Mercredi 15 novembre. 15 heures.
Après-midi ensoleillé, mais plutôt frais. Pour préparer notre dernière randonnée d'automne, avec quelques membres de mon club, nous sommes partis faire une petite balade de reconnaissance dans la campagne. Alors que je marche en tête du groupe avec mon pote Roger, la sonnerie d'un téléphone retentit sourdement derrière nous. Je n'y fais pas plus attention que ça. Moi, je n'ai pas pris de portable. Ça doit être celui d'un des marcheurs qui nous suivent. C'est Cécile qui se porte à ma hauteur et me tape sur l'épaule:
- Dis, c'est dans ton sac à dos que ça sonne. Tu n'entends pas ?
J'entendais, mais ça me semblait venir de plus loin que mon épaule. J'ai un portable dans mon sac à dos ? Je plonge la main dedans et j'en sors … tiens, c'est le portable qui me sert pour mes affaires de cul ! J'avais oublié qu'il était là, celui-ci ! Rien que de le dégainer et de l'ouvrir devant mes compagnons de rando, une espèce de délicieux frisson me parcourt de la nuque aux reins. Je sais bien qu'à leurs yeux, ce n'est qu'un objet très anodin, mais pour moi, il est chargé d'une sorte d'aura de luxure, de débauche, de lubricité, tellement il est lié à des histoires de bites et de cul. C'est un peu comme si j'exhibais devant eux, par accident, un de mes godemichés.
- Allô …
- Euh … bonjour … je suis bien chez … Marin ?
- Oui, c'est moi …
- Bonjour, je m'appelle Lionel … je vous appelle de la part de Jacky … vous voyez qui ?
- Jacky ? Oui, je vois …
Je ralentis le pas. Oui, Jacky, je vois très bien qui c'est. Et pour cause ! C'est un des cinq ou six types à qui Denis, Dominique et Yann m'ont offert le mois dernier dans un café de M. ! C'est aussi lui qui voudrait que j'aille au tapin pour lui, et surtout, c'est lui qui s'est pointé chez moi, il y a quinze jours ou trois semaines, avec quatre autres types pour me baiser. C'est curieux, d'ailleurs, depuis, je n'ai plus la moindre nouvelle. Je m'attendais à ce qu'il revienne à la charge rapidement, parce que, soit disant, il avait un studio en vue pour que je commence à y faire des passes. Alors, je ne sais pas qui est ce Lionel qui m'appelle de sa part, mais si c'est Jacky qui lui a donné mon numéro, il m'appelle forcément pour du cul, pour de la bite …
Alors, instantanément, en entendant prononcer "Jacky" par cet inconnu, quelque chose frémit en moi du côté de mon bas-ventre, du côté de ma prostate, et du côté de mon anus … et, immédiatement, je sais que, non seulement ce type au téléphone va me proposer une partie de bite et de cul, mais que, quoi qu'il me propose, je vais accepter … et je vais accepter pas seulement parce que si Jacky est derrière ça, la menace qu'il me dénonce pèse toujours sur moi … non, je vais surtout accepter parce que j'en ai envie … depuis quelques jours, je commence à être sérieusement en manque de queues ! Le type … ce Lionel … reprend:
- Voilà, il m'a dit que … que vous avez … participé à … disons une … partouze, quoi … avec lui … c'est bien ça ?
- Quelque chose comme ça, oui …
- Il m'a … il m'a aussi montré une vidéo où vous … où vous vous faites euh … enfin … vous voyez ce que je veux dire … par plusieurs hommes … dans une ferme …
Putain ! Une vidéo ? Où il a eu une vidéo, le Jacky ? Qui a bien pu lui filer une vidéo de mon gangbang chez Jean-Claude ? J'en reste scotché. Qu'il aille raconter mes turpitudes à mon voisinage, ça ne serait que sa parole, et je pourrais toujours nier, mais s'il détient une vidéo … j'espère qu'au moins, c'est une vidéo où ma tronche est floutée. Comme je ne réponds pas, le type insiste:
- Allô ? Alors, vous voyez de quoi je parle ? C'est une vidéo où on vous voit vous faire mettre sur un … matelas, par quatre types, les uns derrière les autres … au milieu de la cour d'une ferme et devant au moins une dizaine d'autres types … à poil, eux aussi … vous voyez ou pas ?
- Si, si … je vois, je vois …
- Ah bon ! Oui, alors, je vous appelle pour …
- Attendez un instant … ne quittez pas …
Vu la tournure que prend la conversation, je ne peux pas discuter de ça au téléphone en présence de mes compagnons de randonnée, qui attendent que nous reprenions notre balade. Alors je me tourne vers eux:
- Continuez … je vous rattrape…
Surpris, ils protestent:
- Non, on t'attend …
- Ça va peut-être durer un moment …
- Ton correspondant ne peut pas te rappeler ?
- C'est urgent, on dirait … allez-y, je vous suis …
- Bon …
Ils commencent à s'éloigner en ronchonnant … sauf Yolaine. Ah oui, il faut que je vous dise: quand j'ai rejoint les membres du club, tout à l'heure, sur la place du village, j'ai eu la surprise de trouver ma voisine parmi eux. Toute équipée pour une rando … chaussures de marche, bonnet, gants, doudoune … tout ! C'est la première fois qu'elle participe. Mes potes, visiblement aussi surpris que moi, m'ont lancé des coups d'œil éloquents « Tu as vu qui nous a rejoints ? ». Surtout qu'elle ne leur a jamais témoigné que de l'hostilité. J'ai fait semblant d'être aussi étonné qu'eux, mais au fond, je suis convaincu que c'est la suite de notre partie de cul de samedi dernier, dans la sacristie. Comment elle a su qu'on faisait une marche aujourd'hui ? Alors, en lui serrant la main:
- Tiens, Yolaine, qu'est-ce que vous faites parmi nous ? C'est la première fois …
- Oui. J'ai envie de me mettre à la randonnée. Alors votre président m'a autorisée à vous accompagner aujourd'hui … pour essayer.
- Ah, OK. Bienvenue, alors.
- Merci.
Oui, devant les autres habitants du village, j'ai spontanément repris le vouvoiement, même si, samedi dernier, nous avons fait plus que nous tutoyer ! Elle doit avoir l'intention de me coller. Mais je dois le reconnaître, depuis le début de cette rando, elle n'a rien manifesté de particulier à mon égard devant eux. Elle discute avec les uns, avec les autres, et fait avec moi comme si de rien n'était. Alors, ils commencent à s'éloigner, et, mettant la main devant mon téléphone, je dis à Yolaine:
- Allez-y, je vous rattrape.
- Non, je t'attends.
La garce ! Jusqu'à présent, devant les autres, elle m'a aussi vouvoyé, mais, maintenant qu'ils se sont éloignés, je sens dans son tutoiement comme … une menace ? Putain, ils ne vont pas tous se mettre à me faire chanter ! Oh, et puis merde ! Je laisse les autres prendre une quinzaine de mètres d'avance, et, tout en leur emboîtant le pas lentement, je reprends avec ce Lionel:
- Bon, allez-y … vous me voulez quoi …
- Hemmmm … Jacky, la dernière fois que vous l'avez vu … vous vous souvenez ?
