Récits pornographiques

Mardi 2 juillet 2019 2 02 /07 /Juil /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Samedi 23 décembre. 14h15


Voilà, on y est ! Bernard et son collègue sont là. 


Bernard, c'est cet inconnu que j'ai rencontré dimanche, au cours de ma balade sur la côte, habillé en travesti, et à qui j'ai taillé une pipe au bord d'une route dans sa voiture. 


Son collègue, c'est aussi un inconnu. J'avais demandé à Bernard si il ne connaîtrait pas quelqu'un qui voudrait me baiser … Ça n'a pas traîné … deux jours après, c'est-à-dire le mardi suivant, ils m'appelaient de leur lieu de travail pour prendre rendez-vous. Et donc, ils sont là, dans la chambre du gite où j'habite depuis que je suis arrivé en Bretagne.


Ça fait à peine un quart d'heure qu'ils sont arrivés et je suis déjà à genoux aux pieds du collègue en question … il s'appelle Jean-Pierre, le collègue de Bernard … là, Jean-Pierre, il a le pantalon et le caleçon descendus en accordéon sur ses chevilles … et moi … moi, je suis en train de poser des bisous et des coups de langue sur ses couilles … des couilles qui pendent … lourdes … énormes … magnifiques ! Elles me font penser aux couilles d'un taureau, alors j'ai hâte que ce mec me baise ! Parce que, c'est sûr, ce mec VA me baiser ! Je l'ai senti tout de suite … autant l'autre, le Bernard, est hésitant ou timide, autant celui-là est visiblement décidé.


Accroupi derrière moi, Bernard a aventuré ses doigts entre mes fesses … il les fait glisser le long de ma raie, mais, si il les passe toujours plus près de ma rondelle, je sens qu'il n'ose pas encore la toucher vraiment … il la contourne, il l'effleure … comme s'il attendait mon autorisation pour aller plus loin … suspendant mes coups de langue sur le périnée de Jean-Pierre, je lâche sa verge, je m'empoigne la fesse droite, je me cambre, et:

- Allez, Bernard, vas-y, fourre-moi tes doigts dans le cul … vas-y franchement, tu n'as rien à craindre, j'ai le cul vraiment clean … et je me suis mis du lubrifiant …


Visiblement, il n'attendait que ça. Immédiatement, je sens qu'il me pose un doigt sur l'anus et qu'il commence à l'enfoncer … ouaaaaaahhhhhh, ça me donne une espèce de décharge électrique dans le cul qui se répand dans tout mon corps … comme une vague voluptueuse et qui me fait me cambrer davantage ! Je ne peux retenir un gémissement … Bernard:

- Je t'ai fait mal ?

- Ooooh nooooon ! C'est parce que … c'est tellement booooon ! Continue …


Et ça rentre tout seul ! Comme le lubrifiant que je me suis injecté a commencé à s'écouler, Bernard n'a pas besoin de forcer… Alors je peux me consacrer à nouveau aux couilles et à la bite de Jean-Pierre … je n'y tiens plus, j'arrête mes bisous et mes léchouilles, je reprends ses couilles dans ma main, et son sexe dans ma bouche ! Hhhhhhmmmmmm, ce que c'est boooooon ! Un flot de salive m'inonde la langue et les joues.


Puuuutain, j'ai encore deux mecs pour moi toute seule ! Deux mecs ? Non, deux inconnus ! J'ai beau être coutumier de ce genre de situation, à chaque fois, j'en suis ébahi … là, j'en suce un, et l'autre me fourrage le cul avec ses doigts ! D'ailleurs, sans que j'aie eu besoin de m'en charger, mon anus s'est mis à béer spontanément sous l'effet des caresses exploratoires de Bernard … et comme il a senti ma fleur s'épanouir au contact de ses doigts, il m'en a déjà enfoncé un deuxième dans le fourreau ! Oh la laaaaa ! Je suis pris d'un léger vertige … c'est boooooon, c'est tellement boooooon ! Deux mecs ! Deux mecs qui bandent pour moi … deux mecs qui me veulent … c'est seulement deux mecs, mais ils me mettent dans tous mes états ! Pourtant, j'ai déjà été assailli – assailli et sailli - par bien plus que deux mecs ! Plusieurs fois par quatre ou cinq … une fois par huit blacks d'un coup … et jusqu'à trente ! Mais là, il y a si longtemps que je ne me suis pas offerte à plusieurs types en même temps ! Je me sens comme un junky privé de shoot depuis des jours, et à qui on montrerait un petit rail de coke ! Je veux que ces deux types m'utilisent … je veux que ces deux types se servent de moi … je veux que ces deux types disposent de moi comme ils ont envie … je veux que ces deux types me baisent !


Et une fois encore, je me surprends à gémir … sans retenue, sans pudeur … comme une femelle en chaleurs …


JE SUIS une femelle en chaleurs !


Allez, maintenant, il faut qu'ils me baisent … TOUT DE SUITE !


J'ai sorti la bite de Jean-Pierre de ma bouche, je me suis relevé, je me suis élancé et je me suis jeté sur le lit:

- Allez, les garçons, baisez-moi, maintenant !


Allongée sur le dos, les cuisses écartées, je tends les mains vers eux. Ils sont scotchés … Jean-Pierre debout au milieu de la chambre et Bernard toujours à genoux là où je l'ai planté … tous les deux ont la bite en bannière … les mains tendues vers eux, j'insiste:

- Allez ! Venez, les garçons !


C'est Jean-Pierre qui réagit le premier … il ôte vite fait ses chaussures, il finit d'enlever son pantalon et son caleçon, et il me rejoint. Bernard hésite une fraction de seconde, puis, en voyant faire son collègue, il se décide … il se relève, il ôte son sweat-shirt et sa chemise, puis son pantalon et son slip … 


Jean-Pierre s'est agenouillé au bout du lit, à côté de mes jambes, il a passé ses index dans la ceinture de mon string au niveau de mes hanches:

- Enlève ça !


Il est fébrile … maintenant, il a une urgence. Je soulève mon bassin et il descend le minuscule bout de tissu rouge sur mes cuisses, puis sur mes mollets, avant de me l'ôter complètement et de le jeter au pied du lit. Il pose une main sur ma cuisse:

- Tourne … et fous-toi à quatre pattes !


Il va m'enculer ! Il va me prendre en levrette !


Avant d'obtempérer, je jette un rapide coup d'œil à sa queue … encore luisante de ma salive, elle se dresse à la verticale … ses veines sont gonflées … son gland, que je n'ai pas eu le temps de complètement décalotter, commence à sortir tout seul de son prépuce … c'est pour mon cul que ce sexe bande comme ça ! C'est pour fourrer mon cul qu'il bande comme ça !


Pendant que je me retourne pour me mettre en position, Bernard monte à son tour sur le lit:

- Où j'me mets, moi ?

- Là, devant moi … assieds-toi, je vais te sucer pendant que ton copain me baise …


Il s'assied, le dos appuyé à la tête du lit, ses jambes de part et d'autre de mes mains posées à plat sur le matelas … il arbore un sourire réjoui … un peu hésitant tout à l'heure, à son arrivée, j'ai senti qu'il avait un peu de mal à se mettre dans l'ambiance, à participer … mais cette fois, ça y est, même si je crois qu'il n'en revient pas de ce qu'il est en train de faire, lui à qui sa femme n'aime pas tailler une pipe, lui dont la femme ne veut même pas baiser dans le jardin … et il est là, dans un lit avec un collègue, et tous les deux s'apprêtent à baiser un travelo !


Pendant que Bernard s'installait, j'ai senti le matelas s'enfoncer entre mes genoux quand Jean-Pierre a pris place entre mes mollets … j'ai écarté un peu plus mes jambes … il a posé ses mains sur mes hanches et il s'est mis à me les peloter, à me les pétrir:

- Putain, quel CUL !


Ça le fait rire. Je tourne la tête vers lui … la bouche entrouverte, le regard fixe, tout en contemplant ma croupe, il la caresse fiévreusement. Alors je me cambre, je creuse mes reins, adoptant la position de la chatte qui réclame une saillie à son matou … et je me penche sur le ventre de Bernard. Lui aussi, sa bite se dresse à la verticale … sa bite au prépuce si étrange, au prépuce si long, au prépuce si appétissant … du bout des doigts, je lui caresse la verge, j'effleure ses couilles, je serre délicatement son gland, je pince son prépuce …


Derrière moi, Jean-Pierre fait je ne sais quoi, une main toujours sur ma hanche … je sens le matelas bouger sous mes genoux, comme s'il était soudainement allégé d'un poids … j'ai l'impression … j'ai l'impression qu'il est descendu du lit …


Et brusquement … je sens … entre mes fesses … je sens … oui, c'est son visage … je sens la tiédeur de son haleine au fond de ma raie … et aussitôt, une chose toute chaude et mouillée se pose sur ma fleur … c'est sa langue ! Il veut me bouffer le cul ! J'ai bien fait de choisir un lubrifiant comestible ... en plus, il est parfumé à la vanille. Oh, oui, Jean-Pierre ! Vas-y, bouffe-moi la rondelle ! Oh la laaaaaaa, ce mec va me rendre dingue ! Ça y est, je sens le bout de sa langue qui s'enfonce légèrement dans ma rondelle … Putain que c'est bon ! Je passe ma main libre derrière moi, j'empoigne ma fesse et je l'écarte pour qu'il puisse coller sa tronche bien au fond de ma raie. Il bouge sa langue … c'est chaud, c'est ferme et légèrement râpeux, c'est mouillé, c'est vivant … on dirait une petite bestiole qui cherche à se cacher dans son terrier … vas-y, petite bestiole, va te mettre au chaud et en sécurité … j'adore !


Tandis que Jean-Pierre commençait à me bouffer le cul, je n'ai pas arrêté de tripoter la bite de Bernard … Bernard qui bande maintenant très nettement … alors, je me penche un peu plus, j'ouvre la bouche et je happe son sexe … hhhhhmmmmm, ce prépuce, ce long morceau de peau un peu mou, bien au chaud dans ma bouche, c'est irrésistible … je ne peux pas m'empêcher de jouer de la langue avec lui … je le fais tourner, je le presse contre mon palais, je l'asticote, j'introduis la pointe de ma langue autant que je peux à l'intérieur … et je sens la verge et le gland de Bernard réagir … sa verge gonfle et dégonfle par à-coups entre mes lèvres tandis que des espèces de pulsations font battre son gland comme un cœur minuscule … les premiers soubresauts de sa verge et de son gland étaient tellement forts que j'ai cru un instant que Bernard était déjà au bord de l'éjaculation … mais non … je sens qu'il maîtrise …


Alors, je serre mes lèvres sur sa verge et je l'enfonce jusqu'au fond de ma gorge … il commence à se décalotter … je relâche ma pression, et je remonte ma bouche jusqu'à avoir la couronne de son gland contre mes lèvres … et je recommence … lèvres serrées, gland au fond de la gorge … et voilà, il est complètement décalotté et son gland s'épanouit sur ma langue ! De nouveau, je ne peux retenir un gémissement de plaisir ! Ou plutôt … un couinement ! Bernard m'a entendue … ça l'a fait rire … ou plutôt ricaner … quand il a ri, j'ai senti la secousse de son ventre contre mon front. Mais je m'en fous … il peut rire … je me fous que ces deux mecs m'aient entendue … je me fous qu'ils me prennent pour une folle de bite … JE SUIS une folle de bite ! 


Bernard a pris ma tête entre ses mains et j'aime ça … je suis sûr … je suis sûr qu'il est en train de me regarder le sucer … de regarder ma bouche aller et venir sur son sexe … instinctivement, il a commencé à écarter davantage les cuisses … par moments, en même temps que sa bite est prise de tressaillements, il se met à respirer plus fort par la bouche … ce sont des vagues de plaisir qui déferlent sur sa queue avant de se retirer …


- Dis, Machin, t'as des capotes ?


C'est Jean-Pierre qui vient de sortir sa tronche d'entre mes fesses et qui s'est redressé … il a accompagné sa question d'une tape sur le haut de ma fesse … comme je continue de faire aller et venir ma bouche sur la queue de son copain, il insiste:

- Hé mec ! T'as des capotes ?


Alors je recrache la bite de Bernard, et, tout en continuant de le masturber, je tourne la tête vers Jean-Pierre:

- Pourquoi … tu veux mettre une capote ?

- Ben … je sais pas … c'est pour toi …

- Ben oui, j'ai des capotes, mais moi, j'aimerais mieux que t'en mettes pas …

- Ah bon ? Mais … tu voudras que je me retire au moment de jouir ?

- Non … je préfère que tu jouisses dans mon cul ...

- Ah bon ! Ben dans ce cas là, moi aussi … t'es sûr, hein … parce que …

- Ouais, je suis sûr ! T'inquiètes pas pour moi … quand je dis que je veux qu'un mec me baise, c'est que je veux qu'il me baise VRAIMENT … je veux avoir sa bite au fond de mon cul et je veux qu'il décharge son sperme au fond de mon ventre … pour moi, c'est ça, me faire baiser …

- Bon, très bien, alors … moi, ça me va … je vais t'baiser !

- Et tu sais, hein … tu t'occupes seulement de toi …

- Comment ça …

- Ben … donne-toi du plaisir … prends ton pied, et t'occupes pas de moi … essaie pas de me donner du plaisir, hein … mon plaisir à moi, c'est que tu me baises et que tu éjacules dans mon cul …

- Bon … comme tu veux …


La tête un peu penchée sur le côté, il contemple mon cul tout en me caressant les fesses:

 

- Tu sais … t'as un cul … t'as vraiment le cul le plus … le plus bandant que j'aie jamais vu ! Et pourtant, j'en ai vu des culs … et j'en ai baisé des culs ! Des culs de mecs et des culs de femmes … mais le tien, putain ! Et en plus, c'est la première fois que je baise un mec dans ce genre de tenue … en nuisette, avec un porte-jarretelles et des bas … et ben, c'est VACHEMENT bien, comme ça ! Jusqu'à présent, j'ai seulement baisé des mecs … tu vois … à poil, quoi … C'est bien aussi, hein, je dis pas … mais comme ça, avec cette lingerie, c'est … c'est encore plus … je sais pas … c'est plus … plus dépravé, plus vicelard, je trouve … j'adore ! Avec ta lingerie, je te trouve même plus excitant que si t'étais une femme … ta lingerie et ton p'tit cul de salope … et tes boules et ta bite qui ballottent entre tes cuisses … une sacrée petite pute !

- Merci.

- Ben, pas d'quoi, ma chérie …


Il glisse sa main entre mes fesses depuis mon coccyx et il s'arrête sur ma rondelle. Je le sens m'enfoncer un doigt … ou deux … et les bouger … hhhmmmm ! Je veux le voir se préparer à m'enculer … même si je suis obligé de me tordre le cou et le dos. Et sans avertissement, il ôte ses doigts et, sa main gauche sur ma fesse, il se remet à genoux entre mes mollets … il serre sa queue dans sa main droite, et avant que mon arrière-train la cache à ma vue, sa queue, j'ai le temps d'apercevoir son gland qui dépasse de son poing … son gland avec la fente de son méat … Oh putain, il va m'enfoncer ça dans le cul, et c'est par là que va jaillir sa semence et qu'elle va se répandre dans mes muqueuses ! J'ai tellement hâte qu'il m'insémine ! 


Il a les yeux braqués sur … sur ma rondelle … et il approche son gland … Ça y est, il vient de le plaquer contre ma fleur … je le sens … son gland caoutchouteux et brûlant ! Il va me pénétrer ! Je ferme les yeux et je me retourne face à Bernard que je n'ai pas arrêté de branler …


Ah putain, ça y est ! Jean-Pierre enfonce son sexe en moi ! C'est tellement … c'est tellement … ça me bouleverse ! Ce que ce mec … ce que ce mec est en train d'introduire en moi, c'est SON SEXE … SON SEXE, PUTAIN ! En l'espace de quelques mois, je me suis déjà fait baiser par … je sais pas … peut-être une cinquantaine de mecs … peut-être plus … mais je suis toujours aussi chamboulé … troublé … affolé par ÇA … un mâle qui introduit SON SEXE DANS MOI ! 


Qu'une personne … ou plutôt, qu'un être vivant comme … comme un animal, par exemple … qu'un être vivant, mâle, évidemment, introduise son sexe dans un autre être vivant, je ne peux pas imaginer de relation plus étroite, plus intime que ça … et ceci en faisant abstraction de toute relation affective ou sentimentale. Et je parle bien de l'introduction du SEXE d'un mâle, pas d'une autre partie de son corps, comme un doigt ou une langue … non, je parle du SEXE, je parle de l'appareil génital d'un mâle, je parle de l'organe reproducteur d'un mâle … Et quand je parle de relation étroite, intime, je parle de quelque chose de plus profond qu'un simple contact tactile entre deux peaux, entre deux chairs … je parle de quelque chose au-delà de la fornication, de la débauche, de la luxure … je parle d'une relation d'être à être, une relation de celui qui pénètre avec son sexe à celui qui est pénétré, une relation qui implique nécessairement une sorte de subordination, certes généralement consentie, mais tout de même une relation qui suppose un rapport de sujétion … parce que celui qui pénètre l'autre avec son sexe PREND … il prend possession du corps de l'autre ... en jouissant du corps de l'autre avec son sexe, il PREND l'autre, il POSSÈDE l'autre … il possède ENTIÈREMENT l'autre, TOTALEMENT … d'ailleurs, dans sa sagesse, le langage utilise ces mots, ces expressions … se donner, s'offrir à quelqu'un … « prends-moi » … posséder quelqu'un …


Bizarrement, étant devenu depuis quelques mois celui qui se donne à l'autre, étant devenu celui qui se fait pénétrer par le sexe de l'autre, quand cet autre est un inconnu, je ressens d'autant plus intensément ce rapport de sujétion au mâle à qui je m'offre … ce qui exprime le mieux ce que je ressens, c'est … "je veux que ce type me prenne, je veux que cet inconnu me possède " … oui, je veux qu'il me POSSÈDE, je veux être sa chose ! Je veux qu'il dispose de mon corps à son gré ! Plus curieux encore, et surtout beaucoup plus dépravé, beaucoup plus amoral selon les critères de la société, j'éprouve une ivresse, une exaltation, une jubilation d'autant plus intenses que je me soumets, que je m'abandonne ainsi aux désirs de plusieurs inconnus, que je m'offre à une meute de mâles pour qu'ils se partagent mon corps, pour qu'ils me prennent, pour qu'ils pénètrent mon corps avec leurs sexes ! Mais surtout, pour moi, une telle relation au mâle ne peut être complète que si elle est radicale, sans artifice, sans protection … le sexe du mâle à nu … à cru … à vif dans ma chair … sans capote, donc … pour moi, une telle relation au mâle ne peut être complète que si le mâle éjacule dans mes entrailles, parce que la semence du mâle, cette part de lui-même, qu'il répand au fond de mon ventre, qu'il confie à mon ventre, sublime cette relation charnelle …  


Ses mains à l'angle de mon ventre et de mes cuisses, Jean-Pierre s'enfonce en moi … lentement, doucement … je sens chaque millimètre de son sexe glisser dans mon anus parfaitement lubrifié … il me semble … il me semble que je sens son gland qui se fraie son chemin en moi en repoussant les parois de mon rectum … Ah la la, quel bonheur ! J'ai le sexe d'un mâle dans moi ! Le sexe d'un mâle inconnu ! Et ce mâle va prendre du plaisir dans moi ! Et il va JOUIR dans moi ! La tête me tourne un peu … les yeux fermés, concentré sur ce que ce type me fait, je me rends compte que, dans la main, j'ai toujours la bite de l'autre … la bite de Bernard … Bernard qui bande, mais que j'ai arrêté de masturber … il ne proteste pas, il ne cherche pas à remettre sa bite dans ma bouche … je crois … même s'il ne voit pas le sexe de son copain s'enfoncer en moi, je crois qu'il devine, qu'il sent ce qui se passe  … il doit voir son copain, les mains sur mes hanches, le regard braqué sur ma rondelle, qui progresse lentement … il doit voir et déchiffrer ses mimiques … sans doute fasciné par le spectacle de son copain qui est en train de s'introduire en moi … 


Voilà … le ventre de Jean-Pierre touche mes fesses … il est au fond … juste avant qu'il reparte en arrière, je l'arrête:

- Attends, Jean-Pierre ! Reste un peu comme ça.


Il s'immobilise. Alors, m'appuyant sur mon coude gauche, je lâche la bite de Bernard, et je passe ma main droite sous mon ventre … entre mes cuisses … et je cherche à tâtons les couilles de Jean-Pierre … les voilà ! Ah oui, putain ! Ses belles couilles … ses énormes couilles de taureau ! Elles pendent terriblement ! Comme tout à l'heure, quand je les ai déballées. Pourtant, en principe, quand un mec est excité, ses couilles ont tendance à remonter vers son périnée. Lui, non. Hhhhmmm, c'est trop bon … ça me plaît ! Du bout des doigts, j'effleure la longue bande de peau que le poids de ses boules étire sous son périnée … puis je frôle ses bourses … je les palpe doucement et, au contact de mes doigts, comme tout à l'heure, je sens ses couilles bouger toutes seules à l'intérieur de leurs bourses … elles sont vivantes … et elles aiment ce que je leur fais … je finis par les prendre au creux de ma paume … putain, qu'est-ce qu'elles sont lourdes !!! Oh la laaa, me faire tirer par … par un mâle équipé d'une telle paire, ça a quelque chose de … quelque chose de … j'ai soudain la même sensation que quand je m'étais mis à quatre pattes dans l'écurie de Jean-Claude, et que le Cané corso de Pierrot, l'énorme molosse de Pierrot, grimpé sur moi, s'apprêtait à me saillir … les grosses couilles de Jean-Pierre qui pendent comme ça, ça a quelque chose d'animal, de bestial … j'adore !


- Elles te plaisent, hein …

- Oh ouiiiii … elles sont tellement … elles sont tellement … je les aime, tes couilles !

- Hé hé hé !


Il est content de lui, le Jean-Pierre … il est fier, même ! Il peut être content et fier de lui ! Oh, ce n'est pas la première paire de couilles hors normes à qui j'aurai eu affaire … j'en ai eu d'autres en main … et d'autres au cul … j'en ai vidé d'autres, des paires de couilles énormes … mais à chaque fois, une grosse paire de couilles, ça me fait le même effet que le sexe d'un mâle qui me pénètre ... ça me … oui, ça me bouleverse. Qu'un mec aussi bien doté par la nature ait envie de me baiser, c'est tellement étonnant et tellement gratifiant … ça me fait me sentir tellement … femelle ! J'imagine qu'avant que la civilisation ait policé nos mœurs, quand l'espèce humaine venait tout juste de s'extirper de son animalité, l'instinct des femelles, pour garantir leur fécondation, devait leur faire choisir de préférence les mâles équipés des appareils génitaux les plus conséquents … tout comme les mâles qui, pour assurer leur descendance, devaient privilégier les femelles au physique le plus apte à porter leur progéniture. Et bien voilà, pour moi, il y a de ça … je me demande si dans l'envie de ce mec pour mon cul et dans ma fascination pour sa grosse paire de couilles … je me demande si il n'y aurait pas comme une réminiscence de ces instincts ataviques … instincts certes maintenant détournés de leur fonction initiale, la reproduction, mais toujours aussi puissants … 


J'aime tellement ça, lui peloter le paquet, à Jean-Pierre … et lui aussi, il aime ça ! Oh, évidemment, pour moi, il y a le plaisir lubrique, voluptueux, de tripoter les couilles du mec qui a enfoncé sa bite au fond de mon cul … mais il n'y a pas que ça … il y a plus que ça … à cet instant, je suis autre chose qu'une tapette … et ce mec est autre chose qu'un queutard … à cet instant, ce type est mon mâle … et je suis sa femelle ! Oui, à cet instant, je suis à lui ! Je suis à lui, et je veux qu'il me baise !


Et soudain, sans m'avertir, il affermit l'étreinte de ses mains sur mes hanches et il commence à s'écarter de moi, à reculer … lentement … Je sens sa verge coulisser dans mon anus … je retiens encore un peu ses boules au creux de ma main … et je les lâche … elles m'échappent … il extrait lentement son sexe … mais pas complètement … je sens … je sens son gland, juste là, tout près de la sortie … et il repart en avant … Oooooohhh ! Oooooh la laaaa ! De nouveau il s'enfonce en moi ! C'est si boooooooon, ce sexe qui plonge dans mes chairs … je m'entends gémir ! Et comme j'ai laissé ma main entre mes cuisses, voilà ses couilles qui reviennent et qui effleurent ma paume … qui effleurent ma paume avant de venir batte contre mon périnée … non, pas seulement contre mon périnée … contre mes couilles aussi ! Ses couilles pendent tellement qu'elles touchent aussi MES couilles ! Oh la laaaaa, la sensation ! Je gémis à nouveau … Je le sens qui plaque à nouveau son ventre contre mes fesses … et aussitôt, il repart en arrière … plus vite, maintenant … et il revient … et cette fois, son ventre claque et rebondit contre mes fesses … 


Ça y est … la mécanique est en marche ! Ses doigts se crispent sur mes hanches … il va et vient sans marquer d'arrêt … je l'entends respirer par la bouche … son excitation monte … monte …


- Suce-moi !


