Jeudi 21 janvier 2016 4 21 /01 /Jan /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


Ce n'est pas une découverte: les mecs se comportent parfois pour le sexe comme pour la nourriture. A table, ils peuvent manger pour le plaisir, prendre leur temps, savourer, déguster … mais ils peuvent aussi se jeter sur la bouffe pour calmer une fringale et bâfrer, se goinfrer, s'empiffrer … Pour la baise, c'est pareil: ils peuvent embrasser, caresser, cajoler longuement et prendre le temps de longs préliminaires avant de … faire l'amour … mais s'ils ont seulement besoin de soulager une urgence, si leurs couilles, trop pleines, doivent être vidangées rapidement, alors ils peuvent s'accoupler sans préambule et tirer un coup vite fait … Et bien, ce matin, les participants à ce gang bang – à MON gang bang – ne se sont pas comportés en gourmets, mais en morfals. Arrivés chez Jean-Claude avec une monstrueuse fringale sexuelle, dès qu'ils ont eu sous la main ce qu'il y avait au menu (en l'occurrence mon cul comme plat principal), ils se sont précipités dessus ... ou plutôt dedans ... comme sous l'effet d'une incoercible pulsion. Si la plupart se sont directement attaqués à ce plat de résistance (qui, d'ailleurs, n'a pas résisté du tout), quelques uns ont préféré commencer par des amuse-bouche (et ils se sont amusés avec ma bouche). Tout ça n'était pas fait pour me déplaire, bien au contraire. Et comme c'était "buffet à volonté", certains n'ont pas hésité à se resservir.


Bref, cette bande de crevards avait besoin de se vider les couilles avant tout autre chose … 

… alors, ils se les sont vidées …


Et puis, à tant s'appliquer à calmer cette fringale sexuelle, ils se sont ouvert l'appétit … alimentaire, cette fois. Ces deux besoins satisfaits, en bons mâles, ils se sont tous plus ou moins assoupis. Quelques uns font une vraie sieste ou se contentent de somnoler, d'autres fument, picolent ou discutent, et m'oublient presque, me laissant à la fois désœuvré, disponible et surtout toujours affamé de sexes, de membres, de queues, de bites … Heureusement, "le comptable", une fois remis de ses deux saillies de ce matin, une fois son estomac rassasié et ses couilles rechargées, a été pris d'une envie subite, et il m'a emmené avec le plus jeune de l'équipe, pour me prendre en levrette sur le portail qui ferme la cour. 


Et là, alors qu'ils avaient commencé à me fourrer, chacun par un bout, j'ai aperçu trois têtes au-dessus du mur qui borde le chemin d'accès à la ferme … on était en train de nous mater. Avec mes deux baiseurs, nous étions venus involontairement nous donner en spectacle, comme à domicile, juste au pied de voyeurs. Me faire saillir par deux mecs sous les yeux de spectateurs clandestins n'était pas pour me déplaire, mais, interrompant notre partie de cul, je suis allé voir, accompagné du comptable, de qui il s'agissait. Trois jeunes, étaient venus se rincer l'œil, sans doute en se branlant, grimpés sur le cadre de leurs vélos. Il y avait entre autres un dénommé Grégory, le commis du traiteur. Pas étonnant ! Quand son patron et lui étaient venus livrer la bouffe en fin de matinée, ils avaient débarqué au moment où je me faisais bourrer à la chaîne sur le bar par ma bande de mâles en rut. Son patron l'avait bouclé dans la camionnette pour qu'il n'assiste pas à cette débauche, mais, même de loin, le gamin en avait vu assez par la vitre pour comprendre qu'il y avait du sexe dans cette ferme. Alors il était discrètement revenu avec deux copains, pour mater, planqués derrière ce mur. 


D'abord très gênés de s'être fait repérer et inquiets de ce qui pourrait leur arriver, ces trois jeunes se sont peu à peu laissés amadouer … tant et si bien que, leur ayant proposé de regarder le comptable me prendre en levrette sous leurs yeux, ils ont accepté. Evidemment, assistant à notre accouplement en direct, ils se sont branlés tous les trois. Ça m'a permis de découvrir que le commis du traiteur, Grégory, a une bite … une bite … Ouaaaah, l'engin ! Ses deux potes ont joui rapidement, mais lui s'est retenu… et tant mieux, parce que, maintenant que j'ai vu comment il est équipé, je n'ai plus qu'une envie, m'occuper de sa queue … Bien sûr je n'ai pas l'intention de me contenter de la tripoter, je compte bien arriver à la sucer, voire plus, mais je me garde de l'effaroucher et je lui demande seulement si je peux la toucher. Et là, tandis que ses potes, qui s'apprêtent à s'en aller, cherchent à l'entraîner, il décide de rester ! Le voilà, seul avec nous. J'insiste:

- Alors ? Je peux la toucher ?


Il cligne des yeux et déglutit bruyamment. Je suis sûr que c'est oui. S'il reste, plutôt que de filer avec ces potes, alors que je viens de lui dire que j'ai envie de toucher sa bite, c'est qu'il en a aussi envie … et peut-être pas seulement que je la touche …


Mes yeux plantés dans les siens, je pose mes doigts sur sa main, celle avec laquelle il tient son sexe. Etonné, il fronce les sourcils. Il devait s'attendre à ce que je touche directement sa bite. Je serre un peu ma main sur la sienne et je commence à la faire aller et venir, doucement … Il s'est masturbé sans se décalotter. Il me regarde, bouche entrouverte, souffle suspendu, et se laisse faire. Je le masturbe comme ça un moment, en serrant sa main … puis, de lui-même, il retire doucement ses doigts, me laissant continuer seul ce début de masturbation. Le comptable est retourné s'adosser au mur et je devine qu'il nous observe. Ça me plaît bien, qu'il me regarde chauffer ce petit jeune. Si ça se trouve, il nous filme encore, discrètement. Je me sens la rondelle un peu humide, collante. Sans doute des restes de lubrifiant mêlés à la semence du comptable … il n'a pas dû éjaculer grand chose, vu qu'il avait déjà giclé deux fois ce matin. Je continue de masturber Grégory du bout des doigts.

- Dis donc, la nature t'a gâté, toi …

- Je … je sais pas …

- Je te le dis … tu es sacrément bien monté … et des bites, j'en ai déjà vu beaucoup … mais la tienne … hhmmm !

- Ah bon ?

- Oui … Elle me plaît beaucoup, ta bite …

- … 

- J'ai envie de te sucer …

- Je …

- T'as pas envie ?

