Récits pornographiques

Mardi 2 mai 2017 2 02 /05 /Mai /2017 01:00

Mercredi 15 novembre. 15 heures.

Après-midi ensoleillé, mais plutôt frais. Pour préparer notre dernière randonnée d'automne, avec quelques membres de mon club, nous sommes partis faire une petite balade de reconnaissance dans la campagne. Alors que je marche en tête du groupe avec mon pote Roger, la sonnerie d'un téléphone retentit sourdement derrière nous. Je n'y fais pas plus attention que ça. Moi, je n'ai pas pris de portable. Ça doit être celui d'un des marcheurs qui nous suivent. C'est Cécile qui se porte à ma hauteur et me tape sur l'épaule:

- Dis, c'est dans ton sac à dos que ça sonne. Tu n'entends pas ?

 

J'entendais, mais ça me semblait venir de plus loin que mon épaule. J'ai un portable dans mon sac à dos ? Je plonge la main dedans et j'en sors … tiens, c'est le portable qui me sert pour mes affaires de cul ! J'avais oublié qu'il était là, celui-ci ! Rien que de le dégainer et de l'ouvrir devant mes compagnons de rando, une espèce de délicieux frisson me parcourt de la nuque aux reins. Je sais bien qu'à leurs yeux, ce n'est qu'un objet très anodin, mais pour moi, il est chargé d'une sorte d'aura de luxure, de débauche, de lubricité, tellement il est lié à des histoires de bites et de cul. C'est un peu comme si j'exhibais devant eux, par accident, un de mes godemichés. 

 

- Allô …

- Euh … bonjour … je suis bien chez … Marin ?

- Oui, c'est moi …

- Bonjour, je m'appelle Lionel … je vous appelle de la part de Jacky … vous voyez qui ?

- Jacky ? Oui, je vois …

 

Je ralentis le pas. Oui, Jacky, je vois très bien qui c'est. Et pour cause ! C'est un des cinq ou six types à qui Denis, Dominique et Yann m'ont offert le mois dernier dans un café de M. ! C'est aussi lui qui voudrait que j'aille au tapin pour lui, et surtout, c'est lui qui s'est pointé chez moi, il y a quinze jours ou trois semaines, avec quatre autres types pour me baiser. C'est curieux, d'ailleurs, depuis, je n'ai plus la moindre nouvelle. Je m'attendais à ce qu'il revienne à la charge rapidement, parce que, soit disant, il avait un studio en vue pour que je commence à y faire des passes. Alors, je ne sais pas qui est ce Lionel qui m'appelle de sa part, mais si c'est Jacky qui lui a donné mon numéro, il m'appelle forcément pour du cul, pour de la bite … 

 

Alors, instantanément, en entendant prononcer "Jacky" par cet inconnu, quelque chose frémit en moi du côté de mon bas-ventre, du côté de ma prostate, et du côté de mon anus … et, immédiatement, je sais que, non seulement ce type au téléphone va me proposer une partie de bite et de cul, mais que, quoi qu'il me propose, je vais accepter … et je vais accepter pas seulement parce que si Jacky est derrière ça, la menace qu'il me dénonce pèse toujours sur moi … non, je vais surtout accepter parce que j'en ai envie … depuis quelques jours, je commence à être sérieusement en manque de queues ! Le type … ce Lionel … reprend:

- Voilà, il m'a dit que … que vous avez … participé à … disons une … partouze, quoi … avec lui … c'est bien ça ?

- Quelque chose comme ça, oui …

- Il m'a … il m'a aussi montré une vidéo où vous … où vous vous faites euh … enfin … vous voyez ce que je veux dire … par plusieurs hommes … dans une ferme … 

 

Putain ! Une vidéo ? Où il a eu une vidéo, le Jacky ? Qui a bien pu lui filer une vidéo de mon gangbang chez Jean-Claude ? J'en reste scotché. Qu'il aille raconter mes turpitudes à mon voisinage, ça ne serait que sa parole, et je pourrais toujours nier, mais s'il détient une vidéo … j'espère qu'au moins, c'est une vidéo où ma tronche est floutée. Comme je ne réponds pas, le type insiste:

- Allô ? Alors, vous voyez de quoi je parle ? C'est une vidéo où on vous voit vous faire mettre sur un … matelas, par quatre types, les uns derrière les autres … au milieu de la cour d'une ferme et devant au moins une dizaine d'autres types … à poil, eux aussi … vous voyez ou pas ?

- Si, si … je vois, je vois …

- Ah bon ! Oui, alors, je vous appelle pour …

- Attendez un instant … ne quittez pas …

 

Vu la tournure que prend la conversation, je ne peux pas discuter de ça au téléphone en présence de mes compagnons de randonnée, qui attendent que nous reprenions notre balade. Alors je me tourne vers eux:

- Continuez … je vous rattrape…

 

Surpris, ils protestent:

- Non, on t'attend …

- Ça va peut-être durer un moment …

- Ton correspondant ne peut pas te rappeler ?

- C'est urgent, on dirait … allez-y, je vous suis …

- Bon …

 

Ils commencent à s'éloigner en ronchonnant … sauf Yolaine. Ah oui, il faut que je vous dise: quand j'ai rejoint les membres du club, tout à l'heure, sur la place du village, j'ai eu la surprise de trouver ma voisine parmi eux. Toute équipée pour une rando … chaussures de marche, bonnet, gants, doudoune … tout ! C'est la première fois qu'elle participe. Mes potes, visiblement aussi surpris que moi, m'ont lancé des coups d'œil éloquents « Tu as vu qui nous a rejoints ? ». Surtout qu'elle ne leur a jamais témoigné que de l'hostilité. J'ai fait semblant d'être aussi étonné qu'eux, mais au fond, je suis convaincu que c'est la suite de notre partie de cul de samedi dernier, dans la sacristie. Comment elle a su qu'on faisait une marche aujourd'hui ? Alors, en lui serrant la main:

- Tiens, Yolaine, qu'est-ce que vous faites parmi nous ? C'est la première fois …

- Oui. J'ai envie de me mettre à la randonnée. Alors votre président m'a autorisée à vous accompagner aujourd'hui … pour essayer.

- Ah, OK. Bienvenue, alors.

- Merci.

 

Oui, devant les autres habitants du village, j'ai spontanément repris le vouvoiement, même si, samedi dernier, nous avons fait plus que nous tutoyer ! Elle doit avoir l'intention de me coller. Mais je dois le reconnaître, depuis le début de cette rando, elle n'a rien manifesté de particulier à mon égard devant eux. Elle discute avec les uns, avec les autres, et fait avec moi comme si de rien n'était. Alors, ils commencent à s'éloigner, et, mettant la main devant mon téléphone, je dis à Yolaine:

- Allez-y, je vous rattrape.

- Non, je t'attends.

 

La garce ! Jusqu'à présent, devant les autres, elle m'a aussi vouvoyé, mais, maintenant qu'ils se sont éloignés, je sens dans son tutoiement comme … une menace ? Putain, ils ne vont pas tous se mettre à me faire chanter ! Oh, et puis merde ! Je laisse les autres prendre une quinzaine de mètres d'avance, et, tout en leur emboîtant le pas lentement, je reprends avec ce Lionel:

- Bon, allez-y … vous me voulez quoi …

- Hemmmm … Jacky, la dernière fois que vous l'avez vu … vous vous souvenez ?

- Ben … oui.

- Il … il vous a parlé de faire un essai, non ?

- Un essai ? 

- Oui, un essai … vous savez, pour …

- Oui, je vois.

 

Ah, c'est ça ! Il voulait que je fasse un  essai de tapin ! Quel rapport avec ce type qui m'appelle ?

- Ben, c'est ça. Ça serait pour que vous veniez faire la même chose chez moi … une partouze, quoi …

- Si vous parlez de ce qui s'est passé dans cette ferme, c'était pas exactement une partouze …

 

Mes compagnons de randonnée sont à bonne distance maintenant, mais j'ai quand même baissé le ton en prononçant les derniers mots, tout en sachant qu'ils n'échapperaient certainement pas à Yolaine. Devant elle, ça ne me gêne pas de parler de ça. Et en effet, ça ne lui a pas échappé: elle hausse les sourcils, me regarde en souriant et s'approche encore un peu, intéressée. Le type au téléphone est surpris:

- Ah bon ?

 

Je perçois du désappointement dans sa voix. Alors je m'empresse de préciser, toujours à voix basse:

- Non, c'était pas une partouze, c'était une tournante … ou un gang bang, pour être exact …

- Ah, oui, d'accord. Vous jouez sur les mots. Tout ça, c'est à peu près la même chose, et je …

- Attendez !

 

Je lui ai coupé la parole. Je masque encore mon téléphone et je regarde Yolaine:

- Bon, vas-y, maintenant. Rejoins les autres.

- C'est pour … ton  correspondant, là, c'est pour … du … sexe ?

- Oui, c'est pour du sexe !

- Tu me raconteras ?

- Oui. Vas-y !

 

Satisfaite, elle sourit, me fait un signe de la main  et s'éloigne. Je reprends avec ce … Lionel:

- Oui, excusez-moi. Bon, ben non, une partouze, ce n'est pas la même chose qu'une tournante ou un gangbang. Si vous m'appelez pour une partouze, ce n'est pas la peine, ça ne m'intéresse pas !

- Ah bon ? Mais … comment ça …

- Dans une partouze, tout le monde baise avec tout le monde. Moi, ce que j'ai fait, c'était un gang bang. Dans un gangbang, il n'y en a qu'un qui se fait baiser par tous les autres … 

- Ah, OK ! Et dans votre… gangbang, c'est vous qui vous êtes fait … baiser.

- Oui, c'est moi qui me suis fait baiser … 

- Oui, ben voilà, c'est ça … J'ai pas employé le bon terme, mais c'est ça. Oui, ce que Jacky m'a expliqué, c'est que pour votre … gangbang, il y avait une trentaine de … participants … C'est vrai ?

- Oui, c'est vrai …

- … et ils vous ont tous … baisé …

- Oui … j'en ai aussi sucé quelques uns …

- Ah oui ?

 

Je l'entends se râcler la gorge. Ça y est, je le sens, il va me demander quelque chose. Allez, lance-toi, mec ! Si c'est pour me faire encore passer dessus par une bande de mecs en rut, c'est OUI … trois fois OUI ! Des images de types à poil, leur bite en érection à la main qui font la queue pour me fourrer m'assaillent. Parler sexe au téléphone avec cet inconnu, c'est d'autant plus excitant qu'à vingt mètres devant moi, il y a une demie douzaine de mes connaissances qui ignorent tout de mes activités de débauche … Yolaine exceptée, évidemment. 

 

Je laisse venir ce Lionel. Il reprend:

- Une trentaine … Ben dites donc, bravo ! Félicitations. Alors, voilà … si Jacky m'a parlé de ça, c'est parce que … il voudrait que vous fassiez l'essai dont il vous a parlé ... chez moi. Alors il m'a donné votre numéro … pour que je vous appelle de sa part …

- Pourquoi il ne m'appelle pas lui-même ?

- Il ne peut pas, en ce moment. Mais pour ce que j'ai à vous dire, lui ou moi, c'est pareil ….

- Admettons. Et alors ?

-  Ben, il m'a chargé d'organiser votre … essai … CHEZ moi … avec d'autres hommes, donc. Et il avait l'air sûr de lui. Il m'a dit … « il pourra pas refuser si tu l'appelles de ma part ».

 

Ouais, ça ne m'étonne pas. Je ne sais pas ce qu'il lui a dit exactement, mais je me doute: si je refuse, il me balance. J'hésite une seconde, puis:

- Bon, dites toujours.

- Ah bon … bon, très bien … je vous explique ?

- Je vous écoute …

- Voilà … je dirige un hôtel à N. … c'est là que ça se passerait … vous voyez où c'est ?

- Oui, N., je connais, c'est pas très loin de chez moi … je vois … en effet, un hôtel, dans la zone commerciale, à côté d'une pizzeria, je crois …

- Voilà, c'est ça … entre la pizzeria et le restaurant de viande …

- Oui, c'est ça … et ça se passerait dans votre hôtel ?

- Oui, exactement … il s'agirait que vous veniez faire votre … essai …

- … que je vienne me faire baiser … c'est ça ?

- Oui.

- Dans votre hôtel ?

 

Une vingtaine de mètres devant moi, mes compagnons de rando se sont quand même arrêtés, et m'attendent en me regardant. Je m'efforce de parler à voix basse, mais j'espère qu'ils n'ont pas entendu ce que je disais … De la main, je leur fais signe de continuer. Ils secouent la tête d'un air agacé, mais ils redémarrent. 

Le type au téléphone:

- Oui, c'est ça, dans mon hôtel.

- …

- Allô … Allô !

- Oui, je vous écoute …

- Ah, je ne vous entendais plus … j'ai cru que la communication était coupée…

- Non, mais je suis avec des amis, tout près … nous sommes en train de nous promener …

- Ah bon ? Je peux vous rappeler …

- Non, non, c'est bon … ils sont assez loin, maintenant …

- Oui, je disais … je voudrais que vous veniez vous faire … baiser, donc … dans mon hôtel … par des … par des hommes, évidemment.

- Bon. C'est d'accord.

 

Il y a un long silence. Le type ne devait pas s'attendre à ce que j'accepte si rapidement. Alors je confirme:

- Vous m'avez entendu ? Je suis d'accord.

- Ha ! … Ben, on peut dire que c'est pas compliqué, avec vous … 

- Vous savez, pour en arriver au même résultat à la fin, autant être direct … tout le monde gagne du temps …

- Mmmoui … mais … vous voulez pas en savoir plus ?

- Si ... si vous voulez … expliquez …

- Voilà, en fait, on fait ça, de temps en temps, dans mon hôtel. On a quelques habitués … des hommes, je veux dire … Je ferme l'hôtel et je fais venir ces hommes, et … ils … ils viennent pour … pour ça, quoi … pour baiser … comme vous dites …

- Bon, ben ça me va …

- Vous … voulez pas savoir combien d'hommes ?

- Ah si, dites toujours …

- Alors, ça dépend des fois, ils sont plus ou moins nombreux, selon si ils sont disponibles ou pas … des fois, c'est seulement une dizaine, mais une fois il y en a eu une quarantaine … et un peu plus, même …

 

Aussitôt, je sens monter d'un cran l'espèce de délicieux frémissement qui a réveillé mon anus et ma prostate … quarante mecs !

 

- Allô ?

- Oui, oui, je vous écoute …

- Ah, je vous entendais plus … donc … je sais pas combien il en viendra pour vous, mais voilà … je voulais que vous sachiez que ça a déjà été jusqu'à quarante … mais ça peut être seulement dix … ou plus … ou moins …

- Ça me va … 

- Même quarante ? Je … je sais pas si il en viendrait quarante, mais … au cas où …

- Oui, oui, quarante, ça me va … Je m'en suis déjà fait une trentaine.

- Ah bon … alors, euh … bon, très bien … et ça serait possible quand, pour vous ? Ah oui, faut que je vous dise … ça serait forcément un dimanche … c'est le seul jour où je peux me permettre de fermer … on a une clientèle surtout professionnelle, et le dimanche, en général, on n'a pas de clients.

- Alors, dimanche qui vient ?

 

Dans quatre jours. 

- Ah ben … ce dimanche ? Ça fait un peu court. Je ne pensais pas que vous pourriez si rapidement … Mais … bon … pourquoi pas. Je vais m'arranger.

- Dimanche 19, alors. OK ?

- OK. Je vous explique où c'est ?

- Je sais où c'est … Envoyez-moi seulement un mail de confirmation … je vous donne mon adresse-mail ….

- Non, non, je l'ai … Jacky me l'a donnée. Je fais ça, je vous envoie la confirmation … et … vous pourrez venir vers quelle heure ?

- Le matin ?

- Oui, d'accord, le matin. Et… euh … sur la vidéo, j'ai vu … vous portiez des … de la lingerie …

- Oui …

- Si vous pouviez venir avec ce genre de tenue, ça serait top …

- Pas de problème …

- Bon, ben … à dimanche …

- A dimanche …

 

La conversation terminée, je hâte le pas pour rattraper le groupe. Je réalise que, dans mon string, c'est comme si mon sexe s'était mis à peser un peu plus lourd ... et je sens qu'une petite tache fraîche et humide s'est étalée dans la dentelle, au bout de ma queue. Quand je rejoins les marcheurs, Yolaine m'observe avec insistance. Dès que je croise son regard, elle hausse les sourcils d'un air interrogateur. Aussi discrètement que possible, j'acquiesce en souriant. Elle sourit aussi. Sans un mot, nous nous sommes compris.

 

Hhmmmmm! Je vais encore me faire passer dessus par une bande de bonshommes ! Que des mecs qui m'ont déjà baisé me contactent pour recommencer, c'est déjà tellement … gratifiant et excitant … Mais là, c'est un type qui ne me connaît même pas, et qui va organiser un gang bang pour moi … Enfin, je sais bien qu'il fait ça pour lui et ses … habitués, comme il dit, mais ce sera comme la tournante chez Jean-Claude, si eux se servent de moi et de mon cul, moi, je me servirai d'eux et de leurs bites. Cette fois, bien sûr, la perspective de me faire encore fourrer par une bande d'inconnus m'excite, mais je ressens quelque chose de nouveau … et c'est à la fois cérébral et émotionnel: depuis ce gangbang chez Jean-Claude, on dirait bien que ma réputation fait son chemin à grands pas ! Je suis devenu la salope, la viande à bites, le vide-couilles qu'on offre à d'autres types, ou dont on refile le numéro de téléphone à des mecs qui ont besoin de se soulager ! Je me sens à la fois fier et un peu ému comme si je venais d'être élu la "Miss coups de bites" de l'année ! 

 

C'est euphorique et excité, la tête pleine d'images de sexe que je me remets en marche au même rythme que mes compagnons de rando. C'est Cécile qui se montre la plus curieuse:

- Dis donc, ça avait l'air important, ton coup de fil …

- Oui, assez. 

- C'était pour affaires …

 

Elle a employé un ton moqueur ! Si je te disais de quelles affaires il s'agit, tu serais bien surprise, ma poule. Je lui adresse un grand sourire:

- Exactement ! C'était pour affaires …

 

Pendant la suite de notre randonnée, obnubilé par ce qui va m'arriver dans quatre jours, je ne suis les conversations que distraitement. Bien que nous restions toujours assez près du reste du groupe, Yolaine, que la curiosité démange, finit par trouver le moyen de me demander discrètement:

- Alors ?

- Chuuut !

- C'était pour … c'était pour te faire …

- Oui.

- Encore ? 

- Oui.

- Tu me diras ?

- Oui.

 

Alors, jusqu'à la fin de notre balade, elle me jette des coups d'œil appuyés. Je le sens, son imagination la travaille. Elle brûle d'envie de savoir. Une fois revenus sur la place du village, le groupe se disperse, et elle et moi nous dirigeons vers notre quartier. Immédiatement, elle attaque:

- Alors, raconte. Tu vas encore te faire … baiser ?

 

Elle a marqué un temps, puis a prononcé "baiser" sur un ton gourmand. Après s'être retenue tout au long de notre virée dans la campagne, elle se lâche. Comme l'autre soir, elle se délecte littéralement de parler crûment. Putain, quelle métamorphose ! Elle a changé du tout au tout. Quand je pense que c'est moi qui ai déclenché ça !.

- Oui, je vais encore me faire baiser.

- Quand ?

- Dimanche.

- Dimanche prochain ?

- Oui.

- Et par qui ?

- Je ne sais pas.

 

Depuis que nous avons quitté les autres marcheurs, elle s'est retournée deux ou trois fois, comme pour vérifier si nos compagnons de rando nous voyaient encore. Une fois que nous avons tourné au coin de l'église, hors de leur vue, elle me prend par le bras:

- Tu sais pas par qui tu vas te faire baiser ? ! ? !

 

A son ton, je la sens à la fois excitée et sidérée que je ne sache pas par qui je vais me faire baiser.

- Non, je ne sais pas. Le type qui m'a appelé, je ne le connais pas. Il a eu mon numéro par celui qui est venu chez moi l'autre jour, tu sais, avec sa Mercedes.

- Ah oui. Et c'est lui, le type qui t'a appelé, qui va te … te baiser ?

- Euh, non, je ne pense pas. Lui, apparemment, il organise ça pour d'autres types.

- Ah bon ? Pour d'AUTRES types ! Mais alors, ils vont être plusieurs !

- Oui, c'est ce qu'il a dit.

- Alors, comme … comme tu as déjà fait l'autre fois … dans cette ferme.

- Oui, mais cette fois, ça va se passer dans un hôtel.

 

Ça carbure à fond, dans sa tête. Pendant quelques secondes, elle réfléchit, puis:

- Mais … ils vont te faire quoi ? Il te l'a dit ?

- Il ne m'a pas dit précisément ce qu'ils vont me faire, mais ils vont sûrement …

- T'enculer ?

 

Ah putain ! Elle ne m'a pas laissé finir, et elle a dit ça en me regardant, un sourire radieux sur le visage. Visiblement, elle prend beaucoup de plaisir à utiliser ce vocabulaire … comme l'autre soir, à côté de l'église puis dans la sacristie. Et son vocabulaire s'élargit.

- Ben oui, ils vont sûrement m'enculer …

- Et tu vas les sucer ? Tu vas leur sucer … la bite ?

 

C'est un festival ! Elle a marqué juste une fraction de seconde d'hésitation avant de dire "la bite", comme si elle se régalait par avance d'avoir ce mot-là dans la bouche. Et à son ton, à la pression de sa main sur mon bras, je sens que cette idée l'excite beaucoup.

- Ben … oui, je vais sûrement leur sucer la bite.

- Et ils vont … ils vont être combien ?

- Je sais pas. Il a dit peut-être une dizaine … mais il a dit aussi que ça pourrait aller jusqu'à une quarantaine …

- Une quarantaine ! ? ! ? 

 

Elle me dévisage dans un silence que je sens plein d'interrogations. De plus en plus excitée, les idées, les questions se bousculent dans sa tête, et les mots dans sa bouche: 

- Et … et … et tu crois qu'ils vont mettre des capotes ?

- Ecoute, je sais pas …. On verra sur place … ils vont peut-être en mettre …

- Toi, tu préférerais qu'ils n'en mettent pas, hein …

- Ben, si c'est possible, oui, je préférerais.

- T'as envie qu'ils te … tu préférerais qu'ils te … qu'ils jouissent dans ton … directement dans ton cul ?

- Oui.

- Oooooooooh !

 

Toujours cramponnée à mon bras,  elle a poussé ce "Ooooooooh ! " dans une sorte de spasme qui l'a fait s'arrêter, se courber légèrement en avant et se serrer les cuisses comme ferait une femme prise d'une subite envie de pisser. Je m'arrête aussi:

- Qu'est-ce qui t'arrive ? Ça va pas ?

 

Haletante, les yeux légèrement révulsés, elle déglutit, me sourit et bafouille:

- Oh si, si, ça va …je … je … c'est … c'est l'idée qu'ils vont te … ils vont tous se … se répandre … dans ton cul … ça me … ça me …

- Ça te quoi ? Ça te choque ?

- Oh non, non … au contraire … ça me …

- Ça t'excite ?

- Oui. J'ai eu comme … comme un … comme un orgasme …

- Ah bon ? ! ? ! 

- Oui. J'ai pensé à ça tout au long de la rando, et ça a commencé à m'exciter ... et là ...

 

Mais, c'est pas possible ! Elle … elle démarre toute seule, rien qu'à imaginer des choses ! J'ai jamais vu ça ! Putain, elle me sidère ! Madame Coinsoss ! Depuis qu'elle s'est décoincée, elle monte en gamme ! Voilà qu'elle jouit tout debout dans la rue rien qu'à l'idée que je vais me faire inséminer par des types ! Ce qui m'épate aussi, c'est qu'elle me déballe ça comme ça, comme elle me parlerait du temps qu'il fait. Sans aucune retenue !

- Et ben, dis donc ! C'est l'idée que je vais me faire remplir de sperme qui te met dans cet état ?

 

Elle se remet, me regarde et redémarre:

- Oui. Enfin … c'est surtout l'idée que ça pourrait être moi … que c'est à moi que ces hommes pourraient …

- Ah, OK ! Ça te fait envie …

 

Elle me regarde, hésite, puis:

- Oui … je … je comprends pas … j'ai envie de ça, moi aussi … me faire baiser sans capote … me faire … me faire … 

 

Elle me regarde et me serre le bras:

- Je veux que tu me baises, là, tout de suite … sans capote !

 

Elle a presque crié … au beau milieu de la rue ! Je sais bien qu'il n'y a que nous dans cette rue, mais de chez eux, les riverains pourraient entendre ! Soudain, elle accélère le pas et m'entraîne:

- Allez, viens ! Tu vas me baiser !

- Non, mais dis … tu permets ?

- Recommence pas comme l'autre soir, hein ! Dans trois ou quatre jours, tu vas te faire baiser par je ne sais combien de types que tu ne connais même pas, alors tu peux bien me baiser, moi !

- Je vois pas le rapport.

- Le rapport ? Je te l'ai déjà dit l'autre soir. Le rapport, c'est que t'es une espèce de … de jouet … de jouet sexuel … et que tu laisses des inconnus … se servir de toi pour … pour jouir, pour se soulager ! Alors tu vas aussi me laisser me servir de toi pour me soulager. 

- Mais ça ne se décide pas comme ça !

- Quoi ! T'as pas envie ?

 

Elle me plaque la main sur le bas ventre. En pleine rue ! Je repousse sa main:

- Arrête, quoi ! Pour le moment, non, j'ai pas envie.

 

En fait, depuis le coup de fil de ce … Lionel, j'ai en permanence une espèce de sensation très agréable du côté de l'entrejambe. Je ne bande pas, mais j'ai le paquet … éveillé, émoustillé. Et depuis que Yolaine et moi avons commencé cette conversation, ça ne fait qu'entretenir une sorte d'état d'érotisation. Elle me saisit le poignet:

- Et ben, viens à la maison, je vais te donner envie, moi.

 

Elle accélère le pas. Je me laisse entraîner. Après tout, pourquoi pas. Je voudrais bien savoir comment elle va s'y prendre pour me donner envie. En moins d'une minute nous arrivons dans la cour devant chez nous. Sa porte à peine refermée, elle ôte son bonnet, ses gants et sa doudoune et, là, dans son entrée, elle entreprend de me déballer: elle descend le zip de mon blouson, m'aide à l'enlever et s'attaque à ma braguette. Tiens, je m'aperçois qu'elle a les ongles faits. Si je me souviens bien, le soir où je l'ai baisée dans la sacristie, elle n'avait pas de vernis. Là, c'est un rouge vif. Pour une première, elle n'a pas choisi la couleur la plus discrète. C'est comme une touche finale à son changement de look. Elle découvre mon string:

- Tu portes encore un truc comme ça ?

- Comme tu vois. Et toi ?

- Moi aussi, tu vas voir.

 

Elle défait le bouton de sa ceinture, descend son zip, écarte les pans de son pantalon  et, avant que j'ai pu réagir, elle saisit ma main et l'attire vers son ventre. Je me laisse faire. Sous mes doigts, je sens de la dentelle, mais je ne sais pas si c'est un string ou une petite culotte. Ecartant un peu les jambes, elle force ma main à s'insinuer entre ses cuisses. Ah oui, c'est un string. Les yeux à demi fermés, la bouche entrouverte, elle goûte le plaisir de se faire toucher la chatte:

- Tu sens comme je suis mouillée ?

 

Oh oui, pour être mouillée, elle est mouillée ! Le gousset de son string, trempé, lui rentre dans la fente, entre ses grands lèvres. Je l'écarte et je glisse mon doigt. Elle halète:

- Ooooh, tu me mets le feu !

 

Ben putain, elle est chaude ! Elle maintient fermement mon poignet pendant que j'explore ses petites lèvres et son clitoris du bout de mon majeur. Et brusquement:

- Je veux ta BITE ! Dans ma CHATTE !

 

Elle lâche ma main, saisit les deux pans de mon pantalon, et, en quelques secondes, j'ai le pantalon et le string à mi-cuisses. Elle m'empoigne la queue. Ah, la vache ! Ses doigts aux ongles vernis, autour de ma verge ! Spectacle magnifique ! C'est vraiment ça, avec ce rouge écarlate, c'est comme si elle annonçait la couleur: finis les tons discrets, les nuances de bon goût. Je ne sais pas pourquoi, ce rouge a quelque chose de "sexe". Je ne bande pas mais je sens que sa main sur ma bite réveille quelque chose en moi. Ses yeux dans les miens, elle me sourit:

- Alors, t'aimes ça ?

- Ben oui.

- Moi aussi. Ça me plaît de te tripoter la QUEUE.

 

Et sans avertissement, elle s'accroupit devant moi, approche son visage, et prend mon sexe dans sa bouche. Ah, là, oui, elle me fait de l'effet ! Un peu maladroite, mais si j'ai bien compris, c'est la première fois qu'elle suce une bite. Et elle semble y prendre elle-même beaucoup de plaisir, parce qu'elle laisse échapper un sourd gémissement. Voilà, rapidement, je bande. Je pose mes mains sur sa tête. Si quelqu'un arrive dans cette cour, il ne pourra pas me manquer, adossé à la porte vitrée de son entrée, en train de me faire tailler une pipe, les fesses et les cuisses à l'air ! Aussi soudainement qu'elle avait commencé à me sucer, elle sort ma bite de sa bouche et se relève. Elle me prend par la main et m'entraîne vers sa salle de séjour en retenant son pantalon:

- Ça y est, tu bandes. Viens, tu vas me baiser !

 

Les jambes embarrassées par mon propre pantalon, toujours au niveau de mes genoux, je sautille à sa suite. Elle se tourne vers moi:

- Maintenant, je comprends pourquoi tu aimes sucer des bites ! Moi aussi, j'aime ça !

 

Arrivée devant la grande table, elle lâche ma main, saisit l'extrémité du banc sur lequel elle avait regardé mes photos de cul, l'autre fois, et:

- Aide-moi ! Tu vas me baiser sur la table.

- Tu préfères pas qu'on fasse ça dans ton lit ?

- Non. Je veux pas que tu me fasses l'amour, je … veux … que … tu … me … BAISES !!!!

 

Elle a scandé ça, pour bien me faire comprendre. Nous avons à peine fini de déplacer le banc qu'elle est déjà en train d'ôter ses chaussures et ses chaussettes et d'enlever string et pantalon qu'elle abandonne au sol. Elle n'est toujours pas mieux foutue, avec son bassin trop large, et sa peau trop pâle, mais ça m'excite de m'apprêter à la fourrer. Pendant que je finis de me déshabiller, elle regarde ma bite avec des yeux gourmands, puis elle me tourne le dos et grimpe sur la table. A quatre pattes sur le plateau de bois, elle m'exhibe son cul - elle a aussi les fesses trop plates ! -, elle m'exhibe son cul et sa chatte, passe une main  sous son ventre, et, du bout des doigts, elle s'écarte les petites lèvres:

- Regarde où tu vas me la mettre, ta bite !

 

Je suis scié ! Elle est tellement impudique ! Sa vulve, luisante et d'un joli rose nacré, bée sous mon nez. Juste au centre, le petit trou sombre de son fourreau, dans lequel elle veut que je fourre ma queue. C'est marrant, elle a autour de la cinquantaine, et elle a la chatte d'une jeune fille. J'ai l'impression qu'elle a encore moins de poils que l'autre jour. Oui, je vais fourrer ma queue là-dedans ! Je vais mettre mon gland au chaud tout au fond de cet étui béant et je vais y décharger une dose de sperme. Elle s'introduit le majeur dans le vagin et se caresse, glissant son doigt alternativement dans son fourreau et sur son clitoris. Quelle salope elle fait, comme ça ! Si ses copines de la paroisse la voyaient ! Elle qui est chargée de faire le catéchisme aux enfants, et au passage, de leur inculquer la vertu, elle qui est chargée préparer les futurs couples aux ineffables joies du mariage chrétien ! Là, devant moi, j'ai une chienne en chaleurs qui réclame une saillie ! Putain, oui, je crois qu'elle est mûre pour se faire passer dessus par une bande de mâles en rut ! Et elle me fait bander, la salope ! Je me décalotte et je me branle lentement. Moi aussi, je commence à mouiller. C'est à la fois cette chatte béante et ce que Yolaine représente qui m'excite: cette bourge catho, rigide, coincée, qui est devenue une folle du cul, prête à tout pour un coup de bite ! Et tout ça parce que j'ai fait craquer le barrage qui retenait au fond de son ventre des décennies de conformisme, de frustration, de désirs refoulés. Maintenant que le flot de ses envies, de ses fantasmes a commencé à s'engouffrer dans cette brèche, elle est submergée et elle ne peut plus le retenir. Et là, c'est ça que je vais baiser : cette ex Marie-Chantal, réac, psychorigide, mégère, frigide, qui s'est métamorphosée en nymphomane hystérique. Et le coup de bite que je vais lui donner, je le sens, il ne va pas la calmer, il va au contraire entretenir, attiser le feu qui lui dévore le ventre.

 

-  Allez ! Bouffe-moi la chatte !

 

Elle ôte sa main de son sexe, tourne la tête vers moi et se cambre:

- Alleeeeeeez ! Bouffe-moi la chatte !

 

Alors je m'avance, je me courbe un peu et, les mains posées sur ses fesses, je m'enfouis la tronche entre ses fesses. Instantanément, elle se met à feuler sourdement et écarte un peu plus ses genoux sur la table. Je lui passe la langue dans la raie, depuis les reins jusqu'à la chatte. Hhhmmmmmm, cette mouille qu'elle a étalé avec ses doigts, j'adore ! Je lui rentre ma langue dans la vulve. Elle gémit de plus belle, elle halète … D'elle même, elle passe sa main jusque sur sa fesse et l'écarte, s'ouvre pour m'aider à lui bouffer la chatte. Alors je fais pareil, avec mes deux mains: je l'ouvre, je l'écartèle … Aussitôt, elle glisse sa main sous son ventre et recommence à se doigter. Elle ne gémit plus sourdement, elle pousse des "Haa ! Haaaaa ! Hon ! Haaaa ! Ah ouiiiii ! Bouffe-moi ! Bouffe-moi ! " Elle m'effleure le menton, glisse ses doigts entre mes lèvres et celles de son sexe, introduit son index en elle, tout contre ma langue … elle veut sentir ma langue qui lui explore, qui lui fouille la chatte !

 

Et brusquement, elle m'échappe ! Elle s'est avancée d'un seul coup, et elle commence à se retourner, me bousculant d'un coup de genou:

- Allez, maintenant, prends-moi sur le dos !

- Attends. Tu ne veux pas que je mette une capote ?

- Non. Viens ! Je veux que tu jouisses dans mon ventre !

- Tu n'as pas peur de te faire ..

- Non. Je m'en fous ! Viens !!! BAISE-MOI !

 

Bon, comme tu voudras ! L'autre jour, je t'avais prévenue des risques. La voilà à moitié étendue au milieu de cette table, les pieds reposant juste sur le bord, appuyée sur les coudes, les cuisses largement ouvertes, offerte, impudique, indécente, et les yeux rivés sur ma bite.:

- Ça va ? Tu bandes assez, ou t'as besoin que je te suce encore ?

- Non, ça va, je bande assez. Tu m'a bien excité, à faire ta salope.

 

De nouveau, elle tend la main jusqu'à son ventre et recommence à se caresser sans aucune pudeur:

- Une autre fois, je te la sucerai, ta bite ! A fond !

- Ah bon ? Ça t'a plu, de me sucer ?

- Oh oui ! Mais là, tout de suite, je préfère que tu me baises ! Allez, vas-y, prends-moi ! BAISE-MOI !!!

 

Je m'avance, je colle mes cuisses au bord de la table et je passe mes mains sous ses reins. Elle se cambre pour m'aider et, d'un sel mouvement, je la soulève et je l'attire vers moi. Toujours appuyée sur les coudes, elle replie ses cuisses au-dessus de son ventre. J'empoigne ma queue et je la présente devant sa chatte. Je frotte mon gland contre ses petites lèvres, contre son clitoris. Je l'avais déjà remarqué, elle mouille vraiment beaucoup ! Je lève les yeux sur elle. Fascinée, elle regarde son bas ventre, elle contemple mon gland qui glisse sur elle, mon gland qui s'apprête à entrer en elle. A son tour, elle lève son regard sur moi. Elle déglutit, se passe la langue sur les lèvres. Dans ses yeux, je lis une fièvre, comme une supplique qui me dit « Mets ta queue dans ma chatte et baise-moi ! Féconde-moi ! ». Elle attend ce coït, mais surtout, elle attend que je répande ma semence dans son ventre. Alors, de mon gland, j'écarte ses lèvres … et je la pénètre. Elle s'effondre complètement sur le dos et, dans le même mouvement, elle descend ses jambes, passe ses mollets derrière moi et croise ses chevilles derrière mes reins. Cambrée, les mains à plat sur la table, de part et d'autre de son bassin, haletante, elle attend.

 

Je m'enfonce tout au fond d'elle, et avant que j'ai pu esquisser un premier retour en arrière, elle presse ses chevilles contre moi pour me retenir, et me lance:

- Bouge plus ! Reste un peu comme ça !