- Ben … oui.
- Il … il vous a parlé de faire un essai, non ?
- Un essai ?
- Oui, un essai … vous savez, pour …
- Oui, je vois.
Ah, c'est ça ! Il voulait que je fasse un essai de tapin ! Quel rapport avec ce type qui m'appelle ?
- Ben, c'est ça. Ça serait pour que vous veniez faire la même chose chez moi … une partouze, quoi …
- Si vous parlez de ce qui s'est passé dans cette ferme, c'était pas exactement une partouze …
Mes compagnons de randonnée sont à bonne distance maintenant, mais j'ai quand même baissé le ton en prononçant les derniers mots, tout en sachant qu'ils n'échapperaient certainement pas à Yolaine. Devant elle, ça ne me gêne pas de parler de ça. Et en effet, ça ne lui a pas échappé: elle hausse les sourcils, me regarde en souriant et s'approche encore un peu, intéressée. Le type au téléphone est surpris:
- Ah bon ?
Je perçois du désappointement dans sa voix. Alors je m'empresse de préciser, toujours à voix basse:
- Non, c'était pas une partouze, c'était une tournante … ou un gang bang, pour être exact …
- Ah, oui, d'accord. Vous jouez sur les mots. Tout ça, c'est à peu près la même chose, et je …
- Attendez !
Je lui ai coupé la parole. Je masque encore mon téléphone et je regarde Yolaine:
- Bon, vas-y, maintenant. Rejoins les autres.
- C'est pour … ton correspondant, là, c'est pour … du … sexe ?
- Oui, c'est pour du sexe !
- Tu me raconteras ?
- Oui. Vas-y !
Satisfaite, elle sourit, me fait un signe de la main et s'éloigne. Je reprends avec ce … Lionel:
- Oui, excusez-moi. Bon, ben non, une partouze, ce n'est pas la même chose qu'une tournante ou un gangbang. Si vous m'appelez pour une partouze, ce n'est pas la peine, ça ne m'intéresse pas !
- Ah bon ? Mais … comment ça …
- Dans une partouze, tout le monde baise avec tout le monde. Moi, ce que j'ai fait, c'était un gang bang. Dans un gangbang, il n'y en a qu'un qui se fait baiser par tous les autres …
- Ah, OK ! Et dans votre… gangbang, c'est vous qui vous êtes fait … baiser.
- Oui, c'est moi qui me suis fait baiser …
- Oui, ben voilà, c'est ça … J'ai pas employé le bon terme, mais c'est ça. Oui, ce que Jacky m'a expliqué, c'est que pour votre … gangbang, il y avait une trentaine de … participants … C'est vrai ?
- Oui, c'est vrai …
- … et ils vous ont tous … baisé …
- Oui … j'en ai aussi sucé quelques uns …
- Ah oui ?
Je l'entends se râcler la gorge. Ça y est, je le sens, il va me demander quelque chose. Allez, lance-toi, mec ! Si c'est pour me faire encore passer dessus par une bande de mecs en rut, c'est OUI … trois fois OUI ! Des images de types à poil, leur bite en érection à la main qui font la queue pour me fourrer m'assaillent. Parler sexe au téléphone avec cet inconnu, c'est d'autant plus excitant qu'à vingt mètres devant moi, il y a une demie douzaine de mes connaissances qui ignorent tout de mes activités de débauche … Yolaine exceptée, évidemment.
Je laisse venir ce Lionel. Il reprend:
- Une trentaine … Ben dites donc, bravo ! Félicitations. Alors, voilà … si Jacky m'a parlé de ça, c'est parce que … il voudrait que vous fassiez l'essai dont il vous a parlé ... chez moi. Alors il m'a donné votre numéro … pour que je vous appelle de sa part …
- Pourquoi il ne m'appelle pas lui-même ?
- Il ne peut pas, en ce moment. Mais pour ce que j'ai à vous dire, lui ou moi, c'est pareil ….
- Admettons. Et alors ?
- Ben, il m'a chargé d'organiser votre … essai … CHEZ moi … avec d'autres hommes, donc. Et il avait l'air sûr de lui. Il m'a dit … « il pourra pas refuser si tu l'appelles de ma part ».
Ouais, ça ne m'étonne pas. Je ne sais pas ce qu'il lui a dit exactement, mais je me doute: si je refuse, il me balance. J'hésite une seconde, puis:
- Bon, dites toujours.
- Ah bon … bon, très bien … je vous explique ?
- Je vous écoute …
- Voilà … je dirige un hôtel à N. … c'est là que ça se passerait … vous voyez où c'est ?
- Oui, N., je connais, c'est pas très loin de chez moi … je vois … en effet, un hôtel, dans la zone commerciale, à côté d'une pizzeria, je crois …
- Voilà, c'est ça … entre la pizzeria et le restaurant de viande …
- Oui, c'est ça … et ça se passerait dans votre hôtel ?
- Oui, exactement … il s'agirait que vous veniez faire votre … essai …
- … que je vienne me faire baiser … c'est ça ?
- Oui.
- Dans votre hôtel ?
Une vingtaine de mètres devant moi, mes compagnons de rando se sont quand même arrêtés, et m'attendent en me regardant. Je m'efforce de parler à voix basse, mais j'espère qu'ils n'ont pas entendu ce que je disais … De la main, je leur fais signe de continuer. Ils secouent la tête d'un air agacé, mais ils redémarrent.
Le type au téléphone:
- Oui, c'est ça, dans mon hôtel.
- …
- Allô … Allô !
- Oui, je vous écoute …
- Ah, je ne vous entendais plus … j'ai cru que la communication était coupée…
- Non, mais je suis avec des amis, tout près … nous sommes en train de nous promener …
- Ah bon ? Je peux vous rappeler …
- Non, non, c'est bon … ils sont assez loin, maintenant …
- Oui, je disais … je voudrais que vous veniez vous faire … baiser, donc … dans mon hôtel … par des … par des hommes, évidemment.
- Bon. C'est d'accord.
Il y a un long silence. Le type ne devait pas s'attendre à ce que j'accepte si rapidement. Alors je confirme:
- Vous m'avez entendu ? Je suis d'accord.
- Ha ! … Ben, on peut dire que c'est pas compliqué, avec vous …
- Vous savez, pour en arriver au même résultat à la fin, autant être direct … tout le monde gagne du temps …
- Mmmoui … mais … vous voulez pas en savoir plus ?
- Si ... si vous voulez … expliquez …
- Voilà, en fait, on fait ça, de temps en temps, dans mon hôtel. On a quelques habitués … des hommes, je veux dire … Je ferme l'hôtel et je fais venir ces hommes, et … ils … ils viennent pour … pour ça, quoi … pour baiser … comme vous dites …
- Bon, ben ça me va …
- Vous … voulez pas savoir combien d'hommes ?
- Ah si, dites toujours …
- Alors, ça dépend des fois, ils sont plus ou moins nombreux, selon si ils sont disponibles ou pas … des fois, c'est seulement une dizaine, mais une fois il y en a eu une quarantaine … et un peu plus, même …
Aussitôt, je sens monter d'un cran l'espèce de délicieux frémissement qui a réveillé mon anus et ma prostate … quarante mecs !