- Je … je sais pas … 

- T'as envie de quelque chose, puisque tu es resté … tu préfères peut-être autre chose … tu veux me baiser?

- Oh ! N… non, non … 


Ça, me baiser, c'est non, visiblement … Il est peut-être encore puceau … ça va peut-être trop vite pour lui … ou c'est peut-être trop hors normes …

- Pourtant, si tu veux me baiser, tu peux … moi, ça me plairait … tu voudrais pas me baiser, pour ton anniversaire ?

- Euh … c'est pas encore … dans une semaine …

- Oui … pour tes dix-huit ans … Alors, ça te dirait de me baiser ?


Il hésite, baisse le nez, secoue la tête. Non, vraiment pas.

- Tu veux que je te suce ? J'ai très envie de te sucer … Si tu en as envie aussi, je te suce … 


Il jette un coup d'œil vers mon comparse, et, dans un souffle:

- D'accord …


Je tombe à genoux à ses pieds. Je lui fais lâcher son bermuda et son caleçon et je les descends sur ses chevilles. Il porte d'énormes chaussures de sport, heureusement lacées seulement à moitié. Je n'ai aucun mal à les lui enlever. Il paraît un peu réticent pour enlever complètement short et caleçon, mais il finit par se laisser faire. 


Là, juste sous mes yeux, il y a une merveille, tellement longue et lourde qu'elle tombe un peu, tête en bas  entre ses cuisses. Sa bite est bien droite, la verge est large, épaisse et longue, longue … Je la soulève. Son urètre est bien saillant … les veines gonflées … sous le prépuce, je devine la silhouette de son gland aux formes bien nettes, un peu aplati sur le dessus, presque retroussé, la couronne bien marquée … toute la partie de son gland qui dépasse de l'ouverture de son prépuce est couverte d'une liqueur translucide … sa verge est un peu resserrée juste sous le gland, la peau est lisse, dorée, sans défaut … pas une tache, pas un bouton … une vraie gourmandise qui invite à une dégustation … une assez belle paire de couilles … le tout à peine garni de poils blonds-châtains, comme un léger voile … Je salive d'avance et l'examinant attentivement … je passe doucement mes doigts dessus … il me regarde, intimidé … Je pose deux doigts sur la liqueur qui baigne son méat et j'en étire un long fil visqueux jusqu'à mes lèvres. Sa queue a une espèce de soubresaut. Me voir prendre sa mouille dans la bouche a dû lui procurer une bouffée d'excitation. J'avance mon visage et, d'un coup de langue, je finis d'essuyer l'extrémité de son gland. 


Puis j'empoigne résolument sa verge. Nom de dieu ! Je pourrais … je peux y mettre mes deux mains, l'une au-dessus de l'autre … au moins vingt centimètres ! Et sans compter le gland, même pas encore décalotté ! Depuis quelques temps, pour moi, une bite c'est une bite, un mâle c'est un mâle, qu'il ait une grande queue ou un petit zizi, et je suis prêt à m'occuper de toutes les bites qui se présentent à moi … mais là, quand même … ce môme là, avec un engin pareil, il faut que je lui donne envie de me revoir, il faut que je lui donne envie de me baiser, il faut que je lui donne envie de prendre des habitudes avec moi … J'ouvre la bouche, et je prends son gland entre mes lèvres. De la main qui serre sa verge, je fais coulisser sa peau vers son pubis en même temps que j'avance ma tête. Son gland se décalotte en s'enfonçant dans ma bouche. Oh la la, il est tout chaud, tout lisse, tout doux … Je continue d'avancer vers lui et son sexe s'enfonce dans ma bouche en glissant sur ma langue … Oh putain, quel morceau ! Quel morceau ! J'entends le môme aspirer l'air à grandes goulées … je sens que je lui fais beaucoup d'effet … Je le ressors lentement de ma bouche en le recalottant, et:

- Allonge-toi !

- Dans … dans l'herbe ?

- Oui. 


Docile, il s'assoit et attend, les mains appuyées un peu derrière lui. Je m'avance entre ses pieds et je lui écarte les jambes. 

- Elle est vraiment belle, ta queue … et grande … on te l'a déjà dit ?

- Non …


Il a murmuré.

- Tu t'es déjà fait sucer ?

- Non ..

- Tu es puceau ?

- …

- Tu peux le dire … y'a pas de honte …

- Oui m'sieur… 

- Je suis ton premier coup, alors … 


Il hoche la tête.

- Ben dis donc … quand tu vas t'y mettre, tu vas faire un malheur, avec une bite comme ça … avec les filles et avec des mecs comme moi … 


Je me penche et je pose mes lèvres sur sa hampe. Elle a un soubresaut. Waouhhhhh ! Il est super excité ! J'éloigne un  peu mes lèvres. Je lui caresse le ventre, puis je glisse ma main sous son T-shirt et je lui caresse la poitrine en appuyant pour qu'il s'allonge complètement. Il se laisse faire.

- J'ai l'impression que tu es très excité … alors laisse-toi aller … te retiens pas … je vais te sucer et tu peux jouir dans ma bouche … 


Il redresse la tête, me regarde, visiblement étonné:

- Ah bon ? Mais … je  … vous allez …

- T'inquiète pas, j'ai l'habitude … le sperme, j'aime …

- Ah bon …

- Tu sais, tu peux me regarder te sucer … ça aussi, j'aime ça, que le mec que je suce me regarde …


Il hésite une seconde, puis se redresse un peu plus, s'appuie sur ses coudes et attend. Je pose de nouveau mes lèvres sur sa verge. Cette fois, elle ne réagit pas. Je passe ma langue sur son urètre, depuis la base jusqu'au dessous de son gland. Je vois les muscles de son abdomen se contracter. J'ouvre les lèvres et je prends son sexe dans la bouche. Il a une espèce de réflexe des reins, comme s'il se cambrait. Sa queue se décalotte spontanément et je sens son gland s'épanouir sur ma langue. Je sens que ça va aller très vite. De la langue, je presse le dessous de sa verge … et j'enfonce son sexe dans ma bouche … son gland frotte mon palais et, avant qu'il ne soit arrivé à ma gorge, un premier jet de sperme m'inonde la bouche . Il halète, il gémit, soulève son bassin par réflexe, comme pour enfoncer sa queue au fond de ma gorge … un autre jet … un autre … un autre … j'avale au fur et à mesure … un autre encore … encore … encore … et ça se calme … Nom de dieu, quelle éjaculation ! Quelle dose il m'a injectée !


