Partager l'article ! Première fois. Tournante. Treizième partie.: Avertissement. Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelle ...
Le blog de Marin Cathare
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Nom de dieu ! Trois ! Je m'en suis pris trois … trois doubles sodos !
Six mecs m'ont baisé deux par deux … avec des bites de plus en plus grosses … Je vous raconte pas … sentir deux queues en soi … deux mecs qui prennent du plaisir en même temps, leurs sexes bien serrés l'un contre l'autre au chaud dans son cul … on se sent … rempli, plein …
Par moments, j'ai même eu trois bites en moi, parce que, alors que j'en avais déjà deux dans le cul, une troisième est venue se mettre au chaud dans ma bouche ! Alors ça, c'est … inexprimable ! Sentir dans moi les sexes de trois mecs, venus s'introduire dans la tiédeur humide de mes orifices pour y prendre ensemble du plaisir, pour y soulager leurs pulsions érotiques, pour y assouvir leurs instincts sexuels, savoir que trois organes génitaux sont en moi, "armés", cran sûreté enlevé et prêts à tirer, qu'ils vont incessamment décharger dans mes chairs leur semence, savoir que je vais être le réceptacle de leurs jouissances et de leurs liqueurs séminales … c'est une volupté à la fois sensuelle et cérébrale … Et en effet, les six qui m'ont sodomisé comme ça, deux par deux, m'ont tous inséminé ! Six mecs ont joui et ont répandu leur semence au fond de mon cul, jusque dans mon ventre ! J'étais littéralement rempli de sperme. D'autant plus que d'autres – je ne sais plus combien – m'étaient déjà passé dessus et m'avaient fécondé avant que les doubles sodos ne commencent.
Maintenant, je vais me prendre la quatrième double de la journée. Et alors, celle-là … ouaaaaahhh ! Les deux plus grosses bites de l'assemblée vont me fourrer ensemble … Sam le tatoué et le gros Thierry. Déjà que, seuls, ces deux-là me rendent dingue avec leurs queues hors normes … Mais avant, à la demande de Jérôme – Jérôme, c'est celui qui a photographié et filmé mes ébats tout au long de la journée - , Thierry, Sam et moi, on vient de faire une séance de photos … plus exactement, Jérôme voulait faire une série de clichés de mon cul prenant la pose entre les deux énormes engins de ces deux mecs. Seulement maintenant, Sam, commence à s'impatienter, et il abrège la séance. Il me donne une bonne claque sur une fesse, et:
- Ouais … c'est bon, maintenant … on la baise, cette salope !
S'il est un peu dans l'urgence, c'est que, il y a un instant, je l'ai sucé pendant que Philippe et Gérard étaient en train de me fourrer. Il enchaîne:
- Vas-y, Thierry, installe-toi !
Le gros s'avance au milieu du matelas et se laisse tomber lourdement sur les fesses. Sous le choc, toute la scène est secouée et son énorme bide fait des vagues. Sam, qui m'a fermement saisi par le bras, me pousse vers son comparse. Je résiste un peu et:
- Je … je suis pas sûr, les mecs …
- Quoi ?
- Je sais pas si c'est une bonne idée …
- … si c'est pas une bonne idée … que quoi ?
- … que vous me baisiez tous les deux …
- Quoi ?
Il me fusille du regard. Thierry, s'accoude et me dévisage, décontenancé. Je poursuis:
- Vous êtes trop … vos … vos bites sont trop … grosses … je vais pas pouvoir …
- Tu t'fous d'ma gueule …
- Non … ça va me faire mal … vous allez me déchirer …
- T'es con, ou quoi … On va pas te déchirer … on va te défoncer, ça oui … et puis magne toi, ou c'est ta gueule que j'défonce …
Il me pousse violemment vers le gros:
- Allez, grimpe, salope …
Autour de la scène, les autres attendaient le début du spectacle. Je me rends compte que devant mon soudain revirement, certains semblent inquiets de voir la tournure que prend cette séance, tandis que d'autres nous observent avec une certaine délectation. Ni les uns ni les autres ne peuvent deviner que je résiste exprès pour pousser Sam à bout. J'ai une furieuse envie de me faire enculer par ces deux mecs en même temps, mais j'ai aussi envie de me faire contraindre, de me faire forcer … dès qu'ils ont dit OK pour une double sodo, j'ai décidé de leur jouer la comédie. Et ça marche ! Je me campe sur mes pieds pour résister. Alors, Sam change de stratégie, il m'attire contre lui, face à face, me lâche le poignet et me prend à bras le corps. Il me soulève et me porte jusque au-dessus du gros. Je me débats avec assez de conviction pour que ça soit crédible, mais j'ai le temps de sentir que la bite de Sam s'est glissée entre mes cuisses. Je suis sûr que me prendre par la force l'excite. Ah la vache, j'aime ça ! Dents serrées, mâchoire crispée, il éructe:
- Tu vas pas nous faire chier … hé, gros …chope-le, écarte-lui les jambes …
Sur le matelas, le gros se régale. Il se redresse et s'empresse de me saisir les chevilles et de m'écarter les jambes pendant que Sam me force à descendre mon cul au-dessus de son ventre. Je continue de me débattre:
- Arrête !
