Lundi 21 novembre 2016 1 21 /11 /Nov /2016 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Vendredi 13 octobre. 17 heures.

J'arrive à l'entrée du parking souterrain. Ce matin, au téléphone, Denis m'a donné le code d'accès et le numéro de la place où je pourrais me garer. Il m'a expliqué où il aura planqué la clef de son appartement. Ça marche, la porte du parking est en train de basculer. Dès que je pointe le nez de ma voiture dans l'ombre de ce sous-sol, l'éclairage s'allume. Voilà, place n° 112. Ça pue là-dedans: caoutchouc des pneus, huile des moteurs, gaz d'échappement et cette indéfinissable odeur de crasse de tous les parkings souterrains. Il fait frais, aussi. La température a pas mal baissé depuis quelques jours, et il a plu la nuit dernière. La fraîcheur me caresse les cuisses et s'insinue sous ma minijupe, jusque sur mes fesses. Très agréable.

 

Ma balade en voiture avec Nicolas, samedi dernier, m'a permis d'attendre aujourd'hui sans être trop en manque. Je me suis seulement masturbé deux ou trois fois en regardant les photos et les vidéos du gang bang. Il faut dire que Guy m'a de nouveau envoyé toute la série, mais cette fois avec les visages floutés, pour me demander s'il pouvait les diffuser comme ça. Apparemment, plusieurs participants lui ont demandé de les flouter aussi. Alors, il a flouté tout le monde. Comme ça, je trouve ça beaucoup moins excitant. Mais je m'en fous, moi, j'ai la version intégrale. Forcément, revisionner tout ça m'a passablement excité. D'où mes branlettes. Depuis, à la perspective des deux, trois ou quatre jours que je vais passer chez Denis, l'envie de bite est revenue.

 

Oui, Denis ne m'a donné aucune consigne pour ma tenue et j'ai décidé d'arriver chez lui en trav. Je suis habillé entièrement en toile de jean bleue. J'ai mis la minijupe en toile stretch que j'ai achetée la semaine dernière. Ultra courte, elle m'arrive vraiment à ras le bonbon. Si je n'avais pas mis un string, ma bite dépasserait sous l'ourlet. C'est dire ! De plus, elle est très extensible, et elle me moule vachement bien le cul. C'est sûr, elle va chauffer les mecs. Et c'est un régal à porter. En haut, un blouson de marque, aussi en toile de jean, avec plein de poches, que j'ai dégotté sur une brocante il y a cinq ou six mois. Dessous, un T-shirt noir moulant. Et c'est tout ! Enfin, j'ai quand même mis mon mini string rose flashy et des ballerines. Ni collant, ni porte-jarretelles et bas. Je suis jambes nues. Ah oui, j'ai aussi mis un postiche à cheveux courts, et j'ai mon baise-en-ville avec une tenue de rechange, de la lingerie, une nuisette, du lubrifiant, des capotes … bref, tout le nécessaire. Et évidemment, avant de partir, régime habituel: lavements et rasage complet. 

 

Je trouve immédiatement la clef de Denis, scotchée dans la poignée d'un extincteur. Tandis que je me dirige vers l'ascenseur, la porte du parking s'ouvre et une voiture entre. Je presse le pas pour pouvoir prendre l'ascenseur avant que le nouveau venu ne soit garé et descendu de sa voiture. Pas la peine que les voisins de Denis me voient dans cette tenue. Merde ! L'ascenseur n'est pas à ce niveau. Le bouton d'appel lumineux clignote et j'entends des cliquetis métalliques derrière la porte, mais derrière la vitre, c'est l'obscurité. Ah la vache ! La voiture s'est garée seulement à quelques mètres de l'ascenseur, et au volant, c'est une femme. Et si je montais par l'escalier ! Re-merde ! Généralement, les escaliers se trouvent à côté de la cage d'ascenseur, mais pas dans ce parking ! L'escalier est là-bas, à quinze mètres. Pas le temps de traverser, d'autant que, ça y est, la conductrice est descendue. Bêtement, je lui tourne le dos. C'est con, parce que, malgré ma tenue, et vu ma taille et la largeur de mes épaules, je ne peux pas faire illusion. Au moment où je vois la lumière de la cabine d'ascenseur descendre le long de la vitre, j'entends la femme claquer sa portière et s'approcher. Bon, tant pis, on verra bien. La voilà derrière moi, et je sens les effluves de son parfum dominer les odeurs du parking. 

 

J'ouvre la porte et je m'efface pour la laisser entrer dans la cabine. En passant devant moi, elle lève les yeux sur moi et sourit:

- Bonjour.

- Bonjour.

 

La trentaine, pas très grande, brune aux cheveux mi-longs, vêtue bon chic sans ostentation, elle ne paraît pas surprise le moins du monde. C'est évident, même de dos, elle a vu que je ne suis pas une femme. Et puis, je l'ai laissée passer, vieux réflexe masculin. Enfin, à ma voix, elle ne peut plus avoir de doute, s'il lui en restait. Elle se colle contre la paroi du fond et me regarde entrer dans la cabine, toujours souriante. Je lui demande:

- Quel étage ?

- Cinquième.

 

J'appuie sur le cinq, et j'hésite. Denis habite au quatrième. Je ne sais pas combien il y a d'appartements par étage. Je ne voudrais pas le trahir en appuyant sur le quatre. Mais si j'appuie sur un autre bouton, cette femme risque d'imaginer que je vais chez tel ou tel autre locataire. Bon, tant pis. Quatre. Je m'adosse à la paroi de côté. Du coin de l'œil, elle me regarde de la tête aux pieds. Du coin de l'œil, mais sans se cacher et sans gêne. Soudain:

- Très jolie votre jupe en jean. Elle vous va très bien. Surtout avec vos jambes bronzées.

- Merci. 

 

Comme il est évident qu'elle a vu que je suis un travesti, je crois bon de me justifier:

- J'espère que je ne vous choque pas. Je pensais ne rencontrer personne.

- Ça ne me gêne pas. Chacun vit comme il veut. Du moment qu'on n'embête pas les autres.

 

Elle doit se demander ce qu'un travesti, dans une tenue aussi ostensiblement "sexe", vient faire dans son immeuble. Ou pas: si elle est tant soit peu délurée, elle doit bien en avoir une petite idée. Ma tenue n'est pas exactement le genre de déguisement qu'on met quand on veut simplement déconner entre potes. Elle est même assez parlante, ma tenue. Oui, oui, ma cocotte, là, tel que tu me vois dans cette cabine, je suis en train de … "monter à la bite ". Putain, cet ascenseur est particulièrement lent. Elle continue de me jeter de petits coups d'œil. Ah, j'aimerais bien lire dans ses pensées. Enfin, dans une secousse, l'ascenseur s'arrête. Quatrième étage.

- Au revoir.

- Au revoir. Et bonne soirée.

