le minou, est en train de malaxer avec conviction les couilles du type qu'elle suce. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle ne subit pas passivement. Visiblement très impliquée dans l'action, elle gémit sourdement de plaisir. Notre présence à l'entrée du bureau n'a pas pu échapper au trio qui continue comme si de rien n'était. C'est … très excitant … non seulement de les voir se donner du plaisir, mais de les voir faire ça ouvertement sous les yeux du mari !

 

- Alors, tu la trouves pas belle, comme ça ?

 

Il insiste. Alors:

- Oh si … elle est … magnifique ! Mais … ça vous … ça te dérange pas que …

- Qu'elle baise avec d'autres hommes ? Non. Ça me plaît. J'aime la voir baiser avec d'autres hommes. Mais, vas-y, entre. Tu peux regarder, ça la dérange pas, au contraire, elle est très exhibitionniste quand elle baise.

 

Poussé par Lionel, je m'avance au milieu du bureau. Lui s'approche des trois corps en pleine séance bucco-génitale, se penche et caresse la poitrine de sa femme. Ni elle ni eux ne réagissent. Lionel revient vers moi:

- Ça t'excite ?

- Ben oui. Ils vont … ils vont la baiser ?

- Oui. Moi aussi, et on va la baiser tous les trois …

- Ah bon ?

- Oui, tous les trois en même temps Ce qu'elle aime par-dessus tout, ma Caro, c'est avoir un sexe dans chacun de ses orifices … un dans le cul, un dans la chatte et un dans la bouche … alors, pour commencer, nos deux amis, là, vont lui fourrer la chatte et le cul … en même temps … mais ça, c'est surtout pour mon plaisir à moi … j'adore la voir avec les sexes de deux hommes en elle … et après, je lui donnerai ma queue à sucer … pour son plaisir à elle …

 

Je le sens très excité par cette évocation. Moi aussi, il m'a excité, à me raconter ça. Est-ce qu'ils vont me laisser assister à ça ? Mais, comme s'il avait deviné mes pensées, il ramasse mon baise-en-ville, resté au pied du canapé, il me prend par le bras et m'entraîne hors du bureau:

- Bon. Ben … on n'a eu que quatre clients … cinq, avec le guignol que t'as sucé au départ. J'espérais mieux. Petite journée, pour nous. T'en dis quoi, toi ?

- De quoi …

- De cet essai … ça t'a plu ?

- J'aime me faire baiser, mais je suis frustré.

- Ah bon ?

- Oui. J'aime pas me faire baiser avec capote. 

- Mouais. Et t'auras envie de recommencer ?

- Je sais pas.

- Moi, si j'ai pas plus de candidats, je te cache pas, ça m'intéresse pas. Si tu veux continuer, t'auras qu'à voir avec Jacky quand il sortira. Bon, c'est pas que je te chasse, mais ils sont chauds, tous les trois …

 

D'un coup de menton, il désigne le bureau. Il poursuit:

- Je vais devoir y aller. Tu veux te changer avant de rentrer ?

- Euh, non. C'est pas la peine.

- Bon, alors salut.

 

Il me tend mon baise-en-ville et me fait signe de me diriger vers l'entrée de l'hôtel. je serais bien resté pour assister à cette partie de cul à quatre, mais à son air, je sens qu'il n'est pas décidé. Il m'ouvre la porte vitrée. Je sors. Je n'ai même pas mis un string. De nouveau, l'air frais me caresse les cuisses et les fesses. Je monte en voiture et je démarre.

 

J'ai bien le cul nu sur mon siège, mais il me manque quelque chose ... pour une fois, je rentre chez moi le cul propre après m'être fait baiser par plusieurs types ... je ne sens pas, leur semence s'étaler sous moi. Quand j'arrive dans ma cour, la voiture de Yolaine n'est pas là. Dommage, je lui aurais bien raconté cette matinée.  

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mardi 2 mai 2017 2 02 /05 /Mai /2017 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Putain, je viens encore de baiser Yolaine ! C'est en rentrant chez moi que je réalise. Je viens même de la baiser DEUX fois et de jouir DEUX fois ! Et c'était vraiment bien … en particulier la deuxième fois parce que, sous mes yeux, et avec ma queue bien logée au fond de sa chatte, elle a eu un orgasme terrible … puissant, violent ! En fait, aujourd'hui, elle, elle a même joui trois fois: une première fois en pleine rue, en rentrant après notre petite randonnée, et deux fois chez elle, sur la table de sa salle à manger. Ce qui l'a excitée à ce point, ce n'est pas seulement de se faire baiser, c'est de fantasmer qu'elle se fait baiser par plusieurs types en même temps, et surtout, de fantasmer qu'ils la remplissent de sperme ! C'est sidérant de voir à quel point elle a basculé du côté le plus hard du sexe ! Je suis sûr qu'avant longtemps, elle va me demander de lui trouver quatre ou cinq types pour lui passer dessus à la chaîne.

 

Bon, ce qu'il y a, c'est que, tant qu'elle est excitée, elle est charmante et peut même se laisser aller à des gestes de tendresse, mais dès qu'elle est soulagée, elle ne peut pas s'empêcher de redevenir mégère. Là, elle vient pratiquement de me virer de chez elle parce que je n'ai pas voulu qu'elle me taille une pipe. Ce n'est pas grave, j'étais pressé de rentrer pour voir si ce … Lionel m'a envoyé un mail de confirmation, comme il l'a dit. Alors, dès mon retour à la maison, je mets mon ordinateur en marche. Je me sens vraiment excité … mentalement, parce que du côté de mon entrejambe, après avoir tiré deux coups - et le second il y a moins de dix minutes -, c'est calme plat. Mais mentalement, j'anticipe ce qui va m'arriver dans quatre jours. Des inconnus, ENCORE des inconnus, vont se servir de moi comme … comme d'un objet, comme d'un jouet sexuel, comme d'un réceptacle à bites et à foutre, et ils vont me fourrer, ils vont se faire sucer, et ils vont m'injecter leur semence … Et comme derrière la séance qui se profile, il y a le Jacky, ça va être le fameux essai de tapin qu'il voulait me faire faire. Ce qui me surprend, c'est qu'il ne m'ait pas appelé lui-même. 

 

Putain, ça devient dingue, quand même ! Le premier mec qui s'est servi de mon cul pour se soulager, c'est ce paysan, Laurent, qui m'avait surpris dans un de ses prés, en train de faire une séance photos en tenue de salope. Bon, ce jour là, je l'avais juste laissé se frotter la queue entre mes fesses et jouir sur moi, mais c'était seulement il y a quelques mois … je ne sais plus trop … ça devait être en mai ou juin dernier … alors six mois au maximum ! Et depuis … putain, ça n'a pas arrêté ! En six mois, je me suis fait baiser par une cinquantaine de mecs … euh … une cinquantaine de mecs ET deux chiens ! Enfin, il y a eu des pauses, quand même … au début. Mais ça s'est vraiment accéléré en septembre, il me semble. Et voilà où j'en suis aujourd'hui: ma réputation de "viande à bites" se répand et les types qui m'ont essayé en font profiter leurs relations. Philippe a été le premier … voilà un mec que je ne connais pas, qui me drague pendant une balade en vélo, qui m'exhibe sa queue, à qui je cède immédiatement en lui taillant une pipe, et qui, le jour même de notre rencontre, me propose un gangbang … mon premier gangbang ! Comme si, au fond de moi, m'être fait passer dessus une semaine auparavant par huit blacks dans un hôtel m'avait préparé à assouvir le fantasme d'un gangbang géant dès que l'occasion se présenterait. Ce qui est extraordinaire, c'est que cette occasion se soit présentée si rapidement. Le suivant à me présenter à ses relations, c'est Denis, un des participants à ce gangbang, qui, non seulement me prête, chez lui, à trois de ses potes, mais qui m'emmène ensuite dans un bar pour m'offrir à six inconnus … Ensuite, c'est Jacky, qui débarque chez moi avec quatre copains … et maintenant, ce Lionel qui me fait venir dans son hôtel !