Il s'écroule sur le dos en respirant bruyamment. Je garde un peu son sexe dans ma bouche, dégustant le plaisir d'avoir ce gros morceau ce chair tiède entre ma langue et mon palais. Putain, c'est la première fois que ce gamin jouit dans quelqu'un ! Celui-là, il faut absolument que j'arrive à le sucer à nouveau un de ces jours … et il faut que j'arrive  à ce qu'il me baise ! Je sors son sexe de ma bouche et je me redresse. Je lui caresse le haut des cuisses. Sa respiration se calme peu à peu.

- Alors, c'était bien ? 


Il se redresse, s'appuie sur un coude et sourit:

- Oui …

- C'est mieux que de se branler ?

- Oh oui …

- Tu sais, j'aimerais bien te revoir … pour recommencer … pour te sucer … si tu as envie, c'est quand tu veux, je te suce quand tu veux … mais surtout, j'aimerais bien que tu me baises … 


Il hoche encore la tête et s'assoit. Je me relève. Il récupère ses vêtements et se rhabille.


- Dites … mon patron … vous lui direz rien, hein …

- Alors, tu l'as vu ? Ton patron, tu l'as vu, avec nous ? 


Il me regarde, gêné. Il hoche la tête. Oui, il l'a vu.

- Bon. Je compte sur toi et tes potes pour garder ça pour vous … Vu ? 


Il ne réagit pas. 

- Hé ! Regarde-moi ! Si j'apprends que vous avez parlé … 


Je lui désigne le comptable qui comprend immédiatement. Il brandit son smartphone;

- Vous êtes là-dedans … tous les trois … 


Grégory blêmit. 

- Vous allez pas … montrer …

- Vous vous taisez … on se tait … Vu ?

- Oui, vu …

- Dis-le à tes potes …

- Oui, d'accord.


Il réfléchit un instant, puis, osant à peine de regarder:

- Euh … si je … vous avez dit … pour me revoir … comment …


Yessss ! Il veut savoir comment faire pour me revoir … il vient de se faire soulager, alors il ne doit pas avoir envie de recommencer immédiatement, mais il doit penser à l'avenir … Je pourrais donc encore le sucer … au minimum ! 

- Comment on fait pour se revoir ? C'est ça ?

- Oui.

- Tu as envie qu'on se revoie ?

- Ben … ou… oui …

- Je t'appellerai chez ton patron ..

- Ah … mais … non !

- Ne t'inquiète pas, je serai discret …

- Ah … bon …

- Tu veux qu'on se revoie pour te faire encore sucer ?

- Je … je sais pas … oui … si vous voulez …

- Bien sûr, que je veux … je te l'ai dit … quand tu veux … je te suce quand tu veux …


Il a un large sourire. Je marque un temps et:

- Et peut-être que tu auras aussi envie de me baiser …

- Je … je sais pas … on verra …

- Ça me plairait …

- Ah bon ?

- Oui. Penses-y …

- Bon, je vais y penser … alors … au … au revoir …

- Salut …


Il hésite, finit par me tendre la main. Je la lui serre. Il serre aussi la main du comptable puis reprend son vélo.  Il passe la tête au coin du mur pour vérifier que personne ne le voit depuis la ferme, enfourche sa machine et s'éloigne. 


Le comptable pose une main sur mon épaule et, en secouant la tête:

- Tu perds pas une occasion, toi …

- Tu as vu comme il est monté, ce môme ? Tu voulais pas que je laisse passer ça sans rien faire …

- Ouais … mais c'est un môme … les deux autres aussi, d'ailleurs …

- Oui, ils sont jeunes, mais ils sont majeurs, tous les trois … sexuellement, je veux dire …

- Mouais …


Nous retraversons le chemin en sautillant sur les graviers et nous nous glissons entre les barreaux du portail.


- Alors … c'était qui ?


Notre jeunot a surgi de je ne sais où. Il a remis son bermuda et enfilé sa chemise sans la boutonner.

Le comptable le dévisage et d'un ton méprisant:

- Tu t'es barré … t'avais qu'à venir voir …


Le soleil tape maintenant vraiment très fort. Il doit être dans les deux heures ou deux heures et demie. Je ramasse au passage mon flacon de lubrifiant abandonné tout à l'heure au pied du portail, et je me dirige vers l'ombre des hangars, les deux autres à ma suite. Le jeunot insiste:

- C'était qui, alors …

- C'était trois gamins …

- Ah bon ? Et alors … qu'est-ce qu'ils ont vu ?

- Qu'est-ce qu'ils ont vu … tout … ils ont tout vu …

- Ah bon ? Merde …

- Ne t'inquiètes pas … t'as pas à t'en faire …

- Ah bon ? Pourquoi ?


Le comptable me regarde en souriant.

- Parce que  … ils ne diront rien …

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Ah bon ? Ah bon ? T'as pas autre chose à dire ? …


Le comptable commence  s'énerver. L'autre me regarde, interrogatif. Alors je lui explique:

- Ils ne diront rien parce que … on leur a offert un spectacle privé … j'ai sucé … je ne sais même pas comment tu t'appelles …


D'un coup de menton, je désigne le comptable.

- Guy … je m'appelle Guy …

- Guy … j'ai sucé Guy devant eux … et après, il m'a baisé …

- Devant eux ?

- Ouais … et ils se sont branlés en nous matant ….

- Ho ! Tu déconnes …

- Non, demande à Guy …


J'ai encore les fesses qui glissent l'une sur l'autre, lubrifiées par la semence de Guy. Ça n'est pas désagréable, mais comme la tournante peut redémarrer à tout moment, il faudrait bien que j'aie le cul propre. Je prends une fois de plus la direction du tuyau d'arrosage, les deux autres sur les talons. 


Guy:

- Ouais … il m'a sucé et je l'ai pris en levrette devant les trois mecs … En fait, y'en a deux qui se sont branlés … mais le troisième …


Il laisse sa phrase en suspens. Le jeunot:

- Ben quoi … qu'est-ce qu'il a fait, le troisième ?

- Il l'a sucé …

- Ah bon ? 


Le jeunot me rattrape et me demande: 

- C'est vrai ? Tu l'as sucé ?Mais … mais t'as dis que c'était des gamins …


Nous voilà au robinet. Je l'ouvre et tout en m'accroupissant pour me rincer le cul:

- Oui … des gamins … c'est une façon de parler … des gamins par rapport à nous … il y en a un qui a dix-huit ans passés, un dix-sept et demi et celui que j'ai sucé, aura dix-huit ans dans quelques jours … 

- Ah bon ?

- Il a raison, Guy, arrête un peu avec tes "ah bon". Je ne l'ai pas forcé, ce môme, il en avait envie …

- C'est jeune quand même, dix-huit …

- Ben, et toi … tu as quel âge ?