 

De l'ironie dans son "bonne soirée" ? Je me demande. Je pousse la porte et je sors. J'appuie sur un bouton à côté de la cage d'ascenseur. La lumière éclaire un long couloir. Sept portes dont celle de la cage d'escalier. Donc, six appartements. Ça va, la femme de l'ascenseur ne peut pas deviner chez qui je vais. Tout au bout du couloir, voilà le 4F, c'est l'appartement de Denis. J'entre. C'est pas mal. Moderne et assez … pas luxueux, mais très clair, sobre, des meubles modernes et de qualité. C'est curieux, ça ne ressemble pas au personnage. Comme quoi, les idées préconçues … En tout cas, cet appart, c'est le jour et la nuit avec le pavillon miteux du gros Robert. Autant c'était vieux, sombre et crade chez lui, autant c'est neuf, propre et moderne chez Denis. Mais au fait, il m'a dit qu'on pouvait difficilement être plus de quatre ou cinq chez lui parce que ce n'est pas très grand ! Il y a largement la place !

 

Je cherche tout de suite la salle de bain. Je ne sais pas à quelle heure Denis et ses invités vont arriver, et je pourrais bien me retrouver rapidement avec une bite à l'entrée de mon fourreau. Alors, il faut que je sois nickel. La vache, elle est immense, cette salle de bain ! Il y a même une porte-fenêtre à trois vantaux avec un store à lames verticales pour l'intimité. Ah oui, il y a un autre immeuble juste en face, et sans ce store, les occupants des étages supérieurs de l'immeuble d'en face auraient une vue plongeante sur ce qui se passe ici. Pas de baignoire, mais une douche à l'italienne: receveur de plain-pied, sol carrelé sur pratiquement la moitié de la surface de la pièce, et une simple cloison de verre pour l'isoler de la vasque qui sert de lavabo. En plus du large pommeau de douche fixé au mur, il y a une douchette à main au bout d'un flexible. Impeccable, longue et cylindrique, elle a un diamètre idéal pour me rentrer dans le cul. Je m'administre deux nouveaux lavements. Je fignole aussi le reste: ultime coup de rasoir sur ma bite, mes couilles et mon pubis, et crème hydratante partout. 

 

Un fois rhabillé, je visite l'appartement. Dans la chambre, pas de sommier, mais un matelas, assez large, posé sur des espèces de tatamis, avec une couette par-dessus. Je vais sûrement me faire baiser là-dessus… et peut-être même y dormir. Le long du mur, une sorte de banquette-coffre. De chaque côté de la tête du "lit", des lampes de chevet posées à même le sol. En face du lit, toute la surface de la cloison est occupée par trois miroirs montés sur les portes pivotantes d'un dressing. Hhhmmm, à quatre pattes sur le lit, face à ces miroirs, avec Denis  - ou je ne sais qui – en train de me prendre en levrette … A part un bureau minuscule et un cellier, le reste de l'appartement consiste en une vaste pièce d'un seul tenant. A un bout, un salon avec deux gros fauteuils en cuir crème, un grand canapé d'angle assorti et une table basse; au milieu, une assez grande table au plateau de verre reposant sur un piétement métallique et six chaises, et à l'autre bout, une cuisine moderne avec un large îlot central.

 

Il y a aussi une porte-fenêtre qui donne sur un balcon avec une petite table de bistrot et deux chaises. Sur la moitié de sa longueur, le balcon est sécurisé par un garde-corps en barreaux métalliques et sur l'autre moitié par une maçonnerie. Je jette un coup d'œil aux alentours. L'appartement de Denis se trouve à l'extrémité de l'immeuble, et son balcon donne aussi sur l'avenue et sur l'entrée de la résidence. Au pied de l'immeuble, un espace vert avec une aire de jeux pour enfants. Sur un banc, deux femmes bavardent en surveillant une poignée de gamins qui se chamaillent sur un toboggan. En face, à une trentaine de mètres, l'autre immeuble: six étages, avec également des balcons. Par une fenêtre au rez-de-chaussée, j'aperçois une femme qui, apparemment, s'active dans sa cuisine, et, au deuxième étage, un homme d'un certain âge lit dans un fauteuil à côté de sa fenêtre. Sur un balcon, au quatrième, donc au même niveau que moi, un type, accoudé au garde-corps, fume en regardant distraitement les deux femmes et leurs mômes dans le jardin. Ces scènes de vie ordinaire, alors que je m'apprête à me faire grimper par plusieurs types, j'adore ça. Je me dis que, tout à l'heure, pendant que ces gens vaqueront tranquillement à leurs occupations, moi, je serais en train de sucer une ou plusieurs bites, ou de me faire enculer ! Cette pensée réveille quelque chose du côté de mon bas ventre et de ma prostate. Je commence à bander. Comme je suis sur la partie du balcon protégé par le muret, celui-ci me dissimule depuis la taille jusqu'aux pieds. Alors, je glisse une main sous ma jupe, je descends la ceinture de mon string sous mes couilles, et je commence à me tripoter. 

 

Putain, si les potes de Denis ne se dégonflent pas, je vais encore me faire quatre mecs ! Quatre mecs, dont deux inconnus ! Deux nouvelles queues à mon palmarès ! Un de ces jours, il faudrait que je compte combien j'ai fait jouir de mecs, combien j'ai fait éjaculer de bites. Ah, putain, le bouche à oreille commence à vachement bien fonctionner. Comme les mecs qui m'ont baisé sont contents de moi, ils en parlent autour d'eux et ils recrutent. Allez-y, les mecs, recrutez, jouez les rabatteurs, amenez-moi de la bite ! Ou si vous préférez, amenez-moi A la bite ! Quand je prends la peine d'y réfléchir, je suis sidéré d'en être arrivé à offrir mon cul au premier venu, et de m'être fait grimper par autant d'inconnus. Bon, ce qui est sûr, c'est que, tout comme un novice peut devenir accro à l'héroïne dès son premier shoot, moi, je suis devenu addict à la bite dès ma première pipe ou dès ma première sodomie. Ce qui m'étonne presque autant, c'est justement le nombre de types qui me sont passés dessus en l'espace de quelques mois. Comment ai-je pu en attirer autant, qui me sont tombés dessus comme des mouches sur un pot de miel ? Je n'ai pourtant pas un physique efféminé, ni même androgyne ! Un peu plus grand que la moyenne, plutôt costaud sans être baraqué, des pognes assez grosses, un visage masculin, je n'ai jamais rien eu d'un "minet" susceptible d'intéresser les amateurs de délicats éphèbes. 

 

Bon, c'est vrai, il y a mon cul. J'ai réalisé son pouvoir d'attraction sur les mâles quand j'ai commencé à le montrer en photos sur Internet. Les premiers commentaires élogieux que j'ai reçus à son propos m'ont d'abord étonné et quelque peu gêné. Je ne pensais pas mon cul aussi … attirant pour des mecs. Il faut dire que je ne le connaissais pas, mon cul: pendant longtemps, je l'avais seulement aperçu dans un miroir, et encore, par accident, et pas entièrement. On n'en voit au mieux que la moitié, dans un miroir, et en se tortillant, qui plus est, ce qui le déforme en partie et n'en donne qu'un vague aperçu. Il n'y a qu'en photos ou en vidéos qu'on le voit tel qu'il est vraiment. C'est donc seulement quand j'ai commencé à me photographier et à me filmer au cours de mes séances de sexe en solo, que je l'ai vraiment découvert. Ça a été un choc pour moi: j'ai réalisé que j'avais un cul … musclé mais pas trop, rebondi mais pas trop, et surtout galbé et mis en valeur par une assez belle cambrure naturelle des reins … bref, un cul bandant. Enfin, un cul qui me faisait bander, moi ! Oui, contempler mon propre cul, me faisait bander ! Le comble du narcissisme. Au début, ces photos et vidéos de mon cul étaient à usage strictement personnel et je n'avais absolument pas l'intention de les montrer à qui que ce soit, et surtout pas de les publier sur Internet. Et puis, quand je me suis décidé, "pour voir", à mettre en ligne quelques photos parmi les plus soft, le succès auprès de visiteurs masculins a été immédiat. Il n'a été que croissant au fur et à mesure que je montrais des photos plus hard, surtout en lingerie féminine. Ce succès, je ne l'avais justement attribué qu'au caractère fétichiste et pornographique de ces images, mais à la réflexion, mon cul y était sans doute pour beaucoup.