- Allô ?
- Oui, oui, je vous écoute …
- Ah, je vous entendais plus … donc … je sais pas combien il en viendra pour vous, mais voilà … je voulais que vous sachiez que ça a déjà été jusqu'à quarante … mais ça peut être seulement dix … ou plus … ou moins …
- Ça me va …
- Même quarante ? Je … je sais pas si il en viendrait quarante, mais … au cas où …
- Oui, oui, quarante, ça me va … Je m'en suis déjà fait une trentaine.
- Ah bon … alors, euh … bon, très bien … et ça serait possible quand, pour vous ? Ah oui, faut que je vous dise … ça serait forcément un dimanche … c'est le seul jour où je peux me permettre de fermer … on a une clientèle surtout professionnelle, et le dimanche, en général, on n'a pas de clients.
- Alors, dimanche qui vient ?
Dans quatre jours.
- Ah ben … ce dimanche ? Ça fait un peu court. Je ne pensais pas que vous pourriez si rapidement … Mais … bon … pourquoi pas. Je vais m'arranger.
- Dimanche 19, alors. OK ?
- OK. Je vous explique où c'est ?
- Je sais où c'est … Envoyez-moi seulement un mail de confirmation … je vous donne mon adresse-mail ….
- Non, non, je l'ai … Jacky me l'a donnée. Je fais ça, je vous envoie la confirmation … et … vous pourrez venir vers quelle heure ?
- Le matin ?
- Oui, d'accord, le matin. Et… euh … sur la vidéo, j'ai vu … vous portiez des … de la lingerie …
- Oui …
- Si vous pouviez venir avec ce genre de tenue, ça serait top …
- Pas de problème …
- Bon, ben … à dimanche …
- A dimanche …
La conversation terminée, je hâte le pas pour rattraper le groupe. Je réalise que, dans mon string, c'est comme si mon sexe s'était mis à peser un peu plus lourd ... et je sens qu'une petite tache fraîche et humide s'est étalée dans la dentelle, au bout de ma queue. Quand je rejoins les marcheurs, Yolaine m'observe avec insistance. Dès que je croise son regard, elle hausse les sourcils d'un air interrogateur. Aussi discrètement que possible, j'acquiesce en souriant. Elle sourit aussi. Sans un mot, nous nous sommes compris.
Hhmmmmm! Je vais encore me faire passer dessus par une bande de bonshommes ! Que des mecs qui m'ont déjà baisé me contactent pour recommencer, c'est déjà tellement … gratifiant et excitant … Mais là, c'est un type qui ne me connaît même pas, et qui va organiser un gang bang pour moi … Enfin, je sais bien qu'il fait ça pour lui et ses … habitués, comme il dit, mais ce sera comme la tournante chez Jean-Claude, si eux se servent de moi et de mon cul, moi, je me servirai d'eux et de leurs bites. Cette fois, bien sûr, la perspective de me faire encore fourrer par une bande d'inconnus m'excite, mais je ressens quelque chose de nouveau … et c'est à la fois cérébral et émotionnel: depuis ce gangbang chez Jean-Claude, on dirait bien que ma réputation fait son chemin à grands pas ! Je suis devenu la salope, la viande à bites, le vide-couilles qu'on offre à d'autres types, ou dont on refile le numéro de téléphone à des mecs qui ont besoin de se soulager ! Je me sens à la fois fier et un peu ému comme si je venais d'être élu la "Miss coups de bites" de l'année !
C'est euphorique et excité, la tête pleine d'images de sexe que je me remets en marche au même rythme que mes compagnons de rando. C'est Cécile qui se montre la plus curieuse:
- Dis donc, ça avait l'air important, ton coup de fil …
- Oui, assez.
- C'était pour affaires …
Elle a employé un ton moqueur ! Si je te disais de quelles affaires il s'agit, tu serais bien surprise, ma poule. Je lui adresse un grand sourire:
- Exactement ! C'était pour affaires …
Pendant la suite de notre randonnée, obnubilé par ce qui va m'arriver dans quatre jours, je ne suis les conversations que distraitement. Bien que nous restions toujours assez près du reste du groupe, Yolaine, que la curiosité démange, finit par trouver le moyen de me demander discrètement:
- Alors ?
- Chuuut !
- C'était pour … c'était pour te faire …
- Oui.
- Encore ?
- Oui.
- Tu me diras ?
- Oui.
Alors, jusqu'à la fin de notre balade, elle me jette des coups d'œil appuyés. Je le sens, son imagination la travaille. Elle brûle d'envie de savoir. Une fois revenus sur la place du village, le groupe se disperse, et elle et moi nous dirigeons vers notre quartier. Immédiatement, elle attaque:
- Alors, raconte. Tu vas encore te faire … baiser ?
Elle a marqué un temps, puis a prononcé "baiser" sur un ton gourmand. Après s'être retenue tout au long de notre virée dans la campagne, elle se lâche. Comme l'autre soir, elle se délecte littéralement de parler crûment. Putain, quelle métamorphose ! Elle a changé du tout au tout. Quand je pense que c'est moi qui ai déclenché ça !.
- Oui, je vais encore me faire baiser.
- Quand ?
- Dimanche.
- Dimanche prochain ?
- Oui.
- Et par qui ?
- Je ne sais pas.
Depuis que nous avons quitté les autres marcheurs, elle s'est retournée deux ou trois fois, comme pour vérifier si nos compagnons de rando nous voyaient encore. Une fois que nous avons tourné au coin de l'église, hors de leur vue, elle me prend par le bras:
- Tu sais pas par qui tu vas te faire baiser ? ! ? !
A son ton, je la sens à la fois excitée et sidérée que je ne sache pas par qui je vais me faire baiser.
- Non, je ne sais pas. Le type qui m'a appelé, je ne le connais pas. Il a eu mon numéro par celui qui est venu chez moi l'autre jour, tu sais, avec sa Mercedes.
- Ah oui. Et c'est lui, le type qui t'a appelé, qui va te … te baiser ?
- Euh, non, je ne pense pas. Lui, apparemment, il organise ça pour d'autres types.
- Ah bon ? Pour d'AUTRES types ! Mais alors, ils vont être plusieurs !
- Oui, c'est ce qu'il a dit.
- Alors, comme … comme tu as déjà fait l'autre fois … dans cette ferme.
- Oui, mais cette fois, ça va se passer dans un hôtel.
Ça carbure à fond, dans sa tête. Pendant quelques secondes, elle réfléchit, puis:
- Mais … ils vont te faire quoi ? Il te l'a dit ?
- Il ne m'a pas dit précisément ce qu'ils vont me faire, mais ils vont sûrement …
- T'enculer ?
Ah putain ! Elle ne m'a pas laissé finir, et elle a dit ça en me regardant, un sourire radieux sur le visage. Visiblement, elle prend beaucoup de plaisir à utiliser ce vocabulaire … comme l'autre soir, à côté de l'église puis dans la sacristie. Et son vocabulaire s'élargit.
- Ben oui, ils vont sûrement m'enculer …
- Et tu vas les sucer ? Tu vas leur sucer … la bite ?