 

Je m'immobilise. Putain, ce que je suis bien, dans son ventre ! Comme l'autre soir, dans la sacristie, je la trouve très … étroite, très serrée. Voilà, nous sommes accouplés. Le mâle dans la femelle. Au fond, je n'en reviens pas ! Si on m'avait dit, il y a quelques mois, que je serais là, mon sexe en érection enfoncé dans la chatte de cette … mégère, prêt à forniquer, prêt à répandre mon sperme au fond de son vagin ! Nous sommes passés, elle et moi, d'une indifférence qui frisait parfois la franche hostilité à … l'intimité charnelle la plus étroite ! Que peut-il exister de plus intime que la pénétration d'un organe sexuel mâle dans un organe sexuel femelle ? Et ce n'est même pas pour nous reproduire, pour faire un petit ! Non, nous allons baiser uniquement pour jouir l'un de l'autre, pour nous donner mutuellement du plaisir ! Elle bouge … des mouvements du bassin, presque imperceptibles. Elle veut sentir ma queue en elle. Je pose une main sur chacune de ses cuisses et je la caresse, depuis les genoux jusqu'aux aines, avant de redescendre puis de remonter vers son ventre … et plus haut encore. Je soulève son chemisier et je glisse mes mains dessous … ses flancs … ses seins … elle ne porte pas de soutien-gorge … je remonte son chemisier et je découvre sa poitrine … C'est la première fois que je la vois. Pas très grosse, un peu pâle, comme le reste, mais des aréoles d'un brun très sombres, denses … Je me penche et je pose des baiser sur ses seins … puis je prends un téton entre mes lèvres et je le suce. Elle pose une main sur ma nuque et ronronne doucement en me caressant:

- Hhmmmmm … honnnn … hhhmmmmmm … c'est booonnnn … je sens ta bite dans mon ventre … tu vas … tu vas … éjaculer dans mon ventre hein ? 

- Oui.

- Elle est vraiment dure, ta bite … je te fais bander ?

- Oui.

- Je te plais, alors !

- Tu m'excites.

- Hhhhmmmmm …

 

Elle se met à bouger son bassin avec plus d'ampleur, et soudain, je sens … autour de ma verge … oui, je sens son vagin se contracter … se relâcher … se contracter encore .. se relâcher …

- Tu sens ce que je fais ?

- Oui.

- T aimes ça ?

- Oui.

- Allez, baise-moi !

 

Elle ôte sa main de ma nuque et me repousse. Je me redresse et je commence à ressortir ma queue de son ventre. Je l'empoigne par les hanches. Elle me regarde avec … une espèce de tendresse dans les yeux … et de nouveau, elle glisse une main vers sa chatte. Tandis que je commence à aller et venir, sans aucune pudeur, elle se remet à se caresser. Ces ongles écarlates sur son ventre blanc … c'est bandant ! Et ces trois doigts, son index, son majeur et son annulaire, armés de ce rouge écarlate, qui lui pétrissent le clitoris ! Elle ne me quitte pas des yeux, portant son regard alternativement sur mon visage et sur mon ventre … sur notre coït. A sa mimique, je sens son plaisir monter: yeux mi-clos, bouche entrouverte, elle halète … Je vois son ventre se contracter peu à peu … Là, sous cette peau blanche, entre son clitoris et son nombril, il y a mon gland qui va et vient en glissant dans ses chairs tièdes et mouillées … mon gland gonflé, turgescent, qui prend de plus en plus de plaisir à lui fouiller le vagin.

 

Je suis en elle ! J'ai ma queue DANS son ventre ! Je suis DANS ma voisine !  Et je vais … je vais y répandre mon sperme ! A mon tour, je me mets à haleter. Et je le sens, c'est ma queue qui commence à prendre les commandes, c'est ma queue qui choisit l'ampleur et le rythme de mes va et vient … je ne pourrais bientôt plus décider, je ne pourrais plus m'arrêter … je vais jouir, je vais me répandre … elle le veut, et je n'ai pas besoin de me retirer … Aaaaah, Puuutaiiiiiin ! Soudain, mes reins me commandent de me propulser en elle … irrésistiblement … et un spasme de ma prostate et de mon anus m'annonce que je vais éjaculer ! Je ne peux retenir un râle … et je jouis ! Je sens mon sperme fuser dans mon urètre … je le sens jaillir de mon méat et inonder le ventre de Yolaine … je sens la chaleur de ma semence se répandre autour de mon gland … Rââââââââhhhh, putain ! Souffle coupé, je donne de petits coups de reins. Elle sent que je jouis, elle sent que j'éjacule, et soudain, elle se met à osciller de la tête de droite à gauche … de plus en plus fort … presque violemment … elle aussi, est en train de jouir ! Je vois son ventre se creuser et ses abdominaux tressauter … et autour de ma verge, son vagin se contracte en vagues de spasmes successives … elle soulève son torse de la table, comme par réflexe, et retombe lourdement … sa tête heurtant le bois … une fois … deux fois … trois fois … et elle râle de plaisir …

 

Ah putain, quel pied ! J'ai fini de jouir … je sens ma queue baigner dans le cocktail de son fluide vaginal et de mon sperme … je suis bien. Elle aussi, se calme … elle a posé un bras sur son visage, les yeux au creux de son coude, et elle reprend son souffle en s'humectant les lèvres avec sa langue. Je regarde son ventre, apaisé, se soulever au rythme de sa respiration … son ventre … avec ma queue à l'intérieur … ma queue enspermée qui ne débande pas. Je lui caresse la taille, les hanches, le ventre, les aines, les cuisses … Elle ôte son bras de son visage, me regarde, sourit, se cambre, comme pour mieux me sentir en elle, et elle s'accoude sur la table:

- Tu m'as baisée … j'ai senti … ta bite qui … quand t'as joui, j'ai senti ta bite qui me répandait ton sperme dans mon ventre … j'ai ton sperme dans mon ventre !

 

Elle tend la main et, du plat de sa paume, elle se caresse le ventre. Elle est comme … émerveillée ! Pourtant, ça lui est déjà arrivé, d'avoir du sperme dans le ventre ! Avec son mari, même si ils ne faisaient pas certaines choses, il devait la baiser en missionnaire de temps en temps … Si ça se trouve, à l'époque, elle trouvait ça dégueulasse, d'avoir du sperme dans le ventre. Avant que j'aie pu dire quoi que ce soit, elle retombe sur le dos et enchaîne:

- Ah la la, ça me plaît, de me faire baiser ! Avant …

 

A ses yeux soudain dans le vague, je vois que, mentalement, elle est partie dans son passé:

- Avant, ça me dégoûtait … ça … le sperme. Quand … quand Eric me … me faisait … quand il avait … joui … tout de suite après, il fallait que j'aille me laver … 

 

Eric, c'était son mari. Bien plus sympa qu'elle, à l'époque. Il ne devait pas rigoler tous le jours, le Eric, avec sa mégère ! Elle revient à l'instant présent:

- Mais là … là, ça me plaît d'avoir ton sperme dans mon ventre. Et même … même, je voudrais bien avoir le sperme de plusieurs hommes … dans mon ventre …

 

Elle se redresse, s'appuie d'une main sur la table, et de l'autre, elle me caresse le ventre.

- Ça me plaît de me faire baiser seulement pour … pour le plaisir … non, en fait, c'est pas seulement pour le plaisir ! En fait, ce qui me plaît, c'est de me faire baiser  pour le plaisir ET pour la débauche … pour … pour le vice … être vicieuse … faire ma salope, comme tu dis … me faire baiser sur une table … sur CETTE table ! 

 

Elle retombe sur le dos et, les bras étendus, elle … caresse le plateau de la table: 

- Dans quinze jours, je vais avoir des invités à déjeuner … de la famille … et quand on va manger à cette table, je vais repenser à … à maintenant … à ce qu'on est en train de faire …

 

Je me trompe, ou elle s'en régale d'avance ? Elle reprend:

- Tu sais, je fais … c'est moi qui fais la préparation au mariage, pour les couples qui veulent se marier à l'église…

- Oui, je sais …

- Hier … hier soir … j'ai … j'ai reçu un couple pour ça … à la sacristie … et j'ai pas arrêté de penser à nous deux, samedi … à ce que tu m'as fait samedi … Tu sais, avec ce couple, on était assis autour de la table … moi d'un côté, et eux … eux, ils étaient assis en face de moi, juste à l'endroit où tu m'as … où tu m'as baisée …  et je me revoyais sans arrêt, allongée là, sur le dos, les cuisses écartées, pendant que je leur parlais d'engagement dans la foi et tous ces trucs-là … et en fait, je n'arrivais pas à me concentrer, je ne pensais qu'à ta BITE dans mon ventre ! Et à ta langue … là, dans ma CHATTE ! 

 

De nouveau, du bout des doigts, elle s'écarte les petites lèvres et m'effleure la verge. Tout en se caressant, elle poursuit:

- Je vais arrêter … je vais arrêter les préparations au mariage et le catéchisme …

- Pourquoi !

- Ben … parce que .. je .. je pourrais pas continuer de faire ça dans cette sacristie où on a fait … ça ! 

- Mais … au contraire ! Ça ne t'a pas plu, de leur parler de ça, à ce couple, en pensant à ce qu'on avait fait ?

- C'était gênant …

- Ah bon ? Mais, dans quinze jours, quand tu vas avoir tes invités autour de cette table, tu vas aussi te sentir gênée ?

- Euh … non .. je pense pas … au contraire … mais c'est pas pareil, ça me … j'attends même ça avec impatience …

 

La voilà toute pensive. Tout en continuant de la caresser, je me remets à aller et venir en elle. Ça fait des bruits mouillés, du côté de sa chatte. J'adore ça ! Et ça n'a pas l'air de la gêner. En plus, une idée s'impose peu à peu à moi: là, je touille mon sperme dans son ventre avec ma queue, et j'ai la conviction qu'en lui imprégnant les muqueuses avec mon sperme, avec mes hormones masculines, je contribue à la rendre … oui, accro, addicte à la bite ! Moi, ça m'a fait la même chose quand je me suis fait remplir de semence par des mâles ! En se répandant dans mes entrailles, en imprégnant les parois de mes intestins, en pénétrant mes chairs, leurs spermes ont fait de moi un junky de la bite qui a besoin de se faire injecter régulièrement sa dose de foutre ! Elle se redresse encore et, tirant sur ses abdominaux, elle glisse ses deux mains jusqu'à ses aines et elle se caresse l'intérieur des cuisses, depuis l'entrejambe jusqu'aux genoux, avant de remonter et de se tripoter la chatte autour de ma queue:

- Là, tu vois, ce que j'aimerais, maintenant … c'est me faire prendre par d'autres hommes … plusieurs ... plein d'hommes … comme toi tu t'es fait prendre …  et que, les uns après les autres, ils me BAISENT, ils me BAISENT, ils me BAISENT ! 


Elle retombe sur le dos, ne laissant qu'une main sur sa chatte. Elle s'active sur son clitoris:

- … et qu'eux aussi, ils jouissent dans mon ventre … qu'ils me remplissent le ventre de sperme ! 


A l'évocation de ces hommes qui la baiseraient et l'insémineraient, je sens son excitation monter à nouveau … elle se passe la langue sur les lèvres, déglutit, se cambre, s'active de plus en plus vigoureusement d'une main sur son clitoris, se caresse le flanc de son autre main, la remonte jusqu'à sa poitrine et se caresse les seins, se les pétrit, se les malaxe … elle halète, elle gémit, elle oscille de nouveau de la tête de droite à gauche … je vois son ventre se creuser et se contracter, et brusquement, je sens de nouveau son vagin se serrer convulsivement autour de ma queue … elle jouit encore ! Elle jouit en gémissant, elle se cambre, elle me presse les reins de ses chevilles croisées, elle se malaxe furieusement le clitoris … Putain, que c'est beau, une femelle qui aime le sexe à ce point, une femelle qui se donne du plaisir d'une manière aussi impudique, une femelle qui s'abandonne aussi totalement à la jouissance … La tête rejetée en arrière, la nuque comme brisée, son corps arqué, comme tétanisé par cet orgasme, son gémissement se transforme en un râle qui lui remonte du fond du ventre … Ça dure comme ça … presque une minute. C'est long, une minute ! Je n'ai jamais vu une femme jouir aussi violemment et aussi longtemps … Ce spectacle incroyable et ce fourreau de chair chaude et humide, qui enserre mon sexe en vagues de spasmes successives … à mon tour, je jouis ! Les doigts crispées dans le gras de ses hanches, je me bloque contre elle, pubis contre pubis, mon gland au fond de son vagin, et de nouveau, mon plaisir explose au fond de son ventre en une intense éjaculation qui me coupe le souffle, qui me contracte à la fois les abdominaux et les cuisses … 


Enfin, d'un seul coup, je la sens retomber, toute molle, haletante, à plat sur la table … Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, elle reprend son souffle … son ventre et sa poitrine se soulèvent en rythme … Puis elle ouvre les yeux, redresse la tête, me regarde, me sourit:

- Ah la laaa ! J'ai cru que mon cœur allait s'arrêter … j'ai cru que j'allais … mourir !


Elle tend la main vers moi:

- Aide-moi à me redresser.


Je prends sa main et je l'attire vers moi. Dans l'effort qu'elle fait pour se redresser, un gargouillis de bulles s'échappe de sa chatte. Pas du tout gênée, elle rit. Les fesses au bord de la table, ma queue toujours en elle, elle dénoue ses jambes d'autour de ma taille et les descend derrière mes cuisses. Elle pose ses avant bras sur mes épaules et croise ses mains derrière ma nuque:

- J'avais jamais joui comme ça. 

- Ça ne m'étonne pas. Moi, je n'avais jamais vu un orgasme aussi fort et aussi long. C'est de fantasmer comme ça sur des types qui te baiseraient à la chaîne qui t'a excitée à ce point ?

- Oui … et aussi … et aussi d'imaginer qu'ils me … qu'ils remplissent mon ventre … de sperme. 

- Ah oui ? Ça te fait envie à ce point ?


Elle me fixe et hoche la tête:

- Oui. Je deviens folle, non ?

- Ben non. Moi aussi, ça ma fait ça. C'est tellement intense, de sentir un type éjaculer sa semence au fond de soi ! Et alors, quand ils sont plusieurs à le faire, l'un après l'autre … je te dis pas ! Je ne sais pas comment dire … en plus du plaisir physique, il y a une espèce de volupté cérébrale … C'est pour ça que je me fais baiser sans capote. Et après, j'aime garder ça au fond de moi le plus longtemps possible …


Notre position n'est pas idéale, mais je continue d'aller et venir doucement en elle. Ça fait un bruit visqueux et je sens quelque chose de tiède et humide s'écouler sur mes couilles. Je sens aussi que je commence à débander. J'allais poursuivre, mais elle me coupe la parole:

- Oui, j'avais remarqué …

- Ah bon ?

- Oui. Le jour où tu t'es fait baiser par tous ces types, dans cette ferme … quand tu es rentré, que tu t'es montré à moi sur la cour dans cette …tenue, quand tu t'es tourné et que tu t'es penché pour prendre ton sac dans ta voiture, j'ai vu que tu avais les fesses … les fesses souillées … et le haut des cuisses aussi. Sur le coup, je me suis demandé ce que c'était … j'ai cru que tu avais fait sous toi et j'ai trouvé ça dégueulasse. C'est seulement après, quand tu m'as montré les photos de ces hommes qui te … qui te baisaient, que j'ai réalisé que ça pouvait être … du sperme … leur sperme, qui ressortait de ton cul ! Et … tu sais quoi ?

- Ben non.

- Et ben, en me disant que c'était sûrement leur sperme et pas … autre chose, et ben … au fond de moi, je n'ai plus trouvé ça dégueulasse ! J'avais beau me dire que t'étais un sale pervers, c'était plus fort que moi, je trouvais que tu avais de la chance !

- Tu m'enviais ?

- Non. Ce jour là, je ne t'ai pas envié. Je me suis seulement dit que, si c'est ce que tu aimais, c'était bien que tu le fasses. Et tu vois, c'était la première fois de ma vie que j'approuvais une chose tellement contraire à … à mes principes, à mon éducation …

- Oh, il y avait déjà eu la séance avec le grand black, dans mon jardin … Ce jour là ….

- Non ! C'était pas pareil. Avec ce grand black, vous … vous m'aviez excitée, mais je culpabilisais … j'ai culpabilisé longtemps, d'ailleurs, à cause de ça … Non, le jour où je t'ai envié pour ça … pour … pour le sperme qui te dégoulinait encore sur les cuisses quand t'es rentré chez toi, c'est le jour où tu m'as dit que … comment tu m'as dit ? Ah oui, que tu venais DE TE FAIRE cinq mecs. Là, ça m'a sidérée, mais … oui, je t'ai envié, j'ai fantasmé que je me faisais aussi baiser par cinq types … et plutôt que de refouler cette idée, et de culpabiliser, je … je me suis caressée, je me suis donné du plaisir … Je pense que c'est là que j'ai changé … que quelque chose a … basculé en moi.


Ma queue, toute molle, glisse toute seule hors de son vagin … ffffflaaatch ! Elle baisse le nez, ôte sa main droite de mon cou et la glisse entre ses cuisses. Je vois ses doigts se glisser entre ses lèvres et fouiller son intimité. Puis elle remonte sa main à hauteur de nos visages. Ses doigts sont luisants et maculés de traces blanchâtres. 

- C'est ton sperme ! J'ai ton sperme dans mon ventre !


De nouveau, elle semble fascinée. Elle contemple sa main, la tourne, hésite, puis introduit son majeur entre ses lèvres et le suce consciencieusement. Elle le ressort et fait la même chose avec son index. Puis:

- C'est … c'est même pas écœurant ! J'en avais jamais … mangé. Je croyais que c'était écœurant. C'est pas écœurant.

- Ben non. 

- T'aimes ça ?


Plutôt que de lui répondre, je saisis sa main et, à mon tour, je lui lèche les doigts. Elle me regarde, sourire aux lèvres, et aussitôt, elle plonge sa main gauche vers son ventre et la remonte, tout aussi maculée que la première. Elle attend que j'aie fini de lui nettoyer la main droite et elle me tend l'autre. Tout en me regardant, toute souriante, lui lécher les doigts, elle replonge sa main droite entre ses cuisses, la remonte et ensemble, nous dégustons le cocktail de son fluide vaginal et de mon sperme. Soudain, elle me repousse:

- Pousse-toi, je vais te sucer !

- Quoi ?

- Je vais te sucer. Je veux que tu éjacules dans ma bouche !

- Ah ben, ça va pas être possible.

- Pourquoi ?

- J'ai déjà joui deux fois, je te rappelle.

- Aaaaaaah !


Elle paraît vraiment déçue:

- Une autre fois, alors ?

- Oui, on verra. Et là, il faudrait que j'y aille.

- Pourquoi ?

- Le type de tout à l'heure doit m'envoyer un mail. 

- Dis … je …


Elle se mord la lèvre, semble hésiter. Je lui demande:

- Qu'est-ce qu'il y a ?

- Non, rien. Tu me raconteras ? Ce qu'ils vont te faire, chez ce type …


J'ai l'impression qu'il y avait autre chose, mais je sens qu'elle s'est soudainement refermée.

- Oui, je te raconterai.


La main sur ma poitrine, elle me pousse violemment:

- Bon, ben, vas-y, alors !


Elle descend de la table, ramasse ses vêtements, et, pendant que je me rhabille, elle disparaît dans l'escalier. Me voilà congédié. Son côté mégère a repris le dessus. Chassez le naturel, il revient au galop !

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 5 avril 2017 3 05 /04 /Avr /2017 01:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Samedi 11 novembre. 

Ça s'est passé bizarrement, et là, je n'y suis pour rien. Quoi qu'il en soit, me voilà bel et bien courbé au-dessus de cette table, le pantalon descendu à mi-cuisses, le cul à l'air, et pour une fois, ce n'est pas pour me faire prendre en levrette !

 

Non. Là, je ne suis pas seulement penché au-dessus de cette table, je le suis aussi au-dessus de son ventre à ELLE, la tête entre ses cuisses, et ma langue dans sa chatte !

 

Oui, je suis de nouveau en train de bouffer la chatte de Yolaine … ma voisine. Comment on en est arrivés là, elle sur le dos au milieu de cette table, cuisses écartées, et moi en train de lui brouter le minou ? C'est un peu compliqué. Et surtout, comment on en est arrivés à faire ça ICI ? Parce qu'en plus, le cadre de nos ébats est vraiment extravagant quand on connaît ma voisine ... la sacristie de l'église ! Là où le curé se met en tenue, et la table sur laquelle Yolaine s'abandonne, c'est celle où elle fait le catéchisme aux enfants ! 

 

Bon, alors, je vous raconte.  La première fois où il y a eu du sexe entre nous, c'était il y a quelques mois. "Du sexe entre nous", c'est beaucoup dire. Elle m'avait surpris dans mon jardin, dans la même position qu'elle en ce moment: sur le dos, cuisses écartées sur une table, en train de me faire fourrer par Gabriel, ce grand black si bien monté. Le seul sexe qu'il y eut entre nous ce jour là, c'est qu'elle s'était masturbée en nous regardant. La fois suivante, c'était le soir même de mon gangbang chez Jean-Claude. Et là, il y avait vraiment eu du sexe entre nous. L'ayant plus ou moins forcée à regarder des photos de mes accouplements avec ma horde de mâles en rut, elle s'était laissée aller à manifester son excitation, et nous avions fini sur sa terrasse, elle cuisses écartées sur sa balancelle, et moi à genoux à lui bouffer l'entrecuisses.

 

Nous nous étions laissés  aller à nos pulsions de l'instant, et après ça, elle avait repris ses distances avec moi. Ça ne m'étonnait pas, et de mon côté, je ne cherchais pas à me rapprocher d'elle. Physiquement, elle n'est vraiment pas bandante – enfin, elle N'ÉTAIT vraiment pas bandante, parce que elle a fait de considérables efforts - et son attitude est toujours aussi raide et hautaine – de même, je devrais plutôt dire "ÉTAIT toujours aussi raide et hautaine". -. De plus, nos occupations respectives ne nous amenaient pas à nous fréquenter. Alors, la situation me convenait. Simplement, ça m'amusait de savoir qu'en dépit de ses postures supérieures et de sa réputation de morale rigoriste, elle s'était laissée dominer par des pulsions qui, de toute évidence, lui taraudaient l'entrejambe. Et je me demande si elle ne redoutait pas que je cherche à exploiter d'une manière ou d'une autre le moment d'égarement auquel elle avait succombé.

 

Bref, dans les rares occasions où nous nous croisions, elle continuait de me snober, comme s'il ne s'était rien passé entre nous. A un simple "bonjour", elle me répondait du bout des lèvres en me jetant un regard noir. Si je poussais jusqu'à lui demander comment elle allait, elle haussait les épaules, et le plus souvent ne se donnait même pas la peine de me répondre. Bon, c'est vrai, après mon gangbang chez Jean-Claude, il m'était arrivé de la provoquer au retour d'une partie de cul, en m'exhibant en trav, les miches à l'air. Me souvenant d'elle sur le dos sur sa balancelle, cuisses ouvertes, en train de s'écarter les petites lèvres pour que je lui fourre ma langue et que je lui suce le clito, je ne pouvais pas m'empêcher de me foutre d'elle. On avait fini par ne même plus se croiser devant chez nous, comme si elle évitait de sortir quand elle me voyait sur la cour. Voilà l'ambiance jusqu'à ce que …

 

Jusqu'à ce qu'un jour, Françoise, une conseillère municipale, frappe à ma porte pour m'inviter à une cérémonie organisée par la municipalité la semaine suivante pour remercier les personnes et les associations ayant contribué à l'animation du village. Quand elle repart, j'aperçois Yolaine qui pointe le nez à sa porte et qui l'appelle. Françoise se précipite chez elle. Normal, elles font toutes les deux partie de l'équipe d'animation de la paroisse. Là, je me dis qu'il y a bien quinze jours que je n'avais pas vu ma voisine.

 

Le jour de la cérémonie, quand j'arrive à la salle des fêtes, il y a déjà un peu de monde, disséminé par petits groupes, réunis par affinités. Il y a les membres du bureau de la société des fêtes, les animateurs du club des anciens, la présidente du club de gym, celui du club de rando, des femmes de l'équipe d'animation paroissiale et les propriétaires du poney club. Je fais le tour des groupes pour les saluer et échanger quelques mots avec les uns et les autres. J'arrive enfin à l'équipe d'animation paroissiale. Je commence à leur serrer la main, en commençant par Thérèse, leur responsable. En entrant dans la salle, j'avais bien repéré ce groupe, parmi lesquelles j'avais reconnu au premier coup d'œil Thérèse, la "chef", et Françoise, la conseillère municipale. Mais, ne fréquentant l'église et ses "piliers" qu'à l'occasion de manifestations laïques, je ne connais pas toute l'équipe d'animation paroissiale. Je n'avais donc pas fait plus attention que ça aux deux autres femmes de ce petit groupe. Et quelle ne fut pas ma surprise, en m'approchant, de m'apercevoir que l'une des deux, c'était … ma voisine, Yolaine ! Une Yolaine méconnaissable ! Si méconnaissable que, de loin, je ne l'avais pas reconnue.

 

Comment dire ? Une femme ! Oui, ça paraît bizarre de dire ça, mais c'est une femme ! Jusqu'alors, c'était un être au sexe indéterminé, à l'apparence ambiguë, femme-hommasse, ou homme efféminé. A tel point qu'à plusieurs reprises, j'avais entendu des personnes, la saluer d'un "bonjour monsieur": cheveux gris mi-longs, raides, séparés par une raie sur le côté, toujours fagotée sans grâce avec des vêtements unisexe, polos et bermudas l'été, pulls et pantalons l'hiver. Jamais de corsage léger, jamais de jupe ou de robe. Un air renfrogné sur le visage et une méchanceté prête à fuser. Bref, un repoussoir.

 

Et là, aujourd'hui, elle est métamorphosée ! Elle a une coupe de cheveux recherchée, assez courte, dégradée dans le cou, aux mèches savamment en bataille, plus longues d'un côté, et quelques unes teintées en châtain clair, parmi ses cheveux gris. J'ai même l'impression que ses sourcils sont moins épais. Maquillée ? Quand même pas, ou alors légèrement. Et parfumée. Elle porte un chemisier blanc sous un gilet aux couleurs vives, rouge, jaune moutarde et vert sur fond noir – la coupe d'un gilet de costume d'homme sans manches -, une jupe portefeuille noire, près du corps et étonnamment courte, et aux pieds, des ballerines du même rouge que sur son gilet. L'ensemble est assez "classe" mais très gai, et lui donne une apparence féminine assez … pfiouuuuu ! Oh, ce n'est toujours pas un canon, mais elle a perdu au moins dix ans et elle est presque jolie, si tant est qu'on puisse dire ça d'une femme de son âge ! 

 

En lui tendant la main, je ne peux dissimuler une mimique de surprise admirative:

- Dites-moi, Yolaine, vous êtes en beauté …

 

Devant ses copines de la paroisse, je m'attends à me faire foudroyer du regard ou à recevoir une bordée d'invectives. Mais non, elle cille légèrement et j'ai l'impression qu'elle me serre la main un peu plus fort et un peu plus longtemps que nécessaire. C'est sa "chef", Thérèse, qui réagit:

- Ah, ben voilà ! Vous aussi, vous avez remarqué sa transformation ! N'est-ce pas, qu'elle est magnifique, comme ça, notre Yolaine ! 

 

Elle ne sait plus où se mettre. Elle pique un fard, baisse le nez:

- Arrête, Thérèse !

- Ben quoi … faut le dire. On se demandait tous si tu allais te décider à faire quelque chose, pour ton look. Et c'est réussi, vous ne trouvez pas ?

 

C'est à moi qu'elle s'adresse. Alors:

- Ah oui, c'est réussi. Moi, j'aime beaucoup votre …

 

De la main, je désigne sa tenue, de haut en bas:

- C'est très féminin. J'aime beaucoup.

 

Elle repique un fard. Thérèse:

- Elle doit avoir un amoureux, mais elle ne veut pas nous dire qui c'est. Vous êtes voisins, vous devez bien savoir si quelqu'un vient lui faire la cour. Vous n'avez pas une idée ?

 

Yolaine:

- Arrête, Thérèse. Je n'ai personne. Et puis si c'était le cas, ça ne vous regarderait pas.

 

Je me tourne vers Thérèse:

- Nous sommes voisins, mais ça ne veut pas dire que nous soyons proches. Je ne surveille pas qui entre chez elle et je ne regarde pas par-dessus le mur pour voir ce qu'elle fait dans son jardin.

- Non, évidemment. Je me doute bien que vous n'êtes pas une tordu de ce genre.

 

Ayant saisi l'allusion à sa curiosité d'il y a quelques mois, Yolaine me fusille du regard. A côté d'elle, Françoise, la conseillère municipale, nous écoute en souriant et en me jetant, de temps à autres, de petits coups d'œil. Je mets fin à la discussion:

- Bon, excusez-moi, j'ai deux mots à dire à mes amis.

 

Je m'éloigne et je rejoins un groupe réunissant des membres de la société des fêtes et du club de randonnée. 

 

Il n'y a pas deux minutes que je suis avec eux à discuter, quand nous voyons arriver Yolaine. Elle s'insère dans notre groupe et lance un bonjour à la cantonade. Surpris, pensant qu'elle a quelque chose à nous dire, nous attendons. Mais non, elle sourit, et attend que la conversation reprenne. Roger, le président de la société des fêtes, m'interroge du regard, mais comme je ne sais pas pourquoi elle débarque, je hausse les épaules, incapable de lui expliquer. Ça surprend d'autant plus tout le monde qu'elle n'a jamais caché une franche animosité à l'égard de cette équipe, trop laïque et "gaucho" à ses yeux. Au point qu'elle a refusé à plusieurs reprises de participer à des manifestations pourtant organisées en collaboration avec ses consœurs de l'animation paroissiale. Nous reprenons notre conversation à laquelle, peu à peu, elle se met à participer, ponctuant nos remarques et riant avec nous.

 

Et puis, le maire, entouré de son conseil municipal, monte sur la petite estrade. Apparemment, tous les invités sont arrivés, et il va commencer son discours. 

 

Après les remerciements, scrupuleusement adressés à chaque équipe et à chaque personne ayant animé la commune, tout le monde se retrouve devant le buffet. Les conversations reprennent par petits groupes. C'est ce moment que choisit Françoise, la conseillère municipale, pour me prendre par le coude et m'entraîner un peu à l'écart:

- Dites, vous êtes sûr que vous ne savez pas pour qui elle s'est fait belle comme ça ?

- Qui ça ?

- Qui ça ! Votre voisine, bien sûr !

- Ah non. Enfin, oui, je suis sûr. Je n'en ai aucune idée.

- Hé. Pas à moi, hein ! La semaine dernière, quand je suis venue vous inviter, elle m'a fait entrer chez elle. Vous savez pourquoi ?

- Ben non.

- Elle voulait savoir si vous étiez invité et si vous comptiez venir.

- Ah bon ? Et alors ?

- Alors ? Quand je lui ai dit que vous comptiez venir, elle a eu un drôle d'air. Et aujourd'hui, elle est là, alors qu'avec mes collègues, on était sûres qu'elle ne viendrait pas ... elle n'assiste jamais à ce genre de sauterie. Et la voilà … transformée pour l'occasion, parce qu'elle s'est fait relooker depuis qu'elle a reçu son invitation ... enfin, je crois plutôt que c'est depuis que je lui ai dit que vous seriez là. Je ne l'ai même pas reconnue, quand elle est arrivée, tout à l'heure !

- Moi non plus, je ne l'ai pas reconnue. Ecoutez, je suis aussi surpris que vous, et je vous assure que si elle a quelqu'un, ce n'est pas moi. Elle m'a toujours plus ou moins fait la gueule, et ça ne s'est pas arrangé dernièrement.

- Mouais. Et tout à l'heure, elle nous a plantées là, avec Thérèse et Isabelle, pour vous rejoindre, avec ceux de la société des fêtes, alors qu'on sait très bien qu'elle ne les supporte pas.

- On a été aussi surpris que vous, et …

- Attention, la voilà.

 

Yolaine s'approche, des flûtes de Champagne à la main, et nous les propose. Pendant la petite heure qui suit, je passe d'un groupe à l'autre, à discuter avec un peu tout le monde. Françoise m'a mis un drôle de truc dans la tête, avec ses remarques. C'est vrai que je remarque que Yolaine se trouve toujours dans mon champ de vision, jamais très loin de moi, et semble s'arranger pour que je sois aussi toujours dans son champ de vision. A deux reprises, elle me propose encore du Champagne. Son manège n'échappe pas non plus à Françoise, parce qu'à un moment, alors qu'avec la conseillère municipale, nos regards se croisent, elle a une mimique qui signifie clairement « alors, qu'est-ce que je vous disais … ». Quand je sens que les quelques flûtes que j'ai bues m'ont suffisamment "détendu", je décide de partir. Je serre quelques mains, et je m'éclipse. Dehors, la nuit est plutôt fraîche. C'est quand j'aborde la pelouse qui entoure l'église que je remarque, derrière moi, le grincement de la porte de la salle des fêtes et des bruits de pas pressés. Je me retourne et … c'est Yolaine ! Ah, la vache, elle m'a emboîté le pas. Si les autres l'ont vue partir juste après moi, ils vont vraiment se faire des idées, maintenant …

 

Je reprends mon chemin et j'entends le bruit léger et rapide de ses pas sur le macadam. Ma parole, elle court ! La voilà à ma hauteur. Elle me prend par le bras et:

- Viens par ici, toi !

 

« Viens par ici, toi ! ». Non, mais, voilà autre chose, elle me tutoie ! Qu'est-ce qu'elle me veut ? M'engueuler ? Je dégage mon bras:

- Hé ! Ça va, oui ? Qu'est-ce qui vous prend ?

 

Cette fois, elle me prend la main et cherche de nouveau à m'entraîner:

- Viens, je te dis. Tu vas voir ce qui me prend.

 

Elle veut m'engueuler, ou quoi ? Mais c'est curieux, ce n'est pas le ton de quelqu'un en colère. Je dégage ma main:

- Non. Dites, déjà. On verra après si je viens.

 

A ma grande surprise, elle jette un coup d'œil autour de nous et, comme rassurée, elle écarte les pans de sa parka, ouvre celui de sa jupe, et me plaque la main sur sa chatte !

- Comme ça, tu vois ce qui me prend ?

 

Putain ! J'ai d'abord un mouvement réflexe: je résiste. Mais elle presse fermement ma main, m'obligeant à la fourrer entre ses cuisses:

- Allez, fais pas ta mijaurée, touche !

 

Ben, voilà autre chose ! « Fais pas ta mijaurée ! » Comment elle me parle ! Elle croit quoi ? Que ça me fait peur, de la toucher ? Alors je touche. Et je remarque immédiatement deux choses: d'une, elle ne porte pas de culotte et de deux, elle n'a pratiquement plus de poils sur le pubis ! Putain, je n'en reviens pas ! Et pendant que je digère ça, elle souffle:

- Allez, mets-moi ton doigt, comme l'autre jour.

 

Ce soudain tutoiement, cette manière directe, presque brutale de me … de me forcer à lui peloter la chatte ! Un geste de ce genre de la part d'un homme sur une femme, c'est ce qu'on appelle une agression sexuelle ! Bon, évidemment, je ne vais pas porter plainte et elle doit s'en douter. A mon avis, elle a le feu au cul, et elle m'a choisi pour faire le pompier. Alors oui, pourquoi pas ? Elle veut encore se faire masturber ? OK. Après tout, j'adore que des mecs m'utilisent pour se donner du plaisir, alors pourquoi elle ne ferait pas pareil ? Mes yeux se sont habitués à la pénombre, à peine atténuée par la lueur d'un lampadaire de l'autre côté de la place. Elle est tout contre moi, diffusant ce doux parfum que j'ai déjà remarqué tout à l'heure, et je vois qu'elle a les yeux à demi fermés, la bouche entrouverte. Les signes de la femme excitée qui s'abandonne déjà. 

 

Je passe mon autre main derrière ses reins, et je glisse mon majeur dans sa fente. Oh putain, elle est déjà toute mouillée ! Le contact de mon doigt entre ses petites lèvres et sur son clitoris lui fait aspirer bruyamment une bouffée d'air. Elle déglutit bruyamment et:

- Alors, comme ça, tu sens ce qui me prend ?

 

Immédiatement quelque chose réagit dans mon pantalon. Je commence à bander. Elle plaque mon poignet contre son pubis comme elle y presserait un vibromasseur, à la fois fermement et lascivement. J'entreprends de bouger mon doigt, quand j'entends, au loin, le grincement de la porte de la salle des fêtes, et des bruits de conversation. Elle les entend aussi, saisit mon poignet et m'entraîne précipitamment vers l'arrière de l'église, dans l'angle d'un contrefort plongé dans l'ombre. Elle s'adosse au mur et guide de nouveau ma main vers son entrejambe. Elle ne veut quand même pas qu'on fasse ça ici ! Ce n'est pas que ça me déplairait, mais si elle veut que notre … "relation" reste secrète, c'est un peu risqué. Je fais aller et venir l'extrémité de mon doigts sur son clitoris. Elle a passé son bras droit dans mon dos, et elle me serre contre elle, haletante. Les bruits de pas et les voix s'approchent. Un homme et une femme. S'ils prennent le même chemin que nous, ils vont passer juste devant nous. On a beau être dans un coin sombre, ils risquent tout de même de nous voir. J'ai l'impression que ça l'excite. Je continue de la doigter. J'ai le nez tout près de sa tête et je perçois sa chaleur et la douce odeur de son parfum. Comme par réflexe, je baisse la tête et je pose mes lèvres dans son cou, juste sous son oreille. Ça semble lui plaire, parce qu'elle pose sa main gauche sur ma nuque et me caresse. 

