Récits pornographiques

Samedi 14 mars 2020 6 14 /03 /Mars /2020 01:00

 

 

Jeudi 4 janvier. 10h30

Ça y est, le TGV commence à bouger. 

Hier soir, j’ai rendu au loueur le camion avec lequel je suis allé installer Gégé à Coat ar Bleiz, puis j’ai rendu visite à Gwen à son agence. Je l’avais déjà prévenue que j’allais rentrer pour quelques temps en Seine-et-Marne, mais il fallait que je lui signe deux ou trois choses avant de partir. Elle tâchera d’aller voir Gégé de temps en temps. 

Ce matin, à la première heure, j’ai aussi rendu la voiture de location, et, en attendant l’heure de départ du train, j’ai commencé par aller boire un café dans un troquet en face de la gare, puis j’ai traîné dans la salle des pas perdus. J’ai fini par m’asseoir sur un banc juste sous le panneau d’affichage des départs et des arrivées de trains, et je voyais défiler devant moi tous ceux qui venaient consulter les horaires. Un moment, un type à l’allure sportive, sweat à capuche, jean et tennis, un gros sac de voyage à la main, est venu se planter devant moi pour lire le panneau … il était à un mètre cinquante de moi. Ce qui a attiré mon attention, c’est que, le pouce de sa main libre glissé dans la poche de son jean, il tapotait machinalement ses autres doigts sur son bas-ventre … ou plus exactement sur la bosse que faisait son sexe précisément à cet endroit … juste à hauteur de mes yeux ! Oh, je ne crois pas qu’il faisait ça délibérément, c’était plutôt un geste mécanique, inconscient … et il ne pensait sans doute pas que son tic pouvait attirer l’attention de quelqu’un … mais vu que pour moi, scruter le bas ventre des mecs est devenu un réflexe, ça ne pouvait pas m'échapper ... alors tout de suite, ça m’a donné des envies … je me suis imaginé me penchant vers lui, passer mes mains derrière ses cuisses et l’attirer tout près de mon banc … me rasseoir, et poser ma bouche sur son jean, là où son sexe faisait une bosse … le serrer entre mes lèvres, et finir par déboutonner son jean, descendre son zip, sortir son sexe et le sucer, là, devant tout le monde au beau milieu de ce hall de gare …

Evidemment, ça m’a excité et j’ai commencé à bander … Et puis le type a tourné les talons, et il s’est dirigé vers le couloir qui conduit aux toilettes de la gare. Sans hésiter, je me suis levé et je l’ai suivi. Je l’ai trouvé en train de pisser dans un urinoir. Je me suis installé à l’urinoir juste à côté du sien et j’ai sorti ma queue … il m’avait tellement excité que je bandais encore à moitié … alors, j’ai tourné la tête vers lui et j’ai regardé sa bite par-dessus l’espèce de petite cloison qui sépare les urinoirs – elle sont toujours tellement basses qu’on dirait qu’elles ont été faites exprès pour que les mecs se matent réciproquement les queues ! – Pas mal, sa bite … évidemment, je n’avais aucune envie de pisser … je me suis tripoté ostensiblement en regardant alternativement le mec et sa queue. Il a fini par repérer mon manège … il a baissé les yeux sur ma queue – je bandais de plus en plus, évidemment -, et il m’a regardé … alors, sans même remballer ma bite, j’ai tourné les talons et je me suis dirigé vers un des chiottes fermés, en espérant qu’il me suive … je suis entré, j’ai laissé la porte entrouverte et, la queue toujours à la main, je me suis assis sur la cuvette … il n’avait plus qu’à entrer et à me mettre son sexe dans la bouche … Mais il n’est pas venu … je l’ai entendu s’éloigner dans le couloir. Je me suis remballé et je suis retourné dans le hall.
Il avait disparu. 

Le train est enfin arrivé. J’ai gagné ma place. On roulait depuis une demie heure quand le type de tout à l’heure est arrivé de la voiture d’à côté … en passant à côté de moi, il m’a regardé et il a souri. Alors, de nouveau, je l’ai suivi. En fait, il allait au wagon-bar. Je me suis accoudé à côté de lui. J’essayais de capter son regard, mais apparemment, il n’a pas fait attention à moi. Il a commandé une bière sans alcool et moi un café. On a siroté notre boisson et quand il est reparti, je l’ai encore suivi. Arrivé à la porte du wagon-bar, il s’est arrêté, il s’est retourné, et :
- Hé ! Tu me lâches, mec, ou je te casse la gueule !

Woufff ! Pas la peine d’insister. On a regagné nos places respectives. Merde, une super occasion manquée l’autre jour avec Paulin et un râteau aujourd’hui avec ce type … décidément, je ne suis pas en veine en ce moment … 

Jeudi 4 janvier. 19h00

Quand le taxi me dépose sur la cour, il y a de la lumière chez Yolaine, ma voisine. Je frappe à sa porte. Quand elle ouvre, elle est très surprise :
- Tiens, te voilà, toi ? Tu aurais pu donner de tes nouvelles …
- Je vais très bien, merci. Et toi ?

Elle rit et elle m’embrasse. Nos rapports ont vraiment changé du tout au tout, en quelques mois ! Elle est toujours aussi sexy … quelle évolution !

Elle me fait entrer, elle m’offre un verre et pendant que nous sirotons notre Martini-rondelle, nous échangeons des nouvelles. Elle va bien, elle va même très bien … elle a un homme, un certain Stéphane … en riant, elle m’explique qu’elle l’a rencontré chez Lionel et Caro, un jour où elle était allée se faire baiser par quelques mâles en rut. C’était la première fois que ce Stéphane participait à ce genre de séance dans cet hôtel, et ils avaient tous les deux flashé l’un pour l’autre … alors depuis, ils se voient en dehors de chez Lionel et Caro, et non seulement ils baisent ensemble plusieurs fois par semaine, mais selon Yolaine, ce Stéphane aime beaucoup la regarder se faire prendre par d’autres hommes – ça me rappelle quelque chose, ça - et il l’accompagne à l’hôtel chaque fois qu’elle y va … 

Elle revient sur les péripéties qui ont suivi mon départ … l’arrestation de Jo le manouche et la perquisition de ma maison par les flics. Elle a tout remis en ordre chez moi et, depuis, elle n’a plus entendu parler de rien. Apparemment, personne dans le village n’est au courant de tout ça … et bizarement, rien ‘a filtré dans la presse. Je lui raconte mon audition par les gendarmes en Bretagne.

Elle ne voit plus du tout ses anciennes copines de la paroisse. Quant à moi, je lui explique ce que je suis venu faire, et je lui annonce que je ne tarderai pas à repartir. 

Elle espère avoir l’occasion de me présenter son Stéphane.

Vendredi 12 janvier 9h00

C’est en me rendant chez une de mes anciennes patronnes pour récupérer le peu d’argent qu’elle me doit, que je décide de m’arrêter en ville pour acheter une bouteille. Laura m’a invité à dîner ce soir, et je ne peux pas arriver les mains vides. 

Oui, depuis mon retour en Seine-et-Marne, j’ai entrepris de faire la tournée de tous ceux pour qui j’ai travaillé ces dernières années. Je viens leur confirmer que j’arrête et je règle les derniers comptes avec ceux qui me devaient encore de l’argent. La plupart avaient déjà compris, puisque je leur avais fait faux bond pour le dernier rendez-vous de travail en fin d’année. Certains ne sont pas contents parce qu’ils savent qu’ils auront du mal à trouver quelqu’un pour me remplacer. 

Je suis en train d’examiner le rayon des Bordeaux du supermarché qui se trouve en centre ville, quand je vois un type se diriger droit sur moi. La trentaine, mince, plutôt grand, costume de bonne coupe avec gilet et cravate, une allure de cadre supérieur en entreprise :
- Vous êtes bien Marin Cathare ?
- Ça dépend.
- Je vous pose la question pour la forme. Je sais parfaitement qui vous êtes. Quelqu’un veut vous parler … suivez-moi.
- Mais, et vous … qui vous êtes ? Et qui veut me parler ?
- Vous verrez … suivez-moi, c’est dans le parking …
- Non, mais … avant, dites-moi qui vous êtes … ou alors, je ne vous suis pas.

Il fait une mimique agacée. Visiblement, je l’énerve à ne pas obtempérer. D’un coup de menton, il désigne quelque chose derrière moi :
- Regardez derrière vous.

Je tourne la tête. Derrière moi, il y a un gaillard qui doit faire pas loin de deux mètres, avec une mine patibulaire. Lui, c’est plutôt le genre voyou … ou plutôt le genre brute épaisse … jean, tennis, T-shirt et gros blouson en cuir noir … sa main droite enfoncée dans la poche du blouson, on dirait qu’il … Putain, c’est pas vrai ! Il est quand même pas en train de … de me menacer avec je ne sais quelle arme cachée dans sa poche ! D’un seul coup, j’ai les jambes en coton. La brute épaisse me prend le bras juste au-dessus du coude et il me pousse vers le bout du rayon :
- On te dit de v’nir ! Alors, fais pas d’histoires !

Merde ! Qu’est-ce que je fais ? Pas la peine d’essayer de dégager mon bras, la brute me le serre tellement fort qu’il m’a coupé la circulation ! Il faut que je trouve autre chose et que j’en profite pendant qu’on est dans le magasin pour attirer l’attention de quelqu’un, parce que, une fois que je serai dans le parking … je le connais, ce parking … il est en sous-sol, sous le supermarché et il n’y a jamais personne, là, en bas … mais à cette heure, le magasin est encore presque désert. Derrière moi, j’entends le type au costard :
- Vous inquiétez pas … vous n’avez rien à craindre … on veut seulement vous parler …
- Alors parlons ici.

On s’est arrêté. Le type au costard me fait face :
- C’est pas moi qui veux vous parler … et la personne peut pas se montrer avec vous …
- C’est qui …
- Vous verrez … allez !

La brute m’entraîne … le costard marche devant nous. Je le vois sortir un smartphone de sa poche, pianoter, puis dire « Ça y est, on l’a. On arrive ».

Nous voilà déjà à l’escalator qui conduit au parking. La brute me pousse devant lui et nous descendons. Une fois en bas, nous traversons le parking et ils m’emmènent tout au fond, près de la sortie. Une Mercedes est garée là, dans l’ombre … un vieux modèle, couleur crème, un peu crasseux … la brute m’entraîne jusqu’à la portière arrière droite et il l’ouvre :
- Monte !

Je jette un coup d’œil à l’intérieur … ça pue le tabac froid là-dedans. Sur la banquette arrière, il y a un type … un type âgé … soixante dix ou quatre vingt ans … cheveux blancs, barbe de trois jours, gros bide, mal habillé. Il tapote la banquette à côté de lui :
- Assieds-toi … faut qu’on parle … t’as rien à craindre …

Je m’assieds. La brute, une main sur le toit de la voiture et l’autre sur la portière ouverte semble être là pour me dissuader d’essayer de partir. Le type en costard attend derrière lui. Le vieux lance :
- Ferme cette portière, Luis ! Et allez faire un tour, tous les deux. Je vous appellerai.

La brute claque la portière et il s’éloigne avec le costard. Le vieux m’examine, puis :
- Bon. Alors c’est toi !
- C’est moi … quoi ! Et vous, vous êtes qui ?
- Moi, je suis … Déjà, Jo … ça te dit quelque chose, Jo ?

Ben oui, Jo, ça me dit quelque chose. C’est le manouche que j’ai fui en décembre. Le vieux enchaîne :
- Oui, je sais que ça te dit quelque chose. Alors … dans la communauté de Jo, je suis … si tu veux, c’est moi qui règle les problèmes … tu vois ? On a notre façon à nous de régler les conflits, les bagarres … ce genre de choses, quoi, qui regardent pas les gadgeos et leur justice. 

"Les gadgeos", je connais, c'est une expression des manouches. Je vois … ce type, c’est une sorte de juge ou de parrain … j’avais entendu parler de ça, mais je croyais que c’était des conneries, des fantasmes de gadgeos, justement. Il poursuit :
- Mickael … le type en costume, là, c’est l’avocat de Jo … c’est lui qui est chargé de défendre Jo pour ce que la justice lui reproche … et pour le reste, pour ce que la justice n’a pas besoin de savoir, Mickael, il sert de facteur entre Jo et moi … c’est comme ça que je sais ce qu’il venait faire chez toi, Jo, quand les flics l’ont arrêté. Mais même lui, Mickael, il le sait pas, ce que Jo venait vraiment faire chez toi. Y’a que nous trois, moi, Jo et toi, qui le savons …

Il semble avoir l’habitude d’être écouté quand il parle, ce vieux. Il doit avoir de l’autorité, mais il a quand même l’air assez correct. Alors je risque :
- Si il vous sert de facteur, votre Mickael, comment il ne sait pas ce que Jo venait vraiment faire chez moi …
- Parce que Jo m’écrit et donne ses lettres à Mickael qui me les apporte, mais sans les lire.
- Ah, d’accord. Mais il y a aussi ceux qui venaient chez moi avec Jo, qui sont au courant …
- T’as raison … « y’a aussi ceux qui venaient chez toi avec Jo ». Mais ceux-là, on s’en occupe aussi. 

Il marque un temps en me dévisageant, puis :
- C’est bizarre … t’as pas l’air d’être une … une … 
- Une tapette ?
- Oui. Je comprends pas. En tout cas, chez nous, on n’aime pas ce que Jo faisait avec toi … les types dans ton genre, chez nous, on n’aime pas … pour nous, c’est la honte … et Jo aussi, c’est la honte … ce qu’il faisait avec toi, si ça se savait, la honte pourrait retomber sur nous tous …

C’est curieux, je ne le sens pas menaçant, ni vraiment hostile. Juste curieux. Il m’observe avec étonnement comme si j’étais un indien d’Amazonie, ou un insecte bizarre. Du coup, je ne me sens pas en danger. Alors je me lance encore :
- Hé ! Excusez-moi, mais enfin, c’est pas moi qui suis allé le chercher, Jo. Et d’ailleurs, la première fois qu’il est revenu, je lui ai pas ouvert, je me suis planqué … et après, je suis parti en province parce que j’avais peur qu’il revienne encore … c’est ce qu’il a fait, d’ailleurs, il est revenu, et c’est là qu’il s’est fait arrêter …
- T’as raison. Mais il est pas venu chez toi par hasard, hein … comment il t’a connu, Jo, la toute première fois …
- C’est un certain Jacky qui l’a amené, avec d’autres … ils étaient cinq, en tout …
- Ah oui … Jacky … je le connais … ils faisaient des affaires ensemble, Jo et lui … il est aussi en taule, ce Jacky …
- C’est ce qu’on m’a dit …
- Et quand ils sont venus chez toi, Jo, Jacky et les autres, ils t’ont …
- Ils m’ont ?
- Ben … tu sais quoi …
- Vous voulez savoir si ils m’ont baisé ?
- Mmmm !
- Ben oui, ils m’ont baisé.
- Tous ? Je veux dire … les cinq ?
- Oui, les cinq.
- Et tu t’es laissé faire ?
- J’avais pas le choix. Si j’avais résisté, ils m’auraient forcé, ils l’auraient fait quand même et en plus, ils m’auraient cassé la gueule.
- Ils t’ont violé, quoi …
- Si on veut … mais en même temps, c’était pas si grave … j’ai l’habitude.
- De te faire violer ?
- Non, pas de me faire violer … j’ai l’habitude de me faire baiser par plusieurs mecs à la fois …
- T’es un dépravé …
- On peut voir ça comme ça.
- Ça te plaît ?  Pourquoi tu fais ça ?
- J’aime ça.
- T'aimes ça !
- Oui. C'est grisant de faire bander des hommes, de sentir qu'ils ont envie de moi et de me faire prendre ... Sentir leur sexe dans mon cul, ça me ...
Il lève la main pour m'arrêter:
- Ouais, ça va, ça va !

Visiblement, ça le sidère. Il ouvre de grands yeux :
- Chez nous, même une femme, elle ferait pas ça … elle se ferait pas … baiser comme ça par plusieurs hommes …
- Peut-être, mais en même temps, que je sois comme ça, c’est ce qui a permis de faire croire aux flics que Jo venait chez moi pour me faire chanter à ce sujet … et pas qu’il venait aussi me baiser …
- Mouais …
- Bon, vous me voulez quoi, en fait …
- Rien … te dire que … tu t’es bien comporté avec les flics … l’avocat, il a lu le rapport de ton audition … tu t’es bien comporté vis-à-vis de Jo … faudra pas changer de version, si des fois t’étais convoqué comme témoin.
- Ça m’étonnerait que je sois convoqué comme témoin dans les affaires de Jo … je suis impliqué en rien là-dedans … et dans cette histoire de soit-disant tentative de chantage de sa part, je pourrais être de nouveau entendu seulement si je portais plainte … 
- Et t’as pas l’intention de porter plainte ?
- Ben non … ça révélerait à tout le monde ce que je fais avec les mecs … et j’en ai pas envie …
- Bon. De toute façon, Jo, il t’emmerdera plus. Déjà, il va sûrement rester en taule pour un bout de temps … mais après, quand il sortira, il t’approchera plus … tu peux compter sur moi.
- Très bien. Et Jacky …
- Quoi, Jacky …
- Je voudrais bien qu’il me foute aussi la paix …
- C’est pas notre affaire, Jacky …
- Oui, sauf que c’est lui qui a entraîné Jo chez moi la première fois … et lui aussi, il pourrait parler … et les trois autres qui étaient avec eux …

Il m’observe :
- Tu perds pas le nord, toi …
- C’est vous qui avez l’air de tenir à l’honneur et à la réputation de votre communauté …
- Tu voudrais qu’on fasse quoi … qu’on le fasse taire complètement ?
- Complètement … je sais pas ce que vous voulez dire par ”complètement”, mais ce que je voudrais, c’est que vous le convainquiez de m’oublier … à vous de voir comment …

Il fronce les sourcils et il me regarde en coin. Puis :
- Bon. On va voir.
- C’est tout ?
- Ouais, c’est tout.
- Je peux y aller ?
- Ouais. 

J’ouvre la portière et je descends. Puis je me ravise. Je me penche vers lui, et je demande :
- Mais … comment vous m’avez trouvé dans ce magasin ?
- Ce matin, quand t’es sorti de chez toi, on t’a suivi en attendant qu’une occasion se présente. 
- Vous m’avez suivi DEPUIS CHEZ MOI ?
- Oui. Je pouvais pas venir te parler chez toi. Je peux pas être vu avec toi. Je pouvais pas non plus te téléphoner. T’es peut-être sur écoute.
- Ah bon, mais … vous me surveillez ?
- Non, on te surveille pas. On a appris avant hier que t’étais rentré de province. 
- Vous avez appris ça comment ?

Il rit :
- On a des … disons qu’on a des correspondants un peu partout … tu sais, comme les chaînes de télé … bon allez, tu peux dire aux deux autres de revenir.

Les deux autres sont à l’autre bout du parking, en train de griller une cigarette, juste sous un panneau d’interdiction de fumer.

- Votre patron vous attend.

Ils écrasent leurs cigarettes et ils regagnent la Mercedes pendant que je m’engage dans l’escalator. Je ne sais pas pourquoi, mais au final, je trouve cette entrevue plutôt positive.

Samedi 20 janvier. 16h00.

J’arrive chez Marie-Claire. C’est la dernière cliente à qui je viens faire mes adieux. 

Avec Marie-Claire, c’est moi qui vais avoir un peu de mal à m’habituer. Il devait y avoir sept ou huit ans que je travaillais pour elle : entretien du jardin pendant les beaux jours et travaux de toutes sortes dans la maison à la mauvaise saison : peinture, papier peint, carrelage, électricité, etc. Dès mon embauche, elle m’avait confié les clefs de sa maison, et elle me laissait organiser mon travail à ma convenance. En fait, elle n’habite pas sur place. Elle travaille du côté de Lyon et elle y a un appartement de fonction, alors elle ne revient chez elle que certains week-ends et pendant une partie de ses congés. Ce qui va me manquer, ce n’est pas tellement Marie-Claire elle-même, même si, la cinquantaine épanouie, elle n’est pas désagréable à regarder. Non, ce qui va me manquer, c’est son dressing et surtout sa commode de lingerie. Oui, parce que, dès le départ, en entreprenant les premiers travaux de bricolage à l’intérieur, je m’étais aperçu qu’elle avait une véritable collection de lingerie très sexy qui traînait un peu partout dans la maison … petite culotte sale abandonnée sur un canapé (!), string en dentelle accroché à la poignée de porte des toilettes, porte-jarretelles et bas en tas au pied de la baignoire, nuisette en tulle transparent étalée sur le lit, et j’en passe … Qui plus est, à chaque déplacement entre la Seine-et-Marne et Lyon, elle rapporte de la lingerie sale ou neuve et elle en remmène, ce qui fait que, constamment, sa collection est renouvelée.

J’avais commencé par regarder toute cette lingerie sans oser y toucher … puis je l’avais tâtée pour tester l’élasticité et la douceur des dentelles, des tulles, des lycras … et j’avais fini par essayer petites culottes, strings, porte-jarretelles et déshabillés, et fatalement, j’en étais arrivé à me masturber dedans … j’avais aussi essayé et porté toute la garde-robe de Marie-Claire susceptible d’accueillir mon anatomie, minijupes, robes, pantalons moulants, jeans en stretch … un régal ! 

Et non seulement je me donnais du plaisir avec la lingerie et les vêtements de Marie-Claire, mais je le faisais très souvent à l’extérieur, dans le jardin. Sa propriété est tout au bout d’une impasse, en bordure d’un bois, et ses seuls voisins, un jeune couple sans enfant, sont absents en semaine, pour cause de travail. Ce qui fait que, à la belle saison, je pouvais travailler entièrement à poil dans le jardin, ou me tripoter au soleil si j’en avais envie … et j’en avais souvent envie !