C'est Bernard. Je l'avais encore presque oublié, celui-là. Il a posé sa main sur l'arrière de mon crâne et il appuie pour que je descende ma tête vers sa bite. Mais il n'avait pas besoin d'appuyer … son injonction aurait suffi … aussitôt que j'ai entendu ce « suce-moi », une espèce de vague de … de … de je ne sais pas exactement quoi a déferlé sur moi … une furieuse envie de bite … un besoin de bite … une fringale de queue … brutale, irrépressible … il me FAUT cette bite dans la bouche ! 


Alors j'ai pris le sexe de Bernard dans ma bouche et je me suis mis à le pomper … fiévreusement … en gémissant sans retenue et sans pudeur … je me fous que ces deux mecs réalisent de cette façon que leurs queues me rendent dingue … au contraire, même, je veux qu'ils le sachent, que je suis accro à leurs bites, je veux que ça leur donne envie d'en profiter … il est vraiment très raide dans ma bouche, Bernard ! Je vais et je viens furieusement sur sa queue … je sens son gland gonflé, épanoui, qui glisse entre ma langue et mon palais … je le presse avec ma langue et je sens que ça lui fait beaucoup d'effet … lui aussi, s'est mis à respirer par la bouche, et maintenant, il halète … il a glissé sa main depuis l'arrière de mon crâne jusqu'à ma nuque et il me la serre doucement … j'adore ce geste de domination du mâle sur la femelle, à la fois ferme et affectueux … Oui, Bernard, je suis à toi ! Oui, Bernard, je suis aussi ta femelle ! Je suis votre femelle à tous les deux, les mecs !


Vous pouvez USER de moi !


Vous pouvez ABUSER de moi !


Deux biiites ! Deux biiites ! Deux biiiiiiiiiiiiiites !


J'AI DEUX BIIIIIIITES EN MOI ! ! !


J'AI DEUX MÂLES EN MOI ! ! ! ! 


Ah putain, me voilà pris par les deux bouts ! Une bite dans la bouche, une bite dans le cul ! Ah, ce que c'est bon, de se faire prendre par deux mecs en même temps ! Il n'y a pas à dire, je suis faite pour ça … les mecs … les mâles … la bite … LES bites ! L'autre, derrière moi, y va carrément. Sa queue, qui va et vient dans mon anus, m'envoie des vagues chaudes et voluptueuses dans tout le corps … ses couilles ballottent et frappent mes couilles … je bande … je bande et je crois que ma queue bave de la liqueur … Ah putain, c'est le bonheur !


- Aaaah ! Aaaaaaaaaaa l Aaaaaah puuuuutaiiiiiiiin !


C'est Bernard qui craque le premier. Il a dû sentir mon excitation de salope affamée de bite, et ça l'a achevé. C'est venu d'un seul coup … sans que rien ne l'annonce, je viens de recevoir un jet tiède dans la bouche … un jet tiède et abondant ! Hhhhhmmmmm, ce goût ! Le goût du sperme ! Le goût suave et légèrement salé du sperme ! Et les petits grumeaux caoutchouteux qui se collent à ma langue ! C'est tellement booooooooon ! Je gémis, je couine littéralement de plaisir … sous l'effet de son orgasme, puissant, violent, Bernard, comme l'autre jour dans sa voiture, s'est plié en deux au-dessus de ma tête et je l'entends gémir, lui aussi … et je sens son souffle entre mes omoplates … il continue d'éjaculer et j'avale sa crème au fur et à mesure … Je suis tellement excité que je suis au bord de l'éjaculation … sans même avoir touché ma queue … elle est tellement raide, ma queue, qu'elle en est presque douloureuse … 


Ça y est, Bernard a fini … il reprend son souffle avec difficulté … il doit avoir la joue appuyée entre mes omoplates … il presse ma tronche contre son bas-ventre … je suis obligé de résister pour ne pas avoir le nez écrasé sur son pubis … son ventre se soulève contre mon crâne au rythme de sa respiration … je sens ses mains sur mon dos … il me caresse les reins … les flancs … il n'est plus le mâle qui soumet sa femelle, il est le mâle reconnaissant … je pense que ce type n'en revient pas de ce qu'il est en train de vivre … un truc sans doute totalement improbable pour lui … alors que sa connasse de bonne femme ne lui autorise aucune fantaisie sexuelle, même la plus anodine, le voilà au lit, à poil dans cette chambre, et il vient de se faire tailler une pipe par un travelo qu'un collègue à lui est en train d'enculer ! Là, il vient de jouir sans hésitation et sans retenue dans la gorge du travelo qui ne demandait que ça, alors il se sent bien, Bernard, il est assouvi, apaisé … heureux …


Moi aussi, je suis heureux … ni rassasié de sperme, ni repu de sexe, mais heureux … je viens de sucer ce type, et en le laissant éjaculer dans ma bouche, en avalant sa crème avec gourmandise, j'ai fait quelque chose que sa propre femme lui refuse. Alors, si je suis heureux, c'est que, d'une certaine manière, j'ai le sentiment d'avoir fait mon devoir, d'avoir fait ce pour quoi je suis faite, d'avoir accompli ma mission … offrir mon corps à des mâles pour qu'ils y prennent du plaisir … 


Comme l'autre jour dans sa voiture, Bernard ne cherche pas à sortir sa queue da ma bouche … c'est un peu étonnant parce que la plupart du temps, une fois que les mecs ont tiré leur coup, ils n'ont qu'une hâte, qu'on arrête de leur toucher la bite … et le gland en particulier, généralement devenu hyper sensible. Bernard, non. Et c'est tant mieux, parce que, pour moi, c'est un vrai bonheur de garder son pénis dans ma bouche pendant qu'il débande, pendant qu'il ramollit … une vraie friandise !


- T'as pris ton pied ?


C'est Jean-Pierre qui interroge Bernard. Lui n'a pas arrêté de me bourrer le cul … peut-être un peu moins vigoureusement depuis un moment … il a dû ralentir quand il s'est aperçu que son pote était en train de jouir dans ma bouche … Au ton avec lequel il a posé cette question, j'ai perçu son excitation. Bernard:

- Ah ouaiiiiis ! 

- Tu y'as … tu y'as joui dans la bouche ?

- Ouaiiis !

- Et il a avalé ?

- Ouais !

- Puuuuutaiiiiin !


Alors ça, ça ajoute à son excitation … et à l'accentuation de la pression de ses mains sur mes hanches, à l'accélération de ses coups de reins, je sens qu'il a brusquement l'intention d'en finir … je l'entends respirer de plus en plus fort … mâchoires serrées, il souffle et postillonne entre ses dents … Bernard s'est redressé et s'est adossé à la tête du lit … il continue de me caresser la nuque et les épaules … délicatement, presque tendrement … il doit être en train de regarder son pote se finir dans moi. Moi, j'ai toujours son sexe dans la bouche, de plus en plus mou … j'adore cette consistance … je l'ai recalotté et je joue de la langue avec son long prépuce … mais mon esprit reste attentif aux va et vient de Jean-Pierre qui me secoue et qui fait ballotter ma tête sur le ventre de Bernard … 


J'ai le cœur qui bat … et ce n'est pas dû à un quelconque effort physique … non, c'est l'émotion ! Dans un instant, le type qui me chevauche va jouir dans moi … il va … m'inséminer le ventre ! J'en ai tellement besoin et il y a si longtemps que ça ne m'est pas arrivé ! Je cherche à quand ça remonte, et soudain, je réalise que non, en fait … ça ne fait pas si longtemps que ça qu'un mec m'a baisé et fécondé … c'était … je ne sais plus exactement, mais sans doute vers fin novembre … oui, le dernier mec qui m'a baisé, c'est … c'est Jean-Claude, le fermier ! Il m'a baisé à quatre pattes au milieu de son écurie … il m'a prise … à la suite des deux molosses de Pierrot. Oui, c'est ça … tout de suite après que Pierrot m'ait fait couvrir par ses deux chiens, Jean-Claude, à son tour, m'a prise en levrette … comme les chiens ! Ouais, alors ça doit faire à peu près un mois ! Un mois … c'est tellement court dans l'absolu, et tellement long quand on a besoin de se faire tringler … Et puis, il faut dire, il s'en est passé des choses, en un mois ! Alors oui, on peut dire qu'il y avait longtemps que je ne m'étais pas fait baiser. 


Mais ce n'est pas que pour ça, l'émotion qui me fait battre le cœur … j'ai l'impression que plus le temps passe, plus me faire féconder par des mecs, ça me bouleverse ! Pourtant, j'en ai pris des coups de bites dans le cul, depuis que j'ai sauté le pas ! D'ailleurs, un de ces jours, il faudra que j'essaie le faire le compte … Quoi qu'il en soit, c'est vraiment ça … quand un mec s'apprête à éjaculer au fond de mon cul, ça m'émeut … et de plus en plus. Alors que ça devrait être le contraire, je devrais commencer à être blasé … mais non ! Oh, je sais bien que pour les mecs, me baiser, c'est seulement tirer un coup comme un autre, et souvent, pour eux, ça n'a pas plus d'importance qu'une bonne branlette … répandre leur sperme dans mon ventre ou dans la cuvette des chiottes, pour eux, c'est pareil … mais pour moi, pas du tout …


Evidemment, c'est Jean-Pierre qui me tire de mes réflexions … il a interrompu son va et vient mécanique, et maintenant, il me baise … avec élan ! Oui … il se recule jusqu'à avoir sa queue presque entièrement sortie de mon cul, et il me re-pénètre d'un grand coup de reins en tirant violemment sur ses mains toujours agrippées à mes hanches … à chaque fois, son ventre claque contre mes fesses et ses boules viennent battre contre mes couilles … les mâchoires toujours serrées, il accompagne chaque pénétration d'une espèce de grognement sourd … j'adore cette façon de me faire bourrer ! 


Et d'un seul coup, il se plaque à moi et il s'immobilise … il ... oui, ça y est, il JOUIT ! 


Il JOUIT AU FOND DE MOI ! ! ! !


Ah, putaiiiiiiin ! Je sens les pulsations de sa queue qui répand sa semence dans mon cul … nettement ! A chaque jet, sa verge est secouée par une sorte de spasme, et j'ai l'impression de la sentir qui gonfle brusquement au passage du sperme, avant de légèrement déraidir et de recommencer … Ça aussi, ça a évolué … je sens de mieux en mieux les mecs éjaculer dans mon cul … les premières fois, c'était plutôt confus, de ce côté-là … j'étais tellement troublé, obnubilé par ce qui m'arrivait que le côté cérébral l'emportait sur le côté physique … mais depuis, avec l'expérience, j'ai inconsciemment appris à décoder les manifestations corporelles de la jouissance des mâles qui me montent … et maintenant, cette sensation corporelle est aussi intense que la volupté cérébrale … et elle l'alimente …


Jean-Pierre ne grogne plus, il éructe un râle impétueux … presque un rugissement ! Quel pied il doit prendre pour pousser une telle gueulante ! J'en frissonne … j'en frissonne de bonheur et de fierté. Et une pensée incongrue me vient … si la chambre voisine était occupée, sa beuglante aurait forcément attiré l'attention du ou des occupants … une beuglante sans ambiguïté … le râle d'un mâle qui jouit ! Dommage que nous soyons seuls dans ce gite aujourd'hui … ça m'aurait plu que les voisins entendent un mâle gueuler de plaisir en me baisant !


Et d'un seul coup, Jean-Pierre s'effondre littéralement sur moi. Sous son poids, je suis obligé de m'aplatir sur le matelas, à demi couché sur la jambe droite de Bernard … obligé de m'aplatir … et aussi de sortir sa bite de ma bouche … Sa queue toujours dans mon cul, Jean-Pierre a enfoui sa tronche dans l'oreiller, juste à côté de ma tête … j'ai le torse un peu tordu et l'oreille plaquée contre la fesse de Bernard. Jean-Pierre reprend son souffle par la bouche … bruyamment. Bernard essaie de dégager sa jambe:

- Hé, les mecs … vous m'écrasez la jambe, tous les deux … 


Dans un gros soupir, Jean-Pierre bascule sur le côté, entraînant sa bite hors de mon cul dans un chuintement mouillé … le voilà, sur le dos, haletant:

- Ah putain ! 


Je me soulève un peu pour que Bernard dégage sa cuisse de sous moi … il s'écarte pour nous laisser de la place. Je me tourne sur le côté, je m'appuie sur mon coude, je pose ma joue et mon menton sur ma main et je contemple le mâle qui vient de me saillir. J'ai l'impression que j'ai la rondelle légèrement béante … quelque chose de tiède s'écoule un peu sur ma fesse. La queue de Jean-Pierre, luisante de mes fluides intérieurs et de sa semence, repose sur son ventre ... encore pas mal gonflée. Je lui caresse doucement le torse du bout des doigts. Il a un peu repris son souffle … il redresse la tête et il me regarde en secouant la tête:

- Putain, mec … t'as un cul … 


Il laisse retomber sa tête sur l'oreiller et, en la secouant encore de droite à gauche:

- J'en ai déjà baisé pas mal, des culs, mais alors, le tien … ouaaaaahhhh !


Alors je me glisse vers son ventre … prenant appui sur mes mains, de part et d'autre de ses hanches, je pose mes lèvres sur ses abdominaux … surpris, il redresse encore la tête, il me regarde, il me sourit et il laisse retomber sa tête … je pose des baisers sur son ventre … j'approche mes lèvres de son sexe … hhhhmmmm, c'est cette merveille qu'il a enfoncée en moi ! Je pose un baiser sur son gland, puis je continue tout au long de sa verge … je sens … je sens l'odeur de son sperme … et un peu de l'odeur vanillée de mon lubrifiant … je me mets à saliver … voilà ses couilles … elles sont tombées entre ses cuisses ... je les remonte délicatement avec mes doigts et je les embrasse à leur tour … ça le fait rire … alors, de nouveau, il se redresse et s'appuie sur ses coudes:

- Ben dis donc … j'avais déjà vu une fille folle de bite faire ça …  pour me remercier de l'avoir baisée … et ben ... tu fais pareil !

- C'est parce que JE SUIS AUSSI une folle de bite … alors je te remercie de m'avoir baisée … merci … merci … merci …


J'accompagne mes remerciements de bisous sur sa queue … et je remonte vers son gland en donnant de petits coups de langue tout au long de son urètre … hhhhmmmm, je vais prendre son gland dans la bouche, et je vais le sucer … voilà … j'ouvre la bouche, et … oh la laaaaa, ce que c'est bon ! Le goût de sa semence, sur ma langue … hhhhmmmm ! 


- Non, non ! Arrête ! Arrête ! J'ai le gland hyper sensible, maintenant ! Tu me fais mal !


Il repousse ma tête et, en se tortillant, il s'assied, adossé à la tête du lit à côté de Bernard. Il tire sur la peau de sa verge et se re-calotte le gland. Je me remets sur le ventre, accoudé à hauteur de ses mollets, le menton appuyé sur mes mains et je regarde mes deux amants … Sous mes yeux, j'ai mes deux mâles, leur bite maintenant mollement étendue au coin de leur cuisse et de leur ventre … je suis fière de moi … je leur ai vidé les couilles à tous les deux … de nouveau, je ressens cette impression d'avoir accompli une sorte de mission, d'avoir fait ce pour quoi je suis faite. Ils se regardent et se marrent. Jean-Pierre:

- Dis … tu … tu fais ça souvent ?

- Je fais quoi, souvent …

- Ben ça … te faire baiser par deux mecs …

- Par deux mecs, je dirais pas que c'est souvent …

- Comment ça … je comprends pas … pourquoi t'insistes en disant "par deux mecs " … 

- Ben parce que, par deux mecs, c'est pas si souvent, mais par plus que deux mecs, ça m'arrive …

- PAR PLUS QUE DEUX MECS ? ! ? ! 

- Oui. 

- Tu t'es déjà fait baiser PAR PLUS QUE DEUX MECS ? ! ? !

- Oui.

- EN MÊME TEMPS ?

- Oui.


Ils sont sidérés. Jean-Pierre, visiblement excité:

- Raconte …


Je les observe. Je crois que le moment est venu de leur montrer … Je m'assieds sur le lit:

- Attendez. Avant … vous voulez boire quelque chose ?

- Ah ben oui.

- Alors, bougez pas … je reviens.

- Où tu vas ?

- Chercher à boire.

- C'est où ?

- Dans la cuisine commune …

- Tu veux que je vienne ?

- Euh … non, c'est pas la peine …


Je descends du lit … le dos tourné à mes deux queutards, je rajuste mon porte-jarretelles qui est un peu descendu sur mes hanches, puis je remonte mes bas et je les lisse du plat de la main … quand je me retourne, les deux mecs me regardent, un drôle de sourire sur la tronche … Jean-Pierre:

- C'est dingue, hein … même simplement quand tu fais ça … remettre ton porte-jarretelles et remonter tes bas … tu fais vraiment ça comme une gonzesse … et de dos, comme ça, si on voyait pas ta bite et tes couilles qui pendent entre tes fesses, on dirait vraiment une gonzesse … un peu taillée, comme gonzesse, mais quand même …


Je leur souris, je récupère mon déshabillé et je le mets. Il me regardent toujours, étonnés, souriants. Je sors.


Il fait beau mais il fait frais. Pieds nus sur le bois de la galerie qui dessert les chambres, je me dirige sans hâte vers la cuisine. Je me sens bien … je viens de faire tirer leur coup à deux mecs et ils m'attendent dans ma chambre … et puis c'est tellement agréable de me balader dans les parties communes de ce gite, comme ça, les fesses à l'air sous mon déshabillé. Je suis un peu baigné d'adrénaline, parce que même si, en principe, aujourd'hui, il n'y a que nous trois ici, on ne sait jamais, la gérante pourrait être revenue … ou un client inattendu pourrait débarquer … Je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre, lubrifiées par ce qui s'écoule de mon cul, mélange de sperme, de lubrifiant et de sécrétions anales. Je récupère dans le frigo les boissons que j'ai achetées, ainsi que des dosettes de café, et je les fourre avec des verres dans un sac … au passage, j'emprunte la bouilloire électrique et je regagne ma chambre.


Je pose tout sur la table et, tout en allumant mon ordi:

- Vous voulez boire quoi, les garçons ? Whisky … jus de fruit … bière … je peux même vous faire un café … c'est des dosettes, mais y'a que ça …

- Alors bière.

- Pareil. Mais, tu fais quoi avec ton ordi ?


Jean-Pierre semble un peu inquiet. Il doit avoir peur que je les filme avec ma webcam. Je le rassure:

- T'inquiète, mec … ça vous dit de regarder des vidéos ?

- Des vidéos ... de cul ?

- Oui, on peut appeler ça des vidéos de cul. Alors, ça vous dit ?


Ils sont intrigués.

- Ben ouais.

- Alors bougez pas, je prépare ça et je vous donne vos bières.


Je pianote sur mon clavier d'ordi à la recherche du dossier où sont les vidéos de mon gangbang … je sélectionne la première vidéo, je la fais démarrer et je la mets immédiatement sur pause. C'est bon … les toutes premières images de cette vidéo, c'est le gros plan sur mon coït avec le type que j'avais surnommé l'ours, quand il me prenait en cuiller … l'image fixe sur laquelle j'ai arrêté la vidéo est explicite … on voit mon bas-ventre avec ma queue en semi-érection, le haut de mes cuisses largement écartées, avec, entre elles, la bite de l'ours enfoncée dans mon cul, ses couilles et ses cuisses à lui, et sur mon ventre, on voit un tout petit peu du porte-jarretelles que je portais … on aperçoit aussi le haut d'un de mes bas … on voit bien qu'il y a un mec qui encule un autre mec, mais on ne voit pas ma tronche … pas encore. Tel que mon ordi est placé, Bernard et Jean-Pierre ne peuvent pas voir son écran … c'est prêt, il ne me restera plus qu'à allumer la télé.


J'ôte mon déshabillé, je prends deux canettes dans une main, la télécommande du téléviseur dans l'autre, et je m'approche du lit. Je tends les canettes aux deux mecs, je me tourne vers la télé et, avec la télécommande, je l'allume … en moins de deux secondes, l'écran s'éclaire et l'image fixe de la vidéo apparaît. Mes deux lascars, tout en avalant une première gorgée de bière, ouvrent de grands yeux. Jean-Pierre:

- Ah ouais ! C'est quoi, ce film ?

- Tu vas voir …

- C'est filmé au smartphone, non ?

- Exact.


Je démarre la vidéo, je passe par dessus les jambes de Jean-Pierre et je leur fais signe de s'écarter pour me laisser de la place entre eux … je m'assieds en tailleur à hauteur de leurs cuisses et face à eux, donc en tournant le dos à la télé … et sans un mot, je prends leur bite entre mes doigts … chacun d'eux jette un rapide coup d'œil à ma main avant de reporter son regard sur la télé … hhhhmmmm … ils ont débandé et je trouve très agréable d'avoir leur sexe un peu mou dans mes mains … je n'ai pas besoin de voir l'écran pour savoir ce qui se passe derrière moi … j'ai regardé ces vidéos si souvent que, rien qu'aux sons, je sais exactement où on en est …


Soudain, dans une synchronisation parfaite, je vois la mâchoire de mes deux lascars s'abaisser et leurs yeux s'agrandir encore …

- Putain, mais … c'est toi, là ! T'es en train … de t'faire enculer !


Ça y est, le vidéaste de mon gangbang a fait un plan plus large, et maintenant on doit voir ma tronche. C'est Jean-Pierre qui a commenté, Bernard s'est contenté d'une exclamation sourde. Je n'ai pas besoin de confirmer, je sais qu'on me reconnaît parfaitement. Jean-Pierre enchaîne:

- Oh meeeeeerde ! Ils sont combien, les mecs, autour ? Putain, c'est … c'est une partouze entre mecs ?


 

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 12 juin 2019 3 12 /06 /Juin /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Mercredi 20 décembre. 15h00  

 

Avec Gégé, après être sortis du restaurant, nous avons pris la route du retour et nous avons commencé à parler de cul. Il a tout compris … en particulier, il a deviné mon intention de faire de ma ferme de Coat-an-Bleiz un "baisodrôme". C'est lui qui a trouvé l'expression … un baisodrôme ! C'est exactement ça. Naturellement, il a voulu en savoir plus sur moi et le cul.


Alors je lui raconte Bernard, le type à qui j'ai taillé une pipe, dimanche dernier … je lui raconte tout, dans le détail …  ma balade sur la plage, habillé en fille, mon incursion dans la propriété dont Bernard a les clefs, sa voiture, la pipe que je lui ai taillée … tout … Il semble quand même encore un peu sceptique. J'enchaîne:

- Tu sais, avec un peu de temps, ça peut se trouver, toute une équipe de mecs à faire venir à la ferme pour me baiser… il faut chercher, évidemment, et des fois ça marche, des fois, ça marche pas… samedi soir, par exemple, quand tu m'as vu, avec ton copain, je venais draguer …

- Ah bon ? Mais … comment ça …

- Ben, j'allais voir dans les bars sur le port, si je pourrais pas trouver des mecs … mais la plupart des cafés étaient fermés, et le seul où il y avait du monde, les mecs étaient en train de regarder un match de foot à la télé … alors j'ai fait chou blanc … Pour en revenir au mec de dimanche à qui j'ai taillé une pipe, si ça te dit, avant de te ramener, on passe à mon gite, et je te montre la tenue de fille que je portais quand je l'ai sucé, ce type … et je te montre aussi mes vidéos …

- Nan, nan … on passe pas à ton gite …

- Pourquoi, t'as peur ?

- Nan, c'est pas ça … mais on y passe pas … tu me déposes chez moi … enfin, chez TOI, et c'est tout.

- Bon, comme tu veux.


Sa curiosité doit être satisfaite … ou alors, il doit trouver qu'on est sur un terrain glissant, comme on dit,  parce que la conversation s'arrête là … du moins pour ce qui concerne le cul … Je le dépose et je descends voir Gwen à son agence. Elle est en rendez-vous avec des clients, mais elle me fait signe d'attendre. Je m'assieds.


