Dimanche 10 mai 2015 7 10 /05 /Mai /2015 01:00

Je publie aujourd'hui le début de ce nouveau récit. Notamment parce que certains lecteurs de l'épisode précédent semblent impatients de découvrir la suite.

 

Cette suite raconte une tournante au cours de laquelle je me fais baiser par une bande de mâles en rut. C'est donc, de facto, plutôt long à écrire et à mettre en forme. Qui plus est, ce récit tend à s'étirer à mesure que mon excitation me suggère de nouveaux développements ...

 

Alors j'espère que la lecture de ce nouveau texte vous fera bander autant que sa rédaction m'aura fait mouiller ...

 

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

D'habitude, quand je jouis, je demeure apaisé pendant deux ou trois jours avant d'être de nouveau taraudé par des envies de sexe. Cette fois, cette séance, coincé entre Philippe et Jean-Claude contre un rouleau de foin, ne m'a pas calmé. Déjà, sur le chemin du retour, le souvenir encore brûlant de ces deux mecs, un devant, un derrière, qui jouissent de moi et se répandent, me travaille la tête et le bas ventre … C'est surtout cette sensation de m'être senti pris en sandwich entre ces deux mâles qui est excitante … Et cette fois, Jean-Claude m'a touché ! Il s'est frotté contre moi, peau contre peau, il s'est masturbé contre moi … J'ai eu son énorme queue entre les fesses et j'ai senti ses couilles effleurer mes cuisses en venant battre au rythme de ses frottements. Son gland n'était qu'à quelques centimètres de l'entrée de ma caverne et il aurait suffi d'un rien pour qu'il s'y engouffre … Qui plus est, il s'est renseigné sur ce que ça fait d'enculer quelqu'un, si c'est propre, etc . Maintenant, j'en suis sûr, il y viendra, il finira par me baiser … Mais rapidement, c'est la perspective de ce qui m'attend samedi prochain qui occupe toutes mes pensées. Les jours suivants s'écoulent comme au ralenti …


30 septembre.

Comme prévu, ce matin, il fait grand beau. Un peu frais, mais le ciel est dégagé et le reste de la journée promet d'être très agréable. Nous avons convenu de nous retrouver chez Jean-Claude vers 10h30. J'ai très peu dormi. Hier au soir, le bas ventre frémissant et le rectum palpitant, j'ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. Au cours de la nuit, j'ai été réveillé à plusieurs reprises par des délires érotiques, le sexe raide, le gland mouillé. Je n'arrivais pas à me rendormir, hésitant à me masturber de crainte de diminuer ou de perdre l'envie de me rendre à cette … réunion.


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Je m'y suis tout de même résolu pour parvenir à dormir un peu et arriver en forme chez Jean-Claude. Evidemment, excité comme je l'étais, j'ai joui très rapidement et j'ai enfin trouvé le sommeil. Sur le matin, un ultime songe torride m'a réveillé et a rapidement évolué en rêverie dirigée: j'ai imaginé ce qui allait m'arriver dans quelques heures, et des frémissements d'excitation m'ont embrasé le bas ventre, la prostate, l'entrejambe, le haut des cuisses ... Rassuré que mon envie soit intacte malgré ma masturbation nocturne, je me suis levé. Si jusqu'alors, avant un rendez-vous de ce genre, j'avais quelques doutes ou quelques scrupules plus ou moins rapidement dissipés, cette fois, rien de ce genre. Bien au contraire, la perspective de me faire saillir pendant toute une journée par une troupe de types en rut ne suscite en moi qu'impatience et excitation. Si les quinze mecs que m'a annoncé Philippe sont tous là, ce sera encore mieux que mes huit blacks de l'hôtel … Un court instant, un seul doute me traverse l'esprit: et si je ne plaisais pas à certains, si, en me découvrant en chair et en os, ils renonçaient et s'en allaient … au risque d'en entraîner d'autres … 


Levé tôt, je prends tout mon temps pour me préparer avec soin: je me rase queue, couilles, pubis et cul, et je m'administre un premier lavement. Je suis déjà très clean. Il faut dire que, par précaution, je n'ai rien avalé hier au soir, à part des boissons sucrées.  Qu'importe, pour éviter toute mauvaise surprise, je me fais plusieurs autres lavements. Il faut que les types qui vont me baiser fourrent leur queue dans un chaudron tout propre. Et puis, non seulement le puissant jet d'eau tiède, en me détendant le sphincter, me prépare aux multiples saillies qui m'attendent, mais je prends aussi beaucoup de plaisir à me rentrer le pommeau de douche dans le cul …


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Le choix de ma tenue est évident: minijupe ras la touffe, T-shirt, porte-jarretelles et paire de bas, le tout rouge vif … C'est habillé comme ça que les blacks de l'hôtel m'avaient surpris et forcé. Je me sens - je me sais - plus que sexy dans cette tenue qui est un véritable appel au coït. Cette jupe me moule les reins et le cul, souligne ma cambrure, dévoile jusqu'au petit pli à la base de mes fesses, ainsi que le haut de mes cuisses … et si ces types me troussent, ma croupe apparaîtra, entourée, encadrée par le rouge vif de cette jupette et celui de mes bas … et elle ressemblera alors à une cible, où ils n'auront plus qu'à planter leurs dards …


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Ces mecs auront peut-être envie de me prendre dans différentes tenues de salope, alors je décide aussi d'emmener pas mal de rechange, porte-jarretelles et bas, minijupes, nuisettes … que je fourre dans un sac de voyage. 


A neuf heures, coup de fil. C'est Philippe:

- Salut, ça va ?

- Salut. Ça va, j'ai mal dormi, mais ça va. Et toi ?

- Moi aussi, ça va. Je suis passé prendre des potes … on s'apprête à y aller …


Je devine que, sous prétexte de m'annoncer qu'il se met en route, il veut s'assurer que je viendrai. En effet:

- Toujours décidé à te faire … à venir ?

- Plus que jamais …

- Comment tu te sens ?

- J'ai hâte … je suis excité comme jamais ...

- Attends, on est en voiture. Je mets sur haut parleur, pour que mes potes entendent … répète ce que tu viens de me dire …

- Je ... je suis excité comme jamais et ...  j'ai hâte d'y être …


J'ai quand même eu un peu de mal à formuler ça. Mais un déchaînement de rires et d'éclats de voix retentit à mon oreille. Du coup, d'une certaine manière, ça me libère. Philippe, surmontant le brouhaha:

- Tu as hâte de quoi ? Dis-nous pour quoi tu es pressé …

- Je suis pressé ... de m'occuper de vos queues …

- Et quoi, encore ?

- J'ai hâte de vous faire bander ... j'ai hâte de vous branler ... 

 

Quand même, je n'en reviens pas d'être en train de dire ça à des mecs que je ne connais pas. Mais ça contribue à m'exciter davantage. Je suis en train de dire ça à des types que ... à des types que, tout à l'heure, je vais ... je vais leur toucher la bite à ces types que je n'ai encore jamais vus ! Je vais ... je vais leur sucer la bite ... et ils vont ... ils vont ME BAISER ! chacune de mes paroles déclenche de nouveaux rires et éclats de voix. Eux aussi, ça les excite. Alors j'en remets une couche:

 - ... et je vais vous sucer, les mecs ... et vous allez m'enculer ... tous ... et vous allez tous me baiser ! JE VEUX QUE VOUS ME BAISIEZ ! ! ! ! 