C'est un festival ! Elle a marqué juste une fraction de seconde d'hésitation avant de dire "la bite", comme si elle se régalait par avance d'avoir ce mot-là dans la bouche. Et à son ton, à la pression de sa main sur mon bras, je sens que cette idée l'excite beaucoup.
- Ben … oui, je vais sûrement leur sucer la bite.
- Et ils vont … ils vont être combien ?
- Je sais pas. Il a dit peut-être une dizaine … mais il a dit aussi que ça pourrait aller jusqu'à une quarantaine …
- Une quarantaine ! ? ! ?
Elle me dévisage dans un silence que je sens plein d'interrogations. De plus en plus excitée, les idées, les questions se bousculent dans sa tête, et les mots dans sa bouche:
- Et … et … et tu crois qu'ils vont mettre des capotes ?
- Ecoute, je sais pas …. On verra sur place … ils vont peut-être en mettre …
- Toi, tu préférerais qu'ils n'en mettent pas, hein …
- Ben, si c'est possible, oui, je préférerais.
- T'as envie qu'ils te … tu préférerais qu'ils te … qu'ils jouissent dans ton … directement dans ton cul ?
- Oui.
- Oooooooooh !
Toujours cramponnée à mon bras, elle a poussé ce "Ooooooooh ! " dans une sorte de spasme qui l'a fait s'arrêter, se courber légèrement en avant et se serrer les cuisses comme ferait une femme prise d'une subite envie de pisser. Je m'arrête aussi:
- Qu'est-ce qui t'arrive ? Ça va pas ?
Haletante, les yeux légèrement révulsés, elle déglutit, me sourit et bafouille:
- Oh si, si, ça va …je … je … c'est … c'est l'idée qu'ils vont te … ils vont tous se … se répandre … dans ton cul … ça me … ça me …
- Ça te quoi ? Ça te choque ?
- Oh non, non … au contraire … ça me …
- Ça t'excite ?
- Oui. J'ai eu comme … comme un … comme un orgasme …
- Ah bon ? ! ? !
- Oui. J'ai pensé à ça tout au long de la rando, et ça a commencé à m'exciter ... et là ...
Mais, c'est pas possible ! Elle … elle démarre toute seule, rien qu'à imaginer des choses ! J'ai jamais vu ça ! Putain, elle me sidère ! Madame Coinsoss ! Depuis qu'elle s'est décoincée, elle monte en gamme ! Voilà qu'elle jouit tout debout dans la rue rien qu'à l'idée que je vais me faire inséminer par des types ! Ce qui m'épate aussi, c'est qu'elle me déballe ça comme ça, comme elle me parlerait du temps qu'il fait. Sans aucune retenue !
- Et ben, dis donc ! C'est l'idée que je vais me faire remplir de sperme qui te met dans cet état ?
Elle se remet, me regarde et redémarre:
- Oui. Enfin … c'est surtout l'idée que ça pourrait être moi … que c'est à moi que ces hommes pourraient …
- Ah, OK ! Ça te fait envie …
Elle me regarde, hésite, puis:
- Oui … je … je comprends pas … j'ai envie de ça, moi aussi … me faire baiser sans capote … me faire … me faire …
Elle me regarde et me serre le bras:
- Je veux que tu me baises, là, tout de suite … sans capote !
Elle a presque crié … au beau milieu de la rue ! Je sais bien qu'il n'y a que nous dans cette rue, mais de chez eux, les riverains pourraient entendre ! Soudain, elle accélère le pas et m'entraîne:
- Allez, viens ! Tu vas me baiser !
- Non, mais dis … tu permets ?
- Recommence pas comme l'autre soir, hein ! Dans trois ou quatre jours, tu vas te faire baiser par je ne sais combien de types que tu ne connais même pas, alors tu peux bien me baiser, moi !
- Je vois pas le rapport.
- Le rapport ? Je te l'ai déjà dit l'autre soir. Le rapport, c'est que t'es une espèce de … de jouet … de jouet sexuel … et que tu laisses des inconnus … se servir de toi pour … pour jouir, pour se soulager ! Alors tu vas aussi me laisser me servir de toi pour me soulager.
- Mais ça ne se décide pas comme ça !
- Quoi ! T'as pas envie ?
Elle me plaque la main sur le bas ventre. En pleine rue ! Je repousse sa main:
- Arrête, quoi ! Pour le moment, non, j'ai pas envie.
En fait, depuis le coup de fil de ce … Lionel, j'ai en permanence une espèce de sensation très agréable du côté de l'entrejambe. Je ne bande pas, mais j'ai le paquet … éveillé, émoustillé. Et depuis que Yolaine et moi avons commencé cette conversation, ça ne fait qu'entretenir une sorte d'état d'érotisation. Elle me saisit le poignet:
- Et ben, viens à la maison, je vais te donner envie, moi.
Elle accélère le pas. Je me laisse entraîner. Après tout, pourquoi pas. Je voudrais bien savoir comment elle va s'y prendre pour me donner envie. En moins d'une minute nous arrivons dans la cour devant chez nous. Sa porte à peine refermée, elle ôte son bonnet, ses gants et sa doudoune et, là, dans son entrée, elle entreprend de me déballer: elle descend le zip de mon blouson, m'aide à l'enlever et s'attaque à ma braguette. Tiens, je m'aperçois qu'elle a les ongles faits. Si je me souviens bien, le soir où je l'ai baisée dans la sacristie, elle n'avait pas de vernis. Là, c'est un rouge vif. Pour une première, elle n'a pas choisi la couleur la plus discrète. C'est comme une touche finale à son changement de look. Elle découvre mon string:
- Tu portes encore un truc comme ça ?
- Comme tu vois. Et toi ?
- Moi aussi, tu vas voir.
Elle défait le bouton de sa ceinture, descend son zip, écarte les pans de son pantalon et, avant que j'ai pu réagir, elle saisit ma main et l'attire vers son ventre. Je me laisse faire. Sous mes doigts, je sens de la dentelle, mais je ne sais pas si c'est un string ou une petite culotte. Ecartant un peu les jambes, elle force ma main à s'insinuer entre ses cuisses. Ah oui, c'est un string. Les yeux à demi fermés, la bouche entrouverte, elle goûte le plaisir de se faire toucher la chatte:
- Tu sens comme je suis mouillée ?
Oh oui, pour être mouillée, elle est mouillée ! Le gousset de son string, trempé, lui rentre dans la fente, entre ses grands lèvres. Je l'écarte et je glisse mon doigt. Elle halète:
- Ooooh, tu me mets le feu !
Ben putain, elle est chaude ! Elle maintient fermement mon poignet pendant que j'explore ses petites lèvres et son clitoris du bout de mon majeur. Et brusquement:
- Je veux ta BITE ! Dans ma CHATTE !
Elle lâche ma main, saisit les deux pans de mon pantalon, et, en quelques secondes, j'ai le pantalon et le string à mi-cuisses. Elle m'empoigne la queue. Ah, la vache ! Ses doigts aux ongles vernis, autour de ma verge ! Spectacle magnifique ! C'est vraiment ça, avec ce rouge écarlate, c'est comme si elle annonçait la couleur: finis les tons discrets, les nuances de bon goût. Je ne sais pas pourquoi, ce rouge a quelque chose de "sexe". Je ne bande pas mais je sens que sa main sur ma bite réveille quelque chose en moi. Ses yeux dans les miens, elle me sourit:
- Alors, t'aimes ça ?