- Ta gueule, salope ! Vas-y, Thierry, fous-lui ta bite dans le cul !
- Non, faites pas ça !
D'une main, Thierry me cramponne l'aine pour me contraindre à descendre, et je devine que de l'autre, il dresse sa "pine" pour que je m'empale dessus. Comme je résiste encore, Sam me crochette une jambe. Je m'écroule. Thierry m'attirant et Sam me guidant, je me retrouve à demi accroupi au-dessus du gros. Discrètement, j'ai pris la peine de plier mon autre jambe pour ne pas me retrouver dans une position douloureuse. Plusieurs mecs, dont Philippe, se sont approchés des rouleaux de paille, et observent la scène d'un air inquiet, semblant se demander quoi faire. Merde, pourvu qu'ils ne cherchent pas à intervenir pour arrêter ça ... Philippe me lance des regards interrogateurs. Alors je lui réponds en écarquillant les yeux et en secouant imperceptiblement la tête de droite à gauche … j'espère ne pas me faire repérer par mes deux "violeurs". Ouf ! Il a compris. Il sourit, me fait un clin d'œil et parle à voix basse à ceux qui l'entourent, sans doute pour leur révéler la supercherie. Sam me contraint toujours en me serrant les bras au-dessus des coudes. Et voilà ! Je sens un truc … un gros truc, chaud et un peu caoutchouteux s'introduire en moi.
- Ça y est, Sam ! Il a ma pine dans le cul !
D'une violente poussée, Sam finit de m'empaler sur le gros. Les yeux écarquillés, j'aspire une grande goulée d'air par la bouche. Vu le coup d'œil satisfait qu'il me lance, Sam est persuadé que c'est dû à la douleur. Mais non, Sam … c'est du bonheur !
- Cramponne-le, mec, qu'il puisse pas se barrer.
Le gros m'enserre de ses énormes bras et m'entraîne en basculant en arrière. Je fais mine de me débattre, mais je sens que, même si je voulais vraiment me débarrasser de son étreinte, je ne pourrais pas. Me voilà couché sur le ventre du gros poussah, ses jambes entre les miennes, sa grosse pine dans mon cul. Hhhmmm, à l'autre, maintenant. L'autre, il est debout devant moi, les pieds de part et d'autre de ceux du gros, et il me regarde, triomphant. Il a empoigné sa queue et il se masturbe doucement, pour me la montrer, pour que je me rende compte de ce qui m'attend. En effet:
- Tu la vois, ma queue ? J'vais te l'bourrer, ton cul d'salope … avec Thierry, on va te dé–fon–cer !