 

Il y a donc mon cul, qui attire des mâles, mais il n'y a pas que ça. D'une manière ou d'une autre, quelque chose en moi doit leur dire que je suis amateur de bite, et à tendance passive. D'ailleurs, c'est si net, cette tendance passive, qu'à une ou deux exceptions près, tous les mecs qui m'ont baisé ou que j'ai sucé ne m'ont pas demandé la réciproque. Pour les mecs, je suis celui qu'on pénètre, pas celui qui pénètre, celui qu'on baise, pas celui qui baise. Et ça me va très bien. Mais en plus, pour qu'ils n'hésitent pas à m'aborder et à me proposer très directement leur bite, il faut aussi qu'ils me devinent accueillant, facile, docile ! Bref, je ne sais pas ce qui leur garantit qu'ils ne se prendront pas un râteau avec moi et qu'ils pourront m'introduire leur queue pour tirer un coup, mais ça me va aussi. Philippe, par exemple, mon cul, il ne l'avait pas vu, ou pas vraiment, quand il s'est décidé à me … solliciter au bord de ce canal. Thomas, mon premier "vrai" coup, il n'avait pas vu mon cul non plus, quand il s'est mis à "manœuvrer" pour se retrouver dans mon lit,  et se coller à moi pour me ... Parmi tous ceux qui m'ont fourré jusqu'ici, il y a eu de vrais homos et de vrais bi – actifs, essentiellement -. Pour ceux-là, il était dans l'ordre des choses de me draguer et de me baiser. Il y a eu aussi des baiseurs d'occasion. Parmi eux, certains n'avaient ni a priori ni préjugé, et, pour peu qu'une occasion de tirer un coup se présente, ils ne voient pas de problème à fourrer leur bite dans n'importe quel trou, qu'il soit masculin ou féminin.  Enfin, il y a des paumés comme Robert et ses potes, peut-être foncièrement hétéros, mais trop moches, trop timides, trop marginaux ou trop complexés pour arriver à trouver une vraie femme, et qui se rabattent sur la moindre occasion qui s'offre à eux, même si l'occasion est un travelo. Et pour ceux-là, l'occasion qui s'est offerte à eux, au propre comme au figuré, c'était moi. Moi, je m'en fous, je prends tout ce qui se présente: vrais homos, vrais bi, baiseurs d'occasion, hétéros en manque … tout le monde !

 

Dans l'immeuble d'en face, le type a fini de fumer sur son balcon. D'une pichenette, ce porc balance son mégot sur la pelouse. Je réalise qu'il m'observe peut-être depuis un moment, sans doute intrigué à la fois par mon apparence et par mon bras qui bouge, à demi dissimulé derrière le garde-corps. Oui, mec, tu vois bien, je suis en train de me tripoter. Je m'en fous, je continue. Il me regarde avec insistance. A cette distance, je suis sûr qu'il peut voir que je ne suis pas une femme. J'ai l'impression qu'il me sourit. Il me fait un petit signe de la main. Je lui réponds d'un signe de tête, et il disparaît dans son appart.

 

Bon, je remballe ma queue et je rentre. En attendant, pour m'occuper, je regarde si il n'y aurait pas quelque chose à faire dans cette cuisine. Dans le lave-vaisselle, un bol, un verre, deux assiettes et quatre couverts. Ça ne vaut pas le coup de laver tout ça à la main. Au point de vue propreté, tout le reste de la cuisine est nickel, y compris l'intérieur de l'énorme frigo. Dedans, je remarque plusieurs cartons, genre boîte à pâtisserie. Ça vient de chez le meilleur traiteur de la ville. Et deux bouteilles de Champagne, ainsi que du Chablis. Je retourne sur le balcon et je regarde le trafic sur l'avenue et les gens qui circulent aux alentours. Ça finit par me lasser et je rentre à nouveau, cette fois pour regarder la télé, vautré dans le grand canapé.

 

Il n'y a pas cinq minutes que je suis là, à zaper pour trouver un programme intéressant, quand j'entends des bruits de clef et de serrure à la porte de l'appartement. Ah voilà quelqu'un. Sans doute Denis. Un frisson m'électrise la prostate et le bas ventre, et des images de bites en érection s'imposent à mon esprit. Je ne bouge pas. Dans l'entrée, je reconnais la voix de Denis qui s'adresse à quelqu'un, et, aussitôt, un type entre dans le salon, suivi de Denis. La trentaine, pas très grand, un visage ingrat, les cheveux châtains, l'inconnu est littéralement stoppé dans son élan en me découvrant. C'est certainement un des deux types que Denis a recrutés. Alors, lui, c'est un des mecs qui vont me baiser ce soir ? Je me lève. Denis contourne le type mec et me voit à son tour: 

- Tiens, t'es déjà là ! Salut.

- Salut.

- Je te présente Nadir. Nadir, Marin.

- Bon … bonjour.

- Bonjour.

 

Nadir ! C'est un prénom arabe. Ça doit être son collègue. Il est moche, mais pas typé comme Hamid. Dans un coin de ma tête, je constate que, comme beaucoup d'autres avant lui, son physique déplaisant m'est totalement indifférent. Je n'éprouve aucune répulsion, et je sais que je n'aurai aucune réticence à me le taper, à lui sucer la bite, à le laisser me sodomiser. Tout ce qui m'importe, c'est ce qu'il a entre les jambes.  Denis dépose une mallette sur la table en verre, s'approche de moi, et m'embrasse sur les deux joues. Tiens, c'est le premier à me faire ça. Il se tourne vers son collègue:

- Bon, ben reste pas là, Nadir. Serre-lui la main ou embrasse-le. C'est lui que tu vas te taper, mec !

- Oui, oui.

 

Il me tend la main. Je la lui serre et il reste scotché sur place, me déshabillant du regard. Alors, histoire de détendre l'atmosphère et de commencer à entrer dans le vif du sujet, j'emploie le truc qui m'a déjà servi: je m'écarte un peu et je fais un tour sur moi-même, pour qu'il voie en détail dans quoi il va introduire sa queue. Denis se marre:

- Ah dis donc, tu vas mettre le feu aux braguettes, avec cette jupe !

- Elle te plaît ?

- Devine.

 

Il s'approche et me met une main au cul. Il me palpe les fesses à travers la toile.