Donc, Marie-Claire m’a donné rendez-vous aujourd’hui en fin d’après-midi pour que nous fassions le point des travaux en cours et de ceux qui restent à faire. Pour l’occasion, sous mon pantalon, j’ai enfilé un de ses strings en tulle que je lui ai piqué il y a déjà pas mal de temps. Oui, je trouve ça très agréable, quand je la rencontre, de discuter avec elle en portant une de ses propres pièces de lingerie sous mes vêtements masculins. Marie-Claire en a tellement, et elle en balade tellement entre Lyon et la Seine-et-Marne, que je suis sûr qu’elle ne sait jamais exactement ce qui est ici et ce qui est là-bas. En général, quand elle voulait qu’on se voie pour me charger d’un nouveau travail dans son jardin ou dans sa maison, elle m’annonçait sa venue plusieurs jours avant afin que je prenne mes dispositions pour pouvoir la rencontrer. Dans ce cas, quelques jours avant notre rendez-vous, je choisissais avec soin une de ses pièces de lingerie que je lui empruntais et que je mettais sous mes vêtements masculins le jour de notre entrevue. C’est ainsi qu’il m’est arrivé de venir la voir avec, sous mon pantalon, un de ses nombreux porte-jarretelles et une de ses paires de bas, et une autre fois, avec un de ses collants en résille et un de ses strings. Une fois qu’elle était repartie à Lyon, je remettais en place ce que je lui avais emprunté. Le plus souvent, c’était un de ses nombreux strings en tulle de lycra, à la fois très extensible et très doux à porter. En sa présence, ça me mettait toujours la bite dans un état de semi excitation et je la sentais gonfler dans la minuscule poche de tissu … et pendant que Marie-Claire me parlait massifs de fleurs, peinture ou électricité, en moi-même, je me disais « ma belle, si tu savais qu’en ce moment, j’ai la bite et les couilles dans un de tes strings … » … j’adore ! 

Mais voilà, ça, ce sera terminé à partir de ce soir. Pour le moment, nous faisons le tour de la maison, et je lui explique ce qu’il reste à faire dans chaque pièce. Et pendant qu’elle prend des notes, je mate la lingerie que, comme à son habitude, elle a laissé traîner un peu partout … tiens, ce string violet, je me suis encore masturbé dedans le mois dernier ... et cette nuisette noire et très transparente, je me suis pris en photos dedans il y a quelques semaines … et ce collant résille, je me suis aussi branlé dedans il n’y a pas si longtemps … 

Quand on a fini le tour de la maison, Marie-Claire m’offre l’apéritif. Il est tard, il faut encore que je repasse chez moi me changer avant d’aller à l’anniversaire de David, mais ça ne fait rien, je prends quand même le temps de boire un verre. Pendant qu’elle me fait mon dernier chèque de salaire, je me tripote discrètement la queue sous la table à travers la toile de mon jean … et je la sens grossir dans le minuscule triangle de tulle moulant du string de ma patronne … enfin, de mon EX patronne. 

A dix neuf heures, je suis chez moi. Je me douche, je me change, et en route pour La Péniche où David fête son anniversaire.

SARAH. La rencontre
Samedi 20 janvier. 20h00.
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Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 5 mars 2020 4 05 /03 /Mars /2020 07:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

 

Mercredi 27 décembre 11h00


Il n’y a rien à faire, la queue de ce mec, de ce Paulin, m’obsède … et elle m’obsède d’autant plus que, maintenant, je sais qu’il va me baiser ! 


Paulin, c’est le type qui vient de me livrer les meubles que j’ai commandés, et qui est en train de les monter … et surtout Paulin, c’est le type à l’énorme bite !


Oh l’engin !


J’ai craqué. Quand j’ai découvert son énorme queue, j’ai immédiatement eu envie de … et c’est arrivé … je l’ai déjà sucé, ce mec ! Il a tout de suite vu que j’étais fasciné par sa grosse bite … de toute façon, maintenant j’en suis sûr, il le fait exprès de m’exhiber son sexe comme ça … rien que les réflexions de Kevin, son employé, le prouvent, il est coutumier du fait … et que je sois un mec ne le dérange visiblement pas … Alors, il n’y avait pas une heure qu’il était là, que j’avais déjà sa queue dans la bouche pour lui tailler une pipe ! Pas jusqu’au bout, malheureusement … il n’a pas joui … mais il a apprécié ma façon de sucer … et il a promis qu’il allait me baiser … ce soir, après le travail …


Alors, sans aucune gêne, sans aucune pudeur, pendant qu’imperturbablement il monte les meubles que j’ai commandés, je le mate et je me tripote à travers la toile de mon jean en imaginant ce qu’il va me faire avec sa bite … et ce que moi, je vais lui faire. Et je mouille … comme une femelle excitée, je mouille ! Pas de la chatte, évidemment, mais de la bite … je bande … je bande en permanence et je suis tellement excité que ma queue bave de la liqueur … une tache de plus en plus large s’étale sur la toile de mon jean … et cette tache se voit d’autant plus que c’est mon jean de femme hyper moulant que je porte … je m’en fous … même quand je descends au rez-de-chaussée pour évacuer des cartons vides ou des emballages en papier, je me balade sans vergogne devant Gégé et Kevin, avec ma bite en érection qui fait une grosse bosse dans mon jean et qui, en plus, a crachouillé du fluide d’excitation … 


Je dois dire que je trouve même ça assez excitant, de me montrer à ces deux mecs d’une façon aussi impudique et sans aucun amour propre … oui, les mecs, je bande parce que la grosse bite de Paulin m'excite, oui j'ai déjà commencé à le sucer, oui ce soir il va me baiser, oui, je suis fier de me faire baiser par un type aussi bien monté, oui, je suis fier de vous le faire savoir ! 

 

Au fond de moi, j’espère même qu’à force de les faire baigner dans cette atmosphère de sexe, ces deux mecs finiront aussi par être excités et qu’ils voudront aussi me troncher. Le Kevin, l’employé de Paulin, vu ses réactions, je suis pas sûr … mais Gégé … tout à l’heure, il m’a trouvé dans la salle d’eau en train de sucer la queue de Paulin … sur le coup, il a été surpris, mais après, il n’était pas plus gêné que ça … il s’est mis à discuter tranquillement avec le Paulin qui lui vantait le plaisir d’enculer quelqu’un … et Gégé, je me dis que, comme d’autres, il faut qu’il s’habitue à l’idée avant d’y venir … tiens, Jean-Claude, par exemple, l’agriculteur chez qui j’ai eu mon gang bang géant … au départ, il n’était pas question qu’il me baise … comme Gégé, il avait seulement voulu se branler sur moi … mais il a fini par y venir, quand, pour la première fois, je me suis fait sauter par son dogue allemand devant lui … et il a recommencé, quand je me suis fait saillir par les deux molosses de Pierrot, l'éleveur … à certains, il faut un événement déclencheur … Jean-Claude, c’était de me voir me faire couvrir par un chien … Gégé, ce sera peut-être de regarder Paulin me baiser …


Paulin, il s’en fout aussi que je me balade comme ça et que je me tripote devant lui … quand je suis près de lui, à le mater, il ne me regarde même pas … il continue d’enfoncer des chevilles, d’assembler des panneaux, de fixer des charnières comme si de rien n’était … simplement, de temps en temps, il me demande de lui passer telle ou telle pièce, de déballer un colis … il ne fait même plus exprès de tirer sur les jambières de son pantalon tellement bizarre, comme il faisait tout à l’heure pour le plaisir de m’allumer … Juste, quand il a eu fini de monter tous les meubles de ma chambre et qu’il a voulu commencer dans celle d’en face, au moment de passer devant moi, il s’est arrêté … exprès … il m’a regardé avec son sourire sardonique et il m’a dit :

- Alors ? T’en profites pas ?


Il attendait que je lui touche la queue. Alors, j’en ai profité … j’ai pris sa queue dans ma main… il s’est laissé tripoter quelques secondes, juste le temps de me faire monter en pression, et, au moment où j’allais me laisser tomber à genoux pour sortir sa bite et la sucer, il a repoussé ma main, et il est entré dans la deuxième chambre :

- Bon, je commence cette chambre et on mange … Va voir où ils en sont, les deux en bas …


Il me traite vraiment comme … pire que comme un larbin … comme une lope soumise … et en fait, ça me plaît … me faire traiter comme ça par un mec qui, d’une certaine façon, n’est que mon employé, ça me plaît … cette inversion des rapports dominant-dominé, ça m’excite … comme l’autre fois avec Gégé, quand il s’est décidé à me peloter le cul et à se branler … et même, je trouve que c’est un peu la même sensation que quand … quand je me suis fait … quand je me suis fait couvrir et féconder par les deux molosses de Pierrot … oui, c’est ça … alors qu’en principe l’homme est censé dominer le chien, ce jour là, c’est moi qui me suis soumis aux deux bestiaux qui m’ont sailli et fécondé le ventre … comme une femelle … comme une chienne … et j’en ai éprouvé une intense jubilation cérébrale en plus de la jouissance purement anale.  


Les deux mecs en bas, ils ont bien progressé … pas aussi vite que Paulin, mais quand même, et au rythme où les choses avancent, je pense qu’il ne faudra pas trois jours pour terminer, comme on me l’avait annoncé … il faut dire qu’au départ, il devait sans doute être prévu que Paulin et Kevin seraient seuls à monter les meubles, et pas que Gégé et moi, on donnerait un coup de main … je ne suis même pas sûr qu’il faudra deux jours pour finir … alors ça peut être bon pour moi, ça … si le Paulin a programmé trois jours de boulot ici et que c’est torché en seulement deux jours, voire moins, il va pouvoir consacrer le temps qui restera à me fourrer … faudra pas qu’il me dise qu’il en profite pour aller travailler ailleurs … si c’est ça, je le paie … je m’en fous, si il veut que je le paie pour rester et me baiser au lieu d’aller livrer ou monter des meubles ailleurs, je le paie …


- Bon, les mecs, on devrait pas tarder à manger …


Gégé :

- Hey ! Tu devrais te regarder dans une glace, patron ! Tu bandes … et t’as mouillé ton jean !

- Je sais … c'est la bite de Paulin qui m'excite.

- Ah ouais ? Et ça te dérange pas de te balader comme ça devant nous …

- Non, je m’en fous … tu m’as vu en train de tailler une pipe à Paulin … alors, te montrer ma queue qui bande et qui bave …

- Rien qu'à regarder sa bite ?

- Oui, rien qu'à regarder sa bite ... et aussi parce qu'il m'a dit que ce soir, il va me baiser.

- Et si il voulait te sauter devant nous …

- Ben ça me plairait … qu'est-ce que tu crois ...

- Ben putain, t’es vraiment tordu …


Kevin m’a seulement jeté un coup d’œil et il hausse les épaules avec un air dégoûté. Quand je remonte pour rendre compte à Paulin, il finit d’assembler les éléments de la commode. Je lui explique que Kevin et Gégé ont terminé le montage des meubles du bureau et presque fini le séjour et la salle à manger.


- Bon. Alors on devrait avoir fini avant ce soir …

- Et ce soir, tu restes et tu me baises …

- Ben ouais …

- Et demain aussi …

- Ah non ! Demain, je vais bosser ailleurs …

- Pourquoi …

- Ben … faut que je gagne ma vie, hein  … plus je livre, plus je monte de meubles, et plus je gagne, c’est aussi simple que ça …

- Et si je te paie ta journée de demain …


Je me suis approché de lui, j’ai pris sa queue dans ma main et j’ai commencé à le masturber à travers la toile de son pantalon. Ça le fait sourire :

- Tu me paies ma journée … pour que je te baise ?

- Oui. Tu te fais combien dans une journée ?

- Ça marche pas comme ça … par exemple, avec le magasin où t’as acheté tes meubles, c’est des forfaits par meuble … ça dépend si c’est des meubles compliqués ou pas à monter …

- Mais en gros, une bonne journée, tu peux te faire combien …

- En comptant pas mes heures, dans les trois cent ou trois cent cinquante …

- Et ben, j’te donne quatre cent et tu restes … 

- Ah dis donc … t’en veux, toi, hein …

- Ouais … c’est une affaire, que je te propose … parce que je suppose que de toute façon, tu vas toucher du magasin comme si tu restais deux jours ou trois jours …

 

J'ai mis dans le mille. Il sourit:

- Bon … on verra …


Je me laisse tomber à genoux et, dans le même mouvement, je m’accroche à sa ceinture et j’essaie de baisser son pantalon sur ses mollets. D’une main, il retient sa ceinture et de l’autre il me repousse :

- Arrête ça ! Pas maintenant, j’te dis ! Bon, allez, on va manger …


Il remonte son pantalon, il sort de la chambre et il descend au rez-de-chaussée.


Nous commençons à manger en silence. Gégé et Kevin m’observent et, de temps en temps, ils se regardent avec un petit sourire … ils se foutent de ma gueule … je m’en fous, marrez-vous, ce soir il me baise, Paulin ! En attendant, Paulin bouffe, Paulin baffre … et soudain, son téléphone sonne. Il regarde l’écran, il se lève et il sort sur le perron devant la maison. Je l’entends :

- Ouais !

- … 

- Quoi ?

- … 

- Qu’est-ce t’as été foutre là-bas ? J’t’avais dit de pas y’aller !

- …

- J’m’en fous ! T’es où ?

- …

- Bon, tu t’enfermes et tu bouges pas … même si ils font mine de s’en aller …

- … 

- Nan ! Surtout pas les flics ! Tu fais c’que j’te dis, MERDE ! J’arrive !

- …

- Ouais, ben on a mis presque une heure et demie, ce matin … mais là, je serai là dans une heure …

- …

- Ouais ! J’appelle Marco et j’arrive ! Tu ouvres qu’à lui !


Il revient dans la cuisine :

- Bon, faut que j’m’en aille … ma frangine a des emmerdes … Kevin, tu continues, et ce soir, tu me tiens au courant, qu’on voit si il faut revenir demain …

- OK … mais à mon avis, ce soir, on devrait avoir fini … 

- Bon, alors, tu finis … quitte à rester tard … j’te paierai un supplément …


Je demande :

- Mais Paulin … de toute façon, tu reviens demain …

- Là, je crois pas, non …

- Mais pourquoi … je t’ai dit …

- Je sais ce que tu m’as dit … mais là, ça va pas être possible … j’ai un truc à régler et après, j’ai pas l’intention de faire cent vingt bornes pour revenir te baiser … j’ai mieux à faire, alors je reviendrai pas … Allez, tchao !


Kevin et Gégé se regardent et se retiennent visiblement de se marrer. Paulin récupère quelques papiers, ses clefs, et il sort … j’entends la portière de son fourgon claquer et le moteur démarrer … et le bruit diminue peu à peu. 


Gégé, en se tournant vers Kevin :

- Il a une frangine, ton boss ?

- Ouais … une pute … elle est comme lui … elle chauffe tout ce qui a une queue et elle se fait baiser par n’importe qui …

- Et qu’est-ce qui se passe, là ?

- J’en sais rien … mais elle a dû se prendre la tête avec un mec … ou avec plusieurs mecs … c’est pas la première fois … et maintenant elle attend que Paulin règle ça.

- En plus de sa grosse bite, il est bizarre, ce mec … il a une drôle de gueule, je veux dire … d’où il sort ?

- Ah ouais ! Il vient de … ah merde, je me rappelle plus … tu sais, là où on lance des fusées … en Amazonie …

- Je vois pas …


J’interviens :

- En Guyanne ?

- Ouais, c’est ça, en Guyanne … pour sa gueule bizarre, un jour, il m’a raconté, Paulin … c’est une famille de barjots … son père, c’était le fils d’un ancien bagnard … ou le petit-fils, je sais plus … bref, il vivait dans la brousse, là-bas, il chassait, il cherchait de l’or … et un jour, il a enlevé une femme … une indienne, paraît-il … c’est pour ça, sa tête, à Paulin, il est à moitié indien … et cette femme, son  père, il lui a fait des gosses … trois gosses … Paulin, c’est l’aîné, après, y’a une fille et le dernier, c’est un garçon … et ben, le père, ça lui suffisait pas, sa femme … alors, quand les mômes ils ont été un peu grands, le père il se les tapait aussi … ouais ! C’est lui-même, Paulin, qui me l’a dit … des barjots, j’te dis …

 

Je demande :

- Et il serait content que tu racontes ça, Paulin ?

- Ah ouais, il s’en fout … si je te raconte, c’est que je sais qu’il s’en fout … je l’ai entendu raconter ça à d’autres personnes … même des gens qu’il connaît pas spécialement … comme ça, comme toi tu raconterais … je sais pas … une partie de pêche … tu lui aurais demandé, il t’aurait raconté … il s’en fout, j’te dis … il a pas de morale, t’as bien vu … il faut qu’il foute sa queue sous les yeux de tout le monde, et il baise n’importe qui … des bonnes femmes, des mecs … tout le monde ! Il baise même sa frangine … et elle, elle baise aussi avec son petit frère … Marco, il s’appelle, le frangin … tous les trois, ils ont tout le temps le feu au cul … 


Ben mon vieux, il se lâche, le Kevin ! On dirait qu’il n’attendait que ça … et pendant que Kevin raconte, Gégé me jette sans arrêt des coups d’œil … je vois bien ce qu’il doit se dire … Paulin, son frère et sa sœur, ils sont aussi portés sur le cul que moi … Je demande à Kevin :

- Et toi, il t’a aussi baisé ?

- Ça va pas, non ? J’suis pas une tapette, moi !

- Tu bosses avec lui, pourtant …

- Et alors ! Moi, y’m’touche pas, Paulin …

- Et leur père, qu’est-ce qu’il est devenu … il est aussi en France ?

- Nan. Il est mort … il est mort en taule … 

- Ah bon ? Il était en taule ?

- Ouais. Il a tué sa femme … comme elle voulait pas qu’il baise les mômes, un jour, elle s’est sauvée pour le dénoncer … mais il l’a rattrapée et il l’a fait disparaître … elle a dû finir dans un crocodile où je sais pas quoi … mais au début, c’est pas pour ça qu’il s’est fait choper par les flics, le père à Paulin … c’est parce que un type qui habitait pas loin de chez eux, dans la jungle, il a surpris le père en train de baiser sa fille … alors il a été chercher les gendarmes … il s’est retrouvé en taule et les mômes dans un foyer … et le père, comme un con, il s’est vanté d’avoir zigouillé sa femme au type qu’était dans la même cellule que lui, et le mec, il l’a balancé au juge … 

- Et Paulin, pourquoi il s’est retrouvé ici, en France, avec son frère et sa sœur, et qu’ils sont pas restés en Guyanne ?

- Ben … dans le foyer où ils étaient, ils ont continué à baiser … la fille … j’me rappelle jamais comment elle s’appelle, c’est pas un nom français … elle, elle était dans un foyer où y’avait que des filles, mais elle chauffait les autres gamines et les éducateurs … et Paulin et son frangin, ils faisaient pareil avec les autres gamins dans leur foyer à eux … alors, Paulin, dès qu’il a été majeur et qu’ils ont pu le foutre dehors, au foyer, ils l’ont viré … Là, il a commencé à travailler dans une menuiserie, mais il s’est aussi mis à vendre son cul … enfin, sa bite, plutôt … il a vite fait été connu, là-bas, avec sa grosse bite … alors, il baisait des bonnes femmes qu’étaient venues en Guyanne avec leur mari qui bossait … tu sais, au centre où on tire les fusées … et ça a fini par faire des histoires, forcément … les bonnes femmes, avec un étalon comme lui, elles voulaient plus baiser avec leur mari … bref … il a fini par venir ici pour pas avoir d’emmerdes … et quand sa frangine est sortie du foyer, il l’a fait venir, et ensuite son frangin … et c’est depuis qu’ils sont en France, que leur père est mort … une bagarre, un coup de couteau ou je sais pas quoi, et il s’en est pas remis … Remarque, c’est pas une grosse perte, un fumier pareil … mais tu sais, ils le regrettent, leur père, tous les trois … c’est Paulin qui me l’a dit … c’est lui, leur père, qui les a initiés au cul et ils aiment ça … ils arrêtent pas … ils sont comme des animaux, j’te jure … un jour que Paulin m’avait demandé d’aller le prendre chez eux parce que son fourgon était à la révision, quand je suis arrivé, le jeune frangin, il était en train de baiser sa sœur sur une table dans le jardin … tu crois qu’ils se seraient arrêtés quand je suis arrivé ? Pas du tout, ça les a pas gênés, et ils ont continué devant moi comme si j’étais pas là … et quand j’ai demandé à Paulin qui c’était les deux qu’étaient en train de baiser, il m’a dit « C’est mon frère et ma sœur » … sur le coup, je me suis dit qu’il se foutait de ma gueule, et je lui ai dit « Ouais, c’est ça ! » … il m’a répondu « Tu me crois pas ? Tu verras ce soir » … le soir, quand je l’ai ramené chez lui, il m’a fait rentrer dans la maison … ils étaient encore là, les deux, mais ils baisaient pas … lui, le jeune, il jouait à la console, et elle, elle regardait la télé … Paulin leur a demandé « T’es qui, toi, pour moi ? » … le jeune a répondu « Ben, je suis ton frère. Pourquoi ? » … et à la fille, pareil … « Ben je suis ta frangine. » … et maintenant que je les voyais de près, je me suis rendu compte qu’ils ont la même gueule tous les trois … quand il m’a raccompagné à ma camionnette, Paulin, il m’a dit « Alors, tu me crois, maintenant ? Tu sais, moi aussi, je la baise, ma frangine. » … pour lui, y’a pas de problème … il en parle comme ça, comme si c’était normal … j’te dis, comme des animaux !

- Mais … ils ont pas peur de se faire … je sais pas … dénoncer ?

- Nan … il dit qu’ils sont tous les trois majeurs, alors qu’ils font ce qu’ils veulent … et de toute façon, les deux frères, ils la forcent pas, leur frangine … elle aime ça, se faire baiser … surtout par Paulin, avec sa grosse queue … alors, ça risque pas qu’elle porte plainte …


Il s’en suit un long silence … Gégé est perdu dans ses pensées et sirote de la bière … et Kevin avale quart de pizza sur quart de pizza. Quant il a terminé :

- Bon, c’est pas tout ça, si on veut pas finir trop tard, faut s’y remettre …


Et il se remet au travail. 