Je secoue la tête vigoureusement de droite à gauche en prenant un air effrayé:
- Arrête, Sam … fais pas ça … je te suce, si tu veux, pendant que Thierry me baise …
- Non non non … tu me suces pas … on va t'bourrer …
Il se laisse tomber au-dessus de nous, droit comme un bâton, se retenant de ses deux mains sur le matelas, à côté des épaules de Thierry. J'ai son visage à quelques centimètres du mien. Son torse puissant appuyé sur les bras de Thierry, il me sourit d'un air mauvais. Je sens sa verge, plaquée sur mon pubis, et ses couilles sur mon périnée. Les yeux plantés dans les miens, il soulève légèrement son bassin, descend sa main droite vers son ventre, empoigne son gourdin, et le guide vers ma rondelle. Je continue de secouer la tête:
- non … non … Sam … me fais pas ça …
Ah, ça y est, je sens son gland qui se presse contre mon anus … son gland qui force mon anus … son gland qui commence à s'insinuer … Oh putain, il m'ouvre, il m'écartèle ! Oh putain, c'est bon ! Ça y est, son gland est passé … Ah la vache, c'est sa verge, maintenant, que je sens glisser dans ma rondelle … Ah oui, continue ! Va tout au fond ! Baise-moi ! Baisez-moi, les mecs ! Le souffle coupé, je halète, en continuant de secouer la tête … Je ne sais pas où il en est … Il m'a introduit un quart … un tiers de sa queue ? Sa verge est fuselée depuis le dessous de son gland jusqu'à sa base, et je sens qu'elle continue de m'élargir en progressant … Il enlève sa main … Les yeux toujours plantés dans les miens, il serre les mâchoires parce que j'entends ses dents grincer. De nouveau appuyé des deux mains sur le matelas, il s'enfonce en moi, compressant la bite de son compère, impassible sous moi.
- Enlève tes bras, mec … elle va plus bouger, c'te salope … Hein, tu vas plus bouger …
Le gros desserre son étreinte mais glisse ses mains le long de mes avant-bras, plaqués de part et d'autre de mon bassin, et me saisis les poignets. Prenant appui sur les mains, Sam soulève son torse et d'un puissant coup de reins, il me propulse sa queue tout au fond du cul … si profond que j'ai l'impression de la sentir buter dans mes entrailles. Sous l'effet de ce coup de bite, les yeux fermés je me cambre en haletant. Il s'est immobilisé.
- T'aimes ça, en fait … hein, salope …
Il se cambre à son tour, extrait un peu de sa queue de mon cul … et rentre de nouveau en force … s'immobilise … ressort encore un peu … et revient d'un violent coup de reins.
- Dis-le, que t'aimes ça … espèce de pute …
Oh oui, j'aime ça ! Ton énorme bite … et l'énorme bite du gros … Oui, vous me bourrez … j'ai le cul plein comme je ne l'ai jamais eu … Cette fois, ce n'est pas un gode, si gros soit-il, qui me remplit, c'est deux queues … deux énormes queues … deux vrais sexes, vivants, chauds, excités, avec deux grosses paires de couilles qui vont décharger dans mon cul … Les muscles de mon anus se sont complètement détendus, relâchés, et sa grosse bite va et vient en moi sans aucune difficulté. Ah putain, je suis en train de me faire baiser par deux mecs super bien montés, avec des bites d'une taille exceptionnelle !
Nouveau coup de reins … encore … encore … encore ...
- Tu vois, tu couines … J'suis sûr que t'aimes ça, salope !
J'ai couiné ? C'est possible. Tellement concentré sur ce qui arrive à mon cul, j'ai pu laisser échapper un gémissement. Coup de queue après coup de queue, je sens monter mon plaisir … Ce que je ressens est à la fois très sexuel et très … cérébral … mais pas que … il y a autre chose … j'ai déjà ressenti quelque chose comme ça tout à l'heure. C'est indéniable, je m'attache à eux. S'ils n'avaient pas de si grosses bites, s'ils ne me baisaient pas aussi bien, est-ce que je m'attacherais aussi à eux comme ça ? D'un coup, les digues rompent, je me laisse aller. J'ai soudain envie de profiter de cette partie de cul autrement. Je bouge mes mains en direction du dos de Sam. Thierry hésite une fraction de seconde, et finit par lâcher mes poignets. Je commence à caresser fiévreusement les omoplates et les reins de Sam, à lui labourer délicatement la peau du bout des ongles, j'entortille mes jambes autour des siennes. Sentant mon changement de comportement, il remarque:
- Ben voilà … tu vois que t'aimes ça, de t'faire bourrer l'cul, hein, espèce de p'tite pute …
- …
- Dis-le … dis "j'aime ça, de m'faire bourrer l'cul" …
- J'aime ça …
- "… de m'faire bourrer l'cul" … allez, dis-le …
- J'aime ça, de me faire bourrer le cul …
- "et j'suis une pute", dis-le … "j'suis une pute" …
- Je suis une pute … et j'aime vos grosses bites à tous les deux … je voudrais que vous me baisiez tout le temps …
- Tu t'es foutu de not'gueule, avec ton cinéma, là … « Non, j'veux pas … vous allez m'faire mal … gnagnagna … »
- Hein … tu t'es foutu de not'gueule ?
