Récits pornographiques

Mercredi 11 février 2015 3 11 /02 /Fév /2015 09:24

Tous les jours, le site Erog me fournit les statistiques de fréquentation de mon blog, en particulier les articles ou les rubriques les plus visités.

 

Il y a environ un an, c'était les vidéos d'autosodomie qui arrivaient systématiquement en tête. 

 

Depuis quelques mois, c'est la rubrique "des queues qui me plaisent". Il faut dire que j'y ai publié des photos de bites vraiment superbes. Mais je n'ai aucun mérite: ce sont des photos trouvées et pompées sur le Net.

 

Mais en deuxième position, c'est maintenant la rubrique "récits pornographiques", les vidéos d'autosodomie n'arrivant qu'en troisième position.

 

Et ça, ça me fait vraiment très plaisir. Ça veut dire que ça vous plaît. J'espère que lire ces textes vous excitent autant que ça m'excite de les écrire.

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Et ce qui me ferait encore plus plaisir, ce serait que vous me laissiez des commentaires.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Dimanche 23 novembre 2014 7 23 /11 /Nov /2014 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


15 septembre. 

Voilà moins d'une semaine que je me suis fait baiser dans cet hôtel par ces huit mecs, ces huit blacks, et le souvenir obsédant de cette séance ne me quitte plus.  Huit mecs ! Huit mecs m'ont baisé … Huit mecs m'ont pris, l'un après l'autre … Et certains, plusieurs fois … Et j'ai aimé ça !

 

A tout moment de la journée, je revis en pensée cette tournante, je repense à ces huit ... membres qui se sont succédé dans mon cul, qui m'ont forcé, qui m'ont fourragé, qui ont joui dans moi, qui ont déversé leur semence au fond de mon ventre … Les sensations ont été si intenses que, par moments, je ressens encore très nettement leur présence dans mon rectum, comme si leur souvenir s'était inscrit autant dans ma chair que dans ma tête  ! J'ai aimé ça à la fois physiquement et mentalement. Physiquement parce que le plaisir de me faire baiser a duré longtemps, longtemps … je ne sais pas combien de temps, mais longtemps … bien plus longtemps, évidemment, que si j'avais été baisé par un seul type … Et j'ai aussi aimé ça mentalement pour le plaisir (la fierté ?) d'avoir fait bander toute une équipe de types en rut, et de les avoir assouvis, soulagés … Et ce que j'ai aimé le plus, c'est qu'ils se succèdent dans mon cul, qu'ils me prennent à la chaîne …

 

A de rares et fugaces moments, je me sens envahi par un mélange de culpabilité et de peur: en quelques semaines, je me suis mis à aimer la bite, à profiter des occasions qui se présentaient, à les provoquer, même, mais cette séance a marqué un tournant radical: je me sens maintenant véritablement accro à la queue, hystériquement addict au sexe masculin … et je me demande jusqu'où ça ira. Mais le souvenir de la volupté physique et du plaisir cérébral que j'ai éprouvés à faire bander cette troupe de mâles en rut, à me faire prendre, et reprendre, et reprendre encore, à les soulager, à les assouvir, à recevoir leurs semences … me fait oublier craintes et scrupules. On verra ce que sera l'avenir.

 

Il fait encore beau en cette mi-septembre. Pourquoi ne pas aller me balader le long du canal qui serpente dans la campagne pas loin de chez moi ? En faire une sortie sexe ? Je balance. Et si je me contentais d'une balade "normale", sans arrière pensée libidineuse, pour redonner, ne serait-ce que pendant une journée, un cours "normal" à ma vie ... Mais, tel un drogué addict, je m'avère incapable de trancher entre la raison qui me commande, au moins, de faire une pause, et ce qui me taraude en permanence la tête et le cul. J'opte pour une tenue neutre, une sorte d'entre-deux: en haut, un T-shirt sous un sweat et, en bas, un mini short en jean, un peu échancré. Je charge mon vélo dans ma voiture et en route ! 

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Je me gare sur un petit parking en bordure du canal, je sors mon vélo de mon coffre, et je l'enfourche. Je roule lentement sous le chaud soleil de cet après-midi, et le vent de ma course me caresse les bras et les cuisses. Ma selle me plaque la couture centrale de mon short tout au fond de la raie. Outre que ça procure une sensation très agréable à ma fleur, je sens que ça tend le tissu de mon short et que ça met à l'air une bonne partie de mes fesses … J'aime ça !

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Il n'y a pas grand monde sur cet ancien chemin de halage: les enfants ont repris l'école, leurs parents ont repris le travail, et, en deux ou trois kilomètres, je ne croise qu'un couple de retraités à pied … Ils ne remarquent pas mes fesses à moitié à l'air sur ma selle. Tout en pédalant, je repense à mes huit blacks … à mes huit mâles, et à ce qu'ils m'ont fait… Absorbé par ces pensées, j'entends soudain les graviers du chemin crisser derrière moi. Le temps de tourner la tête, et un cycliste me dépasse. Un vrai cycliste: vélo de course, cuissards, maillot bariolé, casque, lunettes de soleil … Lunettes de soleil ! Oui, je m'aperçois qu'il porte des lunettes de soleil, parce que, au moment où il me dépasse, il se tourne vers moi et me dévisage … ou plutôt, il me regarde de la tête aux pieds … non, pas jusqu'aux pieds: son regard s'arrête au niveau de mon bassin. Et là, je réalise qu'arrivant derrière moi, il n'a pu manquer de voir … mon cul … enfin, une bonne partie de mes fesses non couvertes par mon mini short. Et il regarde ce que ça donne devant ! Tout en poursuivant son chemin en roue libre, il lâche même son guidon d'une main pour se retourner. Tout ça se passe en une fraction de seconde, mais j'ai le temps de remarquer qu'il sourit. Puis il me tourne le dos, recommence à pédaler et lève sa main, poing fermé et pouce levé. Il a apprécié !

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Du coup, je reviens mentalement dans le présent, et mes huit blacks passent au second plan. Ça me plaît bien que ce cycliste ait remarqué et aimé le spectacle que je lui ai involontairement offert. Involontairement ? Je le regarde s'éloigner en essayant d'imaginer un scénario sexe avec lui. Curieusement, il ne m'inspire rien. Je pense que c'est sa tenue qui m'inhibe. Vraiment pas sexy ! J'en suis là de mes pensées, quand j'entends de nouveau le gravier crisser derrière moi. Quelqu'un d'autre me rattrape à vélo. Un seul vélo, il me semble, et, je ne sais pas pourquoi, j'ai la conviction que c'est encore un homme.  Cette fois, ne doutant pas que le nouveau venu remarquera aussi mes fesses à l'air, j'attends, mi amusé, mi excité, sa réaction au moment où il me dépassera.

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Mais il ne me dépasse pas. Je l'entends freiner et rouler derrière moi, réglant sa vitesse sur la mienne. Intrigué, je continue imperturbablement, comme si de rien n'était, pendant un moment. Puis je me retourne. En effet, c'est un mec, pas mal, trente cinq ou quarante ans, plutôt grand, lui aussi en VTT. Il reste à deux ou trois mètres derrière moi, un peu sur ma gauche. Je pense qu'ayant repéré mon cul, il a ralenti pour me mater à loisir. Me voyant me retourner, il accélère et se porte à ma hauteur, à ma gauche. Il sourit:

- Salut.

- Salut.

- Belle journée …

- Oui …

- Je vois que … vous vous êtes … mis à l'aise …

- Oui, il fait bon. (Justification minable ...)

 

Je sens qu'il hésite, qu'il a envie d'engager plus avant la conversation. 

- Ça vous ennuie si je roule avec vous ?

- Pas du tout.

- Je ferais bien comme vous …

- C'est-à-dire ?

- Me mettre à l'aise …

 

Oui, mais son short n'est pas échancré comme le mien. 

- Avec ce genre de short, ça va être difficile …

- Oui. Tout ce que je peux faire, c'est ça …

 

Et le voilà qui arrête de pédaler et reste en roue libre ! Surpris, je prends une légère avance sur lui, mais du coin de l'œil, je le vois glisser sa main dans la jambière droite de son short, se contorsionner un peu et … sortir sa queue ! De mon côté ! Donc de toute évidence pour que je la voie, sa queue ! Comme par réflexe, je ralentis pour me maintenir à son niveau. Il se remet à pédaler, revient à mon niveau et poursuit sa route comme si de rien n'était. Enfin, presque: il me regarde du coin de l'œil, il guette ma réaction. Evidemment, je ne peux pas m'empêcher de regarder sa queue ! Hé oui, encore une queue ! Une autre queue ! Une nouvelle queue ! Il paraît qu'un œil exercé détecte tout de suite un cocaïnomane ou un alcoolique. Moi, je dois avoir la gueule d'un accro à la bite, d'un pompeur de queues, d'un lécheur de couilles. Comme s'il y avait, tatoué sur mon front «ce mec est un fou de bite, montrez lui la vôtre » pour que le premier mâle venu me dévoile spontanément son engin ...

 

En fait, ce mec qui pédale à côté de moi me montre tout: il a aussi extrait ses couilles de son short. Je vois tout son paquet par intermittence: à chaque tour de pédalier, sa cuisse droite masque son organe. Mais pour ce que je vois, je ne peux m'empêcher de le détailler, et c'est pas mal du tout ! Il est rasé, ou épilé. Non, plutôt rasé: j'aperçois quelques repousses vigoureuses. Une belle verge, régulière, lisse, assez longue ballote entre ses jambes. Est-il totalement au repos, ou en début d'érection ? Le gland est calotté, mais je devine une belle forme sous le prépuce. Et surtout, une belle paire de couilles. Aussitôt, des images de fellation et de sperme jaillissant de cette queue s'imposent à mon esprit. Un déclic s'est fait dans ma tête, comme une évidence: puisqu'il me la montre si complaisamment, sa queue, ce n'est pas seulement pour que je la regarde; il veut que je lui fasse quelque chose. Alors, je vais l'avoir, sa queue ! Je ne sais pas encore comment, mais je vais la toucher, je vais la branler !

 

Le type m'observe du coin de l'œil, attendant sans doute une remarque, un compliment. Mais lui, veut-il autre chose en plus ? Veut-il la même chose que moi, ou n'est-ce qu'une provocation ? Les yeux rivés sur son sexe, je hoche la tête avec une moue admirative. Ça le fait sourire. Pour briser un silence qui pourrait devenir embarrassant, je demande:

- Vous vous sentez mieux comme ça ?

- Bien mieux, oui … Ça ne vous gêne pas, au moins …

- Pas du tout.

- Vous allez où ?

- Je n'ai pas de but précis.

- Mais vous allez rouler longtemps ?

- Jusqu'à ce que j'en aie assez … 

- Hhmm hhmmm !

 

A deux cent mètres devant nous, apparaît un couple à vélo qui roule dans notre direction. Nous allons le croiser dans un instant, et je me demande si mon voisin va remballer sa queue ou passer devant eux comme ça. Dans ce cas, ils ne peuvent pas ne pas voir dans quel état il pédale. Il les a vus aussi, évidemment, et il me jette un coup d'œil qui semble dire « chiche ! ». Curieusement, bien que ce ne soit pas moi qui me prépare à m'exhiber sous le regard de ce couple, la perspective de ce que projette mon compagnon de route déclenche en moi des réactions familières: poussée d'adrénaline, accélération du rythme cardiaque, souffle suspendu, crispation du plexus, excitation du bas ventre …

 

L'homme et la femme roulent côte à côte. Naturellement, ils nous ont aussi vus arriver. Le chemin de halage n'est pas assez large pour que nous nous croisions de front tous les quatre. Mon compagnon de route accélère, me dépasse et se rabat devant moi pour laisser la place au couple. Je les observe, et je remarque immédiatement que l'homme a déjà repéré la tenue particulière de mon voisin. Il semble fasciné. La femme ne se rend compte qu'à une dizaine de mètres de nous. Nous nous croisons. Tout de suite, je réalise que, sous le choc, ils vont sans doute se retourner sur nous, et découvrir ma propre tenue, les fesses à moitié dénudées. J'entends leurs freins grincer. Je jette un coup d'œil derrière moi et, en effet, l'homme et la femme, se sont arrêtés et retournés. Ils ont vu mon cul. Nous devons former un drôle de couple, l'un la bite à l'air, l'autre le cul !

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Mon voisin a ralenti et s'est replacé au milieu du chemin. Il sourit franchement:

- Ces deux-là auront un souvenir de leur balade …

- Sans doute.

- A plus tard.

 

Et sans autre formalité, il accélère et s'éloigne. Je m'attendais à autre chose, des questions, une proposition, je ne sais quoi … Je suis un peu surpris, désappointé. Et pourquoi « à plus tard » ? Je poursuis ma route en prenant mon temps. Sa queue était pas mal, dommage, elle me plaisait. Assez le genre qui me donne envie de manipuler, de tripoter, de sucer... J'aurais dû manifester plus d'intérêt . Je roule encore quelques kilomètres, perdu dans mes pensées, quand je remarque, à une centaine de mètres, un banc, à moitié à l'ombre, sur le bord du chemin. Sur le banc, mon ex compagnon de route, plus vautré qu'assis, les deux bras étendus sur le dossier. Son vélo est couché dans l'herbe à côté de lui. En approchant, je me rends compte qu'il est là, cuisses écartées, la queue toujours à l'air. Quand je suis à une quinzaine de mètres de lui, il tapote le banc comme pour m'inviter à venir m'y asseoir à côté de lui. Je m'arrête devant lui et je ne peux m'empêcher de fixer son entrejambe avec gourmandise. Evidemment, il le remarque:

- Asseyez-vous un moment …

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Je ne me le fais pas dire deux fois. Cette fois, je ne vais pas le laisser repartir sans rien faire. D'évidence, ce nouveau sexe s'offre à moi. Je ne sais pas encore ce que je vais lui faire ou ce qu'il va me faire, mais il est beau, il me fait envie, je le veux, et il faut au moins que je le touche. Après, on verra. Je descends donc de mon vélo et, en le couchant dans l'herbe à côté du sien, je devine qu'au passage, il mate mon cul dans mon short trop petit. Je m'assois à côté de lui. Il a remis son bras sur le dossier du banc, derrière mon dos, et il s'amuse à ouvrir et refermer ses cuisses.

- Ça va ?

- Ça va, oui.

- Vous … vous voulez toucher ?

 

Oh que oui, je veux toucher, maintenant que tu m'as mis cette merveille sous les yeux ! Pour toute réponse, je saisis sa bite. Un peu surpris de la rapidité de ma réaction, il sursaute, mais ouvre largement ses cuisses et se cale bien contre le dossier du banc. Je passe mes doigts sur sa verge, toute douce, toute lisse et je la vois qui commence à grossir. Je passe ma main sur ses couilles. Elles sont vraiment très belles. Rasées, effectivement. Ce sont deux très grosses olives bien séparées dans leurs bourses respectives et, de nouveau, leur vision suscite en moi des images de sperme. Je me suis arrêté et j'ai répondu à son invitation sans décider de ce que je ferai, mais maintenant, c'est sûr, je vais le masturber, ou je vais le sucer, mais je vais lui faire répandre sa crème. J'ai une furieuse envie de le prendre directement dans la bouche et de le sucer… Ma caresse le fait bander. En érection, c'est un pieu de belle dimension. Et son gland, encore dissimulé dans son prépuce, doit être superbe. Je commence à le masturber du bout des doigts, doucement, sans le décalotter. Il passe sa main derrière le dossier du banc, la pose sur mes reins, et commence à me caresser les fesses. 

- Elle te plaît ?

- Oh oui ! Elle est belle …

- Tu vas me sucer ?

- Tu as envie de ça ?

- Devine …

- Peut-être, ça dépend …

- De quoi ?

- Je prends un risque, si je te suce ?

- Un risque ?

- Oui, hépatite, Sida …

- Euh … non … mais … t'as pas de capote ?

- Non. Et de toute façon, j'aime pas les capotes … Mais si il y a un risque, je te branle seulement.

- Ben, non, il n'y a pas de risque.

- Sûr ?

- Parole !

- Bon, alors je veux bien te sucer … je vais te sucer …

 

Mais avant, j'ai envie de m'amuser un peu avec ce beau jouet. Et puis, malgré cette furieuse envie, j'hésite un peu à le sucer ici. Il ne circule pas grand monde sur ce chemin, mais, bien que je fantasme de sucer un mec ou de me faire baiser en public, je ne suis pas encore mûr pour passer à l'acte. On ne sait jamais sur qui on peut tomber.  

- Voilà du monde.

 

Absorbé par ma manipulation, les yeux rivés cette superbe queue, je n'ai pas pris la précaution de regarder d'un côté et de l'autre s'il y avait quelqu'un. En effet, deux promeneurs s'approchent à pied. Je suspends mon va et vient et je l'interroge:

- On fait quoi ?

 Il hésite une fraction de seconde, sourit, et:

- On continue ? 

- Tu es sûr ?

- Ça me plaît. Ça te gêne ?

- On verra …

 

Je reprends. Il est de plus en plus raide et sa queue se décalotte peu à peu. La situation l'excite. De temps en temps, je me penche pour jeter un coup d'œil aux randonneurs qui approchent. L'adrénaline commence à me submerger.

- Tu veux me sucer maintenant ?

- Euh … non. Je veux bien continuer à te masturber, mais te sucer ici, sur ce banc, non…

 

Il se vautre encore davantage, les cuisses largement écartées. Les deux promeneurs sont de plus en plus près. Encore un couple, sans doute des retraités, avec sacs à dos et bâtons de marche. Je m'appuie au dossier du banc, la main manipulant toujours la queue de ce mec. De là où ils sont, ils ne peuvent pas encore voir distinctement ce que je fais. Je suis entre eux et … le mec, et je le masque en partie.


Ils sont à trente mètres … Vingt mètres ... Maintenant, ils doivent voir... Quinze mètres. Je les regarde. Ils ont vu ! Ils ont compris. L'homme, qui marchait près du canal, vient se placer entre la femme et nous, peut-être de crainte que nous lui sautions dessus. Ils passent devant nous en silence, baissant tous deux le nez, ne nous jetant que de furtifs coups d'œil. J'ai très chaud, le bas ventre contracté, électrisé, et j'ai l'impression que je suis tout rouge, mais je réalise que la situation m'excite beaucoup. Les images de Gabriel, me baisant sur ma pelouse sous les yeux de ma voisine me reviennent en mémoire. J'ai les mêmes sensations: baigné d'adrénaline et un peu tremblant, j'éprouve un plaisir intense à tripoter ce mec sous le regard de ces inconnus. Je les regarde s'éloigner. Ils se retournent brièvement, échangeant à voix basse des propos visiblement peu amènes à notre égard.

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Mon voisin se met à rire.

- Aaaaah ! Super ! Ça t'a plu ?

- Oh oui. C'est excitant …

 

Le couple s'éloigne maintenant sans se retourner. Saisi d'une envie subite, je quitte le banc, je viens m'accroupir entre les jambes du mec, et je prends sa queue dans la bouche.

- Mais … je croyais que tu voulais pas …

 

Je ne réponds pas, mais j'accentue ma fellation. Le souffle coupé, il prend ma tête entre ses mains et accompagne mon va et vient. En m'accroupissant, j'ai tendu un peu plus mon short et ma queue en érection est sortie par la jambière. J'adore cette situation: je suis en train de sucer la queue d'un inconnu dans la nature, au bord de ce canal, dans l'air doux de cette fin d'été, le cul à moitié à l'air, ma queue qui ballotte sous moi ... Sous ma langue, je sens son excitation monter. C'est sûr, celui-là aussi, je vais lui donner du plaisir, je vais le soulager, mais je ne veux pas aller jusqu'au bout ici. S'il arrive encore quelqu'un, à pied ou à vélo, je ne veux pas continuer de le sucer devant des spectateurs, et je ne veux pas non plus devoir m'arrêter au beau milieu. Alors, je sors son sexe de ma bouche et, tout en le masturbant doucement, je lui demande:

- On va ailleurs ?

- Oh non, continue ….

- Non, pas ici.

 

Il marque un temps d'arrêt, semble réfléchir, et:

- Bon, je connais un endroit …

 

La queue toujours raide, il se relève rapidement. Maintenant qu'il a compris que je vais vraiment lui tailler une pipe, il a une urgence. Il redresse son vélo et s'apprête à repartir. Je récupère mon propre vélo et j'entreprends de remettre ma queue dans mon  short. 

- Non, reste comme ça.

 

Après tout, pourquoi pas … je laisse ma queue sortie et je m'avance. Nous voilà côte à côte et, au moment où je m'apprête à enfourcher mon vélo, il me met une main au cul. Nous démarrons, tous les deux la bite à l'air. Lâchant son guidon d'une main, il me la remet au cul.

- Je pourrais te … ?

- Me … ?

- Ben oui, tu as un cul … bandant … J'aimerais bien te …

- Tu aimerais bien m'enculer …

- Oui. Voilà.

- Ah non! Aujourd'hui, c'est pas possible !

- Ah bon ? Pourquoi ?

- Avant, il faudrait que je me prépare … tu vois ce que je veux dire ? Ça n'était pas prévu, et là, ce serait vraiment … emmerdant …

- Ah OK …

- Comment tu t'appelles ?

- Philippe.

- Je vais te sucer, Philippe, mais pour me baiser, c'est non !

 

Nous avançons côte à côte et il nous jette régulièrement des coups d'œil, apparemment ravi que nous soyons tous deux la queue sortie. Nous roulons rapidement. Plus vite que tout à l'heure, en tout cas. Il a vraiment une urgence. Moi aussi. Je regarde sa queue, anticipant la pipe que je vais lui tailler, imaginant le flot de sa semence toute chaude sur ma langue. Ça me plaît d'avoir encore allumé un inconnu et de m'apprêter à lui donner du plaisir. Je me sens encore femelle, chienne en chaleurs: ce mec, ce mâle a repéré mon cul, il ne me l'a pas reniflé et léché, mais, pour me conquérir, il m'a montré sa queue, comme s'il savait que ça suffirait pour me posséder … Et il avait raison, me montrer sa queue a suffi: je l'ai déjà un peu branlé, je l'ai déjà un peu sucé, il a envie de me saillir et, dans un moment, je vais le reprendre dans la bouche, je vais encore le sucer, je vais le faire jouir et il va me remplir la bouche de sa semence … 

- C'est encore loin ?

- Pas très …


Tenant mon guidon d'une main, j'entreprends de me tripoter tout en roulant. Il sourit et accélère.  

Au loin, se dessine la silhouette d'un pont qui enjambe le canal. 

- C'est là.

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Au pied du pont, de l'autre côté du canal, un espace aménagé en aire de pique nique, avec une table en bois et des bancs rustiques, et quelques arbustes décoratifs. Nous montons la rampe qui mène sur le pont. Il sert de passage à un simple chemin de terre. Nous traversons le canal et nous redescendons de l'autre côté, sur l'aire de pique nique. Je m'attendais à ce que nous poursuivions plus loin, jusqu'à un endroit discret. Mais non, Philippe est descendu de vélo, il l'a appuyé contre une poubelle en bois et il me regarde, l'air satisfait. Je lui fait remarquer:

- Mais, ce n'est pas plus discret que sur le chemin …

- Mais si. Allez, viens. Il n'y a jamais personne, ici …

- Mais sur le chemin de halage, de l'autre côté, il passe du monde …

- Oui, mais ils ne verront rien, il y a des arbres …

 

Tu parles ! Tout juste un ou deux arbustes maigrichons !

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Il a saisi mon vélo et l'a appuyé contre le sien, s'est approché de moi, m'a fait pivoter, et le voilà contre moi, le ventre collé à mes fesses, sa queue dressée dans ma raie. Les mains posées sur ma taille, il se frotte.

- t'as un sacré cul de salope !

 

Cette aire de pique nique n'est pas plus discrète que le chemin que nous venons de quitter. Le premier promeneur qui passera sur le chemin de halage nous verra. Mais je sens, à travers mon short, cette queue qui va et vient entre mes fesses, et ça anéantit mes inhibitions. Et puis, la petite séance de tout à l'heure, sous les yeux de ce couple de randonneurs, finalement, c'était plutôt excitant. On verra bien ... Je passe mes mains derrière moi, je les pose sur ses reins et je l'attire plus étroitement contre moi.

- Il te plaît, mon cul ?

- Ouais. Je voudrais bien te le bouffer …

- Oui, mais c'est pas possible. Si j'avais pu prévoir …

- Tu t'es déjà fait … ? Je suppose que oui, pour exhiber comme ça tes miches, et pour être si peu … farouche … Alors, tu t'es déjà fait … ?

- Quoi, baiser, enculer ?

- Oui.

- Oui, je me suis déjà fait baiser, enculer, sodomiser …

- Ça ne m'étonne pas. Et tu dois aimer ça, pour dire tout de suite oui à quelqu'un que tu ne connais pas …

- Il faut quand même que le mec me plaise … Il faut surtout que sa queue me plaise … Mais c'est vrai, j'aime la queue et je suis assez … fille facile.

 

Ça le fait rire. Tout en parlant, il a descendu ses mains jusqu'à mon sexe et il me tripote. Je commence à m'impatienter:

- Bon, alors, tu veux que je te suce ?

- Attends …

 

Il continue de se frotter dans ma raie et je sens son excitation monter. Enfin, il me lâche, prend mon bras et m'entraîne vers la table de pique nique. Il descend son short sur ses pieds, s'assoit sur le banc, et s'adosse à la table. Il est maintenant face au canal … et face au chemin de halage qui le borde. Il y a bien ces arbustes entre nous et le canal, mais il ne nous masquent pas, et quiconque passe sur le chemin, peut nous voir. Mais il y a sa queue, là, sous mes yeux, à portée de mes mains, à portée de ma bouche ... Brusquement, l'excitation, l'envie font éclater mes craintes et mes inhibitions comme une bulle de savon. Basta ! Qu'on me voie, qu'on me regarde ! Tant pis ... ou tant mieux ! Je vais le sucer ... ici ... maintenant ! Il m'attire vers lui, détache le bouton de ma ceinture, descend mon zip et fait glisser mon short sur mes pieds. Je l'enlève complètement. Au point où j'en suis, un peu plus, un peu moins ... Du chemin de halage, on verra mon cul, ma bite ... Il pose ses mains sur mes épaules, me force à m'agenouiller et:

- allez, suce, maintenant !

 

J'obéis. J'ôte mon sweat, je le débarrasse aussi de son short qui enserre ses pieds et je lui écarte les cuisses. Il appuie ses avant-bras sur le plateau de la table, rejette la tête en arrière et attends:

- vas-y, suce !

 

LE mâle ! Dans la posture et dans le ton, c'est LE mâle. Oh, ça me plaît ! Il ne suffit pas d'avoir une bite et des couilles pour être un mâle. J'ai une bite et des couilles, mais, à cet instant, je ne me sens pas mâle … Au contraire, aux pieds de ce mâle, je me sens femelle. Ce mâle-ci a perçu ce qu'il y a d'envie de bite en moi, d'addiction, de soumission à la queue, il a deviné la femelle en moi, et il va me faire ce qu'un mâle fait à une femelle ... Et je vais lui faire ce qu'une femelle fait à un mâle … Tout en le caressant, je contemple son engin. Il n'est pas énorme, sans doute un peu au-dessus de la moyenne, mais il est vraiment très beau ! Son gland a exactement la forme qui me plaît, un peu retroussé, et il est idéalement proportionné à sa verge. Ses couilles aussi me plaisent beaucoup. Voilà une bite dont je tomberais facilement accro … Son gland est un peu humide, luisant et une goutte de liqueur perle à l'entrée de son méat. Un flot de salive m'envahit la bouche. Je le prends entre mes lèvres. Il est tiède, mouillé, doux. Je l'enfonce dans ma bouche et je commence à faire aller et venir mes lèvres sur sa verge.

 

Je me sens bien, agenouillé dans l'herbe en pleine nature, le cul et la queue à l'air, le soleil qui me caresse les fesses, une légère brise sur ma peau, agenouillé entre les cuisses d'un mâle inconnu, en train de le sucer ... et susceptible de me faire surprendre à tout moment dans cette position par des promeneurs ... Je commence à me masturber. Et ce mâle a l'air d'apprécier ce que je lui fais. Je l'entends … ronronner. Percevoir sa jouissance ajoute à mon excitation. J'aime tellement donner du plaisir à un homme !

- Tu aimes ça, hein ...

 

C'est plus une constatation qu'une question. Je sors sa queue un instant de ma bouche:

- Oui, j'aime ça …

- T'es une vraie salope …


Je ne réponds pas: j'ai repris sa queue. Soudain, je perçois des bruits que j'ai déjà entendus le long de ce canal: le crissement des graviers sur le chemin de halage, suivi du grincement de freins. Je suspens ma fellation. Ça y est, on nous a vus !

Adrénaline. Mi effrayé, mi excité, je n'ose plus bouger.

- Continue !

 

Il m'appuie sur la tête. Décidément, il aime ça, se faire branler et sucer devant un public. Finalement, moi aussi, ça me plaît de le sucer devant … devant qui ? Je sens une présence, derrière moi, qui me regarde … Et ce … voyeur me voit: mon cul, ma bite et mes couilles à l'air, agenouillé aux pieds d'un autre mec, en train de lui tailler une pipe. Mon excitation, le plaisir de sucer cette queue, le plaisir de le faire en public, surpassent mes inhibitions, ma peur … Très excité par la situation, et pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïté, je reprends mon mouvement de va et vient sur la queue de … mon mâle. Oui, toi, derrière moi, qui que tu sois, tu vois bien: je suis un mec, je me branle et je suis en train de sucer un autre mec … devant toi. De l'autre côté du canal, le voyeur est même peut-être en train de nous prendre en photos ou en vidéos. Miracle de la e-téléphonie !

 

C'est de plus en plus excitant. Me savoir observé dans cette position, sans savoir qui m'observe ... D'une certaine manière, le plaisir que j'éprouve est de même nature que celui que je ressentais à me faire baiser par mes huit blacks, sans savoir lequel d'entre eux était dans mon cul. Dans ma bouche, je sens la queue de Philippe se tendre davantage. Lui aussi, la situation l'excite vraiment ! Soudain, il me prend la tête, la soulève, m'arrachant à sa queue, et il me force à me retourner. Ce salaud veut montrer qui est en train de le sucer ! Comme si ça ne suffisait pas, il lance:

- Vous avez vu ? C'est un mec, qui me pompe !

 

De l'autre côté du canal, ce n'est pas un type en vélo, mais deux, qui se sont arrêtés et qui nous regardent, hilares, entre deux arbustes. Genre sportifs en VTT.

- Oui, on avait remarqué. On peut venir ?

 

Oh, la vache ! Je ne m'attendais pas à ça ! Ils veulent venir pour quoi ? Pour regarder ? Pour participer ? Après tout, pourquoi pas … Déjà, tant qu'à seulement regarder, j'aimerais mieux qu'ils s'approchent pour me voir de près donner du plaisir à ce mâle. J'aimerais beaucoup le sucer sous le regard de ces deux mecs, les exciter, leur donner envie ! Et après ? Après ... on verrait ...

 

Je demande à Philippe:

- Ils peuvent venir ?

- Quoi ! Tu veux aussi les sucer ?

- Non, déjà pour qu'ils regardent seulement …

- Ouais, " déjà " ... mais  peut-être plus, après ... 

- On verra … Déjà, seulement pour qu'ils me regardent.

 

Il hésite une fraction de seconde et:

- Oui, vous pouvez venir ! Il est d'accord … c'est une vraie salope !

 

Et aussitôt, m'appuyant de nouveau sur la tête:

- Allez, continue, suce !

 

Sans attendre, je reprends sa queue dans ma bouche, encore plus excité à l'idée que ces deux mecs vont venir me mater, qu'ils vont me regarder sucer Philippe, comme une femelle, comme une pute ... encore plus excité à l'idée que je vais les exciter, eux aussi, comme j'avais excité ma voisine en me faisant prendre par Gabriel ... encore plus excité à l'idée que je vais aussi les faire bander, et que, peut-être, après … Mais l'un des deux, à notre intention:

- Non, mais on plaisante !


Et plus bas, à l'intention de son pote, mais nettement perceptible:

- Tu veux y aller ?

L'autre répond dans un murmure inaudible, et le premier nous lance en riant:

- Non, non, merci ... Une autre fois ... Bonne bourre !

 

J'entends les graviers crisser et je comprends qu'ils s'éloignent. Je les entends commenter en riant. Quelque peu déçu, je poursuis la pipe que j'ai commencée. 

- Alors, finalement, ça te plaît de me sucer en public …

- Hhhmmmmm !

- Tu es vraiment une sacrée salope ….

- Hhhmmmmm !

- Lâche un peu ma queue, et réponds ! C'est ça: tu es une salope ?

- Oui, on peut dire ça.

- Tu avais déjà sucé en public ?

- En public, non …

- Mais … ?

- J'ai déjà sucé … des mecs … c'était pas en public … c'était …

- Oui … ?

- C'était plusieurs mecs qui m'ont … 

- Ils t'ont quoi ?

- Ils m'ont baisé … ensemble … et je les ai sucés … enfin … certains … pas tous …

 

Tout en répondant à ses questions, je le masturbe distraitement.

- Je comprends rien …

- Ben … c'est des types qui m'ont baisé tous ensemble … enfin … les uns après les autres … et j'en ai sucé certains … pendant que les autres regardaient … mais c'était pas … c'était pas vraiment un public … c'était une bande de potes …

- Une bande de potes ? Des potes à toi ?

- Non, non, je ne les connaissais pas …  des potes entre eux … un gang bang, quoi … tu sais ce que c'est un gang bang, non?

- Non, mais tu déconnes, là ! Tu t'es fait baiser par ... par plusieurs mecs ? Tu me vannes, là !

- Mais non ... Je te jure que c'est vrai ...

-  Bon, admettons .. Et c'est quoi la différence entre sucer en public et sucer dans un gang bang ?

- sucer et se faire baiser devant des mecs qu'on va aussi sucer et qui vont aussi te baiser, c'est différent de sucer ou de se faire baiser devant des spectateurs qui ne participent pas, qui se contentent de regarder … enfin, moi, je vois ça comme ça …

- Bon, si tu veux … Mais ils étaient combien, tes mecs ?

- Ils étaient huit …..

- Huit ?

 

Sidéré, le Philippe. J'ai même l'impression qu'il ne me croit toujours pas.

- Oui, huit !

- Tu t'es fait baiser par huit mecs ? Ils ont aussi baisé ensemble, entre eux … C'était une partouze …

- Non, non, ils n'ont pas baisé ensemble … ils n'ont baisé que moi … c'était pas une partouze, c'était une tournante, si tu veux …

- Une tournante ? Alors, ils t'ont forcé ….

- Au début, oui … mais après, non … j'ai aimé ça …

- Si c'est vrai, t'es vraiment une salope !

- Oui … c'est vrai ... au début, ils n'étaient que six … et au bout d'un moment, je leur ai demandé d'aller en chercher d'autres … mais il y en a eu seulement deux autres, en plus …

- Tu me racontes des conneries !

- Non, je te jure que c'est vrai … enfin, tu me crois si tu veux, je m'en fous. 

- Tu veux dire que des mecs … six mecs, hein, c'est ça ? Six mecs ont commencé par te forcer … ils t'ont violé, quoi …

- Oui, ils ont commencé par me violer … tous les six …

- … et qu'après, c'est toi qui en redemandais ?

- Oui, c'est exactement ça …

- Mais comment on peut aimer ça, de se faire baiser par huit mecs ? Et t'as pas eu peur?

- Si, j'ai eu peur … au début, quand ils m'ont chopé … ils m'ont tenu pour me passer dessus l'un après l'autre … mais, au bout d'un moment, ça a commencé à me plaire, de les sentir se succéder comme ça dans mon cul … et d'y prendre du plaisir … je suis devenue comme folle …

- Comme folle ?

- Oui, je me sentais comme une femelle … je voulais toujours plus de bite… je me sentais hystérique … tu peux pas comprendre … tous ces mecs qui bandaient pour moi … qui avaient envie de me baiser … ça m'a rendu folle … de donner du plaisir à des mecs …

- Mais, comment ils te sont tombés dessus, ces mecs ?

- Par hasard, dans un hôtel … il y en a un qui m'a surpris dans ma chambre, travesti en salope … et il est allé chercher les autres …

- Travesti en salope ? Tu te travestis ?

- Oui … 

- J'aimerais bien voir ça.

-  …

- Et tu as envie de recommencer ?

 

Me remémorer cette séance dans cette position, à genoux entre les cuisses de cet inconnu, tout en le masturbant distraitement, c'est ... je réalise que je parle de ce viol collectif pour la première fois ... que j'avoue le plaisir que ça m'a procuré pour la première fois ... et j'en éprouve comme une libération ...


- Alors ? Tu as envie de recommencer ?

- Me faire baiser par plusieurs mecs ? Oui.

- Sans hésiter … Encore avec huit mecs ?

- Avec huit, si il n'y en a que huit … mais avec plus si il y en a plus …

- Combien ?

- Je ne sais pas … plein de mecs … qui feraient la queue pour me prendre, les uns après les autres … je veux pas savoir combien … je veux qu'ils soient nombreux, c'est tout … tu n'imagines pas comme c'est jouissif de se faire baiser par plusieurs mecs … et plus il y en a, plus c'est jouissif … et plus j'en veux … je veux même pas savoir à quoi ils ressembleraient … je veux seulement sentir leurs queues dans mon cul … plein de queues … des queues qui jouissent … qui prennent du plaisir … qui déchargent au fond de moi … et cèdent la place au suivant … 

- Tes huit mecs ont déchargé au fond de toi ? Tu veux dire … qu'ils te … 

- Oui, ils ont joui dans mon cul … ils ont éjaculé dans mon ventre …

- Tes huit mecs, ils t'ont juté dans le cul ?

- Oui, tous … et certains dans la bouche … mais, dans la bouche, je ne sais plus combien…

- Tu veux dire qu'ils t'ont baisé sans capote ?

- Oui.

- Mais, t'as pas eu peur ?

- Ils étaient sains. Sinon, ils se seraient contaminés entre eux … et puis, il arrive un moment, tu es tellement excité que tu lâches prise, tu t'en fous qu'ils soient malades … tu ne penses qu'à une chose: encore de la queue ... encore du sperme ... encore de la queue ... encore du sperme … tu peux pas imaginer comme c'est bon quand des mecs te baisent, quand ils éjaculent dans toi, que tu sais que leur sperme te remplit le ventre … 

- Mais, entre deux, tu te … tu te lavais ?

- Oh, non. Ça allait trop vite … ils se sont succédé sans arrêt … pas le temps … et puis je ne voulais pas me laver … j'avais envie de garder tous leurs spermes dans mon cul … certains m'ont même tiré deux fois … 

 

Il doute encore ... et je réalise qu'il y a de quoi ... mais il est sidéré, et je me demande si c'est par le côté extraordinaire de ce que je lui raconte ou par mon enthousiasme. Quoi qu'il en soit, dans ma main, sa queue est dure, raide, je sens ses veines saillir. Mon récit l'a excité.

- Ça me paraît gros, ton histoire ...

- Tu doutes, hein ?

- Bah, écoute, c'est normal, non ? Baisé ... violé par huit mecs ... et ça t'aurait plu ? Mouais ...

- Hé! Qu'est-ce que je fais, là ? Tu as l'impression que je te branle et que je te suce par obligation?

-  C'est vrai ... Mais ... tu es sûr que je peux pas te ...

- ... me baiser ?

- Ouais ...

- Oui, sûr, le scato me dégoûte ...

- Dommage ...

- Oui, dommage: ça me plairait bien que tu me prennes sur cette table ...

- Ah putain ! Alors, on reviendra ... tu feras ce qu'il faut, et on reviendra ... je te baiserai sur cette table ...

- Quand tu veux.

- En voyant ton cul sur ton vélo tout à l'heure, je pensais que tu étais un mec chaud, mais j'étais loin d'imaginer tomber sur … 

- Une salope comme moi ? Tu peux le dire … 

- Bon, suce !

 

Je m'empresse de le reprendre dans la bouche. Il est brûlant, fébrile ... Alors que je vais et viens vigoureusement sur son membre:

- Hhmmmm … Oh, la vache ... tu veux que je me retire, pour jouir ?

 

Il doit être au bord de l'éjaculation. Je secoue négativement la tête. Je m'attends à recevoir d'un instant à l'autre un jet de crème toute chaude dans la gorge ... Soudain, un bruit de moteur. On dirait un tracteur. Le niveau du son augmente. Il approche. Il est tout près. J'esquisse un mouvement pour me redresser et regarder ce qui se passe, mais Philippe, me maintient la tête sur son sexe:

- Continue, suce !

 

Bon, je m'applique. Philippe, au bord de la jouissance, le souffle à demi coupé, m'explique:

- C'est un type en tracteur ... il passe sur le pont … il nous a vus … il s'arrête. Maintenant ... il mate … toujours sur le pont.

 

Je me tords comme je peux et je jette un coup d'œil sur le côté. En effet, un gros tracteur est là, au milieu du pont, moteur tournant, et le type a entrouvert sa portière pour mieux voir.


011.jpg

De nouveau, excitation de sucer Philippe, à moitié à poil, sous le regard d'un témoin. Philippe: 

- tu veux ... que je lui dise ... de venir ?

- hhhmmmm ! 

 

Je hoche la tête. 

- Hé ! Tu veux voir ? Viens !

 

Il a crié pour surmonter le bruit du moteur, et en même temps, il a agité le bras pour lui faire signe d'approcher. Cette arrivée surprise semble avoir un peu fait retomber son excitation: il est moins raide, moins dur. Le moteur s'arrête ! Le silence revenu, Philippe répète:

-Tu veux regarder ? Viens, il me suce …

 

Bruit de portière. Un bruit de pas sur le pont ... dans l'herbe, tout près. Qu'est-ce qu'il veut ? Nous engueuler, nous virer, nous casser la gueule ? Philippe est costaud, et à deux, nous pourrons nous défendre.

- Qu'est-ce que vous foutez là ?

- Ben tu vois … je me fais sucer …

- Mais ... c'est un mec qui te suce !

- Ouais ... et il suce bien …

- Vous êtes malades de faire ça ici … y'a du monde qui passe …

 

A son ton, le nouveau venu semble surpris, mais pas agressif.

- On a vu ... des cyclistes, tout à l'heure, mais c'est tout … on avait une urgence … 

- …

- Regarde: il suce bien … Je suis sûr que ta femme te suce pas comme ça …

- Je suis pas marié.

- Ah ? Tu veux qu'il te suce ?

- Non, je suis pas pédé.

 

La queue de Philippe toujours dans la bouche, je tourne la tête pour voir à quoi ressemble le nouveau venu. Bof. Une espèce d'ours hirsute. Il porte une de ces combinaisons vertes, avec deux zips qui vont du col jusqu'aux pieds. Pas très propre, la combinaison. Laurent, qui est aussi cultivateur et qui m'a baisé dans le foin, est beaucoup mieux foutu que lui .. et propre.

- Tu ne sais pas ce que tu perds … tu devrais essayer …

- Ça me dit rien.

- Branle-toi, alors … Tu te branles, puisque tu n'es pas marié ?

- …

- Et ben voilà …

 

Comment ça « et ben voilà » ? Je tourne la tête. L'homme au tracteur est en train de descendre un de ses zips. Au fur et à mesure qu'il ouvre son vêtement, apparaissent un torse et un ventre velus. A poil dans son vêtement de travail ! Il ne porte même pas un caleçon ! Ah ça, ça me plait ! Il fait bon aujourd'hui, mais de là à être à poil dans sa combinaison ... Il va faire quoi ? Se branler en nous regardant, ou participer d'une manière ou d'une autre ? En tout cas, il ne lui aura pas fallu longtemps pour se décider ... Il doit être engorgé ... Et le voilà qui extrait de sa braguette un énorme braquemard ! Philippe siffle entre ses dents. J'en recrache sa queue. Oh l'engin ! Il est affreusement poilu, mais c'est un truc énorme, avec des couilles énormes ! Philippe me prend à témoin:

- t'as vu ça ? T'as déjà vu un truc pareil ?

 

Bouche ouverte, yeux écarquillés, j'admire l'objet. Oui, j'ai déjà vu pareil, avec Gabriel … sauf les couilles. Alors je secoue la tête négativement: des couilles comme ça, je n'en ai jamais vu, ni en réel, ni en virtuel. Enormes ! Il a des couilles énormes ! Immédiatement, j'imagine les flots de sperme qu'il doit cracher quand il jouit ... Ah, nom de dieu, j'aimerais bien qu'il me baise, celui-là ! Je ne peux pas m'empêcher:

- c'est dommage que tu ne sois pas pédé. J'aimerais beaucoup m'occuper de toi. J'ai déjà vu une bite aussi grosse, mais des couilles comme ça, jamais !

- Ah bon ? Je ne sais pas, je ne vois pas beaucoup de … de bites et de couilles …

 

Philippe renchérit:

- Ben, tu peux lui faire confiance, à ma suceuse, elle en a vu, des bites …

 

Je reviens à la charge:

- Tu n'es pas pédé, mais de nous regarder, apparemment ça t'excite … alors tu peux participer, si tu veux …

 

Il se marre. Philippe m'appuie encore sur la tête:

- allez, tais-toi et suce !

 

Je le reprends et je lui administre une fellation vigoureuse, tout en me masturbant et en imaginant un scénario torride avec ce paysan et son énorme engin. Si j'en crois ce qui se passe dans ma bouche, la vision de cette énorme queue excite aussi Philippe. 

- Ah, ben voilà … 

 

A mon intention:

- Ça y est, il bande et il se branle. Nom de dieu, quelle bite !

 

J'essaie de tourner la tête, mais il me tient fermement:

- ne regarde pas ! Suce !

 

Derrière moi, j'entends le paysan s'agiter. Il se secoue vigoureusement l'engin. il commence à haleter. Philippe aussi. Et d'un seul coup, un long jet chaud m'inonde la bouche et, en même temps, je reçois quelque chose de tiède dans le cou. L'autre s'est rapproché de moi, et ils éjaculent tous les deux. Tandis que l'un me remplit la bouche, l'autre m'asperge la nuque. Je sens son sperme tiède couler dans mon dos à travers mon T-shirt. C'est trop violent et je jouis à mon tour.

 

Je déglutis, j'avale la semence de Philippe au fur et à mesure qu'il la crache. Enfin, le flot se tarit. Je sors sa bite de ma bouche et je me retourne en me redressant. Le paysan s'est reculé, et il finit de presser sa queue. Elle est vraiment énorme. J'en ai plein le dos: sa crème a coulé entre mon dos et mon T-shirt et il me colle depuis les omoplates jusqu'aux reins. Quelle dose ! Pas étonnant, avec des couilles pareilles ! En m'asseyant à côté de Philippe, je lance à l'autre:

- je peux toucher ? Seulement toucher …

- Non.

 

Il remballe sa queue et remonte rapidement son zip. J'insiste:

-  Alors, une autre fois, peut-être …

- Non, j'te dis ! Si vous revenez vous sucer par ici, je ... voudrais bien …

- … tu voudras bien encore te branler en nous regardant …

- Voilà …

- … mais pas touche !

- c'est ça.

- Bon … pourquoi pas …

 

Pris d'une inspiration subite, j'enlève mon T-shirt. Me voilà complètement à poil. Tous les deux m'observent, muets. Je lève mon vêtement jusqu'à mes yeux. Au milieu du dos, une dégoullinure énorme de sperme, en partie absorbée par le tissu… Je dois en avoir autant dans le dos ! Je plante mes yeux dans ceux du paysan, je porte mon T-shirt à ma bouche et je le lèche.

- Ah ! Putain ! Mais t'es … t'es un …

Philippe:

- Ah oui, c'est une vraie salope !

 

Je remets mon T-shirt, mon short et mon sweat. Philippe, à mon intention:

- alors, tu reviendrais ici, pour me sucer ?

- pour te sucer ... ou pour que tu me baises ... sur cette table ... oui , je reviendrais… ici ou ailleurs …

 

Le paysan intervient:

- Vous pourriez même venir vous sucer chez moi, c'est plus tranquille …

 

Philippe:

- Ah oui, sympa …

 

En moi-même, je me dis « tu finiras par y venir, mon pote, avec ta grosse bite». Philippe, s'adressant à moi:

- Et euuuh … tu as dit que tu recommencerais, avec plusieurs mecs …

 

Il ne perd pas le nord. Mes confidences lui ont ouvert des perspectives.

- Oui, si l'occasion se présente …

 

Le paysan demande:

- C'est quoi, cette histoire de plusieurs mecs ?

- Il s'est fait baiser par plusieurs mecs … huit, hein, c'est ça … et il a envie de recommencer …

- C'est vrai ? Tu t'es fait baiser par plusieurs mecs ?

- Oui, une première fois par trois mecs … trois routiers …

- Ah bon ? demande Philippe.

- Oui, et une autre fois par huit mecs … une équipe de hand-ball …

 

Le paysan:

- Oh merde ! t'es drôlement gourmand, toi …

Philippe:

- Tu t'es aussi fait baiser par trois routiers ?

- Oui.

- En même temps ?

- Oui.

- Eux aussi, ils t'ont violé ?

- Au début, les deux premiers m'ont un peu forcé ...

- Un peu forcé ?

- Oui, mais j'ai cédé rapidement ... c'était la première fois, deux mecs en même temps.

- Mais, euh, comment ... où ils t'ont trouvé ?

- C'était des routiers, et je les avais allumés au bord de l'autoroute. Ils se sont arrêtés, et, de fil en aiguille ... Ce serait trop long à te raconter ...

- Et le troisième, alors ?

- Oh lui, il a vu notre ... attroupement au bord de l'autoroute, et il s'est arrêté ... Je te raconterais, si tu veux ...

- Ouais.


Philippe poursuit, s'adressant au paysan qui n'a rien perdu de la conversation,:

- Alors, si on était plusieurs, on pourrait venir chez toi ?

- Pour quoi faire ?

- Ben, pour le baiser, puisqu'il  a envie …

- Pas que vous deux ?

- Ben, non. 

- Faut que je réfléchisse …

- Ça change quoi, qu'on soit que nous deux, ou qu'on soit plus ?

 

Il réfléchit intensément.

- Ouais ... ça change rien ...

- On peut te joindre comment ?

- C'est pas compliqué, il n'y a plus que moi comme ferme, ici. Si vous venez en voiture, il faut prendre derrière la mairie, la rue en impasse ... c'est la ferme tout au bout. Vous pouvez pas vous tromper ...

- OK.

 

Philippe remet son short:

- Alors, tu en dirais quoi, de venir chez Monsieur te faire baiser ?

- Avec d'autres mecs ?

- Oui, avec moi et avec d'autres … j'en connais qui seraient sûrement volontaires … mais moi, je sais ce que tu sais faire ... et à quoi tu ressembles, mais eux, ils ne te connaissent pas ...

- A quoi je ressemble, il peuvent le voir sur un blog ... 

- Comment ça ?

- J'ai un blog sur lequel on peut me voir sous toutes les coutures ...

- Ah bon ?

- C'est un blog où je mets des photos et des vidéos de moi. Alors, tes potes regardent, si je leur plais, ils viennent ...

- Ah, super! Tu me donneras l'adresse ... Alors, tu te montres sur le Net ... Bon, je regarderai ça ... 

- Oui, mais tes copains, il faut qu'ils soient sains …

- S'ils sont sains ? Je leur demanderai.

- Ils font des tests … mais, sains, je veux aussi dire dans leur tête, pas de tordus, pas de violents …

- Compris … Alors ?

- Alors, dans ces conditions … ça peut se faire.

- Et je te joins comment ?

- J'ai un mail … l'adresse est sur mon blog

 

Je lui épelle l'adresse.

- tu te souviendras ?

- Pas de problème.

 

L'homme au tracteur:

- Bon, les pédés, c'est pas tout ça, il faut que je travaille …

 

Il nous tend la main. On la lui serre et il regagne son tracteur, démarre et s'éloigne sur le chemin de terre. Nous ramassons nos vélos et nous repassons le pont.

- Bon, alors, raconte ... tes routiers ...

 

Je raconte. Les routiers et les autres, Laurent, Gabriel, Steve, Thomas … Il n'en perd pas une miette, et je sens qu'au fur et à mesure, ses doutes s'estompentArrivé au premier village qui borde le canal, il me quitte:

- je suis garé par là. Je t'envoie un mail.

- OK, moi, je suis plus loin. Salut.


Je poursuis ma route. Voilà, j'avais plus ou moins décidé de faire une pause, et ce matin, j'étais parti pour une balade plutôt sage … et ça finit par une pipe en public ! Ça se vérifie, je ne peux pas résister à la vue d'une bite, je ne peux pas résister au premier mec qui me demande de le soulager. Et l'autre, avec sa grosse bite et ses énormes couilles … Je sens la fraîcheur de sa crème qui colle encore mon T-shirt sur mon dos. Toi mon gars, il faudra que tu y passes …


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 18 septembre 2014 4 18 /09 /Sep /2014 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

8 septembre.

 

Je me sens vraiment comme une femelle en manque de mâle. Allongé en chien de fusil dans cette chambre d'hôtel, une jambe repliée, le cul en l'air, les reins cambrés et la tête au creux de mon bras gauche, j'ai glissé mon bras droit sous mon ventre et je me masturbe en rêvassant qu'un mec me fourrage. 


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J'ai loué cette chambre dans l'espoir de je ne sais quelle rencontre. Ce matin, pris d'une furieuse envie de queue, je suis parti traîner sur cette autoroute où, quelques semaines plus tôt, j'ai rencontré mes deux routiers slovaques. Ayant une furieuse envie de me faire baiser à n'importe quel prix, je me suis fait une grosse toilette avant de partir… le genre de toilette qui permette à qui voudrait me pénétrer de ne pas se mettre dans la … Et je me suis équipé de la lingerie et de la tenue qui me donnent l'air le plus salope. 

 

Depuis que je me suis fait baiser au bord de cette autoroute par deux ... non, par trois routiers arrêtés à la volée, je n'ai plus qu'une idée en tête, me faire encore baiser par des inconnus ! Il y a bien eu cet épisode avec Steve, mais ça n'est pas pareil. Oh, je ne le connaissais pas vraiment plus que mes trois lascars du bord de l'autoroute, mais c'était ... organisé, préparé, et je n'avais pas vraiment l'impression d'avoir à faire à un inconnu.

 

A quelques kilomètres de l'endroit où mes deux slovaques m'ont baisé, j'ai emprunté une sortie qui conduit à une zone d'entrepôts et d'usines et à un hôtel low cost au milieu d'un immense parking. Avec une cinquantaine de chambres, l'endroit doit être fréquenté par des gens qui ont à faire dans cette zone industrielle. Une partie du parking est réservée aux poids lourds. J'en ai fait le tour au ralenti dans l'espoir d'y reconnaître un certain camion slovaque … En vain. Il y a bien une dizaine de poids lourds immatriculés à l'étranger, mais les cabines sont soit vides, soit aux rideaux tirés derrière les pare-brise. En cette fin de matinée, les routiers seraient encore en train de dormir ? Plus près de l'hôtel, quelques utilitaires et camionnettes commerciales (techniciens, ouvriers ?) côtoient deux ou trois berlines (commerciaux, représentants ?). 

 

L'hôtel n'est pas complet, et on m'a loué une chambre sans difficulté. J'en ai pris possession, et, par précaution, j'ai refait une toilette complète, avant d'enfiler ma tenue préférée: haut près du corps, minijupe à ras le bonbon, porte-jarretelles avec bas et micro string, le tout rouge vif …

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Par-dessus, j'ai remis des vêtements masculins pour traverser l'hôtel et regagner ma voiture. J'avais résolu de draguer et d'allumer un mec, le premier mec dont je pourrais accrocher le regard, de l'exciter et de le ramener à l'hôtel pour qu'il me baise … A vrai dire, j'aimerais mieux trouver à me faire sauter en extérieur, dans la nature ou sur ce parking, par exemple, mais la chambre d'hôtel, ce serait un recours au cas où je tomberais sur un type un peu coincé. J'ai donc commencé par vérifier sur le parking de l'hôtel si je ne trouverais pas un mec qui ferait l'affaire: routier, ouvrier, représentant, peu importe... Garé entre deux poids lourds, j'ai ôté mes vêtements masculins et, minijupe retroussée en haut des cuisses, string bien visible, j'ai refait lentement le tour des lieux pour essayer de me faire repérer … Mais, personne chez les routiers, ni parmi les autres voitures garées là. Je suis donc parti en chasse dans la zone industrielle. Là aussi, je fais chou blanc: tout le monde est au boulot à l'intérieur des entrepôts.

 

Ensuite, je traîne longuement dans la région. Je roule jusqu'à cette petite ville en bord de Marne. Là, je remarque un jardin public qui borde la rivière. Des couples, des femmes avec enfants, un ou deux petits vieux se promènent … Il y a aussi trois ou quatre types seuls au comportement … intéressant. Je me gare tout près et j'observe leur manège. Ils piétinent, vont et viennent dans l'ombre des tilleuls, regardent autour d'eux, comme s'ils attendaient je ne sais quoi. Ça ne tarde pas: l'un d'eux me repère, s'approche et fait mine de passer à côté de ma voiture … La cinquantaine très bedonnante, dans un survêtement froissé et sale, les cheveux gras, il n'est vraiment pas appétissant. Arrivé  au niveau de ma portière, son regard plonge dans l'habitacle et il découvre ma tenue: ma jupe, relevée à l'angle de mes cuisses, révèle le haut de mes bas, les rubans de mon porte-jarretelles et mon string en dentelle. Visiblement, c'est un choc pour lui, il n'en croit pas ses yeux. Il s'arrête, hésite, se baisse un peu pour jeter un coup d'œil vers moi. Le regard rivé sur mon entrejambe, il se penche vers ma vitre ouverte:

- Vous … vous cherchez ... quelque chose ?

- Oui.

- Vous … vous cherchez ... vous cherchez un … un mec ?

- On peut dire ça


Il était vraisemblablement, lui aussi, en quête d'une aventure, tout comme les autres types qui traînent seuls dans ce parc, mais il ne devait pas s'attendre à tomber sur un trav en tenue de pute à la recherche d'un mec, comme il dit. Sous le coup de l'émotion, il déglutit bruyamment. 

- Bon, ben, si … si vous voulez, on peut … Vous voulez un mec pour faire quoi ?

- D'après toi, si je cherche un mec, c'est pour faire quoi ?


Il a un aspect peu ragoûtant, mais je ne veux pas le jeter directement, avant d'avoir … examiné ses arguments … on ne sait jamais ce qui peut se dissimuler dans un pantalon. S'il avait une bite exceptionnelle, je pourrais toujours l'emmener à l'hôtel, lui faire prendre une douche et …

- Mais, vous faites ça pour … pour de l'argent ?

- Non, pour le plaisir …

 

Dans un geste réflexe, il s'est empoigné l'entrejambe. Il anticipe sans doute une fin de journée intéressante …

- Mais, je … je pourrais … je peux …

- Tu peux quoi ?

- Ben … vous voulez lui faire quoi, exactement au mec ?

- Je voudrais le sucer et je voudrais qu'il me baise …


Il est scié ! Il devait espérer une partie de touche-pipi, au mieux une branlette, et voilà que je lui parle de pipe et de baise ! Il s'accroupit contre ma portière, les yeux toujours rivés sur le haut de mes cuisses. Il tend une main vers l'habitacle:

- Je … je peux ?

- Tu peux quoi ?

- Je peux vous … toucher ?

 

J'hésite un peu, puis:

- Vas-y, touche …

Sa main aux ongles sales sur ma cuisse. Il hésite, la glisse entre mes jambes. Je les écarte pour faciliter son exploration. Ses doigts sur mon string. Il commence à respirer bruyamment:

- Je peux vous l'enlever ?

- L'enlever, non. Le descendre, oui …


Maladroitement, il remonte un peu plus ma jupe, passe ses doigts dans la ceinture de mon string. Je soulève mon bassin de mon siège pour lui faciliter l'opération. Tremblant, il libère ma queue et mes couilles. Je descends mon string à mi-cuisses. Il pose ses doigts sur ma bite. De nouveau, il déglutit bruyamment:

- Alors, vous voulez … vous voulez bien me sucer ? Dans le parc, là, il y a un buisson de troènes, on sera tranquilles …


Il m'effleure délicatement la queue, et je dois dire que sa caresse, ajoutée à la situation, en bordure de ce parc, et pratiquement à la vue des gens, commencent à me faire de l'effet: je me mets à bander … Aller le sucer dans ce jardin public ? Dans ma tenue de pute, je ne ferais pas trois pas en dehors de ma voiture sans déclencher une émeute ! Et puis, il est vraiment crade !

- Non, pas dans ce parc, en me voyant habillé comme ça, les gens appellent tout de suite les flics …


Il doit penser que ce n'est que l'endroit qui ne me plaît pas, mais que je suis d'accord sur le principe:

- Ben alors, je connais un autre endroit, on peut y aller en voiture … ou même chez moi …

- On se calme … Déjà, ça dépend de ta queue. Montre la !

- Comment … pourquoi ?

- Tu m'excuseras, mais je fais quelque chose avec toi seulement si ta queue me plaît. Alors, montre-la !


Il en reste pantois. Il hésite un instant, mais l'occasion lui paraît trop belle. Il se relève, jette un coup d'œil autour de nous, et, rassuré, baisse un peu son pantalon de survêtement. Dessous, il porte un caleçon, grisâtre et, dans l'excitation, il ne s'est pas rendu compte qu'il ne l'a pas baissé. Son ventre est maintenant à ma hauteur, alors je glisse mes doigts dans sa ceinture et je lui dénude le ventre. Au milieu d'une épaisse toison rousse, une queue toute blanche, plutôt petite, en début d'érection, et pas du tout appétissante … En partant de chez moi, tout  l'heure, j'étais prêt à me taper n'importe quelle bite, mais face à la réalité … Elle bave un peu.

- Je suis désolé, ça ne va pas le faire …

- Mais … pourquoi ? Elle … elle vous plaît pas ?

- Je vais être franc: pas vraiment, non … Aujourd'hui, ce n'est pas ce que je cherche …

- Ah oui, mais …

 

Je lui tripote un peu le gland. Je vois sa queue grossir un peu plus.

- Ecoute, excuse-moi. Je … une autre fois, je reviendrai, et … on verra … peut-être que … mais aujourd'hui, ça n'ira pas …

 

D'autorité, je remonte son caleçon sur son ventre et je remballe sa queue.

- Mais, vous reviendrez quand ?

- Je ne sais pas … Tu es souvent ici ?

- Tous les jours … je ... je travaille pas …

- Bon, tu as peut-être une numéro de portable … 

- Oui oui, je vous le donne …

 

Je fouille ma boîte à gants, j'en sors un stylo et un papier que je lui tends. Pendant qu'il griffonne son numéro, je passe ma main sur son bas ventre:

- Si je reviens, il faudra débroussailler tout ça …

- Comment ? Mais … pourquoi ?

- Parce que je n'aime pas avoir des poils dans la bouche …

- Ah oui, mais …

 

Je le coupe:

- C'est comme ça ! Complètement rasé, sinon, ce n'est même pas la peine d'y penser …

- Bon, d'accord, d'accord … je le ferai …


Il est temps de repartir. Pendant qu'il se reculotte, je démarre et je reprends la route de l'hôtel. Ça fait presque deux heures que je suis parti en chasse et cette drague infructueuse m'a un peu calmé.. Sur le parking, moins de poids lourds (ils ont repris la route ?) et d'utilitaires, mais deux minibus en plus. Entre deux semi-remorques, je remets rapidement sweat et pantalon sur ma tenue avant de traverser le hall de l'hôtel et de regagner ma chambre. De nouveau en minijupe et porte-jarretelles sur le lit, je vais me soulager avant de rentrer chez moi. Décidément, ce gros type un peu crade, ça ne l'aurait pas fait …

 

J'ai laissé la porte légèrement entrebâillée pour écouter les bruits que font les autres clients et le personnel à l'étage: j'aime entendre le monde s'agiter autour de moi quand je m'adonne à ces plaisirs solitaires. Et du bruit, il y en a: des rires, des éclats de voix dans le couloir et des types qui s'interpellent d'une chambre à l'autre. Une bande de joyeux fêtards doit occuper le reste de l'étage.

 

Brusquement, l'intensité du bruit de fond monte d'un coup, comme si on avait ouvert ma porte en grand, et avant que j'aie pu me retourner, j'entends:

- Ho, pardon !

 

Et la porte se referme. C'était une voix masculine. Il s'est sans doute trompé de chambre, il m'a vu, il a réalisé son erreur et il est ressorti aussitôt.

Qu'a-t-il vu exactement ? Ça a été si rapide qu'il n'a sans doute pas eu le temps de détailler le spectacle. Sous l'effet de surprise, cette incursion inattendue m'a provoqué une légère décharge d'adrénaline, cœur battant, souffle coupé. Je retrouve peu à peu mon calme. Les bruits dans le couloir se sont brusquement tus. Je reprends ma masturbation et ma rêverie.

 

Soudain, tout bascule. En une fraction de seconde, j'entends, ou plutôt je perçois comme une bousculade derrière moi, autour de moi et, avant d'avoir pu me redresser ou me retourner, quelque chose s'écrase sur mes omoplates, me plaquant sur le lit, une main me bâillonne et je sens mes chevilles et mes poignets enserrés et maintenus fermement. J'essaie de me débattre, mais je suis maintenu par … par combien de mains ? Combien sont-ils ? J'en entrevois seulement deux, à ma droite: un qui me tient le poignet droit à deux mains, et l'autre qui me bâillonne. Enfin, je ne vois d'eux que les mains du premier et le bras du second, tous deux à la peau noire. Il y en a forcément un autre qui me tient le bras gauche, et un ou deux pour maintenir mes chevilles. Ils sont donc au moins quatre ou cinq … ils se parlent en murmurant …

 

Celui qui me bâillonne m'enjambe et s'installe à califourchon sur mes reins, tout en maintenant sa main fermement sur ma bouche. L'idée me vient de le mordre pour qu'il ôte sa main et que je puisse crier, mais ça pourrait entraîner une réaction violente sans que je sois assuré d'être entendu, et quelque chose me souffle de m'abstenir. D'ailleurs, je réalise que ma porte a certainement été refermée. Je suppose que celui qui avait fait cette incursion accidentelle dans ma chambre a saisi la situation d'un coup d'œil, a vu ma tenue, compris ce que je faisais et, une fois ressorti, il l'a expliqué à d'autres (c'est sans doute pour cela que les bruits dans le couloir se sont tus …) et ils ont décidé de débarquer en commando dans ma chambre…

 

Celui qui me tient la main droite pose son genou sur mon avant-bras pour l'immobiliser. Sa jambe repliée m'empêche de voir ce qu'il fait, mais je sens qu'il passe et serre quelque chose autour de mon poignet. Il se relève et tire ma main vers la tête du lit. Du coin de l'œil, je le vois passer le tissu qui m'enserre le poignet autour d'un barreau et le nouer. Je sens qu'on me fait la même chose au poignet gauche. Celui qui m'écrase de son poids me soulève la tête et ôte sa main de ma bouche juste un instant pour que son comparse à ma droite la remplace par une autre bande de tissu. Puis on me bande les yeux. Me voilà ligoté, écartelé et bâillonné sur ce lit. A leur merci ! Mais qu'est-ce qu'ils me veulent ? Pourvu que ce ne soit pas des casseurs de pédé …

 

Seules mes chevilles ne sont pas attachées … pas encore. Mais elles sont fermement tenues. Tout a été très vite, quelques secondes. Je n'ai même pas entendu la porte s'ouvrir avant qu'ils ne soient sur moi ! Submergé par la panique, je n'ai pas cessé de me débattre, tant bien que mal, et de protester. Mais je n'émets que des grognements, étouffés par cette main puis par ce bâillon. J'essaie de me calmer et de réfléchir à ce que je peux faire. J'arrête de me démener, c'est en pure perte, j'essaie de reprendre mon souffle, de contrôler mon rythme cardiaque, de me détendre ... Je me sens ... à leur merci. Les cuisses et les fesses à l'air parce que dans cette vaine lutte, ma minijupe est remontée ... déjà qu'elle était au ras de mon cul avant ça ...

 

Ils ont pensé que je rendais les armes. La pression sur mes chevilles se fait moins forte. Celui qui était en train de me chevaucher descend de mes reins. Il me semble que c'est lui qui commente:

- Et ben, voilà … Ça sert à rien de se débattre …

 

Il ne murmure plus. Je le devine maintenant debout à côté du lit, à ma gauche. Un contact sur le haut de ma cuisse gauche. Une main. Elle soulève légèrement le bord de ma minijupe et la remonte encore un peu sur mes fesses.

- Mais c'est intéressant, tout ça … Minijupe, bas … et porte-jarretelles … Beau cul … Belles cuisses … Vous trouvez pas, les gars ?

 

Il a un accent indéfinissable. Les autres rient. La main remonte encore un peu ma minijupe sur mon cul.

- Mais, il y a beaucoup de poils, non ?

 

Un autre répond:

- C'est un mec. C'est un trav !

 

Celui-ci aussi, a un accent. Sur un ton faussement surpris, le premier s'étonne:

- Un mec ? Un travelo ? Tu crois ? 

 

Bien sûr, que je suis un trav ... Ça se voit, non ? Je le sens maintenant derrière moi. Ça doit être le meneur de la bande. Le matelas s'affaisse entre mes pieds. Il a dû s'y agenouiller. Une main se pose sur mon mollet, juste au-dessus de celle du comparse qui me maintient la cheville. Cette main remonte, m'effleure le côté du genou, l'intérieur de la cuisse, se pose sur ma fesse. Cette … caresse imposée, mais toute en douceur, me provoque un frisson entre plaisir et dégoût. Je sens cette main qui descend maintenant vers ma fleur, hésite un peu, puis plonge brusquement sous mon ventre. Il m'empoigne le paquet à pleine main (inutile de préciser que je ne bande plus …) et :

- Mais oui, c'est un mec ! 

 

Il tire et étale ma queue et mes couilles entre mes cuisses. Il m'a fait mal. Je m'agite comme je peux et je râle dans mon bâillon:

- MMMMMMMMMM !

 

Les autres rient. 

- Hé, les mecs, ça vous dirait, de vous faire un travelo ?

J'ai bien peur, en effet, d'être tombé sur des casseurs de pédé … ça va être ma fête. 

 

Les autres:

- Ouais, ouais, pourquoi pas …

- Vous avez déjà baisé un travelo ?

- Non, non …

- Et ben, faut un début à tout, non ?

- Ouais, ouais …

 

Ils se marrent.

- Bon, alors au taf !

 

Ce n'est pas seulement des casseurs de pédés: celui-ci va me baiser ! Et ils vont même sans doute tous me baiser ! Une tournante … je vais subir une tournante ! Un viol collectif ! Des mecs (combien de mecs ? Je ne sais même pas combien ils sont !) des mecs vont me forcer, me contraindre … me baiser ! Ils vont me violer, chacun leur tour, comme ils baiseraient de force une fille … Jusqu'où ça va aller ? Et si c'était des pervers ou des violents … On me tient toujours mollement les chevilles, mais ils ne me tiennent plus les mains et je n'ai plus personne sur le dos. Je dois me défendre, les empêcher. Je tire sur mes liens et j'essaie de me retourner. Mes entraves ne font que se resserrer sur mes poignets et la pression se refait plus forte sur mes chevilles. Deux mains, plaquées sur mes omoplates, m'écrasent sur le lit. Me voilà de nouveau immobilisé. 

 

- Du calme, ma belle … Ça sert à rien de te débattre: de toute façon, tu vas passer à la casserole. Et puis, si tu es bien sage, nous, on va être gentils … ça pourrait même te plaire … pas vrai, les mecs ?

 

Les autres approuvent en riant.

 

Le meneur de la bande est maintenant debout derrière moi, au pied du lit. J'entends un bruit de tissu que l'on froisse. Il doit être en train d'ôter son pantalon. Il va me passer dessus le premier.

- Quelqu'un a des capotes ?

- Yes, man … Regarde, il en a dans son sac …

 

Ils ont fouillé mon sac … J'entends le bruit d'un étui qu'on déchire … C'est toujours ça: si il est malade, il ne me refilera pas une saloperie …

- Hé ! Regarde ce que j'ai trouvé dans son sac …

- Ouaiiiiiiis ! Du lubrifiant ! Alors, comme ça, Madame avait l'intention de se faire enculer ?

- Regarde, il y avait ça aussi …

- C'est quoi ?

- …

 

Bruit de papier qu'on déplie. Ça ne peut être que le test HIV que j'ai fait il y a trois ou quatre jours. C'est le seul papier qu'ils ont pu trouver dans mon sac. Je l'avais gardé pour rassurer le mec que j'aurais ramené à l'hôtel. 

- Hé, c'est quoi, ça ? C'est un test pour le sida ?

 

Il s'est adressé à moi.

- MMMMMMMM ! MMMMMM ! (Comment veux-tu que je te réponde, connard ? Tu sais pas lire ?)

- Ouais, c'est ça. Hé, regarde: il est négatif. Et ça date … de cette semaine …

- Ouais, mais c'est anonyme, C'est peut-être pas à lui …

- On s'en fout, on va le baiser avec ses propres capotes …

 

Eclats de rire.

- Tu voulais de la bite, chérie ? Et ben, tu vas en avoir !

 

Le revoilà entre mes pieds, puis entre mes genoux. Je sursaute. Quelque chose de froid coule dans ma raie. Du gel lubrifiant ! Un doigt se pose doucement sur ma fleur, hésite un peu, puis commence à se presser contre ma rondelle. De nouveau je me débats.

- Tenez-le !

 

Cette fois l'un d'eux s'allonge en biais sur mon dos et sur mes reins et me pose une main sur chaque fesse. Ceux qui me tiennent les chevilles m'écartent les jambes. Me voilà complètement maîtrisé, offert. Et quelque chose d'indéfinissable réagit bizarrement en moi, comme une ... 

 

Je sens son doigt commencer à s'enfoncer en moi. A cause de la peur que je ne peux surmonter, je ne m'ouvre pas comme quand j'ai envie de me faire baiser. Mais des années de dilatation anale m'ont quand même détendu, assoupli la rondelle et le doigt du meneur entre sans difficulté. Il le remarque:

- Oh, mais dis donc, chérie, tu m'as l'air drôlement … accueillante … Tu as dû t'en prendre de la bite pour être ouverte comme ça … et de la grosse !

 

Il se marre. Tandis que l'autre, sur mon dos, m'écarte les fesses, il me met un deuxième doigt... qui entre tout aussi facilement. Il me fouille, il m'explore, sans délicatesse, il m'enfonce ses doigts aussi profondément qu'il peut, il les ressort, il les remet. Il va, il vient en moi, longuement. Au bout d'un moment, il remarque:

- Dis donc, chérie, t'es toute propre … Tu as fait une grande toilette, on dirait … Tu t'attendais à te faire fourrer ? Ça tombe bien, on est là !

 

Ils se marrent tous. Oui, je suis tout propre. Oui, je comptais me faire fourrer. Mais pas par toi, connard. Si j'avais pu prévoir, je me serais abstenu de me laver et ça t'aurait calmé… Il ressort ses doigts, m'introduit l'extrémité du tube de lubrifiant et m'en injecte une dose. A la brutalité de ses gestes, je sens qu'il s'excite. Celui qui est sur mon dos me pétrit les fesses de plus en plus fort, presque convulsivement. Il doit aussi s'exciter à contempler ce que me fait subir son pote. Celui-ci me rentre de nouveau deux doigts, puis un troisième, et me fouille encore, m'ouvre, m'écartèle… C'est légèrement douloureux, mais supportable. Les autres ne disent plus rien, ils doivent être en train de regarder leur pote me violer avec les doigts. Pourvu qu'il ne tente pas de me fister. 

 

Mais non, Cette préparation de mon cul a dû finir de l'exciter, et maintenant, à la fébrilité de ses gestes, au rythme de sa respiration, je sens qu'il a une urgence. Il extrait ses doigts de mon cul et se débarrasse du tube de gel.

- Pousse-toi !

 

Ça devait être à l'intention du type sur mon dos, parce qu'en effet, celui-ci me lâche les fesses, s'écarte et s'assoit contre moi, sur le lit. Je réalise qu'un autre type est déjà assis de l'autre côté. Avec les deux qui me tiennent les pieds, et celui qui est derrière moi, ça fait cinq. Il y en a peut-être d'autres … Je sens le meneur poser ses mains sur le lit de part et d'autre de mon torse. Il plaque sa queue dans ma raie et y fait trois ou quatre va et vient. Il glisse dans le gel lubrifiant. Il doit être très excité parce que je sens que sa queue est raide, tendue. Il insinue sa main entre mes fesses et son bas-ventre, guide son sexe jusqu'à l'entrée de mon cul et il s'affale sur moi, m'écrasant de tout son poids. Je sens son gland juste à l'entrée de mon rectum. Il me souffle à l'oreille:

- Maintenant, je vais te baiser, salope …

 

Et d'un grand coup de reins, il me pénètre et s'immobilise. 

Les autres, autour:

- Yeeeeehhh, man !

- Droit au but !

- Ha ha ha !

 

Lui, sur moi:

- Tu la sens, ma grosse bite ?

- …

- Réponds, salope ! Tu la sens ma grosse bite ?

- MMMMMM !

- Ben voilà, ma chérie … Tu vas voir, tu vas aimer ça …

 

Et il commence à aller et venir en moi. Je m'attendais à quelque chose de douloureux, d'ignoble, de sordide … Mais maintenant que je suis bien lubrifié, le sphincter dilaté, il ne me fait pas mal. Sur le plan physique, ce n'est pas plus douloureux que mes gros godes ou que la bite de Gabriel ou d'Andrej... La peur et le stress se manifestent essentiellement par les effets de ce flot puissant et ininterrompu d'adrénaline : cœur qui s'affole, souffle coupé, muscles contractés … C'est plus fort que quand je m'exhibe en bordure ou au-dessus d'une autoroute, mais ce n'est pas plus violent que ce que j'ai ressenti quand Lukas et Andrej ont sauté le grillage pour me …

 

Instinct de survie ou simplement de protection, je me dis que, tant qu'à être réduit à l'impuissance, autant être docile et faire en sorte que ça se passe le moins mal possible. Bon, je ne sais pas qui sont ces mecs, mais mes routiers slovaques non plus, je ne les connaissais pas avant qu'ils me baisent … 

 

L'autre, le menton dans mon cou, continue à me fourrer et, au rythme saccadé de son souffle, à ses fréquentes déglutitions, je sens qu'il prend beaucoup de plaisir à me troncher. Jusque là, dans mon esprit, le viol d'un mec par un autre mec, c'était, pour le violeur, une sorte de punition imposée à un déviant, une humiliation infligée à une tante, sans autre plaisir pour lui que de punir, d'humilier …  Mais là, l'idée s'impose à moi que ce mec, en train de me tringler si consciencieusement, prend autant de plaisir purement sensuel que s'il était en train de baiser une fille. Et quelque part, ça me trouble … 

 

Du coup, je me concentre sur ce qu'il est en train de me faire … «Tu la sens, ma grosse bite ?» En fait, d'après ce que je ressens dans mon cul, elle n'est pas si grosse que ça, ta bite. Si tu voyais celle de Gabriel ou celle d'Andrej, tu ne te vanterais pas … Il va et vient assez lentement en moi. Parfois, la queue plantée au fond de mon cul, il s'arrête, sans doute pour laisser retomber l'excitation. Quand il reprend, c'est plus rapide, plus vigoureux, avant de ralentir de nouveau. Quand il s'arrête, je suis à deux doigts, par réflexe, de contracter mon sphincter en rythme autour de sa queue. Les mecs aiment ça … Ou alors, de me cambrer pour lui permettre de me pénétrer plus profondément. Mais je ne veux pas qu'il croit que j'aime ce qu'il me fait. Alors, je fais le mort …

 

Brusquement, il sort de moi et se relève. Il a joui ou quoi ? Plongé dans mes pensées, je n'ai rien remarqué.

- A qui le tour ?

 

Ah non, il n'a pas joui: il cède la place. On me lâche le pied droit. Bruits de vêtements qu'on enlève. Bruit de pochette qu'on déchire. De nouveau, le matelas s'affaisse entre mes jambes sous le poids de quelqu'un. C'est le numéro 2. Celui-ci non plus, je ne l'ai pas vu, je ne sais pas à quoi il ressemble … Black ? Blanc ? Beur ? … Ses mains sur mes cuisses … puis à l'intérieur de mes cuisses. Il me les caresse à travers le voile de mes bas. Ses mains sur mes fesses … ou plus exactement, autour de ma fleur … un souffle chaud dans ma raie … sa bouche tiède sur mon œillet … sa langue chaude et humide dans ma rondelle … il la bouge. Je n'en reviens pas: je trouve ça très agréable ! Mais je m'efforce de rester impassible. Il extrait sa langue, la remplace par deux doigts (ses pouces?), m'écarquille la rondelle (oh ! Doucement …), et je l'entends qui me crache dans le cul. C'est lui qui dit:

- Remonte un peu sa jambe.

 

Le type qui tenait encore mon pied gauche relâche son étreinte et pousse ma jambe vers le haut. Numéro 2 me force à écarter ma cuisse droite. Je résiste vaguement, mais une main saisit ma cheville et me contraint à le faire. J'ai les cuisses largement écartées. Numéro 2 me prend par les hanches et me soulève un peu. Me voilà légèrement cambré, le cul relevé. Comme le premier, il pose ses mains de part et d'autre de mon torse, et je sens sa queue, raide, glisser dans ma raie. Contrairement au premier, il n'a pas besoin de la guider de la main pour la poser sur ma fleur. D'un seul coup de reins, il est en moi. Immédiatement, il entreprend un va et vient rapide. Pour autant que je puisse me rendre compte, sa queue n'est pas très grosse non plus. Mais, vu l'amplitude de son va et vient, elle est sûrement plus longue que celle de son compère. Lui n'est pas vautré sur moi: pas d'autre contact que son ventre qui vient taper contre mes fesses, sa tige dans mon cul et ses avant-bras contre mon torse … C'est un queutage en règle, sans aucune sensualité. Bien que, d'évidence, il bande, je ne suis même pas sûr qu'il y prenne du plaisir. Pas un râle, pas un grognement … Il va sans doute tirer son coup vite fait et se retirer … J'attends, je prends mon mal en patience …

 

J'entends de nouveau des bruits de vêtements qu'on enlève. Un autre se prépare (ou des autres ?). 

 

Soudain, le matelas s'affaisse sur ma droite, et une main soulève le bandeau que j'ai sur les yeux et me tourne la tête:

- Regarde ce que je vais te mettre dans le cul …

 

Un comparse proteste:

- T'es con, ou quoi ? Il va te voir …

- T'occupe !

 

Le type est à genoux sur le lit, à poil … Dans mon champ de vision, je n'ai que deux cuisses, noires, musclées, puissantes … Un costaud. Il se rend compte que je ne vois pas ce qu'il veut me montrer. Il me soulève un peu la tête vers le haut, et je découvre son membre: longue et grosse queue en érection au dessus d'une très belle paire de couilles. Il se masturbe.

- Alors ? Ça te dit ? 

- …

- Même si ça te dit pas, tu vas te la prendre dans le cul, mec … Je vais te fourrer.

- …

 

Il me lâche, ma tête retombe sur le lit et il rajuste le bandeau sur mes yeux. Sa queue est longue et grosse, mais pas autant que celle de Gabriel. Bien que toujours bâillonné, et sachant qu'il ne comprendra pas mes grognements, je lance:

- MMMMMMMMM   MMMMMMM   MMMMMMMM ! (tu crois que tu me fais peur, avec ton engin ? Je me suis déjà fait baiser par des queues plus grosses que la tienne …)

- Qu'est-ce qu'il dit ?

- On s'en fout ! Allez, à moi ! Pousse-toi !

 

Numéro 2 fait encore trois ou quatre va et vient avant d'obtempérer. Il s'extrait de moi et se relève. Lui, il n'a pas joui, c'est sûr ! Le costaud prend sa place entre mes jambes. Il me prend par les hanches et, me soulevant sans effort, il demande à ses complices:

- Remontez lui les genoux. Je vais le prendre en levrette …

 

On m'installe, un peu brutalement, pour que le costaud me prenne à son aise. Il se rapproche de moi, toujours les mains sur mes hanches. Il se cale bien, passe sa main droite sur mes fesses et la descend vers ma rondelle. Il m'introduit … quoi ? On dirait un pouce. Puis je le sens qui récupère le flacon de lubrifiant et je devine, aux bruits mouillés qu'il fait, qu'il est en train de s'enduire la queue. Je sens maintenant sur ma fleur le contact humide et frais de son gland couvert de lubrifiant. Un autre remarque:

- T'as pas mis de capote …

- Pas besoin …

 

Et, me donnant une claque sur le cul, il me demande:

- Il faut que je mette une capote ? T'es plombé ? T'es malade ?

- …

- Réponds !

Je secoue négativement la tête:

- MMMMMMM !

 

S'adressant aux autres:

- Vous voyez ! J'en étais sûr … Le test de SIDA, c'est à lui …

 

Il m'attire vers lui fermement et je sens son membre commencer à entrer en moi. Lui, je le sens bien. Très bien, même. Beaucoup mieux que les deux premiers. Sa queue me force un peu. Pas aussi grosse que celle de Gabriel ou d'Andrej, mais quand même ! Il a à peine commencé à me pénétrer, qu'un fait s'impose à moi: mes peurs s'estompent, dominées par autre chose. Je commence à considérer la situation d'une autre manière. Cette adrénaline qui baigne tout mon corps, ce n'est plus l'adrénaline de la peur, c'est celle que je ressens quand j'entreprends quelque chose de risqué et d'excitant ! Je suis bien obligé de me l'avouer: elle ne me déplaît pas tant que ça, la situation. D'ailleurs, c'est bien pour me faire baiser que je suis venu dans le coin. J'espérais trouver un mec, et j'en trouve … combien ? Et puis, c'est un de mes fantasmes, me faire gang banguer … J'avais toujours imaginé un  gang bang voulu, choisi, et là, ils me l'imposent, mais c'est quand même un gang bang … Et le fait même qu'ils me prennent de force, ça a un côté … excitant ! Un reste de crainte m'interdit de me laisser totalement aller au plaisir de l'instant, mais ce mec musclé, qui me prend avec sa grosse bite … dans d'autres circonstances, je considérerais ça comme une chance. Un mec bâti et bien monté comme lui … il doit avoir un succès fou auprès des femmes, il doit avoir le choix et pouvoir baiser toutes celles qu'il veut … Mais là, tout de suite … c'est moi qu'il est en train de tringler ! 

 

Maintenant, le voilà complètement en moi, le ventre collé à mes fesses, et je me sens … rempli. Enfoui tout au fond de mon cul, il marque une pause. Plein de mecs font ça. Cet instant où ils investissent totalement un cul est évidemment sensuel, mais aussi cérébral: sodomiser quelqu'un, homme ou femme, de gré ou de force, c'est le posséder, pleinement, et celui qui pénètre l'autre goûte alors la satisfaction de dominer ainsi celui ou celle qu'il est en train d'enculer. 

 

Sa queue plantée au fond de mon cul, le costaud passe ses mains de mes hanches à ma taille. Tout en douceur, il me caresse le dos, les épaules, redescend sur mes fesses, sur mes cuisses, se glisse sous mon ventre, effleure mes abdominaux … Ce type n'est visiblement pas un besogneux, il est tactile, sensuel, et … oui … délicat … En cet instant, il ne me viole plus … il me fait l'amour ! C'est très agréable. Ses mains de nouveau sur mes hanches, il commence à se retirer de moi, lentement. J'ai l'impression de me vider. Je sens coulisser chaque millimètre de son sexe dans mon œillet. Il entame alors un lent va et vient en moi. Je sens son sexe repousser mes chairs quand il me pénètre, et je le sens se retirer quand il s'extrait de moi. C'est une sensation très forte … un bonheur … 

 

Ces mecs ont pris possession de moi contre mon gré, ils m'ont réduit à l'impuissance par la force, et ils disposent de moi, de mon cul, sans mon accord pour assouvir leurs pulsions de mâles. Pour eux, je ne suis qu'un trou, une viande chaude, humide, vivante, à baiser … Oui, mais je suis une viande qu'ils ont trouvé suffisamment appétissante, qui les fait bander, qui leur a donné une telle envie de copuler, qu'ils ont eu une telle envie de posséder, qu'ils n'ont pas hésité à commettre un viol. Pour eux, mon cul vaut la peine de se rendre coupable d'un outrage, d'un crime … Au fond de moi, bizarrement, il y a une espèce de fierté.

 

Le costaud continue de me fourrager. Et il me baise bien. Aucun doute: j'aime ça, et je me laisse peu à peu aller à y prendre plaisir. Chacune de ses pénétrations procure à ma fleur une vague de volupté qui irradie tout mon corps. Je m'efforce de rester impassible, de ne rien manifester de mon plaisir. Mais mon corps a son propre langage, qui échappe à ma volonté, sans doute un certain relâchement, une imperceptible réaction à la jouissance, qui n'échappe pas à mon … violeur:

- Tu aimes ça, hein, salope …

 

Il ne demande pas, il constate. 

 

Est-ce cette constatation qui l'excite un peu plus, ou cherche-t-il à me forcer à manifester une jouissance qu'il devine ? Sa sodomie se fait plus rapide, plus vigoureuse. Le plaisir me submerge et, dans un réflexe incontrôlable, je me cambre pour faciliter sa pénétration. Langage des corps: il avait deviné mon plaisir et il m'a forcé à le manifester; il vient de percevoir mon envie de le recevoir au plus profond de moi et la pression de ses mains sur mes hanches se fait à la fois plus douce et plus possessive. Il pourrait dire à ses complices ce qui se passe, commenter crûment ma reddition de femelle, ma soumission au mâle … D'ailleurs, ça ne me déplairait pas, je commence à prendre goût à leur langage cru et fleuri … Mais non, il ne dit rien.  J'ai dû toucher une corde sensible, flatter son orgueil de mâle, sa fierté de baiseur: oui, tu as une grosse queue, oui tu me baises bien, oui tu me donnes du plaisir …

 

Envolés les restes de crainte: entièrement concentré sur notre coït, je visualise en pensée le va et vient de son membre en moi, le parcours de son gland dans mes chairs … C'est d'autant plus net dans mon esprit et excitant, que sa queue, il me l'a montrée … J'anticipe l'instant où, dans une vague de plaisir, il répandra sa semence tout au fond de mon cul ... Oui, j'en suis à espérer qu'il ne se videra pas sur mes reins ou dans ma raie, mais qu'il me fécondera le ventre. Je suis heureux qu'il n'ait pas mis de capote ! Je ne peux réprimer un gémissement d'excitation et de plaisir, que j'essaie d'étouffer dans le bâillon qui me barre la bouche. Mais celui qui est assis à côté de moi m'a entendu:

- Il a dit quelque chose … 

 

S'adressant à moi:

- Hé, chérie, t'as dit quoi ?

- …

 

Le costaud:

- Il ne peut pas te répondre, il a un bâillon … Mais je sais ce qu'il a dit.

- Il a dit quoi ?

- Il a joui …

- Hein ?

- Oui, il a joui … Je l'ai senti.

 

D'un seul coup, tout le monde s'agite autour de moi. Tandis que le costaud continue à m'empaler consciencieusement, à me donner du plaisir, ses deux potes, assis contre moi, se lèvent et apparemment, tout le monde se regroupe vers le pied du lit. Une main se glisse sous  mon ventre et me palpe la queue.

- Tu déconnes, il a pas joui … Il bande mou, il a pas joui …

 

Une autre main vérifie. Le costaud:

- Il a joui du cul. 

 

Eclats de rire. L'un d'eux me demande:

- C'est vrai, ma chérie, tu as joui du cul ?

 

Ils n'attendent pas de réponse, convaincus que le costaud dit vrai. Tous y vont alors de leurs commentaires salaces sur le calibre et les dons de leur pote, sur mon goût pour la queue, ma voracité, mon avidité …

- Tu aimes vraiment la bite, alors, ma salope …

- En même temps, avec un engin comme ça dans le cul, elle ne pouvait pas résister …

- Ouais, elle était vachement en manque, la chérie …

- Heureusement, on est là …

- On va lui en mettre plein son cul, à cette pute … Tu vas prendre grave, salope …

- Nous aussi, on va te faire jouir, tu vas voir …

- …

 

Le tout ponctué de claques sur mon cul et de vigoureuses frictions de ma tête … Je perçois en eux un surcroît d'excitation. Ils ont tous hâte de me passer dessus. L'un d'eux m'a saisi la queue et me la tripote. Un autre me passe les doigts sur la bouche à travers le bâillon:

- Elle doit avoir envie de nous sucer, en plus …

- Ouais, elle veut être prise par les deux bouts, cette pute …

 

Submergé par les vagues de plaisir que me procure le costaud, je ne me sens même pas humilié, je reçois tout cela comme autant d'aiguillons qui attisent mon excitation. Je ne peux réfréner une érection de plus en plus évidente.

- Hé, les mecs ! Regardez, il bande de plus en plus !

- Hein ? T'es sûr ?

- Ouais, regarde: il bande !

- Aaaah , quelle saaaaaloooope !

 

Nouveaux éclats de rire. Le costaud accentue la pression de ses mains sur mes hanches et la vigueur de ses coups de boutoir:

- Alors, tu aimes ça ? Je te baise bien, hein, ma salope ? Ça t'excite, de te faire troncher ?

- MMMM  MMMMM  MMMMMM MMMM ! (Oui, elle me plaît, ta queue. Oui, tu me baises bien. Oui, tu me fais jouir. Oui, j'ai envie de sucer de la queue. Oui, j'ai envie d'être pris par les deux bouts. Oui, j'ai envie que vous me baisiez tous…)

 

J'ai très envie de hocher la tête en même temps que je grogne à travers mon bâillon, mais je m'abstiens.

- Qu'est-ce que tu dis, chérie ? T'en veux encore ?

 

Rires gras.

- Et si on lui enlevait son bâillon pour qu'il nous suce ?

- Déconne pas, il va gueuler …

- Tu gueules, si on t'enlève ton bâillon ? Si tu essayes, on t'assomme …

 

Moment de flottement. Le costaud ralentit, en attente. Ils sentent que la situation a évolué, mais ils ne savent pas à quel point. Dans le fond, ça les arrangerait certainement si leur forfait pouvait évoluer en partie de cul entre adultes consentants. Ils restent silencieux, ils doivent se regarder les uns les autres en attendant que je réponde. J'hésite. Excité comme je suis, je balance entre l'envie de profiter pleinement de la situation et la peur de choper une saloperie. De toute façon, quoi qu'il arrive, que je sois d'accord ou pas, ils vont tous me passer dessus, et sans doute sans capote, puisque le costaud me prend comme ça. Les autres vont être tentés de faire pareil. Au fond, ça me plairait bien, si je pouvais me faire remplir de semence par tous ces mecs ... Mais là, tout de suite, c'est déjà de pipes qu'il est question. Il paraît qu'il y a moins de risques à sucer qu'à se faire enculer … Alors, pourquoi ne pas les sucer ? Pour le reste, on verra après …

 

Je secoue la tête négativement:

- MMMMMMM (Non, je ne gueulerais pas)

 

On desserre mon bâillon et une main l'écarte un peu de ma bouche:

- Tu gueules pas, hein … Fais gaffe !

- Non, je ne gueule pas.

- Yeeesssssss !

 

L'un d'eux ne peut s'empêcher de manifester son enthousiasme.

 

On ne me l'enlève pas complètement mon bâillon, on se contente de le descendre sur mon cou. On ne sait jamais …

- Voilà, t'es une bonne fille…

- On veut que tu nous suce …

- J'avais compris.

- Tu vas nous sucer ?

- Vous êtes … vous êtes tous sains ?

- …

 

Silence. Ils doivent être en train de se consulter du regard, de s'interroger sur le sens de ma question.

- Moi ouais …

- Moi pareil …

- Moi aussi …

Et quelques grognements d'assentiment.

 

- Euh, ouais, apparemment, on est tous sains … Pourquoi tu demandes ça ?

- Alors, oui, je vous suce, mais …

- Mais quoi ?

- … mais sans capote …

- Yeeeeeeeeesss !

- Ah ! Mais t'es vraiment une belle salope, toi !

 

Mouvements près de la tête du lit. Ils sont plusieurs à s'approcher, à droite et à gauche, sans doute pour être dans les premiers à investir ma bouche … Le costaud a repris son va et vient dans mon cul. J'attends, un peu anxieux … Comment je vais pouvoir les sucer, immobilisé comme je le suis ? Je vais devoir en sucer combien? Le matelas s'affaisse, d'abord à ma droite, et je sens quelqu'un passer au-dessus de moi et écraser le matelas sur ma gauche. Comme un poids sur ma tête, et je sens un contact chaud et un peu humide sur ma joue … une queue. L'un d'eux, à demi allongé au-dessus de moi, me présente son sexe à sucer. J'ouvre la bouche et le type y glisse sa queue. Je sens ses doigts contre mes lèvres: il tient son membre fermement … Il est encore calotté. Je passe ma langue sur son méat et j'essaie de la glisser entre son gland et son prépuce. Elle se décalotte peu à peu. Il lâche sa queue et s'appuyant sans doute des deux coudes derrière ma tête, il commence, lui aussi, un va et vient … Deux mecs sont en train d'aller et venir en moi: un dans mon cul, un dans ma bouche ! 

 

Dans cette position inconfortable, je m'efforce de contribuer autant que je peux à cette fellation. Je ne veux pas être uniquement un orifice chaud, humide et inerte, dans lequel ce mec se donne du plaisir … Alors, des lèvres et de la langue, je participe, j'accompagne son va et vient. Il le sent, s'immobilise, et se laisse sucer. Il a l'air de préférer que je sois actif. Et en riant:

- Mais, dis donc, tu aimes ça aussi, de sucer de la bite…

- …

- Attends …

 

Il bouge, sort sa queue de ma bouche, se redresse, et je sens qu'il dénoue le lien qui attache ma main droite à la tête du lit.

- Détache-le aussi …

 

Il s'est adressé à un comparse sur ma gauche. On me détache aussi de ce côté. Je peux changer de position. Je me redresse en m'appuyant sur les mains. Me voilà à quatre pattes sur le lit. Le costaud, sans doute inspiré par cette nouvelle position, croit bon de me rappeler sa présence en me donnant quelques puissants coups de boutoir. Comment aurais-je pu l'oublier ? Je me cambre (Oh oui ! Bourre-moi bien à fond !) et, la bouche entrouverte, je halète:

- hhhhhh ! hhhhhh ! hhhhhhh ! hhhhhhh !

- Alors, maintenant que tu n'as plus ton bâillon, dis-le nous que tu aimes ça …

 

Je hoche la tête!

- mmmmmmhhhhh!

- Dis-le: j'aime ça …

- j'aime ça … aaaaahhhhhhh  !

- You houuuuuuuu !

C'est ses copains qui ont réagi: rires, éclats de voix, ils se tapent dans les mains les uns les autres, comme pour fêter une victoire. Je les devine contents, mais aussi soulagés: pour eux, ce n'est plus un viol, je suis consentant. Le costaud insiste:

- Dis-le: j'aime la queue …

- hhhmmm … j'aime la queuuuuuue …

 

Tout en m'interrogeant, il me fourrage, lentement, méthodiquement, profondément … Je ne peux détacher mon esprit de ce qu'il est en train de me faire: je sens son membre coulisser dans mon rectum, son gland s'enfoncer dans mes chairs … j'adore ça: j'ai un mec en moi, un mec, ou plutôt un black bien monté et qui se donne du plaisir à me baiser ! Dans un vague brouhaha, j'entends que les autres se marrent. Alors, je réalise qu'en plus, je suis en train de me faire baiser devant un public … et ça accroît mon plaisir. Non, en fait: pas n'importe quel public: des mecs! Je ne sais même pas combien de mecs, mais des mecs ! Des mecs avec des queues, des mecs que ce spectacle excite, et qui ne vont pas se contenter de regarder: ils vont aussi me baiser chacun leur tour … Je réalise aussi que, pendant ce temps, celui que j'ai commencé à sucer, tout en suivant notre "conversation", en profite pour s'installer confortablement: écartant mon bras droit, il se glisse devant moi, il s'assoit le dos calé à la tête du lit, il prend ma main droite et la guide jusqu'à son sexe. Instinctivement, je commence à le masturber doucement, l'esprit toujours rivé sur la queue du costaud.

 

Le costaud qui poursuit:

- Tu aimes la queue, mais, ma queue à moi, tu en dis quoi ?

- oh … je l'aime, ta queue … hhhhhhh …

- Et pourquoi, tu l'aimes, ma queue ?

- ahhhh … hhhhhhh … hhhhh … hhhhhh …

- Alors ? Vas-y, dis-le …

- elle est grosse ta queue … hhhhhhhh … J'aime ta queue parce que … elle est tellement grosse … hhhhhhhh …

- Et, quoi d'autre ?

- hhhhhhh … hhhhh … hhhhhhhh …

- Je t'ai fait jouir, tout à l'heure ?

- hhhhhh … hhhhhhhh … 

- Allez, dis-le !

- OUIIIII, tu m'as fait jouir … hhhhhhhh … tu me baises bien … baise-moi … baise-moi … BAISE-MOI !

 

Le silence s'est fait autour de nous. Les autres n'en reviennent pas de m'entendre réclamer comme ça ! Le costaud ricane:

- Hé hé hé hé hé …

 

Maintenant que la "conversation" paraît terminée, celui que j'ai commencé à sucer, pose ses mains sur ma tête et la pousse vers sa queue. Je me laisse faire, je la prends et je recommence à la sucer … Ce membre chaud, vivant, fébrile, sur ma langue, me détourne un peu de ce que me fait le costaud … D'autres sensations, d'autres idées se bousculent dans ma tête: toi, je vais t'en donner du plaisir, tu vas voir, je vais te sucer jusqu'à ce que tu jouisses, je vais te faire cracher la semence que tu as dans les couilles … 

 

Je suis de plus en plus excité. Deux mecs … deux mâles … deux bites qui jouissent en moi ! Un double coït ! Et après ces deux-là, il y en a d'autres à venir …  ils attendent leur tour … ils vont me prendre aussi, les uns après les autres… ils vont aussi me baiser le cul, la bouche … ils vont prendre du plaisir dans mes orifices … Oh, si j'étais une femelle, des trous, j'en aurais trois à me faire remplir par des queues … oh, avoir trois bites en moi, trois mecs qui me baisent en même temps, qui prennent du plaisir dans la tiédeur humide de mes trous ! Mais là, avec seulement deux orifices, je suis déjà une femelle: j'ai des mâles en moi, je les excite, ils copulent, ils me prennent par les deux bouts … Mon excitation monte, monte, monte … Je m'entends gémir en suçant frénétiquement cette queue … Non, je ne gémis pas, je couine … J'ai envie de vider celui-ci le plus vite possible, pour qu'un autre prenne sa place …

 

Sa respiration est saccadée, et sous mon front, ses abdominaux sont contractés. Il se met aussi à gémir … il va éjaculer ! Brutalement, il repousse ma tête et dans le même mouvement, il se dégage et se relève:

- Ah, la vache ! Quelle suceuse !

Je me sens frustré: j'attendais, j'espérais un flot de semence chaude dans ma bouche … De la main, à l'aveugle, je cherche à attraper un autre mec, une autre queue à sucer … 

 

En effet, un autre intervient, mais derrière moi:

- Ouais, à moi, maintenant … Passe-le moi …

 

"Passe-le moi": c'est de moi qu'il parle ! Je suis un objet … un objet de plaisir ("passe-moi le joint"), un jouet ("passe-moi la console de jeu"), un bout de chair vivante, chaude et humide qu'ils se repassent et dans laquelle ils se font du bien, chacun leur tour, dans lequel ils vont se soulager … "Passe-le moi" ! Pourquoi, au lieu de me vexer, de m'humilier, cette formule contribue-t-elle à m'exciter ?

 

Le costaud effectue encore deux ou trois va et vient, et cède la place. Celui à qui il me "passe", me pénètre directement, sans aucun préliminaire. Petite bite. Je suis toujours à quatre pattes, mais celui-ci, sa petite queue plantée en moi, allonge son buste sur mon dos et entoure mon cou de ses bras. Le visage contre ma nuque, il me souffle:

- J'ai pas mis de capote … Je vais te baiser comme ça …

- …

- Tu dis rien ? T'as pas peur ?

 

Ça l'excite de jouer à me faire peur ? Il se redresse, commence à aller et venir, lentement. 

- Hein, t'as pas peur que je te plombe ? J'ai le SIDA …

- Tu as dit que non, tout à l'heure

- Moi ? J'ai rien dit …

- Si tu as le SIDA, tu vas le refiler à ceux qui vont passer après toi …

- Ils vont mettre des capotes, eux …

- Moi aussi, j'ai le SIDA …

- Non, ton test dit que non …

- Bon, on verra. J'ai pas le choix … si ?

- Non, t'as pas le choix … je vais te juter dans le cul … je vais te plomber …

 

Il s'appuie sur ses avant-bras et accentue son mouvement. Petite bite, et en plus, éjaculateur précoce. Ça va très vite: il se met à souffler bruyamment, amplifie et ralentit son mouvement, sort brusquement de mon cul et s'écroule sur moi, la queue logée dans ma raie. Je sens son sperme gicler jusque sur mes reins. 

- Aaaaaah ! Saaaloooooope ! 

 

Il se relève et, frustré d'avoir joui si rapidement ou de n'avoir pas réussi à me paniquer, il m'administre un violent coup de poing entre les omoplates qui me coupe le souffle. C'est ses potes qui protestent:

- Ho, mec ! Ça va pas la tête ?

- C'est qu'une sale pute ! 

- Ouais, ben ça sert à rien de le cogner …

 

On s'assoit à côté de moi et une main se pose délicatement sur ma tête:

- Ça va ?

 

Je hoche la tête (Ça va …)

 

[La suite dans l'article ci-dessous.]

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 18 septembre 2014 4 18 /09 /Sep /2014 00:30

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Un silence embarrassé s'est fait autour de moi. Sous l'effet du coup de poing de "petite bite", je me suis aplati sur le lit. Mon excitation est retombée. Je sens le matelas s'affaisser de nouveau entre mes jambes, des mains se poser sur mes hanches et me remettre délicatement le cul en l'air. Un qui ne perd pas le nord: pas content que son pote m'ait cogné, mais il va quand même me baiser, et tout de suite … On essuie la semence qui me souille les reins. Alors que je m'attends à être de nouveau pénétré (une cinquième fois ?), c'est un visage que je sens se loger entre mes fesses. Tandis que des mains m'écartent les fesses, des lèvres se posent sur ma raie. Il pose des baisers tout au long de ma raie. La séquence avec "petite bite" a fait retomber mon excitation, mais la douceur de celui-ci me trouble. Tant bien que mal, je m'efforce d'écarter les cuisses et les fesses au maximum pour lui faciliter les choses. Il le sent et à une imperceptible secousse de son visage contre mes fesses, je devine qu'il pouffe de rire. Sa bouche est maintenant posée sur ma fleur en un baiser immobile. Attendre de savoir ce que va me faire cet autre mâle inconnu, ainsi offert, livré à son caprice …  c'est un délice: va-t-il m'enfoncer sa langue, ses doigts, son sexe ? Sa langue, j'espère … J'ai très envie qu'il m'enfonce sa langue … (Allez, fais-le moi, tu me baiseras après … )

 

Ouiiiii ! C'est sa langue qu'il m'enfonce … C'est chaud, humide, vivant … J'adore ça ! Je décontracte mon sphincter, je m'ouvre autant que je peux à sa pénétration … Tout en me … languant … il ôte une main de ma fesse, la passe sous mon ventre et me saisit le sexe … Sous l'effet de ces deux caresses, je ne peux refréner un début d'érection et un halètement … qui ne lui échappent pas. Il commence à me masturber. Ce mec sait se servir de sa langue: on ne m'avait encore jamais léché, pénétré comme ça. C'est moins gros et moins long qu'une queue, mais c'est tellement plus vivant, comme un petit animal tout chaud qui s'agite fiévreusement à l'entrée de mon anus. Submergé par cette vague de volupté, mes défenses cèdent: perdant tout orgueil et toute pudeur, je ne peux réprimer un gémissement de plaisir … que les autres entendent:

- Ça va, ma poule ?

- Tu jouis encore ?

- … hhhmmmmmmmmm …

- Ah, putain ! Tu vas pas regretter d'être venue, on dirait …

 

Ils se marrent. Celui qui est assis à côté de moi (lequel: le meneur, numéro 2, le costaud, un autre encore ?), se lève, pose un genoux sur le lit, m'empoigne les fesses à deux mains et me les écarte vigoureusement pour aider son copain:

- Fais-le crier ! Vas-y, il aime ça …

 

J'entends qu'on se rassemble encore autour de mon cul, qu'on murmure. L'autre, le nez écrasé contre ma raie, la langue fourrée dans mon cul, abandonne ma queue et m'empoigne à deux mains, à l'angle de mes cuisses et de mon ventre. Stimulé par le coup de main de son copain, par le regard sans doute admiratif et envieux des autres et par mes réactions, il me tire puissamment vers lui, et agite encore plus vigoureusement et plus profondément sa langue en moi. Vaincu, je halète, je gémis maintenant sans pudeur et sans retenue:

- hhhhhhhhhhhh ! aaaahhhhh ! hhmmmmmm !

 

Silence à peine entrecoupé de murmures et de rires étouffés: les autres contemplent, commentent, admirent, envient … Moi, je voudrais que ça dure … infiniment. Mais "la langue" se fatigue, étouffe peut-être, le nez écrasé dans ma raie … Il se redresse et l'autre me lâche les fesses.

- Prends-moi, maintenant !

 

Ça a été plus fort que moi: j'ai crié … Je m'empoigne la fesse droite, je l'écarte, offrant mon cul, et j'insiste:

- Baise-moi, maintenant !

 

Un silence, puis:

- Ben, vas-y, baise-le …

 

Les autres rient doucement. Je crois que je les sidère quelque peu … "La langue" hésite. Un autre intervient:

- Alors, si tu le baises pas, tu me le laisses, je vais le défoncer …

- Non ! C'est lui qui me baise ! Toi, après !

 

Je n'ai pas demandé, j'ai ordonné ! Nouveau silence. J'attends, la main crispée sur ma fesse. Enfin, "la langue" se décide: 

- Passe-moi une capote …

- Non ! Sans capote !

 

De nouveau, j'ai crié. Je le défie:

- Pas de capote ! Tu as peur ?

- Euh, non … non …

 

Pas convaincue, "la langue", mais je sens qu'il ne veux pas se dégonfler devant les autres. Il repousse ma main, pose la sienne sur ma hanche, guide son sexe contre ma fleur et me pénètre. Encore tout mouillé de sa salive, mon cul l'engloutit d'un seul coup. Queue … normale … Mais autant il était bon avec sa langue, autant il est banal avec sa bite … Aucune fioriture: il va et vient, toujours au même rythme. Je suis un peu déçu. Tans bien que mal, je passe ma main libre sous mon ventre, jusqu'à mon cul. Mes doigts effleurent ses couilles au moment où il cogne son bassin contre mes fesses.

- Arrête-toi …

 

Après une seconde d'hésitation, il s'immobilise, déjà à moitié ressorti de moi. 

- Reviens au fond …

 

Il hésite, comprend ce que je veux et revient se coller à moi, bien au fond. Je touche ses boules. Je les caresse, je les palpe … 

- Je veux que tu me baises …

- Je fais quoi, là ?

- Je veux que tu jouisses dans mon cul …

- …

- Tu comprends ou pas ? Je veux que tu me décharges dans le cul …

 

De nouveau silence général, ponctué de rires et de murmures.

- T'es sûr ?

- Oui.

- Bon, OK …

 

Il reprend son va et vient laborieux. Mais ce que signifie ma demande fait son chemin depuis son cerveau jusqu'à sa queue, puis de sa queue à son cerveau. A la pression de ses mains sur mes hanches, à la vigueur de ses coups de reins, je sens que l'idée l'excite: il souffle de plus en plus bruyamment. Et soudain, il accentue encore son mouvement, me secoue de plus en plus fort et jouit en moi en poussant un long râle:

- Aaaaaaaaaaaahhhh ! Ah, la vache ! Aaaah, puuuu … taiiiiin !

 

Il sort aussitôt de moi et descend du lit. Je glisse ma main libre sous mon ventre, jusqu'à mon œillet, que je palpe du bout des doigts. Je le sens dilaté, encore légèrement ouvert, un peu humide, et surtout, très sensible, excité ... Je reste dans la même position, le cul en l'air, pour que la semence de "la langue" reste au fond de moi. J'aimerais que les autres me fassent comme lui, qu'ils se vident en moi. Tout en m'effleurant la rondelle des doigts, je me balance lentement de droite à gauche en gémissant doucement … J'attends qu'un autre me prenne … Personne ne se décide, on dirait … Je brûle d'envie de leur demander de me féconder chacun leur tour, mais j'hésite … Qu'est-ce qu'ils attendent … Leur excitation retombe ? Alors je me décide:

- Je suis prêt …

- …

 

Ils doivent se regarder les uns les autres … Lequel va prendre la place ? Je me suis introduit deux doigts dans le cul et en les écartant, je m'entrouvre le fourreau, je leur montre mes chairs humides (hé, regardez… qui vient mettre sa queue au chaud là-dedans ?)

 

Il y a comme une bousculade autour de mon cul. Ils sont au moins deux à vouloir prendre leur tour. 

- Bon, à toi … Vas-y …

 

Il se font des politesses ! Une nouvelle présence derrière moi, les mains sur mon cul, qui me lance:

- Recule un peu …

- Moi ?

- Oui, toi ... la salope !

 

Je reconnais la voix du meneur. Je fais prudemment marche arrière. Quand j'ai les genoux au bord du matelas, les pieds dans le vide:

- C'est bon … Ecarte un peu …

- Quoi ?

- Ecarte les jambes !

 

Il veut me prendre … non, me reprendre, lui debout au pied du lit, et moi à quatre pattes, les genoux au bord du lit. Je le sens qui guide son sexe contre mon œillet. Il assure ses mains autour de ma taille, et il me pénètre:

- Coucou ! C'est encore moi !

 

Il se marre, ses potes aussi … Par le petit espace qui s'est créé peu à peu en bas du bandeau que j'ai sur les yeux, je distingue deux paires de jambes de chaque côté du lit. Je reconnais celles du costaud. Normalement, ils sont six … où est le dernier ? Derrière moi ? Apparemment, les quatre que je vois regardent … et attendent leur tour ? Je tourne la tête sur le côté et, me mettant deux doigts dans la bouche, la langue sortie, je mime une fellation … Ça fait tout de suite son effet.

- Hé, il veut sucer !

 

Aussitôt, quelqu'un écarte ma main droite, se glisse sous moi et m'appuie sur la tête. Je saisis une verge dressée et ma bouche rencontre un gland déjà décalotté. Je commence à explorer ce membre des lèvres et de la langue … Celui-ci n'a pas encore été dans mon cul …

 

De son côté, le meneur va et vient assez vite, me donnant de temps en temps un coup de reins un peu plus vigoureux, avant de reprendre sa chevauchée. Je sens ma fleur se réveiller … Au bout d'un moment, il lâche ma taille, s'extrait de moi, et s'adressant à un de ses complices:

- A toi !

 

Je les entends se taper dans les mains, comme des basketteurs qui se relaient sur le banc, et un nouveau s'installe entre mes mollets. Il frotte une ou deux fois son gland dans ma raie, le presse sur mon œillet (Oui, vas-y, mets-le moi !) et l'enfonce. Quelles sensations ! Tout en suçant un inconnu, sentir ces deux autres, tout aussi inconnus, se relayer dans mon cul, en sachant que d'autres encore attendent leur tour et vont me prendre successivement !

 

Mains sur mes hanches, ce nouveau venu me chevauche à son tour, au même rythme que le meneur. Qui est-ce ? Je ne le reconnais pas. Mon cul commence à s'échauffer, à s'enflammer … Je ferme les yeux, je me concentre sur ce qu'il me fait. Ça ne dure pas plus longtemps que le meneur: il s'extrait, et:

- Suivant !

 

Nouvelle claques dans les mains, et un autre prend place derrière moi. Oh oui, c'est bien comme ça, les mecs ! A la chaîne ! Dès qu'il pose son gland contre ma rondelle, je reconnais le calibre du costaud. Sortant la queue que j'ai dans la bouche, je ne peux réprimer un:

- Ooooh ouiiiii …

 

Sans aucun préalable, d'un seul coup de reins, il me remplit. Lui, me met le feu ! Malgré son rythme soutenu, en pensée, je suis chaque centimètre de ses pénétrations et de ses extractions. J'en ai le souffle coupé, des vagues de plaisir me submergent. Je me cambre autant que je peux … Totalement absorbé par ce qu'il me fait … subir, je m'abstrait de toute autre sensation … Ce n'est qu'au bout d'un long moment que je réalise que les autres rient, s'esclaffent … et que je comprends pourquoi: je n'ai pas repris la queue dans ma bouche, mais je la masturbe convulsivement, au rythme des coups de boutoir du costaud, et je suis de nouveau en train de gémir de plaisir …

 

Et ça excite autant celui qui me baise que celui qui est allongé sous moi: le premier accentue son mouvement, souffle entre ses dents, les mains crispées sur mes hanches, tandis que l'autre halète bruyamment, au bord de l'éjaculation. J'ai littéralement le feu au cul. Je me penche et je reprends la queue dans la bouche. Ses mains sur ma tête, celui que je suce m'enfonce d'un violent coup de reins son membre au fond de la gorge. J'en ai un haut le cœur et au moment où je recule ma tête, un flot tiède m'envahit la langue, les joues, le palais … Je déglutis, j'avale en gémissant de plaisir … Brusquement, le costaud s'extrait de moi et s'écarte. Je sors la queue de ma bouche.

- Oh non ! Reste ! Baise-moi encore ! 

- Laisse-moi souffler …

 

L'autre, mollement étalé sous moi, reprend bruyamment son souffle:

- Aaaaaaah ! Puuuu taiiiiiin ! Tu as tout avalé ! Mais où t'as appris à sucer comme ça ?

- …

- Faut me donner ton 06 pour que tu apprennes à ma meuf !

 

Il se marre. Les autres aussi. Derrière moi, un autre a déjà pris la place du costaud, me pénètre et commence à me ramoner.

- Alors toi, tu m'éjacules dans le cul, hein !

- Ben dis donc, ma salope, t'aimes ça, la bite, hein ?

- hhhhmmmmm … 

- T'inquiètes, tu vas en avoir, de la bite et du foutre …‍

 

Lui aussi, mon comportement, mes paroles l'excitent, parce que ses mains se crispent sur mes hanches, son souffle s'accélère … Sous moi,  un autre mec s'est installé, a saisi ma main et l'a guidée vers son ventre. Il veut que je le masturbe. Ma main rencontre son sexe. Il est couvert de lubrifiant, déjà raide, décalotté. Je parcours sa hampe du bout des doigts. Je sens le relief de ses veines et de son urètre. Ses bourses sont rasées. J'empoigne sa verge et je commence à faire glisser ma main de haut en bas. Je l'entends ouvrir la bouche et aspirer l'air bruyamment. Je lui fais de l'effet, beaucoup d'effet.

 

Derrière moi, j'entends l'autre haleter de plus en plus fort. Je sens que ça ne va plus tarder, il est prêt à jouir:

- Tiens, voilà! Aaaaaaaaaaah, la saaaaa … loooooope !

 

Plaqué contre moi, le gland au fond de mon cul, je sens sa bite tressauter dans ma rondelle. M'adressant à celui que je branle:

- Attends un peu …

 

Je lâche sa queue, je glisse une main sous mon ventre, jusqu'aux couilles de celui qui me baise. Elles sont remontées dans ses bourses. Je les saisis, je les pétris, comme pour en extraire toute la semence. Il a l'air d'aimer ça. Il grogne, il ronronne de plaisir.

 

- Bon à moi !

C'est un autre qui veut la place.

 

Mon baiseur s'extrait, comme à regret. Quand sa queue sort de mon cul, un liquide chaud et visqueux s'écoule sur mes doigts. Je ressaisis la queue qui est sous moi et reprends mon va et vient. Ça en fait trois qui m'ont fécondé, et un autre qui m'a giclé sur les reins. Encore trois …‍

J'ai déjà un autre mec dans le cul. Petit calibre. Celui-ci va lentement.

- Toi aussi, tu vas me remplir ?‍Tu m'as déjà baisé ?

- On t'a tous baisé …

- Oui, mais vous ne m'avez pas tous … fécondé …

- Mais t'es vraiment un trou à foutre …

- Tu te sens bien dans mon cul ?

- …

- Tu vas me juter dedans, hein ?

- Tu vas un peu la fermer, ta gueule, hein ?

 

Les autres se marrent encore. Attends, mon con, je vais la fermer ma gueule, mais:

- Hhhhhhh ! aaaaaahh ! hhhhhhhhhhh !

 

Bien que son laborieux va et vient ne me fasse pas jouir, je gémis parce que la situation m'excite (ces mecs qui se succèdent dans mon cul, qui me baisent et qui me fécondent, que je suce, chacun leur tour …) et parce que je sais que mes gémissements les excitent … Alors, comme une femelle, je simule pour les maintenir tous en forme, aussi bien celui qui est en train de me besogner, que celui que je suis en train de branler et ceux qui attendent leur tour. Je veux leur donner à tous l'envie de me faire crier. 

- oohhhhhhhh … hhhhhhhhh … hhhmmmmmm … 

 

Et ça fait son effet sur mon baiseur: il prend ça pour lui et, rapidement, il jouit à son tour en soufflant bruyamment:

- C'est ça que tu voulais, hein, salope ?

- oooooohh … ouiiiiiii … Tu m'as tout mis, hein ?

- Ah ! Quelle pute !

 

Quatre ! Encore deux …‍Il sort de moi. Cette fois, je sens le sperme s'écouler le long de ma cuisse. A celui qui est sous moi:

- Dis, je peux te sucer, maintenant ?

- hhhhhhh … non … branle-moi encore …

- allez … laisse-moi te sucer …

- non …

 

Le baiseur s'extrait de mon cul.

 

- Bon, je vais te remplir, cette fois …

 

Je reconnais le meneur. Tant mieux, ça veut dire que c'est le costaud qui va me prendre en dernier. Il va me finir en beauté … Inutile de préciser que le meneur n'a pas besoin de me lubrifier avec du gel. Il me pénètre d'un seul coup et entame aussitôt son va et vient. Ça n'a pas l'air de les déranger de tremper leurs queues dans un cul déjà plein de la gelée des autres. Lui tient le coup plus longtemps que le précédent, et je dois dire qu'il rallume le feu que les deux derniers avaient un peu éteint.

- Tu t'es déjà fait baiser par plusieurs mecs ?

- Hhhhmmmmm …

- C'est pas ta première fois …

 

Je secoue la tête:

- hhmmmmm …

- Par combien de mecs, tu t'es déjà fait baiser ?

 

Décidément, ça les préoccupe tous, de savoir par combien de mecs je me suis fait baiser ! Je compte: Thomas, Laurent, Gabriel, Lukas, Andrej et Sébastien au bord de l'autoroute, et Steve en dernier…

- Sept …

- en même temps ?

- Non … Seulement trois, en même temps … hhhhhhhhhh …

- Seulement ? Tu t'es déjà fait baiser par "seulement" trois mecs en même temps ?

- Oui… Hhhhhhhh … hhhhhhhh …

 

Sous moi, celui que je masturbe, sans doute excité par l'idée de trois mecs me baisant en même temps, ne peut plus se retenir. Je sens sa queue raidir, gonfler sous mes doigts et une liqueur chaude jaillit jusque sur mon menton, et se répand sur ma main. Je le finis en pressant consciencieusement sa verge entre mes doigts. Il roule sur le côté et descend du lit. Le meneur m'a laissé terminer son pote. Il reprend:

- Et les autres ?

- Quoi les autres ?

- Les autres qui t'ont baisé …

 

J'ai la main couverte de sperme. Je ne peux pas résister à l'envie, je me suce les doigts. Le meneur:

- Ah dis donc ! T'aimes ça, hein ? Alors, les autres …

- Un par un … Hhhhhhhhhh …

- T'es vraiment une pute, hein ? Tu aimes tellement ça, de te faire baiser ?

- Oui, j'aime ça … hhhhhhhhhh …

- Tu aimes sucer aussi …

 

Ce n'est pas une question, il a en eu la démonstration …

- Oui … aaaaahhh … 

- Tu aimes la bite sous toutes ses formes, quoi …

- Oui… Hhhhhhhhhhh ….

- Raconte …

- Oh non … Après … Baise-moi, maintenant …

 

Il affermit la pression de ses mains sur mes hanches et accentue son mouvement: 

- Non, raconte maintenant!

 

Ça doit l'exciter. Alors, soit:

- J'aime avoir des bites dans moi … hhmmmmm … j'aime exciter des mecs, j'aime les faire bander … j'aime leur donner du plaisir … hhhhhhhhhhh … et surtout les faire jouir … hhhhhhhhhh

- Et tu préfères quoi, sucer ou te faire enculer ?

- Pareil, j'aime les deux pareil … hhhhhhhh … mais surtout, j'aime me faire remplir … hhhh …

- Te faire remplir ?

-  Oui, me faire remplir de sperme ...  de jute … de foutre … hhhhhhh … J'aime quand les mecs éjaculent dans moi … hhhhhhhh …

- dans ton cul ?

- Les deux, dans mon cul et dans ma bouche … ahhhhhhhhh …

- Quelle salope ! Finalement, c'est bien tombé, qu'on te chope …‍Tu attendais un mec ?

- J'en avais cherché un, mais je n'ai pas trouvé … hhhhhhh …

- Bon alors, avec nous, tu as eu ce que tu cherchais ..  t'es pas fâché qu'on se soit occupé de toi ?

- Occupé de moi ? Mais vous m'avez violé !

- Mouais ! Ça te plaît, alors c'est pas du viol …

- Si ! C'est du viol … mais ça me plaît … 

- Alors, te faire baiser par autant de mecs, c'est la première fois ?

- Oui… mais vous êtes combien ?

- Là ? On est six. Pourquoi ?

- Six ?

- Ouais. En fait, on est plus, mais les autres n'ont pas voulu venir …

- Pourquoi ?

- Pas d'accord pour qu'on te … force … ou pas envie de baiser un mec … même un trav …

- …

- Tu aurais préféré qu'on soit plus ?

- hhhhhhhhh … Ils sont combien, les autres ?

 

Ceux qui nous entourent n'ont rien perdu de notre conversation, ponctuant mes réponses de grognements approbateurs. Ils se marrent et commentent ("Quelle pute! Quelle salope! Sac à bites! Etc."). 

- Les autres ? Ils sont six, mais certains doivent déjà être repartis … Tu en veux d'autres ?

 

Je hoche la tête affirmativement:

- hhmmmmmm !

- Pas croyable ! T'es ... t'es une ... Ah, je le crois pas !

 

Et s'adressant à un de ses potes:

- Va leur redemander … Dis-leur qu'il est d'accord, maintenant … et même que c'est lui qui veut …

 

J'entends la porte s'ouvrir et se refermer. L'un d'entre eux est parti chercher d'autres mecs … d'autres queues … J'espère qu'ils vont changer d'avis, et venir aussi me baiser, en particulier celui ou ceux qu'un viol dérangeait, puisque ce n'est plus un viol … En attendant, le meneur se concentre sur mon cul. Je sens que notre conversation l'a excité. 

 

Comme moi, finalement. Alors, renonçant à toute pudeur:

- Ooooooooh ! Allez, baise-moi, maintenant ! BAISE-MOI !

 

J'ai l'impression que ça l'achève: il accentue son mouvement et souffle entre ses dents, les mains crispées sur mes hanches. J'ai littéralement le feu au cul. J'entends sa respiration accélérer. Il halète, les mains crispées sur mes hanches.

- Ha ! Ha ! Haaaaaaaaaaaaaa !

 

Il éjacule à son tour, longuement. Et de cinq ! Je gémis de plaisir: j'ai fait gicler six mecs, dans mon cul, dans ma bouche, sur ma main, sur mes fesses ! Encore … encore … encore ! A ce moment, je me vois comme une de ces chiennes en chaleurs qui diffuse ses phéromones pour attirer des mâles, qui les excite, qui se fait renifler et lécher la vulve et qui se laisse monter, couvrir par tous ces mâles, sans distinction, pour se faire féconder par chacun d'eux, l'un après l'autre … Le meneur reste collé à moi un long moment en me caressant le dos, le ventre, les cuisses … Il y a comme de … la tendresse dans ses gestes … sans doute comme il le ferait avec une vraie femme après l'amour …

 

La porte s'ouvre. On entre. Celui qui était parti chercher ses potes revient … bredouille ?

- Alors, qu'est-ce qui se passe ici ? Il nous dit qu'il est d'accord …

 

Non pas bredouille: il revient avec au moins un autre mec …

- Ouais, on l'a un peu forcée, mais finalement, elle aime ça …

 

C'est le meneur, toujours dans mon cul et ricanant, qui lui a répondu. Il poursuit:

- Regardez: elle est docile, on lui est tous passés dessus, et elle en veut encore.

 

S'extrayant de moi, il m'interroge:

- Pas vrai, que tu en veux encore ?

 

J'acquiesce:

- Mmmmmhhhh …

 

Un autre a déjà pris sa place, qui me pénètre et commence à me ramoner. Le meneur poursuit:

- Je t'assure, on l'a déjà tous fourrée … et elle est bonne, tu peux me croire …

 

Les autres approuvent:

- Ouais, c'est un trou à bites …

- Et elle suce … je te dis pas …

- Il s'est déjà fait baiser par six mecs avant nous …

 

Je corrige:

- Non, sept !

- Ah ouais, sept …

- Mais il veut qu'on le baise sans capote …

- C'est une folle du cul …

- C'est une folle de jute, aussi …

- Mais … quand même, vous vous retirez avant de …

- Non, non, il veut qu'on lui jute dans le cul …

- Vous lui avez tous … juté dans le cul ? C'est vrai, tu veux qu'on te …

 

C'est à moi qu'ils s'adresse.

- Oui, si vous n'êtes pas malades, baisez-moi sans capote et jouissez dans mon cul … Il n'y en a qu'un qui a joui sur mes fesses … mais je préfère dedans … Baisez-moi !

- C'est moi qui t'a juté sur le cul, salope! Maintenant je vais te remplir …

 

C'est celui qui est en train de me ramoner.

- Tant mieux ! Vas-y ! Baise-moi !

 

- Bon, alors, si il est d'accord, je veux bien le baiser aussi, moi … 

 

C'est un nouveau venu. 

- Mais, si il s'est déjà fait baiser par d'autres mecs, vous n'avez pas peur d'attraper une saloperie ? Il est peut-être plombé …

- Non, on a trouvé un test HIV dans son sac … négatif.

- Et des capotes …

- Et du lubrifiant …

- Ouais, et du lubrifiant. Mais, si vous voulez le baiser avec capote, ça devrait être possible… 

 

Et s'adressant à moi:

- Ils peuvent quand même te baiser avec capote, nos potes ? 

- Si ils ne sont pas malades, non … ils sont malades ? Et ils sont combien ?

- Moi je suis pas malade … et toi?

- Moi non plus … On est deux … en plus des autres …

- Alors baisez-moi sans capote, si vous n'avez pas peur de fourrer vos queues dans la purée des autres …

- Moi, ça me va …

- Pareil …

 

Ils doivent avoir une idée de ce que ça donne, de me tringler dans ce que les autres m'ont mis: celui qui est en train de me baiser patauge dans le sperme et j'entends les bruits de succion que fait sa queue à chaque aller et retour … Et leur crème me coule le long des cuisses.

 

Alors, si celui-ci arrive à m'éjaculer dans le cul, ça fera six fois rempli, avec le costaud et les deux nouveaux, ça fera … neuf fois ! Oh, je voudrais bien voir toutes ces queues alignées devant moi … Lui, là, dans mon cul, je vais l'aider. Je glisse de nouveau ma main sous mon ventre et je lui effleure les couilles. Ça l'électrise. Du coup, il se plaque contre mes fesses, et reste immobile, attendant visiblement que j'en fasse plus. Je le caresse puis, tant bien que mal, je m'efforce de prendre ses couilles dans la main. Elles sont plaquée contre son périnée, recroquevillées dans ses bourses. Il sent que je n'y arrive pas. Il se recule un peu et tire lui-même sur la peau de ses bourses. Voilà, je peux maintenant en entourer la base entre mon pouce et mon index. Il se replaque contre moi:

- Aaaaaaaaah ! Saloooooope !

 

Je le pétris, je le malaxe:

- Allez, vas-y ! Répands-toi ! Toi aussi, donne-moi ton sperme ! Baise-moi ! BAISE-MOI !

- Ahh ! Ahh ! Ahh ! Ahh ! Ahh ! 

- Oh oui, ça vient ! Oh, c'est bon ! Baise-moi ! BAISE-MOI !

- Aaaaah Quelle salope ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhh !

 

Ça y est, je sens les soubresauts de sa queue. Il s'affale sur mon dos en râlant. Là, plus de violence, il a réussi à me féconder … Je ne sais même plus combien j'en ai fait jouir …

 

- Allez, vire, maintenant …

 

C'est la voix du costaud. Ah non, pas lui … pas maintenant … L'autre se retire.

- Attends, c'est toi, avec ta grosse bite ?

- Ouais …

- Attends, alors … Toi en dernier … Tu me feras jouir …

- … Ah bon ... OK …

 

Au ton de sa voix, je perçois une espèce de fierté: je le choisis pour jouir, pour me finir … J'ai touché son orgueil de mâle, de baiseur …

Les autres s'esclaffent:

- Elle est amoureuse …

- Tu vas le démonter, hein ?

 

Je les coupe:

- Hé, les nouveaux, à vous !

 

La tête sur le matelas, je m'empoigne les fesses à deux mains et je les écarte. Le cul béant, sans doute dégoulinant de sperme, j'attends qu'un septième mâle me prenne, me remplisse …

 

Bruits de vêtements qu'on enlève …

- Tu y vas ?

- Oui.

 

Le matelas s'affaisse de part et d'autre de mes genoux …

- Enlève tes mains et serre tes jambes !

 

J'obtempère. Il est debout sur le lit, au-dessus de moi. Je sens son gland contre ma fleur. Il me pénètre. Aaaaaaaaaaaaaah ! C'est bon, comme ça, les jambes et les fesses serrées, je sens bien sa queue … Il monte et descend en rythme. C'est le septième qui me prend, aujourd'hui !

- C'est vrai que tu es bonne, chérie …

- Hhhhhhhhhhhh ! Oh, c'est bien, comme ça !

 

Il finit de repousser ma minijupe, déjà bien remontée sur mon ventre, et je le sens qui empoigne la ceinture de mon porte-jarretelles. Ainsi agrippé, il va et vient en moi comme un piston. Il pousse un grognement à chaque pénétration. C'est la première fois qu'on me baise comme ça … Il y a une espèce de … brutalité dans sa façon de me ramoner … pas une violence, mais une intensité, une ardeur, une fougue … J'adore ça et je le manifeste en gémissant de plus belle:

- hhhhhhhhhhhhh ! ahhhhhhhhhhh ! mhhhhhhhhhh !

 

Au silence qui s'est fait autour de nous, j'ai la sensation que les autres sont impressionnés. J'aimerais bien les voir en train de me regarder me faire baiser … Je me décide et je fais glisser le bandeau qui me masque les yeux. Personne ne réagit. Soit ils sont accaparés par le spectacle, soit maintenant, ils se foutent que je les vois. Je tourne la tête sur la droite. Ils sont trois de ce côté, tous complètement à poil, tous les trois la bite à la main en train de se masturber, les yeux rivés sur leur pote qui me chevauche, et sur mon cul. Oui, trois blacks … Je me tourne de l'autre côté. Là, je n'en vois que deux, qui se masturbent aussi, et l'un des deux est le costaud. Oooooh, quelle bite ! Les deux derniers doivent être derrière moi, au pied du lit. 

 

D'ailleurs, je sens une main se glisser entre mes cuisses:

- écarte un peu …

 

L'autre, au-dessus de moi, s'arrête un instant. J'écarte un peu les genoux et la main finit de se glisser, me saisit le paquet et l'attire vers l'arrière. Je réalise que je bande …

- resserre, maintenant …

 

J'obéis et me voilà, la queue et les couilles coincées derrière mes cuisses. Au-dessus de moi, le va et vient reprend. On commence à me masturber. Oh non! Ça va aller trop vite …

- Arrête, arrête !

- T'aime pas ?

- Si, justement … j'aime trop, ça va aller trop vite …

 

Il continue.

- Arrête, s'il te plaît … Après … tu me branleras après, si tu veux …

- Après quoi ?

- Quand vous m'aurez tous baisé …

- Ouais, laisse tomber !

 

C'est le costaud qui intervient. Je lui ai dit que je veux que ce soit lui qui me fasse jouir, et il devine que si je jouis maintenant, mon excitation va retomber … Pas fâché de faire le mâle dominant, dont je serais la femelle: il veut bien me prêter aux autres pour qu'ils prennent leur plaisir, mais c'est lui qui décide ce qu'on me fait et c'est lui qui me fera jouir … 

 

L'autre obtempère. Au-dessus de moi, les grognements s'accentuent. Il souffle maintenant comme un taureau. Il va éjaculer:

- Ooooooooh ! ooooooooh ! ooooooooh ! ooooooooh ! 

 

Il se plaque contre moi, pèse de tout son poids sur mon cul. Je résiste comme je peux pour ne pas m'effondrer. Sa queue est tout au fond de moi…

- Aaaaaaaaaaaaaah ouiiiiiiiiiiiiiii, t'es booooonnnne, aaaaaaaaaaaaah !

 

Il jouit et je sens sa queue s'agiter dans mon cul. Ça n'en finit pas.

Enfin, il se redresse, sort son membre de moi et descend du lit. Et de six éjacs dans mon cul ! Plus ils me baisent, plus ils me fécondent, plus j'en veux !

 

Le costaud a remarqué que j'avais enlevé mon bandeau, il me sourit et me fait un clin d'œil. Je baisse les yeux sur sa grosse queue, je les relève vers les siens et je passe ma langue sur mes lèvres. Inutile d'en dire plus, il a compris, et tandis que je me redresse en m'appuyant sur les mains, il s'approche de moi. Je prends sa queue dans la main et j'entreprends de le masturber. 

 

Un autre est déjà derrière moi. Je me tourne vers lui tout en branlant le costaud:

- Tu es un des deux nouveaux ?

- Oui …

 

C'est le huitième!

- Bon, vas-y, prends-moi …

- Oui oui, t'inquiète …

- Les autres … vous pouvez y revenir, hein …

 

Ils se marrent… Je me tourne vers le costaud, je l'attire un peu plus vers moi et je prends sa queue dans la bouche. Quel morceau ! Un poing sur une hanche, l'autre main sur ma tête, il me regarde le sucer … LA posture du mâle … Sa queue a le goût de mon fluide anal, mêlé de lubrifiant. Deux de ses copains s'approchent et se masturbent en me regardant le sucer. Le  nouveau n°2 est déjà dans moi. De nouveau une queue raide dans chaque orifice … le bonheur ! 

 

Celui qui m'encule est un rapide. Il a dû s'exciter à voir les deux qui l'ont précédé me baiser, et surtout, il me voit sucer le costaud. Ça va très vite: il sort sa queue de mon cul, et je le sens qui commence à éjaculer dans ma raie, ou plus exactement, sur ma rondelle entrouverte … Le con … Mais non, le voilà qui me rentre à nouveau dedans, poussant son sperme dans mon cul avec sa bite … Ah bon ! Il finit de jouir au fond de moi … et sort. Sept éjacs dans le cul !

 

Est-ce qu'un autre va me prendre … ou me reprendre ? Personne ne bouge … Je sors la queue du costaud de ma bouche et:

- Alors, qui veut recommencer ?

 

Des mains se posent sur mon cul:

- moi

 

Je ne sais pas qui c'est … Peu importe. Je reprends la queue du costaud. Il s'agenouille confortablement sur le lit, à côté de moi, pose ses deux mains sur ma tête, l'immobilise et prend la direction des opérations. Il m'enfonce sa queue lentement, doucement dans la bouche. Je sens ses veines saillantes glisser entre mes lèvres grandes ouvertes, je sens son urètre gonflé progresser sur ma langue. J'ai son gland dans la gorge et je suis loin d'avoir ingurgité toute sa verge ! Pourvu qu'il n'essaie pas d'aller plus loin, je n'ai jamais fait de gorge profonde et j'ai peur que ça me fasse dégueuler … surtout avec un calibre pareil ! Mais non, il s'arrête et repart en arrière … Je déglutis. Je passe ma main derrière lui, je la pose sur ses fesses et je le caresse. Il entame un va et vient régulier … L'autre, derrière moi, fait pareil. Du coin de l'œil, j'aperçois deux comparses, de part et d'autre du costaud, qui regardent en se masturbant. 

 

C'est une situation dont j'ai rêvé, et elle se réalise ! Huit mecs jouissent de moi, me prennent, me baisent, me fécondent! Ça a commencé par un viol, contre ma volonté, et maintenant, je les veux ! Ils m'ont déjà tous baisé une fois, mais j'ai envie qu'ils recommencent, j'ai envie de les sucer, tous les huit, à fond, j'ai envie d'avaler leurs spermes, j'ai envie que ça ne finisse pas … Me voir sucer le costaud excite les autres … envie que je leur fasse pareil, ou envie de le sucer aussi ? Derrière moi, mon baiseur avale l'air à grandes goulées. Il va jouir … jouir à nouveau …

 

Voilà! C'est fait. 

Cette fois, pas besoin de réclamer, un autre prend la suite immédiatement. C'est ce que je veux, qu'ils me baisent les uns après les autres, à la chaîne, plusieurs fois … Mais je sens, je sais que ça va finir: quand ils auront tous joui, une fois, deux fois, ça s'arrêtera ! Pourquoi les autres ne sont pas venus ? Il faudrait aller chercher d'autres mecs … il doit bien y en avoir d'autres dans cet hôtel ! Lui, là, le costaud, il faut qu'il jouisse deux fois ! J'extrais sa queue de ma bouche, je lève les yeux vers lui, et, tout en lui pétrissant les couilles:

- Tu pourrais jouir deux fois de suite ?

- Quoi ?

- Si je te fais jouir dans ma bouche, après, tu pourras aussi jouir dans mon cul ?

- Pourquoi ?

- J'ai envie que tu éjacules dans ma bouche, mais j'ai aussi envie dans mon cul … 

- T'es une grosse gourmande toi, hein ?

- Oui … Alors ?

- Ça devrait le faire …

- mmmmmmhhhhh, merci !

 

Mes yeux plantés dans les siens, ses couilles dans la main, je reprends sa queue dans la bouche et je lui taille une pipe, rapide, vigoureuse … A mon grand étonnement, lui aussi va très vite. Je sens soudain sa verge raidir encore plus dans ma bouche, son gland gonfler et, d'un seul coup, un jet chaud et visqueux m'inonde la langue. Il n'a même pas eu le premier spasme qui précède habituellement une éjaculation … Il râle, grogne, m'appuie sur la tête, essaie de m'enfoncer sa queue au fond de la gorge … Je résiste et je parviens à la sortir de ma bouche. Ce qu'il vient de m'injecter est proportionné à la taille de son sexe: énorme ! J'ai encore tout sur la langue, sous la langue. Je bâille pour lui montrer ce qu'il m'a mis, et j'avale … Celui qui est en train de m'enculer ne peut pas résister à ce spectacle, il me féconde à son tour. Tout en branlant doucement le costaud, je lui demande:

- Maintenant, il va falloir que tu me remplisses le cul …

- Ouais, ben attends un peu, hein … Mais dis donc, quelle suceuse !

 

Et je lance à la cantonade:

- Vous avez entendu ? Je suce bien ! C'est lui qui le dit !  Allez, amenez vos bites !

 

Il y a comme un moment de sidération. Ils ne s'attendaient sans doute pas à tomber sur quelqu'un comme moi:

- Alors toi ! Tu étais vraiment en manque …

- Allez-y ! Profitez ! Baisez-moi et venez, que je vous suce …

 

D'un coup, il y a presque bousculade autour de moi: le costaud s'écarte et deux bites se présentent devant ma bouche. Les deux mecs se font des politesses, et quand l'un d'eux fait mine de s'éloigner:

- Reste là ! Je vous suce tous les deux …

 

Ils s'installent comme ils peuvent autour de moi. J'en branle un pendant que je suce l'autre, et j'alterne. Ces deux queues-là ont le goût de mon cul, et des spermes mélangés. Je ne sens même plus le goût du lubrifiant … Il n'y a plus personne derrière moi:

- Quelqu'un dans mon cul ?

 

Personne.

- On peut plus, là …

- Allez, même une bite molle ...

 

Un des deux que je suce:

- Ben, moi, je veux bien t'enculer, si tu veux …

- Toi, tu restes là ! Deux bites, je suce …

 

Enfin, quelqu'un me prend par les hanches, et je sens une queue un peu molle se poser sur ma fleur. J'attends. Son gland entre dans mon rectum, progresse lentement, et le type s'affale sur mon dos. Ça va, il est en moi, je le sens, je peux reprendre ma double fellation. Ces deux-là sont très excités de me voir et de me sentir les sucer alternativement. Je leur jette un coup d'œil chaque fois que je change de bite: la bouche entrouverte, les yeux presque exorbités, ils contemplent leur sexe et celui de leur copain qui entrent et sortent d'entre mes lèvres. Alors que j'ai sa queue dans la bouche, l'un des deux rejette la tête en arrière et aspire une grande bouffée d'air. Il va jouir ! J'accentue ma fellation. Il recule, tente de sortir de ma bouche. Je lâche la queue de l'autre et j'attire vers moi celui qui jouit. Son sexe est pris de spasmes violents et il m'éjacule dans la bouche. Je n'ai pas le temps de profiter de sa semence, que l'autre, qui se masturbe en regardant son pote jouir dans ma bouche, m'envoie un jet de sperme sur la joue. Il éjacule à son tour ! J'arrive tant bien que mal à le prendre aussi dans la bouche … Tous deux se vident sur ma langue … J'avale au fur et à mesure qu'ils se répandent … 

 

L'un des deux:

- Ah, putain ! Mais … putain … comment tu peux sucer comme ça, des mecs à la chaîne ?

- …

- Hein ? Et te faire enculer comme ça … Et un premier, et un autre, et un troisième, et vas-y, t'en as jamais assez … C'est de l'abattage …

- Hhhmmmm ! 

 

Je déglutis, j'avale et une fois sûr qu'ils ont fini, je les recrache tous les deux:

- Qu'est-ce que tu veux que je te dise ? J'aime ça. Tu devrais essayer, un jour …

- C'est ça …

 

Les autres se marrent encore. Me voir pomper ses potes, comme ça, aux premières loges, la queue bien au chaud dans mon cul, a dû remotiver celui qui est derrière moi. Je sens qu'il est plus raide, maintenant. Il se redresse et commence à me tringler. J'interpelle les autres:

- D'autres amateurs, pour une pipe ?

- non, non, ça va …

 

J'en aurais fait jouir combien, dans ma bouche? Dans mon cul, j'ai aussi arrêté de compter. L'autre, derrière moi, justement, prend son temps. Vas-y, donne toi du plaisir, profite bien de mon cul. Ça vaut une chatte, non? Je ne le vois pas, mais j'imagine qu'il contemple sa queue qui disparaît en moi et qui réapparaît. Excitant, hein ? Tu me possèdes, comme ça … Le mâle dans la femelle … Là, tout le temps que durera notre accouplement, je suis ta femelle … Tu n'as même pas besoin de chercher à me faire jouir … Celui qui me fera jouir, c'est le costaud … Toi, occupe-toi seulement de ton plaisir … Et quand le moment sera venu, tu m'infligeras l'ultime marque de ta possession, de ta domination, tu m'injecteras ta semence …

 

Ces pensées, combinées à la sensation de cette queue que je sens en moi, ravivent mon plaisir. De nouveau affalé, la tête sur le drap, je me mets à ronronner … Me faire baiser, c'est déjà bien, mais me faire baiser et sucer des queues sous le regard d'autres mecs … terrible ! Et tous ces mâles se sont accouplés avec moi, m'ont possédé, et tous m'ont fécondé … Et je les ai épuisés, presque tous …

- Ça te plaît, que je te baise ?

 

Celui-ci s'excite aussi avec des mots. Je ne me fais pas prier. J'aime ça aussi.

- Hhhhmmmm ! Oui, beaucoup …

- Qu'est-ce que ça te fait ?

- J'aime sentir que tu es dans moi …

- Et ?

- J'aime sentir que tu te sens bien dans moi, que tu prends du plaisir …

- Et ?

- Ça me plaît qu'un mâle prenne du plaisir dans moi, et qu'il me possède … 

- Je te possède, là ?

- Oui.

- T'es comme une femelle, alors …

- Oui, si tu veux, je suis une femelle …

- Et quoi, encore ?

- Ça me plaît que vous m'ayez tous baisée, comme ça, à la chaîne, les uns après les autres …

- T'es vraiment un mec bizarre … ou plutôt une femelle bizarre … d'ailleurs, les femelles, elles ont pas envie de se faire prendre comme ça, par plusieurs mecs … ou alors les salopes …

- Oui, mais c'est ça: je suis une salope …

 

Cette conversation a fini de le motiver. Il accentue son va et vient et soudain, il se retire, ne laissant que son gland dans mon cul, et je le sens éjaculer, doucement, mollement. Avant qu'il ait fini, je me tourne vers les autres:

- Qui, encore ?

- C'est bon, là ! On y est tous passés …

- Et moi, deux fois …

- Ouais, moi aussi …

 

Je me tourne vers le costaud:

- Alors, toi, reviens me baiser !

 

Ils se marrent tous. Lui aussi, pas peu fier. Enfin, du coin de l'œil, je le vois se diriger vers le pied du lit.

 

Ses mains sur mes fesses, son gland à l'entrée de ma fleur … béante après le passage de toutes ces queues, dégoulinante de crème. Il me pénètre lentement. Je ne peux réprimer un gémissement de plaisir:

- ahhhhhhhhhhh ouiiiiii ! 

 

Il commence son va et vient, lentement … Je sens qu'il y prend du plaisir, et savoir qu'il aime être dans mon cul finit de m'exciter. Je glisse de nouveau une main jusqu'à mon cul, le bout de mes doigts à l'entrée de mon trou, je sens sa grosse verge qui glisse dans mon rectum en m'ouvrant. Mentalement, je visualise son gland qui se fraie un chemin dans mes chairs, tout au fond de moi … Chaque fois que son pubis vient se coller à mes fesses, je sens ses couilles effleurer mes doigts. Elles contiennent encore de la semence et, tout à l'heure, il va me la répandre dans le ventre … Je geins, je couine presque de plaisir. Le silence s'est fait autour de nous. Les autres contemplent, admirent ce qu'un mâle peut faire avec sa queue à une femelle comme moi

 

- Tu me jutes dans le cul, hein ?

- …

- Dis, tu me jutes dans le cul, hein ? Allez, jouis dans mon cul …

Je contracte mon sphincter en rythme autour de sa verge. Il le sent, plante sa queue tout au fond de moi et s'immobilise. J'aimerais pouvoir le masturber comme ça, rien qu'en contractant ma rondelle. Je me sens ouvert, rempli, comblé par son énorme sexe. Contre mon périnée et mes couilles, je sens ses couilles à lui, encore pleines. Je saisis ma queue, je commence à me masturber et je me mets à osciller d'avant en arrière… Ça l'achève. Je ressens un premier spasme de sa queue dans ma rondelle. Il se met à grogner et, à chaque grognement, en me soulevant du lit, il me fout un violent coup de boutoir. Il est en train de décharger en moi ! Il me féconde ! Sous l'effet de l'excitation, j'éjacule à mon tour. Trois ! Quatre ! Cinq ! Six ! Sept coups de boutoir ! Autant d'éjaculations ! Personne ne m'avait encore baisé comme ça ! Enfin, il me repose les genoux sur le lit et, dans un dernier grognement, il sort son gros engin de mon cul.

 

Je reste à quatre pattes un moment sur le lit, puis je m'effondre à plat ventre, essoufflé, épuisé … Après avoir un peu récupéré, je bascule sur le côté. Ils sont en train de se rhabiller. L'un d'entre eux sort de la salle d'eau, un autre le remplace. Certains ont l'air gêné, d'autres discutent en souriant.

- Ça va, mec ?

 

C'est le meneur, déjà rhabillé, qui s'inquiète.

- Ça va, oui.

 

Je m'assieds sur le lit. Je sens leur semence s'écouler de mon cul sur le drap.

A mon air comblé, il comprend qu'il n'a pas à s'inquiéter.

- C'est ta première … tournante ? A autant de mecs, je veux dire …

- Oui. A autant de mecs, c'est la première fois.

- Et tu ne regrettes pas ?

 

Il s'est approché de moi, à portée de ma main. Je tends le bras et je passe mes doigts sur sa braguette. Il sourit, se laisse faire.

- Non, c'était bien. Et vous, c'était votre première tournante ?

 

Ils se regardent, les uns les autres.

- Moi oui …

- pareil …

- moi aussi …

 

Un ou deux ne répondent pas.

- Tu recommenceras ?

- … Je ne sais pas, ça dépend …

- Avec nous, tu voudrais recommencer ? Finalement, ça s'est bien passé, non ?

- Ça s'est bien terminé … "finalement", comme tu dis. 

- Alors ?

- Je verrai …

- Oui, mais, comment on peut te contacter ? On te laisse un téléphone ?

 

Le costaud s'est approché à son tour. Assez près aussi. Je lève les yeux vers lui en lui caressant la braguette et je sens son gros sexe sous le tissu. Avec lui, je recommence quand il veut, je suis sûr qu'à mon regard, il le sent. Il me tend la main, je la serre, et il sort de sa poche un minuscule bout de papier:

- Tiens. Salut, mec. Appelle-moi.

 

C'est un numéro de téléphone. Il a aussi envie de recommencer, on dirait. Je ne peux réprimer un sourire de satisfaction qui n'échappe pas au meneur. Le costaud tourne les talons et sort de la chambre. Le meneur sourit et le suit, les autres derrière lui. Chacun me serre la main ou de donne une petite tape sur la tête.

 

La porte claque. Le silence se fait dans la chambre, mais des éclats de voix, des rires retentissent dans le couloir. Je ne distingue pas ce qu'ils se disent, mais je me doute qu'il est question de moi… La chambre est vide. Je m'affale sur le dos, je mets mes doigts à l'entrée de mon cul et je patauge un moment dans toute cette crème qui s'écoule de moi. Je me sens … assouvi, sexuellement et mentalement, mais au fond de moi, quelque chose me souffle «Mais qu'est-ce que tu as fait ? Tu te rends compte ? Non seulement tu t'es laissé baiser par huit mecs, mais en plus, tu t'es comporté comme une salope, comme une chienne en chaleurs …» Qu'importe, le plaisir d'avoir assouvi un fantasme, ajouté à la fierté d'avoir excité tous ces mecs compense largement le sentiment de culpabilité.

 

Je nettoie comme je peux le drap souillé de semences. Puis je me douche, je me rhabille en mec, je range ma tenue de salope et je descends à l'accueil. La bande des baiseurs blacks a disparu.

 

A la réception:

- C'était qui, les gens qui occupaient les chambres au même étage que moi ?

- Vous étiez où ? Ah oui. Une équipe de hand-balleurs … Pourquoi, ils vous ont dérangé?  Ils étaient un peu bruyants, on nous l'a dit. Ils ont gagné une compétition, alors ils étaient un peu … excités. C'est normal … Il paraît qu'ils ont fêté ça dans une des chambres … J'espère qu'ils ne vous ont pas importuné …

- Pas du tout … Au contraire … Une victoire, ça se fête …

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mardi 8 juillet 2014 2 08 /07 /Juil /2014 01:00

Vous connaissez sans doute cette rubrique, intitulée "Récits pornographiques",  dans laquelle je publie des textes sous le thème "Premières fois". Vous l'aurez compris, ça n'est pas du vécu: en fait, il s'agit de fantasmes, même si, parfois, une partie – une toute petite partie – est réelle (mon goût pour la lingerie féminine, le travestissement, les balades à poil dans la nature, l'exhibitionnisme…).

 

Mais, dans mon parcours sexuel, il y a quand même des vraies "premières fois", et je vais vous en livrer certaines, qui éclairent, qui expliquent en partie ma libido, mes envies, mes pratiques actuelles.

 

1519108128Il y a d'abord le rapport à la lingerie féminine. Quand j'étais gamin, ou plutôt pré-adolescent, je piquais des collants à ma mère et je les mettais. J'adorais le contact du nylon sur mes fesses, mes cuisses et mon sexe, et ça me faisait bander. Le plus souvent, je les mettais la nuit, pour dormir et le matin, au réveil, je me masturbais dans ces collants. Parfois, je les mettais en prenant ma douche. Mouillés, savonneux, c'était une autre volupté de me masturber comme ça.

 

 

 

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Et puis, avec l'adolescence, ça m'est passé et ce goût ne m'est revenu qu'il y a une vingtaine d'années, quand j'ai commencé à travailler chez des particuliers (surtout des particulières, d'ailleurs). Il y en avait une, que j'appelle Marie-Claire, absente de son domicile presque toute l'année (elle travaillait assez loin et ne rentrait que pour les vacances et les week-end), et chez qui, chaque semaine, j'entretenais le jardin et réalisais un tas de petits travaux dans la maison.

 

J'avais ses clefs, et j'ai tout de suite remarqué qu'après chaque week-end qu'elle avait passé dans sa maison, elle laissait traîner de la lingerie un peu partout. Et c'était de la lingerie assez sexy. J'ai tout de suite été tenté de tripoter cette lingerie, et je n'ai pas résisté longtemps à l'envie d'y mettre mes doigts ... puis mon nez ... puis ma langue ... puis mon sexe ... avant d'essayer nuisettes, porte-jarretelles, strings et petites culottes. J'ai adoré: non seulement le contact sensuel des matières sur mon corps, mais je trouvais en plus que ça me faisait un physique assez … bandant.

 

Instantané 1 (18-05-2014 16-22)Et j'ai pris l'habitude, dès que j'arrivais chez Marie-Claire, d'enfiler une de ses petites culottes ou un de ses strings sous mon pantalon ou mon short et de travailler comme ça. J'adorais la sensation des matières, dentelle, tulle, lycra, sur mon sexe, et surtout celle du string entre mes fesses, contre mon œillet. Le travail terminé, je jouais avec la lingerie de Marie-Claire, je me masturbais dans la petite culotte que j'avais portée, je la souillais, je la lavais et je la remettais en place.

 

J'y ai pris tellement goût que j'ai décidé de porter de la lingerie féminine aussi souvent que possible, aussi bien chez mes autres patronnes que dans la vie quotidienne (en faisant les courses, en me baladant, au cinéma …). La plupart de mes autres patronnes étant assez âgées et leur lingerie un peu … "mémère", je n'avais aucune envie de leur emprunter, et j'ai commencé à m'en acheter: nuisettes, porte-jarretelles (surtout), petites culottes et strings …

 

dddd 060bQuand même un peu complexé et honteux, j'ai effectué mes premiers achats par Internet, sur des sites de vente par correspondance. Et puis, j'ai osé me rendre dans une grande surface et choisir quelque chose au rayon lingerie. Là, ça a été une autre révélation: j'ai découvert le plaisir de fouiller toute cette lingerie, tâter les matières, étudier les formes, les couleurs, évaluer les tailles … tout ça au milieu de vendeuses et de clientes, la plupart indifférentes à ma présence, quelques unes au sourire complice (que pensent-elles: que je cherche quelque chose pour ma femme, ou devinent-elles que c'est pour moi ?), et certaines au regard franchement désapprobateur (Ce n'est pas la place d'un homme ! Quel vicieux !). Maintenant, quand je vois dans une vitrine une pièce de lingerie qui me plaît, je n'hésite plus à entrer dans la boutique. 

 

 

Ensuite il y a le rapport au sexe en mode homo. Ça remonte aussi à loin, à peu près à la même époque que les collants de ma mère. Mon grand-père habitait juste à côté de mes parents, et, dans son jardin, il y avait une maisonnette en bois, datant de l'époque où le quartier n'était qu'un puzzle de petits jardins où des familles de parisiens venaient passer le dimanche. Sommairement meublée d'une table et deux chaises, d'une petite armoire et d'un lit, elle était sombre, froide, humide, un peu crade et il y régnait une odeur indéfinissable, faite de moisi, de poussière, de terre ...

 

Laissée par notre grand père à ma disposition et à celle de mes frère et sœur, nous y passions beaucoup de temps, parfois avec d'autres gamins, à jouer et à préparer des conneries à faire dans les environs. Mais en plus, quand j'étais seul, je m'y masturbais souvent en regardant les photos et dessins d'une revue "hot" des années 60 (ça devait s'appeler "Paris Hollywood"). C'est mon grand frère qui l'avait cachée là (évidemment pour faire la même chose que moi), et qu'il croyait à l'abri de mes explorations. Parmi la bande de copains qui fréquentaient l'endroit, il y en avait un en particulier, un peu plus âgé que moi, avec qui je passais beaucoup de temps dans ce jardin et cette maisonnette.

 

Un jour, où ce copain et moi savions être seuls et tranquilles pour un moment (mon frère et ma sœur étaient au lycée), mon copain me proposa un jeu plus vraiment de nos âges (lui dans les 15 ans et moi dans les 12-13 ans): faire semblant de dormir. Il s'allongea sur le lit, sous une couverture, et d'un signe, m'invita à faire comme lui. Immédiatement, je compris qu'il avait une idée derrière la tête. Malgré la différence d'âges, il ne me dominait pas, et rien ne m'obligeait à accepter. Mais son invitation me troublait, je pressentais quelque chose de … sensuel, et tout en ressentant une légère appréhension, je sentis mon bas ventre inondé d'envie. Alors, je l'ai rejoint sous la couverture. Au bout d'un moment, je l'ai senti s'agiter à côté de moi. Je ne savais pas trop ce qu'il faisait,  mais je sentais que ça se passait sous la ceinture. Il m'a demandé:

- tu sais ce que je fais?

- Non.

- Va voir … 

09Je me doutais vaguement de ce qui m'attendait, et pourtant, je me suis glissé sous cette couverture, vers son ventre ... Dans la pénombre, je me suis rendu compte qu'il avait baissé son pantalon et son slip, remonté son T-shirt sur son torse, qu'il avait la bite à l'air et qu'il bandait. Il ne m'a rien demandé, mais pour moi, il était évident que, s'il m'avait envoyé voir ce qui se passait sous cette couverture, c'était parce qu'il espérait quelque chose de ma part, caresse, branlette, pipe ... Et bien, j'ai eu immédiatement envie de prendre son sexe dans la bouche. Je me revois, la joue appuyée sur son ventre nu, saisir son sexe et le guider vers mes lèvres. Bien sûr, il s'est laissé faire et j'ai commencé à le sucer. Oh, ce souvenir … je vous dis pas ! C'est comme si c'était hier: il n'était pas décalotté et dans ma bouche, son prépuce était chaud, lisse, doux sous ma langue. J'ai commencé doucement à le décalotter avec mes lèvres, et je sentais son méat qui faisait un creux sous le bout de ma langue … Je me souviens que j'ai posé ma main sur ses couilles et que j'ai commencé à descendre ma langue tout le long de sa hampe, avant de le reprendre dans la bouche.

 

Je me souviens qu'il a posé une main sur ma tête, et ça, cette main sur ma tête pendant que je le suçais, ça m'a bouleversé, et ce geste est resté pour moi d'une extrème puissance érotique, au point qu'il fait maintenant partie intégrante de mes rêves, de mes fantasmes de fellation. Bizarrement, je suis incapable de dire si, moi-même, je bandais, totalement concentré, absorbé par ce que je lui faisais. J'étais conscient qu'avec ce que j'étais en train de lui faire, il allait jouir, mais c'était si bon d'avoir son sexe dans la bouche, que je me sentais prêt à le sucer jusqu'à ce qu'il éjacule. Ça n'est pas allé jusque là. En fait, ça n'a duré que quelques dizaines de secondes, et nous avons été dérangés. La mère de mon copain était entrée dans le jardin et l'appelait. Panique. Rhabillage express. Sortie précipitée de la maisonnette, rouges, échevelés …

Avec lui, ça s'est arrêté là. Nous avons eu honte, nous avons complètement arrêté de nous voir pendant plusieurs années. Quand on s'est revus, le charme était rompu, nous étions tous deux passés en mode hétéro. Et ça me plaisait. D'autant que j'avais pas mal de succès avec les filles …

 

Il y a enfin le rapport à ce que j'appelle l'envie de "faire la femelle". Là encore ça remonte à loin, toujours au temps des collants de ma mère. Nous avions un gros chien. Ou plutôt, j'avais un gros chien, Youki (hé oui!). C'est moi qui avais insisté pour l'adopter et mes parents avaient accepté à condition que je m'en occupe. Et je m'en occupais: toilette, promenade, nourriture, soins … Des rapports tout à fait normaux, sans aucune arrière pensée. Et un jour, alors que je faisais je ne sais quoi, à genoux ou accroupi dans le garage, il m'a grimpé dessus et à cherché à me saillir, comme le font souvent les chiens sur la jambe des gens. Je l'ai chassé, mais ça m'a profondément marqué, étonné …

bc2fbbe7bebc2232834c351c656ee2a5Alors, à plusieurs reprises, j'ai voulu voir s'il recommencerait. Je me mettais à quatre pattes dans le garage, habillé, et j'attendais. Immanquablement, il venait, me reniflait et me grimpait. J'ai tenté cette expérience plusieurs fois, avant d'oser aller plus loin. Et cette fois, assuré d'être tranquille à la maison pour un bon bout de temps, j'ai enlevé mon short et mon slip et je me suis mis à quatre pattes au milieu du garage. Il est venu, m'a reniflé le cul, m'a léché deux ou trois fois (oh la la , quelle sensation !), et il m'a grimpé. J'ai encore le souvenir très net du contact de son vit humide contre mes fesses. Il cherchait mon œillet pour me pénétrer, mais il ne le trouvait pas. Je le sentais très "content" de ce qui se passait: il bandait comme s'il avait eu à faire à une chienne en chaleurs ! Il me tenait fermement, les pattes avant passées dans l'angle de mon aine et, en essayant furieusement de s'introduire en moi, il me labourait les cuisses. Mais qu'importe ! J'avais très envie de l'aider, mais je n'osais pas.

dog eating manEn fait, j'avais peur d'un truc idiot. Quelques mois auparavant, je l'avais vu couvrir une chienne dans la rue, et ils étaient restés collés cul à cul pendant de longues minutes. J'avais pu voir sa queue énorme, toute gonflée, turgescente, violacée, et dans ce garage, j'avais peur que, s'il me pénétrait, nous restions aussi collés, jusqu'à ce que quelqu'un nous surprenne. Ce jour-là, mon chien est resté frustré, et moi aussi. Je n'ai pas renouvelé l'expérience et j'ai longtemps eu honte de moi. Plus maintenant: j'assume cette envie de jeunesse, et aujourd'hui, je regrette que mon chien ne m'aie pas vraiment sailli. Quel bonheur ça aurait été de me faire prendre par mon chien !

 

Outre le contact de son vit mouillé sur mes fesses, il m'est resté le souvenir très intense d'une sensation extrêmement forte, celle d'être ainsi, à quatre pattes, cambré, cuisses écartées, offert en attente de me faire pénétrer. Depuis cette époque, au plus profond de moi, est resté ancrée cette envie de me faire couvrir, de me faire saillir, vraiment, par un mâle …  n'importe quel mâle, homme ou animal... Oui, pour moi, les relations sexuelles inter-espèces n'ont rien de scandaleux, en particulier dans ce sens, quand un être humain, femme ou homme, se fait saillir par un animal. On ne peut pas forcer un mâle (chien, cheval ou autre) à une relation sexuelle avec un être humain: s'il bande et qu'il pénètre un homme ou une femme, c'est nécessairement parce qu'il en a envie. Depuis cette époque, bien que je ne sois jamais passé à l'acte, l'idée me trotte toujours dans la tête.

 

Et puis, il y a quelques années, je me suis mis à parcourir le Web à la recherche d'images et de vidéos de créatures féminines de rêve (babes, bimbos …) pour me masturber. Evidemment, je suis tombé sur des vidéos où elles se faisaient baiser. Au début, je me mettais dans la peau des mecs qui les baisaient, j'essayais d'imaginer leurs sensations, et c'était très excitant. Et un jour, allez savoir pourquoi, un déclic: cette fois je me suis mis dans la peau de la femme, et ça a été une révélation. Qu'est-ce que ça devait être agréable pour elle, de se faire pénétrer, ramoner, baiser comme ça ! A partir de ce moment-là, je n'ai plus regardé ces vidéos que du point de vue féminin. Beaucoup plus excitant! Alors, naturellement, je me suis mis à des pratiques anales. J'avais acheté un godemiché pour ma femme, mais elle n'avait pas aimé. Je l'ai donc essayé et ça a été une autre révélation: oui, c'est bon d'être pénétré, sodomisé, ramoné ...

 

Ayant par ailleurs commencé à me photographier et à me filmer au cours de mes séances sexuelles solitaires, j'adorais me regarder sur mon ordi et me masturber (le vrai narcissisme !). C'était à usage strictement personnel, mais peu à peu, tout cela a fini par aboutir à l'envie de créer un blog pour y publier ces photos et vidéos. Après de longues hésitations, il y a 3 ans, je l'ai fait, mais sans réelle conviction, un peu par défi envers moi-même: «tu oserais t'exhiber sur le web ? » Et là, à ma grande surprise, les réactions n'ont pas traîné. Principal motif d'étonnement: uniquement des compliments de mecs ! Peut-être une nana sur près de 1.200 commentaires en 3 ans. Au début, certains commentaires, que je trouve aujourd'hui élogieux et excitant, me gênaient quelque peu: des mecs avaient envie de mon cul, ils voulaient me baiser … Mais, enfin, je ne suis pas une femelle ! Et puis, j'y ai pris goût, et maintenant j'adore ça.

 

Ces commentaires, les envies, les fantasmes me concernant qu'ils dévoilent, ont cheminé en moi. Pour la très grosse majorité, c'est mon cul qui les intéresse pour des anulingus, des doigtages, des godages et évidemment, et surtout, des sodomies. Et c'est très bien comme ça, parce que, si ça ne me déplairait pas de masturber et de sucer des mecs, c'est surtout de me faire enculer, sodomiser, saillir, baiser, féconder que j'ai envie. A chaque commentaire de ce genre, je m'efforce d'imaginer ce que ce mâle pourrait me faire et ça m'excite. Au fond de moi naît peu à peu le fantasme de me faire prendre par un mec, à la fois pour ressentir ce que ressent une femme qui se fait pénétrer, et pour passer des objets inanimés à un sexe vivant, chaud, fiévreux, capable lui-même de plaisir et de jouissance … bref, j'ai envie de faire la femelle …

 

Voilà, des "premières fois" réelles, il m'en reste beaucoup à réaliser. Pour le moment, ce ne sont que des fantasmes …

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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