Quand elle en a terminé avec ses clients, elle me reçoit. Je lui explique ce qui se passe avec Coat-an-Bleiz … l'erreur des notaires, le rendez-vous avec l'équipe municipale de Plouménez et ses projets, la visite des lieux … tout … enfin, pas la séance avec son cousin Gégé, évidemment. Je lui demande si la mise en vente des terrains l'intéresse … évidemment oui. Selon elle, le mieux serait de les proposer à un promoteur immobilier et de le charger de s'occuper des lotissements. Elle semble bien maîtriser le sujet. Elle n'est pas surprise par la tentative des notaires de me faire vendre la propriété pour une poignée de cerises … comme je lui annonce que j'ai l'intention de leur rentrer dans le lard, elle m'en dissuade … selon elle, il vaut mieux attendre qu'ils aient régularisé la succession de mes parents … si je leur rentre dans la gueule avant, ils seraient capables de faire traîner les choses ou de me mettre des bâtons dans les roues … toujours selon elle, je devrais même les appâter en leur faisant croire que c'est eux qui seront chargés de la vente des terrains … comme ça, ils feront sûrement tout leur possible pour accélérer les choses, et peut-être aussi pour réduire mes frais sur la succession … Elle a raison … Je lui prête les photocopies de cadastre que le maire de Plouménez m'a données et on convient d'aller voir les lieux ensemble.


Je rentre au gite. Allongé sur mon lit, je me repasse en tête les événements de cette journée … en particulier la séance avec Gégé … Gégé qui me pelote … Gégé qui se branle … Gégé qui jute sur mon cul … et je me caresse … et je me refais un scénario avec Gégé qui me baise à Coat-an-Bleiz … Gégé qui me baise dans la maison … Gégé qui me baise dans le grenier … Gégé qui me baise dans la crèche … Gégé qui me baise dans la boue de la marre qu'on a trouvée au milieu des roseaux … je me branle … je me branle et je jouis … je me branle, je jouis et je m'endors …


Il est dans les dix sept heures quand mon téléphone me réveille. C'est la secrétaire des notaires qui m'appelle. ils voudraient bien me voir … dès demain matin, si je peux. Je peux. Nous prenons rendez-vous pour dix heures.


J'ai à peine terminé, que mon téléphone sonne encore. C'est un numéro que je ne connais pas, mais apparemment, c'est un indicatif du coin. Alors je réponds:

- Oui ?

- C'est Bernard … tu sais … on s'est vus dimanche …

- Ah oui … Bernard … je t'ai taillé une pipe …

- Oui. Là, je t'appelle du boulot. Tu m'avais dit que je t'appelle si … tu vois ?

- Oui, si t'avais encore envie que je te suce …

- Voilà … alors, je me demandais … on pourrait se revoir ?

- Ben sûr. Tu veux quand ?

- Ben, samedi … autrement je bosse, et …

- … et le soir, en semaine, il faut que ta femme te trouve à la maison si elle t'appelle …


C'est seulement à ce moment que je me dis que, si ça se trouve, mon portable est toujours sur écoute. Si c'est le cas, les flics vont encore se régaler. Bernard:

- Ouais, c'est ça.

- Bon, OK pour samedi … le matin ou l'après-midi ?

- Ben, plutôt l'après-midi.

- OK, je te donne l'adresse …

- Ouais, attends ! Tu te rappelles ? Tu m'avais dit aussi … si jamais … si jamais je connaissais quelqu'un qu'avait envie …

- Oui, je me rappelle …

- Ben, mon collègue, là, il serait d'accord ... je t'ai parlé de lui …

- Ah, oui. Ben très bien !

- Ouais, il écoute, là, j'ai mis sur haut parleur … alors tu serais d'accord pour qu'il vienne aussi ?

- Ben oui, je te l'ai dit ... il voudrait quoi, ton collègue … que je lui taille une pipe, ou plutôt me baiser ?

- Attends … je te le passe …

- Allô !

- Oui, salut, je t'écoute.

- Ouais, salut … je suis un collègue à Bernard. Ben dis donc, t'es direct !

- Oui. Je ne vois pas pourquoi tourner autour du pot, hein …

- Ouais. C'est vrai ce qu'il m'a dit ? Que tu l'as sucé, dimanche …

- Oui, c'est vrai.

- Et … que tu l'as sucé à fond ? Je veux dire … il t'a juté dans la bouche et t'as avalé ?

- Oui, c'est vrai.

- Il dit aussi que t'es d'accord pour qu'il amène quelqu'un d'autre …

- Ben oui … t'as entendu, puisqu'il a mis sur haut parleur … Tu peux venir avec lui si tu veux … au contraire, même, tu connais l'adage … plus on est de fous …

- Oui, plus on rit. Et tu …

- Ben, je te taillerai aussi une pipe, si tu veux … ou si tu préfères, tu pourras me baiser … c'est toi qui vois.

- Ah putain … t'es vraiment direct, toi … et tu … tu te fais pas payer ?

- Non, non. Bernard, il a pas payé, il a dû te le dire. Et tu paieras pas non plus. Alors ? Qu'est-ce que tu préférerais, te faire sucer ou me baiser ?

- Ben je sais pas … faut voir … si t'es … si t'es comme il m'a expliqué, pourquoi pas te baiser …

- Il t'a expliqué quoi …

- Ben … il a dit que t'as un cul … un cul … terrible, quoi … un vrai cul de fille …

- Il t'a dit ça ? Un vrai cul de fille … 

- Ouais, enfin, il a pas dit que ça … il a dit aussi "un vrai cul de salope" … je m'excuse, hein …


Derrière lui, j'entends Bernard qui proteste « T'es con, Jean-Pierre … lui dis pas ça ». Je les rassure:

- T'inquiète pas, c'est ce que je suis, une salope, alors ça me dérange pas … 

- Bon, ben … on verra, alors … j'dis pas non … Attends, Bernard, il veut encore te parler, j'te le passe … à samedi.

- Ouais, à samedi.

- Ouais … c'est Bernard. Dis, tu pourrais remettre ta robe, là ... celle que t'avais, dimanche …

- Ben si tu veux … mais comme on sera à l'intérieur, je peux aussi me mettre en lingerie … j'en ai acheté …


J'entends le collègue, à côté de Bernard, qui approuve « Ah ouais … en lingerie ! Moi, je veux bien ! ». Bernard:

- T'as entendu ?

- Ouais.

- C'est quoi, comme lingerie ?

- Des porte-jarretelles et des bas, des petites culottes, des nuisettes …

- C'est quoi, des nuisettes ?


J'entends l'autre, à côté « Ah ouais, des nuisettes … je connais … c'est vachement bien ! J't'expliquerai, Bernard. »


- Bon, ben, comme tu veux, alors … va pour la lingerie. C'est où que t'habites, alors ?


Je lui donne l'adresse, et:

- C'est des gites. Il y a 8 chambres. Vous verrez, elles sont alignées, les unes à côté des autres, le long d'une galerie. La mienne, de chambre, c'est la dernière, tout au bout de la galerie. De toute façon, actuellement, il n'y a que moi, vous pouvez pas vous tromper. Vous vous garez au bout du parking … de là, il y a un escalier qui donne juste au bout de la galerie, à côté de ma chambre.

- Ça te dérange pas … vis à vis des gens du gite ?

- Non. Si ça se trouve, la gérante, samedi après-midi, elle ne sera même pas là. Et de toute façon, elle ne contrôle pas les allées et venues des visiteurs.

- Bon, ben … à samedi.

- Attends … donnez-moi une heure … même à peu près, que je me prépare …

- Ben … disons … deux heures et demie … ça irait ?

- Ouais, très bien … deux heures et demie. À samedi.


Yesss ! Le collègue, j'ai l'impression qu'il est moins coincé que Bernard. Lui, il se pourrait bien qu'il me saute. Evidemment, je me mets tout de suite à me faire un scénario de ces deux mecs avec moi dans ma chambre … Ça commence au moment où j'ouvre la porte de ma chambre et où je les accueille en petite tenue, nuisette, porte-jarretelles et bas … et là, je ne sais pas pourquoi, je ressens … je ne sais pas … une sorte de malaise … il manque quelque chose … Oui, je sais ! C'est cette petite tenue … ça ne va pas … non pas la petite tenue par elle-même, mais c'est d'accueillir ces deux mecs comme ça, tout de suite … c'est trop … trop brutal, trop direct … il faut que je trouve un moyen de … il faudrait … oui, il faudrait que je les accueille en robe de chambre, par exemple … Je me souviens, quand Jacky, le mac, était débarqué chez moi avec des potes à lui pour me baiser, je les avais reçus dans un déshabillé rose pâle … Oui, il me faudrait quelque chose dans ce genre par-dessus ma nuisette … quelque chose que je mettrais seulement pour les accueillir, et après, hop, je l'enlève … Bon, là, il est trop tard, mais demain, après les notaires, je retourne dans la zone commerciale ou en ville et je me trouve quelque chose de sexy.


Bon. Les choses se présentent plutôt bien. J'espère seulement que le collègue de Bernard va avoir envie de me sauter.


Mercredi 20 décembre 16h00


Voilà, mon rendez-vous chez les notaires s'est bien passé. Ils voulaient me tenir informé de l'avancement du dossier: ils ont fait le nécessaire pour régulariser la situation auprès des impôts et du cadastre. Tout fiers d'eux, ils m'annoncent avoir obtenu que je ne paie aucune pénalité de retard. Et ils me font cadeau des frais d'acte. De toute façon, c'est le moins qu'ils peuvent faire. De mon côté, je leur parle de ma visite des lieux et de mon entrevue avec le maire de Plouménez et son équipe. Evidemment, je ne fais aucune allusion aux révélations qu'ils m'ont faites sur eux, les notaires. Je leur annonce mon intention de vendre des terrains petit à petit, dès que tout sera en ordre et que leur classement en terrains à bâtir aura été validé. Bien sûr, ils sont à ma disposition pour s'occuper des actes de vente … bien sûr, bien sûr, hé hé hé … Ils sont ferrés, j'en suis sûr.


Là, je suis en ville et je sors de la boutique de lingerie où j'avais acheté des porte-jarretelles, lundi. La vendeuse m'a reconnu et m'a demandé si les porte-jarretelles avaient plu. J'ai failli lui dire qu'ils m'avaient plu puisque je me les étais offerts, mais je me suis abstenu. On verra … si j'y retourne régulièrement, peut-être qu'un jour, je lui dirais que c'est pour moi, la lingerie que j'achète. Elle m'a présenté plusieurs modèles de "déshabillés", et elle m'a aidé à choisir … je me suis décidé pour un "déshabillé" en satin blanc cassé … très doux au toucher … il m'arrive un peu au-dessus du genou – oui, pendant que la vendeuse allait chercher un autre modèle dans l'arrière-boutique, j'ai plaqué le déshabillé devant moi pour voir ce que ça donnait – et il ne tient fermé que par une ceinture également en satin … il suffit de la dénouer pour que le déshabillé s'ouvre et dévoile ce qui est dessous … C'est un peu cher, dans cette boutique, mais la vendeuse est sympathique, discrète et de bon conseil … apparemment, elle a bien intégré que l'essentiel de ce qu'elle vend, c'est pour le sexe, ou du moins pour les préliminaires. 


Avant, j'étais allé dans la zone commerciale Je suis retourné dans le magasin où j'ai acheté ma lingerie samedi dernier. J'ai encore jeté un coup d'œil dans ce rayon, mais il n'y avait rien de nouveau. Par contre, en fouillant bien, j'ai trouvé un nouveau jean pour femme, en toile stretch. Il faut que je nettoie le premier … je ne peux pas garder la tache de sperme de Gégé indéfiniment. Je le laverai ce soir, dans le lave-linge du gite. Par ailleurs, dans un magasin de produits cosmétiques et d'accessoires, j'ai trouvé et acheté deux perruques. Oui, je me suis dit que ça aiderait peut-être Bernard et son collègue si j'ai une tête qui me fait davantage ressembler à une fille … de dos, du moins … ou plus exactement, de derrière … j'ai donc choisi une perruque châtain et une blonde, toutes les deux aux cheveux mi-longs … il ne faut quand même pas que les cheveux me gênent pendant que je suce. Je crois que maintenant, je suis paré.


Jeudi 21 décembre.


Je passe la journée dans ma chambre à essayer mes emplettes. C'est pas si mal, avec une perruque. Il faudrait que j'apprenne à me maquiller pour atténuer mes traits masculins. Mais c'est pas pour maintenant. 


En début d'après-midi, Yolaine, ma voisine de Seine-et-Marne, m'appelle pour prendre des nouvelles. Je lui explique où j'en suis et je lui raconte Bernard – et ma balade en "fille" sur la plage et le sentier côtier – . Mais je m'abstiens de lui parler de la séance avec Gégé … comme il se pourrait que je sois encore sur écoute, il ne faudrait pas que, d'une manière ou d'une autre, cette histoire arrive aux oreilles du capitaine Blanchard et qu'il s'en serve contre Gégé. Je lui raconterai de vive voix, à Yolaine, quand je serai rentré. Elle a remis de l'ordre chez moi, après le bordel que les flics avaient fait en perquisitionnant. Quand je pense qu'il y a seulement quelques mois, c'était encore la guerre froide entre elle et moi !


Un peu plus tard, je reçois un coup de fil du magasin de meubles de Brest, où j'ai commandé de quoi équiper ma maison. Ils proposent de me livrer mercredi prochain, le 27 décembre, tôt dans la matinée. Ce sont les livreurs qui monteront les meubles. Comme il y en a pas mal, ça devrait prendre deux ou trois jours. Ça marche. J'y serai. Il faut que je prévienne Gégé. C'est con qu'il n'ait pas de téléphone. Je passerai le voir demain.


Vendredi 22 décembre. 10 heures.


J'arrive chez Gégé … enfin, non … chez moi. Je le trouve dans la cuisine … il vient juste de revenir de faire des courses. Il m'examine de la tête aux pieds … il faut dire, j'ai mis mon nouveau jean moule-bite et moule-cul. Il sourit:

- Salut, patron. Ça va ?

- Salut Gégé. Ça va. Et toi ?

- Impec. T'as remis ton jean ?

- C'en est un autre que je viens d'acheter. Il te plaît ?


Il ne répond pas, il sourit. Après la séance de mardi, quand il m'a tripoté le cul, qu'il s'est branlé et qu'il s'est répandu sur mon jean, je m'attendais à ce qu'il soit un peu gêné. Mais pas du tout, il a l'air très à l'aise. Tant mieux. Ce mec est simple. J'insiste:

- Tu trouves pas qu'il me fait aussi un beau cul ?

- Si, si …


Mouais, pas vraiment convaincu, mais il ne veut pas me contrarier … ou alors il a peur que je lui demande encore de me tripoter. 


- Je suis venu te dire … mercredi prochain, on me livre des meubles.

- Ici ?

- Oui. On m'a dit en début de matinée, mais je ne sais pas exactement à quelle heure. 

- C'est pas grave, je serai debout.

- Je serai aussi là … pour dire aux livreurs dans quelles pièces vont le meubles. C'est eux qui vont les monter … tu sais, les meubles arrivent en pièces détachées, dans des cartons, et …

- Ouais, je sais comment ça se passe, je suis pas débile. J'en ai déjà monté pour des gens.

- Ah, très bien. Comme il y en a beaucoup, ça va prendre du temps … peut-être deux ou trois jours …

- Faudra que je parte, après ?

- Ben non … faudra pas que tu partes … tu peux rester si tu veux. Tu te choisiras une chambre … et moi une autre …

- Parce que … tu vas habiter là ?

- Oui. Maintenant que la maison sera meublée et équipée, je vais pas rester dans mon gite, hein …

- Ah ben ouais …

- Ça te gêne ?

- Nan, je … je sais pas … 

- Bon. Faut que j'aille jeter encore un coup d'œil dans les chambres …


Je m'engage dans l'escalier. En amorçant le virage du palier intermédiaire, je m'aperçois que Gégé est sorti de la cuisine, et qu'il me regarde monter. Il doit encore mater mon cul.


Je pense que je vais prendre la chambre de gauche, sur le palier. Elle est un peu plus grande que celle de droite. Gégé pourra prendre celle de droite. Je ferai mettre le lit ici … les tables de chevet de part et d'autre … en face, l'armoire-penderie … contre ce mur, la commode … Je retourne sur le palier:

- Gégé ! Tu peux venir ?


Il monte lentement en me regardant, l'œil froncé.


- Je vais prendre cette chambre-là, et toi l'autre, en face. Ça te va ?


C'est en lui disant ça que je réalise vraiment ce qui se passe, ce que je suis en train de faire … je me mets en ménage avec Gégé ! Oh, bien sûr, nous ne sommes pas un couple, loin de là, mais tel que les choses se passent, ça y ressemble. Il secoue la tête:

- Je … je sais pas, hein … si … si on habite là tous les deux … les gens, ils vont croire … ils vont croire qu'on est tous les deux des pédés … et moi, je suis pas un pédé …

- Ah, c'est ça ! 

- Ben ouais … toi, tu t'en fous que les gens te prennent pour un pédé, mais pas moi … j'ai pas envie … Ici, tout le monde me connaît … et ça se saura, si j'habite avec toi … 

- Ah OK. Mais ici, jusqu'à présent, à part toi, personne ne sait que je suis un pédé …

- Bah … si tu continues à te balader avec tes jeans de gonzesse … et puis, y'a l'autre enfoiré de Blanchard, qui sait que t'es un pédé …

- Ah ouais, t'as raison … ben, je sais pas quoi te dire, alors …Si ... ce que je peux faire, c'est arrêter de porter ce genre de jean … pour le moment, il n'y a que toi qui m'as vu comme ça … 


Je ne lui dis pas que je suis passé voir sa cousine Gwen dans cette tenue, l'autre jour … mais ça doit pas être le genre à faire des commérages, Gwen. Il réfléchit intensément. Puis:

- Bon. Pour le moment, disons que je prendrai cette chambre. D'ailleurs, c'est déjà là que je dors. Après, quand les meubles seront là, on verra.

- Bon, très bien. 


Il reste sur le palier, immobile, pendant que je jette un coup d'œil dans la soupente, à l'arrière des chambres. Ouais, là, avec un lit de chaque côté et un canapé-lit au milieu, ça sera pas mal. Quand je reviens sur le palier, Gégé s'écarte un peu. Je me dis qu'il va peut-être encore me coller sa main au cul quand je vais passer devant lui pour redescendre. Mais non. Il se contente de me suivre dans l'escalier. Je ne suis même pas sûr qu'il mate encore mon cul. Arrivé dans le salon, je me retourne:

- Bon, salut Gégé … à mercredi.

- Ouais, salut patron.


Apparemment, ça l'amuse, de me donner du "patron" à tout bout de champ. En sortant, je regarde autour de moi. C'est vrai, depuis que je suis arrivé, je n'ai pas fait attention aux voisins. Je ne sais même pas qui habite juste à côté. Gégé doit les connaître, il connaît tout le monde ici. 


Je rentre au gite et, comme l'autre jour, je passe mes derniers achats au lave-linge après les avoir un peu imprégnés de parfum. Tandis que j'attends que la machine ait terminé son cycle, la gérante des gites se pointe dans la buanderie:

- Bonjour.

- Bonjour. Dites … demain, ne vous étonnez pas, je ne viendrai pas … je n'ai pas de réservations pour ce week-end.

- Même pas demain matin ?

- Non. Alors ça ne servirait à rein que je vienne. Et puis, je vais en profiter pour aller faire mes courses pour le réveillon. La maison sera entièrement à vous pour le week-end.

- Vous ne venez pas non plus dimanche matin ?

- Non. Pour une fois, grasse matinée avec mon mari.

- Bon week-end, alors.

- Merci. Pour le téléphone, j'ai fait le transfert d'appel vers mon numéro personnel, au cas où … Je vous le donne aussi, pour le cas où il se passerait quelque chose …

- D'accord. 


Elle me tend un post-it avec un numéro, elle me serre la main et elle s'en va. 


Samedi 23 décembre.


En début de matinée, je fais un saut au supermarché pour acheter quelque chose à manger et à boire … pour moi, mais aussi pour les deux lascars qui doivent venir cet après-midi. J'en profite pour prendre un flacon de lubrifiant. Je me dis que, mercredi, pendant que j'étais en ville, j'aurais dû chercher un sex-shop … il doit bien y en avoir un … je me serais acheté un cock-ring … et peut-être un ou deux godemichés … tant pis, en guise de cock-ring, l'élastique à cheveux dont je me suis servi dimanche fera encore l'affaire. Mais il faudra que j'y pense la prochaine fois que je retourne en ville. Et puis, en passant devant le petit rayon informatique et connectique, il me vient une idée: et si j'achetais de quoi relier mon ordi à la télé … Dans mon gite, la télé qui est fixée au mur, juste en face du lit, est plutôt grande pour un gite. Ça me permettrait de passer mes vidéos de cul sur ce grand écran avant et pendant mes ébats avec mes ... "invités".


Une fois rentré et mes courses rangées dans la cuisine commune des gites, je m'occupe de brancher mon ordi sur la télé. Il me faut quelques minutes pour comprendre les explications figurant sur l'emballage du câble que je viens d'acheter, et pour trouver la touche de la télécommande qui va bien, mais je finis par y arriver. Yesss ! Ça marche ! Oh, putain, c'est quand même mieux comme ça ! La définition des images sur cette télé est tellement bonne que j'ai l'impression de redécouvrir mes vidéos.


Et puis j'entreprends de me préparer pour recevoir Bernard et son collègue. Comme à chaque fois dans ces circonstances, je commence par une première série de lavements avec l'embout du flexible de douche. Il n'est pas question que celui qui m'enculera se retrouve avec la queue souillée de merde. Hhhmmm … c'est non seulement très agréable de se remplir le ventre avec de l'eau tiède, mais ça commence à me détendre, à me dilater le sphincter anal … 


Puis c'est le rasage … intégral. Non seulement la bite, les couilles, le périnée et le cul, mais aussi les fesses, les reins, le torse, les aisselles, les jambes … tout ! Evidemment, la barbe et la moustache aussi. Au total, ça me prend presque une heure. Il faudrait bien que je me décide pour une épilation totale qui dure et qui évite ces repousses trop agressives. Mais enfin, là, c'est déjà pas mal … avec une bonne couche de crème hydratante partout, me voilà avec la peau lisse, douce et soyeuse … une vraie peau de jeune fille … dommage que ça ne dure pas … mais pour les quelques heures qui viennent, ça ira. Je m'injecte aussi une dose de lubrifiant dans le cul … il va commencer à m'imprégner les muqueuses … 


Ensuite, j'essaie différentes options de lingerie … et finalement, j'opte pour ce qui me semble le plus efficace au point de vue apparence … ce sera tout en rouge … porte-jarretelles rouge, bas rouges et nuisette rouge … j'essaie aussi le string rouge, mais ce n'est pas sûr que je le mette … on verra … un coup d'œil dans le grand miroir de la salle d'eau … hhhmmmm, cette nuisette transparente avec ces trois petits rubans de satin qui se nouent au niveau de la poitrine … c'est tout ce qui la tient fermée … plus bas, au niveau de l'abdomen, elle s'ouvre et flotte librement … ce n'est même pas la peine de dénouer les petits rubans de satin pour accéder à ce qui est en dessous … je fais vraiment très salope, comme ça … le petit chaperon rouge qui s'apprête à faire la pute … je n'ai plus qu'à attendre le loup … et le chasseur, évidemment … ensuite, j'essaie les perruques … c'est pas mal, mais je le sens pas, avec une perruque ... on verra, peut-être que je n'en mettrais pas … Non seulement mon apparence me plaît dans cette tenue, mais je m'y sens physiquement bien … confortable … ma nuisette est tellement légère, tellement douce et aérienne … je sens … partout sur mon corps, je sens l'air tiède de la chambre qui passe à travers le fin voile et qui me caresse … c'est sensuel et jouissif.


Bon, voilà, je crois que je suis prête … il n'y a rien à faire, dans ces circonstances, je ne peux pas m'empêcher de ne considérer comme … comme une fille … jusqu'à employer le féminin en pensant à moi. Ça m'a fait la même chose dimanche matin, quand j'ai commencé à me balader sur la plage en robe et en collant ouvert … là, c'est ce que je porte, cette lingerie, et ce sont mes préparatifs pour recevoir ces deux types … oui, je me prépare vraiment comme une fille qui va recevoir ses amants … Justement, reste plus qu'à les attendre, les deux mecs … les deux queutards … MES deux queutards ! J'ôte la perruque, elle me tient trop chaud … je ne la remettrai que quand ils arriveront. Mais j'enfile quand même mon string … il arrive tout juste à contenir mon paquet … je sens que, si je commence à bander là-dedans, ma queue va déborder.