- Moi ? Vingt et un …

- T'es aussi un  gamin, alors …


J'ai fini de me laver. Je me relève, le cul et les cuisses mouillées. Avec cette chaleur, ça séchera tout seul. Guy:

- Et tu devineras jamais qui c'est ce môme …

- Ben … non … je sais pas …


Ah merde ! Vaut mieux pas que d'autres sachent que c'était le commis du traiteur, ça pourrait finir par arriver à ses oreilles. Alors je fusille Guy du regard et de la main, je lui fait signe de la fermer:

- Ouais, ben, c'est bon … il n'a pas besoin de savoir … 


Guy semble réaliser qu'il allait faire une bourde. Pour détourner le jeunot de sa curiosité, je poursuis:

- du coup, comme tu t'es sauvé, tout à l'heure et je t'ai pas fini … 


Je m'approche et je plaque une main sur sa braguette:

- Tu as toujours envie ?

- Ben … ouais …

- Fais voir …


Je me colle à lui, je passe ma main gauche sur ses reins et je glisse l'autre dans son bermuda. Sa queue pend tête en bas, décalottée, dans sa jambière, mais je la sens quand même un peu gonflée. 

- Ah oui, on dirait bien que t'as encore envie … dis donc … tu as pourtant déjà joui deux fois, ce matin … tu t'es branlé dans mon string et tu m'as baisé sur le bar … non ?

- Oui …

- Tu veux quoi, maintenant ? Tu veux que je te suce ? Je t'ai pas encore sucé …

- Ben oui, je veux bien que tu me suces, mais pas … pas jusqu'au bout … je voudrais bien encore te baiser …

- Bon … arrive, alors …


Quand même, ils m'étonnent un peu, ces deux là. Le comptable et lui ont déjà tiré leur coup deux fois ce matin, mais ça n'a pas empêché le premier de recommencer il y a un quart d'heure … et qui plus est, de jouir rapidement … et lui, le jeunot, à son tour, il veut … Moi, il m'arrive de jouir deux fois de suite, mais après, je suis bien incapable de me remotiver … et surtout je ne serais pas en mesure de tirer un coup une troisième fois … Cela dit, aujourd'hui, dans cette cour de ferme, les conditions sont quand même particulières: ces mecs ont à leur disposition un cul, une bouche et des mains, dont ils peuvent user sans autre limite que de devoir, parfois, attendre leur tour … et les séances de copulation ont été quasiment ininterrompues depuis le milieu de la matinée … les scènes de fornication permanente auxquelles ils assistent ont de quoi les maintenir en rut, leur suggérer de nouvelles expériences, susciter de nouvelles envies, d'une manière d'autant plus excitante qu'ils savent qu'ils peuvent les assouvir sur le champ  … 


Alors, le jeunot, ça ne m'étonne qu'à moitié, qu'il ait encore envie de me baiser … J'extrais ma main de son bermuda, je le prends par le poignet et je l'entraîne vers "la scène". Je grimpe les cinq marches, l'entraînant à ma suite. Je n'ai pensé venir là que pour le confort du matelas, mais, une fois sur cette estrade, je découvre d'un coup d'œil circulaire tous les autres participants à ce gangbang. Quelques uns dorment ou somnolent encore dans le hangar du foin, mais la plupart sont autour de cette scène, et en contrebas de nous, les uns à table, les autres éparpillés ici ou là … Ils ne prêtent pas attention à nous, mais cette position surélevée et ces types qui nous entourent me rappellent que ce matelas est non seulement un lieu de baise, mais que c'est aussi un lieu de spectacle … un lieu de spectacle qui n'a pas encore vraiment servi … un lieu où je vais me donner en spectacle en me faisant fourrer, unique jouet sexuel de cette bande de mâles, de cette bande d'étalons, unique … femelle dans laquelle ils vont encore introduire leurs sexes, dans laquelle ils vont encore prendre du plaisir et déverser leur semence … A la perspective d'être à nouveau traité comme un simple morceau de barbaque à niquer, à tringler, à fourrer, à baiser, à remplir de sperme, une bouffée de chaleur m'envahit en même temps qu'une espèce de frémissement me parcourt le bas ventre et la prostate. 


Tout de même, je n'en reviens pas d'en être là ! Pas une ombre de culpabilité, non … quelque chose au fond de moi me souffle bien que tout ça n'est pas normal, n'est pas moral, mais cela ne m'atteint pas … quelque chose me parle de débauche, de perversion, de dérèglement, de dépravation … mais au lieu de m'accabler, ça m'excite. Masochisme? Non, aucune souffrance … Humiliation ? Non, ni avilissement ni honte. Soumission ? Pas davantage, ces mecs ne me font que ce que je veux bien qu'ils me fassent. Je me vois même comme le dominant de cette horde, comme la femelle alpha de cette meute … Immoralité ? Sans aucun doute. Lubricité, stupre et luxure ? Certainement ! Impudeur, indécence et même obscénité ? Oui, trois fois oui. 


De plus en plus excité, je monte sur le matelas, je me retourne pour faire face au jeunot resté en haut des  marches, et je m'assois en posant les mains sur sa braguette. Sa queue a encore gonflé, tête en bas, dans son bermuda et tend un peu la toile. Je devine la forme de son gland qui se presse contre l'étoffe. Je palpe fébrilement sa queue à travers le tissu et je la sens se raidir davantage, essayant en vain de se redresser, coincée dans cette jambière. Je lève les yeux vers lui et nos regards se croisent. Dans le sien, je lis l'excitation, l'envie, et comme une avidité bestiale qui lui retrousse convulsivement la lèvre supérieure. Son comportement a changé du tout au tout. Un peu intimidé tout à l'heure quand il m'a accompagné avec Guy jusqu'au portail, carrément apeuré quand je lui ai signalé les voyeurs, maintenant, il fait son mec, il fait son mâle … sa bite et ses glandes ne vont pas tarder à prendre les commandes à la place de son cerveau ...


Il saisit fermement ma tête entre ses mains et tend convulsivement son bassin et sa queue vers moi. Ça m'excite et je pétris fébrilement son membre, maintenant très raide. N'y tenant plus, j'avance la tête et je couvre son sexe de baisers fiévreux accompagnés de petits gémissements. J'ouvre la bouche et je prends entre mes lèvres ce rouleau de chair emmailloté de tissu. Je sens sa chaleur à travers la toile. C'est follement excitant, de jouer avec une bite en érection à travers un vêtement ou une lingerie. Je passe ma langue sur le relief de son gland quand, brusquement, il déboutonne son bermuda en me bousculant le visage, descend son zip, glisse sa main brutalement entre ma bouche et sa queue, et sort son engin … Il l'empoigne fermement et le colle contre mes lèvres:

- Suce-moi, maintenant, saaaaalooope !