- Elle a plu aussi à une de tes voisines.

- Ah bon ?

- Oui, je l'ai rencontrée dans le parking et je n'ai pas pu éviter de prendre l'ascenseur avec elle.

- Comment elle est ?

- Petite, brune, elle habite au cinquième, sympa …

 

Il me coupe la parole, tout en me pelotant, en commençant même à me glisser ses doigts sous la jupe:

- Sa place de parking est tout près de l'ascenseur ?

- Exact.

- Je vois qui c'est. Elle t'a dit quelque chose ?

- Elle m'a fait un compliment sur ma jupe.

- Et ?

- Et c'est tout. Elle a bien vu que je suis un trav, mais ça n'a pas eu l'air de la choquer.

- Tu lui as dit où tu allais ?

- Ben non.

- Bon. Enfin, elle, je m'en fous qu'elle sache. C'est pas le genre à faire des ragots. Alors, Nadir, tu le touches, ou tu vas te contenter de le regarder ?

- Je … attends. Il faut que je …

 

Denis ôte sa main de mon cul, saisis la mienne, et me la plaque contre le bas ventre de son pote:

- Vas-y, toi. Commence, il est trop timide.

 

Alors, je palpe le paquet de Nadir. Il est saisi et il ne sait pas où poser son regard, ni quoi faire de ses mains. Avec les miennes, j'explore son entrejambe à travers la toile de son pantalon. Pas énorme, ce qu'il y a là-dedans ! Pour le moment, du moins. J'espère qu'il va grossir et durcir. Denis a récupéré sa mallette et s'est éclipsé vers son bureau. En commençant à glisser une main à l'intérieur du pantalon de Nadir, je lui demande:

- Tu t'es déjà fait un travesti ?

- N… non.

- Un homme, alors ?

- Non plus. C'est … la première fois.

- Tu as envie de me faire quoi ?

- Je … je sais pas. Tu veux que je te fasse quoi ?

- Ah, mais moi, je fais tout ce que tu veux. J'accepte tout sauf la violence, le SM, le scato, enfin, tous ces trucs-là. Autrement, je te masturbe, je te suce, tu me baises dans la position que tu veux … tout ce qui te fait envie. Je suis à ta disposition pour que tu prennes du plaisir et pour que tu tires un coup … ou plusieurs.

 

Bouche bée, yeux ronds, il a écouté, visiblement scotché. Sous son pantalon, il porte un slip moulant en coton. Je glisse aussi ma main dedans. Voilà, je sens sa queue. Toute chaude. Hhhmmmm ! Toute serrée dans ce caleçon, j'ai un peu de mal à la saisir. Délicatement, je la prends dans mes doigts. Elle est encore molle, mais je crois qu'elle commence à gonfler. Il est circoncis et je sens son gland, à nu sous mes doigts. Ah putain, je n'y tiens plus, je veux le prendre dans ma bouche. Tout en palpant sa bite de la main droite, j'entreprends de déboutonner fébrilement son pantalon de la gauche. A force, j'ai acquis à cet exercice une dextérité surprenante. Voilà son zip descendu, les deux pans du pantalon écartés et la ceinture de son slip abaissé sous ses couilles. Je tombe à genoux sur la moquette. Hhhmmmm, quelle merveille ! Je crois que je trouve merveilleuses toutes les nouvelles bites que je découvre. Celle-ci n'est pas très grosse, mais elle est exactement proportionnée. Et puis, elle est toute brune, sauf sur deux centimètres sous le gland, qui sont tout roses. Et son gland ! SON GLAND ! Retroussé, légèrement aplati et élancé, juste comme je les aime ! Je m'approche et j'embrasse sa verge sur toute sa longueur. C'est une véritable friandise, une gourmandise que j'ai maintenant une furieuse envie de goûter, de déguster. Il repousse ma tête, délicatement:

- Attends, attends ! Il faut que je me lave …

 

Ah oui. Maintenant qu'il le dit, je perçois une légère odeur d'urine. Mais à ce détail près, sa bite à l'air toute propre. Alors, basta, j'en ai sucé des plus "sales". J'ouvre la bouche et je le prends. Oh putain  ce que c'est bon ! Chaud, caoutchouteux, vivant. Je ne peux pas retenir un gémissement de plaisir. Sous ma langue, je sens les deux bosses que fait la couronne de son gland, de part et d'autre de son frein. J'adore ça ! Et son urètre, que je sens gonfler au fur et à mesure qu'il grossit dans ma bouche. Ah, ce que c'est bon, de sucer une bite ! Il se laisse faire. Il n'a plus du tout envie d'aller se laver. Contre mon front, je sens qu'il relève le bas de sa chemise. Je lève les yeux. Il me regarde, fasciné. Je lui caresse le ventre d'une main et je glisse l'autre sous ses couilles.

 

- Et ben, mes salauds, vous avez déjà commencé !

 

C'est Denis qui se ramène dans le salon. Il vient à côté de nous, je le vois du coin de l'œil. Il me regarde sucer son collègue, et il commente:

- Alors, Nadir, il est chaud, hein, mon pote …

 

Nadir ne répond pas, mais aux secousses de son ventre, je devine qu'il hoche la tête. Denis insiste:

- Il suce bien, hein …

 

Re-hochement de tête. Je devine un mouvement à côté de moi et, presque aussitôt, je sens une main – une main de Denis, évidemment – se glisser sous mes fesses. Il agrippe le bas de ma jupette, et la retrousse d'un seul mouvement sur mes reins. Hhhmmmm, c'est parti ! J'adore quand ça démarre comme ça, qu'on entre tout de suite dans le vif du sujet, directement, sans préliminaires. J'ai déjà une queue dans la bouche et le Denis commence à m'entreprendre à son tour ! Avant longtemps, j'aurai sa bite dans le cul ! Je le sens qui s'accroupit maintenant à côté de moi, et qui glisse ses doigts dans ma raie en direction de ma rondelle:

- Ça serait une femelle, une vraie femelle, je veux dire, je suis sûr qu'il mouillerait à c't'heure !

 

Tu as raison, sûr que je mouillerais déjà, si j'étais une vraie femelle. Il écarte la ficelle de mon string, pose un doigt sur ma rondelle, sans doute son majeur, et il le bouge légèrement, comme pour m'avertir qu'il va me pénétrer. Il me demande:

- T'es propre ? Tu t'es lavé le cul ?

 

Sans recracher la queue de Nadir, de plus en plus grosse, je hoche la tête aussi vigoureusement que possible: Oui ! Oui ! Oui ! Je me suis lavé le cul ! Tu peux y aller ! Fourre-moi ton doigt ! Et, tant bien que mal, toujours en suçant son pote, j'écarte mes genoux sur la moquette et je me cambre pour faciliter sa pénétration. Vas-y, Denis, doigte-moi le cul ! Denis:

- Regarde-le Nadir, comment il écarte les cuisses et comment il se cambre pour que je lui fourre mes doigts dans le cul ! 