 

Le couple a tourné et passe de l'autre côté de l'église. Je sens Yolaine écarter une jambe, la lever et la passer derrière la mienne, ouvrant sa vulve à ma caresse. Cramponnée à moi, elle se met à gémir sourdement, puis elle vient coller sa joue contre la mienne et elle se frotte. Elle ôte sa main gauche de ma nuque, et la plaque sur la toile de mon pantalon, sur mon bas ventre. Elle tâtonne un peu, et finit par trouver ma queue, tête en bas dans ma jambière. Elle la palpe à travers le tissu:

- Tu bandes ! 

 

Elle marque un temps, puis elle souffle dans mon oreille:

- Je veux que tu me baises !

- Pardon ?

- Je veux que tu me baises, et avant, je veux que tu me fasses comme l'autre jour, avec ta langue.

 

Putain, mais elle est complètement déchaînée ! Elle m'a empoigné la queue et elle s'est mise à me masturber à travers la toile de mon pantalon.

- Mais, dites, Yolaine, ça va bien, oui ?

- Quoi ! Tu … tu te fais ... BAISER par … par trente types … tu leur … tu leur suce leur … leur BITE, et tu ne veux pas me BAISER, moi, ou remettre ta langue dans ma FENTE ? L'autre jour, c'est toi qui as voulu me la mettre, ta langue. Ça t'a plu ou non ?

- Oui, mais …

- Bon, alors … qu'est-ce que ça peut te faire ? C'est rien, pour toi, de me faire ça !

- C'est la manière …

- Ah, dis ! Il faut y mettre les formes ? Tu aurais voulu que je te fasse la cour avant, peut-être ! Quand on sert de … de … je sais pas quoi à TRENTE TYPES EN RUT pour qu'ils se SOULAGENT, on fait pas SA PUCELLE !

 

Ah la vache ! Où elle a pris ce langage de charretier ? Je n'en reviens pas. Et elle m'a sorti tout ça sur un ton mi-autoritaire, mi-implorant, insistant sur certains mots. Et alors, sa formule finale … « On fait pas sa pucelle ! ». Je ne peux pas m'empêcher de rire:

- Ah, Yolaine ! Toujours aussi diplomate ! 

- Oui, ben … tu t'es laissé faire par tous ces types, tu peux bien te laisser faire par moi. En plus, je suis sûre que ça te plaît, de te faire commander, dominer. Je me trompe ?

 

Pendant cet échange, je n'ai pas cessé de lui pétrir doucement le clitoris, et elle n'a pas arrêté de me tripoter machinalement la queue.

- Non, c'est vrai, j'aime bien me montrer docile, avec les hommes. J'aime bien qu'ils me forcent, aussi.

- Ah, tu vois ! Au fait ! Les types, l'autre jour ... ils étaient venus pour ça ?

- Quels types ?

- Les cinq types ... la grosse Mercedes noire ... ils étaient venus pour te ... 

- ...

- ... ils étaient venus pour te baiser ?

- Ah ! Eux ? Ben ... oui.

- J'en étais sûre ! Quand j'ai vu cette grosse voiture se garer devant chez moi, et ces types en descendre, j'étais sûre qu'ils venaient pour toi ... pour te baiser. Alors, ils t'ont baisé ...

- Oui.

- J'en étais SÛRE ! Tous ? Ils t'ont TOUS baisé ?

- Oui. 

- Ah la la ! Je le savais ! Tu sais ... pendant que ... pendant tout le temps qu'ils ont été chez toi ... moi, je me disais "là, ils sont en train de le baiser"... "ils sont en train de le ... l'un après l'autre ..." et ça me ...

 

Je la sens frissonner.

- Ça te ... ça te faisais quoi ?

- Ça m'excitait, tiens ! J'imaginais ce qu'ils étaient en train de te faire ... comme ... comme les autres, sur les photos que tu m'avais montrées ... Ça me faisait envie. J'aurais voulu être à ta place ... TOUS LES CINQ ... ils t'ont baisé ...

 

Ce n'est pas vraiement une question. Je la sens imaginer, presque vivre mentalement la situation et sans doute se voir à ma place. Dans un mouvement réflexe, elle tend un peu plus son bassin vers moi. Puis elle se reprend et insiste:

- Ils t'ont vraiment TOUS baisé ? TOUS LES CINQ ?

- Ben oui. Ça t'excite, on dirait.

- Oui. Je me suis ... je me suis caressée, pendant que ... Et c'était bien, ce qu'ils t'ont fait ?

- Oui.

- Raconte.

- Une autre fois, non ?

- Je m'en doutais que c'était bien ... Oui, tu me raconteras !

 

Et elle change soudainement d'attitude, comme si elle sortait d'une sorte de rêverie. Elle se reprend et redevient autoritaire:

- Ouis, alors, tu arrêtes de faire ta chochotte et là, tu va me mettre ta langue dans la … fente. Tu sens comme elle est mouillée ?

 

Elle est totalement déshinibée. Et oui, je sens comme elle est mouillée. J'ai les doigts trempés et je lui ai étalé sa liqueur jusque sur les grandes lèvres, le pubis et le périnée. Ça me fait saliver et j'ai de nouveau une furieuse envie de boire à sa chatte. Alors oui, je vais te la bouffer, ta chatte, et après, je vais te baiser !

- Oui, je vais te la bouffer, ta fente. Et après, je vais te baiser. 

 

De ça aussi, je n'en reviens pas. Je croyais mes pulsions de mec envolées à jamais, je ne m'imaginais pas avoir de nouveau envie de baiser une femelle … et voilà ! Oh, ce n'est pas la femelle la plus bandante, la plus sexy qui soit. C'est ma voisine, cet être jusqu'alors androgyne qui ne m'a jamais inspiré le moindre désir en tant que tel. L'autre jour, c'est de bouffer une chatte qui m'a fait envie. A ce moment précis, n'importe quelle chatte aurait fait l'affaire. Il se trouve que c'était la sienne qui était à ma disposition à ce moment-là. Ce soir, en plus de sentir que sa moule s'est si bien lubrifiée à l'idée de se prendre un coup de queue, ce qui m'excite, c'est justement la perspective de baiser cette mégère, jusqu'ici si imbue d'elle même, si arrogante, si dédaigneuse, si coincée. Ce qui m'excite, c'est qu'elle se soit si brusquement et si radicalement décoincée et qu'elle se soit métamorphosée de bloc de marbre glacial en cette espèce de nymphomane fébrile. Au fond de moi, quelque chose me souffle que je ne suis pas étranger à son soudain basculement du côté lubrique du sexe. Et bien, si c'est ça, ma garce, tu vas voir ce que c'est que la débauche. L'autre jour, tu m'as dit qu'avec mes étalons, on faisait ça comme des animaux, et bien, je vais t'y amener à baiser comme des animaux. Oui, là tout de suite, je vais te prendre, je vais te baiser, et tôt ou tard j'arriverai même à t'enculer !

 

Satisfaite de m'avoir convaincu, elle a empoigné ma queue à travers le tissu, et maintenant, elle me branle doucement en gémissant, visiblement excitée de tenir ma bite dans sa main. On n'a pas entendu la porte grincer, mais sur le parking de la salle des fêtes, les phares d'une voiture viennent de s'allumer, et leur faisceau vient balayer le sol à quelques mètres de nous. Je lui souffle:

- On rentre.

 

Elle aussi a vu la lueur. Elle se dénoue d'autour de moi, saisit encore une fois mon poignet, et au lieu de se diriger vers notre rue, elle se plaque sur le contrefort de l'église, m'incitant à me cacher comme elle dans son ombre. La voiture passe lentement devant nous et poursuit son chemin. Dès qu'elle nous a dépassés, Yolaine m'entraîne à l'opposé de la rue où nous habitons, s'arrête devant la porte de la sacristie, fouille dans une poche de sa parka, et j'entends un trousseau de clefs cliqueter contre la porte métallique. Nous voilà à l'intérieur. Elle n'allume pas, laisse la porte entrouverte, et, à la lueur d'un lampadaire de la place, elle s'empresse de tirer un rideau devant l'unique fenêtre. Elle referme alors la porte, donne un tour de clef et allume. Je connais déjà la sacristie pour y avoir préparé un concert et plusieurs expositions qui se déroulaient dans l'église. Au milieu, une grande table carrée, recouverte d'un épais tissu écarlate et entourée, sur chacun de ses côtés, de quatre chaises. Contre les murs, l'armoire où le curé suspend ses chasubles, une espèce de commode à tiroirs, du matériel de sonorisation, des piles de chaises, un banc, un évier, un frigo ...

 

Le premier geste de Yolaine, après avoir allumé, c'est de grimper sur une chaise pour étaler un torchon sur le crucifix accroché au mur. Elle ne veut pas forniquer sous le regard de Jésus. Elle ôte nerveusement sa parka, la jette sur la commode et, pendant que j'enlève mon blouson, elle commence à débarrasser les chaises qui garnissent un côté de la grande table. Puis elle entreprend d'enlever les piles de papiers et les fascicules qui l'encombrent. Alors qu'elle se penche pour attraper une pile de dossiers, je viens me coller contre elle, les mains sur sa taille. Elle s'immobilise. Je glisse ma main droite sur sa fesse, je la descends le long de sa jambe jusqu'à ses genoux, et je la remonte entre ses cuisses en retroussant sa jupe. Elle tressaille et écarte un peu les jambes. Je passe mes doigts entre ses fesses, puis, à tâtons, je commence à les glisser entre ses petites lèvres. Oh, la VACHE, elle est trempée ! Ça me donne une furieuse envie d'aller laper le désir qui s'écoule de son ventre. Je frotte mes trois doigts rassemblés, index, majeur et annulaire, contre sa vulve, étalant sa sève sur ses grandes lèvres et son périnée. Elle lâche sa pile de dossiers, saisit ma main gauche et l'attire vers son ventre. Elle écarte elle-même les pans de sa jupe et entraîne ma main entre ses cuisses. Quand mon index entre en contact avec son clitoris, tendu, elle pousse un petit gémissement. J'introduis le majeur de ma main droite dans son vagin. J'ai beau lui avoir déjà bouffé la chatte une fois, l'avoir vue sur le dos, cuisses grandes ouvertes, en train de s'écarter les lèvres avec ses doigts pour que je lui fourre ma langue, son comportement totalement libéré, désinhibé, impudique, m'ébahit. Elle doit vraiment avoir le feu au cul pour se lâcher de cette façon ! Tout en titillant son clito de mon index gauche, en manœuvrant mon majeur droit dans son vagin, je sens bouger son anus contre le gras de mon pouce, comme s'il réclamait une caresse. Je sors mon doigt de sa chatte et je le glisse lentement vers sa rondelle. Au moment où je pose son extrémité au centre sa rosette, elle repousse brutalement ma main et se retourne:

- Non ! Pas ça !

 

Bon, OK. Mais tu peux être sûre qu'un jour, tu y viendras, ma cocotte. Toi, un de ces jours, "la mère la pudeur", je t'enculerai ! Les fesses appuyées au bord de la table, elle me repousse un peu et entreprend fébrilement d'ouvrir sa jupe. Voilà, première agrafe, puis deuxième agrafe. Elle l'envoie rejoindre sa parka sur la commode et me lance:

- Allez, viens ! Fais-moi comme l'autre jour. Mets-moi ta langue dans … ici !

 

Elle plaque la main sur son pubis. Je la sens fébrile, dans l'urgence. Elle s'assoit sur la table, jambes pendantes, et déboutonne son gilet. Elle m'épate de plus en plus. Ces initiatives qu'elle prend sans vergogne, comme me coller la main sur sa chatte et me tripoter la bite. Ce soudain manque de pudeur, qui lui fait ôter sa jupe et m'exhiber sa chatte comme si nous étions un vieux couple. Ses formules directes et crues: « tu bandes », « je veux que tu me baises » ... tout ça est si loin d'elle ! Comme si des pulsions trop longtemps contenues s'étaient mises à la submerger, à enfoncer ses défenses psychologiques. Elle semble totalement désinhibée. Je m'approche:

- Ça te plaît, de te faire bouffer la chatte ?

- BOUFFER LA CHATTE ? C'est comme ça qu'on dit ?

- Oui, c'est comme ça qu'on dit. On peut dire aussi "brouter le minou".

- Oui, ça me plaît de me faire ... BOUFFER LA CHATTE.

 

Un large sourire sur le visage, elle a dit ça avec une espèce de délectation lubrique, comme une gamine qui se régalerait à dire des gros mots. Elle m'a littéralement chopé par la ceinture de mon pantalon, et attiré brutalement vers elle. Je perds à moitié l'équilibre et je me retrouve tout contre elle. De nouveau ce parfum qui se dégage d'elle. Je me penche, tout contre sa joue et je hume:

- Tu sens bon. C'est quoi ?

- On verra ça plus tard.

 

Elle me repousse un peu et, penchée en avant, elle déboutonne fébrilement mon pantalon. Elle s'empêtre dans mon zip, et c'est moi qui finis de le descendre. Aussitôt, elle plonge la main à l'intérieur:

- Mais … tu ne portes rien en dessous !

- Non. C'est pour ça que, tout à l'heure, tu as trouvé ma bite dans ma jambière. D'ailleurs, toi non plus, tu ne portais rien, sous ta jupe. Comme une cochonne. C'est bien, ça me plaît. 

- J'avais mis une culotte pour aller à la réunion du maire. Mais quand je t'ai vu arriver, je suis allée l'enlever aux toilettes. 

 

Ah bon ! Au moins, c'est clair. Elle sort sa main de mon pantalon, fouille dans la petite poche de son gilet, et en extrait une espèce de petite boule de tissu noir. Elle la secoue pour la dérouler. C'est un string minuscule en dentelle. Elle est passée sans transition du slip en coton le plus basique et le moins sexy à la petite culotte la plus "sexe" qui soit ! Elle l'agite sous mon nez avec un petit sourire coquin:

- J'avais envie de te le dire, tout à l'heure, au milieu des autres, que j'étais nue sous ma jupe. Mais je n'ai pas osé. 

- Ah, c'est dommage, ça m'aurait bien plu, de savoir que tu te baladais la foufoune à l'air. 

- C'est la première fois que je fais un truc comme ça. Ça m'a beaucoup plu. Même porter un string sous ma jupe et parler avec les gens comme si de rien n'était, c'était excitant. Alors après, avoir la foufoune à l'air, comme tu dis … je sentais que je … que j'étais de plus en plus mouillée. 

 

J'arrête sa main au moment où elle me passe son string sous le nez. Je le prends, je l'étale sur mes doigts et je renifle le minuscule gousset:

- Hhhmmmmm, il sent bon. Et ça, là, ce petit bout de tissu en coton … il a été dans ta foufoune, il est tout humide.

- Oui. Il me rentrait dans … dans la foufoune. Alors il est tout mouillé, lui aussi.

 

Je le prends dans ma bouche et je le suce. Elle me regarde, souriante, ravie de me voir téter son string. Elle a remis sa main dans mon pantalon, en a extrait ma queue, un peu brutalement, et elle se met à me masturber:

- Il y avait longtemps que je n'avais pas touché le sexe d'un homme !

- Si longtemps que ça ?

- Oui, depuis … depuis que je suis veuve …

- Et il devait y avoir longtemps que tu ne t'étais pas fait brouter le minou.

- Jamais ! Avant l'autre jour, je ne m'étais jamais fait brouter le minou.

- Ah bon ? Même pas par ton mari ?

- Non. On ne faisait pas ces choses là, avec mon mari. 

- Et lui, ton mari, tu l'as sucé ?

- Non, je te dis, on ne faisait pas ces choses là. Toi, tu vas me le brouter, mon minou, hein ? Et après tu vas ME BAISER ?

 

Je sens qu'elle se délecte à prononcer ça.

- Oui, je vais te le brouter, ton minou. Et après, je vais te baiser.

- Oui, mais me BAISER, hein ? Comme ces hommes t'ont fait à toi …

- Comment ça ? Tu veux que je … que je t'encules ?

- Ah non … pas ça. Je veux que tu me baises … normalement, quoi … mais pas que tu me fasses l'amour. Que tu me BAISES, quoi …

- Ah, d'accord. Je vois.

- Tu as envie de moi ?

- Oui. Ça se voit, non ?

- Il y a longtemps, que tu as envie de moi ?

- Oh non. 

- Ah bon ? Depuis quand ?

- Dix minutes, un quart d'heure … depuis que tu fais ta salope avec moi …

- Tu trouves que je fais ma salope ?

 

Elle me demande ça comme si elle cherchait un compliment !

- Ben oui, tu fais plus salope que sainte Nitouche !

- Allez, vas-y !

 

Elle lâche ma bite, et entreprend de se reculer vers le milieu de la table, entraînant sous ses fesses la pile de dossiers qu'elle a oubliée et le lourd tissu de la nappe. Elle balaie les papiers d'un revers de main, remonte ses jambes, pose ses pieds juste au bord de la table et s'accoude:

- Allez, viens. BOUFFE-MOI LA CHATTE ! Je te regarde.

 

Je commence par poser mes mains sur ses genoux, puis à les descendre en caressant l'intérieur de ses cuisses. Elle les écarte largement, totalement impudique, m'exposant sa vulve. En effet, elle a considérablement réduit sa toison, à la fois en épaisseur et en surface. En appréciant la douceur de ses cuisses, je remarque:

- Tu t'es épilée. C'est bien, comme ça.

 

Elle glisse une main entre ses jambes et se caresse la toison:

- Oui. Avant, je n'avais pas besoin. Je le faisais seulement un peu quand j'allais chez le médecin. Ça te plaît ?

- Oui, bien sûr. C'est plus joli à regarder et c'est plus confortable.

- Plus confortable ?

 

Elle a maintenant son majeur entre ses lèvres et elle commence à se caresser.

- Oui, c'est plus confortable pour ma langue et pour mes lèvres.

- Allez, viens me la mettre, ta langue. Broute-moi le minou.

 

Elle tend la main vers moi. Comme l'autre jour, je pose des baisers à l'intérieur de ses cuisses. Elle rejette la tête en arrière. J'approche de son entrejambe et je commence à passer ma langue sous ses aines, à ce minuscule endroit, juste à la limite entre le haut des cuisses et le bas des fesses, ces quelques centimètres carrés naturellement dépourvus de poils, et si doux sous les doigts, si sensibles. Elle ne peut retenir un « Oh oui ! » et elle pose sa main sur ma nuque. Par ici, elle sent l'amande, comme l'autre jour. Son gel douche, sans doute. J'approche ma langue de son sexe et je commence à lui lécher les grandes lèvres. Elle se met à haleter. Je me redresse un peu, et, du bout des doigts, j'entrouvre ses petites lèvres. Toutes roses et toutes luisantes de plaisir, j'ai envie de les baiser … de les embrasser, je veux dire. Je les caresse du bout des doigts. A leur commissure, son clitoris, gonflé, tendu comme une minuscule sexe d'homme, lui aussi déjà mouillé. Je le prends délicatement entre mon pouce et mon index et je le roule doucement. Elle gémit. Et soudain, elle m'appuie sur la nuque, et:

- Allez, BOUFFE-MOI LA CHATTE ! MAINTENANT !

 

Alors je plonge. Je colle ma bouche conte la sienne … contre la bouche de son entrejambe. Hhhhmmmm, toute cette liqueur qui baigne son sexe ! Au contact de ce fluide avec ma bouche, je sens ma queue se raidir un peu plus. Cette … mouille, c'est un appel impérieux à la pénétration. Pénétration par ma bite, par ma langue ou par mes doigts, peu importe, mais ça réclame une pénétration. Alors, le nez dans sa toison, j'enfonce ma langue. Elle gémit de plus belle, secouant sa tête de droite à gauche. Je la prends fermement par les hanches et je lui BOUFFE LA CHATTE ! Jouant des lèvres, de la langue et des dents, je lui suce, je lui lèche, je lui mordille les petites lèvres et le clitoris. Sous l'effet du plaisir, elle se cambre, elle serre convulsivement ses cuisses contre mes oreilles et me pétrit la nuque. Quand je lève les yeux sur elle, tout en poursuivant ce cunnilingus, je me rends compte qu'elle me regarde lui brouter le minou, les yeux écarquillés, la bouche grande ouverte. La tronche d'un mec entre ses cuisses, en train de lui BOUFFER LA CHATTE ! Me regarder, ça doit l'exciter au plus haut point. Sous mes yeux, je vois son abdomen se soulever et se contracter spasmodiquement. J'ôte une main de sa hanche, et, tout en lui tétant le clitoris, je glisse mon pouce à plat entre ses lèvres. Quand je le sens suffisamment lubrifié, je commence à lui enfoncer dans le vagin. Sa réaction est immédiate: elle crie, puis se mord la lèvre pour étouffer son vagissement. Elle lâche ma nuque, et s'écroule complètement sur le dos, bâillonnant sa bouche à deux mains, et secouant sa tête de plus belle de droite à gauche. Elle est en train de jouir ! Et brusquement, elle serre ses cuisses contre mes oreilles, elle se redresse, et repousse ma tête:

- Arrête ! Arrête ! Arrête ! Arrête ! Arrête !

 

Bien obligé d'arrêter, je me redresse. Oui, elle a joui. Violemment, on dirait. Elle s'écroule de nouveau sur la table, jambes largement ouvertes. Putain, j'ai une des ces triques ! D'une main, je lui caresse encore l'intérieur des cuisses. Je n'ai qu'une envie: la prendre par les hanches, attirer ses fesses jusqu'au bord de cette table, et la FOURRER ! Je me tripote la queue en contemplant sa vulve, luisante de son fluide vaginal et de ma salive, et ses lèvres roses et brillantes, encore un peu entrouvertes. Dans un instant, je vais glisser ma queue dans ce corps chaud et humide ! JE VAIS LA BAISER !

 

La voilà qui se redresse, encore essoufflée, et me regarde. Elle s'aperçoit que je suis en train de me masturber. Elle me sourit, s'accoude, glisse une main entre ses cuisses, et écarte un peu plus ses petites lèvres:

- Tu as envie ?

- Ça ne se voit pas ?

- Si. Tu veux me baiser ?

- Oui. Pourquoi ? Tu n'as plus envie ?

- Si.

- Ah bon ! Tu as joui ?

- Oh oui !

- Et tu as encore envie que je te baise ?

- Oui, c'est pas pareil que de se faire seulement brouter le minou. Alors, j'ai envie de ça aussi, me faire BAISER. Et en plus …

 

Elle laisse sa phrase en suspens, comme si ça lui avait échappé. Je demande:

- Et en plus ?

- Non, rien.

- Allez, raconte. Au point où on en est, tous les deux, les cachotteries, c'est con.

 

Elle se met à bouger, rapprochant son bassin du bord de la table. Je l'aide en la prenant sous les fesses, en la soulevant et en l'attirant vers moi. Maintenant complètement redressée et assise, jambes pendantes, elle pose une main sur mon épaule et prend ma queue de l'autre. Elle la regarde et se met à me masturber, les yeux baissés:

- Et ben … depuis que j'ai vu tes photos, avec tous ces hommes …

- Allez, continue !

- … j'ai un fantasme.

- Oui. Vas-y !

- J'ai envie de … de faire la même chose.

- Non ! Te … te faire baiser par plusieurs hommes ?

- Pas autant que toi, bien sûr … pas vingt ou trente, mais … je sais pas … trois ou quatre. Je … j'y pense tous les jours. 

- Et ben dis donc ! Je pensais bien que te montrer mes photos, ça te décoincerait, mais je ne pensais pas à ce point !

- Je ne comprends pas ce qui m'arrive. J'en rêve même la nuit. Ça me réveille, et je suis toute … toute mouillée. Dans mes rêves, ils me … ils me font comme à toi …

- C'est-à-dire …

- Ben pareil, les mêmes choses.

- Ils m'en ont fait des choses. De toutes sortes. Tu rêves qu'ils te font quoi, en particulier ? Raconte.

- Oh ben non, je … 

- Tu rêves que tu les suces ?

- Oui.

- Et ils te prennent l'un après l'autre. Ils te font tourner, quoi, comme ils feraient tourner … un joint …

- Oui, c'est un peu ça.

- Ils te baisent en levrette.

- C'est quoi ?

- En levrette ? Tu ne sais pas ce que c'est ?

- Non.

- Par derrière. A quatre pattes ou debout, contre un mur ou contre une table.

- Oui. Ça aussi !

 

A son intonation, je sens que cette évocation de la levrette la bouleverse. A son intonation et à la vigueur soudaine de sa main sur ma queue.

- Doucement, là, avec ma bite. Et ça, la levrette, ça te fait vraiment envie.

- Oui.

- Ton mari ne te l'a jamais fait ?

- Non. Je t'ai dit, on ne faisait aucune de ces … choses.

- Et ils t'enculent, les hommes de tes rêves ?

- C'est PAS les hommes de mes rêves. 

- Oui, c'est une expression. Les hommes DANS tes rêves, si tu préfères.

- Oui, d'ailleurs, c'est les tiens, d'hommes.

- Comment ça ?

- Ben, dans mes rêves, c'est toujours ceux que j'ai vu sur tes photos.

- Ah bon ? 

- Oui. Et des fois, c'est ton ami noir ... ou les cinq de l'autre jour ...

- Mon ami noir … celui dans mon jardin ?

- Hmmm !

- Ah, Gabriel. Ça ne m'étonne pas. Et ces hommes, dans tes rêves, ils t'enculent ?

- Oui, ils m'enculent. Ils m'enculent.

 

De nouveau, je sens qu'elle se régale à prononcer ces paroles

- Et ça aussi, ça te fait envie.

- Oui.

- Tu as envie de faire ça comme des animaux, quoi.

- Oui. Et le pire … 

- Le pire ?

- Ben, la nuit, quand c'est des rêves je n'y peux rien. Mais ces idées-là me viennent aussi dans la journée, et alors, pour les chasser, j'ai beau me dire que c'est pas normal, que c'est pas MORAL, ça ne fait rien, je continue à en avoir envie et ça me … ça m'excite, même dans la journée … et je me … C'est devenu plus fort que mon éducation, que tout ce qu'on m'a inculqué. Je n'arrive même pas à trouver ça dégoûtant, répugnant. Je n'aurais jamais pu imaginer qu'un jour, j'aurais des envies comme ça … ni me comporter comme ça avec toi, te toucher, te faire des propositions, te demander de me … de me bouffer la chatte, par exemple !

- Ben c'est pas grave. C'est peut-être ta nature profonde qui a repris le dessus sur toutes les contraintes morales qu'on t'avait imposées.

- Oui, mais qu'est-ce que je vais faire, maintenant ?

- Maintenant ? Déjà, maintenant, tu vas te faire baiser, là, tout de suite. En levrette, par exemple. Et puis, plus tard, ben tu vas te laisser porter par tes envies, tu vas assouvir tes fantasmes …

- Oui, baise-moi, maintenant. Tu vois, même ça. Dire des choses comme ça, 'baise-moi", je n'aurais jamais imaginé pouvoir le faire. Et maintenant, j'aime ça. C'est bête, mais ça me plaît de dire ça … "bouffe-moi la chatte", "baise-moi",  et "me faire enculer" … "me faire EN ... CU ... LER" …

 

Elle s'est écoutée répéter ça, à la fois surprise et ravie, les yeux dans le vague comme si elle vivait en imagination une sodomie.

- Moi aussi, j'aime ça. Alors, je te baise en levrette ?

- Oui en levrette … baise-moi en levrette.

- A quatre pattes sur la table ?

- Non, baise-moi debout. 

 

Elle fait mine de descendre. Je l'arrête:

- Attends ! Deux secondes.

 

Surprise, elle se rassoit et attend. Je m'accroupis entre ses jambes:

- Penche-toi un peu en arrière.

 

Je crois qu'elle devine ce que je veux faire. Elle pose ses mains à plat derrière elle et se penche, tendant son ventre vers moi et écartant les jambes. Mes deux mains posées sur le haut de ses cuisses, je contemple sa vulve:

- J'aime beaucoup ça, te lécher. Et tu mouilles beaucoup. J'adore ça.

 

D'elle même; elle écarte ses petites lèvres du bout des doigts:

- Alors, vas-y, lèche. 

- Ton impudeur aussi, ça me plaît, ta façon d'écarter les cuisses, de me montrer ta chatte. Je n'imaginais vraiment pas ça de toi.

 

Elle se rentre un doigt dans le vagin:

- Moi aussi, ça me plaît, d'être impudique et d'écarter les cuisses comme ça. Comme une … comme une …

- … comme une salope.

- Oui, comme une salope.

- Comme une salope qui a le feu au cul.

- Oui, j'ai le feu au cul. Vas-y, bouffe-moi !

 

De nouveau, je lui bouffe la chatte. Pas longtemps, juste le temps de goûter à nouveau à son fluide vaginal, à la liqueur de son excitation. Pendant que je lui tête le clitoris, elle me caresse fébrilement la tête. Puis je me relève. Elle pose ses deux mains sur mes épaules:

- Tu vas me baiser, maintenant ?

- Oui.

 

Je saisis ma queue, raide et je m'avance. Elle baisse les yeux, regarde ce que je fais. Je plaque mon gland contre son clitoris, et je le frotte entre ses lèvres. Elle se met à haleter, descend une main jusqu'à son sexe et, de nouveau, elle écarte ses petites lèvres, m'invitant à entrer. Il me suffirait d'un coup de reins pour être en elle. Elle a oublié la levrette et je la sens impatiente de se faire pénétrer. D'ailleurs, si impatiente qu'elle passe sa main libre derrière mes reins et essaie de m'attirer vers elle … de m'attirer EN elle. Je résiste. Elle lève les yeux et:

- Tu ne veux pas ?

- Pas comme ça. En levrette. Et puis … il vaudrait peut-être mieux que je mette une capote.

- Ah oui. Mais tu peux y aller. Je ne peux plus … je suis ménopausée.

- Non. Je te parle de maladies …

- Ah bon ?

 

Elle hésite un instant, puis, fébrilement, elle fouille dans l'autre poche de son gilet et en sort … une capote dans son étui ! Ah la vache, c'était vraiment prémédité, alors. Je ne l'imagine pas demander des capotes à la pharmacienne, d'autant que je crois qu'elles sont amies. Je lui demande:

- Tu as acheté des capotes ? Tu as osé demander des capotes à la pharmacienne ?

- Je les ai achetées à Paris.

 

Je tends la main vers la capote, mais elle m'arrête:

- Non, c'est moi !

 

Et aussitôt, elle déchire l'étui et sort le rouleau de latex. Elle finit de me décalotter, me caresse délicatement le gland, et, tout en me posant la capote sur le bout de la queue, elle ajoute:

- Je me suis entraînée.

- Sur qui ?

- Sur personne. Sur une banane. Et j'ai cherché sur Internet. Mais à l'avenir, je viendrai m'entraîner sur toi.

 

Elle se marre. Et en effet, elle sait s'y prendre. Elle presse le réservoir de la capote entre ses doigts, me la déroule complètement sur la bite, contemple son travail, et demande:

- C'est bien, comme ça ?

- Très bien.

 

Elle me repousse:

- Laisse-moi descendre.

 

Je m'écarte et, sans une hésitation, elle se tourne, s'accoude sur la table, et tourne la tête vers moi:

- Vas-y, baise-moi !

 

Oh, putain ! Moi qui ai dit ça si souvent à des mecs, je comprends l'effet que ces paroles peuvent exercer sur celui qui est sollicité de cette façon. C'est irrésistible ! Malgré ses fesses trop pâles et trop plates, son bassin trop large à mon goût, elle me donne une furieuse envie de la fourrer, cette salope ! Alors je m'approche, je soulève le bas de son chemisier, je pose mes mains sur sa taille et je la caresse. Elle détourne la tête. Je saisis ma queue et en pliant un peu les genoux, de nouveau, je plaque mon gland à l'aveugle entre ses petites lèvres. A ce contact, elle se cambre. Je frotte mon bout contre sa vulve. Elle se prend les fesses à deux mains et se les écarte:

- Allez, baise-moi !

 

Alors, le gland coincé à l'entrée de sa chatte, je la saisis par les hanches et, lentement, je la pénètre. Elle halète et gémit en même temps, courbe la tête:

- Ah oui ! Je la sens, ta bite ! Baise-moi ! BAISE-MOI !

 

Je commence à aller et venir lentement. Hhhhhmmmm, ce que je suis bien, dans sa chatte ! Depuis qu'elle m'a collé la main sur son entrejambe au pied de l'église, j'ai déjà pu m'en rendre compte, mais là, le moins que je puisse dire, c'est que, malgré ses cinquante ans passés, elle ne souffre pas de sécheresse vaginale. Je glisse là-dedans comme si elle s'était injecté tout un tube de lubrifiant ! Et elle est étonnamment serrée ! Son vagin est très tonique. Je sens mon gland comme compressé en glissant dans ses chairs, et ça fait monter mon excitation à toute vitesse. Au moment où je m'apprête à glisser mes doigts jusqu'à son clitoris pour amplifier son plaisir, c'est elle qui, à tâtons, cherche ma main sur sa hanche, et l'attire jusqu'à sa chatte. Elle écarte un peu plus les jambes, et, à partir de là, ça va très vite. Après quelques secondes de manipulation de son clitoris, elle explose, elle halète, elle gémit, elle râle, elle crie en s'agitant de manière désordonnée. Je sens son vagin se contracter spasmodiquement. Je suis obligé de la coincer contre la table pour éviter qu'elle ne m'expulse. Et, bien entendu, son orgasme déclenche le mien. Mon abdomen se contracte, et je sens un premier spasme à la fois dans ma prostate, dans mes couilles et dans ma verge. Je me plaque instinctivement contre elle et, la queue bien plantée au fond de son vagin, je jouis. Le souffle coupé, je sens mon sperme jaillir et s'étaler dans la capote autour de mon gland. Elle me sent certainement prendre mon pied, parce qu'elle gémit et halète de plus belle et se met à me caresser la cuisse.

 

Enfin, mes éjaculations cessent. A bout de souffle, j'enserre son torse de mes bras et je m'effondre sur elle. Elle se laisse aplatir sur la table, la joue posée sur ses avant bras croisés. Sous moi, je la sens reprendre aussi son souffle. Enfin, comme apaisée, elle se met à ronronner:

- Hhhhooooonnn hhoooonnnnnnn hoonnnnn, c'était boooon ! Et toi, c'était bien ?

- Oui. Très bien.

 

Nous restons comme ça un moment. Puis je sens ma queue débander, se ramollir et commencer à s'échapper d'elle. Quand elle tombe toute seule, je me redresse et je lui caresse les reins, avant de m'écarter. Aussitôt, elle est debout et se tourne vers moi:

- Attends !

 

Je m'apprêtais à ôter la capote. Je m'immobilise. Elle se plante devant moi, regarde ma queue et la prend à deux mains:

- Oh, dis donc, elle est redevenue toute petite !

 

Mine de rien, elle est en train de se payer ma tête ! Elle entreprend de m'ôter elle même le préservatif, puis elle le lève à hauteur de ses yeux, elle le serre entre deux doigts, depuis l'ouverture, et les fait coulisser jusqu'à l'autre extrémité, visiblement pour réunir tout ce que j'ai éjaculé dans le fond. Elle secoue la tête, comme un peu déçue::

- Ah, ben, y'en a pas beaucoup ! Je m'attendais à plus que ça !

 

Et elle fait un nœud au milieu de la capote, l'agite sous mon nez, et la fourre dans une des poches de son gilet:

- Souvenir !

 

Puis, elle s'approche de moi, enserre la base de mes couilles et de ma queue de ses deux mains:

- Je … je n'avais jamais eu un orgasme comme ça. Sauf … sauf l'autre jour, sur ma terrasse. Mais là, c'était encore plus fort.

- Même avec ton mari ?

- Oh ben non. Lui, il ne me … il ne me baisait pas. Et on ne faisait ça que ... tu sais, face à face ...

- Dans la position du missionnaire ?

- Oui. C'est comme ça qu'on dit ?

 

Tout en parlant, elle me tripote machinalement le paquet. 

- Oui, la position du missionnaire, c'est face à face, et toi dessous.

- Oui, c'est ça. J'étais obligée de … de me caresser moi même. Mais c'est pas aussi bien que de me faire BAI ... SER ! Et de me faire BROUTER   LE   MINOU !

- C'est bien que ça te plaise et que tu te laisses aller.

- Un jour .. un jour, j'aimerais bien que tu me baises sans capote.

 

Aïe ! Elle y prend goût, mais je ne voudrais pas qu'elle pense qu'on va baiser comme ça régulièrement. Alors:

- Ecoute, avec mes pratiques, je ne peux pas être absolument sûr de mes partenaires. J'assume les risques pour moi, mais je ne voudrais pas te mettre en danger. 

- Oui, mais j'ai envie !

- Alors, tu devrais te trouver un homme. Un homme sûr, je veux dire.  

 

Elle réfléchit, pas convaincue. Elle me lâche la bite et va récupérer sa jupe. Pendant qu'elle la remet et ajuste son chemisier, je remonte et je referme mon pantalon. Elle enfile sa parka et moi mon blouson. Elle grimpe de nouveau sur une chaise pour ôter le torchon du crucifix, avant de jeter un coup d'œil circulaire à la sacristie. Avisant les papiers qu'elle a déplacés:

- Je reviendra demain pour remettre tout ça en place.

 

 C'est au moment de nous diriger vers la porte pour sortir que, brusquement, elle se baisse vers un pied de la table:

- Oups ! Il vaudrait mieux ne pas laisser traîner ça ici !

 

Quand elle se redresse, elle brandit son minuscule string de dentelle:

- Tu le veux ? Je te le donne. J'en ai d'autres.