 

Et je ne ressens pas la moindre culpabilité, pas la moindre honte. Au contraire. Oh, évidemment, je sais que beaucoup me considéreraient immoral, débauché, scandaleux … dissolu … pervers … tout ce qu'on veut ... mais moi, j'en éprouve une sorte de fierté: si des mecs me recommandent et me prêtent à d'autres mecs, c'est que je suis un bon coup … Voilà, je suis la salope, la traînée dans laquelle les mecs prennent du plaisir, et à qui on fait appel quand il y a des couilles à vider ! Je suis à l'envie de tirer un coup ce que l'urinoir est à l'envie de pisser: le réceptacle devant lequel un mec peut ouvrir sa braguette, sortir sa queue et dans lequel il peut se soulager ! Pas plus compliqué que ça ! Pas plus besoin de me séduire que de séduire un urinoir avant de pisser. Pas besoin de me payer un restau, ni de m'offrir une montre, des fleurs ou des chocolats … et une fois soulagé, un type peut remballer sa queue dans son slip, refermer sa braguette et s'en aller. Et des couilles à vider, il y en a ! Toutes ces queues en érection qui me sont rentrées dedans, et qui ont déversé en moi leur dose de foutre ! J'étais loin d'imaginer qu'il y avait tant de mecs prêts à enculer un autre mec ! Et pas que des mecs, puisque j'ai même soulagé les deux dogues allemands de Jean-Claude ! Ah putain oui, je vais encore en vider, des couilles, je vais encore en faire cracher, du sperme ! Toutes ces bites, que je ne connais pas encore, et qui vont aussi entrer en moi et répandre leur semence au fond de mon cul ou dans ma gorge ! Putain, en quelques mois, je suis devenu une véritable fille de joie, une paillasse, une traînée, une roulure, une viande à bites, un trou à foutre, le cul toujours prêt à accueillir une queue, à se faire bourrer, à se faire remplir … c'est vertigineux, et j'adore ça !

 

Le mail de ce Lionel est déjà là. Il a dû l'expédier en milieu d'après-midi, tout de suite après son coup de fil:

« Bonjour, je vous confirme notre conversation téléphonique de cet après-midi.

La "réunion" dont nous avons parlé se tiendra dimanche, dans la matinée, dans les locaux même de l'hôtel, qui lui sera entièrement et exclusivement réservé.

J'ai commencé à avertir par téléphone mes "correspondants" habituels, et j'ai déjà reçu confirmation de la présence de plusieurs d'entre eux, d'ores et déjà très impatients de participer. 

J'ai bon espoir d'en faire venir d'autres.

Vous voudrez bien ne pas oublier le "matériel" dont nous avons parlé.

Cordialement.

Lionel »

 

En pièce jointe, des photos de l'hôtel. Je l'avais déjà vu pour être passé devant, mais je n'avais pas remarqué qu'il était si grand. Il y a trois niveaux, un rez-de-chaussée et deux étages avec des galeries de bois qui courent sur les façades devant les chambres.

 

Je m'empresse de lui répondre sur le même ton:

«Bonjour,

Je vous confirme ma venue à la réunion de dimanche.

Je vous confirme que j'apporterai le matériel nécessaire.

Cordialement.

Marin»

 

Le soir, je me tripote en rêvassant à toutes ces bites qui vont encore entrer en moi et y répandre leurs charges de semence. Ces quatre jours s'écoulent vraiment très lentement. Je n'ai plus de nouvelles de Yolaine. Je pense en permanence à la nouvelle partie de cul qui m'attend, flatté que les mecs qui m'ont baisé parlent de moi, racontent ce qu'ils m'ont fait, vantent ma fringale de queues, ma docilité, ma soumission, mon goût pour le foutre. J'aimerais bien être une petite souris pour les entendre parler de moi. Les trois jours suivants, je me masturbe en anticipant ces nouvelles saillies.

 

Dimanche 19 novembre. 9 heures. 

Enfin, nous y sommes. Hier, j'ai préparé mon baise-en-ville de salope et je me suis pomponné en me rasant barbe, pubis, bite, couilles, périnée et anus. Ce matin, un ultime petit coup de rasoir sous la douche, ainsi que trois ou quatre lavements. J'ai à peine mangé hier pour limiter autant que possible les désagréments intestinaux. Je me mets en route. La fébrilité monte en moi au fur et à mesure que j'approche de N. Dans la zone commerciale où se trouve l'hôtel, il y a déjà pas mal de monde et de circulation. Les gens vont faire leurs courses au supermarché voisin, ouvert le dimanche matin. Il y a aussi un de ces bazars à prix bas qui reste ouvert le dimanche toute la journée. A cette heure de la matinée, seuls la pizzeria et le restaurant de viande sont encore fermés. 

 

Quand je me gare sur le parking de l'hôtel, il y a déjà (encore ?) quatre voitures. J'ai le cœur qui bat, mais pas à cause de l'appréhension. M'apprêter à me faire encore tripoter et baiser par une bande d'inconnus m'excite, et je me demande seulement combien ils seront. J'attrape mon baise-en-ville sur le siège arrière et je me présente à la porte de l'hôtel. Fermée ! Je colle mon nez à la paroi vitrée. Un homme est assis derrière le comptoir de la réception. Il a la tête baissée et je ne vois que son crâne … cheveux bruns et courts. Je toque à la porte. Il lève le nez, me découvre et d'un hochement de tête interrogatif, il me demande ce que je veux. J'approche mon visage de la porte vitrée je lui lance:

- Je suis Marin ! C'est moi qui viens me faire baiser !

 

Il sourit, se lève et vient débloquer la porte. Il est grand, trente cinq, quarante ans, pas mal foutu.

 

A mon entrée, il me sourit et me tend la main:

- Marin ?

 

Il ne m'avait pas reconnu. Au téléphone, il m'avait dit qu'il avait vu une de mes vidéos, mais j'y avais sans doute le visage flouté. Je lui serre la main:

- Oui, bonjour …

- Lionel. Bonjour. Ça va ? Tu as trouvé facilement ?

- Oui, je connaissais.

- Bon, viens dans mon bureau.

 

Je le suis. Il est pas mal, physiquement. Je réalise que j'éprouve déjà quelque chose d'étrange pour ce type … une sorte de … gratitude, d'attachement, de reconnaissance. Voilà un mec que je ne connais pas et qui a organisé pour moi un nouveau meeting de bites ! Enfin, je sais bien que, de son point de vue, il ne fait pas ça pour moi, pour mon plaisir, mais quand même … de mon point de vue à moi, c'est bel et bien un pourvoyeur de bites … et pour ça, je … en fait, c'est même un DEALER de bites ! Et ce que j'éprouve, ça doit être ce que ressent un junky pour son dealer juste avant qu'il lui fourgue sa dose. Oui, c'est ça ! Dans quelques minutes, grâce à lui, je vais encore me prendre des shoots de sperme ! Des mâles, leur queue enfoncée en moi, vont encore m'imprégner les muqueuses de leur semence ! Oh putain, l'instant où je sens un type éjaculer dans ma viande ! On va commencer quand ? Pour le moment, ce que je ressens, c'est des décharges d'adrénaline. Etre comme ça, totalement dans l'expectative, ne pas savoir combien de types vont être là … d'ailleurs, ils sont peut-être déjà là … quatre voitures, devant l'hôtel … A quoi ils vont ressembler, ces mecs ? Comment ça va se passer ? Où ils vont me baiser, dans une chambre ou dans ce hall … ou dans ce salon, que j'aperçois juste à côté ? Et je vais me prendre mon premier coup de queue dans combien de temps ? 

 

Son bureau se trouve juste derrière la réception.

- Assieds-toi … Bon, parle-moi de ce … gang bang …

- Qu'est-ce que tu veux savoir ?

- Ben, tout … comment t'es venue l'idée … si tu avais déjà fait ça avant … pourquoi tu fais ça … tout …

- Déjà, c'était mon premier gangbang. Et l'idée, c'est pas moi qui l'ai eue, même si j'en rêvais depuis un moment. C'est Philippe, un type rencontré par hasard quelques jours auparavant, qui me l'a proposé … 

- Ah oui? Tu ne connaissais pas le type qui t'a proposé ce gangbang ?