J'ouvre la bouche et, tout en enfournant son organe, je repousse sa main pour y substituer la mienne. Oh la la … sa queue, gorgée de sang, est brûlante sur ma langue. Je vais le faire jouir encore une fois. Je commence à le sucer en le masturbant. Il prend ma tête entre ses mains, et, comme mû par un réflexe incontrôlé, il plie légèrement les genoux et se met à osciller du bassin d'avant en arrière pour me baiser la bouche. Je le branle fiévreusement, il grogne, et au bout d'un moment, il écarte ma main:

- Arrête de me branler … suce !


Je pose mes deux mains sur ses fesses et je commence à faire aller et venir ma bouche sur son pieu. Il accompagne mon mouvement du bassin, puis il m'immobilise la tête et se met à son tour à aller et venir. Chaque fois qu'il enfonce sa bite au fond de ma bouche, il m'écrase le nez contre son pubis et je sens ses couilles venir battre contre mon menton. Ses couilles ! Il a déjà joui deux fois, mais pour pendre comme ça, c'est qu'elles sont encore chargées. Je veux son sperme ! Je le veux sur ma langue et dans ma gorge ! Je glisse ma main entre ses cuisses, jusque sous ses boules et je les prends entre mes doigts … Hhhmmmmm … ses couilles … son sperme ! Et lui a l'air de prendre tellement de plaisir à me baiser la bouche que j'ai brusquement envie qu'il jouisse maintenant … sur ma langue … Je m'entends gémir d'envie … Soudain, il repousse ma tête, et:

- Fous-toi sur le dos ! J'vais t'baiser ….


Je reste interdit. Je m'attendais tellement à ce qu'il me remplisse la bouche de sa crème que j'ai un instant de frustration. Et puis je réalise que c'est le ventre qu'il va me remplir. Dans le fond, c'est ce qu'il voulait, me baiser à nouveau … Alors oui, baise-moi, baise-moi ! La main droite serrée sur sa bite, de l'autre, il me pousse en arrière. Je bascule sur le matelas. Me voilà sur le dos. Il ôte son bermuda, enlève sa chemise, et se penche sur moi. Il m'écarte les genoux, me prend par la taille, et d'un même mouvement, il me soulève en m'attirant vers le bord du matelas. Il me saisit les chevilles et relève mes jambes jusqu'à ce que mes genoux se trouvent au-dessus de mes épaules et mes pieds au-dessus de ma tête. Il se penche sur de moi, ses mains sur le matelas de part et d'autre de ma tête, et je sens ses hanches se poser sur l'arrière de mes cuisses … et … un truc chaud et humide se plaque contre ma raie … sa queue ! Il soulève son ventre, se tortille un peu et il pose son engin à plat sur mon périnée. Je sens ses couilles sur ma fleur. Ses couilles … pleines de sperme … qu'il va m'injecter dans le ventre … La lèvre toujours retroussée, les yeux plantés dans les miens, il guette mes réactions:

- J'vais te rentrer dedans, et j'vais t'baiser …

- Oui …


J'ai murmuré. 


- T'aimes ça, hein, te faire baiser …

- Oui …

- T'es … t'es une … t'es vraiment …

- … une salope … je suis une salope … j'aime la bite … mais tais-toi, maintenant, et baise-moi !


En disant ça, j'ai bougé mon cul tant bien que mal sous son ventre, comme pour l'inviter à me pénétrer. Il hésite, glisse une main jusqu'à son ventre, soulève un peu son bassin et je sens son gland glisser de mon périnée jusqu'à mon fourreau … y entrer … un peu … il s'immobilise, ramène sa main à côté de ma tête, replonge se yeux dans les miens … Alors, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, je rejette la tête en arrière:

- Vas-y, baise-moi … BAISE-MOI !


Il entre lentement en moi. Je ferme les yeux, et bouche grande ouverte, j'aspire l'air à grandes goulées:

- Ah ouiiiii !


J'ai encore une queue dans le cul ! J'ai encore un mâle en moi ! Je le sens s'enfoncer dans mes chairs. Je visualise mentalement la progression de son sexe dans mes entrailles, son gland se frayant un chemin en repoussant les parois de mon rectum. Voilà son pubis qui bute contre mon périnée. Il n'ira pas plus loin. J'ouvre les yeux. Il me dévisage, et:

- J'suis au fond …


Oh non, mec, t'es pas au fond ! Ça serait trop beau ! Il est loin, le fond. D'ailleurs il n'y en a pas, de fond. Quatre-vingt centimètres, je me suis déjà fourré … et je n'étais pas encore au fond … Mais je ne peux pas lui dire ça. Alors:

- Oui, t'es au fond … vas-y, baise-moi … fais-toi du bien …


Il commence à aller et venir, lentement. Je glisse mes mains jusque sur ses reins et je le caresse, parfois du bout des doigts, parfois du bout des ongles. Il a l'air d'apprécier. Les yeux et la bouche grand ouverts, il est concentré sur ce qu'il me fait … ou plutôt ce que ressent sa bite dans la tiédeur humide de mon cul. Ma position n'est pas très confortable, mais qu'importe … j'ai un mec en moi, qui est en train de se donner du plaisir, et qui va me … Comme s'il avait lu dans mes pensées, il déglutit bruyamment et:

- J'vais te … j'vais … te faire … 


Silence. Il ferme les yeux et baisse la tête. Il va me faire quoi ? Il va me faire crier ? Il va me faire jouir ?

- Tu vas me faire quoi ?


Il secoue la tête de droite à gauche.