- Ben oui.
- Moi aussi. Ça me plaît de te tripoter la QUEUE.
Et sans avertissement, elle s'accroupit devant moi, approche son visage, et prend mon sexe dans sa bouche. Ah, là, oui, elle me fait de l'effet ! Un peu maladroite, mais si j'ai bien compris, c'est la première fois qu'elle suce une bite. Et elle semble y prendre elle-même beaucoup de plaisir, parce qu'elle laisse échapper un sourd gémissement. Voilà, rapidement, je bande. Je pose mes mains sur sa tête. Si quelqu'un arrive dans cette cour, il ne pourra pas me manquer, adossé à la porte vitrée de son entrée, en train de me faire tailler une pipe, les fesses et les cuisses à l'air ! Aussi soudainement qu'elle avait commencé à me sucer, elle sort ma bite de sa bouche et se relève. Elle me prend par la main et m'entraîne vers sa salle de séjour en retenant son pantalon:
- Ça y est, tu bandes. Viens, tu vas me baiser !
Les jambes embarrassées par mon propre pantalon, toujours au niveau de mes genoux, je sautille à sa suite. Elle se tourne vers moi:
- Maintenant, je comprends pourquoi tu aimes sucer des bites ! Moi aussi, j'aime ça !
Arrivée devant la grande table, elle lâche ma main, saisit l'extrémité du banc sur lequel elle avait regardé mes photos de cul, l'autre fois, et:
- Aide-moi ! Tu vas me baiser sur la table.
- Tu préfères pas qu'on fasse ça dans ton lit ?
- Non. Je veux pas que tu me fasses l'amour, je … veux … que … tu … me … BAISES !!!!
Elle a scandé ça, pour bien me faire comprendre. Nous avons à peine fini de déplacer le banc qu'elle est déjà en train d'ôter ses chaussures et ses chaussettes et d'enlever string et pantalon qu'elle abandonne au sol. Elle n'est toujours pas mieux foutue, avec son bassin trop large, et sa peau trop pâle, mais ça m'excite de m'apprêter à la fourrer. Pendant que je finis de me déshabiller, elle regarde ma bite avec des yeux gourmands, puis elle me tourne le dos et grimpe sur la table. A quatre pattes sur le plateau de bois, elle m'exhibe son cul - elle a aussi les fesses trop plates ! -, elle m'exhibe son cul et sa chatte, passe une main sous son ventre, et, du bout des doigts, elle s'écarte les petites lèvres:
- Regarde où tu vas me la mettre, ta bite !
Je suis scié ! Elle est tellement impudique ! Sa vulve, luisante et d'un joli rose nacré, bée sous mon nez. Juste au centre, le petit trou sombre de son fourreau, dans lequel elle veut que je fourre ma queue. C'est marrant, elle a autour de la cinquantaine, et elle a la chatte d'une jeune fille. J'ai l'impression qu'elle a encore moins de poils que l'autre jour. Oui, je vais fourrer ma queue là-dedans ! Je vais mettre mon gland au chaud tout au fond de cet étui béant et je vais y décharger une dose de sperme. Elle s'introduit le majeur dans le vagin et se caresse, glissant son doigt alternativement dans son fourreau et sur son clitoris. Quelle salope elle fait, comme ça ! Si ses copines de la paroisse la voyaient ! Elle qui est chargée de faire le catéchisme aux enfants, et au passage, de leur inculquer la vertu, elle qui est chargée préparer les futurs couples aux ineffables joies du mariage chrétien ! Là, devant moi, j'ai une chienne en chaleurs qui réclame une saillie ! Putain, oui, je crois qu'elle est mûre pour se faire passer dessus par une bande de mâles en rut ! Et elle me fait bander, la salope ! Je me décalotte et je me branle lentement. Moi aussi, je commence à mouiller. C'est à la fois cette chatte béante et ce que Yolaine représente qui m'excite: cette bourge catho, rigide, coincée, qui est devenue une folle du cul, prête à tout pour un coup de bite ! Et tout ça parce que j'ai fait craquer le barrage qui retenait au fond de son ventre des décennies de conformisme, de frustration, de désirs refoulés. Maintenant que le flot de ses envies, de ses fantasmes a commencé à s'engouffrer dans cette brèche, elle est submergée et elle ne peut plus le retenir. Et là, c'est ça que je vais baiser : cette ex Marie-Chantal, réac, psychorigide, mégère, frigide, qui s'est métamorphosée en nymphomane hystérique. Et le coup de bite que je vais lui donner, je le sens, il ne va pas la calmer, il va au contraire entretenir, attiser le feu qui lui dévore le ventre.
- Allez ! Bouffe-moi la chatte !
Elle ôte sa main de son sexe, tourne la tête vers moi et se cambre:
- Alleeeeeeez ! Bouffe-moi la chatte !
Alors je m'avance, je me courbe un peu et, les mains posées sur ses fesses, je m'enfouis la tronche entre ses fesses. Instantanément, elle se met à feuler sourdement et écarte un peu plus ses genoux sur la table. Je lui passe la langue dans la raie, depuis les reins jusqu'à la chatte. Hhhmmmmmm, cette mouille qu'elle a étalé avec ses doigts, j'adore ! Je lui rentre ma langue dans la vulve. Elle gémit de plus belle, elle halète … D'elle même, elle passe sa main jusque sur sa fesse et l'écarte, s'ouvre pour m'aider à lui bouffer la chatte. Alors je fais pareil, avec mes deux mains: je l'ouvre, je l'écartèle … Aussitôt, elle glisse sa main sous son ventre et recommence à se doigter. Elle ne gémit plus sourdement, elle pousse des "Haa ! Haaaaa ! Hon ! Haaaa ! Ah ouiiiii ! Bouffe-moi ! Bouffe-moi ! " Elle m'effleure le menton, glisse ses doigts entre mes lèvres et celles de son sexe, introduit son index en elle, tout contre ma langue … elle veut sentir ma langue qui lui explore, qui lui fouille la chatte !
Et brusquement, elle m'échappe ! Elle s'est avancée d'un seul coup, et elle commence à se retourner, me bousculant d'un coup de genou:
- Allez, maintenant, prends-moi sur le dos !
- Attends. Tu ne veux pas que je mette une capote ?
- Non. Viens ! Je veux que tu jouisses dans mon ventre !
- Tu n'as pas peur de te faire ..
- Non. Je m'en fous ! Viens !!! BAISE-MOI !
Bon, comme tu voudras ! L'autre jour, je t'avais prévenue des risques. La voilà à moitié étendue au milieu de cette table, les pieds reposant juste sur le bord, appuyée sur les coudes, les cuisses largement ouvertes, offerte, impudique, indécente, et les yeux rivés sur ma bite.:
- Ça va ? Tu bandes assez, ou t'as besoin que je te suce encore ?
- Non, ça va, je bande assez. Tu m'a bien excité, à faire ta salope.
De nouveau, elle tend la main jusqu'à son ventre et recommence à se caresser sans aucune pudeur:
- Une autre fois, je te la sucerai, ta bite ! A fond !