Même si je l’aime pas beaucoup, le Kevin, je dois reconnaître qu’il est consciencieux. Non seulement il finit de monter les meubles au rez-de-chaussée, mais il monte à l’étage vérifier que tout est en ordre, et ensuite, avec Gégé et moi, il déballe et range tout ce qui restait dans son fourgon : draps-housses, couettes, oreillers, tapis, vaisselle, couverts, verrerie, casseroles … jusqu’aux lampes de chevet et les lampadaires pour les différentes pièces … il va même jusqu’à les équiper de leurs ampoules … 


Enfin, on pointe sur les listings fournis par le magasin tout ce qui a été livré et monté, il me fait signer les bordereaux et mentionner à quelle heure il a fini … Il est vingt et une heure trente. Tout a été fait en une douzaine d’heures !


Et il s’en va, bientôt suivi par Gégé. Je lui ai pourtant proposé de passer encore cette nuit ici, mais il a refusé catégoriquement. Il a dû avoir peur que je lui saute dessus … Pour Paulin, évidemment, ça me fait chier qu’il ne revienne pas … je m’étais fait un tel scénario … j’ai bien senti qu’il était décidé à ne pas revenir, alors il faut bien que je me fasse une raison. 


Me voilà seul dans cette maison … on dirait une de ces maisons qu’on voit dans les publicités, justement pour vendre des meubles ou de la déco … je suis content qu’elle soit meublée et équipée, mais je la trouve vraiment impersonnelle. Et ça sent le neuf … le bois neuf, les tissus neufs, les plastiques neufs … 


J’ai un peu faim, mais je n’ai plus rien, ici … même pas un bout de pizza … Heureusement, j’ai laissé un peu de bouffe dans le frigo du gite. Alors j’y vais. La gérante a glissé ma note sous la porte de ma chambre. Tout de suite, je fais un chèque et je le mets dans sa boîte à lettres avec un mot de remerciement. Un de ces jours, je viendrai lui dire bonjour … elle est sympa, cette femme. Tant que j’y suis, je finis de récupérer le reste de mes affaires, je vide le frigo et je rentre chez moi. 


Jeudi 28 décembre 19h30

J’ai passé la journée à faire des lessives. Cette nuit, l’odeur de neuf de la literie m’a empêché de m’endormir. Alors j’ai passé tous les draps-housses, les couettes et les oreillers à la machine … pareil pour les torchons et les serviettes … j’ai même lavé toute la vaisselle, les couverts et la batterie de cuisine … autrement, tout fonctionne …


Mon téléphone sonne. Je réponds. C’est Laura :

- Marin ? Salut, c’est Laura …

- Salut, Laura.

- Ben, où t’es ? Je suis passée chez toi, comme ça faisait un moment qu’on t’avait pas vu, et ta maison est bouclée … ta voisine m’a dit que t’es en Bretagne … qu’est-ce que tu fais en Bretagne ?


Ah, Laura ! Ma copine Laura. Ah oui, il faut que j’explique … Laura et David … David et Laura …. Je sais, immanquablement, quand on prononce ces deux prénoms, les gens pensent aux enfants de Johnny. Rien à voir ! Les Laura et David que je connais ne sont ni les enfants de Johnny, ni même frère et sœur. Ils sont mari et femme, et ce qui a associé leurs deux prénoms, c’est seulement le hasard de leur rencontre … dès l’école primaire, d’après ce que m’a dit David. Je les connais parce qu’ils sont arrivés dans mon village il y a une poignée d’années. Ils ont restauré et agrandi une vieille maison, et de temps en temps, quand ils avaient besoin de bras, soit pour couler une chape de béton soit pour poser de la laine de verre dans les combles, je leur ai donné un coup de main. Ils se sont tout de suite intégrés à la vie du village, lui en participant aux activités de la société des fêtes, et elle en animant le club de fitness. 


David dirige, ou plutôt co-dirige une entreprise qu’il a créée avec Yann, un copain de fac. Ils font dans la création et l’aménagement de locaux professionnels. Et Laura … ah, Laura, c’est un personnage, un tempérament, comme on dit. Elle est infirmière à l’hôpital … ou plus exactement cadre-infirmière dans un service de chirurgie. C’est une belle femme blonde, avec une grosse touffe de superbes cheveux mi-longs … bien qu’elle soit légèrement enveloppée et d’un abord plutôt cash, elle a beaucoup de charme … elle a un côté assez sensuel et parfois, elle même assez sexy. Je l’aime beaucoup, et on s’entend très bien, elle et moi … d’ailleurs, même si je m’entends aussi très bien avec David, je me sens plus proche d’elle, et on a une espèce de complicité, tous les deux … comme je pourrais avoir avec une sœur, en fait … il n’y a rien d’ambigu, avec elle … d’ailleurs, un jour, elle m’a dit « David, c’est l’homme de ma vie … il n’y en aura pas d’autre ». Ils ont deux enfants … Lise, huit ou neuf ans, il me semble, et Ugo, six ans … des gamins adorables. 


Bref. En effet, ça fait un moment que je ne les ai pas vus, David et elle. Quand le maire de notre commune a réuni les associations et ceux qui participent à l’animation du village, début novembre, ils n’étaient pas là … ils étaient partis déménager la sœur de Laura qui se séparait de son mari. Et quand je suis parti de chez moi en vitesse, l’autre jour, je n’ai pas pris le temps de les prévenir. Heureusement que l’arrestation de Jo, le manouche, n’a pas eu d’autre témoin que ma voisine Yolaine, parce que, immanquablement, ils en auraient entendu parler et ils m’auraient posé des questions …


- Ben … je suis venu régler des affaires, ici, en Bretagne …

- Ah bon ? Mais … je … je savais pas que t’avais des … remarque, ça me regarde pas …

- Non, mais y’a pas de problème … j’ai une maison, ici …

- Ah, je savais pas …

- Bah, c’est parce que je l’ai héritée de mes parents … ils la louaient à l’année, tu vois … et moi aussi, du coup, à leur suite … alors, j’y venais jamais, c’est une agence immobilière qui s’en occupait … et là, les locataires sont partis et l’agence n’en a pas trouvé d’autre … voilà. Alors je vais la garder pour moi … et je la remets en état.

- Ah OK. Bon, si je t’appelle, c’est pour deux choses . D’abord, on voulait t’inviter pour le réveillon du jour de l’an, comme l’an dernier … tu seras là ?

- Euh, non, je pense pas … j’ai encore des choses à régler ici, et je ne serai pas en Seine-et-Marne pour le jour de l’an … Merci quand même pour l’invitation.

- Bon, dommage … la deuxième chose, c’est l’anniversaire de David … tu te rappelles ? C’est le 15 janvier …

- Ah non, j’y pensais plus …

- Alors, cette année, il aura trente cinq ans … et on a envie faire une grande fête … avec plein de monde … et il compte bien que tu seras là … tu seras rentré ? On fait ça le samedi suivant, le 20 janvier.

- Euh … ben oui, alors, je serai rentré … je VAIS rentrer pour être là … je peux pas manquer ça.

- Tu rentres exprès, ou c’était prévu …

- Non, j’avais pas prévu de rentrer à une date ou à une autre, mais pour ton homme, je rentre …

- Ah, t’es un pote …

- Euh … qu’est-ce qui lui ferait plaisir … comme cadeau, je veux dire … t’as une idée ?

- Ben à vrai dire, oui … ça fait des mois qu’il rêve d’une guitare … un modèle spécial … alors j’ai pensé que, plutôt que chacun se casse la tête à trouver une idée, tout le monde pourrait se cotiser pour lui payer cette guitare … faut dire, elle coûte quand même pas mal … chacun met ce qu’il veut … et moi je complète si y’a pas assez …

- Ah ben, très bien … j’en suis, évidemment … elle coûte combien, cette guitare … et on sera combien …

- T’inquiètes pas de ça … tu mets ce que tu veux et moi, je me débrouille …

- Bon, OK, je t’envoie un chèque …

- Ouais. Y’a pas le feu, hein …

- Bon. Vous allez bien, tous les deux ? Et les mômes ?

- Ouais … tout le monde va bien … Les gamins sont chez mes parents, en ce moment … alors, on est en amoureux, David et moi. Ça fait du bien. Et toi, ça va ? Je te sens … t’as des soucis ?

- Non, ça va … je suis un peu fatigué, mais ça va …

- Bon … ben … salut, Marin … prends soin de toi … et on compte sur toi, hein … 

- Tu peux.

- Alors la bise, mon pote.

- Ouais, la bise, Laura.


Je ne m’étais pas fixé de date pour rentrer en Seine-et-Marne, mais avec cet anniversaire, il faut que je prévoie … Je vais demander à Gégé si c’est possible qu’il démarre tout de suite les travaux de nettoyage et de débroussaillage à Coat-ar-Bleiz. Si c’est oui, il faudra que j’achète le matériel, que je l’emmène et que j’installe Gégé là-bas … et que je demande au voisin, Cloarec, d’emmener jusqu’à la ferme l’abri de chantier qu’il a proposé de nous prêter … Demain, j’irai voir Gégé à son blockhaus.


Mercredi 3 janvier 8h30


C’est parti ! Nous sommes en route pour Plouménez, avec Gégé.


Vendredi, j’étais allé lui demander quand il voulait commencer à travailler à Coat-ar-Bleiz … soit avant que je retourne en Seine-et-Marne, soit à mon retour. Sans hésiter, il m’a dit avant que je reparte, c’est à dire début janvier.


Alors hier, j’ai loué un fourgon et avec Gégé, on a été chercher le matériel que j’avais commandé au magasin de bricolage et à celui d’électro-ménager : débroussailleuse à roues, débroussailleuse portable, tronçonneuse, outils à main de toutes sortes pour couper, tailler, trancher, piocher, pelleter, ratisser … un casque, des lunettes de protection, des gants et des cottes pour Gégé … un camping-gaz, un four, un frigo, une batterie de cuisine, un radiateur à pétrole, des bidons d’essence … et vendredi,  j’étais allé acheter un lit de camp, un matelas et des duvets dans un magasin d’articles de sport, ainsi qu’une table et deux chaises de camping … la totale, quoi … même un petit poste de télé ! Je veux qu’il soit comme un  coq en pâte, le Gégé, à Coat-ar-Bleiz ! J’avais prévu d’acheter un groupe électrogène, mais Cloarec m’a dit qu’il tirerait un câble depuis chez lui … d’après lui, il aurait de quoi ! 


Ah oui, j’ai aussi offert un téléphone portable à Gégé. Oh, il a râlé, évidemment … il m’a dit qu’il n’en voulait pas et qu’il ne s’en servirait pas … en réalité, je crois qu’il avait peur de ne pas savoir l’utiliser … je me suis rappelé ce que Gwen m’avait dit … il ne sait pas lire … alors, j’ai pré-programmé les numéros qui pourraient lui être utiles de façon qu’à chaque numéro corresponde simplement un chiffre : le 0 c’est moi, le 1 c’est Gwen, le 2 c’est Cloarec, le 3 c’est les secours, le 4 la mairie de Plouménez, etc. Et au dos du téléphone, j’ai collé un carton avec une photo ou un symbole correspondant à chaque correspondant … Quand je lui ai fait la démonstration, il a fait la moue, mais il a essayé à son tour en appelant sa cousine, et il a empoché l’appareil sans le moindre commentaire. J’ai lourdement insisté pour qu’il pense à recharger l’appareil régulièrement et pour qu’il pense à l’avoir toujours sur lui … 


J’ai aussi fini de le payer pour les travaux qu’il a faits jusqu’ici, et je lui ai versé d’avance le mois de janvier … et en plus, je lui ai laissé une avance pour le cas où il aurait des choses à acheter pour son travail … quand il a vu tous ces billets, il n’en revenait pas :

- Ben merde ! J’en ai jamais eu autant en main à la fois ! D’habitude, je craque tout au fur et à mesure, alors j’en ai jamais tant que ça !


J’ai senti qu’il était touché que je lui fasse confiance :

- Mais … t’as pas peur que je bouffe tout ce pognon … ou que je le picole, et que je foute rien ? 

- Non, j’ai pas peur, je te fais confiance … je pense pas que tu sois un enfoiré … Et si y’en avait pas assez, avec ce que je te laisse comme avance, tu peux demander à Cloarec, je me suis arrangé avec lui … mais, fais gaffe, te fais pas piquer tout ce fric …

- T’inquiète pas, ça risque pas …


On a aussi embarqué sa mobylette et sa remorque dans le fourgon, pour qu’il puisse au moins aller faire ses courses au supermarché du patelin d’à côté. 


Quand j’avais appelé Cloarec pour lui annoncer l’arrivée et l’installation de Gégé, il m’avait dit qu’il allait ré-ouvrir l’allée qui conduit à Coat-ar-Bleiz en enlevant le talus qui le barre, qu’il allait passer sa faucheuse dans le chemin et emmener l’abri de chantier.


Donc, nous sommes en route pour Plouménez, Gégé et moi. Nous restons silencieux un bon moment, puis Gégé me demande :

- Alors, t’es parti pour combien de temps, finalement …

- Je sais pas vraiment … je reviendrai sans doute vers fin janvier ou début février … pourquoi, ça t’inquiète ?

- Nan, mais … des fois, y’aura peut-être des trucs que je saurais pas c’qu’y faut faire …

- Ben tu m’appelles, tu m’expliques et on voit … et puis tu peux aussi demander conseil à Cloarec … il est bien, ce type … Ah ouais, au fait, j’allais oublier … il a dit que si t’as besoin, tu peux lui donner ton linge à laver … 

- Y vas pas me laver mon linge, ce mec …

- Ben non, c’est pas lui qui va te le laver … ni sa femme … ils ont une machine à laver, hein … 

- Ah ouais, d’accord.


Ah Gégé ! Par moments, il est déroutant.

- Et il a dit que tu peux aussi aller te doucher chez lui …

- Ouais, ben ça, on verra …


Quand on arrive, en effet, l’accès à la ferme est ré-ouvert, le chemin a été fauché et la cour aussi a été grossièrement débroussaillée … l’abri de chantier est dans l’angle que font le cellier et l’écurie … et il est bien plus grand que ce que j’imaginais … Cloarec est en train  de finir de tirer un câble électrique d’arbre en arbre …


On se sert la main et le fermier demande :

- Ça vous va ? J’ai mis l’abri de chantier dans ce coin … comme ça, il gêne pas, il est à l’abri du vent du nord et il a le soleil du matin jusqu’au soir … 

- Ouais, c’est bien … ça te va, Gégé ?

- Impec !

- Venez visiter … Cécile a fait un peu de ménage dedans …


Ouais, c’est grand ! Ça doit faire deux mètres cinquante par au moins quatre … il y a une grande fenêtre sur le côté opposé à la porte et une petite à l’extrémité … un radiateur électrique et une ventilation … et dans un angle, une sorte de petit lavabo … un plafonnier et plusieurs prises électriques . Cloarec s’excuse presque :

- Bon … il est pas aménagé, hein, mais j’ai compté, il fait douze mètres carrés … par contre, il est isolé … le radiateur, je suis pas sûr qu’il marche … faudra voir … et y’a pas de chiotte … ça ira quand même, Gégé ?

- Ah ouais, tu parles … dans mon blockhaus, j’ai rien d’aussi grand … et c’est propre, ici … pour le chiotte, je me démerderai … c’est le cas de le dire … j’en ai pas non plus, de chiotte, au blockhaus …

- Si t’as besoin d’une ou deux étagères pour ranger tes affaires, j’ai ça chez moi, qui me servent pas …

- Ouais, on verra …

- J’ai pensé … je vais amener une cuve de 1.000 litres pour l’eau … ben oui, tu vas avoir besoin d’eau, Gégé … et je me disais … si on l’installait sur le toit de l’abri … après, il suffit de brancher le circuit d’eau de l’abri sur la cuve, et le tour est joué …

- Il peut supporter une tonne, l’abri ?

- Oui, sûrement. Il faut seulement mettre des bastaings sur le toit pour répartir la charge.

- C’est pour la remplir, après …

- T’inquiète pas … ma citerne pour aller mettre de l’eau aux bêtes, je la remplis avec une pompe qui marche avec le moteur du tracteur …

- Bon, ben, ça marche … allez, on vide le camion …

- Moi, je finis de tirer mon câble et je le branche.


On commence à vider le fourgon et on s’aperçoit tout de suite qu’il n’y a pas vraiment de place dans les différents bâtiments autour de la cour pour mettre le matériel à l’abri. Alors, avec Gégé, on entreprend de sortir de l’ancienne étable tout ce qui l’encombre et de l’entasser sur la cour … une charrette à bras, deux vieux tonneaux, deux brouettes, une petite table, une cuve en acier rouillée qui devait servir à stocker le lait, je ne sais combien de bidons de cinquante litres en alu, un vélo … tout est crasseux, rouillé, les bois tombent en poussière … au bout de presque une heure, on peut enfin loger le matériel dans l’étable, ainsi que la mob et la remorque de Gégé … ensuite, on installe dans l’abri de chantier tout l’équipement de Gégé … et quand on pose le frigo, il me lance :

- Putain, il fait soif … et c’est con, on a même pas une bière à mettre au frais … 

- Bon, allez, on descend au bourg et on boit un coup … et de toute façon, il faut aussi que tu fasses un peu de courses …

- Ah OK … chez Rozenn, le café en face de la mairie, ça fait aussi épicerie … 

- Ah, t’es venu une seule fois ici, et tu connais déjà le nom de la patronne du café !

- Ben ouais …

- Très bien … autrement, on fait un saut jusqu’au supermarché, c’est pas loin …

- Oh, patron ! On boit déjà un coup, et on va au supermarché après !

- Mais oui, Gégé … je te fais marcher …


On sort, je demande au voisin si il veut venir boire un coup avec nous au bourg, et nous voilà partis tous les trois. 


On boit un coup … on boit deux coups … et on en boirait bien un troisième si ça ne tenait qu’à Gégé … mais Cloarec demande qu’on le ramène chez lui pour la traite du soir … alors on repart, on dépose l’éleveur à l’entrée de sa ferme, et on rejoint le village d’à côté et le supermarché. 


On remplit deux caddies … de la bouffe pour au moins quinze jours et plusieurs gros packs de bière et quelques bouteilles de vin … et on rentre à Coat-ar-Bleiz. Pendant qu’on entasse ses provisions dans un coin, Gégé n’arrête pas de contempler son nouveau domaine. Il a l’air tout content de s’installer ici. Il teste le robinet du lavabo … ça coule ! Il teste le radiateur électrique … ça chauffe ! Il branche et il allume la télé … ah là , par contre, il y a un problème … rien, ni son, ni image … 


- Demain, t’auras qu’à demander à Cloarec si il n’aurait pas une antenne …

- Je m’en fous, la télé, je la regarde jamais … d’ailleurs, j’en ai pas de télé. 

- Comme tu veux, mais comme on l’a achetée …

- Mouais ! Putain, ici je vais être mieux que dans mon blockhaus ! Tu restes manger avec moi, patron …

- Ben … je te remercie, mais il faut que j’aille rendre le camion …

- Ah ouais … une autre fois, alors …

- Pas de problème. Allez, je te laisse. Salut, Gégé, et bon courage.

- Salut, patron.


à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Samedi 31 août 2019 6 31 /08 /Août /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

 

Mercredi 27 décembre 10h00


- Tu veux la toucher ?

- …

- Ma bite … j'ai vu que t'arrêtes pas de la regarder … tu veux la toucher ?


Il est là, devant moi … presque à m’effleurer, ses yeux vicieux plantés dans les miens …


Ce mec, c'est le livreur de meubles … livreur et poseur de meubles … il s'appelle Paulin (je ne sais même pas si c'est son nom ou son prénom), et il est arrivé ici à 9 heures, avec un collègue.


Tout de suite, j'ai remarqué sa tenue extravagante pour un mois de décembre … il est habillé comme en plein été, mais surtout, il porte une espèce de pantalon de zouave, un peu bouffant et taillé dans un tissu tellement fin et léger que, quand le vent lui plaque sur les cuisses, il lui moule sa bite qui pend dans la jambière … et quelle bite, nom de dieu ! Longue et épaisse … le même calibre que la bite de Sam, la brute tatouée qui m'a baisé pendant mon gangbang dans la ferme de Jean-Claude. Et physiquement, ce type est taillé comme Sam … massif, dense, costaud …


Le vent lui plaque le tissu sur la bite, mais en plus, quand il s'accroupit pour assembler au sol les différents éléments des meubles, il tire un peu sur ses jambières pour se donner de l'aisance, et ce geste mécanique lui colle aussi la toile sur les cuisses et lui moule aussi la queue ! Et comme je suis là, à lui servir plus ou moins d’assistant et à le regarder travailler, j’ai régulièrement son gros truc sous les yeux … et ça me fascine, forcément … je ne peux pas en détacher mon regard. Alors, il a fini par repérer mon manège, et au lieu de chercher à dissimuler tant soit peu son engin, voilà qu’il s'est mis, au contraire, à le caresser ostensiblement à travers le tissu. Comme un con, j'ai piqué un fard et je suis allé me planquer dans la salle d'eau attenante à la chambre. Pourtant, j'en ai maté des queues, depuis quelques mois … et sans me cacher … au contraire. Mais là, je sais pas … ce type me met tellement mal à l'aise. Et il vient de me rejoindre dans la salle d'eau !


- Tu veux la toucher ?

- …

- Ma bite … j'ai vu que t'arrêtes pas de la regarder … tu veux la toucher ?


Les pouces passés dans la ceinture de son pantalon, on dirait qu'il s'apprête à le baisser pour m'exhiber son gourdin. J'ai le cœur qui bat et j'ai la bouche sèche … pourtant, je viens de boire au robinet du lavabo. Bien sûr que j'ai envie de la toucher, sa bite … et plus que ça, même … j'ai une folle envie de la branler, sa bite, j’ai une folle envie de la lécher, de la sucer, j’ai une folle envie qu'il me grimpe, qu'il me chevauche, qu'il me la carre dans le cul, sa grosse bite ! Mais je ne sais quoi me bloque … je n'ose même pas baisser les yeux sur son bas ventre … je reste là, comme un con, sans répondre ni oui ni non …


- Alors, t’as envie de la toucher, ou pas ? Elle te fait peur ?