- Allez, dis-moi … tu vas me faire quoi …

- Non, c'est con …

- Si … dis-le moi …


Il hésite, penche la tête vers mon oreille, et dans un murmure:

- J'vais te faire … un petit …


Quoi ? Je suis sûr d'avoir bien entendu, mais c'est tellement … Je n'en reviens pas … Alors je mens:

- Tu vas me faire quoi ? J'ai pas compris … 

- …

- Répète, j'ai pas compris ce que tu m'as dit … tu vas me faire …

- …


Ma bouche contre son oreille, sur un ton suppliant:

- redis-le moi … tu vas me faire …


Dans un souffle:

- … un petit …


Je suis submergé par une bouffée de … je ne sais même pas de quoi … Que, sous l'effet de l'excitation, mes élucubrations délirantes me fassent me prendre pour une femelle, ce n'est pas un scoop … mais ce mec …  il est très quelconque, physiquement, sexuellement aussi … il est en train de me baiser, non pas parce que j'ai une attirance physique pour lui, mais parce que c'est un mec, un mâle … et qu'il a une bite … un mâle parmi d'autres mâles … et pourtant, en quelques mots murmurés au milieu de cette partie de cul, il vient de toucher quelque chose bien enfoui en moi … bien enfoui, mais hyper sensible … ce mec ne vient pas de me parler de baise, de copulation, il vient de me parler … de reproduction …  Il va me faire un petit ! Pour lui, à cet instant, je ne suis plus un trav, une taffiolle, une viande à bite … pour lui, je suis une femelle qu'il va féconder ! Je suis même une femme … et il va me faire un petit ! J'ai soudain chaud de partout … et ce n'est pas dû au soleil de cette fin d'été !


Je remonte mes bras jusqu'à son torse et je le presse langoureusement contre moi, ma joue contre sa joue. J'approche ma bouche de son oreille et:

- Oh ouiiii … fais-moi un petit …

- J'suis con, hein …


Je lui caresse la nuque et, presque malgré moi, je pose un baiser sur sa joue:

- Non … Oh non, t'es pas con … Ça me fait tellement plaisir que tu aies envie de me faire un petit … Moi aussi, j'ai envie de ça … que tu me fasses un petit …

- C'est vrai ?

- Oui, c'est vrai … je me sens tellement … femelle … Allez, vas-y, fais-le moi, ce petit …


Je lui caresse le dos, les épaules, la nuque … J'attire son visage vers moi et je recommence à l'embrasser, approchant ma bouche de sa bouche. Il a comme un mouvement de résistance, puis finit par se laisser faire … mes lèvres contre ses lèvres … ma langue entre ses lèvres … ma langue contre ses dents … ma langue contre sa langue … Il n'a pas cessé son va et vient, et je le sens … plus raide en moi. Il respire bruyamment par le nez, accélère son mouvement … sa langue participe à notre baiser … le rythme de son va et vient en moi devient irrégulier, son mouvement incontrôlé … ça y est, ce n'est plus sa tête qui pilote, c'est sa bite, c'est son organe reproducteur … il est certainement submergé par des flots d'hormones et dans un instant, ses glandes vont envoyer une cohorte de spermatozoïdes à l'assaut de mes entrailles, à la recherche d'un ovule à assaillir, à investir, à féconder … Allez, venez ! Précipitez-vous, inondez mon rectum, vautrez-vous dans la chaleur de mon cul, fouillez les replis de mes intestins, pénétrez mes muqueuses … fécondez moi …


Brusquement, il détache sa bouche de la mienne et en râlant, presque en criant, il me met un grand coup de boutoir … un autre … un autre encore … il sort à moitié de mon cul … n'y revient qu'avec difficulté … Il jouit  … il me féconde … il me fait un petit ! Je le serre contre moi:

- Ho, doucement … calme-toi … reste au fond …


Il se plaque contre moi, s'immobilise, geint … son bassin est pris de soubresauts qu'il maîtrise à grand peine. Puis ça se calme. Sa respiration s'apaise, je le sens se détendre, se ramollir sur moi … je lui caresse les épaules, la nuque:

- Ça va ?


Il me répond dans un grognement qui doit vouloir dire que ça va.

- Moi aussi, ça va … j'ai beaucoup aimé que tu me fasses un petit … je ne sais même pas comment tu t'appelles …

- Kevin …


Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap ! Clap !


Il me faut quelques secondes avant de réaliser que des applaudissements retentissent. D'abord ceux d'un seul mec. Quand mon cerveau capte ça, je devine que ces applaudissements s'adressent à nous, et qu'un autre mec s'est joint au premier, puis un troisième. Je tourne les yeux et je vois quatre têtes, juste à hauteur du matelas, qui contemplent notre coït. Kevin les découvre à son tour. Il me souffle à l'oreille:

- T'en parles pas aux autres, hein …

- T'inquiète pas … tu m'avais un peu chagriné, ce matin, quand tu t'es masturbé dans mon string … je me suis dit « celui-là, il ne veut pas me baiser » …

- Si, je t'ai baisé sur le bar …

- Oui, tu me l'as dit, mais je ne le savais pas … je ne savais pas qui me baisait sur le bar …

- Ben, maintenant, tu sais …

- Oui … et en plus, ça m'a plu …

- On pourra se revoir ? Que nous deux, je veux dire …

- Pour me faire d'autres petits ?

- Arrête … j'suis con, hein …

- Non, t'es pas con … mais oui, ça me plairait que tu m'en fasses encore, des petits …

- Euh … je pourrais … je pourrais garder ton string ?

- Pour te masturber encore dedans ?

- Par exemple …

- D'accord, mais à une condition …

- Laquelle ?

- Chaque fois que tu te masturbes dedans, tu m'envoies un mail ou tu me téléphones …

- OK … tu me donneras tes coordonnées …

- Oui oui …


Il se dégage de mon étreinte, et s'extrait lentement de moi. Je sens son sexe, déjà un peu ramolli, sortir de mon fourreau en faisant des bruits de bulles. Il se relève avec difficulté, et pendant qu'il récupère ses vêtements et se rhabille, je redescends mes jambes, je pose les pieds sur la paille, et en me tortillant sur le dos, je remonte tant bien que mal vers le milieu du matelas. Puis, à demi allongé, appuyé sur mes coudes, les jambes un peu pliées, je jette un coup d'œil autour de moi. D'autres têtes ont rejoint les premières à côté de la scène. A leurs regards, à leurs sourires, à leurs hochements de tête, ces mecs semblent me dire des choses du genre « ben mon vieux, tu n'arrêtes pas … te voilà encore sur le dos … tu viens encore de te faire couvrir … ». Entre mes genoux, je vois Kevin descendre de la scène, et croiser Hamid dans l'escalier. Ça y est, la sieste est finie ? Ça redémarre ? 