- Non.

- Tu le rencontres par hasard, et il te propose un gangbang … comme ça …

 

Il claque des doigts, les yeux écarquillés en hochant de la tête, visiblement sceptique, et il enchaîne:

- ... et tu acceptes … 

- Ah mais … il ne me l'a proposé tout de suite quand on s'est rencontrés, genre « Bonjour, tu m'a l'air d'être une sacrée salope, alors je peux t'organiser un gangbang géant, si tu veux » ! Non, avant, il m'avait … disons … chauffé  en me montrant sa bite, et on avait … enfin, comme j'ai du mal à résister à la vue d'une bite, j'avais fini par le sucer. Et c'est seulement après que l'idée lui est venue …

- Ah, OK. Comme ça, je comprends mieux. Donc, il avait tout de suite vu que tu n'étais pas farouche …

- Ben oui, c'est exactement ça. Ce jour là, je me baladais en vélo sans intention d'allumer un mec, mais je dois reconnaître que je portais un petit short moulant et un peu échancré, et quand il m'a dépassé à vélo, au bord du canal, il a tout de suite repéré mon cul. Qu'est-ce qui fait qu'il a alors eu l'idée de déballer sa queue et de me la montrer ? Je ne sais pas. Pourtant, quand je suis en mec, je n'ai pas l'air particulièrement efféminé, et je ne fais pas spécialement … lopette …

- Je te confirme. Tel que tu es aujourd'hui, on ne peut pas imaginer que tu sois aussi salope que ce que Jacky m'a dit … et que ce qu'on voit dans ta vidéo … Oui, alors ?

- Alors ? Ben, je ne sais pas quoi, mais quelque chose lui a fait penser que je n'étais pas farouche, comme tu dis, et il a sorti sa queue … A partir de là, j'étais cuit J'ai tout de suite su comment ça allait finir, et les choses se sont enchaînées: on s'est arrêtés sur un banc. Là, je l'ai branlé – même devant un couple de randonneurs, tellement j'étais excité -, j'ai commencé à le sucer et on est allés plus loin pour que je le finisse. Là, on s'est fait surprendre par un fermier, qui, au passage s'est soulagé sur moi pendant que je suçais Philippe. Et comme j'avais raconté à Philippe que la semaine précédente, je m'étais fait prendre de force par plusieurs mecs et que ça m'avait plu …

- Tu t'étais fait prendre de force par plusieurs mecs ?

- Oui … déjà dans un hôtel, d'ailleurs. Six mecs, au départ ! Des blacks. Enfin, au début, ils m'ont pris de force, les six, mais après, j'ai aimé ça, et je leur ai demandé d'aller chercher des potes à eux. Deux autres sont venus. Huit me sont passés dessus, en tout. Bref, ça doit être de lui avoir raconté ça qui a donné l'idée à Philippe d'organiser ce … gangbang … 

- OK. Comme ça, je comprends. Et donc, comme ça, tu acceptes de te faire … monter par n'importe quel mec qui a envie de te tirer …

- Ben oui … n'importe quel mec. Avant de franchir le pas, avant de commencer à me faire baiser, je ne fantasmais que sur les mecs bien équipés côté sexe, et beaux, bien foutus … mais, maintenant que j'ai goûté le plaisir de me faire baiser, je m'en fous … n'importe quel mec, du moment qu'il a une bite en état de marche entre les jambes …

 

Il hausse les sourcils, impressionné. Il enchaîne:

- Bien bien bien … et … dis-moi, tu te fais payer ?

- Si je me fais payer ? Ah ben, non !

 

Me faire payer ! La même préoccupation que Jacky.  Il a un drôle de petit sourire:

- Bon, c'est ce que Jacky m'avait dit, mais comme là, c'est différent, que tu me connais pas, je me demandais …

- Ah oui, au fait, pourquoi c'est pas Jacky qui m'a appelé pour … aujourd'hui ?

- Il ne pouvait pas.

- Il va venir ?

- Non.

- Comment ça se fait ?

 

Il me regarde intensément, réfléchit, puis semble se décider:

- Il est en taule, en ce moment.

- En taule ? ! ? !

- Oui. En taule … en prison.

- Mais … pourquoi ?

 

Il hésite encore une seconde, puis:

- Des histoires avec des filles … C'est un mac, t'es au courant ?

- Ben … oui. 

- Ben voilà, c'est pour ça … entre autres … Il a été arrêté au début du mois.

 

Alors, juste après être venu me baiser chez moi !

- Ah bon ? Mais …

- Il avait déjà été en taule pour ça. C'est un récidiviste, alors cette fois, il va sans doute y rester un moment. Il m'avait parlé de toi quelques jours après ta séance chez son copain Jeannot … et il avait prévu de t'organiser lui-même la séance d'aujourd'hui, ici … Il t'a proposé de travailler pour lui, non ?

- Ou… oui.

- Ben voilà, il voulait que tu fasses un essai. Il t'en avait parlé ?

- Oui.

- Comme il s'est retrouvé en taule, il m'a chargé de l'organiser, ton essai …

 

Devant mon air ébahi, il précise:

- … il me l'a demandé par l'intermédiaire de son avocat.

- Ah OK. Mais … il a été arrêté pour proxénétisme, alors ?

- Non non … enfin, pas seulement … violence et extorsion, aussi. Il est pas seulement proxénète. Mais tu lui demanderas des précisions quand il sortira.

 

Bon, à son ton, je sens qu'il n'en dira pas plus. Il m'observe, les yeux plissés: 

- Bon, très bien, très bien … donc, tu ne te fais pas payer. Mais, faut que je te prévienne … les mecs qui vont venir et qui vont te baiser, ils VONT payer …

- Ah non, c'est pas la peine …

- Tsss tsss tsss … t'as pas compris … SI, ils VONT payer ! Ils VONT ME payer MOI !

- Ah bon ? Mais …

- Je te rappelle, c'est un essai comme tapineuse, que tu vas faire, aujourd'hui … et c'est comme ça … d'habitude, ils payent, alors là, ils vont aussi payer … Ça te pose un problème ?

- Ben … c'est à dire …

 

En fait, je ne suis qu'à moitié surpris. Au téléphone, mercredi, il n'avait pas été question d'argent, et ça ne m'étais pas du tout venu à l'esprit.  Mais c'est bel et bien le fameux "essai" comme pute que Jacky voulait que je fasse. Aujourd'hui, on va m'essayer comme pute ! Je vais faire la pute ! Et les mecs qui vont me passer dessus vont payer ! J'essaie de m'imprégner de cette idée. Et à la réflexion, ce n'est pas pour me déplaire. Le seul truc qui me chiffonne, c'est que c'est LUI, ce Lionel, qui va encaisser … Enfin, ça ne me chiffonne pas vraiment. Je m'en fous, même … moi, ce que j'aime, c'est me faire baiser. Que des mecs paient ce Lionel pour ça, si ça leur convient, pourquoi pas ! Au moins, à l'avenir, quand je me ferai traiter de pute, ça ne sera pas pour rien. 

 

PUTE !       PUTAIN !       GAGNEUSE !      TAPINEUSE !

 

Aujourd'hui, je vais VRAIMENT FAIRE LA PUTE ! Je vais entrer dans le cercle des salopes qui font du fric avec leur cul ! Il y en a, c'est par nécessité, moi, c'est par goût. Mais du coup, ce mec, ce Lionel … il va être mon mac, mon souteneur, mon proxo ! Oh, putain, j'aime bien l'idée, finalement ! Je ne m'attendais vraiment pas à ça ! Un frisson de chaleur et d'excitation me submerge de la tête aux pieds. Je ne vais plus être seulement la salope affamée de bites dont on se refile les coordonnées pour tirer un coup, je vais aussi devenir la pute que le premier julot venu pourra exploiter à sa guise. Des mecs vont cracher de la tune pour me baiser !

 

Lui, là, derrière son bureau, je le regarde. Finalement, sous son apparence de chef d'entreprise, ce type, c'est ni plus ni moins un proxénète, un mac, un maquereau, un julot … Non, en fait, c'est mieux que ça: aujourd'hui, il va être MON mac … il va être MON souteneur … il va être MON julot ! 

 

MON HOMME !

 

Au fond de moi, je réalise que la cause est entendue. J'éprouve la même chose que l'autre fois, pour Denis, quand j'ai réalisé qu'il m'avait amené dans le bar de son pote Jeannot pour m'offrir à des inconnus … l'étrange sensation de véritablement APPARTENIR à celui qui va disposer de moi, à celui qui va me prêter à des inconnus … aujourd'hui, je vais être en quelque sorte la propriété de ce mec, qui va LOUER mon cul à des clients ! C'est à la fois très grisant et … rassurant … sensation très étrange et très agréable … avoir un souteneur, avoir un mac, avoir un protecteur … avoir un homme ! Je sens qu'accepter les conditions de ce type, accepter de me faire baiser par les clients qu'il va me présenter, accepter, en fait, de faire des passes pour son compte, c'est accepter d'être à lui !!! Et je prends soudain conscience d'une évidence: au fond de moi, je suis déjà à lui ! En venant dans SON hôtel me faire baiser par SES clients, je me suis donné à lui ! Je ne le connais pas, c'est peut-être un salaud, une ordure, un tordu, mais je m'en fous, je m'abandonne à sa volonté, qu'il dispose de moi comme il veut, qu'il me prête, qu'il me loue, du moment que c'est pour des coups de bite !

 

Il ne m'a fallu que quelques secondes pour faire mentalement le tour de la question. Il est resté silencieux jusque là, sans doute pour me laisser digérer ce qu'il vient de m'annoncer, et à la petite lueur qui brille dans son œil, j'ai l'impression qu'il a deviné le cheminement de ma pensée. Le changement de mon expression n'a pas pu lui échapper, et je le sens content de lui.

- Alors ? T'as une objection ?

 

Je lui souris

- Non non … je … je suis d'accord. J'ai été surpris, je ne m'attendais pas à ça, c'est tout … mais finalement, c'est plutôt bien … ce sera la première fois que des mecs paient pour me baiser … ça me plaît bien, même … Oui, je suis d'accord … je vais faire des passes … 

 

Avec une moue d'étonnement, il écarquille les yeux, hoche la tête:

- Ben dis donc, je l'avais déjà remarqué au téléphone …t'es vraiment … facile !

- On me l'a déjà dit … on m'a même déjà dit que j'étais une fille facile.

- Une fille facile … oui, c'est ça. On dirait même que faire le tapin, ça t'excite …

- Ben oui … jusqu'ici, j'étais seulement … une salope … mais maintenant, je vais VRAIMENT être une pute … je vais faire du fric avec mon cul …

 

Il hoche la tête et poursuit:

- Ben toi, t'es un phénomène ! Bon, en tout cas, c'est bien que tu le prennes comme ça. Tu sais, d'habitude, on fait ça avec des femmes … assez souvent des femmes mariées qui ont envie de se faire sauter, et elles se font pas payer non plus, celles-là … les types qui les baisent paient, évidemment, mais à moi, pas à elles … et parfois, c'est avec des vraies putes quand on n'a pas trouvé de femme mariée … c'est les filles de Jacky, le plus souvent. Les vraies putes, on les paye, évidemment … Mais c'est la première fois qu'on fait ça avec un mec … enfin, avec un travelo … Tiens, d'ailleurs, si tu voulais te mettre en tenue …

- Ici ?

- Oui, ici. Faut que je voie … Ça te gêne ?

- Pas du tout. 

 

Me gêner ? Tu ne me connais pas encore, mec ! Je me lève et je commence à me déshabiller. Il m'observe. Ce n'est qu'en ôtant mon pantalon et mon string que je réalise que je bande déjà un peu. Penser à ce qui va m'arriver et raconter mes … expériences a commencé à m'exciter. Quand je suis complètement à poil, de la main, index levé, Lionel me fait signe de tourner sur moi-même. Je m'exécute. Je sais bien que je suis très loin d'être un canon, surtout avec mon début de bide. Mais je sais aussi que ma chute de reins, ma cambrure, mon cul et mes cuisses ont le don d'exciter les mâles. Avant que j'aie terminé un tour complet, il commente:

- Ah ben oui, je comprends qu'il ait flashé sur ton cul, ce Philippe !

 

Je finis de tourner, je m'immobilise et j'attends. 

- Continue, mets-toi en tenue.

 

Je fouille mon baise-en-ville et pendant que je sors mes bas rouges déjà attachés à un porte-jarretelles, il poursuit:

- Là, j'ai encore quelques clients dans l'hôtel, mais une fois qu'ils seront partis, on ferme et on reste entre nous … avec les mecs qui vont venir te baiser, évidemment … Tu sais, j'étais pas trop chaud, pour prendre un mec … et puis Jacky m'a montré ce que tu sais faire, alors j'ai accepté d'essayer …

 

Assis les fesses au bord de mon fauteuil, j'enfile et je lisse mes bas sur mes mollets. Il me regarde faire, et enchaîne:

- D'ailleurs, en parlant d'essayer … je VAIS t'essayer …

 

Il m'observe, guette ma réaction. Je continue d'ajuster mon porte-jarretelles. Devant mon absence de réaction, il s'inquiète:

- Tu dis rien ?

- Ben non … tu vas m'essayer …

- Oui, avant de te mettre au taf, il faut quand même que je vérifie ce que tu sais faire … Ça te pose un problème ?

- Mais non, pas du tout … c'est la moindre des choses … tu voudras que je te taille une pipe, ou tu voudras me baiser ?

- Déjà une pipe … je te baiserai peut-être plus tard …

- De toute façon, avant qu'on me baise, il faut que je passe à la salle de bain …

- Oui, évidemment …

 

Au moment où je me lève pour finir de remonter mon porte-jarretelles sur mes hanches, la porte s'ouvre et une femme entre: grande, mince, brune, cheveux très courts, plutôt bien foutue, très moulée dans un jean blanc, et perchée sur des escarpins. Je ne m'attendais pas à ça. Je ne sais pas pourquoi, je n'avais pas imaginé une femme dans cette histoire. Elle n'a pas l'air le moins du monde surprise de me trouver là et dans cette tenue.

- Chérie, je te présente Marin … c'est lui notre … invité d'honneur, aujourd'hui … Ma femme, Carole …

 

Ah bon, sa femme ! Apparemment elle sait pourquoi je suis là. Elle me tend la main en m'examinant de la tête aux pieds. Elle a un regard froid et dur:

- Alors, aujourd'hui, c'est toi qui fais des passes …

- Oui, c'est moi.

- Tu étais en train de te mettre en tenue … continue …

 

Après un court moment de gêne dû à la présence inattendue de cette femme, je me dis que je me suis trouvé dans des situations bien plus délicates. C'est seulement maintenant que je réalise qu'elle baigne dans un parfum très sensuel. Je sors ma minijupe rouge, un string rouge et mon corsage bleu électrique, bariolé de couleurs vives. Lionel:

- Viens mettre ça ici, à côté de moi … approche …

 

J'approche, et pendant que j'enfile mon corsage, il me met une main au cul … devant sa femme ! Elle ne bronche pas, nous observe. Il me palpe une fesse … l'autre … me la pétrit et observe:

- Pas mal ! C'est ferme.

 

Il n'y a rien à faire, j'ai toujours le même plaisir à me faire tripoter comme une bête de boucherie. Puis il glisse ses doigts entre mes fesses et me palpe la raie.

- Ah, t'es rasé là aussi … c'est bien … vas-y, mets ta jupe … le string, ce sera pas la peine …

 

Tant bien que mal, sautillant d'un pied sur l'autre, j'enfile ma mini jupe. Elle m'arrive vraiment à ras du cul et je sens que ma bite dépasse un peu sous l'ourlet. J'enfile mon corsage. Assez ample, il masque un peu mon bide. Lionel enlève sa main et commente:

- C'est pas mal … tu fais en effet assez pute, comme ça … ça m'étonne pas que tu excites des mecs … t'en penses quoi, chérie ?