Depuis que je les ai eus au téléphone, mes deux queutards, je n'arrête pas de penser à eux … enfin, pas constamment, mais à chaque fois que je n'ai pas à penser à autre chose … et quand je pense à eux, quand je pense à ce qui va se passer samedi après-midi, à ce que ces deux mecs vont me faire, et je … je mouille comme une folle … c'est une image, évidemment … je ne mouille pas vraiment, mais je me sens tellement excitée, le bas-ventre et la chatte tellement émoustillés … Tiens, c'est la première fois que je pense à mon trou du cul comme à une chatte ! Jusqu'à présent, je m'interdisais ce genre d'assimilation … quand je voyais sur Internet d'autres travelos parler comme ça de leur trou de balle, je trouvais ça ridicule. Il faut croire que mon inconscient prend le dessus. Quoi qu'il en soit, j'ai vraiment le bas-ventre et la chatte enflammés, frémissants … j'ai tellement hâte de me faire tirer … j'ai tellement hâte de me prendre mes deux cartouches … Ah putain, encore deux bites ! Deux bites DANS moi ! Deux bites qui jouissent … deux bites qui déchargent leur jouissance DANS moi ! Le désir monte en moi, qui m'étreint le cul et les reins.


Histoire de patienter, je fais défiler mes vidéos sur la télé … et ça, pour le coup, ça me fait vraiment mouiller … je bande, et ma queue qui commence à tendre la ceinture élastique de mon string, se met à bavouiller un peu de liqueur. J'espère qu'elles seront à l'heure, les deux bites … par acquis de conscience, je me refais quelques lavements … ça va, l'eau qui ressort de mon cul est toujours impeccable … je remets un peu de gel lubrifiant …


C'est le bruit d'un moteur et celui de graviers qui crissent, qui attirent mon attention. Je me lève d'un bond, et je regarde par la fenêtre. C'est eux ! Je reconnais la 205 de Bernard en train de se garer ! J'aperçois une silhouette assise à la place du passager. Son collègue est venu ! Vu d'ici, à travers le pare-brise, il paraît plus grand que Bernard. Mais je ne les regarde pas descendre de voiture … je préfère ne pas voir à quoi le collègue ressemble avant qu'il n'entre dans ma chambre … de toute façon, qu'il soit beau ou moche, je le veux … jeune ou vieux, gros ou maigre, black, blanc ou beur, je le veux … Rapidement, pendant qu'ils descendent de voiture et montent l'escalier, je m'empresse de mettre ma perruque et d'enfiler mon déshabillé. Juste au niveau de ma rondelle, je sens mes fesses qui glissent un peu l'une sur l'autre ... la chaleur de mon rectum a sans doute fait un peu fondre le lubrifiant que je me suis injecté, et il a dû un peu suinter. Mais ça va, ça n'a pas trop coulé … et c'est une sensation très agréable. Un coup d'œil dans le miroir … pour le reste, je suis impeccable ! J'éteins la télé et mon ordi. Je les mettrais en route plus tard … cadeau surprise pour mes invités.


Maintenant, mes invités, je les entends marcher sur le plancher en bois de la galerie … ils discutent sur un ton enjoué … on dirait deux potes qui viennent regarder un match de foot à la télé chez un copain … J'ai le cœur qui bat.


Toc toc toc !


Putain, l'image qui s'impose instantanément à mon esprit, c'est que, derrière cette porte, il n'y a pas seulement deux mecs, deux mâles … là, derrière cette porte, à peu près à hauteur de la poignée, il y a deux BITES … deux BITES que je vais faire grossir, deux BITES que je vais faire durcir … deux BITES qui vont me … 


J'ouvre. Ils sont là … Bernard devant, et son collègue un peu en retrait … en me découvrant, tous les deux ont la mâchoire qui tombe et les yeux qui s'écarquillent. Le collègue:

- Ah ouaiiiiiis ! CARRÉMENT !

- Salut, les garçons. Vous n'êtes que deux ? Dommage … entrez quand même …


Ça m'est venu tout seul, sans réfléchir. Ben oui, tant qu'à venir entre collègues, ils auraient pu en amener d'autres. Ils sourient, mais je ne suis pas sûr qu'ils aient fait attention à l'allusion. Je les laisse passer devant moi en tenant la porte … Bernard avance jusqu'au milieu de la pièce, un peu gêné … il examine alternativement la chambre et moi … son collègue, par contre, paraît beaucoup plus à l'aise … il est en effet plus grand que Bernard … aussi grand que moi, en fait … environ quarante ans … cheveux bruns, courts et un peu en bataille … les yeux marrons … costaud mais sans plus … la gueule assez quelconque mais avec je ne sais quoi d'agréable … je dirais … un mec franc, ouvert, direct … lui, les yeux pétillants, m'examine ouvertement de la tête aux pieds … à part la description que lui avait fait Bernard, il devait se demander à quoi pouvait bien ressembler celui qu'il allait baiser … il paraît satisfait de son examen … il sourit …

 

C'est quand même un peu dingue … lui comme moi, sans nous être vus auparavant ne serait-ce que quelques secondes, pas même en photo, nous avons décidé que l'un allait baiser l'autre. Et en effet, maintenant que nous voilà face à face, il n'y a pas l'ombre d'un doute, ce mec va bel et bien me baiser ! Je suis déjà amoureuse de lui … de lui et de Bernard. Comme il me sourit, le collègue, je lui souris aussi:

- Alors ? Satisfait ?

- Satisfait … pas encore, hein … c'est quand j'aurais tiré un coup, que je serai satisfait … 


Au moins, il est sans détour et sans filtre … cash ! Ça me plaît. Il poursuit:

- Mais autrement, pour un premier coup d'œil … ouais, c'est très bien … on peut en voir plus ?


Je referme la porte:

- Ben oui, évidemment …


Je dénoue la ceinture de mon déshabillé, je l'enlève et je le lance sur le lit. Me voilà en nuisette rouge transparente au ras des fesses, en string et en porte-jarretelles … Le collègue siffle doucement entre ses dents:

- Ah ouaiiiiiiis ! CARRÉMENT !


Il est un peu limité pour manifester son ressenti, ce mec … mais ça me va. Alors, comme je l'ai déjà fait à d'autres occasions devant des mecs qui allaient me baiser, je lève un peu les bras et je tourne lentement sur moi-même, pour le laisser découvrir le côté pile.


- Ah ouaiiis ! Puuutaiiiiin ! Je sens qu'on va se régaler, hein, Bernard …

- Bah ouais ! Tu vois ? J'te l'avais dit, hein …


Me voilà de nouveau face au collègue:

- Enlevez vos blousons, les garçons … donnez-les moi, je vais les accrocher … et mettez-vous à l'aise. 


Ils ôtent leurs blousons et me les tendent. Je leur tourne le dos et, en ondulant un peu du cul, je vais pendre leurs vêtements aux patères. Quand je me retourne, ils sont là, tous les deux, qui me regardent … ou plutôt qui me déshabillent du regard - pour le peu qu'il leur reste à déshabiller - … ce que je lis dans leurs yeux, c'est … du sexe … du sexe … et encore du sexe ! Même dans les yeux de Bernard … j'ai l'impression que, cette fois, il n'a pas l'intention de se contenter d'une pipe … il a envie de me baiser, et ça se voit ! C'est marrant, ils me font penser au loup de Tex Avery découvrant le petit chaperon rouge sexy … leurs yeux ne leur sortent pas de la tête, mais c'est tout comme … Et ça me … hhhmmm, j'en frissonne ! Mentalement, ils sont déjà en train de me peloter, de me tripoter, de me mettre leurs mains partout … et leurs doigts … et leurs bouches … et leurs langues … et leurs bites ! Oh, putain, qu'est-ce que je vais me prendre dans le cul ! Ils ne sont que deux, mais je suis tellement en manque qu'ils me font le même effet que la douzaine de types que j'avais découverts à mon arrivée dans la cour de Jean-Claude, le jour de mon gangbang ! 


Alors, inutile de tergiverser … je n'ai pas l'intention de leur proposer un café avant de passer à la casserole ! Je veux qu'ils me baisent TOUT DE SUITE ! Directement, je m'approche du collègue … à quelques centimètres, presque à le toucher, mon visage tout près de son visage, mes yeux dans ses yeux … il sent je ne sais quel après-rasage ou je ne sais quel déodorant, et il sent aussi … le mâle … ce n'est peut-être qu'un effet de mon imagination, mais je perçois une odeur de mâle … je lui plaque la main sur la braguette et je palpe:

- Qu'est-ce que tu attends pour te mettre à l'aise ?

- Ah putain, t'es une chaude, toi !


Il pose ses mains sur mes hanches, et:

- Mets ta main dans mon caleçon.


A tâtons, je cherche la languette métallique de sa fermeture Eclair … la voilà … je la descends … je glisse ma main dans sa braguette … hhhmmm, c'est chaud, là-dedans … il porte … c'est un caleçon en coton … avec une poche devant … et sous mes doigts, je sens … la bosse que fait sa bite … Oh, putain ! La tête rejetée en arrière, je ferme les yeux … Je crois … je crois que sa bite baisse le nez … oui, c'est ça … elle n'a pas l'air très grosse … pour le moment, du moins … je serre un peu mes doigts sur ce cylindre de chair et de sang … tout à l'heure, ce truc-là, tout gonflé, tout raide, il sera … il sera DANS moi ! 


Et soudain, je sens deux mains se poser sur ma taille … deux AUTRES mains … Bernard ! Il s'est approché en silence, et il est maintenant derrière moi … me voilà déjà pris en sandwich entre les deux mecs … Bernard se plaque le ventre contre ma croupe … je le sens un peu osciller du bassin … il est … en train de loger sa bite entre mes fesses … putain, il doit déjà bander ! Il appuie sa tête entre mes omoplates … je sens la chaleur de son haleine sur mon épaule, et: 

- Alors, Jean-Pierre … qu'est-ce que je t'avais dit, hein … c'est pas une grosse salope, ça ?

- Ah ouais … putain !


Ah oui, c'est vrai, il s'appelle Jean-Pierre. J'ai remonté ma main et j'ai commencé à la glisser dans la ceinture de son caleçon, contre la peau de son ventre … premier contact direct de ma peau avec sa peau … ah, voilà sa bite … hhhhmmm … elle est poilue, mais, sous mes doigts, je sens la peau de sa verge … elle est tellement douce … et là, un peu plus bas, son gland … son prépuce est aussi tellement doux … je presse son gland entre mes doigts et je le sens réagir … comme pulser … délicatement je le saisis et je le redresse … ah oui, comme ça, je peux prendre sa verge dans ma main … c'est ça qu'il va enfoncer dans moi … c'est avec ça qu'il va me féconder … je commence à faire aller et venir doucement ma main sur son sexe … Je commence à bander. Derrière moi, Bernard se frotte le bas-ventre contre mon cul … il a remonté ses mains jusque sur ma poitrine et il me pétrit les seins … je sens son souffle de plus en plus fort sur mon épaule …


Je veux … je veux voir comment sont les couilles de Jean-Pierre … je lâche sa queue, je descends ma main plus bas, vers le fond de son caleçon, et je la glisse … sous ses couilles … Oh putaiiiin … elles sont … elles sont tellement GROSSES ! Je les tâte, je les soupèse ... elles me semblent vraiment lourdes ... et j'ai l'impression que, contrairement à son sexe, elles sont totalement glabres … là, elles sont serrées, coincées au fond du caleçon, mais j'ai l'impression qu'elles sont dans des bourses … comment dire … dans des bourses amples, spacieuses … oh oui, qu'est-ce qu'elles sont lourdes ! Quand elles sont en liberté, elles doivent pendre comme les couilles d'un taureau … oh putain, je les aime, ces couilles ! Je devine leur forme … de grosses olives … de TRÈS grosses olives … un peu allongées … hhhhmmmm … des couilles comme ça, c'est … la force, c'est la puissance sexuelle, c'est la virilité !


Brusquement:

- Attends !


Jean-Pierre s'est un peu écarté de moi et il entreprend d'ôter son pull en le passant par-dessus sa tête … non, en fait, il ôte son pull ET son T-shirt d'un seul et même mouvement … je n'ai pas sorti ma main de son caleçon … le voilà torse nu … pas mal, d'ailleurs, son torse … musclé et encore bronzé, en plein mois de décembre ! Ce mec s'entretient, ça se voit. Et maintenant, il passe ses mains devant lui, entre mon ventre et la ceinture de son pantalon … il détache son bouton … et il commence à descendre son pantalon et son caleçon sur ses cuisses … il a le paquet à l'air … je baisse les yeux … je la vois, maintenant, sa bite … Oh la laaaaa, quelle merveille ! Ce n'est pas qu'elle soit exceptionnelle, mais j'en ai tellement besoin ! Il commence à bander, Jean-Pierre ? A l'œil, sa verge me paraît plus grosse qu'au toucher … pourtant, elle est encore molle entre mes doigts, flaccide … j'adore ! Je trouve ça attendrissant, une bite qui ne bande pas … ça me donne envie de lui faire des câlins, de lui faire des papouilles, de la couvrir de bisous … de la mettre au chaud dans ma bouche … je bande de plus en plus et ma queue commence à avoir du mal à s'épanouir dans mon minuscule string …


C'est comme un réflexe incontrôlé ! Mes jambes se mettent d'elles-mêmes à fléchir … et tout en commençant à me baisser, je pose des baisers sur le torse de Jean-Pierre, puis sur son abdomen, puis … me voilà à genoux à ses pieds … j'ai maintenant son sexe à hauteur des yeux … je le regarde … en effet, il dépasse d'une touffe de poils pas très épaisse … délicatement, du bout des doigts, je dresse sa verge à la verticale … Oh la vache, les couilles ! En effet, elles pendent beaucoup ! Oh la laaaaa ! Elles sont totalement imberbes … mais … imberbes naturellement, on dirait … ni rasées, ni épilées, parce que je ne vois pas la moindre trace de racine ou de bulbe … et la peau de ses bourses, lisse et brillante, est aussi bronzée que son torse … d'ailleurs, tout son bas-ventre et ses hanches sont bronzés … pas la moindre trace plus pâle d'un maillot de bain ou d'un slip … ce mec doit faire du bronzage intégral … Oh, ce que c'est beau, cet appareil génital ! Tout en maintenant sa verge à la verticale du bout des doigts, je prends ses bourses au creux de la paume de mon autre main … elles me remplissent la main ... et elles sont si lourdes ! J'approche mon visage et je commence à poser des bisous sur cette superbe paire de boules … 


Ça le fait rire. Tout en bisouillant ses boules, je lève les yeux sur lui … la tête penchée en avant, il me regarde, ébahi:

- Ah ben dis donc, t'aimes ça, hein … vas-y, ma chérie, moi aussi, j'aime ça !


Et il prend délicatement ma tête entre ses mains … « ma chérie » ! Il m'a appelé « ma chérie » ! Et tandis que je me frotte la joue sur ses boules, je sens … je sens Bernard qui se met à m'explorer délicatement le cul … je l'avais presque oublié, celui-là. C'est vrai, quand je me suis agenouillé, je l'ai laissé comme un con, avec sa queue en bannière … je jette un rapide coup d'œil derrière moi … il s'est aussi agenouillé … il a sorti sa queue et il se tripote en me pelotant le cul … alors, pour lui faciliter son exploration, j'écarte un peu mes genoux, je me cambre, et je me remets à frotter mon visage sur les boules de Jean-Pierre … hhhhmmm, c'est le bonheur ! Mes lèvres … mon nez … mes joues … mes paupières … mon front… tout y passe … je sens ses couilles bouger toutes seules, à l'intérieur de leurs bourses … elles sont vivantes, réactives … elles aiment ce que je leur fais … et moi, j'ai tellement hâte que Jean-Pïerre me plante son sexe au fond du ventre, j'ai tellement hâte qu'il y déverse le contenu de ses testicules ! Je bande tellement que j'ai l'impression que mon gland est passé par-dessus la ceinture de mon string … toute ma bite ne va pas tarder à sortir !


Après avoir bien embrassé les couilles de Jean-Pierre, je commence à les lécher, à aspirer la peau de leurs bourses pour la rouler entre mes lèvres … la verge de Jean-Pierre est de plus en plus ferme entre mes doigts … de plus en plus ferme et de plus en plus grosse … il bande. Je soulève ses couilles et j'essaie de lui lécher périnée … il comprend ce que je veux faire, alors il écarte les jambes et il se dresse sur la pointe des pieds … tout en le léchant, je commence à faire aller et venir ma main sur sa verge … 


à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Jeudi 23 mai 2019 4 23 /05 /Mai /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Mercredi 20 décembre. 11h30

 

A la vache ! Je suis sûr qu'il va le faire ... il va me tripoter le cul ! 


Pour la forme, il a un peu résisté, le Gégé, mais il s'est quand même laissé entraîner jusqu'au puits au milieu de la cour … Et maintenant, je lui tourne le dos, je me suis appuyé avec les avant bras à plat sur la margelle du puits, et je tends mon cul vers lui, je lui offre mon cul à tripoter …


Après mon entrevue avec le maire de Plouménez et ses adjoints, Gégé et moi, nous sommes revenus jeter un coup d'œil à la ferme … à MA ferme … parce que, maintenant, je sais que cette propriété va me rapporter une fortune, et je vois d'un autre œil ces bâtiments, cette cour et tout ce qui s'y trouve … et ça a fait naître en moi des images de baise, de gangbang … hhhmmmm … pendant que je refaisais mon tour du propriétaire, je me suis aperçu que, si Gégé me suivait pas à pas, ce n'était pas par curiosité professionnelle, c'était bel et bien pour mater mon cul … mon cul hyper moulé dans mon jean stretch … 


Finalement, il ne le laisse vraiment pas indifférent, mon cul … ça ne me surprend pas, je sais très bien quel effet il produit sur les mecs, mon cul ! Certains l'assument et d'autres non. Et là, le Gégé, avec un petit coup dans le nez, il est désinhibé et il vient de reconnaître qu'il le trouve pas mal, mon cul. Alors je lui ai proposé d'en profiter. Et là, je sens qu'il va le faire ! Il a un peu honte, mais je sens qu'il va le faire quand même parce qu'il vient de m'ordonner de ne pas le regarder !


Alors je tourne la tête et je regarde devant moi. Quelques secondes s'écoulent … imperceptiblement, j'accentue ma cambrure et je fait glisser mes pieds sur les pavés pour écarter un peu plus les jambes … et … je sens la main de Gégé se poser sur ma fesse droite. Yessssss !

- Ah putain ! Qu'est-ce tu m'fais faire, patron !

- C'est bien Gégé … c'est pas un crime, de faire ça ... vas-y, mets-la moi entre les fesses, ta main …


Et il me la glisse dans la raie. Hhhhmmmmmm ! Alors, la tête penchée vers l'avant au-dessus du puits, les yeux fermés, je me cambre davantage et j'écarte bien les jambes. Je sens ses doigts qui s'insinuent le long de la couture de mon jean et qui me caressent délicatement la cuisse gauche, tout en haut, juste au ras du pli de ma fesse, tout près de ma rondelle … ah putain, ce que c'est bon, la main d'un homme sur moi ! Je ne peux retenir un gémissement:

- Hhhhhmmmmm … ah oui, c'est bien, comme ça, Gégé … continue …

- Ah putain … c'est … c'est chaud, là, entre tes miches …


Je sens que ça lui plaît beaucoup ... il se laisse entraîner par ses pulsions et son excitation. Un peu hésitant quand il a posé la main sur moi, je sens que, maintenant, il y va plus franchement … il évite soigneusement d'approcher de mes couilles et de ma bite, mais il m'explore fébrilement l'entrejambe … les cuisses, les fesses, la raie … à plusieurs reprises, il me passe même nettement ses doigts sur la rondelle …


- Mets-moi tes deux mains, Gégé …


Aussitôt, sa main droite toujours dans ma raie, il me plaque la gauche sur la fesse et il commence à me la pétrir. Je l'entends respirer de plus en plus fort par la bouche. Son excitation grimpe en flèche … la mienne aussi, et je sens ma bite qui commence à gonfler dans mon string. La caresse de Gégé y est pour beaucoup, évidemment, mais le lieu aussi contribue à m'exciter … je suis en train de me faire tripoter par ce mec au milieu de la cour de ma ferme ! Le lieu m'excite, mais aussi le fait que le mec qui commence à me peloter le cul, c'est … mon employé ! Dans des flashs, des images s'imposent à moi … je m'imagine, courbé comme maintenant sur la margelle de ce puits, une minijupe retroussée sur mes reins et le cul à l'air, et Gégé, sa brouette et ses outils abandonnés à quelques mètres, le pantalon tombé en accordéon sur ses pieds, ses mains agrippées sur mes hanches, en train de me prendre en levrette à grands coups de reins ... et à côté, en train de regarder Gégé me baiser, son copain de beuverie de Pors-en-Enez – le mec qui a repéré mon cul l'autre soir, mais que je n'ai pas vu et dont je ne sais pas à quoi il peut bien ressembler ... mais ça ne fait rien, dans mon délire, j'imagine que ce mec est venu rendre visite à Gégé à la ferme ou lui donner un coup de main – son copain de beuverie, donc, la bite à la main, qui nous regarde et qui s'apprête à me prendre à son tour quand Gégé en aura fini avec moi … 


Maintenant, Gégé me malaxe les deux fesses … une dans chaque main … et il commente:

- Ah putain … putaiiiiiiiin … 


Je l'entends déglutir bruyamment, puis:

- Ah puuuuutain … quel cul ! Non, mais QUEL CUL !


Même si, de toute évidence, ce n'est pas à moi qu'il s'adresse, le Gégé, il me fait très plaisir. Au ton de sa voix, je sens qu'il n'en revient pas de ce qu'il est en train de faire. Il n'a pas dû en tripoter souvent des culs comme le mien. Il n'y a rien à faire, mon cul, c'est vraiment un piège à mecs ... il n'y en a pas beaucoup qui résistent … alors il faut que je pense à l'entretenir, à le garder charnu mais pas trop gros, musclé, bien ferme, pour qu'il continue à attirer les mâles comme des mouches, pour que je continue à y recevoir des bites et des bites  … 


En plus, le Gégé, ce qui doit contribuer à l'exciter, c'est que ce soit le cul de son patron qu'il tripote. En tout cas, moi, cette situation, cette ébauche de sexe avec Gégé, ça me plaît d'autant plus qu'elle est … comment dire … paradoxale. Oui, socialement, c'est moi qui suis en situation "dominante" dans cette relation … je suis le patron et il est l'employé … et pourtant, c'est moi qui m'offre à lui pour qu'il se comporte avec moi en "homme" … en mâle, je veux dire … je ne le contrains pas, je ne le force pas, c'est le contraire d'un harcèlement sexuel dans le cadre du travail … Jusqu'ici, j'avais imaginé, j'avais fantasmé des séances de baise dans lesquelles un employeur "abuserait" de moi alors que je travaille chez lui … et là, c'est l'inverse, c'est moi qui suis demandeur pour que mon employé me baise !


- J'ai envie que tu me baises, Gégé ! J'ai envie que tu me baises là, au milieu de cette cour … 

- …

- S'il te plaît, Gégé, baise-moi …


Tout en disant ça, j'ai relevé le bas de mon sweat-shirt et j'ai glissé mes deux mains dans la ceinture de mon jean pour commencer à le baisser. Aussitôt, il ôte ses mains de mes fesses, et:

- Nan … arrête ! J'suis pas un pédé, j't'ai dit !

- Bon, bon … ça fait rien, Gégé, ça fait rien … continue de me peloter … s'il te plaît …


Il hésite un peu … puis il recommence. Avec ses réticences, il me fait penser à Jean-Claude, le fermier chez qui je me suis fait gangbanguer … Gégé, je suis sûr que je le fais bander, mais à cause d'une espèce de fierté machiste à la con, et parce que je suis un mec, il ne veut pas s'avouer qu'il a envie de me niquer.

- Ça te fait quand même bander, de me peloter ?


Un long silence, puis:

- Ouais, ça me fait bander.