- …

- T’en as sûrement jamais vu une comme ça , hein …


Alors il prend l'initiative … comme je ne réponds pas, que je ne l’envoie pas chier, suivant l’adage de ”qui ne dit mot consent”, il doit en conclure qu’en effet, j’ai envie de la toucher, sa queue … Il s'approche encore un peu, il saisit mon poignet, il attire ma main vers sa cuisse et il me la plaque sur sa queue:

- Allez, vas-y, touche …


Je ne fais même pas mine de résister. Oh la vache ! Elle est là, sous le tissu … je la sens, chaude et ferme … c’est plus fort que moi, je referme mes doigts dessus … Putain, j'ai l'impression que mes doigts en font tout juste le tour ! Pourtant, j'ai des grandes mains ! Est-ce qu'il est au repos, ou bien est-ce qu'il bande déjà un peu ? Il sourit, ses yeux plantés dans les miens, et il lâche mon poignet. Spontanément, je commence à faire aller et venir ma main le long de sa hampe. Il sourit de plus belle, content de lui :

- Alors, tu vois, elle te plaît, hein … 


Il est tellement sûr de lui, ce mec ! Bien sûr, qu’elle me plaît, sa queue ! Et ça me tombe brusquement dessus. D'un seul coup, toutes mes réticences s’évanouissent comme une bulle de savon qui éclate et disparaît … J’ai ce membre énorme, exceptionnel, dans ma main, et ce type n’attend qu’une chose … que je m’occupe de son sexe, que je lui donne du plaisir … et je ne vois soudain aucune raison de ne pas lui donner satisfaction, puisque, d’une certaine façon, c’est mon rôle, ma mission, ma vocation, de donner du plaisir aux mâles.


Alors, sans que ce mec ait besoin d’ajouter quoi que ce soit, je tombe à genoux à ses pieds et, dans le même mouvement, je saisis la ceinture de son pantalon et je la descends jusque sur ses genoux … Tout de même un peu surpris par ma réaction, il ricane … mais je m’en fous. J'avais vu juste, il ne porte ni slip ni caleçon sous sa culotte de zouave. Oh la laaaaa, quelle merveille ! Il relève un peu le bas de son T-shirt ... alors, d'une main je redresse un peu sa queue, et de l'autre, je passe le bout de mes doigts sur le dessus de sa verge … Ce qu’elle est lourde ! Je crois qu'il ne bande pas ! En effet, même dans cet état, mon pouce et mon index, serrés autour de sa verge, ne se rejoignent même pas ! Rhôôô l'engin ! Il n'a qu'une toute petite touffe de poils sur le pubis, juste au-dessus de la base de sa bite … mais rien sur les côtés, rien sur la verge, rien sur les couilles … son ventre et ses cuisses sont également totalement imberbes.


- Hé hé hé ! Ah oui, j’ai vraiment l’impression qu'elle te plaît, ma bite … Impressionnante, hein ?


Je ne réponds pas. J'approche mon visage et je pose mes lèvres sur le dessus de sa verge … Surpris, il siffle doucement entre ses dents :

- Ah ben mon vieux … t’es un rapide, toi ! T’es pas le premier à la toucher, hein, mais t’es le premier à y aller aussi carrément …  bon, alors vas-y, fais-toi plaisir …


Redressant toujours légèrement sa queue d’une main, je pose des baisers tout au long de sa verge … hhhmmm, elle est toute chaude sous mes lèvres … et tellement douce … je l’embrasse comme ça jusque sur le dessus de son gland … il dépasse un peu de son prépuce … je lui donne un petit coup de langue … oh la laaa, j’ai chaud partout … j’ai le cœur qui bat … et la tête qui tourne un peu. 


Les jambes légèrement fléchies, il tend son ventre vers moi … spontanément, il a posé sa main sur ma tête. Je lève les yeux vers lui. La tête penchée vers l’avant, il soulève toujours le bas de son T-shirt, et il me regarde … il me regarde en souriant … mais d’un sourire beaucoup moins arrogant … je crois que je l’épate … et pas seulement pour m’être laissé aller aussi rapidement … c’est aussi ma façon de manifester mon attirance pour sa queue qui le déconcerte.


Je redresse sa bite à la verticale, j’approche mon visage et je pose maintenant mes lèvres sur son urètre … hhhhmmmm … elle est aussi tellement douce et chaude, comme ça … je frotte mes lèvres dessus … puis ma joue, mon nez, mon front … je la veux, sa queue … je la veux dans moi ! Tout en passant ce membre exceptionnel partout sur ma figure, je lève de nouveau les yeux sur lui … il ne s’attendait visiblement pas à ce que je réagisse de cette manière … Je continue et, pour bien lui montrer le plaisir que j’éprouve, je me mets à ronronner … il ricane encore.


J’alterne caresses sur mon visage et petits baisers tout le long de sa verge, depuis sa base et jusque sous son gland … là, je finis par un coup de langue … je lèche tout le tour de son gland … Je sens que tout ça lui fait de l’effet … sa queue réagit … elle frémit dans ma main … mais ça ne doit pas être seulement l’effet de mes caresses et de mes baisers … mon comportement docile, soumis, doit y faire aussi … 


J’ai de plus en plus envie de cette queue ! Il faut que ce mec me baise ! Je ne sais pas encore si lui en a envie, et s’il n’est pas seulement en train de s’amuser ... je ne sais pas comment je vais arriver à mes fins, mais ce qui est sûr, c’est que je vais faire tout ce qu’il faut pour que ce mec me baise ! 


Il est encore calotté, et je décide de le laisser comme ça pour le moment … je le décalotterais plus tard, quand je commencerai à le sucer … je redescends ma langue tout le long de son urètre … jusqu'à ses couilles … elles paraissent un peu petites par rapport à son sexe … mais elles sont quand même plus grosses que la moyenne … je les lèche, je les embrasse aussi … il faut absolument que ce mec se vide les couilles au fond de mon ventre … il faut que ce mec me féconde ! 


- C'est bien … t'es un gentil garçon.


Ah merde ! C’est la première fois qu’on me dit ça ! ”Salope”, ”fille facile”, ”ma chérie”, oui … même ”pute” … mais ”gentil garçon”, c’est la première fois !


- T'as envie de m’sucer ?

- Oui. 

- Et quoi d'autre ? Tu voudrais que j’t'encule ?

- Oui.

- Dis donc, tu serais pas une petite salope, toi ?

- Si, je suis une petite salope.  

- Hé hé, j'en étais sûr … je l'ai vu tout de suite. T'aimes la bite, hein ?

- Oui.

- Bon, mais j'espère que tu te rends bien compte … c'est pas du petit calibre, ma queue … tu te crois capable de te la prendre dans le cul ?

- Oui.

- Ça risque de t’faire mal …

- Non, je crois pas.

- Ah ouais ? ! ? ! T'as l'air bien sûr de toi ! ! ! T'en as déjà pris d'aussi grosse dans ton cul ?

- Oui. 

- Ah bon ? Remarque, ça m'étonne pas … t’as bien la gueule à ça ! Bon, alors, si t'es gentil, j’t'enculerai. Mais en attendant, suce-moi un peu.


Je reprends mes léchouilles et mes bisouillages en remontant vers son gland … Pendant notre échange, sa bite a un peu grossi dans ma main … il commence vraiment à bander … je sens que son gourdin cherche même à se redresser un peu de lui-même … mais, vu son poids, je me demande si il peut tenir tout seul à la verticale quand il bande vraiment … et même si il peut simplement se mettre à l'horizontale. Mais, de toute façon, je m'en fous, du moment qu'il soit assez raide pour me rentrer dedans, j'ai pas besoin qu'il pointe vers le plafond. Je me demande si c'est seulement ce que je lui fais qui le fait bander, ou si ça ne serait pas aussi le fait que ce soit un mec pour qui il bosse qui est en train de s'occuper de sa queue. Se faire sucer par son patron … ça doit être bien … comme se branler sur le cul de son patron, comme l’a fait Gégé l’autre jour !


Hhhhhhmmm, il va me baiser ! Il l’a dit ! Ce mec, avec sa bite d’étalon, va me baiser ! Je vais avoir son énorme zob dans mon cul … tout au fond de moi ! C'est encore ce sentiment de fierté qui m'envahit … je me sens … je me sens tellement honoré qu'un type aussi bien pourvu par la nature ait envie de … de me prendre … de me couvrir … de me saillir … Je ne peux pas vraiment dire qu’il bande pour mon cul … il ne l’a pas encore vu, mon cul … mais il a senti en moi la fille facile …


Voilà, je suis arrivé à son gland … une goutte translucide perle à l'entrée de son méat … c'est donc qu'il est déjà vraiment excité … délicatement, je glisse la peau de sa verge vers le bas et son gland se décalotte peu à peu … je le mouille de salive au fur et à mesure … et brusquement, la bordure de son prépuce passe sous le bourrelet de son gland … qui s'épanouit d'un seul coup comme une fleur qui s'ouvre. 


Oh, le morceau ! 


Et qu'est-ce qu'il est beau ! Parfaitement proportionné au diamètre de sa verge, légèrement retroussé, il a une forme … une forme profilée pour la pénétration, juste comme je les aime … je le lèche sur tout son pourtour … et je finis par le prendre dans ma bouche … putain, je suis obligé de bâiller à fond ! Hhhhhmmmm, il est brûlant ! Il est gonflé de sang et je le sens palpiter sur ma langue … Oh la laaa, ça me rend dingue ! Je suis en train de sucer un gland énooooooorme ! Je suis en train de sucer la bite d'un type que j'ai rencontré pour la première fois il n'y a qu'un tout petit peu plus d'une heure ! Et me voilà encore en train de faire ma salope avec un parfait inconnu. J'aime tellement ça ! Finalement, c'est sûr, je ne pourrais pas me mettre en ménage avec un mec et lui rester fidèle … ou alors, peut-être avec toute une équipe de mecs, un harem … mais il faudrait qu'ils soient au moins … je sais pas, une dizaine … mais non, même comme ça, offrir ses mains, sa bouche et son cul à des inconnus, c'est tellement … exaltant ! De ma main libre, je déboutonne mon pantalon, je la glisse à l'intérieur, et je sors ma queue. Je bande, et je commence à me tripoter.


A l'intérieur de ma bouche, je joue tant bien que mal à lui titiller le gland avec ma langue … mais il est tellement gros qu'il ne me laisse pas beaucoup de place pour manœuvrer … et en plus, comme je lui fais de l'effet, il est de plus en plus raide ! 


- Je vois que tu sais y faire, hein, ma salope … tu dois avoir de l'expérience … 


Tout en le suçant, je lui tripote les couilles et il cherche à écarter un peu plus les jambes pour que je puisse glisser ma main entre ses cuisses … comme ça s'avère difficile, il entreprend d'ôter ses claquettes, et, en se penchant légèrement, il finit de faire glisser son pantalon jusque sur ses chevilles … puis, d'un mouvement brusque des pieds, il s'en débarrasse … le voilà le cul à l'air … C'est seulement à ce moment que je me dis qu'en dessous de nous, au rez-de-chaussée, il y a Gégé et l'employé de Paulin qui bossent … et je me dis aussi que si l'idée venait à l'un ou à l'autre de monter voir ce qu'on fabrique, il nous trouverait dans une position sans ambiguïté … Est-ce que ça me gênerait ? Pas du tout ! Gégé sait déjà à quoi s'en tenir sur mon compte .. et vu la réaction de l'employé de Paulin, tout à l’heure dans la cuisine, je le soupçonne d'en savoir pas mal sur les mœurs de son patron. Alors, je crois que ça me plairait plutôt, en fin de compte, que l’un ou l’autre me ”surprenne” en train de sucer ce mec.

 

- Attends un peu … je vais m'appuyer au mur.


Paulin commence à reculer lentement … il continue de me tenir par la nuque pour m'entraîner avec lui sans que je sorte sa queue de ma bouche. Voilà, il s'adosse au mur et écarte un peu les jambes … comme ça, je peux glisser ma main entre ses cuisses et prendre ses couilles dans ma paume. 


Au bruit de sa respiration, à la pression de ses doigts sur ma nuque, je sens qu'il commence à prendre beaucoup de plaisir … je vais le faire jouir … je vais le sucer jusqu'à ce qu'il crache sa crème dans ma bouche ! Il me presse toujours la nuque, mais en plus, il me caresse la tête de son autre main …


Et brusquement, je sens une présence, sur ma droite … la grosse queue de Paulin toujours dans ma bouche, je regarde du coin de l’œil … l'employé de Paulin vient de surgir dans la salle d'eau ! Je ne l'ai pas entendu arriver … il n'a pas fait le moindre bruit dans l'escalier ou sur le palier … Et il est là, dans l'encadrement de la porte … il nous regarde. Je le regarde aussi tout en continuant de sucer son patron. Il n'a pas vraiment l'air étonné … plutôt … écæuré … il secoue la tête de droite à gauche. Et comme je l'avais imaginé il y a un moment, moi, ça ne me gêne pas le moins du monde que ce mec me regarde sucer la bite de son patron. Au contraire, ça me plaît … déjà, ça me plaît de lui montrer que je suis une suceuse de bite, mais en plus, j'éprouve une certaine fierté de pouvoir sucer un braquemart aussi énorme. Paulin a aussi senti la présence de son ouvrier. Il tourne la tête vers lui, et:

- Qu'est-ce tu fous là, toi ?

- Putain, j'm'en doutais … t'arrête jamais, hein …

- Qu'est-ce ça peut te foutre … ça te regarde pas … t'as fini, en bas ?

- Nan.

- Ben vas-y, alors … j'te paie pas pour me regarder …


L'autre hausse les épaules, secoue la tête avec l'air d'être dégoûté, et il fait demi-tour. Paulin:

- J'suis désolé, hein … je l'ai pas entendu monter.


Je sors sa queue de ma bouche:

- Moi non plus, je l'ai pas entendu.

- Ça t’embête, qu'il t'aie vu ?

- Pas du tout. 


Il me sourit:

- Ouais … t'as même pas arrêté, quand t'as vu qu'il était là … ça te plaît, hein …

- Oui, ça me paît.

- C'est bien ce que je dis … t'es une bonne petite salope.


Je reprends sa queue dans ma bouche. Maintenant que l'ouvrier nous a surpris, je tends un peu l'oreille … pas pour guetter une nouvelle arrivée impromptue … non, pour essayer de savoir ce qui se passe en bas, maintenant. Un brouhaha assourdi de conversation me parvient du rez-de-chaussée. Je ne saisis pas ce qui se dit, mais je reconnais les intonations de Gégé. A mon avis, l'ouvrier de Paulin est en train de lui raconter ce qu'il a vu. J'entends un rire … encore Gégé, il me semble … et soudain, l'escalier craque … quelqu'un est en train de monter … je parie que c'est Gégé qui vient voir à son tour. Du coin de l'œil, je guette l'embrasure de la porte … et … 


BINGO !


Gégé passe la tête … il écarquille les yeux ... il n'en revient pas … je ne sais pas ce qui le sidère le plus … me voir tailler une pipe à Paulin, ou voir sa bite, à Paulin, son énorme bite … Il reste là, les bras ballants, regardant alternativement Paulin et moi. De la main, je lui fais signe d'entrer. Il hésite, mais il finit par s'avancer en souriant:

- Ça va, patron ?

- …


”  Ça va, patron ? ” Ah, il se régale, le Gégé, de voir son ”patron” tailler une pipe à ce mec ! Je lève le pouce "oui, ça va, Gégé". Paulin, le dos calé contre le mur, le ventre en avant, les jambes écartées, le regarde en souriant. Gégé:

- Putain, l'engin ! Ça, c'est du casse-dalle !


Paulin:

- T'en avais déjà vu une comme ça ?

- Nan … mais de toute façon, j'en ai jamais vu d'autre, des bites … même des petites … à part la mienne …

- Et toi, il t'a aussi sucé, ton patron ?

- Ben nan … 


Il me regarde avec un drôle d’air, Gégé, puis il semble se décider brusquement :

- Il m’a pas sucé, mais … l'autre jour, il voulait que je le baise …

- Ah ouais ? Et alors ?

- Ben … moi, j'ai pas voulu … je fais pas ça … j'encule pas … surtout un mec.

- T'as tort… tu sais pas ce que tu perds … c'est vachement bon, tu sais … surtout quand t'as une grosse bite comme moi …

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Ben, quand t'as une grosse bite, si tu baises une femme … dans la chatte, je veux dire … tu peux pas y aller à fond … enfin, moi, je peux jamais leur rentrer ma bite complètement dans la chatte … je touche le fond avant, si tu veux … et ça leur fait mal, paraît-il … mais dans un cul, ben y'a pas de fond, si tu t’y prends bien … et pis, en général, un trou du cul, c'est plus serré qu'une chatte, alors ça te fait plus d’effet … tu devrais essayer, puisque ton patron te l'a proposé …

- Nan, mais moi, j’te dis, j’fais pas ça, j’encule pas …


Je n’ai pas arrêté de pomper Paulin, pendant qu’ils discutaient … ça me plaît bien, cette situation … sucer un mec qui travaille pour moi devant un autre mec qui travaille pour moi ! Il y a un court silence, pendant lequel Gégé se contente de regarder, puis :

- Mais toi … tu vas l’enculer, après ?

- Ben ouais … il en est question.

- Oh, putain ! Tu vas y éclater le fion, avec un engin comme ça !

- Il dit que non … il dit qu’il en a déjà pris des aussi grosses dans le cul …

- Ah bon ? C’est vrai, patron ?


Je sors la queue de Paulin de ma bouche … il était temps, je commençais à avoir des crampes dans la mâchoire et à manquer de souffle. Alors, tout en masturbant lentement la grosse queue de Paulin:

- Ben ouais, c’est vrai …

- Ah merde ! 

- On en a parlé, l’autre jour, Gégé, quand on était à Plouménez …

- Ouais, mais tu m’as pas dit que tu t’étais déjà pris des queues comme ça dans le cul …

- Ah, peut-être …


Il y a un silence et je le sens soudainement gêné, le Gégé. Ça ne lui plaît pas trop qu’on parle de notre virée à Plouménez. Il doit avoir peur que je parle de sa branlette et de son éjaculation sur mes fesses. C’est Paulin qui intervient :

- En tout cas, il suce plutôt bien, ton patron, Gégé … Bon, c’est pas tout ça, les mecs, mais faudrait quand même qu’on avance … pour le cul, on verra plus tard … Allez, toi, laisse-moi …


Il m’a tapoté sur l’épaule, et il repousse ma main qui tient son sexe. Dommage … moi je m’en fous qu’on avance le montage des meubles, je suis pas pressé … il peut rester là plusieurs jours, le Paulin … mais il a l’air d’y tenir, à avancer. Je le lâche et je me redresse. Pendant que je remballe ma queue et que je referme ma braguette, Paulin récupère sa culotte de zouave et la remet. Nous retournons dans la chambre et Gégé redescend au rez-de-chaussée. Paulin, en me touchant le coude :

- On tâche de finir le montage des meubles de l’étage, et si on a assez avancé en fin de journée, je te baise … ça te va ?

- Ouais, ça me va …


Hhhhmmmm … je dois dire que, maintenant que j’ai l’assurance qu’il va me baiser, devoir attendre jusqu’à ce soir, non seulement ça n’est pas gênant, mais ça me plairait plutôt, en fait … l’attente … l’attente d’une jouissance à venir, c’est déjà du plaisir.


Paulin s’est remis au travail. Cette fois, je peux le reluquer sans vergogne. Et lui, par jeu, ne se prive pas de m’exhiber ostensiblement sa queue à travers la toile de sa culotte chaque fois qu’il s’accroupit pour assembler des éléments de meuble. Moi, à deux ou trois reprises, quand je me retrouve à portée de son bas ventre, je tends la main et je lui effleure la queue … il se laisse faire pendant deux ou trois secondes avant de s’écarter et de continuer à bosser … Un moment donné, alors que je passe devant lui, il me chope par les hanches et il se colle le ventre contre mon cul … puis, me tenant avec son bras gauche passé sur mon ventre, il me serre contre lui, et, de sa main droite, il presse sa queue contre l’arrière de ma cuisse … le menton sur mon épaule, la bouche près de mon oreille, il me souffle :

- Dis, tu la sens, ma grosse queue ? Ce soir, tu vas y avoir droit …


Et avant que j’aie pu réagir, il me repousse et se remet au travail en rigolant. Je n’arrête pas d’y penser, au coup de bite qui m’attend ce soir … je m’efforce d’imaginer ce que ça me fera d’avoir ce gros truc dans moi … alors je suis en permanence en semi érection. J’ai hâte d’y être, et pour que le travail avance, je me démène autant que je peux.


Au bout d’un moment, Paulin me demande :

- Dis, y’a de quoi manger, dans ton bled ? Genre kebab, ou grec, ou burger …

- Ah ouais, c’est vrai. Vous n’avez rien amené ?

- Nan.

- Ben … pas de kebad ou de grec … pas de burger non plus … mais y’a un supermarché … ah oui, et un marchand de pizzas …

- Ben une pizza, moi, ça me va … Kevin aussi, il aime ça … 

- Bon. Je vais aller les commander. Je pense que Gégé aussi, ça lui ira.

- Commande par téléphone …

- Euh, ouais, mais il faut aussi que j’aille chercher des assiettes, des couverts … et à boire … y’a rien, ici.

- Hé, tu sais, on a aussi amené la vaisselle, les couverts et la batterie de cuisine que t’as commandés … mais tout ça, comme on avait prévu de le sortir seulement quand les meubles seraient prêts, c’est tout au fond du fourgon … j’vais demander à Kevin d’essayer de sortir tout ça …

- Ah ben OK.