 

Au-dessus de moi, je sens Nadir se pencher un peu pour regarder par dessus mon épaule, Denis qui s'apprête à me doigter. Alors, je passe ma main droite derrière moi, je m'empoigne la fesse et je l'écarte. Ça y est, il enfonce son doigt ! A sec et complètement ! Ah la vache ! C'est rien, un doigt, mais il me fait un effet terrible. L'humidité résiduelle de mon dernier lavement me lubrifie suffisamment pour que ça ne soit que du bonheur. Je gémis de plus belle. Allez-y, les mecs, fourrez-moi tout ce que vous voulez dans mes deux trous, vos doigts, vos bites, vos langues, n'importe quoi ! Il retire son doigt et pendant quelques secondes, il ne passe rien. Mais je suis convaincu qu'il ne va pas s'arrêter là, le Denis. En effet, maintenant, j'entends de légers bruits de succion: il est en train de se mouiller le doigt avec sa salive. Il va encore me le fourrer ! Puis je sens de nouveau sa main sous mes fesses. Oh, putain, il m'en fourre au moins trois, cette fois ! Oh oui ! Il s'installe confortablement, agenouillé derrière moi, un peu sur ma gauche, un genou derrière mon cul et un genou à côté de mon genou gauche. Il plaque sa main gauche contre mon ventre, comme pour me retenir, et il enfonce ses doigts ! Il n'y va pas vraiment en douceur, et il me force le sphincter. Heureusement que j'ai habitué mon cul à ce régime avec des jouets au moins aussi gros. Rapidement, je sens mes muscles se détendre. Denis aussi le sent:

- Tu t'ouvres, hein, ma salope ! Toi, tu as vraiment le cul accueillant ! T'aimes ça, hein, te faire défoncer le fion !

 

Pas la peine de confirmer, il le sent, il le sait. A son souffle, je devine qu'il commence à s'exciter sérieusement. D'ailleurs, je sens qu'il essaie de déboutonner son pantalon de la main gauche., Il doit commencer à bander et à être à l'étroit. Il n'y arrive pas et commence à extraire ses doigts de mon cul, sans doute pour s'aider de la main droite. Alors je tends précipitamment ma main gauche vers son ventre et je le déboutonne d'un seul mouvement. Il se laisse faire, réintroduit ses doigts  dans mon fourreau et descend son zip de la main gauche. A tâtons, je cherche sa queue. La voilà. En effet, il bande et son gland est coincé dans la ceinture de son caleçon. Je le manipule un peu pendant qu'il écarte les pans de son pantalon et abaisse la ceinture de son caleçon. Du bout des doigts, à l'aveugle, j'explore sa bite sur toute sa longueur. Oh, putain, Denis ! Ta bite ! Ta bite ! TA BITE ! Tu vas me baiser ! Je le décalotte et je commence à le masturber. 

 

Et soudain, Nadir recule brutalement son bassin, sortant d'un seul coup sa queue de ma bouche:

- Ah ! Ah ! Ah ! Aaaaah ! Faut arrêter !

 

De la main, il serre fermement sa verge. Il soupire, il souffle, les yeux braqués sur sa bite. Il est au bord de l'éjaculation. Je tends la main:

- Reviens ! Tu peux jouir dans ma bouche.

- Non, non ! Plus … plus tard. 

 

Et, comme s'il craignait que je lui saute dessus, il s'éloigne de moi, en comprimant toujours sa queue. Ah, dommage ! Denis, ses doigts dans mon cul, s'excite de plus en plus. Alors, je lâche la queue de Denis, je me plie en deux et je pose mes deux mains à plat sur la moquette devant moi, pour une levrette à quatre pattes. Je tourne la tête vers Denis. Je me cambre autant que je peux, telle la femelle réclamant sa saillie:

- Vas-y, mec, baise-moi !

 

Il me sourit, se campe bien sur ses genoux, me pose une main sur les reins, écarte un peu mieux la ficelle de mon string, et … il me remet ses doigts ! Il se met à aller et venir. Ma parole, il n'y en a pas que trois ! Oh putain, il me défonce ! J'ai le sphincter détendu au maximum. J'ai l'impression que s'il y allait un peu plus brutalement, il arriverait à me fourrer sa main entière dans le cul ! Un fist ! Je ne me suis jamais fait fister ! Je n'ai même jamais essayé de trouver un mec avec la main assez fine pour me la rentrer entièrement.

 

Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzz ! Bzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz ! On dirait la sonnette à la porte. Denis suspend son ramonage et:

- Nadir ! Who, Nadir, où t'es ? Où il est cet animal ?

 

Nadir ne répond pas. Denis soupire et, en désespoir de cause, il sort ses doigts de mon cul et se lève péniblement:

- C'est l'interphone. Ça doit être Yann. Bon, ben, on reprendra ça plus tard. Fait chier, Nadir !

 

Il se dirige vers l'entrée en remballant plus ou moins sa queue. Je m'assois sur la moquette. J'entends Denis dans l'entrée:

- Oui ?

- C'est Yann !

- Ouais. Je t'ouvre. Quatrième étage. Porte 4F, au bout du couloir.

- Bzzzzzzz !

 

Je l'entends tourner un verrou, entrouvrir sa porte, et il revient:

- Bon, on reprendra tout à l'heure, hein ...

- Comme tu veux.

- Il est où, l'autre animal ?

 

L'autre animal reparaît, sortant de la salle de bain:

- Je … je me suis … lavé. Et rafraîchi.

- Tu m'as pas entendu ? Je t'ai appelé.

- Non.

- C'est Yann qui arrive. Manquera plus que Dominique.

 

Je me lève, je rajuste mon string au fond de ma raie, je palpe ma rondelle pour m'assurer que je ne fuis pas, et je vais m'asseoir dans le canapé. Nadir remarque:

- Dis, Denis, elle est vachement bien, ta salle de bain. Elle est immense.

- Ouais. A l'origine, c'était une chambre, avec la salle de bain juste à côté. J'ai abattu le mur entre les deux. J'avais toujours rêvé d'une salle de bain comme ça. C'est pour ça qu'il y a une porte fenêtre. Elle était dans la chambre.

- Ah ouais. Mais, comment t'as fait pour … tu sais, l'évacuation … au ras du sol …

- T'as pas remarqué ? La salle de bain, elle est plus haute que le reste de l'appart. Il y a une marche pour entrer.

- Ah ouais, c'est vrai.

- On a fait un faux plancher. Toutes les alimentations et les évacuations sont dessous. Et on s'est repiqué sur celles de la salle d'eau d'origine. Il y avait bien un autre système, mais c'était plus compliqué et plus cher. C'est un pote à moi, un pro, qui a fait tout ça.

 

On entend la porte d'entrée s'ouvrir, se refermer, et Yann arrive. Ça y est, je le reconnais. Il doit avoir dans les … vingt-cinq ans, mais il fait très gamin, pas très grand, plutôt fluet, une belle petite gueule, toujours souriant. Lors de mon gangbang, je ne sais pas pourquoi, il m'avait fait l'effet d'être un déconneur. Pas grande gueule, mais toujours prêt à participer aux déconnades des uns et des autres. En effet, chez Jean-Claude, je lui avais fait une turlute, il me semble – complète, avec éjac dans la gorge - et je crois qu'il m'a aussi baisé sur le bar … ou sur la scène. En fait, exception faite de la douzaine de types les plus marquants, comme Sam ou Thierry, parmi les plus discrets de mes étalons, je ne sais plus trop qui m'a fait quoi, ni où. Il serre la main à Denis, qui lui présente Nadir, et:

- Je te présente pas Marin, tu l'as déjà niqué chez Jean-Claude.