De voir comme ça, entre mes jambes, le beau marocain monter ces quelques marches pour me rejoindre, je réalise l'impudeur, la lubricité de ma position, face à l'escalier, cuisses écartées, attendant le mâle … l'espèce de vague de … sensiblerie qui m'a submergé il y a un instant reflue d'un seul coup et des images m'assaillent !'esprit … je me vois soudainement comme ces putes de bordel, livrées à l'abattage, contraintes de subir chaque jour des saillies par dizaines, véritables réceptacles à bites et à foutre … sauf qu'aujourd'hui, le mâle qui monte l'escalier, certainement pour me baiser, c'est moi qui l'ai voulu … les autres mâles qui commencent à se rassembler au pied de cette scène, c'est aussi moi qui les ai voulus … tous ces autres mâles qui vont rejoindre ce beau mec, ou lui succéder sur ce lit pour me baiser à nouveau, à leur tour … je me sens comme une catin, une putasse, une roulure, un paillasson, une viande à bites … et ça me plaît …


Hamid n'a gardé que sa chemise blanche, ouverte sur son poitrail doré. Dans une main, il tient une des bobines de papier absorbant de Jean-Claude, et dans l'autre mon flacon de lubrifiant. Une fois sur les premiers rouleaux de paille, il marque un temps d'arrêt, me regarde, un large sourire sur les lèvres … un sourire qui veut dire « tu vas  encore y passer … tu vas encore y avoir droit … je vais encore te baiser … ».  Ça m'étonne un peu qu'il vienne me prendre sur scène devant les autres, parce que, ce matin, dans la salle de bain, j'avais eu l'impression que ça le coinçait de faire ça sous les yeux des trois intrus … et là, ça va être devant plus de vingt mecs ... Il faut croire que, depuis ce matin, il a perdu toute pudeur … Je baisse les yeux sur son entrejambe … Hhhmmmm… sa belle bite toute dorée bande déjà un peu, tête en bas entre ses cuisses ! C'est ma fornication avec Kevin, qui l'a excité comme ça … ou la perspective de me baiser ? Les yeux braqués avec gourmandise sur son membre, anticipant sa saillie, je me sens vraiment indécent … lubrique … bestial … 


Il avance, balance le flacon à côté de moi, s'agenouille sur le matelas, s'approche jusque entre mes pieds, déchire une bonne longueur de papier absorbant qu'il chiffonne, et pose le rouleau sur le matelas à côté du lubrifiant. De toute évidence, il a l'intention de m'essuyer le cul, mais je le prends de vitesse … je me redresse, je tends la main vers son sexe, et je l'empoigne. Surpris, il se laisse faire. Je commence à faire aller et venir ma main sur sa verge … hhmmmm, sa bite … si épaisse … si longue … si …

- Qu'est-ce que tu vas me faire, Hamid ?

- Je vais te baiser …

- Hhhmmmm oui ! Et tu vas me baiser comment ?

- A quatre pattes …

- Hhhmmmm ! Et tu vas me … tu vas jouir dans mon cul ?

- T'en as envie ?

- Oui … je peux te sucer un peu, avant ?

- Si tu veux …


Je le masturbe encore un peu et sa queue grossit dans ma main, cherchant à se redresser … Il se laisse faire un moment, puis:

- Bon, allez … soulève un peu ton cul, que je t'essuie …


Je lâche sa queue et je me remets en position. Arc-bouté sur les coudes et les pieds, je soulève mon bassin. Hamid me passe délicatement le papier entre les fesses, insiste sur l'entrée de mon fourreau pour éponger la semence de Kevin. Je ne le quitte pas des yeux … il s'applique … je trouve ça très excitant, de le voir si concentré … il me regarde à son tour, et, avec un petit sourire, remplace le chiffon par ses doigts … hhmmmm … je pose mes fesses sur le matelas et je m'affale complètement, jambes écartées … il s'avance un peu au-dessus de moi, s'appuie d'une main sur le matelas, et, ses yeux dans les miens, il m'enfonce deux ou trois doigts dans le cul … je soulève de nouveau mon bassin à la rencontre de sa main … il m'ouvre, il m'écartèle … ses doigts glissent tout seuls dans mon fourreau, lubrifié par les restes de la crème de Kevin et mon mucus … Ooooooh, ce que c'est boooon ! Il observe mes réactions, satisfait de l'effet qu'il me fait:

- Putain, tu aimes vraiment ça, de te faire … travailler le cul !


Et puis il ôte se doigts !

- Bon … je vais te baiser maintenant … tourne toi …


Je me redresse. Il s'est un peu reculé, agenouillé et assis sur ses talons. Sa bite est dressée, toute raide à la verticale devant son ventre. Je m'assois, puis je me mets à genoux et je me penche vers sa queue. Il me laisse faire, ouvre ses cuisses et tend un peu le ventre à la rencontre de ma bouche. Je prends sa bite entre mes lèvres. Oohh, ce gland, un peu trop petit, mais tellement … Tout en enfonçant son pieu dans ma bouche, je cherche sa main à tâtons … la voilà … je l'attire vers ma tête et je la lui fais poser sur ma nuque … Tandis que je monte et descends mes lèvres sur sa hampe, il me caresse l'arrière du crâne …

- Allez … mets-toi à quatre pattes …


Quand je relève la tête en extrayant lentement son membre, je m'aperçois qu'il y a maintenant une bonne douzaine de types, debout au pied de la scène, qui viennent de contempler la courte fellation que je viens d'administrer à mon beur … et aux mimiques hilares et aux hochements de tête, pouce levé, que m'adressent certains, je vois que ça leur a beaucoup plu …  je me mets en position, le cul tourné vers l'escalier … appuyé des deux mains sur le matelas, j'écarte les genoux et je me cambre, prêt à recevoir cette nouvelle saillie … tournant la tête, je regarde Hamid venir s'installer derrière moi … il ôte sa chemise, s'avance à genoux entre mes chevilles, pose les mains sur mes fesses, me les caresse, me les pétrit … au moment où je m'apprête à détourner la tête, j'aperçois  un mouvement au pied de la scène … deux … non, trois types convergent vers l'escalier et je les entends se faire des politesses en riant … « vas-y … non, après toi … je t'en prie … bon, merci … ». Aaaahh, ils vont se mettre à plusieurs sur moi ! Il y a le premier qui m'a baisé et fécondé en levrette, debout contre une table ce matin, et le type timide, un peu mou et un peu pâle que j'ai presque obligé à me tripoter, dès mon arrivée … celui-ci, je ne me souviens pas qu'il m'ait baisé, mais il doit faire partie de ceux qui m'ont fourré sur le bar … du troisième, masqué par les deux autres, je ne vois que quelques cheveux sur le haut de son crâne, mais je ne le reconnais pas … 