- Alors, sors ta queue et branle-toi … branle-toi sur mon cul … s'il te plaît, Gégé … je le dirai à personne …


Il me pétrit encore un peu les fesses, puis il ôte de nouveau ses mains:

- Bouge pas, hein …


Derrière moi, j'entends le bruit caractéristique d'un zip qu'on descend … puis un bruissement de tissu froissé … il vient d'ouvrir sa braguette ! Et sans doute de sortir sa bite. Sa main, de nouveau sur ma fesse … je perçois le bruit presque imperceptible et saccadé d'une … d'une peau, d'une chair qu'on agite … le bruit de son sexe qu'il masturbe … et sa main sur ma fesse se secoue au rythme de sa branlette. Oh putain, ouiiiii, Gégé ! Vas-y, branle-toi ! Je bande de plus en plus … sentir que ce mec prend du plaisir à me tripoter, sentir qu'il va cracher sa semence, ça me … 


- Si tu veux, tu peux me carrer ta bite entre les fesses et te frotter, hein, Gégé …

- …


Non. Sans un mot, il continue de se branler … se frotter entre mes fesses, ça doit être trop pour lui … un contact trop intime avec un mec.


- Si ça te dit, je te finirai avec la bouche, Gégé …

- Nan !

- Alors, jute sur mon jean, Gégé … s'il te plaît …

- Ferme donc un peu ta gueule !

 

Et rapidement, il se met à haleter … puis il pousse un long râle mêlé de gémissements … je crois qu'il jouit …


- Ah puuuuutain, quelle salope ! Quel CUL de saloooope !


Je n'entends plus le bruit de sa masturbation. Il a fini … il ôte sa main de ma fesse. De nouveau un bruit de tissu, puis celui du zip qu'il remonte. Je passe ma main derrière moi … oui, il a éjaculé sur ma fesse droite … sous mes doigts, son sperme encore tiède, étalé sur la toile de mon jean. Je me retourne:

- Alors, c'était bien ?


Il hausse les épaules et il se tient là, devant moi, l'air tout con, mais il ne répond pas. Maintenant qu'il s'est vidé les couilles, il a honte.


- Ça me fait plaisir, que tu te sois branlé sur mon cul. C'était bien, non ?

- Ouaiiiis … c'était bien.


Je le fais chier, avec mes questions, et il a répondu avec un air renfrogné.


- Tu pourras recommencer quand t'auras envie … me peloter, te branler sur moi … d'accord ?

- Ouais, ouais, d'accord …


Un silence, puis:

- Bon, je … je m'excuse, hein, pour ce que je t'ai dit …

- Ce que tu m'as dit ?

- Ouais … quand j't'ai dit de fermer ta gueule et quand j't'ai traité de salope …

- Ah ! Ça me dérange pas, tu sais … t'as bien vu, c'est ce que je suis … une salope qui aime la bite … 


Il hoche la tête. Oui, il a bien vu.

- Bon, on y va, Gégé ?

- Tu … tu t'essuies pas ? Ce que … ce que j'ai mis sur ton jean … tu l'essuies pas ?

- Non. Ça me dérange pas.

- Ah … OK.


Il écarquille les yeux. J'ai l'impression … j'ai l'impression que cette séance l'a un peu dessaoulé. Cette fois, sur le sentier pour regagner ma voiture, il marche à côté de moi. Comme le silence entre nous commence à devenir pesant, pour décontracter Gégé, j'insiste:

- T'as compris, hein ? A l'avenir, si t'as envie de me coller une main au cul, faudra pas hésiter, hein … pas besoin de me demander … d'accord ?

- Ouais, ouais, j'ai compris … j't'ai déjà dit, c'est d'accord …

- Sauf si il y a des gens, évidemment … 

- Ben ouais … évidemment.

- Et même, si t'as encore envie de te branler sur mon cul, c'est pareil, tu te gênes pas …

- Hmmmm.


Quelques secondes s'écoulent … et soudain, il me colle sa main au cul … Ouaiiiiiiis ! J'hésite … je commente ? Je le félicite ? Je l'encourage ? Je m'arrête pour qu'il me tripote tranquillement ? J'ai peur de l'emmerder si je fais ça … alors je continue d'avancer comme si de rien n'était, avec sa main glissée dans ma raie, et je me tourne un peu vers lui … il me sourit et il donne un coup de menton dans ma direction avec une mimique qui veut clairement dire "alors, tu vois, je le fais … t'es content ?".


- Merci, Gégé. C'est exactement ce qu'il faut faire …

- Hé hé hé ! Pas d'quoi … PATRON !

 

 

Hhhmmmm, j'aime beaucoup … marcher comme ça en pleine nature avec ce mec qui me tripote le cul … Je me dis qu'il finira bien par faire comme Jean-Claude … il finira bien par me baiser … il ne faut pas le brusquer, c'est tout … il ne faut pas qu'il se braque, il faut lui laisser le temps de se faire à l'idée.


Arrivés à la voiture, nous nous installons sans un mot. Il me regarde en coin avec un petit sourire énigmatique. Une fois sur la départementale:

- Gégé, t'as faim, maintenant ?

- Ben ouais.

- Bon. Le premier restau qu'on trouve, on s'arrête. Je t'invite.


Il me regarde … ça n'a pas l'air de l'enchanter. On n'a pas besoin d'aller bien loin, un panneau annonce "Auberge Gaillard. 500 mètres". Un chemin gravillonné entre deux haies d'arbres … une grande longère au toit de chaume … c'est du rustique luxueux … devant, sept ou huit voitures … un gros 4x4 et des grosses berlines … Gégé:

- Moi, je vais pas là-dedans !

- Pourquoi ?

- C'est trop … ça pue le fric … regarde les bagnoles … ils vont pas me laisser entrer … j'suis pas habillé pour …

- Moi non plus, je suis pas habillé pour … mais on s'en fout. On verra bien. Allez, amène-toi.


Je descends de voiture et, après une hésitation, il fait comme moi.


En effet, c'est plutôt bourge, là-dedans. Mais on est très bien accueilli par un maître d'hôtel qui prend nos blousons et les accroche sur un portant. Nos tenues, à Gégé et à moi, n'ont pas l'air de le déranger. Quand il nous fait entrer dans la salle de restaurant, je comprends un peu pourquoi: elle est à moitié vide, alors deux clients de plus, ça doit l'arranger. Notre entrée ne passe pas inaperçue. On nous dévisage, on examine les fringues élimées de Gégé et mon jean moule-bite. Il n'y a pratiquement que des couples de vieux endimanchés, là-dedans. Il faut dire, en semaine, comme ça, il n'y a que des retraités pour se payer un restau … des retraités et NOUS. Le loufiat nous installe près d'une fenêtre. Gégé n'est vraiment pas à l'aise. Quand on nous donne la carte, Gégé n'ouvre même pas la sienne et ça me rappelle qu'il ne sait pas lire … alors, discrètement, je commence à lui détailler les menus. Du coup, il ouvre sa carte et il fait semblant de la parcourir. Il me demande ce que je vais prendre et il décide de prendre la même chose. Ce qui finit par le détendre, c'est l'apéritif que le maître d'hôtel nous amène. Sans surprise, Gégé a demandé une bière. Il attaque gaillardement les amuse-bouche et, en se penchant vers moi, il murmure:

- Putain, c'est vachement cher ici !


Devant mon air surpris, il explique:

- J'arrivais pas à lire le menu, j'ai pas … mes lunettes … mais quand même, j'ai vu les prix, devant les plats …


Ah ouais, les lunettes ! Il ne veut pas avouer qu'il ne sait pas lire ! Je ne relève pas, mais je le rassure:

- Ouais, c'est cher, mais on s'en fout … non ?

- Ouais, c'est toi qui paie.


La bière aidant, il se décontracte. Il jette un coup d'œil autour de nous, il se penche encore au-dessus de la table et:

- Hé, je voulais te dire … on voit ma … sur ton jean, tu sais ? On voit ce que j'ai … ça fait une tache, quoi …

- Ah bon ? Ton sperme ? Ça fait une tache sur mon jean ?

- Chuuut !


Affolé, il regarde autour de nous. Je fais comme lui. Apparemment, personne n'a entendu. Il est un peu rassuré:

- T'es con, parle pas si fort … ils vont entendre, les autres pingouins …

- Je m'en fous qu'ils nous entendent, ça me dérange pas … Il avait pas séché, ton sperme ?

- Chhhht ! Arrête ! Oui, il avait un peu séché, mais ça se voit encore un peu …

- Et ça te gêne, que les gens voient ton sperme sur mon jean ? Qu'est-ce que ça peut foutre ? Ils savent pas que c'est du sperme, cette tache … Toi tu le sais, moi aussi, et ça me plaît de me balader comme ça au milieu des gens avec ton sperme étalé sur mon jean …


Ça le sidère, mais ça le fait cogiter, le Gégé. Après quelques secondes de réflexion, il sourit. Tout bien considéré, finalement, l'idée doit l'amuser. Il jette un nouveau coup d'œil autour de nous, il se penche encore vers moi, et, en murmurant:

- Dis … tout à l'heure, à la ferme … ce genre de … chose … tu le fais souvent, avec les mecs ?

- Je fais quoi …

- Ben … ça … comme tu m'as fait à moi … me chauffer … me faire tripoter ton cul


Il baissé la voix. J'ai parfaitement entendu, mais je le fais répéter:

- … te faire quoi ?


Nouveau coup d'œil circulaire:

- … me faire tripoter ton cul.

- Ah ça … oui, je le fais souvent. J'aime bien. C'est toi qui me l'as dit, en venant ce matin, je suis une tapette.


Il roule des yeux tout ronds. Il est sidéré que je lance ça en plein restaurant. Je n'ai pas élevé la voix, mais je pense que le couple à la table la plus proche a entendu la fin de ma phrase … la femme, du moins … je la vois susurrer quelque chose à son mari en me regardant … le type se retourne et il me dévisage … Gégé, qui leur tourne le dos, ne s'est aperçu de rien:

- Mais … tu fais ça avec n'importe qui ?

- Ouais … tout ce qui a une bite entre les jambes, ça m'intéresse … et tu sais, il y a beaucoup plus de mecs qu'on pense qu'un cul comme le mien intéresse aussi … la preuve, toi t'étais réticent, mais tu l'as quand même fait …


Incroyable ! Il pique un fard, le Gégé ! Enfin, sous son teint hâlé, difficile de voir si il rougit, mais il baisse le nez avec un air gêné. Je poursuis:

- Tu sais, y'a pas de honte … t'y peux rien, tous les mecs sont faits comme ça … leur queue et leur cerveau réagissent à ce qu'on leur met sous le nez … après, selon leur éducation et selon qu'ils sont en manque de cul ou pas, ils franchissent le pas ou non …

- Comment ça … leur queue et leur cerveau réagissent …

- Ouais. Moi, je pense que la nature a programmé le cerveau des mecs pour qu'ils se mettent à bander et que ça leur donne envie de s'accoupler quand ils voient certaines choses. Ça doit remonter à la préhistoire … à l'époque, il fallait assurer la survie de l'espèce et il fallait que les hommes aient envie de niquer les femmes à la moindre occasion … alors la nature a fait en sorte que quand ils voient certaines choses, ils aient envie de s'accoupler …

- Mais … quel genre de choses ?

- Ben … certaines formes … les culs, par exemple … la poitrine des femmes …

- Ouais, mais … pas les culs de mecs, quand même …

- Ben, au départ, c'était sans doute pas prévu comme ça par la nature, mais ça a évolué … Toi, tu en es la preuve … tu sais, le cerveau d'un mec, sur le coup, il analyse pas si c'est le cul d'une femme ou le cul d'un mec qu'il voit … il voit un cul et ça lui donne des envies … Toi, t'as hésité, t'as résisté, parce que tu SAIS que je suis un mec, et ton éducation fait que c'est contraire à ce que tes parents, ou le curé, ou je sais pas qui t'ont mis en tête … mais comme … excuse-moi, hein, mais comme t'étais en manque de cul, ton envie a été plus forte que ton éducation … tu vois ? Et y'a pas de quoi en faire une affaire, c'est pas un crime.


Ça carbure dans sa tête, à Gégé. Tout en parlant à son mari, la bonne femme de la table d'à côté ne me quitte pas des yeux. Elle en oublierait presque de manger. Je lui souris. Elle baisse le nez sur son assiette. J'enchaîne:

- Tu sais, y'a pas que les formes, qui font réagir les mecs de cette façon … si je porte des jeans moule-bite, c'est parce que je sais que plein de mecs aiment ça … ça les excite, la toile de jean … 

- Ouais, moi c'est pas le côté moule-bite qui m'a … c'est le côté moule-cul … je sais pas comment tu fais pour porter un truc pareil … avec la couture qui te rentre comme ça dans la raie … moi, je pourrais pas supporter ça …

- J'aime ça … je trouve ça agréable … les fesses et les cuisses bien moulées dans la toile, la couture qui se plaque contre ma rondelle et qui me titille … j'adore ! Et plein de mecs sont sensibles à ça … à regarder, je veux dire … c'est du fétichisme …

- Du fétichisme ?

- Oui … c'est quand un certain type d'objet ou de vêtement excite quelqu'un … la lingerie pour femme, par exemple … ou les minijupes … ou les robes moulantes … y'a des mecs, c'est les escarpins … tu sais, les chaussures avec des talons de dix centimètres …


Le maître d'hôtel est à la table d'à côté, sans doute venu demander si tout va bien. Penché vers la femme, il est en train d'écouter ce qu'elle lui dit en nous regardant et en nous désignant d'un coup de menton. Le mari se retourne et nous regarde à son tour. Le maître d'hôtel se redresse, nous regarde et répond je ne sais quoi à la femme avant de s'éloigner vers les cuisines. Gégé ne s'est aperçu de rien:

- Mais … toi, t'es … t'es comme ça ? Ces trucs, là, la lingerie, tout ça, ça te fait ça ?

- Si ça m'excite, la lingerie … les minijupes … les robes moulantes ?

- Ouais …

- Ouais, ça m'excite … mais pas à les regarder sur une femme … enfin, des fois, sur certaines femmes, mais rarement … Moi, ce qui me fait de l'effet, c'est d'en porter.

- D'en porter ? ! ? ! De … de ça ? De la lingerie ?

- Ouais. J'en porte. Je porte de la lingerie féminine, je porte aussi des minijupes, je porte des robes. J'adore ça ! Et y'a des mecs, si je me pointe devant eux comme ça, ils peuvent pas résister … à tous les coups, ils ont envie de me sauter …


La bouche béante, les yeux ronds comme des billes, Gégé me regarde. Puis:

- Tu … tu PORTES des TRUCS comme ÇA ? ! ? ! 

 

Involontairement, il a élevé la voix.

- Oui. Je porte des trucs comme ça.

- T'es pas seulement une tapette, alors … t'es une … t'es une …

- Un travesti … on peut dire ça … ou un travelo … Je te montrerai, si tu veux ..

- Ah nan, nan !

- Ben pourquoi ? Tu sais, la plupart des mecs me trouvent super sexy en petite culotte ou en porte-jarretelles … ou en mini jupe. Me regarder, c'est pas dangereux, tu sais … Tu serais pas obligé de toucher … tu pourrais te contenter de mater … éventuellement te branler sur moi si ça t'excite …

- Nan mais … te voir en … en petite culotte … ça m'exciterait pas, hein … t'es un mec, quand même …

- Ben on essaiera, alors … si t'es sûr de toi, t'as rien à craindre …


Il se marre. Et le maître d'hôtel arrive, suivi d'un serveur qui porte nos plats:

- Tout va bien, messieurs ?

- Très bien. 

- Vos plats.


Le serveur dépose nos assiettes et s'éloigne. Le maître d'hôtel:

- On me dit que … votre conversation n'échappe pas à la table voisine …

- Ah bon ? C'est cette dame qui s'est plainte ?


Gégé se retourne et dévisage la dame en question … qui se met à fixer le fond de son assiette. Le maître d'hôtel:

- Elle se dit choquée.

- Et donc, vous … vous êtes chargé de … de quoi, exactement ? 

- Oh, elle voulait que l'on vous expulse … il n'en est évidemment pas question … elle a reconnu que si cette conversation avait lieu entre un homme et une femme, elle ne serait pas aussi choquée … 

- Et vous, vous voulez quoi ?

- Rien du tout, monsieur … elle m'a demandé de vous faire part de sa gêne … je le fais … mais si votre conversation est bien ce qu'elle me dit, ça ne me choque absolument pas … à notre époque, n'est-ce pas … Voilà. Je vous souhaite le bon appétit.


Et il tourne les talons. Quand il passe à côté d'elle, la femme l'arrête et l'interroge. Il hausse les épaules, lui dit je ne sais quoi et s'éloigne. La femme parle à son mari sur un ton véhément, et se lève. Elle nous fusille du regard. Je lui souris et j'attaque mon filet de canard. Le mari se lève aussi, visiblement à contrecœur et tous deux se dirigent vers le petit comptoir où se trouve la caisse. Là, pendant que l'homme sort son portefeuille, sa mégère invective visiblement la maître d'hôtel qui reste impassible. Du coup, d'autres clients qui entendent ou qui comprennent que nous sommes en cause, nous regardent. Certains semblent commenter … plusieurs nous sourient. Ceux-là, je les sens amusés, solidaires …

- Regarde, Gégé … les deux, là, qui se barrent, ils ont entendu notre discussion et ça les choque. C'est pour ça qu'ils se barrent … mais les autres … ils ont entendu la vieille expliquer ce qu'on disait, et ils s'en foutent … ça les faire rire, c'est tout … le maître d'hôtel, c'est pareil, il s'en fout aussi … maintenant, le cul, ça choque plus grand monde … même entre mecs …

- Mouais, mais quand même … t'avais pas besoin de parler si fort …


Et puis, sans transition, il se met à me parler du travail qui l'attend à Coat-an-Bleis, de l'outillage dont il aura besoin, du voisin, Cloarec … au passage, il me confirme plus ou moins mon impression … quand je les avais vus, tous les deux, discuter en me regardant, c'est bien de moi qu'ils parlaient … et Cloarec avait effectivement remarqué mon jean moulant … J'ai commandé une bouteille de vin et Gégé lui fait largement honneur. Comme je me limite à un verre pour éviter de me faire choper en cas de contrôle d'alcoolémie, il se tape le reste à lui seul. 


Le repas terminé, nous reprenons la route. Gégé est euphorique. Moins bourré que je l'aurais cru. Après des banalités sur le restaurant, c'est lui qui ramène la conversation sur le cul:

- Alors comme ça, PATRON, des fois, tu t'habilles en gonzesse …

- Oui.

- Mais … tu fais ça chez toi ?

- Chez moi … ou chez les mecs qui me baisent … ça m'est même arrivé d'aller dans un bar, habillé comme ça … avec une minijupe au ras du cul et rien en dessous, ou seulement un string … je sais plus ...

- Ah ouais ? Et les mecs, dans le bar, ils ont en ont dit quoi ?

- Ça leur a plu et ils m'ont baisé …

- Whooo … arrête !


Tourné vers moi, il m'examine de haut en bas, comme s'il essayait de m'imaginer entre les mains de ces mecs.

- Je t'assure, c'est pas des conneries ! C'est des types avec qui j'avais passé la soirée … une fois qu'ils m'ont eu baisé, ils m'ont emmené dans ce bar justement pour ça … pour que les mecs du bar, ils me baisent aussi …

- Non ! Des mecs qui t'avaient baisé T'EMMÈNENT DANS UN BAR POUR QUE LES MECS DU BAR, ILS TE BAISENT ! ? ! ? Tu déconnes !

- Non, je déconne pas.

- Et tu t'es laissé faire ?

- Ben oui. Je savais ce qui allait se passer … et ça me plaisait …

- Ben putain ! Mais … les mecs du bar … ils t'ont tous baisé ?

- Oui. 

- Et … ils étaient combien ?

- Si je me souviens bien, ils étaient cinq ou six …

- CINQ ou SIX ? ! ? ! Tu t'es fait … tu t'es fait BAISER par CINQ ou SIX MECS en même temps ?

- Oui.

- Et … les mecs qui t'avaient emmené là … tu dis qu'ils t'avaient baisé avant ?

- Oui.

- Et ceux-là, ils étaient combien ?

- Ils étaient quatre.

- Donc … déjà QUATRE ! Et ensuite CINQ ou SIX ?

- Oui.


Pensif et silencieux, il remue la tête de droite à gauche, essayant visiblement d'imaginer la scène. Je ne suis pas tout à fait sûr qu'il me croie. 

- Tu me crois pas ?

- Ben … je sais pas. J'ai jamais eu affaire quelqu'un qui fait des trucs comme ça … même … même une gonzesse … j'en connais pas qui fasse ça … alors je … je sais pas …

- Ben écoute, t'as déjà eu affaire à un mec qui te propose de lui peloter le cul ?

- Nan.

- … et qui te propose de te branler sur son cul ?

- Nan, nan …

- Ben tu vois … 

- Ouais, t'as raison … vu que t'es capable de faire ça … neuf ou dix mecs, c'est peut-être possible …

- Ecoute … j'ai des vidéos … alors, je te les montrerai …

- T'AS DES VIDÉOS ?

- Oui.


Ça me démange de lui raconter mon gangbang. Mais je me retiens … il n'est pas encore mûr pour ça. Mais ça viendra et je trouverai bien l'occasion de lui montrer mes vidéos. En fait, j'aimerais bien … j'aimerais bien arriver à lui instiller l'idée qu'il peut se servir de moi pour se soulager quand il en a envie … n'importe où, n'importe quand … Inconsciemment, c'est sans doute pour ça que je l'ai autorisé à emménager chez moi … pour l'avoir sous la main … il a fini les travaux de peinture que je lui ai demandés, et j'aurais très bien pu le laisser retourner dans son blockhaus … mais à l'avenir, si nous cohabitons quand je suis là, j'aimerais bien qu'il sente qu'il peut … je sais pas … comme tout à l'heure dans le petit chemin en repartant de la ferme, me coller une main au cul quand je passe à sa portée … ou me choper et me prendre comme ça, debout contre un mur ou sur une table … ou me rejoindre la nuit dans mon lit pour me baiser … bref, que je sois à sa disposition … que mon cul soit à sa disposition, mais en même temps qu'il soit à ma disposition avec ses mains et sa bite … 


Mais c'est surtout à Coat-an-Bleiz que j'aimerais bien qu'il lui prenne l'envie de me choper … y'a pas à dire, à la maison ou ailleurs à l'intérieur, c'est bien, mais me faire peloter et même me faire sauter en extérieur, c'est vraiment top … Dès qu'il sera installé là-bas, à Plouménez, il faudra que j'aille voir l'avancement de ses travaux … C'est pour ça aussi qu'il faut que je l'habitue à l'idée de me voir me balader en jupe ou en robe … ou même seulement en lingerie … qu'en sa présence, je puisse vaquer avec le cul à l'air, et lui foutre mes miches sous le nez … je me vois bien déambuler en minijupe et en porte-jarretelles devant lui dans le verger de pommiers pendant qu'il fauche l'herbe ou qu'il taille les arbres … passer devant lui avec l'air de rien, le voir me reluquer … le voir arrêter sa débroussailleuse et la poser … le voir s'approcher de moi en ouvrant sa braguette et en sortant sa bite … me faire mettre à quatre pattes dans l'herbe, là, sous les pommiers ... le sentir poser ses grosses pattes sur mes hanches … et me laisser prendre docilement, me laisser baiser en peine nature … hhhhmmmmm ! 


Là, tout de suite, ça me démange de tendre la main et de lui toucher la bite … mais j'ai peur qu'il réagisse mal … alors patience … Nous restons perdus chacun dans nos pensées pendant quelques kilomètres. Et soudain il demande:

- Mais … tu comptes en faire quoi, de cette ferme ? Tu veux devenir paysan ?

- Non, non … déjà, je vais vendre les terres …

- Y'en a beaucoup ?

- Oui, pas mal.

- Et après ?

- Après, je vais faire restaurer les bâtiments et en faire ma résidence secondaire … et peut-être ma résidence principale.

- Ben … si tu veux, je pourrais peut-être te faire certains travaux, quand j'aurais fini de défricher .


Yesssss ! Il y vient de lui-même … il n'aurait pas une idée derrière la tête ? J'en profite:

- Ben oui, pourquoi pas … ça me ferait plaisir que tu continues de travailler pour moi là-bas …

- Ben oui … mais … tu voudrais y habiter, là-bas ? C'est vachement grand pour un mec tout seul … et c'est paumé … le premier voisin, c'est Cloarec, et sa ferme, elle est loin, quand même … 

- Ouais, mais justement, ça me convient que ça soit isolé … et la place, ça permet d'inviter du monde …


Je le regarde. Il m'observe, l'œil froncé. Je voudrais bien savoir ce qu'il pense en ce moment. Si ça se trouve, lui aussi, il aimerait bien avoir encore l'occasion de me tripoter. Je ne tarde pas à être renseigné. Avec un sourire entendu, il lance:

- Ouais, c'est ça … comme ça, tu pourrais inviter des mecs pour te baiser …

- T'as tout compris, Gégé.