J'ai terliné en gueulant, tellement ça m'excite ! D'entendre les voix et les rires entremêlés de ces mecs, que je ne connais pas, mais qui vont pourtant me passer dessus tout à l'heure … et de leur dire ouvertement ce que je viens de leur dire, c'est très … troublant … et excitant ...

- Hé ! Vous ... vous êtes combien dans cette voiture ?

- On est sept ...

- Et vous, vous êtes prêts ?

 

Nouveaux cris entremêlés au milieu desquels je distingue «plein ton cul», «salope», «baiser» ... Philippe:

-  Tu as entendu ? Ah ouais, pour être excités, ils sont excités … je te dis pas …

- Hé, les mecs, qu'est-ce que … qu'est-ce que vous avez envie de me faire ?


Du brouhaha qui suit, je saisis quelques bribes:

- Ouais, on va te baiser !

- On va te niquer !

- Tu vas t'en prendre plein ton cul !

- On va te fourrer par les deux bouts, SALOOOOOPE !


Un frisson me parcourt. Cette tournante n'est déjà plus seulement une idée, un fantasme, elle commence à devenir une réalité … Philippe reprend:

- Tu vas te … t'habiller comment ?

- Oui, ça y est, je suis même déjà en tenue …

- Raconte.

- Le petit chaperon rouge, tu connais ? T-shirt moulant, minijupe ultra courte, et dessous un porte-jarretelles noir en dentelle avec des bas rouges, et un micro string rose fluo …


Nouveau chœur:

- Yeeeeeaah ! Ah la pute !

- Et j'amène d'autres tenues, pour ceux qui voudraient …

- Se travestir ? 

- Non, non. Pour ceux qui voudraient me baiser dans d'autres tenues …

- Ah, OK. Bon, on y va. On y sera dans trois quart d'heure. Dépêche, hein …

- J'arrive, les mecs !


Nous avions convenu dix heures trente. Ils vont être là-bas avant dix heures. Je fais quoi ? J'y vais plus tôt, moi aussi, ou je les laisse attendre, je me fais désirer ? Basta, j'ai trop hâte de voir à quoi ressemblent les mecs qui vont me fourrer, je décide de me mettre en route tout de suite.

 

Je suis déjà terriblement excité. Pas sexuellement, mais cérébralement. J'ai bien la bite et le rondelle un peu émoustillées, mais sans plus. C'est surtout dans ma têtre que ça se passe. Voilà où j'en suis ! Quelques mois après avoir touché et sucé ma première bite, je m'apprête à aller me faire baiser par des types que je ne connais pas. Je ne sais même pas par combien de types, d'ailleurs ! Je ressens un mélange de sentiments, d'émotions ... une sorte de trouble, de confusion, d'ivresse ... les idées se bousculent dans ma tête, mais je ne ressens aucune appréhension, et au contraire, une détermination totale. Et curieusement, le sentiment qui domine, c'est une certaine fierté ! Oui, de la fierté ! De la fierté que mon cul plaise assez à des mecs pour que quelqu'un ait réussi à organiser un gangbang pour moi, et aussi de la fierté d'avoir eu le culot d'accepter et de n'avoir eu à aucun moment l'envie de reculer ! 

 

Mon excitation cérébrale est telle que toutes mes inhibitions sont tombées, et contrairement à ce que je fais habituellement pour circuler dans mon village, je n'enfile pas de vêtements masculins par-dessus ma tenue de pute: je vais faire le trajet comme ça. Le seul moment un peu chaud, c'est quand je vais sortir de chez moi et traverser mon quartier en voiture. Un voisin pourrait me voir embarquer, habillé comme ça, ou une connaissance pourrait m'arrêter dans la rue pour me parler de je ne sais quoi. Non seulement je m'en fous, mais j'en suis presque à espérer qu'on me voie ! Et même, si quelqu'un me demande où je vais dans cette tenue, je lui dirais ... « je vais me faire baiser par des mâles » ... oui, je me sens très capable de le dire parce que ... parce que j'en suis fier ! Après tout, il ne doit y avoir tellement de mecs pour qui on organise un gangbang comme celui-là ! Je fais bander des mâles et ils ont envie de me baiser ! Alors j'y vais ! Pourquoi je n'en serais pas fier ? Je réalise que ma fébrilité a aussi fait tomber cette inhibition-là, et que le risque de me faire surprendre ajoute à mon excitation.


Je sors de chez moi et je gagne tranquillement ma voiture. Je sens l'air encore un peu frais sur mes cuisses et sur mes fesses ... délicieuse sensation. La voiture de Yolane, ma voisine, n'est pas là. Elle doit être partie travailler ou faire des courses. Dommage … je lance mon sac plein de lingerie et de vêtements sur le siège passager et je m'installe au volant. Je traverse le village au pas. Le peu de monde que je rencontre ne peut voir de ma tenue que mon T-shirt, et surtout, n'imagine pas ce que je porte plus bas. Hé, les gens ! Vous savez où je vais ? Je vais me faire tringler par une quinzaine de mâles … 

 Je fais le trajet très excité: non seulement je ne connais aucun de ceux qui vont me baiser, à part Philippe, mais, en plus, la séance va sans doute durer toute la journée… Je me fais déjà un tas de scénarios sur comment, quand et où tous ces mecs vont me prendre au gré de leurs envies: à quatre pattes sur la pelouse, sur le dos sur une table, dans le foin, sur les machines agricoles … Je veux être leur jouet sexuel, je veux qu'ils se servent de moi comme ils veulent, quand ils veulent, où ils veulent.

JE VEUX QU'ILS ME BAISENT ! ! ! !  JE VEUX QU'ILS ME BAISENT ! ! ! !    JE VEUX QU'ILS ME BAISENT ! ! ! !

Je bande déjà et mon micro string a bien du mal à contenir ma queue. Je dois me retenir pour ne pas faire d'excès de vitesse, ce n'est pas le moment de me faire arrêter par la maréchaussée ! J'aimerais faire savoir à tous les automobilistes et piétons que je rencontre, où je vais et pourquoi 

 

Je réfléchis aussi à la façon dont va se faire la prise de contact avec ces inconnus. Le plus simple, ce sera de faire comme avec Philippe l'autre jour, c'est-à-dire, tout en leur serrant la main, de leur palper immédiatement l'entrejambe, ou glisser ma main dans leur froc … Ça mettra tout de suite les choses au point … Autre chose me tarabuste: capotes ou pas capotes ? Une partie de ma tête se demande comment être sûr que tous ceux qui me baiseront sont sains ? Auront-ils tous fait des tests ? Et est-ce que ça me met vraiment à l'abri ? Est-ce que j'aimerai me faire baiser avec une capote ? Jusqu'à présent, tous ceux qui m'ont enculé, l'ont fait sans ... et m'ont fécondé le ventre ... Mais je suis dans un tel état d'excitation, de désinhibition, j'ai une telle envie de me faire remplir de semence que je me vois mal les contrôler ou les faire contrôler, et imposer une capote à ceux qui seraient douteux. Ce conflit entre une partie de ma raison qui me voudrait prudent et mes pulsions, mes envies de queues et de foutre bascule vite en faveur de celles-ci.  C'est décidé, pas de capotes !

JE VEUX DU SPERME ! ! ! JE VEUX DU SPERME ! ! !  JE VEUX DU SPERME ! ! ! JE VEUX DU SPERME SUR MOI, JE VEUX DU SPERME DANS MON VENTRE, JE VEUX DU SPERME DANS MON ESTOMAC ! ! ! !