 

C'est marrant, moi aussi, j'aime bien offrir mes strings aux mecs qui me baisent. Avant de le fourrer au fond de ma poche, je le renifle à nouveau:

- Hhmmmm ! Tu pourras me le re-mouiller, de temps en temps ?

- T'aimes ça, hein ?

- Oui.

 

Elle éteint la lumière, tourne la clef et entrouvre prudemment la porte. Dehors, c'est le calme. Nous sortons. Là-bas, les lumières de la salle des fêtes sont éteintes. Tout le monde est parti. Yolaine referme soigneusement la porte, et nous nous mettons en route. Après quelques mètres, elle vient se coller à moi, et me prend par le bras:

- Ça va mieux, maintenant, entre nous, hein ?

- Ah ben oui, c'est le moins qu'on puisse dire.

- J'étais pas facile, hein …

- Ça aussi, c'est le moins qu'on puisse dire.

- Je ne le faisais pas exprès. Ça me … ça me rongeait, d'être comme ça. Mais j'ai compris, et maintenant, je me sens tellement … Dis, on leur dira ?

- A qui ? On dira QUOI à QUI ?

- Au gens qu'on connaît. On leur dira, que … nous deux …

- Ah non. Ecoute, je n'y tiens pas du tout. Non, non, on ne dit rien à personne. Mais il y a quelqu'un qui a déjà des soupçons.

- Qui ça ?

- Françoise, ta copine.

- Comment tu le sais ?

- Elle me l'a dit.

- Ah bon ? Mais moi, je ne lui ai rien dit !

- Tu n'as pas été assez discrète.

- Ah bon !

 

Elle réfléchit, puis:

- Ça t'embête, qu'elle ait des soupçons ?

- Ça dépend. A ton avis, elle gardera ça pour elle ?

- Ah oui ! Alors elle, c'est vraiment pas le genre à faire des commérages. Elle ne dira rien.

- Bon. Tu sais, je crois que le mieux, c'est que tu te trouves un autre homme. Maintenant que tu es relookée, et que tu n'as plus ton caractère de cochon, tu va sûrement attirer des hommes. 

- Hé ! Caractère de cochon ! Dis donc !

 

Elle me pince le bras en riant. Je poursuis:

- Mais pour nous deux, si tu veux, de temps en temps, à l'occasion, on pourra baiser …

- A l'occasion … Dis, au fait, l'autre jour, je crois que je n'avais pas fini de regarder tes photos. Tu sais, CELLES OU TU TE FAIS BAISER !

 

Ça claque dans le silence de la nuit: elle a délibérément élevé la voix, presque crié. Et elle éclate de rire. Je la calme:

- Chut ! Tu vas nous faire remarquer. 

 

Elle rit. Bras dessus, bras dessous, nous poursuivons notre chemin, perdus dans nos pensées. Arrivés dans notre cour, il y a deux secondes de flottement. Elle me regarde:

- Tu veux entrer ?

- Non. Je vais aller me coucher.

- Moi aussi. Et je crois que cette nuit, je vais bien dormir.

- Alors bonne nuit.

 

Elle hésite. Elle va m'embrasser, ou pas ? Non. Elle se contente de me presser l'avant bras:

- Merci, hein …

- A ton service.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 5 avril 2017 3 05 /04 /Avr /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

C'est fou, ça m'a calmé, assouvi, appaisé, cette séance chez Jean-Claude. M'être fait baiser le même jour par lui et par ses deux molosses, c'est comme un aboutissement, comme si c'était ça que je cherchais plus ou moins inconsciemment. C'est tellement vrai que depuis ce jour-là, je n'ai plus d'envies ... enfin, plus d'autres envies que de recommencer avec lui .. et avec ses chiens. Je passe mon temps à rêvasser que je m'installe chez lui ... chez EUX ... et que je me fais saillir tous les jours soit par le maître, soit par ses dogues ...

 

Mardi 31 octobre. 9 heures. 

Je viens à peine de me lever quand le téléphone sonne. Numéro masqué. Je décroche quand même:

- Marin ?

 

Qui m'appelle ? C'est ma ligne fixe, et normalement, personne ne m'appelle à ce numéro en tant que … Marin ! C'est mon pseudo pour le cul, et pour ça, je ne communique que mon numéro de portable ! 

- Vous êtes qui ?

- Jacky.

- Jacky ?

- Ouais, Jacky.

 

Je n'en connais qu'un, celui de chez Jeannot, le Jacky qui m'a proposé de me mettre au tapin ! En effet, on dirait sa voix. Comment il a eu mon numéro ? Ça carbure à fond dans ma tête. Je flaire immédiatement le danger. S'il connaît ce numéro, il pourrait … les implications sont tellement … poussée d'adrénaline … pas d'excitation, non, de peur. Alors bêtement, je lance:

- Je vois pas …

 

Aussitôt, je réalise que c'est une connerie. Il ricane:

- Hé hé hé ! Te fatigue pas, mec. Tu vois très bien qui je suis. Je t'ai baisé, l'autre jour, chez Jeannot.

- …

- Ça y est, tu me remets ?

- Euh … oui.

- Bon ! 

- Mais, qu'est-ce que tu me veux ?

 

Oh, je devine, ce qu'il me veut: soit il veut encore me baiser, soit il revient à la charge pour cette histoire de tapin.

 

- Te baiser.

 

Voilà. Evidemment. Bon, si ce n'est que ça ... Pour le tapin, ce serait trop tôt, je n'ai pas encore réfléchi. Ou, plus exactement, je n'ai pas encore décidé. Mais bon, pour le moment, s'il veut seulement me baiser, ça va, je vais pouvoir lui donner satisfaction … surtout qu'il a une de ces queues !

- Ah ! Ben d'accord. Tu veux qu'on se voit quand ... et où ?

- Je veux te baiser MAINTENANT.

- Maintenant ?

- Ouais. D'ici quoi … un quart d'heure, vingt minutes.

- Un quart d'heure, vingt minutes ? Mais t'es où ?

- Je suis pas loin. 

- Ben, dis-moi, je te rejoins …

- Non, non, tu me rejoins pas, je viens te baiser CHEZ TOI.

- Chez moi ?

- Ouais, CHEZ TOI, 6 Chemin de la fontaine.

- …

 

Putain, il a aussi mon adresse ! 

 

- C'est bien ça ? T'habites bien 6 Chemin de la fontaine ? Enfin, je vois pas pourquoi je te demande, je le sais.

- Tu … veux venir chez moi ?

 

Merde ! A part Thomas, mon premier mec, et Gabriel, le grand black qu'il m'avait … offert, parmi les mecs avec qui j'ai baisé, personne n'est censé connaître mon adresse. 

- Ouais, je viens te baiser CHEZ TOI !

- Mais, comment tu sais où j'habite ?

- Hé hé ! Le samedi, tu sais, le lendemain du jour où je t'ai enculé … t'es repassé devant chez Jeannot, non ?

- Euh, oui.

- T'as pas fait attention, mais j'étais juste derrière toi. Je venais voir Jeannot, et quand t'as tourné devant moi, au bout de sa rue, je t'ai reconnu et je t'ai suivi. 

- Ah bon ?

- Ouais. Même qu'après, t'as fait tout un circuit en ville. Exact ?

- Ouais.

- Voilà. Je me suis demandé ce que tu foutais, mais je t'ai suivi jusqu'au bout, jusque dans ta rue, jusqu'à l'entrée de ta cour, même. Je t'ai même vu entrer chez toi, avec ta minijupe et tes miches à l'air.

 

Ah, d'accord … Putain … Bon, il faut absolument que j'évite qu'il vienne à la maison:

- Bon, OK. Mais, j'aime mieux pas que tu viennes chez moi. Je peux te rejoindre où tu veux. Dis-moi.

- Non non, je t'ai dit: je viens te baiser CHEZ TOI !

- Non, je suis pas d'accord.

- Attends, la fiotte ! Tu m'as pas bien écouté ! Je te demande pas si t'es d'accord, je te dis: JE VIENS TE BAISER CHEZ TOI !

 

Putain ! Alors, j'essaie autre chose:

- Et si je te laisse pas entrer …

- HA ! HA ! HA ! Me fais pas rire ! Yolaine C., 8 chemin de la fontaine, Lucienne B., 4 chemin de la fontaine … tu connais ?

 

C'est mes voisines ! 

 

- Alors ? Tu les connais ? C'est tes voisines, non ? Et attends. La Rando des Trois Vallées et les Fêtes au Village, tu connais aussi ?

 

Oui, je connais: le premier, c'est le club de rando avec qui je marche et l'autre, c'est la société des fêtes de ma commune !

 

- Tu connais, ou pas ? Tu veux que je te donne le nom des gens qui s'en occupent ? Je peux, je les ai. J'ai même leurs téléphones. Internet, c'est magique ! Une fois qu'on a le nom et l'adresse de quelqu'un, y'a plus qu'à chercher !

 

Ouais, évidemment, avec mon nom, sûrement relevé sur ma boîte à lettres en même temps que le nom de mes voisines, et avec mon adresse … et en cherchant les associations de la commune. J'ai fait partie de leurs conseils d'administration et ça doit encore figurer sur des sites Internet. Bon, j'ai compris. Il s'est renseigné sur moi et il pourrait aller baver sur mon compte auprès de ces gens-là ! Dans le lot, il y a des commères qui se feraient un plaisir d'aller répéter ça un peu partout. Il ne l'a pas formulé ouvertement, mais il y a de la menace dans tout ça. Putain, de merde ! Il insiste:

- Alors, tu connais ou pas ?

- Oui, ça va, j'ai compris.

- Bon. Alors, prépare ton cul, qu'il soit propre quand je vais arriver! Et mets-toi en tenue de salope, dans le genre de celle que tu portais l'autre jour chez Jeannot. On arrive !

 

Touuuuuut ! Il a raccroché. « ON arrive » ! Il est pas tout seul ? Putain ! Je fais quoi ?

 

Oh je n'ai pas besoin de réfléchir longtemps. Dans l'immédiat, je n'ai pas le choix, je ne peux pas le braquer. Sinon, je suis bon. Moi qui pensais avoir tout verrouillé pour préserver ma réputation dans le village … j'étais même tranquille du côté de Yolaine tout en lui ayant révélé ma dépravation ! Paniqué à l'idée que ce mec puisse déballer sur mon compte auprès de tout le village, je monte à la salle de bain. Malgré tout, je me prépare aussi soigneusement que pour un rendez-vous que j'aurais voulu: douche, lavements, coup de rasoir un peu partout et crème hydratante. Je m'introduis même un peu de gel lubrifiant dans le fourreau: Jacky a peut-être l'intention de me prendre dès son arrivée, alors il faut que je sois prêt. Puis je me plonge dans ma commode. Il a dit "une tenue de salope dans le genre de celle que je portais l'autre jour ". L'autre jour, en plus de ma minijupe en jean, c'était petit haut moulant et string en dentelle. Mais ça, c'était pour sortir en ville. Là, ça va se passer chez moi. Alors, j'opte pour une tenue d'intérieur: nuisette en voile noir, transparente à souhait, avec son motif de dentelle verte sur la poitrine. Quand je me regarde dans le grand miroir de la chambre, c'est pas mal, pas mal pour recevoir un mec. Ou peut-être DES mecs ! Mais ça ne me paraît pas suffisant, pas assez hot, pas assez sexe. Le Jacky, il faut que je le dispose bien à mon égard, il faut que je sois à la hauteur. Je décide de mettre, en plus, un porte-jarretelles. Ça met très bien le cul en valeur. Avec la ceinture du porte-jarretelles sur les reins et les bas sous les fesses, ça fait comme un cadre sombre au centre duquel on ne voit que le cul, comme une tache plus claire, comme une cible, en fait. Un porte-jarretelles, mais lequel ? J'hésite: celui-ci, en tulle brun, avec des suspensions et des petits nœuds roses, et une paire de bas assortis ? Je le trouve sexy ! Mais ça n'ira pas avec ma nuisette noire. Bon, porte-jarretelles en dentelle noire avec des bas en voile. Je mets aussi un string assorti à la nuisette: tulle noir, brodé du motif de dentelle verte. Et je finis par ce déshabillé rose pâle que je me suis offert la semaine dernière. 

 

9 heures 25.

Me voilà paré. Me préparer pour me faire grimper par ce salaud de Jacky m'a un peu calmé. Même si le coup de queue que je vais prendre dans un moment m'est imposé, me soumettre à ce rituel de la toilette et du choix d'une tenue m'a conditionné, à la fois physiquement et psychiquement: un coup de bite, c'est un coup de bite, même s'il m'est imposé. Mon "viol" par l'équipe de blacks me revient en mémoire. C'est lui qui m'a fait basculer, et je ne regrette pas, au contraire. Alors, même pour cet enfoiré de Jacky, je suis content de m'être pomponné. Et puis, s'il est content, me baiser suffira peut-être pour qu'il ferme sa gueule. Au fond, même si le coup de bite qui m'attend est contraint, la perspective de me faire baiser compense le côté dégueulasse du chantage. "Le coup de bite qui m'attend " ! Peut-être "LES coups de bites qui m'attendent" ! Il a dit "ON arrive" ! Il va peut-être amener un pote. Alors, un peu moins angoissé, je l'attends en jetant de temps à autre un coup d'œil par la fenêtre. Savoir qu'en ce moment, une bite est sur la route pour venir se fourrer au chaud au fond de mon cul, ça me … hhhmmm … 

 

Je remarque que la voiture de ma voisine est devant sa maison. Elle ne travaille pas, aujourd'hui ? Pourtant, on est en semaine. Elle est peut-être en congés, ou malade.Tiens, ce serait pas mal quelle voie ce mec arriver chez moi. A tous les coups, elle se dira qu'il vient me baiser. Soudain, je réalise que j'ai oublié de mettre du déodorant. Je retourne dans la salle de bain. Je suis en train de réparer cet oubli quand j'entends une portière claquer sourdement. Non ... deux ... trois portières. Je me précipite à la fenêtre. Ce qui me saute aux yeux en premier, c'est cette grosse bagnole, noire, rutilante, garée à l'entrée de ma cour. Je ne connais rien en voitures, mais je reconnais tout de même une grosse Mercedes d'un modèle récent. 

 

C'est n'est qu'ensuite que je me rends compte que c'est LUI, le Jacky, là, à côté de la Mercedes ! Et c'est LUI, mais avec QUATRE autres types ! Pourquoi j'ai seulement envisagé qu'il viendrait avec UN autre type ? "ON arrive ! " En une fraction de seconde, je prends conscience de deux choses: non seulement ils arrivent à CINQ, mais les CINQ vont me baiser ! Je ne sais pas pourquoi, dès que je vois les types qui accompagnent Jacky, j'en suis sûr: eux aussi vont me baiser ! J'ai le cœur qui bat et un frémissement m'électrise le bas-ventre, la queue, l'anus. Je le reconnais, ce frémissement: ça me fait ça quand je sais que je vais me faire fourrer ! Putain, j'ai beau être encore un peu stressé par la menace que Jacky représente, c'est plus fort que moi, même si ce qui va m'arriver m'est imposé, je vais me prendre cinq coups de bite ! En fait, ce qui m'est imposé, ce n'est pas les coups de bites, c'est qu'ils aient lieu chez moi, et ça, au fond, ce n'est pas si grave. C'est même curieux, mais cinq types qui se déplacent jusque chez moi pour tirer un coup, je trouve ça … je ne sais pas exactement … c'est plutôt agréable, comme idée. 

 

Ils se marrent. Ils se marrent et ils s'esclaffent bruyamment. Je les observe en détail. A part Jacky, je n'en reconnais aucun. Ceux-là, je ne les ai jamais vus. Et, ceux-là, c'est des mecs ! Je veux dire des mâles, des mecs virils, des machos. Je réalise que le Jacky, est plutôt costaud. Chez Jeannot, je ne l'avais pas vraiment vu comme je le vois maintenant. Dans le bar, j'ai toujours été près de lui. Il était le plus souvent assis, soit sur un tabouret de bar, soit sur la chaise où je l'ai sucé, et après, à l'étage, je l'ai eu entre les cuisses. Alors je ne m'étais pas rendu compte qu'il était aussi grand et aussi large d'épaules. Les autres ont un peu le même type physique - à l'exception de l'un d'eux, plus petit et plus râblé - , et le même look de … je sais pas … de voyoux. Je ne serais pas surpris que les potes de Jacky soient aussi des macs.  Ils ont tous dans les … quarante, quarante cinq, cinquante ans. J'ai capté tout ça en une fraction de seconde, alors qu'ils ne sont encore qu'au milieu de la cour, Jacky en tête. Et là, le Jacky, je le vois s'arrêter, se tourner vers chez Yolaine, dire quelque chose en souriant – ma fenêtre est fermée et je n'entends pas -, comme s'il s'adressait à quelqu'un. A Yolaine ? Je le vois hocher la tête, et se remettre en marche, les autres sur les talons. Ils se marrent encore. Les voilà devant ma porte. Ils frappent. Je descends. 

 

Je ne sais pas pourquoi, avant d'ouvrir ma porte, je remarque que ma pendule, dans l'entrée, marque 9 heures 30.

Quand j'ouvre, Jacky fait signe à ses copains d'entrer. L'un après l'autre, ils passent devant moi en me reluquant, sans un mot, sans me serrer la main. Je sens les regards des quatre copains de Jacky se poser sur moi et me détailler, comme s'ils me touchaient, me pelotaient à travers le satin de mon déshabillé. Jacky aussi m'examine, un petit sourire aux lèvres. Il semble satisfait. Est-ce parce que la tenue dans laquelle je l'accueille lui plaît, ou est-ce parce que je lui ai obéi, que je me suis préparé comme une femelle se prépare pour recevoir son mâle ? Il ferme lui-même la porte, et:

- Bon, voilà … c'est lui.

 

Quatre mots en guise de présentation. Un de ses potes lui lance en ricanant:

- Ça se voit.

 

Ils se marrent. Mon séjour est brusquement envahi, submergé de testostérone. De près, ils font encore plus "mecs". C'est marrant, ils n'ont vraiment pas l'apparence de types homo ou même bi, bref, de types qui baisent un autre mec. Je les imagine plutôt baiseurs de femmes. Ces mecs-là vont me fourrer ? Dans un coin de ma tête, une petite voix me souffle « Tu te sens pas ridicule, devant ces machos ? T'as vraiment l'air d'une fiotte, d'une tapette, dans ton déshabillé rose, ta nuisette et ton porte-jarretelles ». Non, je ne me sens pas ridicule. Je sais bien que, dans cette tenue, j'ai vraiment l'air d'une fiotte, mais une fiotte que cinq mecs se déplacent jusque chez elle pour la baiser. Je ne peux pas m'empêcher de porter mon regard successivement sur leurs bas ventres, y compris sur celui de Jacky. Lui, il porte encore un jean moulant.  Là, dans ces pantalons et dans ces jeans, il y a des BITES ! Des bites de vrais mecs ! Des bites que je vais sûrement me prendre dans le cul ! Un nouveau frémissement m'électrise la rondelle.

 

- Asseyez-vous, les mecs !

 

C'est Jacky, qui vient d'inviter ses potes à s'asseoir. Putain, il se prend pour le maître de maison ! Mais qu'est-ce que je peux faire ? Ses potes se posent déjà, les uns sur les fauteuils, les autres de part et d'autre de Jacky, dans le canapé. Lui me regarde avec un sourire narquois:

- Dis donc, elle est sympa, ta voisine. Yolaine, c'est ça ? 

 

Ouais, mec ! J'ai compris que tu sais comment elle s'appelle, ma voisine. Pas besoin de me rappeler. Il attend une réponse, alors:

- C'est ça. Pourquoi ?

- Ben, quand elle nous a vus descendre de voiture, elle a mis le nez à sa fenêtre pour nous demander qui on cherchait …

- Ah bon ? Tu lui as dit quoi ?

- Qu'on allait chez toi.

- Et …

- Et rien. Elle a dit qu'elle s'en doutait. 

- Ah bon !

- Ouais. Pourquoi elle s'en doutait, selon toi ?

- Je … je sais pas.

 

En fait, je sais. Après lui avoir dit à deux reprises que je me faisais baiser par des mecs en bande, quand elle voit débarquer cinq mecs aux allures de mâles, elle se doute qu'ils viennent pour me tirer. Elle est quand même gonflée de les avoir interpellés, cette garce. Jacky reprend:

- Rassure-toi, je lui ai pas dit que je venais te baiser … enfin … qu'ON venait te baiser …

 

Voilà ! J'en étais sûr, mais cette fois, c'est dit: ILS viennent me baiser ! Toujours souriant, il poursuit:

- Ouais, parce qu'on va TOUS te baiser …

 

Il guette ma réaction. Qu'est-ce que je peux lui dire ? Est-ce que je peux avouer que je l'avais deviné, que je me suis fait à cette idée ? Comme je ne dis rien, il reprend:

- T'as compris, ça, qu'on va TOUS te baiser ?

- J'ai le choix ?

- Nan ! T'as pas le choix ! Ça te pose un problème ? Je suis sûr que non. Je suis même sûr que ça te plaît. L'autre fois, chez Jeannot, j'ai bien vu comme t'aimes ça, te faire enculer, même par des mecs que tu connais pas. Hein, tes quatre potes, d'ailleurs, ceux-là, ils t'avaient déjà sauté avant de venir, d'après ce que m'a dit Jeannot. Tes potes, ils t'ont amené à nous, là, chez Jeannot, sans te prévenir que c'était pour qu'on te baise aussi, et t'as pas moufté quand t'as compris. Et ça t'a plu qu'on te baise, avec les autres mecs, chez Jeannot. Hein, que ça te plaît ...

- …

- Vas-y, dis-le.

- Ecoute … vous êtes cinq, alors j'ai pas le choix, comme tu dis. Qu'est-ce que je peux faire ? Refuser ? Tu m'as fait comprendre que tu irais balancer aux gens que je connais. Résister ? Je suppose que vous me prendrez de force. A cinq, bâtis comme vous êtes, je fais pas le poids. Alors oui, vous allez TOUS me baiser et j'en mourrais pas. Baisez-moi, mais ne me demande pas de sauter de joie …

 

Voilà, mon con. Ce que tu ne sais pas, c'est qu'intérieurement, sans "sauter de joie", je me suis fait à l'idée, et même tellement, que OUI, ça me plaît, en fait. Mais ne compte pas sur moi pour te le dire, espèce de salaud ! Il ricane, puis:

- Et ben c'est bien, t'es pas con, t'as tout compris, et tu vas gentiment te laisser faire. A moins que t'aie envie de te faire dérouiller, et de te faire quand même baiser après. T'as envie de te faire dérouiller ?

- Non.

- Bon, c'est bien. Tu nous paie un coup ? Je prendrais bien un café. Et vous ?

 

Il s'est adressé à ses potes. Eux aussi veulent bien un café. 

 

- T'as du café ?

- Oui. 

- Alors, va nous faire des cafés.

 

Salaud ! J'esquisse un mouvement pour aller dans la cuisine. Il m'arrête:

- Attends ! 

 

Je lui refais face. D'un geste de la main, il montre mon déshabillé: 

- Enlève ça et montre ! Que mes potes se rendent compte.

 

La main levée, il dessine un cercle avec son index. Ce geste, je connais: il veut que je fasse un tour sur moi-même, il veut que je montre la "marchandise" à ses potes. Je suis bien conscient de ce que ça pourrait avoir d'humiliant, mais je ne me sens absolument pas humilié … bien au contraire, j'adore faire ça. Déjà, parce que là, je me sens vraiment à mon avantage, sexy, bandante, baisable, et que je sais l'effet que produit la vision de mon cul sur les mecs. Et puis, si Jacky veut encore me baiser, s'il m'amène d'autres types, c'est que je vaux le coup ... le coup de bite. Je dénoue la ceinture de mon déshabillé, je l'enlève et je le lance sur le dossier du fauteuil où un des mecs est assis. Puis, spontanément, je croise mes mains derrière ma nuque et je commence à tourner. Lever les bras fait remonter ma nuisette qui me découvre alors un peu plus les fesses. Je me cambre et je pivote lentement pour les laisser m'examiner. Cinq paires d'yeux sont posées sur moi. Je les sens comme des caresses. 

- Putain , CE CUL !

 

C'est un des types, sur le canapé. Puis, jaillissant d'un des fauteuils, un hennissement, suivi de:

- Ah, la pouliche ! Elle doit être bonne à monter !

 

Yes ! En voilà deux de conquis. Frémissement de mon anus ! Et je sens, au moindre de mes mouvements de rotation, que ça glisse bien de ce côté-là. Le lubrifiant fait son effet. Hhmmmm ! J'ai hâte que l'un d'eux vienne y fourrer sa queue ! Je poursuis mon tour. Ils m'examinent sans vergogne, contemplent mon anatomie, explorent mon intimité, et je le sais, cet examen fait naître dans leurs têtes des images lubriques de sodomie, de copulation, de fornication. Ces types anticipent le moment où ce sera leurs sexes qui me toucheront, qui s'enfonceront dans mes chairs, qui y répandront leurs charges de sperme. Peut-être même que ça frémit déjà dans leurs frocs ! Quand j'achève mon tour, Jacky remarque:

- Regardez-le ! Ça lui plaît, hein, à c'te salope ! Il sourit ! Alors ?

 

Ce "alors ?" s'adresse à ses potes et il veut dire "qu'est-ce que vous en dites ?". 

 

Les mains maintenant sagement croisées dans le dos, j'attends. Ils n'en disent rien, mais le type assis à droite de Jacky se contente de se frapper les genoux du plat de ses mains et de s'esclaffer. Celui-ci se régale d'avance. Les autres, ils n'en pensent que du bien: deux d'entre eux hochent la tête d'un air convaincu, un autre reste bouchée bée, mâchoire pendante, et le dernier, juste à côté de moi, me regarde avec un sourire qui en dit long sur ce que je lui inspire. D'ailleurs, alors que j'attends que Jacky me donne congé pour aller leur faire du café, celui-ci tend la main, la passe derrière ma cuisse et m'attire à lui:

- Viens là. Assieds-toi  !

 

Il tapote ses cuisses. Il est costaud, je n'ai pas le choix. Je me laisse tomber. Avant que mon cul touche ses genoux, il glisse sa main gauche sous mes fesses. Je passe mon bras sur ses épaules. Dans cette position, je le domine légèrement. Il lève les yeux sur moi et, tout en commençant à me peloter la cuisse de sa main droite, il remarque:

- Alors, comme ça, tu te fais enculer par tous ceux qui veulent.

 

Ce n'est pas une question. Il poursuit:

- Remarque, t'as un cul plutôt bandant, et d'après Jacky, il est vachement accueillant, ton cul …

 

Sous moi, je sens qu'il bouge sa main: il commence par me caresser la fesse, puis ses doigts s'aventurent plus près de ma fleur. Hhhmmm ! Il n'est vraiment pas canon, ce mec. On dirait un gitan à l'ancienne mode, style Django Reinhardt: cheveux noirs plaqués et luisants, longues pattes, et fine moustache au ras de la lèvre. Je ne pensais pas que ça existait encore, ce genre de look. Ah, putain, un de ses doigts s'est glissé sous la ficelle de mon string, a trouvé ma rondelle et se presse contre elle. C'est plus fort que moi, je pousse un halètement de plaisir et j'enfouis mon visage contre son cou et sa nuque. Ricanements. Sa tête sent je ne sais quel gel bon marché pour les cheveux. Stupéfait par ma réaction, il remarque:

- Waouhhhh ! Tu démarres au quart de tour, dis donc !

 

Il se marre et il explique aux autres:

- Putain, il est d'jà chaud ! J'lui ai à peine touché l'fion ! 

 

Jacky:

- Qu'est-ce que j'vous disais !

 

Encouragé, le "gitan" enfonce sa première phalange. Ah putain, ce que j'aime ça ! Une fois qu'un mec commence à me faire ce genre de chose, je suis cuit. Même si je le voulais, je ne pourrais pas résister. Quand ça commence comme ça, ça ne peut se terminer que par une bite dans mon cul ! Je sens que, sa main coincée comme ça sous mes fesses, il ne pourra pas aller plus loin que cette première phalange. Alors, accroché à son cou, je me soulève un peu. Il a compris. Il se marre encore:

- Ah, la vaaache ! T'en veux plus, hein.

 

Et il m'enfonce une autre phalange. Ça m'arrache un gémissement.

 

- Mais dis donc, t'es déjà … hey, les MECS ! Il est déjà tout mouillé du cul ! 

 

D'un seul coup, il règne une drôle d'ambiance. Je ne les vois pas, mais je sens que les autres sont un peu désorientés. Ils ne devaient pas s'attendre à ce que je réagisse comme ça. Jacky a dû leur dire qu'ils allaient me baiser contre mon gré, que, peut-être, ils devraient me forcer, me contraindre, me violer, et ils découvrent que je suis déjà chaud bouillant, avide de me faire doigter. Oui, les mecs, OUI ! J'ai une furieuse envie que vous me baisiez ! Je ne réponds pas au "gitan" qui bouge son doigt plus résolument. Je me suis seulement lubrifié le fion pour que Jacky puisse m'enculer dès son arrivée. Je le sens qui s'excite, le "gitan": il est de plus en plus nerveux et il respire fort. Il doit commencer à bander. Je me mets à penser à sa queue. Comment elle est, sa queue ? Ça doit pas être le genre à s'épiler la bite et les couilles. Trop macho pour ça ! Il doit être velu de partout. Je ne sais pas pourquoi, je suis sûr qu'il doit avoir une grosse bite, à la peau toute brune et pleine de poils. J'enlève mon bras de derrière son cou et, tout en bougeant précautionneusement mon cul en direction de ses genoux, je glisse ma main entre ma cuisse et son ventre, et je la pose sur sa bite. J'adore ça, faire tout de suite la "fille facile" avec un inconnu, lui sauter au paf, lui montrer que ça ne me fait pas peur, une bite inconnue. Il lève des yeux ronds sur moi, incrédule. Il n'en revient pas que je prenne déjà cette initiative, mais il se laisse faire et il rentre son ventre. Il porte un large ceinturon de cuir avec une grosse boucle métallique. Je plaque ma main sur la bosse de sa braguette. Là, dessous, il y a sa queue et ses couilles. Je lui pétris le paquet à travers la toile de son jean. Oh putain, je veux qu'il me baise ! Mon visage tout près du sien, je plante mes yeux dans les siens et je gémis doucement. Ton doigt dans mon cul, ta queue dans ma main ! Oui, mec, je veux que tu me sautes ! Ça y est, il a compris que j'ai envie qu'il me tringle, que j'ai envie qu'il me baise. Et c'est parti, il s'excite, il me doigte le cul de plus en plus vigoureusement, il halète et je l'entends déglutir bruyamment:

- Ah putain ! Toi, tu veux d'la bite, hein !

 

Oh oui, je veux de la bite ! Et tripoter la sienne, comme ça, devant les autres, sans retenue, sans pudeur, m'excite terriblement. Et ça doit se voir: le type, dans le fauteuil juste en face de moi, s'esclaffe:

- Ho ho hoooo !

 

Peu à peu, je sens que la verge du "gitan" commence à émerger de la masse indistincte de son paquet, moulé dans son jean. Elle gonfle, elle grossit, elle s'allonge et elle durcit sous l'effet du pétrissage que je lui administre. Je sens ce cylindre de chair qui déforme maintenant la toile. Il doit être à l'étroit là-dedans. Alors, je n'y tiens plus, je me lève, faisant sortir son doigt de mon cul, je me dresse devant lui, puis je m'accroupis entre ses genoux. D'abord surpris, il comprend où je veux en venir. Spontanément, il écarte les genoux et il se cale bien au fond de son fauteuil. Les yeux braqués sur son entrejambe, je lui caresse les cuisses des genoux jusqu'aux aines, et je finis en lui pétrissant le paquet à deux mains Un ricanement du côté de Jacky et de ses autres copains. Je les balaie du regard. Lui, Jacky, il se marre, mais les trois autres sont scotchés de me voir littéralement sauter au paf du "gitan". Au moment où je reviens à lui et où j'entreprends de déboucler son ceinturon, j'entends un des autres lancer:

- Putain ! Tu l'as bien chauffé, Jo ! Fais gaffe, il va te bouffer la queue !

 

Ils se marrent. Comme j'ai du mal à défaire la boucle de sa ceinture, le "gitan" – Jo, donc -, le "gitan" s'en charge, fébrilement. Puis il s'apprête à déboutonner son pantalon et à ouvrir sa braguette, mais je repousse ses mains: c'est moi qui fais ça ! Mais avant, je m'avance, je me penche et je pose ma bouche sur la bosse de sa braguette. Hhhmmmm ! Sentir sous mes lèvres, à travers la toile rêche, la chaleur de son sexe, la forme de sa verge et, en dessous, la bosse que font ses couilles … Ah la laaa ! Les bites ! Les BITES ! Ça me rend dingue ! Là, je vais en découvrir encore une nouvelle. La bite d'un inconnu … une bite qui a sûrement déjà baisé des femmes ! Si ça se trouve il est marié, ce mec ! Ah oui, putain, là, à son annulaire … une alliance ! -, une bite qui a déjà joui dans des chattes, dans des bouches et dans des culs ! Et cette bite, je vais la sucer, je vais la téter, je vais la pomper, avant de me la faire mettre dans le cul ! Sous les rires de ses potes, je fais glisser plusieurs fois ma bouche sur la bosse de sa verge. Son gland est là, à gauche. Je devine sa forme, un peu plus renflée, à l'extrémité de sa queue. Je le presse entre mes lèvres. Hhhmmm, toi, tu vas me cracher ton sperme dans le cul ! Après m'être bien frotté les lèvres sur son paquet, je me redresse, je déboutonne sa ceinture, et je descends son zip. Puis j'écarte les deux pans du jean, je passe mes doigts dans la ceinture de son caleçon, je l'abaisse, et je découvre LA chose ! Oh putain, que tu es belle ! 

 

En fait, elle n'a rien d'exceptionnel: elle n'est ni grosse, ni longue, ni belle ! Elle est plutôt ordinaire, mais elle me plaît terriblement … c'est une bite ! C'est une bite qui va me pénétrer, c'est une bite qui va me fourrager, c'est une bite qui va me baiser ! Je suis dans un tel état d'excitation que n'importe quelle queue me plairait. Je la prends dans ma main, et, tant bien que mal, je m'efforce d'extraire délicatement ses couilles du fond de son caleçon. Voilà, c'est fait. Je le masturbe un peu. En effet, il est très poilu et sa bite émerge d'une grosse touffe de poils noirs. Son gland commence à s'échapper de son prépuce, et son méat est déjà tout luisant de mouille. Je lève les yeux sur lui. Il m'observe, les yeux ronds. Oui, mec, je vais te sucer ! Ses mains posées sur ses cuisses, je remarque qu'en plus de son alliance, il a plusieurs chevalières en or et un petit tatouage à moitié effacé à la commissure du pouce et de l'index. Il ne lui manque qu'une boucle à l'oreille pour être la caricature du manouche. Je jette un coup d'œil vers les autres. Ils ne ricanent plus, ils m'observent. Ils doivent se dire qu'eux aussi auront droit à ça. Je reviens à Jo et à sa queue. Je bande ! Et comme, moi aussi, je commence à être à l'étroit dans ce string, j'en sors rapidement ma queue. Je fais aller et venir ma main deux ou trois fois sur sa verge qui se décalotte un peu plus à chaque fois. Enfin, je me penche et d'un coup de langue, je nettoie ce qui perle au bout de son gland. 

 

- Bon, ben, on va aller se le faire nous-mêmes, ce café !

 

Du coin de l'œil, je vois le type qui est dans l'autre fauteuil se lever et passer derrière moi en direction de la cuisine. Pour le moment, va te le faire, ton café.  La main serrée sur la verge de Jo, je commence à donner de petits coups de langue tout autour de son gland. Une veine, toute gonflée, gorgée de sang, court jusque sur son prépuce. Hhhmmmm, ce qu'il est doux et chaud  sous ma langue. J'ouvre la bouche et je glisse son nœud entre mes lèvres. En les serrant, j'enfonce sa queue dans ma bouche. Elle finit de se décalotter et je sens son gland s'épanouir sur ma langue. Oh la laa ! Ça y est, j'ai son sexe en moi, c'est par ce tube de chair et de sang qu'il répand sa semence dans les ventres, dans les bouches et les culs ! Et là, il est dans ma bouche à moi, cet appareil génital ! Et c'est moi qui vais recevoir sa charge de sperme ! Oh, putain, ce que j'aime les bites ! Je commence à aller et venir. Il pose une main sur ma nuque. Ah oui, Jo, serre-moi la nuque ! Je l'entends qui souffle par la bouche. Je lui fais beaucoup d'effet. Je le suce délicatement comme ça un petit moment, et mon excitation, comme la sienne, monte, monte, monte … Et brusquement, il repousse ma tête sans ménagement:

- Arrête ! Relève-toi ! J'vais t'baiser ! MAINT'NANT ! 

 

Il a déjà une urgence. Je n'en reviens pas. J'espérais qu'il me laisse le sucer longuement, je m'attendais à ce qu'il tienne mieux la distance. Sans attendre que je sois relevé, il est debout et manque de me foutre par terre. Il me saisit le bras, me force à me mettre sur mes pieds et demande:

- Où, j'te baise ?

- Je sais pas. Où tu veux.

- T'as une table, par là ?

 

Il montre la salle à manger. 

 

- Oui.

- Alors go !

 

Ah oui ! Sur la table ! J'adore ça ! Allongé sur le dos ou debout, en levrette. Il me pousse devant lui. Nous voilà dans la salle à manger. Le type parti faire du café s'interrompt, surpris, et nous regarde. Jo me guide vers l'extrémité de la table, là où il n'y a pas de chaise, et me fait pivoter:

- Fous tes mains sur la table et écarte les jambes. J'vais t'enculer en levrette.

 

Il m'appuie sur une omoplate pour que je me courbe au-dessus de la table. Je résiste:

- Attends !

- Quoi !

 

Jacky et les deux types qui étaient restés avec lui dans le séjour apparaissent à leur tour. Ils viennent assister au spectacle. Tant mieux, j'aime ça. Un grand type aux cheveux poivre et sel, a sa main plaquée sur la bosse à côté de sa braguette. Il se caresse discrètement. Celui-là est mûr. Me voir sucer Jo l'a bien excité. Vas-y, mec, te gêne pas, tripote-toi pendant que l'autre me grimpe, j'aime ça. Il a vu que j'ai repéré son manège. Comme pris en flagrant délit, il esquisse un mouvement pour écarter sa main de sa queue, mais il se ravise, s'empoigne ostensiblement le paquet, et me sourit. C'est bien, mec, tripote-toi, en attendant ton tour, montre-moi que t'as envie de m'enculer. Sans le quitter des yeux, je soulève le bas de ma nuisette, je saisis les côtés de mon string, je le descends jusqu'à mes pieds, je l'ôte et je le pose sur la table. De nouveau, le "gitan" appuie sur mon omoplate. Je pose mes mains à plat sur le bois, j'écarte les jambes et je me cambre, prêt à me faire saillir. Ah putain le moment où je me mets en position pour me faire prendre ! Offrir son cul à un mâle, quel régal ! Et me faire prendre devant des spectateurs ! 

 

Brusquement, je réalise que Jo va sans doute me baiser sans capote. Je m'en fous, malgré la même petite voix qui me souffle que je suis con, que je ne le connais pas, qu'il peut me refiler n'importe quelle saloperie, y compris la pire. Mais je la fais taire, la petite voix. Là, c'est à cru que je veux me faire fourrer, que je veux me faire remplir les entrailles de sperme par ce mec, et j'espère bien que lui-même ne pensera pas à interposer une capuche en latex entre son zob et ma viande. Et c'est ce con de Jacky, qui ramène sa gueule:

- Jo ! Tu mets pas de capote ?

 

Jo, il a une main posée sur ma hanche et je pense qu'il cramponne déjà sa queue pour la présenter devant l'entrée de mon fourreau. 

 

- Nan, mec ! J'le baise comme ça !

 

Yes ! Sans hésitation, le Jo. Il doit être dans le même état que moi: surexcité et pressé de me saillir, de se vider les couilles et de m'inséminer. Et puis, je le sens hésiter, et il se ravise. Il me presse la hanche et me demande:

- Faut que j'mette une capote ?

- Non. Vas-y, baise-moi comme ça et jute-moi dans le cul !

 

Je ne sais pas s'il a demandé ça pour sa propre sécurité ou par égard pour moi. Peu importe, il faut qu'il y aille, maintenant. Et il y va: je le sens guider sa queue entre mes fesses, placer son gland contre ma rondelle et, d'un seul coup de reins, me pénétrer. Ah ouiiii ! Ça rentre tout seul. J'ai bien fait de me lubrifier avant qu'ils arrivent. Oh, ce que j'aime ça ! Ce que j'aime me faire prendre par les mecs ! J'aime les mecs, j'aime les mâles, j'aime les hommes ! J'aime que les hommes me baisent ! Il m'empoigne fermement par les hanches, et se plaque à moi, me donnant de petits coups avec son bassin, comme pour bien s'enfoncer au fond de moi:

- Rhâââ, puutaiiin ! Quel CUL !

 

Je me cambre autant que je peux pour bien recevoir cette saillie, pour qu'il aille bien au fond. Vas-y, prends-moi ! BAISE-MOI ! Il se met à aller et venir, sortant lentement, rentrant plus vigoureusement. Il souffle par la bouche, il halète. Jacky et les autres, autour de la table, nous regardent. Le type aux cheveux poivre et sel qui se palpait seulement la queue il y a un instant, se tripote maintenant ouvertement la bite à travers la toile de son pantalon, et il a passé son pouce dans sa ceinture, comme s'il s'apprêtait à la déboutonner pour sortir son engin. Vas-y, sors-la, ta queue ! Le type de la cuisine est maintenant tout près de nous, la cafetière à la main. Le café attendra, on dirait, il mate. J'aime toujours autant que des mecs me regardent pendant que je me fais tringler. Pour le plaisir de l'exhibition et aussi parce que je sais que ça les excite, que ça leur donne envie. Et à tous les coups, ça marche ! Quand quatre types me regardent me faire enculer par un cinquième, je sais que les quatre types vont aussi me baiser après lui. Ah putain, ce que j'aime ça ! 

 

A mon tour, la tête rejetée en arrière, je halète sans pudeur. C'est tellement boooon ! Le gitan me donne du plaisir, il m'enflamme la rondelle, et ça me plaît de lui faire savoir et de le montrer à ses potes. Je gémis et, les yeux mi-clos, je regarde ces types l'un après l'autre, leur adressant une supplique muette: « Tu vois comme j'aime ça ? Alors, toi aussi, viens me baiser ! ». Je crois qu'ils ont compris. Ils n'ont plus envie de ricaner, ils ne pensent plus à se foutre de ma gueule. Ma conduite de femelle nymphomane, dépravée, indécente et lubrique les sidère, et ils n'ont plus qu'une idée en tête: me faire comme le "gitan", me passer dessus, me faire ma fête, me baiser. Ça y est, le type poivre et sel sort sa queue ! Oh putain, il bande ! Sa bite est assez quelconque, mais il bande, il veut me fourrer, il VA me fourrer, et il commence à se branler ! Du coup, l'autre, à côté de Jacky, ouvre aussi sa braguette, et il sort aussi sa queue ! Oh, putain, c'est parti pour une nouvelle tournante ! Oh oui, sortez tous vos bites et baisez-moi ! Baisez-moi ! BAISEZ-MOI !

 

- Tu vas t'en prendre plein ton cul de salope !

 

C'est Jo, qui, comme moi, a vu ses potes déballer leurs queues et qui m'explique ce qui m'attend. Les doigts crispés dans le gras de mes hanches, il ahane:

- T'as vu ? Ils ont sorti leurs bites ! Tu les vois, leurs bites, à mes potes, hein ? Tu vas aussi t'les prendre dans ton cul d'salope ! Tu les veux, leurs bites, dans ton cul ? Hein, tu les veux ? Dis-le, salope !

- Oui, je les veux, leurs bites ! Baisez-moi ! BAISEZ-MOI, BORDEL ! FOURREZ-MOI ! ENCULEZ-MOI ! BAISEZ-MOI, PUTAIN DE MERDE ! BAISEZ-MOI TOUS ! S'IL VOUS PLAÎÎÎÎÎT, BAIIIISEEEEEZ-MOIIIII !!!!

 

Après être monté doucement, ça m'a brusquement submergé ! Les mots sont sortis tout seuls. Ils ne venaient pas de ma tête, ces mots, ils venaient … DE MON CUL … de mon cul qui veut de la bite, de mon cul qui veut plein de bite ! Après m'être mis à crier, perdant toute dignité, j'ai fini en suppliant ces mecs et en gémissant. Je les veux tous, ces mecs ! Je veux qu'ils me prennent tous. Je veux qu'ils me fassent ce qu'ils veulent. Là, je les observe. Ils n'en reviennent pas, ils se regardent les uns les autres, littéralement scotchés, sidérés ! Le type à côté de nous n'a plus la cafetière dans la main, il a sa bite ! Je tends la main vers elle, et aussitôt, il s'approche. Je la prends et je la presse entre mes doigts. Ah yesss ! Ça y est, ils ont tous les quatre leur queue à la main ! Et ils bandent ! Ils veulent aussi me baiser ! Déjà bien excité, ma sortie de femelle hystérique l'a achevé, le Jo ! A grand coups de reins ponctués de "Ouuuuch !" tonitruants, il jouit . Il jouit longuement, soufflant, éructant, me postillonnant sur les reins. Putain, sa queue est en train de me déverser sa semence dans le rectum ! Ça y est, il m'insémine, il me féconde, il m'engrosse. Je gémis de plus belle. Peu à peu, soulagé, les couilles vidées, il se calme. Il s'enfonce en moi, s'immobilise, et je le sens, je l'entends reprendre son souffle. Je lâche la queue que j'ai dans la main, je me plie complètement en deux, et je pose mon front sur mes avant-bras croisés sur la table. Quand il a retrouvé son souffle, je le sens se camper mieux sur ses pieds et se retirer lentement dans un bruit mouillé. Une petite claque sur ma fesse, et:

- T'es une sacrée salope, nom de dieu !

 

J'esquisse un mouvement pour me redresser, mais:

- Reste comme ça !

 

Ça vient d'à côté de moi et, déjà, une main se pose sur mes reins. Le type à la cafetière ? Je ne sais pas, je sens quelqu'un se placer derrière moi, ses genoux entre les miens. Je repose mon front sur mes bras.

 

- Tu veux pas qu'il se lave, avant ? J'lui ai juté dans l'cul …

 

C'était Jo.

 

- Non. J'm'en fous. Elle a l'feu au cul, elle est pressée de s'en prendre un autre coup. et elle m'a trop excité, c'te salope !

 

Tant mieux ! Baisez-moi comme ça, sans capote et les uns après les autres, comme des clebs ! Je les ai tellement excités qu'ils en oublient toute prudence, comme moi ! Le plaisir, et seulement le plaisir, maintenant ! La baise, la jouissance ! La BITE ! le CUL, le CUL, le CUL ! Le type est derrière moi, ses mains autour de ma taille, les doigts sous la dentelle de mon porte-jarretelles. Un truc chaud entre mes fesses ... sa queue ! Elle devait tenir toute seule à la verticale, super excitée, pas besoin de la guider ! Deux ou trois mouvements de va et vient, de bas en haut, et elle glisse lentement, précautionneusement en direction de ma … de ma vulve, qui n'attend que ça, de recevoir un autre sexe. Vas-y, prends-moi ! Voilà ! Ça doit être son gland, là, contre la fleur. Il entre, lentement. Je la sens bien, sa verge qui glisse dans mon anus. Il me serre très fort la taille. Ah putain, ça y est, j'ai une autre queue dans le cul ! Je ne sais même pas lequel de ces mecs est en train de s'accoupler avec moi.Je m'en fous. C'est la queue d'un inconnu. Encore un inconnu ! Je suis en train de me faire couvrir comme une chienne en chaleurs par une meute de clebs des rues, attirés par mon cul ! Avec le mélange de gel lubrifiant et de foutre du gitan que j'ai dans le cul, celui-ci glisse tout seul. Le front sur mes bras croisés, je gémis.

 

- T'aimes ça, hein ! Vas-y, couine, ma chérie ! Te gêne pas !

 

Oh oui, je couine ! Je m'en fous que vous me voyiez aussi chiennasse, aussi docile, aussi soumise, aussi addicte à vos bites, aussi impudique … je me fous que vous puissiez en profiter, que vous puissiez en jouer, en abuser, vous en servir. Oui, j'aime la bite, oui je suis accro à la bite, oui vous pourriez faire de moi ce que vous voulez pour de la bite ! Profitez de moi ! Abusez de moi !

 

Il va et vient lentement. Je suis sûr qu'il regarde sa queue qui entre et sort de mon cul. Tiens, en plus de ses mains autour de ma taille, je sens une autre main sur ma fesse. Je bouge un peu et je jette un coup d'œil sur le côté, entre mon ventre et le plateau de la table. Je vois quelqu'un, sur la droite, à côté de celui qui me baise. Enfin, je vois un bassin, depuis le milieu des cuisses jusqu'à la taille, et un pantalon, braguette ouverte, avec une main qui serre une bite en érection qui sort par la braguette. Une main qui masturbe cette bite en érection. Je devine aussi un autre mouvement, sur la gauche. Ah oui, à gauche aussi, un type  a contourné la table pour s'approcher. On dirait le jean de Jacky. Ah oui, c'est sa bite ! Vas-y, Jacky, pelote-moi aussi !

 

Ah, putain, ça y est, les clebs se pressent autour de mon cul, les clebs ont senti mes effluves de femelle, les clebs viennent me renifler la vulve, les clebs veulent me couvrir ! Ils vont tous me saillir, chacun leur tour ! Allez-y, fécondez-moi ! Je suis réceptive ! 

 

Je sens qu'un doigt se presse contre ma rondelle, tout contre la queue qui me ramone. Oui, vas-y ! Fourre-moi ton doigt, en plus de cette bite ! Qui est-ce qui me fait ça ? Celui qui me baise, ou l'autre, qui me pelotait la fesse ? Je m'en fous, il force. Mon anus n'est pas tout à fait assez détendu et c'est très légèrement douloureux, mais c'est si bon ! Dans un gémissement, je l'encourage:

- Ah oui ! Vas-y, mets-le-moi, ton doigt ! Ah ouiiiiiii !

 

Eclats de rire. La bite s'immobilise et le doigt (un pouce ? Oui, on dirait un pouce), et le doigt s'enfonce. Ah la vache ! Ça y est, il a passé le col étroit de mon sphincter et je sens sa première phalange bouger dans mon rectum. Oh la la ! Je couine à nouveau.

 

- Lui fais pas mal, quand même !

 

La voix est venue juste de derrière moi. C'est le type qui me baise.

 

- Nan, j'lui fais pas mal. Il couine parce que il aime ça. Pas vrai ?

 

Je me relève un peu et je hoche la tête « Oui, j'aime ça ! ». Alors, il agite son doigt un peu plus vigoureusement, et je sens mes muscles se détendre. Lui aussi, sans doute, et ça le fait marrer.

 

- Bon, allez, laisse-moi me finir, maintenant …

 

Le type qui me baise. Je sens le doigt sortir délicatement, et aussitôt, le va et vient de la queue reprend. Et pour celui-ci aussi, ça va très vite, comme si, maintenant, il voulait seulement tirer son coup vite fait. Il me bourre en soufflant entre ses dents serrées. J'aime bien quand un mec me tringle longuement, mais paradoxalement, j'aime bien aussi me faire baiser comme ça, vite fait, bien fait, c'est-à-dire quand un mâle se contente de se servir de mon cul pour se vider les couilles, pour se soulager. Je le sens qui se retire presque complètement, qui ne laisse que son gland dans ma rondelle, qui s'immobilise, qui aspire et souffle l'air à toute vitesse entre ses dents serrées. Qu'est-ce qu'il attend ? Ah, voilà ! Je ressens un soubresaut dans mon anus et, aussitôt, un truc chaud s'y répand. Il jouit  ! Il éjacule ! Il grogne et il s'enfonce d'un seul coup en moi. Le ventre collé à mes fesses, il continue d'éjaculer au fond de mon ventre, et je sens les spasmes de sa verge dans mon anus. Ah, ce que c'est bon de sentir un mec prendre son pied en soi ! Je tourne la tête et je pose ma joue sur mes avant bras croisés sur la table. Jacky est là, la bite à la main, qui se masturbe lentement. Il contemplait son pote en train de jouir dans mon cul, mais mon mouvement attire son attention. Il me regarde, me sourit, lève le pouce de sa main libre, et:

- Super, la fiotte ! T'en as d'jà pris deux coups dans l'cul ! Ça t'plaît ?

 

Je hoche la tête « Oui, ça me plaît ! »

 

- Alors, on continue !

 

Le baiseur se recule et je sens sa queue glisser hors de moi. Je me sens déjà inondé à l'intérieur, et oui, c'est bien l'odeur du sperme qui arrive à mon nez. Hhmmmm , j'adore ! Jacky:

- T'y vas ?

- Ouais, ça urge ! Elle m'a trop excité, c'te salope !

 

Ça, c'est le type au pouce, juste à côté de moi. Je réalise que le petit bruit indéfinissable, mais très rythmé que j'entendais, là, tout près de moi, c'était lui, en train de se branler, ses couilles qui battaient contre son pantalon, sa main qui allait et venait à cadence rapide sur sa verge. Putain, il y allait de bon cœur ! J'ai déjà son poing entre les fesses, son poing serré sur sa queue ! Son bout dans ma rondelle, et il s'enfonce d'un seul coup en même temps que, dans un ahanement, il plaque ses mains à l'angle de mes cuisses et de mon ventre:

- Aaaah, puuutaiiiiin ! Quelle salope !

 

Il jouit déjà  ! Ah oui, ça urgeait vraiment. Il était temps ! Pour un peu, il aurait éjaculé sur mon carrelage ! Il geint en me donnant de rapides petits coups de bite. Il continue de se répandre et, maintenant, j'entends vraiment le bruit mouillé, un peu visqueux, que fait sa bite en patouillant dans mon cul. Ça y est, j'ai déjà le sperme de trois mecs dans le cul ! J'adore ça ! C'est quand même beaucoup mieux que s'ils lâchaient leur crème dans des capotes ! A bout de souffle, il ralentit son mouvement et se met à me caresser les hanches et les reins:

- Pfouuu ! Nom de dieu, il était temps ! A qui le tour ? Jacky ?

- Euh, je sais pas. Max, tu veux y aller ?

- Comme tu veux, Jacky.

- Ouais, ben vas-y, Max, je me l'ferai en dernier.

- OK.

 

Max, apparemment, était resté de l'autre côté de la table. Je lève la tête. Il approche et l'autre se retire. L'autre, c'était le type "poivre et sel". Alors, ça doit être le type à la cafetière qui m'a baisé tout de suite après Jo. Max, c'est le petit râblé. Enfin, pas si petit que ça. Plus petit que les quatre autres, mais il doit faire quand même un bon mètre soixante dix. Jacky:

- Tu te l'fais aussi comme ça ?

- Comment "comme ça" ?

- Sans capote …

- Ah ouais. Hey, on a déjà baisé une même salope à plusieurs …

- Nan, pas Jo. Jo, c'est la première fois qu'il participe. Et les autres fois, c'était pas des fiottes …

 

Le Max, tout en discutant, s'est installé derrière moi, entre mes jambes, et il me pelote distraitement le cul:

- Ouais, c'était des filles … mais jouir à plusieurs dans une fille ou dans une fiotte, c'est pareil …

- Exact.

- Bon, voyons c'que ça donne, avec celui-là …

 

Il commence par me caresser les cuisses, depuis l'arrière des genoux jusqu'aux fesses. Je sens ses doigts glisser sur le voile de mes bas. Puis il me pétrit les fesses, me les claque pas trop fort …

- C'est bien, ça … bien en chair, assez ferme … on sent le muscle … ça devrait plaire …

 

Le maquignon qui tâte la viande du bestiau avant de l'acheter ! Et ça veut dire quoi, "ça devrait plaire" ? On dirait qu'il parle d'une nouveau produit à mettre sur le marché ! Je ne peux m'empêcher de me dire qu'il pense que c'est sur le trottoir que "ça devrait plaire" ! Mais ça fait rien, j'aime bien être traité comme ça. Cela dit, mon excitation est pas mal retombée pendant ces discussions. Mais bon, rester comme ça, passif, à leur disposition, que ce soit pendant qu'ils me font mon affaire ou pendant qu'ils discutent, ça me va. Comme les autres, Max guide sa bite et me loge son gland dans l'anus et s'enfonce d'un seul coup violent qui me propulse contre le bord de la table. Et alors, lui, c'est … 

 

Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf ! Paf !

 

Ses mains à plat sur mes reins, son ventre rebondit contre mes fesses avec la régularité d'un métronome. Comme il a bien ouvert son pantalon, je sens celui-ci glisser sur ses cuisses et le long des miennes. En écartant largement les genoux pour l'empêcher de descendre jusque sur ses chevilles, il me force à écarter aussi les miens. Cuisses grandes ouvertes, cul offert, reins cambrés. Hhmm ! De temps à autre, Max grogne de plaisir. Je jette un coup d'œil autour de nous. Jo a disparu, sans doute dans le séjour. "Poivre et sel" est négligemment appuyé contre le mur et nous regarde. La "cafetière " a dû trouver le paquet de café et les filtres: j'entends le glouglou de l'eau qui s'écoule et ça commence à sentir. Soudain …

 

Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfou ! Pfouuuuuuu !

 

Max prend son pied  ! Max baise en rythme et Max jouit en rythme ! Au dernier Pfouu, il s'est collé à moi, et il finit de se vider en grognant. Je sens son ventre se contracter spasmodiquement contre mes fesses. 

 

- Waouuuuh !

 

Il se décolle et sort de mon cul. Bof ! Pas terrible, celui-ci. Mon excitation est presque complètement retombée. Le seul plaisir que je tire de ce coït, c'est que j'ai maintenant la semence de quatre types dans mon ventre. Je n'ai pas l'impression que Max m'en ait mis une grosse dose, mais ses va et vient ont touillé la crème des trois potes qui l'ont précédé, et je sens maintenant que ça me dégouline pas mal sur le haut des cuisses. Je passe une main sous mon ventre, et j'aventure mes doigts du côté de mon périnée. Ouaah ! Je suis trempé. Ça colle, et sous mes doigts, je sens même quelques grumeaux poisseux. J'adore ça, avoir le cul tellement plein de sperme qu'il déborde ! En plus, c'est le sperme de QUATRE mecs ! Je suis quand même surpris de la facilité avec laquelle ces types trempent leur bite dans le foutre d'autres mecs ! Les trois derniers n'ont pas hésité le moins du monde, comme si c'était tout à fait naturel ! Apparemment, ce n'est pas la première fois qu'ils font ça. Jacky est derrière moi, à son tour. Au lieu de se coller directement à moi, comme ses potes, il entreprend de rajuster mon porte-jarretelles, progressivement descendu de ma taille à mes hanches au gré des coups de bites que je viens de recevoir. Il se charge même de remonter et de lisser mes bas. Plein d'attention, le mac ! Je me redresse et je m'appuie les deux mains à plat sur la table. 

 

- Alors ? T'as réfléchi pour c'que je t'ai proposé ?

 

Ah ! Nous y voilà ! Je sens que ce n'est pas la peine de tourner au tour du pot. Je marque un temps, puis:

- Pour faire la pute ?

- Ouais, pour faire la pute …

 

Il me prend par les hanches, il se plaque contre moi, sa grosse queue entre mes fesses, et il commence à se frotter. Il insiste:

- Alors ? Toi et moi, on sait à quel point t'aimes ça, de te faire baiser. Alors, je vois pas ce qui te retient. Surtout que ça serait dans ton intérêt. 

 

Sous cette remarque formulée sur un ton doucereux, je sens la menace. Il n'y a plus que Jo et "poivre et sel" à nous regarder, à l'entrée du séjour, une tasse de café à la main. Les autres sont sans doute retournés se vautrer de l'autre côté. Les deux spectateurs ont l'air très intéressés par notre conversation.

 

- Je … je sais pas. C'est pas évident de décider ça. 

- Ouais, mais faudrait qu'je sache, moi. J'ai peut-être un studio en vue, faudrait que tu me dises ça vite fait, pour qu'il me passe pas sous le nez.

- J'ai peur qu'une fois là-dedans, je puisse plus faire marche arrière.

 

Putain, je sens sa grosse bite qui glisse entre mes fesses. Le salaud, il sait l'effet que me fait son gros zob, et il s'en sert pour me faire céder ! Allez, baise-moi ! Non, il continue de se frotter:

- Ben, tu veux faire un essai ?

- Comment ça, un essai ?

- Ben ouais, tu fais un essai avec quelques clients, et comme ça, tu vois si ça te plaît. 

- Mais … où, un essai ?

- Ben faut que je m'organise, et quand c'est fait, je t'appelle.

 

Ça cache quoi, cette histoire ? J'hésite. Il le sent. Il insiste:

- T'inquiète pas. Ça se passera bien. J't'expliquerai où et comment et tu décideras.

- B… bon.

- Ben voiiiiilààà !

 

Pourquoi les deux, là-bas, arborent-ils ce petit sourire ? Je sens Jacky reculer son bassin, laisser délicatement glisser sa queue dans ma raie, jusqu'à ma rondelle, et quand son gland arrive devant l'entrée de mon fourreau, je le sens saisir son engin à pleine main, et il me pénètre ! Wouffff ! Oh putain ! Y'a pas de doute, des cinq, c'est vraiment lui qui a la plus grosse queue ! Il m'arrache un gémissement. J'ai beau avoir eu l'anus dilaté, détendu par les quatre précédents, lui, c'est un autre calibre, et je le sens vraiment bien glisser dans ma rondelle. Il commence à aller et venir. Ah, Jacky, vas-y, baise-moi ! Je me laisse aller, je me laisse gagner par le plaisir. J'ai cet énorme phallus dans le rectum et c'est un bonheur ! Je suis vraiment étonné qu'un mâle aussi bien monté puisse bander pour mon cul. Il est homo ? C'est vrai, j'en sais rien. Pour moi, un type qui fait travailler des filles, est forcément hétéro. Mais au fond, je ne sais pas. Il faudra que je lui demande. En tout cas, pour le moment, c'est dans mon cul, qu'il a fourré sa grosse queue. Tout en me ramonant, il a remonté ses mains tout le long de mon torse, sous ma nuisette, et il me caresse, presque tendrement. Il m'appuie entre les omoplates. Il veut que je me penche en avant. Je me penche et je me cambre, femelle en chaleurs qui accueille son mâle en rut ! Appuyé sur un coude, je glisse de nouveau ma main sous mon ventre, jusque entre mes cuisses. Au moment où il s'enfonce en moi, ses couilles viennent effleurer mon poignet. Ses couilles ! Je passe ma main dessous. Il n'a pas ouvert son jean. Il a seulement ouvert sa braguette et sorti sa queue et ses couilles ! Ses couilles qui pendent, bien en dessous de sa bite. Hhmmmm, lui aussi, il va me les vider dans le ventre, lui aussi il va m'injecter leur contenu dans la viande !

 

Brusquement, il jouit ! Les doigts de nouveau crispés sur mes hanches, il agite son bassin de façon désordonnée. Je l'entends aspirer et souffler l'air bruyamment par la bouche, et soudain, il me fout un coup de boutoir … rrrran ! Un autre …. rrrrran ! Encore un … rrrrran ! Et il s'immobilise, à bout de souffle. Il ne bouge plus, bien calé tout au fond de moi… je devine qu'il est en train de répandre au fond de mon ventre un flot de semence, je perçois seulement, dans mon sphincter, les spasmes de son urètre au passage du sperme, et tout aussi brusquement, il sort sa queue: splatchhhh ! Il se décolle de moi et s'éloigne sans un mot. 

 

Je me redresse. Je sens que ça dégouline le long de ma cuisse, un truc visqueux, sirupeux ! Je baisse les yeux, et là, entre mes pieds, une tache blanchâtre, une GROSSE tache blanchâtre, du sperme ! Putain, la dose ! Non seulement j'en ai plein la cuisse, plein LES cuisses, jusque sur le haut de mes bas, mais il y en a aussi une grosse tache au sol ! Jacky, tout en remballant sa queue dans son jean, est en train de passer dans le séjour, suivi des deux spectateurs. Qu'est-ce que je fais ? J'ai très envie de garder tout ce foutre dans mon cul et sur mes cuisses, j'adore rester comme ça, souillé du sperme que des mâles ont répandu en moi, mais avec ces types, là, à côté,  j'hésite. Et puis tant pis. Après tout, c'est eux qui m'ont fait ça ! Ça m'étonnerait que ça les gêne. Alors, les fesses glissant l'une sur l'autre, je les rejoins. 

 

Max, le petit râblé et "la cafetière" sont assis, chacun dans un fauteuil. Jo, le "gitan" et "poivre et sel" sont debout, ainsi que Jacky, une tasse à la main, qui sirote son café. Tous les cinq me regardent entrer dans le séjour. Je me trompe où ils arborent tous le sourire de types qui ont réussi un bon coup ? Jacky pose sa tasse sur la table basse, et:

- Bon … Marin, on va y aller. J'vais t'organiser quelque chose pour que tu fasses un essai comme j't'ai dit,  et j't'appellerai quand ça sera prêt. Vu ?

- Oui, vu. 

- Très bien, alors. Fais pas de bêtise, en attendant.

 

Il passe devant moi, suivi de ses potes. Pas un ne me serre la main, pas un ne me dit seulement au revoir. Ils sortent. J'enfile vite fait mon déshabillé et je les suis jusque sur le pas de ma porte. Je les regarde rejoindre leur voiture. Ils discutent, rigolent, s'esclaffent. Je ne comprends pas ce qu'ils disent, mais je suis sûr que c'est à mon sujet. Quand ils arrivent près de la Mercedes, je vois ma voisine, Yolaine, surgir de chez elle, et s'adresser à mes baiseurs en se dirigeant vers sa propre voiture. A cette distance, je n'entends évidemment pas ce qu'elle leur dit. Ni ce que Jacky et "la cafetière" lui répondent. Mais eux, comme elle, sourient. Je me trompe, ou elle jette un coup d'œil vers moi avant de monter dans sa voiture. Tout le monde embarque. Ils se sont dit quoi ? Yolaine manœuvre, la Mercedes la laisse sortir de la cour avant de prendre le même chemin. Voilà, ils sont partis. Je rentre. 

 

La pendule à côté de la porte d'entrée marque 10 heures 10.

Ils ne sont pas restés trois quart d'heure !  Pourquoi, en m'apercevant de ça, je me sens tellement … c'est un drôle de sentiment, une espèce de satisfaction, presque de fierté ! Ces mecs ont débarqué et, en moins de quarante cinq minutes, ils m'ont fait mon affaire ! Pourquoi ça me plaît tellement qu'ils m'aient baisé tous les cinq en quarante minutes, montre en main ! Oh, bien sûr, il y a toujours cette menace, ce chantage de me dénoncer auprès de mes relations qui gâche un peu la fête. Il n'en reste pas moins que j'éprouve un vrai plaisir à ce que cinq types aient débarqué chez moi pour se soulager et pour se vider les couilles dans mon cul, vite fait, bien fait.

 

Je sens encore, entre mes fesses, et le long de mes cuisses, ce qui atteste de la jouissance de ces cinq mâles. Allez, c'est décidé, aujourd'hui, je n'ai rien de spécial à faire et je n'ai pas besoin de sortir, alors je vais rester comme ça toute la journée, en tenue de salope, avec le ventre, les fesses et les cuisses souillés de sperme.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 6 mars 2017 1 06 /03 /Mars /2017 01:30

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.


 

Pendant que je fais mes ablutions, j'entends que ça bouge au rez-de-chaussée. Jean Claude donne des ordres à ses chiens. Mon excitation est à son comble. Pourtant, au fond de moi, quelque chose, ma raison, sans doute, me demande « Tu es vraiment sûr de ce que tu t'apprêtes à faire ? Tu as bien mesuré les conséquences ? C'est un chien, tout de même ! Il est peut-être encore temps de renoncer. » Mais ça n'a aucun effet sur moi. Oui, je suis sûr de ce que je vais faire ! Oui, je vais me faire saillir par un chien ! Et je n'ai pas la moindre intention de renoncer ! 

 

Il est juste là, en bas, ce Iago, ce mâle magnifique qui va me monter dessus et me saillir, me couvrir comme une femelle de son espèce ! Il en a autant envie que moi, c'est évident, et si je n'avais pas eu peur de la réaction de son maître, l'autre jour, il m'aurait déjà possédé dans la cour de la ferme, devant la bande des mâles humains qui m'avaient baisé tout au long de la journée ! Mais aujourd'hui, nous allons vraiment nous accoupler, le molosse et moi ... et avec la bénédiction de son maître ! Je me sens excité, impatient ... toutes les fibres de mon corps réclament, fébriles, ce rapport charnel avec cet animal ! Je veux qu'il me pénètre de son énorme sexe, je veux sentir son énorme appareil génital investir, remplir, occuper mes entrailles, je veux qu'il y accomplisse son rôle de mâle reproducteur, d'étalon, je veux qu'il me possède ...

 

Il me reste quelques interrogations. Je sais qu'en principe, un accouplement avec un chien est physiologiquement possible, mais, est-ce que, avec ce chien-là, ça va marcher ? Je ne doute pas qu'il ait envie de me saillir, mais est-ce qu'il va seulement réussir à me pénétrer ? Me pénétrer entièrement, je veux dire ... pas seulement me mettre un peu le bout de son sexe dans l'anus. J'ai envie qu'il parvienne à introduire et à gonfler son knot en moi, je veux me sentir étroitement tenu, riveté à l'animal par son appareil génital gonflé dans ma chair. Ce qui est sûr, c'est que, si il y arrive, moi, j'ai l'intention d'aller jusqu'à un rapport sexuel complet … c'est-à-dire jusqu'à ce que le chien répande sa semence dans mon ventre. 

Depuis que ce fantasme me travaille, je me suis documenté, et j'ai lu que, quand un chien s'accouple avec une chienne, la grosse partie à la base de son sexe gonfle - pour les vétos c'est le "bulbe érectile", et pour les éleveurs – et les zoophiles -, c'est le "knot" - et ce bulbe, ce knot gonfle dans la vulve de la chienne une fois que la verge en érection est entièrement entrée … avec certaines races de chiens, le knot peut faire jusqu'à huit centimètres de diamètre une fois gonflé ! C'est pour ça que le mâle reste collé à la chienne … jusqu'à ce que sa queue dégonfle quand il a fini d'éjaculer et que la vulve de la chienne se décontracte ! Moi, ça ne me fait pas peur, je me suis godé avec des jouets énormes, jusqu'à 7,5 centimètres. La bite du chien sera bien moins grosse que ça au moment où il me pénétrera. Ce n'est qu'ensuite, à l'intérieur, que son knot gonflera, et je suis sûr que mon rectum est largement capable de le loger. 

 

On entend bien parler de femmes qui seraient restées collées avec leur chien et qui ont dû appeler des secours, mais il me semble que ça tient plus de la rumeur que de la réalité. Et, comme on est chez Jean-Claude, on pourra attendre tranquillement de se décoller naturellement. Est-ce que je vais y prendre du plaisir ? Sûrement … au moins sur le plan cérébral. Et le chien, il va y prendre aussi du plaisir ? Je sais aussi qu'il va commencer à éjaculer tout de suite, comme l'autre jour, et qu'après, ça peut durer plusieurs minutes. Même si il ne peut pas me rentrer entièrement sa bite, et même s'il éjacule rapidement, j'espère que ça durera quand même un peu … 


Je suis terriblement excité de pouvoir enfin réaliser ce fantasme, et je bande à l'idée de ce qui va m'arriver, mais j'ai des sensations que je n'ai jamais eues jusqu'à présent, même avant ma tournante géante: je me sens fébrile, la bouche sèche, j'ai des bouffées de chaleur, la tête qui tourne un peu et je tremble d'impatience … 

 

Je suis venu ici dans l'espoir de convaincre Jean-Claude de me baiser, mais d'une certaine manière, je suis content qu'il ait refusé, puisque ça nous conduit à ce que ce soit son chien qui le fasse … Le maître, un jour ou l'autre, je trouverai bien le moyen qu'il me baise aussi …

 

Quand je redescends dans le salon, seulement vêtu de mon porte-jarretelles et de mes bas, avac la bite légèrement gonflée, Jean-Claude me regarde, les yeux ronds, sidéré. Dans son regard, je lis à la fois de l'incrédulité et un jugement ... quelle salope je suis, à ses yeux ! J'ai l'impression qu'il réalise que je ne plaisantais pas et que je compte bien faire ce que j'ai dit. Il s'attendait sans doute à ce que, une fois en tête à tête avec moi-même dans la salle de bain, je réfléchisse et que je me dégonfle. Me voir reparaître dans cette tenue semble le désemparer:

- Alors … tu vas VRAIMENT le faire ?

- Ben oui. Qu'est-ce que tu croyais ?

- Ah, nom de dieu !

 

Sa surprise fait brusquement place à de l'exaltation. Il a attaché l'autre chien, Into, avec une courte chaîne au pied du canapé. Il se tient debout devant le fauteuil, Iago assis à ses pieds entre ses jambes. Dès que je parais, la bête cherche à se lever pour se pércipiter vers moi. Je remarque tout de suite que son sexe dépasse encore de son étui pénien … il bande et son sexe a bavé une petite flaque de fluide translucide sur le carrelage ! Putain, on est dans le même état, tous les deux ! Il est tellement excité à l'idée de me sauter qu'il a déjà commencé à juter !  Il tend vers moi son énorme tête pleine de douceur, et il redresse ses oreilles … il me regarde fixement comme si j'étais une friandise … de ses pattes avant, grosses comme mon poignet, il trépigne d'impatience … maintenant, j'en suis sûr, il se souvient de ce qu'on a fait l'autre jour, lui et moi … il a reconnu cette femelle étrange qui voulait se faire saillir et qui l'avait laissé grimper sur elle ... d'ailleurs, je suis dans la même tenue que l'autre jour, porte-jarretelles et bas ... il doit se rappeler la sensation de son sexe dans la tiédeur humide de mon anus ... il a envie de recommencer … pour lui, à cet instant, je suis une chienne à laquelle son instinct lui commande de faire des petits … Oh putain, oui, tu vas me couvrir, Iago ! Je sens mon sexe gonfler un peu plus … Jean-Claude a bien du mal à retenir son molosse:

- Assis, Iago ! Assis, fils !

 

La bête hésite et se rassoit, visiblement à contre-cœur. Ce torse imposant, cette musculature saillante sous ce pelage soyeux, ce sexe impressionnant qui s'agite sous son ventre d'athlète … au-delà de son apparence placide, il émane de cet animal une impression de bestialité absolue … non, ce n'est pas avec un être humain, que je vais m'accoupler, c'est avec un animal … avec une BÊTE ! Une BÊTE dans ce qu'elle peut avoir de plus brut, de plus bestial … presque de sauvage ! Loin de m'effrayer, loin de m'inquiéter, bien au contraire, en plus de l'excitation, ça fait naître en moi de drôles de sensations ... à la fois une envie viscérale de me soumettre à lui pour recevoir les gênes d'un mâle aussi puissant ... et une véritable fierté d'être désiré par un tel étalon ... c'est sans doute ce que ressent une chienne en chaleurs face au puissant molosse qui s'apprête à lui faire une portée ... .

 

Je m'agenouille devant le molosse, et, du bout des doigts, je commence à faire aller et venir son étui pénien sur son vit. Le chien s'impatiente, remue, prêt à se lever, mais il sent la poigne de son maître sur son collier, et il se retient. Personne n'a jamais dû le masturber, alors il aime ce que je lui fais, mais il a hâte, maintenant. Je suis fasciné par ce sexe. J'en ai d'autant plus envie que, par sa taille et par son aspect, il n'a vraiment rien à voir avec le sexe d'un homme. C'est vraiment le sexe d'une bête ! Alors, sans aucune pudeur devant Jean-Claude, je commence à me masturber. 

Jean-Claude, les yeux exorbités me regarde faire. Il me regarde masturber son chien et il me regarde me masturber. Je l'entends déglutir bruyamment à intervalles réguliers. 

Malgré l'intensité du moment, une idée de traverse: dans un instant, mon accouplement avec un animal, ce sera la fornication de l'Homme avec le "plus fidèle ami de l'Homme", la saillie du dominant par le dominé, la copulation de l'Humain et de l'Animal, l'Homme ravalé au niveau de la Bête, ramené à ce qu'il est: un animal, soumis à ses instincts les plus bestiaux ! 

 

Au bout de son pénis rouge violacé, perle toujours une liqueur translucide, et la petite flaque s'étale un peu plus au sol. Le chien, pressé de s'accoupler, cherche à se lever en me donnant de grands coups de langue sur la figure. Il le sait, il le sent, il va me couvrir comme une chienne. Tant bien que mal, Jean-Claude le force à se rasseoir:

- Assieds-toi, fils ! T'inquiète pas, tu vas l'grimper, fils !

 

Il paraît maintenant aussi impatient que son chien. La présence du maître contribue aussi à m'exciter. S'il avait refusé que son molosse me saute, j'aurais fait mon possible pour arriver à le faire en douce, mais le fait qu'il soit là, qu'il assiste à ce coït, qu'il participe, même, d'une certaine manière, ça ajoute je ne sais quoi d'excitant. J'ai l'impression d'être une chienne à qui on amène un mâle pour qu'il lui fasse une portée.

Le gland de Iago est tout gonflé, mais à part son méat qui suinte, il est sec et mes doigts ne glissent pas dessus. J'ai peur de lui faire mal. Alors je crache un peu de salive sur mes doigts et je le reprends. Voilà, comme ça, je peux le masturber … De temps à autre, il lève les yeux sur son maître, comme pour lui demander un encouragement, comme s'il attendait son ordre pour me chevaucher. Et le maître l'encourage:

- Oui, fils … attends, attends ! T'inquiète, tu vas te le faire ! 

 

Et à mon intention:

- Rhô, putain, j'en reviens pas ! C'est sûr, il a compris qu'il va te sauter ! Puuutaiiin !

 

En fait, à son ton, je sens que c'est surtout Jean-Claude qui réalise que ça va vraiment se passer. Je lève les yeux sur lui. Il bande aussi … Il ne doit porter, comme d'habitude, ni slip ni caleçon, et je vois son sexe, tête en bas, qui tend la jambière de son pantalon et fait une bosse en cherchant à se redresser. Je tends la main et j'effleure cette protubérance:

- Tu bandes, Jean-Claude … ça t'excite, hein ...

 

Contrairement à d'habitude, quand il voit que je veux lui toucher le sexe, il ne se dérobe pas. Il baisse les yeux sur son ventre, et face à l'évidence de la bosse qui déforme la toile de son pantalon, il sourit:

- Ben ouais ... putain, mon chien va te baiser !

 

Alors j'en profite et j'accentue ma caresse: je presse sa queue entre mes doigts à travers la toile de son pantalon. Et il a l'air d'apprécier ! Il plie même un peu les genoux et tend son bassin vers moi, comme pour m'encourager: « Vas-y, tripote-moi la queue ! ». Oh putain, j'ai la bite du maître dans une main, et celle de son chien dans l'autre. Il sourit:

- Putain, j'en reviens pas que tu vas VRAIMENT te faire … BAISER par mon chien ! Ça te fait pas peur ?

 

Peur ? Il me demande si ça ne me fait pas peur ! Il réalise que je vais … non, que son chien et moi, on va vraiment copuler ! Il ne doute plus que ce soit possible ? Peur ? Non, même si ce chien est vraiment énorme ! C'est vrai que son frère et lui, je les trouvais déjà imposants comme chiens de garde … Quand ils nous tournaient autour, le soir de la tournante, j'avais remarqué qu'ils étaient aussi hauts que les tables ! Rien qu'en levant la tête, ils arrivent à me donner des coups de langue sous le menton … Mais là … celui-ci, cet après-midi, ce n'est plus comme chien de garde, que je le vois … je le vois comme … comme un amant qui va me … qui va me baiser … Quelque chose me dit que je devrais peut-être avoir peur de cet animal … pas peur qu'il me morde, non, je sens bien que je ne risque strictement rien de tel … non, ce que ma raison me souffle, c'est que je devrais avoir peur de m'accoupler avec un animal aussi gros, de me faire pénétrer par un sexe aussi énorme … mais paradoxalement, c'est précisément sa taille et sa puissance bestiale qui aiguillonnent mon désir et mon excitation … c'est la taille de son sexe qui me fait tellement envie …

 

Oui, c'est exactement ça: un désir bestial, d'autant plus fort que, justement, la bête est grosse, que la bête est puissante … Je le sais, ce que je m'apprête à faire, c'est une dépravation totale, une déviance, un tabou que la société, la morale et le droit réprouvent, interdisent et sanctionnent. Mais, à cet instant précis, rien ne pourrait m'arrêter: je vais me donner à ce molosse, et comme, de toute évidence, il a envie de moi comme j'ai envie de lui, comme il me considère comme une chienne, il va me grimper dessus comme sur une chienne, il va me prendre comme une chienne, il va me saillir comme une chienne et il va me féconder comme une chienne … Aux yeux de la plupart des gens, ce serait abject, avilissant, mais pour moi, être désiré par un tel molosse, c'est une fierté, me donner à lui, c'est une fierté, me faire monter par cet étalon, c'est une fierté ! Tout à mes pensées, je tripote maintenant ces deux sexes … ces deux énormes sexes:

- Non, ça ne me fait pas peur … et, tu vois qu'un chien peut avoir envie d'un mec …

 

Nouveaux coups de langue sur la figure et, soudain, il aboie comme pour me dire quelque chose. De sa voix grave et puissante qui vibre jusque dans ma poitrine et mon ventre, le chien manifeste son impatience, le molosse m'ordonne « allez, fous-toi à quatre pattes, que je te saute ! ».

- Oui, mon gros pépère …tu vas être un bon chien … tu vas me grimper … et tu vas me baiser … allez, mets-toi debout …

 

Je lâche le sexe du maître et, la main sous le poitrail du chien, je l'incite à se lever et à pivoter pour me présenter son flanc. Son maître lui tapote le dos et l'encourage:

- Allez, fils, lève-toi ! Ça y est, tu vas tirer un coup ! Ah, putain, c'est dingue !

 

Il a dû croire que le moment était venu. Mais avant, j'ai envie de sucer un peu la bête. Je m'agenouille et je me penche sous son ventre. Le chien tourne la tête et me regarde. Comme s'il avait compris que je vais lui sucer la bite, il soulève un peu sa patte arrière et tourne la tête vers moi. Son sexe dépasse de plus en plus de son étui pénien. Une main au sol et l'autre sur ses reins pour me retenir, j'avance ma tête et je prends son gland brûlant entre mes lèvres. Il est tellement haut que je n'ai pas besoin de me pencher beaucoup pour le sucer. Le fluide visqueux qui coule de son méat est un peu acide. J'enfonce son sexe dans ma bouche et je me mets à le presser avec ma langue … Oh putain, quel morceau ! Au fur et à mesure qu'il s'enfonce dans ma bouche, je repousse avec mes lèvres son prépuce velu vers sa base de sa verge … il aime ça, il trépigne d'une patte sur l'autre … il est de plus en plus long dans ma bouche … et je sens des petits jets brûlants s'étaler en rythme sur ma langue … ça y est, il commence à éjaculer …

 

Ah, la vache ! Je suis en train de tailler une pipe à un chien ! Et il éjacule déjà ! Il jouit sur ma langue ! Du sperme de chien ! Ça a le goût de … de sperme … hhmmmm, vas-y, jouis, mon pépère, inonde-moi la bouche ! Je déglutis et je sens cette semence tiède s'écouler dans mon œsophage. Je suis en train d'avaler le sperme d'un chien ! Putain, ce vit brûlant qui s'agite dans ma bouche et cette semence que je sens descendre dans mon estomac, c'est tellement … concret … mais je vis ça comme … un rêve ! Je continue de faire aller et venir mes lèvres sur son sexe et le chien continue de se soulager à petits jets dans ma bouche. Ah, la brave bête ! Vas-y, vas-y, jouis, éjacule ! Je me régale, et lui aussi. Son maître aussi:

- C'est bon, hein, fils ! Il te suce bien, hein !

 

Et soudain, je réalise qu'il ne faudrait pas qu'il m'en crache trop dans la bouche, il faut qu'il en garde pour mon cul !

 

Je sors doucement son vit de ma bouche, et je me relève en m'essuyant les lèvres. Sans vergogne, Jean-Claude a une main cramponnée à son sexe … son sexe qui a l'air d'être en complète érection, mais tête en bas dans la jambière de son pantalon. Lui, d'habitude si coincé, se tripote ouvertement devant moi. Une petite tache mouillée qui s'étale sur le tissu au niveau de son gland, trahit son excitation. Pas du tout gêné, il hésite une seconde, puis:

- C'était bien, de … de … sucer mon chien ?

- Oui.

- C'est comme … sucer un mec ?

- Ben, là, c'était même mieux … il avait déjà commencé à éjaculer …

- Ah Bon ? Mais … mais tu l'as … tu l'as laissé … éjaculer ?

- Oui. C'était bien.

- Mais … t'as … t'as avalé son …

- Son sperme ? Oui. 

- Ah putaiiiin !

 

Le chien trépigne et s'élance pour essayer de me grimper. De sa main libre, Jean-Claude le retient par le collier. Je lève les yeux sur lui. Sans cesser de se pétrir la queue, il me regarde avec un drôle de sourire. Je m'avance à genoux jusqu'à lui sous les assauts de son chien, pressé de me chevaucher. Même pas surpris de me voir approcher, le maître continue de se malaxer le sexe. Mes yeux plantés dans les siens, je repousse délicatement sa main de son sexe. Il se laisse faire docilement et je pose mes doigts sur la grosse bosse que fait sa queue. Les yeux braqués sur moi et sur son ventre, il attend … il attend quelque chose de moi. Je parcours sa verge du bout des doigts et je la sens frémir sous ma caresse, et chercher à se redresser davantage. Ça l'a vraiment excité, de me voir sucer son chien ! Il a envie de quoi, là, tout de suite ? Se faire sucer, lui aussi ? Me baiser ? Je sens que ça pourrait être le moment. Mais il fallait te décider avant, Jean-Claude ! Maintenant, c'est ton chien, qui va me baiser. Au point où on en est, je ne vais pas laisser passer cette chance d'assouvir ce fantasme de bestialité … et courir le risque que tu changes d'avis et me refuses ensuite cet accouplement avec ton chien. Une occasion comme celle-ci pourrait bien ne jamais se représenter. Me faire baiser par toi, Jean-Claude, je pourrais ré-essayer plus tard. Là, au bout de son sexe, son gland fait une bosse sous le tissu. Je pose ma bouche dessus et je le presse entre mes lèvres. Je sens la chaleur de son sexe à travers la toile épaisse. Et contre toute attente, Jean-Claude pose sa main libre sur ma tête ! Je suis sûr que là, il aimerait bien que je le suce ! Hhhhhmmmm, ça me plaît que ça t'excite à ce point de me voir avec ton chien ! Du bout des lèvres, je parcours sa verge sur toute sa longueur en gémissant … plusieurs fois … et sans le prévenir, je m'écarte en espérant le laisser frustré. 

 

Pendant ces quelques secondes, le chien a couiné, trépigné et aboyé à nouveau. Je me lève, je me retourne et, tout en rajustant mon porte-jarretelles, j'examine le salon. Pendant mon séjour dans la salle de bain, Jean-Claude a poussé la table basse dans un coin pour faire de la place. Plein d'attentions, le mec ! Je m'avance sur le tapis, resté au milieu de la pièce, et je me tourne vers le chien:

- Allez, viens, mon pépère ! Viens me baiser !

 

Il redresse ses oreilles et il tire sur son collier. Il sent que je suis prêt à le recevoir. Jean-Claude le lâche:

- Allez, vas-y, fils … grimpe-le !

 

Le dogue est contre moi, et il me bouscule dans sa précipitation, il me tourne autour, il me donne des coups de langue sur la bite, sur les fesses, sur les bras, les cuisses, et il essaie de me monter dessus. Tandis qu'il me tourne autour, je lui caresse tant bien que mal les flancs, le dos, le ventre. Avec difficulté, je parviens à l'enfourcher … il se demande ce que je veux, mais il se laisse faire, dressant sa tête vers moi pour me donner des coups de langue sur la figure, et il se calme un peu …. hhmmmmm, quelle sensation ! Le contact de ce corps, chaud et puissant entre mes cuisses, ce pelage si doux sous mes fesses, sous mes couilles … cet animal énorme, musclé, puissant, va me grimper dessus et va me posséder ! Je me penche et j'enserre son poitrail … Je bande, et ma bite, coincée entre mon ventre et son dos, se décalotte toute seule contre sa fourrure. Sous son ventre, j'effleure son sexe qui sort de plus en plus de son étui … Nous sommes tous les deux de plus en plus excités à l'idée de cet accouplement. Oooh, Iago, maintenant, il faut que tu me couvres !

 

Je descends de son dos et je m'agenouille à côté de lui … Maintenant, il faut qu'il me prenne ! Il se remet à me tourner fébrilement autour, toujours en me donnant force coups de langue … instinctivement, il cherche par où me pénétrer … il cherche ma vulve … le voilà vers mon cul, il le renifle et me donne trois coups de langue sur les fesses … il revient vers ma tête, fébrile, impatient … non, il sent bien que ce n'est pas par là et il retourne vers mon cul … alors, je me mets en position, les mains à plat sur le tapis … à quatre pattes, le chien derrière moi … Putain, ça y est ! Je suis en position pour me faire grimper … saillir … baiser … féconder par un chien ! Je me suis si souvent foutu à quatre pattes pour me faire baiser en levrette par des mecs, et à chaque fois, ça a été une telle émotion, de m'abandonner, de me livrer à eux, à leurs sexes ! Et là, c'est à un CHIEN, c'est à ce MOLOSSE, que je me donne ! Je suis encore pris d'une espèce de vertige … j'ai le cœur qui bat à fond, les oreilles qui bourdonnent, le sang qui bat à mes tempes … un long frisson me parcourt de la nuque jusqu'aux pieds, suivi d'une bouffée de chaleur. Je ne ressens ni peur, ni honte, ni culpabilité … c'est comme un aboutissement ! Comme si cet accouplement contre nature était ce qu'inconsciemment je recherchais depuis quelques mois, en me faisant passer dessus par tant de types … être … être considéré comme … une femelle, pas seulement par des hommes, mais par des mâles, par n'importe quels mâles, y compris d'une autre espèce !

 

Iago me redonne quelques coups de langue dans la raie… Oui, le chien … c'est là !  Vas-y, maintenant ! Jean-Claude, lui-même, l'encourage:

- Oui, c'est bien, fils ! Vas-y, c'est par là !

 

Mais non, il revient vers ma tête, de plus en plus fébrile, et me lèche en couinant. Je sens soudain la présence de Jean-Claude à côté de moi. Il saisit le collier du chien et l'entraîne vers ma croupe:

- C'est là, fils, j'te dis ! T'es con, ou quoi ? Vas-y, prends-le, bordel !

 

Il a bougonné, mâchoires serrées. Je sens enfin la truffe humide dans ma raie. Surexcité, l'animal m'explore fiévreusement la croupe avec son nez et sa langue. Par un réflexe totalement incontrôlé, j'écarte les cuisses et je me cambre. Iago me renifle et me lèche les fesses, le périnée, les couilles, la raie, et enfin, je sens sa langue chaude et râpeuse se poser sur ma rondelle. Ooooh quelle sensation ! L'endroit lui plaît. Mon cul est tout propre, naturellement exempt de tout fluide sexuel ou de toute effluve féminine, et pourtant, c'est indéniable, il sent que c'est par là que ça se passe, que c'est par là qu'il va me saillir. Sous ses coups de langue, je sens mon anus s'ouvrir, s'offrir. Curieusement, à cet instant, une idée, une conviction me traverse l'esprit: ce chien n'a pas encore connu de chienne, alors, pour lui, je suis une femelle … et là, maintenant, il va à se reproduire … 

 

Tout en continuant à me lécher et à me renifler, il ébauche des tentatives pour me grimper, vient un peu sur moi, commence à me chevaucher, redescend …Tout de même, je n'en reviens pas, mon cul n'excite pas seulement les mecs ! Il excite aussi vraiment UN CHIEN ! Parce que là, on n'est plus dans cette espèce de réflexe de jeu ou de volonté de domination qui pousse à peu près tous les chiens à se frotter sur la jambe de leur maître ou d'un étranger. Là, on est bel et bien dans des préliminaires à un accouplement: ce chien s'excite sur mon cul parce qu'il veut me saillir, parce qu'il veut me prendre ! Il me considère vraiment comme une femelle ! Quoi qu'il en soit, ces préliminaires sont absolument délicieuses, et, de mon point de vue, elles pourraient durer encore longtemps. Mais, brutalement, j'entends Jean-Claude s'approcher, je le sens arracher son chien à son occupation, le soulever et: 

- Oh putain, Iago, arrête de lui renifler le cul et monte-lui dessus, bordel ! Comme ça … et BAISE-LE, nom de dieu !

 

Choqué à la simple idée d'un coït entre son chien et moi, il n'y a qu'un quart d'heure, il est maintenant pressé de voir son chien me saillir ! Tellement pressé que, constatant la maladresse de son chien, il joint le geste à la parole, et il soulève l'animal par son collier pour le mettre en position sur moi ! Alors, le chien, en me retombant dessus, essaie de m'étreindre avec ses pattes avant. Je m'attendais à ce qu'il me saisisse par les hanches, comme les chiens le font quand ils grimpent une chienne, mais celui-ci est tellement grand que ses pattes avant se trouvent presque au niveau de mes omoplates, et il essaie maladroitement de m'agripper par les aisselles. Sa tête à hauteur de la mienne, il halète bruyamment et me donne de vigoureux coups de langue sur la figure, et surtout, il commence à donner de violents coups de reins … il cherche ma … vulve. Ooh, putain, dans un instant, sa bite va être en moi et je vais être sailli par ce chien !

 

C'est la première fois que je m'accouple avec un chien, et je ne sais pas trop comment l'aider. Je me cambre autant que je peux. Je sens son sexe humide frapper mon cul à petits coups et glisser de droite à gauche et de haut en bas entre mes fesses, à la recherche de l'entrée de mon fourreau. Il faut qu'il trouve, il faut qu'il y arrive avant de se décourager ! Je sens des jets brûlants s'étaler sur mes fesses, sur mes cuisses, jusque sur mes mollets … il continue d'éjaculer ! Je sens son sexe se rapprocher peu à peu du centre de sa cible. Putain d'instinct ! Et enfin, il trouve mon anneau, et il s'introduit d'un coup en moi. Ah putain, ça y est ! Ah la laaa, quelle sensation ! Ce vit chaud et dur qui s'enfonce dans mon anus ! Je ne peux réprimer un gémissement de plaisir. Ça y est, je suis … je suis accouplé avec un chien !

 

J'AI UN SEXE DE CHIEN EN MOI !!!!

 

Oui, le molosse est en train de me saillir ! Et je sens qu'il a commencé à éjaculer dans mon cul. Bien agrippé à moi, il me donne de rapides et violents coups de reins. Si violents mais si brouillons dans son impatience qu'il sort parfois accidentellement de moi, et qu'il doit s'y reprendre à plusieurs fois pour me pénétrer à nouveau. Mais après trois ou quatre échappées de ce genre, il finit par trouver la position adéquat et par doser son mouvement pour me remettre son sexe dans le cul du premier coup. Ces allers et retours fougueux sont très agréables tant j'ai la sensation de me remplir à chaque entrée de son membre et de me vider à chaque sortie… De plus, il me semble qu'il bande de plus en plus fort, que son vit est de plus en plus gros … Ça veut dire qu'il prend du plaisir dans la chaleur de mon cul … Est-ce qu'il va parvenir à me fourrer aussi son bulbe ?

 

- Ah bordel, ça y est, fils, T'ES DEDANS ! Nom de dieu, t'es en train de L'ENCULER ! C'est bien, fils … vas-y, BAISE-LE, BAISE-LE ! Aaaah, puutaiiiiin !

 

Jean-Claude, surexcité, les mâchoires serrées, encourage son molosse. Je le devine posté à côté de nous, un peu en arrière, et dans cette position, il doit vérifier que le sexe de son chien est bel et bien dans mon cul. A son intonation, je le sens non seulement excité par le spectacle, mais heureux pour son chien … heureux qu'il couvre sa première femelle, heureux qu'il y prenne du plaisir, heureux ... Son frère, Into, enchaîné au canapé, couine, geint, tire sur sa chaîne et fait bouger le meuble. Il doit comprendre ce que son frère me fait, et il voudrait participer à la fête… 

 

Progressivement, sur mon dos, Iago s'agite moins frénétiquement. Ooooh, c'est très bien aussi comme ça: ses coups de reins sont moins rapides, moins amples, moins violents, et je sens parfaitement son gros engin, tout chaud, en moi. Il doit continuer à m'inonder les entrailles de sa semence. Il m'insémine, il me féconde ! Comme j'aimerais voir sa bite aller et venir dans mon cul ! J'aurais dû amener mon camescope et demander à Jean-Claude de filmer ça ! Vu sa réaction, je suis sûr que ça lui aurait plu. Et moi, j'adorerais me voir en vidéo, ramené à l'état d'une bête, d'une chienne, couverte, saillie par ce molosse, son sexe d'animal en moi …  

 

Brusquement, je sens le membre du molosse comme … vibrer … dans mon cul. Comme s'il éjaculait maintenant en continu. Ça dure trois, quatre secondes, et tout aussi brusquement, la bête sort son membre de moi, descend de mon dos et se remet à me tourner autour en me donnant de grands coups de langue. C'est déjà fini ? Je m'attendais à un coït rapide, mais à ce point … je suis plutôt déçu … il ne m'a pas rentré son bulbe ! Ah merde ! Mais je sens un liquide chaud s'écouler sur mon périnée … j'ai l'impression que le molosse m'en a quand même mis une bonne dose …

 

- Putain ! Je le crois pas … mon chien t'a … mon chien t'a BAISÉ ! Tu te rends compte ? Tu t'es fait BAISER par mon chien ! Ah la vaaaaache !

 

Les avant-bras croisés à plat sur le sol, je pose mon front dessus et je me balance, cul en l'air, d'avant en arrière. Oh, putain, oui, ÇA Y EST, j'ai franchi le pas ! Je me suis fait couvrir par un chien ! Et je me suis fait INSÉMINER par ce chien ! Je ne me fais pas seulement baiser par des mecs, je me fais aussi baiser par DES CHIENS ! Ah oui, parce que c'est décidé, je recommencerai ! Je ne sais pas comment je vais faire, mais il faut que je trouve le moyen de me faire régulièrement baiser par un chien … par DES chiens ! Jean-Claude, tu vas me voir souvent. Iago est maintenant derrière moi, et il me colle sa truffe dans la raie. Il flaire ma rondelle et me donne deux ou trois coups de langue, comme pour nettoyer sa semence qui s'écoule de moi. Hmmmmm ! Putain, Iago, tu pourras recommencer ! Satisfait, le molosse se couche lourdement à coté de moi et entreprend de se lécher la bite. Je jette un coup d'œil entre mes cuisses, vers Jean-Claude. Quand le molosse s'est retiré de moi, son maître s'est affalé dans le canapé et là, il me regarde sans se rendre compte que, dans la position où je suis, je le vois par en dessous: il est en train de se tripoter, cette fois, la main DANS son pantalon.

- Tu vois que j'avais raison, Jean-Claude … je me suis VRAIMENT fait baiser par ton chien …

- Ah ouais ! Et il t'a … il t'a juté dans le cul ?

- Oui, il m'a VRAIMENT juté dans le cul. Tu vois, que c'était possible … et je peux te dire: c'était vachement bon  … trop rapide, mais vachement bon …

 

Excité par ce qui vient de se passer, les yeux braqués sur mon cul, il continue de se palucher sans se rendre compte que je le vois. Il se marre:

- Putain, j'en reviens pas ! Tu t'es laissé baiser par mon chien ! Et t'as été jusqu'au bout, tu t'es laissé mettre du … du sperme dans le cul ! Putain, j'en reviens pas ! Et … t'as pas peur, avec son sperme, dans ton cul… t'as pas peur qu'il t'aie … que tu …?

 

Je glisse une main jusqu'à mon cul … la vache, il en coule encore, du sperme … je m'enfile deux doigts. 

- Qu'il m'aie quoi ? Qu'il m'aie mise enceinte ?

- C'est vrai, je suis con …

- Ça t'a excité ?

- Quoi ?

- Ça t'a excité, de voir ton chien me baiser ?

- Ben … ouais …

 

Sans le prévenir, je bascule sur le côté, je me retourne et je m'assois en tailleur, face à lui. Surpris, il ôte rapidement sa main de son pantalon. Je lui souris:

- Tu sais, tu peux continuer de te tripoter. Ça ne me gêne pas. Au contraire. 

 

Il hésite. Alors j'insiste:

- Vas-y, je te dis !

- …

 

Il reglisse sa main dans son pantalon. Alors je m'avance vers lui, à quatre pattes. Il me regarde approcher, souriant. Je m'agenouille entre ses pieds. Le chien attaché au pied du canapé se lève et essaie de s'approcher de moi. Mais sa laisse est trop courte. Il couine un peu et s'assoit. Me voilà entre les pieds de Jean-Claude:

- Allez, Jean-Claude, ouvre ta braguette et sors ta queue. Tu ne vas quand même pas te sentir gêné de te masturber devant moi ! Je la connais, ta bite !

 

Il hésite encore. A travers la toile, je devine sa grosse main qui presse sa grosse queue et qui bouge lentement. Je pose doucement mes mains sur sa ceinture, au niveau de sa braguette:

- Laisse-moi faire …

 

Il se raidit contre le dossier de son siège et suspend le mouvement de sa main:

- Qu'est-ce que tu …

- T'inquiète pas. Je te touche pas. J'ouvre seulement ta braguette.

 

Il se détend. C'est bizarre, je le sens tiraillé entre la méfiance et l'envie de soulager l'excitation que lui a procuré ce spectacle. Je défais le bouton, je descends son zip et j'écarte les pans de son pantalon. Oh putain ! Quelle bite ! 

- Oh putain qu'elle est belle !

 

C'est sorti tout seul ! J'ai une furieuse en vie de me pencher et de prendre son gland encore calotté entre mes lèvres. Putain, lui tailler une pipe pendant que son chien me chevauche ! Je me retiens, pas la peine de le braquer. Il se détend, me sourit, et recommence à se masturber lentement. Je regarde sa main aller et venir sur sa longue hampe. L'extrémité de son gland, qui dépasse de son prépuce, est luisant de mouille. Ça n'a plus l'air de le gêner, de se donner du plaisir devant moi. J'ai même l'impression que ça lui plaît, de se tripoter comme ça, juste sous mon nez, en me faisant subir ce véritable supplice de Tantale. 

-  Avec tes chiens et toi, c'est vraiment la maison des grosses bites, ici …

 

Il sourit:

- Alors … c'était bon, avec mon chien ?

 

Je sens que dans sa façon de dire "mon chien", il y a beaucoup de fierté, d'émotion, même … comme s'il parlait de son enfant … d'ailleurs, à plusieurs reprises, il l'a appelé "fils" ! Avec cette question, il veut surtout savoir si son chien a été à la hauteur.

- Oh oui, c'était bon ! Et toi, ça t'a plu, de nous regarder ?

- Ben … oui. J'étais … j'étais content pour … pour lui.

- Ah oui ?

- Oui. C'était la première fois qu'il … qu'il tirait un coup, quoi … alors …

- Oui. Et moi, pour la première fois que je me faisais vraiment saillir par un chien, c'était par ce … par ce monstre … Oh, putain, j'adore ça !

 

Alors que je me retourne pour regarder le monstre, toujours en train de se lécher la bite, Jean-Claude constate:

- T'aimes vraiment ça, alors !

 

Il marque un temps, et:

- Et t'auras envie de recommencer ?

 

Je me trompe, ou il a envie de me voir à nouveau me faire couvrir par son chien ? Toujours à genoux, je m'approche de Iago. Il arrête de se lécher le bout du sexe, maintenant presque entièrement ratatiné dans son étui pénien, et il lève la tête vers moi. Je le caresse. Jean-Claude:

- Hein, dis ! T'aurais envie de recommencer ?

- Recommencer ? Ben … oui !

 

Il y a une espèce de silence pendant que Iago me donne des coups de langue sur les mains, puis:

- Tu veux l'autre ?

- Pardon ?

- Lui, là, Into …tu veux qu'il te baise aussi ?

 

Je me retourne. Il n'est plus vautré au fond du canapé. Il ne se tripote plus, et, penché en avant, il me regarde intensément en caressant la tête de son autre molosse assis à ses pieds:

- Hein ? T'as envie de te faire sauter aussi par celui-là ? Lui, il a envie, c'est sûr ! Hein, fils, que t'as aussi envie de te le faire !

 

La vache ! Il me propose son autre chien ! Je regarde le molosse enchaîné au canapé. Oreilles dressées, il me regarde, comme s'il avait compris ce que son maître me propose, comme s'il attendait ma réponse. Ah mais oui ! Cette première tentative, avec Iago, m'a laissé un goût d'inachevé … comme un dépucelage qui tourne court par précipitation et manque d'expérience … Alors, oui, je vais recommencer avec l'autre, et cette fois, on va essayer de faire mieux. J'ai le regard irrésistiblement attiré par le ventre du dogue. Le bout de son vit, rouge vif et luisant, commence à dépasser de son étui pénien. Il commence à bander ! Ah putain, lui aussi, je vais me le prendre dans le cul ! Jean-Claude, agacé:

- Alors … tu veux qu'il te saute aussi, ou pas ? Pourquoi Iago et pas celui-là ? Y'a pas de raison !

 

Putain ! C'est pas à moi qu'il veut faire plaisir, c'est à son chien ! Et à lui-même, sans doute. Ah oui, c'est ça ! Il a surtout envie de M'OFFRIR, MOI ... à son chien ! Pourquoi, au fond de moi, je trouve ça encore plus … gratifiant ? J'adore que des mecs m'utilisent pour se soulager … et bien là, c'est pareil, Jean-Claude veut se servir de moi pour … soulager son molosse ! Et ça me plaît !

- Mais oui, mec, je veux bien qu'il me saute aussi ! T'as raison … y'a pas de raison !

 

Jean-Claude sourit et tapote le dos de son chien:

- Aaaah, c'est bon, fils ! Tu vas aussi te le faire !

 

Je m'approche d'eux à quatre pattes. Le chien se lève et trépigne. Dès que je suis au contact, il me donne un grand coup de langue sur la figure et s'élance pour me grimper dessus. Je le repousse comme je peux et, pendant qu'il s'agite en me bousculant, je passe une main sous son ventre et je prend son sexe dans la main. Aussitôt, il se calme, et tourne la tête pour regarder ce que je lui fais. Ça lui plaît. Je le masturbe en faisant aller et venir son étui pénien sur son vit. Je lève les yeux sur son maître: 

- Celui-là, Jean-Claude, il faudra l'aider.

- L'aider ? OK, OK ! Mais ... comment ça ?

 

De nouveau, je le sens exalté, impatient, soucieux de bien faire.

- Ben, tu devras l'aider à me rentrer TOUTE SA BITE dans le cul …

- Toute sa bite ? 

- Ouais, t'as pas vu, à la base de la bite de Iago, un renflement ?

- Non … j'ai pas fait attention …

- Un chien, quand sa bite est dans la chienne, bien à fond, normalement, il y a une espèce de truc qui se met à gonfler … dans la vulve de la chienne … ça l'empêche de ressortir tant qu'il a pas fini d'éjaculer. C'est pour ça qu'ils restent collés … T'as rien vu, à la base de la bite de ton chien ?

- Non, j'ai rien vu … il te l'a peut-être rentré … 

- Non, il ne me l'a pas rentré, je l'aurais senti … c'est énorme …

- C'est énorme ? Et … tu veux … tu veux qu'il te rentre un truc énorme dans le cul ? 

- Oui.

- Et tu … tu veux rester collé ?

- Je ne pense pas que nous, on restera vraiment collés. Si un chien et une chienne restent collés, c'est parce que la chienne contracte sa vulve. C'est comme un réflexe qu'elle ne maîtrise pas … mais moi, mon cul ne va pas se contracter … si je veux me débarrasser de la bite de ton chien, je pousse, et elle ressort …

- T'es sûr ? Et si vous restez quand même collés ?

- On verra … mais normalement, quand le chien a fini d'éjaculer, son gros truc se dégonfle tout seul. Voilà, j'attendrai qu'il ait fini d'éjaculer et qu'il débande … 

- Bon, bon, OK !

 

Il est prêt à tout, du moment que son chien me saute. Into, me regarde et continue de me donner des coups de langue. Pendant cet échange avec son maître, je n'ai pas cessé de tripoter la bite du molosse. Il a senti, il a deviné ce qui va se passer ? Je lui caresse la tête:

- Mon gros pépère … t'es un bon chien, toi aussi, et tu vas aussi tirer un coup.

 

Je lui palpe le membre. Maintenant, son sexe dépasse pas mal de son étui pénien. 

 

- Bon, comment on fait ?

 

Tiens, le maître s'impatiente. Il s'est levé, il a remballé sa bite, refermé son pantalon, et il me regarde.  

 

- Iago, viens là ! J'vais l'attacher.

 

Le chien se lève péniblement et rejoint son maître ! J'interviens:

- L'attache pas, Jean-Claude … laisse-le …

- Tu crois ? Il va t'emmerder …

- On verra … tu l'attacheras si il est chiant …

- OK, comme tu veux … Alors, explique ce que je dois faire avec l'autre …

- Ben, quand il aura commencé à me saillir, quand il bandera bien, tu essaieras de le pousser ou de le maintenir dans moi … tu vois ce que je veux dire ?

- Ouais, il me semble …

- Si ça lui plaît, il va bander de plus en plus, et c'est là que son gros … truc … va gonfler … et il faut qu'il gonfle DANS mon cul …

- Compris.

- Allez, détache-le, maintenant.

 

Il lâche son fauve et, tandis que je me remets à quatre pattes, Into fonce et me fourre directement sa truffe dans la raie … C'est sans doute l'odeur de la semence de son frère, mêlée à celle de mon cul qui l'attire … Coups de langue sur mes couilles, mon périnée, ma fleur … et là, ça semble lui plaire particulièrement … moi aussi, d'ailleurs … hhmmm, sa langue, chaude, humide et râpeuse … j'adore ça !

- Allez, fils, grimpe-le !

 

Jean-Claude, visiblement pressé d'assister à un nouvel accouplement plutôt qu'à des préliminaires, a chopé le collier de son chien et le soulève comme il peut pour le faire monter sur moi … Je sens le poitrail du molosse retomber lourdement entre mes omoplates. Il m'enserre de ses pattes antérieures et commence à agiter son bassin à la recherche de ma … vulve … Putain, il a tout de suite compris ce qu'on attend de lui ! Et il est très excité. L'instinct ! Je sens, comme avec son frère, quelques petits jets de sperme sur mes fesses, je sens sa bite tâtonner autour de ma rondelle puis, brusquement, s'y enfoncer d'un seul coup … Je m'attends à ce que, comme son frère, il ressorte dans ses mouvements désordonnés … mais non, il est bel et bien dedans, il s'agite, mais il ne ressort pas … Je baisse la tête et je vois les genoux de Jean-Claude entre les pattes de Into: il est derrière son chien et il le maintient ! Putain, du premier coup ! Je suis encore accouplé à un chien !

 

- Ça y est, mec ! Il est dedans ! Il est dans ton cul, mon chien ! Tu le sens ?

- Hhmmmm oui ! Tiens le bien, hein …

- Ouais. T'inquiète, je le tiens … C'est bien fils ! Vas-y, baise-le ! BAISE-LE !

 

« Il est dedans ! » Je réalise que son nom, Into, en anglais, ça veut dire "dedans" ! Oh oui, il est bel et bien dans moi ! Je sens la bite du molosse qui va et vient fébrilement dans mon cul, et je la sens qui gonfle, comme celle de son frère, tout à l'heure … 

 

- Jean-Claude … si tu peux, aide le à se décalotter … que sa bite sorte entièrement de son étui …

 

Il hésite une seconde, puis je le devine qui s'agenouille à côté de mon cul et je sens sa main m'effleurer les fesses … Il commente:

- Rhôô, la vache !

 

Et puis, oui ! Peu à peu, je sens mon rectum se remplir … comme si je m'étais enfilé un plug gonflable ! Mais ce n'est pas un plug gonflable, c'est LA BITE D'UN CHIEN ! Il ne me donne plus que de rares coups de reins. Je sens cette bite … vivante, chaude … c'est même très chaud … et je le sais, là, il est en train d'éjaculer à petits jets dans mon ventre. J'ose à peine bouger … j'ai peur qu'au moindre mouvement, le sexe du molosse sorte de mon cul avant de m'avoir complètement rempli. Pourtant, je meurs d'envie de vérifier que son sexe est bien gonflé, à l'intérieur de moi … 

 

C'est Jean-Claude qui me renseigne spontanément:

- Ah, putain, ça y est ! Il est … il est … je crois que sa bite est gonflée dans ton cul ! Tu la sens ?

- Oui, oui …

- Aaah, puutaiiiiin !

 

Oui, putain, ça y est ! Je suis sailli … VRAIMENT sailli par un chien ! Il halète en bavant au-dessus de moi, mais ne bouge presque plus, sauf, de temps à autre, un coup de boutoir, comme pour assurer sa prise. Je glisse mes doigts jusqu'à mon anus, et je tâte. Contre ma rondelle, je sens son prépuce poilu … et juste dans mon anus, je sens deux ou trois centimètres de … de verge … au-delà, à l'intérieur, quelque chose d'énorme occupe mon rectum … Je contracte mon sphincter et je bouge un peu … l'énorme chose me dilate légèrement, mais ne sort pas … A ce moment, je me demande si ce serait vraiment suffisant que je pousse pour expulser le chien de mon cul … ou si … ou si nous sommes vraiment collés … Mais je m'abstiens d'essayer de le faire sortir ... il ne pourrait sûrement pas me remettre son knot dans le cul. Et puis, je m'en fous qu'on reste collés. On verra bien ! Pour le moment, j'ai du mal à vraiment réaliser ce qui m'arrive. Pourtant, cet énorme molosse sur mon dos, et cette … cette CHOSE, en moi … ce SEXE … cet énorme ORGANE REPRODUCTEUR qui me remplit l'anus … je suis bel et bien en train de copuler avec un dogue allemand ... de me faire INSÉMINER par un dogue allemand ! Oh putain, c'est dingue ! LE BONHEUR !

 

- Oh merde ! Ça y est, vous êtes collés ! Vous êtes restés collés, bordel !

 

C'est Jean-Claude qui se met à paniquer.

- Non, non … t'inquiète pas … il jouit, il éjacule, mais après, il va débander …

- T'es sûr ?

- Oui, oui …

 

Je ne suis pas sûr à 100%, mais je m'en fous … Et même, curieusement, je réalise que, loin de me paniquer, cette situation me plaît … Finalement, cet accouplement se passe exactement comme si j'étais une chienne ! Je SUIS une chienne, et pour assurer ma fécondation, je retiens en moi le chien qui est en train de me saillir ! Oh, putain, je n'ai jamais été rempli comme ça, même avec mes jouets ! Et là, c'est pas un jouet … c'est un sexe de chien … il est sur moi et je sens sa chaleur, son souffle contre ma figure, ses pattes qui m'enserrent le torse … je sens son odeur … et dans moi, je sens sa chaleur, je le sens bouger, vibrer … il est en train d'éjaculer, de me féconder … d'ailleurs, j'ai l'impression que mon cul déborde, je sens que ça coule sur mon périnée … il devait rester de la semence de son frère en moi … D'un coup, ça me rassure: en me fécondant à son tour, Into me lubrifie … ça glisse dans mon cul, et ça devrait me permettre de l'expulser s'il ne se décollait pas tout seul … Heureusement, même lubrifié comme ça, je sens que son organe ne risque pas de sortir spontanément si je prends la peine de contracter un peu mon sphincter. C'est bien, mon pépère, reste dans moi … profite, finis de m'inséminer, tu débanderas après … on a tout notre temps.

 

Et il n'y a pas que mon cul qui déborde … les doigts toujours à l'entrée de mon anus, je sens que ma propre queue bave sur mon poignet … "bave", le mot est faible … je suis au bord de l'orgasme, et bien que je n'éjacule pas, ça ne peut pas être seulement du fluide pré-éjaculatoire qui coule comme ça … le bulbe du chien doit presser ma prostate et  faire écouler du sperme …

 

Brusquement, le chien lève sa patte droite et essaie de la passer par-dessus mes reins … Il cherche à se retourner comme il le ferait avec une chienne. Jean-Claude s'inquiète encore:

- Pas bouger, Into ! Putain, qu'est-ce qu'il fout ? 

- T'inquiète, il se retourne … c'est normal … ils font ça avec les chiennes …

- Tu crois ?

- Oui, oui … ils restent collés cul contre cul jusqu'à ce qu'ils aient fini.

 

Il n'a jamais vu des chiens baiser ? Je n'en reviens pas qu'un type de la campagne n'ait jamais vu ça ! Le molosse termine sa manœuvre et je sens son vit et son bulbe pivoter en glissant à l'intérieur de mon rectum. Putain, c'est un séisme ! Nous voilà cul à cul. Il est tellement grand du train arrière, par rapport à moi, que ça tire un peu sur sa bite … mais, comme je continue de contracter mon anus pour le garder en moi, il me soulève un peu … 

- Jean-Claude, s'il te plaît, mets-moi un coussin sous les genoux. Ton chien est trop grand pour moi …

 

Il se précipite, enlève un coussin en cuir d'un fauteuil et m'aide à le glisser sous mes genoux. Je pose mes avant bras à plat au sol, et j'appuie mon front dessus.

 

Ah, putain, c'est … c'est bestial ! J'adore cette situation, ces sensations … Je suis accouplée     avec un chien … non, pas seulement un chien … un molosse … un des plus gros chiens qui existent, et j'ai son énorme sexe de bête en moi, et je me sens vraiment … femelle … chienne … heureuse d'avoir donné envie à ce molosse, heureuse qu'il se soit accouplé avec moi … heureuse qu'il soit en train de m'inséminer. Mentalement, je visualise le vit, énorme, du chien en moi: son bulbe, tout gonflé, qui me remplit le rectum et, plus loin, à l'intérieur de mon cul, sa verge, énorme, qui décharge sa semence dans la tiédeur humide de mes entrailles ! Je me sens pleine, comblée au sens physique. J'hésite à me masturber, tellement je suis excitée. Je ne veux pas que le désir retombe. Je me demande si le chien jouit autant que moi de la situation … je voudrais lui donner tout le plaisir possible … 

 

- La vache, c'est énorme ! Rhôôô, putain !

 

Jean-Claude est au-dessus de nous … au niveau de notre coït … et je sens qu'il est en train de soulever la queue de son chien pour regarder …

 

- Ça te fait pas mal ? Putain, c'est vrailment ÉNORME !

 

Je me contente de secouer la tête de droite à gauche: non, ça ne me fais pas mal … Je savoure littéralement la situation. Je n'ai jamais rien ressenti de tel. Ça n'a rien à voir avec un accouplement avec un homme … ni avec deux hommes. C'est … c'est bestial, il n'y a pas d'autre mot. Je ne suis plus que ce rectum, dilaté, plein … entièrement rempli par le sexe, énorme, d'un animal … d'un chien … un sexe qui baigne dans le flot du sperme chaud qu'il est en train d'éjaculer … et ce sexe, je le retiens en moi, comme une chienne … Vas-y, mon gros pépère, jouis, remplis moi, féconde-moi ! Nous restons comme ça de longues minutes, moi avec le cul en l'air ... J'essaie de contracter mon sphincter pour bien sentir ce qui l'occupe. J'ai un peu de mal au début, tellement il m'a dilaté la rondelle. Mais avec un peu de persévérance, je finis par y arriver. Je me demande ce que fait Jean-Claude … il doit sans doute se masturber en nous matant, comme tout à l'heure, avec Iago. Je n'étais pas venu pour ça, mais aujourd'hui, je me serais fait couvrir, saillir, baiser et féconder par ses deux chiens … ses deux gros chiens … Et si je m'en achetais un … avoir un bestiau comme ça à la maison , ce serait mieux que tous les godemichés du monde … ou alors, il faudrait que j'arrive à convaincre Jean-Claude de m'offrir à ses molosses de temps en temps …

 

Subitement, Into s'agite … il se met à danser d'une patte sur l'autre … dans mon rectum, je sens l'énorme présence bouger … se dégonfler ? Into a joui … Into a éjaculé … Into débande ? En tout cas, il veut sortir de mon cul … il tire sur son organe … je le sens qui glisse doucement hors de moi .. je résiste un peu en contractant mon anus, puis je le relâche et Into s'extrait complètement en forçant légèrement le passage … Ma rondelle est toute dilatée, ouverte … et je reste là, le cul en l'air … Le molosse, comme son frère tout à l'heure, se laisse tomber sur le flanc à quelques pas de moi, et se met à se lécher la bite. Je suis comblé d'avoir vécu cet accouplement, mais ce n'est qu'une satisfaction cérébrale, je ne suis pas assouvi …

 

- Bouge pas !

 

Ça vient de derrière moi. L'ordre me rappelle à la réalité de l'instant présent. Et l'instant présent, c'est Jean-Claude qui s'agenouille derrière moi ! Mais … qu'est-ce qu'il fout ? J'ai déjà une de ses mains sur mes reins ! Il va me baiser ? Oh que non, je ne bouge pas ! Il va peut-être seulement de nouveau se frotter la bite dans ma raie. Le spectacle de son chien, collé à moi, en train de me baiser a dû finir de l'exciter … En tout cas plus que de voir des mecs me fourrer à la chaîne … Il ne serait pas jaloux de ses "fils" ? Tant mieux, ça me plaît … il doit avoir besoin de se soulager après s'être bien tripoté. J'aimerais bien qu'il me baise vraiment, comme ses chiens, mais coincé comme il est, faut pas rêver … Tiens, il ne plaque pas sa bite dans ma raie … il pose son gland directement contre mon œillet, comme dans son atelier, l'autre jour !!! Il doit déjà être au bord de l'orgasme, et il va éjaculer juste à l'entrée de mon anus …

 

Et d'un seul coup, il entre en moi ! Complètement ! Son ventre vient taper contre mes fesses … il est dedans ! Il est au fond ! Putain, il me baise ! J'en ai le souffle coupé … je halète … Il commence à aller et venir … Je ne sais pas ce qui m'étonne le plus: qu'il me prenne vraiment pour la première fois, ou qu'il fourre sa queue dans mon cul plein du foutre de ses chiens ... parce que, aux bruits que ça fait, ça doit dégouliner à flots ! A la façon dont il va et vient, à la crispation de ses mains sur mes hanches, à son souffle saccadé, je suis sûr qu'il va jouir vite fait … Je passe une main derrière moi pour lui caresser la cuisse … il a seulement baissé son pantalon ..

- Ah, oui, Jean-Claude, baise- moi !

- Ta gueule !

 

Et en effet, ça va très vite … il se met à grogner entre ses dents serrées … comme un long cri rentré … il me saisit aux aines et me fout de courts mais violents coups de bite … hon … hon … hon … hon … hon … hon … il jouit en haletant. Puis  il s'appuie du ventre contre mes fesses, s'immobilise, et pousse en avant, comme pour me faire allonger sur le ventre. Je me laisse faire et je m'écroule sur le tapis, son énorme poids sur mes reins et mon dos … Il respire bruyamment, le visage contre ma nuque … son ventre presse mes reins au rythme de son souffle … Oh, putain, j'ai sa grosse bite dans mon cul … et du sperme ... son sperme plein le ventre … Après les chiens, le maître ! Je n'en reviens pas … Oh oui, reste en moi … je sens cette présence dans mon cul … Longuement, il reprend son souffle …

 

Et soudain, il se décolle de moi. Sa queue glisse hors de mon cul dans un bruit mouillé, entraînant un flot de sperme sur mon périnée et mes couilles. Je reste allongé, la joue sur le tapis, cuisses écartées … Il m'a baisé ! Les trois mâles de la maison m'ont baisé … l'un après l'autre ! Une idée folle explose dans mon esprit: et si je venais vivre ici ! Me mettre à la disposition du maître et de ses chiens pour qu'ils me baisent … sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt quatre ! Il n'y a pas de femme dans cette maison, alors je pourrais leur faire le ménage, la cuisine et tout le reste … Bon, pas la peine de fantasmer, ça m'étonnerait que Jean-Claude accepte ça.

 

Bien qu'il ait une si grosse bite, je n'ai pas senti grand chose avec ma rondelle distendue comme elle l'était … Ce qui compte, c'est qu'il ait fini par y venir … Maintenant, je suis sûr qu'il recommencera … Les deux chiens tournent autour de moi, me reniflent, et je ne tarde pas à sentir de nouveau une truffe mouillée entre mes fesses … puis une grosse langue me lèche … je me cambre et je me laisse faire … Puis ils se couchent, un à côté de moi et l'autre à ma tête. Ma bite commence à être douloureuse dans les poils de ce tapis. Je me retourne et je m'appuie sur un coude. Sous ma cuisse, je sens une flaque de bouillie visqueuse et froide. Jean Claude est vautré dans le canapé, un verre de whisky à moitié plein à la main. Il a remis son pantalon et il me regarde. Je lui souris:

- Tu m'as baisé …

- Dis rien … ça vaudra mieux …

- Oui, mais tu m'as baisé …

 

Je retombe sur le dos et, face à lui, je me masturbe. Cambré, la tête rejetée en arrière, je revis en flashes tout ce qui vient de m'arriver … Alors ça va très très vite … je jouis sur mon ventre en haletant … Quand j'ai fini de reprendre mon souffle, je m'assois. Il me regarde toujours. Je me mets à quatre pattes et je m'approche de lui. Je me redresse, et je m'avance entre ses genoux. Il se recule tout au fond du canapé et tente de serrer les jambes, comme pour se protéger: 

- Qu'est-ce tu …

 

Trop tard, j'y suis. Je caresse l'intérieur de ses cuisses … sa queue est là, allongée dans la jambière de son pantalon. Sous la toile, je sens la longue bosse de son sexe, pas encore complètement dégonflé. Je me penche et je pose mes lèvres dessus. 

- Hhhmmmmmm, j'aime ta queue …

 

De sa main libre, il tente de repousser ma tête … mais sans conviction … Je pose des baisers sur le tissu, tout le long de sa hampe. Puis je me redresse et, tout en le tripotant machinalement:

- J'aime ta grosse queue … tu me baiseras encore, hein …

- Je … je sais pas …

- Si. Tu me baiseras encore … tu as franchi le pas, maintenant … c'était bien, non ? Tu me baiseras encore …

- On … on verra …

- Oui. Là, j'ai envie de te sucer … Laisse moi te sucer. 

 

J'entreprends de déboutonner son pantalon. Il se laisse faire. J'écarte les deux pans et je plonge ma main dans sa jambière. Son membre est là, sous mes doigts … Oh la la ! Délicatement, je  commence à le sortir. Il s'est recalotté. J'extrais aussi ses couilles de son pantalon. HHmmmm ! Cette fois, je l'ai eue en moi, cette queue énorme ! Je me penche et je pose des baisers tout au long de sa bite, puis sur ses couilles. Ça le fait rire. Son sexe sent le sperme. Je fais glisser mes lèvres sur sa verge, jusqu'à son gland, et je le prends dans ma bouche. Je fais tourner ma langue autour de son gland, puis la joue posée sur sa cuisse, je reste comme ça, immobile, avec cette chose, cette merveille dans ma bouche.

 

- Tu l'as fait ! J'en reviens pas. Tu t'es fait BAISER par mes chiens !

 

Je sors son sexe de ma bouche et, tout en le caressant du bout des doigts, je le regarde:

- Oui. Tu vois, c'était possible … Et toi aussi, tu m'as baisé.

 

Il hoche la tête:

- Ouais. Ça aussi, j'en reviens pas.

- Et ça t'a plu …

- …

- J'aimerais bien revenir de temps en temps chez toi … pour que vous me baisiez encore, tous les trois, toi et tes chiens.

- Non, non … je …

- Quoi ! Tu as dit "on verra".

- Oui, mais … j'ai dit ça comme ça ... 

- Alors seulement tes chiens.

 

Il me dévisage:

- Aaaaah, ça y est, j'ai compris ! C'est pour ça que, tout à l'heure, tu m'as proposé de venir t'occuper d'eux au cas où je partirais quelques jours … C'est ça, hein ? C'était pour venir te faire sauter … 

 

Je me contente de sourire. Inutile d'en dire plus, il a compris et il secoue la tête:

- Putain, t'en as jamais assez ! Bon, et puis écoute … tu vas devoir y aller. Moi, je dois descendre en ville. Il faut que je récupère une pièce pour mon semoir avant que ça ferme.

 

Il est soulagé, il a tiré son coup et il me vire:

- Ça va, j'ai compris. Tu me laisses quand même le temps de repasser par la salle de bain ?

- Ben ouais. Mais n'oublie pas ta lingerie, cette fois.

 

Je me relève en m'appuyant sur ses cuisses. Les deux chiens lèvent la tête et me regardent me diriger vers l'escalier. 

 

Quand je redescends, rhabillé, Jean-Claude m'attend à côté de sa porte d'entrée. On ne peut pas être plus clair, il est pressé que je me barre. Il ouvre pour me laisser passer. Into et Iago sont dans la cour et m'ignorent royalement. Eux aussi ont tiré leur coup, et je ne les intéresse plus. Je tends la main à Jean-Claude:

- Tu m'appelleras ?

- Pour quoi faire ?

- Si tu changes d'avis …

- Ah, ouais. On verra …

- Bon, salut.

- Salut.

 

Pendant que je manœuvre pour sortir de sa cour, je le vois qui se dirige vers son pick-up, garé sous le hangar, ses chiens sautant autour de lui.

 

Tout le long du chemin jusque chez moi, j'ai l'impression d'avoir encore cette présence énorme dans mon rectum, et je sens le cocktail tiède des semences des trois mâles de cette ferme s'écouler peu à peu au fond de mon pantalon.

 

ÇA M'EST ARRIVÉ ! ÇA M'EST ARRIVÉ ! 


JE ME SUIS FAIT BAISER PAR DES CHIENS !!!

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 6 mars 2017 1 06 /03 /Mars /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

Vendredi 20 octobre

- Allo ? Salut, c'est Jean-Claude. 

- Ah oui. Salut. Ça va ?

- Ouais, ça va. Tu m'as laissé un message. Qu'est-ce que tu veux ?

- L'autre jour … le jour de la tournante chez toi, j'ai oublié des affaires dans ta salle de bain, je crois, et je voudrais les récupérer.

- Ah oui, je les ai trouvées. 

- Je peux venir les chercher quand ?

- Euuuuh, je sais pas, j'ai pas mal de boulot en ce moment …

- Dis moi …

- Un soir … ou, non, plutôt la semaine prochaine. Pas avant … mercredi. J'aurai fini. Mercredi, début d'après-midi.

- Ça marche.


Yessss ! Ah, putain, ça me travaillait tellement, il fallait que j'y arrive. Bien sûr, après mon gang bang géant chez lui, je me suis encore fait passer dessus par plusieurs types en même temps. Il y a déjà eu mes cinq paumés de L.F., puis la séance avec Denis, Nadir, Dominique et Yann avec, en intermède, quatre types dans le troquet de Jeannot et pour finir Jacky et ses potes à la maison. Me faire baiser à la chaîne, c'est … waouuuuuhhh ! Mais quand même, lui, lui tout seul ! Oui, lui, Jean-Claude, Jean-Claude et sa grosse bite, Jean-Claude qui ne m'a pas encore vraiment baisé, Jean-Claude qui s'est contenté de se frotter la queue entre mes fesses et de m'introduire son gland dans l'anus, avant de m'éjaculer contre la rondelle le jour de mon gang bang ! Oh, je l'ai bien senti, une fois son énorme gland juste un peu rentré dans mon sphincter, il a été à deux doigts de m'enfoncer complètement sa grosse queue dans le cul. Mais il s'est retenu. Et c'est devenu quasiment obsessionnel: il FAUT qu'il me baise, il FAUT qu'il me fourre VRAIMENT son énorme queue, il FAUT qu'il me vide le contenu de ses énormes couilles dans le ventre ! Comme si je n'arrivais pas à "digérer" cet échec, comme si Jean-Claude était une sorte de trophée qui manque à mon tableau de chasse et que ceux qui ont suivi, pourtant nombreux, n'arrivent pas à compenser. La quantité ne remplace pas la qualité. A cause de lui, je ressens une sorte de manque, de frustration qui m'empêche d'atteindre une certaine plénitude de la tête. 

 

Alors il fallait absolument que je le revoie en tête à tête. Après avoir longtemps tergiversé, craignant de me voir opposer un refus et même un rejet, une rupture définitifs, je me suis enfin décidé à l'appeler. Il était absent et je m'étais contenté de laisser un message sur son répondeur. J'ai bien compris que, tant qu'il y aurait un témoin, il refuserait de vraiment me baiser. Se frotter, se branler, m'éjaculer dessus, même en public, ça va ! Comme ça, il reste un vrai mec, mais me pénétrer, ça pour lui, ce serait devenir pédé. Seul à seul, il n'y aurait que nous deux pour savoir, et vu que, quand même, je l'excite, il pourrait bien finir par céder. Alors, je sais bien, c'est pas encore fait ! Il a seulement accepté que je vienne chez lui récupérer mes affaires. De là à réussir à le convaincre de me fourrer … Mais ça fait rien, c'est un premier pas. J'ai le cœur qui bat à l'idée de me retrouver en sa présence. 


J'ai bien fait d'oublier mon porte-jarretelles, mes bas et ma minijupe dans sa salle de bain. Je me demande si ça ne serait pas un oubli inconsciemment "volontaire". Là, mercredi, je vais devoir la jouer finement pour ne pas le braquer.


Mercredi 25 octobre. 14 heures.

Dans l'idée que je vais peut-être parvenir à mes fins, avec mon fermier, je me suis soigneusement préparé, comme pour tous mes rendez-vous de cul: douche, lavements, rasage, etc. Sauf que, au lieu de m'habiller en salope, aujourd'hui, je suis en mec. Je ne veux pas l'inquiéter dès mon arrivée. Il va falloir y aller en douceur. Dès que je monte en voiture, j'ai le cœur qui bat et je me sens nerveux. Et tout au long de la route, je rêvasse à ce gros engin poilu qu'il a entre les cuisses ! Ce type a vraiment tous les attributs du mâle viril, de l'étalon, du reproducteur, et ce qu'il y a de femelle en moi réclame cet accouplement comme une nécessité impérieuse. Je suis prêt à me faire fourrer par toutes les bites de la terre, alors pourquoi je ne pourrais pas avoir celle-ci ?


Quand j'arrive devant la ferme, le portail est ouvert. J'entre et je me gare comme l'autre jour, devant la maison. Aussitôt, les gueules énormes des molosses apparaissent à ma portière. Il me regardent en aboyant et je me demande ce qu'ils ont en tête. Le jour de ma tournante, ils m'avaient fait la fête, et même plus que ça, puisque l'un d'eux avait nettement manifesté son "intérêt" pour mon cul, et avait même commencé à me saillir, debout contre une table ! Mais là, en l'absence de leur maître, je me demande comment ils peuvent réagir. J'hésite à descendre. Alors, je klaxonne. Pas de réaction. J'insiste. Toujours pas de Jean-Claude. Pourtant, il devrait être là, puisque le portail est ouvert. Les deux dogues ont arrêté d'aboyer, se sont assis à côté de ma portière, et ils me regardent, la tête un peu penchée et les oreilles dressées, avec l'air de me dire « Qu'est-ce que tu attends ? Descends ! ». C'est pour me faire la fête, ou pour me bouffer ? 

 

Iago.jpg


Doucement, j'abaisse un peu ma vitre. Aussitôt, ils se lèvent et viennent fourrer leur truffe dans le petit espace entre la vitre et le montant de la portière. Nom de dieu, quels bestiaux, ces dogues allemands ! J'approche mes doigts.  L'un d'eux les renifle et leur donne un grand coup de langue. Pas si méchant que ça, finalement. L'autre se contente de poser sa truffe sur mes doigts et de les renifler, avant de retourner s'asseoir à deux pas de la voiture. Celui-là, assis comme ça, je ne peux pas m'empêcher de remarquer son sexe qui palpite sous son ventre au rythme de son halètement. Il a beau être caché dans son étui poilu, je me rends bien compte qu'il est énorme. Oh putain, quand je pense que j'ai été à deux doigts de me faire saillir par ÇA ! Un frisson m'électrise la rondelle. Il n'y a pas à dire, lui aussi, c'est un mâle, un étalon et il me fait le même effet que son maîte ... j'ai envie qu'il me monte !

L'autre molosse est resté assis à côté de ma portière. J'abaisse un peu plus ma vitre et je passe la main. Il se lève et me donne de nouveaux coups de langue. Il remue la queue. On dirait qu'il réclame des caresses. C'est peut-être lui qui m'a léché la rondelle pleine de sperme, l'autre jour, et qui avait commencé à me prendre en levrette, avant que son maître ne vienne couper court à ce début de coït. Alors ça doit être Iago. Il a dû me reconnaître ! Hhmmm, la sensation de son gros vit, chaud et humide, dans ma rondelle enflammée me revient en mémoire. Ça m'électrise l'anus et la prostate. Brave bête ! Si ça se trouve il se souvient aussi de ce qui s'est passé, ce jour-là. Je voudrais bien savoir ce qu'il a dans la tête, là, tout de suite. Il doit se dire que la femelle qu'il avait entrepris de saillir l'autre jour est de retour et que, cette fois, il va pouvoir lui faire une portée. Ah putain, oui, ça me plairait, le chien, que tu me fasses une portée. Ou qu'au moins, on fasse comme si ... Des scène de bestialité torrides assaillent mon esprit. 


J'ai toujours rêvé de me faire saillir par un chien, avant même que je me décide à le faire avec des mecs. Déjà, adolescent, j'avais failli le faire avec mon chien. Ah, mon chien ! Souvent, il s'accrochait à ma jambe et il s'excitait. Un jour, alors que je faisais je ne sais quoi, à genoux ou accroupi dans le garage, chez mes parents, il m'avait grimpé dessus, et il avait cherché à me saillir ! Surpris, choqué, même, je l'avais chassé. Mais ça m'avait profondément marqué, étonné … et beaucoup troublé. Alors, à plusieurs reprises, j'avais voulu voir s'il recommencerait. Je me mettais à quatre pattes dans le garage, tout habillé, et j'attendais. A chaque fois, il venait, il me reniflait et il essayait de me grimper. J'avais tenté ça à plusieurs reprises, sans oser aller plus loin. Mais ça me trottait constamment dans la tête. Mon chien pouvait avoir envie de s'accoupler avec moi ? Est-ce que c'était physiquement possible ? Est-ce que ce serait agréable ou est-ce que ça me ferait mal ?


Et puis j'avais fini par me décider, j'allais offrir mon cul à mon chien, m'offrir à lui ! Un jour, assuré d'être seul avec lui à la maison pour un bon bout de temps, j'avais enlevé mon short et mon slip et je m'étais mis à quatre pattes au milieu du garage. De nouveau, il était venu, il m'avait reniflé le cul, me l'avait léché deux ou trois fois (oh la la , quelle sensation !), et il m'avait grimpé dessus. J'ai encore le souvenir très net du contact de son sexe chaud et humide contre mes fesses. Il cherchait mon œillet pour me pénétrer, mais il ne le trouvait pas. Je le sentais très "content" de ce qui se passait: il bandait comme s'il avait vraiment eu à faire à une chienne en chaleurs ! Il me cramponnait fermement, les pattes avant passées dans l'angle de mes aines et, en essayant furieusement de s'introduire en moi, il me labourait les cuisses. Mais peu importe ! J'avais très envie de l'aider, mais je n'osais pas. En fait, j'avais peur d'un truc idiot. Quelques mois auparavant, je l'avais vu couvrir une chienne dans la rue, et ils étaient restés collés cul à cul pendant de longues minutes. Au bout d'un moment, j'avais pu voir sortir sa queue énorme, toute gonflée, turgescente, violacée. Alors, dans ce garage, j'avais peur que, s'il me pénétrait, nous restions aussi collés, jusqu'à ce que quelqu'un nous surprenne. J'avais donc mis fin à l'expérience. Ce jour-là, mon chien était resté frustré. Et moi aussi. Je n'avais pas renouvelé l'expérience et j'ai longtemps eu honte de moi. 


Plus maintenant, et rétrospectivement, quel bonheur ça aurait été de me faire prendre par mon chien ! Outre le contact de son vit mouillé sur mes fesses, il m'est resté le souvenir très intense d'une sensation extrêmement forte, celle d'être ainsi, à quatre pattes, cambré, cuisses écartées, offert, abandonné à l'étreinte de mon chien. Depuis cette époque, au plus profond de moi, est restée ancrée cette envie de me faire couvrir, de me faire saillir, vraiment, par un mâle …  n'importe quel mâle, d'ailleurs, homme ou animal ... Oui, et il y a bien longtemps que pour moi, les relations sexuelles inter-espèces n'ont plus rien de scandaleux, en particulier dans ce sens, c'est-à-dire quand un être humain, femme ou homme, se fait saillir par un animal. Je suis convaincu qu'on ne peut pas contraindre un mâle (chien, cheval ou autre) à une relation sexuelle avec un être humain si l'animal n'en a pas envie: s'il bande et s'il pénètre un homme ou une femme, c'est nécessairement parce qu'il en a envie, qu'il le désire ou la désire. Pour moi, la bestialité n'est plus un tabou, et si je ne suis pas encore passé à l'acte, c'est seulement faute d'en avoir eu l'occasion.


Tout ça, qui me revient en tête, ainsi que les coups de langue du molosse sur ma main … hhmmmm ! Je finis de descendre ma vitre, j'avance prudemment la main et je la pose sur sa tête. Il est content. Plus ça va, plus je suis convaincu que c'est lui qui m'a pris pour une chienne, l'autre jour. Allez, je descends. On verra bien. Doucement, j'ouvre ma portière. Il se précipite dans l'entrebâillement et il vient me faire la fête. Sous les assauts de ce molosse, j'ai bien du mal à m'extraire de la voiture. Son frère se lève et vient aussi me saluer, mais plus calmement, avant de s'éloigner de nouveau et de se coucher. Iago, lui, me fourre sa truffe contre l'entrejambe. Voilà, il a fini de m'identifier, et il se met à sauter de plus belle, à se dresser contre moi pour me donner des coups de langue sur la figure et sur les mains. Plus ça va, plus je suis convaincu qu'avec sa truffe, il a définitivement reconnu en moi la femelle qu'il avait commencé à saillir. Putain, le monstre ! Il est aussi grand que moi … non, il est PLUS grand que moi ! Sous son poids, je me retrouve plaqué contre la voiture. Il a posé ses deux pattes antérieures sur l'angle que font les portières avec le toit, il me coince littéralement et il me donne des grands coups de langue. Oui, c'est sûr, maintenant, il m'a reconnu: 

- Doucement ! Oui, bon chien ! Tu m'as reconnu, hein … Oui, c'est moi que t'as commencé à baiser l'autre jour … Doucement ! Tu voudrais bien recommencer, hein … Moi aussi, j'ai envie que tu recommences. Doucement, doucement ! Et surtout, j'ai envie que tu finisses, cette fois. Ça te plaitait, de me faire des petits ?


Oh, putain, le bestiau ! Collé comme ça contre moi, avec son énorme tête massive, j'ai l'impression d'être dans les bras d'un mec. Quelle puissance ! Et cette odeur animale qui accentue en moi l'envie qu'il me prenne, qu'il me féconde ! Comme par réflexe, j'ai passé une main sous son ventre et je lui ai effleuré le sexe. Ah, quel morceau ! Au bout de son étui poilu, je sens dépasser quelque chose … c'est lisse … c'est nu, c'est chaud et c'est humide. Il commence à bander et à mouiller ! Oh putain, Iago, tu bandes pour moi ? Moi aussi, j'ai envie que tu me la mettes, ta bite, dans le cul ! J'ai envie que tu me baises !

Tout en commençant à fantasmer des scènes d'accouplement avec ce molosse, je me rappelle la réaction de son maître quand il a deviné qu'il avait commencé à se passer quelque chose avec son chien … pas content du tout, le Jean-Claude ! Comment je pourrais faire pour arriver à mes fins avec ce dogue, comment je pourrais manœuvrer pour qu'il me saillisse sans que son maître le sache ? Lui proposer de venir m'occuper de ses chiens, si un jour il décide de partir quelques jours en vacances ? Ou venir en douce pendant qu'il travaille dans ses champs ? D'un seul coup, le dogue arrête de me lécher la figure et redescend ses pattes au sol. C'est fini ? Ah non, aussitôt, il se dresse à demi et cherche à m'entourer la cuisse de ses pattes. Il n'y a pas de doute, il me prend pour une chienne … ou il me prend pour un mec qu'il a envie de saillir. Vas-y, le chien, chauffe-toi ! Ça ne me déplaît pas de le laisser s'exciter comme ça, d'entretenir son envie de me saillir … ça ne conduira peut-être à rien, mais sait-on jamais …


D'un seul coup, j'entends un bruit de moteur, et la masse du tracteur bleu s'encadre dans le portail d'entrée. Iago me lâche la cuisse et, me jetant un regard où je lis comme un regret, il rejoint son frère qui se précipite pour aller tourner autour de l'engin que leur maître est en train de ranger sous le hangar. Une fois garé, Jean-Claude descend de son tracteur et approche, ses chiens à ses cotés. Il porte un pantalon de travail en grosse toile verte et une chemise assortie. C'est une tenue de travail, mais pas aussi … rustique que la cote dans laquelle j'avais fait sa connaissance. Je ne peux pas m'empêcher de poser les yeux sur son bas ventre. Là, sous cette toile … il y a sa BITE ! Sa grosse BITE et sa grosse paire de couilles ! Il me tend la main:

- Salut.

- Salut. Je me suis permis d'entrer.

- Ouais, t'as bien fait. Les chiens t'ont pas emmerdé ?

- Non, ils m'ont fait la fête.

- Ouais, ils te reconnaissent, je pense. 

 

Les deux bestiaux sont de nouveau en train de me renifler l'entrejambe. 

- Ça va les chiens ! Excuses-les, hein. C'est comme ça qu'ils font connaissance.

- Oui, je sais. Ça me gêne pas. Dis donc, c'est des clones, tellement ils se ressemblent. Comme ça, je n'arrive pas à les distinguer.

 

Je préfère ne pas lui dire que je pense avoir reconnu Iago. Il sourit:

- C'est normal, ils sont frères, et de la même portée. Moi aussi, au début, j'avais du mal à les reconnaître.

- Ils ont quel âge ?

- Un an et demi … un peu plus …

- Ah bon ? Ils sont énormes. C'est leur taille adulte ?

- A peu près. Ils peuvent grandir encore un peu, mais le plus gros est fait. Ouais, c'est vrai que, même pour cette race, ils sont plus grands que la moyenne. Mais tu sais, il y en a des beaucoup plus gros qu'eux … comme des poneys !

- C'est des dogues ?

- Ouais, des dogues allemands. On dit aussi des danois.

- Ils sont vraiment beaux et impressionnants.

- Ouais. Ils ont un pedigree, tu sais … Ils m'ont coûté un paquet … mais je regrette pas, c'est des bonnes bêtes …

 

Les deux monstres continuent de nous faire la fête. Iago, en particulier, ne me lâche pas, et me tourne autour en me reniflant de la tête aux pieds … mais quand même beaucoup du côté de mon bas ventre et de mon cul. Je m'étonne:

- Tu laisses ton portail ouvert ? Tu n'as pas peur qu'ils se sauvent ou qu'on te les pique ?

- Certains jours, je sors et je rentre par là cinq ou six fois, alors, mon portail, je ne peux pas passer mon temps à l'ouvrir et à le refermer. C'est pour ça que je leur mettais des colliers anti-fugue. Si ils cherchaient à passer le portail ou la barrière au bout de la cour, ils prennaient une décharge. Maintenant, ils le savent et ils n'essaient plus, même sans collier. Me les piquer ? Si tu les connaissais pas, t'essaierais de me les piquer ?

- Non. T'as raison. Mais … qu'est-ce que tu fais d'eux, quand tu pars en vacances ? Tu les emmène ?

- Ha ha ha ! Je ne pars jamais en vacances …

- Ah bon ? Même pas un jour ou deux de temps en temps ?

- Non. Je pourrais, tu me diras. Surtout l'hiver. Mais j'ai pas envie. 

- Ben .. si un jour tu te décidais pour aller faire du ski, ou autre chose, tu me le dis, je viens m'en occuper …

- C'est gentil, mais … non. Bon, entre, je vais te donner tes affaires.


Il faut laisser l'idée faire son chemin. Sait-on jamais … Je le suis dans la maison. 

 

- Attends-moi là, je reviens.


Il disparaît par une porte vitrée. Sans y avoir été invité, je m'enfonce dans un des fauteuils de cuir. Pas question que je récupère mes affaires et que je file aussitôt. Comme ça, je le mets devant le fait accompli et il ne pourra pas me congédier immédiatement. Les deux chiens se couchent à mes pieds. Jean-Claude reparaît, ma lingerie et ma mini jupe à la main. Visiblement, il est contrarié de me trouver vautré dans son fauteuil. Il devait s'attendre à ce que je reparte tout de suite. Mais il n'en est pas question, il faut que je tente ma chance. Il me tend mes affaires:

- Je les ai lavés. Je vais te chercher un sac.

- Fallait pas t'embêter. Merci. Ne cherche pas de sac, c'est bon comme ça.

 

Il se dandine d'un pied sur l'autre, hésite, et finit par faire preuve de politesse:

- Bon. Tu bois quelque chose ?

- Pourquoi pas.

- Café, bière, whisky ?

- Café … ou … non, plutôt whisky.


 Un peu d'alcool, ça va m'aider pour ce que je suis venu faire. Jean-Claude me tend mes affaires et sort une bouteille d'un buffet et deux verres qu'il remplit avant de s'asseoir face à moi sur le canapé. Il lève son verre:

- Santé. Alors, quoi de neuf ? 

- Santé. Bah, pas grand chose.

 

Un silence gêné, puis:

- Tu t'es encore fait … chauffer par des mecs ?

- Hemm, non … pas depuis l'autre jour.

 

Mensonge. Mais inutile de lui raconter la moindre chose de ce qui m'est arrivé depuis la tournante chez lui. Jean-Claude, un petit sourire moqueur sur les lèvres:

- Tu dois être en manque, alors.

 

Ah, Jean-Claude, tu fais bien de te foutre de moi, parce que, comme ça, tu me fournis un prétexte pour entrer dans le vif du sujet.

- Tu ne crois pas si bien dire.

- Ah bon ? Mais, après cette … séance, ici, ça ne t'a pas … je sais pas … ça t'a pas calmé ? Ça a dû te satisfaire pour un moment, quand même, tous ces mecs ...

- Oh, oui, ça, c'était bien …


Je m'apprête à lui expliquer pourquoi ça ne suffit pas, mais à ma grande surprise, il me coupe la parole:

- Ecoute, tu sais, je voulais te dire … je n'en suis toujours pas revenu, que tu te fasses … heemmm …

 

 Il hésite, gêné. Je l'aide:

- … que je me fasse … enculer ?

- Oui, que tu te fasses enculer comme ça, à la chaîne, par autant de mecs. Franchement, jusqu'à ce que je le vois, j'y croyais pas. Déjà, le matin, je me suis dit que t'allais pas venir. Après, quand j'ai vu que t'étais là, j'ai pensé que tu allais seulement … je sais pas … te faire … enculer par un mec ou deux, devant les autres … tu vois, pour leur faire du spectacle, pour les exciter, et éventuellement après, branler les autres … mais, quand je suis arrivé, tu t'étais déjà fait … enculer par je sais pas combien de mecs, et ça a continué comme ça toute la journée !


A son regard, je me rends compte qu'il revit cette journée en pensée. Il attend une explication.

- Tu crois que j'aurais pu faire venir tous ces mecs en leur disant "venez, vous allez pouvoir m'enculer et tirer un coup", les exciter en me faisant baiser par un ou deux, et après, dire aux autres "pas touche, les mecs, maintenant vous allez vous palucher et, éventuellement, je veux bien vous branler, mais pas plus" ? Ils m'auraient tué ! Et de toute façon, j'en avais envie, de me faire passer dessus par tous ces mecs.

- Combien … tu t'es fait … enculer combien de fois ?

- Je ne sais même pas.

- Moi, j'ai essayé de compter en gros. A table, quand Philippe a compté, à part Alexis et moi, tous les autres ont dit qu'ils t'avaient déjà enculé.

- Oui. C'est probable.

- Et on était vingt-neuf, à table ! Alors, sans Alexis et moi, ça fait déjà vingt sept qui t'avaient baisé, rien que le matin ! Ça m'étonne, d'ailleurs, vingt-sept. Bon, OK, je t'ai vu te faire baiser sur la pelouse, quand je suis arrivé … et après sur le bar …  mais c'est tout. Alors, je dirais moins que ça, le matin.

- Oui, mais il y en a plusieurs qui m'ont chopé dans ta salle de bain quand je suis venu me laver, la première fois.

- Ah bon ? Je savais pas.

- Oui. Et après, d'autres dans l'écurie … encore  trois ou quatre, je crois.

- Ah, OK ! Alors comme ça, d'accord. 


Il réfléchit intensément. Puis il reprend:

- Et il y a eu l'après-midi, en plus. Ça, j'ai vu. Donc, forcément, si ils t'avaient déjà tous baisé le matin … il y en a qui t'ont baisé deux fois, et il y en a que t'as sucé …

- Oui, je crois que, d'une manière ou d'une autre, ils ont tous tiré leur coup deux fois, et certains trois fois.

- Putain ! Ça fait dans les soixante fois, alors ! Plus de soixante, même ! 


Ben faut croire. Je n'avais pas fait le compte, en fait. Penché en avant, les yeux dans le vague, il semble revivre cette journée. Puis il se reprend:

- T'as assouvi toutes tes envies, maintenant, non ? Qu'est-ce que tu pourrais vouloir, maintenant ? Qu'est-ce qui pourrait encore te faire envie ?


TOI, mec ! Toi et ta grosse queue ! Toi et tes grosses couilles ! Ce qui pourrait encore me faire envie, c'est que tu me baises VRAIMENT, Jean-Claude ! Je ne sais quoi me retient de le lui dire maintenant. Alors:

- Oh, mais tu sais, ça ne marche pas comme ça ! Une tournante comme ça, je suis prêt à recommencer … avec trente mecs, ou avec quarante. Le nombre, c'est important, mais c'est pas le principal. Avec seulement trois ou quatre mecs, ça peut être aussi vachement bien. Mais j'ai plein d'autres envies, de fantasmes, et même des choses bien plus simples, plus … basiques.

- Comme quoi, par exemple ?


Bon, cette fois, il faut que je me lance:

- Comme quoi ? Comme TOI ! 

- …


Il écarquille les yeux, se recule au fond de son siège. J'insiste:

- Oui, comme TOI. Maintenant, ce qui me fait envie, c'est que tu me baises, Jean-Claude … VRAIMENT ! Ta bite est tellement …

- Non non non ! Je t'ai déjà dit non.

- Pourquoi ? Tu t'es branlé et tu as joui contre mon cul … tu pourrais aussi VRAIMENT me baiser !

- Non, non, je t'ai déjà dit, JE     FAIS     PAS      ÇA !

- Je comprends pas. Tu m'as mis le bout de ta queue dans le cul, juste à l'entrée, mais quand même un peu dedans et tu as joui. Ça changerait quoi, de me la mettre complètement, ta queue ? Tu sais, on est bien dans mon cul, je pense. Tu as vu les autres …

- Non, mais n'insiste pas ! Pour moi, c'est pas pareil, ET      C'EST      NON !

- Allez, Jean-Claude, une seule fois .


Je pose mon verre à mes pieds et abandonnant toute dignité et toute pudeur, je viens m'agenouiller devant lui, entre ses jambes et je pose mes mains sur ses genoux. Les deux chiens redressent la tête en me voyant approcher leur maître, ils s'assoient et nous regardent, étonnés. Lui a un mouvement de recul contre le dossier de son fauteuil, et il tend la main vers ses molosses:

- Ça va les chiens !!! Et toi, ARRÊTE, merde !

- Je vais pas te violer.


Comme il m'a déjà laissé lui toucher la queue à travers son pantalon, comme il s'est déjà frotté la queue entre mes fesses, qu'il a même commencé à me pénétrer, je me dis qu'il me laissera quand même le toucher. Je pose la main sur son bas ventre. Oh la la ! Là, sous ma main … son sexe ! Je le sens. Il est au repos, mais même comme ça, il me paraît tellement … gros !

- Allez, baise-moi … une seule fois. Après, je n'y reviendrai pas.

- Non, non !

- Laisse-moi seulement te sucer, alors.


Il repousse ma main de son ventre, mais délicatement. Je lui caresse l'intérieur des cuisses.

- Ça t'a quand même fait envie, de me voir sucer Philippe, au bord du canal, et après de me voir me faire sauter par tous ces mecs.

- Non … ça me … enfin oui, ça m'excite, mais ça me donne pas envie de te faire pareil.

- Alors, tu baises jamais personne ! Tu te contentes de te branler, éventuellement tu veux bien toucher, te frotter, mais c'est tout ! Tu sais, c'est bien aussi, de baiser vraiment, de temps en temps.

- J'ai pas dit que je baisais jamais personne.

- Tu baises ?

- ben … oui ! Enfin … j'ai déjà baisé.

- Allez, Jean-Claude, laisse-toi faire. Personne ne le saura.

- Non ! Arrête ! Va te rasseoir !


Je sens que ça ne servirait à rien d'insister. Il en a peut-être envie, mais il se braque par principe. Je regagne mon fauteuil et je me sens un peu con, maintenant. Putain, c'est raté. Une espèce de gêne s'installe. Les chiens se lèvent et s'approchent de moi en remuant la queue. Leur maître m'a laissé l'approcher, le toucher, donc, je suis un ami … Ils se bousculent entre mes genoux, cherchant tous deux à glisser leur truffe dans mon entrejambe. Je les caresse, et sous leurs robes grises et soyeuses, je sens leurs musculatures. Jean-Claude:

- Iago, Into !!! Dehors !!!

- Laisse. Tu m'as dit que c'est comme ça qu'ils font connaissance avec les visiteurs, non ?

- Ouais, mais ça y est, là, ils ont déjà fait connaissance avec toi, tout à l'heure…

 

Indifférents aux ordres de leur maître, les deux chiens continuent de me manifester leur intérêt: le premier a entouré ma jambe de ses pattes avant et essaie de s'y accoupler, et l'autre pose les pattes avant sur le fauteuil et me lèche la figure. Jean-Claude:

- Ho, les chiens !!! Ça va !!!

- Laisse, je te dis, ça ne me dérange pas … au contraire …

 

Ce "au contraire" est sorti tout seul et sans arrière pensée salace. Je voulais seulement dire que ça me fait plaisir que ses chiens me fassent la fête. Mais aussitôt, je réalise que Jean-Claude peut l'interpréter autrement.  Et en effet, il réagit:

- Hein ? Comment ça … "au contraire" …

- Ben … ils sont contents de me voir … et ça me fait plaisir qu'ils le manifestent …

- Ouais, mais maintenant, tu sais, ils ne font pas seulement connaissance … ils te prennent pour une chienne …

- Je sais … et alors …

- Ben … ils ne veulent pas seulement te dire bonjour … ils veulent te … te …

- Oui, j'ai compris … ils ont envie de me couvrir … c'est comme ça qu'on dit, pour les chiens, non ?


Il écarquille les yeux, et il répète lentement:

- Oui, c'est comme ça qu'on dit … pour les chiens …

 

Je sens que cette simple réflexion a déclenché quelque chose dans sa tête … quelque chose de perturbant. La conversation est à deux doigts de basculer de simples considérations pratiques à une discussion beaucoup plus … sexe. Je prends une grande inspiration, et je me lance:

- Ouais ben, justement, je ne me suis encore jamais fait couvrir par un chien …

 

J'ai dit ça calmement, en articulant bien, en détachant bien les mots, pour qu'il comprenne du premier coup et en insistant sur le "justement". Mais, les yeux ronds, la mâchoire pendante, il me dévisage …ma phrase fait lentement son chemin dans son esprit. Puis il hausse les épaules, et secoue la tête de droite à gauche, comme si je venais de sortir une énormité:

- Je m'en doute, hein …

- Tu te doutes de quoi ?

- Ben … que tu t'es pas … encore … fait couvrir par un chien …

 

Cette fois, je sens que ça le trouble vraiment. Il a buté sur le "pas encore". "Pas encore", ça veut dire que ça aurait pu arriver … que ça POURRAIT arriver … que ça va SANS DOUTE arriver ! Je sens qu'avoir formulé lui-même cette éventualité a fait naître l'image dans son esprit. Je m'engouffre dans la brèche et j'en remets une couche: 

- Oui, ça, c'est un truc que je n'ai pas ENCORE fait, me faire prendre par un chien …

- Ben oui, j'ai compris. C'est évident, t'as … encore … jamais couché avec un chien …


Il fonce les sourcils, semble se remémorer quelque chose. Il cligne des yeux, hésite, puis:

- Ouaiiiiis ! Remarque, l'autre jour, dans la cour, quand je t'ai surpris avec Iago, je me suis demandé …

- Ah bon ? Quoi donc …

- Ben ça, justement … j'ai eu l'impression que … je sais pas … qu'il venait de se passer quelque chose avec lui …

- Avec ton chien ?

- Ouais, avec mon chien … je sais pas trop … c'était … je sais pas … les autres mecs, autour, ils vous regardaient … comme si … T'avais fait quoi, exactement, avec Iago ? Je suis presque sûr qu'il venait de se passer quelque chose …


Wouffff ! Vu la tournure que prend la conversation, c'est peut-être le moment de le mettre au parfum de mon fantasme zoophile. Allez, je me lance … en riant:

- Ben c'est vrai, t'as raison. Il m'avait léché … 

- Hein ? Il t'avait léché ?

- Oui, le ventre … et la bite … et un peu le cul …

 

Ça le secoue. Apparemment, il avait bien senti qu'il s'était passé quelque chose entre son chien et moi, mais il ne savait pas exactement quoi. Ou son esprit le refusait. Il me dévisage en écarquillant les yeux:

- Tu … tu t'es laissé lécher la bite et le cul par mon chien ?

- Oui. Et c'était bien, tu sais. Et lui aussi, ça lui a plu. Et déjà là, il m'aurait bien vraiment …

- Il t'aurait bien vraiment quoi …

- Ben, il m'aurait bien vraiment grimpé. 

- Comment tu le sais ? Il a essayé ?

- Oui, il a essayé … vraiment.

 

Il regarde son chien, comme pour lui demander confirmation. Il me fusille du regard:

- Il a essayé de … de te grimper ?

- Oui. Je sais pas … j'étais cul nu, j'étais plein de sperme … il l'a senti … ça lui a .. je sais pas, ça lui a donné des envies …

- Et tu l'as empêché …

- Ben … t'es arrivé …

- Pourquoi … je … si … si j'étais pas arrivé, tu … tu l'aurais laissé faire ?

- Ben … je sais pas … peut-être … oui.

- HEIN ! ? ! ?

- Oui, en fait ... je l'aurais laissé faire.

 

Bouche bée, les yeux ronds, il me dévisage, se demandant si c'est du lard ou du cochon:

- Non, mais … t'es … tu déconnes, tu me vannes, là …

- Non, je te vanne pas … tu sais, il y a longtemps que je fantasme de faire ça … me faire prendre par un chien … et …

 

Il me coupe la parole:

- Tu déconnes … tu fantasmes de te faire prendre par un  chien … tu veux dire … de … te faire grimper par un chien ?

- Oui, oui, c'est ça, me faire prendre, me faire couvrir, me faire saillir par un chien … Je me dis que ça doit être vachement bien … surtout avec des bestiaux comme les tiens … ils sont drôlement bien montés …

- Non, mais … arrête, là … tu déconnes …

- Non, je t'assure ! J'en ai envie depuis longtemps. Jusque là, l'occasion ne s'était jamais présentée, sinon, je l'aurais fait. Et ce jour-là, c'était l'occasion … l'ambiance de cul à tout va depuis le matin … je m'étais fait passer dessus toute la journée par des … par des mâles en rut … par une trentaine de mâles en rut … alors ton chien, c'était seulement un mâle en rut de plus …

- Un MÂLE EN RUT DE PLUS ! ! ! Mais … c'est pas … c'est pas un homme, c'est pas un être humain ! C'est un ANIMAL ! C'est pas … NORMAL d'avoir envie de se faire … prendre par un ANIMAL !

- NORMAL ? NORMAL ? C'est NORMAL d'avoir envie de se faire prendre par une trentaine de … types … par une trentaine d'êtres humains ? 

- …

- C'est pas NORMAL non plus … mais ça, apparemment, ça te gêne pas … 

- Ça me gêne pas … ça me gêne pas … Je dis pas que ça me gêne pas …

- Ça te gêne ? T'es gonflé ! Non seulement c'est toi qui a proposé d'accueillir cette tournante CHEZ TOI en sachant très bien ce qui allait se passer, mais en plus, à ta manière, tu y as participé à cette tournante … toi aussi, tu m'as tripoté, toi aussi tu t'es excité sur mon cul et tu a tiré un coup juste contre ma rondelle !


Mâchoires serrées, il baisse le nez, pas content. Depuis le début de cette discussion, je repousse comme je peux le chien qui a posé ses énormes pattes avant sur le fauteuil à côté de moi, et qui continue de me lécher la figure et de s'agiter comme s'il voulait me grimper. C'est sûrement Iago. Sidéré par ce que je suis en train de lui expliquer, son maître en a oublié de lui commander de me laisser tranquille. Alors, maintenant que je lui ai clairement exposé  mon fantasme et ce que j'ai été à deux doigts de faire l'autre jour avec son chien, je me sens comme libéré. Ce n'est plus la peine de me cacher, de tourner autour du pot. Au point où on en est, autant me lancer complètement. On verra bien comment il réagira. Pour le moment, il rumine silencieusement en me jetant des regards furibonds. Je passe la main sous le ventre du molosse, et je lui touche le sexe. Oh la vache, quel morceau ! Ça me sidère à chaque fois. Je ne le vois pas, sous son poitrail, mais à un contact humide sur mon poignet, je sens que son gland commence à sortir de son étui pénien. Il redouble de coups de langue. Je sens que ma caresse commence à le faire bander. J'entreprends de le décalotter et de faire coulisser sa peau sur son sexe. Jean-Claude en a les yeux ronds de stupeur:

- Mais … arrête de le tripoter ! Tu vas quand même pas le … le branler !


Si, mon pote, je vais le branler ! Et d'ailleurs, je commence à le masturber lentement, le dogue. J'avais déjà rêvé de faire ça au chien d'une de mes patronnes, mais je n'avais pas osé … et c'est très excitant. Ce sexe velu dans ma main … c'est ÇA, c'est ce gros truc qu'il pourrait introduire dans mon cul ! Un fourmillement, comme une légère décharge, prend naissance dans ma prostate et dans mes couilles …  Ce que je lui fais semble beaucoup plaire à la bête: elle se dresse et pose ses pattes avant sur le dossier du fauteuil, à côté de ma tête, et elle cesse de s'agiter, visiblement satisfaite, se contentant de me regarder en penchant un peu sa tête massive sur le côté. Jean-Claude n'en revient pas de voir que OUI, je branle son chien ! Comme hypnotisé par le spectacle, il en oublie de protester. C'est toujours ça, il ne m'engueule pas, il ne me fout pas à la porte. Je crois qu'avec ce que je viens de lui dire et ce qu'il me voit faire, c'est tout un univers qui se révèle soudainement à lui. Il regarde pendant un moment, silencieux, puis:

- Ouais, mais ça, c'est pas pareil … tu le … tu le branles … de là à te faire …

 

Ah ! Changement radical d'attitude ! Déjà, il semble admettre que je continue de tripoter son  molosse. On progresse. De temps en temps, le dogue me donne un coup de langue sur la joue. L'autre, sur ma jambe, continue de s'exciter, comme s'il avait compris ce qui se passe entre son frère et moi. Je découvre la sensation de masturber un chien, et ça m'ouvre vraiment des perspectives ... je sens que son vit grossit peu à peu, et c'est vraiment un gros morceau ! Irrésistiblement, l'envie d'un coït avec cette grosse bête se précise, s'intensifie. Une chaleur m'envahit tout le bas ventre et je commence à bander. Il faut que j'arrive à convaincre Jean-Claude pendant que le sujet est chaud. Je n'aurai peut-être pas l'occasion ramener ça sur le tapis. Alors:

- … de là à me faire couvrir par ton chien ? Mais si ! Et puis, comme toi, tu n'es toujours pas décidé à me baiser, au moins, laisse ton chien me le faire ... 


Estomaqué, la mâchoire pendante, il me fixe silencieusement, visiblement en se demandant si je plaisante ou non, puis:

- Bon … arrête tes conneries ! Là, tu te fous de ma gueule ! Tu dis ça pour me faire chier ... parce que ... parce que moi, je veux pas te baiser, t'essaie de me faire croire que ... Mais c'est des conneries, tu … tu peux pas avoir envie de … te faire COUVRIR par … par un chien comme ça !


En même temps qu'il formule ça, je sens qu'il essaie d'imaginer la scène et je perçois un trouble dans son expression. Je m'engouffre dedans:

- Puisque je te le dis … j'en ai envie depuis longtemps … Et puis, autant te le dire: l'autre jour, en fait, il avait commencé, ton chien … et si t'étais pas arrivé … 

- Quoi « il avait commencé » … tu m'as dit qu'il t'avait seulement léché … tu veux dire …

- Ben oui … il avait aussi commencé à me … à me saillir …

- Il a essayé de te grimper … comme … comme il fait aujourd'hui …

- Oui, mais pas seulement, il a aussi commencé à me rentrer sa bite dans le cul …

- Quoi ?

- Oui … je m'étais retourné pour qu'il me lèche le cul … hein, tu vois, j'étais appuyé sur la table et je lui tournais le dos … alors il s'est dressé contre moi … et il a … réussi à me … mettre un peu sa bite dans le cul … comme toi, finalement ... seulement un peu.


Les sourcils froncés, il secoue la tête:

- Tu déconnes ..

- Je te jure que non, Jean-Claude. Tu demanderas aux autres. Ils regardaient.

- Et tu … tu t'es laissé faire …

- Oui.

- Et si j'étais pas arrivé, tu … tu te serais laissé … tu te serais laissé …

- … baiser par ton chien ? Oui !


Il réfléchit intensément. 

- T'es … t'es bargeot ! Et les autres, alors … c'est ça qu'ils étaient en train de regarder, les autres ?

- Oui.

- Ils m'ont rien dit … Pourquoi ils m'ont rien dit ?

- Devine … ils avaient envie d'assister à ça, mais, vis-à-vis de toi, ils se trouvés … cons … ou gênés … Tu n'auras qu'à appeler Philippe … tu verras …

 

Il secoue la tête, dubitatif:

- De toute façon, c'est pas possible, ça aurait pas marché … un chien  peut pas … un homme peut pas se faire … mettre par un chien. Ça peut pas marcher !

- Ah bon ? Tu crois qu'un homme et un chien ne peuvent pas s'accoupler ?

- Ben non, c'est pas possible … Comment veux-tu  que …

 

On dirait que les doutes de Jean-Claude se sont portés sur autre chose. Il y a un instant, il doutait que je puisse avoir envie de me faire saillir par son chien, et maintenant, il semble douter que ce soit réalisable. J'ai l'impression que le plus gros du chemin est fait. Reste à enfoncer le clou:

- Ben si, mon vieux, c'est possible. Va voir sur Internet, il y a plein de vidéos de femmes avec des chiens… 

- Ouais, des femmes ! Et encore, ça m'étonnerait que ça soit possible. Mais avec un homme, j'y crois pas ... déjà, le chien peut pas avoir envie de … d'un homme … envie d'enculer un homme … Non non …

- On n'a qu'à essayer … tu verras …

- QUOI ? ESSAYER ? 

- Ben oui … on essaie … on verra si ton chien en a envie et s'il arrive à me couvrir …

- Là, maintenant ? Tu … tu voudrais ESSAYER ? LA, MAINTENANT ?

- Oui … puisque tu es sûr que ce n'est pas possible, tu ne risques rien … tu n'as rien à perdre …

 

Silence. Il vide son verre d'un trait, le repose sur la table basse et m'observe intensément. Et, à je ne sais quoi dans sa posture, un peu penché en avant comme pour se lever, dans son regard soudain décidé, je sens qu'il est en train de basculer. Il a peut-être seulement envie de me prouver que ce n'est pas possible, mais ça ne fait rien, il va dire oui. Je suis sûr qu'il va accepter, ne serait ce que pour me prouver que j'ai tort ! J'ai le cœur qui bat … putain, je le sens … je vais me faire monter par son chien ! Je suis venu pour le maître, et c'est son chien qui va en profiter … c'est son chien qui va me … me BAISER ! J'ai comme un début de vertige. Jean-Claude me dévisage :

- Mais … comment tu … Ouais, de toute façon, ça peut pas marcher …

- Ben, justement … si t'es sûr que ça peut pas marcher, ça ne coûte rien d'essayer …

 

Il me regarde, sourcils froncés, et brusquement, il se frappe les cuisses du plat de ses mains, et il se lève:

- Oh, putain, tu me fais faire de ces trucs ! Putain ! 

 

Ça y est ! Il est d'accord ! Oh putain ! Oh putain ! Je vais me faire sauter par son chien ! J'en tremble:

- Je ne te fais rien faire, Jean-Claude … toi, tu ne fais rien. C'est moi qui fais … avec ton chien. Toi, tu donnes seulement ton accord … 

- …

- Alors, tu me le donnes ton accord ?

 

Je suis sûr qu'il est d'accord, mais je veux qu'il le dise. L'œil sombre, il me regarde en coin. Il réfléchit.

- Bon, admettons … de toute façon, ça marchera pas … alors, tu veux … tu veux le faire … ICI ?


Il balaie la pièce d'un geste de la main.

- Ben oui, ICI … tu vois un meilleur endroit ?

- Non, non … ici … bon, mais alors, tu veux que je m'en aille ?

 

Oh, putain, il ne l'a pas dit, mais il est d'accord ! J'ai manœuvré comme il fallait. Il y est venu presque sans s'en rendre compte ! Et là, il laisse entendre qu'il accepte parce qu'il pense que cet accouplement n'est pas possible et ne se fera pas, mais je sens qu'en réalité, il a bien envie de voir ça … De toute façon, je m'en fous, ce qui compte, c'est qu'il ait accepté ! Il fait semblant de tâter le terrain au cas où ça me gênerait de me faire saillir par son chien devant lui, mais au fond, il meurt d'envie d'assister à ça …

- Hé, non ! Tu t'en vas pas … Puisque tu doutes, il faut bien que tu voies ça de tes yeux … Et moi, ça me dérange pas que tu sois là … au contraire …

- Alors … mais je vais quand même faire sortir un des deux chiens, sinon, ils vont se battre …

- Tu crois ? C'est toi qui les connais … tu fais au mieux. Bon, mais moi, avant, il faut que je passe à la salle de bain. 

- Ah bon ? 

- Ben oui … il faut quand même que je me prépare, comme si c'était pour un mec, si tu vois ce que je veux dire ... pour me laver le cul … Je peux ?

- Ah oui … compris … euh … oui, tu peux aller dans la salle de bain, mais … si il a pas envie …

- Si il a pas envie, on le fait pas … on ne peut pas le forcer … on verra … mais ça m'étonnerait qu'il ait pas envie ... regarde-le.

 

Pendant toute la durée de cet échange, j'ai continué de tripoter la bite de son chien. Maintenant, c'est sûr, elle gonfle et sort de plus en plus de son étui pénien. Il va me mettre ÇA dans le cul, le molosse ! Et … et c'est par ce truc-là qu'il va me … qu'il va m'inséminer … qu'il va me déverser du … sperme dans le ventre ! Parce que j'en suis sûr, on va le faire, lui et moi ... il va me couvrir, le molosse, il va me rentrer son énorme engin dans le cul et il va y rester jusqu'à ce qu'il m'ait vraiment fécondé ! Ouais, ça y est, mon gros, cette fois, tu vas vraiment me niquer ! Tu vas tirer ton coup ! Je ne sais pas si il me prend vraiment pour une chienne ou si il est pédé, mais je suis sûr qu'il a envie de sexe avec moi … et moi, contrairement à son maître, je SAIS qu'on va vraiment réussir à s'accoupler, tous les deux … J'ai le cœur qui bat et la tête qui tourne un peu. Je repousse avec difficulté son frère qui s'escrime sur ma jambe:

- Pousse-toi, mon pépère …


Jean-Claude saisit son collier et l'arrache à son étreinte:

- Into ! Laisse-les … viens par là !


Il a dit « Laisse-les » ! Il a parlé de nous à son autre molosse comme ... comme il aurait parlé d'un couple … un vrai couple, un homme et une femme qui s'apprêteraient à … baiser … comme s'il ne voulait pas que l'autre molosse assiste à nos ébats ! Jean-Claude nous voit donc comme un couple, son chien et moi ! Il ne croit pas que je puisse vraiment me faire saillir par son chien, du moins c'est ce qu'il dit, mais il organise quand même les choses pour que, son Iago et moi, nous puissions ... pour que nous puissions nous accoupler tranquillement ! Je n'en reviens pas ! Ce mec a complètement basculé en un rien de temps ! Il y a quelques minutes, il était révulsé à l'idée que je puisse avaoir envie de ça, et maintenant, on dirait qu'il a hâte que ça arrive !

 

 

Débarrassé de son frère, je me penche pour regarder sous le ventre de Iago, toujours les pattes avant appuyées sur le dossier de mon fauteuil …  oui, c'est donc bien Iago, puisque Jean-Claude a appelé l'autre Into. Et c'est bien lui qui avait commencé à me saillir l'autre jour. Son vit, violacé, luisant, est à moitié sorti de son étui et une goutte translucide perle déjà à l'entrée de son méat … Il va me saillir avec ÇA ! Je vais avoir ÇA, gonflé, raide et brûlant dans mon cul, tout à l'heure ! Putain ! Non seulement sa taille est impressionnante, mais c'est un sexe de chien, un sexe d'animal ! Oh, putain, je vais copuler avec un ANIMAL !

Et lui, comment … comment il ressent ça, le chien ? Comment il me voit: comme une partenaire pour la reproduction, ou seulement comme un objet de plaisir ? Qu'est-ce qu'il ressent dans sa tête ? Est-ce que l'érotisme, la luxure, ça existe pour un chien ? Ou alors n'est-il motivé que par un instinct de reproduction ? Voit-il le coït d'un animal avec un être humain comme une déviance ? Moi, ma raison me le dit, que c'est une déviance réprimée par la loi et par la morale. Je sais parfaitement que copuler avec un animal est un tabou absolu, une dépravation, une perversion contre nature. Mais à cet instant, je m'en fous ! Mon envie, mon désir surpassent maintenant tout cela, la loi, la morale, les tabous. A mesure que ma conversationn avec Jean-Claude se faisait plus précise, à mesure que je le sentais céder et qu'il me laissait masturber son chien sans protester, j'ai senti que ma décision était prise et que ça allait arriver ... que ça allait M'ARRIVER ! Et maintenant, c'est mon corps tout entier qui désire, qui réclame cet accouplement, cette saillie !

 

Et obscurément, je ressens aussi autre chose … un sentiment étrange, trouble, ambigu, qui n'a rien à voir avec l'érotisme, la lubricité ou la lascivité ... c'est une sorte de pulsion qui a quelque chose à voir avec l'instinct de reproduction … une sorte de pulsion primaire, comme une nécessité impérieuse … au fond de moi, je sens que c'est en rapport avec la physionomié de ce chien. Oui, cet énorme chien, ce molosse, incontestablement, c'est un ... un étalon, un mâle reproducteur ... ça se voit, ça transpire, ça émane de lui ... il est beau, il est imposant, il est puissant, il est viril, il a un organe tellement ... c'est sûr, pour n'importe quelle chienne de sa race, il serait le mâle idéal, celui que son instinct de femelle lui ferait désirer comme géniteur. Et bien, c'est quelque chose de cet ordre, que je ressens. Ce chien, ce mâle impressionnant, cet étalon éveille comme un instinct en moi ... en une partie de moi ... une partie de moi ... animale ... animale et femelle ! Oui, c'est ça ! Au fond de moi, il y a une femelle ! Une femelle ni femme, ni chienne ... simplement une femelle dont l'instinct lui commande de s'accoupler avec ce mâle-ci !

 

Oh, ma raison me souffle bien que cette aspiration instinctive est vaine, qu'un tel coït ne peut qu'être stérile, mais une sorte de besoin me pousse, en plus de céder à ce désir érotique, à satisfaire cet élan animal. IL FAUT que je m'accouple avec ce molosse et qu'il me féconde ! Et je sens qu'une part de moi-même se sentira honorée qu'un tel mâle veuille bien me saillir et me féconder.  

 

Le chien, la tête un peu penchée vers moi, la langue pendante, me regarde comme s'il attendait quelque chose de ma part. T'as envie que je te suce, hein ? Moi aussi, j'ai envie de te sucer ! Je glisse mon bassin vers l'avant, jusqu'à ce que mes fesses dépassent du fauteuil et que je ne repose plus que sur les reins. J'ai la tête pratiquement sous son ventre et son membre est là, à quelques centimètres de moi .. de mes lèvres. Tout en continuant de masturber le chien, je jette un coup d'œil à Jean-Claude. Il a compris ce que je m'apprête à faire, et il me fixe en cramponnant Into qui tire sur son collier pour revenir vers moi. Je le vois dans ses yeux, il va me laisser sucer son chien ! Dans son regard, l'étonnement et la désapprobation ont fait place à la curiosité … à la curiosité lubrique, d'ailleurs ... il a envie de me voir sucer son chien. Ça me plaît et ça m'encourage à poursuivre, parce que là, tout de suite, il est évident que lui aussi, ça lui plaît, que je suce son chien. 


Je n'ai encore jamais fait ça, et je me demande quelles vont être mes sensations … Je ne crains qu'une chose: que sa bite soit sale et que ça m'écœure … mais dans l'état d'excitation où je me trouve, ce n'est plus qu'un détail … Alors, j'avance la tête et je prends le sexe du chien entre mes lèvres. La première sensation, c'est que c'est chaud … c'est même très chaud ... bien plus chaud que la bite d'un homme … et c'est lisse, tendu, turgescent … comme le gland d'un homme … et il n'est pas sale … son  ventre sent le chien, évidemment, mais son sexe est propre … tout juste un léger goût d'urine … je l'enfonce dans ma bouche … hhhmmmm … ça y est,  je suis en train de sucer un chien … et pas n'importe quel chien … un danois, un dogue allemand … énorme … Oh, putain, c'est boooooon ! De nouveau, j'ai comme un vertige. Et c'est plus fort que moi, je laisse échapper un ngémissement de plaisir. Jean-Claude m'a entendu. Je m'en fous ! Du coin de l'œil, je le vois, un peu penché pour mieux voir ce que je fais, il a une moue de sidération. 

 

Le chien aussi aime ça … il geint en trépignant d'une patte sur l'autre … je palpe ses couilles … grosse paire de couilles dans ma main gauche … hhhmmmm, sensation inouïe ! Là-dedans, dans ses couilles denses et dures, il y a … sa semence de chien, et dans un moment, cette semence, il va me l'injecter dans le ventre ! Je n'ai maintenant plus aucun doute, ce chien va me saillir … ça me paraît vraiment fou, incroyable, mais il va me féconder … je vais me faire remplir par la semence de ce chien … je bande de plus en plus fort et ma queue a du mal à tenir dans mon string … de la main droite, je déboutonne fiévreusement mon pantalon, je descends mon zip, je sors ma queue et je me caresse … Oh, putain, pourquoi je n'ai pas fait ça avant ? Et soudain, l'urgence me submerge … je suis prêt à jouir ! Alors vite ! Je veux me faire couvrir tout de suite …


Je sors ce sexe de ma bouche et je me lève. Le chien, surpris, me regarde, descend ses pattes du dossier du fauteuil et se précipite vers moi en ébauchant un mouvement comme pour me monter dessus. Sous sa poussée, je m'efforce de garder mon équilibre tout en lui caressant la tête et le poitrail:

- Doucement, mon pépère … t'as envie de moi, hein … t'as envie de me sauter, hein … moi aussi, j'ai envie que tu me sautes … j'ai envie que tu te donnes du plaisir en moi … et tu vas vraiment me sauter, cette fois … allez, laisse-moi deux minutes … je reviens vite …


Poursuivi, harcelé par le chien, j'essaie de me diriger vers l'escalier pour monter à la salle de bain. Jean-Claude:

- Iago ! Stop ! Aux pieds ! Ici, le chien !


Le molosse semble ne même pas l'entendre … son frère s'excite aussi. Alors Jean-Claude, tout en retenant le premier, saisit le collier de Iago, mon … amant … et essaie de l'immobiliser. Les deux frères ont beau déraper sur le carrelage, leur maître a bien du mal à les retenir:

- Dis, euhhh … lequel … lequel tu voudras …

- Ben, lui, Iago, évidemment … c'est lui qui a commencé à me saillir, l'autre jour … il faut le laisser aller jusqu'au bout, cette fois …

- Iago, alors … bon, OK, Iago.

- Oui, il a encore envie, visiblement … Au fait, tes chiens, ils ont déjà couvert une chienne ?


Ma question le déconcerte un peu, mais:

- Euh, non, jamais … d'ailleurs l'élevage où je les ai achetés veut que je lui prête … pour des saillies …

- Alors, ils sont puceaux, tous les deux ?

Il se marre:

- Ah oui, t'as raison, ils sont puceaux … et si ça marche, c'est toi qui va le … le dépuceler, mon Iago …


Je m'apprête à m'engager dans l'escalier, mais je me ravise. Je retourne près de mon fauteuil, et je récupère mon porte-jarretelles et mes bas. Je vais les mettre … quand je porte ça, et seulement ça, je me sens tellement femelle, tellement bonne à baiser ! Le chien n'y sera sans doute pas sensible, mais pour moi, ça sera la touche finale à ma préparation psychologique.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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