Il hoche la tête:

- J'en reviens pas, quand même … quand je t'ai vu la première fois, avec Gwen, j'aurais jamais pensé ça de toi … j'ai bien senti que t'étais un mec bizarre, mais pas à ce point …

- Ah ? Tu trouvais que j'étais bizarre ?

- Ouais … je sais pas … peut-être que t'avais déjà des manières de tapette … nan, en fait, je sais pas … en tout cas, ta ferme, j'ai bien deviné, hein … t'as l'intention d'en faire un baisodrôme !


Putain, sous des dehors plutôt frustres et brut de décoffrage, le Gégé il est assez fin psychologue.

 

- C'est exactement ça, Gégé, un baisodrôme ! J'aurais pas employé cette expression, mais c'est exactement ça ! Tu vois, avant de la voir, cette ferme, la maison, les bâtiments autour, j'avais aucune idée de comment c'était … et si je l'avais pas vue, j'aurais été capable de tout bazarder … et puis, en la voyant, en imaginant comment elle serait une fois remise en état, je me suis dit …

- Tu t'es dit … ici, je vais pouvoir me faire baiser par un tas de mecs …

- Exactement … j'aurai de quoi les loger … entre la maison d'habitation, le cellier, la crèche, le bâtiment des charrettes, y'a de la place pour … je sais pas … dix, douze mecs … plus, même … je ferai creuser une piscine au milieu de la cour … y'a la place …  baiser dans une piscine, ou au bord … et sous le grand hangar, je vois bien … comme un salon … avec … avec un lit immense au centre et des canapés tout autour …

- Pour faire des partouzes ..

- Ouais, enfin … pas exactement des partouzes …

- Comment ça …

- Non, des gangbangs, plutôt …

- Des quoi ?

- Des gangbangs … je t'expliquerai.

- Mais … des mecs … t'en connais, ici ?

- Des mecs qui me baiseraient ?

- Ouais.

- Oui, mais pour le moment, j'en connais seulement un …

- Tu veux parler de moi ? J'ai pas dit que ...

- Non, je parle pas de toi, je parle d'un autre mec.

- Ah bon ? Mais … je croyais que c'était la première fois que tu venais dans le coin …

- C'est vrai, mais depuis que je suis arrivé, j'ai fait la connaissance d'un mec.

- Un mec … tu veux dire un mec qui t'a … baisé ?

- Baisé, pas encore, il a pas voulu … mais je lui ai déjà taillé une pipe.

- T'as déjà taillé une pipe à un mec ? Raconte !

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Vendredi 3 mai 2019 5 03 /05 /Mai /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Mardi 19 décembre. 9h00


Ce matin, rendez-vous chez le notaire. La secrétaire qui me reçoit à l'accueil est particulièrement aimable et souriante. Elle me propose un café … il me semble reconnaître la voix de celle qui m'avait reçu très sèchement au téléphone. J'avais nettement eu l'impression de la déranger et de lui raconter des conneries, avec mon histoire de propriété oubliée dans la succession de mes parents. Je veux en avoir le cœur net, alors je lui demande si c'est elle que j'ai eu au téléphone la semaine dernière. En effet, c'est bien elle. A son comportement, j'ai l'impression d'être devenu quelqu'un de très important. Quand je lui demande lequel des deux notaires de l'étude va me recevoir, elle m'annonce que les deux vont me recevoir. Tiens donc !


En effet, dès qu'elle m'annonce, deux types, la quarantaine, m'ouvrent la porte d'un grand bureau. C'est les notaires, eux aussi très aimables … 


Pour faire court, il s'avère qu'en effet, l'étude a complètement oublié d'inclure cette propriété agricole de Plouménez dans la succession de mes parents. Pourtant, d'une part, c'est dans cette même étude que l'achat de cette propriété s'est fait, et d'autre part, pour la maison que mes parents louaient ici, le nécessaire a bien été fait. Les deux associés ne comprennent pas ce qui s'est passé et ils chargent un clerc qui travaillait chez le notaire à qui ils ont acheté leur office, et qui serait maintenant en retraite. Puis ils m'annoncent une bonne et une mauvaise nouvelles. Déjà, pour la mauvaise nouvelle, sur un ton un peu sec, ils me préviennent que je vais probablement avoir des problèmes avec le fisc à cause de la déclaration tardive de cette partie de la succession, et qu'en plus des frais normaux, il se pourrait que j'aie des pénalités de retard à payer. Ils me prennent un peu de haut, les deux corbeaux. Mais je leur fais comprendre que c'est à eux de régler ces problèmes au mieux de mes intérêts, l'étude en étant seule responsable, clerc ou pas clerc … et à eux de payer d'éventuelles pénalités … je leur laisse entendre que si ça devait mal se passer pour moi, ça se réglerait au tribunal. Du coup, ils en rabattent. Bien tenté.


La bonne nouvelle, c'est qu'ils auraient un acheteur pour cette propriété. Ah bon, déjà ? ! ? ! Ils disent qu'ils imaginent que je ne compte pas devenir cultivateur et que je ne compte pas non plus louer cette propriété à un agriculteur, compte tenu de la faible rentabilité de ce genre d'investissement. L'acheteur m'en offrirait 75.000 €uros, ce qui serait un prix très honnête pour des terres agricoles dans ce secteur et des bâtiments en mauvais état. Ils me font aussi valoir que, compte tenu du prix d'achat de la propriété par mes parents, l'équivalent de 5.000 euros, je ferais une grosse plus-value et donc une excellente opération. Il faudrait que je donne une réponse rapidement, l'acheteur étant aussi en pourparlers pour une autre affaire. Les deux corbeaux insistent pour que j'accepte cette offre qui, selon eux, pourrait ne plus se présenter à moi. Là, je sens un truc pas net. Ils veulent déjà me faire vendre quelque chose dont je ne suis pas encore vraiment propriétaire ! 


Alors je leur annonce que j'envisagerai de vendre ces terres seulement quand je serai en possession d'un acte de propriété. Que leur acheteur attende si il tient à acheter l'ensemble. Sinon, ça ne me dérange pas de garder les terres et les bâtiments pendant des années en attendant une autre opportunité. Ils me pressent un peu, mais face à ma détermination, ils comprennent qu'ils ne me feront pas céder. Ils tirent une drôle de gueule, les deux lascars. Je prends congé après avoir insisté pour qu'ils régularisent cette affaire au plus vite.


En sortant, j'appelle Cloarec, le cultivateur qui m'a guidé jusque sur "mes terres" … "mes terres" … ça me fait drôle de penser à ça … il n'y en a pas beaucoup, mais ce sont "mes terres ":

- Monsieur Cloarec ?

- Oui.

- Bonjour. Je suis votre voisin de Coat an Bleis … vous vous souvenez ?

- Oui, oui.

- Je vais revenir mercredi avec quelqu'un qui va peut-être défricher les terres autour des bâtiments. Ça vous dérange si je passe encore par chez vous ?

- Non, pas du tout. Vous vous souviendrez du chemin qu'on a pris ? On a vite fait de se perdre dans ce qu'il reste de bocage …

- Oui, je crois que je m'y retrouverai.

- Bon. Alors … vous avez pris une décision ? Vous gardez ? Vous vendez ?

- Je ne sais pas encore vraiment … la ferme et les terrains immédiatement autour, je les garderai sans doute … le reste, je ne sais pas … on m'a fait une offre pour me les acheter …

- Ah oui ? ! ? ! Déjà ? Ben faudra qu'on parle alors …


Il a paru sidéré en entendant qu'on m'avait fait une offre … et il a ricané.

- Pourquoi il faudra qu'on parle ?

- Je vous expliquerai mercredi …

- Très bien. A mercredi.

- Oui, au revoir.


Je retourne voir Gégé pour lui confirmer que je l'emmène demain à Plouménez. Je le trouve en train de décharger des sacs d'une petite carriole qu'il a remorquée avec sa mobylette:

- J'ai été chercher des affaires, puisque vous m'avez dit que je peux rester.

- Vous avez bien fait. Demain, on va à Plouménez … vous vous souvenez ?

- Oui, oui.

- A quelle heure je peux passer ?

- Quand vous voulez …

- Très bien … huit heures ?

- D'accord, huit heures …

- Dites … on pourrait se tutoyer …

- D'accord … pas de problème.


Mercredi 20 décembre. 8h00

Au moment de me préparer pour emmener Gégé à Plouménez, j'ai eu une subite envie de remettre le jean que je me suis acheté samedi et avec lequel je suis allé traîner, le soir, à Pors-an-Enez. J'ai un peu hésité … il fait quand même très "femme", ce jean … normal, C'EST un jean pour femme … il fait même assez "allumeuse", avec cette toile stretch qui me moule avec indécence les miches, les cuisses, et aussi le paquet, et cette couture centrale qui me rentre profond dans la raie … le Gégé et Cloarec, mon voisin cultivateur de Coat-an-Bleis ne pourront pas manquer de le remarquer et de me prendre pour un dépravé … mais bon, je me sens tellement bien dedans … et puis, ma séance avec Bernard a eu raison de mes inhibitions et, après tout, dépravé, débauché, c'est bien ce que je suis …

 

Alors je le mets, mon jean. Et la seule concession que je fais à la décence, c'est de mettre aussi un des strings que j'ai achetés lundi … il me maintient la bite et les couilles et empêche qu'elles tombent dans ma jambière comme l'autre soir … c'est quand même un peu plus discret. Après, j'hésite un peu … évidemment, je ne peux pas mettre ma doudoune de fille … je vais mettre mon sweat rouge … il est assez court et il descend légèrement en dessous de la ceinture … Un coup d'œil vers le miroir … ça va, il ne cache pas mon cul … Je vais aussi prendre mon blouson … je le mettrai ou pas, suivant la météo et les circonstances.


Quand j'arrive devant la maison, Gégé est déjà dehors, qui m'attend. Il monte tout de suite en voiture. Je l'observe pour voir s'il remarque mon jean. Mais non, il me serre la main, et c'est tout. C'est sans doute parce que je suis assis et qu'il ne peut pas voir mon cul ... mais tout de même, mes cuisses aussi sont vraiment très moulées ... bof, c'est pas grave. Moi, ce que je remarque, c'est qu'il ne pue plus, le Gégé. Maintenant qu'il a emménagé chez moi, il doit prendre une douche tous les jours. Il n'y a que ses vêtements qui ne sont pas de première jeunesse. Nous voilà partis.


On a à peine tourné au coin de la rue, qu'il me lance:

- Tiens, samedi soir, j'ai croisé le commandant de la brigade de gendarmerie.

- …


Il me prend au dépourvu, Gégé. Est-ce que je peux lui dire que je le sais ? Est-ce que je peux lui dire que c'est moi qu'il venait voir, le gendarme ? Est-ce que je peux lui dire pourquoi il venait me voir ? Comme je ne réponds pas, il enchaîne:

- Ouais, je l'ai rencontré devant l'entrée du gite où t'habites. Il venait te voir ?


Ah d'accord ! Je ne savais pas qu'ils s'étaient vus juste là. Bon, de toute façon, Gégé, il sait que les gendarmes m'ont cherché, puisque c'est à lui qu'ils se sont adressés en premier. Et puis, dans un sens, c'est pas plus mal que Gégé soit au courant de cette visite … ça pourrait m'être utile, un jour, si ce connard de gendarme voulait me faire des ennuis. Gégé pourrait témoigner qu'il l'a vu me rendre visite en civil. Alors:

- Oui. Il venait me voir. Pourquoi ?

- Ah bon ? Mais … il était en civil …

- Oui. C'était une visite … disons … plus ou moins privée …

- Ah ouais ? ! ? ! Tu le reçois, ce mec … 

- Oui, je l'ai reçu …

- Et … ils te voulaient quoi, les gendarmes, l'autre jour … ils sont venus chez toi, là où je travaille … ils te cherchaient et ils m'ont dit de pas te prévenir …

- Oui, je sais, ils m'ont expliqué qu'ils t'ont vu … Ils voulaient me poser des questions sur un type qui a été arrêté devant chez moi, en Seine-et-Marne.

- Ah ouais … et là, le commandant … il venait encore te poser des questions sur lui ?

- Non, pas exactement. 

- Tu veux pas me dire ce qu'il te voulait… ça fait rien … Tu sais, t'as intérêt à te méfier de ce mec … c'est un bel enculé …

- Ah bon ?

- Ouais. Quand il est arrivé … il y a une paire d'années … il m'a fait chier … remarque, il a fait chier tout le monde … les vieux, les jeunes … même les commerçants … même les pêcheurs … les employés municipaux … tout le monde ! Ici, avant lui, c'était pépère … les gendarmes, ils faisaient pas de zèle, hein … certains sont originaires du coin, alors ils s'entendaient avec la population, ils arrondissaient les angles … un môme qui foutait le bordel avec son scooter, ils lui mettaient pas une amende, ils le ramenaient à ses parents … un pêcheur qui vendait ses crabes ou ses maquereaux comme ça, au bord du trottoir, ils l'emmerdaient pas … Mais lui, quand il est arrivé, il voulait qu'ils fassent du chiffre, ses gendarmes, pour être bien noté … et j'te fais des contrôles d'alcool au volant, et j'te fais des contrôles de vitesse, et j'te mets des amendes aux commerçants qu'étaient pas en règle sur le marché … bref, tout ce qu'il pouvait trouver … 

- Et toi, qu'est-ce qu'il t'a fait ?

- Moi ? Il a voulu me faire expulser de mon blockhaus … que soit disant je l'occupais illégalement … mais pas de pot, il est sur un terrain de la commune, mon blockhaus, et c'est le maire qui m'a autorisé à habiter là … il m'a aussi envoyé chez le juge je ne sais pas combien de fois, le capitaine … bon, OK, je roulais sans assurance … et des fois un peu bourré … et puis, des fois, la nuit, j'allais en mer vider les casiers à homards des pêcheurs, ou alors j'empruntais un peu de gas-oil dans des engins de chantier … mais après, Gwen, elle m'a trouvé du travail à droite à gauche, chez ses clients … et ben, même là, il m'a contrôlé je sais pas combien de fois sur mes chantiers … parce que je travaillais au black, évidemment, et il a fait chier ceux qui m'employaient … enfin … il arrêtait pas …

- Et il continue ?

- Naaaan ! Déjà les gendarmes qu'il avait sous ses ordres, ils en ont eu marre … parce que ça foutait le bordel avec la population et que c'était eux qui étaient en première ligne … alors ils ont fait discrètement remonter au commandant du département … et les maires aussi, ils se sont plaints … y'avait la queue tous les jours dans leur mairie pour râler contre lui … même le député, il en a eu marre … alors, le grand chef des gendarmes, il lui a dit d'arrêter de faire le cow-boy … et pour moi, le juge lui a dit de se calmer, qu'il valait mieux que je bosse au black plutôt que de faire des conneries … et maintenant, ça va mieux, mais faut quand même se méfier de lui, c'est toujours un enfoiré … si il peut coincer quelqu'un, il se gêne pas … Donc, fais gaffe …

- Remarque, je me suis rendu compte .. mais ça me confirme mon impression, ce que tu me dis …

- Mais alors … il venait te voir pour quoi, samedi soir, comme ça, en civil ?


Ça le démange vraiment, Gégé, de savoir. Au fond, j'ai bien envie de lui dire … mais je me demande si je peux lui faire confiance … je ne voudrais pas qu'il raconte ça à tout le monde … bon, allez, je vais lui distiller ça petit à petit, et je verrai bien comment il réagit:

- Disons qu'il voulait vérifier ce que je lui avais dit sur le type qui s'est fait arrêter devant chez moi … 

- Mais … pourquoi ce type s'est fait arrêter ? Et devant chez toi, en plus …

- Apparemment, il fait partie du grand banditisme, ou quelque chose comme ça … il n'a pas voulu me dire exactement, le capitaine … je suppose que c'est un braqueur ou un gros trafiquant, vu les effectifs de flics qui étaient après lui …

- Mais tu le connais, ce type ? Pourquoi il s'est fait arrêter DEVANT chez toi ?

- Non, je le connais pas … enfin, pas plus que ça, mais c'est quand même bien moi qu'il venait voir quand les flics l'ont arrêté … alors évidemment, ils ont voulu savoir comment et pourquoi on était en rapport, lui et moi …

- Et ? Il venait te braquer, ce mec ?

- Non, non … je suis pas non plus un gros trafiquant … non, il venait pour me soutirer de l'argent …

-  … te soutirer de l'argent … comme ça ? Pour rien ?

- Non, pas pour rien … il voulait me faire chanter.

- TE FAIRE CHANTER ? ! ? !


Gégé s'est tourné vers moi et il me regarde avec les yeux ronds. Apparemment, ça carbure à fond dans sa tête. Il réfléchit intensément:

- Il avait de quoi te faire chanter ?

- Plus ou moins.

- Toi aussi, t'as fait des conneries ?

- Non … pas des conneries …

- Ben alors …

- Ben … rien d'illégal, mais des choses que j'aime mieux pas que ça se sache … C'est ce que le capitaine était venu vérifier, l'autre soir, quand tu l'as croisé.

- Ah … je vois …


Je ne sais pas si il voit, mais pour le moment, je décide qu'il en sait assez. De toute façon, il a l'air de se contenter de ça, le Gégé. Je me demande bien ce qu'il imagine. Il reste silencieux pendant un long moment, puis, d'un seul coup, il se met à me raconter sa vie.


C'est Gwen, sa cousine, qui l'a sorti des emmerdements avec la justice. A l'époque, il était plus ou moins SDF … il n'allait jamais en taule pour très longtemps, mais il y retournait souvent. Et un jour, son juge d'application des peines était venu à l'agence de Gwen pour visiter une maison qu'il voulait acheter, et Gégé qui se trouvait en "permission" pour deux jours, était passé là par hasard. Gwen avait convaincu le JAP de le laisser sortir définitivement en s'engageant à lui trouver un toit et du travail. Gwen l'avait fait héberger par sa grand-mère à elle, qui avait de la place chez elle. Si j'ai bien compris les explications de Gégé, en fait, Gwen et lui sont "cousins" à la mode de Bretagne. Ça remonterait aux parents de leurs grands-parents respectifs. Il n'a pas pu rester chez la grand-mère de Gwen … c'était trop de contraintes pour lui … le respect des horaires … pas d'alcool, pas de copains … Il a trouvé ce blockhaus … il était muré et il a décidé de s'y installer. C'est Gwen qui a convaincu le maire de la commune de le laisser habiter là. Depuis, il travaille quand il n'a plus d'argent et il se tient à carreau … sauf le week-end, quand il va picoler à Pors-an-Enez avec ses potes de beuverie. 


- Tiens, d'ailleurs, je t'ai vu, samedi …

- Pardon ?

- Ouais … samedi soir … t'es venu à Pors-an-Enez … et je t'ai vu.

- Ah bon ? Tu m'as vu ? Je t'ai pas vu, moi …

- Je sais … t'as pas fait attention à nous … Avec mon pote, on était au début de la rue qui longe le quai … on était assis dans l'escalier qui monte à la rue au-dessus, et on était dans l'ombre, tu pouvais pas nous voir … mais nous, on t'a vu.

- C'était quand ? Quand je suis arrivé, ou quand je suis reparti ?

- Quand t'es arrivé. Tu t'étais garé un peu plus loin, et t'es parti vers l'autre bout du quai, vers les cafés …


Si il m'a vu, si il m'a reconnu, il a peut-être aussi remarqué ma tenue, malgré la pénombre … et si ça se trouve, avec son pote, ils étaient encore là quand je suis revenu et que … et que je suis allé traîner le cul à l'air sur les quais du port de pêche ! D'un coup, je me sens pâlir … et c'est con, mais pour un peu, je me mettrais à trembler. Gégé m'observe du coin de l'œil … il guette mes réactions. Comme je ne dis rien, il enchaîne:

- C'est mon pote qui t'a remarqué le premier … tu sais pourquoi ?

- Ben non.

- Moi, je roupillais à moitié, et quand il t'a vu, mon pote, il m'a secoué et il m'a dit " Gégé, t'as vu le cul qu'elle a, celle-là ?" … mon pote, il t'avait pris pour une gonzesse ! 


Il rigole. Le sang me reflue d'un seul dans les joues en un flot puissant … je dois être tout rouge. Ça me revient ! Quand je suis descendu de voiture, au milieu des bruits de la nuit, il m'a semblé percevoir comme des murmures … mais j'ai cru que c'était un effet de mon imagination. En fait, c'était Gégé et son pote ! Bizarrement, je me sens à la fois gêné que samedi soir il m'ait vu dans cette tenue et content qu'il ait vu mon cul dans ce jean et que son pote m'ait pris pour une "gonzesse".


- Moi, je t'ai reconnu tout de suite. D'ailleurs, on dirait que c'est ce jean là, que t'avais, samedi.


Ah tiens, mine de rien, en montant dans la voiture, il l'avait quand même remarqué, mon jean ! Samedi aussi, donc ... pourtant, ce soir là, j'avais mis mon blouson … il faut croire que mon cul dépassait suffisamment en dessous pour que son copain et lui le remarquent … tant mieux. Gégé, carrément tourné vers moi, est ouvertement en train de m'examiner … enfin, plutôt d'examiner ce qu'il peut voir de mon jean … je me demande bien ce qu'il en pense … ça lui plaît ? Il me trouve ridicule ? 


- Alors, comme ça, tu mets des jeans de gonzesse … c'est pour ça que le type qui s'est fait arrêter, il te faisait chanter ?

- Pour ça, mais pas QUE pour ça …

- Ah, OK , j'ai pigé ! T'es une tapette, quoi ! J'm'excuse, hein … je … je sais pas comment on dit ça autrement …

- T'excuses pas … ça me vexe pas … et  ça a le mérite d'être clair.

- Remarque, moi, j'm'en fous, hein … chacun fait ce qu'il veut avec son cul … 


Ah ben, au moins, c'est direct et concis ! Comme ça, je n'aurai pas besoin de lui expliquer.


- Et alors l'autre, le capitaine, là, samedi, il est venu vérifier quoi, chez toi ? Que t'es une tapette ?


Je n'en reviens pas, Gégé, sous ses airs frustres et son langage cru, est un fin observateur. Au point où on en est, inutile de finasser. Il s'est fait une conviction et quoi que je puisse lui dire, il la gardera. Et puis, il a raison. Alors:

- D'une certaine manière, oui.

- Et il a vérifié comment ? Il a voulu te sauter ?

- Non, non ! Je … je lui ai montré … des preuves …

- Ah bon … t'as des PREUVES !

- Oui.


Il hoche la tête d'un air entendu. 


- Dis donc, c'est pas la porte à côté, ton patelin …


J'ai l'impression que la conversation sur mon jean ,le capitaine et moi est terminée. Il ne me demande même pas quel genre de preuves je peux avoir. Il poursuit:

- Je m'étais dit que j'irais en mob, si je fais le travail que tu veux, mais c'est vachement loin, quand même …

- Ben oui, c'est loin.


Il redevient silencieux, plongé dans une intense réflexion.


Arrivés à Plouménez, je retrouve sans problème le sentier qui conduit à Coat-an-Bleis depuis chez Cloarec. Je gare la voiture au même endroit que l'autre jour et je descends. Le sentier en question a été débroussaillé … une machine a fauché tout ce qui poussait entre les deux talus. C'est sans doute l'œuvre du fermier. Quand Gégé descend à son tour, je remarque qu'il me regarde avec insistance. En fait, un petit sourire sur les lèvres, il examine mon jean. Un petit frisson de plaisir me parcourt de la tête aux pieds. Alors, comme il ne fait pas froid, je décide de ne pas enfiler mon blouson, je me contente de le porter négligemment sur l'épaule. Nous nous engageons dans le chemin. J'ouvre la marche et j'entends, derrière moi, les pas de Gégé qui écrase la végétation broyée … et ça me plaît beaucoup ! Oui, parce que le Gégé, il aurait très bien pu rester Á CÔTÉ de moi, le chemin est assez large pour que nous marchions tous les deux de front … mais non ... et je pense qu'il reste derrière pour mater mon cul … et sans en faire trop, j'avance en roulant légèrement des fesses … Ce n'est pas que j'ai envie de me faire ce mec, mais j'aime bien qu'on mate mon cul … hommes, femmes, jeunes, vieux … j'aime qu'on apprécie mes formes, et en particulier ma chute de reins et mes fesses … Bon, je ne dis pas … s'il lui prenait l'envie de me coller une main …


Quand nous arrivons à la ferme, Gégé contemple l'endroit d'un œil expert:

- Ah ouais ! Je voyais pas un truc aussi grand ! Y'a du boulot, hein …


Nous faisons le tour de la ferme et des alentours, et je lui explique au fur et à mesure ce que j'attends de lui: débroussailler la cour, arracher le lierre qui court sur les murs et les toitures, défricher le verger, tailler les pommiers, rouvrir l'allée qui dessert la ferme depuis la route, curer le puits, supprimer les roseaux qui ont envahi une marre que nous venons de découvrir derrière le hangar … Puis je lui fais visiter les différents bâtiments:

- Ici, il faudrait tout vider … mais je voudrais quand même garder cette table, ces bancs et ce buffet si ils sont pas trop bouffés aux vers… sinon, tu balances … de l'autre côté, pareil pour l'armoire et le bahut … je les garde aussi si ils sont en assez bon état … tout le reste, tu en fais ce que tu veux … tu brûles, tu jettes, tu donnes, tu vends … tu peux considérer que c'est à toi …


Nous ressortons de la maison quand le voisin, Cloarec, arrive. Je remarque qu'il tique en découvrant mon jean. Je fais les présentations:

- Voici Gégé, qui doit défricher et nettoyer tout ça … enfin, peut-être … tu vas le faire, finalement ?

- Ouais, mais il faudra que je m'installe ici. Je peux pas faire l'aller et retour sans arrêt, c'est trop loin.

- Ben oui, tu logeras dans la maison. On achètera ce qu'il faut pour que tu sois confortable. 


Cloarec intervient:

- Attendez. En attendant que la maison soit habitable, je peux amener un abri de chantier dans la cour, là. Vous savez, c'est un truc mobile. Une entreprise l'a laissé en dépôt chez moi et j'ai plus de nouvelles. C'est bien, hein, on peut y habiter, il y a une kitchenette, des toilettes, un coin douche, deux radiateurs … c'est comme un petit mobil home … je peux aussi amener une cuve pour stocker de l'eau … elle fait dans les mille litres … et je peux même tirer une ligne électrique en attendant qu'EdF rétablisse la ligne …

- Impeccable. C'est sympa. Merci. t'en dis quoi, Gégé ?

- Ben … OK. Faudra quand même amener ma mob … et ma remorque … y'a un commerce, dans le coin ?

- Ici, à Plouménez, seulement un café qui fait épicerie, pour le moment, mais y'a un supermarché dans la commune d'à côté … c'est à quoi … cinq kilomètres …

- Dites, monsieur Cloarec, ça vous intéresse, le vieux tracteur et les vieilles machines agricoles ?

- Euh … je sais pas … peut-être … je peux aller voir ? Je me rappelle plus ce qu'il y a …

- Oui, oui. Allez-y !


Il s'éloigne en direction du bâtiment où l'autre jour, nous avons trouvé une carriole à cheval et une charrue. Gégé lui emboîte le pas. Je retourne dans la maison pour explorer le grenier. Des brassées de je ne sais quoi sont accrochées à des fils qui pendent du plafond … enfin, plutôt qui pendent des voliges sur lesquelles sont fixées les ardoises de la toiture … on dirait … oui, des haricots … tout secs … autrement, il y a encore des meubles, un tas de sacs en toile de jute, des bocaux vides, des malles pleines de vieux vêtements, quelques livres … 


Je redescends et quand je sors, j'aperçois Cloarec et Gégé en discussion à l'autre bout de la cour … ils ont dû aller examiner ce qu'il y a sous le grand hangar … tous deux me regardent et le cultivateur, appuyé d'une main à l'angle d'un bâtiment, paraît expliquer ou demander quelque chose à Gégé qui hoche négativement la tête en riant … à leur façon de me regarder et à leurs expressions, j'ai l'impression que c'est de moi qu'ils sont en train de parler … de moi et peut-être de mon jean de gonzesse … et Gégé est peut-être en train d'expliquer à l'autre que je suis une tapette … bof, dans le fond, je m'en fous … et même … pris d'une soudaine inspiration, je m'approche du puits au milieu de la cour et, leur tournant délibérément le dos, je me penche au-dessus de la margelle comme pour regarder au fond … Allez-y, les mecs, regardez-le, mon cul ! Ça m'étonnerait bien qu'il ne vous fasse pas envie !


Je les entends rappliquer derrière moi en parlant. Cloarec:

- Bon, ben oui, je vais récupérer le tracteur et le reste…


Je me redresse et je leur fais face. Ils sont hilares, tous les deux. Le cultivateur poursuit:

- Quand j'aurais un peu de temps, je les remettrais en état. Ça va, j'ai de la place pour les stocker à l'abri … J'ai dit à votre ouvrier … si il a besoin de quelque chose, il n'aura qu'à me demander … pour transporter des choses, j'ai ce qu'il faut comme remorque …

- Bon, très bien.

- Je voulais vous dire aussi … j'ai prévenu le maire que vous veniez aujourd'hui … il aimerait bien vous rencontrer …

- Ben … OK. Je … je peux y aller maintenant ?

- Oui, oui. Il est à la mairie, il vous attend.

- Allons-y.

- Vous m'excusez deux minutes ? J'ai un coup de fil à passer, avant.

- Faites.


Il s'éloigne et je le vois parler dans son smartphone en me regardant et en dissimulant soigneusement sa bouche. Il a peur de quoi ? Que je lise sur ses lèvres ? Il revient:

- Vous m'emmenez ?

- Oui, bien sûr.


Nous regagnons ma voiture et nous nous dirigeons vers le bourg. Je me gare devant la mairie. Aussitôt descendu, Gégé se précipite vers le bar-épicerie de l'autre côté de la rue. 


En effet, le maire m'attend, entouré de ses deux adjoints et de deux conseillers municipaux. Tous les cinq m'examinent de la tête aux pieds comme une bête curieuse. Ma tenue y est visiblement pour beaucoup. Ils ne doivent pas avoir l'habitude de rencontrer un mec qui porte des jeans de ce genre. Ils ont l'air contrarié. Une fois les présentations faites, le maire étale une grande carte sur ce qui doit être la table du conseil municipal, et il se lance dans des explications alambiquées. Je finis par comprendre que les terres et les constructions que j'ai héritées de mes parents, étant jusque il y a une semaine sans propriétaire connu, et n'ayant pas acquitté de taxes foncières pendant trois ans, la commune avait le droit d'en demander la propriété. La municipalité s'apprêtait d'ailleurs à entreprendre les démarches nécessaires … elle avait le projet d'y faire, entre autre, un ou plusieurs lotissements pour accueillir de nouveaux habitants. Mon apparition inattendue bouleverse évidemment ces projets. Cette propriété n'est plus "sans maître", selon la qualification officielle, mais elle dépend d'une succession qui n'a pas encore été dénouée. 


Naturellement, le maire et ses adjoints veulent connaître mes intentions. Quand je leur annonce que je compte vendre le plus gros des terres pour n'en garder qu'un peu autour de la ferme, ils paraissent soulagés. Evidemment, le prix de la vente de mes terres ne tombera pas dans le budget de la commune, mais, d'une manière ou d'une autre, elles pourront être proposées comme terrains à bâtir. Et là, je vais de surprise en surprise. En premier lieu, le maire, à plusieurs reprises, parle de mes vingt et un hectares … vingt et un hectares ? Quand j'ai parcouru l'acte d'achat de cette propriété par mes parents, je n'ai compté qu'une quinzaine d'hectares ! Je le fais remarquer au maire, alors il sort un gros registre où sont répertoriés les propriétaires fonciers de la commune et leurs possessions … au nom de mes parents, il y a une trentaine de parcelles, dont quelques unes dispersées aux quatre coins de la commune. La plus petite fait dans les deux cents mètres carrés et la plus grande presque six hectares. Aucun doute, moi, j'avais calculé tout ça de tête et je me suis embrouillé avec les hectares, les ares et les centiares … je me suis planté. 


Au passage, le maire m'explique que le plus gros de "mes terres" est de médiocre qualité, étant localisé sur le ménez, la colline dont la commune tire son nom. C'est une zone d'affleurements rocheux et de lande. Le sol est caillouteux, difficile à cultiver et peu productif. Un des conseillers présents est aussi propriétaire d'une parcelle de friche dans ce secteur. A part trois parcelles disséminées ailleurs dans la commune, toutes "mes terres" situées sur ce "ménez" forment un ensemble d'un seul tenant autour des bâtiments. L'autre heureuse surprise, c'est que la commune compte classer pratiquement tout le "ménez" en zone constructible. De cette façon, ce secteur sans intérêt agricole permettrait de réaliser les projets de la municipalité sans toucher aux bonnes terres cultivées. Selon le maire, ça ferait passer le prix du mètre carré de 25 centimes en tant que terre agricole à environ 70 €uros en tant que terrain à bâtir ! A cette annonce, tout le monde me regarde, guettant visiblement ma réaction. Comme je ne réagis pas, le maire me lance:

- Vous comprenez ce que ça veut dire ?

- Ben … non, pas vraiment …

- Si on met à part vos trois parcelles qui ne sont pas sur le "ménez" et qui resteront en terrain agricole, vous avez à peu près 18 hectares qui vont passer en terrain constructible. On a calculé: à 70 €uros le mètre carré, ça fait plus de 12 millions !

- 12 millions ?

- Oui, 12 millions d'€uros ! 


Brusquement, le sang me monte à la tête et se met à battre au niveau de mes tempes, en même temps que mes oreilles se mettent à bourdonner et qu'une violente bouffée de chaleur m'envahit. Je tressaille. 


- Asseyez-vous ! Asseyez-vous !


Le maire a vu que je n'étais pas loin de défaillir. C'est que, pour examiner le cadastre, nous étions tous restés debout autour le la table du conseil municipal où l'immense plan est étalé. In extremis, je tire une chaise et je m'assieds:

- 12 millions … vous êtes sûr ?

- Oui … c'est une estimation sur la base du prix actuel du terrain à bâtir sur la commune … et il faut tenir compte que vous aurez des droits de succession à payer, si elle n'est pas encore réglée … et des plus-values, évidemment … par ailleurs, il vaudrait mieux vendre par petites quantités, parce que si vous vendiez la totalité d'un seul coup, ça ferait énormément baisser les prix … et puis, 18 hectares … de toute façon, vous ne vendrez pas tout en terrain à bâtir, il faut aussi tenir compte des routes à construire pour desservir les lotissements et du reste … on vous expliquera.


Putain, je suis scié ! C'est une histoire de fous ! En achetant cette propriété une poignée de cerises, mes parents avaient eu le nez creux, comme on dit. Si le projet d'enfouissement d'ordures avait été réalisé, ils n'auraient touché qu'une indemnisation ridicule … mais là ! 


Nous décidons, avec le maire, ses adjoints et ses conseillers de nous revoir pour mettre les choses au point en collaboration. Nous échangeons numéros de téléphone et adresses-mail et, au moment de prendre congé, le maire me demande:

- Vous savez que votre notaire nous a contactés ?

- Non. Mon notaire ?

- Oui. Il voulait des renseignements sur votre propriété … la situation des parcelles, la qualité des sols, ce genre de choses … et aussi quels étaient les projets de la municipalité … visiblement, il était au courant de nos projets de lotissements …

- D'accord … et vous lui avez expliqué ce que vous venez de me dire …

- Oui.


Il m'observe, puis:

- Il ne vous a rien dit ? J'ai eu l'impression que vous n'étiez au courant de rien jusqu'à ce qu'on vous explique tout ça …

- Non, il ne m'a rien dit. Enfin … si ! Il m'a seulement dit qu'il avait un acheteur pour la totalité, et qu'il m'en proposait 75.000 €uros.


Il rit:

- 75.000 €uros ! Remarquez, c'est à peu près le prix de la terre agricole à cet endroit. Et il vous a fait une offre par écrit ?

- Non. 

- C'est dommage, la tentative d'escroquerie aurait été constituée.


Quand je regagne ma voiture, je suis à deux doigts d'oublier Gégé. C'est lui qui se manifeste en sortant en courant du bar-épicerie où il m'attendait. En s'asseyant, il demande:

- Alors, ça va ?

- Oui. Très bien.

- Ben tant mieux, mec !


Et il me claque la cuisse ! Il a dû siroter pas mal en m'attendant, il empeste la bière et son élocution, pour le peu qu'il a prononcé, est très approximative. 


En enclenchant la première, je me dis que, tout de même, les quelques bâtiments de cette ferme qui ne paient pas de mine viennent brusquement de changer de statut. Et moi aussi, du coup. Je suis potentiellement millionnaire ! MULTI-MILLIONNAIRE, même ! Et soudain, l'envie me prend d'aller revoir cette maison, cette crèche, ce hangar, cette remise, en ayant à l'esprit que tout ça vaut maintenant de l'or.


- T'as faim, Gégé ?

- Nan. Pourquoi ?

- Ça t'ennuie si on retourne voir la ferme ?

- Ben non. Qu'est-ce tu veux y faire ?

- Rien de spécial … la revoir, c'est tout.

- Alors, en avant … PATRON !


Il se marre. C'est sûr, il est légèrement bourré, le Gégé. 


Comme lors de notre premier passage, Gégé marche derrière moi dans le petit chemin. J'ai du mal à réaliser ce qui m'arrive ainsi que les implications de cette fortune inattendue. Enfin … ce n'est pas encore fait, il ne faut pas trop s'emballer. Mais tout de même … c'est vraiment … je me sens … énervé, fébrile, excité. Parvenus dans la cour, je refais le tour des bâtiments avec un œil comme neuf. Avec tout ce fric, je vais pouvoir aménager ça … je ne sais pas exactement comment, mais je sens que ça va être génial. Gégé me suit pas à pas et en silence. Peu à peu, mon excitation retombe … ou plutôt non, ce n'est plus exactement de l'excitation … je me sens … euphorique. Un moment, je fais demi-tour sur moi-même et je me retrouve face-à-face avec Gégé … et je me rends compte qu'il avait les yeux fixés sur mon cul. Surpris par ma volte-face, il me sourit avec un air con. Et là, je réalise que, depuis tout à l'heure, il me colle littéralement au train … ce n'est pas moi qu'il suit comme ça, c'est mon cul ! 

- Hé, tu mates mon cul, Gégé !


Sourire con ! Puis, sur un ton de défi:

- Ouais, je mate ton cul, PATRON !

 

Oh la la ! Il a de plus en plus de mal à articuler. L'alcool continue de se répandre dans ses veines et d'embrumer son cerveau.

- Il te plaît, mon cul ?

- Je dois dire … il est quand même pas mal, hein … c'est pas étonnant que mon pote, à Pors-an-Enez, il avait cru que c'était un cul de gonzesse … t'as un cul de gonzesse, patron ! Et un beau cul de gonzesse, ça c'est vrai !

- Merci, Gégé. Tu veux le toucher ?

- Quoi ! Ton cul ? Toucher ton cul ?

- Oui, mon cul. T'as envie de le toucher ? Tu peux, hein …


Il me dévisage en oscillant d'avant en arrière, puis il baisse les yeux vers mon bassin:

- Mais … non … je veux pas le toucher … je … je touche pas le cul d'un mec, moi ! 

- Pourquoi ? T'as peur ?

- Nan, j'ai pas peur, mais j'suis pas un pédé !

- T'es pas un pédé ? Alors tu touches des culs de gonzesses …

- Par ... faitement.

- C'est quand, la dernière fois que t'as touché une gonzesse ?

- Ben … je sais plus …

- Tu sais plus ? A mon avis, ça doit faire un paquet de temps … 

- Et alors …

- Et alors ? Ça veut dire que tu fais que te branler … 


Il hausse les épaules d'un air vexé. C'est un aveu. Je le chope par le coude et je commence à l'entraîner en direction du puits, au milieu de la cour:

- Allez Gégé, viens avec moi.


Il fait mine de dégager son bras, mais sans conviction, et il me suit. Arrivé devant le puits, je le lâche et je m'accoude sur la margelle:

- Allez, Gégé, touche-moi le cul. Tu vois ? Comme ça, à travers mon jean. Ça sera pas mon cul que tu toucheras, ça sera mon jean. Et personne le saura, j'te promets. Tu verras, c'est vachement agréable … t'as qu'à te dire que c'est le cul d'une gonzesse …


La tête tournée vers lui, j'écarte un peu les jambes et je me cambre. Il jette de rapides coups d'œil sur mes fesses. Je le sens qui hésite … et d'un seul coup:

- Alors me regarde pas !


à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Samedi 13 avril 2019 6 13 /04 /Avr /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Dimanche 17 décembre. 

 

 

- Ça me fait drôle … de sentir ma bite dans ta bouche … Putain, JE ME SUIS FAIT SUCER PAR … PAR UN TRAVESTI !


Je viens tout juste de tailler une pipe à ce mec, il a joui dans ma gorge et maintenant, son doigt glissé entre mes lèvres et le long de sa verge, il est en train de vérifier tactilement que son sexe est bel et bien dans ma bouche ! 


Le mec en question, il s'appelle Bernard, et il y a à peine une heure que je l'ai rencontré. Nous sommes dans sa voiture, garée sur une aire de pique-nique le long d'une route, et donc, penché sur son ventre, la tête entre son abdomen et son volant, j'ai encore sa bite dans la bouche.


Il a tiré son coup, mais il ne débande pas … au contraire. Il n'en revient pas de s'être fait sucer pour la toute première fois par un mec, et ça l'excite. Et moi, il y avait tellement longtemps que je n'avais pas eu une queue dans la bouche que, moi aussi, j'ai joui au moment où il a éjaculé … comme ça, sans avoir besoin de me branler ni même de toucher ma bite.


Là, visiblement, il est tout content que je le garde au chaud entre ma langue et mon palais. Et moi, ça me plaît aussi beaucoup et j'ai bien envie de recommencer à le sucer. 


Comme j'ai la tête au-dessus de son bas-ventre, je dissimule sa bite à sa vue et ce n'est qu'à tâtons et du bout des doigts, comme un aveugle, qu'il constate la présence de sa queue dans ma bouche … mais je suis sûr que si il la voyait, sa bite qui dépasse de ma bouche, ça lui ferait encore plus d'effet.


Alors, en m'efforçant de ne pas laisser son sexe s'échapper d'entre mes lèvres, je commence à me retourner sur mon siège … pas facile, j'ai le cul contre la portière et mes jambes s'emmêlent dans la ceinture de sécurité … mais tant bien que mal et peu à peu, j'y arrive … les jambes repliées en chien de fusil contre le dossier de mon siège, me voilà étendu sur mon flanc droit … et face à lui … et sa queue toujours dans ma bouche, avec son gland qui doit me faire une grosse bosse sur la joue … je lève les yeux sur lui … il me regarde, la bouche grande ouverte, les yeux ronds comme des soucoupes, sa main gauche sur le haut de mon front, sa main droite sur mon cou …


- Oh, putain !


J'en étais sûr ! Il n'en revient pas … IL VOIT … IL VOIT SA BITE DANS MA BOUCHE ! Il ne débande toujours pas … cette vision l'excite et il se met à haleter. Tout en le masturbant doucement, je lui tète le gland … dans un même mouvement-réflexe, il se cambre et plaque sa nuque contre son appuie-tête … mais il ne me quitte pas des yeux:

- Oh putain ! C'est dingue ! Ouais, vas-y, suce-moi encore ! T'aimes vraiment ça, la bite, hein …


Je sors son gland et, le gardant plaqué contre mes lèvres, je l'asticote du bout de la langue … je ne sais pas ce qui lui fait le plus d'effet … SENTIR ce que je lui fais ou VOIR ce que je lui fais … les deux conjugués, je pense … toujours haletant, la tête un peu penchée sur le côté, il me regarde avec … avec une espèce de tendresse … je renfonce sa queue dans ma bouche et je recommence à le pomper … Je vais encore te faire jouir, mec ! Je vais encore te faire éjaculer ! Donne-moi encore ton sperme ! Cette fois, je n'ai pas envie de faire traîner les choses … je veux qu'il jouisse tout de suite !


Oh la laaaa ! LA BITE ! LA BITE ! LA BIIIIIIITE !


Et on se met tous les deux à gémir, nos excitations respectives s'alimentant l'une l'autre … ça va effectivement très vite ! C'est sûrement de me VOIR le sucer qui l'achève. Ça commence par un râle ... un long râle … en même temps qu'il décolle encore son dos de son dossier, sa bite se met à palpiter sur ma langue … et je reçois un premier jet brûlant dans la bouche … vite, je sors son gland et je le plaque contre mes dents … le deuxième jet s'étale sur ma lèvre supérieure et jusque dans mon nez … je renfourne sa queue dans ma bouche où elle crache un troisième jet … et un quatrième … je garde ce qu'il vient de cracher dans le creux de ma joue …


Voilà … il a fini … hhhhmmmmm, je savoure sa crème, je la fais aller et venir d'une joue à l'autre … il avait de la réserve, ce mec ! Il respire fort par la bouche en me regardant … je sens sa bite légèrement débander … je la sors et, de la langue, je repousse vers mes lèvres entrouvertes sa charge de sperme mêlée de salive … je trempe son gland dedans et, m'en servant comme d'un badigeon, je me barbouille ce mélange autour de la bouche, sur ma joue, sur mon menton … il approche sa main, hésite, puis il trempe ses doigts dans cette mixture, commence par me l'étaler un peu plus sur la figure … puis il en récupère le plus gros au bout de ses doigts et me les présente à lécher … hhhhmmmmm, j'adore ! Il me regarde lui sucer consciencieusement les doigts, et il me sourit:

- T'aimes la bite, mais t'aimes aussi vachement le sperme, hein …


Ce n'est pas une question … il constate seulement. Il a un sourire béat … je crois qu'il découvre des pratiques sexuelles hors normes pour lui, et ça le rend heureux. Il me caresse le haut du crâne:

- Après, tu me nettoieras bien la bite, hein …


Quand j'ai fini de lui débarbouiller les doigts, je me redresse, je m'agenouille sur mon siège et je me penche à nouveau sur son ventre. Cette fois, même si sa queue est encore un peu gonflée, il ne bande plus. De la langue je lui essuie consciencieusement la verge puis le gland. Quand c'est fait, délicatement, je lui remonte le prépuce sur son gland et je me redresse … il m'a regardé faire … il sourit:

- Tu sais vraiment y faire … t'es un vrai … un vrai …

- … une vraie salope … c'est ce que tu voulais dire ?

- Ouais, enfin … c'est l'idée, mais je l'aurais pas dit comme ça.

- Tu peux le dire … JE SUIS une vraie salope … j'assume … et même, j'en suis fier.

- Bon, alors OK … t'es une vraie salope.

- Merci.

- Bon. On fait quoi, maintenant ?

- On va s'en aller ... mais avant, t'aurais pas des mouchoirs en papier ? 

- Oui, dans la boîte à gants. Pour quoi faire ?

- Pour m'essuyer la cuisse. Moi aussi, j'ai pris mon pied.


J'ouvre la boîte à gants et je sors un paquet de mouchoirs.

- T'as pris ton pied ? ! ? !

- Oui.


Je commence à m'essuyer l'intérieur de la cuisse. Ça a déjà un peu séché. Il me regarde faire et insiste:

- Mais … je t'ai pas vu te …

- … me masturber ? Ça n'a pas été nécessaire … j'ai joui quand tu as éjaculé dans ma bouche la première fois ..

- Ah bon ? Comme ça … tout seul ?

- Oui … tout seul …


Je balance le mouchoir par ma vitre et, toujours à genoux sur mon siège, je me penche encore une fois sur son ventre et je pose des baisers tout le long de sa verge … jusque sur ses couilles, avant de remonter et de finir par un baiser sur son gland. Ça le fait rire:

- Tu vois, ma femme, elle me fait même pas ce genre de chose.


Je me redresse:

- Quel genre de chose ?


Tout en se penchant pour attraper la ceinture de son caleçon et le remonter sur ses cuisses, il poursuit: 

- Ben ça … m'embrasser la bite …

- C'est sûrement parce qu'elle aime pas la bite. Elle te suce, quand même ? 


Maintenant, il remonte son jean, il soulève ses fesses de son siège et il finit de remettre caleçon et pantalon:

- Ouais, mais il faut vraiment que j'insiste … et de toute façon, elle suce pas aussi bien que toi.


Je me rassieds à ma place et:

- C'est pareil, elle aime pas la bite et elle te suce seulement par devoir ... pour pas que t'ailles voir ailleurs. Bon, on y va ?

- Ouais.


Il redresse son dossier, il ravance son siège, il boucle sa ceinture de sécurité, et, la main sur sa clef de contact, il demande:

- On va où ?

- Tu me ramènes à ma voiture … elle est garée sur le parking de la grande plage, pas loin de chez toi … tu sais, il y a un hôtel …

- Ah oui, je connais. OK. C'est parti.


Une fois que nous sommes sur la route, je tends le bras et je pose la main sur son paquet. Il me jette un coup d'œil:

- T'as déjà été dans le bois, en haut des dunes au-dessus de la plage ?

- Non. Il y a un bois en haut des dunes ?

- Ouais. Tu connais pas ?


Il a un petit sourire ironique. J'ai l'impression qu'il ne me croit pas.

- Ben non … je connais pas. Je ne suis pas d'ici, et je ne suis là que depuis quatre ou cinq jours. Pourquoi tu me demandes ça ? 

- Non, comme ça … c'est un bois où les … où les … où les homos de la région se retrouvent …

- Ben non, je n'en ai pas entendu parler. C'est où, exactement ?

- Au-dessus de la plage … tout en haut des dunes … y'a un bois … enfin, il paraît … j'y suis jamais allé … mais ça se sait dans la région … 


Il réfléchit quelques instants, puis il reprend:

- De toute façon, ça m'étonnerait qu'ils y viennent en ce moment … ça doit être plutôt l'été … T'habites pas dans le coin, alors …

- Non. Je suis seulement de passage. J'avais des affaires à régler.

- Tu repars quand ?

- Je sais pas encore … ça dépend pas de moi …

- On pourra peut-être se revoir, alors … avant que tu repartes …

- Tu veux me revoir ?

- Ben … oui.


En moi-même, je me dis que si on se revoit, cette fois, il faudra bien qu'il me baise. Je ne peux pas laisser passer l'occasion:

- Demain ?

- Ah non, demain c'est pas possible. C'est dimanche et je suis invité chez mon frangin …

- Avant … ou après …

- Ben non … j'y passe toute la journée … je dois l'aider à remettre le moteur de son quad en état …

- Alors le soir, chez toi … ta femme est pas là, tu m'as dit …

- Chez moi, j'aimerais mieux pas … à cause des voisins …

- Lundi, alors …

- Lundi, je bosse … samedi prochain … tu seras encore là, samedi ?

- Je ne sais pas … peut-être … t'as qu'à me donner ton téléphone, je t'appellerai.

- Ben … je t'ai dit, j'ai pas de portable

- T'as pas de ligne fixe, non plus ?

- Si, mais … j'aimerais mieux que tu m'appelles pas sur ma ligne fixe …

- T'inquiètes pas, si je tombe sur ta femme, je lui dirais pas que je t'ai taillé une pipe …


Il rit:

- T'es con … bon, OK. Tu notes ?


Je sors mon portable et j'enregistre son numéro. S'en suit un long silence, puis il demande:

- Si t'es pas d'ici, tu loges où ?

- Dans un gite. T'as qu'à venir … un soir de semaine, après le travail …

- C'est pareil, je peux pas … ma femme va m'appeler et si je suis pas à la maison, elle va se poser des questions …

- Alors, même quand elle est pas là, elle te tient en laisse …


Il hausse les épaules, fataliste. Nouveau silence, puis:

- C'est vrai ? Quand tu reviendras, tu m'appelleras ?

- Oui. Peut-être pas d'ici à ce que je reparte, mais de toute façon il faudra que je revienne … au printemps … ou cet été … je pense que je vais m'installer dans le coin … au moins en résidence secondaire …

- Ah OK.

- Mais … si je t'appelle, tu pourras te libérer facilement ? En semaine tu bosses, et le week-end, je suppose que ta femme est là …

- Ben, je … je sais pas …

- T'as pas … un hobby, un loisir, une occupation que tu pratiques seul ?

- Pour quoi faire ?

- Ben, pour pouvoir te barrer de chez toi sans que ta femme te colle … genre pêche à la ligne, club de pétanque, jogging …

- Ah d'accord … ben non. Je fais du modélisme … des maquettes … mais ça, c'est à la maison …

- Ouais … faudra que tu trouves quelque chose, alors …

- Ouais, je vais voir.


D'un seul coup, je suis pris d'une fringale … mon estomac fait des bruits. Je réalise qu'à part une tasse de café, ce matin avant de partir, je n'ai rien avalé depuis vingt quatre heures … il y a bien eu le verre que j'ai pris avec le gendarme hier soir et les deux bières dans ce café de Pors-an-Enez … ah oui, et les deux éjaculations de Bernard ... mais ça ne suffit pas pour couper la faim. Alors:

- Tu ne connais pas un commerce ouvert ce matin, où je pourrais acheter à manger ? J'ai une fringale …

- Si, il y a un supermarché pas loin … il est ouvert le dimanche matin.

- Emmène-moi.

- OK.


Si c'est un libre-service, c'est bon … je n'aurais pas besoin de parler à la caissière et je pourrais garder mon écharpe sur le nez pour dissimuler mon visage. Dix minutes plus tard, nous y sommes. Il y a une dizaine de voitures sur le parking. Je récupère mon écharpe, ma doudoune, je l'enfile et, la main sur la poignée, je demande à Bernard:

- Tu m'accompagnes ?

- Oh non. Il y a peut-être des gens qui me connaissent … si ils me voient avec toi …

- Comme tu veux. 


Je descends, je rajuste ma robe, je mets ma capuche sur ma tête, j'enroule mon écharpe autour de mon cou et de mon menton, et en avant … 


Un peu de monde dans le magasin … des petits groupes de deux ou trois personnes, assez âgées, pour la plupart, discutent, agglutinées entre les rayons … Je ne passe pas inaperçu … à cause de ma taille, hors norme pour une fille, je pense … mais des hommes, des vieux et des jeunes, une lueur lubrique dans les yeux, me reluquent aussi pour une autre raison … de toute évidence, c'est mes formes, et en particulier mon cul, qui attirent leurs regards … délicieuse sensation … j'adore ces regards libidineux qui me déshabillent, qui me caressent, qui s'insinuent virtuellement sous ma robe et sans doute en moi … j'aimerais tellement pouvoir leur montrer qui je suis vraiment, et leur faire savoir qu'ils peuvent toucher s'ils en ont envie … et pourquoi pas, qu'ils peuvent me trousser là, au milieu de ce magasin, les jambes écartées, le torse vautré au milieu de cet étal de fruits et de légumes, et me prendre devant les autres clients … Ça y est, me voilà parti dans un nouveau délire … un frisson me parcourt le bas-ventre et l'anus … je me demande si je ne commence pas à bander un peu .. mais je n'ose pas regarder si ma queue fait une bosse sous ma robe …  


A défaut de me faire sauter en public dans ce supermarché, déjà, rien que me balader comme ça, au milieu des clients et des employés, avec mon cul et ma bite à l'air sous ma robe, c'est waouuuhhhh ! D'un seul coup, j'entends toussoter avec insistance juste derrière moi. Je me retourne … c'est Bernard. Finalement, il s'est décidé à me rejoindre. Il me sourit:

- Tu trouves ce qu'il te faut ?

- Plus ou moins …


En fait, tout à ma rêverie, je n'ai encore rien acheté. Lui, il a bien surmonté sa peur de rencontrer des gens qu'il connaît en ma compagnie, mais il n'arrête pas de regarder autour de nous avec un air inquiet. Saisi d'une soudaine inspiration, je lui prends le bras comme le ferait sa femme. Par réflexe, il tente de se dégager, mais je résiste. Mon pote, tu n'as qu'à assumer … Il cède, mais il baisse le nez, comme pour éviter le regard des autres clients … et nous voilà, déambulant, bras dessus, bras dessous, au milieu du magasin … je ne cherche pas vraiment ce dont j'ai besoin … nous flânons entre les rayons pour faire durer le plaisir …  et je guette les réactions des gens … beaucoup ne nous remarquent pas, mais certains nous fixent, un peu étonnés, un peu amusés … il faut dire, je fais presque une tête de plus que Bernard … ils doivent se dire que nous formons un drôle de couple … et puis, peu à peu, je sens Bernard se décontracter … il relève la tête … et lui aussi observe ceux que nous croisons … Mais … ma parole … il se redresse comme un coq ! 


- Hé, dis, t'as vu ? Eux aussi, ils te prennent pour une fille !


Ah, OK ! C'est ça ! Il ne voulait pas qu'on le voit avec un travelo … mais maintenant, on dirait qu'il se sent fier de traîner dans ce magasin au bras d'une " fille " qui attire comme ça les regards concupiscents des autres mâles …  il doit se dire qu'ils sont jaloux et qu'ils l'envient … il s'arrête, il approche de mon oreille, et me murmure:

- Ils ne se doutent sûrement pas que sous sa robe, la fille, elle a une bite !

- Et que tout à l'heure, la fille, elle t'a sucé la tienne, de bite …


Il est content de lui, le Bernard … moi aussi … cette situation, cette complicité avec ce mec, hhhhmmmm, j'aime ! 


A tourner entre les rayons, nous finissons par nous retrouver au bout du magasin, entre les eaux en bouteille et les jus de fruit … il n'y a personne … alors je stoppe Bernard, je lui fais face, je soulève le bas de ma robe et je lui lance:

- Tu veux la voir, ma bite ? Regarde !

- Rhôô ! T'es con ! Tu vas nous faire repérer !

- Mais non …


Je le fixe, les yeux dans les yeux et je plaque ma main sur son bas-ventre:

- Tu veux que je te suce ici ?

- T'es dingue, hein …


A moitié inquiet, à moitié amusé, il regarde, derrière moi, l'angle du rayon d'où quelqu'un peut surgir à tout moment … je lui pétris le paquet à travers la toile de son pantalon … et il se laisse faire …


- Allez, sors ta bite … je te suce …

- Non, non …


Il me chope par le coude, il me fait pivoter et il me pousse devant lui vers l'extrémité du rayon … au moment où nous nous apprêtons à en sortir, une petite grand-mère arrive, poussant son chariot de courses devant elle:

- Pardon, messieurs-dames … vous voulez être gentils et m'attraper un paquet d'eau gazeuse, là-haut ? Je suis trop petite, et ils mettent toujours ça tout en haut.


Bernard me lâche le coude, et fait demi-tour:

- Bien sûr, madame … laquelle vous voulez ?

- Celle-ci, là …


En une fraction de seconde, je comprends comment exploiter la situation … je me précipite, je bouscule Bernard et j'attrape un paquet de six bouteilles en haut du rayon … bien sûr, comme je lève les bras, ma robe remonte et je sens l'air frais me caresser les fesses … le pack de bouteilles dans la main, je soulève le rabat en toile du chariot de la grand-mère:

- Je vous le mets dedans ?

- S'il vous plaît … ah, vous avez de la chance d'être grande comme ça … merci, mademoiselle …


Et puis, avec un sourire malicieux:

- Si vous voulez écouter le conseil d'une grand-mère … vous devriez mettre une petite culotte, mademoiselle … avec ce froid, vous pourriez attraper un rhume … encore merci !


Et elle s'éloigne. Bernard:

- T'es con, hein … elle a vu ton cul !

- Non … tu crois ?


Et je me marre.


- Merde, tu l'as fait exprès ? Bon, allez, on se barre …

- Attends, j'ai pas fini mes courses …

- Ouais, ben arrête tes conneries … j'ai pas envie qu'on se fasse repérer …

- Cool, cool, mec … ça l'a fait rire, la grand-mère …


Il s'éloigne en bougonnant … Alors je prends quelques bricoles au rayon salades et sandwichs, au rayon charcuterie, au rayon viennoiseries, aux fruits, à la boulangerie et je me dirige vers une caisse. 


Quand je rejoins Bernard, il est déjà installé dans sa voiture, avec l'air renfrogné. Je pose mes courses sur la banquette arrière et je m'assieds:

- Allons-y.


Il démarre tandis que j'attache ma ceinture de sécurité et que je descends le zip de ma doudoune. Je l'observe. Il fait la gueule et il évite de me regarder. Alors je m'approche et je pose ma main sur son paquet, à l'angle de ses cuisses.


- Laisse-moi.


Mais il ne fait pas un geste pour repousser ma main. J'enfonce mes doigts entre ses cuisses serrées, et:

- Arrête de faire la gueule … c'est pas grave …

- Ouais … c'est facile pour toi, personne te connaît, ici … Imagine, si on était tombé sur un voisin à moi …

- Bon, OK … mais on n'est pas tombé sur un voisin à toi …

- Mmmmmm …


Il reste ombrageux comme ça pendant un moment, et puis, comme je bouge mes doigts avec difficulté contre ses couilles, il finit par écarter les cuisses et il sourit. Je détache ma ceinture de sécurité, je m'approche encore un peu de lui et j'entreprends de déboucler la ceinture qui retient son pantalon … il se laisse faire … j'ouvre sa braguette et je glisse ma main dans son caleçon … sa bite est toute recroquevillée, la tête en bas … délicatement, je la redresse et je rabats la ceinture de son caleçon jusque sous ses couilles … voilà, il se remet à bander … je le caresse un peu du bout des doigts … hhhhmmmm, ce long prépuce … 


- Je vais encore te sucer, Bernard …


Il me regarde et secoue la tête d'un air blasé:

- T'en as jamais assez, toi … 

- Non. Je suis en manque.

- Bon, vas-y, alors … mais je te préviens, cette fois, je pourrai sûrement pas jouir …

- T'as pas un copain, à qui je pourrais tailler une pipe ?

- Un copain ?

- Oui … quelqu'un qui aime bien se faire sucer … tu m'as parlé de ton frère, tout à l'heure …

- Ah non … sûrement pas mon frère !

- Ben quelqu'un d'autre, alors … tu m'emmènes à lui, et je le suce …

- Non, je connais personne à qui je pourrais t'emmener …

- Dommage.


Et il soulève son bras droit, comme pour me laisser la place de me pencher sur son ventre … je prends son sexe dans ma bouche … hhhhhmmm, c'est tellement bon ! Il pose sa main sur mon cou et il me caresse doucement … j'ai eu beau lui nettoyer la bite à fond tout à l'heure avec ma langue, elle sent encore un peu le sperme … c'est un régal, et je salive abondamment … je le suce longuement comme ça, avec son gland encore enveloppé dans son prépuce … ça m'excite de plus en plus et je le pompe de plus en plus fébrilement … et je finis par le décalotter … il bande fort et il est vraiment très raide … oh la la, j'espère que je vais quand même arriver à le faire jouir une troisième fois … je me branle tout en le suçant … 


- Faut que t'arrêtes, on est bientôt arrivés …

- … 

- T'entends ? On est bientôt à la plage.


Il clignote, il ralentit et je sens qu'il déporte sa voiture sur la droite … je ressens les chaos du bas côté …


- Allez, arrête, maintenant.


Il passe sa main sous mon menton et il me repousse. Je me relève. On est stationnés sur le bas côté, à mi pente de la route qui aboutit au parking où j'ai garé ma voiture. Je l'aperçois, d'ailleurs, derrière d'autres voitures. Il y a du monde, maintenant. D'autres voitures nous dépassent, qui descendent vers le parking. Bernard remballe sa bite et ses couilles, referme sa braguette et reboucle sa ceinture. Il me regarde en souriant:

- Finalement, je vais quand même essayer de me débrouiller pour venir chez toi un de ces soirs … ça te dérange pas ?

- Non … mais … et si ta femme t'appelle …

- Je m'arrangerai …

- Ben d'accord, OK. Je vais te donner mon numéro pour que tu m'appelles quand tu peux venir … t'as un papier et un crayon ?

- Ouais … stylo dans la boîte à gants … et doit bien y avoir un papier … 


Je fouille, je trouve un stylo et une facture de contrôle technique. Je note mon numéro dans un coin, et en remettant le tout en place:

- Tu m'appelles et je te dirai où il est, mon gite ..

- Ça te … ça te gêne pas, que je vienne te voir … vis-à-vis de gens qui te logent ?

- Non. C'est un gite, mais ça ressemble plus à un motel … tu sais, un peu comme ceux qu'on voit dans les films américains … l'entrée de chaque chambre est indépendante, et le soir, la gérante ferme son bureau et elle rentre chez elle … 

- Bon, très bien …

- Tu sais, si tu viens, je veux bien encore te tailler une pipe, mais j'aimerais bien que tu me baises, cette fois …

- Ah non ! Je t'ai dit … ça, je pourrais pas …

- Attends ! J'aurai le cul hyper clean … je me fais toujours plusieurs lavements … moi non plus, j'aime pas que les mecs trempent leur queue dans la merde … et même, si tu veux, tu pourras mettre une capote …

- Pfffffff ! Bon, on verra … mais je te promets rien …

- OK.

- Dis … tout à l'heure, tu parlais … tu m'as dit que … si je connaissais quelqu'un … tu serais prêt à le sucer …

- Oui.

- Ben … si je viens à ton gite … si … si j'amène quelqu'un … ça te … ça serait possible, que tu nous suces tous les deux ?

- OUI, OUI, OUI ! ! ! Tu connais quelqu'un ?

- Je … je suis pas sûr, mais peut-être … un collègue … il parle tout le temps de cul, et je crois qu'il baise avec des mecs ...

- Ben oui, alors ... viens avec ton collègue … 

- Mais … tu me dis oui, et tu le connais même pas …

- Toi non plus, je te connais pas … et je t'ai sucé, non ?

- Oui, c'est vrai.

- Bon, allez, descends jusqu'à ma voiture.


Il redémarre. Au moment où on arrive sur le parking, le break qui était garé juste à côté de ma voiture amorce une marche arrière pour s'en aller. Bernard attend qu'il s'éloigne, et il prend sa place, à droite de ma voiture. Je me retourne, je récupère mon écharpe et mes courses sur la banquette arrière et, avant de descendre, je fouille dans la poche de la doudoune, je sors mon string et je le tends à Bernard:

- Tiens … cadeau …


Il ouvre des yeux ronds:

- C'est à toi, ça ?

- Oui. Et maintenant, c'est à toi.


Il hésite, il prend ma petite culotte et me tend la main, visiblement pour que je la lui serre. Alors, je m'approche et je lui pose un baiser sur la joue. Et je descends. L'air frais sur mes fesses me rappelle que ma robe est remontée à l'angle de mes cuisses et de mon ventre … et j'ai le cul à l'air … Bernard, mi souriant, mi inquiet, vérifie aux alentours si quelqu'un peut me voir. Mais je suis entre nos deux voitures. J'ouvre ma portière, je balance mes effets sur le siège passager et je m'installe. Bernard manœuvre et s'éloigne pour faire demi-tour au bout du parking. Je fais comme lui et je prends la route de mon gite.


Hhhhhhmmmm, ça y est, je me suis de nouveau tapé une queue ! Et puis, c'est décidé, je rentre à mon gite dans cette tenue ... je ne me change pas. Ce matin, pour sortir, j'avais enfilé un pantalon par dessus ma robe et mon collant pour le cas où je rencontrerais la gérante ou un autre client, mais maintenant, je m'en fous … en principe, le dimanche, la gérante est dans son bureau jusqu'à midi, mais tant pis si elle me voit comme ça … à la limite, je me garerais à l'extrémité du parking … comme ça, je ne serai pas obligé de passer devant son bureau pour gagner ma chambre …


Dimanche 17 décembre. 18h30

Je viens tous juste de me réveiller. Quand je suis rentré, ce matin, vers les onze heures et demie, je n'ai rencontré personne devant le gite. J'avais tellement la dalle que j'ai mangé tout de suite … et je me suis allongé sur le lit, histoire de récupérer un peu, mais je me suis endormi … sans doute l'effet du grand air sur la plage et le sentier côtier, et aussi d'avoir sucé ce mec et d'avoir pris mon pied.


J'avais plus ou moins prévu de ressortir cet après-midi et d'aller traîner en ville, habillé en fille comme ce matin … Tant pis. Et puis là, il pleut. Pourtant, ce matin, il faisait plutôt beau …


Lundi 18 décembre. 9h00

Il pleut encore. Et il faut que je tue cette journée. 


Ça y est, la mécanique s'est vraiment remise en route … je suis de nouveau taraudé par des envies de queues. Mais avec ce temps, cette pluie et ce froid, c'est pas aujourd'hui que je vais pouvoir aller draguer des mâles. 


Lundi 18 décembre. 19h00

Je viens de rentrer et j'ai commencé à essayer mes emplettes du jour. 


Ce matin, je suis passé voir où en est Gégé de ses travaux de peinture. Il a quasiment fini. Il a entrepris de ranger et de nettoyer. Je lui ai dit qu'il pouvait rester dans la maison pour le moment, et qu'il y serait mieux que dans son blockhaus sans eau et sans électricité. Il n'a dit ni oui ni non, mais j'ai l'impression qu'il va rester.


Après, je suis retourné dans la zone commerciale. D'habitude, les boutiques sont fermées le lundi, mais comme nous sommes à quelques jours de Noël, elles étaient exceptionnellement ouvertes. J'avais envie de m'acheter un peu de lingerie. Si Bernard vient me voir au gite, il faut que je lui donne envie de me baiser. Ma robe, mon collant ouvert et ma doudoune, c'était très bien pour l'extérieur, mais je ne peux pas le recevoir comme ça dans ma chambre. J'ai de nouveau fouillé dans les rayons du magasin où samedi j'ai acheté ma robe et le reste … la connasse de vendeuse n'y était pas … dommage, ça m'aurait bien plu de lui mettre sous le nez des trucs encore plus " sexe " qu'une robe, un collant et un string.

 

Cette fois, j'ai trouvé trois nuisettes … une en voile de tulle noir transparent, très courte, avec une bordure en dentelle jaune au niveau de la poitrine – j'ai pratiquement la même chez moi, en Seine-et-Marne -, une en lycra beige, très douce au toucher et très moulante, et une rouge, également transparente, ouverte devant, avec des petits nœuds … j'ai aussi trouvé quelques strings, certains plus ou moins assortis à mes nuisettes, c'est-à-dire deux noirs et deux beiges, ainsi qu'un rose fluo – ceux-là, je les adore - et un rouge vif … et j'ai pris trois paires de bas … une paire de noirs, une paire de rouge vif et une paire de jaune moutarde … mais il n'y avait pas de porte-jarretelles qui me plaise ... Quand je suis passé à la caisse, la collègue de la connasse m'a reconnu, il me semble, mais elle n'a pas commenté, elle est restée impassible. Dans les autres commerces de la zone, je n'ai pas trouvé non plus de porte-jarretelles sympa. 


J'en ai trouvé un en ville, dans une boutique de lingerie … la commerçante est charmante ... elle a cru que j'achetais des cadeaux pour ma femme ! Oui, là aussi les commerces sont ouverts … j'ai pris un porte-jarretelles en dentelle noire et un en lycra rouge … Ça devrait le faire, avec Bernard … je sais l'effet que je fais aux mecs quand je leur mets mon cul sous le nez dans ce genre de tenue … j'ai un peu hésité, mais je suis aussi entré dans une parfumerie et je me suis offert un flacon d'Opium … ce parfum, je l'associe instinctivement au sexe … ça date de l'époque où j'ai commencé à fourrer mon nez - et ma bite - dans la lingerie de Marie-Claire, ma patronne … pratiquement toutes ses petites culottes, ses nuisettes, ses bas et sa lingerie en sont imprégnés, même après être passés au lave-linge … il doit y avoir je ne sais quoi là-dedans, qui agit comme des phéromones et qui me déclenche automatiquement des envies de sexe … à mon avis, ce n'est pas un hasard si la lingerie "hot" de Marie-Claire embaume ce parfum … elle doit en mettre quand elle baise … j'espère qu'il agira sur Bernard comme il agit sur moi … sur Bernard et sur son collègue, si il amène son collègue … 


Voilà, j'ai fini d'essayer ma lingerie. Putain, l'image que m'a renvoyé le miroir de la salle d'eau dans mes différentes tenues … si Bernard résiste à ça … même moi, mon image m'excite et me fait bander ! Déjà, simplement essayer de la lingerie neuve, ça m'a toujours excité. Là, je bande et ma queue a commencé à baver un peu de fluide. Le seul truc, c'est que toute cette lingerie sent le neuf … littéralement … non seulement les matières sont encore un peu raides, mais elles sentent vraiment le tissu neuf … Il y a un lave-linge dans la cuisine commune du gite. Alors, je commence par tremper le tout dans mon lavabo … nuisettes, bas, strings, porte-jarretelles … avec un peu de gel douche et quelques gouttes d'Opium … on verra bien ce que ça donne … puis je porte tout ça à la cuisine et je fais tourner une machine avec un programme court et pas trop de lessive … je reste à côté jusqu'au bout … il ne faudrait pas que quelqu'un d'autre vienne faire une lessive et tombe sur ma lingerie en ouvrant le tambour … quand c'est fini et que j'ouvre le hublot, je reconnais les effluves du parfum … ouaiiiiiiis, c'est exactement ce que je voulais … l'odeur est là, mais pas trop forte, pas trop puissante … j'adore ! Presque immédiatement, quand cette senteur atteint mes récepteurs olfactifs, une petite décharge électrique me parcourt le sexe … hhhmmmm !

 

 

 

à suivre

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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