 

Quand je passe le porche de la ferme de Jean-Claude, il y a déjà quatre voitures stationnées devant la maison. Je me gare à côté d'elles. Des aboiements assourdis proviennent de l'écurie. Jean-Claude a dû y enfermer ses chiens. Devant un des hangars, un groupe de six ou sept mecs est en discussion, une canette à la main, tandis que d'autres s'affairent autour d'un barbecue et installent des tables, des chaises, des bancs … Ils n'ont pas fait attention à moi. Pour eux, je dois être un invité de plus qui arrive. A vue de nez, ils doivent être une douzaine. Ma première pensée, ce n'est pas de me demander s'ils sont beaux ou moches, jeunes ou vieux ... non, ma première pensée, c'est qu'il y a là douze mecs, donc douze bites ... et oui ! Et ces douze bites sont là pour moi !

DOUZE BITES ! ! ! DOUZE BITES ! ! !

DOUZE BITES QUE JE VAIS FAIRE BANDER, QUE JE VAIS FAIRE CRACHER !

C'est déjà plus que mes huit blacks de l'hôtel … et, vue l'heure, ils ne sont sûrement pas tous arrivés ! Oh, putain !

 Et puis j'aperçois, tout au bout de la cour, sur la pelouse, au soleil, ce qui doit être un matelas posé sur un drap. Ça, c'est une installation où ils vont me baiser … 

 Et dans le premier groupe, je reconnais Philippe. 


J'ouvre ma portière, de descends et je me penche pour récupérer mon sac sur le siège passager. Je sens la fraîcheur d'une petite brise s'insinuer à nouveau entre mes cuisses et jusque sur mes fesses. Je prends mon temps: cette fois, ils m'ont vu, ils me regardent, et il faut que ces mecs voient bien le haut de mes cuisses et mon cul sous ma jupe.


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Quand je me retourne, en effet, tous les regards sont braqués sur moi. Une multitude d'émotions et de sensations, très agréables, me submerge devant cette bande de mecs … cette fois, ce gang bang prend vraiment corps: tout à l'heure, ces types-là vont me baiser … Les imaginer, les entendre au téléphone, c'était une chose, mais les voir, en chair et en os, c'est … wouuuffff ! Ce ne sont plus seulement des créations de mon imagination: voilà les types qui vont poser leurs mains sur moi, qui vont me caresser, qui vont me peloter, me tripoter, qui vont introduire leur sexe dans mon corps, qui vont décharger leur plaisir en moi … J'ai une soudaine bouffée de chaleur et les jambes un peu en coton …

Et d'un seul coup, une petite voix me souffe « Tu te rends vraiment compte de ce qu'ils vont te faire, tous ces mecs ? Si t'es pas sûr de toi, c'est le moment où jamais de remonter dans ta voiture et de te barrer ! ». MAIS TA GUEULE, la petite voix ! Bien sûr que je me rends compte de ce qu'ils vont me faire ! J'en ai envie, je veux qu'ils me prennent, je veux qu'ils me fourrent leur bite, je veux qu'ils me baisent, j'en rêve depuis longtemps !

 

Mon baise-en-ville à la main, je m'approche, et Philippe vient à ma rencontre. On se serre la main, et, comme il y a quelques jours, je lui passe les doigts sur la braguette. Ça le fait sourire:

- Oh dis donc, habillé comme ça, t'es …. Pfiouuuuu ! Je t'avais déjà vu habillé dans ce genre de tenue, sur ton site, mais là, en vrai, tu fais encore plus …

- Salope ?

- Ouais … salope … pute, même ...

- Ah, merci … j'avais un peu peur de pas … de pas être assez ...

- Oh si, c'est bien, comme ça ... Je me suis demandé si tu allais venir …

- J'ai compris, tout à l'heure, au téléphone … 

- Comment on fait ? Je te les présente ? Ils ne sont pas tous arrivés …

- Euh… comme tu veux. Mais je ne me souviendrai pas des noms, de toutes façons. Et puis, je trouve ça mieux, qu'ils restent des inconnus …


 La main toujours posée sur son bas ventre, j'ai continué à lui palper mécaniquement le paquet pendant cet échange. Il se racle la gorge, comme un peu gêné:

- Euh, je suppose que tu veux savoir combien on va être …

- Attends, ne me dis pas … Quinze, ou plus ?

- Plus …

- Beaucoup plus ? Me dis pas combien, dis-moi seulement si c'est un peu plus ou beaucoup plus…

- Disons ... c'est ... pas mal plus … mais, je peux te dire …

- Oh la la ! Pas mal plus ! Tu me ... c'est vraiment ... 

 

Comme par un réflexe incontrôlé, j'accentue ma pression sur sa queue, je m'approche un peu plus de lui et je pose un baiser sur sa joue:

- Merci, Philippe ... t'es un chef !

 

Soulagé par ma réaction, mais quand même un peu désarçonné, il reprend:

- J'avais un peu peur que ça te ... que ça fasse trop ... Déjà, quinze ... ça me paraissait beaucoup ...

- Ecoute, je sais pas ... le nombre, je n'y ai pas réfléchi, en fait ... tant qu'à me faire sauter par plein de mecs, le plus compliqué, ça aurait pu être de prendre la décision ... mais ça n'a même pas été compliqué ... tu vois, déjà mes huit blacks à l'hôtel, c'était tellement bien que je n'avais qu'une envie, recommencer ... alors après, quinze, vingt mecs ... ou plus ... le nombre, ça fera pas de différence ...

- Bon, tant mieux ... Mais, moi-même, je sais pas très bien combien ... combien on sera ... C'est que … on a eu l'idée de … on a parlé de cette … journée sur Internet …

- Ah ! Et alors ?

- Ben … il va venir des mecs qu'on connaît pas … et on sait pas si …

- … si ils sont sains … c'est ça ?

- Ben … oui … ça risque d'être un peu compliqué à gérer ... Mais, tu sais, j'ai prévu des capotes, pour ceux qui … si tu veux pas …

- Bon, écoute, en chemin, en venant, j'ai ... j'ai décidé de prendre le risque: moi, je n'exige de capote pour personne … ceux qui voudront en mettre en mettront, mais moi j'ai envie qu'ils me baisent sans …

 

Et, accentuant ma pression sur son sexe:

- J'ai envie ... j'ai besoin de ... de les sentir décharger dans mon ventre ... j'ai besoin de leur sperme ...

Je n'en reviens pas de ce que je suis en train de lui dire ! Lui paraît soulagé:

- Bon, comme tu veux ... des capotes, j'en ai quand même acheté, pour ceux qui veulent ...


Pendant cet échange, les autres se sont approchés. Ils attendaient sans doute avec curiosité et impatience de voir en chair et en os avec qui ils vont s'amuser aujourd'hui. Ma tenue, à ma descente de voiture, les aura instantanément renseignés: ce sera moi le centre des réjouissances … et des jouissances. Des regards insistants et déjà lubriques se posent sur moi. Maintenant qu'ils m'ont vu, ils doivent quand même se poser des questions à mon sujet . Est-ce que je vais vraiment être une "fille facile" ? Est-ce que je vais les laisser me faire tout ce qu'ils veulent ? Est-ce que je vais être salope et vicelarde ? Est-ce que je vais les sucer ? Est-ce que j'avale ? Est-ce que je vais me laisser enculer ? Est-ce qu'ils vont pouvoir juter dans mon cul ? En moi-même, je réponds par avance à ces questions s'ils se les posent: OUI, OUI, OUI à tout ! Il n'y a que la violence et le scatologique que je refuserais.

Aux mimiques de certains, à l'expression de leur visage, je sens que c'est gagné: ils ont déjà envie de moi. Ils me scrutent de la tête aux pieds, ils m'évaluent, ils me détaillent, ils me déshabillent, me caressent, me palpent, me tripotent du regard … ils me violent des yeux … L'atmosphère de cette cour de ferme est brusquement imprégnée de testostérone et de luxure. Je suis sûr ... je suis sûr que leurs queues frémissent déjà dans leurs caleçons, je suis sûr que leurs usines à sperme ont commencé à tourner. C'est terriblement excitant. Me voilà tout de suite dans l'ambiance, et ça me plaît: nous éviterons ces moments incertains de prise de contact toujours susceptibles créer un peu de gêne. Je sens sur moi ces regards pleins de concupiscence presque aussi intensément que s'ils me touchaient de leurs mains. Apparemment, aucun ne semble déçu. Oh, putain je vais en prendre vraiment plein mon cul ! Une vague d'ivresse me submerge, et m'électrise la prostate et le bas ventre. 


Ceux qui étaient en train d'installer le barbecue nous rejoignent à leur tour. Me voilà entouré, cerné par tous ces mecs ... des mecs qui vont me baiser… enfin, par une partie des mecs qui vont me baiser… Leurs sexes sont là, à portée de mes mains, à portée de ma bouche, et ça me rend folle ! Oui, bizarement, à cet instant, je me vois, je me pense comme une femme ! Entouré, cerné par autant de mâles qui vont s'accoupler avec moi, je ne peux qu'être une femme ... ou plutôt, une femelle ! Et c'est une sensation très agréable !

Pris d'une subite inspiration, je pose mon sac à mes pieds, et, les bras légèrement écartés, j'entame lentement un tour sur moi-même. Regardez, les mecs … C'est moi que vous allez baiser … C'est moi qui vais vous sucer … C'est dans mon cul que vous allez fourrer vos queues … Aussitôt, je sens une main m'effleurer les fesses et soulever ma jupe. Je m'arrête. Un délicieux frisson me parcourt de la nuque aux reins et m'enflamme l'œillet: ça y est, c'est parti, on jauge, on tâte la marchandise. Allez-y les mecs, jaugez, touchez, tâtez dans quoi vous allez fourrer vos bites … Je reprends ma rotation sur moi-même et j'en profite pour les compter … cinq, six … une deuxième main se glisse sous ma jupe et me tâte une fesse … sept, huit, neuf … ils forment deux cercles concentriques autour de moi … dix, onze, douze … Ils sont bien douze, qui se pressent, comme prêts à se jeter sur moi … Je remarque que nous baignons dans un mélange de parfums, d'odeurs de déodorants et d'after-shave, fortes, musquées, poivrées, suaves … ils ont mis le paquet en mon honneur !


Et cette chaleur que je ressens maintenant, malgré la fraîcheur de l'air ambiant … elle est dans ma tête, ou elle est réelle ? Je réalise que, serrés comme ça autour de moi, ces types forment paravent, mais en plus, j'ai l'impression que la chaleur animale qui se dégage de ce double cercle de mâles rayonne jusqu'à moi … C'est vraiment très agréable, sensuellement et cérébralement, d'être comme ça, à la fois le centre géométrique de cette troupe de mâles, et d'être leur centre d'intérêt sexuel ... exclusif ... ces douze mâles sont ici pour moi, pour me baiser, moi, et seulement moi ...

DOUZE MÂLES ... MES DOUZE MÂLES !

 

Cette fois, j'y suis bel et bien ... ce sont bien ces mecs qui vont user de moi, de mon cul, de ma bouche … ce sont ces corps virils qui vont se coucher sur moi et m'écraser de leur poids… ce sont ces mains d'hommes qui vont m'explorer, me caresser, me peloter, me pétrir…  ce sont ces doigts qui vont m'ouvrir, me fouiller … ce sont ces peaux poilues qui vont se poser, se frotter contre ma peau … ce sont ces lèvres qui vont peut-être m'embrasser, ces langues qui vont me lécher … et là, plus bas, ce sont leurs queues, encore invisibles, qui vont s'enfoncer dans mon cul et ma bouche, pour y prendre du plaisir et y répandre leur jouissance … et plus bas encore, il y a leurs couilles … vingt quatre réservoirs de semence … je les veux toutes … je veux que ces types se vident en moi et me fécondent le ventre … tous !


Ces types, il y en a de toutes sortes: des petits, des moyens, des grands, des minces, des gras, des bien foutus, des glabres, des barbus et un moustachu, des bruns, des blonds, un chauve, un très typé arabe … pas un seul black … et il y en a de plusieurs générations, depuis la cinquantaine jusqu'à une vingtaine d'années, la plupart entre trente et quarante ans. C'est bien, à cet âge là, les mecs savent ce qu'ils veulent, savent ce qu'ils aiment. Ils ne feront pas de manières. Ma rotation achevée, je tends la main au premier qui se trouve devant moi, la cinquantaine, assez grand, avec un peu de ventre. Il la prend, me la serre et, la retenant ostensiblement, il me regarde de la tête aux pieds:

- Alors, c'est toi qu'on baise aujourd'hui ?

- Oui, c'est moi qu'on baise, aujourd'hui …


Le ton de ce mec ajoute à mon émoi: il a quelque chose de dominateur, d'autoritaire. Celui-ci se comporte d'emblée en mâle … et je sens qu'il va me traiter en femelle. Ça me plaît. Quelque chose frémit dans mon périnée. Ma main droite toujours dans la sienne, je pose doucement ma main gauche sur son bas ventre et je palpe son sexe à travers la toile de son pantalon. Voilà, sous ma main, il y a une des queues que je vais sucer et qui va entrer en moi ... et jouir en moi ... Un peu surpris, le mec écarquille les yeux, sourit, et tenant toujours fermement ma main droite, il glisse sa main gauche sur mes reins, m'attire contre lui, ventre contre ventre, passe sa main sous ma jupe et m'empoigne une fesse:

- Tu en veux, toi, dis donc …

- Oui, j'en veux. Tu vas me la mettre, ta queue ? 

- Sûr que je vais te la mettre … Philippe m'avait dit que tu étais une sacrée salope … je vois qu'il n'a pas exagéré … je sens qu'on va bien s'amuser …

J'y compte bien … je suis là pour ça … je suis là pour elle !

 

Je glisse ma main plus bas, sous ses couilles et je les palpe délcatement.Il se marre, il lâche ma main et me libère. Je me tourne vers son voisin, la trentaine, un peu gras, un peu pâle, un peu mou, et je lui tends la main:

- Salut.


Il me la serre … mollement:

- Salut.


Je lui palpe le sexe à son tour. Une autre queue qui va investir ma bouche et mon cul:

- Toi aussi, tu es prêt à me la mettre ?

- Euh … oui …

- Tu peux toucher … allez, vas-y … touche …


Il avance gauchement une main vers ma hanche et, pendant qu'il commence à me peloter, je me tourne vers son voisin, la trentaine aussi, mais plus grand et bien plus beau, et je lui tends la main:

- Salut.

- Salut.


Ma main gauche toujours sur la queue du gros mou, je plaque mon autre main sur le bas ventre du deuxième. Aussitôt, d'un geste, il descend le zip de sa braguette, il saisit fermement ma main et la guide à l'intérieur de son pantalon. Oh, putain, ça aussi, j'aime: direct, pas de préliminaires. Une nouvelle bouffée de chaleur m'envahit. Dessous, il ne porte rien. Sa queue pend dans sa jambière … déjà un peu gonflée ? Je l'explore du bout des doigts à l'aveugle, cherchant à deviner son aspect. Douce, chaude, elle est décalottée et imberbe. Circoncise ? Rasée ? Epilée ? Celle-ci aussi va me saillir … Je n'en reviens pas ... j'ai dans ma main la bite d'un type que je ne connais pas ! Et cette bite ... cette bite va me .. cette bite va ma baiser !

 

Je me fous de qui va me baiser aujourd'hui, gros, mince, vieux ou jeune, mais au fond de moi, qu'un mec aussi beau et bien foutu soit venu pour me fourrer, ça me rend fier. Il me tient toujours fermement le poignet. Je commence à le masturber et je le sens grossir. Il se laisse faire quelques secondes puis il pose une main sur mon épaule et appuie pour que je me penche vers son ventre. Il veut que je le suce ! Putain, ça va vite, et j'aime ça ! Je me plie en deux, le visage à hauteur de sa queue. J'extrais son membre et ses couilles par sa braguette. Pas mal, en plus, l'engin ! En effet, intégralement rasé, tout comme ses couilles … et circoncis. J'approche ma tête, et je le prends dans la bouche. Autour de nous, on commente, on rit, on applaudit:

- Yeeeaaahh !

- Ouaiiiiis ! Direct !

- Ah puuuutain, elle en veut, la salope !

- Vas-y, suce …


J'ôte ma main du bas ventre du gros mou pour me concentrer sur la queue de l'autre. Elle n'est pas très grosse, sa queue, et dans le très court moment où j'ai pu la voir avant de l'engloutir, elle m'a paru assez belle, sans défaut, sans bouton, bien proportionnée. Ah putain, j'ai déjà une bite dans la bouche ! Elle est très douce sous ma langue. Je la mordille un peu puis je commence à la faire aller et venir dans ma bouche. Ça m'excite terriblement, de tailler une pipe à cet inconnu au milieu de ce cercle de mâles tout aussi inconnus. Je me sens vraiment salope ! D'autant que je sais que ces mecs qui me regardent ne sont pas seulement des spectateurs: ceux-là aussi, je vais les sucer à un moment ou à un autre, et ils vont m'enculer et se donner du plaisir en moi …

Penché en avant comme ça, je sens que ma jupe remonte et découvre un peu mes fesses. Je m'attendais à ce qu'un autre mec en profite, me pelote le cul, ou se frotte la bite dans ma raie … mais aucun de réagit ! Alors, tout en suçant avec application cette première queue, je relève moi-même ma jupe sur mes reins et je me cambre: Allez, quoi, les mecs, venez, touchez ! Je commence à bander, à l'étroit dans mon string. Je sens enfin une main se glisser entre mes cuisses, et remonter dans ma raie. J'écarte les jambes pour faciliter cette perquisition. Aussitôt, ça décide les autres: du coin de l'œil, j'en vois un qui ouvre sa braguette, qui sort son sexe, déjà en érection, il s'approche, prend ma main gauche et la pose sur sa verge, courte, mais massive. D'autres mains se posent sur mon cul, sur mes reins, sur mes hanches, et commencent à m'explorer. On saisit ma main droite et on l'attire vers un troisième sexe que je ne vois même pas. Tout en suçant le premier mec, j'entreprends de masturber lentement les deux autres…


Oh putain ! Cette situation, que j'ai vu maintes fois en vidéo, j'en ai rêvé: une femme au centre d'un cercle de mecs s'occupant de leurs queues de la bouche et des mains, avant de se faire baiser ... et cette situation, c'est moi qui la vis, là, en ce moment ! La tête me tourne un peu Cette fois, me voilà vraiment devenu une salope à bites !


Je dois dire que je ne m'attendais pas à ce que ça démarre aussi rapidement. Je ne suis pas là depuis dix minutes, et j'ai déjà une queue dans la bouche et une dans chaque main ! Je n'ai pas eu besoin de beaucoup les chauffer, ces mecs m'ont sauté dessus comme une bande de chiens errants sauteraient sur une chienne en chaleurs … Ils doivent être vachement affamés ! Ça me plaît, avec eux, ça va être ... dissolu, animal, orgiaque, sans tabou et sans morale ! Ils vont me baiser comme une chienne !


Une main s'est glissée sous la ficelle de mon string et s'approche de mon œillet. Une autre main me caresse le haut des cuisses, entre mes bas et mon porte-jarretelles. Le type que je branle à ma gauche s'approche un peu plus, empoigne sa queue sous les couilles et me la présente, visiblement pour que je le suce à son tour. Il est très raide, le gland tout rouge, gonflé de sang. Je recrache donc le premier mec et je prends celui-ci dans la bouche. Je suce une deuxième bite ! Il a posé sa main sur ma nuque et c'est lui qui, d'un balancement du bassin, va et vient entre ma langue et mon palais. Mouvement de faible amplitude parce que, en tenant sa courte queue comme ça, il remonte ses couilles à quelques centimètres de son gland.  

Je commence à avoir mal aux reins, penché comme ça en avant, et je serais plus à mon aise accroupi. Nous sommes sur la partie goudronnée de la cour, et je ne tiens pas à me taller les genoux. Alors je tire mon sac, que j'avais posé à mes pieds, et je pose un genou dessus. Le premier mec que j'ai sucé s'est reculé, laissant la place à d'autres. Je vois quatre … non, cinq queues qui attendent que je m'occupe d'elles d'une manière ou d'une autre. Si ça se trouve, les autres se branlent en me regardant sucer leurs potes … Je réalise qu'on continue à me tripoter le cul … Un doigt commence même à s'insinuer lentement en moi. Celui qui m'explore comme ça a eu la bonne idée de lubrifier son doigt, sans doute à la salive, et je me cambre autant que je peux pour faciliter sa pénétration. Ça y est, on commence à entrer dans mon cul.

 

D'autres queues se présentent à ma bouche, et les mecs se font des politesses:

- Vas-y …

- Je peux ?

- Oui, oui, vas-y


Je passe d'une queue à l'autre, suçant chacune d'elles une dizaine de secondes, tout en masturbant celles qu'on me glisse dans les mains … Oh, ça me rend folle, tous ces mecs qui ont envie que je les suce, tous ces membres tendus, aux glands gonflés, aux veines saillantes, qui entrent dans ma bouche les uns après les autres … ils sont doux, ils sont chauds sur ma langue ... il y en a de toutes sortes … des plus ou moins beaux, des plus ou moins gros, des plus ou moins longs, des poilus, des rasés, des blancs, des roses, des bruns – mais encore une fois, pas de noirs – avec des glands ronds, plats, retroussés, calottés ou non, un ou deux visiblement circoncis … quelle collection de sexes ! Et tous pour moi ! Et toutes ces couilles … des grosses, des petites, des pendantes, des remontées ! Et toute cette semence qu'elles contiennent ! Je suis pris d'une furieuse envie d'en faire gicler tout de suite … voilà, cette queue par exemple … elle est magnifique, avec cette paire de couilles bien dessinée, lourde de sperme … Le mec a gardé son pantalon et a seulement sorti son paquet par la braguette. J'abandonne les autres bites et je me concentre sur celle-ci: tout en la masturbant, et en lui pétrissant les couilles, je la fais aller et venir lentement dans ma bouche. Les autres me laissent faire, regardent en se branlant. 


L'excitation m'embrase le ventre et le cul, et ma propre queue commence à être vraiment à l'étroit dans mon  string. Tandis que je la libère en abaissant le minuscule bout de tissu, je sens qu'un type, accroupi derrière moi, soulève ma jupe d'une main, et insinue un doigt dans mon cul … Mû par une sorte d'automatisme, je me cambre et, tant bien que mal, en équilibre sur mon sac, j'écarte les cuisses autant que je peux pour faciliter cette exploration … Vas-y, fourre-moi tes doigts ! La voix du type derrière moi:

- Je peux y aller ? Je veux dire … je risque pas une surprise ? T'es clean ?


Gardant la queue qui est dans ma bouche, je me contente de hocher un peu la tête:

- Hhhhmmm …

Il a compris. Alors, un autre doigt, puis un troisième me pénètrent, m'ouvrent et me fouillent … Cette … perquisition produit sur moi un effet immédiat: j'accentue fébrilement ma fellation en laissant échapper des gémissements de plaisir.


Mon excitation se communique au type que je suce: une main posée de chaque côté de ma tête, il commence à me mettre des coups de queue de plus en plus violents dans la bouche en ahanant. Je lève les yeux vers lui. Tantôt, les yeux écarquillés, il regarde sa queue aller et venir entre mes lèvres, tantôt, il rejette sa tête en arrière en râlant la bouche grande ouverte … Brusquement, tout en poussant un « Aaaaah, puuuuutaiiiiin ! », il s'extrait de ma bouche, me saisit par le coude, me fait relever et m'entraîne. Les doigts de celui qui me fouillait s'échappent de mon cul et celui que je suçais me pousse au pas de charge vers les tables alignées bout à bout devant le hangar au foin. Du coin de l'œil, je vois sa queue battre de droite à gauche au rythme de ses pas. Les autres nous emboîtent le pas.

- Mets-toi là !


Il me désigne la dernière table, au bout de la rangée, me pousse face à elle et m'appuie entre les omoplates pour que je m'y appuie des mains. J'ai compris: il va me prendre en levrette, debout contre cette table ! Ah oui, baise-moi ! Le voilà derrière moi. Pendant que les autres se regroupent autour de nous, il baisse maladroitement mon string. Je me tortille pour l'aider à m'en débarrasser, puis je m'empoigne les fesses pour bien lui présenter ma rondelle, j'écarte les jambes et je me cambre ... Vas-y, prends-moi !

Ah putain, je vais déjà me faire baiser ! 

 

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Il relève un peu ma jupe, et, la main gauche sur ma taille, il guide son sexe de son autre main contre ma fleur, l'enfonce légèrement, pose sa main droite sur ma hanche, et continue de me pénétrer. C'est laborieux, et j'ai beau avoir été bien ouvert par des doigts il y a un instant, il ne glisse pas comme il faudrait. C'est vrai que je ne suis pas lubrifié, à part avec ces doigts mouillés de salive. 

- Attends, j'ai du lubrifiant dans mon sac.


Il se retire, loge sa bite entre mes fesses et se balance doucement d'avant en arrière en se frottant. Je lance:

- Hé, les mecs, allez nous chercher le flacon de lubrifiant qui est dans mon sac !


Un jeune, une vingtaine d'année, retourne où nous étions deux minutes auparavant. L'autre, derrière moi, les mains sur mes hanches, son menton dans mon cou, continue de frotter doucement sa queue dans ma raie. Le jeune ramasse mon sac, revient vers nous et le pose sur la table à côté de nous.


- Ouvre-le et donne le lubrifiant.


Il fouille, trouve le flacon et le tend à mon baiseur. Je me cambre, j'écarte les cuisses et, m'empoignant les fesses à pleines mains, je m'ouvre pour faciliter les choses à mon baiseur. Je sens bientôt la fraîcheur du fluide sur ma fleur, puis dans mon rectum. Il pose le flacon sur la table et me reprend par les hanches. Cette fois, il me pénètre d'un coup et il commence à aller et venir. Un type, à côté de moi, lui demande:

- T'as pas mis de capote ?

Mon baiseur, tout à notre coït, ne répond pas. L'autre insiste en s'adressant à moi:

- Hé, il a pas mis de capote ... 

- Tant mieux ... je préfère sans capote ...

- T'as pas peur ? Tu veux pas qu'on se retire pour ... tu veux qu'on se retire, pour jouir ?

- Hé ! Tu veux bien nous foutre la paix ? Ceux qui veulent mettre une capote, ils en mettent une, mais j'aimerais mieux pas ... maintenant, laisse-le me baiser !

 

Les réactions sont partagées: beaucoup sourient, un ou deux paraissent effarés et je lis dans l'œil de certains une lueur de satisfaction lubrique: ils vont pouvoir rester au fond de mon cul au moment de l'orgasme ! Ma déclaration a aussi fait son effet sur le type qui m'encule. Je ne sais pas s'il se posait la question de jouir en moi ou non, mais je le sens à la fois plus excité et comme libéré.  Dans l'urgence, il n'a pas pris le temps d'enlever son pantalon, et je sens la toile du vêtement contre mes fesses, entre mes cuisses … Il va et vient, lentement … trois … quatre fois … et brusquement, il accélère, de nouveau trois … quatre fois ... puis trois ou quatre fois lentement ... enfin, il vient se plaquer contre moi, les mains crispées à l'angle de mon ventre et de mes cuisses. Il jouit ! Putain, déjà ! Il devait être vraiment très excité … planté tout au fond de moi, il prend son pied en s'efforçant d'étouffer un gémissement  … Putain, ça y est, je me suis fait baiser ! Un premier mec m'a baisé ... vraiment baisé ! Un parfait inconnu que je viens à peine de rencontrer ! Il a joui dans mon cul ! Et je me mets à penser à son sperme, qu'il m'a répandu au fond du ventre ! 

Putain, j'aime ça ! Déjà, ça me plaît d'avoir suscité chez un type qui ne m'avait jamais vu une envie aussi irrépressible … Et puis, ce coup vite fait, comme Philippe et Jean-Claude, l'autre jour contre ce rouleau de foin, ça aussi, ça me plaît … ce type n'a pas cherché à me faire jouir, ni même à me donner un peu de plaisir, il n'a pensé qu'à en prendre … et ça, c'est bien ! C'est ça que je veux, être ... être une viande à bites !

 

Il n'y a pas une demie heure que je suis arrivé, et j'ai déjà soulagé un premier mec … j'ai déjà reçu ma première injection de semence ! Encore deux ou trois allers et retours … il sort de moi et s'écarte.

- Tu bouges pas !

De toute évidence, ça s'adresse à moi. Oh, ça aussi, j'aime ça ! C'est exactement comme ça qu'il faut faire. Un autre mec va donc me baiser ! Je tourne la tête. C'est le type à ma gauche, qui, joignant le geste à la parole, est venu se placer derrière moi. Bouger ? De toute façon, je n'en avais pas l'intention.Et je n'en ai pas eu le temps, il est déjà contre moi, les mains sur moi … Il me caresse l'intérieur des cuisses, tout contre mon périnée, m'effleure les couilles, ses doigts remontent vers mon œillet, me pénètrent, m'ouvrent, me fouillent … Je crois que je reconnais son … doigté. C'est lui qui m'a perquisitionné, tout à l'heure. Je m'appuie des coudes sur la table et je me cambre. Cette fois, ses doigts pataugent dans le lubrifiant … et sans doute aussi dans la semence de mon premier baiseur ...

- T'aimes ça ? 

Je hoche la tête. Il continue de me fouiller, puis:

- Maintenant, je vais t'enculer …

- …

Il est contre moi. Il s'est déboutonné et, entre les pans de son pantalon, je sens la peau nue de son ventre contre mes fesses. Il me pénètre ... ah putain, un deuxième mâle est déjà en train de me saillir ... une deuxième bite dans mon cul ! Il pose les mains sur mes épaules et il me baise, lentement, méticuleusement … presque mécaniquement. Peu m'importe, je sens sa bite aller et venir dans mon cul. Autour de nous, les autres contemplent. Certains se sont postés en face de moi, de l'autre côté de la table. Plusieurs ont sorti leur queue par leur braguette ou ouvert leur pantalon qu'ils retiennent d'une main, et se masturbent en nous regardant … Leur rang s'ouvre devant Philippe qui vient poser un petit panier en osier sur la table et qui le remplit de poignées de capotes dans des pochettes multicolores. Il me regarde avec un grand sourire, et me fait un clin d'œil. A côté de moi, le jeunot, qui est allé chercher mon sac, y a trouvé un de mes strings. Il le renifle voluptueusement en se tripotant à travers la toile de son bermuda. C'est un string propre et il ne doit sentir que la lessive. Pourtant, ça a l'air de beaucoup l'exciter. Mais je le comprends: c'est un string que j'aime aussi beaucoup, très sexy, en tulle noir, transparent, avec deux petits nœuds roses sur la ceinture. L'autre continue à me fourrer. Alors je souris au jeune:

- Ça te plaît ?

- …

Il hoche la tête.

- Regarde, il y en a un autre à mes pieds … et celui-là, je l'ai porté …


Il se penche précipitamment et ramasse mon micro string rose. J'espère qu'il ne va pas se contenter de mes petites culottes. 


A côté, d'autres mecs, sans doute plus timides, se caressent, la main cachée dans le pantalon. Le premier qui m'a baisé a remballé sa queue, est allé s'ouvrir une canette de bière et, vautré sur un fauteuil de jardin, il la sirote en nous observant. 


Le pantalon du type derrière moi est en train de glisser lentement et je sens maintenant la peau et les poils de ses cuisses contre les miennes. Il descend ses mains sur mes flancs, puis sur mes hanches, relève mon T-shirt et me caresse le dos. 

- T'as un sacré cul de salope …

- Oui ? Il te plaît ?

- Hé hé ! Devine … En tout cas, il est mieux que celui de ma femme …

- C'est vrai ?

- Ouais. Surtout qu'elle, elle veut pas que je l'encule …

- Alors, profite … moi, j'aime ça … et je suis là pour ça.

- Ouais .. Mais là, je m'amuse … c'est seulement pour voir comment c'est, dans ton cul … tout à l'heure, je vais vraiment te …

 

Silence.

- Tu vas me quoi ?

- Je vais te baiser vraiment … je vais te … je vais te juter dans le cul …

- Fais-le maintenant ! Baise-moi maintenant …

- Non. Tout à l'heure …

- Si, vas-y ... tu recommenceras tout à l'heure ...

- NON !

 

Il me ramone encore un peu, rabat mon T-shirt sur mes reins, se retire et me claque une fesse. Je n'ai pas le temps de me relever, j'ai déjà un autre mec derrière moi. Je n'ai même pas vu de qui il s'agit. Il me pénètre d'un coup de reins si violent qu'il me soulève du sol. Je me rattrape comme je peux à la table. Ah la vache ! A la chaîne ! Ces mecs se succèdent à la chaîne ! Ce type est grand et costaud. Aussi grand que moi … peut-être plus, même. Il s'appuie des deux mains sur la table, plaque son torse contre mon dos, se presse contre moi, le menton sur mon épaule. Je sens son souffle dans mon cou. Il reste immobile au fond de moi pendant un instant, puis, dans un murmure:

- T'es mon premier mec …

- Pardon ?

- T'es le premier mec que je baise… 

- Ah bon ? Tu as pourtant l'air de savoir t'y prendre …

- Le premier mec … mais j'ai déjà enculé des femmes …


Il se redresse, s'écarte un peu de moi et commence à aller et venir. Putain, ce que c'est bien ! J'ai la rondelle très ... détendue. Elle s'est dilatée toute seule, progressivement. Elle est aussi très lubrifiée ... gel lubrifiant et sperme, je pense. Je sens très bien le sexe de ce type coulisser dans mon anus. Ce que c'est bon d'avoir un mâle en soi ! Le jeunot aux strings a fait le tour de la table où je suis appuyé, et s'est planté devant moi. Il a ouvert sa braguette, sorti sa queue, et l'a enroulée dans mon string noir. Il se masturbe et me regarde en reniflant et en léchant mon micro string rose. Ah oui, celui-ci, je l'ai porté, ma queue a un peu bavé dedans et il a passé près d'une heure plaqué contre mon œillet entre mes fesses. C'est très excitant de voir ce mec se branler dans ma lingerie. Et ça doit ajouter à sa propre excitation, de se donner du plaisir comme ça sous mes yeux, parce que, à ses mouvements saccadés, je devine que sa jouissance augmente. Il ne va quand même pas se finir comme ça, à la main, dans mon string !

- Hé mec, doucement … Viens plutôt me baiser …


Je sens que l'autre, derrière moi, se marre tout en continuant à aller et venir lentement dans mon cul. Mais le jeunot est trop excité. La tête rejetée en arrière, les yeux fermés, mon string rose dans la bouche, il jouit. Je vois sa semence mouiller et commencer à traverser le voile de mon string. Je ne peux retenir un:

- Oh merde ! J'aurais préféré te finir …


Le jeunot sort mon string rose de sa bouche, rouvre les yeux, et presse sa queue pour finir de la vider dans le string noir. Il me regarde, comme un air de défi dans les yeux. Je tends la main:

- Donne …


Surpris, il semble ne pas comprendre. Je répète:

- Donne moi ce string !


Il me le tend, plié, roulé en boule. Je l'ouvre, je l'étale. Il y a répandu une assez grosse dose de semence. Je récupère ce que je peux du bout des doigts, je les porte à ma bouche et je les suce. Puis je lèche les quelques grumeaux de sperme encore englués dans les mailles du string. Hhhmmm, c'est excitant ... cette saveur un peu iodée, un peu salée. L'autre, derrière moi:

- Oh, putain ! T'aimes ça, le sperme, hein … tu vas en avoir ! 


Il accélère ses va et vient … son ventre tape contre mes fesses … il commence à haleter, et brusquement il jouit tout en continuant à me bourrer à grands coups de bite … sa queue fait des bruits mouillés dans mon cul. Oh la la, il me ... il me féconde aussi !  Il ralentit, en finissant sans doute de se vider en moi … puis il sort de mon cul, lâche mes hanches et laisse la place … Celui-ci aussi a tiré son coup vite fait ! 


Aussitôt, un autre pose ses mains sur mes épaules, appuie pour que je reste penché, puis descend ses mains doucement le long de mes flancs, de mes reins, de mes fesses, les pétrit, les malaxe, puis, me tenant la raie bien ouverte d'une main, de l'autre, il guide son sexe jusqu'à mon œillet, et il me pénètre … Ça me donne envie de ... de rire, de crier de joie... j'avais imaginé des tas de choses, à propos de ce qui allait m'arriver aujourd'hui ... dont ça ... que les mecs me prennent et me baisent comme ça, vite fait à la queue leu leu ... mais que ça m'arrive vraiment, alors là ... Oh, les mecs ... mes mâles, allez-y, baisez-moi !

BAISEZ-MOI ! BAISEZ-MOI ! BAISEZ-MOI !


Ceux qui ne m'ont pas encore touché attendent leur tour, eux aussi, regroupés autour de nous. Tous ont la queue à la main et ils se branlent … certains ont déjà enlevé le bas … il y en a même un … déjà complètement à poil … 


Je ne m'attendais pas à ce qu'autant de mecs entrent si rapidement en action ! J'imaginais qu'avant … je ne sais pas … on prendrait un café en discutant … que ça démarrerait doucement … que je devrais prendre l'initiative d'en chauffer un ou deux pour décider les autres … Mais ces mecs ont tout de suite commencé à me baiser, et comme dans l'urgence … Au fond, ils ont sans doute fait comme moi … ils ont ipensé à cette ... tournante depuis plusieurs jours … ils se sont peut-être masturbés devant les photos et vidéos de mon cul … ils ont fantasmé, anticipé ce qu'ils allaient me faire … et ce matin, comme moi, ils se sont probablement réveillés avec la trique, leur semence bouillonnant dans leurs couilles … ils sont sans doute restés plus ou moins excités … jusqu'à mon arrivée … Et là, le corps qu'en pensée ils ont chevauché, pénétré, bourré et souillé, ils l'ont sous les yeux, sous la main, en chair et en os – surtout en chair –  …   et cette cambrure, cette chute de reins, ce cul charnu, rebondi, vivant qu'ils ont baisé en rêve, maintenant, ils les ont, disponibles et offerts, à portée de leurs mains, de leur bite, et ne demandant qu'à les satisfaire …


C'est ça ! Ils apaisent une urgence … comme on calme une érection matinale … comme on soulage une excitation trop longtemps contenue !


- Aaaah, putain ! Depuis le temps que j'attendais ça !


C'est la voix de Philippe. Je n'avais pas fait attention à qui était en train de me fourrager … une main toujours appuyée sur la table, je passe l'autre derrière moi, jusqu'à lui, jusqu'à sa fesse … Je le caresse …

- Ah, c'est toi ! Moi aussi … depuis le temps que j'attendais ça …

- Tu … t'es content ?

- Très … ils sont chauds, tes copains … ils avaient une urgence ?

- On avait tous une urgence … C'est vraiment dingue !

- Quoi ?

- Ça ! D'avoir organisé ça ! J'avais jamais … même une partouze à deux couples, j'avais jamais fait ça … et là … j'ai organisé une … une tournante … géante … pour baiser un … pour te baiser !

- Oh oui … merci … merci ! 

- Je pense à ton cul depuis l'autre jour … j'avais tellement envie de te baiser !

- Et moi, j'avais tellement envie que tu me baises …

- Tu as démarré à fond, tout à l'heure …

- C'est ce que j'étais en train de me dire … c'est tes potes qui m'ont sauté dessus … j'adore  ça…


Il se tait, et sans doute sous l'aiguillon du plaisir, se concentre sur ce qu'il est en train de me faire, accentue la pression de ses mains sur moi. Je l'entends, mâchoires crispées, aspirer et refouler l'air de plus en plus fort entre ses dents. Ses mouvements se font plus raides, plus saccadés, signe que sa jouissance augmente … Soudain, il se penche sur moi, m'enserre la taille de ses bras et d'un grand coup de reins, il me soulève avec sa queue plantée dans mon cul en poussant un long râle:

- Aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh! Nom de dieuuuuuuuuuu !


Mes pieds ont décollé du sol et j'essaie tant bien que mal de garder mon équilibre. Il me repose et me donne encore trois ou quatre coups de reins:

- Haaaan ! Haaaaan ! Haaaaaaaan ! Haaaaaaaaaaaaaaan !


C'est fini, il a joui. Les bras toujours autour de mon torse, il pose son menton entre mes omoplates:

- Il faudra que je te baise mieux que ça … mais là, je pouvais plus attendre …


Et un ton plus bas:

- il faudra … il faudra que … je te fasse l'amour …

- Si tu veux … mais ça me plaît aussi, de me faire baiser comme ça …


Au moment où il se retire, un autre, à côté de moi, tout en plongeant la main dans le panier de capotes, lui demande:

- Alors, elle est bonne ?

- Elle est mieux que ça, mon pote … 


Celui-là est plutôt jeune, pas très grand, au moins une tête de moins que moi, pas mal foutu, blond. Il a déboutonné son pantalon qui lui tombe sur les cuisses. Alors qu'il déchire la pochette de sa capote, un autre se place derrière moi, prêt à me prendre à son tour.

- Hé ! Minute ! Attends un peu, mec, c'est moi qui y vais …

- Ah, excuse-moi … mais comme t'étais pas prêt …

- Ouais, mais moi, je mets une capote …

- OK, OK …


L'autre s'écarte. Le petit blond finit de dérouler sa capote sur sa queue en me regardant.

- Ça va pas le faire ici … je vais pas te … je vais pas te baiser ici …


Je me redresse, je me retourne, attendant qu'il me dise ce qu'il veut … Je n'y avais pas fait attention tout à l'heure, en faisant ce tour sur moi-même, mais maintenant que je ne suis plus jambes largement écartées et plié en deux sur cette table, la différence de taille avec ce type est flagrante: il est effectivement beaucoup plus petit que moi. Il me … toise, de bas en haut, se hausse sur la pointe des pieds comme pour se grandir. Je plie un peu les genoux pour me mettre à sa hauteur et ça le fait rire. Il regarde autour de nous, avise le matelas que j'ai aperçu en arrivant, me prend par le coude et m'entraîne vers la pelouse en cramponnant son pantalon de l'autre main. Plusieurs types nous suivent. Je sens un peu de semence s'écouler de mon cul et me lubrifier la raie … mes fesses glissent l'une sur l'autre au rythme de nos pas avec un petit bruit mouillé. Il me coule aussi un peu de sperme le long des cuisses. La queue du blondinet, raide, dépasse des pans de son pantalon. Il est plutôt bien monté, ce mec, malgré sa petite taille ! On dirait qu'il n'a pas un poil sur la queue et les couilles. 


C'est un très grand matelas, presque carré, couvert d'un drap, et posé au soleil sur un immense tapis, lui-même protégé de l'humidité de la pelouse par une bâche. Ma première pensée, en le découvrant, c'est qu'il y a suffisamment de place pour s'ébattre à plusieurs là-dessus … Le petit blond, qui me conduit toujours par le coude, me pousse vers le matelas:

- Fous-toi à quatre pattes !


Il va me prendre en levrette. J'ôte vite fait mes ballerines, je m'agenouille sans hésiter sur le matelas, genoux bien écartés et je pose les mains devant moi. Je tourne la tête pour le regarder se préparer. Il ôte aussi ses chaussures, quitte son pantalon et s'installe à genoux entre mes mollets. Je me cambre, et je le sens qui guide sa queue vers mon œillet. Son gland tout juste posé à l'entrée, à peine introduit, il me prend par les hanches, et, d'un grand coup de reins, il me pénètre et entame un va et vient vigoureux. Ah oui, il est plutôt bien équipé, ce mec ! On s'assemble autour de nous, six, sept types. Plusieurs se branlent encore. 


Ça, c'est très excitant, de se faire prendre comme ça, sous le regard de mecs que le spectacle fait bander … C'est même encore plus excitant comme ça, à quatre pattes, que debout contre la table … ça a quelque chose d'animal ... Va comprendre … Pendant que l'autre me secoue, je regarde tour à tour les types qui nous matent … Trois ou quatre, un peu derrière nous, ont les yeux rivés sur notre accouplement, et contemplent sans doute, fascinés, son membre qui va et vient en moi … trois autres, à côté de moi, scrutent alternativement le blondinet et mon visage, cherchant déchiffrer mes expressions, à deviner ce que je ressens à me faire bourrer comme ça … 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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