- Oui.
Par je ne sais quel réflexe incontrôlé, je le saisis par la nuque, j'approche mon visage du sien, et j'essaie de coller ma bouche à la sienne. Il se recule brutalement:
- Qu'est-ce tu fous ?
- Je veux ta langue dans ma bouche …
- Non non, j'fais pas ça, moi …
- Si. Mets-moi ta langue dans la bouche …
Ecartant sa tête de la mienne, il me dévisage, semble réfléchir, et brusquement, il colle ses lèvres contre les miennes et me fourre sa langue sans cesser de me bourrer le cul de furieux coups de bite. Et dans ma bouche, c'est une bagarre furieuse, tendre et érotique qui commence, mêlant nos souffles et nos salives, et alimentant nos excitations. Je gémis. Après un très long moment, à bout de souffle, il s'écarte de moi et, comme gêné par ce qui vient de se passer, il se cale au fond de mon cul et s'inquiète:
- Ça va, Thierry ?
- No problem, mec … continue à m'branler la pine avec ta queue … ça m'plaît …
- Et toi, la grosse pute, ça va ?
Je hoche la tête. Tout en grattant le dos de Sam avec mes ongles, je me mets à caresser le flanc et la cuisse du gros:
- Ouais, ça va. J'adore que vous me baisiez comme ça … vous me rendez dingue, avec vos bites …
- Ça t'a fait mal ?
- Pas du tout …
- Dis donc, t'es drôlement large, ma salope … t'as quand même dû te prendre des sacrés morceaux de bites dans l'cul …
- Oui, mais jusqu'à présent, une seule à la fois … Les doubles sodos, c'est mes premières …
- Alors, pourquoi t'es aussi large ?
- Je me suis fourré des godes … beaucoup … et des GROS … et des jouets de toutes sortes … des GROS jouets … bon, assez causé, baise-moi !
- P'tite salope …
Dents serrées, il se remet à aller et venir, d'abord lentement, puis plus vigoureusement. Le temps de cet échange, mon plaisir est un peu retombé … il se remet à monter … je ne me suis jamais senti autant … enculé … une bite toute seule dans mon cul, je la sens, naturellement, même si elle glisse comme dans du beurre … deux bites "normales" ensemble, évidemment, tout à l'heure, je les ai aussi très bien senties … et plus encore deux bites un peu conséquentes, comme celles de Gilles et Manoel … mais là, c'est une autre dimension … là, mon anus, déjà rempli par la grosse pine de Thierry, est contraint en permanence de demeurer béant pour recevoir les coups de boutoir de Sam … Peu à peu, je me laisse aller à manifester sans pudeur mon plaisir … je gémis de plus en plus fort … J'ai beau guetter les premières contractions de mon sphincter, ça ne vient pas … comme si ses muscles, presque distendus à leur maximum, étaient incapables de se resserrer autour de ces deux sexes-là ! Ce que j'attends avec impatience, c'est le moment où mes deux mâles vont jouir et éjaculer en moi. Comme ils ont déjà tiré leur coup, ils tiennent la distance tous les deux … C'est au moment où je me dis ça, que le gros, sous moi, souffle coupé, commence à grogner et à me pétrir fébrilement les cuisses:
- Ça vient … nom de dieu, ça vient …
Sam continue imperturbablement. Et brusquement, Thierry pousse un long:
- AhaaaHAAAhhhaaahhhAAAhhh … booooordel !
Je sens l'énorme morceau du gros palpiter dans la partie arrière de ma rondelle … il jouit … il éjacule … il m'insémine … Mentalement, je visualise son urètre, gonflé par le passage de sa semence, et, tel un tube de dentifrice vidé par les pressions du gourdin de Sam, qui dégorge par son méat béant dans mes muqueuses … je gémis de plus belle … Et puis voilà, on dirait qu'il a fini … Sous moi, je le sens reprendre son souffle … je l'entends déglutir bruyamment, puis:
- Ah, putain … le panard !
Il rit et son gros ventre se secoue sous moi. Sam ralentit, et:
- Tu débandes, mec … fais gaffe, ta bite va sortir …
C'est clair, Sam sent que sa queue ne sera bientôt plus serrée dans mon cul par celle du gros. Le gros, lui aussi, a compris. Il glisse alors sa grosse patte entre son ventre et ma fesse, et je le sens serrer la base de sa verge, à la fois pour l'empêcher de se dégonfler, et pour la maintenir en place. Sam:
- Yessss !
Il reprend son vigoureux ramonage. Je bande et ma bite bave la liqueur poisseuse que la pression de la queue du tatoué expulse de ma prostate. Son gland à lui doit baigner dans la sève toute chaude que le gros vient de cracher, et je sens que, pleinement concentré sur ce qu'il me fait, il commence à être submergé par le plaisir. Un grondement sourd monte de son ventre. Il ne va pas tarder à me lâcher sa charge dans le ventre … Ooooh putain, vas-y ! Insémine-moi ! Il m'écrase les couilles avec son pubis, et son ventre me masturbe en allant et venant sur ma queue. Je vais jouir aussi ! Du bout des ongles, je lui lacère le dos … je gémis de plus en plus fort … nos excitations respectives s'alimentent l'une l'autre … maintenant il grogne et, sans aucune pudeur, je me mets à crier:
- Aaaah ! Aaaaahhhh ! Aaaah ! Aaaaaahhhh ! Aaaah ouiiiiiiiii !
Je ne suis plus que ce trou du cul … dilaté, distendu, électrisé, enflammé par tant d'accouplements … fourré, rempli, pilonné par tant de sexes, tant de bites, tant de queues … baisé, inséminé, fécondé, engrossé, souillé par tant de sperme, de semence, de jute, de foutre … je ne suis plus que ce trou du cul, occupé par une énorme bite, et qui bâille encore, qui s'ouvre pour recevoir les assauts d'un deuxième sexe, tout aussi gros … Je ne suis toujours pas rassasié de coups de bites, et déjà, avant même que Sam en ait fini avec moi, je rêve que d'autres mecs remontent sur scène pour me prendre à sa suite … encore et encore … je veux sentir en moi des hommes en érection … je veux les sentir prendre du plaisir à me fouiller les chairs avec leur membre … je veux les sentir y décharger leur jouissance … je veux … Brusquement, je jouis … violemment ! Souffle coupé, le ventre secoué de spasmes, je perçois de brutales contractions du côté de ma prostate ainsi que les soubresauts de ma bite … je sens une tache tiède s'étaler sur mon ventre … rapidement, les sensations de ma queue et celles de mon anus se mêlent au point de ne bientôt plus être qu'un seul et même orgasme qui m'arrache des gémissements hystériques …
Sam m'a senti prendre mon pied, et ça déclenche son propre orgasme. En appui sur les mains, tendu au-dessus de moi, il m'envoie sa queue à grands coups de reins au fond du cul, tout en grognant:
- Honnn ! Hooonnn ! Hoooonnnn ! Hooooooonnn ! Hooooooooonnnn !
Sa bite me semble encore plus raide, encore plus dure tandis qu'il jouit, qu'il éjacule dans mon cul . Peu à peu, alors que ma propre jouissance s'atténue, une espèce de relâchement de tous mes muscles m'envahit, comme une torpeur … enfin, Sam ralentit, ses coups de boutoir s'espacent. Les yeux mi-clos, les mâchoires serrées, il aspire et souffle de grandes bouffées d'air par le nez … il a fini … il s'écroule sur moi, le menton contre ma clavicule … Coincé, écrasé entre mes deux mâles, je suis en sueur … eux aussi, d'ailleurs. Nous restons comme ça un moment, le gros serrant toujours la base de sa verge et Sam toujours aussi raide, planté en moi … puis le tatoué se redresse, plante se yeux dans les miens, m'administre deux ou trois coups de queue, et:
- Alors, la pute, c'était bien, hein …
- Oui !
- T'as joui, hein …
- Oh oui … c'était … j'avais jamais joui comme ça !
- Ah ouais ?
- Ouais … c'est parti à la fois de mon cul et de ma bite …
- Ah ouais … t'as joui du cul, quoi …
- Oui … aussi …
- Y'a pas à dire .. t'es vraiment un trou à bites …
- Oui …
- Vous êtes sympas, les mecs, mais vous commencez à être lourds …
Thierry commence à étouffer. Sam prend appui sur ses mains et, lentement, il sort sa queue de moi dans avec bruit mouillé … j'ai l'impression de me vider … comme quand je me soulage … il se relève … la queue de Thierry, maintenant franchement ramollie, s'écoule à son tour de mon cul … Le gros me saisit par les bras et me fait basculer sur le côté. Au pied de la scène, ils sont … je ne sais combien, qui discutent, se marrent et commencent à s'éloigner … le spectacle est terminé. Je m'allonge sur le ventre et, dès que je ferme les yeux, deux mots s'imposent à mon esprit: "plénitude" … "satiété" ... oui, après cet orgasme, je me sens enfin rassasié … mais des queues … plein de queues comme ça, il m'en faudra encore … des hommes … dans moi … il faudra recommencer …
…
…
… sa bite …
…
… me faire enculer …
…
…
.. toutes ces queues … … … dans le sperme …
…
… avale … avale …
…
…
…
… fait baiser … … … vingt ? …
…
… une putain … sur la paille …
…
…
… ma bite … dans ton cul …
…
- Hein ? Tu la sens, ma bite dans ton cul ?
Qu'est-ce que … Ah, merde … où est-ce que je …
- Alors … tu la sens, ou tu la sens pas, ma bite ?
Ah oui, en effet, j'ai une bite dans le cul … mais ce que je sens, surtout, c'est ce mec, vautré sur moi …
Je … j'ai dû m'endormir … Toujours allongé sur le ventre, la joue sur mes avant bras croisés, les cuisses largement ouvertes, j'ai un mec sur moi … j'ai un mec DANS moi, sa queue dans mon cul … et je ne sais pas quel mec !
Je suis fourbu, moulu, rompu, comme au réveil d'une bonne nuit de sommeil, après une marche de vingt kilomètres … je sens cette espèce de fourmillement et d'engourdissement qui suit un repos réparateur après un effort physique intense … c'est très agréable … En plus, je me réveille avec un mec sur moi, et sa bite dans mon cul !
- Oui, je la sens, ta bite …
- Hé, les mecs … ça y est, il se réveille !
Je soulève un peu ma tête, et je vois, au pied de la scène, quatre … cinq … six types, en train de discuter, une bière en main … Ils se tournent vers moi en riant, et l'un d'eux, canette toujours en main, mime un applaudissement.
- Je … j'ai dormi ?
- Ah oui ! T'as même parlé … on aurait dit que c'était … "chaud", comme rêve …
- Et … il y a longtemps que tu … es sur moi ?
- Pas mal, oui … Quand les deux ont eu fini de te baiser, tu t'es tout de suite endormi … je t'ai laissé tranquille un moment … et puis, j'ai encore eu envie de te fourrer … je suis monté, et à peine je t'ai touché, tu as écarté les cuisses … j'ai cru que tu dormais pas … mais si, tu dormais … et pendant que je te tringlais, t'as parlé et t'as ronflé par moment …
- Et … tu as fini, là ?
- Oui, ça y est, j'ai pris mon pied …
Je tends la main et je lui caresse la cuisse:
- Tu as eu raison d'en profiter …
- Euh … tu sais … je trouve ça dingue, que tu te fasses baiser par plein de mecs … je trouve ça super, je veux dire ... Ma femme … j'aimerais bien qu'elle se fasse baiser comme ça, par plein de mecs … devant moi … mais elle veut pas …
- Tu lui as demandé ?
- Ouais. Elle dit que je suis barge … Tu … tu viendrais lui en parler ? De ça, de ce que tu fais, je veux dire ...
- Pourquoi pas …
- Super !
Et il se lève:
- Tu viens ?
Je roule sur le côté. Ah, ça y est, je le reconnais … ce mec, à midi, je l'ai sucé sous la table … Franck, il me semble .. et je crois qu'il m'avait baisé dans l'écurie, ce matin … Il me tend la main et m'aide à me relever.
- C'est Franck, ton nom …
- Ouais, c'est ça …
Il me fait passer devant lui, et nous descendons les quelques marches. Au pied de la scène, ils sont encore cinq ou six qui discutent en sirotant de la bière et du vin. Ils se tournent vers moi et y vont de leurs commentaires et de leurs compliments:
- Ça va ?
- Bravo !
- Ben mon vieux, qu'est-ce que t'as pris …
- Bien dormi ?
- Ça y est, tu as eu ton compte pour aujourd'hui ?
- T'as pas trop mal au cul ?
- T'as fini par prendre ton pied …
Ils n'attendent pas de réponse, l'un se contente de me donner une tape amicale sur l'épaule, l'autre une petite claque sur la fesse … Plus loin, d'autres sont en train de débarrasser les tables. Je réalise que certains, comme Sam, sont toujours complètement à poil, et d'autres se sont rhabillés … plus ou moins … Manoel a remis son pantalon, Gilles seulement son T-shirt, et se balade la bite à l'air … l'aîné de la troupe est rhabillé du haut en bas … mais maintenant, il n'y a plus de bites en érection … N'empêche, c'est une drôle de sensation, tous ces mecs … ça me fait à peu près le même effet que ce matin, quand je suis arrivé et que j'ai découvert en vrai les mecs qui allaient me baiser … là, c'est fait, ils m'ont tous baisé, mais ça me fait encore tout drôle de les voir ensemble … vingt sept, vingt huit … je ne sais plus exactement combien, mais c'est cet effet de … de nombre … toutes ces bites .. vingt sept, vingt huit … maintenant indifférentes à mon cul, mais que j'ai fait bander et que j'ai soulagées tout au long de cette journée … j'ai eu tous ces sexes en moi … et ils ont tous éjaculé leur semence en moi … et certains plus d'une fois … j'ai été leur jouet sexuel, leur vide-couilles comme disent certains, comme une poupée de silicone qu'ils se sont repassée … Philippe m'aperçoit et s'approche:
- Ça va ?
- Ça va …
- Alors, t'es content ?
- Oh oui !
- Tu veux te … tu veux te laver ?
- Non …
Visiblement étonné, il hausse les sourcils:
- Plus tard, alors …
- Non, je vais rentrer comme ça chez moi …
Pendant que Sam et Thierry me baisaient, j'ai décidé de garder tout le sperme que j'avais déjà en moi et celui que ces deux-là allaient m'injecter, et rentrer chez moi le ventre plein … Il n'insiste pas et poursuit:
- Tu … tu veux boire quelque chose ?
- Oui, une bière … la bouche, je veux bien me la rincer …
- Ça marche … suis-moi …
Il rit, sort une canette d'une glacière, la décapsule et me la tend:
- Dis … Guy a suggéré qu'on fasse une photo de groupe … tu sais, genre euh … photo de classe … Ça te gênerait ?
- Ben non, au contraire …
- Bon, je les préviens … Il y en a qui voulaient partir … ils attendaient seulement de savoir si on la faisait ou pas, cette photo …
- Allons-y, alors …
- Guy !!! Hé, les mecs … on fait la photo … ramenez-vous ! Jean-Claude, tu viens ?
Et, se tournant vers moi, il m'explique:
- On la fait devant la scène … Jean-Claude veut pas être sur la photo … c'est lui qui va la faire … viens …
Curieusement, alors que certains s'empressent d'enfiler leur pantalon pour prendre la pose, d'autres se déshabillent … Peu à peu, tout le monde nous rejoint au pied des rouleaux de foin et pendant que Philippe commence à les aligner sur deux rangs, je sens des mains se poser sur mes fesses et me peloter. C'est le gamin, Kevin, qui se marre. Sam, plus que jamais à poil, se glisse parmi nous, bouscule gentiment Kevin, et vient se placer derrière moi. Guy intervient:
- Ça va pas le faire comme ça … on est trop étalés en largeur … on sera pas tous sur la photo … il faudrait que quelques-uns montent s'asseoir sur la scène … Qui veut y aller ?
Six … sept … huit … se dirigent vers l'escalier. Les autres se resserrent. Des mains puissantes me saisissent par les hanches et m'attirent. C'est Sam. Il me plaque contre lui. Je sens son ventre contre mes fesses et, contre le haut de mes cuisses, son sexe. Guy s'approche de moi, me prend par un bras et m'entraîne devant les autres:
- Ouais, ben, désolé, Sam, lui, il faut qu'il soit devant … Bon … toi, tu te mets devant … et vous, là, le premier rang, il faudrait vous accroupir … bon, toi, tu te mets … euh … assis devant eux … ou à genoux … non, allongé … tu veux pas t'allonger devant eux ? Attends … sur le goudron, faudrait mettre … je sais pas … Jean-Claude, t'aurais pas une couverture … quelque chose …
Jean-Claude se dirige vers la rangée de tables, et je me tourne vers ma bande de mecs, je m'approche de Manoel et j'entreprends de déboutonner sa braguette:
- Vous voulez pas sortir vos bites ? J'aimerais bien qu'on les voit sur la photo …
Deux ou trois, déjà la bite à l'air, applaudissent. D'autres se marrent et commencent à déballer leur matériel. Jean-Claude revient, une nappe à la main, et l'étale à mes pieds. Guy:
- C'est bon, comme ça ? Alors installe-toi …
Il tend son smartphone à Jean-Claude et pendant que je m'installe, à demi allongé et appuyé sur un coude, il s'accroupit derrière moi avec les autres. En fait, ça ne fait vraiment pas photo de classe ... ça me rappelle plutôt les photos de fin de safari, quand les chasseurs posent devant leurs trophées de chasse ... et là, le trophée, c'est moi ! Et c'est vrai qu'ils ont tiré pas mal de cartouches, mes chasseurs !
Jean-Claude recule, cadre et le bruit caractéristique de l'appareil photo retentit … Crac ! Photo:
- Voilà, c'est bon, je vous ai tous …
Guy se lève:
- Attends … on pourrait pas en faire quelques unes plus hot. Là, on dirait une photo de mariage …
- Une photo de mariage avec une seule mariée et ses trente maris …
C'est la voix du gros Thierry. Eclats de rire … Guy:
- Non, mais sérieux … Y'aurait des volontaires pour prendre la pose avec lui, là, devant ?
- Quel genre de pose ?
- Ben, je sais pas … des poses pour montrer que vous l'avez baisé …
Ça murmure, ça discute, ça rigole, mais personne ne bouge. Alors, je me lève et je m'approche du premier rang:
- Allez, quatre ou cinq, là … vous vous mettez côte à côte, vous me prenez et vous me portez, allongé dans vos bras …
C'est Sam qui réagit le premier et qui me soulève. Les autres viennent à sa rescousse et je me retrouve à l'horizontale, porté par les bras de cinq mecs à poil et la bite à l'air. Je passe un bras autour du cou de Sam.
Jean-Claude:
- Ouais, c'est bon comme ça !
Crac ! Photo … Crac ! Photo … Crac ! Photo.
Ils me reposent au sol et le groupe commence à se disperser … certains vers la rangée de tables, d'autres récupèrent leurs vêtements et se rhabillent … Manoel s'approche, sa chemise sur un bras, et me tend la main:
- Bon … faut que je me barre … salut …
- Salut … tu te rappelles ? Quand tu as besoin de te vider les couilles, tu peux toujours m'appeler …
- Oui, oui … j'ai tes coordonnées et j'ai laissé les miennes … c'est Philippe qui a ça … il t'expliquera …
Il s'éloigne. Angelo, s'approche à son tour, suivi d'Hamid, de Gilles et de quelques autres:
- Salut, mec … c'était mon premier gangbang, mais c'était super …
- Moi aussi, c'était mon premier … enfin, organisé comme ça, je veux dire …
- Si tu recommences, hein … tu me bigophones … j'ai donné mon numéro à Philippe …
- OK.
Hamid:
- Salut, ma poule …
- Salut, belle bite …
- Moi aussi, j'ai trouvé ça super … t'as un cul d'enfer, ma poule …
- Merci.
- Philippe, il l'a aussi, mon téléphone …
- Très bien …
Et ils se succèdent comme ça … huit, neuf, dix, onze … manifestant de manière plus ou moins volubile leur satisfaction et leur envie de recommencer, en bande ou en tête à tête pour certains … puis ils vont saluer les autres participants. Au moment où je rejoins Philippe, Jean-Claude et ceux qui les aident à ranger, la fourgonnette du traiteur entre dans la cour de la ferme. Philippe me tend une feuille de papier:
- Tiens … ça, c'est les coordonnées des mecs … prénom, téléphone, mail … si tu veux les contacter …
- Ah, merci.
- Tous, ils m'ont demandé les tiennes, de coordonnées … Jean-Claude les a tapées et les a imprimées et on les a distribué à tout le monde ..
- Super …
Une main se pose sur mon épaule et me fait pivoter. C'est Sam. Il s'est rhabillé et il a son casque à la main:
- Viens par là, toi …
... à suivre ...