Sur ma gauche, Manoel vient d'approcher un fauteuil en plastique au pied de la scène, et s'installe pour assister au spectacle … le voyant faire, Gilles et un grand type brun aux cheveux mi-longs, que j'ai sucé, à plat ventre sur le bar, font comme lui … assis ou debout, les spectateurs discutent entre eux en riant et commentent, la plupart d'entre eux scrutant alternativement Hamid et moi, observant nos réactions respectives aux préparatifs à ce coït … derrière moi, je sens Hamid m'écarquiller la rondelle … le contact frais et humide du gel lubrifiant contre ma fleur … puis dans mon rectum … ses mains sur mes reins … aaahhh, ça y est, on va s'accoupler … ses mains sur mes hanches … un contact contre ma fleur … c'est son gland … hhmmmm … il me pénètre lentement … juste un peu … au pied de la scène, les mecs ont les yeux rivés sur mon cul … sur la bite d'Hamid qui commence à s'enfoncer en moi … j'ai l'impression que, cette fois, mon beau marocain prend plaisir à faire le spectacle … ça y est les types qui étaient au pied de l'escalier sont là: deux paires de jambes, sur le rouleau de paille à ma gauche, et une autre paire à ma droite … une main d'Hamid glisse depuis ma hanche jusque entre mes omoplates … il appuie pour m'inciter à me pencher … je m'accoude et, cul en l'air, je pose mon front sur le matelas … sa main regagne ma hanche … ses deux mains me pressent les hanches, fermement … je sens sa grosse queue glisser dans mon sphincter lentement, doucement … je la sens m'ouvrir … hhmmmmm … quelle bite !  


Un mouvement, sur le matelas, à ma gauche … je tourne la tête … un de ceux qui sont montés sur la scène vient de s'asseoir … et se rapproche de moi …


Ça y est, le ventre d'Hamid vient de buter contre mes fesses … il va ressortir … il ressort … aussi lentement qu'il est entré … oh la laaa … je me vide ! Son membre coulisse dans ma rondelle … encore … encore … encore … encore … 


Stop !


Il est à deux doigts de sortir complètement … Il marque une pause et .. brusquement, il rentre ! Il m'envoie littéralement sa queue au fond du cul. Son ventre rebondit contre mes fesses, et il repart aussitôt, entamant un pilonnage en règle … à chaque pénétration, il m'attire brutalement contre lui en même temps qu'il lance son bassin en avant, et à chaque extraction, il me repousse vigoureusement, tout en reculant son bassin … bref, il me secoue aussi facilement qu'il ferait aller et venir un sextoy sur sa queue … 


Plafff ! Plafff ! Plafff ! Plafff ! Plafff ! Plafff !


Et soudain, tout en continuant à me secouer, je l'entends demander:

- Bon … qui c'est qui le veut ?


Un moment d'étonnement. Aucun des spectateurs ne s'attendait à ça … pas plus que moi, d'ailleurs … 

Ah, putain … « qui c'est qui le veut ? ». J'adore ça ! Pour eux, je ne suis rien d'autre qu'un sex toy qu'ils se passent quand ils se sont assez amusés avec ... On ne demande pas à un sex toy s'il a envie de changer de bite. 


- Moi, je veux bien …


C'est le type, debout sur ma gauche … en grognant, Hamid me donne encore deux ou trois coups de boutoir moins vigoureux, puis il s'extrait et se relève … Je tourne la tête et je lève les yeux sur celui qui vient de répondre … c'est le premier mec qui m'a baisé ce matin … lui aussi a une bite magnifique … je me souviens aussi de sa belle paire de couilles … Je n'ai pas plus de temps pour le contempler, il est déjà derrière moi. Je ferme les yeux et je me souviens … ce matin, j'avais commencé par le sucer, comme d'autres, à genoux au milieu de la cour, et puis, sous l'effet de l'excitation, il s'était mis à me pilonner la bouche, avant de m'entraîner en urgence contre une table, pour me prendre en levrette … et là, il avait joui en un rien de temps … le premier à avoir joui dans mon cul aujourd'hui … 


Au matelas qui s'écrase sous son poids, je le sens s'installer à son tour entre mes mollets … une main sur mes reins … un morceau de chair toute chaude dans mon anus … sa main qui vient de guider son gland jusqu'à l'entrée de ma caverne m'effleure la fesse avant de se poser sur ma hanche … et il s'enfonce en moi à son tour … lentement … il ressort presque entièrement, tout aussi lentement … et rentre, d'un seul coup … il ressort de nouveau très lentement … et rentre d'un seul coup … il ressort de nouveau très lentement … et rentre d'un seul coup … une autre façon de prendre son plaisir, une autre façon de me baiser, moins saccadée, moins violente … il ressort de nouveau très lentement … je sens parfaitement son sexe glisser dans mon anus, millimètre par millimètre … et je devine la jouissance qui doit être la sienne à sentir son gland frotter ainsi contre la muqueuse tiède et mouillée de mon rectum …


- Hé, mec ! Tu veux pas pousser ta jambe ? On voit rien, avec ta cuisse …


Ça vient d'en bas, sur notre gauche … d'un des types qui sont au pied de la scène. J'ouvre les yeux … Gilles et Manoel sont maintenant debout, un peu derrière moi, au milieu d'autres types … ils ont dû se lever pour contempler notre coït de près. A leurs airs hilares, je suis sûr que ça vient d'un de ces deux-là … d'ailleurs, en s'apercevant que je les regarde, Manoel hausse les épaules et lève les mains, paumes vers le ciel, dans une mimique qui veut clairement dire « ben oui, quoi … on voit rien … ». L'autre, derrière moi, continue imperturbablement … soit il n'a pas entendu, concentré sur ce qu'il me fait … soit il n'a pas l'intention de changer de position … Je me redresse un peu, je me tourne vers lui, je glisse ma main gauche jusqu'à sa cuisse et je l'attire tant bien que mal vers l'avant pour qu'il la soulève un peu. Il arrête son va et vient, se penche vers moi, interrogatif:

- Qu'est-ce que tu fais ?

- Pose ton pied là … de l'autre côté de mon mollet … et soulève ta cuisse … 

- Mais … pourquoi ?

- D'en bas, il ne voient rien … ta cuisse leur masque ta queue qui entre et qui sort de mon cul …


Il les regarde, comme s'il venait de découvrir leur présence.

- Ah OK !


En se cramponnant à mes hanches, il change de position.

- C'est bon, comme ça ?

- Yesss mec !


C'est Manoel qui lui répond, debout, pouce levé, et qui déplace son fauteuil en écartant d'autres spectateurs pour l'installer un peu plus en arrière de notre accouplement. Gilles s'accroupit à côté de lui. De là où ils sont, ils ont maintenant une vue directe, en contre-plongée sur notre coït. Mon baiseur, bien accroché à mes hanches, en équilibre sur son pied gauche et son genou droit, reprend ses va et vient. 

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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