Récits pornographiques

Vendredi 20 juin 2014 5 20 /06 /Juin /2014 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

02 septembre.

Ça y est, j'ai un début d'érection dans mon micro string. Les vibrations de ce train de banlieue y sont pour beaucoup, mais c'est surtout l'idée de ce qui m'attend qui me fait cet effet. Hé oui, je suis en route pour me faire baiser, et depuis que je suis monté dans ce wagon, j'anticipe mentalement des scénarios … tous plus chauds les uns que les autres.


Je vais retrouver Steve. Ce sera notre première rencontre … en chair et en os … surtout en chair !  J’ai longtemps hésité, mais maintenant que j’ai baisé avec … non , maintenant que je me suis fait baiser par … par combien de mecs, au fait ? Il y a d’abord eu Laurent, le cultivateur. Le premier qui m’a vraiment sodomisé, c’est Thomas, chez moi. Après lui, il y a eu de nouveau Laurent, qui m’a pris sur son tas de paille. Ensuite, il y a eu Gabriel, le grand black que m'a offert Thomas. En dernier, ça a été trois mecs d’un coup : Lukas, Andrej et Sébastien, au bord de l’autoroute. Ça fait … six, en l’espace de … un mois et demi ! 

J’aurais mis longtemps avant de me décider à franchir le pas, mais j’ai commencé à rattraper le temps perdu. Maintenant que j’y ai vraiment pris goût, j’ai sans arrêt envie de m'occuper activement d'une bite, de la manipuler, de la caresser, de la faire bander, de la branler, de lui donner du plaisir, de la faire jouir … Mais surtout, j'ai de plus en plus envie de me faire prendre par un mâle, de me faire saillir. Il y a longtemps que j'ai pris goût à exciter des mecs. Depuis que je suis passé à l'acte, je sais ce que ça fait vraiment de donner du plaisir à un mec, de le laisser jouir à son gré de moi, de mon cul, et surtout, de me faire féconder comme une femelle. C'est un plaisir qui mêle la volupté physique, sensuelle, à la jouissance cérébrale. J'ai envie de sentir encore une queue en moi, de savoir qu'un mâle prend du plaisir à aller et venir dans mes chairs, et j'ai envie qu'il jouisse en moi … Il me faut de la queue, il faut que je me fasse baiser, c'est devenu obsessionnel, j'y pense sans arrêt. Alors dorénavant, je ne veux plus attendre que des occasions s'offrent à moi, je suis prêt à tout pour me faire saillir, et je me donnerai à tous ceux qui voudront: beaux, moches, blancs, blacks, grosses bites ou un petits oiseaux ...

Je commence par Steve. Amateur de collants et de petites culottes, il a commencé par laisser des commentaires sur mon blog. Visiblement, c’était effectivement mon cul qui l’intéressait … Il habite en banlieue et je me rends chez lui par les transports en commun. Il doit me récupérer à la gare.

Ma queue a du mal à s'épanouir dans le micro string rose que j'ai mis pour le trajet. Je ne peux tout de même pas glisser ma main dans mon pantalon pour arranger ça, le jeune couple assis en face de moi n'apprécierait sans doute pas. Je sens que mon gland a commencé à baver et je me demande s'il ne ferait pas déjà une tache sur mon pantalon … J'ai beau essayer de penser à autre chose, de fixer mon esprit sur le paysage qui défile, rien n'y fait, des images de sexe s'imposent constamment à moi, je m'imagine partant en exploration dans la braguette de Steve…


Me voilà enfin à destination. Je sors de la gare. Steve a dit qu’il m'attendrait sur le parking. Je le reconnais à la description qu’il m'a faite de lui et de sa voiture. Il a dû me reconnaître aussi, parce qu’il me fait signe par sa vitre ouverte. Je m'assois à la place du passager et nous nous serrons la main.

- Steve.

- Marin … 

Il sourit et il démarre. Je ne sais pas trop comment engager la conversation, alors pour le mettre à l’aise, je lui demande :

- Maintenant que tu vois la tête du bonhomme, toujours décidé à passer à l’acte ? Tu sais, si tu veux changer d’avis, je ne me vexerais pas.

- Non, non, pas de problème. C’est vrai, je ne m’attendais pas à ce que tu sois aussi… homme, enfin … masculin, mais tu n’es pas … répugnant. Et puis ce n’est pas ta tête qui m’intéresse le plus …

- C’est ce que j’ai cru comprendre. C’est surtout à mon cul que tu en veux.

- Ben oui. Et moi, comment tu me trouves ?

- Pareil, mais moi, ce n’est pas ton cul que je veux, c’est ta queue. Je peux ?

Et joignant le geste à la parole, je pose la main sur le haut de sa cuisse.

- Oh oui, vas-y !


Contre toute attente, alors que je rencontre Steve pour la première fois, je n’éprouve aucune gêne, aucune pudeur, aucune inhibition à son égard. Sans aucun doute c'est l'effet de mes précédentes « rencontres ». Après tout, je suis ici pour le cul, pour la bite … pour baiser … Je remonte ma main vers son bas-ventre et je la pose sur sa braguette. Je sens son sexe sous la toile. J'ai l'impression qu'il gonfle déjà au contact de ma main … Je demande:

- C'est loin?

- Non, une vingtaine de minutes quand ça roule bien …

Mais ça roule mal, il y a pas mal de circulation. Je remarque que, tout en conduisant, il jette sans arrêt de brefs coups d'œil sur ma main posée sur son bas ventre. Nous sommes arrêtés par un feu rouge et il en profite pour écarter les cuisses, prendre ma main et la pousser vers son entrejambe. C'est tout chaud et je sens son paquet bien moulé dans son pantalon. Je suis un peu loin de lui et pas très à l'aise pour en faire davantage. Alors je détends un peu ma ceinture de sécurité et je me rapproche. Je lui palpe les couilles un moment avant de saisir sa verge à travers le tissu de son pantalon. Il bande vraiment et je lui pétris la queue doucement et fermement. Heureusement qu'à cause de l'intensité du trafic, nous ne roulons pas très vite, parce qu’il ne semble pas très concentré sur sa conduite. J'ironise:

- Fais quand même attention, ça serait dommage d'avoir un accident.


Nous voilà à l'arrêt dans un embouteillage. J'en profite pour desserrer un peu sa ceinture de sécurité, atteindre le bouton de son pantalon, le défaire et baisser le zip de sa braguette. Je fais tout ça de la main gauche, j'ai un peu de mal, et il m'aide comme il peut. J'écarte les deux pans de son pantalon, et je découvre, gonflée par sa queue à demi en érection, une petite culotte en microfibre blanche et presque transparente. Je salue ce sexe tout en le caressant:

- Bonjour, toi … Comment ça va ? 

Elle a l'air d'aller très très bien … Dans la voiture arrêtée à côté de nous, un couple de jeunes, l'homme au volant, la femme à côté. Elle nous regarde et nous sourit. Si elle savait ce que je suis en train de faire … Tant bien que mal, j’extrais l’extrémité de la queue de Steve de sa culotte et du bout des doigts, je commence à pétrir son gland toujours caché dans son prépuce. Nous redémarrons. Je le décalotte et je commence à le masturber tout doucement, toujours de la main gauche… Cette manipulation m'excite presque autant que lui. De la main droite, je déboutonne mon propre pantalon, je descends le zip de ma braguette, j'écarte les deux pans et je révèle mon micro string rose et ma queue qui a commencé à en sortir toute seule. Il jette un coup d'œil vers moi, et:

- tu as mis ton string de p… (il se ravise, il a failli dire "de pute") … ton string rose? J'adore.

- tu peux dire "mon string de pute" ? C'est effectivement un string de pute. Ta petite culotte n'est pas mal non plus.

- C'est aussi un string …

- Hummmm !


Tout en le masturbant de la main gauche, je me caresse de la main droite. Nous avons parcouru une centaine de mètres, et nous sommes de nouveau arrêtés à côté de la voiture du jeune couple. Visiblement perdue dans ses pensées, la jeune femme nous sourit de nouveau, et nous lui sourions aussi. Steve parait content de se faire masturber comme ça, en douce, juste à côté de ces inconnus. Brusquement, une idée folle me traverse l'esprit. Je tire sur ma ceinture de sécurité pour me donner de l'aisance, je plonge la tête vers son ventre et je prends son sexe dans la bouche. J'imagine qu’il est sidéré, mais, évidemment, je ne vois pas quelle tête il fait. Sa seule réaction, c'est:

- Tu es fou? On nous voit …


J'ai la tête coincée entre son ventre et le volant. Pas très pratique, mais qu'importe, je jouis à la fois d'avoir enfin sa bite dans la bouche et de la situation. Je pense, j'espère, que la jeune femme dans la voiture d'à côté a vu mon mouvement vers son ventre. Steve redémarre doucement, et tout en roulant, il se tortille en se plaquant à fond contre le dossier de son siège. Choqué, sidéré, mais il fait ce qu’il peut pour faciliter ma fellation. J'ai un peu plus de place pour le sucer. Je sens son gland tout gonflé qui palpite sous ma langue. On ralentit, et, au moment où il s’arrête, je me redresse. Nous sommes encore à côté du jeune couple, et tous deux nous regardent. La jeune femme avec les yeux ronds et la bouche ouverte, tandis que son homme se marre franchement. Oui, elle m'a vu et elle a dû le dire à son mec. Les yeux fixés devant lui, Steve n'ose pas les regarder, et avec un grand sourire, je leur fais un signe de la main. 

Le flot de voiture redémarre et Steve accélère nerveusement comme pour s’éloigner au plus vite de nos deux témoins. Il tourne dans la première rue à droite. Le jeune couple nous a suivis jusque là et poursuit sa route tout droit, mais au moment où il passe à notre hauteur, le conducteur nous salue de trois brefs coups de klaxon. J'ai rajusté ma ceinture de sécurité et repris le sexe de Steve dans la main. Il n'est plus aussi dur. Cette petite séance l'aurait un peu refroidi? Il répète:

- Tu es fou, comme ça en public …

Mais il sourit.

- Tu n'as pas aimé? 

- Si … ce n'est pas ça … mais tu aurais pu me prévenir …

- Tout le charme, c'était de surprendre cette nana et son mec. Si j'avais dû te prévenir, tu aurais peut-être refusé, j'aurais dû te convaincre, bref, l'effet de surprise aurait été nul.

Sous mes caresses, son sexe s'est ragaillardi et il se dresse de nouveau, vigoureux et provoquant. Le voir comme ça m'excite terriblement et me fait bander. J'ai très envie de le reprendre dans la bouche. Sous l'effet du plaisir, un peu de fluide perle au bout de son urètre. Je presse un peu sa queue et, tant bien que mal, du bout des doigts, je recueille ce liquide qui fait comme des fils, et je le porte à ma bouche.

- hhhhhmmmmm! Tu vas m'en donner d'autres, j'espère … tu vas m'en donner plein … et surtout de la crème, plein de crème …

Il me regarde en coin, un peu abasourdi par mon comportement, et il sourit en secouant la tête, visiblement surpris de me voir excité au point de réclamer ainsi sa semence. Nous roulons en silence un moment, chacun dans nos pensées, chacun dans nos fantasmes, moi une bite dans chaque main, la sienne à gauche, la mienne à droite. Je suis tellement excité et au bord de l'orgasme, que je suis obligé de réfréner ma propre masturbation pour ne pas me répandre immédiatement. Steve s’arrête à un feu rouge, et il en profite pour repousser ma main qui tient ma queue. Il saisit mon sexe et le masturbe doucement. 

- Je vais t'en donner de la crème, comme tu dis … tout ce que je peux.

Le feu passe au vert et nous redémarrons. Nous roulons encore quelques minutes et il entre sur le parking d'un petit immeuble, et se gare. 

- C'est ici.

Nous nous rajustons avant de descendre de la voiture. Avant de lui emboîter le pas, je récupère mon sac à dos. C'est le "sac à malices" dans lequel j'emmène habituellement mon "petit nécessaire" quand je pars dans mes randonnées masturbatoires en campagne. Aujourd'hui, je l'ai rempli de mes tenues les plus sexy et de quelques jouets, ainsi que de mon camescope et de son trépied … Il habite à l’entresol. Nous grimpons rapidement les quelques marches qui conduisent à son palier. Il ouvre la porte, et me fait signe d'entrer. Au moment où je passe devant lui, il me mets une main aux fesses et:

- bienvenue !


J'hésite à l'entrée du salon, et il en profite pour s’approcher de moi par derrière. Il m’entoure le torse de ses bras, se plaque contre mon dos, et pose son menton sur mon épaule. Je lâche mon sac à dos et, les mains sur ses hanches, j’attire son bassin vers mes fesses. Tout en pressant son bas ventre contre mon cul, il descend  ses deux mains vers mon ventre et les plonge dans mon pantalon. Il me tripote la queue à travers mon string et tente d’y glisser ses doigts. Mais dans ce minuscule bout de tissu, il n’y a pas la place pour ma queue et pour une main. Alors, il entreprend de déboutonner mon pantalon et de le glisser sur mes cuisses. Puis il descend mon string d'une main et saisit ma queue de l'autre. Je recommence à bander. Il me caresse la queue un moment, puis dirige son autre main vers mes fesses, s’écarte un  peu de moi, descend mon pantalon sur mes genoux, et glisse sa main dans ma raie. Bientôt, je sens un doigt s'appuyer contre ma rosette et tenter de la pénétrer en douceur. Bien qu'elle soit toute disposée à se faire explorer, son doigt a du mal à progresser. Ce matin, avant de me mettre en route, je me suis déjà fait plusieurs lavements. Je suis tout propre, en tout cas assez pour une première introduction… Je saisis son poignet et j’attire sa main vers ma bouche. L’un après l’autre, je suce ses doigts et les lubrifie avec ma salive, avant de repousser sa main vers mon cul. Cette fois, son doigt me pénètre sans difficulté. Il le bouge tout en l'enfonçant. C'est un délice qui me coupe le souffle. Je me cambre.


Il ôte son doigt, et je sens qu’il s’agenouille derrière moi. Il finit de descendre mon pantalon sur mes pieds. Il m'agrippe par les hanches et approche son visage de mes fesses. Je devine ce qu’il veut faire, mais la position n’est vraiment pas confortable. Alors je me penche en avant et après avoir quitté mes chaussures, je finis d’enlever mon pantalon. Maintenant, je peux écarter les jambes. Je me cambre autant que je peux pour lui faciliter l’accès à ma fleur. Son nez se glisse dans ma raie et je sens sa langue qui me caresse la rondelle. C'est chaud, c'est humide, c'est vivant, et j'ai une furieuse envie qu’il l'enfonce au plus profond de mon cul, mais:

- attends. Tu vas trop vite. Je dois passer par la salle de bain …

Je veux quand même lui éviter une mauvaise surprise. On ne sait jamais … A regret, il s’écarte de mes fesses et se relève. Je me retourne, et, à mon tour, je m'agenouille devant lui. Je le déboutonne, je fais glisser le zip, et je descends son pantalon sur ses pieds. Mon visage est à la hauteur de son sexe. Il est tout raide dans son string. Il sent à la fois la cannelle et la vanille et ça me rappelle la grosse queue parfumée de Gabriel. Je passe ma langue sur le fin voile du string, depuis ses couilles jusqu'à son gland, que je gobe, comme ça, enveloppé dans le fin tissu transparent. Je suce un moment à la fois le string et le bout de sa queue, puis je dénude celle-ci pour la prendre directement entre mes lèvres. Je ne m'en étais pas aperçu jusque là parce qu'il était en partie masqué par son string, mais tout son paquet est glabre, aussi bien la verge que les bourses et une partie du pubis. Comme moi. Tant mieux, il sera plus agréable sous mes lèvres et sous ma langue.

 

Il a posé ses mains sur ma tête et je devine qu’il me regarde le sucer. Je glisse mes lèvres aussi loin que possible vers la base de sa verge, et je sens son gland qui s'enfonce dans ma gorge. Le nez écrasé contre son ventre, je sens ses bourses pleines, lourdes, contre mon menton. Je recule ma tête, gardant seulement son gland frémissant entre mes lèvres, et je lève les yeux vers lui. Il a rejeté sa tête en arrière et je devine qu’il a les yeux fermés, totalement concentré sur ce que je suis en train de lui faire, attendant que je l'enfonce de nouveau profondément dans ma gorge. A regret, je sors son gland de ma bouche et:

- Hhhhmmm! C'est bon ! Mais ça va aller trop vite. On n'a encore rien fait.

Il redescend sur terre, sans doute un peu déçu, et, saisissant sa bite à pleine main, il me l'écrase et me la frotte sur le visage tandis que je lui donne de petits coups de langue au passage. Il acquiesce:

- tu as raison. Et maintenant ?

- maintenant, il faut que je passe par sa salle de bain …

- Ah, oui. OK. C'est par ici.


Je me relève, je récupère mon sac à malices et je le suis. En quelques secondes, je suis nu et sous la douche. Il me rejoint et nous nous couvrons mutuellement de savon liquide. Son goût de cannelle et de vanille vient de là. Nous nous savonnons mutuellement et ce contact à la fois chaud, doux et glissant attise de nouveau notre excitation. Nous nous collons l'un à l'autre, poitrine contre poitrine, ventre contre ventre, sexe contre sexe. Une main sur mes reins, il me presse fermement contre lui. De son autre main, il m'empoigne une fesse pendant que je lui frotte doucement le dos. Rapidement, il aventure ses doigts dans ma raie, les passe plusieurs fois sur mon œillet, comme s'il attendait mon assentiment pour aller plus loin. Je pose ma main sur la sienne, mes doigts sur ses doigts, et je presse son index sur ma fleur, l'invitant à me pénétrer. Lentement, délicatement, il enfonce une phalange en moi, puis deux et s'immobilise. Ma main toujours sur la sienne, je presse alors son majeur contre mon œillet. Un peu surpris, il hésite, puis enfonce tout aussi délicatement son deuxième doigt dans mon cul. Je sens mon sphincter résister une fraction de seconde, puis se relâcher. Le plus dur est fait. Alors, le menton appuyé sur son épaule, je lui murmure:

- Tu peux en mettre un autre, si tu veux …

- Tu es sûr ?

- Oui, vas-y, j'ai l'habitude.

Je sens son annulaire rejoindre les deux autres doigts dans mon cul. Je me sens ouvert, délicieusement écartelé.

- Fais-moi pareil …

Je ne m'attendais pas à cette demande de sa part. Il n'a jamais manifesté d'envie de ce genre. Soit: tout en lui écartant une fesse de la main gauche, je glisse la droite dans sa raie, et j'aventure mon index et mon majeur savonneux contre son anus. J'ai l'impression qu'il s’ouvre à ce contact, comme pour m'inviter à le pénétrer. Ce que je fais. Il a ouvert la bouche et fermé les yeux. Au fur et à mesure que mes deux doigts s'enfoncent doucement, sa respiration ralentit, comme suspendue, en attente. J'écarte mes doigts, ouvrant davantage sa fleur qui se prête à cela sans aucune résistance. Ouvert comme il est, il a déjà dû jouer à cela … J'introduis alors mon annulaire à côté de mes autres doigts, puis mon auriculaire. Maintenant, les yeux toujours fermés, il halète, aspirant un peu d'air à chaque nouvelle pénétration, et il se met à émettre comme un petit ronronnement. Je bouge alors mes quatre doigts dans son cul, je les écarte, je le fouille, je les retire et les remets. Toujours plaqué contre moi, les bras autour de mon torse, son menton sur mon épaule, il passe sa langue sur ses lèvres et dans un souffle:

- hhhmmmm, ouiiiii ! C'est booooon … 


Maintenant que les doigts de ma main droite vont et viennent librement dans son étui, je ramène ma main gauche entre nous, à la recherche de son sexe. Il est là, tout raide, la tête en bas, contre ma cuisse, coincé dans cette position quand nous nous sommes collés l'un contre l'autre. Sa queue cherche vainement à se relever. Le fluide qu'elle a bavé contre ma cuisse fait un fil tandis que je le redresse. Elle s'est décalottée toute seule, et je la saisis, le pouce et l'index autour de la base de sa verge avant de commencer à la masturber d'un mouvement doux et lent. Je dois éviter de l'amener à l'orgasme maintenant, en ajoutant le plaisir de sa queue au plaisir anal. J'adore lui procurer cette volupté. Après quelques minutes, j'abandonne son sexe le temps de saisir le mien, lui aussi la tête en bas, de le redresser, de le plaquer contre le sien, d'empoigner nos deux bites d'une seule main et de nous masturber d'un même mouvement. Au bout d'un moment, je lui murmure:

- maintenant que je suis propre à l'extérieur, je dois me laver à l'intérieur …


Il met quelques secondes à réagir, et dans un soupir il desserre son étreinte, je sors mes doigts de lui et je lâche nos deux sexes raides et durs.

- Oui. Tu as raison … 

Si pour moi c'est à la fois une nécessité et un plaisir, je me demande comment faire. Il n'a pas de bidet et je ne sais pas trop si je peux le faire devant lui dans la douche. Je devrais peut-être lui conseiller de sortir. Mais il devance mon appréhension, il saisit le pommeau de douche et il me dit:

- tourne-toi et penche-toi …

Je suis un peu surpris. J'ai l'habitude de me faire ça tout seul. J'hésite une fraction de seconde, je jette un coup d'œil à l'objet qu’il tiens, puis j'obtempère. Ça devrait le faire. Comment va-t-il s'y prendre?  Mais déjà, je sens le jet d'eau sur mes fesses, puis contre ma rondelle, et enfin le contact du pommeau fermement plaqué contre mon anus. L'eau tiède commence à me pénétrer. Finalement, c'est très agréable de se faire faire ça par quelqu'un d'autre. Mais le pommeau déverse plus d'eau dans le bac de douche que dans mon cul. Alors, je tends la main et:

- laisse-moi faire.

Il me donne l'objet. Celui-ci me semble parfait pour ce que je vais en faire. Son extrémité ne dois pas faire plus de 5 centimètres de diamètre. Heureusement qu’il n'a pas cédé à la mode des pommeaux de douche muraux ou d'un diamètre énorme … Je m'accroupis, je plaque la tête du pommeau contre mon étui et la force du jet d'eau m'ouvre l'anus. Je pousse un peu et le pommeau lui-même entre en moi. Je sens le flot tiède m'envahir et me gonfler le ventre. J'ai bien fait d'anticiper et de me faire des lavements chez moi, l'eau qui ressort de mon cul est propre. Je me remplis et j'expulse l'eau de moi comme ça plusieurs fois, puis je rince le bac de douche. Après l'utile, je passe à l'agréable. Je m'assois au fond du bac, légèrement couché, adossé au mur de la douche, j'écarte les cuisses, et j'introduis de nouveau le pommeau en moi. Je le fais aller et venir dans mon rectum, toujours déversant son flot d'eau tiède. J'adore faire ça et je bande comme un âne. Steve s’agenouille devant moi, saisit le pommeau et le fait aller et venir à son tour dans mon cul. Je pose une main sur la sienne pour accompagner et guider son mouvement. Il manœuvre très délicatement. Je ferme les yeux de plaisir et je sens aussitôt son autre main sur ma queue. Il l'a seulement empoignée et il se contente de bouger celle qui tient le pommeau de douche. Je pourrais passer des heures comme ça. Mais, même si Steve semble prendre du plaisir à ce petit jeu, c'est assez égoïste. Alors, je repousse sa main, j'extrais le jet de moi, et:

- on fait quoi ? On reste comme ça, ou on se rhabille ? J'ai de quoi nous travestir tous les deux, si tu veux …

- Attends, moi aussi, je voudrais me …


Il a un regard explicite vers le pommeau de douche: il veut aussi se faire un lavement. Ma parole, il a l'intention de se faire ... que je le ... Je n'avais pas prévu ça, j'étais venu pour me faire baiser, pas pour faire le mâle ! Bon, ça pourrait être intéressant. Tandis que je me relève, il s’installe à quatre pattes au milieu du bac et il se plaque le pommeau contre la rondelle. Je lui demande:

- tu veux que je t'aide?

- oui, vas-y.

Pendant qu’il s’installe plus confortablement, le cul en l'air et la tête appuyée sur ses bras croisés au fond du bac, je saisis l'objet et je le pose doucement mais fermement contre son trou. La force du jet lui entrouvre l'anus tout en injectant de l'eau en lui. Je sens que son trou se dilate, à la fois sous l'effet mécanique de l'eau tiède, et sous celui du plaisir. Bientôt, il me semble qu’il pourrait avaler comme moi ce pommeau, et, tout en l'appuyant un peu plus fort, je lui demande:

- tu veux que je le rentre?

- Oui, mais doucement.

Tout doucement, je le pousse en lui. Pas d'autre résistance que le flot d'eau tiède qui ressort de lui. La tête pénètre, puis la poignée, et bientôt, il ne dépasse plus de son cul que le tuyau flexible. Il me demande:

- tu y arrives ?

- C'est fait, mon vieux, tu l'as entièrement !

Il doit douter, parce qu’il passe une main entre ses cuisses, jusqu'à son cul. Il ne commente pas, il rit… Je commence alors à faire aller et venir l'engin en lui, le faisant ressortir presque complètement avant de le replonger au plus profond. Dans la position où il est, l'eau qui ressort de lui coule sur sa queue et sur son ventre, et je remarque qu’il bande. Je glisse alors ma main libre entre ses cuisses, je saisis sa queue et je le masturbe. Cette fois, c'est lui qui m'arrête:

- arrête ! Ça va trop vite …

Je termine donc ce lavement, je sors le pommeau de lui et, tandis que je rince le bac de douche, il reste dans la même position, le cul en l'air, offert. Il n'aurait pas une idée derrière la tête? Je lâche le flexible, je m'approche de lui à genoux, je pose mes mains sur ses hanches et j'approche mon visage de son cul. Il ne bouge pas. Je le pousse à relever un peu plus sa croupe, ce qu’il fait, et je pose mes lèvres sur son trou. Il a compris ce que je veux faire, et je sens qu’il attends ça avec impatience. Je passe ma langue entre mes lèvres et je la pose à son tour contre son anus. Je le sens qui réagit, qui frémit. Je passe le bout de ma langue plusieurs fois sur son sphincter, puis je l'enfonce doucement dans son trou. Il est doux, il est chaud, il est humide, et j'adore ça … Ma langue aussi tendue que je peux, je la remue, et je sens ses muscles se détendre. Je prends beaucoup de plaisir à lui en donner comme ça, mais la position est fatigante. Je me redresse, je me rapproche de lui, et je viens plaquer ma bite dans la raie de ses fesses. Il ne bouge toujours pas, ce que je prends pour un acquiescement. Alors je pose mon gland contre sa fleur toute lubrifiée de ma salive, et je l'enfonce. Je suis moi-même un peu surpris de ce que je suis en train de faire, parce que j'ai généralement plus envie de me faire sodomiser que de sodomiser. Mais c'est doux, c'est chaud, c'est humide et j'adore ça !

Et je commence à aller et venir en lui, qui se laisse faire. Je regarde ma queue qui s'enfonce en lui et ressort, et je trouve ça à la fois très beau et très excitant. Quand je pense à l'idée de posséder quelqu'un, c'est cette image qui me vient à l'esprit: un cul offert, deux mains plaquées sur les fesses et une queue qui va et vient dedans. A cet instant précis, tandis que je le besogne, il n'a pas idée du plaisir à la fois sensuel et cérébral qu’il me procure. Pour profiter encore mieux de ce moment, je me colle à lui, je m'immobilise, le ventre contre ses fesses, ma bite tout au fond de lui, et je me concentre sur ce qu'elle ressent d'être ainsi enfouie au milieu de ses chairs. Oui, encore une fois, c'est ça: c'est doux, c'est chaud, c'est humide, et ma queue adore ça. Je reste comme ça un long moment, savourant l'instant. Enfin, je me retire, je pose mes lèvres sur son anus à qui je déclare:

- merci ! C'était très agréable.

 Et à lui:

- on continue?

Je n'attends pas sa réponse. Je me relève, j'attrape mon sac à dos et en l'ouvrant:

- tu es fétichiste de collants, mais si ça ne t'ennuie pas, je vais plutôt mettre une tenue dans laquelle j'aime me donner du plaisir, me photographier et me filmer …

- pas de problème. Si c'est une des tenues de salope qu'on voit sur ton blog, ça me va.

Tout en vidant mon sac, je précise:

- Oui, c'est un string, un porte-jarretelles et ma mini jupe en jean. Je préfère nettement les porte-jarretelles aux collants. Je les trouve plus érotiques, et l'ennui avec les collants, c'est qu'on ne peut pas faire tout ce qu'on veut … Et, continuant à déballer le contenu de mon sac, j'ajoute:

- Si tu veux, j'ai amené une autre mini-jupe pour toi … 

Je lui tends la dernière mini-jupe que je me suis offerte: en voile plissé blanc à pois noirs, avec une sorte de jupon noir, elle est ultra courte. Je lui tends aussi le corsage en satin noir et blanc que j'ai acheté avec la jupe. Ça a l'air de lui plaire, parce qu’il prend l'ensemble et il quitte la salle de bain, sans doute pour s’habiller ailleurs. Un peu fébrile, je mets mon porte-jarretelles en dentelle noire et les bas rouges que j'aime tant. Ils ne sont vraiment pas raffinés, il donnent un air très vulgaire, très « pute », mais je trouve ça très érotique. J'enfile ensuite ma micro jupe en jean. Elle me moule parfaitement le cul et elle m'arrive vraiment à ras le bonbon. Elle ne recouvre pas le haut de mes bas, et entre ceux-ci et le bas de ma jupe, un peu de mes cuisses apparaît. J'adore ça. J'ai choisi un haut rouge comme mes bas et un string en microfibre fuschia. Habillé comme ça, je me sens vraiment femelle et j'espère que je vais exciter Steve et lui donner envie de me baiser. De toute façon, si ça ne suffit pas, je suis bien décidé à faire ce qu’il faut pour qu’il me prenne et qu’il me baise.


Je sors de la salle de bain. Je retrouve Steve dans le salon, debout devant son canapé. Steve a mis la mini jupe et le haut que je lui ai donnés, et il est en train d'enfiler un collant tout blanc. Il me regarde de la tête aux pieds d'un œil approbateur et lubrique, un petit sourire aux lèvres. Yes ! Ça va le faire … Il poursuit son habillage. Penché en avant, il lisse le fin voile sur ses chevilles d'un geste très sensuel et féminin. La culotte de son collant est encore roulée au niveau de ses genoux. Je trouve ce spectacle très érotique. Je m'approche et je m'agenouille devant lui. Je pose mes mains sur ses chevilles et, à mon tour, je lisse ce voile sur ses jambes. Cette caresse me procure beaucoup de plaisir. A lui aussi, semble-t-il … Il se redresse, pose ses mains sur ma tête, et il me laisse faire. Mes mains remontent lentement le long de ses jambes, et, arrivé à ses genoux, je déroule encore un peu de son collant sur ses cuisses. La ceinture et la culotte du collant sont maintenant roulés juste sous son sexe et ses fesses. Toujours d'une caresse, je tends et je lisse le voile, m'attardant sur l'intérieur de ses cuisses. 


Je soulève un peu le bas de sa jupe, et je découvre son membre, dans un début d'érection. Le contact du collant sur sa peau ? Ma caresse au creux de ses cuisses ? Ma présence à ses genoux ? Dans l'état où il est, légèrement gonflé mais pas dur, le gland encore caché dans son prépuce, son membre me donne une furieuse envie de le prendre dans ma bouche. Je m'approche un peu plus, d'un bras j'enserre ses cuisses, je relève sa jupe de mon autre main, je pose mes lèvres sur sa verge et je l'embrasse. Puis je sors ma langue, je la passe sous son gland, j'entrouvre mes lèvres et je prends sa queue dans ma bouche. Aussitôt, je la sens qui gonfle un peu plus, et qui durcit et essaie de se redresser entre ma langue et mon palais. Je sers alors mes lèvres autour de sa verge, et, avançant la tête vers son ventre, d'un même mouvement, je le décalotte et j'enfonce son gland au fond de ma gorge. 


Quel bonheur d'avoir son sexe en moi ! Ce membre, que la nature a donné aux hommes, et à lui en particulier, pour qu’il l'introduise dans le sexe d'une femme afin de procréer, je l'ai dans ma bouche … uniquement pour lui donner du plaisir… et en prendre! Et cette semence, avec laquelle il est supposé féconder le ventre d'une femme, se trouve à l'instant tout près de mon menton. Tout à l'heure, c'est dans ma bouche ou peut-être dans mon ventre qu’il va la répandre, non pas pour se reproduire, mais pour la plus extrême jouissance qu'on puisse imaginer. Et dans l'instant, cette chaire chaude, lisse et douce, qui va et vient sur ma langue et qui mêle un peu de son fluide lubrificateur à ma salive, me procure un plaisir à la fois sensuel et cérébral. Ces pensées m'excitent au plus haut point, et ma fellation se fait plus intense. Je passe la main qui est derrière lui sous sa jupe, je glisse mes doigts entre ses fesses et je les frotte contre sa fleur. J'ai très envie, tout en le suçant, d'introduire mes doigts dans son cul, mais le collant qui enserre ses cuisses m'empêche de lui écarter assez les fesses. Je renonce, et ça me calme un peu. Je sors sa queue, maintenant toute raide, de ma bouche et tout en la masturbant, je m’adresse à elle :

- toi, tu vas me baiser, hein ? Tu vas m’enculer et tu vas m’injecter ta crème, hein ?


Je finis de remonter son collant sur ses fesses et sur son ventre. La vision de son pieu en érection dans ce collant est très excitante. Non seulement je le vois en transparence, mais il donne un relief très suggestif à son collant. Chaque détail de son sexe est parfaitement moulé par ce voile: ses bourses, les veines de sa verge et son urètre qui font saillie, les deux ailes du dessous de son gland décalotté … Je caresse doucement de la main cette longue bosse, puis j'y pose mes lèvres entrouvertes, que je glisse tout le long de son membre, depuis le gland jusqu'aux testicules, avant d'y passer ma langue de bas en haut puis de haut en bas. Maintenant, c'est lui qui soulève sa jupe, et tout en m'activant des lèvres et de la langue sur sa queue, je lui caresse les fesses et l'intérieur des cuisses à travers son collant. Au bout d'un moment, je le fais doucement reculer, et quand ses mollets entrent en contact avec son canapé, je le pousse pour qu’il s’assoit. Je m'installe, toujours à genoux par terre, entre ses cuisses largement écartées. Tout en caressant de mes mains son sexe et son ventre, je parcours maintenant ses cuisses de mes lèvres et de ma langue. Puis je remonte, et tandis que mes mains se glissent sous son corsage, ma bouche passe de nouveau par son membre extrêmement dur et par son bas-ventre. Je soulève son corsage, et c'est ma bouche qui caresse maintenant son ventre, son sternum et sa poitrine. J'ai maintenant le ventre posé sur sa queue et ma bouche parcourt ses épaules. Une idée me trotte dans la tête depuis que j'ai repéré que son appartement est en entresol:

- on entend bien la circulation, dis donc …


Je me lève et je me dirige vers la fenêtre ouverte. En effet, on entend bien parce que son appartement est à l’entresol et que la fenêtre donne sur la rue, tout au plus à une dizaine de mètres de l’immeuble. Et ça circule pas mal devant chez lui: des voitures, des cars, des camions, des cyclistes, des piétons… Ça circule pas mal, et ça circule lentement, à cause de travaux, un peu plus loin dans la rue. Tandis que j'observe ce trafic, Steve vient se placer à côté de moi. Dans le même mouvement, d'un geste machinal, il pose une main sur mes reins. Aussitôt, ce simple contact m'enflamme les sens. J'écarte les bras, je pose mes mains à plat sur le rebord de la fenêtre et je me cambre.

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Sa main descend sur mes fesses puis s'insinue dans ma raie. Je trouve la situation très excitante: je me fais peloter, tripoter à quelques mètres de ces gens qui passent devant nous. L’appartement en entresol surplombe légèrement la rue, le rebord de la fenêtre se trouve au niveau de mon pubis, alors les passants ne peuvent pas voir ce qui se passe en dessous, mais quand même…


Maintenant, je sens un doigt qui pénètre mon cul. Ça me coupe la respiration. Concentré sur ce qu’il me fait, et comme dans un brouillard, je vois à peine ce couple qui passe devant nous et qui nous salue d'un signe de tête. Comme si de rien n'était, Steve leur répond d'un geste de la main … de sa main libre, évidemment, parce que l'autre est très occupée à poursuivre son exploration. Ce sont maintenant trois doigts qui me fouillent. Je me cambre autant que je peux pour faciliter sa perquisition. Il l'interrompt soudainement, recule, se place derrière moi et je sens qu’il s’accroupit. D'un geste impérieux, il me fait écarter les jambes, et il vient plaquer son visage dans ma raie. Maladroitement, je me penche en avant pour m'accouder au rebord de la fenêtre, lui présentant ma croupe offerte. Déjà, je sens sa langue qui me pénètre et qui s'agite dans mon étui. C'est vivant, c'est chaud, c'est humide … tout ce que j'aime ! Je m'efforce de ne pas manifester au-dessus de la ceinture ce que je ressens au-dessous. Mais quand, après sa langue, il m'introduit ses doigts (combien, je ne sais plus …), je dois me mordre la lèvre pour ne pas gémir mon plaisir aux passants. Je sens que, non seulement il m'a introduit ses doigts, mais, qu'en plus, il les écarte, il les enfonce aussi loin qu’il peut … Il est en train de me dilater, peut-être de me préparer à recevoir le gros gode ! Et j'adore ça !


Soudain, il se relève. Il finit de remonter ma jupe sur mes reins et il vient se coller à moi. Il ne va pas me goder, il va m’en – cu - ler ! Je sens qu’il a empoigné sa queue. Il l'approche de mon étui, il pose son gland contre mon trou, et me saisissant par les hanches, il me pénètre d'un vigoureux coup de reins. Je me redresse et je me cambre, les mains de nouveau appuyées au rebord de la fenêtre. Cette fois, il ne se contente plus de me tripoter en vue des passants et du trafic, il me baise ! C'est à la fois une volupté pour mon cul et un régal pour ma tête. Hé, les gens ! Hé, regardez ! Steve est en train de me trousser et de me baiser devant vous ! J’ai sa queue dans mon cul, là, pendant que vous passez en jetant un regard distrait vers nous ! C'est tellement bon, c’est tellement excitant, que je perds toute inhibition, toute pudeur. Je retrouve un peu du plaisir que j’ai eu à me faire baiser par Gabriel sous les yeux de ma voisine. J’ai envie d’interpeller cette femme qui passe sur le trottoir, ou ce cycliste qui roule au pas, coincé entre deux voitures dans cet embouteillage … Pourvu que l’un d’eux tourne la tête vers nous … Pourvu que quelqu’un nous repère … Pourvu que quelqu’un réalise que Steve est en train de me saillir … 


Juste à ce moment-là, un car passe à petite vitesse devant l’immeuble. Le regard de quelques passagers se tourne machinalement vers nous, et à ma grande joie, je vois que l'un d'entre eux nous a repérés. Comme par un fait exprès, le car s'arrête là, bloqué par un engin du chantier de travaux. Le type qui nous a vus tape sur l'épaule de son voisin et nous désigne du doigt. Ils se marrent, commentent, et bientôt c'est cinq, six, sept passagers du car qui nous regardent, certains offusqués, les autres hilares. Grâce au reflet dans la vitre ouverte, je vois que Steve, tout à son plaisir, contemple le va et vient de sa queue dans mon cul, et qu’il ne réalise pas ce qui se passe devant chez lui. Alors, pour que les occupants du car n'aient aucun doute sur ce que nous faisons, tout en leur adressant un large sourire, je me redresse, je passe un bras derrière ma tête, et j'attire celle de Steve sur mon épaule. Tout à sa besogne, il se croyait invisible, bien caché derrière moi. Il a un mouvement de recul, de résistance en réalisant qu'on nous regarde, et il s’immobilise, la queue au fond de mon cul. Le type qui nous a repérés et son voisin ont entrouvert une vitre du car et se marrent. Ils ne voient pas directement notre copulation, mais il n’y a aucune doute possible pour eux, d’autant qu’avec la hauteur du car, ils se trouvent presque à notre hauteur. 


Je me sens inondé de plaisir et d’adrénaline de me faire baiser, une fois encore devant témoins. Finalement, Steve comprend qu’il est trop tard pour essayer de se cacher, et il se laisse aller. Il contribue même à faire le spectacle: il ôte ses mains de mes hanches, il m'enserre la poitrine de ses bras et reprend de plus belle son va et vient dans mon cul, le menton sur mon épaule. Maintenant, plus d'ambiguïté pour les spectateurs : il est en train de me saillir. Nos deux voyeurs du car, de plus en plus hilares, nous applaudissent par la vitre entrouverte. Leur manège attire l’attention d’un passant, la soixantaine, qui relève la tête pour voir ce qui les excite comme ça.  Il nous repère à son tour et s’immobilise pour contempler le spectacle. Le car redémarre. Tandis que nos deux voyeurs se lèvent de leurs places et gagnent le fond du car pour nous mater le plus longtemps possible, je leur adresse un signe de la main. En voilà qui auront des choses à raconter tout à l'heure au bureau … Sur le trottoir, le passant nous observe ostensiblement en hochant la tête. Lui non plus ne peut pas voir notre accouplement, mais, visiblement, il a compris ce qui se passe. Il voit bien que nous sommes deux hommes, il voit bien que je tiens toujours la tête de Steve d’un geste langoureux sur mon épaule, il voit bien que Steve m’enlace et secoue d’avant en arrière son bassin derrière moi … L’inconnu nous contemple sans vergogne, un petit sourire aux lèvres. On dirait qu’il apprécie notre culot. En effet, le poing serré, le pouce levé, il nous adresse un signe d’approbation. Alors, à son intention, j’en rajoute dans le genre femelle en chaleur : rejetant légèrement la tête en arrière, j’entrouvre un peu la bouche, je ferme à demi les yeux et je me cambre comme sous l’effet d’une intense jouissance. Il hoche la tête de plus belle, avec une mimique mi admirative mi envieuse. Il aimerait quoi, être à la place de Steve, être à la mienne ? Steve, le menton toujours sur mon épaule, n’a rien perdu ni de mon manège ni de celui du passant. Est-ce l’excitation de me baiser en public, est-ce mon comportement de femelle en chaleur, est-ce la réaction du passant ? Il se met à me donner de grands coups de boutoir. 


D’autres passants, remarquent d’abord notre homme, planté au milieu de ce trottoir et qui les oblige plus ou moins à le contourner. Il s’aperçoivent alors qu’il regarde vers cette fenêtre, suivent son regard, et nous repèrent à leur tour. Certains ne font pas plus attention que cela et passent leur chemin. D’autres réalisent d’un coup d’œil et s’éloignent d’un air outré. Passent deux jeunes femmes, bavardant bras dessus, bras dessous. L’une d’entre elles lève machinalement les yeux vers nous, nous voit, et, tout en poursuivant son chemin au bras de son amie, se penche vers elle et semble lui chuchoter quelque chose à l'oreille. Elles ralentissent, l’amie paraît l’interroger, ne pas comprendre ce qu’elle lui dit. Ce faisant, elles se sont éloignées d’une dizaine de mètres, mais je les vois s’arrêter, se retourner, regarder vers notre fenêtre et faire carrément demi-tour … Elle reviennent, toujours bras dessus bras dessous, les yeux braqués sur nous. Notre voyeur a aussi remarqué leur manège et il les regarde s’approcher en riant. Je murmure  à Steve  qui a un peu calmé ses ardeurs :

- On va avoir des spectatrices.

Voilà les deux femmes à côté de l'homme qui nous regarde. Elles s’arrêtent, toujours en nous fixant, et semblent interroger notre homme. Nous n’entendons pas leur conversation, couverte par le bruit de la circulation, mais c’est évident, elles lui demandent s’il se passe bien ce qu’elles croient qu’il se passe. Il acquiesce. Elles éclatent de rire. Elles n’ont pas l’air le moins du monde offusquées. Plutôt curieuses, intriguées. Tout en nous regardant, elles se parlent à l’oreille et rient. Notre voyeur leur adresse la parole, se tourne vers nous, nous adresse un signe de la main, et s ‘éloigne. A je ne sais quoi dans le regard de celle qui nous a vus la première et qui a ramené son amie vers nous, à je ne sais quoi dans son maintien, j’ai le sentiment qu’elle aimerait être à ma place, à se faire prendre comme ça, debout, par un mâle … Ça te plairait de te faire baiser comme ça ? Tiens, regarde ! Je lâche la tête de Steve, je pose mes mains sur le rebord de la fenêtre, et en me cambrant je lui dis :

- Vas-y, bourre moi bien, montre leur que tu es un mâle …

Mon langage cru le stimule. Il me prend par la taille et se remet à me fourrager vigoureusement. Il me secoue tellement que je dois m’agripper fermement tandis que je sens mon sexe ballotter contre le mur sous la fenêtre. Je recommence mon manège à l’intention des deux femmes, les yeux mi clos, la bouche entrouverte. A leur mimique, je vois qu’elles sont bluffées. Elles échangent deux mots, tournent les talons et s’éloignent à leur tour. Je pense que ce soir, leur homme va se faire plaisir … Steve continue à me pilonner un moment avant de ralentir, essoufflé. Il finit par s’extraire de moi et il va s’affaler sur un fauteuil. Toujours à la fenêtre, je passe une main vers mon cul et je palpe ma rondelle. J'ai la fleur toute épanouie de plaisir, les muscles de mon sphincter totalement décontractés. Je me caresse comme ça un moment pendant que Steve récupère. Au bout d'un moment, visiblement calmé, il me demande:

- lève-toi !

Et joignant le geste à la parole, il m'incite à me relever. Dès que je suis sur mes pieds, il déboutonne ma minijupe et il entreprend de me l'ôter:

- Enlève ça, tu n'en as plus besoin.

Quand c'est fait, il m'entraîne vers la cuisine. Il écarte une chaise rangée sous la table et il me dit:

- Grimpe et mets-toi sur le dos.

Je devine ce qu’il projette et j'obtempère. Je suis maintenant à demi allongé, appuyé sur les coudes, les mollets pendant de la table. Il approche, il vient entre mes genoux, me soulève les jambes et les place de part et d'autre de ses bras. J'ai maintenant les cuisses relevées. Il me prend par les hanches et tout en me soulevant, il me rapproche les fesses du bord de la table. Je suis maintenant à sa disposition, le fourreau à hauteur de sa queue, offert, disponible. Toujours accoudé pour profiter du spectacle, je le regarde dans les yeux, qui s’apprête à me baiser. D'un air goguenard, il me dit:

- tu aimes ça, la bite, hein? 

- Ah oui, j'aime ça. 

Il me fourre son gourdin et commence à me ramoner:

- je vais t'en donner, moi, de la bite ! Ça te plaît de te faire enculer, hein ?

- Ho oui ! Ça me plaît d’avoir une queue dans le cul. Mais ça me plaît aussi d'en sucer, de la bite … D’ailleurs, c'est dommage que tu sois tout seul, je me serais bien fait prendre par les deux bouts … Pourquoi tu n’as pas invité un copain ou deux ?

- Tu es vraiment une sacrée salope, hein !

Cet échange l’a excité et il accentue ses coups de reins. Sous ses coups de boutoir, je m'écroule complètement sur le dos. Après une longue série de vigoureux ramonages où son ventre claque contre mes fesses, il ralentit sa cadence et s’applique à m'enfoncer sa queue tout au fond de la caverne. Mentalement, je visualise son gourdin qui fouille la moiteur de mes chairs. C'est très excitant. Soudain, il se remet à me pilonner si violemment que je m'affale sur le dos et que la table se déplace sous ses coups de boutoir. 


A un imperceptible changement de son rythme, à la contraction de ses mains sur mes cuisses, je me demande si il ne serait pas au bord de l'éjaculation. Il n'en est pas question! Pas maintenant. Je me redresse sur les coudes et je le repousse un peu brutalement, extrayant d'un coup sa queue de mon cul. Je lui dis:

- Tu allais jouir, hein? Pas comme ça ! C'est trop tôt. Je veux que tu me baises en levrette et que tu m'éjacules dans le cul. Approche …

Il ne se fait pas prier, il contourne le bout de la table, et le voilà devant moi. Je bascule sur le côté. J'ai maintenant le visage à hauteur de son ventre. Je l’attire vers moi, ses cuisses contre la table, et je prends son sexe dans la bouche. Depuis le temps qu'il va et vient dans mon étui, son membre ne sent plus la cannelle et la vanille, il a le goût de mon fluide anal. Ça ne me gêne pas, j'ai l'habitude. Je trouve même excitant de sucer la queue qui vient de me fourrager la caverne. Je prends sa main et je la pousse vers mon cul. Il se penche un peu, et pendant que je le suce, il me fouille la caverne. Est-ce ma position sur cette table? Sa  queue dans ma bouche, sa main qui m'explore se mêlent pour porter mon excitation au summum. J'ai soudain une urgence. Je sors sa queue de ma bouche et:

- maintenant, je voudrais que tu me baises …

Mais il continue à me doigter et il plaque sa queue contre ma bouche:

- non, tu continues de me sucer.

Je recule ma tête. Alors, d'une main il prend ma tête pour l'attirer vers son ventre, pendant que de l'autre, il empoigne sa queue et il l'applique fermement contre mes lèvres. Les mâchoires serrées, il m'ordonne:

- suce-moi, salope !

Je résiste, je détourne la tête, et je le menace:

- fais gaffe, je te la mords !

- vas-y, mords-la …

J'ouvre la bouche, et il y enfourne résolument sa trique. Je serre doucement les dents sur sa verge, et il attend la suite, immobile. Evidemment, je ne veux pas le blesser, et je ne serre pas davantage, tout en maintenant une certaine pression. Ça a l'air de lui plaire, parce que, tout en me maintenant la tête, il se met à me pousser sa queue plus avant dans la bouche, puis il la ressort presque entièrement avant de la renfoncer. Ma parole, il branle sa bite entre mes dents ! Ça me plaît, de me faire forcer comme ça … Je fais mine de résister et il accentue la pression de ses mains sur ma tête. Je sens que la situation l'excite beaucoup. Nous jouons à ça un moment, lui qui me baise la bouche de force et moi qui fais semblant de me débattre. Mais je ne veux pas qu'il m'éjacule dans la gorge. Pas maintenant, pas encore… J'ouvre la bouche, je la recrache et je dégage ma tête de ses mains. Je roule sur le côté et je descends de la table. Nous sommes chacun d'un côté de la table et je lui ordonne:

- maintenant, tu vas me baiser!

- Pas envie …

Il se marre. Je commence à faire le tour de la table, et il fait pareil pour m'échapper. Heureusement, j'ai une bonne allonge, et j'arrive à l’attraper par un bras. Il résiste, mollement, et je viens me plaquer derrière lui, l’enserrant de mes bras.

- C'est où, la chambre?

- Il n'y a pas de chambre …

- C'est ça, prends-moi pour un con …

Je le soulève du sol et je pars en exploration. Il ne se débat même pas. L'entrée, un couloir, cette porte c'est la salle de bain, je reconnais… La porte suivante, c'est la bonne. Je le pousse devant moi et il s’affale à plat ventre sur le lit. Je me couche sur lui, j'installe ma queue dans sa raie des fesses et je glisse mes mains sous son ventre. Il bande encore. Et même sacrément! Tout en le tripotant, j'insiste:

- Si, tu vas me baiser. Tu vas me prendre en levrette, tu vas me tringler et tu vas me répandre ta crème dans le ventre …

- Pas envie …

- Menteur. Tout à l'heure, à la fenêtre, ça te plaisait, de m'enculer…

- Oui, mais, maintenant, j'ai plus envie …

- Ta queue dit le contraire.

- …

- Tu as envie de quoi, alors?

- …

- Tu veux que je t'encule?

- …

Je me redresse, je me place à genoux entre ses jambes, je le prends par les hanches et je l’attire contre mon ventre. La tête appuyée sur ses bras croisés, le cul en l'air, il attend. Mes intentions sont claires, je me prépare à l’enculer. Il ne résiste pas, il se laisse faire. C’est donc qu’il est d’accord. Je bave un peu de salive sur mes doigts, je lui en barbouille la rondelle, j'approche ma bite et je l'enfonce en lui. Il est très serré. J’ai un peu de mal  le pénétrer. Pourtant, tout à l’heure, avec le pommeau de la douche, j’ai préparé son cul ... Mais depuis, il s’est resserré et il n’a pas utilisé de gode.

- Dis donc, tu es sacrément étroit …

- Je n’ai jamais … je ne me suis …

- Tu es … puceau ?

- Oui.

- Ça m'étonnerait, tout à l'heure, tu t'es ouvert comme quelqu'un qui a l'habitude de se défoncer … ou de se faire défoncer …

- Et ben non ! C'est la première fois. C'est de te voir, avec tes photos et tes vidéos, qui m'a donné envie …


C’est moi qui le … qui le dépucelle. Cette idée accroît mon excitation et me fait bander plus fort. Je pousse un peu plus fermement, mais très lentement. C’est très agréable de s ‘enfoncer dans ce trou étroit qui me comprime la queue. Enfin, mon ventre vient buter contre ses fesses. Encore une fois, ce qui me frappe, c'est que c'est doux, chaud et humide. Je regarde mon ventre collé contre lui, et je ressors, toujours lentement. Bientôt, seul mon gland est encore dans son cul, et je m'immobilise. Cette vision est très excitante. Je le pénètre à nouveau, lentement, et je savoure la vue de mon sexe qui entre en lui. Progressivement, j'accélère mon va et vient. Maintenant, quand mon ventre claque contre ses fesses, que mes couilles viennent battre contre son périnée, j'ai l'impression d'aller vraiment tout au fond de lui. Je sens mon gland qui repousse ses chairs, et ce glissement dans sa tiédeur humide m'électrise. Le spectacle lui-même est très sensuel, érotique, torride… Sa minijupe relevée dévoile les deux globes de ses fesses, avec, entre elles, mon membre qui va et vient dans son intimité. C’est ce que voit un homme qui sodomise une femme … Mais ce n'est pas une femme que je suis en train de saillir, c'est un homme, un mec. Là, juste sous mon membre, il y a, invisible pour moi, un autre membre masculin, une bite et des couilles encore pleines de sperme. 


Je pose mes mains de part et d'autre de sa taille et je m'immobilise. Maintenant, ce n'est plus moi qui avance et recule mon bassin pour le ramoner, mais je le tire vers mon ventre et je le repousse, et c'est son cul qui va et vient autour de ma queue. La situation doit beaucoup lui plaire, parce qu’il se redresse, prend appui sur ses mains pour se retrouver à quatre pattes. Et je sens que, sans que j’aie besoin alternativement de le pousser et de le tirer, c'est lui qui balance d'avant en arrière et qui masturbe ma queue avec son cul. Je reviens à la charge:

- Alors, c’est une première pour toi ?

- Oui.

- Tu ne t’es jamais fait enculer ?

- Non

- Mais, tu te godes, parfois …

- Je me mets un peu mes doigts de temps en temps, mais c’est tout.

 Je n’en reviens pas.

- Mais alors, tout à l’heure, dans la douche, avec le pommeau …

- C’était la première fois … un truc aussi gros, je veux dire.

- Mais comment il a pu entrer aussi facilement sans te blesser ?

- Je ne sais pas. La pression de l’eau peut-être…

- Alors, c’est moi qui te dépucelle …

- Oui.


Ça me laisse sans voix. Au-dessus de la ceinture de sa jupe, son corsage, un peu remonté, dévoile ses reins. Je repousse son vêtement un peu plus haut et je lui caresse le dos, les omoplates, les épaules et la nuque. Tout en allant et venant sur ma queue, il se penche vers le lit et passe une main sous son ventre. Je la sens qui vient se glisser entre mes cuisses et qui me touche les couilles. Puis elle remonte vers son anus et ses doigts entourent ma verge qui va et vient en lui. La sensation est terrible … Je suis de plus en plus excité, à la fois charnellement par le va et vient proprement dit de ma queue dans son fourreau, et cérébralement par l'image que je me fais du parcours de mon gland dans ses chairs et par la vision de mon sexe qui s'enfonce dans ce cul, dans ce corps, qui en ressort et s'y enfonce de nouveau … Le souffle suspendu, je le mets en garde:

- Je vais bientôt … aaaaaahhhhhh … tu voudras que je me retire, ou …

- Non, vas-y, jute-moi dedans …


J'essaie de me retenir aussi longtemps que je peux. Je suis tout au bord de l'orgasme, au bord de l'éjaculation … Pour retarder encore un peu ce moment fatal de bascule irréversible, je ferme les yeux, espérant ainsi m'abstraire de la vision de ce cul que je suis en train de pénétrer … Erreur: aussitôt, s'impose à mon esprit l'image de mon sexe dégorgeant un flot de sperme dans ces chairs chaudes et humides … et c'est l'explosion ! Mes abdominaux, en se contractant, me coupent la respiration, une secousse parcourt ma prostate et mes couilles qui remontent vers mon périnée, et ma queue a un premier soubresaut au moment où je me plaque convulsivement conte Steve. Je ne peux retenir un râle et je commence à me répandre en lui … Comme par réflexe, je lui donne de violents coups de boutoir au rythme de mes éjaculations:

- Aaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaah ! Aaaaaaaaaaaaaaaaaah !

Voilà, c'est fini. Je sens ma queue baigner dans mon sperme au fond de son cul. Je m'effondre sur lui et il s'affale sur le lit. Instinctivement, je pose mes lèvres sur sa nuque et je l'embrasse:

- Hhhhhhmmmmm ! Oh, c'était booooon !

- …

- Tu as aimé ?

- Hhhhmmmmmmmm !

Visiblement, il a aimé. Nous restons comme ça un moment, avant qu'il ne s'agite:

- Tu m'étouffes …

Je me redresse et, agenouillé entre ses mollets, je me penche vers son cul, et je pose mes lèvres sur son œillet. Je le sens réagir, soulever son bassin, se cambrer, offrant son fourreau à une autre caresse, buccale, cette fois. Il est ouvert, dilaté. Tandis que je glisse ma langue dans son trou, je passe une main sous son ventre, vers sa queue. Il bande. Je le masturbe doucement tout en remuant ma langue dans son fourreau. Il empoigne ses fesses et les écarte pour faciliter ma caresse, et se met à ronronner … Ma position est très inconfortable et je ne tarde pas à devoir arrêter mon manège. Je reviens au-dessus de lui, appuyé sur les avant-bras, ma queue redevenue molle posée entre ses fesses, et je lui murmure à l'oreille:

- Tu as eu ce que tu voulais ?

- Oui …

- Bon, alors c'est toi qui vas me baiser, maintenant …


Il se retourne et nous nous retrouvons face à face, lui sur le dos et moi au-dessus de lui.

- OK. Allonge-toi …

- Non, tu vas me baiser à la fenêtre …

- Encore ?

- Oui, encore. J'ai encore envie que tu me baises devant des spectateurs, mais maintenant, tu vas aller jusqu'au bout …

- Bon … Pousse-toi un peu … et avant ...

 

Il me fait basculer sur le dos et me force à remonter mes cuisses sur mon ventre. Il avance ses genoux vers moi. Le voilà au-dessus de moi. Agrippé d'une main à mon mollet, il guide son sexe de son autre main vers ma fleur. Je le sens me pénétrer. Il pose ses deux mains de part et d'autre de mon torse et commence à aller et venir. Je sens ses couilles qui touchent ma raie chaque fois qu'il s'enfonce en moi et je sens son gland qui me pénètre très profondément. Il plante se yeux dans les miens:

- tu aimes ça, hein, te faire baiser …

- oui …

- tu t'es déjà fait baiser par combien de mecs ?

J'ai fait le décompte tout  l'heure, dans le train, alors je lui réponds sans hésiter:

- Six …

- Six ? Avec moi ?

- Non, toi tu es le septième …

- Quelle salope !

- Oui, je suis une salope …

- Et ils baisaient bien, les autres ?

- … ça dépend … certains, oui … il y en a surtout deux qui avaient des très grosses bites … 

- Ah oui ?

- Oui, et je voudrais bien qu'ils me baisent encore, ces deux-là !

- et tu t'es déjà fait baiser par plusieurs mecs en même temps ?

- Oui …

- Combien ?

- Trois … 

- Quelle salope !

- Oui, oui, je suis une salope … c'était bien, ces trois mecs … et en plus, c'était presque en public …

- Raconte.

Il est planté au fond de moi, immobile. Il écoute.

- C'est des routiers que j'avais allumé en m'exhibant au bord de l'autoroute. Ils se sont arrêtés, ils ont sauté le grillage et ils m'ont baisé là, juste un peu cachés derrière leur camion. Un des trois avait une queue … énorme !

- Des mecs que tu connaissais pas ?

- Ben non, je les connaissais pas. Les deux premiers qui se sont arrêtés sont slovaques et un des deux, c'est un géant et c'est lui qui a une bite de géant. Alors au début, j'avais seulement accepté de les branler à travers le grillage qui borde l'autoroute …

- Et puis ?

- J'ai commencé à les branler, mais le géant a une queue tellement … 

- Tellement quoi ?

- ... tellement énorme ! Ça m'a excité, ils l'ont senti et ils m'ont un peu forcé à les sucer …

- Et alors ? 

- Alors ? Ben après, ils ne m'ont plus forcé … je les ai sucés volontairement …

- T'es qu'une pute !

- Non, pas une pute, je me fais pas payer. Je suis seulement une salope … Et là, je ne voulais pas manquer une occasion pareille … une bite pareille ...

- Et ils t'ont …

- Ils ont sauté le grillage et je les ai encore sucés, et il en est arrivé un troisième, un français, celui-là …

- Que tu ne connaissais pas non plus, évidemment …

- Ben non, évidemment …

- Putain … après ?

- Après, ils m'ont tous enculé et les deux slovaques m'ont éjaculé, un dans la bouche, un dans le cul …

- Avec des capotes ?

- Non … enfin, le français oui, mais pas les deux autres …

- Et t'as pas eu peur de …

- De me faire plomber ? Au début oui, mais avec l'excitation, j'ai oublié … mais rassure-toi, j'ai fait le test … négatif.

- T'es une chienne !

- Oui, c'est exactement ça … une chienne ... J'aime attirer les mâles avec mon cul, les exciter pour qu'ils viennent me renifler la vulve avant de me saillir. J'aime l'idée de me faire couvrir et féconder par des mâles ... comme une chienne …

- Et tu vas continuer?

- Oui. Les deux qui ont une grosse bite, je vais essayer de les revoir pour qu'ils me baisent encore …

- Le deuxième à grosse bite, c'est qui ?

- Gabriel. Un grand black baraqué et beau comme un dieu. Ah quelle queue ! C'est mon premier amant, Thomas, qui me l'a offert …

- Offert ?

- Oui. Gabriel devait un service à Thomas et Thomas, pour qu'il règle sa dette, lui a demandé de venir me baiser. Et en plus, il m'a baisé au milieu de mon jardin, avec ma voisine qui matait par-dessus le mur ! 

- Et l'autre ?

- Le géant slovaque ? Lui, il a envie de me revoir. Il suffira que je sache quand il reviendra en France …

- Et tu as envie de quoi, après ?

- Là, maintenant ?

- Non, après … tu as envie de te faire baiser par d'autres mecs ?

- Oui. Plein …

- C'est-à-dire …

- J'ai envie de me faire baiser par plein de mecs, mais surtout, j'aimerais un gang bang. 

- Comment ça ?

- Ben, une troupe de mecs qui me baisent ensemble … six, sept, huit mecs … si possible des blacks bien montés … c'est mon plus gros fantasme … D'ailleurs, ça m'aurait bien plu que tu invites un pote ou deux, aujourd'hui …

- J'y ai pensé, mais j'ai pas osé …

- Dommage ! Bon, je commence  fatiguer … tu ne voudrais pas changer de position ?


Il reprend son va et vient, trois ou quatre fois, et s'extrait de moi. Je rabats mes jambes, soulagé. Il se lève, me tend la main pour m'aider à me relever … Il me prend par la taille et m'entraîne vers le salon:

- Bon, tu veux que je te baise à la fenêtre, alors ?

- Oui …

 

Steve 2

Nous voilà de nouveau à la fenêtre. Il passe derrière moi, me pousse un peu pour que je m'y appuie et me tapote les cuisses pour que je les écarte. Il vient se coller à moi, me loge sa queue dans la raie des fesses et appuie sa poitrine contre mon dos. Cette fois, il n'a plus ses pudeurs de tout à l'heure. On dirait que ça ne le gêne plus de se montrer avec moi. Il pose ses mains sur le rebord de la fenêtre, de part et d'autre de ma taille et commence à frotter sa queue dans ma raie. Je le sens raide, excité. La circulation est un peu moins intense, mais il y a toujours des voitures, des utilitaires et des passants en contrebas de l'immeuble, à quelques mètres de nous. Personne ne semble nous remarquer.

- Moi aussi, je vais te féconder …

- Oh ouiiii ! Vas-y, prends moi, couvre moi …

- Tu es ma chienne …

- Oui. Sens moi le cul, tu verras, je suis en chaleur …

- Ton cul m'excite …

- Alors lèche-le-moi, qu'il s'ouvre pour ta queue …


Steve se décolle de moi, et je le sens s'accroupir derrière moi. Il m'empoigne les fesses et les écarte. Je sens son visage se glisser dans ma raie, sa langue sur ma fleur. Il me lèche, plusieurs fois, puis l'enfonce. Je me cambre autant que je peux. Je sens sa langue humide et chaude glisser dans mon anneau. Il me lubrifie, longuement … Puis il se relève, m'enfonce des doigts (combien ? Je ne sais pas) dans le cul, revient se coller à moi. Cette fois, ce ne sont plus ses doigts que je sens contre mon œillet. C'est sa queue. Il me pénètre, m'empoigne les hanches et entame un lent va et vient… Je retrouve le plaisir de me faire sodomiser en regardant tous ces gens, en bas de l'immeuble, qui ne se doutent pas de ce qui m'arrive.

- Je vais t'engrosser, salope …

- Oui ! Fais-moi des petits …

- Tu es à moi, tu es ma chienne !

- Ouiii, je suis ta femelle … Couvre-moi ! Baise-moi !


Il accentue son mouvement:

- Tu en veux, tu vas en avoir. Je vais te remplir de foutre …

- Ouiiiii. Fous-moi une bonne pétée …

- T'es qu'une salope, une viande à bites, un sac à jute …

- Ouiiii, remplis-moi, mets-moi ta petite graine, plein de petites graines, féconde-moi …

- Aaaaaaaahhhhh ! Salope ! Salope ! Salope ! Salope ! Aaaaaaaaaaaaahhhhhhhh !


Il jouit, les mains crispées sur mes hanches, il scande au rythme de ses secousses et je sens son sexe agité de soubresauts dans mon cul. Déjà, sa semence s'écoule le long de ma cuisse. Il se plaque brusquement à moi en grognant, le menton sur mon épaule:

- Oooooh, putaiiiiin, c'que t'es booooonne !


Il éclate de rire, se décolle de moi et s'écroule sur le dos au milieu du salon:

- Ah, la vache ! T'es vraiment … un trou à bites, hein !

- Oui, et un trou à foutre aussi … regarde …

Et joignant le geste à la parole, j'enfonce mes doigts dans mon cul, je les ressors maculés de sa crème, je récupère le sperme qui a coulé sur ma cuisse, et je porte le tout à ma bouche.

- hhhhhhhmmmmmmm !

Il a relevé la tête et, toujours en riant, il me regarde lécher sa semence. Je tombe à genoux de part et d'autre de ses cuisses et je me penche vers son ventre.

- Il doit en rester un peu, là-dedans …

Je saisis son sexe, quelque peu ramolli, je le glisse dans ma bouche jusqu'à la base et serrant les lèvres sur sa verge, je presse son urètre jusqu'au gland et en extrais quelques gouttes … Cette fois, nous voilà repus, apaisés. Je m'effondre à mon tour, sur lui.

 

Nous nous endormons.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Samedi 16 novembre 2013 6 16 /11 /Nov /2013 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Depuis que Gabriel m’a baisé, je pense à sa grosse queue tous les jours et tout au long de la journée. Rien que de me remémorer les sensations de mon cul rempli et fourragé par son énorme engin, je bande. J’ai une furieuse envie qu’il me prenne à nouveau, mais je n’ose pas l’appeler. Alors, j’essaie de penser à autre chose, mais ça tourne invariablement autour du cul. Enfin, depuis un ou deux jours, une nouvelle idée me trotte dans la tête. C’est un ancien fantasme, ou plutôt une envie qui date de … plusieurs mois, et que je n’ai pas encore eu l’occasion de satisfaire : une exhibition en bordure de l’autoroute qui passe pas très loin de chez moi.


L'endroit, je l'ai repéré justement en circulant sur cette autoroute, et je l’ai exploré au cours d’une balade dans la campagne. Ce jour-là, je n’avais pas osé m’y exhiber, mais depuis, l’idée s’était peu à peu imposée à mon esprit. C'est un petit chemin empierré qui longe l'autoroute sur plus d'un kilomètre et qui conduit à un accès réservé aux services de secours et de dépannage. Au-delà de cet accès, il se poursuit sur un autre kilomètre comme chemin d'exploitation agricole et se termine en cul de sac, sauf à marcher à travers champs. On y accède par une petite route de campagne qui emprunte un pont au-dessus de l'autoroute. Au pied du pont, à l'angle de cette petite route et du chemin, il y a une aire de stockage de matériaux de la DDE, entourée d'un bosquet. La petite route est très peu fréquentée et l'aire de stockage assez discrète. Sur toute sa longueur, le petit chemin surplombe légèrement l'autoroute, dont il n'est séparé que par le grillage à larges mailles habituel le long des autoroutes et par quelques arbustes qui forment une haie discontinue et clairsemée. Depuis l'autoroute j’avais repéré qu’à travers ou par-dessus cette haie, on pouvait voir assez distinctement ce qui se passe sur le chemin. Ça me semble parfait pour ce que j'ai envie d’y faire: circuler en vélo, en vue des automobilistes, dans une tenue quelque peu … provoquante. 

 

Pour cette exhib, la tenue, pour l'essentiel, ce sera ma minijupe en jean. Je devrais plutôt dire ma micro-jupe en jean. Quand je la porte normalement, disons … debout, elle m'arrive au ras du bonbon, et elle a tendance à remonter toute seule dès que je bouge. Et quand je la porte en faisant du vélo, elle me remonte à l’angle des cuisses et des hanches et, évidemment, elle me dévoile largement l'entrejambe.

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Je n'ai pas encore décidé ce que je porterai dessous : string, string et porte-jarretelles avec bas, ou seulement porte-jarretelles et bas. Ce qui est sûr, c'est que ce sera flashy ! Le string, ce sera le rose fluo, le porte-jarretelles, ce sera le noir en dentelle avec les bas rouges. En haut, un T-shirt noir sans manches. Si les circonstances s'y prêtent, et si j'en ai le courage, je pédalerais même sans rien du tout sous ma jupe. Ce sera la première fois que je ferais ça au bord d'une autoroute, et ça m'excite.

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Lundi 23 août.

C'est pour ce matin: il fait beau, pas trop chaud, et il y a une petite brise. Par précaution, je me prépare comme si j’avais un rencard avec un mec pour me faire baiser, c'est-à-dire une bonne douche pour être tout propre, à la fois à l’extérieur et … à l’intérieur. Je n’ai pas de projet particulier en tête, mais depuis cette expérience avec Laurent, ce cultivateur qui m’avait surpris dans son pré, je me prépare à toute éventualité. Je me sens prêt ... prêt à ... à avoir du sexe avec un inconnu. C'est encore un peu confus, mais ça oscille entre simplement toucher le sexe d'un inconnu, voire peut-être le masturber, et me laisser ... me laisser faire des choses sexuelles ... et pourquoi pas me laisser baiser par un inconnu. Ça dépendra des circonstances et du mec. Et je m'équipe: un pantalon large par-dessus ma jupe, un sweat par-dessus mon T-shirt, et mon sac à dos avec appareil photo, trépied et tout le nécessaire. Hé oui, comme d’habitude, je compte filmer ma prestation. Je charge mon vélo dans ma voiture, et en route. 

 

Par précaution, je me gare dans le village le plus proche et je parcours le reste du trajet à vélo. A l'entrée du petit chemin, je m'engage sur l'aire de stockage pour me mettre en tenue. Après avoir vérifié qu'il n'y a personne aux alentours, je retire mon sweat et mon pantalon. Me voilà donc en minijupe, porte-jarretelles et string, avec, évidemment, mon T-shirt noir. J'enfourche mon vélo. 

 

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Je roule à contresens de la circulation de l'autoroute. Je fais donc face aux voitures, de façon que les conducteurs et leurs passagers aient une vue directe sur mon entrejambe à travers la haie qui borde le chemin. Je suis seulement à une quinzaine de mètres de la voie de droite de l'autoroute, un peu en surplomb, et j’espère que les couleurs vives de ma lingerie vont attirer l’attention de ceux qui y circulent, puisque j’ai choisi cette lingerie pour ça. Ils roulent vite, mais ils peuvent me voir de loin et, une fois qu'ils m'auront remarqué, ils auront suffisamment de temps pour réaliser ce qu'ils voient. Naturellement, je roule lentement pour faire durer le plaisir. J'adore ce genre de situation. Le premier plaisir est sensuel: je sens la brise et le soleil sur mes jambes, et en particulier sur la partie à nu de mes cuisses, entre le haut de mes bas et mon string.

Le deuxième plaisir est cérébral: dés que je me suis mis en tenue et que j'ai enfourché mon vélo, une délicieuse poussée d'adrénaline a fait accélérer mon rythme cardiaque. C'est ma première véritable exhibition publique ! Jusqu'ici, je me suis contenté de me foutre à poil ou en lingerie dans la campagne, parfois de me balader comme ça sur des chemins, mais jamais dans des endroits où j'étais susceptible d'être vu. Et si Laurent, le cultivateur, ne m'avait pas surpris dans son pré, l'autre jour, je n'aurais jamais été vu par personne. Mais ça a été une sensation tellement agréable, d'être vu dans cette tenue par un inconnu ... 

 

J'observe les voitures et les camions qui me croisent, et surtout leurs conducteurs. Me voient-ils? Réalisent-ils ce qu'ils voient? Je ne tarde pas à le savoir. Plusieurs me suivent du regard et tournent nettement la tête vers moi. C'est certain, ceux-là m'ont vu et ont réalisé ce qu'ils voyaient. D'ailleurs, j'en ai rapidement la confirmation. Un poids lourd qui circule plus lentement que les voitures commence par faire des appels de phares. Est-ce à mon intention? Oui: arrivé à mon niveau, il me salue d'un long et puissant coup de klaxon ! Poussée d'adrénaline ! Et ça m'électrise instantanément tout le bas ventre … Ça y est, des gens m'ont vu ... des gens me voient, habillé en ... en salope ! Quelle sensation ! Je me sens à la fois vraiment indécent et ... et en sécurité derrière ce grillage.

 

Encore un peu plus excité, je poursuis ma promenade en écartant les cuisses aussi largement que possible. Ma minijupe remonte encore un peu, dévoilant presque entièrement le devant de mon string rose fluo. Cette situation m’excite passablement et je commence à bander. Ma bite se trouve déjà un peu à l’étroit dans mon minuscule string.

 

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Me voilà à la barrière d'accès à l'autoroute. Que faire? Je pourrais m'arrêter là, sortir mon appareil photo et son trépied, et faire quelques photos et vidéos, la jupe retroussée, le cul et la queue à l'air devant les automobilistes. Mais c'est trop tôt, et je décide d'aller d'abord en vélo jusqu'au bout du chemin d'exploitation. Je m'arrêterai à cette barrière au retour …

 

Sur l'autoroute, la circulation est assez dense. Il y a surtout pas mal de poids lourds, et ça me plaît bien. Ils roulent moins vite que les voitures de tourisme et leurs chauffeurs ont plus de temps pour me voir. Et puis, haut perchés dans leur cabine, ils m'aperçoivent de plus loin et me voient sans obstacle par-dessus la haie d'arbustes. D'ailleurs, il me semble que la plupart d'entre eux me regardent fixement, tandis que bon nombre d'automobilistes semblent ne pas me remarquer. 

 

Après celui de tout à l'heure, un deuxième camion me fait des appels de phares. Je lui réponds de la main, et, arrivé à ma hauteur, il m'adresse à son tour un long coup de klaxon. C'est vraiment jubilatoire ! Une centaine de mètres derrière lui, un convoi de trois poids lourds à la queue-leu-leu me fait à son tour des appels de phares. Pas de doute, ils m'ont aussi repéré, et de loin ! Je m'arrête, je pose un pied à terre et, toujours assis sur ma selle, j'écarte largement les cuisses face à eux. C'est trop tentant: je soulève encore un peu plus ma minijupe, dévoilant complètement mon string. Ça les déchaîne: ils se mettent l'un après l'autre à klaxonner furieusement, et le premier de la file, arrivé à ma hauteur, ralentit en faisant grincer ses freins … Ça me déclenche une violente poussée d'adrénaline, à la fois d'émotion et de plaisir.

 

En guise de réponse, j’écarte la ceinture de mon string et je sors ma queue à demi en érection. Le premier m’a déjà dépassé et n’a pas pu profiter de ce spectacle. Mais le deuxième me fait signe, le poing fermé et le pouce en l’air. Il a aimé. Le troisième, tout en me fixant du regard, mime une masturbation en agitant de haut en bas sa main à demi fermée. Ils s’éloignent. En voilà trois qui auront un sujet de conversation à table ce midi…

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Putain, mon exhibition fonctionne au-delà de ce que j'avais imaginé ! J'aurais dû faire ça depuis longtemps. Je me demande comment les types qui m'ont vu considèrent ma prestation. Est-ce que ça leur donne des envies ? En moi-même, je me dis que s'il n'y avait pas de grillage entre eux et moi, peut-être que certains de ces mecs pourraient bien décider de s'arrêter sur le bas-côté pour me faire ma fête … Et c'est assez excitant. 

 

Je descends de mon vélo pour finir d’enlever mon string que j’accroche à mon guidon, tel une bannière. Je me remets en selle et je reprends ma balade.

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C’est vraiment très agréable de pédaler la queue à l’air et le cul nu sur ma selle. Au loin, un autre poids lourd approche, un peu plus lentement que les autres, on dirait. Le chauffeur n'a pas dû me repérer, parce que ses phares restent éteints. Quand il est un peu plus près, je constate qu'il y a un passager à côté du chauffeur. Lui m'a repéré et il me fixe du regard. Je remarque qu'il tient devant sa bouche un objet raccordé à un câble spiralé qui pend du plafond de la cabine … Une CB ! Et il s'agite, le bougre, tandis que le camion ralentit encore! Il est maintenant en train d'ouvrir sa vitre, et, un peu avant de passer à ma hauteur, tout en me regardant, son poing devant la bouche, il se met à mimer une fellation ! Pris au dépourvu, j'improvise: je freine, je pose un pied par terre, et je relève ma jupe jusqu'à ma taille, dévoilant, en plus de ma queue, ma fesse et mon porte-jarretelles. Le type dans le camion est hilare à sa portière. Maintenant, le camion me dépasse, reprend de la vitesse et s'éloigne.

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La CB ! Je n'avais pas pensé à ça. Bien sûr, s'ils me repèrent de loin, avant même de me voir nettement, c'est parce qu'ils sont au courant de ma présence à cet endroit! Ah, si les routiers se communiquent l'information par CB, je vais avoir du succès ! Il n'y a plus de temps mort lié à la surprise pour ceux qui sont branchés sur le réseau. Ils doivent même être impatients d'arriver près de moi. Je regrette de ne pas avoir une CB, j'aimerais bien les entendre parler de moi … C'est assez excitant de se savoir le sujet de discussions par radio entre ces mecs … 

 

Je me rajuste vaguement et je repars. Arrivé au bout du chemin d'exploitation, je décide de profiter de cette publicité inattendue. A cet endroit, il n'y a plus de haie. Je m'arrête, je dépose mon vélo contre un arbuste, je sors appareil photos et trépied de mon sac à dos, et je m'installe. Quand c'est fait, je m'approche du grillage et, face à l'autoroute, je commence à soulever ma jupe. 

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Cette fois, la plupart des automobilistes, malgré leur vitesse, me repèrent. Le rouge vif de mes bas capte leur attention, et ils tournent leur regard vers moi. Arrive un nouveau poids lourd. Dès qu'il m'aperçoit, le chauffeur allume ses feux de détresse et ralentit. Aux changements de régime de son moteur, je comprends qu'il rétrograde. Je soulève doucement ma jupe sur mes hanches, lui révélant ma queue. Je le vois nettement dans sa cabine, les yeux rivés sur moi, sans doute sur mon entrejambe. Il n'en revient sûrement pas: un mec en minijupe et en porte-jarretelles qui s'exhibe au bord de l'autoroute ! Voilà qui rompt la monotonie de son trajet … Il va sans doute y penser longtemps, et peut être même rêver à ce qu'il aurait pu me faire … Il passe devant moi, ré-accélère et s'éloigne.

 

Maintenant, j'attends le camion suivant avec impatience. Je trouve ça excitant, que les mecs se passent le mot, et qu'ils guettent le spectacle que je leur offre. Le suivant ne tarde pas. Pourvu qu'il ait aussi une CB ! Bien qu'il soit encore très loin, je le vois qui allume ses phares. Aucun doute, à cette distance, il n'a pas pu voir précisément dans quelle tenue je suis. Il le sait donc forcément par la CB, qui diffuse l'information sur tout le réseau de chauffeur en chauffeur. J'imagine la teneur des messages:

- Ici Pégase 58. A tous. Je suis sur l'autoroute, à 15 kilomètres après le péage. Il y a un mec en minijupe et porte-jarretelles qui montre son cul et sa bite. Il doit avoir envie de sucer de la queue ou de se faire sauter. Qui veut s'arrêter? A vous.

- Oui Pégase, ici Popaul. Je l’ai vu aussi, mais trop tard, je n’ai pas pu m’arrêter. Une vraie pute. Ça a beau être un mec, je me serais bien fait sucer. 

- Ici Marcelo 75. Je l’ai aussi dépassé, mais je sors à la première sortie, je fais demi tour et je vais me le faire.

 

Ce routier-là ne ralentit pas, mais au fur et à mesure qu'il s'approche, la jupe toujours relevée, je me tripote lentement la queue. Quand il passe à ma hauteur, le chauffeur m'adresse deux brefs coups de klaxon. Ça m'électrise le gland et la prostate, et je commence à me palper aussi la rondelle. Plus ces types manifestent leur intérêt, plus ce qui me restait d'inhibitions, de pudeur et de crainte disparaît. 

Passe ensuite, assez lentement, un groupe de voitures sur la voie de droite. Conducteurs et passagers m'aperçoivent et ouvrent de grands yeux en découvrant le spectacle. Ça me plaît bien, mais c’est surtout les chauffeurs de poids lourds que j’ai envie d’exciter ... Va savoir pourquoi…

En voilà justement un autre. Tout en me tripotant, je le regarde approcher. Apparemment, il y a un passager à côté du chauffeur. Le camion ralentit et allume ses feux de détresse. Plus il approche, plus il serre à droite. Il finit même par mordre sur la bande d'arrêt d'urgence. Qu'est-ce qu'il fout ? A mon avis, celui-là veut profiter pleinement du spectacle … Tu veux du spectacle ? Je vais t'en donner…

 

Je commence par me retourner dos à l'autoroute, pour qu'il voit bien mon cul, encadré par ma jupe relevée et par mes bas rouges. Puis je me remets face à lui, toujours la queue à la main. Il est à 30 mètres, maintenant complètement sur la bande d'arrêt d'urgence. Ma parole, il va s'arrêter ! D'après son immatriculation, c'est un camion slovaque. J'ai un instant de panique. Qu'est-ce que je fais ? Je me barre ? Et puis non, il ne peut rien me faire, il y a le grillage … Mon rythme cardiaque s'accélère quand même… Il est maintenant pratiquement à ma hauteur, et le passager me regarde fixement, tandis que le chauffeur, tout à sa manœuvre, me jette de brefs coups d'œil. Par précaution, je m'éloigne un peu du grillage et j’arrête de filmer. S'ils essaient de l'escalader, j'aurais le temps de sauter sur mon vélo et de filer. 

 

Les freins grincent, l'engin s'arrête. Le passager ouvre sa portière, saute littéralement au sol et s'approche du grillage. Il me regarde de la tête aux pieds en riboulant des yeux. La minijupe relevée, la queue à la main, je soutiens son regard, tout en continuant à me tripoter. Le conducteur le rejoint près du grillage. Celui-là, c'est un colosse, il doit faire dans les 1 mètre 90 !

- Tou souce ?

- Pardon ?

- Tou souce la bite ?

Et joignant le geste à la parole, il s'empoigne l'entrejambe d'une main et mime une fellation de l'autre.

- Non, je ne suce pas …

- Pourquoi tou es là ? 

- Je m'exhibe, c'est tout.

- Tou quoi ?

- Je me montre … je montre mon cul, c'est tout.

- Pourquoi tou branle ?

- J'aime ça.

- Tou branle moi ?

- …

- Tou branle moi par lé …

 

Une main toujours sur l'entrejambe, il secoue le grillage de l'autre. Il cherche le mot. L'autre observe la situation, un  peu en retrait. La vache ! Il veut que je le branle ! J'avais imaginé qu'un truc comme ça m'arrive aujourd'hui, et ... et ça arrive !

- tu veux que je te branle à travers le grillage ?

- C'est ça. Branler au grillage.

 

Je réfléchis à la situation et aux risques. Franchement, l’idée de branler ce mec, et peut-être l'autre aussi, à travers le grillage, me fait furieusement envie . Mais alors, je devrais me mettre à leur portée, et les mailles du grillage sont assez larges pour qu'ils y passent leurs bras en plus de leurs queues. Ils pourraient me choper et, pendant que l'un me tiendrait, l'autre pourrait sauter le grillage. 

 

Pendant que je réfléchis, ils se déboutonnent tous les deux et entreprennent de sortir leur queue . Ouaaaaah ! Je n'en reviens pas ... entre y avoir pensé et voir la chose se réaliser ... Ça y est, ils ont sorti leur bite ! Celle du conducteur, le colosse, est énorme! Presque aussi grosse que celle de Gabriel, mais blanche … enfin … beige foncé. Et encore, il ne bande pas . Je reste un instant interdit. Il remarque mon ahurissement et ça le fait marrer. Ho merde ! Après avoir tellement fantasmé sur des grosses bites, en voilà deux, coup sur coup à quelques jours d'intervalle … Et, si ça se trouve, je n'en reverrai jamais une comme celle-là ! Ah, si je pouvais être sûr, si je pouvais leur faire confiance, ce que j'aimerais branler et même sucer cet énorme engin … J’hésite un instant et des visions torrides s’imposent à mon esprit. Je me vois à genoux devant lui avec sa queue dans la bouche, puis pris en levrette, debout, agrippé au grillage. Involontairement, je me mets à bander plus fort. Je n’arrive pas à quitter son engin des yeux. Il commence aussi à bander. Je me dis que c’est moi qui l’excite comme ça, et pas seulement sa masturbation. Cette idée m’électrise le ventre. Maintenant, il bande vraiment, il s’est décalotté et il a un gland superbe. Je pense que sa queue est assez longue pour que je puisse l'empoigner à deux mains, l’une à côté de l’autre.

 

Bon tant pis, je me lance, on verra bien :

- D’accord, mais seulement branler … 

Au fond de moi je me dis que si ça passe bien, s’ils ne se montrent pas hostiles ou violents, j’irais peut-être plus loin. Je crois que j’ai encore des capotes dans mon sac à dos. 

 

Tous les deux s’approchent du grillage, y appuient leurs ventres et passent leurs sexes chacun dans une maille. La bite du géant est deux mailles au-dessus de celle de son compère. Totalement obnubilé par son énorme engin, j’avais presque oublié la présence du comparse. Il bande aussi, évidemment. Sa bite n’est pas mal non plus, d’une taille normale, mais bien proportionnée et avec un joli gland bien profilé et retroussé, comme je les aime. Finalement le seul reproche que je peux faire à ces deux queues, c’est d’être poilues. 

 

- Comment vous vous appelez ?

Ils me regardent, étonnés. On dirait qu’ils n’ont pas compris.

- votre nom…

- Ah, oui. Moi Loukass (le petit).

- Moi Andrej (le géant).

 

Je réalise que, si la cabine et la remorque du camion nous masquent à la vue des automobilistes qui circulent sur les voies les plus proches, ceux qui circulent dans l’autre sens peuvent nous voir, et nous risquons de déclencher une émeute s’ils réalisent ce qui se passe. Bof, de toute façon, ça ne va pas durer des heures et, d’une certaine manière, cette séance plus ou moins publique n’est pas faite pour me déplaire, loin de là. Maintenant que je me suis fait baiser sous les yeux de ma voisine par Gabriel, je trouve encore plus excitant de m'adonner au sexe devant témoin.

 

Je m’approche donc et je pose délicatement une main sur chaque bite. J'ai le souffle coupé et le cœur qui bat. Je caresse leurs verges du bout des doigts. Elles sont douces et chaudes . J’avais légèrement débandé, mais le contact de ces deux sexes dans mes mains m’excite et je sens le mien se redresser. Je passe mes doigts sous leurs couilles. Celles du géant sont énormes, bien dessinées dans leurs bourses. Celles de l’autre pendouillent un peu. J’empoigne leurs membres plus fermement et je commence à les masturber. Je n’en reviens pas d’être là, habillé en pute, à faire la salope avec ces deux routiers, la jupe relevée et la bite à l’air. Je me concentre sur ce que je suis en train de leur faire. Leurs queues sont chaudes, douces et je les sens vivantes, presque fiévreuses. Sous ma main, elles durcissent un peu plus et leurs veines commencent à saillir. Leurs glands, décalottés, sont tout gonflés et rouges. Je suis en train de branler deux types ! Habillé en pute, je branle des routiers !

Le géant, les deux mains au-dessus de sa tête, s’agrippe au grillage contre lequel il appuie maintenant son torse et son ventre. Tout son sexe, bite et couilles, est de mon côté de ce grillage. Tout près comme ça, ce mec est vraiment impressionnant. Je réalise qu’il est beaucoup plus grand que moi. En fait, il doit approcher les 2 mètres. Je regarde sa queue dans ma main. Elle aussi, est impressionnante : mes doigts n’en font pas complètement le tour. Et quelle longueur ! Je réalise que j’ai arrêté de filmer, et ça me désole. Mais je n’ose pas leur demander de me laisser remettre mon appareil en route. Je ne sais pas comment ils réagiraient. Et puis, me filmer, ce n'est pas le plus important, et je décide de profiter de l’instant présent.

 

J’ai brutalement envie de prendre cette énorme queue dans la bouche, et je me mets à saliver abondamment. Evidemment, je n’ai pas envie que ce parfait inconnu me refile une saloperie, mais pour le moment, sa bite n’a pas commencé à baver. Je pourrais la sucer sans risque. Oui, mais si je commence à le sucer, il voudra que j’aille jusqu’au bout, il voudra que je le finisse comme ça plutôt qu’à la main. Et l’autre voudra sûrement la même chose. Je ne suis pas prêt à courir ce risque.

 

Merde, saloperie de SIDA ! 

 

Je renonce à cette magnifique gourmandise et j’accentue ma double masturbation. Le plus petit des deux a passé ses bras au travers des mailles qu’il agrippe maintenant à hauteur de sa figure. Cette masturbation m’excite de plus en plus. Je suis fasciné par ces deux bites en érection auxquelles je suis en train de donner du plaisir. Je me mets à penser à leur sperme, là, tout près, dans leurs couilles, que je vais faire jaillir dans un instant. Je n’en reviens pas d’être en train de faire ce que je fais : je fais la pute… Je ne me ferai pas payer, mais je fais la pute, il n'y a pas d'autre mot. Et avec deux mecs, qui plus est… Je les ai aguichés, je les ai excités, provoqués. Naturellement, ils m’en ont demandé plus, et j’ai accepté ! L’idée m’excite encore un peu plus. C’est un mélange de plaisir à la fois sensuel et cérébral : d’une part la jouissance de ce contact physique avec les sexes de ces deux mecs, et d’autre part une sorte de fierté d’avoir suscité chez eux un désir aussi soudain et aussi fort.

 

J’en suis là de mes pensées quand le plus petit abat soudain ses deux bras. De la main droite, il me saisit le poignet avec lequel je suis en train de le masturber. De l’autre, il me saisit l’épaule. Il a dû remarquer que j’étais absorbé par mes réflexions. Il m’attire vers lui. Je lâche les deux queues. De sa main droite, il me saisit maintenant au niveau du coude et m’attire vers le grillage tout en grommelant je ne sais quoi à son compère. Puis il lâche mon coude, attrape mon T-shirt au niveau du col et m’attire vers le grillage. Je commence à paniquer. Il m’a lâché l’épaule et passé sa main derrière ma tête. J’ai beau résister, il est costaud et sa force est décuplée par son envie. Je n’arrive qu’à éviter de me faire écraser la figure contre le grillage. Il pousse maintenant ma tête vers sa queue. Il veut que je le suce. Le géant est sorti de sa torpeur et il prête mainforte à son compère, mais sans conviction. D’ailleurs, ils discutent dans leur langue et le géant n’a pas l’air vraiment d’accord avec l’autre. Il m‘a quand même saisi l’épaule et aide son compère à m'empêcher de m'échapper. J’ai beau me débattre, je n’arrive pas à me dégager, je suis tombé à genoux et j’ai maintenant la figure à dix centimètres de la bite du petit. 

 

Excité par ma masturbation, il bande vraiment à fond ! Sa verge est dressée presque à la verticale, son gland est tout rouge et tout gonflé, ses veines aussi, et un peu de liquide perle à son méat. Je réalise que ma tenue et mon comportement provoquants ont éveillé en lui une pulsion primaire de sexe, une pulsion de viol, presque animale . Et à mon grand étonnement, au lieu de m'affoler, ça suscite en moi une sorte de ... oui, de désir de ... d'envie de ... d'envie qu'il me ... d'envie qu'il me force ... et ...  et c'est mêlé d'un sentiment de fierté !

 

Je réalise tout ça en un éclair et brutalement, je suis pris d’une envie folle de céder, de prendre sa bite dans la bouche et de le sucer. Des images de viol – de mon viol – se bousculent dans ma tête, et contre toute attente, ces images m’excitent. Je me vois, à genoux, ceinturé par le géant, tandis que l’autre, ses deux mains sur ma tête, me force à le sucer. Puis, dans mon fantasme, ils inversent les rôles et je m’imagine avec l’énorme queue du géant dans la bouche, le nez contre son ventre. Des images s’imposent à mon esprit, dans lesquelles ils me prennent l’un après l’autre, tantôt debout contre le grillage de l’autoroute, tantôt à quatre pattes sur l’herbe, une queue dans le cul, une autre dans la bouche. Et cette idée de l’énorme bite du géant dans mon cul et de celle de son comparse dans ma bouche m’excite totalement. Dans des flash, je vois, je sens leur sperme m’inonder la bouche, le cul, la figure …

 

Alors je me rends. Toute crainte, toute inhibition ont brutalement disparu, comme des bulles de savon qui éclatent. Comme si, inconsciemment, je n’attendais que ça : me faire forcer.

 

J’arrête de résister, ou plus exactement, je me laisse aller, et je laisse le petit me pousser la tête contre son ventre. Il sent que je cède, et il relâche un peu son étreinte. J’ai ses couilles au niveau des yeux. J’avance un peu la tête et mon nez entre en contact avec lui, juste sous les testicules. Je relève un peu la tête et je commence à lui passer ma langue sous les bourses. Tous les deux éclatent de rire et échangent je ne sais quoi dans leur langue. Et, le petit, en s’adressant à moi :

- Tou es un bon garçon …

Et il éclate de rire.

 

Maintenant, j'ai envie qu'il me baise ! Je reprends sa queue dans la main gauche, et je remonte ma langue sur ses couilles. Le grand m’a lâché, et du coin de l’œil, je vois qu’il commence à se masturber en me regardant faire. Je lèche les couilles du petit tout en recommençant à le masturber. L’espace d’une seconde, je réalise qu’ils ne me tiennent plus fermement. Seul le petit a encore ses mains posées sur ma tête. Je n‘aurais aucun mal à me dégager, à m’éloigner et à fuir. Mais je reste. Maintenant que je me suis décidé, que j’ai commencé, j’irai jusqu’au bout. D’ailleurs, j’y suis, au bout … le sien. Et j’y reste.

 

Je gobe une de ses couilles et je la masse de la langue à l’intérieur de ma bouche. Ses poils me gênent un peu, mais ça m’excite quand même et je continue. Une idée s’impose à mon esprit : là, entre mon palais et ma langue, il y a ce testicule, plein de sperme, et dans un moment, je vais le faire jaillir et procurer un orgasme à ce mec. Je me demande si j’oserai recevoir sa semence dans la bouche, et si je le fais, si j’oserai l’avaler. Ça me fait un peu peur, ce mec est peut-être malade. Mais ça me fait tellement envie que je salive abondamment. On verra au moment où il éjaculera. Je gobe son autre couille et je lui applique le même traitement. Je passe maintenant ma langue le long de son urètre, jusqu’en haut, et je gobe son gland. Je sens que ça lui fait un effet terrible : ses mains se sont crispées sur ma tête, son ventre s’est plaqué un peu plus contre le grillage, sa queue s’est un peu plus raidie et son gland a encore un peu gonflé dans ma bouche. Sa respiration s’est ralentie, presque suspendue. J’ai maintenant son gland au fond de la gorge, et je commence à faire aller et venir sa queue entre ma langue et mon palais. Tout ça m’excite beaucoup. Et je repense à mon appareil photos. Voilà une scène que j’aurais aimé filmer. Mais j’ai peur de rompre … le charme.

 

Du coin de l’œil, je m'aperçois que le géant me fixe du regard, les yeux ronds. Il masturbe toujours son énorme bite. Je tends la main vers sa queue. Il comprend immédiatement ce que je veux, et se rapproche et il la passe de nouveau dans le grillage. Je la reprends et je recommence à le masturber. J’ai une furieuse envie de le sucer aussi. Au point où j’en suis, contaminé par un mec ou par deux, c’est pareil. Après un instant d’hésitation, je sors la bite de son copain de ma bouche et je prends cet énorme gland entre les lèvres. La sensation est terrible ! Il est vraiment énorme et brûlant. L’autre râle, évidemment et tend sa queue vers moi pour que je continue de le sucer. Je ne comprends pas ce qu’il dit, mais je le devine, et je ne veux pas lâcher l’énorme queue du géant qui repousse alors son collègue sans ménagement. Cette jalousie que je suscite entre ces deux collègues accroît mon excitation. Alors j'accentue ma fellation, à la fois pour procurer plus de plaisir au géant, et pour attiser l'envie et la jalousie de l'autre.

 

L’énorme bite du colosse toujours dans la bouche, je saisis quand même l’autre queue et je me remets à la masturber. Il se calme un peu. L’énorme sexe que je suis en train de pomper m’excite incroyablement. Je n’en reviens pas d’être en train de le sucer comme ça. Maintenant, j’ai une furieuse envie de me le faire fourrer dans le cul. Au point où j’en suis, autant aller jusqu’au bout. Et je réalise que ce grillage, que tout à l’heure je voyais comme une sauvegarde, me semble maintenant un obstacle insupportable. 

 

Cette queue est tellement énorme que je suis incapable de la prendre entièrement dans la bouche. Sous ma langue, je sens ses veines et son urètre tout gonflés. Son gland vient buter au fond de ma gorge. Je masse ses couilles, que j’imagine gorgées de crème et que je vais aussi vider dans un instant.

 

Et soudain, je réalise que je suis en train de tailler une pipe à un inconnu et d’en branler un autre en public, ou presque. J’avais oublié le trafic sur l’autoroute, oublié jusqu’au bruit des voitures et des camions qui passent à quelques mètres de nous. Alors, tout en suçant ce mec et en masturbant l’autre, j’essaie de regarder à droite et à gauche pour vérifier si on me voit. Sur la droite, le géant me masque à la vue du trafic. Mais les automobilistes doivent le voir, lui, et se demander ce qu’il fait, appuyé comme ça au grillage. Sur la gauche, la remorque du camion fait en partie écran, mais au-delà de la remorque, la vue est dégagée, et du coin de l’œil, je vois nettement le trafic arriver sur nous. Les usagers doivent aussi nous voir, du moins jusqu’à ce que la remorque nous cache à leur vue : un poids lourd garé sur la bande d’arrêt d’urgence, ça attire forcément l’attention. Les automobilistes réalisent-ils ce qu’ils voient ? Un mec collé contre le grillage et un autre agenouillé devant lui, collé à son ventre de l’autre côté du grillage... Je ne tarde pas à avoir la réponse sous forme d’une soudaine et énorme rafale de coups de klaxon de poids lourd, suivi du bruit d’une boîte de vitesse qui rétrograde et de celui d’un coup de freins. 

 

Mes deux slovaques éclatent de rire. Ils ont compris que les coups d’avertisseur s’adressaient à nous. Je tourne un peu la tête vers la droite au moment où le camion débouche de derrière celui de mes deux mecs. Le poids lourd qui nous a klaxonnés est en train de se garer à son tour sur la bande d’arrêt d’urgence. Il vient voir ce qui se passe. Ou il vient participer à la fête... En effet, du coin de l’œil, je vois le conducteur qui saute de sa cabine côté passager, entre son camion et le grillage. J’ai une nouvelle poussée d’adrénaline et mon rythme cardiaque s’accélère. L’idée de sucer et de branler mes deux slovaques devant un public me ravit. Eux aussi apparemment : ils ne bougent pas, rigolent et se laissent masturber et sucer sans bouger. Le type s’approche. Il est jeune et plutôt pas mal. Quand il me voit de près, il semble sidéré :

- C’est un mec qui vous suce ? Merde, je croyais que c’était une pute.

- C’est oune poute, mais tou payes pas.

 

Apparemment, le nouveau venu est un français. Je sors la queue du géant de ma bouche et, toujours à genoux, tout en masturbant lentement mes deux slovaques, je le regarde et je lui demande :

- Ça te pose un problème ?

- Pas du tout. Mais sur la CB, il se dit qu’ici, une pute est en train de sucer des routiers. Alors je m’arrête.

- Bon, et du coup, tu en penses quoi ?

- J’en pense qu’un mec ou une pute, pour moi c’est pareil…

- C’est-à-dire ?

 

Il ne répond pas, mais il empoigne le grillage, glisse un pied entre des mailles un peu en hauteur, et en un rien de temps, il a escaladé la barrière et sauté de mon côté. J’ai un instant d’inquiétude, mais je ne lâche pas mes deux queues. Qu’est-ce qu’il me veut ? Mes deux slovaques restent aussi un peu interdits. J'ai une nouvelle poussée d'adrénaline.

 

Je ne tarde pas à savoir ce que me veut le nouveau venu. Il est maintenant à côté de moi, il ouvre sa braguette, il sort sa queue et il s’approche. Il se penche vers moi, se mouille un doigt, me le passe dans la raie du cul, me le pose sur la rondelle et l’enfonce doucement. 

- Ne te gêne pas, hein …

 

Je râle pour la forme, mais dans l’état d’excitation où il m’a trouvé je prends ça comme une nouvelle aubaine et mon excitation  grandit. J’ai bien fait de me laver à fond avant de partir. Je regarde sa bite. Il bande déjà. Elle n’est pas très grosse, plus petite que celles des deux autres, mais dans l’état où je suis, ça n’a pas d’importance ... ce qui a de l'importance, c'est qu'il y a trois mecs autour de moi et que je vais sans doute me faire ... Par défi, je lui demande :

- Je peux savoir ce que tu veux ?

- D’après toi ?

- Je me doute, mais tu pourrais demander la permission, non ?

- OK. Je peux te baiser ?

- Je peux te baiser ... s’il te plaît ?

- Je peux te baiser, s’il te plaît ?

- Oui, tu peux me baiser, mais avant, approche un peu.

 

Il a compris ce que je veux, il hésite un instant, mais finit par s’avancer et présente sa queue devant ma bouche. Tout en continuant à masturber mes deux slovaques, j’entrouvre les lèvres et il glisse son membre décalotté dans ma bouche. Elle a un goût sucré. J’adore. Les deux autres n’en reviennent pas et en restent bouches bées.

 

Il tient sa queue serrée sous les couilles. Ses veines sont gonflées et je les sens sous ma langue. Trois bites ! Je donne du plaisir à trois bites en même temps ! C’est un de mes fantasmes les plus torrides, et je suis en train de le faire…

Surexcité par cette idée, je le suce quelques instants et je finis par le libérer. 

- Elle est bonne. Comment tu t’appelles ?

- … Sébastien

- J’aime bien le goût de ta bite, Sébastien. Maintenant, tu peux me baiser !

 

La situation a évolué à une vitesse que je n'imaginais pas. Dans l’état d’excitation où je suis, adieu la prudence, adieu les précautions, adieu les inhibitions.

 

Il passe derrière moi. Je me redresse, je me cambre et j’écarte les jambes, lui offrant ma croupe. Il s’agenouille derrière moi, et je l’entends fouiller sa poche, en sortir quelque chose qu’il déchire, et je vois tomber à côté de moi une pochette de préservatif vide. Je le sens s’approcher entre mes jambes, poser sa bite contre mon anus, et il me pénètre d'un vigoureux coup de reins. Il passe ses bras autour de mon torse, et commence à aller et venir en moi. Ah putain ! Je suis en train de me faire baiser par un routier !

 

Les deux autres en restent interdits. Alors, pendant que le nouveau venu commence à me baiser, je me penche, je reprends la bite un peu ramollie du géant dans la bouche et je recommence à le sucer tout en masturbant son collègue. Puis j’alterne : je suce le petit en masturbant le géant. Rapidement, mes deux slovaques se remotivent grâce à l’effet conjugué du spectacle de celui qui est en train de me fourrer et de ce que je leur fais. 

 

Trois bites à ma disposition ! Trois bites que j’excite ! Trois bites qui entrent en moi ! Trois bites à qui je donne du plaisir ! Trois bites que je vais faire jouir et qui vont cracher leur crème ! Au point où j'en suis, j’aimerais, je rêve, j'ai envie qu’ils éjaculent tous les trois en moi, dans le cul et dans la bouche. Dommage que Sébastien ait cru bon de mettre une capote ! Ah, et merde, si j’avais osé nous filmer … Quels souvenirs !

 

Quand je me suis mis en route ce matin, c’était avant tout pour m’exhiber. Si je n’excluais pas une rencontre inopinée, j’étais quand même loin d’imaginer que j’en serais là quelques heures plus tard à donner du plaisir à trois mâles : une bite dans le cul, une bite dans la bouche et une troisième à la main. 

 

Est-ce l’effet de mes caresses buccales et manuelles sur les deux slovaques, le spectacle du troisième larron en train de me baiser ou les deux ? Leurs queues sont maintenant extrêmement tendues, dures, turgescentes. J’ai l’impression qu’ils sont tous les deux au bord de l’éjaculation. Je me concentre sur celui qui s’occupe de mon cul. Je suis un peu déçu, il ne me fait pas autant d’effet que je l’imaginais. Il me baise un peu laborieusement. L’idée qu’il est en train de m’enculer me fait plus d’effet que son va-et-vient proprement dit. 

 

Mes deux slovaques sont maintenant complètement affalés contre le grillage qui commence à ployer sous leur poids. Soudain, alors que je suis en train de le sucer, Loukass, le petit slovaque, ôte brusquement sa queue de ma bouche, prend son élan et escalade à son tour le grillage qui ploie encore davantage sous son poids. Le voilà à côté de moi, la bite à la main. Je m’attends à ce qu’il me la présente de nouveau à sucer ou à branler, mais il passe derrière moi, et du coin de l’œil, je le vois qui se place à côté de Sébastien, et, tout en se masturbant, il le regarde me baiser. Il doit être en train de contempler le va et vient de la queue du français dans mon cul. M’agrippant d’une main au grillage, je reprends la queue d’Andrej de l’autre, et tout en le masturbant, je me remets à le sucer. Mon excitation monte encore d’un cran. J'espère que Loukass n'est pas passé de ce côté du grillage uniquement pour regarder l’autre m’enculer…

 

Je n’ai pas besoin d’attendre longtemps :

- A moi, maintenant.

C’est la voix de Loukas

- Ho ! Doucement.

 

Je sens comme une bousculade derrière moi, et Sébastien sort brusquement sa queue de mon cul. Il est presque aussitôt remplacé par le slovaque qui me pénètre d’une violente poussée. Il s’agrippe au grillage au dessus de moi et commence à aller et venir. Mais ma position ne doit pas lui plaire. Il sort de moi, se recule, me prend une hanche d’une main, une épaule de l‘autre, et m’attire en arrière. Il me décolle du grillage, me faisant abandonner la bite du géant, puis il me force à me mettre à quatre pattes en m’appuyant sur le cou. 

 

Cette contrainte, ses manières brusques m’excitent aussi, j’aime ça et je me laisse faire. Il devait aussi trouver que le français s’y prenait mal. Tant mieux. A son tour, il va me baiser en levrette devant les deux autres. En effet, le voilà qui se plaque de nouveau à moi, qui applique son gland contre ma rondelle, qui me prend par les hanches et me pénètre d’une poussée aussi brusque que la première fois. Son ventre claque contre mon cul. Je sens sa queue beaucoup mieux que celle de Sébastien. Cette fois, ça a quelque chose d’un viol, et ça monte mon excitation d’encore un cran. Entre mes jambes, ma queue en érection bat au rythme des coups de boutoir du petit slovaque.

 

Sébastien lui-même doit être impressionné. Il s’est un peu reculé et me regarde me faire baiser en se masturbant. Je relève la tête et je vois Andrej, toujours de l’autre côté du grillage, qui se donne aussi du plaisir en observant la scène. Je me surprends à gémir sous les coups de boutoir de Loucas. Je m’adresse au français :

- Toi, viens ici, je vais te sucer …

 

Il hésite un instant, puis s’approche et s’agenouille près de moi. Appuyé au sol d’une main, je prends sa bite  de l’autre et je l’attire vers moi. Sa queue est encore couverte du lubrifiant naturel de mon cul, mais j’ai l’habitude, et je la prends dans la bouche. Vraiment, c’est dommage qu’il ait gardé sa capote. Je commence à le sucer. 

 

C’est la première fois que j’ai deux bites en moi, une dans la bouche et une dans le cul. Ça m’excite d’autant plus que c’est pratiquement en public. Et par-dessus tout, ce mec, derrière moi, surexcité par mon cul, qui me baise, pour qui je ne suis qu’une pute, un morceau de viande, un trou de chair, ce mec qui prend son plaisir en moi avec cette brutalité, qui va éjaculer en moi, me remplir de sa semence … Et je vais aussi faire jouir celui que je suis en train de sucer… Ah s’il pouvait se répandre dans ma bouche et pas dans sa capote… 

 

Et ce ne sera pas fini, il y aura encore l’autre, le géant et son énorme queue. Lui aussi, il faudra qu’il me prenne en levrette, il faudra qu’il m’encule, il faudra qu’il me baise, il faudra que je sente sa bite entrer en moi, me forcer la rondelle, il faudra qu’il me pénètre à fond, il faudra que je sente son ventre taper contre mes fesses, ses couilles battre contre mon périnée, son gland repousser mes entrailles… Je veux le sentir aller et venir dans mon cul, longuement, avant qu’il ne vienne se plaquer et s’immobiliser, le ventre contre mes fesses, sa queue tout au fond de moi, prise de soubresauts et que je sente son sperme m’inonder le ventre en longs jets brûlants…

 

J’ai dû communiquer mon excitation à Sébastien, parce que soudain, je sens sa queue tressaillir dans ma bouche, se raidir. Il s’est adossé au grillage et je le sens entièrement tétanisé par la brusque montée du plaisir. Au même moment, je sens sa queue s’agiter de soubresauts sur ma langue, et sa capote se remplir d’un liquide chaud. J’accentue ma fellation et il se met à gémir. Il saisit sa queue sous les couilles et il se met à haleter. Maintenant, il crie presque, il se raidit et pousse un long Aaaaaaaah ! Il retombe et tente de sortir sa bite de ma bouche. Mais je la suis tout en la serrant entre mes lèvres et entre ma langue et mon palais.

- Arrête ! Arrête !

 

Je desserre légèrement les lèvres, et sa queue sort de ma bouche, ou plus exactement, elle sort de la capote qui reste collée entre mes lèvres. Il se relève précipitamment en grommelant :

- Ah, la vache ! Quelle suceuse  de bite!

 

Je le regarde tout en ressortant le préservatif de ma bouche. Son réservoir et son extrémité contiennent une bonne dose de sperme. Pendant ce temps, Loucas a ralenti sa sodomie. J’ai l’impression qu’il a observé la scène et qu’il me laisse continuer pour voir ce que je vais faire. Je reprends la capote entre mes lèvres, mais du côté de l’orifice, cette fois. Et, tout en regardant Sébastien droit dans les yeux, je saisis le réservoir entre deux doigts, je renverse la tête en arrière et je fais couler son sperme dans ma bouche. C’est encore tout chaud, légèrement visqueux et salé. J’entrouvre les lèvres pour lui montrer son sperme sur ma langue, et je déglutis. 

Il est sidéré :

- Ho, merde ! T’es dingue, tu sais pas si j’ai le SIDA…

- Tu ne l'as pas. Tu as mis une capote parce que tu as peur de l'attraper.

 

De l’autre côté du grillage, le géant, hilare et toujours son énorme queue à la main, n’a pas perdu une miette du spectacle.

 

Je lui lance :

- Allez, toi, viens aussi me baiser.

 

Apparemment, il a compris ce que je veux. Ça le décide, et tandis qu’il entreprend d’escalader à son tour le grillage, je jette la capote vide, je saisis ma queue de plus en plus érection et je commence à me masturber. Me tournant vers  son comparse toujours collé à mon cul, je lui dis :

- Et toi, continue, baise-moi !

 

Il ne se le fait pas dire deux fois. Je crois que je l’ai bluffé en avalant le sperme de l’autre, et ça lui redonne de la vigueur. Pendant qu’il recommence à me ramoner, je vois Andrej escalader le grillage qui s’effondre à moitié sous son poids. Il le passe et Sébastien cherche à profiter de cette espèce de brèche pour retourner du côté autoroute. Je le hèle :

- Attends !

Il se retourne.

- Je voudrais que tu me filmes.

 

Il est scié.

- Te filmer ? Mais tu es vraiment une grosse salope ! Ils sont d’accord, tes deux potes ? 

Et s’adressant à eux :

- Il veut que je vous filme en train de le baiser. 

Devant leur regard ébahi, il mime un opérateur en train de tourner la manivelle d’une caméra. 

- Filmer … cinéma … vous, lui …

Les deux compères se regardent, échangent deux mots dans leur langue et acquiescent:

- Oui. Pas problème.

 

Sébastien, se tournant vers moi:

- Ta caméra ?

- Là-bas. C’est un appareil photos qui fait aussi des vidéos.

- Ah oui, je vois. Tu es vraiment un gros vicelard …

- Plains-toi, tu en as profité de mon vice, non ?… Ça me fera des souvenirs…

 

Pendant notre échange, le géant s’est approché de son compère et je l’entends lui dire je ne sais quoi dans leur langue. L’autre répond en riant et je le sens qui me lâche et qu’il sort sa bite de mon cul. Et tandis qu’il se relève et vient devant moi, je sens le géant s’agenouiller entre mes jambes.

 

Ça y est, il va me baiser, il va m’enculer ! Vas-y, fourre-moi !

 

Il a fini de déboutonner son pantalon et il l’a descendu au niveau de ses genoux, parce que je sens la peau nue et les poils de ses cuisses contre le haut de mes cuisses. Pendant ce temps, son comparse est venu s’asseoir devant moi, à la place qu’occupait Sébastien il y a un instant. Visiblement, il veut que je le suce à son tour. Allons-y ! Sébastien a l’appareil en main et lève le pouce à mon intention pour me dire qu’il est prêt.

 

Je m’apprête à sucer le petit slovaque, mais au moment où je vais prendre sa queue dans la bouche, je me sens soulevé de terre. C’est le géant qui a passé une de ses grosses pognes sous mon ventre. Et presque aussitôt, je sens quelque chose s’introduire dans mon cul. Mais c’est plutôt dur, comme un doigt.

En effet, c’est un doigt du géant. Il l’a mouillé en crachant dessus, et il me l’enfonce profondément. Vu le diamètre, ça doit être son pouce. Sans doute satisfait de son examen, il l’extrait, et je sens qu’il appuie autre chose contre ma rondelle. Après ce que lui ont fait les deux autres, je la sens complètement détendue, ouverte, offerte. Je me retiens comme je peux pour ne pas basculer en avant.

- Allez, vas-y ! Baise-moi ! 

 

Et, en effet, je sens qu’il me pénètre, doucement, lentement. Au début, c’est la même sensation que quand son comparse m’enculait. Puis je sens que sa queue me force un peu plus. Oh, putain, ce que j’aimerais voir sa queue me rentrer dedans ! Me retenant toujours d’une main au sol, je passe l’autre derrière moi, jusqu’à mon cul. Je tâte l’entrée de ma caverne et je sens son gros truc qui me l’ouvre. Puis je remonte le long de sa hampe. Oh, merde ! Il est loin d’avoir tout rentré, il reste encore tout ça ! Et c’est encore plus gros ! Je jette un coup d’œil vers mon cameraman, qui a suivi mon geste et compris ce que je fais. Il cadre sur mon cul. Bon, je pense qu’il sait ce que j’attends de lui. Je peux me concentrer sur ce que me fait le géant. 

 

Mais, contre toute attente, il me repose au sol, et sa bite ressort de mon cul. Il se soulève un peu, pousse mes jambes l’une contre l’autre et pose ses genoux assez écartés de part et d’autres des miens. OK, comme ça, sa bite est à la hauteur de mon cul sans qu’il ait besoin de me soulever. Je sens qu’il pose de nouveau son gland contre ma rondelle, et dès qu’il commence à me pénétrer, je découvre un autre avantage à cette position : je suis plus resserré et je sens encore mieux sa bite dans mon cul.

 

Oh la la ! Quel engin, ce qui me pénètre ! Cette fois, il y entre plus résolument, et je sens mon anus ouvert, contraint, forcé, violé. Mais ça n’est absolument pas douloureux. Il est vrai que, même si sa queue est énorme, je me suis déjà enfilé des trucs bien plus gros. Et les deux autres m’ont déjà bien préparé, détendu la rondelle. Là, ce n’est que du plaisir. Je sens son membre s’introduire dans ma caverne et j’ai l’impression de le sentir progresser dans mes entrailles. Je visualise à quel endroit de son long manche il en est. 

 

Tellement concentré sur ce qui arrive à mon cul, j’ai occulté ce qui se passe du côté de ma tête. Celle-ci étant revenue à bonne hauteur, le deuxième larron en a profité pour l’attirer vers son ventre, il a glissé sa queue dans ma bouche, et, mécaniquement, j’ai commencé à le sucer. Mais maintenant que je réalise la situation dans son ensemble, j’en profite pleinement: j’ai une énorme bite dans le cul, une autre dans la bouche, je suis en train de me faire baiser par deux mecs, et un troisième, que j’ai sucé et vidé tout à l’heure, est en train de nous filmer ! La queue de Lucas toujours dans la bouche, je tourne un peu la tête vers le cameraman improvisé. Fasciné par ce qu’il voit, il est en train de filmer la spectaculaire pénétration d’Andrej dans mon cul. Il remarque mon mouvement et dirige la caméra vers ma tête. Tout en fixant l’objectif de l’appareil, je me mets alors à pomper furieusement le deuxième larron qui paraît apprécier ce changement de régime.

 

La situation et le plaisir que j’éprouve à avoir ainsi deux bites en moi, attisent encore un peu plus mon excitation. Et malgré moi, je me mets à gémir tout en accentuant ma fellation sur celui qui est devant moi. Et c’est visiblement contagieux : celui que je suce se met à grogner, et je sens sa queue durcir encore un peu dans ma bouche. Je quitte l’appareil photo des yeux pour me concentrer sur la pipe que je suis en train de tailler. Lucas a posé ses deux mains sur ma tête et il appuie pour enfoncer sa bite au plus profond de ma gorge. Bizarrement, ça ne me provoque pas le haut-le-cœur que je craignais. Au contraire, ça attise ma propre excitation et je redouble de vigueur. Je sens qu’il est maintenant au bord de l’éjaculation, et ça ajoute encore à mon excitation. Soudain, je sens les muscles de ses cuisses se contracter, son souffle s’arrêter, ses testicules remonter vers son ventre et sa bite se tendre dans ma bouche. Il va éjaculer ! J’accentue ma fellation.

 

Un premier soubresaut de sa queue contre mon palais. Mais à blanc : rien sur ma langue, ni dans ma gorge. Je suspens ma fellation, mais je garde sa queue dans ma bouche. Un deuxième soubresaut. Cette fois, je sens une peu de sperme sur ma langue. Qu’est-ce que je fais ? Je recrache ? J’avale ? Dans l’état d’excitation où je suis, je déglutis. C’est alors une déchaînement, une rafale de jets de crème de plus en plus puissants. Un flot épais, un peu salé, m’envahit la langue, le palais, les joues. Je l’avale, tant bien que mal, tellement il arrive furieusement. Lucas gémit de plaisir. Et le flot commence à se tarir. Excité comme je suis, je me masturbe en m’appliquant à déguster cette semence. Des petits grumeaux qui baignent dans un liquide un peu acide s’insinuent entre mes dents et mes joues. Je presse la queue de Lucas pour en extraire le sperme qui reste. Soulagé, comblé, il essaie de repousser ma tête de son membre qui commence à ramollir. Je résiste, j’essaie de garder sa bite dans la bouche. Je remarque alors que Sébastien me filme toujours. Je recrache alors la queue de Lucas et j’ouvre ma bouche en grand face à la caméra. Quelques grumeaux de sperme restent sur ma langue. J’espère qu’on les verra sur la vidéo. Je n’avais pas fait attention, mais Sébastien, tout en filmant d’une main, se tripote de l’autre. Cette séance l’a remotivé, on dirait. Je lui demande :

- Tu veux que je te suce encore ? Approche !

- Non, non. Merci. Tu aimes le foutre, on dirait… Tu es une sacrée suceuse, mais non.

 

Il paraît un peu gêné de s’être laissé surprendre à se tripoter.

- Approche quand même, je vais te branler. Le spectacle t’a excité, non ?

- Oui, tu m’as excité, mais non. Vraiment. Je me finirai tout seul.

- Dommage !

 

Lucas, affalé contre le grillage, n’a pas bougé, tout à son plaisir. Andrej, imperturbable, continue de me ramoner. Les deux autres étant hors jeu, je me concentre sur ce qu’il me fait. Les mains sur mes hanches, il me baise lentement, consciencieusement. Il sort presque entièrement sa bite de mon cul, ne laissant que son gland dans moi, avant de me pénétrer de nouveau, doucement, tranquillement mais fermement. Il pousse son énorme bite tout au fond de moi, jusqu’à appuyer son ventre contre mes fesses. Il s’immobilise un instant. Et je sens cette énorme présence à la fois dans mon cul et dans mon ventre. Puis il repart en arrière, tout aussi lentement. Et je sens mes entrailles se vider. La sensation est terrible. Presque entièrement sorti, il marque de nouveau une pose. Et il me pénètre à nouveau. Je sens chaque centimètre de son énorme queue coulisser dans ma rondelle. Je sens son gland repousser mes chairs, tout en douceur. Cette sensation de se faire remplir, puis de se faire vider, c’est un vrai bonheur ! 

 

Je m’adresse de nouveau à Sébastien :

- Séb, tu filmes sa queue quand elle rentre et quand elle sort, hein ?

- Oui, oui. Il ne te fait pas mal ?

- Oh non, c’est bon. Je me suis fourré des trucs bien plus gros …

 

Malgré le plaisir, la position est fatigante. Lucas est toujours devant moi, les jambes étendues sous moi. Je m’affale, les bras croisés sur ses cuisses, toujours le cul en l’air. Ça pourrait durer des heures comme ça, à me faire ramoner doucement par cette énorme bite.

 

- Maintenant, je vais baiser toi.

C’est Andrej qui vient de s’adresser à moi.

 

- Pourquoi, tu ne me baisais pas, jusqu’à présent ?

- Non, j’ai regardé soucer, et je amusais sôlement.

- Ah bon ! Alors vas-y, baise-moi…

 

Il ajuste la position de ses énormes pattes sur mes hanches, il me pousse lentement en avant, faisant sortir sa queue presque entièrement de mon cul, et m'attire brutalement à lui. Cette fois, j'ai senti son énorme braquemard littéralement me défoncer. Maintenant, il se déchaîne et me secoue violemment d'avant en arrière. Mes fesses viennent claquer contre son ventre. C'est une véritable tornade qui me ballotte à un rythme effréné. Je dois résister pour ne pas m'écrouler sous les coups de boutoir. Il commence à pousser des grognements de plaisir. Toujours à genoux, je m'efforce de me redresser, d'abord sur les coudes, puis sur les mains. Maintenant, vraiment à quatre pattes, je sens beaucoup mieux le slovaque m'enculer. J'ai l'impression qu'il me pénètre encore plus profondément dans cette position. La bouche ouverte, le souffle suspendu et les yeux mi-clos, je suis tout entier concentré sur le pilonnage de mon cul. Lucas, toujours vautré sous moi, paraît s'exciter de nouveau à me voir baisé comme ça. Il se met à se masturber. 

 

Andrej semble marquer une pause. Sa queue toujours dans mon cul, je le sens se mettre sur ses pieds. Il est maintenant au-dessus de moi, les jambes à demi fléchies et les pieds un peu devant mes genoux. Appuyant une main entre mes omoplates, il me force à redescendre ma tête vers le ventre de Lucas. Celui-ci m'appuie sa queue contre la bouche. Je l'ouvre tandis qu'Andrej recommence à me forcer le cul. Moins violemment. Il est à califourchon au-dessus de moi, le ventre à la verticale de mon cul, et il reprend son va et vient, lentement, mais il s'enfonce au plus profond. J'ai recommencé à sucer Lucas, mais distraitement, parce que je suis attentif à ce qui se passe derrière moi. Les râles d'Andrej suivent maintenant le rythme de son va et vient, et je devine qu'il jouit intensément de chaque pénétration, je devine qu'il se retient d'éjaculer pour faire durer le plaisir autant qu'il peut. Je me concentre sur les sensations de mon cul qui se fait forcer. Mentalement, je visualise cette queue énorme, raide, dure, gonflée, aux veines saillantes, au gland turgescent, progresser dans mes chairs, les écarter, les repousser et descendre au plus profond de moi.

 

Brutalement, Andrej, sa queue tout au fond de moi, suspend son mouvement. Il ne râle plus, il a le souffle coupé. Le pubis plaqué sur mes fesses, je le sens peser de tout son poids, comme s'il cherchait à pénétrer entièrement en moi. Et soudain, alors qu'il se met à pousser des «Ha !», je sens sa queue qui amorce ses premiers soubresauts. Il crie de plus en plus fort tandis que les spasmes de son sexe se font plus rapprochés et plus violents. Il éjacule … il me féconde. En effet, j'ai l'impression de sentir quelque chose couler en moi, m'envahir le rectum. Et ça semble ne pas devoir finir. Puis les spasmes se calment et Andrej arrête de crier. Il reste un petit moment comme ça, immobile au-dessus de moi. 

 

Et je réalise que Lucas, bien placé comme il était, n'a pas perdu une miette du spectacle. Et cette vision, autant que ma fellation, toute distraite qu'elle était, l'ont visiblement beaucoup excité, au point qu'à son tour, il se met à haleter. Et tandis qu'Andrej extrait sa queue de moi, Lucas commence à éjaculer de nouveau dans ma bouche. Je le finis consciencieusement pendant qu'Andrej s'écarte de moi. Alors que je presse la verge du petit slovaque comme un tube de dentifrice pour en extraire toute la crème, je sens une autre présence contre ma cuisse gauche. Je regarde derrière moi. C'est Sébastien, le pantalon sur les pieds, en train de se masturber au-dessus de mon cul.  Je pose ma tête sur les cuisses de Lucas et, saisissant chacune de mes fesses dans une main, je les écarte pour m'offrir au routier français.

- Vas-y, Séb, féconde-moi ...


Cette fois, il aura peut-être aussi envie de me baiser … Mais non. Il continue de se masturber. Ça ne dure pas longtemps, le voilà qui éjacule à son tour. Je sens son sperme qui me tombe sur la fesse et coule jusqu’à mon anus. Je t'étale un peu et je porte mes doigts pleins de semence à ma bouche pour les lécher. 

 

Pendant ce temps, Andrej a déjà remonté son pantalon, et m'observe. Lucas s'est relevé et est aussi en train de se rajuster. Sébastien les imite à son tour. Je m'assois, le dos appuyé au grillage. Je sens que le sperme d'Andrej commence à s'écouler de mon cul. Ils sont tous les trois, debout autour de moi. Les deux slovaques me regardent avec un petit sourire, Sébastien avec l'air gêné. M'adressant à eux:

- Ça va mieux, les mecs?

 

Les deux slovaques, riant en chœur:

- Ça va … 

Lucas:

- tou est bonne. On dit comme ça, en français, non?

- Oui, on dit comme ça. Merci pour le compliment. Ça t’a plu, on dirait.

- Pas compris.

- Ça ne fait rien. Tu as aimé ça …

- Oui, beaucoup aimé.

- Tu veux me sucer?

- Comment ? Non ! Je pas soucer.

- C'est bon tu sais. 

M'adressant aux deux autres:

- Et vous, vous voulez me sucer?

Andrej se contente de secouer la tête, tandis que Sébastien:

- Non. Pas question, moi je ne fais pas ça.

- Me branler, alors … Vous ne voulez pas me branler ?

Tous trois, en même temps:

- Non !

- C'est pas sympa. Tant pis.

 

Je saisis ma queue d'une main, de l'autre, je recueille le sperme d'Andrej qui s'écoule de mon cul et, tout en commençant à me masturber, je me lèche consciencieusement les doigts. Mes deux slovaques, comme à leur habitude, se marrent, tandis que Sébastien prend un air effaré et entreprend de repasser le grillage. Andrej s'accroupit entre mes jambes, se penche, passe ses doigts dans son sperme avant de me les présenter à lécher:

- Quand nous revient en France, nous te revoir?

- Ça dépend …

Je plante mes yeux dans les siens et je finis de lui nettoyer les doigts. Alors qu'il va retirer sa main, je la saisis et je la dirige vers mes cuisses largement ouvertes. Intrigué, il se laisse faire. Je pousse ses doigts contre mon anus. Il a compris. Il s'agenouille, replie tous ses doigts, sauf le majeur, et me l'introduit dans le cul. Je ferme les yeux et je reprends ma masturbation. Comme dans un rêve, j'entends le camion de Sébastien démarrer et s'éloigner. Le doigt d'Andrej est comme le reste, énorme. Et en plus, il le bouge lentement en moi. Ça va très très vite. J'ai un orgasme rapide et violent. Mon sperme me coule sur la main. Andrej sort son doigt de mon cul, y recueille un peu de ma semence et me le donne à lécher. Je suce ce mélange de nos deux spermes et de mon fluide anal.

 

Maintenant que je suis assouvi, après cet orgasme, l'excitation est retombée, les envies envolées. Je pense à ce qu'Andrej m'a demandé. Il a envie de me revoir ... et de me baiser à nouveau, je pense ... Ça a dû vraiment lui plaire ! Je ne sais pas trop quoi lui répondre. Au fond de moi, quelque chose me dit que je peux toujours dire oui et que j'aviserai. En me relevant:

- D'accord, on pourra se revoir.

- Tou a portable ?

Je lui mens :

- Non. Mais j’ai un blog.

- Un blog?

- Oui, un site sur Internet. Avec des photos et des vidéos. Vous avez Internet? Si vous avez un papier, je vous écris l’adresse.

Ils se regardent, et visiblement, ils ne comprennent pas.

- Un papier, donnez-moi un papier et un stylo.

 

Sur un signe d'Andrej, Lucas grimpe le grillage, suivi du géant qui l'effondre encore un peu plus. Lucas monte dans la cabine et Andrej lui explique je ne sais quoi dans leur langue. Enfin, il se retourne et me tend à travers le grillage un bout de papier et un stylo. Je note l’adresse de mon blog et je lui rends le tout.

En voyant l’adresse, il semble comprendre de quoi il s’agit.

- D’accord. Web… Je veux dire à toi, c'est bien, baiser toi. Je pas vou ma femme de un mois. Je vois dans houit jours, après je travaille encore un mois sans voir.

Il se justifie ! Il me tend la main pour que je la lui serre, et pendant qu'il contourne son camion pour reprendre le volant, son collègue claque la portière et me lance:

- tou es bonne, tou es bonne, tous souce bien…

 

Le moteur se lance, et l'engin commence à rouler lentement sur la bande d'arrêt d'urgence. Il prend de la vitesse, et quand le flot de véhicules le lui permet, il s'engage sur la voie de droite et s'éloigne.

 

Je range mon matériel photos dans mon sac à dos et, négligeant de remettre mon string, je me contente de rabattre ma minijupe sur mes fesses. Je reprends mon vélo et en l’enfourchant, je sens que de la semence du routier s'écoule encore de mon cul. Décidément, il m'a mis la dose, Andrej … Je m’assois et en commençant à pédaler, je sens que j’étale cette crème avec mon cul sur ma selle. C’est très agréable.

 

Ça sera tout pour aujourd'hui, j'ai eu mon compte de cul et de bite. Bien plus que je n'imaginais. Pour le moment, je rentre, mais je reviendrai.

 

J’ai hâte de regarder les vidéos.

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Samedi 1 juin 2013 6 01 /06 /Juin /2013 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Lundi 2 août.

J'avais oublié son engagement, et à ma grande surprise, Thomas me téléphone. Après quelques banalités d'usage:

Je t'avais dit de t'attendre à une surprise. Elle va venir te voir, la surprise. Elle s'appelle Gaby. Quand es-tu disponible?

- En semaine, le week-end?

- Un week-end. Il faut que tu sois seul.

- Bon, le samedi 14 août, par exemple. Ce sera mon anniversaire.

- Très bien. Encore mieux.

- Pourquoi ? Tu peux m'en dire plus?

- Tout ce que je peux te dire, c'est que c'est en rapport avec notre dernière conversation, souviens-toi, quand je t'ai annoncé la surprise. Ne m'en demande pas plus. Ça ne serait plus une surprise. En attendant, prépare-toi …

 

Sur ces mots, il raccroche. 

Notre dernière conversation, quand il m'a annoncé la surprise … On parlait de cul, il me semble … Qu'est-ce qu'il mijote? Je regrette presque d'avoir accepté, de lui avoir donné une date, comme si j'étais d'accord par avance avec ce qu'il me réserve. Et qu'a-t-il voulu dire sur ce ton amusé: "prépare-toi" ? Prépare-toi à quoi?

 

Samedi 14 août.

En début d'après-midi, on sonne. Ça me fait sursauter. Nous y voilà… Un peu ému, un peu anxieux, j'ouvre. Un grand black baraqué est devant la porte. Tout habillé de jean, pantalon et veste, une mallette à la main, il me regarde avec le sourire du commercial qui évalue son prochain client. Ce n'est pas le moment, j'attends quelqu'un.

Bonjour, je suis Gabriel. Je viens de la part de Thomas.

 

Je suis saisi. Gaby, Gabriel … J'avais compris qu'il s'agissait d'une femme: Thomas me parlait de LA surprise. Et notre dernière conversation me revient en mémoire, c'était sur le cul et la queue … Les idées se bousculent: ce grand black serait ici pour … Ce que ça implique me coupe les jambes. Mon rythme cardiaque se met à s'affoler. J'ai une brusque bouffée de chaleur. La gorge nouée, je suis incapable d'articuler une parole …

 

Le grand black … Gabriel, a perçu mon trouble:

On peut entrer ?

- Oui, effectivement, excusez-moi, je suis ... 

- Vous ne m'attendiez pas? Thomas ne vous a pas prévenu ?

- Euh, si … en fait, mais pas vraiment … allons au jardin.

 

Il me suit. J'ai les jambes en coton. Qu'est-ce qu'il vient faire exactement ? Qu'est-ce qu'il attend de moi ? Et comment je dois réagir ? Comme dans d'autres circonstances stressantes, j'entreprends de contrôler ma respiration et mon rythme cardiaque et à me raisonner. Je l'invite à s'asseoir. Quoi qu'il vienne faire, il ne pourra rien m'imposer .. à moins d'employer la violence … mais Thomas ne m'aurait pas envoyé quelqu'un pour ça … Pendant que je cogite, j'observe le grand black … Gabriel, du coin de l'œil. Il a posé sa mallette et s'est assis. Il semble attendre que j'entame la conversation, que je pose des questions. Il a l'air très correct. Il a même un air plutôt rassurant. Malgré sa taille (il est bien plus grand que moi) il n'a pas l'air d'une brute. Il est même plutôt agréable à regarder. Je ne sais pas ce que j'imaginais. Devant mon mutisme, il entame la conversation:

 

Je me suis trompé de porte, en arrivant, et j'ai sonné chez votre voisine.

- Ah ? Qu'est-ce qu'elle vous a dit?

- Rien de spécial. Elle a paru intriguée et elle m'a indiqué votre porte. Alors, Thomas vous a dit ? C'est pour le cadeau qu'il voulait vous faire. 

- Le cadeau ? Il m'a parlé d'une surprise, pas d'un cadeau…

- Oui, c'est la même chose. Il m'a dit que c'est votre anniversaire. Bon, pour faire court, et excusez-moi de vous dire la chose un peu … brutalement: JE SUIS le cadeau …

 

Je reste sans voix. Que répondre ? Il vient à mon aide:

Vous avez bien entendu. Thomas m'a dit qu'il avait une sorte de … dette envers vous …

Il me fixe, interrogateur, et poursuit:

- … et il a pensé payer sa dette en faisant appel à moi.

- Ah, bon ! Une dette ? Il n'a pas dette envers moi. Et en quoi vous intervenez ?

- J'ai peut-être mal compris. En tout cas, il paraissait tenir à vous faire plaisir. Apparemment, c'est du domaine … intime, pour ne pas dire plus, à ce que j'ai cru comprendre. Et il m'a chargé d'intervenir, disons dans le même domaine … intime.

 

Je suis un peu estomaqué. Je dois avoir les yeux écarquillés. Il précise:

Dans le domaine sexuel, si vous préférez … Ecoutez, on ne va pas tourner autour du pot: je suis un professionnel du sexe, une sorte d'escort-boy, si vous voulez. Mon "métier", c'est de coucher avec ceux qui le veulent, pour de l'argent. Thomas m'envoie à vous pour ça, pour que je couche avec vous. Je fais ça aussi bien avec des hommes qu'avec des femmes.

 

Voilà. Je me doutais un peu. Maintenant, je sais. Mon cœur qui s'était un peu calmé se remet à battre la chamade, et j'ai une nouvelle bouffée de chaleur … J'arrive à articuler:

Excusez-moi, je suis un peu surpris. Il faut que je …

- Prenez votre temps. Mon après-midi vous est réservé. Vous pouvez refuser, ça ne me vexerait pas. De toute façon, que vous acceptiez ou non, en ce qui me concerne, c'est pareil. Pour vous, je ne fais pas ça pour de l'argent, mais parce que, moi, j'ai une dette vis-à-vis de Thomas. Donc, que je … couche avec vous ou pas, en partant d'ici, je serai quitte vis-à-vis de lui. C'est convenu comme ça.

 

C'est donc moi qui vais décider. Ça me rassure et ça me calme un peu. Il faut que je réfléchisse rapidement à ce que je vais faire. Accepter ou pas.

Je ne m'attendais pas à … ça …

- Je comprends. Si ça peut avoir raison de vos hésitations, je peux vous dire que je fais ça aussi parce que j'aime ça, et que j'ai quelques … talents particuliers. Vous n'avez pas à avoir de scrupules ou de honte à mon égard: Thomas m'a parlé de vos fantasmes. Il m'a dit que vous aviez envie de coucher avec un noir. C'est bien ça ?

Il n'attend pas que je réponde. Il poursuit:

Vous savez, ça ne me choque pas. C'est un fantasme très courant, non seulement chez les femmes blanches, mais chez les hommes aussi. La réciproque est vraie, d'ailleurs. Les noirs fantasment tous sur les femmes blanches, et certains sur les hommes blancs. 

Il marque une pause.

Bon, alors ? Je suis le genre de cadeau qui vous intéresse ?

J'hésite un peu. Mais, pendant qu'il parlait, j'ai réfléchi, j'ai envisagé ce qu'il me propose, et surtout, je me suis dit que c'était une occasion inespérée qui ne se représenterait jamais si je ne la saisissais pas. En fait, ma décision est plus qu'à moitié prise, mais j'ai du mal à la formuler.

Ben, oui … ça … euh… vous m'intéressez.

C'est dit. Je me sens un peu con, mais je me sens déjà mieux, moins fébrile

 

Il sourit.

On peut peut-être se tutoyer ?

- Oui, pas de problème.

- Tu n'as aucune crainte à avoir. Je sais ce que c'est qu'une première fois. A tout moment, tu peux décider d'arrêter. Tu ne dois jamais te sentir obligé de continuer. Par ailleurs, je n'ai pas de MST et je suis séro-négatif. Mais, pour ça, on fera un test tous les deux … Je peux faire avec toi tout ce que deux hommes peuvent faire ensemble: je n'ai ni tabou, ni inhibition.

- Je vous … je te laisserai décider …

Non, non. Je suis là pour que toi, tu prennes du plaisir, comme tu en as envie. Mes envies, mon plaisir à moi, c'est secondaire. Comme tu es novice, pour commencer, je te guiderai. Après on improvisera. La plupart des gens veulent sucer et se faire pénétrer, non ?

- Euh. oui.

Là, on entre dans le vif du sujet. Je vais avoir du mal à formuler les choses, à prendre des initiatives.

Je peux me mettre à l'aise ? 

- Bien sûr, mettez-vous … mets-toi à l'aise.

 

Sans aucune hésitation, Gabriel tombe la veste, enlève son T-shirt, ôte ses bottes et ses chaussettes et commence à déboutonner son jean. Ah, c'est ça qu'il entend par "se mettre à l'aise"? Il est vraiment superbe. C'est une baraque. Je réalise qu'il doit mesurer un mètre quatre-vingt-dix ou quatre-vingt-quinze. Il est d'un brun très sombre. Il a la peau matte, sans aucun défaut, du moins pour ce que je vois. Il n'a pas un poil sur le torse ni sur le ventre. Il a des pectoraux, des biceps et des abdominaux impressionnants, des cuisses énormes, mais tout est magnifiquement proportionné. Le jean est par terre et ce qui me saute au yeux, c'est un string minuscule, jaune vif, qui ressort sur sa peau sombre … Et dans le string … il  a une … 

 

J'en reste pantois. A la fois gêné et fasciné, je ne peux pas détourner les yeux de ce que je vois, ou plutôt de ce que j'imagine. Sur les sites porno du Web, j'ai déjà vu des gros membres, mais, là, ce que je devine dans ce string hyper moulant … et en vrai, à portée de ma main … Mais … il bande déjà ? J'ai la gorge nouée. Debout devant moi, Gabriel a vu mon étonnement et deviné mes pensées:

Voilà. Ça c'est mon talent le plus … visible. Tu veux en voir plus ?

Et sans attendre la réponse, il roule son string sur ses cuisses.

 

C'est un des sexes les plus … gros et les plus longs que j'aie jamais vu. Et ma première impression est qu'il ne bande pas, si j'en juge par l'aspect de sa peau et de son prépuce. Dans le string, il était à demi dressé le long de son ventre, mais maintenant, il pend naturellement. A moins qu'il soit quand même en érection et que sa taille et son poids l'entraînent... Mais, non, il ne peut pas déjà bander … En tout cas, tel qu'il est, il doit bien mesurer dans les 12 ou 13 centimètres ! La verge est grosse comme mon poignet. Elle est du même brun sombre et mat que le reste de son corps. Tout son sexe est comme le reste du bonhomme, parfaitement proportionné. Le gland, encore caché dans le prépuce, a apparemment la forme que j'aime, un peu aplati, un peu retroussé. Pas un seul poil, apparemment parfaitement rasé ou épilé. Et deux grosses boules bien rondes qui ne pendouillent pas. C'est une queue énorme et magnifique, et je sens que la surprise et l'émotion provoquées par l'arrivée inattendue de mon … cadeau, cèdent la place à autre chose.

 

Il s'approche de moi. Je me sens soudainement baigné d'une odeur de vanille qui émane de lui.. J'ai cet engin démesuré à 30 centimètres du visage.

- Touche, si tu veux …

Comme j'hésite, il se penche, me prend la main et la pose sur son sexe. C'est comme une décharge électrique. Je suis scotché. Elle est douce, elle est chaude, elle est lourde, elle semble palpiter. Maintenant, l'extrémité de son gland dépasse un peu du prépuce, et il est du même brun sombre que sa verge. Je ne sais pas quoi faire. J'ai le cœur qui bat la chamade. Il y a un instant, j'avais la bouche sèche, et maintenant je salive abondamment. Et je sais que ça n'est pas dû à l'odeur de vanille. Je sens les petites frémissements familiers dans mon gland, mes couilles et ma prostate. Je sens aussi que ma bite est en train de mouiller mon propre string. Je sais ce que tout ça veut dire: ce mec m'excite et j'ai envie de cette queue. Et je reste là comme un con … 

 

Une fois de plus, Gabriel a deviné mes pensées. Il s'approche encore, me repousse doucement contre le dossier du banc, se penche sur moi, me prend par les hanches et fait un peu glisser mon bassin vers l'avant. J'ai maintenant le visage à hauteur de son ventre. Il s'agenouille sur le banc, à califourchon au-dessus de moi, saisit sa queue et me la pose sur la bouche …

Tu peux goûter. Il n'y a pas de danger.

 

Il me frotte le dessous de son gland contre les lèvres, de droite à gauche, comme pour les écarter. Ce que je fais. Je saisis cet énorme engin à deux mains. Mes doigts font tout juste le tour de sa verge ! Gabriel prend ma tête entre ses énormes pattes. J'ouvre la bouche, je sors la langue, et je commence à la passer sur le prépuce. Il a le goût de la vanille. Gabriel commence aussitôt à bander. Je sens le sang affluer dans sa verge qui gonfle entre mes doigts et desserre leur étreinte. Je vois cet engin grossir et s'allonger. Son gland commence à sortir tout seul du prépuce. J'ai la tête bloquée par le dossier et les mains de Gabriel, et comme il ne recule pas le bassin, le gland se presse contre mes lèvres, les écarte et vient s'appuyer sur mes dents. J'ouvre la bouche, et sa queue y pénètre simplement en s'allongeant. Je la décalotte complètement et le gland, énorme et tout chaud, s'épanouit entre ma langue et mon palais. J'en ai l'eau à la bouche. Je déglutis, et je commence à sucer cette queue, ou plutôt, à la … déguster. En fait, je n'en goûte que l'extrémité, parce que je suis loin de pouvoir l'engloutir toute entière. Maintenant qu'elle est complètement en érection, elle doit mesurer plus de 20 centimètres. Dans mes fantasmes les plus torrides, je ne rêvais pas de pouvoir sucer un jour un tel organe. Elle a un diamètre énorme, comme une bouteille de vin, et je dois ouvrir la bouche au maximum pour me l'enfourner. Mais elle est plus souple qu'une bouteille et elle se prête à la manœuvre.

 

Finalement, c'est un régal. Je la sens, chaude et vivante dans ma bouche et l'excitation qui monte en moi domine mon indécision et mon embarras. Je suis, moi aussi, en érection, mais ma queue, coincée dans mon string, a du mal à s'épanouir. Je glisse une main dans mon string, je dégage ma bite et je commence à me masturber. Mais, très vite au bord de l'explosion, je dois arrêter. Je me concentre sur la pipe que je suis en train de lui tailler. Ma fellation devient plus résolue et sans doute moins maladroite aussi. J'enserre la couronne de son gland entre mes lèvres et je titille son frein et son orifice du bout de ma langue. Puis je la passe du haut en bas de sa verge, jusqu'aux bourses. Il se soulève un peu, et je devine qu'il attend que je lui lèche ou que je lui suce les testicules. Ce que je fais. Je les gobe l'un après l'autre et les frictionne de la langue. Puis je remonte le long de la verge et je reprend sa queue dans la bouche. J'adore ça, et rapidement, mon excitation tourne à la même frénésie que j'ai vue chez des filles que la bite rendait hystériques.

 

Au bout de quelques instants, le grand black se recule, extrait son pénis de ma bouche:

- Maintenant, avant d'aller plus loin, il faut s'assurer.

Cette brutale interruption me frustre. S'assurer ? Qu'est-ce que ça veut dire ? 

Il fouille dans sa mallette et en sort deux petites boîtes rectangulaires:

- Des tests de dépistage du SIDA …

- Ah, bon …

- Ne t'inquiète pas. Ce sont des nouveaux tests, ils sont ultra rapides et ultra sûrs. Il suffit d'une demi-heure pour avoir le résultat. Tu es d'accord ?

Qu'est-ce que je peux lui dire ? Evidemment, je suis d'accord. Maintenant, j'ai hâte de recommencer, d'aller plus loin. 

- Un tout petit peu de sang suffit. On le prend au bout du doigt, comme pour le diabète. Dans mon métier, c'est un truc génial … et indispensable.

Il me pique le bout du doigt, le presse, fait sortir une goutte de sang et la dépose sur le réceptacle du test. Puis il se fait la même chose.

- En attendant, on peut peut-être prendre une douche …

Apparemment, tout est prévu, son numéro est bien rôdé ! Finalement, depuis son arrivée, il a pratiquement décidé de tout. Je me sens comme un pantin qu'il manipule à sa guise. C'est à la fois irrésistible, gênant, frustrant, et terriblement excitant. 

 

Il me suit dans la salle de bain et m'aide à me déshabiller. Je me fais l'effet d'être un gringalet à côté de lui. A ma grande surprise, il se met à me caresser, à me tripoter le sexe et les fesses. Et, alors que sa queue avait dégonflé, il se remet à bander. Je l'excite ? Je n'en reviens pas. C'est sûrement un vrai obsédé sexuel pour s'exciter comme ça sur moi. Nous voilà sous la douche. Il me savonne … partout … vraiment partout. Un peu contracté au début, je me laisse en suite aller au plaisir de ce contact. Je le savonne à mon tour. Nous sommes tout glissants de mousse, poitrine contre poitrine, son sexe dressé contre mon ventre. Toucher son corps comme ça, lui caresser le dos, les cuisses, le ventre, passer mes mains entre ses fesses, sur son sexe, sur ses couilles, c'est très excitant. Il plie un peu les genoux et ses doigts s'égarent entre mes fesses. Il me fait faire demi-tour. De la main gauche, il me masturbe pendant que sa main droite redescend entre mes fesses. Je sens son majeur appuyer contre mon anus et commencer à le pénétrer.

- Tu devrais passer sur le bidet, non ?

J'ai compris. Il veut que je me vide et que je me lave le cul. Il n'aime pas la merde. Il a raison, moi non plus. J'obtempère et je me fais un lavement, plusieurs fois. Je retourne sous la douche avec lui et je reprends ma position, dos vers lui. Il se savonne la main, me la glisse de nouveau entre les fesses et m'introduit franchement un doigt dans le cul. Puis un deuxième. Il s'agenouille derrière moi, me rince le cul, me force à poser un pied sur le bord de la baignoire, me penche en avant et se fourre la figure entre mes fesses. Je sens sa langue m'exciter un instant la rondelle, puis il me la rentre dans le cul. C'est affolant. D'autant que, dans le même temps, il me masturbe. Sous cette vigoureuse caresse buccale, je sens mon anus se décontracter. Puis il me remet un doigt, puis deux, puis trois … C'est légèrement douloureux - il a des doigts aussi énormes que le reste - et très excitant, et je voudrais qu'il me rentre toute la main. De nouveau au bord de l'éjaculation, je dois repousser sa main qui me masturbe.

 

Au bout d'un moment de cet exercice, il se relève, me retourne et m'attire face à lui. Il se savonne la queue, nous place ventre contre ventre, plie un peu les genoux, me glisse son sexe entre les cuisses et en saisit l'extrémité derrière moi, entre mes fesses. Je me retrouve à cheval sur sa bite ! Incroyable ! Je m'agrippe à son cou et il me soulève comme ça, me retenant de sa main libre. Ça a l'air de beaucoup lui plaire: il rejette la tête en arrière et gémit. Je sens sa queue toute raide sous mon cul, entre mes cuisses. Et il se secoue doucement d'avant en arrière. Lubrifié par le savon, je glisse sur sa queue, aussi d'avant en arrière … Pour lui, ça doit être comme de fourrer son engin entre des seins de femme, la fameuse cravate de notaire … Pour mon anus, tout à l'heure distendu, dilaté, excité, le frottement contre sa verge est maintenant une sensation voluptueuse. Très agréable façon de passer la demie heure nécessaire aux tests !

 

Il lâche sa queue et me repose doucement dans la baignoire. Il me fait saisir sa bite toute savonneuse et la presse contre mon ventre. Il me caresse de nouveau les épaules, le dos, les fesses. Ses doigts s'égarent encore dans mon cul. Je sens qu'il bande très fort. Décidément, il aime vraiment le cul … Tout ça m'excite beaucoup. Je le masturbe à deux mains dans la mousse. Nous nous amusons comme ça un long moment, puis nous nous rinçons et nous redescendons, encore ruisselants. Mon excitation n'est pas vraiment retombée. Et elle a raison de mes inhibitions. Je m'approche de lui et commence à suivre du bout des doigt les filets d'eau qui dessinent des réseaux sur sa peau et ruissellent vers son ventre et ses fesses. Je sens ses muscles sous sa peau ferme et dense. En fait, c'est la première fois que je caresse comme ça le corps d'un homme. Sa musculature est vraiment impressionnante, et je trouve très troublant de pouvoir la palper tout à loisir. Décidément, mes réticences, mes inhibitions disparaissent et je me laisse aller sans aucune gêne à ces plaisirs. 

 

Il me laisse faire, y compris quand je substitue ma bouche à mes doigts. Je lui passe la langue sur la poitrine, les abdominaux et le sexe. Lui tournant autour, je lèche ses épaules, son dos, ses reins, et, agenouillé, je m'enfouis le figure entre ses fesses. Il les empoigne à pleines mains et les écarte pour me laisser lui passer la langue dans la raie, jusqu'à l'anus. Là non plus, pas un poil. Tout en lui taquinant la rondelle avec la langue, ma main remonte entre ses cuisses vers sa bite. Il bande. Je le masturbe, et il a l'air de beaucoup apprécier ce que je lui fais. 

 

Au bout d'un moment. Il lâche ses fesses, écarte ma tête de son cul, se retourne et me relève.

- Tu es moins intimidé, on dirait …

C'est à la fois une question et une constatation. Il s'approche du banc et vérifie les tests tandis que je m'assois:

- Négatifs tous les deux. Il faut toujours vérifier. Aussi bien pour toi que pour moi. On va sur le transat ?

 

Et sans attendre ma réponse, il m'entraîne sur le transat, où il s'assied. Il m'attire au-dessus de lui et commence à me sucer. Il sait y faire … et pas seulement comme un professionnel, il a l'air d'aimer ça. En même temps, il me caresse l'arrière des cuisses. Puis sa main droite remonte entre mes jambes jusqu'à mes fesses, qu'il me tripote un moment, avant de m'enfoncer son index et son majeur dans le cul. Il s'est lubrifié les doigts sans que je m'en rende compte. C'est génial ! Il me fouille le rectum dans tous les sens … j'adore ça ! Enfin, au bout d'un moment, il lâche ma queue et me sort les doigts du cul. Il bande de nouveau. Il s'enduit la queue de lubrifiant et m'attire face à lui, à genoux de part et d'autre de son bassin, à califourchon au-dessus de son ventre. Il empoigne sa queue, et me descend doucement dessus. Son gland contre mon trou, il marque une pose:

- Alors, toujours décidé ?

 

Bien sûr que je suis toujours décidé. Et plus que jamais. Je sens que le bout de sa queue a commencé à s'insinuer un tout petit peu dans ma rondelle qui ne demande qu'à s'ouvrir complètement. Pour lui confirmer que je suis bien décidé, je m'écarte les fesses avec les mains et je plie doucement les genoux. Je sens son gland s'enfoncer un peu plus. Vue sa taille, je m'attendais à ce que ce soit un peu difficile et même douloureux. Mais sa bite est souple et se prête à l'opération. Son gland a une certaine élasticité, et il finit par franchir entièrement le sphincter. Je le sens s'épanouir d'un coup dans mon rectum. Je marque une pause. Les yeux fermés, je jouis de l'instant. Je visionne la situation dans ma tête et toute mon attention est concentrée sur ce qui se passe entre mes fesses. J'ai l'impression que toutes mes sensations se sont concentrées dans mon anneau rectal. Je perçois, comme amplifié, son contact avec la couronne de son gland. A cet instant, je suis tout entier dans ce toucher. Il y a cette sensation purement physique à laquelle se mêle une jouissance cérébrale: j'ai un énorme membre de black à l'entrée de mon cul, et dans un instant, je vais l'avoir tout entier dans moi. J'ai lâché mes fesses et je sens maintenant le contact de sa verge contre elles. Je prend la tête de Gabriel dans mes bras. Les mains sur mes hanches, il attend patiemment que je sois prêt. Je fais quelques légers mouvements de haut en bas, un centimètre ou deux, pas plus, pour bien sentir son gland à l'entrée de mon anus.

 

Puis je plie résolument les genoux et je descend mon cul sur sa queue. Maintenant, c'est sa verge qui me pénètre. Elle est plus grosse que son gland et moins souple. Cette pénétration-ci est moins facile. Sa queue doit se forcer le passage, et mon sphincter doit se dilater davantage, d'autant que dans le même mouvement, Gabriel bande plus fort. Sa queue est à la fois plus grosse et plus raide que son gland. Enfin, centimètre après centimètre, je sens qu'elle s'enfonce en moi. Par flashs successifs, mon esprit passe de la sensation de mon anus qui se fait forcer à limage de ce gland qui s'enfonce de plus en plus profondément en moi. Jusqu'où pourra aller une queue aussi longue et aussi grosse? Contre toute attente, elle continue de me pénétrer, sans aucune résistance. Pourtant, avec les objets aussi longs, aussi gros et aussi raides que je me suis fourrés, comme mon gros godemiché noir, je ne pouvais pas me les rentrer aussi profondément. Ah, si, maintenant, je la sens qui paraît butter au fond de mes entrailles. Elle est au bout. Une fois encore, je marque une pause. J'ai ce gros morceau de chair chaude et vivante dans mon cul. Je bande rarement quand je me défonce le cul avec des objets de toute sorte, mais là, je bande comme jamais. Et je m'aperçois que la grosse bite de Gabriel, en me comprimant la prostate, fait baver un peu de sperme de ma queue. De nouveau, je fais quelques légers mouvements de bas en haut pour bien sentir son sexe dans mon cul. Qui aurait pu dire que je me serais fait sodomiser par ce noir que je ne connaissais pas il y a moins d'une heure. Maintenant, je suis empalé sur sa bite …

 

Gabriel me soulève un peu et se tortille sous moi:

- Remonte un peu et écarte un peu plus les genoux. 

Et, les mains toujours sur mes hanches, il me fait redescendre lentement, me guide un peu à droite, un peu à gauche, tout en inclinant son bassin en avant puis en arrière. Et sa queue me pénètre de nouveau. Et je sens que je descend plus bas que la première fois. Si bas que mes cuisses reposent sur les os du bassin de Gabriel, et mon périnée sur son pubis. Il constate:

- Là, on ne pourra pas faire mieux …

- Tu es au fond ?

Il rit:

- Je ne sais pas si je suis au fond, mais je n'en ai pas plus à te rentrer … désolé.

 

Je bouge un peu le bassin pour bien sentir la chose énorme qui est en moi. Jusqu'où est-elle remontée? J'ai maintenant l'anus complètement relâché. Je sens, je réalise ce qui me dilate la rondelle, ce qui me remplit le fourre-tout, ce qui me fouille les entrailles. J'interroge Gabriel:

- Combien elle mesure ?

Il rit encore:

- J'attendais cette question. Tout le monde veut savoir. Quand je bande à fond, elle mesure 23 centimètres. Et là, je peux te dire que je bande à fond … Et son diamètre, tu ne me demandes pas son diamètre ?

- Si, bien sûr. Elle doit faire dans les 7 ou 8 centimètres …

- Plus. A l'endroit le plus large, elle fait 8 centimètres et demi.

- Ah, bon ? Mais le plus gros truc que je me sois enfilé, mesurait 7 centimètres et demi, et j'ai eu du mal …

- C'était quoi, un gode, un plug ?

J'hésite un peu à le lui dire.

- Une bouteille de vin …

- Ah, oui, mais ma queue n'est pas en verre. Quand le passage est vraiment trop étroit, elle se comprime et elle passe. Et pour la longueur, si on s'y prend comme il faut, elle peut s'insinuer très loin dans un cul. Bien plus loin que dans un vagin.

 

Pendant toute cette discussion, j'ai bougé le bassin d'avant en arrière et de droite à gauche pour bien sentir sa queue au fond de moi. Il m'enserre le torse d'un bras, me passe l'autre sous les fesses, et se met à me soulever puis à me redescendre, d'abord lentement puis de plus en plus vite. C'est lui qui pilote. Il a fermé les yeux et, à son tour, il jouit de la situation. J'ai repris sa tête dans mes bras et je goûte aussi pleinement et intensément ce bonheur anal. Ça dure un bon moment, je halète de volupté et il gémit de plaisir. 

 

Puis il arrête, me regarde:

- Change de position. Tourne-toi.

 

Je me retourne et, à califourchon au-dessus de son ventre, je descend vers son gros pieu. Je vais m'y empaler. Les mains appuyées sur mon dos, il me retient. Je saisis sa queue et j'en introduit l'extrémité dans mon anus. Dans cette position, je peux voir en partie ce qui se passe. Je vois sa paire de boules, la base de sa verge et les premiers centimètres. Ma bite et mes couilles me cachent le reste … le plus intéressant, le plus excitant. 

Une fois encore, Gabriel me guide pour me pénétrer au maximum. Nous devons nous y reprendre à trois fois. Il me fait légèrement tourner d'un côté, puis de l'autre, il me fait lever une jambe, il me fait me pencher en avant, puis me cambrer … et enfin, je sens que sa queue a trouvé le passage. Lui aussi. Il me dit:

- Ne bouge plus.

 

C'est incroyable ! J'ai toute sa queue dans le cul et même … dans le ventre ! Vingt-trois centimètres ! Je me demande où tout ça s'est logé et quel chemin tortueux ça a suivi. Je suis assis sur son ventre. Je me penche un peu en avant et je lui pelote les couilles. Il m'attire et m'allonge sur lui. Sa queue sort un peu de moi. Il me masturbe doucement en me léchant et mordillant l'oreille. Nous restons un long moment comme ça. Je ne pense qu'à cette énorme et superbe queue en moi et à cette main qui me branle. Mon premier black … Ça aurait pu ne jamais m'arriver ... ou il aurait pu être quelconque, voire moche et boutonneux … ou avec une petite bite … Mais il est baraqué, il est beau, il sent bon, et il a une énorme bite.

 

Soudainement, comme pris d'une idée subite, il se redresse, me repousse, me force à me lever. Je sens son long membre sortir de moi. Il se relève aussi, m'entraîne vers la table et me fais m'y coucher sur le dos. Il me remonte les genoux sur le ventre et me tire vers lui. Il a la même idée qu'avait eu Thomas! Maintenant, j'ai les fesses au bord de la table. Il m'enfonce sa queue, me fait mettre les jambes autour de sa taille, et il me reprend comme ça. 

- Je crois que j'ai vu une tête au-dessus du mur… 

Je me redresse.

- Un homme ou une femme?

- Une femme, il me semble. De cheveux gris. Ça t'ennuie? Tu veux qu'on arrête?

 

J'hésite un instant. C'est la voisine, chez qui Gabriel a frappé en arrivant. Vu la hauteur du mur, pour regarder par-dessus, elle a dû grimper sur une échelle ! Elle devait se demander ce qu'il me voulait, et la curiosité a été la plus forte. Maintenant, elle sait. 

 

- Je m'en fous. Ça ne m'étonne pas. Qu'elle regarde si ça l'amuse. Donnons-lui du spectacle … Ça m'étonnerait qu'elle aille raconter ce qu'elle a vu, il faudrait qu'elle explique qu'elle grimpe sur une échelle pour mater chez moi. Et catho comme elle est, ce serait la honte ...

 

Il sourit et reprend son va-et-vient en moi. D'abord lentement, doucement, puis de plus en plus fort.

 

Savoir que la voisine nous a vus (notre position ne laisse aucun doute sur ce que nous faisons ... sur ce que Gabriel me fait ...) c'est très excitant. Je voudrais bien vérifier et regarder si elle nous mate toujours, mais je tourne le dos au mur et, même en me tordant le cou, je ne vois rien. Je demande à Gabriel:

- Tournons d'un quart de tour, que je voie le mur.


Ça le fait rire, mais il a compris ce que je veux. Je me redresse, lui passe mes mains autour du cou, lui me glisse ses deux énormes mains sous les reins, me soulève de la table et nous déplace avant de me reposer sur la table. Pendant cette manœuvre, sa queue n'a pas quitté mon cul.


Maintenant, en tournant la tête de côté, je vois le mur. La voisine est toujours là. Je ne vois qu'un peu de cheveux qui dépasse du mur et une main avec laquelle elle s'agrippe. Elle a dû se baisser quand Gabriel a regardé vers elle. Elle doit avoir une furieuse envie de regarder de nouveau, pour être bien sûre de ce qu'elle a vu ... Mais oui, tu as bien vu: un grand black est en train de me baiser sur ma table, dans mon jardin, vas-y, regarde.

 

En effet, la tentation doit être trop forte, et après quelques instants, elle se redresse, juste assez pour avoir les yeux à hauteur du faîte du mur. Elle remarque forcément que nous avons changé de position. Maintenant, elle nous voit de côté, et elle doit distinguer encore mieux ce que Gabriel est en train de me faire. En fait, elle doit même voir sa queue qui me pénètre et me ramone. Mais, fascinée par l'ensemble de ce spectacle, elle ne remarque même pas que je la regarde. Je chuchotte à l'attention de Gabriel:

- ma voisine est encore au spectacle.


Il tourne aussi la tête vers elle.

- Ah oui... Je continue?

- Oh oui, ça doit lui plaire ... et à moi aussi.


Je me redresse sur un coude, le regard toujours braqué vers elle. Mon mouvement a attiré son attention et elle s'aperçoit enfin que je la regarde aussi. Dans un mouvement réflexe, elle cherche à se dissimuler en se baissant, mais elle doit réaliser que c'est inutile et elle reprend lentement sa position. Nos regards se croisent. Je lui souris. Ça te plaît, hein? Tu n'imaginais pas que je pouvais me faire baiser? Je suis sûr que ça te fait envie. Regarde cette énorme queue qui est en moi. Tu n'as jamais dû en voir une comme ça. On s'est tournés pour que tu nous voies mieux. Continue de mater comme ça, et tu vas finir par mouiller... 

 

Je réalise que, outre le pur plaisir exhibitionniste, je ressens une certaine fierté de me faire baiser par un grand et beau mâle comme Gabriel devant elle. En plus, d'où elle est , elle voit avec quoi il m'empale ... Je me sens comme ces filles qui prennent plaisir à exhiber leur mec à leurs copines, à leur montrer comme il est beau et bien bâti. Je ne quitte pas ma voisine des yeux. Elle a compris qu'il est inutile qu'elle se cache, et que sa présence, au lieu de m'embarrasser, me plaît. Elle finit par se redresser complètement. Maintenant, sa tête dépasse franchement du mur, et elle nous regarde ouvertement, un petit sourire sur les lèvres. Je lui retourne son sourire et je lui adresse un signe de la main en me rallongeant sur la table.

 

Cette situation me plaît beaucoup et m'excite. Mes jambes encerclant toujours sa taille, Gabriel a repris son va et vient avec un peu plus de vigueur. J'ai l'impression que ça l'excite aussi. Je tends une main vers ses pectoraux. Il se penche un peu et je le caresse avant de passer mes deux mains derrière son cou et de l'attirer sur moi. J'ai maintenant les cuisses repliées à l'horizontale sur mon ventre, et Gabriel, couché sur moi, est contraint de réduire l'ampleur de ses va et vient. Je serre mes jambes et il s'enfonce au plus profond de moi. A ma grande surprise, il approche son visage du mien, pose sa bouche sur la mienne, et je sens que sa langue cherche à s'introduire entre mes lèvres. Je le laisse faire et nous nous embrassons longuement.

 

Quand il abandonne mes lèvres, il se redresse et, tandis qu'il recommence à me baiser, je tourne la tête vers ma voisine. Elle est toujours là mais elle a dû monter un échelon de plus parce que, maintenant, elle a la tête posée sur ses bras, croisés sur le faîte du mur, confortablement installée. 

 

Gabriel lui jette un coup d'œil tout en me ramonant. Comme s'il faisait ça à l'intention de notre spectatrice, il se met à me donner de vrais coups de boutoir, il me secoue. Je sens son gros engin me pilonner. Ses couilles battent contre mes fesses. Il ne prend plus la peine de s'insinuer en douceur, il me baise, comme avait fait Thomas ! Et j'aime ça. Puis il me fait m'allonger sur le côté, en chien de fusil, et il recommence. Il prend son temps et il y prend du plaisir.

 

Je suis maintenant face à ma voisine, mais mes jambes serrées l'une contre l'autre lui masquent la vue directe sur notre copulation. Je soulève ma cuisse supérieure et j'essaie tant bien que mal de tenir dans cette position. Gabriel réalise à la fois ce que je veux faire et l'inconfort de ma posture. Sans cesser de me saillir, il saisit mon genou et le maintient. Maintenant, la voisine a une vue directe sur la queue de Gabriel et sur mon cul. Elle voit cet énorme sexe aller et venir en moi. Son regard passe alternativement de mes yeux à l'énorme membre qui me pénètre. Et elle réalise que c'est délibérément que nous avons changé de position pour lui offrir ce spectacle.

 

Visiblement, elle est bluffée: les yeux écarquillés, la bouche un peu entrouverte, elle ne sourit plus, et je me demande quelle est la nature exacte de ses pensées. En bonne catho coincée, elle doit être partagée entre le caractère moralement scandaleux, choquant pour elle de ce que nous faisons, et ses propres réactions intimes, physiologiques, sexuelles. Parce que, pour rester perchée comme ça en haut de ce mur, il faut nécessairement que la fascination et le trouble l'emportent sur la désapprobation et le dégoût. Alors, au moment où son regard remonte vers le mien, je porte ma main vers ma bouche et j'introduis mon majeur entre mes lèvres. Mon geste a retenu son attention. J'entre et sors mon doigt de ma bouche à plusieurs reprises et je le lui montre, bien mouillé, en l'agitant pour mimer une masturbation féminine. Elle est saisie et détourne brusquement la tête, comme si, par ce geste, je lui signifiais que j'avais deviné ses pensées. Elle reste un moment les yeux rivés sur le va et vient de Gabriel, comme absorbée par une intense réflexion. Et au bout d'un moment, je la vois relever la tête, tourner les yeux vers les miens, dégager un bras de sous son menton, et comme par défi, porter deux doigts à sa bouche et plonger sa main derrière le mur. 

 

Bingo ! Elle va se caresser ! Ses yeux ne quittent pas les miens. Elle semble me dire «tu vois, je vais me donner du plaisir, je vais me masturber ...» Je vois son épaule bouger lentement. Elle a dû glisser sa main dans son bermuda (elle porte toujours un bermuda ...), puis dans sa culotte en coton (elle ne doit porter que des culottes en coton), elle a dû insinuer ses doigts entre ses lèvres, et commencer à se masturber. Je me mets à imaginer ses doigts qui vont et viennent entre ses lèvres et sur son clitoris humides de désir. Qu'est-ce qui t'excite comme ça ? Seulement la grosse queue de Gabriel que tu as envie de te faire mettre, ou de me voir me faire baiser ? Sans doute tu m'envies et tu t'imagines à ma place ... Elle a reposé son menton sur son bras toujours appuyé sur le mur. La bouche toujours entrouverte sous l'effet du plaisir, elle ferme maintenant à demi les yeux. Je dis à Gabriel:

regarde, elle se touche ... Montre-lui ta queue.

 

Il s'extrait de moi, pose son sexe sur ma cuisse et commence quelques mouvements de va et vient. Ma voisine voit maintenant l'énorme engin en totalité. Elle peut réaliser sa longueur, estimer son diamètre, contempler son superbe gland, se représenter tout cela dans moi (et peut-être dans elle ...) et imaginer les sensations que cela pourrait lui procurer. Je pose une main sur le sexe de Gabriel qui va et vient toujours sur ma cuisse, je l'empoigne (mes doigts n'en font pas le tour...) et je commence à le masturber. Aussitôt, je vois les mouvements d'épaule de ma voisine s'accentuer. Je peux imaginer les pensées que la vue de cet énorme sexe suscite en elle.

 

Gabriel interroge:

- tu veux qu'on l'invite?

- non non non. C'est pour moi que tu es là, non? Qu'elle profite du spectacle et qu'elle se finisse toute seule.

- Comme tu veux.

Nous poursuivons notre manège un instant, puis Gabriel me suggère:

changeons de position.

Il s'écarte de moi, je me redresse et je descends de la table. Je ne sais pas à quoi il pense, mais une fois les pieds au sol, je m'accroupis devant lui, je saisis de nouveau sa queue, je prends son gland dans la bouche et tout en le masturbant, je commence à le sucer. Il pose ses mains sur ma tête. Tant bien que mal, tout en le suçant, j'essaie de voir si la voisine nous regarde toujours. Gabriel a compris et me rassure:

ne t'inquiète pas, ça a l'air de lui plaire aussi.

 

Après quelques minutes de ce manège, Gabriel se penche vers moi, passe ses mains sous mes aisselles, et me force à me relever:

- je vais te prendre autrement.

 

Il me retourne, me penche en avant sur la table et m'introduit sa queue encore une fois. Comme avait fait Thomas. Décidément, tous les mecs semblent avoir les mêmes idées, et c'est tant mieux parce que ça me plaît beaucoup de me faire prendre comme ça. Je m'appuie des avant-bras sur la table, Gabriel m'empoigne par les hanches et entreprend un long va et vient entre mes fesses. Il sort de mon cul, y revient, s'y réintroduit lentement. Je sens que, comme Thomas, il jouit du spectacle de sa bite qui me force et me dilate doucement la rondelle. Je jette un coup d'œil à la voisine. Elle est toujours là, et à je ne sais quoi dans son regard, je suis convaincu qu'elle m'envie. Alors, sans la quitter du regard, je pose ma joue sur la table, je glisse mes mains vers mes fesses, je les empoigne et je les écarte. En faisant cela, non seulement en m'ouvrant plus largement à sa pénétration, j'invite Gabriel à user pleinement de moi, à me posséder, mais j'envoie aussi un message muet à ma voisine: « regarde, je m'offre, je m'abandonne totalement au black qui est en train de me baiser  ». Mon geste a un effet immédiat sur nous trois. Je sens les mains de Gabriel m'empoigner plus fermement les hanches et sa pénétration se faire plus vigoureuse. Je vois les yeux de ma voisine s'arrondir et après une brève hésitation sa masturbation reprendre de plus belle. Et mon propre plaisir monte d'un cran, à la fois physiquement et cérébralement. J'ai un réel plaisir anal à me faire sodomiser par une telle queue, et je jouis de le faire sous le regard de cette voyeuse, non pas inconnue, anonyme, mais ma plus proche voisine, avec laquelle je n'entretiens habituellement que des rapports distants.

 

Ces réflexions me font changer d'avis. Je lâche mes fesses, je me redresse et me tournant vers ma voisine:

Venez. Rejoignez-nous, vous verrez mieux. Faites le tour, la porte est ouverte...

Elle est surprise et doit se demander si je ne fous pas d'elle. Gabriel a ralenti son va et vient. Il attend de voir ce qui va se passer. Comme elle ne répond pas et hésite visiblement sur la conduite à tenir, j'insiste:

Allez, venez. Sincèrement, ça me plaît que vous assistiez à ça. Vous n'aurez pas à participer. Simplement vous asseoir et regarder ... et vous faire du bien aussi ...

 

Elle a baissé la tête et appuyé son front sur son bras. Puis elle secoue la tête, comme pour dire non.

Franchement, au point où on en est, tous les trois, c'est un peu ridicule de rester perchée sur votre échelle, non? Et puis je vous assure, vous ne courez aucun risque...

Elle se redresse. Elle est toute rouge. Ses deux mains sont maintenant sur le mur. J'ai interrompu sa masturbation. 

- Non. Je ne viens pas ... merci. Mais vous pouvez continuer ...

- C'est dommage. Ça vous plaisait de nous regarder, non?

- ...

- Vous étiez en train de vous masturber. Je me trompe?

Elle appuie de nouveau son front sur son avant-bras. Après quelques secondes, elle se redresse et nous sourit. Je l'interroge:

- Alors ?

- Alors c'est non, je ne viens pas. C'est mieux comme ça. Mais, continuez...

- Comme vous voulez. Mais vous restez, hein. Vous aussi, vous continuez ...

Elle hoche la tête, comme pour acquiescer.

 

Pendant cet échange, Gabriel a continué à aller et venir lentement en moi. Pas du tout démotivé, au contraire. J'ai l'impression que la situation l'intéressait. Il reprend un peu plus rapidement et vigoureusement. Après quelques minutes, il sort de moi et me dit:

- Attends un instant. Tu voudras jouir avant moi ou après moi?

Sans une hésitation:

Après.

- Et tu veux que j'éjacule où ? Sur toi, dans toi ou ailleurs ? Il y en a qui veulent voir.

- Dedans, je préfère …

- Où ? Dans ton cul ou dans ta bouche ?

- Dans mon cul.

- Alors, viens …

 

Et il m'entraîne sur la pelouse.

- Mets-toi à quatre pattes. Je vais te prendre en levrette.

Je jette un coup d'œil vers le mur. La voisine est toujours là. Je m'agenouille. Gabriel fait pareil, derrière moi et me reprend. Il m'empoigne les hanches et commence à aller et venir. J'aime décidément beaucoup ça. Je me concentre sur ce qu'il me fait. Je m'appuie la tête sur les avant-bras, le cul en l'air. Je sens sa queue rentrer et sortir, coulisser dans mon anus. Après un moment, il me demande:

- Tu es prêt ? Pour moi, c'est quand tu veux.

- Je suis prêt.

Il plaque son ventre contre moi, m'enfonce son pieu aussi loin qu'il peut et s'immobilise, le souffle coupé. Et brutalement, je sens les soubresauts de sa queue dans mon cul. Il se met à gémir, les mains crispées sur mes hanches. Il éjacule en moi. Et ça dure très longtemps. Il halète. Je ne sens pas son sperme gicler en moi, mais je l'imagine qui m'inonde les entrailles. Sa queue s'apaise enfin, mais il reste plaqué contre moi. Je ne sens pas son sperme, mais j'ai la sensation que mon étui est maintenant plus lubrifié qu'avant son orgasme. Enfin, il se retire et s'écroule sur le dos à côté de moi. Je me redresse un peu et je jette un coup d'œil vers son bas ventre. Sa queue est moins raide, mais, comme ça, en semi érection, elle reste impressionnante. Elle est toute luisante de son sperme et de mon fluide anal. Je reste un moment comme ça, le cul en l'air. Je glisse la main entre mes cuisses et je sens sur mes doigts sa semence qui commence à s'écouler de mon cul. Je m'allonge aussi sur le gazon, perpendiculairement à lui, la tête posée sur son ventre. Je saisis sa bite encore un peu plus molle et j'entreprends de la nettoyer. Le gland dans ma bouche, je presse sa verge du bas vers le haut pour en extraire ce qui reste de crème dans son urètre. Ça a un goût de sperme, de gel lubrifiant, de fluide anal et de vanille. Tout en le suçant, je jette un coup d'œil vers le mur. La voisine n'est plus là. J'espère qu'elle a vu le final. M'adressant à Gabriel:

- Tu sais que je pourrais devenir accro à ça …

- A quoi, à la bite ?

- Non, à TA bite …

Il rit.

Essaie d'éviter … Soit tu serais déçu, soit elle te coûterait une fortune …

- Comment ça?

- J'ai pris mon pied avec toi et j'ai bien aimé te baiser, mais ça reste des relations … disons … professionnelles. Et si tu veux recommencer un de ces jours, ça sera des relations professionnelles et tarifées.

- Pourquoi pas ? Si le tarif est à la portée de mes moyens.

- Alors, oui, pourquoi pas … 

 

Donc, si un jour j'ai envie de recommencer, il suffira que je le paie. J'avais vu cette séance comme une chance vraiment unique, mais finalement je pourrai renouveler l'expérience.

- Tu ne fais que ça, baiser pour de l'argent ?

 

Ma question paraît l'agacer. Il me repousse et:

- Tu as un ordi ?

- Oui, suis moi.

 

Nous voilà sur le canapé du séjour, devant l'ordi posé sur la table basse. Un fois l'ordi en route, il pianote un instant et nous nous retrouvons sur un site  intitulé "ANACONDAS PRODUCTIONS". Tout un programme!

 

- C'est mon site. En fait, je produis et je réalise des films. Comme tu vas voir, c'est du hard.  

 

Pendant qu'il parle et manipule le clavier, j'ai saisi sa queue et je la caresse doucement. Autant en profiter le plus possible. Il me jette un coup d'œil amusé, et me laisse faire.

- Tu m'écoutes ?

- Je ne fais que ça …

- Nous faisons surtout du gonzo. Tu connais?

- Oui.

- Avec moi, il y a une équipe d'acteurs dont certains sont mes associés, et nous touchons un peu à tous les genres, hétéro, homo, bondage, SM, etc. Mais nous sommes aussi acteurs et techniciens. Nous maîtrisons le processus de A à Z. Je te montre? 

- Vas-y.

 

Il pianote et il fait défiler des extraits de films porno de toute sorte. Je remarque tout de suite que les acteurs mâles sont en majorité noirs. Dans plusieurs extraits, je reconnais Gabriel en train de baiser des bimbos. Le voir donner du plaisir à ces filles, après qu'il m'ait baisé et en ayant son énorme queue dans la main, ranime mes envies.

 

Je me penche vers son sexe. Gabriel est un peu incliné en avant, et en sentant mon mouvement, il s'adosse au canapé pour me laisser approcher la bouche de sa queue. Elle est de nouveau toute raide et un peu de fluide perle déjà au bout de son gland. Visionner ses propres vidéos paraît l'exciter. A moins que ce soit mes caresses… Je le lèche, puis je prends son pénis entre les lèvres, ma main sous ses couilles. Il renverse la tête en arrière. Sa queue dans la bouche, je le masturbe de ma main libre. Visiblement, il aime ce que je lui fais. Au bout d'un moment, il me repousse, s'allonge de côté sur le canapé et m'incite à faire comme lui, tête-bêche. Je le reprends dans bouche pendant qu'il happe ma propre queue. Mais le canapé est étroit, et compte tenu de la longueur de son organe, je suis à deux doigts de tomber. Il le sent, et, soudain, il me saisit par les hanches et, dans un même mouvement, se met sur le dos, me soulève et me place au-dessus de lui. J'ai ma bite juste au-dessus de sa bouche, et je ne suis appuyé sur le canapé que par les genoux, de part et d'autre de sa tête. Il me maintient le bassin en l'air, à la bonne hauteur pour pouvoir me sucer. J'ai le torse appuyé sur son abdomen, la tête au-dessus de son membre. Je peux le sucer, lui lécher le gland, la verge, les couilles. Tailler une pipe tout en se faisant sucer, c'est vraiment une volupté. Et ça lui fait autant d'effet qu'à moi. Je soulève mon bassin pour retirer mon sexe de sa bouche. Il laisse faire.

 

Il est maintenant uniquement concentré sur ce que je luis fais, et rapidement, je sens que ça va être le moment pour lui. Il va éjaculer une deuxième fois ! Sa respiration s'accélère et je sens son gland se dilater dans ma bouche et sa verge s'agiter de spasmes. Brutalement, sous mes doigts, je sens son urètre gonfler au passage du sperme, et aussitôt, un flot de semence se répand dans ma bouche. Une longue giclée toute chaude. Puis une deuxième, une troisième, une quatrième ... Ça n'en finit pas. Pourtant, il a déjà éjaculé tout à l'heure … Cette liqueur m'envahit la bouche et commence à me couler dans la gorge. Ou je la recrache, ou je l'avale. Je guide cette crème sur et sous ma langue. C'est chaud … c'est un peu salé, il y a quelques grumeaux caoutchouteux, mais, finalement, c'est bon … et, surtout, ça m'excite d'avoir tout ce sperme dans la bouche. Je le déguste encore un peu, puis je l'avale.

 

Le flot de sperme se tarit et j'en recueille les dernières gouttes et pressant sa verge depuis les couilles jusqu'au gland. Je sens sa queue se dégonfler et je trouve très agréable de l'avoir comme ça, un peu molle dans la bouche. Je lui caresse les couilles. 

 

- Et toi, je te finis comment ?

- En me suçant, si tu veux bien …

- Pas de problème, j'aime ça.

Il me repousse et m'assoit sur le canapé. Puis il s'agenouille devant moi, et commence à me sucer. En même temps, il me replie une jambe et me triture la rondelle, y rentre un doigt, un deuxième, un troisième … J'ai envie de le sucer aussi et je le lui dis. Il s'allonge à côté de moi et je prends sa bite entre mes lèvres. La pipe qu'il me taille, sa queue dans ma bouche et ses doigts dans mon cul … je ne résiste pas longtemps. Il m'a senti venir, et il garde ma queue dans la bouche. Lui aussi avale mon sperme. Et nous restons allongés l'un contre l'autre. Il finit par se redresser et s'asseoir.

 

- Si ça te dit, tu pourras venir nous voir au studio quand on tourne. C'est à Paris, dans le 18°.

- C'est possible?

- Pas de problème. Tu appelles avant. On ne tourne pas tous les jours.

- Ça m'intéresse. 

 

Il se lève, récupère ses vêtements éparpillés dans la pièce et se rhabille. Je me lève à mon tour. Je suis un peu gêné, ne sachant quelle contenance adopter. Il s'en rend compte, s'approche et me tend la main. Et tandis que je la saisis, de son autre main, il prend mon sexe et le caresse délicatement.

- Allez, salut.

 

Il tourne les talons et sort.

Je retourne vers le canapé, encore ébahi de ce qui vient de m'arriver. En m'asseyant, je m'aperçois qu'il a oublié son string jaune sous la table basse. Je me penche et je le ramasse. Il est taillé dans une matière extrêmement souple et sensuelle et il a gardé l'odeur de vanille de Gabriel. Ce morceau de tissu, en fait pas si minuscule que cela, a contenu et moulé son énorme paquet. Je le porte à mon visage et, après l'avoir longuement humé, je le prends dans la bouche et je le suce, comme pour retrouver le goût de sa queue.

 

Deux jours plus tard, je croise ma voisine devant chez elle. J'attendais ce moment inévitable sans aucune appréhension: je sais maintenant sur elle quelque chose qu'elle doit considérer comme aussi honteux que ce qu'elle sait sur moi. Je suis sûr qu'elle restera discrète, de peur que je parle  mon tour à son mari ou à sa fille.

Elle commence par prendre un air gêné, baisse le nez, essaie de m'éviter. 

- Bonjour !

Elle est bien obligée de me regarder, de me répondre:

- Bonjour !

A vrai dire, je ne sais pas trop quoi lui raconter, mais je ne peux pas faire comme si de rien n'était, et puis la situation me plaît bien. J'improvise:

- J'espère que mon ami black ne vous a pas fait peur, l'autre jour en sonnant chez vous ...

- Ah, non, non, non ... Il a été très ... courtois.

- Il est impressionnant, non?

- Oui, c'est un colosse ...

- A tous points de vue ...

- Oui en effet.

A son petit sourire, je comprends qu'elle a saisi le sous-entendu. Puisqu'elle se détend et que j'ai envie de savoir, j'insiste:

- On vous a choquée?

Ma question la surprend. Elle hésite.

- Je ne peux pas vraiment dire ça. C'était ... disons ... inattendu ...

- Inattendu ?

- Oui, de votre part.

- Ah! Vous aussi, vous m'avez surpris. 

Elle pique un fard mais ne commente pas.

- Et à part la surprise, ça vous a inspiré quoi?

Elle toussotte. Elle est gênée. Je poursuis:

- J'ai eu l'impression que ça vous plaisait. 

- ...

- Vous avez pris du plaisir?

Elle prend un air courroucé:

- Mais enfin ...

- Hé, dites, vous pouvez au moins me dire ça, moi je ne vous ai pas caché grand chose, non?

Bizarrement, ma remarque paraît porter. Elle ouvre des yeux ronds et après une courte hésitation, dans un murmure:

- Oui.

- Vous avez pris du plaisir?

- Oui

- Ben voilà. N'empêche, vous auriez dû venir. Au point où vous en étiez, perchée sur votre échelle, vous auriez été mieux à côté de nous et confortablement assise dans un fauteuil. Et je vous assure qu'on ne vous aurait pas touchée...

Une pointe d'ironie dans l'œil, elle me répond:

- Ça, je n'en doute pas.

- Alors, vous voyez ...

- Une autre fois, peut-être ...

Elle me sidère.

- Je ne pense pas qu'il y aura une autre occasion comme celle-là.

Dommage.

- Ah oui, dommage. Bonne journée.

- Oui, bonne journée.

Elle pique de nouveau un fard et rentre chez elle.

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 18 avril 2013 4 18 /04 /Avr /2013 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


Pour lire ou relire le début de ce récit, cliquer sur "Premières fois. Laurent 01".

Lundi 17 juillet.

Après mûre réflexion, je décide de prendre contact avec mon paysan dont j'ignore le nom. J'ai sélectionné une photo au rouleau de foin à lui expédier sur son portable, j'en ai découpé une partie, de façon qu'un non initié qui la trouverait ne puisse pas comprendre ce qu'elle représente. Lui comprendra. Je pourrais lui expédier ça de mon ordinateur, mais, par prudence, je le fais depuis un cyber-café en ville.

 

Mercredi 19 juillet.

J'ai laissé passer deux jours et je l'appelle d'une cabine:

- Bonjour. Alors, les foins sont rentrés ?

Silence. Il a dû reconnaître ma voix, sinon, il demanderait qui l'appelle.

- Euh, oui … mais … qui …

- J'ai des photos pour toi.

- Des photos ?

A mon avis, il fait semblant de ne pas comprendre.

- Des photos, justement, de meule de foin. Ça ne te dit rien ?

- Ah, si …

- Il faudrait qu'on se voie, non ?

- Euh, oui …

- Tu as bien reçu la première photo ?

- Oui, mais on ne voit rien.

- C'est volontaire, j'ignorais qui pouvait tomber sur cette photo dans ton portable. Tu n'as pas reconnu ?

- Si, si, un peu … mais …

Il parle tout bas, il ne doit pas être seul.

- Je te dérange … je peux te rappeler plus tard …

- Non, non … je ne pouvais pas parler. Voilà, je me suis éloigné, je peux parler maintenant.

- Bon, tu veux qu'on se voie ?

- Oui. A vrai dire, je pensais que tu ne me rappellerais pas.

- Ben, tu vois, quand je dis quelque chose, je le fais. Tu veux qu'on se voie quand ?

- On peut se voir dans quatre ou cinq jours. Je serai … tranquille à ce moment-là.

- OK. Où on se retrouve ?

- Chez moi.

 

Là, il m'étonne. Mais, bon, il a dû réfléchir à la question.

- Dis-moi où c'est, chez toi, et dis-moi quel jour, que je note dans mon agenda …

On ne sait jamais … J'ignore ses intentions, il vaut mieux prendre des précautions.

- Viens mardi, si tu peux.

- OK, mardi. Les photos, tu les veux sur papier ou en numérique ?

- Tu vas vraiment me les donner ? J'avais cru que tu disais ça pour que je te laisse, l'autre jour …

- Non, j'ai dit ça parce que je comptais le faire. Alors, papier ou numérique ?

- J'ai un ordinateur. En numérique, ça ira.

- Bon, très bien. A part ça, ça va ?

Il marque un silence.

- Depuis l'autre jour, je … je pense … je ne pense qu'à ça.

- C'est-à-dire ? Tu culpabilises ?

- Non, mais je repense à tes photos sans arrêt, et …

- Et ?

- Et bien, ton …

- Mon cul ?

- Voilà. En fait, j'ai culpabilisé, au début. Mais, maintenant, ça dépend des jours. J'ai envie de revoir tes photos et … ton … ton cul.

Il a prononcé les derniers mots tout bas.

- Bon, tu vas les revoir.

- Tu mettras ton … tu porteras ton … machin, là ?

- Mon porte-jarretelles ? Oui, oui. Tu as fait un test ?

- Oui … deux jours après. C'est négatif, mais j'en étais sûr.

- Moi j'en étais pas sûr.

- Oui, j'ai compris, maintenant.

- Bon très bien. A mardi.

 

 

Mardi 25 juillet

C'est une grande ferme: immenses hangars, trois énormes tracteurs, deux moissonneuses-batteuses presque neuves, plein de machines, et dans un coin … une montagne de rouleaux de foin … La maison est ancienne, mais le ravalement "à pierres vues" est récent, des fleurs partout, aux fenêtres, dans des massifs … Quand je rentre sur la cour, il apparaît sur le pas de sa porte et me fait signe d'aller me garer au pignon de la maison où il me rejoint.

- Là tu seras à l'ombre.

J'ai plutôt l'impression qu'il ne veut pas qu'on voie ma voiture de la rue. Pourtant la ferme est isolée, au bout d'un chemin en impasse.

- Ça va ?

- Oui.

Il a l'air gêné.

- Entrons.

 

Je le suis. L'intérieur de la maison est à l'image de l'extérieur: on sent qu'il y a de l'argent, mais sans ostentation. Il se tourne vers moi:

- Ecoute, je ne sais pas trop … Je ne sais plus très bien où j'en suis. L'autre jour, dans le champ, je me suis conduit … comme un con.

- Tu regrettes ce qu'on a fait ?

- Non, c'est pas ça. C'est parce que je … j'ai abusé de la situation. J'étais pas bien ce jour-là et je ne sais pas ce qui m'a pris.

- Il t'a pris que tu en as eu envie. En soi, ça n'a rien de criminel. C'est vrai que pendant un moment, je me suis demandé ce que tu allais me faire, comment tu allais réagir.

- Bon, et puis ce qu'on a fait, c'est pas … je ne l'avais jamais fait et je ne sais pas si …

- … si tu as envie de recommencer. Tu as peur d'être devenu un pédé.

 

J'insiste sur le mot.

- Depuis l'autre jour, je n'arrête pas d'y penser. Je n'en dors plus. Parfois, ça me dégoûte, parfois je me dis que ce n'est pas grave, que ce n'est pas un crime. Et, chaque fois, je repense à … tes photos … et à toi … et ça me redonne … envie.

- Il faudra peut-être un moment avant d'accepter ce que tu as fait, avant d'accepter ce penchant contraire à ton éducation. Moi, il m'a fallu du temps, et maintenant, j'assume, je profite sans complexe. Bien sûr, je ne le crie pas sur les toits, ça reste personnel, secret, même, vis-à-vis de mes proches et de tous ceux que ça pourrait choquer. En fait, je ne suis pas passé d'hétérosexuel à homosexuel: je suis bisexuel avec un goût marqué pour le travestissement et le fétichisme vestimentaire. La morale ordinaire réprouve ça, mais je m'en fous. Du moment que je ne nuis à personne …

- Tu as peut-être raison. Mais quand je pense à ça, je me dis que ce n'est pas viril.

- Viril ? Tu veux rire ? C'est quoi la virilité pour toi ? C'est n'aimer que les femmes, peut-être les traiter comme des putes ? C'est avoir l'air costaud, sûr de soi ? C'est boire du pastis et de la bière ? Ne jamais pleurer ? Péter, roter ? Non, faut pas me parler de virilité … Tu sais, dans le milieu homo, il y en a qui aiment les cuirs, les bottes, les crânes rasés et le baston. Et je peux t'assurer qu'ils ont vraiment l'air viril.

- Ah oui, je vois ce que tu veux dire. Bon, tu bois quelque chose ? Une bière, ou autre chose ...

- Ce que tu as. Sinon, de l'eau. Tu veux voir les photos ? Au fait, je ne sais même pas comment tu t'appelles.

- Laurent.

 

Je lui tends le CD Rom. Un ordinateur portable est allumé sur une table basse du salon. Il me fait signe de m'asseoir sur le canapé et s'installe à côté de moi. Il  introduit le CD Rom dans l'ordinateur et la première photo apparaît. C'est une des dernières de l'autre jour, dans le champ de foin. Apparemment, c'est un choc pour lui. Positif. Il en reste bouche bée. Il l'avait déjà entrevue sur mon appareil photos, et il avait déjà trouvé ça sexy, mais là, sur l'écran de son portable, c'est bien plus spectaculaire. Il paraît fasciné.

- C'est exactement comme dans mon souvenir … C'est même mieux.

Les images défilent. Celles de son champ de foin, puis celles de la rando qui a précédé. Au bout d'un moment, il remarque:

- Tu as flouté ton visage …

- Hé oui. Comme je n'aurai plus la maîtrise de ces photos, j'ai fait en sorte de ne pas être reconnaissable.

- Je ne les montrerai à personne …

Je ris:

- On dit ça … Et j'ai trié: j'ai supprimé celles qui ne me paraissaient pas assez … sexy. Mais j'en ai ajouté d'autres, un peu plus anciennes.

- Ah oui, celles-là je ne les avais pas vues sur ton appareil.

- Là, tu vois, je suis vraiment travesti: porte-jarretelles, corsage ET mini-jupe.

- J'aime bien aussi.

 

Et on arrive à des photos un peu plus hard, où, dans cette tenue, j'ai un godemiché à la main. Je lui fais signe  d'arrêter:

- Ce qui suit est plus hard, vraiment plus hard. Tu vois ce que j'ai dans la main, sur cette photo ? Dans les photos qui suivent, je m'en sers. Tu te sens prêt à voir plus … porno ? Sinon, on peut arrêter là.

Il hésite l'espace d'une seconde.

- Non, on continue …

 

Je le sens un peu … troublé. Et les photos pornos commencent à défiler sur l'écran. Le godemiché approche de mon cul. Il est contre mon anus. Il y pénètre. Gros plan du godemiché à moitié rentré dans mon cul. Gros plan du godemiché entièrement rentré dans mon cul. Seuls les testicules de silicone dépassent. Il sort de sa contemplation:

- Alors, tu aimes faire ça ?

- Si je n'aimais pas, je ne le ferais pas.

Soudain, l'écran passe d'une photo posée à une scène animée. C'est la suite des images précédentes: je me donne du plaisir avec le godemiché. A la façon dont il regarde cette scène, à sa position sur le canapé, je devine qu'il est excité. Il est un peu penché en avant vers l'écran, et je sens qu'il est physiquement gêné. J'imagine qu'il commence à bander et que sa position empêche sa queue de s'épanouir. Je vais tenter de l'aider. On verra comment il réagit. Je quitte l'écran des yeux, je me tourne vers lui et je lui pose la main sur la hanche. Il sursaute à mon contact et, instinctivement, me prend la main, comme pour la repousser. Je résiste et je lui souris:

- Laisse-moi faire …

Il hésite une seconde et lâche ma main. Je le pousse contre le dossier du canapé. Je repose ma main sur lui, sur son ventre, cette fois. Dans le pantalon, je sens sa queue en érection. Je la caresse à travers le tissu. Il reste tendu.

- Tu m'arrêtes quand tu veux, je ne me vexerai pas et je n'insisterai pas.

Il ne répond pas et continue de regarder les scènes hard que j'ai soigneusement sélectionnées. Je glisse la main dans la ceinture de son pantalon et, du bout des doigts, je touche l'extrémité de son sexe à travers le caleçon. La position n'est confortable ni pour lui, ni pour moi. Je commence à déboutonner son pantalon et je le regarde, guettant sa réaction. Il reste immobile, comme mortifié, mais il ne me repousse pas. Je finis de le déboutonner et j'écarte son caleçon. Pas de doute, il bande. Sa queue commence même à baver un peu.

- Je continue ?

- Hhmm!

C'était un souffle, et je prends ça pour un acquiescement. Je passe doucement le bout de mes doigts le long de sa verge. Je sens qu'elle réagit: elle se redresse un peu. Je  saisis sa queue et je commence à le masturber. Finalement, sa bite est mieux que le souvenir que j'en avais. Elle est un peu plus grande que la mienne, sa peau est brune. Bronzée ? L'air de la campagne, sans doute. Le gland est bien, aussi: un peu aplati, un peu retroussé, comme j'aime. Un vraie tête chercheuse, faite pour pénétrer, explorer. S'il n'y avait pas ces satanés poils ! Je réalise qu'il ne regarde plus l'écran. Il est affalé contre le dossier, les yeux fermés, la bouche entrouverte. Je continue mon lent va-et-vient un bon moment. Il a l'air d'apprécier. Plus je le masturbe, plus je me dis que je le sucerais bien. Au risque de rompre le charme de l'instant, je lui demande:

- Je peux voir ton test ?

Il ouvre les yeux, se redresse et sort un papier de la poche de poitrine de sa chemise. il me le tend, et, avec un sourire:

- Je peux voir le tien ?

Le mien est dans ma poche de pantalon. Je le lui donne. Tous les deux négatifs. Ouf !

Je reprends sa queue, qui n'a pas débandé, et je recommence à le masturber. Il s'appuie de nouveau au dossier et ferme les yeux. Je n'y tiens plus. Je m'agenouille à côté de lui et entreprends de lui ôter son pantalon et son caleçon. Il m'aide en soulevant le bassin. Les vêtements sur ses pieds, je lui caresse les cuisses, les testicules, puis je me penche sur lui et je prends sa queue dans la bouche. Ça lui fait ouvrir les yeux. Il me regarde, étonné. Je sors son sexe de ma bouche et:

- C'est ce que tu voulais, la première fois qu'on s'est vus, non ?

- Oui … mais c'est mieux comme ça se passe maintenant.

- Je suis bien d'accord.

Je reprends ma fellation. Mais, au bout d'un moment:

- C'est dommage qu'il y ait tous ces poils. Tu devrais enlever tout ça …

- Ho, non ! Je ne me vois pas me raser, ou m'épiler.

- Pourquoi ? C'est beaucoup plus agréable, tu sais. Pour toi, d'abord, ça augmente les sensations, mais aussi pour celui, ou celle, qui … que tu …

- Ben oui, mais …

- Essaye une fois. si ça ne te plaît pas, tu laisses repousser. Tu as peur que ta femme s'étonne ?

- Ma femme ! Ça doit bien faire deux ans que je ne la touche plus. On fait même chambre à part, maintenant. Elle ne verrait même pas si je suis rasé …

- Alors, justement, il n'y aurait que toi à le savoir.

- Mais j'ai jamais fait ça. Ça doit faire mal.

- Pas du tout. Pas plus que la barbe. Je te le fais, si tu veux. J'ai l'habitude.

- Bon, d'accord.

- Salle de bain ?

- Par là.

Il se déchausse, finit d'ôter son pantalon et son caleçon et me précède à l'étage. Le cul à l'air, il a perdu toute pudeur.

 

- Assieds-toi. Enlève ta chemise.

Le voilà complètement à poil, assis sur le bord de la baignoire.

- Ciseaux, rasoir, mousse à raser ?

Il me les montre. Je prends un gant de toilette, le mouille au robinet, le savonne et j'entreprends de lui laver la queue, verge et couilles, puis je le rince. J'explique:

- C'est comme pour la barbe: on savonne pour assouplir la peau, on mouille pour gonfler le poil, ça rase de plus près.

Agenouillé devant lui, je commence par dégrossir sa touffe de poils aux ciseaux. Il a un peu débandé.

- Tu as peur, hein ? Un coup de ciseaux mal placé, et …

Ça le fait rire. Une fois le plus gros des poils enlevé, je prends une noix de gel à raser et commence à lui étaler sur la verge et les bourses. Ça lui fait de l'effet: il bande.

- C'est bien. C'est plus facile si tu bandes.

Je saisis le rasoir, et je commence à lui passer sur le pénis. Ça lui fait vraiment de l'effet: il bande de plus en plus fort. Il rejette même la tête en arrière et commence à gémir doucement.

- Hhhhmmm ! C'est bien !

- Tu vois, déjà, rien que ça, c'est un plaisir.

- Et toi, quel plaisir tu trouves à … ?

- A quoi ?

- Ben, à tripoter un garçon … à me masturber, à me sucer. C'est contre nature, non ?

- Sans doute. Mais c'est aussi contre nature qu'une femme suce un homme ou qu'un homme lèche une femme. Ce qui est naturel, c'est qu'un homme introduise son sexe dans le sexe d'une femme pour lui faire un enfant. Point barre. Tout le reste est contre nature. Heureusement que le genre humain ne s'arrête pas à ça. Le plaisir que j'y trouve, c'est pas facile à décrire. J'aime la consistance d'un sexe masculin, dans ma main et dans ma bouche. C'est caoutchouteux, c'est chaud, c'est vivant … J'ai aussi du plaisir à lui faire du bien, à lui donner du plaisir, de toutes les manières possibles. Je trouve ça excitant. Le caresser, le masturber, le sucer, ça me fait du bien aussi à moi.

 

Tandis que je lui rase quelques centimètres des poils du ventre, il interroge encore:

- Mais ça t'es venu comment ?

- En regardant des vidéos pornos. Au début, je me mettais dans la peau des mecs qui baisent des bimbos. Et puis un jour, je me suis surpris à essayer d'imaginer ce quelles ressentent à se faire mettre une bite dans la bouche ou ailleurs. Je me suis dit que ça devait être bien et ça m'a fait envie. A partir de ce moment-là, j'ai commencé à regarder les vidéos en me mettant dans la peau des filles. Et je me suis mis à avoir envie de … bites …

 

Maintenant, j'ai ses couilles dans la main, je tends la peau et je les rase à leur tour. Puis je lui rase le périnée.

- Voilà, c'est fini.

Je finis de lui étaler le reste de mousse en lui massant queue, couilles et périnée. Il bande vraiment très fort, les yeux à demi fermés, la tête un peu en arrière. Sa queue maintenant toute glabre, juste à hauteur de mes yeux, me fait très envie. Je prends son gland entre les lèvres et je le frictionne de la langue. Surpris, il se redresse un peu et je sens qu'il pose ses deux mains sur ma tête. J'ai une folle envie de le sucer à fond et de le faire éjaculer dans ma bouche. Mais ce serait trop rapide. A regret, je le laisse et je me relève.

- Un petit coup d'eau pour éliminer les petits poils qui traînent, et ce sera parfait.

Visiblement désapointé, il regarde le résultat, sourit, s'empoigne la queue, se masturbe deux ou trois fois, puis:

- C'est vrai que c'est agréable …

- Si je te le dis. Allez rince-toi.

Il obtempère, se sèche et me regarde, interrogateur:

- Et maintenant ?

- Maintenant à moi.

- Tu vas te raser ?

- Non, moi, c'est déjà fait. Mais j'ai besoin de me préparer.

Naïvement, il s'étonne:

- De te préparer à quoi ?

- De me préparer à ce qui va suivre. Tu veux qu'on fasse ce qu'on n'a pas fait l'autre jour, non ?

- Ben, oui, mais tu prépares quoi ?

- Mon cul, puisque tu veux tout savoir. Si tu veux vraiment faire ce qu'on a pas fait l'autre jour, je ne peux pas le faire comme ça. Question de … propreté, disons. Tu comprends ?

- Non.

- Il faut que je me lave le cul. Dehors ET dedans. Pour être clair, je dois me faire un lavement. Tu vois pourquoi, ou je dois te faire un dessin ?

- Ah ! Compris. Excuse-moi, je n'ai pas l'habitude. Euh, je sors ?

- Comme tu veux. Mais, tu sais ce n'est vraiment pas agréable à regarder.

- OK, je sors.

 

Je me déshabille, et je fais donc comme j'ai dit. Quand j'ai fini, j'enfile mon porte-jarretelles et je sors à mon tour. Il m'attendait dans le couloir. Mais il ne s'attendait visiblement pas que je sorte dans cette tenue. Il en est de nouveau bouche bée. Il finit par articuler:

- Ah, c'est bien, tu y as pensé.

- Evidemment.

Je lui tourne le dos et, une main appuyée en hauteur sur chaque mur du couloir, j'écarte les jambes et je me cambre. Je sais que c'est dans cette position que mon cul, ainsi "habillé", est le plus sexy, le plus appétissant, et c'est comme ça qu'il lui avait fait le plus d'effet sur les photos. Et, en effet, après une seconde d'hésitation, il s'approche, et:

- Je … je peux te … Je peux te toucher?

- Evidemment, je suis ici pour ça. Non?

 

Il ne répond pas, s'approche et me pose les mains sur les hanches. Je sens qu'il hésite à aller plus loin. Je prends ses mains et je les pousse vers mes fesses. Un peu maladroitement, il commence à me caresser. Je me cambre davantage vers lui. Il accentue alors ses caresses, et glisse une main entre mes fesses.  Il est encore timide, hésitant. Je tends alors une main derrière moi, la pose sur ses reins et je l'attire contre mon dos. Plaqué contre moi, je sens qu'il ne sait pas trop quoi faire. Je passe une main entre son ventre et mon cul, je saisis son sexe, je le redresse et je le cale entre mes fesses. Puis je reprends ses mains et je les attire devant moi, contre mon ventre. Cette fois, il devient plus actif. Il m'enserre de ses bras et commence à frotter sa queue dans ma raie. Son torse plaqué contre mon dos, son menton appuyé sur mon épaule, je sens son souffle contre mon cou. Visiblement, il aime ce qu'il me fait.

 

Il reste ainsi un moment à se frotter. Je le laisse jouir de l'instant. Ça m'excite aussi. J'ai hâte de le sucer de nouveau, avec sa queue sans poils, et surtout j'ai hâte qu'il me baise. Alors, je ne voudrais pas qu'il s'excite trop en se frottant comme l'autre fois, jusqu'à m'éjaculer dans le dos:

- On descend ?

 

Il me lâche à regret,  me précède dans l'escalier et retourne s'asseoir sur le canapé, nu comme un ver. Il a perdu toute gêne. Tant mieux. Je le rejoins, m'agenouille sur le canapé à côté de lui, et je me penche sur son ventre. Maintenant, apparemment complètement libéré, désinhibé, il se laisse faire. Tandis que je prends son sexe dans la bouche, il pose une main sur mon dos et me caresse. Sa queue a un peu molli, et ça me plaît de recommencer à la sucer comme ça. J'aime à la fois la sensation de cet organe flaccide dans ma bouche et l'idée que je vais la faire gonfler, durcir entre ma langue et mon palais.

 

En effet, rapidement il se met à bander – un peu trop à mon goût: j'aime beaucoup avoir cette bite un peu flasque dans la bouche. Il appuie sur mon cou la main qui me caressait le dos et, de l'autre, se saisit le paquet sous les couilles et, remontant son bassin vers moi, il m'enfonce sa bite au fond de la gorge. Son souffle change de rythme. Il respire bruyamment par la bouche et son halètement se transforme peu à peu en une sorte de ronronnement.

 

Rapidement, je sens qu'il est à deux doigts de se répandre. Il écarte ma tête de sa bite et:

- Arrête. Ça va trop vite. Attends un instant.

Il me repousse délicatement, se dégage, se lève et grimpe l'escalier quatre à quatre. Je l'entends bouger à l'étage, puis il reparaît avec, dans une main des vêtements, dans l'autre les miens qu'il me tend.

- Habille-toi, on va faire un tour.

 

Rapidement, il enfile une chemise et un short. Je remarque qu'il n'a pas mis de caleçon. J'ai enfilé mon T-shirt et mon pantalon, sauté dans mes chaussures, et je le suis. Nous sortons, traversons la cour jusqu'à un hangar, et il monte dans un pick-up, m'ouvre la portière côté passager. Je grimpe.

- Où on va ?

- Pas loin, un peu plus haut.

 

Et nous voilà partis. En effet, il contourne le hangar et s'engage dans le pré qui est juste derrière.

- On ne sort pas de chez toi?

- Non. On ne sort pas de la propriété.

- Alors ce n'était pas la peine de nous rhabiller …

- Si, pour traverser la cour.

- Ah, oui. Et maintenant, je pourrais me déshabiller?

 

Le coup d'œil qu'il me jette est assez explicite. Il n'attend que ça. Alors, brimbalant dans le pick-up, j'entreprends de me re-déshabiller. Ça le fait rire. Débarrassé de mes vêtements, je glisse vers lui sur mon siège, et, pendant qu'il conduit, je glisse ma main dans la jambière de son short. Il est à moitié en érection. Avec un peu de difficulté, j'extrais son sexe par la jambière et je le garde, comme ça, dans la main, agitée par les cahots du pré. Ça lui fait beaucoup d'effet. Sa queue gonfle à vitesse grand V. Nous arrivons enfin au bout de cet immense pré et nous nous engageons sur un chemin empierré.

- C'est toujours chez toi, ici ?

- Oui, ne t'inquiète pas, c'est un chemin privé. On n'y croisera personne.

- Je ne suis pas inquiet. Ça ne me dérangerait pas qu'on croise quelqu'un …

 

Maintenant qu'il y a moins de cahots, je décide de reprendre la fellation que j'avais entreprise. Je me penche sur lui. Mais son sexe est coincé par la jambière de son short et j'ai la tête coincée entre son ventre et le volant. C'est très inconfortable.

- Tu peux reculer un peu ton siège ?

Il manipule une manette sous son siège et je gagne quelques centimètres. J'entreprends de descendre son short sur ses cuisses. Il m'aide en soulevant un peu son bassin. Finalement, je descends le short jusqu'à ses chevilles, je le passe sous ses pieds, et je reprends sa queue dans la bouche. Une main posée sur ma tête, il pilote lentement. Sucer un mec qui conduit, ça aussi ça m'excite beaucoup. A demi allongé sur les sièges du pick-up, je me masturbe. Cinq minutes plus tard, on ralentit, on s'arrête, et:

- C'est ici. On est arrivés.

 

Je me redresse. On est dans un autre pré, visiblement fauché depuis peu, et, au fond, dans un angle, à l'orée d'un bosquet, un tas de rouleaux de foin. Il faut croire que ça l'avait inspiré autant que moi ! Nous descendons et nous entreprenons de parcourir la trentaine de mètres qui nous sépare du tas de foin. En chemin, tout en marchant, il ôte ses chaussures, enlève sa chemise et abandonne le tout sur place. Et nous voilà, au beau milieu du pré, sous le soleil, lui complètement à poil, moi en porte-jarretelles, qui nous dirigeons vers le tas de foin. Il se rapproche de moi, me pose la main sur les fesses et me glisse un doigt dans la raie jusqu'à mon anus. On dirait qu'il a perdu toute réticence. Nous voilà au pied du tas de foin. Certains rouleaux ont été disposés à plat, les uns à côté des autres au pied du tas. Ils font comme une plate-forme d'un mètre cinquante de haut. Il me pousse contre un de ces rouleaux à plat.

- Appuie-toi contre le tas.

 

Il avait préparé cette mise en scène ? J'obéis. Le rouleau m'arrive au niveau des aisselles. J'y pose mes bras et m'appuie le menton sur mes avant-bras croisés. De la main, il m'incite à écarter les jambes. J'obéis et je le sens qui me glisse de nouveau un  doigt contre l'anus. Il me l'enfonce dedans. Puis un deuxième. Il me semble que c'est l'index et le majeur. Je me cambre. Il me les enfonce à fond et me fouille le rectum. Plusieurs fois, longtemps. C'est très agréable. Enfin, il vient se coller contre moi. Il glisse son membre entre mes fesses, se frotte trois ou quatre fois, puis, la bouche contre mon oreille:

- Maintenant, je vais t'enculer.

Il a parlé tout doucement, comme s'il avait peur que quelqu'un l'entende.

- Attends, juste deux secondes.

Je me crache sur les doigts de la main droite et je me les introduis dans l'anus.

- Maintenant, vas-y. Baise-moi.

 

Je sens le bout de sa queue se presser contre mon anus. Trois ou quatre fois, il frotte son gland contre ma rondelle, il le presse de nouveau à l'entrée, hésite un instant, puis il me pénètre tout doucement. Je suis totalement concentré sur ce qui se passe entre mes fesses. Les yeux fermés, je visualise mentalement sa bite qui se force le passage dans mon rectum. Je sens le contact de sa verge qui glisse lentement dans mon sphincter. Enfin, je sens son ventre contre mes fesses. Il ne pourra pas aller plus loin. Il s'immobilise. Il m'a enserré le torse de ses bras et il a appuyé sa tête contre mon épaule. Il jouit de l'instant. Puis il recule aussi lentement qu'il m'a pénétré. Je sens sa queue qui ressort de moi. Presque complètement. Il laisse seulement son gland dans mon anus. Il s'immobilise encore. Puis il me pénètre de nouveau. Tout aussi doucement. Il gémit. De nouveau, son ventre butte contre mes fesses. Si je l'aide, il pourra aller un peu plus profondément en moi. J'empoigne donc mes fesses et je les écarte. D'un coup de reins, il s'enfonce un peu plus en moi. Il desserre son étreinte autour de mon torse, m'empoigne les hanches et se met à me ramoner plus vigoureusement. Puis il s'arrête brutalement, se plaque contre moi, la queue tout au fond de moi. Il halète:

- Ça va trop vite … c'est trop fort …

- Tu … tu as fini ?

- Non, mais c'est au bord.

 

Nous attendons un moment que l'excitation retombe. Enfin, il sort de moi et:

- On monte sur les rouleaux.

Il grimpe, me tend la main, m'aide à monter.

- Mets-toi sur le dos.

Je m'allonge. Il me replie les jambes sur le ventre et vient se coucher sur moi. Il me pénètre de nouveau. Comme ça, je sens qu'il s'enfonce plus profondément encore. Et je sens ses couilles contre mes fesses. Il m'a empalé, mais il ne bouge pas. Ou plus exactement, il ne me ramone pas, mais je sens sa bite bouger en moi.

- Tu me sens ?

Ah, c'est ça ! Il gonfle et dégonfle sa queue. Pas facile comme exercice.

- Oui, je te sens.

Et, à mon tour, je m'efforce de serrer et desserrer mon sphincter autour de sa queue.

- Et toi, tu me sens ?

- Oh, oui.

La position n'est pas confortable, je fatigue. Il s'agite, bouge le bassin de droite et de gauche pour s'enfoncer profondément en moi.

- Tu aimes ça ?

- Quoi ?

- Te faire baiser …

- Oui, j'aime ça. J'aime me mettre toutes sortes de choses dans le cul, mais, surtout j'aime me faire enculer. Et toi ?

- Moi ?

- Oui, toi. Tu aimes ça, baiser un mec ?

Ça le fait rire, mais il ne répond pas.

-  Le jour où on s'est rencontrés, tu avais pourtant l'air réprobateur, presque homophobe. J'ai même cru un moment que tu allais me foutre une raclée. On dirait que tu as changé de point de vue.

- J'étais surtout en pétard contre moi. Quand je t'ai surpris, ce jour-là, c'était la première fois que je voyais un truc pareil, et j'ai toute de suite eu envie de ton cul dans ton porte-jarretelles. C'était la première fois qu'un truc pareil m'arrivait, et j'avais surtout honte de moi. C'est pour ça que j'étais un peu … agressif.

- Et que tu m'as empêché de me rhabiller, pour continuer à jouir du spectacle, non ?

- Pas du tout. Je ne voulais pas que tu me sautes dessus pour te débiner.

- C'est ça, oui. En fait, tu avais une idée derrière la tête.

- Mais non !

- Mais si ! Puisque tu m'as demandé, ou plutôt ordonné, de te sucer.

Il rit de nouveau.

- Maintenant, prends-moi en levrette.

Il va et vient deux ou trois fois en moi, puis se redresse. Je me retourne et je me mets à quatre pattes, les genoux bien écartés, les reins bien cambrés. Je le sens qui s'approche et il m'introduit un pouce dans l'anus. Je reconnais son pouce parce que je sens ses autres doigts sur ma fesse pendant qu'il me fouille le rectum. Il retire son pouce et m'introduit un autre doigt, je ne sais pas lequel. Puis un deuxième. Puis un troisième. Et il me fouille de nouveau le rectum. Enfin, il retire sa main et je le sens s'approcher. Il m'écarte encore un peu les jambes, s'agenouille derrière moi, me prend par les hanches, et m'introduit sa queue. Il prend son temps. Il doit contempler le spectacle de son membre qui s'enfonce en moi. Doucement. Et qui ressort. Après quelques lents va-et-vient, il accélère le rythme et me ramone plus vigoureusement. J'ai l'impression que je sens sa queue butter au fond de mes entrailles. Il ralentit, accélère. Comme ça plusieurs fois. Je sens qu'il est tout à son plaisir. Ça m'excite beaucoup. Je bande et, une main glissée sous moi, je me masturbe.

 

Il jouit de moi, il jouit du spectacle de mon cul offert, tout à sa disposition. Puis il se met à me pilonner plus fermement. Longuement. Je l'entends haleter. Soudain, il se plaque contre mes fesses, la queue tout au fond de moi, les mains crispées sur mes hanches. Je sens sa queue palpiter dans mon cul. Il éjacule. J'ai l'impression de sentir son sperme se répandre en moi. Ça m'excite tellement que j'éjacule à mon tour.

 

Enfin, il s'écroule sur moi et je m'aplatis sous son poids. Il est toujours en moi et il ronronne littéralement dans mon cou. Nous restons comme ça un moment. Mais il est lourd et le foin commence à me piquer la poitrine, le ventre et les cuisses. Je le repousse et il roule sur le dos. Je me retourne sur le flanc et je lui fais face.

- Ça va ?

- Hhhmmmm !

- C'était comme tu voulais ?

- C'était mieux que ça …

Je prends sa queue un peu molle dans la main.

- Alors, tu ne culpabilises pas ?

- Non.

Et il rit.

Je me redresse un peu puis je pose ma joue sur son ventre, à quelques centimètres de son sexe. Alors que je bouge, je sens son sperme qui s'écoule de mon cul et se répand sur ma fesse. Je lui manipule un peu la bite, je lui tripote les testicules, mais il reste mou. Je finis par prendre son pénis dans la bouche. Tel qu'il est, il y tient tout entier. C'est une sensation très agréable d'avoir ce petit jésus tout frais, un peu humide et un peu flasque entre mon palais et ma langue. Il a un goût de sperme. Ça me fait saliver abondamment. Je le serre entre les lèvres et je remonte vers l'extrémité de son pénis. Je tourne ma langue plusieurs fois autour de son gland, puis, les lèvres toujours serrées, je redescends vers le bas de sa verge. Je recommence ce manège plusieurs fois, et au bout d'un moment, je sens sa queue qui gonfle dans ma bouche. Il gémit, mais il tente de me repousser:

- Arrête, laisse-moi un peu. J'en peux plus …

 

Je change de position et je viens m'agenouiller entre ses jambes. Et je reprends sa queue dans bouche. Il bande de plus en plus fort. Je sens ses veines et son urètre tout gonflés sous ma langue. Son gland est dilaté. Il se redresse, s'appuie sur les coudes et me regarde lui sucer la queue. Le spectacle ajoute à son excitation, parce que sa bite est maintenant vraiment très raide, pleine de sang, les veines prêtes à éclater. A présent, je le masturbe à la fois de la main et de la bouche, tout en lui tenant les couilles de l'autre main. Comme il a déjà éjaculé il y a moins de dix minutes, son orgasme est un peu long à venir. Je commence avoir des crampes dans la mâchoire. Heureusement, je vois soudain ses abdominaux se contracter, sa respiration se bloquer, ses testicules remonter dans ma main et sa verge frémir dans ma bouche. Presque aussitôt, alors que sa queue est prise de violents soubresauts, je sens son urètre gonfler au passage du sperme, puis un jet de semence m'envahit la bouche. C'est chaud, un peu salé, crémeux. Je le déguste un moment, puis je l'avale.

 

Il s'est écroulé sur le dos, haletant. Je garde sa bite encore un peu dans la bouche, puis je viens m'allonger sur lui. Je bande et j'installe ma queue sur lui, entre nos deux ventres. Il a les yeux fermés et il reprend souffle. Au bout de quelques minutes, il demande:

- Et toi ? Tu veux … tu veux aussi … tirer un coup ?

- C'est fait.

- Ah bon, je ne m'en suis pas rendu compte.

- Je m'en doute.

- Et tu veux … recommencer ?

- Pourquoi pas.

- Mais, je ne sais pas … je ne tiens pas …

- Tu ne tiens pas à quoi ? A me sucer ou à te faire enculer ?

- Ben, oui. Ni l'un ni l'autre …

 

Je ris.

- Qu'est-ce qui te fait rire ?

- Toi, tu es bien un mec. C'est ce que nous reprochent les femmes: prendre notre plaisir sans penser à ce que veut l'autre …

- Oui, mais j'ai jamais fait ça …

- Il y a un début à tout. Moi non plus, un moment donné, je n'avais jamais fait ça non plus. Et puis j'ai essayé.

- Oui, mais maintenant, tu as l'habitude.

- Ne crois pas ça. Il n'y a pas si longtemps que j'ai taillé ma première pipe et que je me suis fait sauter. Bon, allez, je te charrie. Faut pas forcer sa nature. Me masturber, ça t'irait ?

Il hoche la tête.

- Alors masturbe-moi.

 

Je m'écarte de lui et je m'assied, adossé au tas de foin. Il se relève, s'agenouille à côté de moi et, un peu gauchement, me prend la queue du bout des doigts.  Il commence à me masturber lentement, sans conviction. Il faut dire que je ne lui facilite pas la chose, je ne bande plus. Je prends sa main, lui écarte les doigts et les resserre fermement autour de ma verge, et j'amorce un va et vient. Le contact de sa main me motive et je recommence à bander. Lui me manipule avec plus de conviction. Je commence à y trouver du plaisir. Au bout d'un moment, il s'installe plus confortablement. Je sens que sa réserve s'atténue. Il paraît même prendre un certain plaisir à ce qu'il me fait. Et brutalement, contre toute attente, il se penche sur moi et prend ma bite dans la bouche.

 

Hhhmmm !!!! Je ne sais pas ce qui m'excite le plus: la fellation proprement dite ou le fait que, sans vraiment le chercher, j'ai fini par avoir raison des hésitations, de la pudeur, de la honte de ce type, jusqu'alors coincé et réticent. Simplement en m'offrant à lui et en lui donnant du plaisir. Alors, évidemment, il n'est pas très expert, mais ça aussi, ça participe à mon bonheur. Peu à peu il s'enhardit et j'ai l'impression qu'il commence même à y prendre aussi du plaisir. L'avantage des fellations entre mecs, c'est qu'ils savent ce qui fait du bien à un sexe masculin, le leur, et qu'ils savent le reproduire sur le sexe de leur partenaire. Lui apprend vite. il finit même par s'y prendre très bien. Quand je sens que j'arrive au bord de l'orgasme, je repousse sa tête de ma queue:

- Attention, je vais jouir …

 

Il se relève tout en continuant à me masturber. Dommage, j'ai espéré un instant qu'il me garderait dans la bouche ...

Et je me répands. Sur sa main qui continue de me manipuler. Quand j'ai fini, il vient s'asseoir à côté de moi, appuyé au tas de foin. Je reprends mon souffle, puis, mimant le geste de lui tendre un micro:

- Alors, quelles sont vos impressions ?

Il rit:

- C'est pas mal … Si j'avais imaginé en arriver là … et trouver ça bien …

- Comme quoi … les idées reçues …

Nous restons comme ça un bon moment, chacun perdu dans ses pensées. Puis il demande:

- On y va ?

- On y va.

 

Et nous regagnons le pick-up. En chemin, il me frotte le dos pour me débarrasser du foin qui y est resté collé. Décidément, ce genre d'attention me surprend de sa part. Je lui fais la même chose. A passage, il récupère ses vêtements et, à mon étonnement, au lieu de se rhabiller, il monte nu dans le pick-up. Je fais comme lui et il démarre. Il sourit. Je l'interroge:

- Pourquoi tu souris ?

- Pour tout ça: pour ce qu'on a fait, pour ce que j'ai fait, parce que je me trouve bien à conduire comme ça, à poil, parce qu'il fait beau, parce que tout ça est nouveau et que ça me plaît.

 

Je me rapproche de lui, je pose ma main sur sa cuisse et je prends son pénis entre l'index et le majeur. Et nous rentrons à la ferme en silence, sa bite entre mes doigts.

Il se gare sous le hangar et il m'étonne encore en regagnant la maison sans se rhabiller. Plus de précautions. Etonnant. Je fais comme lui et je le suis.

Il me fait signe de m'asseoir dans le canapé, prend deux verres dans la cuisine et sort un pack de jus de fruit du frigo. Il s'assied à côté de moi.

- On se reverra ?

- Je ne sais pas. Peut-être. Tu y tiens ?

- Oui, comme ça …

- Ecoute, je n'ai rien contre, mais … je ne voudrais pas que tu t'attaches trop. C'est le hasard qui nous a fait nous rencontrer. Laissons passer du temps. Et maintenant que tu as ... sauté le pas, regarde les hommes que tu connais, autour de toi, avec ce nouveau regard. Tu en trouveras peut-être un qui te plaira mieux qu'une rencontre de hasard. Appelle-moi dans quelques semaines …

 

Nous avons bavardé un moment, puis je me suis rhabillé et je suis parti.

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 2 février 2012 4 02 /02 /Fév /2012 07:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles  avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dimanche 9 juillet. 9 heures.

Je me lève le premier, je me douche et je descend préparer le petit déjeuner. Il arrive peu de temps après, douché et portant un de mes peignoirs. Nous prenons le petit déjeuner au soleil dans le jardin. La légère gêne que j'ai ressenti à son arrivée se dissipe tout de suite devant son naturel. 

- Des regrets ?

- Pas du tout. Je regrette seulement d'avoir attendu si longtemps. Et toi ?

- Je te l'ai dit, c'était très bien… pour un novice. Mieux qu'avec certains mecs expérimentés.

 

Il me pose la main sur le genou, me caresse légèrement la cuisse, remonte jusqu'à mon entrejambes, glisse ses doigts dans la jambière de mon short et me touche le sexe. Il est insatiable ! Mais c'est excitant et je caresse sa main qui me tripote. Au bout d'un moment, il retire sa main, se lève, s'approche de moi et me serre contre lui, avec une certaine tendresse. J'ai la tête contre son ventre. Je glisse ma main sous son peignoir, la remonte entre ses cuisses jusqu'à son entrejambes. Je lui caresse un moment la raie des fesses, puis je dénoue la ceinture du peignoir. Il a un début d'érection. Je l'attire face à moi, mes jambes entre les siennes. Je saisis sa queue, la masturbe deux ou trois fois, et la prends dans ma bouche. Je le tiens par les hanches, et lui, les genoux de part et d'autre de mes cuisses, me tient la tête à deux mains. Il a écarté les pans du peignoir, il se cambre pour mieux m'offrir sa bite à sucer, et rejette sa tête en arrière. Soleil, chaleur et sexe … instant magique.

 

Il se laisse sucer comme ça un long moment. Je sens bien qu'à ce moment, il ne recherche que le plaisir sensuel et que ça ne le conduira pas à l'orgasme. Moi, je me concentre sur la dégustation de cette bite. L'étudiante en psychologie qui, un jour, m'a dit que j'étais un "buccal", avait bien raison. Comment l'avait-elle compris? C'est si agréable de sucer cette queue, que l'eau m'en vient littéralement à la bouche, et que je salive abondamment. Sa forme, sa taille, sa consistance, son goût, sa chaleur, la douceur de sa peau, ses veines et son urètre qui saillent, sa palpitation, le fluide qui s'en écoule légèrement sur ma langue, le sperme que je devine à quelques centimètres de ma gorge … tout contribue aux plaisirs confondus de ma bouche, de ma tête et de ma propre queue. Ça m'excite beaucoup, je bande, et je sens que ma queue bave un peu de fluide contre ma cuisse. Je dois être en train de mouiller mon short. 

 

Il retire doucement sa queue de ma bouche et s'assoit à califourchon sur mes genoux, face à moi. Il soulève mon T-shirt, écarte la ceinture de mon short, y glisse sa main, extrait ma bite un peu baveuse et commence à me masturber doucement. Il me demande:

- A part sucer un mec, tu as d'autres fantasmes ?

- Plein…

- Comme ?

Un réflexe idiot de pudeur me retient un court instant. Bêtement, je biaise:

- Certains que j'ai assouvis, d'autres pas …

Il rit:

- Encore un peu coincé? C'est normal. Moi, j'ai essayé plein de trucs. Par exemple, je rêvais de baiser avec un transexuel, tu sais, ceux qui ressemblent à des filles à gros seins, mais avec une grosse bite. Beau cul, belle gueule, belle poitrine et grosse queue ... J'ai essayé. J'adore.

- J'aimerais sûrement aussi …

- J'aime bien aussi me faire attacher par mon partenaire … ou ma partenaire … et me laisser faire tout ce qu'ils veulent. 

- Ça, non, ça ne me tente pas trop …

- J'ai aussi fait une partouze avec seulement des mecs. Sept, huit, je ne sais plus…

 

Pendant ce temps, il continue de me malaxer la bite. J'ai pris la sienne et je lui fais la même chose.

- Une troupe de mecs, j'aimerais bien, mais il faut être sûr d'eux, que ça ne tourne pas mal.

- Et toi, quelles expériences "hors normes" tu as faites ?

- Ça t'intéresse ?

- Evidemment.

- Alors, attends un instant …

 

Je lui fais signe de se lever et il s'écarte. Je me rajuste et je monte chercher mon ordinateur portable. Quand je redescends, il est assis dans un fauteuil, il a enlevé le peignoir et s'offre nu au soleil. Il paraît étonné de voir ce que je ramène. Etonné et intéressé. Je démarre l'engin et je commence la visite guidée:

- Tu vas voir quelles sont mes fantasmes et mes perversions.

- Tu te prends en photos ?

- Et je me filme. 

Au point où nous en sommes de nos relations, j'ai décidé de ne rien lui cacher. Ni mon fétichisme pour les petites culottes, ni que j'aime porter de la lingerie féminine, ni mon auto-sodomie, ni mon goût pour la branlette, ni que je m'introduis tout ce qui me tombe sous la main … Dès les premières photos, il s'étonne:

- Tu caches bien ton jeu.

- Je ne cache pas, je suis discret. Nuance …

 

 

Après un moment pendant lequel je l'ai guidé dans les méandres de mon ordinateur, il prend lui-même la souris et se met à explorer mes déviances. Et de toute évidence, ce qu'il voit l'étonne et lui plaît. Il ne peut pas dissimuler le trouble que tout ça lui occasionne: il se remet à bander, et il se tripote. Agenouillé à côté de lui, j'écarte la main avec laquelle il se masturbe et je me mets à le branler pendant qu'il découvre mes vidéos. 

- Dis donc, tu te mets des trucs énormes dans le cul… Tu aimes ça ?

- Comme tu peux voir.

A ce moment, il regarde des scènes dans lesquelles je me donne du plaisir avec un gros godemiché noir. 

- Il y a plus gros que ça. Vas voir dans le fichier "mousse noire".

Il cherche, trouve, et se met à bander un peu plus fort. Toujours agenouillé à côté de lui, je commence, ou plutôt je recommence, à le sucer. Après quelques minutes, il écarte ma tête de son sexe:

- Doucement, ça va trop vite.

- Ce gros truc en mousse, c'est aussi agréable qu'impressionnant. Mais il y a plus "hard".

Et je lui indique où trouver les scènes où je m'introduis des bouteilles de gros diamètre et des objets de toutes sortes. Il est sidéré:

- Tu vas bien plus loin que moi …

- Je vais surtout bien plus profond …

- Quel fantasme tu aimerais pouvoir réaliser ?

- Baiser avec un black qui aurait une grosse queue.

- Ça, je l'ai déjà fait. Tu aimerais qu'il te fasse quoi ?

- J'aimerais le sucer …

- Ça, je m'en doute.

- le branler, et me faire … euh …

- … enculer?

- Voilà.

- J'ai déjà fait ça. C'est bien. Je pense que nous, les mecs, blancs, nous avons le même fantasme que les femmes blanches vis-à-vis des blacks. Ce qu'on envie, ce n'est pas d'avoir une grosse bite comme eux, mais d'en … profiter, comme les femmes.

- C'est possible. 

- D'autres fantasmes ?

- Et bien, baiser avec plusieurs noirs … avec des grosses queues, évidemment.

- Rien que ça !!!

- Oui. Quand je regarde des vidéos de gang-bang, j'envie les filles qui se font prendre par trois, quatre ou cinq blacks. J'aimerais être à leur place.

 

Et brutalement, il se redresse, me relève et m'entraîne vers un transat au milieu de la pelouse. Il m'enlève short et T-shirt, me pousse à m'allonger à plat ventre et vient se coucher sur moi.

 

Je sens sa bite, toute gonflée, entre mes fesses. Il se frotte et glisse sa main sous mon ventre pour me saisir la queue. Il me tripote un moment tout en allant et venant contre mon anus. Puis il me lâche le sexe et s'écarte de moi. Je le sens s'agenouiller derrière moi et m'écarter les jambes. Je me demande ce qu'il veut faire. Pas longtemps: soudain, je sens sa langue entre mes fesses. Je me cambre pour lui donner mon assentiment et pour lui faciliter les choses. Il passe sa langue depuis mes reins jusqu'à mon périnée, puis remonte, plusieurs fois, s'attardant un peu plus à chaque passage sur ma rondelle. Puis je le sens qui m'écarte les fesses, et il m'introduit la langue dans l'anus. J'adore. Visiblement, il cherche à me lubrifier. Il va m'enculer… Je le sens qui me rentre un doigt. On dirait le majeur. Un deuxième. L'index. Il me remouille le trou avec la langue et m'introduit le pouce. Puis l'autre pouce … je veux dire les deux pouces … en même temps. Et il m'écarte la rondelle. Je l'arrête:

- Attends, pas comme ça … Patiente un moment … Je vais revenir …

 

Je commence à me redresser. Il hésite et continue à me tripoter le cul, puis se redresse à son tour:

- OK. Fais vite, j'ai une urgence …

Je fonce vers la salle de bain pendant qu'il s'allonge à ma place sur le transat. Je me lave le cul, dehors et surtout dedans. Je n'ai pas envie qu'il se fourre dans la merde… Au passage, je prends mon appareil photos … on ne sait jamais. Et je redescends

 

Là, je réalise que le transat est au beau milieu de la pelouse et que nous allons être visibles - que nous avons été visibles - en train de baiser, depuis chez les voisins et depuis le champ d'à côté. Si les voisins s'avisaient de regarder par-dessus le mur, ou si le paysan venait inspecter son pré … Mais au fond, ça me plaît. Qu'ils regardent, si ça leur chante, on va leur en donner pour leur argent. Je vais enfin me faire enculer !

 

Thomas est allongé sur le dos. Il se tripote au soleil. Il a un peu débandé. Je pose mon appareil à côté du transat, je lui lèche un peu la queue et les couilles, et je lui demande:

- Ça t'ennuierait que je nous filme ?

Il n'a pas l'air surpris, juste un peu amusé. Il hésite, puis:

- Si c'est ton plaisir …

Je met l'appareil en route, je cadre la scène d'assez près pour qu'on voie les détails et je déclenche.

Puis j'enfourche Thomas, à genoux de part et d'autre de son bassin et je pose ma rondelle sur sa bite. Je fais quelques mouvements d'avant en arrière. Ça le remotive aussitôt et il rebande dur. Je me soulève un peu, je saisis son pieu et j'appuie son gland contre ma rosette. J'en ai le cœur qui bat. Sa queue bien empoignée, je descend doucement mon bassin et je sens son gland qui commence à me pénétrer. Je descend plus résolument et je sens toute sa queue qui s'enfonce en moi. 

 

Ça y est: j'ai, enfin, une bite, une vrai bite, dans le cul. Je la sens bien. Je la sens surtout au niveau de mon sphincter. A l'intérieur de moi, c'est plus confus, je n'ai pas de sensation nette. Mais je profite de cet instant de plaisir et je me tortille pour la faire entrer aussi profondément que possible. C'est un plaisir anal, mais aussi cérébral: j'ai un mec dans moi. Pas un godemiché, si bien imité soit-il, pas un bout de bois, si gros soit-il, pas un énorme truc en mousse, si agréable soit-il. Non, un sexe d'homme, qui a envie de moi, que je fais bander, qui aime ce que je lui fais, un membre vivant, chaud, excité, frémissant, un organe normalement destiné à répandre du sperme dans le ventre d'un femme pour lui faire un enfant, mais qui va me l'injecter à moi, son sperme, uniquement pour son plaisir et pour le mien. Je reste un moment comme ça, planté sur sa queue, légèrement penché en arrière, les mains appuyées sur le transat de part et d'autre de ses genoux, offert à la chaleur du soleil. Thomas s'est redressé sur les coudes et nous contemple, l'air ravi. Je bouge un peu le bassin, et je le sens durcir en moi. Je contracte mon sphincter pour lui serrer un peu la bite. Il se cambre, essayant de me pénétrer plus profondément. Puis, appuyé d'un seul coude au transat, il me tripote la queue. Tout ça, le soleil, notre nudité impudique, son sexe dans moi, sa main qui me masturbe … je n'ai jamais rien vécu de tel. Je voudrais rester comme ça longtemps.

 

Après un long moment:

- Viens, allonge-toi et tourne-toi.

Je me relève et je sens sa queue qui me sort du cul. Il quitte le transat pour me laisser la place. Je vais réactiver l'appareil photo. Il sourit:

- Tu ne perds pas le nord. C'est une nouvelle expérience pour moi, mais c'est assez excitant.

- Mon appareil n'enregistre pas de longues séquences. Il faut le relancer, changer de cadre …

J'amène l'appareil plus près du transat, pour un plan rapproché de sa bite en train de me rentrer dans le cul. Ça l'amuse, et il me fait signe de m'allonger sur le ventre. Il se couche sur moi, et je le sens qui cherche à m'introduire de nouveau sa bite dans le cul. Je me cambre, je m'écarte les fesses, il trouve l'entrée de mon fourreau et commence à aller et venir. Comme ça aussi, j'aime beaucoup. Le sentir peser sur moi, sentir sa queue coulisser dans mon rectum, sentir qu'il essaie de la pousser au plus profond de mon ventre, la sentir qui ressort doucement, puis qui revient … 

 

Au bout d'un moment, je réalise que je sens aussi ses testicules qui viennent battre contre mon périnée, entre mon anus et mes propres couilles. Je glisse ma main sous mon ventre, entre mes cuisses, puis vers mes fesses et je lui touche les boules. Je finis par les saisir, en formant un anneau autour de leur base, avec le pouce et l'index. Ça a l'air de lui plaire. Il se redresse en s'appuyant sur les mains et s'enfonce en moi à coups de boutoir en gémissant. Puis il s'allonge de nouveau sur moi, glisse sa main sous mon ventre, et écarte la mienne, qui tenait ses couilles. Il extrait sa queue de mon cul, se met alors à genoux, me saisis les hanches et m'attire la croupe vers son ventre. 

 

Il veut me prendre en levrette. Je me laisse faire, évidemment. C'est lui qui me dit:

- Tu ne manipules pas ton appareil ?

 

Il a raison. Je manipule donc, et je me remets en position. Il me fourre de nouveau sa queue dans le cul, me reprend par les hanches et commence à me besogner. C'est encore mieux comme ça. J'ai l'impression qu'il va encore plus profondément en moi. Il prend tout son temps. Il doit contempler le spectacle, en même temps qu'il me baise. Quand je baise ma femme en levrette, j'adore regarder ma bite aller et venir dans sa chatte. C'est super excitant. Voir sa queue disparaître entièrement dans quelqu'un, la voir ressortir jusqu'à l'apparition du gland, la re-rentrer avant que le gland ne sorte entièrement … le pied ! Puis Thomas s'immobilise et, m'empoignant les hanches, il me fait aller et venir d'avant en arrière sur son sexe. Pendant tout ce temps, je prends aussi du plaisir. «Fais-moi ce que tu veux. Amuse-toi avec mon cul. Baise-moi. Je sens ta queue, je sens tes couilles. J'aime ça.»

 

Soudain, je le sens qui, tout en restant dans moi, pose un pied par terre, puis l'autre, de chaque côté du transat, et qui continue à m'enculer comme ça, debout, les jambes à demi fléchies. Ses mouvements s'accélèrent, deviennent plus violents. Puis il sort de moi, me donne un claque sur les fesses et me dit:

- Viens !

 

Je le suis et j'attrape l'appareil photos au passage. Il se masturbe en marchant. Il m'entraîne vers la table, pousse le plateau du petit déjeuner, réactive l'ordinateur et cherche parmi mes photos et mes vidéos. Après avoir recadré l'appareil, je me colle à lui, contre son dos, et les bras passés autour de son buste, je lui tripote la queue. Il trouve enfin ce qu'il cherchait. C'est une vidéo dans laquelle je me défonce le cul avec une grosse bûche. Il se tourne vers moi, m'embrasse, me pousse devant la table, me fait m'y appuyer sur les coudes et me dit:

- Maintenant, je vais me finir…

 

Il me prend de nouveau par derrière et commence lentement à me sodomiser tout en regardant la vidéo. Je sens son excitation monter: sa queue devient plus grosse et plus dure, son souffle s'accélère, ses mouvements deviennent plus brusques, il grogne, il gémit de plaisir … Et soudain, il passe ses deux mains devant moi, sous mes couilles, me soulève de terre à la fois avec ses mains et avec son gourdin qu'il me plante à fond dans le cul, et pousse un grand Haaaaaaaa ! Je sens sa queue s'agiter de soubresauts dans mon rectum. Je pense qu'il m'éjacule dans le cul. Je ne sens pas son sperme m'inonder, mais je l'imagine qui jaillit dans moi. Il a encore de la crème, après les deux coups de cette nuit? Ça paraît ne pas devoir s'arrêter. Il me ramone à grands coups de queue, tout en continuant à pousser des Haaaaaaa ! Il prend un de ces pieds! Mes pieds ne touchent plus le sol et je suis obligé de m'agripper à la table pour ne pas tomber. Enfin, il se bloque contre moi, la bite entrée à fond, et il pousse un dernier gémissement. 

 

Sa queue, un peu ramollie, sort de moi. Il me repose au sol, m'enserre de ses bras, m'embrasse dans le cou, et me tient comme ça un long moment. J'en suis assez bouleversé, mais je sens son sperme sortir de mon cul et me couler le long des cuisses. Il m'a effectivement inondé. Ça m'excite et me fait bander. Il me fait me retourner, m'enlace, et me roule une longue et grosse pelle.

- Il y a longtemps que je n'avais pas joui comme ça … Ce sont tes vidéos et ton appareil photos qui m'ont excité.

- Tu veux bien me filmer le cul ?

- Comment ça, maintenant?

- Oui, avec ton sperme qui coule…

- Alors, toi ! Tu ne penses qu'à ça … Comment on fait?

 

Je lui explique, je me retourne de nouveau, courbé au-dessus de la table, et il filme longuement sa semence qui coule contre mes cuisses pendant que je me paluche. Je me retourne face à lui et je lui demande:

- Recule un peu, prends un plan plus large, qu'on voie mes cuisses et ma tête …

Un peu surpris, il obtempère et commence à filmer. J'essuie son sperme sur mes cuisses avec la main, et je la lèche tout en me branlant. Il est scié, mais il rit.

- Fais une contre-plongée pour filmer dans un même plan mon trou du cul et ma bouche.

Il s'agenouille devant moi, je me fourre la main dans le cul et j'en ramène encore un peu de crème que je m'empresse de sucer sur mes doigts. Quand c'est fini, il me dit:

- Attends, on va faire autre chose. Reste appuyé contre la table.

Il repose l'appareil sur son pied, l'éloigne un peu, recadre, déclenche, et s'approche de moi. Il s'agenouille de nouveau devant moi et se met à me sucer la bite. Par manque d'habitude, il a mal positionné l'appareil qui ne filme que sa nuque, son dos et moi. On ne verra pas ni sa bouche, ni ma queue. Je le fais donc tourner un peu pour que l'appareil filme dans le détail cette scène de fellation. Il a compris et tourne un peu de lui-même. Comme ça, on est bien.

 

Le cul appuyé à la table, je tiens la tête de Thomas qui va et vient le long de ma bite. Je regarde l'objectif. J'étais déjà très excité par ce coup de queue dans mon cul et par le léchage de sa semence, mais là, avec la caméra qui tourne pendant qu'il me taille une pipe ! Et il sait y faire, l'animal. Il m'engloutit l'engin jusqu'au fond de la gorge. Puis, tout en suçant, il m'introduit un doigt dans le cul. Puis deux. Puis trois. Puis quatre. Il ne laisse que le pouce à l'extérieur. Pour lui faciliter le travail, je passe une jambe sur son épaule. Et sa main rentre et sort. C'est à la fois un peu douloureux, et tellement agréable. Je ne tarde pas à être au bord de l'éjaculation. Il le sent et augmente la pression de ses lèvres sur ma verge. Et je me déverse dans sa bouche. Longuement. Quand j'ai terminé, il se relève, se colle à moi, m'empoigne la queue, me plaque sa bouche sur la mienne, m'écarte les lèvres et me bave mon propre sperme sur la langue. Nous nous embrassons comme ça un bon moment, échangeant salive et semence. 

 

Puis il me pousse en arrière, m'allonge le dos sur la table, me remonte les cuisses sur le ventre, s'approche de moi et me glisse sa queue en semi-érection dans le cul. La situation doit l'inspirer, parce que je sens qu'il durcit de nouveau. Un main posée sur chacun de mes genoux, il va et vient lentement dans moi. Je vois qu'il contemple le spectacle. Je me redresse sur les coudes pour en profiter aussi. Je vois sa queue, ou plutôt une partie, disparaître en moi et en ressortir. C'est assez excitant. Nous restons comme ça un long moment. Nous avons tous deux pris notre pied, nous sommes sexuellement repus, et nous … dégustons en quelque sorte ces instants supplémentaires. Ma position sur les coudes est assez inconfortable et je m'allonge de nouveau, le laissant me prendre et me posséder tout son soûl. Et contre toute attente, je sens qu'il s'excite de nouveau. Il déplie mes jambes, me place les chevilles sur ses épaules, m'empoigne les cuisses et se met à me pilonner à grands coups de boutoir. Son pubis vient cogner contre mon périnée. Il m'envoie littéralement sa queue dans le cul. Son ventre vient battre avec un bruit mat contre mes cuisses. Il me fourrage les entrailles. Il se met à ponctuer chaque pénétration d'un grognement. Peu à peu son rythme accélère, puis, brutalement, il se plie en avant, le torse appuyé sur mes jambes, le ventre en buttée contre mes fesses, sans doute sur la pointe des pieds. Et je sens à la soudaine raideur de tout son corps et à son souffle coupé qu'il a un nouvel orgasme. Il est en moi aussi profondément qu'il est possible, mais il essaie de s'enfoncer encore plus, comme s'il voulait entrer entièrement en moi. Puis il se calme, s'amollit et s'effondre sur moi.

- Ça va ? 

Il ne répond pas, se contente de geindre doucement.

- Reste dans moi. J'aime sentir ta queue dans mon cul.

Il bouge un peu, s'efforce de m'enfoncer son sexe devenu tout mou. Mais rien à faire, il s'échappe, glisse, me sort du cul. 

- Je ne peux pas. Désolé.

Il se redresse, s'écarte. Je me relève et me remets sur mes pieds. Nous nous enlaçons un long moment

 

Enfin, nous nous décollons l'un de l'autre, apaisés, repus de sexe.

Douche, visionnage de nos séquences de cul. Et nous reprenons nos discussions sérieuses, comme si de rien n'était, si ce n'est une légère caresse de temps à autre, de l'un ou de l'autre.

En fin de matinée, Thomas décide de rentrer chez lui. Au moment de me quitter, il me dit:

- Ça a été un week-end dont je me souviendrai.

- Moi aussi. J'ai aimé tout ce que tu m'as fait et tout ce que je t'ai fait. Et j'ai des souvenirs.

Il me regarde longuement, paraît réfléchir intensément, puis:

- Etant donné que tu aimes … le cul et la bite - ça ne te choque pas que je dise ça, j'espère - comme tu aimes le cul et la bite, je pense que je te ferai bientôt une surprise. 

- Tu vas revenir?

- Sans doute, mais ça ne sera pas ça, la surprise. Attends-toi à avoir des nouvelles de moi avant longtemps.

- Quel genre de surprise, alors?

- Je ne peux pas t'en dire plus. Tu verras, une surprise, ça ne se dévoile pas à l'avance.

Et il s'en va.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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