- Remarque, on a aussi les draps et les couettes, hein … 

- Oui ? Mais … on va pas en avoir besoin pour manger …

- Pas pour manger … pour ce soir …

- Comment ça, pour ce soir …

- Ben ouais, pour ce soir … on a pas parlé de coucher, tout à l’heure ?

- Ah, tu veux dire ”de baiser” …

- Ouais, ”de baiser”, si tu veux …

- Parce que t’as l’intention de me baiser dans un lit ?

- Je sais pas … pourquoi pas dans un lit …

- Ben … pourquoi pas plutôt à quatre pattes par terre … ou pourquoi pas sur le canapé … vous avez amené le canapé que j’ai commandé ?

- Ouais.

- Mais … pourquoi pas sur la table, aussi …

- Ah, OK, je vois …

- Bon … en tout cas, je vais commander et chercher des pizzas et acheter un peu à boire …

- OK, vas-y.


Quand j’arrive au rez-de-chaussée, Gégé me regarde, hilare. L’autre, le Kevin – puisqu’il s’appelle Kevin –, fait la gueule. Ça a l’air de le contrarier que son boss soit aussi ”sexe” avec moi … et même avec les clients en général … on dirait que c’est habituel. Je leur demande si des pizzas ça leur va. Ils sont d’accord. Je demande aussi à Kevin si il peut essayer de trouver la vaisselle et les couverts dans le fourgon. De lui-même, il m’annonce que, tant qu’il y sera, il va aussi essayer de sortir et de monter quatre chaises … et la table de la salle à manger.


Je vais donc commander des pizzas et, en attendant qu’elles soient prêtes, je passe au supermarché acheter à boire. Comme le pizzaiolo m’a annoncé une quarantaine de minutes d’attente, je décide de faire un saut au gite. J’ai envie de commencer à ramener des affaires chez moi … du moins mes affaires un peu ” hot ”, histoire de motiver Paulin. Une fois au gite, je passe d’abord par le bureau de la gérante et je lui annonce que je vais bientôt emménager chez moi et laisser la chambre qu’elle me loue … il faut qu’elle me prépare ma note. Puis je fourre dans mon sac de voyage ma lingerie, mes vêtements de travelo, mon jean moulant, mon nécessaire de toilette, le lubrifiant … bref, de quoi s’amuser un peu … dès que je serai chez moi, je me mets en tenue plus … plus ”hot” … en trav ou seulement en jean moulant ? On verra.


Je repasse à la pizzeria avant de retourner chez moi. Quand j’arrive, Gégé et Kevin sont en train d’assembler la table de la salle à manger, et je remarque quatre chaises encore emballées dans leur housse plastique, rangées contre un mur. Je dépose les pizzas et les boissons dans la cuisine. Dans un coin, au sol, une caisse avec des assiettes emballées dans une sorte de papier kraft de protection … Kevin passe la tête par la porte et me lance :

- Ouais, ça, c’est les assiettes … et dans les autres caisses, là, y’a des verres et des couteaux et des fourchettes … 

- Ah OK, merci.

- On a laissé le reste de la vaisselle et les casseroles dans le fourgon … on va pas en avoir besoin à midi.

- Vous avez bien fait.


A l’étage, Paulin est en train de monter la structure du lit. Il sourit en me voyant. Je pose mon sac d’habits sur la commode, je l’ouvre, je prends mon jean – intrigué, Paulin me regarde faire – et je passe dans la salle d’eau. Vite fait, j’ôte mon pantalon, mon caleçon, et j’enfile mon jean … sans rien dessous, évidemment … hhhhmmmm, rien que de le mettre, ça m’excite … voilà … la couture bien rentrée au fond de ma raie, bien plaquée contre ma rondelle, ma bite et mes couilles bien rangées là, à gauche … hhhhmmmm, je me sens tellement bien, moulé comme ça … Je retourne dans la chambre. Paulin éclate de rire :

- Ah, d’accooooord ! Je m’demandais c’que t’allais foutre dans la salle d’eau … Viens un peu là !


Je m’approche. Il me prend par le coude et me fait pivoter :

- Tourne, que j’voie ton cul …


Je tourne.


- Ah ouais ! C’est pas un jean de gonzesse, ça ?

- Si.


Il me prend les fesses dans ses mains :

- Ben dis donc ... ça t’fais une d’ces culs ! Hé hé hé … ça serait dommage que des miches comme ça puissent pas servir de garage à bite … tu m’fais bander, p’tite salope …


Je passe ma main derrière moi et je cherche sa queue à tâtons … elle est toujours dans sa jambière, mais comme ça, je n’ai pas l’impression qu’il bande … 


- Il t’a déjà vu dans cette tenue, ton ouvrier ?

- Gégé ?

- Ouais, Gégé.

- Oui, il m’a déjà vu.

- Et alors ?

- Ça lui a fait le même effet qu’à toi …

- Et ?

- Et il m’a aussi tripoté …

- Ah ouais … 

- Ouais … il a fait mes manières … il a essayé de résister, mais il a fini par le faire.

- Et c’est là que tu lui as demandé de t’baiser …

- Oui.

- Et il a pas voulu …

- Non, il a pas voulu …

- Il est vraiment con, alors. Bon … allez, au boulot … on verra ça plus tard.


Pendant cet échange, il n’a pas arrêté de me peloter, de me palper, de me caresser, de me pétrir les miches … il a même un peu glissé ses doigts dans ma raie, le long de la couture du jean … mais là, il vient de me claquer une fesse, il s’est écarté et il s’est aussitôt remis à visser le pied du lit sur un des côtés. 


Putain, j’ai hâte d’être à ce soir … mais avant ça, j’ai aussi hâte de me pointer dans cette tenue devant les deux, en bas, Gégé et Kevin, pour voir leur réaction. Mais … je peux quand même pas débarquer comme ça, pour rien … il faudrait que j’aie un prétexte … c’est quand même bizarre que je me mette à avoir ce genre de scrupules … Je suis là, à glander dans l’embrasure de la porte, quand Paulin me fournit le prétexte d’aller exhiber mon cul aux deux mecs :

- Tu veux pas aller demander aux deux, en bas, de monter le sommier et le matelas ?

- Ouais , OK.


Je me précipite dans l’escalier. Quand j’arrive au rez-de-chaussée, Gégé et Kevin sont occupés et ils ne font pas attention à moi … le premier est en train de déballer les chaises et l’autre finit d’installer un tiroir dans le meuble de télé.


- Dites, les gars, Paulin voudrait que vous lui montiez le sommier et le matelas de la grande chambre …


Ils tournent tous les deux la tête vers moi. Gégé lâche la housse plastique de la chaise qu’il vient de déballer et me contemple de la tête aux pieds … ou plutôt de la taille aux genoux, et il écarquille les yeux. L’autre me regarde et secoue la tête avec un air blasé. Gégé:

- Tu … tu t’es changé ? C’est … le jean que t’avais l’autre jour à Plou…

- Ouais. 


Je ne résiste pas à l’envie de lui exhiber mon cul … je lève un peu les bras et je pivote d’un demi tour sur moi-même :

- Tu peux encore me toucher le cul comme l’autre jour, si ça te dit …


Et je lui fais de nouveau face. Il fait la gueule … visiblement, c’est cette allusion à ce qui s’est passé à Plouménez devant Kevin qui le chagrine. Il hausse les épaules. En me dirigeant vers la porte d’entrée, je lance :

- Bon … on va les chercher, ce sommier et ce matelas ? Ils sont dans quel fourgon ?

- Attends ! On va y aller, avec Kevin ..


Gégé semble soudain paniquer … ah ouaiiiiiiis, j’y suis … il a peur que je sorte et que des voisins me voient dans cette tenue … et en sa compagnie, qui plus est. Alors j’en rajoute :

- Vous pourrez pas porter les deux … j’y vais avec vous …

- Naaan ! On fera deux voyages … reste là !


Putain, il m’a dit ça sur un ton ! Je n’insiste pas … inutile de le faire chier, il serait capable de me laisser tomber … et j’ai besoin de lui pour défricher et nettoyer Coat-an-Bleiz. Il sort en faisant signe à l’autre de le suivre. Je les entends discuter … si je ne comprends pas ce qu’ils disent, j’ai l’impression qu’ils commentent l’incident …


Quand ils reviennent en portant le sommier, je les précède dans l’escalier, et je monte en tortillant du cul ,sous le nez de Gégé. Il réagit:

- Pfffffff ! Arrête, hein …


Paulin a fini de monter le lit. Gégé et Kevin débarrassent le sommier de sa housse plastique et l’installent sur la structure du lit … et ils redescendent chercher le matelas. 


Dès qu’ils sont dans l’escalier, Paulin m’attrape par le bras et me pousse vers le lit :

- Allonge-toi … sur le ventre …


J’obtempère et je m’étends au milieu du sommier, bras et jambes écartés. Paulin s’assied au bord du lit, contre moi, et se met à me peloter les fesses … hhhmmmm … ses mains qui me caressent à travers la toile de ce jean … c’est tellement bon ! Il m’explore le cul et les cuisses avec ses gosses pognes … j’adore et je ronronne … il se marre. 


Rapidement, j’entends les deux autres qui reviennent et qui montent l’escalier … Paulin :

- Tiens les revoilà …


Mais il n’arrête pas pour autant de me pétrir les miches … alors je tourne la tête vers la porte de la chambre pour voir leurs têtes quand ils vont voir Paulin en train de me peloter le cul … C’est Gégé qui entre le premier et qui nous découvre … il stoppe net à l’entrée de la chambre … les yeux ronds, la bouche bée, il est estomaqué :

- Ah ben … vous gênez pas, hein …


Paulin :

- Et pourquoi on se gênerait ? T’as quelque chose à dire ?


L’autre, le Kevin, a passé la tête dans l’embrasure de la porte pour voir ce qui se passe. Comme on pouvait s’y attendre, il n’est pas vraiment surpris, et il fait toujours la tronche du mec qui en a marre des frasques sexuelles de son patron. Gégé :

- Bon, ben, le v’là, votre matelas … si vous vous poussez, on va pouvoir le mettre sur le lit … comme ça, vous pourrez baiser …


Putain, il serait jaloux que ça m’étonnerait pas ! Paulin se contente de rire :

- Ah ah ! T’as raison, mec … posez le matelas, et après, on baise ! Allez, lève-toi, toi !


Il me claque une fesse. Je descends du sommier et c’est Paulin qui ôte la housse du matelas et qui le pose sur le lit. Kevin est déjà dans l’escalier et Gégé le suit en bougonnant. Je demande à Paulin :

- C’est vrai ? Tu veux qu’on baise maintenant ?

- Nan. C’était seulement pour faire chier Gégé … il serait pas jaloux, par hasard ?

- Ben … j’en ai eu aussi l’impression … j’en reviens pas.

- Tu verras, il finira par te sauter …


Il se remet au travail.

 

Il se remet au travail et il semble encore plus rapide et efficace qu’au début de la matinée … et pourtant, tout à l’heure, on aurait dit qu’il était déjà au taquet ! J’ai l’impression qu’il est pressé d’en avoir fini avec les meubles … ou du moins qu’il veut avoir bien avancé quand arrivera le soir. Hhhmmmm, ça veut dire qu’il a hâte de me fourrer ! Je sens que je vais m’en prendre un bon coup dans le cul ! 


 

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Dimanche 11 août 2019 7 11 /08 /Août /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

 

Samedi 23 décembre. 16h00


Ouaaaaaaaahhhh ! Ce mec a voulu me prendre sur cette table, dans la salle à manger commune du gite où j'habite … et il vient juste de tirer son coup … au fond de mon ventre !


Le mec en question, il s'appelle Jean-Pierre, et je ne le connaissais pas il y a seulement deux heures … c'est Bernard, son collègue, qui me l'a amené … Bernard, lui, je le connaissais déjà un peu … j'avais fait sa connaissance samedi dernier, au cours d'une balade sur la côte, habillé en travelo, et je lui avais taillé une pipe dans sa voiture, au bord d'une route … d'ailleurs, tout à l'heure, je lui ai encore taillé une pipe dans ma chambre, pendant que Jean-Pierre me baisait, mais en levrette, cette fois ... 


Voilà … donc, après que ces deux mecs se soient vidé les couilles une première fois, il a eu faim, Jean-Pierre, alors nous sommes allés chercher de quoi calmer sa fringale dans la cuisine commune du gite, et on s'est installés là, dans la salle à manger.


Il faut dire, nous sommes seuls ici, aujourd'hui … pas d'autres clients dans le gite, et la gérante a pris son week-end, en laissant à ma disposition toutes les parties communes … et déjà, rien que ça, pouvoir me balader partout avec le cul à l'air sous mon déshabillé et accompagné de mes deux mâles, j'adore !


On allait commencer à manger, quand ça lui a pris brutalement, à Jean-Pierre … j'étais assis sur son genou, il venait de me fourrer deux doigts dans le cul et ça me rendait folle … alors d'un seul coup, en me sentant réagir aussi intensément à son doigtage, il s'est levé, il m'a fait ôter mon déshabillé, il m'a fait allonger sur le dos au milieu de cette table, les jambes écartées, et il m'a prise … 


Putain … c'est tellement excitant d'être là, cuisses grandes ouvertes, avec ce mec qui me bourre le cul tout en me masturbant !


En plus, l'autre, le Bernard, en voyant son pote me niquer, il s'est levé, il a sorti sa queue, et là, il se branle à côté de moi ! Alors, je vous dis pas dans quel état je suis ! Ces types vont me rendre dingue, avec leurs bites !


Comme il n'a pas arrêté de me branler vigoureusement, le Jean-Pierre, à mon tour, je jouis … je jouis en gémissant, je jouis en couinant … pendant qu'il éjacule dans mon cul, je reçois mon propre sperme sur le ventre … jusque sur la poitrine … jusque dans le cou … je n'avais jamais éjaculé aussi puissamment ! 


Ça y est, Jean-Pierre, haletant, a terminé, et il reprend son souffle, son sexe toujours enfoncé en moi, ses doigts toujours serrés sur le mien de sexe … Il déglutit bruyamment, il rouvre les yeux et il me regarde en souriant:

- Putain, quel pied !

- …

- Toi aussi, t'as pris ton pied …

- Hhmmm !


Il a arrêté de me branler, mais il tient toujours ma bite … il la presse doucement pour finir de la vider sur mon ventre. Puis il replace ses deux mains sous mes genoux, il me maintient les cuisses bien écartées, et il se remet à aller et venir lentement:

- T'es vraiment un sacré bon coup, hein … t'as un cul … un cul … putaiiiin, CE CUL !!!!!


Je sens que sa queue est moins raide, mais il continue de me limer tranquillement en souriant … 


- Dis, euh, Marin … tu saurais où y'a du Sopalin ?


C'est Bernard qui se manifeste. Je tourne la tête vers lui. Il est là, debout contre la table, avec la bite qui pendouille entre ses cuisses:

- Pourquoi …

- Pour essuyer … j'ai … j'ai juté sur la table … et sur toi …


Ah, d'accord ! Ce n'est pas mon sperme que j'ai senti dans mon cou et sur ma poitrine, c'est le sien ! Putain, il avait déjà tiré son coup deux fois ! Ça fait trois ! Je recule ma tête et je regarde la table … en effet, il y a un long jet blanc nacré qui s'étale du bord de la table jusque vers mon épaule … d'où il sort autant de sperme, le Bernard ?


- Hein … tu sais où y'a du Sopalin ?

- Oui, mais laisse, je vais m'en occuper …

- Ah bon.


Il remonte son pantalon et il se rassied. Jean-Pierre sort son sexe doucement de moi et il redescend mes jambes:

- T'as vu ? Là aussi, au bout de la table, va falloir essuyer …


Je me remets sur mes pieds. En effet, étalée par mes fesses sur le bois, une tache de sperme brille dans le soleil. Alors je me penche et en trois coups de langue, je nettoie la table … Jean-Pierre s'esclaffe et me claque le cul … je regrimpe sur la table, mais cette fois à genoux, je m'approche de la longue traînée laissée par Bernard et je la fais aussi disparaître d'un coup de langue. Si ça fait rire Jean-Pierre, Bernard affiche un air toujours aussi effaré. Je me redresse, toujours à genoux au milieu de la table, j'appuie mes fesses sur mes talons, et du bout des doigts, je racle le sperme que j'ai dans le cou, sur la poitrine et sur le ventre … et je me lèche les doigts. Puis je glisse ma main entre mes cuisses, sous mon périnée et je recommence avec le trop-plein de semence qui s'écoule de mon cul. Bernard, avec un air dégoûté:

- Aaaaaaaahhh, mais t'es dégueulasse !

- Quoi … c'est du sperme … c'est pas plus dégueulasse que celui que t'as répandu dans ma gorge tout à l'heure …

- Ouais, mais là, ça sort de ton cul !

- Et alors, il est nickel, mon cul …


Il hausse les épaules, pas convaincu. Jean-Pierre, lui, se marre encore:

- Ha ha haaa ! Allez, moi, je mange, j'ai la dalle.


Pendant qu'il s'assied à côté de Bernard et commence à se tailler un gros morceau de baguette, je descends de la table et je m'approche de lui. Je pose la main sur sa cuisse et j'essaie de le faire pivoter … il proteste:

- Qu'est-ce tu fous … laisse-moi, j'ai la dalle …

- Tourne toi un peu, je voudrais m'asseoir sur tes genoux, comme tout à l'heure … ça t'empêchera pas de manger …


Il soupire mais il se tourne un peu vers moi et il écarte les jambes. Je m'assieds sur sa cuisse et je passe mon bras sur ses épaules:

- Vas-y, continue … mange …

- Ah, c'est vachement pratique, hein …

- Donne … je vais te le faire … tu veux quoi … 

- Ça, là … fais-moi un sandwich avec cette terrine, là … elle a l'air sympa … et mets-moi des cornichons …


Pendant que je lui prépare son sandwich, il passe son bras derrière moi, il glisse sa main sous ma nuisette et il me caresse les reins:

- T'es quand même un drôle de mec, hein … tu te comportes vraiment comme une gonzesse … t'es pas comme les autres mecs que j'ai baisés … t'es … t'es gentil… t'es aux petits soins … on dirait une gonzesse amoureuse …

- Mais JE SUIS une gonzesse amoureuse …

- T'es amoureuse ?


Je lui donne son sandwich:

- Ouais, je suis amoureuse de ÇA !


Je descends ma main sur son entrejambe et je lui palpe le paquet:

- ÇA, ça me donne du plaisir, alors il faut bien que je prenne soin du propriétaire … 


La bouche pleine, il se marre:

- Ah ouais … c'est pas de moi que t'es amoureuse, c'est de ma queue !

- Exactement … et de celle de Bernard, aussi …

- T'es aussi amoureuse de la queue de Bernard ?

- Ouais.

- Autrement dit, si on était ensemble, tu me serais pas fidèle … enfin … tu serais pas fidèle à ma queue ..

- Non. Je pourrais pas me contenter d'être fidèle à une seule queue …


Il se marre encore. Et à mon grand étonnement, Bernard, qui était en train de déguster une grande tranche de baguette garnie de fromage, la pose sur la table, il ouvre sa braguette, il sort sa bite et il avance sa chaise jusqu'à avoir ses genoux entre les miens. Il reprend sa baguette, mord dedans, et:

- Alors la voilà, ma queue …


Je tends la main et je la prends. Il est mou, Bernard … il ne bande pas … pas étonnant, il a joui trois fois cet après-midi … mais ça fait rien, ça me plaît bien de lui tripoter la bite dans cet état … sans cesser de la manipuler, je glisse mon autre main dans la ceinture du pantalon de Jean-Pierre et, avant que j'aie eu le temps d'atteindre son sexe, de lui-même, il descend le zip de sa braguette, et il sort sa bite … lui aussi est plutôt mou … et je trouve ça super agréable d'avoir une bite molle dans chaque main et de les tripoter comme ça, tranquillement, pendant que les deux mecs cassent la croûte et sirotent leur bière … il y a quelque chose de … de paisible, de serein, dans cette situation … mes deux mecs mangent, boivent comme si de rien n'était, jetant de temps à autre un coup d'œil sur mes mains qui leur palpent, qui leur caressent la bite … 


Et puis, au bout d'un moment, je n'y tiens plus … je tombe à genoux aux pieds de mes deux mecs, je m'approche de l'entrejambe de Bernard et je prends son sexe dans ma bouche … hhhhmmm ! Son petit oiseau, tout chaud, tout doux, avec ce long prépuce un peu flaque … ça me fait saliver abondamment. Je ne sais pas pourquoi, j'étais sûr qu'il me laisserait faire … je ne le tète pas, je ne le pompe pas … je me contente de le garder au chaud dans ma bouche … ça ne le fait pas grossir, ça ne le fait pas durcir … et c'est très bien comme ça … je tends la main derrière moi et, à l'aveugle, je cherche à tâtons le sexe de Jean-Pierre … il prend ma main et la guide jusqu'à sa queue ! Je recommence à le manipuler délicatement … Et soudain:

- Au fait, c'est toi qui accompagne le patron à Brest, la semaine prochaine ?


Il s'est adressé à Bernard.

- Ben ouais … c'est moi qui ai réglé la machine, alors c'est normal qu'il m'emmène …


Et ils se mettent à parler boulot … le plus naturellement du monde … Ça pourrait être une scène d'une grande banalité … deux types qui parlent travail en cassant la croûte, sauf qu'entre eux, il y a une taffiole en train de sucer la queue de l'un et de tripoter celle de l'autre ! Je les entends, au-dessus de moi, qui mangent, qui boivent, qui tranchent du pain, qui taillent dans la terrine et les fromages et qui bavardent … et ça me plaît vraiment beaucoup ! Je me sens à ma place … au pied des mâles, au service des mâles ! Oh, comme j'aimerais pouvoir faire ça tous les jours … au fait, il y a peut-être une cantine, là où ils travaillent, tous les deux … je me demande combien ils sont d'ouvriers, dans leur boîte … il faut que je pense à leur demander … Après avoir longuement dégusté la bite de Bernard, je me retourne et je prends celle de Jean-Pierre dans ma bouche … il s'est arrêté de parler quelques secondes, il a posé sa main sur ma nuque, et il a repris la conversation … lui, je le sens légèrement gonfler sur ma langue … mais sans plus … Hhhhmmmm, je me sens … c'est la volupté … quand je pense qu'il y a quelques jours, j'avais des velléités d'arrêter tout ça !


Je ne sais pas combien de temps ça dure … je me souviens seulement qu'à un moment, Bernard s'est levé et est allé chercher d'autres bières dans la cuisine … et que pendant ce temps, Jean-Pierre m'a caressé la tête, et que sa queue a légèrement grossi dans ma bouche avant de se dégonfler au retour de son pote … Ils aiment ça, ces mecs … ce que je leur fais … ça n'a jamais dû leur arriver …


- Bon, c'est pas qu'on s'ennuie, là, mais on va devoir y aller …


C'est à moi que ça s'adressait … Jean-Pierre a tapoté mon épaule … il poursuit:

- Hein, ma poule … faut qu'on y aille, maintenant …


Je sors son sexe de ma bouche, et, m'appuyant sur ses cuisses, je me relève:

- Vous êtes sûrs ?

- Ouais, faut que Bernard me ramène …

- Je peux te ramener, moi …

- Nan, mais il faut qu'on passe chez lui avant, il a un truc à me donner … Bon, on va t'aider à ranger …

- Non, laissez, je vais m'en charger.

- Comme tu veux … alors on retourne à ta chambre, finir de se rhabiller …

- Allons-y. Je reviendrai ranger après.


Dès que nous sortons de la salle à manger, Jean-Pierre me passe un bras sur les épaules:

- C'était vachement bien, cet après-midi de baise avec toi … une des meilleures parties de cul que j'aie vécues … faudra vraiment qu'on se revoie, hein …

- Ben d'accord.


Une fois dans ma chambre, assis au bord du lit, je les regarde se rhabiller. Jean-Pierre:

- On n'a pas fini de regarder tes vidéos … quand tu reviendras de Paris, tu penseras à les ramener ?

- Oui, bien sûr …

- Tu me notes tes coordonnées … téléphone, adresse mail … et l'adresse de ton blog ?

- OK.


Je lui écris tout ça sur un post-it et il me donne son numéro de téléphone et son adresse mail. Et Bernard:

- Ah, au fait, je me suis acheté un téléphone portable. Tu veux aussi mon numéro ?

- Ben oui, donne.

 Il l'ajoute aux notes de Jean-Pierre, et nous nous séparons. Bernard me tend la main, mais Jean-Pierre me fait la bise. Je les regarde monter en voiture et s'éloigner. 


Je retourne à la salle à manger, je range, je nettoie et je regagne ma chambre. 


Samedi 23 décembre. 18h30


Coup de téléphone. C'est Gwen:

- Bonjour. Dites, la semaine prochaine, je ferme l'agence … ce serait possible d'aller voir votre propriété, à Plouménez ?

- Ben oui … pourquoi pas … quel jour ?

- Pas lundi, c'est Noël … mardi ?

- Mais … vous voulez pas en profiter pour vous reposer … ou pour profiter de votre famille … y'a pas urgence.

- Oui, je sais, mais vous savez, lundi matin, mes enfants et mon homme partent au ski avec mes beaux-parents … moi, je peux pas y aller, alors autant en profiter pour visiter Plouménez … ce sera fait … mardi ou un autre jour de la semaine, si vous préférez …

- Ben, mercredi, on me livre des meubles … vous savez, pour ma maison … et leur montage va sans doute durer deux jours, voire trois … alors mardi, c'est bien … sinon, ça reporte à vendredi ou même samedi.

- Bon, alors mardi. Vous verrez, j'ai déjà travaillé sur la vente de vos terrains …

- Ah oui ?

- Oui. Je vous expliquerai ça mardi. Je peux vous prendre à votre maison … en passant, j'aimerais bien voir le travail de Gégé.

- Ben d'accord. Quelle heure ?

- Neuf heures ? Ça vous va ?

- Très bien.

- Alors à mardi.

- A mardi.


Je passe le reste de la soirée allongé sur mon lit, toujours en nuisette et en porte-jarretelles, à repenser à ce qui vient de m'arriver avec les deux mecs … il n'y a qu'un peu plus de dix jours que je suis ici, et ça y est, je me suis déjà fait passer dessus par deux types ! Et encore une fois des types que je ne connaissais pas ! Oh, ce n'est pas tellement que ce soit nouveau, de me faire sauter par des inconnus … non, mais, en Seine-et-Marne, j'ai connu tellement de mecs que j'ai l'impression que c'est surtout le bouche-à-oreille et ma réputation de "fille facile" qui m'amenaient de nouveaux queutards. Ici, ce n'est pas ça … personne ne me connaît, ma réputation ne me précède pas, alors c'est bel et bien mon cul qui a attiré ces mâles et ma propension à écarter les cuisses qui a fait le reste … la vraie grosse salope, quoi ! Et ben, j'en suis fier !


Dimanche 24 décembre.

Aujourd'hui, c'est un peu grasse matinée, mais le supermarché restant ouvert jusqu'à midi, je me dépêche quand même de faire quelques courses. Et je passe l'après-midi à légumer devant la télé.

 

Lundi 25 décembre.

 

Aujourd'hui, jour de Noël, la météo a annoncé de la pluie pour toute la journée. Alors, histoire de ne pas rester encore enfermé dans ma chambre, je décide d'aller traîner en voiture … sans but précis. Pour ça, je remets la robe avec laquelle j'avais fait ma balade sur la côte la semaine dernière, mais cette fois, dessous, au lieu de mon collant ouvert, c'est porte-jarretelles avec les bas noirs que je me suis achetés … je me sens mieux comme ça … et pas de culotte, évidemment … pas même un string. 


Je traîne à petite vitesse, la robe remontée à l'angle de mes cuisses et de mon ventre, et la bite à la main … En fait, c'est pour le seul plaisir de me balader comme ça … je n'ai même pas envie de faire une rencontre … la séance de samedi m'a assouvi … temporairement, du moins. Tout est vraiment mort, aussi bien en ville que dans les petits villages que je traverse. Pas un commerce ouvert. Sur la route je ne croise que quelques voitures, mais pratiquement personne à pied. Tout le monde doit se remettre du réveillon de la veille. En plus, avec cette petite pluie continuelle … Je monte jusqu'à Brest par la voie express … En fait, ce n'est pas plus animé qu'à Quimper… Le seul fait un peu marquant, c'est quand je fais le plein à la station service d'un supermarché … une voiture avec quatre jeunes à l'intérieur, garçons et filles, s'arrête à la pompe à côté de celle où je suis … le conducteur, en descendant de voiture, me lance un "Joyeux Noël, mademoiselle ! " … tout en lui tournant le dos pour ne pas lui montrer ma tête, je lui réponds de la voix la plus efféminée que je peux " Merci, vous aussi " … Quand je remonte dans ma voiture, les trois passagers me regardent avec l'air endormi de ceux qui ont fait la fête toute la nuit. Ils ne remarquent même pas ma minirobe remontée pratiquement au ras de mes fesses. En fin d'après-midi, je rentre au gite.


Mardi 26 décembre. 18h00


Me voilà de retour de Plouménez. J'ai passé une journée très agréable. 


Elle vraiment mimi, cette Gwen ! Non seulement je la trouve plutôt compétente, mais en plus, elle est vraiment bien foutue. Là, j'ai eu l'occasion de m'en rendre compte … elle portait une petite jupe noire, courte et moulante qui mettait très en valeur son petit cul … et quelle chute de reins ! Et pour ce que j'ai pu en voir, elle a aussi sans doute une belle poitrine … et des cuisses magnifiques, bien galbées … et des mollets fuselés … quel physique ! Et ce n'est pas Cloarec, le voisin de Coat-an-Bleiz, qui me contredirait … Oui, parce que j'ai encore fait appel à lui … Gwen souhaitait voir de ses propres yeux les terrains que je compte vendre, et Cloarec m'avait dit en connaître la plupart … une fois arrivés sur place, Gwen s'est rendue compte qu'elle avait oublié ses bottes en caoutchouc dans sa voiture … alors Cloarec lui a proposé une paire de sa femme et, le temps qu'elle les enfile, il l'a littéralement dévorée des yeux … c'en était presque gênant … mais je crois qu'elle ne s'en est pas aperçue.

 


Plus tard, dans la journée, je comprendrai à quoi elle doit un physique aussi … avantageux … Comme pour compléter le tableau, et malgré la fraîcheur, elle était jambes nues … de longues jambes toutes dorées avec, aux pieds, une paire d'escarpins qui allaient très bien avec le reste, mais tout de même assez incongrus en cette saison … En plus, elle sent bon … un parfum léger, discret, frais … Je me suis même demandé un moment si elle ne cherchait pas à m'allumer en ayant choisi une toilette aussi sexy … mais non, j'ai vite réalisé que pour elle, ça devait être une tenue de travail ordinaire … N'empêche, à mon propre étonnement, je réalise que j'aimerais bien lui fourrer ma tronche entre les cuisses, et lui bouffer la chatte … et au cours de cette journée cette idée m'a naturellement amené à plusieurs reprises à me poser des questions … tout d'abord, que portait-elle sous sa jupe … petite culotte ou string ? Parce que, sur le tissu de sa jupe, pas la moindre marque visible d'un élastique au niveau des cuisses … Et mes tentatives d'imaginer l'une et l'autre hypothèses, petite culotte ou string, m'ont naturellement amené à me demander aussi si elle avait le minou épilé ou si elle avait gardé une touffe … allez, au fond, je préfère imaginer qu'elle a le minou glabre. En fait, je n'aimerais pas seulement lui bouffer la chatte, à Gwen … j'aimerais bien aussi la baiser !  


Bref … nous avons commencé par visiter Coat-an-Bleiz. Elle aime bien et elle m'a dit qu'elle me donnerait les coordonnées d'un architecte de sa connaissance qui pourrait se charger de la restauration des bâtiments. Ensuite, Cloarec nous a véhiculés dans son pick-up à travers les landes, les bosquets et les bois … Gwen, assise à côté de lui, lui désignait les parcelles sur des photocopies du cadastre et il nous emmenait …  Au fur et à mesure, Gwen prenait des photos et annotait ses extraits de cadastre. Ça nous a pris la matinée et même pas mal plus. Ensuite, je les ai emmenés tous les deux manger à l'auberge Gaillard, là où j'avais mangé avec Gégé l'autre fois.


Le service était presque terminé quand nous sommes arrivés, mais le maître d'hôtel m'a reconnu et il a insisté auprès du chef pour qu'on nous serve quand même … je crois qu'il m'a à la bonne, depuis l'autre jour. Là, on a très peu parlé terrains et immobilier. Gwen s'est un peu laissée aller sur l'apéritif (Champagne et amuse-bouche), et, une fois détendue et désinhibée grâce aux effets de l'alcool, elle s'est pas mal confiée sur elle-même. Elle vit avec un chercheur en biologie marine – elle a l'air d'être très amoureuse de son homme - ils ont deux enfants, une fille de huit ans et un garçon de six ans, qu'elle a eus quand elle était encore assez jeune. D'après mes calculs, elle doit avoir dans les trente ou trente et un ans. Dans l'agence immobilière dont elle est maintenant propriétaire, elle a commencé comme secrétaire avant que son patron lui confie des transactions, où, visiblement, elle a très bien réussi. Alors, quand son patron a pris sa retraite, n'ayant pas d'enfants à qui transmettre son affaire, il lui a proposé de la racheter. Entre autres choses, elle nous a parlé de son goût pour le sport qu'elle pratique dès qu'elle peut avec son compagnon … elle fait du surf aussi souvent qu'elle peut … y compris en cette saison – j'aimerais bien la voir dans sa combinaison néoprène moulante - de plus, un matin sur deux, elle court pendant au moins une heure avant d'aller travailler … et deux ou trois fois par an, elle participe à des compétitions de triathlon … pas de doute, voilà ce qui explique ce physique …


Avant de rentrer, nous avons raccompagné Cloarec chez lui. C'est là qu'il m'a annoncé qu'il allait se charger de ré-ouvrir l'allée qui dessert ma ferme depuis la départementale … il n'y a que par là qu'il pourra amener jusqu'à Coat-an-Bleiz l'abri de chantier qu'il veut nous prêter, à Gégé et moi … le sentier que nous prenons habituellement n'est pas assez large pour ça.  Il compte donc dégager d'un coup de pelle le talus qui condamne l'allée et débroussailler les quelques centaines de mètres entre la route et la cour de la ferme … Je lui ai dit que je le dédommagerai, mais il l'a mal pris … il ne veut pas entendre parler d'argent … ça ne lui coûtera qu'un peu de gas-oil et à peine une journée de travail … à mon avis, il pense aussi au terrain sur lequel il a mis des bêtes et il veut me disposer favorablement à son égard …


Sur le chemin du retour, j'ai eu du mal à rester concentré sur ma conduite … tandis que Gwen m'exposait dans les grandes lignes comment elle envisage la mise en vente de mes terrains, mon regard était constamment attiré par la magnifique paire de cuisses qu'elle étalait à côté de moi … 


En reprenant sa voiture, elle m'a dit qu'elle allait se coller immédiatement sur mon dossier et qu'elle me tiendrait au courant dès que possible.


Mercredi 27 décembre 8h00


Je suis chez moi … je veux dire dans ma maison, et j'attends les livreurs. 


Hier, en fin d'après-midi, la commerciale du magasin de meubles m'a confirmé la venue des livreurs ce matin. Elle m'a dit qu'ils finissaient de charger les meubles et que, le lendemain, aujourd'hui, donc, ils prendraient la route à la première heure. Elle a cru bon d'ajouter que, parmi les monteurs auxquels le magasin fait appel habituellement, elle avait choisi pour moi le plus efficace et le plus fiable … un certain Paulin, qui viendra avec un coéquipier. Jusqu'à présent, elle n'a eu que des bons retours de la part des clients dont il s'est occupé, et certains d'entre eux le demandent maintenant à chaque fois qu'ils ont un meuble à monter, même pour les meubles les plus basiques qu'ils pourraient pourtant monter eux-mêmes. Le montage et l'installation des meubles devraient donc aller très vite. Je trouve ça assez … cocasse, ces expressions qu'elle a employées tout au long de la conversation … le monteur, monter, etc. … je n'ai pas pu m'empêcher de penser à leur sens … sexuel !


Venant de Brest, le temps de faire la route, je me doute qu'ils ne seront sans doute pas là avant neuf heures. Mais je voulais m'assurer que la maison est vraiment prête. J'ai hésité, en m'habillant. J'avais une furieuse envie de mettre un de mes jeans moulants de femme, comme quand je suis allé à Plouménez avec Gégé. Pas spécialement pour la venue des livreurs, mais parce que je me sens bien dans cette tenue. Mais je me suis rappelé la critique de Gégé, justement, à propos de mon allure trop "sexe" pour le quartier. Alors, je me suis contenté d'un pantalon masculin "normal". J'ai quand même choisi le plus ajusté, le plus près du corps. Il me moule quand même pas mal le cul, même si, devant, il ne laisse pas deviner la forme et la taille de ma bite.


Quand je suis arrivé, Gégé venait de se lever. Il m'a annoncé que c'était décidé, il retournerait à son blockhaus aujourd'hui même. Il me fait un peu la gueule, mais je n'arrive pas à savoir pourquoi. Pour couper court à mes questions, il est monté prendre une douche. Je lui ai dit que je lui laisserai un jeu de clefs et qu'il pourrait passer quand il voudrait se servir de la salle d'eau et du lave-linge, que je sois là, ou pas.


9h00

J'entends le bruit d'un moteur qui ralentit et celui d'un camion qui se gare. Je sors.


En fait, devant la maison, il y a deux gros fourgons blancs, garés l'un derrière l'autre. Un type descend du second fourgon … plutôt fluet. Une casquette vissée sur la tête, il porte un sweat-shirt, un jean élimé et une paire de tennis usées. La main sur le portillon, il semble attendre l'autre conducteur …


L'autre conducteur débouche d'entre les deux fourgons, une liasse de papiers et un téléphone portable à la main … Oh merde … drôle de tenue, pour un mois de décembre ! Ce mec porte seulement un T-shirt bariolé sans manches et très ajusté, et une sorte de … je sais pas quoi, exactement … ça ressemble un peu aux pantalons de survêtement molletonnés qu'on mettait dans le temps … flottant, les jambières larges au niveau des mollets et serrées aux chevilles par un simple élastique … par la forme, ça ressemble aux anciens pantalons de survêt, mais apparemment c'est un tissu bien plus fin et léger … en fait, ça me fait plutôt penser aux pantalons des zouaves … oui, c'est ça, un genre de pantalon de zouave … la brise froide qui souffle lui plaque le tissu sur les cuisses et les mollets … au pieds, des claquettes avec, tout de même, des chaussettes blanches … Il sort d'où, ce mec, pour se balader dans cette tenue estivale en plein mois de décembre ? Pourtant, il a l'air parfaitement à l'aise et la fraîcheur ne semble pas le gêner le moins du monde. Il ouvre le portillon:

- Vous être monsieur Cathare ?

- Oui.

- Bonjour. Paulin. On vient vous livrer vos meubles.


Tiens, drôle d'accent, il prononce un peu les "r" comme les antillais … il doit être originaire de la Martinique ou de la Guadeloupe … pourtant, il n'est pas noir … ou alors, il est de la Réunion.


- Bonjour. Allez-y, entrez.


Tandis qu'il approche, suivi du type à casquette, je me rends compte que le vent qui souffle en tourbillons ne lui plaque pas la fine toile de son pantalon uniquement sur les jambes, mais aussi sur le bas-ventre, et … nom de dieu ! Oh, je sais bien que je suis obsédé par ce que les mecs ont entre les cuisses, mais là, même si ce n'était pas le cas, je n'aurais pas pu manquer ÇA ! Durant à peine une seconde ou deux, là, en haut de sa cuisse droite, j'ai aperçu une forme qui pend dans sa jambière, une forme moulée par cette fine toile … une forme à la fois longue et … et épaisse … c'est sa queue, ÇA ? 


Puuuuutain ! L'image a été fugace, mais je n'ai pas rêvé … ce qui est sûr, c'est que, sous cette espèce de pantalon bizarre, ce mec ne porte rien, ni slip, ni caleçon … putain, et il faut qu'un mec équipé comme ça de l'entrejambe débarque chez moi ! Bizarrement, me voilà gêné d'avoir entr'aperçu sa queue ! Pourtant, j'en ai déjà reluqué sans me cacher, des queues … Je ne sais pas si il a remarqué mon regard appuyé … ça m'étonnerait, ça a été trop rapide … et puis après tout, je m'en fous … s'il ne veut pas qu'on reluque sa queue, il n'a qu'à porter un futal moins … un futal plus … plus décent, quoi … il ne doit pas ignorer que dans certaines circonstances, ce qu'il porte lui moule la bite de cette façon. D'ailleurs, si ça se trouve, ce mec est tellement fier de son organe qu'il le fait exprès et qu'il se complaît à l'exhiber ! 


Troublé par cette vision, j'ai tourné les talons et j'ai précédé les deux mecs dans la maison:

- Voilà … ici, c'est le salon.

- Ah très bien … c'est grand, on va pouvoir stocker pas mal de choses ici en attendant de les monter.


Il agite la liasse de papiers qu'il tient à la main:

- Au magasin, on m'a donné un plan de la maison avec le détail de ce qui va dans chaque pièce ... comme ça, dans les fourgons, on a regroupé les meubles par pièce … c'est plus facile pour s'organiser.


Oui, j'avais dessiné ce plan pour la commerciale qui m'avait aidé à choisir les meubles, les accessoires et la déco. 


Vu de près, ce type est … je sais pas … étrange … et je ne sais pas pourquoi, mais il me met mal à l'aise. C'est son physique, déjà … il est assez grand … à peine une demie tête de moins que moi … mais il est beaucoup plus costaud … massif … dense … un physique de rugbyman … des épaules et des bras épais … sous son pantalon, je devine aussi des cuisses puissantes … ce type est taillé, mais ses muscles ne sont pas saillants comme ceux d'un culturiste … non, il paraît même tout en rondeurs … sa tête aussi, est toute ronde ... des cheveux noirs très courts … j'ai l'impression qu'ils doivent être très ondulés quand il les laisse pousser … peut-être même crépus … oui, en fait, il a des traits … pas vraiment négroïdes, mais il aurait une lointaine ascendance africaine que ça ne m'étonnerait pas … lèvres épaisses, nez fin mais légèrement épaté … avec aussi un mélange … peut-être asiatique … des yeux légèrement bridés … sa peau est … disons café au lait, avec beaucoup de lait … et légèrement luisante … drôle de mélange.


Et cet accent … par moments, je dois me concentrer pour comprendre du premier coup ce qu'il dit …


Mais c'est surtout autre chose qui me provoque une impression désagréable … sa façon de me regarder … et cette espèce de sourire suffisant … le sourire du mec content de lui … sûr de lui, même … bon, d'accord, avec un physique de baraque comme le sien, il peut faire preuve d'assurance, mais il y a autre chose … il a une façon de me dévisager presque … malsaine … oui, un regard … vicieux, salace … un regard qui évoque la dépravation, le … le … la perversité … 


C'est peut-être seulement dans ma tête, mais ce type suinte la bite perverse, le cul vicelard … je reçois ça en pleine gueule, et ce qui provoque cette sensation de malaise, c'est que, en même temps qu'une espèce de répugnance, j'éprouve une … une attirance … une attirance trouble, équivoque … précisément parce que ce type a l'air si ouvertement lubrique et dépravé … bien sûr, inconsciemment, cette attirance est peut-être due à la vision de sa bite qui pend dans sa jambière, mais ce n'est pas que ça … j'avais déjà ressenti quelque chose dans ce genre avec Sam, le costaud tatoué de mon gangbang chez Jean-Claude … d'ailleurs, tous les deux, ils ont un peu le même physique … et ils ont surtout une bite énorme tous les deux ! Et Sam, quand je l'avais découvert, complètement à poil dans la cour de la ferme, avec sa gosse bite tatouée qui pendait entre ses jambes, j'avais immédiatement eu à la fois peur de lui et un folle envie qu'il me prenne, qu'il me possède !


Lui, là, le livreur, je ne l'ai pas encore vraiment vue, sa bite, mais je suis sûr qu'elle est énorme … rien qu'au repos, déjà … Brusquement, je réalise qu'un long silence s'est instauré, et que nous nous regardons l'un l'autre … j'ai soudain l'impression d'être une proie, hypnotisée par le regard du serpent qui s'apprête à la frapper … je détourne la tête, et:

- Bon, je vous montre l'étage.

- Très bien. On va commencer par là, en effet.


Je m'engage dans l'escalier. Les deux types me suivent. Sur le palier, nous croisons Gégé qui finit de débarrasser ses affaires de la chambre qu'il occupait. Je le présente:

- Lui, c'est Gégé. Il travaille pour moi … lui et moi, on va pouvoir nous aider.


Ils se serrent la main. Je montre les deux chambres, la soupente et la salle d'eau. A chaque pièce, Paulin commente d'un " très bien, très bien ". Nous redescendons. Dès que nous sommes en bas, il me montre le plan de la maison et explique:

- Bon. On va commencer par amener à l'étage les meubles de la chambre numéro un, et on va les stocker dans la chambre numéro deux. Pendant que je les monterai, vous n'aurez qu'à continuer à vider le premier fourgon avec mon collègue, et à stocker les meubles dans les pièces correspondantes. C'est pas difficile, on a marqué tous les cartons avec le nom de la pièce correspondante. Vous me suivez ?

- Oui, oui, c'est clair.

- Bon. Après, mon collègue, lui, il va commencer à monter les meubles des pièces du rez-de-chaussée pendant que je monterai ceux de l'étage. D'accord ?

- D'accord.

- Bon, alors, c'est parti.


Pendant que Gégé finit d'évacuer ce qu'il avait installé dans la cuisine, nous commençons les navettes entre le fourgon et la maison. Rapidement, Paulin s'attaque au montage de la penderie de la première chambre … de MA chambre. Très efficace et rapide, le mec. Il ne prend même pas la peine de consulter les plans de montage. Il ouvre un carton, il étale son contenu au sol, il le classe et il commence à assembler les différents éléments … comme à l'instinct. Je me rends compte qu'il va bien plus vite que je pourrais le faire …  je ne lui serais d'aucune utilité pour le montage des meubles. Alors je me contente de faire le grouillot … je débarrasse les cartons vides, les emballages en cellophane et les calages en polystyrène … et je continue de vider les fourgons et d'entreposer les cartons pleins dans les différentes pièces, avec l'aide de Gégé.


Il faut moins d'une demie heure à Paulin pour finir de monter la penderie. Quand il a terminé, il me demande:

- Vous voulez la mettre où ?

- Ben là, contre ce mur … au milieu.

- Bon, je vais avoir besoin de ma caisse à outils et mon escabeau. Je reviens.

- Euh, vous voulez un café ?

- Bah … pourquoi pas …

- C'est du café en poudre, hein … 

- Pas de problème.


Nous descendons. Avant de quitter le gite, ce matin, j'ai pris ce qui restait de mes achats de boissons de l'autre jour, et j'ai encore emprunté une bouilloire, des tasses et des cuillers. Pendant que Paulin va récupérer son matériel dans son fourgon, je fais chauffer de l'eau. Tout en sirotant notre café, nous bavardons. Paulin s'étonne … ce n'est pas courant que quelqu'un meuble et équipe entièrement une maison comme je le fais … il demande si je suis de la région … d'où je viens … si je vais habiter là … ce que je fais comme travail … si je suis marié … il pose aussi des questions à Gégé qui élude pas mal. En fait, c'est surtout lui, Paulin, qui parle … son collègue écoute, mais ne pipe pas un mot … j'ai quand même l'impression que c'est plus l'employé de Paulin que son collègue … 


Evidemment, je ne peux pas m'empêcher de jeter de temps en temps un coup d'œil sur le bas ventre de Paulin pour essayer d'apercevoir encore sa grosse bite. Mais quand il est debout, elle se perd dans la largeur de la jambière de son pantalon. J'essaie de mater discrètement, mais à un moment, il surprend mon regard … je détourne les yeux, mais je crois qu'il m'a repéré … et presque aussitôt, dans un mouvement très naturel, il se gratte le bas ventre … forcément, son geste attire mon attention … et plutôt que d'ôter sa main, il la descend et se met à se gratter ostensiblement la queue ! La revoilà, emballée dans la toile du pantalon, aussi longue que tout à l'heure, aussi épaisse que tout à l'heure … je n'arrive pas à en détacher mon regard … pourtant, je sens qu'il me regarde … ce qui me ramène à la réalité, c'est deux choses … d'abord, une sourde exclamation de Gégé … à son tour, il vient de découvrir l'engin et il n'a pas pu retenir un grommellement … je ne le jurerais pas, mais il me semble qu'il a lancé un sourd "oh bordel ! " entre ses dents … l'autre chose, c'est le collègue de Paulin qui pose bruyamment sa tasse sur l'évier et qui quitte la cuisine en soupirant …


Quand je relève les yeux, Paulin me regarde avec un sourire sardonique.


Alors, à mon tour, je sors de la cuisine et je remonte à l'étage … le costaud me rejoint avec ses outils et son escabeau.


En cinq minutes, il a mis la penderie à sa place et il l'a fixée au mur … et il commence à déballer les éléments de la commode. Je redescends avec les cartons vides et quand je remonte, je m'appuie au chambranle de la porte pour le regarder faire. Et là, je remarque que chaque fois qu'il s'accroupit ou qu'il s'agenouille, il tire un peu sur la toile de son pantalon … c'est un geste un peu mécanique pour éviter de trop tendre le tissu, un réflexe pour se donner un peu d'aisance … tout le monde fait ça, à commencer par moi, quand je dois m'accroupir … mais ce qu'il y a, c'est que lui, à chaque fois, ça plaque la toile de sa culotte de zouave contre ses cuisses et surtout … contre son sexe ! Et tout le temps qu'il reste comme ça, agenouillé, à enfoncer des chevilles dans les panneaux de bois ou à encastrer des ferrures et des charnières, je vois son sexe, moulé dans sa jambière le long de sa cuisse … et c'est … fascinant ! Putain, j'aimerais y mettre la main, dans sa culotte de zouave !


Je suis tellement fasciné, appuyé au chambranle de la porte de la chambre, que je ne m'aperçois pas qu'il a fini de préparer un élément de la commode et qu'il me regarde … 

- Hé ! Vous voulez me passer le panneau qui est contre le mur ?


Ça me réveille brusquement. Merde, je me suis encore fait surprendre à lui reluquer la queue … et comme un con, je sens que je pique un fard. Toujours à genoux, les fesses appuyées sur ses talons, il sourit, les poings appuyés sur le haut de ses cuisses … un sourire tellement suffisant que je réalise qu'il a compris ce qui se passe dans ma tête. Il baisse les yeux sur sa bite, et, plutôt que de tirer sur le tissu pour lui redonner un peu de flou et dissimuler tant soit peu son braquemart, il passe délicatement ses doigts sur la toile qui couvre son sexe … sous mes yeux, sans aucune gêne, il lisse la fine étoffe, il la caresse, il la tend délibérément pour mettre son sexe en valeur … puis, satisfait du résultat, il relève les yeux vers moi et il me dévisage:

- Bon, alors, vous me le passez, ce panneau ? Il est là … juste à vos pieds … 


Une bouffée de chaleur me monte à la tête. Je lui passe le panneau. Putain, j'ai même vu la forme de son gland, sous la toile de son pantalon ! Comme si de rien n'était, il se remet à assembler les éléments de la commode. Moi, je ne sais plus quoi faire, quelle attitude adopter … et j'ai la bouche sèche. Bordel, me voilà intimidé comme une pucelle ! Alors je disparais dans la salle d'eau et je bois directement au robinet du lavabo. Quand je me redresse, je découvre mon image dans le miroir … et en moi-même, je me dis "T'es con, ou quoi ? T'en as envie, de cette queue, alors fais pas ta mijorée … assume !"


- Y'a quelque chose qui va pas ?


Il est là, dans l'encadrement de la porte de salle d'eau, et il me regarde, toujours avec son sourire sardonique.


- Non, non, ça va …


Il s'approche de moi … près … vraiment très près:

- Tu veux la toucher ?

- …

- Ma bite … j'ai vu que t'arrêtes pas de la regarder … tu veux la toucher ?

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 22 juillet 2019 1 22 /07 /Juil /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Samedi 23 décembre. 15h00


Aaaaaahhh ! C'est le pied ! Je me sens tellement bien … heureuse !


Ça y est, ils viennent de tirer leur coup … un dans ma gorge et l'autre dans mon ventre !


Le premier, c'est Bernard, le type à qui j'avais déjà taillé une pipe dimanche dernier, pendant ma balade en trav sur la côte. L'autre, c'est Jean-Pierre, un collègue à lui, qu'il m'a amené. Et celui-là, le Jean-Pierre, il vient de me baiser en levrette. Oh la laaaaaa ! Je me sens tellement femelle, quand des types se sont servis de ma bouche ou de mon cul pour se soulager !


Ils sont arrivés en début d'après-midi dans le gite où j'habite depuis quelques jours. Je les ai reçus en nuisette rouge, porte-jarretelles rouge, bas rouge et string rouge … toute en rouge "pute", donc. Et après leur avoir soulagé l'entrejambes, j'ai entrepris de leur montrer les vidéos de mon gangbang … J'ai très envie qu'ils m'en remettent un coup, tous les deux, et je suis sûr que de regarder ça, ça va les re-motiver.


Ils se sont installés, adossés à la tête du lit, face à la télé accrochée sur le mur d'en face, et je me suis assis entre eux … je tourne le dos à la télé … je les connais par cœur, ces vidéos, et je n'ai pas besoin de les regarder pour savoir ce qui se passe, rien qu'au son. J'ai démarré la première sans leur dire que c'est une vidéo de moi. Et j'ai pris leur bite entre mes doigts. Là, ils viennent tout juste de découvrir ma tronche. Ils sont sciés … surtout en découvrant le nombre de types qui nous entourent, celui qui me baise et moi … 


Jean-Pierre:

- Oh merde ! Ils sont combien, les mecs, autour ? C'est … une partouze entre mecs ?


Là, je crois bon de préciser:

- Ben … c'est pas exactement ce qu'on appelle une partouze …

- Comment ça … c'est quoi, alors ?


Je le laisse un peu mijoter. Alors il insiste:

- Hein, c'est quoi, si c'est pas une partouze ?

- Ben regarde bien … d'après toi, ça ressemble à une partouze ?

- Euuuuh … non, pas vraiment. Les mecs autour, ils baisent pas … ils regardent seulement … ils se tripotent, mais ils baisent pas … ils attendent quoi ?

- Leur tour.

- Hein ? Ils attendent quoi ?

- Ils attendent leur tour.

- ILS ATTENDENT LEUR TOUR ? ! ? ! Leur tour pour faire quoi ? 

- …

- Ah putain ! Ils attendent leur tour POUR TE BAISER ? ! ? !

- Voilà.

- Ah putain !

- …

- Mais … mais … ils sont combien, là ?


Je me tourne vers la télé pour voir où on en est, puis:

- Ben … à ce moment là, ils devaient être une douzaine ou une quinzaine …


Il s'en suit un long silence … Jean-Pierre et Bernard, fascinés, contemplent la scène … et je sens que ça cogite ferme dans leurs têtes. 


Ça cogite dans leurs têtes, mais pas que … ce qu'ils voient influe directement sur leur bas-ventre … sur celui de Jean-Pierre, du moins … sa bite s'est un peu remise à gonfler entre mes doigts … ce qu'il voit l'excite. Ça ne m'étonne pas de lui … pour le peu que j'ai pu comprendre de ce mec, il est très … "sexe", et même très amateur de sexe hors norme … je m'en suis rendu compte notamment avec son goût pour la lingerie … la lingerie sur un mec … Bernard, lui, est plus réservé, plus coincé et il manifeste moins son ressenti … sa bite, en revanche, manifeste plus nettement ce que ces images lui font … 


C'est encore Jean-Pierre qui rompt le silence:

- Mais … si ils attendent leur tour, tous ces mecs, tu veux dire qu'ils t'ont tous … qu'ils t'ont TOUS BAISÉ ?

- Oui. Ceux-là et d'autres …

- Ceux-là ET D'AUTRES ! ! ! 

- Oui … on a commencé vers les dix heures du matin et ça a duré toute la journée …

- Oh merde ! Et tu sais … combien … combien de mecs t'ont baisé, ce jour-là ? 

- Oui … une trentaine …

- UNE TRENTAINE ? ! ? ! ? ! 

- Ben oui, une TRENTAINE.


Les yeux ronds, la bouche béante, il me regarde:

- Putain, tu devais avoir le cul en fleur !

- Non … je ne me suis pas fait fourrer pendant huit heures sans interruption … il y a eu des pauses … on a bu l'apéro, on a mangé …

- Ah bon !

- Ouais … ils avaient organisé un barbecue et ils avaient commandé chez un traiteur …

- Mais … tu les connaissais d'où, tous ces mecs ?

- Je les connaissais pas … enfin, à part Philippe, le mec qui a eu l'idée de ce gangbang et qui l'a organisé … je l'avais rencontré dix ou quinze jours avant … 

- T'avais rencontré ce mec dix ou quinze jours avant … donc, tu le connaissais pas non plus … 

- Non … je le connaissais pas plus que ça … il m'avait … un jour où je faisais un tour en vélo au bord d'un canal, il m'avait croisé et il avait flashé sur mon cul … comme Bernard, quoi … alors il m'avait chauffé en me montrant sa bite … j'avais fini par lui tailler une pipe … mais surtout, il avait envie qu'on se revoit, parce que c'est mon cul qu'il voulait … voilà, et puis à la fin, ça lui était venu … je sais plus pourquoi, mais il m'avait proposé de m'organiser un gangbang …

- Alors, ce mec, tu le connais pas … il te chauffe, tu lui tailles un pipe, il organise un gangbang, et tu y vas !

- Ben oui. Il a tout de suite vu que j'étais pas farouche et que j'aimais la bite, alors il m'a demandé si j'avais envie de ça … de me faire sauter par plusieurs mecs … et comme je lui ai dit que oui, ben il l'a fait. Regarde, Bernard, je le connaissais pas … j'ai aussi commencé par lui tailler une pipe ... après, il t'a proposé de venir chez moi avec lui pour me baiser, je te connais pas non plus, et pourtant vous êtes là tous les deux et vous venez de tirer un coup …

- Ouais, évidemment …


Il hausse les sourcils en hochant la tête. Je me rends compte qu'il a pris la télécommande et qu'il a mis la vidéo sur pause. Tantôt il me dévisage, tantôt, il regarde l'écran de télé, comme pour y trouver confirmation visuelle de ce que je lui dis. Il semble attendre que je lui en dise plus. Alors:

- Ah oui, je connaissais aussi Jean-Claude, l'agriculteur qui nous a accueilli dans sa ferme … lui aussi, j'avais fait sa connaissance en même temps que ce Philippe … mais tous les autres, non, je les connaissais pas …

- Et tu les as … tu les as tous laissés te baiser !

- Ben oui … ils étaient venus pour ça … et moi aussi.

- Mais … c'est toi qui les as choisis ? Comme ça s'est passé ?

- Non, non, je les ai pas choisis … c'est Philippe … il a commencé par rameuter quelques potes à lui … qui en ont parlé autour d'eux … après, c'est le bouche à oreille qui a fonctionné, quoi … et puis y'a eu aussi Internet … Philippe en a parlé sur un forum … et voilà … 

- Mais … c'est toi qu'as dit " je veux trente mecs " ?

- Non, au départ, j'avais aucune idée du nombre de mecs qu'il pourrait trouver … je me disais … cinq ou six mecs, ça serait déjà pas mal … moi, j'avais pas d'idée arrêtée sur un nombre, si tu veux … je savais pas … du moment qu'il trouvait plusieurs mecs pour me baiser, ça m'irait … mais quand il a commencé à chercher, Philippe, il s'est rapidement trouvé dépassé par le succès du truc … faut dire, je lui avais donné les coordonnées de mon  blog de cul, où il y a des photos et des vidéos de moi… 

- T'as un blog de cul ?

- Oui.

- Tu … tu nous diras où on le trouve ?

- Oui. Alors, Philippe, non seulement il l'a visité, mon blog, mais en plus, il en parlé à tous ceux qu'il a démarché … comme ça, ils pouvaient voir qui ils allaient baiser … bref, il m'a d'abord dit qu'il avait trouvé une quinzaine de volontaires … c'était bien plus que ce qu'il avait imaginé … moi aussi, d'ailleurs … mais il avait peur que je trouve qu'une quinzaine ça ferait trop … 

- Et toi, te faire baiser par une quinzaine de mecs, tu trouvais pas que c'était trop …

- Ben non … quand il m'a annoncé quinze, je m'attendais pas à ça, si tu veux  … mais, je sais pas, j'ai trouvé que c'était bien … pourquoi pas quinze, hein, plutôt que six ou sept … bon, ça m'étonnait bien qu'autant de mecs soient prêts à me baiser, alors qu'ils me connaissaient pas … mais bon, tant mieux, hein … alors, Philippe, je lui ai dit que quinze mecs, ça me faisait pas peur, et qu'il pouvait continuer à recruter … je lui ai dit "no limit".

- No limit ?

- Ben ouais. Sur Internet, j'avais vu des vidéos de salopes qui se faisaient baiser dans des gangbangs de cinquante mecs … et même plus … et elles en mouraient pas … alors, pourquoi pas moi … si tu veux, une fois que t'as décidé de franchir le pas, le nombre … que ça soit six, sept, quinze ou trente … tu te dis "plus y'en aura, mieux ce sera " …

- Alors, quand il t'a annoncé qu'il y aurait trente mecs, t'as dit quoi ?

- Il m'a PAS annoncé trente mecs …

- Comment ça …

- Non. Je lui ai dit que je voulais pas savoir à l'avance combien ils seraient ... que je verrais bien une fois sur place …

- Ah ouais ! Alors, tu y as été sans savoir combien ils seraient …

- Exactement. Juste avant que je parte de chez moi, au téléphone, il m'a seulement dit qu'ils seraient bien plus que quinze … et c'est tout.

- Et t'as pas eu peur … t'as pas changé d'avis au dernier moment …

- Non. Au contraire … c'était … tu peux pas imaginer ce que ça fait … savoir que j'allais me faire passer dessus par … par autant de types … non seulement ça me foutait le feu au cul, mais je me sentais … tellement … fière !

- Fière ? ! ? ! ? !

- Ouais, fière ! Parce que, tous ces mecs, étant donné qu'ils avaient visité mon blog et qu'ils avaient vu qui on leur proposait de venir baiser, c'est vraiment de mon cul qu'ils avaient envie … faire bander autant de mecs avec mon cul, c'est … c'est ... génial ! Et une fierté.


Ça le laisse tout pensif. Quelques secondes de réflexion, puis:

- Ouais, alors, ça m'étonne plus quand tu dis que t'es déjà fait baiser par plus de deux mecs.


C'est bien. Au moins, lui ne met pas en doute ce que je viens de lui dire. Je pense que ce qui l'a convaincu que je suis une vraie grosse salope, capable de me faire passer dessus à la chaîne par trente types, c'est de lui avoir sauté au paf comme je l'ai fait dès son arrivée, et c'est aussi de lui avoir demandé de me tirer sans capote, alors que je ne l'avais encore jamais vu … et c'est aussi les vidéos qu'il est en train de regarder. Il se marre en secouant la tête. Encore quelques secondes, puis:

- Et là … les trente mecs, on va tous les voir te baiser ? 

- Pas tous, mais la plupart, oui. Vous verrez, à la fin, on a fait des photos de groupe avec les trente … et moi, au milieu, évidemment ..


Jean-Pierre me jette un rapide coup d'œil, il me sourit et pose sa main sur le haut de ma cuisse, tout près de mon aine:

- Putain, t'es un cas, toi … Quand Bernard m'a parlé de toi, il m'a pas dit que tu faisais … ÇA !

- Normal … je ne lui ai pas dit …


Il fixe de nouveau le téléviseur et remet la vidéo en route. Bernard ne tourne même pas la tête vers moi. Je leur caresse le sexe … délicatement … du bout des doigts … ils sont de plus en plus raides … Alors je les masturbe … lentement … doucement … Il s'écoule bien cinq minutes, et Jean-Pierre, en me regardant:

- Tu sais … si t'aimes vraiment ça, te faire enculer par plein de mecs, je sais où tu pourrais peut-être en trouver …


Tiens, il n'aurait pas l'intention de m'organiser aussi un gangbang ?

- Ah ouais ?

- Ouais, peut-être pas trente, mais je connais des endroits où les … où les mecs … les gays se retrouvent … déjà, y'a un bois, pas loin de chez Bernard … et autrement, c'est dans des dunes, sur une plage … ce qu'y a, c'est que c'est pas la saison …


Bernard:

- Ouais, le bois, c'est le bois des pédés ... tu sais, je t'en ai parlé …


Jean-Pierre:

- Ouais … le bois des pédés, j'y suis allé une fois, mais moi, j'aime pas … de toute façon, là ou dans les dunes, en ce moment, y'a personne, il fait trop froid … 

- Et ils vont où, alors, ces mecs-là, quand il fait froid ...

- Je sais pas … ils restent chez eux … ou ils se retrouvent chez l'un ou chez l'autre, je sais pas … Tu seras encore là, au printemps ?

- Je sais pas. Je ne vais pas tarder à repartir, mais je reviendrai … je sais pas quand. Pourquoi ?

- Ben, si tu reviens aux beaux jours, je t'emmène à cette plage, là … j'y vais souvent. Bon, ce qu'il y a, c'est que, dans les dunes, ça branle et ça suce, surtout … j'ai encore jamais vu de mecs baiser là, sur place … à mon avis, ceux qui veulent baiser, ils se donnent rendez-vous là, dans les dunes, mais après, ils vont finir ailleurs … parce que c'est quand même un peu chaud, dans les dunes, pour baiser … des fois y'a des touristes qui se baladent, ou des simples naturistes, mais surtout, les flics peuvent débarquer … c'est déjà arrivé.

- Mais, les mecs qui viennent là, dans les dunes pour branler ou pour sucer, tu les connais ? Tu pourrais les contacter ?

- Non … je peux pas les contacter. Je les connais comme ça, de vue, sans plus … on voit toujours les mêmes, on se dit bonjour … avec certains, on se tripote, on se branle, certains sucent les autres … moi, je suce pas, hein … des fois, je branle … en général, je me fais sucer, mais moi, je suce pas … je connais le prénom de certains, mais j'ai pas leur nom ou leur téléphone … peut-être qu'entre eux, certains se voient ailleurs que là, dans les dunes, mais moi, je …

- Mais … t'as dit que t'avais enculé pas mal de culs, tout à l'heure … pas dans les dunes, alors …

- Non, pas dans les dunes … quand je veux vraiment baiser, je vais aux putes … soit à Quimper, soit à Pors-an-Enez ... là, c'est que des nanas … et des fois, je monte à Brest ou je descends à Lorient … à Brest et à Lorient, y'a des mecs, aussi, qui se font enculer … pour du fric, mais quelques amateurs, aussi … Non, quand j'te parle de trouver des mecs, c'est des mecs dans le coin … du local, quoi …


Il se tait, semble réfléchir, puis il reprend:

- Souvent, dans les dunes, y'a un mec, il suce tous ceux qui ont envie de se faire sucer … tu lui montres ta bite, il te suce … direct … des fois, j'ai vu être jusqu'à cinq ou six à faire la queue … alors, je suis sûr, si toi, tu te pointes là-bas et que tu dis que toi, tu te veux te faire enculer, tu trouveras des mecs … après, faut trouver un endroit tranquille pour faire ça …

- Ça serait pas un problème …

- Ah bon ? Tu veux dire … ici ?

- Non, pas ici … je me vois mal faire venir cinq, six ou dix mecs ici, pour me baiser … mais j'aurais un endroit …

- Bon.


Maintenant, ils bandent vraiment, tous les deux … c'est sûrement dû à l'effet combiné de ce que je leur fais, de ce qu'ils voient sur la télé, et sans doute aussi de ce que je leur ai raconté … mon gangbang … ils sont vraiment excités … de temps en temps, à la vue de certaines scènes, l'un ou l'autre laisse échapper une sourde exclamation … et parfois je les entends déglutir bruyamment … je sens aussi leur excitation à leur façon de respirer … je le sens aux réactions de tout leur corps … et moi, leurs sexes qui se dressent comme ça, gonflés d'excitation … leurs sexes entre mes doigts … si doux, si chauds, si vivants … Je n'y tiens plus … lentement, je change de position … je m'allonge entre eux, la tête au niveau de leur bassin … j'appuie mon coude droit entre les cuisses de Jean-Pierre et je me penche sur son ventre … 


Oooooh, sa biiiiite ! Je commence par poser des baisers tout au long de sa verge, comme tout à l'heure … hhhhmmmm, elle sent … elle sent encore ce mélange de sperme, de fluide anal et de lubrifiant … j'adore ça ! Jean-Pierre pose sa main sur ma tête et me caresse. Je remonte mes lèvres jusqu'à son gland, et je le prends dans ma bouche … une onde de chaleur me parcourt le corps, depuis la tête jusqu'au bout des pieds … c'est tellement bon, d'avoir le sexe d'un homme dans sa bouche ! En le masturbant, il y a un instant, j'ai pris soin de ne pas le décalotter, alors je sens la forme de son gland à l'intérieur de son prépuce … Tout en savourant la queue de Jean-Pierre, je jette un coup d'œil vers Bernard … il me regarde sucer son copain et il se masturbe … alors, je tends la main gauche vers lui, je repousse la sienne, je saisis son sexe et je commence à le masturber … Je sens les abdos de Jean-Pierre se secouer … il se marre:

- Ah, t'aimes ça, hein … t'en as pas encore eu assez …


Sans sortir sa queue de ma bouche, je secoue la tête de droite à gauche … "non, je n'en ai pas encore eu assez ". 

- Et ben vas-y, profite …


J'explore sa queue avec ma langue, avec mes lèvres … hhhhmmm, c'est un sexe … c'est une bite … c'est une queue, que j'ai dans ma bouche … Oh la laaaa, ça me rend folle ! Je vais la sucer jusqu'à la faire jouir ! Je vais la sucer jusqu'à la faire éjaculer dans ma bouche ! Je veux … je veux sentir son sperme gicler sur ma langue, chaud, suave … je veux le sentir glisser dans ma gorge … je veux le sentir s'écouler dans mon œsophage … mais avant … Je sors sa queue de ma bouche, et:

- Bernard, j'ai envie que tu me baises …


Il me regarde avec un air effaré. J'insiste:

- Allez, s'il te plaît, Bernard, baise-moi … pendant que je suce Jean-Pierre …

- …

-  S'il te plaît, quoi … prends-moi en levrette … comme lui, tout à l'heure …

- Allez, Bernard, fais lui plaisir … baise-le … tu verras, il est … enfin, non, pas IL … ELLE … ELLE est vraiment bonne à baiser, j't'assure !


Jean-Pierre a encre mis la vidéo sur pause. Bernard réfléchit intensément. Je suis sûr qu'il a peur … il en a très envie, mais ça lui fait peur … Jean-Pierre aussi l'a senti:

- De quoi t'as peur, mec ? Il a le cul super clean, tu sais … bon, à part ce que moi, je lui ai mis … mais si tu veux, il se lave le cul, et tu mets une capote … il en a, des capotes … alors l'enculer, c'est pas plus risqué que de se faire sucer …

- Ouais, je me lave le cul, si tu veux pas tremper ta queue dans le sperme de Jean-Pierre … et si tu préfères, tu peux mettre une capote … j'aimerais mieux pas, mais si tu y tiens …


Jean-Pierre:

- Tu sais … d'accord, avec capote, c'est la sécurité, mais c'est loin d'être aussi bien que sans capote … je te dis pas, le pied, quand tu lui tires ton coup directement dans la viande !

- Bon OK … j'vais l'baiser !

- Voilà ! C'est bien, mon Bernard ! Tu veux qu'il se lave le cul ?

- Nan. Tant pis, j'm'en fous !

- Tu veux mettre une capote, alors ?

- Nan. Tant pis, j'te dis …

- Bon, alors … en piste … fous-toi à quatre pattes, toi !


Jean-Pierre m'a donné une petite tape sur la tête pour m'inciter à me mettre en position. Non seulement je suis content que Bernard se décide enfin, mais en plus, j'aime bien la manière dont les choses ont tourné … pratiquement, c'est Jean-Pierre qui a pris les choses en main.


Alors je change de position … je m'installe à genoux entre les jambes de Jean-Pierre, et je m'appuie des deux mains sur le matelas, de part et d'autre de ses hanches. Lentement, Bernard se décolle de la tête de lit, et, une main posée sur mes reins, il se glisse à genoux vers mon arrière-train. J'écarte mes jambes et je me cambre. Ah putain, cet instant où je me mets en position pour me faire saillir par un mec … quelle émotion !


Voilà, je le regarde s'installer derrière moi, une main sur ma fesse … 

- Et t'occupes pas de moi, hein … donne-toi du plaisir, prends ton pied, tire ton coup, mais ne cherche pas à me faire jouir …


Une main sur ma hanche, les yeux braqués sur ma rondelle, il serre sa queue dans son poing et la guide vers l'entrée de mon fourreau … je sens ma fleur béer par réflexe … voilà, je sens qu'il pose son gland à l'entrée de mon rectum … oh la laaaaa … je vais avoir encore un sexe d'homme dans mon cul ! Je détourne la tête et je ferme les yeux. Dès qu'il commence à pénétrer en moi, un gémissement me remonte du fond du ventre … un gémissement aigu, plaintif … mais un gémissement de plaisir, un gémissement de bonheur … Jean-Pierre ne s'y trompe pas ... il pousse un "Oooooooh !" de stupéfaction … et il se marre … 


Maintenant que son gland est calé en moi, Bernard lâche sa bite, pose ses deux mains sur ma taille et commence à s'enfoncer lentement:

- Putain, ça rentre comme dans du beurre !

 

Ça y est, il commence à aller et venir … et il y prend beaucoup de plaisir … je le sais, je le sens, parce que j'entends sa respiration .. saccadée … par sa bouche grande ouverte … je le sens, parce qu'il se met à me caresser tendrement les flancs, les reins, les fesses … je le sens, parce que, lui aussi, se met à gémir … je le sens, parce que, brusquement …

- Rhôôôô putaiiiiiin ! Rhôôôô puuuuuuutaiiiiiin ! 


Et aussitôt:

- Oooh, meeeeeeeerde !


Il m'a empoigné à l'angle de mon ventre et de mes cuisses et il me fout de violents coups de boutoir … 


Il jouit ! Il éjacule ! 


Et sa queue, qui entre et qui sort violemment de mon cul, produit un bruit mouillé, visqueux ! Il gémit de plus belle, et mêle en haletant un râle à son gémissement … 


Quelle volupté, quel vertige, de sentir ce type déverser sa semence dans mon ventre ! Un homme de plus vient de m'honorer … un homme de plus vient de me féconder ! Je suis émue … et fière … une fois encore, j'ai accompli ma mission !


Subitement, il se colle à moi, plaque son ventre contre mes fesses, me cramponne fermement au niveau des aines … je sens son sexe qui frémit, qui vibre dans mon anus … Il reste comme ça une dizaine de secondes, puis il se retire lentement, et, d'un seul mouvement, il bascule et revient s'asseoir à côté de Jean-Pierre, le dos contre la tête du lit.


Là, je réalise que Jean-Pierre ne m'a pas incité à le sucer pendant que Bernard me baisait … c'est sans doute pour me laisser savourer le plaisir de cette sodomie. Je relève la tête. Bernard est en train de se recalotter le gland. Jean-Pierre le regarde en souriant:

- Alors ?


Bernard sourit à son tour:

- Ouais, ben … t'avais raison … elle est vraiment bonne !


Il me regarde et il éclate de rire:

- Putain, ça y est, j'suis devenu pédé ! Tu m'as fait devenir pédé, avec ton cul de … ton cul de salope !


Ben il se lâche, le Bernard, lui qui est si coincé d'habitude. Je regarde Jean-Pierre, et, en prenant sa queue dans la main:

- Du coup, toi, je t'ai pas sucé …


Je me penche, sur son ventre, mais il m'arrête:

- Attends ! Avant … t'aurais pas quelque chose à manger ? J'ai les crocs, j'ai pas mangé, à midi …

- Ben … si, je dois avoir quelque chose … mais c'est dans la cuisine … je vais aller te chercher ça …

- Non, attends … te dérange pas, je vais avec toi …


Je me relève et je descends du lit. Jean-Pierre se tourne vers son pote:

- Tu viens, ou tu préfères qu'on te ramène quelque chose ?

- Non, je viens.


A leur tour, ils descendent du lit et ils entreprennent de récupérer leurs vêtements. Je rajuste mon porte-jarretelles et je retends mes bas … je sens … ça me coule du cul sur le haut de la cuisse. J'hésite … j'aime bien garder en moi ce que les mâles m'ont injecté, mais là, pour aller jusqu'à la cuisine commune du gite, je vais sans doute en répandre en chemin … bof, en principe, il n'y a que nous ici, aujourd'hui … alors j'attrape mon déshabillé et je l'enfile pendant que mes deux amants se rhabillent. Bernard:

- Dis … euh … tu vas pas te …


D'un coup de menton, il me montre la porte de la salle d'eau. Je lui souris:

- … me laver le cul ?

- Ouais, te laver le cul … je t'en ai mis une dose, quand même …

- Ouais, il devait même en rester de Jean-Pierre. Ben non, je vais pas me laver le cul. Ça me plaît de garder votre jute dans le cul …


Il ouvre des yeux tout ronds. Jean-Pierre se marre. 


- Bon, vous y êtes, les garçons ?

- Ouais. Allons-y.


Je sors, suivi de mes deux mecs. Hhhmm, alors ça, ça me plaît … c'est encore mieux que tout à l'heure, quand je suis allé leur chercher à boire … parce que là, ils sont avec moi … c'est un échantillon de ce que j'aimerais vivre au quotidien … déambuler dans un lieu public, comme cette galerie, habillé en salope, accompagné des deux mecs qui viennent de me sauter … je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre, lubrifiées par leur semence qui suinte de ma rondelle … 


D'un seul coup, une main sur mon cul … c'est Jean-Pierre, évidemment. Sans m'arrêter, je tourne la tête vers lui. Il arbore un large sourire:

- Ça va, ma chérie ?

- Ça va. Et toi ?

- Impec ! T'es sûr qu'il n'y a personne, hein …

- En principe, oui ..

- Et si quelqu'un débarque …

- On verra bien …


Il sourit. Nous arrivons à la cuisine:

- Tenez, vous n'avez qu'à prendre des assiettes et des couverts … c'est dans ce meuble, là …


Pendant qu'ils  prennent le nécessaire, je récupère des restes de charcuterie, du fromage et des canettes dans le frigo. Jean-Pierre:

- On se met où ?

- Dans la salle à manger … la porte vitrée, à droite … tenez, prenez ça, aussi … j'arrive … je décongèle du pain …


Bernard récupère ce que j'ai sorti du frigo et ils disparaissent par la porte vitrée. 


Quand j'arrive à mon tour dans la salle à manger, Bernard est déjà installé à une table contre la baie vitrée, et Jean-Pierre est à l'autre bout, en train de visiter. Le soleil filtre à travers les arbres dépourvus de feuilles, il inonde la pièce par les grandes baies vitrées et il fait de grandes taches de lumière mouvante sur les tables … De loin, Jean-Pierre me lance:

- C'est vachement grand, dis donc … Y'a de quoi faire des sacrées fiestas … et en plus, y'a une cheminée … on peut faire une flambée …

- Ouais. D'après la gérante, quand le gite est complet et que le camping est ouvert, des fois, la salle est pleine …

- Ah, ça fait aussi camping ?


Pendant que je déballe la bouffe, Jean-Pierre approche, il tire une chaise de sous la table et il s'assied. Puis il me prend la main, me faisant lâcher la terrine que j'étais en train d'ouvrir, il m'attire vers lui et, en tapotant sur sa cuisse:

- Assieds-toi là !


Ça a été si surprenant et si vigoureux que je n'ai pas eu l'occasion de résister. Je m'assieds en prenant soin de ne pas poser l'entrée de mon fourreau, souillé de sperme, sur sa cuisse, et:

- Hé, j'te préviens, j'ai le cul encore plein de foutre … je vous l'ai dit tout à l'heure …

- Je sais … je m'en fous … c'est NOTRE foutre …


Et pour me montrer que ça ne le dérange pas, il glisse sa main sous ma fesse et il passe ses doigts sur ma fleur toute poisseuse de sperme … waouhhhhh, j'ai la rondelle encore toute chamboulée et sensibilisée par leurs saillies, alors ça me fait un effet terrible ! Je laisse échapper un halètement et je ferme les yeux. Ma réaction le fait rire et ça le décide à en faire plus … je sens qu'il m'enfonce un doigt ... oh la laaaaa … je passe mon bras sur ses épaules et je cale ma tête dans son cou … je ronronne … 


- Putain, tu démarres au quart de tour, toi !


Je le sens qui introduit un deuxième doigt dans mon cul … il les bouge … je gémis … c'est tellement bon, de se faire doigter ! D'autant qu'avec le cul plein de sperme, ses doigts glissent en douceur … Je sens aussi qu'il a posé son autre main sur ma cuisse et qu'il la remonte lentement vers mon ventre … je bande ! Il va quand même pas … Si, il vient de prendre mon sexe dans sa main !


- Non, arrête, Jean-Pierre ! Me touche pas là !

- Pourquoi … tu bandes … je vais te branler ..

- Non … laisse-moi !


Je repousse sa main:

- Plus tard … peut-être …

- Bon … comme tu veux …


Il sort ses doigts de mon cul et je le sens qui remonte sa main le long de mon dos ... derrière mon cou … le long de mon menton, et:

- Tiens, lèche mes doigts …


Sans hésiter, je tourne la tête, j'ouvre la bouche … et je suce se doigts … hhhmmmm, ce goût de sperme ! Le goût de leurs deux spermes mélangés dans moi … avec des restes de lubrifiant et un peu de mes propres sécrétions anales … j'adore ça ! Je sens Jean-Pierre pouffer contre moi, pendant que Bernard me regarde, effaré. Brusquement:

- Lève-toi !


Jean-Pierre m'a presque viré de son genou. Il se dresse et:

- Je mangerai après … viens là !


Il me prend par le coude et il me pousse vers le bout de la table:

- Enlève ça et fous-toi là, sur le dos !


Il va me prendre sur la table ! Je dénoue fébrilement la ceinture de mon déshabillé, je l'enlève et je le laisse tomber à mes pieds. Tandis que je pose mes fesses sur le bord de la table, tout en enlevant ses chaussures, Jean-Pierre ouvre sa braguette et il ôte son pantalon … il bande et sa queue se dresse déjà à la verticale !  


Le voilà contre moi, entre mes genoux … il plante ses yeux dans les miens et il me sourit:

- J'vais t'baiser là !


Bien sûr, oui, baise-moi là ! Non seulement ça me plaît que tu veuilles me baiser ici, sur cette table, mais ça me plaît que tu décides ça sans me demander si j'en ai envie, ça me plaît que tu disposes de moi … D'une main, il me pousse en arrière tout en me retenant de son autre main … me voilà allongé sur la table … il saisit alors mes jambes, sous les genoux, et il les relève … de moi-même, j'écarte les cuisses … Ses yeux toujours plantés dans les miens, il bouge son bassin et, sans qu'il ait besoin de guider sa queue de la main, son gland trouve tout seul l'entrée de mon fourreau … Oh putain … ce que j'aime ça ! Je me cambre, les omoplates et la nuque plaquées sur le bois de la table et les reins en arc de cercle. Il va me prendre là, sur cette table, dans cette salle à manger … en pleine lumière … sous les yeux de l'autre … et je vais le regarder me baiser … 


Et soudain, je réalise que c'est précisément sur cette table que j'ai partagé des pizzas avec deux jeunes randonneuses, le soir de mon arrivée en Bretagne ! Je ne pensais vraiment pas au cul, à ce moment-là ! Mais là, oui, je pense au cul … je pense même tellement au cul qu'il me vient spontanément des images en tête … un fantasme … nous trois, Jean-Pierre, Bernard et moi, exactement dans la même situation, en train de faire la même chose, mais avec cette salle à manger pleine de monde … des touristes, des randonneurs, des familles attablées, en train de manger ... et Jean-Pierre qui me prend, qui me baise devant eux ! Et … et … et les gens qui interrompent leur repas et qui viennent regarder … des hommes, des femmes, des enfants, même … des vieux, des jeunes qui s'attroupent autour de nous et qui matent, et qui commentent … et des hommes qui demandent à Jean-Pierre si ils pourront aussi me baiser quand il aura fini … et une femme qui incite son mari à prendre son tour …


Pendant que je partais dans mes divagations, Jean-Pierre a commencé à aller et venir en moi, ses mains à l'arrière de mes genoux … lentement … très lentement … je sens son sexe glisser dans ma rondelle … Je croise mes mains sous ma nuque et je redresse la tête … je veux voir son ventre entre mes cuisses … son ventre qui approche et qui s'éloigne en rythme … Tout en allant en venant en moi, Jean-Pierre me regarde … ou plutôt, il m'examine … de la tête aux pieds … enfin, plutôt de la tête au ventre … comme une curiosité … à une certaine crispation de sa mâchoire, à une certaine façon de respirer par la bouche, je sens que son excitation monte … Etalée comme ça sur cette table, offerte, à disposition, je me fais l'impression d'être une sorte de … une sorte de bout de barbaque inerte dans lequel ce mec va se soulager … sensation étrange et délicieuse !


Un bruit, à côté de moi, attire mon attention … je tourne la tête … Bernard s'est levé … il a sorti sa queue, et, les yeux exorbités, il se branle en regardant son pote me baiser ! 


Un contact, sur mon ventre … je regarde … Jean-Pierre a écarté les pans de ma nuisette et il a posé sa main à plat, là, entre mon nombril et mon pubis … il regarde fixement cet endroit, comme fasciné …


- Ma bite vient jusque là …


Ce n'est pas à moi qu'il a parlé … ni à Bernard … c'est à lui-même qu'il a parlé … il appuie sur mon ventre tout en continuant d'aller et venir … il appuie sur mon ventre comme pour essayer de sentir, sous ma peau, sous mes abdominaux, sa queue qui va et vient … ça dure comme ça un moment ... il déplace un peu sa main, il tâte, il palpe mon ventre … et il regarde aussi ma bite … ma bite qui a légèrement débandé et qui ballotte un peu sur mon ventre, secouée par ses va et vient … il la regarde et, sans un mot, il la prend entre ses doigts … il me jette un rapide coup d'œil, et, comme je ne proteste pas, il affermit sa prise … il y a je ne sais quoi, dans son regard … c'est comme si, en prenant ma bite dans sa main, il réalisait vraiment que c'est un mec qu'il est en train de troncher … il commence à me masturber … et cette fois, ça me plaît … il me baise et il me branle ! 


C'est comme un signal qu'il aurait attendu … sans lâcher ma bite, il se met à me bourrer à grands coups de reins … et je vois, je sens qu'il va jouir rapidement … alors, de sentir que je vais encore me faire inséminer, mon excitation à moi grimpe aussi en flèche … Brusquement, Jean-Pierre se bloque le ventre contre moi, et la tête rejetée en arrière, la bouche grande ouverte, les yeux fermés, il jouit !

- Rhââââââââââââââââ … puuuuuuuuuutaiiiiiiiiin !

 

à suivre


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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