 

Comme je fais mine de me lever, Yann me fait un signe de la main:

- Reste assis. Salut, ma poule. Alors, t'es venu te prendre encore quelques coups de bite ?

- Oui, comme tu vois.

 

Denis;

- D'ailleurs, on avait commencé. Plus ou moins. Ça a démarré dès qu'on est arrivés, avec Nadir.

 

Yann, à mon intention:

- T'es encore affamé, alors ?

- Oui.

- Mais là, on va pas être vingt et quelques, comme chez Jean-Claude. Ça va te suffire ? On va être combien, au fait, Denis ?

- Ici, quatre. Seulement quatre ! 

 

Il se marre.

 

Yann:

- Ben, ma poule, faudra faire avec !

- Oui, mais ce sera à vous d'assurer.

 

Il est resté devant moi. Je me redresse, je tends la main, je saisis la ceinture de son pantalon, et je l'attire vers moi:

- D'ailleurs, viens là, toi.

 

Il se laisse faire en souriant. Je m'avance et je colle mon visage sur son bas ventre. Il rit et me prend la tête dans ses mains. Sous mes lèvres, je sens la bosse de son sexe. Je me frotte la bouche dessus en ronronnant. Denis:

- Bon, ben, allez-y, commencez. Moi, je vais préparer l'apéro. Domi ne devrait pas tarder.

 

Pendant que je me frotte la bouche et les joues sur son sexe, je sens que Yann déboutonne son pantalon et descend sa fermeture éclair. Hhhmmmm, il est pressé, il a déjà envie. Tant mieux. Dans quelques secondes, j'aurai sa bite dans la bouche ! Je devine Nadir qui s'assoit sur le canapé à ma gauche. Yann descend son pantalon et son caleçon sur ses genoux. Oh oui ! Je me souviens de sa bite, maintenant. Il bande déjà un peu. Il s'est rasé depuis l'autre jour. Complètement. Il devait avoir tous ses poils, chez Jean-Claude, mais je la reconnais, sa bite. Je le prends directement dans ma bouche et je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Ça le fait rire:

- Tu aimes toujours autant ça, hein …

- Il est complètement accro, tu veux dire ..

 

C'est Denis qui revient dans le salon. Je ne le vois pas, derrière Yann, mais j'entends cliqueter des verres. Oui, j'aime toujours autant ça, oui je suis complètement accro. Les sexes des hommes. Leurs organes génitaux. Leur bite, leurs couilles. Leur sperme qui s'écoule, tiède et gluant, dans mon œsophage. Leur semence qui se répand dans mon ventre. Ça me rend dingue. Yann remarque:

- C'est bon pour nous, ça. Avec une folle de bite comme ça, pas besoin de la séduire, pas besoin de lui faire la cour, pas besoin de tourner autour du pot pendant des heures. Même pas besoin de lui payer un restau ou un ciné ! Tu claques des doigts, et aussitôt, elle te suce ou elle te donne son cul ! C'est une bonne fifille, ça madame ! 

 

Ah oui, continue de parler de moi comme ça, pendant que je te suce, j'adore ça ! Ecouter ce genre de discours, ça m'excite, et je le suce de plus en plus fiévreusement. Oui, je suis une fille facile. Oui, je suis une fille docile. Oui, je suis une fille soumise. Oui, je suis une fille soumise à ta bite. Je suis une fille docile et soumise à toutes les bites, en fait ! Je suis une viande à bites ! J'ai l'impression qu'il a compris que ses paroles m'excitent et agissent sur la fébrilité de ma fellation. Et la fébrilité de ma fellation accentue son excitation. Il bande de plus en plus fort et son souffle est de plus en plus rapide et bruyant ! Il poursuit:

- Elle en veut, de la bite, la fifille ? Elle va en avoir, de la bite ! Et pas qu'un peu, hein, espèce de salope ! Elle va tous nous sucer, la gourmande ! Elle veut aussi de la jute ? On va lui en donner de la jute ! Elle va en avaler, de la jute ! 

 

Il me cramponne la tête à deux mains. Denis s'est affalé dans l'angle du canapé, à ma droite. Il a ressorti sa bite, il bande et il se masturbe. Il a une vue directe sur ma fellation. Hhmmmm, je suis en train de faire une turlute à ce mec, avec deux autres types qui me regardent, un à ma droite et un à ma gauche ! C'est tellement bon de sucer ou de se faire baiser devant du monde. Yann se met à souffler rapidement par la bouche, comme  un joggueur pendant l'effort. Je lève les yeux sur lui. Il a la tête rejetée en arrière. Je ne vois pas ses yeux, mais je suis sûr qu'ils sont fermés. Et soudain:

- Aaah ! Aaah ! Aaah ! Aaaaaaaaaaah ! Puuuuu … taiiiiiiiin !

 

Il jouit . Son sexe est secoué par un violent spasme dans ma bouche et je sens un jet brûlant s'étaler sur ma langue. Ah putain, j'aime ça ! Cet instant où le mec, arrivé au sommet de sa jouissance, lâche sa semence en moi, tranquillement, sans hésitation, sans scrupule … comme une chose naturelle. Et le goût de ce sperme ! Il est chaud, il est suave, il est un peu salé. C'est un nectar dont je ne peux plus me passer. Encore, j'en veux encore ! Un nouveau jet. Je déglutis et je sens cette crème fabuleuse s'écouler dans ma gorge. Ça me rend dingue, un mec qui jouit dans ma bouche ! Il continue de se répandre sur ma langue, jusque dans ma gorge. Je gémis de plaisir, je gémis d'excitation, je gémis de bonheur ! Je voudrais sucer des dizaines de queues, les faire jouir et me faire remplir la bouche et l'estomac de sperme jusqu'à l'écœurement. Tout le corps de Yann est secoué par cet orgasme et il bouge spasmodiquement son bassin d'avant en arrière. Et brusquement il sort sa queue de ma bouche et:

- Arrête, arrête, arrête ! Wouhouhouuuuuuuuu !

 

Il s'écarte de moi, empoigne sa queue et la presse:

- Ah, la vaaaaaaache ! Comment elle m'a pompé !

 

Il se marre. J'avale ce qu'il m'a répandu sur la langue et je m'affale contre le dossier du canapé. Je soulève le bas de ma jupe et j'extrais ma queue de mon micro-string où elle commençait à être à 'étroit. Yann me fixe:

- Ça t'excite, hein, de te faire juter dans la bouche. T'as tout avalé ?

- Oui.

 

Je baille pour lui montrer. Il se marre encore. Les deux autres aussi. Je les regarde alternativement:

- Venez, vous deux. Je vous fais pareil !

 

Je tends la main vers Nadir:

- Allez, viens, toi !

- Non, non. Plus tard.

 

Prudemment, il s'écarte.

- Denis, viens ! Donne-moi ta bite !

 

Ah oui, il se lève et s'approche. 

