Avertissement.
Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
La loi n° 2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende.
L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.
- Alors, vous avez choisi ?
Non, je n'ai pas encore choisi par lequel des quatre autres chiens de l'éleveur je vais maintenant me faire baiser. Son Cane corso vient tout juste de finir de m'inséminer, et ça n'a pas calmé la furieuse envie qui m'enflamme le cul et le ventre, bien au contraire ... j'ai bel et bien l'intention de me faire aussi sauter par ses deux Mastiffs et par ses deux Danois ! Une occasion comme ça n'est sûrement pas près de se représenter.
L'éleveur, je le sens excité, pressé … mais pressé de quoi, au juste ? De me voir à nouveau copuler avec un de ses chiens ? Sans doute, mais pas seulement ! Il a aussi hâte de pouvoir faire des photos.
- Non, je n'ai pas encore choisi … toi, tu me conseillerais lequel ?
Surpris, il se demande si je plaisante:
- Vous voulez que … je vous conseille ?
Il me regarde fixement, et il réalise que je suis sérieux. Le voilà rasséréné, et, à sa mine, je le sens tout heureux que je le sollicite.
- Ah ben alors, si vous voulez mon avis, puisque vous avez déjà essayé les dogues allemands de Jean-Claude, moi, je vous conseille le Mastiff !
Incroyable, un tel changement de comportement ! Ma demande a réveillé ses réflexes d'éleveur … et de commerçant. On croirait entendre un vendeur de bagnoles ou de lave-linge me faire l'article ! Sauf que ce n'est ni une voiture, ni un lave-linge, ni même un chien de garde qu'il va m'aider à choisir, c'est … un amant … le CHIEN qui me baisera le mieux ! Il se dirige vers les stalles. Profitant qu'il nous tourne le dos, je fais signe à Jean-Claude et, désignant Pierrot d'un coup de menton, je mime le geste de prendre une photo. Il a compris et il sort son smartphone. Je rejoins l'éleveur près de la stalle où est attaché Gordo, le mastiff que j'ai tripoté tout à l'heure. Pierrot m'attend, une main sur la tête du chien assis à ses pieds. Il ne peut pas s'empêcher de m'examiner en détail, de la tête aux pieds … quand je dis "de la tête aux pieds", pas vraiment, en fait: il regarde mon sexe, encore en érection et que je tripote ostensiblement. En me voyant approcher, le mastiff remue la queue.
- Ah, vous êtes encore en train de nous filmer …
Je me retourne. Jean-Claude braque son smartphone sur nous sans chercher à se cacher. L'éleveur, fataliste:
- Remarquez, au point où on en est, ça me gêne pas …
Il a raison, ça ne change plus grand chose. Il reprend:
- Bon, ben, mes Mastiffs, vous avez vu … ils sont impressionnants, mais ils sont gentils … c'est la façon de les élever, qui fait ça … vous n'avez vraiment rien à craindre … et alors, point de vue …
Comme tout à l'heure, de ses mains, il dessine un cercle conséquent à hauteur de son propre bas-ventre. C'est clair: une fois encore, il évoque la taille du sexe de ses bestiaux.
- … hein, point de vue … SEXE … vous avez vu avec Falco … ben eux, les Mastiffs, c'est pareil ! Vous savez, dans le milieu de l'élevage, mes Mastiffs, ils sont réputés pour leur beauté ... ils sont exactement au standard de la race. Alors ils sont recherchés par les propriétaires de femelles pour les faire couvrir. Si je voulais, ils arrêteraient pas de saillir, mes chiens. Mais je limite exprès … je les ménage. Mais ce que je peux vous dire, c'est que pour beaucoup c'est un honneur que leur chienne ait été saillie par un de mes Mastiffs. Voilà. Je vous conseille de prendre Gordo … il a déjà fait votre connaissance et j'ai bien vu … vous lui plaisez, c'est sûr !
Il s'arrête, semble réfléchir, puis:
- Dites, euh … ça vous gênerait qu'on se tutoie ? Je trouve que … maintenant que vous avez couché avec Falco, on pourrait …
« … maintenant que vous avez COUCHÉ avec Falco » ! Il aurait pu me dire « On peut se tutoyer, maintenant que je t'ai vu à poil ». Mais non, je sens que ce n'est pas seulement ça. Il sous-entend qu'en quelque sorte, je fais partie de la famille, maintenant que j'ai "couché" avec Falco ! Il me voit comme le petit ami de son molosse ! C'est évident, le rapport de force s'est inversé. Tout à l'heure, c'est Jean-Claude et moi qui étions sur la défensive. Maintenant, c'est lui qui demande la permission de me tutoyer, alors que je le tutoie déjà depuis un bon moment sans qu'il ait protesté. En fait, je le sens, il me ménage ... maintenant, c'est lui qui est demandeur … il a visiblement très envie que je "couche" avec un autre de ses chiens, pour pouvoir faire des photos.
Je me suis approché tout près du chien … au contact. Il remue la queue en haletant, content de me voir revenir vers lui. Je prends son énorme tête pleine de plis dans mes mains, et je tends mon bassin vers lui. Je plaque ma bite contre cette gueule effrayante. Son souffle sur ma queue ! Frisson … adrénaline … émotion mêlant le plaisir et un reste de peur de me faire broyer la queue entre ces énormes mâchoires … Ah putain, que c'est bon ! Il sent que c'est un sexe masculin, que je lui présente ? S'il détecte l'odeur du fluide d'excitation qui mouille mon gland, il pourrait me prendre pour un mâle concurrent … Et il doit sentir le sperme de Falco qui me souille toujours les fesses ! Il pourrait m'émasculer d'un seul coup de dents. Mais non, il donne un coup de langue sur ma queue. Et un autre encore … Hhhmmm, brave bête ! C'est chaud, c'est humide, c'est râpeux … j'adore ! Jean-Claude me filme, en train de me faire lécher par ce chien.
Son maître revient à la charge:
- Alors, je peux vous tutoyer ?
- Oui.
- Ah, merci. Oui, alors … Gordo, il a fait votre … il a fait TA connaissance, tout à l'heure, et tu lui plais, c'est sûr … il a bien aimé que tu lui tripotes la bite, alors je suis sûr qu'il voudra bien te …
Il laisse sa phrase en suspens.
- Il voudra bien me ... me baiser ?
- Oui, enfin, te … te saillir … Ça me fait drôle de dire "baiser" pour mon chien …
- Pourquoi ? Il ne m'a pas BAISÉ, ton Falco ?
Indifférent à cette conversation, Gordo poursuit son exploration avec sa langue. J'ai redressé ma bite et maintenant, il me lèche les couilles, attiré par la semence de Falco qui a coulé jusque là. Jean-Claude ne filme plus ça: accroupi à côté du molosse, il est en train de lui filmer … la bite ! Bonne initiative. Ça me plaît beaucoup qu'il ait eu l'idée de filmer ces préliminaires avec le Mastiff. L'autre, les yeux rivés sur la gueule de son chien qui continue de me lécher, poursuit:
- Si, il t'a baisé ! Mais … "baiser", c'est pas un terme qu'on emploie, normalement, pour les chiens … je pourrais pas dire « Falco, il a baisé une chienne ». On dit "couvrir" ou "saillir" quand c'est une chienne … mais oui, avec toi, on peut dire "baiser" … il t'a … il t'a vraiment baisé ... j'ai pas l'habitude, c'est tout …
- Je comprends. Mais, tu sais, pour moi, tu peux dire aussi "saillir" ou couvrir". Moi, ça me va, si tu dis que ton Cane corso m'a sailli ou que ton Mastiff va me couvrir …
- Ouais, t'as raison ! Si on y réfléchit bien … en fait, c'est vraiment ça … mon Falco, il t'a sailli comme une chienne …
- Une chienne, je sais pas, mais ce qui est sûr, c'est que quand il a commencé à me grimper, il me prenait pour une femelle …
- Ouais … peut-être … Alors ? Tu veux que ce soit lui, Gordo, qui te … qui te couvre ?
- Oui, va pour ton Mastiff.
Son visage s'illumine:
- Ah ! Très bien. Tu seras pas déçu ... lui aussi, c'est un bon géniteur. Il va bien te BAISER !
Voilà, ça vient … "il va bien te BAISER" ! Aussitôt, il entreprend de détacher la laisse de la cloison. Je me serais bien fait lécher encore un peu, mais le maître est pressé. Le spectacle de son molosse me passant sa langue sur la bite et les couilles l'excite moins que la perspective de le voir me baiser. Cramponnant la laisse, il entraîne le chien:
- Allez, viens, Gordo ! Tu vas te l'faire !
« Tu vas te l'faire » ! En paraissant adresser cette remarque anodine à son chien, il l'a prononcée pour lui-même, puisque la bête ne peut pas la comprendre. Et mine de rien, elle révèle sa véritable motivation: c'est bel et bien le plaisir de son molosse qu'il vise … et sûrement son plaisir à lui … voir son chien saillir un mec ! Et bien, ça me plaît ! A sa façon, ce mec m'offre à son chien … à SES chiens … tout comme Denis et Jacky m'ont offert à des potes à eux. Ça me plaît, que des mâles m'offrent à d'autres mâles, hommes ou animaux …
L'énorme bestiau se laisse entraîner comme à regret d'une démarche lourde, pesante … il tourne la tête vers moi avec l'air de me dire « Ben alors, tu viens pas avec moi ? ». Je les suis, son maître et lui. Arrivés au bord du tapis, ils s'arrêtent et m'attendent. Pierrot sort son smartphone de sa poche et me le montre:
- Alors, je peux ?
Pourquoi pas:
- Ouais, vas-y. Mais, t'as l'intention d'en faire quoi, des photos ?
- Ben … rien de spécial … c'est pour … je sais pas …
- Ta ta ta ! T'as l'intention de les montrer …
- Oh, ben … non ! A qui je les montrerais ?
- A des copains … à d'autres éleveurs … à ta femme … Au fait, t'es marié ?
- Ben … oui, je suis marié …
- Ecoute, de toute façon, je sais bien qu'une fois parti d'ici, avec tes photos dans ton téléphone, t'en feras ce que tu voudras, mais … fais quand même gaffe à qui tu les montres …
- Co … comment ça …
- Ben, faut pas que ça tombe sous les yeux de quelqu'un qui serait contre les pratiques zoophiles et qui nous balancerait tous les trois ... aux flics, à la justice … faut que tu sois sûr de ceux à qui tu les montres … C'est autant pour toi que je te dis ça. Je te rappelle que maintenant, on est tous les trois dans la même galère … je plonge, tu plonges aussi …
- Ah … ben oui, bien sûr … t'inquiète pas, je les montrerai qu'à des gens sûrs ...
Ben voilà, en moins de dix secondes il vient d'affirmer ne pas avoir l'intention de les montrer, PUIS prévoir de les montrer seulement à des gens sûrs ! Au fond, ça aussi, ça me plaît, qu'il les montre. Je l'imagine déjà, sortant fièrement son smartphone devant des connaissances incrédules: « Vous voulez voir le mec que mes chiens se sont tapé ? Regardez ! Si, si, je vous assure, ils l'ont BAISÉ ! Attendez, je vous montre ... ».
- Alors si t'es conscient des risques, ça va … tu peux faire des photos. Tu peux même faire des vidéos, si tu préfères ...
- C'est vrai ?
- Si je te le dis ...
Je prends la laisse des mains de Pierrot et j'entraîne le chien:
- Allez, viens, toi ... tu vas me sauter sur le tapis …
Il me suit en sautillant à côté de moi – si tant est qu'on puisse dire qu'une bête de cette taille sautille – il est joyeux, impatient ... il a compris où on va et pourquoi on y va. Arrivé sur le tapis, je m'assois. Aussitôt, il se met à me débarbouiller la tronche avec sa langue tout en essayant de me grimper. Il pue de la gueule, mais je le laisse faire … c'est sûrement comme ça qu'il fait avec les chiennes qu'il doit saillir, et il faut qu'il sente qu'avec moi, c'est pareil, que je suis aussi sexuellement disponible … A force de me sauter dessus, il me renverse à moitié sous son poids. Je me retrouve à demi allongé sur le dos, appuyé sur un coude, le chien au-dessus de moi. Putain, il est vachement impressionnant, vu de dessous … d'un coup d'œil, je vois que son maître nous a suivis et qu'il braque son smartphone sur nous … Jean-Claude, resté un peu en arrière, a ressorti son appareil et filme aussi, non seulement Gordo et moi, mais sans doute aussi l'éleveur … C'est bien, il continue d'accumuler les preuves de la complicité de ce type. Gordo s'agite, je sens bien qu'il a toujours envie de s'accoupler, mais il ne sait pas trop comment s'y prendre dans cette position … Penché sur moi, il secoue ses oreilles et me donne encore des coups de langue sur la figure, sur les épaules, sur le torse … Je me laisse tomber complètement sur le dos, et là … là ... je vois … son sexe !
Il bande déjà un peu et sa verge dépasse de quelques centimètres de son étui pénien. Oh la laaaa ! Ça n'a vraiment rien à voir avec une bite d'homme ! L'extrémité en est effilée, fuselée et tellement … étrange … animale …. c'est ce … ce TRUC bizarre qui va s'introduire dans mon cul ... et qui va … décharger sa semence dans mon ventre ? De le voir comme ça, je me rends compte à quel point ce sexe n'est pas humain … c'est le sexe d'une BÊTE ! C'est le sexe d'une BÊTE qui va me BAISER ! Un frisson de désir me parcourt de la tête aux pieds … ce sexe m'affole, ce sexe m'excite …
JE VAIS ME FAIRE BAISER PAR UN ANIMAL !
- Pierrot … ou Jean-Claude … tenez le chien, je vais …
Dès que je vois Jean-Claude empoigner le collier du chien, je me glisse sur le dos jusque sous cet … appareil génital tellement … animal … Je saisis son étui pénien et je le fais glisser pour le décalotter un peu plus. La BÊTE a arrêté de s'agiter. Elle doit comprendre que je vais m'occuper de son sexe. Oh oui, je vais m'en occuper, de ton sexe, le chien ! Sa verge frémit et se secoue de bas en haut au rythme du halètement du molosse. Il sent vraiment le chien … pas tout à fait la même odeur que le Cane corso, il me semble. Et là … ses couilles ! Bien rondes, chacune dans sa bourse couverte de poils noirs, ras et luisants. Je les caresse, je les prends dans ma main. Ces deux grosses boules-là doivent être pleines de sperme qui ne demande qu'à servir ! Vue l'excitation de l'animal, ça doit commencer à grouiller, là-dedans … une effervescence de spermatozoïdes qui sentent qu'ils ne vont pas tarder à être largués dans une chienne pour une mission de fécondation ! C'est bien, préparez-vous au grand saut ! Ce sera sans parachute ! Parce que vous n'allez pas finir bêtement au fond d'un étui en latex, vous allez vous retrouver bien au chaud au fond de mon ventre !
En attendant que cette semence arrive en flots successifs dans mes entrailles, je vais la sucer, cette bite tellement étrange ! Hhhmmmm ! Je me soulève un peu, je m'appuie sur un coude et j'approche ma bouche … Accroupi à côté de moi, je vois Pierrot braquer son smartphone. Ça aussi, ça contribue à mon plaisir … me faire filmer sans pudeur en train de tailler une pipe à son chien … Je prends ce sexe dans ma bouche .. Oh la laaaaaa ! J'adore ! Il est brûlant, sur ma langue … frémissant … il a un léger goût d'urine … je l'enfonce lentement dans ma bouche, repoussant avec mes lèvres son étui pénien … jusqu'au fond de ma gorge … jusqu'à ce que j'aie sa base, un peu plus étroite, entre mes lèvres … Je garde sans bouger cette verge toute chaude entre ma langue et mon palais, savourant le plaisir d'avoir dans ma bouche un pénis de molosse … un pénis en début d'érection … un pénis qui palpite - il aime ça, le chien, de se faire sucer ! -, et un pénis qui doit commencer à éjaculer dans ma gorge, parce que j'ai soudain un besoin urgent de déglutir !
C'est la première fois qu'un être humain lui fait une fellation, à Gordo … ça doit être une découverte, pour lui … si tu aimes ça, Gordo, des pipes, je suis prêt à t'en tailler autant que tu veux ! Je commence à faire aller et venir ma bouche sur sa verge … Oh putain, ce que c'est excitant ! Sucer une BÊTE ! Je réalise que, par réflexe, j'ai commencé à me masturber … Sa verge gonfle lentement dans ma bouche … il aime ce que je lui fais … je lui donne du plaisir … Oh Gordo ! Mon amant … mon mâle … mon mâle qui va me baiser ! Ce sourd gémissement … je prends conscience que c'est de ma gorge qu'il naît … spontanément … remontant de mon ventre, il ne peut jaillir par ma bouche, occupée par le sexe du chien … Sucer des sexes d'hommes, pour moi, c'est toujours une fête, mais sucer le sexe d'un chien ! Un sexe aussi étrange, aussi animal ! La bestialité de cette fellation décuple mon plaisir …
- Oh oh oh oooooooohhh !
Ce … gloussement attire mon attention. Pierrot est juste là, à côté de moi, un genou au sol et une main sur le dos de son chien, et c'est lui qui vient de rire d'une façon aussi expressive. Du coin de l'œil, je le vois accompagner son gloussement d'un geste et d'une mimique à l'intention de Jean-Claude qui tient toujours le chien. La bouche ouverte en forme de O et les yeux écarquillés, Pierrot secoue sa main libre dans un geste qui témoigne de façon éloquente qu'il n'en revient pas du spectacle que je lui offre. De la même manière que, tout à l'heure, il a examiné sans vergogne le verrouillage de son Cane corso dans mon anus, il contemple maintenant la pipe que je taille à son Mastiff. Mais ni sa présence, si proche et si intrusive, ni son rire ne me gênent … bien au contraire … je continue de sucer fiévreusement le sexe de son chien … et de gémir sans retenue … Vas-y, régale-toi, Pierrot ! Ça ne me gêne pas que tu lorgnes cette relation bucco-génitale d'une manière aussi … clinique et sans-gêne … le respect des convenances, la discrétion et la délicatesse n'ont pas leur place ici ! Et j'aime qu'on me regarde copuler ou sucer le sexe d'un mâle ! Alors regarde, contemple, observe comment je suce ton chien et quel plaisir j'y prends ! Je continue, ravi de me donner en spectacle devant le maître de mon amant.
Brusquement, je réalise que, si je continue d'exciter Gordo en le suçant, son knot pourrait bien finir par gonfler là … et après, pour qu'il arrive à me le rentrer dans le cul … Alors, je sors délicatement son sexe de ma bouche, et je l'observe. C'est comme si ce n'était plus le même sexe que celui que j'ai glissé dans ma bouche il y a quelques instants ! Il a grossi, il s'est allongé, évidemment, mais en plus, il n'a plus la même forme ni la même apparence ! Son extrémité n'est plus pointue, effilée, mais elle se termine presque perpendiculairement à l'axe de la verge … comme si elle avait été tranchée par un coup de hachoir ! Et il y a une sorte de … de petit appendice, pointu, au-dessus … Et puis, sa verge est toute rouge … parcourue sur toute sa longueur par une multitude de vaisseaux sanguins à fleur d'une peau extrêmement fine… comme une chair à vif … Putain, c'est ÇA que j'avais dans la bouche … c'est ça, que j'étais en train de sucer ! Rien à voir avec le sexe d'un homme ! Ce sexe me semble encore plus … animal, encore plus bestial que tout à l'heure ! Je ne sais pas pourquoi, il a quelque chose de brut … de sauvage … de … de primitif … J'adore ça ! D'un coup de langue, j'essuie quelques gouttes translucides qui s'écoulent de son méat. Je me sens tellement … heureux … et même … fier … d'avoir des relations sexuelles avec cet animal … avec ces animaux … au pénis tellement … non humain … Dans un instant, cette BÊTE va introduire en moi cet appareil génital tellement bestial, et nous allons nous verrouiller pour que l'animal puisse décharger tranquillement sa semence au fond de mon ventre ! Je vais avoir ce sexe … cette chose … bizarre, intimement mêlée à mes chairs … Je lui donne encore quelques petits coups de langue et, toujours en rampant sur le dos, je remonte vers sa tête. La bête, contente, recommence à me lécher la figure. Me suspendant à son garrot, j'enfouis mon visage dans la fourrure de son cou:
- Elle me rend dingue, ta grosse bite, Gordo ... mon mâle ... je veux que tu me BAISES !
J'entends son maître pouffer, à côté de nous. Le chien halète et tente de me donner quelques coups de langue sur la figure, puis, de nouveau, il essaye de me grimper dessus maladroitement.
- Oui, c'est bien … tu le sens, que j'ai envie que tu me baises ? Tu vas bien me baiser, hein ?
Je le sens agiter son bassin … et il doit sentir que ma vulve n'est pas à la portée de son vit, parce que j'ai l'impression qu'il abaisse son arrière-train vers mon ventre. Putain d'instinct ! Nous avons tous les deux autant envie l'un de l'autre. Mais, pour le moment, il parvient tout juste à effleurer mon ventre avec son sexe. Il faut que je l'aide avant qu'il se décourage. J'ai les jambes entre ses pattes arrière. Tant bien que mal, je les dégage l'une après l'autre pour que ce soit ses pattes entre mes jambes. Quand c'est fait, pliant les genoux et ramenant mes pieds vers moi, je prends appui dessus et je soulève mon bassin à la rencontre de son ventre. Il me sent, sous lui, et il s'agite plus frénétiquement. Je veux sentir son sexe s'introduire en moi … mais il vient seulement se frotter sur le mien. Je ne suis pas bien placé … trop près de ses pattes arrière … je remonte encore un peu vers sa tête, et, immédiatement, sa bite vient frapper mon périnée. Ah oui, c'est bien comme ça, le chien, continue, tu y es presque ! Oh, putain, baise-moi !
- Attends, bouge pas, Marin ! Ça va pas aller, comme ça. J'vais t'aider. Tiens, toi, prends cette laisse !
C'est encore Jean-Claude … Cette soudaine intrusion me sort brutalement de la bulle de sexe fiévreux dans laquelle le chien et moi nous étions isolés. Mais Jean-Claude à raison … il a rendu la laisse à l'éleveur. Je me tords le cou et je le vois foncer vers le fond de l'écurie. Quand il revient, il porte un gros truc marron … comme un … cube … Ah non, de près, je comprends ce que c'est: deux poufs l'un sur l'autre ! Deux poufs en cuir. Il s'agenouille sur le tapis à côté de moi, et:
- Soulève-toi un peu, je vais mettre ça sous toi …
Ah, Jean-Claude ! Il avait vraiment tout prévu: le chauffage dans l'écurie et des poufs, cachés dans une stalle ! Il avait dû se souvenir que je lui en avais réclamé un quand je m'étais fait saillir par ses chiens.
Je pose mes fesses sur le tapis et, toujours suspendu au cou du chien, je relève mon torse. Jean-Claude me glisse un pouf dessous.
- Soulève tes fesses, maintenant.
Même manœuvre. Nous sommes maintenant ventre contre ventre, Gordo et moi. La BÊTE semble comprendre ce qui se passe, et il attend, placide et haletante. Jean-Claude reprend:
- Tu sais, je pense qu'il faudrait que tu remontes tes jambes … enfin, que tu ramènes tes cuisses sur ton ventre … j'vais t'aider …
Alors ça ! De mieux en mieux ! Il me sidère, monsieur coinçoss ! Voilà qu'il me donne des conseils. Mais il a raison.
- Ouais, aide-moi.
Il saisit délicatement ma cheville et il la soulève. En trois secondes, je me retrouve jambes en l'air, cuisses écartées sous le molosse. Ouaaaaaahhh ! Ce chien va me baiser dans la position du missionnaire ! Comme si la bête avait saisi l'idée, elle recommence à secouer son bassin d'arrière en avant et, immédiatement, je sens son sexe effleurer ma raie. Les bras passés autour de son cou, je presse mon amant contre moi. Cette position est tellement étrange … c'est la position dans laquelle un homme et une femme font l'amour ! Mais ce n'est pas un homme qui me fait l'amour, c'est un CHIEN ! Me faire prendre en levrette, l'autre fois, par Iago et Into, et aujourd'hui par Falco, c'était une chose … je savais, je sentais que c'était des chiens qui me baisaient, mais je ne les voyais pas … je sentais seulement leur poids, sur mes reins et sur mon dos … et par certains côtés, c'était finalement assez semblable à des coïts avec des hommes, si ce n'est leur façon de s'accrocher à mes hanches avec leurs pattes, et évidemment, ensuite, le … la chose énorme qu'ils ont fait gonfler dans mon rectum et leur verrouillage … mais LÀ !
LÀ … j'ai cette tête et ce torse poilus, ÉNORMES, juste au-dessus de moi … ce cou puissant, musculeux … cette gueule sombre, plissée, aux bajoues retombantes et baveuses, qui halète en laissant pendre sa langue … et cette odeur … C'est vraiment une BÊTE, qui est sur moi … et qui cherche à me saillir ! Là, dans cette position, dans ce face-à-face, l'animalité de mon amant s'impose à moi, ainsi que la bestialité de cet accouplement ! Oh, putain, mon amant est un CHIEN … un MOLOSSE ! Je vais me faire couvrir, saillir et inséminer par un MOLOSSE ! Une vague de chaleur voluptueuse me parcourt de la tête aux pieds, et j'enfouis encore ma figure dans la fourrure de son cou. Hhhhmmmm, cette odeur animale, puissante, enivrante ! Oh, Gordo, baise-moi, BAISE-MOI et fais-moi des petits Mastiffs !
Ah, ça y est, je viens de sentir sa bite frôler mon anus … mais sans s'y arrêter. Instantanément, ma rondelle réagit, comme pour s'ouvrir à la pénétration de ce sexe et le gober au passage ! Et je le sais: comme l'autre molosse tout à l'heure, la tête chercheuse de cette bête va finir par sentir la tiédeur humide de ma vulve, et trouver l'entrée de ce fourreau où elle pourra pénétrer et s'épanouir. Cette attente de la pénétration d'un sexe de chien en moi est délicieuse. Les bras toujours autour de son cou, j'avance ma tête et je donne un coup de langue à sa babine … c'est chaud et baveux … Par réflexe, il referme sa gueule avant de la rouvrir et de recommencer à haleter … Je récidive, pressant maintenant mon visage contre sa bajoue, j'introduis ma langue jusque contre ses dents … cette fois, surpris, il suspend son mouvement du bassin, ferme de nouveau sa gueule une fraction de seconde ... la rouvre, me regarde, sa langue un peu sortie et la tête penchée sur le côté, comme s'il me demandait « Qu'est-ce que tu me veux ? ». Je donne un coup de langue sur la sienne. Et cette fois, plutôt que de refermer la gueule, il se met à me lécher la figure tout en reprenant l'exploration de mon entrejambe avec son sexe. Alors, à mon tour, je lui lèche les bajoues et la langue chaque fois qu'elle passe à ma portée …
Et de nouveau, son sexe passe sur mon anus, et … ah non … encore raté. Alors, n'y tenant plus, je lance:
- Pierrot ! Aide-le, il ne trouve pas l'entrée de ma chatte ! Guide sa bite !
Pierrot me regarde, les yeux ronds, mais il ne réagit pas, l'air effaré. Regarder ses chiens me grimper, oui, me prendre en photos et me filmer, oui ... mais apparemment, aider son chien, lui toucher la bite, il ne peut pas ! C'est Jean-Claude, une fois encore, qui vient à notre secours. Je le vois se placer sans un mot derrière le chien et se pencher. Je ne vois pas ce qu'il fait, mais, aussitôt, je sens le vit tout chaud et mouillé du molosse venir se plaquer contre mon anus … et commencer de s'y enfoncer. Ouaaaaahhhh ! Instantanément, Gordo s'agite frénétiquement. Il sent qu'il entre dans ma vulve, elle aussi chaude et mouillée. Je vois Jean-Claude se redresser, se décaler un peu sur le côté, et, soulevant d'une main la queue du chien, contempler notre coït:
- Ça y est ! Il est dedans, là … Tu le sens ?
- Oui …
- Oh, putain … mais j'suis pas sûr qu'il va pouvoir te rentrer son … son machin, là … tu sais, le gros truc … la position est pas terrible.
Pour le moment, ça ne fait rien. Je profite de cette pénétration. Oh oui, qu'est-ce qu'il me met, le Gordo ! Je ne sais pas s'il arrivera à me rentrer son knot, mais pour le moment, il s'agite frénétiquement, et il bande de plus en plus fort … je sens qu'il gonfle en moi. Ça glisse tout seul … il doit déjà être en train de me lubrifier en éjaculant … et puis, il doit baigner dans les reste de la semence de Falco … Il est content, le molosse, il doit se sentir bien dans mon rectum … et il me donne, de temps à autre, de grands coups de langue sur la figure … et parfois, il ralentit son va et vient et me regarde … C'est un effet de mon imagination, ou cette expression, dans ses yeux … ce serait un homme, je jurerais qu'il m'interroge du regard « Tu la sens, ma grosse bite ? Tu aimes ça ? ». Mais non, c'est forcément mon imagination !
Je commence à fatiguer, avec les jambes en l'air. Je plie les genoux et je croise mes chevilles sur les reins du chien. Hhhhmmm, ah oui, c'est mieux, comme ça ! Dès que j'ai été installé sur les poufs, Pierrot a laissé tomber la laisse, et s'est empressé de retourner vers mon cul. Il est à côté de Jean-Claude, et il est masqué par la masse de son chien, mais je suis sûr qu'il est en train de filmer notre coït. D'ailleurs, il me lance:
- Dis … je … je crois que son … bulbe … il commence à gonfler … mais … il est pas dedans, son bulbe …
En effet, il nous examine de près ! Jean-Claude:
- Ouais, il a raison. J'te l'avais dit … il pourra pas y arriver, comme ça … si tu veux qu'il te le foute dans le cul, son … son bulbe, tu devrais changer de position …
Comme je ne réponds pas instantanément, il insiste:
- Dis, Marin, t'entends ? Une fois que son … son bulbe sera gonflé en dehors de ton cul, ce sera foutu … il pourra plus te le foutre dans le cul …
- OK, je change. Tenez-le !
C'est encore Jean-Claude qui se précipite. Décidément, j'ai l'impression qu'il y tient, à ce que Gordo gonfle son knot dans mon cul et se verrouille en moi ! Aussitôt, il chope le collier et tire résolument. Je dénoue mes chevilles. Le chien couine et essaie de résister, mais son maître intervient:
- Descends, Gordo ! Allez ! Descends, j'te dis !
Tous les deux tirent, l'un sur le collier, l'autre sur la laisse. Le chien finit par céder et de sens son vit sortir de moi avec un bruit de succion. La bête aboie, désappointée … ces salauds interrompent sa saillie. S'il a commencé à gonfler son knot, il faut faire vite. Je bascule sur le côté, et, dans le même mouvement, je m'installe à quatre pattes sur le tapis.
- Rhôôôô, la vache ! Comment il tire, le bestiau !
C'est Jean-Claude qui vient de lancer ça en se marrant. Quand je jette un coup d'œil derrière moi, je vois Gordo foncer vers moi au plus direct, par-dessus les poufs, en entraînant son maître et le fermier qui s'empêtrent dans les coussins. Jean-Claude parvient à garder son équilibre en lâchant le collier, mais l'éleveur s'affale sur un des poufs et la laisse lui échappe des mains. Voilà le molosse contre moi … non, SUR moi, déjà agrippé à mes hanches … le cœur battant, je me cambre autant que je peux pour présenter ma vulve à la pénétration du molosse dans la meilleure position possible. Je sens … je sens mon anus béer, attendant ce sexe. Il n'y a rien à faire, c'est à chaque fois une telle émotion, de m'offrir de cette façon à la saillie d'un mâle, de m'apprêter à recevoir son sexe en moi, d'anticiper le moment où il va injecter sa semence au fond de mon ventre … Déjà, le vit, chaud et humide de mon amant, frappe rapidement deux fois l'intérieur de ma fesse droite, tout près de ma raie … je le sens rajuster sa prise sur mes hanches … et son vit frappe alors mon périnée, si près de l'entrée de ma vulve qu'il l'effleure … et enfin, après un ultime élan, je sens ce sexe entrer d'un seul coup dans mon anus !
OH, PUTAIIIIIIIIN !
La levrette, c'est sans conteste la position idéale … à la fois la plus naturelle et surtout la plus pratique puisque, cette fois, il a suffi de trois tentatives à Gordo pour trouver l'entrée de mon fourreau … Il est en moi ! Oh la laaa … le sexe de ce chien EST dans mon anus ! La bête sent que son sexe est maintenant au chaud dans ma viande, et elle va et vient à une vitesse folle ! Et pourtant, elle maîtrise parfaitement l'ampleur de son mouvement pour éviter de ressortir. L'expérience ! Je sens ma rondelle s'ouvrir, béer sous cet assaut frénétique …
- Ouaiiiiiis, cette fois, ça va être bon comme ça …
- Ouais, il va pouvoir lui rentrer son gros truc …
Les oreilles bourdonnantes, ce n'est que dans une sorte de brouhaha que me sont parvenues, comme étouffées, les réflexions de Jean-Claude et Pierrot commentant ce qu'ils voient. Cet échange me rappelle leur présence, derrière nous, en train d'observer le molosse qui commence à me troncher … et une fois encore, me faire sauter sous les yeux de spectateurs … et par un chien … ajoute à mon plaisir. Mais, totalement absorbé par ce qui est en train de m'arriver, j'oublie rapidement la présence de ces deux types … Je sens … je sens le sexe du chien continuer de grossir en moi … et s'enfoncer de plus en plus profondément, au fur et à mesure que son érection l'allonge … mentalement, j'imagine ce cylindre gorgé de sang se frotter à mes muqueuses, attisant le plaisir du molosse … j'imagine son extrémité, avec cette petite excroissance que j'ai remarquée tout à l'heure, forcer son chemin dans mes entrailles à chaque coup de reins de la bête, tout en crachotant de petits jets de sperme … Ça y est, le molosse m'insémine ! Il injecte sa semence en moi !
Et … et maintenant … OUIIIII ! Je sens .. je sens, au niveau de mon sphincter … c'est de plus en plus gros … comme si … comme si son bulbe était en train de gonfler juste à l'entrée de mon anus … Brusquement, le chien ralentit son furieux va et vient … jusqu'à l'arrêter complètement … Collé à moi, immobile, il halète au-dessus de mes omoplates … Il a aussi senti son knot gonfler et il ne bouge plus pour ne pas le ressortir … L'instinct ! L'expérience ! Ah, oui, je sens que ça enfle toujours ! Il veut se verrouiller, rester collé à moi ! C'est bien, le chien ! Ne bouge plus ! Ah, la bonne bête ! Oh, putain, ça gonfle encore ! Oh, ce que j'aime ça ! Des animaux … nous copulons VRAIMENT comme des animaux … ce qui m'arrive, ce que ce chien me fait … c'est une VRAIE saillie ! Ce chien me couvre comme il couvrirait n'importe quelle femelle de sa race !
Ce que je vis est indicible … extraordinaire ! C'est beaucoup plus intense que les trois coïts que j'ai vécus avec les Dogues de Jean-Claude et le Cané corso de Pierrot … avec les Dogues, même si j'ai beaucoup aimé, ce n'était … que des essais, des répétitions … je sentais les bêtes impatientes, fébriles, malhabiles, inexpérimentées … et moi, encore un peu inquiet et nerveux, je ne m'étais pas totalement laissé aller … pareil avec le Cané corso, même si celui-là, déjà expérimenté, était plus sûr de lui … Mais là … quelle ivresse … quelle volupté ! Là, je sens que je peux m'abandonner sans la moindre réticence à ce molosse, que je peux me donner sans retenue à cette BÊTE, la laisser me chevaucher, la laisser me fourrager, la laisser se verrouiller en moi, la laisser me féconder …
- Rhôôô, putain ! Vous avez vu, Jean- Claude ? Ça y est, ils sont collés ! Rhôôô, puuutaiiiiiiiin !
Il est juste derrière nous, et je pense qu'il est de nouveau accroupi, en train d'examiner le knot de son chien, verrouillé dans mon anus ! Jean-Claude ne lui répond pas, mais je l'entends, à côté de nous, bouger les poufs.
- Attends, Marin, je vais glisser ça sous toi.
Il pousse un des poufs contre mon flanc. Ah, Jean-Claude ! Toujours aux petits soins pour moi ! Je me soulève un peu et il glisse le coussin sous mon ventre. Gordo, toujours haletant sur moi, ne bouge, de temps en temps, que ses pattes arrière, l'une après l'autre, comme pour soulager une crampe, et me piétine un peu les mollets.
- Tiens, Marin, tu veux aussi celui-là ?
Il tend l'autre pouf vers moi. Je me soulève encore, et il glisse le pouf sous mon torse et ma tête.
- Hé, Jean-Claude ! Vous croyez que Gordo, il est en train … il est en train de le … de lui …
- … de lui juter dans le cul ? Ben oui, évidemment, que votre chien, il est en train de lui juter dans le cul !
- Rhôôô, putain ! Mes deux chiens ! Ils l'auront … ils l'auront baisé tous les deux !
Oh, je suis bien ! Etrangement, par certains côtés, ce que je vis à cet instant précis m'évoque cette nuit, passée au lit avec Dominique et Denis, quand lui, Denis, est venu se vautrer sur moi pendant mon sommeil, pour m'enculer encore une fois, et que je me suis rendormi avec son sexe dans mon cul et celui de Dominique dans ma main … Les avant-bras croisés sur ce pouf, la joue appuyée dessus, je sens cette masse sur mon dos … un chien qui me baise ! Je le sens surtout DANS moi. Cette présence, ÉNORME, gonflée et bloquée dans mon anus, c'est le sexe d'un molosse en train de me saillir ! Et je le sais, vingt centimètres plus loin, sa verge est en train de cracher sa semence à petits jets au fond de mon ventre ! Oh la laaa, j'aime tellement me faire remplir de sperme ! Malgré son caractère assez dingue, cette situation a je ne sais quoi de … de tranquille, de paisible … de rassurant … c'est sans doute dû à la force bestiale qui émane de ce chien … je me sens en sécurité entre ses pattes – j'allais écrire "entre ses bras" – comme une femme se sent en sécurité, blottie contre son homme. Je devine qu'en cas de danger, ce molosse n'hésiterait pas à protéger sa femelle … moi, en l'occurrence pour le moment.
Et surtout, ce qui ajoute à mon bonheur, c'est que le coït que je vis en ce moment, n'est pas un coït ordinaire … ce n'est pas avec un homme que je copule … c'est avec un mâle d'une autre espèce ! AVEC UN ANIMAL !
JE COPULE AVEC UN ANIMAL !!!!
Et la saillie que cette bête m'inflige est une vraie saillie animale … totale, intégrale … le chien ne se contente pas de me fourrer pour tirer un coup vite fait, bien fait … non, il m'a fait comme il fait aux femelles de son espèce, il s'est verrouillé en moi et il me féconde ! La bête et moi, nous sommes collés, soudés, elle dans moi, par ce bulbe génital, véritable rivet de chair qui s'est expansé dans ma vulve pour nous maintenir assemblés tout le temps de ma fécondation … et j'adore ça ! Non seulement pour le pur plaisir anal d'avoir le rectum investi, occupé, rempli par cette chose tellement … monstrueuse … mais aussi parce qu'à cet instant, l'animal - mon amant, mon mâle … et quel mâle, nom de dieu !- l'animal est si indissolublement inséré, emboîté en moi et nous sommes si intimement unis, liés, attachés l'un à l'autre par nos anatomies respectives, son appareil génital et mon anus, que nous ne formons plus qu'un seul corps, un seul être hybride, mi animal, mi humain … pas uniquement mû par la seule pulsion de fornication, d'ailleurs … mais aussi par … l'instinct de reproduction ! C'est dingue, mais pour moi, là, Gordo et moi ... nous sommes un couple ... il n'y a plus ni chien ni homme, mais un mâle et une femelle en train de faire des petits ... Gordo est en train de me faire des petits Mastiffs !
Encore une fois, cette idée folle s'impose à moi … j'avais déjà ressenti quelque chose dans ce genre avec certains mecs, notamment pendant mon gang bang … et plus ou moins avec Iago et Into, les Dogues allemands de Jean-Claude quand ils m'ont sauté … mais là, c'est comme une évidence … pour le Mastiff, ça n'est rien d'autre que l'instinct de reproduction. Mais pour moi ! Je sens confusément que dans le plaisir de cet accouplement, il n'y a pas uniquement l'ivresse lascive, lubrique d'une sodomie … le chien, en me prenant rigoureusement comme une femelle de son espèce - la localisation de son coït exceptée - avec verrouillage et insémination, m'a ramené à l'état de femelle animale … femelle non seulement consentante, mais demandeuse et active puisqu'adoptant spontanément, instinctivement, les postures propices à réussir une saille … levrette, pattes écartées et reins cambrés … Et si la toute petite voix de la raison me souffle que cette insémination restera nécessairement stérile, une intense jubilation me dit que ce molosse est bel et bien en train de me faire des petits !
Les yeux fermés, je me sens bien … serein ... heureux de me trouver sous ce molosse, heureux de m'être donné à lui … heureux … et … oui, c'est dingue, mais en plus, je me sens honoré ! Honoré qu'un mâle aussi … viril ait bien voulu s'accoupler avec moi … un mâle aussi viril et, si j'en crois le speach de son maître, tout à l'heure, un mâle aussi beau et recherché par les femelles Mastiffs, qui ne doit pas manquer d'occasions de tirer un coup … un mâle qui peut se permettre de faire le difficile … et pourtant, il m'a choisi, moi … il m'a désiré, il a eu envie de me saillir … alors oui, je suis heureux et fier qu'il me possède comme il posséderait une femelle, heureux qu'il me nique, heureux qu'il soit en train de m'inséminer …
Je n'ai plus peur, plus le moindre doute, plus la moindre réticence … pas la moindre honte … finis, les scrupules du genre "C'est défendu, c'est mal, de faire ça. C'est une déviance, c'est une perversion". Non, c'est bien, de faire ça ! C'est tellement bon ! On n'a pas forcé ce molosse, pas plus qu'on n'a forcé les autres chiens … Iago, Into, Falco et Gordo … tous les quatre ont eu envie de me saillir … et je les ai laissés faire, je me suis donné à eux, c'est tout. Oh, je sais bien qu'en me faisant niquer par des chiens, je transgresse un tabou, je sais bien que pour la société, tout ça est immoral, dépravé, scandaleux … je le sais, mais je n'arrive pas à culpabiliser, ça ne m'atteint pas … je suis heureux et je sens que la bête aussi, est heureuse … et toujours aussi bizarre, ce qui ajoute à mon bonheur, c'est que cet accouplement, hors normes à tous points de vue, se déroule en présence de deux témoins … Je suis en train de me faire saillir comme une chienne sous les yeux d'un type qui m'a baisé et du maître de mon ... "amant" !
Ce qui est surtout bizarre, c'est que, contrairement aux autres chiens, Gordo ne cherche pas à se retourner pour se mettre cul contre cul … Il est seulement remonté un peu plus haut sur mes reins … il est maintenant à cheval sur mes fesses, ses pattes arrière de part et d'autre de mon cul, le long de mes cuisses … il me chevauche dans les deux sens du terme: sexuellement et par sa position ! Du coup, il ne prend plus appui sur le sol avec ses pattes arrières et doit constamment rectifier sa position pour ne pas glisser … et c'est … un vrai bonheur anal … parce que, à chacun de ses mouvements pour garder son équilibre, d'un côté à l'autre, ou d'avant en arrière, je sens son énorme bulbe pivoter légèrement dans mon rectum … Et c'est un régal ! En me pressant la prostate, son knot me fait expulser un peu de mon propre sperme … je sens … je sens que mon urètre est plein de ma semence qui s'écoule toute seule sur le tapis. Malgré son inconfort, cette position semble convenir au chien. Tant mieux, moi, j'adore ! Sentir bouger sur moi et EN MOI le mâle qui me baise, c'est tellement … je ronronne de plaisir et, à mon tour, je me mets à haleter …
- Hé ! Ça vous … euh … ça te fait quoi, que mon chien, il te …
J'ouvre les yeux. Tout d'abord, je remarque seulement que Pierrot est maintenant debout à ma gauche, un peu penché vers moi, son smartphone toujours à la main. Puis je m'aperçois que, de son autre main, il se pétrit la bite à travers la toile de son pantalon. Ça l'excite tellement, de voir son chien me baiser, qu'il en perd à son tour toute retenue. Tant mieux. Au moins, il n'aura pas perdu sa journée, le Pierrot. Il insiste:
- Hein, ça te fait quoi, que mon chien, il te baise ?
- Fous lui donc la paix ! Ça te plairait que quelqu'un te pose des questions pendant que tu te fais niquer ?
Je tourne la tête: Jean-Claude est de l'autre côté, et un peu en retrait. Adossé à un montant au bout de la cloison d'une stalle, il se … il se masturbe ! Ouvertement ! Il a sorti sa bite … sa belle grosse bite et ses couilles … par sa braguette, et il se masturbe ! Oh, putain ! J'adore ça ! Lui aussi, ça l'excite, et il doit avoir envie de prendre la suite du chien, quand il aura fini … comme l'autre jour, quand il m'a pris après ses deux chiens ! Ah … et ça doit être de le voir se palucher qui a décidé l'autre à se tripoter ouvertement devant moi ! Putain, je fais bander tous les mâles, dans cette écurie, hommes et chiens ! Oh oui, j'espère que Jean-Claude me prendra encore, après le Mastiff … comme l'autre jour … et surtout, j'espère que la présence de Pierrot ne le bloquera pas … Oh putain, oui, baisez-moi ! Baisez-moi tous !
Gordo s'agite davantage … et autrement … Ah oui, il essaie de descendre sur le côté. Oh putain ! Son knot tire sur mon anus ! Je me demande … je me demande si il va sortir ou … si il veut se mettre cul à cul, ou … ou si il a fini …
- Merde, il descend !
Son maître se précipite et, bien que je ne le voie pas, je devine qu'il chope son chien par le collier. La bête a déjà passé sa patte avant gauche au-dessus de mon dos et il est prêt de basculer complètement sur ma droite. Ah la vache, ça tire fort ! Il remonte sa patte arrière gauche et essaie de la passer aussi sur mon dos … en me griffant les reins au passage …
- Doucement, Gordo ! Doucement ! Merde, qu'est-ce qu'il veut faire ?
Le maître s'affole. Je sens le knot du chien commencer à me forcer la rondelle … heureusement, habitués à des sextoys énormes, mes muscles se dilatent, se distendent, et jusque là, ce n'est pas douloureux … Et d'un seul coup, flaaaaaaaatchh … la bite du chien sort de moi d'un seul coup … toute sa bite: son knot et sa verge ! Ouuuuutch ! Je dois avoir la fleur béante ! Je sens encore quelque chose de chaud s'écouler sur mon périnée et sur mes couilles … et le long de mes cuisses … la semence du Mastiff !
- Viens, mon chien … c'est bien … tu l'as bien baisé … Oh, la vache ! Vous avez vu sa bite, Jean-Claude, comme elle est grosse ? J'espère qu'il a pas mal à sa bite …
C'est la bite de son chien qui le préoccupe ! Pas l'état de mon trou du cul, après cette espèce de … d'arrachement. Mais en fait, il va très bien, mon trou du cul. J'ai bien fait de me défoncer avec des godes énormes, quand je m'amusais tout seul !
- Vire-le de là, ton chien, bordel … et va l'attacher !
C'est Jean-Claude qui l'engueule ! Je tourne la tête. Il a quitté son poteau et s'est approché de moi, la queue toujours à la main. Les yeux braqués sur mon cul, il m'effleure le mollet avec son pied, et:
- Toi, tu bouges pas !
Qu'est-ce qu'il veut ? Je me réinstalle sur le pouf et je pose mon menton sur mes mains croisées. Derrière moi, j'entends un bruit de tissu qui glisse … je tourne la tête et … il descend son pantalon ! Il va me baiser ! Ah, yesss ! Oh putain, ses grosses couilles qui pendent et ballottent dans ses bourses ! Je suis à peine remis de mon coït bestial avec Gordo, mais, comme par réflexe, j'écarte un peu plus mes genoux, que la descente plutôt brutale du chien m'a fait resserrer, et je me cambre … prêt à recevoir un nouveau coup de bite ! Putain ! Baisé à la chaîne par des chiens et par un mec ! Le voilà à genoux entre mes mollets … probablement pressé par l'urgence, il n'a pas pris le temps d'ôter son pantalon, et il l'a seulement descendu sur ses cuisses … une main sur ma fesse … de l'autre, il cramponne son sexe, les yeux rivés sur l'entrée de mon fourreau … il approche son gland et le pose contre ma rondelle … hhmmmm, même après l'énorme appareil génital de Gordo, sa queue me fait un effet terrible … je vais encore me faire tringler ! Tout de même, il me sidère, le Jean-Claude … la plupart des mecs refusent de tremper leur bite dans un cul déjà plein du sperme d'autres types, mais lui, ça ne le gêne absolument pas de barboter avec sa queue dans du foutre de chien ! Quand il commence à s'enfoncer, il lève les yeux sur moi et s'aperçoit que je le regarde du coin de l'œil, par-dessus mon épaule:
- Ça te plaît, hein … t'es fier de toi, saaaalope !
Il m'engueule ! Il commence à me baiser et il m'engueule ! Ah, putain … sa queue s'enfonce … Oooh, c'est tellement bon ! J'arrête de le regarder, je tourne la tête et je ferme les yeux. Oh oui, je suis fier de moi ! Fier de faire bander aussi bien des mecs que des clebs … fier de me laisser grimper par tous les mâles qui en ont envie … à la chaîne, les uns après les autres, si ça leur dit … fier de laisser n'importe qui se vider les couilles dans mon cul … fier de me faire remplir de sperme … Il progresse doucement, ses deux mains autour de ma taille … Les yeux fermés, la tête rejetée en arrière, je savoure cette nouvelle pénétration … le coït avec Gordo m'a enflammé la rondelle, et je sens chaque millimètre de la bite de Jean-Claude coulisser en moi … ça glisse tout seul, tellement le chien m'a lubrifié … Il ne m'a pas laissé le temps de souffler, le Jean-Claude ! A peine le chien était sorti qu'il prenait sa place ! J'aime ça ! Comme pendant le gang bang, quand je ne sais combien de mecs m'ont baisé à la chaîne sur le bar ! J'ai maintenant sa grosse bite qui s'enfonce profondément dans mon rectum. Je l'entends souffler entre ses dents serrées … et je reçois des postillons sur les reins … il est vraiment très excité ! Voilà son ventre contre mes fesses … il va repartir en arrière … non ! Il déplace ses mains à l'angle de mes cuisses et de mon ventre et il me presse contre lui … il commence à râler … et soudain, un premier soubresaut de sa queue dans mon anus … il jouit ! Ah la vache, en effet, ça pressait ! Souffle coupé, il halète comme un chien … je sens sa bite comme … vibrer en moi … oh, putain, ça y est, il décharge ! A son tour, il décharge sa semence au fond de mon ventre … comme Gordo ! Il mêle son sperme au sperme du chien … Oh, putain, j'aime tellement ça !
Le sperme, le sperme, LE SPERME !
C'est comme si l'imprégnation de sperme dans mes muqueuses provoquait en moi je ne sais quelle réaction chimique … ou hormonale … mon cœur qui bat la chamade … des bouffées de chaleur qui partent de mon ventre et se diffusent avec de délicieux fourmillements dans tout mon corps … un bien être indicible …
Les doigts enfoncés dans le gras de ma hanche gauche, Jean-Claude se met à aller et venir … brutalement … il fait claquer son ventre contre mes fesses, soulignant chaque pénétration d'un "han !" puissant … des gargouillis s'échappent de mon anus … tout en éjaculant, il brasse son foutre et celui de Gordo avec sa queue …
J'ouvre les yeux, et je m'aperçois que le Pierrot nous regarde … nous regarde et nous filme ! Et ça me plaît ! Mais ce qui m'étonne, c'est que Jean-Claude ne réagisse pas, qu'il le laisse le filmer en train de me baiser ! Lui qui refusait même de me toucher devant les autres pendant le gangbang ! Il ne s'en est peut-être pas rendu compte, concentré sur ce qu'il me fait … ou alors les yeux fermés … Je tourne la tête et … ah, je comprends mieux ! Tout en me baisant, lui aussi est entrain de nous filmer ! Ou plutôt, il braque son smartphone sur notre coït … sur sa queue qui va et vient dans mon cul ! C'est pour ça qu'il me tenait par une seule hanche. Il a remarqué que j'ai tourné la tête vers lui. Il braque son appareil vers moi, et:
- T'aime ça, de t'faire enculer, hein …
- Oui.
- Les mecs, les chiens … tu t'fais sauter par tout le monde …
- Oui.
- T'aimes la bite, hein …
- Oui, j'aime la bite … j'aime LES bites … toutes les bites !
- T'es une grosse salope … mais t'es vraiment bonne …
C'est la première fois qu'il me traite aussi crûment. De nouveau il braque son smartphone sur sa queue, il ralentit son va et vient et il se marre:
- Putain, ça fait d'la mousse !
Pierrot s'approche pour filmer "la mousse". Et tout aussi brusquement qu'il m'avait pris, Jean-Claude sort de moi. S'appuyant d'une main sur mes fesses, il se relève. Un flot tiède s'écoule sur mon périnée et sur mes couilles. Il remonte son pantalon et s'écarte. Pierrot en profite pour se placer derrière moi, se pencher et braquer son smartphone sur ma fleur:
- Oh putain, la dose que vous lui avez mis, Gordo et toi, Jean-Claude !
- Tu sais, tu peux aussi te l'faire …
- Hein ?
- Marin … tu peux te l'faire, si tu veux … tu peux le niquer … tu bandes et je t'ai vu, tout à l'heure, tu te tripotais … alors, si t'as envie, toi aussi tu peux le sauter et te vider les couilles … il dira pas non. Pas vrai, Marin ?
- Oui … c'est vrai. Si t'as envie, tu peux aussi me sauter …
Pierrot s'est relevé précipitamment, comme effrayé. Il me regarde, bouche bée, yeux ronds, se demandant si nous plaisantons ou pas. Alors, je me retourne, j'appuie mon torse sur le pouf, je passe mes deux mains derrière moi, j'empoigne mes fesses et je les écarte:
- Tiens, regarde. Allez viens, baise-moi !
- Mais … non, non !
- Mais si … t'as entendu ce que t'a dit Jean-Claude ? Je suis bonne … Tu verras comme tu seras bien, avec ta queue au fond de mon cul … allez, vas-y, baise-moi !
- Non, non … merci … je … je fais pas ce genre de chose avec un … je fais pas ça …
- J'te fais bander … je suis sûr que t'en as envie … alors te gêne pas …
- Non … merci, merci … ça va … mais c'est non.
- Tu as tort. Alors, si tu veux pas, offre-moi à tes autres chiens !
- Quoi ? ! ? !
- Oui … offre-moi à tes autres chiens, fais-moi BAISER par tes autres chiens … je suis sûr qu'ils feront moins les difficiles … et puis, ça te plaît, que tes chiens me baisent …
- Euh … ben …
- Allez … s'il te plaît … va chercher un des Dogues …
- Euh non … je … ça va pas être possible, parce que va falloir que j'y aille …
Je me retourne et je m'assois face à lui sur le tapis:
- Comment ça, va falloir que tu y ailles … t'as pas amené tes cinq chiens pour qu'ils me sautent tous ?
- Ben … pas forcément tous les cinq … là, t'en as eu deux, c'est déjà pas mal … et puis c'est bientôt midi … faut qu'je rentre … ma femme va m'attendre pour manger …
"C'est bientôt midi ! ". On aura tout entendu ! Ce mec vient de me faire couvrir par deux de ses molosses, et il faut qu'il s'en aille parce que sa femme va l'attendre !
- Appelle-la, j'ai de quoi manger pour trois au congélateur …
C'est Jean-Claude qui intervient. Il poursuit:
- On mange vite fait et après, vous continuez … mais sans moi, je peux pas rester cet après-midi, je vais récupérer une remorque dans la Marne … mais je vous laisse vous débrouiller tous les deux …
L'autre secoue la tête en se pressant vers les stalles où ses molosses sont attachés:
- Non, merci … ma femme, j'lui ai dit que je rentrerais… une autre fois … on aura qu'à recommencer …
Il est déjà en train de détacher Gordo. D'un hochement de menton, Jean-Claude m'interroge:
- Et toi, tu fais quoi … tu manges avec moi ?
- Je … je sais pas … tu … tu me laisserais ici avec Iago et Into, cet après-midi ?
- Pourquoi, tu veux encore te faire sauter ?
- …
Pierrot sort déjà de l'écurie pour ramener son chien à son fourgon. Jean-Claude insiste:
- Hein, tu veux encore te faire sauter ?
- Ben … oui …
- T'en n'as pas eu assez ? Deux clebs et moi …
- Ben non, j'en ai pas eu assez … j'ai déjà fait plus que ça, je te rappelle …
- Quoi … ton gangbang ici ? Ouais, mais c'était que des mecs … Enfin, de toute façon, franchement, j'aime mieux pas …
- Pourquoi ? Ils me connaissent, maintenant, tes chiens …
Il ricane:
- C'est le moins qu'on puisse dire, qu'ils te connaissent !
- Alors …
- Alors, j'te dis, j'aime mieux pas …
- T'as peur qu'ils me bouffent ?
- Non, c'est pas ça, mais j'préfère être là …
- Je vois pas ce que …
- Bon ! J'te dis que c'est non ! C'est mes chiens et c'est moi qui décide !
- Ben dis donc, tu faisais moins le fier, ce matin …
- Ouais, ben ce matin, c'était ce matin … et cet après-midi, c'est cet après-midi !
Putain, l'enfoiré ! Il tourne les talons et, en sortant, il croise Pierrot qui revient chercher un autre chien et qui s'inquiète:
- Qu'est-ce qui se passe ? Vous vous engueulez ?
- En quelque sorte …
- Dites ... euh, DIS, au fait … je me demandais … aujourd'hui, je peux pas rester, mais … une autre fois, ça serait possible de … enfin … si tu veux, si t'as envie, je peux … moi, ça me dérangerait pas que tu recommences avec mes chiens … et même avec trois, quatre ou cinq, cette fois … autant que tu veux … j'en ai d'autres, hein, des chiens … j'ai pas que ces cinq là … alors, si ça te dit, j'te le fais visiter, mon élevage …
Oh putain, j'allais lui demander et c'est lui qui y vient ! Je me lève. Ça me coule, tiède et visqueux, le long des cuisses.
- Ben, ouais … pourquoi pas …
- Bon, OK, OK !
Il est tout content:
- Hein, j'te répète … j'te ferais d'abord visiter mon élevage, mais après, si t'as encore envie de te faire … baiser par mes chiens, pas de problème pour moi … si tu veux, je t'aiderai encore à choisir …
- Dis donc, ce matin, ça te choquait que je me sois fait sauter par les chiens de Jean-Claude …
- Oui, mais … ce matin, c'était ce matin …
- Mouais … c'était de la comédie …
Il se contente de ricaner:
- Hé hé hé …
- Bon, enfin, on verra.
- Ah, super ! Tu sais, moi, j'ai pas voulu te … te sauter … Je m'excuse, hein, mais passer derrière mes chiens … et derrière Jean-Claude, je … je peux pas …
- Ouais, j'avais compris …
- Mais … lui, Jean-Claude … il t'avait … il t'avait déjà baisé ?
- Oui. L'autre fois, quand Iago et Into m'ont sauté …
- Ah bon …
- Oui. Déjà tout de suite après ses chiens. Ça le gêne pas lui …
- Ah, OK, OK. Tiens, tu m'aides à mettre ceux-là dans mon camion ?
- Oui.
Je récupère le peignoir de Jean-Claude, je le remets et je noue la ceinture sur mon ventre. Puis j'enfile les savates et je rejoins Pierrot. Il a détaché le Cané corso et il me tend sa laisse. Le chien remue la queue en me voyant approcher. Il se dit quoi, dans sa tête, le molosse ? « Tiens, revoilà la salope que j'ai baisée tout à l'heure ! ». J'essaie de l'entraîner, mais au lieu de me suivre vers la porte de l'écurie, il se précipite résolument vers moi, et me fourre sa truffe dans l'entrejambe, entre les deux pans du peignoir ! Il a dû sentir les effluves de sperme qui émanent d'entre mes cuisses. Hhhmmmm, cette gueule énorme qui me souffle son haleine chaude sur le bas ventre ! J'adore ! Je lâche la laisse, je dénoue la ceinture du peignoir, j'en écarte les pans et je prends la tête massive entre mes mains. Pierrot passe près de nous en traînant l'autre Mastiff. Il s'arrête, nous regarde et repart en secouant la tête d'un air désabusé. Le molosse qu'il entraîne resterait bien avec nous. Falco a déjà commencé à me donner des coups de langues sur le haut des cuisses, et il aventure maintenant son museau sous mes couilles pour me lécher le périnée. Pour lui faciliter son exploration, je soulève mes couilles et j'écarte les jambes. Puis, quand il me semble qu'il a fini de me lécher de ce côté, je le repousse un peu et je me retourne … je soulève le bas du peignoir pour lui dévoiler mon cul et je lui offre ma raie à nettoyer, ainsi que mes fesses que j'écarte à deux mains. Hhhmmmm, cette langue, chaude et râpeuse, qui me passe sur la rondelle ! De lui-même, quand il a terminé, il arrête et sort son museau de mon intimité. Quand je me retourne, je le trouve assis, qui attend en levant les yeux sur moi. Je me penche, je reprends sa tête entre mes mains et je l'embrasse:
- Hhhmmmm, merci, mon Falco. T'es un bon chien.
Je reprends la laisse et, sans refermer le peignoir, je l'entraîne vers la sortie. Son maître nous rejoint avec un des Dogues. Il ne peut pas s'empêcher de regarder fixement mon bas ventre entre les pans du peignoir. Docilement, les deux monstres s'élancent lourdement pour remonter dans leurs cages. :
- Bon, je vais récupérer mes habits.
- Hé, attends ! Donne-moi ton téléphone.
Il sort son smartphone et tape mon numéro. Je rentre dans la maison. Jean-Claude est en train de s'activer dans sa cuisine. Je lui lance:
- Je vais récupérer mes habits.
- Ouais, vas-y ! Tu manges quand même avec moi ?
- Ben … non. Je vais faire comme Pierrot, je rentre chez moi .
Mon pote, puisque tu ne veux pas me laisser tout seul avec tes chiens, toi, tu manges tout seul.
- Bon, comme tu veux. Dis … de quoi vous parliez, avec l'autre, là, dans l'écurie ?
Tiens, comment il sait qu'on a parlé, après qu'il soit parti ? A son air, on dirait que ça le contrarie, qu'on parle, Pierrot et moi.
- Il m'a proposé de visiter son élevage …
- Ah ouais !
- Ouais …
Pierrot entre à son tour:
- Bon, les mecs, j'y vais.
Il va tendre la main à Jean-Claude:
- Bon, euh, Jean-Claude … sans rancune, j'espère.
- Mouais, c'est bon. Tu m'feras plus chier avec mes chiens ?
- Non, non, t'inquiète. Mais tu me dois encore des saillies, avec tes dogues, hein …
- Ouais, ouais …
Ils se serrent la main, puis Pierrot vient serrer la mienne:
- Bon, ben, salut, Marin. J't'appelle, hein … Faut me laisser une peu de temps ... que je m'organise ...
- OK. Dis ... tu déconnes pas avec les photos et les vidéos, hein …
- Non, t'inquiète !
- Tu me les enverras ?
- Les photos et les vidéos ?
- Oui. Je te donnerai mon mail, quand tu m'appelleras.
- OK, OK. Bon … salut.
- Salut.
Il sort. Jean-Claude me regarde, l'œil froncé:
- Pour quoi il doit t'appeler et s'organiser ?
- Pour me faire visiter son élevage.
- Et tu vas y aller ?
- D'après toi …
- D'après moi, oui … parce je suis sûr que t'as l'intention te faire encore sauter par ses chiens …
- Exactement.
Il hausse les épaules et retourne à ses casseroles. Je monte à la salle de bain. Pendant que je me rhabille, j'entends le fourgon de Pierrot démarrer et manœuvrer. Quand je redescends, Jean-Claude est toujours dans sa cuisine et il me tourne ostensiblement le dos. Je lance:
- Salut, Jean-Claude.
- Ouais, salut.
Il me fait la gueule ! Je vais récupérer ma voiture sous le hangar au fourrage. Quand je m'apprête à sortir de la ferme, je vois Iago et Into jaillir de la porte du petit bâtiment à côté de la maison. Ils m'accompagnent en sautant autour de ma voiture jusqu'à ce que je passe le grand portail. Je prends le chemin du retour à petite vitesse en repensant à cette matinée un peu dingue. Sous moi, je sens suinter les restes de ce que le Cané corso, le Mastiff et le fermier m'ont injecté chacun leur tour. Ça va tremper le fond de mon pantalon, mais je m'en fous, j'aime ça. Je suis un peu perdu dans mes pensées quand un fourgon ressemblant à celui de Pierrot attire mon attention, garé en bordure de route, à côté d'un bosquet. Je ralentis en arrivant à sa hauteur. C'est bien Pierrot ! Il regarde quelque chose au niveau de son volant. Je suis sûr qu'il est en train de visionner ses photos et ses vidéos sur son smartphone ! Et si ça se trouve, il se branle ! Concentré sur ce qu'il regarde, il ne me remarque pas. Je ré-accélère et je m'éloigne.
Ah, il n'a pas perdu sa matinée, le Pierrot !
à suivre ...