- Ah bon ? Ça t'a plu, de me sucer ?
- Oh oui ! Mais là, tout de suite, je préfère que tu me baises ! Allez, vas-y, prends-moi ! BAISE-MOI !!!
Je m'avance, je colle mes cuisses au bord de la table et je passe mes mains sous ses reins. Elle se cambre pour m'aider et, d'un sel mouvement, je la soulève et je l'attire vers moi. Toujours appuyée sur les coudes, elle replie ses cuisses au-dessus de son ventre. J'empoigne ma queue et je la présente devant sa chatte. Je frotte mon gland contre ses petites lèvres, contre son clitoris. Je l'avais déjà remarqué, elle mouille vraiment beaucoup ! Je lève les yeux sur elle. Fascinée, elle regarde son bas ventre, elle contemple mon gland qui glisse sur elle, mon gland qui s'apprête à entrer en elle. A son tour, elle lève son regard sur moi. Elle déglutit, se passe la langue sur les lèvres. Dans ses yeux, je lis une fièvre, comme une supplique qui me dit « Mets ta queue dans ma chatte et baise-moi ! Féconde-moi ! ». Elle attend ce coït, mais surtout, elle attend que je répande ma semence dans son ventre. Alors, de mon gland, j'écarte ses lèvres … et je la pénètre. Elle s'effondre complètement sur le dos et, dans le même mouvement, elle descend ses jambes, passe ses mollets derrière moi et croise ses chevilles derrière mes reins. Cambrée, les mains à plat sur la table, de part et d'autre de son bassin, haletante, elle attend.
Je m'enfonce tout au fond d'elle, et avant que j'ai pu esquisser un premier retour en arrière, elle presse ses chevilles contre moi pour me retenir, et me lance:
- Bouge plus ! Reste un peu comme ça !
Je m'immobilise. Putain, ce que je suis bien, dans son ventre ! Comme l'autre soir, dans la sacristie, je la trouve très … étroite, très serrée. Voilà, nous sommes accouplés. Le mâle dans la femelle. Au fond, je n'en reviens pas ! Si on m'avait dit, il y a quelques mois, que je serais là, mon sexe en érection enfoncé dans la chatte de cette … mégère, prêt à forniquer, prêt à répandre mon sperme au fond de son vagin ! Nous sommes passés, elle et moi, d'une indifférence qui frisait parfois la franche hostilité à … l'intimité charnelle la plus étroite ! Que peut-il exister de plus intime que la pénétration d'un organe sexuel mâle dans un organe sexuel femelle ? Et ce n'est même pas pour nous reproduire, pour faire un petit ! Non, nous allons baiser uniquement pour jouir l'un de l'autre, pour nous donner mutuellement du plaisir ! Elle bouge … des mouvements du bassin, presque imperceptibles. Elle veut sentir ma queue en elle. Je pose une main sur chacune de ses cuisses et je la caresse, depuis les genoux jusqu'aux aines, avant de redescendre puis de remonter vers son ventre … et plus haut encore. Je soulève son chemisier et je glisse mes mains dessous … ses flancs … ses seins … elle ne porte pas de soutien-gorge … je remonte son chemisier et je découvre sa poitrine … C'est la première fois que je la vois. Pas très grosse, un peu pâle, comme le reste, mais des aréoles d'un brun très sombres, denses … Je me penche et je pose des baiser sur ses seins … puis je prends un téton entre mes lèvres et je le suce. Elle pose une main sur ma nuque et ronronne doucement en me caressant:
- Hhmmmmm … honnnn … hhhmmmmmm … c'est booonnnn … je sens ta bite dans mon ventre … tu vas … tu vas … éjaculer dans mon ventre hein ?
- Oui.
- Elle est vraiment dure, ta bite … je te fais bander ?
- Oui.
- Je te plais, alors !
- Tu m'excites.
- Hhhhmmmmm …
Elle se met à bouger son bassin avec plus d'ampleur, et soudain, je sens … autour de ma verge … oui, je sens son vagin se contracter … se relâcher … se contracter encore .. se relâcher …
- Tu sens ce que je fais ?
- Oui.
- T aimes ça ?
- Oui.
- Allez, baise-moi !
Elle ôte sa main de ma nuque et me repousse. Je me redresse et je commence à ressortir ma queue de son ventre. Je l'empoigne par les hanches. Elle me regarde avec … une espèce de tendresse dans les yeux … et de nouveau, elle glisse une main vers sa chatte. Tandis que je commence à aller et venir, sans aucune pudeur, elle se remet à se caresser. Ces ongles écarlates sur son ventre blanc … c'est bandant ! Et ces trois doigts, son index, son majeur et son annulaire, armés de ce rouge écarlate, qui lui pétrissent le clitoris ! Elle ne me quitte pas des yeux, portant son regard alternativement sur mon visage et sur mon ventre … sur notre coït. A sa mimique, je sens son plaisir monter: yeux mi-clos, bouche entrouverte, elle halète … Je vois son ventre se contracter peu à peu … Là, sous cette peau blanche, entre son clitoris et son nombril, il y a mon gland qui va et vient en glissant dans ses chairs tièdes et mouillées … mon gland gonflé, turgescent, qui prend de plus en plus de plaisir à lui fouiller le vagin.
Je suis en elle ! J'ai ma queue DANS son ventre ! Je suis DANS ma voisine ! Et je vais … je vais y répandre mon sperme ! A mon tour, je me mets à haleter. Et je le sens, c'est ma queue qui commence à prendre les commandes, c'est ma queue qui choisit l'ampleur et le rythme de mes va et vient … je ne pourrais bientôt plus décider, je ne pourrais plus m'arrêter … je vais jouir, je vais me répandre … elle le veut, et je n'ai pas besoin de me retirer … Aaaaah, Puuutaiiiiiin ! Soudain, mes reins me commandent de me propulser en elle … irrésistiblement … et un spasme de ma prostate et de mon anus m'annonce que je vais éjaculer ! Je ne peux retenir un râle … et je jouis ! Je sens mon sperme fuser dans mon urètre … je le sens jaillir de mon méat et inonder le ventre de Yolaine … je sens la chaleur de ma semence se répandre autour de mon gland … Rââââââââhhhh, putain ! Souffle coupé, je donne de petits coups de reins. Elle sent que je jouis, elle sent que j'éjacule, et soudain, elle se met à osciller de la tête de droite à gauche … de plus en plus fort … presque violemment … elle aussi, est en train de jouir ! Je vois son ventre se creuser et ses abdominaux tressauter … et autour de ma verge, son vagin se contracte en vagues de spasmes successives … elle soulève son torse de la table, comme par réflexe, et retombe lourdement … sa tête heurtant le bois … une fois … deux fois … trois fois … et elle râle de plaisir …
Ah putain, quel pied ! J'ai fini de jouir … je sens ma queue baigner dans le cocktail de son fluide vaginal et de mon sperme … je suis bien. Elle aussi, se calme … elle a posé un bras sur son visage, les yeux au creux de son coude, et elle reprend son souffle en s'humectant les lèvres avec sa langue. Je regarde son ventre, apaisé, se soulever au rythme de sa respiration … son ventre … avec ma queue à l'intérieur … ma queue enspermée qui ne débande pas. Je lui caresse la taille, les hanches, le ventre, les aines, les cuisses … Elle ôte son bras de son visage, me regarde, sourit, se cambre, comme pour mieux me sentir en elle, et elle s'accoude sur la table:
- Tu m'as baisée … j'ai senti … ta bite qui … quand t'as joui, j'ai senti ta bite qui me répandait ton sperme dans mon ventre … j'ai ton sperme dans mon ventre !
Elle tend la main et, du plat de sa paume, elle se caresse le ventre. Elle est comme … émerveillée ! Pourtant, ça lui est déjà arrivé, d'avoir du sperme dans le ventre ! Avec son mari, même si ils ne faisaient pas certaines choses, il devait la baiser en missionnaire de temps en temps … Si ça se trouve, à l'époque, elle trouvait ça dégueulasse, d'avoir du sperme dans le ventre. Avant que j'aie pu dire quoi que ce soit, elle retombe sur le dos et enchaîne:
- Ah la la, ça me plaît, de me faire baiser ! Avant …
A ses yeux soudain dans le vague, je vois que, mentalement, elle est partie dans son passé:
- Avant, ça me dégoûtait … ça … le sperme. Quand … quand Eric me … me faisait … quand il avait … joui … tout de suite après, il fallait que j'aille me laver …
Eric, c'était son mari. Bien plus sympa qu'elle, à l'époque. Il ne devait pas rigoler tous le jours, le Eric, avec sa mégère ! Elle revient à l'instant présent:
- Mais là … là, ça me plaît d'avoir ton sperme dans mon ventre. Et même … même, je voudrais bien avoir le sperme de plusieurs hommes … dans mon ventre …
Elle se redresse, s'appuie d'une main sur la table, et de l'autre, elle me caresse le ventre.
- Ça me plaît de me faire baiser seulement pour … pour le plaisir … non, en fait, c'est pas seulement pour le plaisir ! En fait, ce qui me plaît, c'est de me faire baiser pour le plaisir ET pour la débauche … pour … pour le vice … être vicieuse … faire ma salope, comme tu dis … me faire baiser sur une table … sur CETTE table !
Elle retombe sur le dos et, les bras étendus, elle … caresse le plateau de la table:
- Dans quinze jours, je vais avoir des invités à déjeuner … de la famille … et quand on va manger à cette table, je vais repenser à … à maintenant … à ce qu'on est en train de faire …
Je me trompe, ou elle s'en régale d'avance ? Elle reprend:
- Tu sais, je fais … c'est moi qui fais la préparation au mariage, pour les couples qui veulent se marier à l'église…
- Oui, je sais …
- Hier … hier soir … j'ai … j'ai reçu un couple pour ça … à la sacristie … et j'ai pas arrêté de penser à nous deux, samedi … à ce que tu m'as fait samedi … Tu sais, avec ce couple, on était assis autour de la table … moi d'un côté, et eux … eux, ils étaient assis en face de moi, juste à l'endroit où tu m'as … où tu m'as baisée … et je me revoyais sans arrêt, allongée là, sur le dos, les cuisses écartées, pendant que je leur parlais d'engagement dans la foi et tous ces trucs-là … et en fait, je n'arrivais pas à me concentrer, je ne pensais qu'à ta BITE dans mon ventre ! Et à ta langue … là, dans ma CHATTE !
De nouveau, du bout des doigts, elle s'écarte les petites lèvres et m'effleure la verge. Tout en se caressant, elle poursuit:
- Je vais arrêter … je vais arrêter les préparations au mariage et le catéchisme …
- Pourquoi !
- Ben … parce que .. je .. je pourrais pas continuer de faire ça dans cette sacristie où on a fait … ça !
- Mais … au contraire ! Ça ne t'a pas plu, de leur parler de ça, à ce couple, en pensant à ce qu'on avait fait ?
- C'était gênant …
- Ah bon ? Mais, dans quinze jours, quand tu vas avoir tes invités autour de cette table, tu vas aussi te sentir gênée ?
- Euh … non .. je pense pas … au contraire … mais c'est pas pareil, ça me … j'attends même ça avec impatience …
La voilà toute pensive. Tout en continuant de la caresser, je me remets à aller et venir en elle. Ça fait des bruits mouillés, du côté de sa chatte. J'adore ça ! Et ça n'a pas l'air de la gêner. En plus, une idée s'impose peu à peu à moi: là, je touille mon sperme dans son ventre avec ma queue, et j'ai la conviction qu'en lui imprégnant les muqueuses avec mon sperme, avec mes hormones masculines, je contribue à la rendre … oui, accro, addicte à la bite ! Moi, ça m'a fait la même chose quand je me suis fait remplir de semence par des mâles ! En se répandant dans mes entrailles, en imprégnant les parois de mes intestins, en pénétrant mes chairs, leurs spermes ont fait de moi un junky de la bite qui a besoin de se faire injecter régulièrement sa dose de foutre ! Elle se redresse encore et, tirant sur ses abdominaux, elle glisse ses deux mains jusqu'à ses aines et elle se caresse l'intérieur des cuisses, depuis l'entrejambe jusqu'aux genoux, avant de remonter et de se tripoter la chatte autour de ma queue:
- Là, tu vois, ce que j'aimerais, maintenant … c'est me faire prendre par d'autres hommes … plusieurs ... plein d'hommes … comme toi tu t'es fait prendre … et que, les uns après les autres, ils me BAISENT, ils me BAISENT, ils me BAISENT !
Elle retombe sur le dos, ne laissant qu'une main sur sa chatte. Elle s'active sur son clitoris:
- … et qu'eux aussi, ils jouissent dans mon ventre … qu'ils me remplissent le ventre de sperme !
A l'évocation de ces hommes qui la baiseraient et l'insémineraient, je sens son excitation monter à nouveau … elle se passe la langue sur les lèvres, déglutit, se cambre, s'active de plus en plus vigoureusement d'une main sur son clitoris, se caresse le flanc de son autre main, la remonte jusqu'à sa poitrine et se caresse les seins, se les pétrit, se les malaxe … elle halète, elle gémit, elle oscille de nouveau de la tête de droite à gauche … je vois son ventre se creuser et se contracter, et brusquement, je sens de nouveau son vagin se serrer convulsivement autour de ma queue … elle jouit encore ! Elle jouit en gémissant, elle se cambre, elle me presse les reins de ses chevilles croisées, elle se malaxe furieusement le clitoris … Putain, que c'est beau, une femelle qui aime le sexe à ce point, une femelle qui se donne du plaisir d'une manière aussi impudique, une femelle qui s'abandonne aussi totalement à la jouissance … La tête rejetée en arrière, la nuque comme brisée, son corps arqué, comme tétanisé par cet orgasme, son gémissement se transforme en un râle qui lui remonte du fond du ventre … Ça dure comme ça … presque une minute. C'est long, une minute ! Je n'ai jamais vu une femme jouir aussi violemment et aussi longtemps … Ce spectacle incroyable et ce fourreau de chair chaude et humide, qui enserre mon sexe en vagues de spasmes successives … à mon tour, je jouis ! Les doigts crispées dans le gras de ses hanches, je me bloque contre elle, pubis contre pubis, mon gland au fond de son vagin, et de nouveau, mon plaisir explose au fond de son ventre en une intense éjaculation qui me coupe le souffle, qui me contracte à la fois les abdominaux et les cuisses …
Enfin, d'un seul coup, je la sens retomber, toute molle, haletante, à plat sur la table … Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, elle reprend son souffle … son ventre et sa poitrine se soulèvent en rythme … Puis elle ouvre les yeux, redresse la tête, me regarde, me sourit:
- Ah la laaa ! J'ai cru que mon cœur allait s'arrêter … j'ai cru que j'allais … mourir !
Elle tend la main vers moi:
- Aide-moi à me redresser.
Je prends sa main et je l'attire vers moi. Dans l'effort qu'elle fait pour se redresser, un gargouillis de bulles s'échappe de sa chatte. Pas du tout gênée, elle rit. Les fesses au bord de la table, ma queue toujours en elle, elle dénoue ses jambes d'autour de ma taille et les descend derrière mes cuisses. Elle pose ses avant bras sur mes épaules et croise ses mains derrière ma nuque:
- J'avais jamais joui comme ça.
- Ça ne m'étonne pas. Moi, je n'avais jamais vu un orgasme aussi fort et aussi long. C'est de fantasmer comme ça sur des types qui te baiseraient à la chaîne qui t'a excitée à ce point ?
- Oui … et aussi … et aussi d'imaginer qu'ils me … qu'ils remplissent mon ventre … de sperme.
- Ah oui ? Ça te fait envie à ce point ?
Elle me fixe et hoche la tête:
- Oui. Je deviens folle, non ?
- Ben non. Moi aussi, ça ma fait ça. C'est tellement intense, de sentir un type éjaculer sa semence au fond de soi ! Et alors, quand ils sont plusieurs à le faire, l'un après l'autre … je te dis pas ! Je ne sais pas comment dire … en plus du plaisir physique, il y a une espèce de volupté cérébrale … C'est pour ça que je me fais baiser sans capote. Et après, j'aime garder ça au fond de moi le plus longtemps possible …
Notre position n'est pas idéale, mais je continue d'aller et venir doucement en elle. Ça fait un bruit visqueux et je sens quelque chose de tiède et humide s'écouler sur mes couilles. Je sens aussi que je commence à débander. J'allais poursuivre, mais elle me coupe la parole:
- Oui, j'avais remarqué …
- Ah bon ?
- Oui. Le jour où tu t'es fait baiser par tous ces types, dans cette ferme … quand tu es rentré, que tu t'es montré à moi sur la cour dans cette …tenue, quand tu t'es tourné et que tu t'es penché pour prendre ton sac dans ta voiture, j'ai vu que tu avais les fesses … les fesses souillées … et le haut des cuisses aussi. Sur le coup, je me suis demandé ce que c'était … j'ai cru que tu avais fait sous toi et j'ai trouvé ça dégueulasse. C'est seulement après, quand tu m'as montré les photos de ces hommes qui te … qui te baisaient, que j'ai réalisé que ça pouvait être … du sperme … leur sperme, qui ressortait de ton cul ! Et … tu sais quoi ?
- Ben non.
- Et ben, en me disant que c'était sûrement leur sperme et pas … autre chose, et ben … au fond de moi, je n'ai plus trouvé ça dégueulasse ! J'avais beau me dire que t'étais un sale pervers, c'était plus fort que moi, je trouvais que tu avais de la chance !
- Tu m'enviais ?
- Non. Ce jour là, je ne t'ai pas envié. Je me suis seulement dit que, si c'est ce que tu aimais, c'était bien que tu le fasses. Et tu vois, c'était la première fois de ma vie que j'approuvais une chose tellement contraire à … à mes principes, à mon éducation …
- Oh, il y avait déjà eu la séance avec le grand black, dans mon jardin … Ce jour là ….
- Non ! C'était pas pareil. Avec ce grand black, vous … vous m'aviez excitée, mais je culpabilisais … j'ai culpabilisé longtemps, d'ailleurs, à cause de ça … Non, le jour où je t'ai envié pour ça … pour … pour le sperme qui te dégoulinait encore sur les cuisses quand t'es rentré chez toi, c'est le jour où tu m'as dit que … comment tu m'as dit ? Ah oui, que tu venais DE TE FAIRE cinq mecs. Là, ça m'a sidérée, mais … oui, je t'ai envié, j'ai fantasmé que je me faisais aussi baiser par cinq types … et plutôt que de refouler cette idée, et de culpabiliser, je … je me suis caressée, je me suis donné du plaisir … Je pense que c'est là que j'ai changé … que quelque chose a … basculé en moi.
Ma queue, toute molle, glisse toute seule hors de son vagin … ffffflaaatch ! Elle baisse le nez, ôte sa main droite de mon cou et la glisse entre ses cuisses. Je vois ses doigts se glisser entre ses lèvres et fouiller son intimité. Puis elle remonte sa main à hauteur de nos visages. Ses doigts sont luisants et maculés de traces blanchâtres.
- C'est ton sperme ! J'ai ton sperme dans mon ventre !
De nouveau, elle semble fascinée. Elle contemple sa main, la tourne, hésite, puis introduit son majeur entre ses lèvres et le suce consciencieusement. Elle le ressort et fait la même chose avec son index. Puis:
- C'est … c'est même pas écœurant ! J'en avais jamais … mangé. Je croyais que c'était écœurant. C'est pas écœurant.
- Ben non.
- T'aimes ça ?
Plutôt que de lui répondre, je saisis sa main et, à mon tour, je lui lèche les doigts. Elle me regarde, sourire aux lèvres, et aussitôt, elle plonge sa main gauche vers son ventre et la remonte, tout aussi maculée que la première. Elle attend que j'aie fini de lui nettoyer la main droite et elle me tend l'autre. Tout en me regardant, toute souriante, lui lécher les doigts, elle replonge sa main droite entre ses cuisses, la remonte et ensemble, nous dégustons le cocktail de son fluide vaginal et de mon sperme. Soudain, elle me repousse:
- Pousse-toi, je vais te sucer !
- Quoi ?
- Je vais te sucer. Je veux que tu éjacules dans ma bouche !
- Ah ben, ça va pas être possible.
- Pourquoi ?
- J'ai déjà joui deux fois, je te rappelle.
- Aaaaaaah !
Elle paraît vraiment déçue:
- Une autre fois, alors ?
- Oui, on verra. Et là, il faudrait que j'y aille.
- Pourquoi ?
- Le type de tout à l'heure doit m'envoyer un mail.
- Dis … je …
Elle se mord la lèvre, semble hésiter. Je lui demande:
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Non, rien. Tu me raconteras ? Ce qu'ils vont te faire, chez ce type …
J'ai l'impression qu'il y avait autre chose, mais je sens qu'elle s'est soudainement refermée.
- Oui, je te raconterai.
La main sur ma poitrine, elle me pousse violemment:
- Bon, ben, vas-y, alors !
Elle descend de la table, ramasse ses vêtements, et, pendant que je me rhabille, elle disparaît dans l'escalier. Me voilà congédié. Son côté mégère a repris le dessus. Chassez le naturel, il revient au galop !