 

Ding ! Dooooong ! La sonnette dans l'entrée, cette fois.

 

Tandis qu'il vient se placer face à moi, Denis lance à Yann:

- Tu peux aller ouvrir, Yann ? C'est sûrement Dominique.

 

Je saisis sa queue, j'approche mon visage et je me passe son gland partout sur la figure en ronronnant, lui donnant, de temps à autre, de petits coups de langue. Oh la la, je suis fou de leurs bites ! Toi aussi, je vais te faire jouir ! Je le prends dans ma bouche et je commence à le lécher, à le sucer, à le téter, à le mordiller, à le mâchouiller, je lui titille le gland du bout de la langue … je le sors de ma bouche et je lui lèche les couilles, avant de le reprendre.

 

- Salut Denis !

 

Je sens Denis se tourner légèrement vers l'entrée de la pièce:

- Salut, Domi !

- Ah, t'es déjà en mains !

- "En mains", pas vraiment. Plutôt en bouche, comme tu vois.

 

Je sens que, d'une main, il soulève sa chemise. Il pose l'autre sur ma tête:

- Bon, ben … Dominique, j'te présente Marin. Continue, toi. 

 

Oui, oui, je continue. Je n'avais pas l'intention de m'interrompre pour saluer le nouveau venu. Il poursuit les présentations:

- Celui qui t'a ouvert, c'est Yann …

- Oui, on s'est présentés.

- Yann, il était du gangbang dont je t'ai parlé.

- Ah, OK. Et lui, qui te suce, c'est Marin, c'est lui que vous avez baisé, à ce gangbang ?

- Voilà, et c'est lui que tu vas baiser ce soir. Et lui, là, c'est Nadir, un collègue de travail.

- Salut Nadir.

- Bonjour.

 

Domi s'est approché, a serré la main à Nadir. Denis:

- Tiens, Domi, sors ta queue et viens prendre ma place. 

- Déjà ? Je lui ai même pas dit bonjour.

- T'inquiète ! Crois-moi, il préfère te sucer que te dire bonjour. Demande à Yann. Dès qu'il a été là, il lui a sauté au paf pour lui faire une turlute. 

 

Comme je ralentis ma fellation pour me préparer à accueillir la bite du nouveau venu, Denis me presse l'arrière de la tête:

- Continue, toi, en attendant. 

 

A ma gauche, j'entends le bruit d'un zip qu'on descend et de tissu qu'on froisse. En une fraction de seconde, Denis extrait sa queue de ma bouche, et une autre se présente à moi. Je n'ai même pas le temps de voir à quoi elle ressemble. Domi me l'a tout de suite collée contre les lèvres. J'ouvre la bouche, je la prends et je passe mes mains derrière ses cuisses. Denis:

- Tu vois ? Qu'est-ce que je te disais ! 

 

Hhhmmmm, ça, ça me plaît ! Commencer à tailler une pipe à un mec que je n'ai même pas encore vu ! Je lève les yeux sur lui. De dessous, comme ça, je ne vois pas grand chose. Il est brun, et il a sans doute une belle gueule. On verra tout à l'heure. Il ne bande pas et il m'a fourré sa queue encore calottée. J'aime bien. Un bite encore molle, le gland encore dans son prépuce, c'est un régal. La tiédeur humide de ma bouche lui fait tout de suite de l'effet, et je le sens s'allonger et grossir sur ma langue. Il remarque:

- Ben dis donc, t'es pas farouche, toi !

 

Denis confirme:

- T'as même pas idée à quel point, il est pas farouche ! Pour te dire, le jour du gangbang, sur une trentaine de types qui étaient là pour le baiser, il en connaissait … hein, chérie, t'en connaissais combien, des mecs du gangbang ?

 

Je tends la main, pouce et index levés: deux ! J'en connaissais deux: Philippe et Jean-Claude ! Et encore, pas depuis longtemps.

 

- Tu vois ? Deux ! Ça l'a pas empêché de se faire sauter par tout le monde. Y'a des moments, je suis sûr qu'il savait même pas qui c'est qu'était en train de l'enculer ! Ça y allait, à la chaîne, les uns derrière les autres !

 

Je sens son gland se décalotter peu à peu entre ma langue et mon palais. Rapidement, il est raide, Dominique. Il bande vraiment. Et j'ai l'impression qu'elle est pas mal, sa bite. Sans doute recourbée vers le haut. A tâtons, je cherche ses mains. Les voilà, posées sur ses hanches. Il retient son pantalon pour l'empêcher de tomber sur ses pieds. Je les saisis. Il hésite et se laisse faire. Je les attire sur ma tête. Denis se marre:

- Regarde-le ! Ça, tu vois, Dominique, tes mains sur sa tête, c'est un signe de soumission.

 

Ça a l'air de lui plaire, à Dominique. Il me caresse le crâne et, de lui-même, il passe une de ses mains derrière ma nuque. Encore mieux ! Tout en me serrant l'arrière du cou, il commence à bouger imperceptiblement son bassin en fléchissant les genoux. Peu à peu, son mouvement s'amplifie, il commence à aller et venir:

- Hum, c'est bon, ça !

 

Il a dit ça entre ses dents serrées. Son gland me frotte le palais et je sens, sur ma langue, la bosse de son urètre. 

 

- Tu peux lui juter dans la bouche, hein, Domi. Il aime ça.

 

C'est Denis qui commente, tout en continuant à préparer l'apéro sur la table basse derrière Dominique.

 

- Moi, je viens de lui faire !

 

C'est Yann, cette fois. Je m'aperçois qu'il s'est assis où était Denis tout à l'heure. Il poursuit:

- Pareil, il m'a sucé dès que je suis arrivé. Et je lui ai tiré une cartouche ! Dans la bouche. Et il a tout avalé, hein.

- Moi aussi, il m'a sucé tout de suite quand je suis arrivé. Mais moi, je n'ai pas … joui.

 

Nadir, cette fois. Dominique desserre son étreinte sur ma nuque et extrait doucement sa bite de ma bouche:

- Ouais, c'est très bien tout ça ! Moi, je vais attendre un peu, avant de lui tirer une cartouche. On va s'amuser un peu, avant.

 

Il remballe sa bite, referme son pantalon, et me tend la main:

- Bon, ben … bonjour quand même, Marin. Enchanté.

- Bonjour. Moi aussi, enchanté.

 

Je lui serre la main. En effet, il est pas mal, ce mec. Denis:

- Bon, on boit un coup ? Assieds-toi, Domi.

 

Dominique s'écarte et je m'aperçois que Denis a sorti le grand jeu: 

- Champagne pour tout le monde ?

 

Yann et Dominique acquiescent. Mais Nadir:

- Non, pas moi.

 

Denis:

- Ah ouais, c'est vrai. T'es musulman ? Excuse-moi, je … je pensais pas.

- Ah non, c'est pas ça, je pratique pas. Mais je supporte pas le Champagne. T'as pas un whisky ?

- Si. 