- Oui, c'est bien … ça va le faire, je pense …

- Bon, qu'est-ce que t'attends ?

 

C'est à moi qu'il s'adresse.

- Qu'est-ce que j'attends … pour ?

- Pour me sucer …

 

Toujours devant sa femme ! Je la regarde. Un petit sourire aux lèvres, elle s'amuse de mon étonnement. Puis, d'une mimique, elle me signifie « Ben, oui, vas-y, suce-le ! ». Putain, c'est la première fois que je vais faire ça: sucer un mec devant sa femme ! Sucer la bite qu'il fourre habituellement dans la chatte de cette superbe femelle ! Bon. Il a tourné son fauteuil vers moi. Je m'agenouille entre ses pieds, je pose mes mains sur l'intérieur de ses cuisses et je lui écarte les jambes. Je lui caresse les cuisses, assez vigoureusement, puis je remonte lentement vers son entrejambe. Ah, je sens quelque chose dans sa jambière droite. Son paquet ! Il ne doit pas porter de slip, là-dessous … peut-être un caleçon …  A travers la toile, j'enserre son paquet de mes deux mains … voilà sa bite … et ses couilles. Je me penche et je pose les lèvres sur la bosse que fait sa verge. Hhmmmm, je sens la chaleur de sa queue à travers le tissu. Je lui tâte le paquet de plus en plus fébrilement, et c'est plus fort que moi, tout en parcourant fiévreusement son sexe des lèvres, je ne peux m'empêcher de manifester mon plaisir:

- Hhhhmmmmm !

- Et ben, dis donc … tu démarres au quart de tour, toi … et t'as vraiment l'ait d'aimer ça !

 

Je sens sa bite réagir sous le tissu: elle frémit et doit commencer à gonfler. Au moment où j'ouvre davantage la bouche pour prendre sa queue entre mes lèvres, du coin de l'œil, je vois une de ses mains saisir la boucle de sa ceinture de cuir, et l'autre en empoigner l'extrémité. S'il veut déballer sa queue, c'est qu'il a de plus en plus envie. Mais non ! C'est moi qui fais ça ! Je me redresse et j'écarte ses mains:

- Non ! C'est moi qui sors ta queue !

 

Il sourit et écarte ses mains. Carole s'est approchée, sans doute pour mieux voir, parce que le bassin de son mari et moi sommes à moitié dissimulés par le bureau. Elle pousse un pot à crayons et un sous-main et pose négligemment une fesse sur le meuble. Elle est si près de moi qu'en s'asseyant, son pied m'a frôlé. Et je sens son parfum … sensuel. Ah, putain, ça me plaît beaucoup de tripoter ce mec sous les yeux de sa femme ! Je sens qu'à son tour, ma queue se réveille. 

 

Je détache la ceinture et je défais un à un les boutons de sa braguette avant d'écarter les pans du vêtement. Il ne porte rien dessous, en effet. Son pubis, pas très poilu, apparaît. Je glisse une main à l'intérieur. Son sexe est là, dans cette jambière … oui, déjà un peu gonflé. Délicatement, je l'extrais. Pas mal … Apparemment, sans être vraiment rasé, il a raccourci les poils de son pubis et de sa queue. Sous mes yeux, je vois son sexe grossir. Une goutte translucide perle déjà à l'entrée de son méat. Je l'excite ? Notre conversation y a sans doute contribué. Je pose mon index sur cette goutte de liqueur pré-éjaculatoire, le l'étire en un long fil visqueux, et, d'un coup de langue, je le lèche. Puis, je le masturbe deux ou trois fois, je me penche et je pose ma langue sur sa hampe. Je remonte jusque à son gland et je le prends entre mes lèvres. Oh oui, ça y est, j'ai encore une queue dans la bouche ! Et ce mec, je le suce devant sa femme ! Je l'enfonce dans ma bouche en le décalottant. Je sens son gland s'épanouir sur ma langue et je commence à le pomper. Cette queue, toute chaude, et douce dans ma bouche, habituellement, ce mec l'enfonce dans la bouche ou dans le ventre de sa femme … cette femelle superbe qui est en train de m'observer … et il y répand sa semence … A tâtons, je cherche sa main sur son accoudoir, je la prends et je l'attire sur ma tête. Il se laisse faire:

- Dis donc, tu t'y prends bien … c'est bien, je pense que tu vas leur plaire, à mes clients …

 

Ding ! Ding !

La sonnette de la réception. Un client demande quelqu'un. Carole se lève lentement, comme à regret, et se dirige vers la porte. Et là, je réalise que le bureau derrière lequel je suce ce mec est tourné de telle façon que, si Carole ne fait pas attention en sortant, si elle ouvre trop cette porte, si elle ne se place pas dans l'encadrement pour nous masquer à la vue de ce client, il me verra en train de tailler une pipe à Lionel. Moi, ça ne me gêne pas, mais lui ! Et ses deux mains sur ma tête, il me retient:

- Continue !

 

D'accord ! Il s'en fout ! Sa queue toujours dans la bouche, je me contente de regarder, comme je peux, du coin de l'œil vers cette porte. Le cul moulé de blanc de Carole ondule jusque là … elle ouvre la porte en grand … et ne la referme pas … Et en effet, du coin de l'œil, j'ai tout juste le temps d'apercevoir la tête d'un type, au-dessus du comptoir de la réception, avant que l'épaule de Carole ne le masque… Mais lui aussi a dû avoir le temps d'apercevoir quelque chose, parce que le type, jeune, se décale un peu et me regarde … nous regarde … Il a un moment de surprise, semble ne pas vraiment comprendre ce qu'il voit ... puis, d'un seul coup, son visage s'illumine. Ça y est, il a compris ! Lionel me tapote la tête:

- Arrête un peu, toi !

 

Je sors son sexe de ma bouche, je me redresse et je me tourne vers la porte grande ouverte et la reception, tout en continuant de masturber Lionel. 

Le client:

- Euh … bonjour … je … je … je voudrais payer …

 

Carole:

- Oui, votre note est prête … carte bancaire ? 

- …

- Monsieur ! Carte bancaire ?

- Euh oui … excusez-moi … C'est … tellement … surprenant …

 

Il nous désigne du menton. Carole a remarqué son mouvement et se tourne vers nous comme pour voir ce qui a attiré son attention – elle doit pourtant s'en douter ! – et au lieu de s'empresser de refermer la porte, elle se déplace un peu comme pour bien dégager la vue de son client sur la branlette que j'administre à son mari !  

- Ah oui, pardon, j'ai laissé la porte ouverte … Et bien, c'est mon mari … il se fait masturber, comme vous voyez …

 

Comme si c'était tout à fait naturel !

- Je vois … Et celui qui … c'est … c'est un …

- … un travesti … oui, c'est un travesti …

- Ça vous dérange pas ?

- Quoi donc ?

- Ben, que … que votre mari se fasse masturber … comme ça, devant vous …

- Non, nous sommes un couple très libre … votre code, Monsieur …

- Ah oui, pardon …

- Il n'y a pas de mal … reprenez votre carte … voilà votre ticket et votre facture … Ça vous dirait ?

- Quoi …

- De vous faire masturber aussi … ou sucer, si vous préférez …

- De … me … de me faire sucer ? Par … par vous ?

- Ah non, Monsieur, bien sûr que non … par ce travesti …

- Par ce travesti ?

- Oui, par ce travesti … il est là pour ça … on nous en a dit le plus grand bien … 

- Ah bon ? Je … je sais pas … j'ai pas le temps … on m'attend …

- Ça ne serait pas long …

- Mais … il est … il est déjà avec votre mari, là …

- Il arrêtera de masturber mon mari … il le finira plus tard … et il vous suce, vous …

- Ah ben … pourquoi pas, alors … mais, il est d'accord, le … le travesti ?

 

Un mâle de plus que ça ne dérange pas de se faire sucer par un trav ! Décidément ! Carole enchaîne:

- Il est là pour ça … donc, il est d'accord …

- Bon, je … on fait ça où ?

- Ici, derrière le comptoir …

- Ah ben non ! Y'a pas plus discret ?

- Dans le bureau ?

- Oui, je préfère …

- Faites le tour … entrez …

 

Lionel me tapote la main:

- Arrête et relève-toi … va t'occuper de Monsieur … bonjour, Monsieur …

- Bonjour.

- Installez-vous sur le canapé … là, derrière la porte.

 

C'est parti, on dirait: je laisse une queue pour m'occuper d'une autre … Et ça me plaît, c'est un inconnu, un client … mon premier client, et c'est mon mac et ma maquerelle qui m'offrent à lui. Est-ce qu'ils vont le faire payer, celui-ci ? Je commence comme pute, ou je continue comme simple salope ? Tandis que je me relève, le type pose son bagage en m'examinant de la tête aux pieds, les yeux ronds:

- C'est vrai ? Vous … vous être d'accord ?

- Oui. Comme Madame … Carole vous l'a dit, je suis là pour ça …

- Bon …

 

Je m'avance vers lui et je le pousse vers le canapé. Il se laisse tomber, bras ballants, jambes écartées. Ma deuxième bite, ce matin … je vais sucer ma deuxième bite ! La première bite d'un client, j'espère ! Vite ! Déjà fébrile, je m'agenouille et j'entreprends tout de suite de le déboutonner et de descendre son zip. Dans ma précipitation, je m'empêtre dans les pans de son pantalon que j'essaye fiévreusement d'écarter. Je lève un instant les yeux sur lui. Il me regarde, l'air effaré. Je fouille l'intérieur de son pantalon. Il porte un caleçon. Je glisse ma main dedans. Il est mou et petit. Je descends la ceinture de son caleçon jusque sous ses couilles, et sa queue apparaît. Petite queue, toute poilue. Je le manipule quelques secondes et il commence à gonfler. Je le décalotte. Son gland est tout pointu, effilé … pas terrible, mais peu importe. Ce mec doit sortir de la douche, sa bite sent le savon parfumé à je ne sais quoi. Je me penche et je le prends dans la bouche. Hhhhmmmm, ouiiii, encore une bite ! J'espère qu'ils vont le faire payer … ma première pipe de vraie pute ! J'entame tout de suite un va et vient furieux en pressant mes lèvres sur sa hampe. Et ça fonctionne ! Sentir grossir entre ma langue et mon palais ce petit cylindre de chaire chaude, vivante … ce sexe d'homme … cet organe reproducteur … et me dire que là, JE SUIS EN TRAIN DE TRAVAILLER  !!! Je vais faire jouir ce type, je vais lui faire cracher sa dose de sperme et ça va rapporter du fric ! J'adore ce boulot ! Mon excitation monte. Je devine Carole, debout à côté de moi, et son mari, toujours assis à son bureau, qui nous observent. A sucer devant eux ce type, cet inconnu sans aucune réticence, je me sens tellement indécent, impudique, dépravé …

 

On me tape sur l'épaule. Sans cesser de pomper mon client, je regarde de ce côté. Carole me tend un étui de préservatif:

- Mets-lui ça !

 

Je me redresse, et, tout en masturbant le type, je lui souris:

- C'est pas la peine, je …

- Si !!! Tu lui mets ça !

 

Putain, elle ne rigole pas, la Carole ! Je me tourne vers son mari. Il me sourit et il hoche la tête:

- Fais ce qu'on te dit !

 

Ah bon ! Je lâche la queue du client, visiblement un peu désemparé, et je prends la capote. Je la déballe et j'entreprends d'habiller la queue du type … qui se laisse faire. Et je reprends ma pipe. Pour moi qui ai l'habitude de sucer les mecs à cru, c'est assez désagréable, à la fois ce goût de lubrifiant et cette consistance … Mais bon, puisqu'il le faut … 

 

Soudain, je vois Carole se laisser tomber à son tour sur le canapé, à droite du type que je suis en train de sucer, et tout contre lui. Hhhmmmm, ce parfum ! Je lève les yeux sur lui. Il est tout aussi surpris que moi, gêné, même. Elle me dévisage, le regard fixe et, sans la moindre hésitation, elle écarte les cuisses, déboutonne son pantalon, descend son zip, et glisse sa main dans son pantalon, sur son mont de Vénus ! Putain, elle va se tripoter devant son mari ... et ce client ! Je distingue nettement les bosses que font son index, son majeur et son annulaire sous la toile tendue de son jean. Elle se cale bien le dos contre le dossier du canapé, y appuie sa nuque, tend son bassin en avant et commence à bouger lentement son majeur. Le spectacle de la pipe que je taille à son client l'a excitée, et elle se masturbe ! Elle se malaxe le clitoris ! La tête légèrement rejetée en arrière, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, elle m'observe. Oh, putain, c'est très excitant de voir cette jolie femme se donner du plaisir en me regardant sucer un mec ! Si je n'avais pas cette bite dans la bouche, je me laisserais bien aller à loger ma tronche entre ses cuisses à elle, pour lui bouffer la chatte ! Et comme si se caresser ne lui suffisait pas, elle tend la main vers le ventre de son voisin, prend la base de sa verge entre ses doigts et accompagne ma turlute en le masturbant. Je sens ses doigts contre mes lèvres. Entre ses cuisses, je ne vois plus que les bosses de son index et de son annulaire. Elle a enfoui son majeur dans son vagin, et elle commence à haleter en agitant ses doigts de plus en plus vigoureusement. Carole ! Carole et Lionel … quel couple !

 

Ce type, le client, est un rapide et, en plus de la vigoureuse fellation que je lui administre, sentir cette femelle se donner du plaisir tout contre lui en lui tenant la queue, ça l'achève. Il se penche soudain en avant, me prend la tête à deux mains, et cherche à me repousser:

- Attention ! Attention, je viens !

 

Oui, vas-y, viens, viens ! Je résiste, je passe mon bras derrière ses reins pour le cramponner, je secoue la tête de droite à gauche en gémissant pour qu'il comprenne que je veux qu'il jouisse dans ma bouche. Son orgasme est trop violent et c'est lui qui cède, se rejetant en arrière contre le dossier du canapé:

- Aaaaaah, puuu … taiiiin !

 

Il halète pendant que je sens son sexe tressauter dans ma bouche et un premier jet de crème chaude remplit le réservoir du préservatif. Contre mes lèvres, les doigts de Carole tremblent. Nouveau jet de sperme … encore … encore … et soudain, je sens à la fois le type et sa queue se ramollir d'un seul coup. Il a fini, et il débande presque instantanément ! Je n'avais encore jamais vu ça ! La capote, soudain devenue trop grande, flotte autour de sa verge. Cette fois, il repousse ma tête avec plus de conviction:

- Arrêtez, maintenant …

 

Je sors sa bite de ma bouche et je me redresse. Le type repousse la main de Carole, se met debout, tout contre moi, j'ai son oiseau juste sous le nez … il ôte la capote, et hésite, ne sachant quoi en faire. Je la lui prends des mains. Alors il se remballe, referme son pantalon et me contourne pour s'en aller. Je regarde la femme. Toujours adossée au canapé, elle semble s'être reprise. A-t-elle joui ? Elle sort sa main de son jean, se lève à son tour, et remonte son zip.

 

Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !

 

C'est Lionel:

- Bravo ! T'es effectivement une sacrée suceuse … et puis, pour avoir excité Caro comme ça … bravo …

 

Je me relève, je fais un nœud au préservatif, je contourne le bureau et je laisse tomber la poche de latex dans la corbeille. Le type a déjà récupéré son bagage et il attend à côté de la porte:

- Bon, ben … merci … et au revoir …

- Attendez ! C'est cinquante €uros !

 

C'est Carole. Elle s'est levée précipitamment et s'est placée entre le type et la porte. Elle le dévisage avec le regard dur qu'elle avait tout à l'heure. Le type:

- Pardon ?

- C'est cinquante €uros.

- Vous plaisantez …

 

Sidéré, il regarde Lionel, me regarde, cherchant confirmation que c'est une blague. Carole:

- Pas du tout … une pipe, c'est cinquante €uros …

- Pourquoi, ce … ce travelo, c'est … c'est une pute ?

- Oui, c'est une pute …

- Non, mais … je vais pas payer … c'est vous qui m'avez … proposé …

- Et alors ?

- Non, non, je paierai pas …

- Comme vous voulez … vous revenez encore avec votre patron, le mois prochain ?

 

Le mec est sidéré. Mâchoire pendante, il nous regarde l'un après l'autre. 

- Ah, OK … je vois … mais vous savez, il suffit que je lui dise que je suis pas content de vos services et que je lui suggère d'aller ailleurs le mois prochain …

- Bien sûr, mais dans ce cas, nous l'appelons pour lui demander si c'est la pipe que Monsieur vous a taillée qui ne vous a pas plu …

- Vous … vous le feriez pas …

- Vous pariez ?

- Bon, ça va … vous êtes des … vous êtes vraiment des tordus …

 

Il fouille la poche intérieure de sa veste, sort son portefeuille, en extrait quelques billets, les compte et les tend à Carole. Elle les prend, ouvre la porte, et:

- Merci … alors au mois prochain … 

- Oui, c'est ça … 

 

Il disparaît dans le hall. Carole le suit et je l'entends lui ouvrir la porte de l'hôtel. Elle revient, s'approche du bureau, y dépose les billets, se tourne vers son mari qui s'est rhabillé, et, d'un coup de menton, elle l'interroge:

- Alors ?

- Ben … moi, c'était pas mal … et avec ce pignouf, là, il a été super efficace … et toi, ça t'a plu, on dirait … ça t'a excitée, non ? 

- Oui …

 

Putain, qu'elle est belle ! Je me rends compte que son jean lui moule vraiment la chatte. La couture centrale lui rentre dans la fente et met en relief ses grandes lèvres. Je me demande si elle porte une culotte. Sans doute pas. Ma contemplation ne lui a pas échappé et, évidemment, elle ne semble pas le moins du monde gênée que je la déshabille comme ça des yeux. Elle sourit. Lionel me sort de ma contemplation:

- Bon, jusque là, t'es à la hauteur de ta réputation …

 

Je m'approche de lui:

- Merci. Tu veux que je te finisse ?

- Pardon ?

- J'ai commencé à te sucer, mais je ne t'ai pas fini … je peux ?

 

Il rit:

- Ah non … on verra ça plus tard … T'as déjà eu une bonne mise en bouche … 

- Oui, mais … j'aime pas sucer avec une capote.

- Ça ne fait rien que t'aimes ou que t'aimes pas. Ça sera avec capote. Tu sais, c'est pas pour toi. Si t'as pas peur de te faire contaminer, ça te regarde, mais moi, je protège mes clients pour que toi, tu les contamines pas, et pour qu'ils se contaminent pas entre eux en trempant tous leur biscuit dans le même cul …

 

Mouais ! Et lui, alors ... il n'a pas mis de capote, pour que je le suce ! Ça, ça ne me plaît pas, sucer et me faire baiser avec capote. Me faire enculer, oui, mais si les mecs ne me déchargent pas directement dans le ventre … Il me regarde intensément, et il reprend:

- Tiens, d'ailleurs ... t'as pas entendu dire qu'il existe un traitement préventif contre le SIDA, pour ceux qui baisent comme toi, sans capote ?

- Ah bon ?

- Ouais. On en parlera plus tard. Je te donnerai les coordonnées d'un service hospitalier où on pourra te le prescrire.

- Ben … d'accord …  

 

Un traitement préventif contre le SIDA ? Je ne savais pas que ça existait, mais  pourquoi pas ! Avisant les billets posés sur le bureau, je me renseigne:

- Alors, c'est 50 €uros, pour une pipe ?

- Comme tu vois …

- Ma première pipe payante … mes premiers 50 €uros …

- Hé ! C'est pas pour toi, je t'ai dit !

- Je sais, je sais … Et le reste ? Si ils m'enculent, c'est combien ? 

- Ben … pourquoi, tu veux savoir ça ? 

- Comme ça … ça m'intéresse … pour savoir combien je vaux …

- Tu connais pas les tarifs ?

- Ben non.

 

Il regarde sa femme:

- On va voir … comme c'est la première fois avec un … avec toi, on ne va pas y aller trop fort … mais si ça marche bien, si ils en redemandent, on reverra les prix … si ça marche bien aujourd'hui, tu reviendrais ?

- Je … je sais pas … Pourquoi pas … Et alors … combien ?

- Ben, avec nos habitués, je pense qu'on peut demander 50 €uros pour une pipe, et 100 €uros pour te baiser.

- 100 €uros pour me baiser ?

- Ouais. Toujours avec capote … ça nous paraît correct … pour commencer, hein.

- Ceux qui veulent me baiser, je peux les sucer, avant ?

- Ben oui, évidemment … tu peux les chauffer …

 

Il tend la poignée de billets vers moi, et il me les passe sous le nez:

- Tiens, sens-les, tes premiers 50 €uros … alors, ils sentent pas un peu la bite ? Si on fait une bonne recette, tu auras peut-être un petit quelque chose … bon, tu voulais passer à la salle de bain …

- Oui … il y a un bidet ?

- Oui, oui, suis-moi …

 

Il m'entraîne par une deuxième porte de son bureau. Après une sorte d'entrée qui semble donner sur l'arrière de l'hôtel, nous traversons un salon, puis il m'ouvre une porte.

- C'est ici, la salle de bain. Dans le placard, il y a tout ce qui faut comme serviettes, gants et compagnie … A tout de suite.

 

Il disparaît. En effet, dans le placard, il y a tout ce qu'il faut … y compris des gels intimes pour femme … et du lubrifiant. Je retrousse ma jupette sur mes fesses, je m'installe sur le bidet et je me refais plusieurs lavements.  Je me lave, je me sèche, et je m'enduit déjà un peu le fourreau de gel lubrifiant. Puis, impatient, je regagne le bureau. La porte qui donne sur la réception est encore ouverte. Lionel et Carole, debout derrière le guichet, me tournent le dos, apparemment en train de discuter avec des clients… Des clients de l'hôtel, ou … mes clients à moi? Dans le doute, je me dirige aussi discrètement que possible vers le canapé. Si ce sont des clients de l'hôtel, inutile de me faire remarquer.

- Tiens, le voilà !

 

On dirait que je suis repéré. Lionel passe la tête dans le bureau.

- Ah, ça y est ? Tes premiers clients sont arrivés … viens !

 

Décharge d'adrénaline. Me voilà à la réception. Ils sont trois, accoudés au guichet, qui m'examinent attentivement de la tête aux pieds, qui me déshabillent du regard … Ces types vont me baiser ! Ce qu'ils voient semble les étonner, mais leur convenir. Voilà donc mes premiers clients … Il y en a un, très grand et un peu enveloppé, blond, cheveux courts, type nordique, et deux autres, plus quelconques, bruns, de taille moyenne, dont un barbu … mes premiers VRAIS clients … oui, parce que l'autre, que j'ai sucé il y a un quart d'heure, c'était un peu un hasard … il n'était pas là pour ça, à la base, et pour moi, ça compte pas vraiment … mais ces trois-là … ces trois-là sont venus exprès … ces trois-là sont venus jusqu'ici POUR me baiser … et ils vont casquer ! Ça me fait quand même un drôle d'effet de me retrouver en présence de ces trois types … mes clients … que je vais devoir faire jouir … essayer d'imaginer des types qui allaient me baiser pour rien, comme je l'ai fait dès le coup de fil de Lionel, c'est une chose … mais, avec des clients qui payent, c'est autre chose, la relation n'est pas la même … depuis qu'il m'a annoncé que ceux qui me baiseraient devraient payer, je n'ai pas trop eu le temps d'y penser, mais cette fois, j'y suis ! J'ai le cœur qui bat et un frémissement très agréable m'électrise la rondelle, rappelant à mon attention la sensation mouillée et glissante du gel lubrifiant que je me suis introduit il y a quelques minutes. M'occuper de ces trois types ne m'inquiète pas, parce que je sais que je vais les faire jouir, mais il y a du fric à la clé, et ça me plairait bien qu'après avoir tiré un premier coup, je leur donne envie de recommencer … de revenir régulièrement …  Le grand type siffle entre ses dents, et:

- Ah ouaiiiiis !

 

Lionel, à mon intention:

- Va … sors de derrière ce guichet … qu'ils te voient …

 

En contournant le guichet, je m'aperçois que, dessus, il y a déjà un petit paquet de billets … il me semble reconnaître au moins un billet de 50 ! Lionel prend la poignée de billets et me la montre en l'agitant. Alors, il représente quoi, ce paquet de billets ? Trois turlutes ou trois coups de queue dans le cul ? Me voilà face à ces trois mecs … J'ai le regard irrésistiblement attiré par leurs bas ventres, et j'essaie de deviner la forme et la taille de leurs sexes. Comme j'aimerais avoir le don de voir à travers le tissu ! Et puis peu importe … là, dans ces pantalons, il y a trois sexes masculins … trois sexes avec des réserves de sperme que ces types ont besoin ou envie de faire dégorger … Le barbu me tend la main. Je la lui serre et, à mon tour, je la tends aux deux autres. Le grand type blond me prend par l'épaule et me fait pivoter sur moi même. A mi parcours, il m'arrête, et je sens qu'il soulève ma minijupe:

- Fais voir ton cul … ouais … pas mal …

 

J'adore ça, être examiné comme ça ! Il me plaque ses deux mains sur les fesses, me les palpe, me les pétrit:

- Hhhmmmm ouais … tu dois être bonne, toi … Ça va nous changer ... d'habitude, Lionel, il ne fait venir que des salopes …

- Mais tu vas voir, lui aussi, c'est une salope !

 

Lionel, qui croit utile de préciser. L'autre reprend:

- Oui … des salopes femmes, je voulais dire.

 

Il se plaque le ventre contre mon cul et commence à me peloter les hanches, le ventre, la poitrine … Je passe mes mains derrière moi, et, à tâtons, je cherche sa bite. La voilà ! Waouhhh, ça a l'air d'être un sacré morceau. Il est déjà en train de bander, ma parole ! Ce type va m'enfoncer ça dans le cul ! En tout cas, ça lui plaît, ce que je lui fais:

- Hhhmmmm, t'as l'air d'en vouloir, hein … je sens qu'on va s'amuser, avec toi …

 

Lionel intervient:

- Bon, arrête, Francis … j'ai encore quelques clients dans l'hôtel… montez à la 111 si ça urge à ce point … tu sais où c'est, Francis …

 

Le Francis en question se décolle de moi, me donne une claque sur les fesses, et, me désignant l'escalier:

- Allez, ma poule, on monte … vous venez, les mecs ?

 

Je me tourne vers Lionel:

- Alors ? Je leur fais quoi, à ceux-là ?

- Ah oui, c'est vrai … tous les trois, c'est la totale ..

- La totale ?

- Oui, ils vont te baiser … tiens, prends ça.

 

Oui, ils vont me baiser. Je n'avais pas envisagé un seul instant qu'ils se contenteraient d'une pipe. Lionel pousse vers moi un récipient en bambou tressé, genre panier à pain, dans lequel il y a des poignées de capotes dans des étuis de couleurs vives. Il fouille sous le guichet et ajoute:

- Prends ça, aussi. Ça peut servir.

 

Il pose un flacon de lubrifiant dans le panier de capotes et, comme je m'apprête à m'éloigner, muni de ce viatique, il m'arrête:

- Et attends ! Les clients suivants, ils devront te donner des trucs comme ça !

 

Il fouille de nouveau sous son guichet et balance une poignées de jetons de toutes les couleurs:

- C'est des jetons de casino. 

 

Il les trie et met de côté des jetons turquoise marqués 50 et des jetons rouges marqués 100:

- Les comme ça, c'est pour les pipes, et les autres, c'est pour te baiser.

 

OK. C'est organisé. D'un signe de la main, il nous congédie:

- Va, va !

 

Je prends le panier de capotes et je me tourne vers mes trois clients:

- On y va, Messieurs ?

 

Et je me dirige vers l'escalier, les trois types sur les talons. Dès les premières marches, le grand Francis me colle une main au cul. Putain, je suis en train de ... de MONTER ... de MONTER au TAPIN ... de MONTER FAIRE DES PASSES ! Toute cette symbolique, tout ce folklore autour des filles qui "montent" avec un client racolé sur le trottoir, et bien, j'y suis ! Cet escalier, que je gravis en compagnie de ces trois mecs, c'est une sorte de ... rite de passage, d'intronisation. Je le sens comme ça: une pute, ça "monte" avec son client. On n'est vraiment une pute que si on "monte" avec son client. Il me semble que si je n'avais pas eu à "monter" avec un mec pour faire une passe, il m'aurait manqué quelque chose. Et là, je "monte" … je "monte" faire des passes … JE SUIS UNE PUTE !  


Au fur et à mesure que nous montons, l'exploration de Francis se fait de plus en plus fébrile et ses doigts s'aventurent de plus en plus loin entre mes fesses. Je ralentis pour qu'il puisse me peloter tout à sa guise. Arrivés en haut de l'escalier, il m'arrête:

- Attends une seconde !

 

Je m'arrête. Il me pousse face contre le mur du long couloir qui dessert les chambres … il est derrière moi et il me maintient, un main plaquée sur ma nuque … J'adore ça ! Il retrousse ma mini jupe de son autre main, et il la glisse dans ma raie. Rapidement, je sens un de ses doigts qui commence à s'enfoncer en moi … J'écarte un peu les jambes. Je l'entends respirer de plus en plus fort:

- T'es propre ?

- Oui. Je suis passé au bidet chez Lionel.

- OK. Oh putain ! Ça rentre tout seul !

 

Ben oui, non seulement j'ai la rondelle dilatée et accueillante, mais je me suis lubrifié, mec ! De ma main libre, je cherche de nouveau sa queue à travers la toile de son pantalon. Il se déplace un peu pour la mettre à ma portée. La voilà … Oh, putain, elle est encore plus grosse qu'il y a un instant ! Cette fois, c'est sûr, il bande ! La vache, il va m'enculer avec ÇA ? ! ? ! Il a senti mon trouble:

- Elle est grosse, hein … elle te plaît, on dirait … t'en verras pas souvent des comme ça … tu verras comme c'est bon, quand tu l'auras dans le cul …

 

Oh putain, oui, elle est grosse, sa queue ! Ça me plaît ! Je le lui manifeste en la pétrissant fébrilement. Il le sent. Il comprend. Il grogne de plaisir et me doigte le cul de plus en plus vigoureusement. La joue contre le mur, je réalise que les deux autres nous regardent. Ouais, regardez, les mecs, j'adore ! Il va peut-être me prendre sous vos yeux, là, en levrette, debout contre ce mur. Et Lionel qui a dit à ce Francis qu'il y a encore des clients dans l'hôtel ! Me faire surprendre par eux en train de me faire trousser dans ce couloir d'hôtel ! Mais le barbu tend la main vers le panier de capotes que je tiens toujours:

- Donne-moi ça, je vais aller vous attendre dans la chambre …

 

Mais non, reste ! Regarde ! Non, il s'éloigne, suivi de l'autre, et avance si résolument qu'il doit savoir exactement où il va. Un habitué … Et tous deux disparaissent dans la dernière chambre tout au bout du couloir. 


Cette grosse bite dans ma main, et le doigtage de Francis … je suis de plus en plus excité. Sur un ton plaintif, je sollicite Francis:

- Allez … viens m'enculer dans la chambre … viens me baiser …

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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