 

On commence à boire. On discute. Denis et Yann racontent notre gangbang à Nadir et Dominique. Il me font raconter mon aventure à l'hôtel avec les huit blacks. J'en profite pour parler de mes paumés de L.F. Je remarque que Dominique, assis dans le fauteuil en face de moi, reluque sans arrêt mon entrejambe. Il faut dire que, vautré comme je le suis dans ce canapé, ma jupe remontée à l'angle de mes cuisses, je ne lui cache rien de mon intimité. Quand j'avais débandé, j'avais remballé tant bien que mal ma bite dans mon micro string rose. Je crois que c'est cette tache fluo entre mes cuisses qui attire irrésistiblement son attention. Alors, je m'amuse à écarter et resserrer les cuisses en guettant ses réactions. Quand la première bouteille de Champagne est terminée, Denis se lève, et:

- Je vais commencer à m'occuper de la bouffe. Yann, il y a une autre bouteille de Champ, dans le frigo. Tu veux bien t'en occuper ?

 

Les voilà partis. Je me lève aussi et tout en rabattant comme je peux ma jupe sur mes fesses, je rejoins Denis:

- Je peux t'aider ?

- Si tu veux. Tiens, t'as qu'à mettre ces trucs-là dans ce plat.

 

Il a sorti du frigo une des boîtes du traiteur qu'il pose sur l'îlot central. J'ouvre le carton et je commence à disposer une multitude de minuscules soufflés sur le plat en faïence. Je tourne le dos au salon, où Yann a rejoint Dominique et Nadir. Alors, ce n'est qu'en voyant Denis sourire en regardant derrière moi, que je devine qu'il se passe quelque chose. Je n'ai pas le temps de me retourner pour voir de quoi il s'agit, des mains se posent sur mes hanches et un corps se plaque contre moi, me coinçant contre le meuble. Un souffle dans mon cou:

- Bouge pas !

 

Il se frotte le bas ventre contre mes fesses en me caressant les hanches, les fesses et la taille. Je tourne un peu la tête. C'est Dominique. Il a posé ses lèvres dans l'angle de mon cou et de mon épaule. Sa main droite descend le long de ma cuisse, se glisse sous ma jupe et commence à me pétrir la fesse. Il se décolle un peu de moi, et se met à m'explorer la raie. Ses doigts s'aventurent maintenant vers ma fleur, sous la ficelle de mon string. Tant bien que mal, j'écarte les jambes pour lui faciliter son exploration. Ah, voilà ! Comme Denis tout à l'heure, il a posé son doigt contre ma rondelle. Oh oui, il va me doigter ! Hhhmmmm, ça y est, il me pénètre. Je ne peux retenir un gémissement et j'écarte encore mes cuisses, mes fesses, je me cambre pour me livrer à sa pénétration. Son doigt qui va et vient en moi me fait un effet terrible. Denis me regarde en souriant, tend la main vers le carton de soufflés et vers le plat, que je tiens toujours:

- Donne-moi ça, je vais finir. Tu vois, je PENSE qu'il va t'enculer.

 

Dominique sort son doigt de mon cul. Toujours en me maintenant contre le meuble, je sens qu'il ouvre sa braguette et descend son pantalon sur ses cuisses. Puis il retrousse ma jupe, m'appuie entre les omoplates pour que je couche mon torse sur l'îlot, passe sa main droite sous mon genou droit, le soulève fermement, mais délicatement, et me le fait poser sur le plan de travail. Ah oui ! Il va me baiser là-dessus, comme les mecs, l'autre jour, sur le bar chez Jean-Claude ! Je pose ma joue sur le bois lisse et j'attends. Je le sens qui écarte la ficelle de mon string, qui guide sa queue, et il pose doucement son gland contre ma rondelle. Hhhmmmm ! J'ai l'impression qu'elle s'ouvre toute seule pour accueillir son sexe ! Et il s'enfonce en moi. Ah, putain, ça y est, j'ai une bite dans le cul ! Oh, oui, baise-moi ! Baise-moi ! Baise-moi !

- Oui ! Baise-moi ! BAISE-MOI, DOMINIQUE !

 

J'ai presque crié. Sa main gauche sur ma hanche, sa main droite qui maintient mon genou sur le plan de travail, il se recule et me rentre brusquement dedans. Boum !

 

En levant les yeux vers Denis, je m'aperçois qu'au lieu de finir de mettre les soufflés dans le plat, il me regarde, un petit sourire aux lèvres. 

 

Boum ! Nouveau coup de bite. Tiens, voilà Yann, une flûte de Champagne à la main, qui vient assister au spectacle.

 

Boum ! Coup de bite. Ah, putain ! Ce que j'aime ça ! Vas-y, encule-moi !

- Vas-y, Domi, ENCULE-MOI, putain ! Encule-moi ! ENCUULE-MOIIIIII !

 

Yann pouffe. Denis rigole plus franchement. Boum ! 

 

Riez, riez, je m'en fous ! Ça me plaît de me laisser aller sans pudeur et sans retenue devant vous ! Au contraire. J'aime la bite et je tiens à le faire savoir ! La main gauche accrochée au bord de l'évier, la main droite agrippée au col de cygne du robinet, j'attends le coup de queue suivant, ce sexe en érection qui se propulse violemment tout au fond de moi. Je le sens coulisser d'un seul coup dans mon anus, et ressortir en glissant lentement. Un mâle, un mâle de plus s'est accouplé avec moi, et il se donne du plaisir, et il ME donne du plaisir ! Boum !

 

Yann s'accoude sur le plan de travail, les mains croisées sous son menton, et me regarde. Ce n'est pas notre coït qui l'intéresse. C'est mes réactions. Bouche ouverte, mes yeux dans les siens, je halète sans pudeur sous l'effet du plaisir que me procure cette queue dans mon cul. Boum !

 

Nadir, à présent, à côté de Yann. Je jette un coup d'œil à Denis, pour m'assurer qu'il me regarde toujours. Ils sont maintenant trois, autour de ce meuble, qui me regardent me faire baiser. Oui, les mecs, voyez comme je me soumets à votre pote qui me baise ! Et je me soumettrai à vous aussi quand vous me baiserez ! Oui, je suis accro à la bite ! Regardez comme sa bite me rend dingue ! Vous me feriez faire n'importe quoi pour de la bite ! Boum !

 

Et voilà Yann qui approche une main de moi … de ma bouche. Poing serré, il me présente son pouce et commence à l'introduire entre mes lèvres … Boum !

 

Je referme ma bouche sur ce pouce et je commence à le sucer. Hhhmmmm, oui, ce n'est qu'un pouce, mais ça me plaît. Boum !

 

Yann joue à faire aller et venir son pouce dans ma bouche. C'est excitant et je sens que ça l'excite aussi. Boum !

 

Vas-y, Domi, maintenant, jouis ! Insémine-moi !

 

- Quelqu'un veut continuer ?

 

Ah, putain, NOOOOOON ! C'est Dominique qui demande aux autres ! Continue, Dominique. Je recrache le pouce de Yann:

- Toi, continue Dominique. BAISE-MOI !

 

Il rit:

- Non. C'est tout pour le moment. Alors, quelqu'un d'autre ? Denis ? Yann ? Nadir ?

 

La suite juste au-dessus.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Profil

  • Solosexe
  • homme hétéro, amateur, aimant les plaisirs solitaires, porter de la lingerie féminine et les introductions anales

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés