Mardi 2 juillet 2019 2 02 /07 /Juil /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Samedi 23 décembre. 14h15


Voilà, on y est ! Bernard et son collègue sont là. 


Bernard, c'est cet inconnu que j'ai rencontré dimanche, au cours de ma balade sur la côte, habillé en travesti, et à qui j'ai taillé une pipe au bord d'une route dans sa voiture. 


Son collègue, c'est aussi un inconnu. J'avais demandé à Bernard si il ne connaîtrait pas quelqu'un qui voudrait me baiser … Ça n'a pas traîné … deux jours après, c'est-à-dire le mardi suivant, ils m'appelaient de leur lieu de travail pour prendre rendez-vous. Et donc, ils sont là, dans la chambre du gite où j'habite depuis que je suis arrivé en Bretagne.


Ça fait à peine un quart d'heure qu'ils sont arrivés et je suis déjà à genoux aux pieds du collègue en question … il s'appelle Jean-Pierre, le collègue de Bernard … là, Jean-Pierre, il a le pantalon et le caleçon descendus en accordéon sur ses chevilles … et moi … moi, je suis en train de poser des bisous et des coups de langue sur ses couilles … des couilles qui pendent … lourdes … énormes … magnifiques ! Elles me font penser aux couilles d'un taureau, alors j'ai hâte que ce mec me baise ! Parce que, c'est sûr, ce mec VA me baiser ! Je l'ai senti tout de suite … autant l'autre, le Bernard, est hésitant ou timide, autant celui-là est visiblement décidé.


Accroupi derrière moi, Bernard a aventuré ses doigts entre mes fesses … il les fait glisser le long de ma raie, mais, si il les passe toujours plus près de ma rondelle, je sens qu'il n'ose pas encore la toucher vraiment … il la contourne, il l'effleure … comme s'il attendait mon autorisation pour aller plus loin … suspendant mes coups de langue sur le périnée de Jean-Pierre, je lâche sa verge, je m'empoigne la fesse droite, je me cambre, et:

- Allez, Bernard, vas-y, fourre-moi tes doigts dans le cul … vas-y franchement, tu n'as rien à craindre, j'ai le cul vraiment clean … et je me suis mis du lubrifiant …


Visiblement, il n'attendait que ça. Immédiatement, je sens qu'il me pose un doigt sur l'anus et qu'il commence à l'enfoncer … ouaaaaaahhhhhh, ça me donne une espèce de décharge électrique dans le cul qui se répand dans tout mon corps … comme une vague voluptueuse et qui me fait me cambrer davantage ! Je ne peux retenir un gémissement … Bernard:

- Je t'ai fait mal ?

- Ooooh nooooon ! C'est parce que … c'est tellement booooon ! Continue …


Et ça rentre tout seul ! Comme le lubrifiant que je me suis injecté a commencé à s'écouler, Bernard n'a pas besoin de forcer… Alors je peux me consacrer à nouveau aux couilles et à la bite de Jean-Pierre … je n'y tiens plus, j'arrête mes bisous et mes léchouilles, je reprends ses couilles dans ma main, et son sexe dans ma bouche ! Hhhhhhmmmmmm, ce que c'est boooooon ! Un flot de salive m'inonde la langue et les joues.


Puuuutain, j'ai encore deux mecs pour moi toute seule ! Deux mecs ? Non, deux inconnus ! J'ai beau être coutumier de ce genre de situation, à chaque fois, j'en suis ébahi … là, j'en suce un, et l'autre me fourrage le cul avec ses doigts ! D'ailleurs, sans que j'aie eu besoin de m'en charger, mon anus s'est mis à béer spontanément sous l'effet des caresses exploratoires de Bernard … et comme il a senti ma fleur s'épanouir au contact de ses doigts, il m'en a déjà enfoncé un deuxième dans le fourreau ! Oh la laaaaa ! Je suis pris d'un léger vertige … c'est boooooon, c'est tellement boooooon ! Deux mecs ! Deux mecs qui bandent pour moi … deux mecs qui me veulent … c'est seulement deux mecs, mais ils me mettent dans tous mes états ! Pourtant, j'ai déjà été assailli – assailli et sailli - par bien plus que deux mecs ! Plusieurs fois par quatre ou cinq … une fois par huit blacks d'un coup … et jusqu'à trente ! Mais là, il y a si longtemps que je ne me suis pas offerte à plusieurs types en même temps ! Je me sens comme un junky privé de shoot depuis des jours, et à qui on montrerait un petit rail de coke ! Je veux que ces deux types m'utilisent … je veux que ces deux types se servent de moi … je veux que ces deux types disposent de moi comme ils ont envie … je veux que ces deux types me baisent !


Et une fois encore, je me surprends à gémir … sans retenue, sans pudeur … comme une femelle en chaleurs …


JE SUIS une femelle en chaleurs !


Allez, maintenant, il faut qu'ils me baisent … TOUT DE SUITE !


J'ai sorti la bite de Jean-Pierre de ma bouche, je me suis relevé, je me suis élancé et je me suis jeté sur le lit:

- Allez, les garçons, baisez-moi, maintenant !


Allongée sur le dos, les cuisses écartées, je tends les mains vers eux. Ils sont scotchés … Jean-Pierre debout au milieu de la chambre et Bernard toujours à genoux là où je l'ai planté … tous les deux ont la bite en bannière … les mains tendues vers eux, j'insiste:

- Allez ! Venez, les garçons !


C'est Jean-Pierre qui réagit le premier … il ôte vite fait ses chaussures, il finit d'enlever son pantalon et son caleçon, et il me rejoint. Bernard hésite une fraction de seconde, puis, en voyant faire son collègue, il se décide … il se relève, il ôte son sweat-shirt et sa chemise, puis son pantalon et son slip … 


Jean-Pierre s'est agenouillé au bout du lit, à côté de mes jambes, il a passé ses index dans la ceinture de mon string au niveau de mes hanches:

- Enlève ça !


Il est fébrile … maintenant, il a une urgence. Je soulève mon bassin et il descend le minuscule bout de tissu rouge sur mes cuisses, puis sur mes mollets, avant de me l'ôter complètement et de le jeter au pied du lit. Il pose une main sur ma cuisse:

- Tourne … et fous-toi à quatre pattes !


Il va m'enculer ! Il va me prendre en levrette !


Avant d'obtempérer, je jette un rapide coup d'œil à sa queue … encore luisante de ma salive, elle se dresse à la verticale … ses veines sont gonflées … son gland, que je n'ai pas eu le temps de complètement décalotter, commence à sortir tout seul de son prépuce … c'est pour mon cul que ce sexe bande comme ça ! C'est pour fourrer mon cul qu'il bande comme ça !


Pendant que je me retourne pour me mettre en position, Bernard monte à son tour sur le lit:

- Où j'me mets, moi ?

- Là, devant moi … assieds-toi, je vais te sucer pendant que ton copain me baise …


Il s'assied, le dos appuyé à la tête du lit, ses jambes de part et d'autre de mes mains posées à plat sur le matelas … il arbore un sourire réjoui … un peu hésitant tout à l'heure, à son arrivée, j'ai senti qu'il avait un peu de mal à se mettre dans l'ambiance, à participer … mais cette fois, ça y est, même si je crois qu'il n'en revient pas de ce qu'il est en train de faire, lui à qui sa femme n'aime pas tailler une pipe, lui dont la femme ne veut même pas baiser dans le jardin … et il est là, dans un lit avec un collègue, et tous les deux s'apprêtent à baiser un travelo !


Pendant que Bernard s'installait, j'ai senti le matelas s'enfoncer entre mes genoux quand Jean-Pierre a pris place entre mes mollets … j'ai écarté un peu plus mes jambes … il a posé ses mains sur mes hanches et il s'est mis à me les peloter, à me les pétrir:

- Putain, quel CUL !


Ça le fait rire. Je tourne la tête vers lui … la bouche entrouverte, le regard fixe, tout en contemplant ma croupe, il la caresse fiévreusement. Alors je me cambre, je creuse mes reins, adoptant la position de la chatte qui réclame une saillie à son matou … et je me penche sur le ventre de Bernard. Lui aussi, sa bite se dresse à la verticale … sa bite au prépuce si étrange, au prépuce si long, au prépuce si appétissant … du bout des doigts, je lui caresse la verge, j'effleure ses couilles, je serre délicatement son gland, je pince son prépuce …


Derrière moi, Jean-Pierre fait je ne sais quoi, une main toujours sur ma hanche … je sens le matelas bouger sous mes genoux, comme s'il était soudainement allégé d'un poids … j'ai l'impression … j'ai l'impression qu'il est descendu du lit …


Et brusquement … je sens … entre mes fesses … je sens … oui, c'est son visage … je sens la tiédeur de son haleine au fond de ma raie … et aussitôt, une chose toute chaude et mouillée se pose sur ma fleur … c'est sa langue ! Il veut me bouffer le cul ! J'ai bien fait de choisir un lubrifiant comestible ... en plus, il est parfumé à la vanille. Oh, oui, Jean-Pierre ! Vas-y, bouffe-moi la rondelle ! Oh la laaaaaaa, ce mec va me rendre dingue ! Ça y est, je sens le bout de sa langue qui s'enfonce légèrement dans ma rondelle … Putain que c'est bon ! Je passe ma main libre derrière moi, j'empoigne ma fesse et je l'écarte pour qu'il puisse coller sa tronche bien au fond de ma raie. Il bouge sa langue … c'est chaud, c'est ferme et légèrement râpeux, c'est mouillé, c'est vivant … on dirait une petite bestiole qui cherche à se cacher dans son terrier … vas-y, petite bestiole, va te mettre au chaud et en sécurité … j'adore !


Tandis que Jean-Pierre commençait à me bouffer le cul, je n'ai pas arrêté de tripoter la bite de Bernard … Bernard qui bande maintenant très nettement … alors, je me penche un peu plus, j'ouvre la bouche et je happe son sexe … hhhhhmmmmm, ce prépuce, ce long morceau de peau un peu mou, bien au chaud dans ma bouche, c'est irrésistible … je ne peux pas m'empêcher de jouer de la langue avec lui … je le fais tourner, je le presse contre mon palais, je l'asticote, j'introduis la pointe de ma langue autant que je peux à l'intérieur … et je sens la verge et le gland de Bernard réagir … sa verge gonfle et dégonfle par à-coups entre mes lèvres tandis que des espèces de pulsations font battre son gland comme un cœur minuscule … les premiers soubresauts de sa verge et de son gland étaient tellement forts que j'ai cru un instant que Bernard était déjà au bord de l'éjaculation … mais non … je sens qu'il maîtrise …


Alors, je serre mes lèvres sur sa verge et je l'enfonce jusqu'au fond de ma gorge … il commence à se décalotter … je relâche ma pression, et je remonte ma bouche jusqu'à avoir la couronne de son gland contre mes lèvres … et je recommence … lèvres serrées, gland au fond de la gorge … et voilà, il est complètement décalotté et son gland s'épanouit sur ma langue ! De nouveau, je ne peux retenir un gémissement de plaisir ! Ou plutôt … un couinement ! Bernard m'a entendue … ça l'a fait rire … ou plutôt ricaner … quand il a ri, j'ai senti la secousse de son ventre contre mon front. Mais je m'en fous … il peut rire … je me fous que ces deux mecs m'aient entendue … je me fous qu'ils me prennent pour une folle de bite … JE SUIS une folle de bite ! 


Bernard a pris ma tête entre ses mains et j'aime ça … je suis sûr … je suis sûr qu'il est en train de me regarder le sucer … de regarder ma bouche aller et venir sur son sexe … instinctivement, il a commencé à écarter davantage les cuisses … par moments, en même temps que sa bite est prise de tressaillements, il se met à respirer plus fort par la bouche … ce sont des vagues de plaisir qui déferlent sur sa queue avant de se retirer …


- Dis, Machin, t'as des capotes ?


C'est Jean-Pierre qui vient de sortir sa tronche d'entre mes fesses et qui s'est redressé … il a accompagné sa question d'une tape sur le haut de ma fesse … comme je continue de faire aller et venir ma bouche sur la queue de son copain, il insiste:

- Hé mec ! T'as des capotes ?


Alors je recrache la bite de Bernard, et, tout en continuant de le masturber, je tourne la tête vers Jean-Pierre:

- Pourquoi … tu veux mettre une capote ?

- Ben … je sais pas … c'est pour toi …

- Ben oui, j'ai des capotes, mais moi, j'aimerais mieux que t'en mettes pas …

- Ah bon ? Mais … tu voudras que je me retire au moment de jouir ?

- Non … je préfère que tu jouisses dans mon cul ...

- Ah bon ! Ben dans ce cas là, moi aussi … t'es sûr, hein … parce que …

- Ouais, je suis sûr ! T'inquiètes pas pour moi … quand je dis que je veux qu'un mec me baise, c'est que je veux qu'il me baise VRAIMENT … je veux avoir sa bite au fond de mon cul et je veux qu'il décharge son sperme au fond de mon ventre … pour moi, c'est ça, me faire baiser …

- Bon, très bien, alors … moi, ça me va … je vais t'baiser !

- Et tu sais, hein … tu t'occupes seulement de toi …

- Comment ça …

- Ben … donne-toi du plaisir … prends ton pied, et t'occupes pas de moi … essaie pas de me donner du plaisir, hein … mon plaisir à moi, c'est que tu me baises et que tu éjacules dans mon cul …

- Bon … comme tu veux …


La tête un peu penchée sur le côté, il contemple mon cul tout en me caressant les fesses:

 

- Tu sais … t'as un cul … t'as vraiment le cul le plus … le plus bandant que j'aie jamais vu ! Et pourtant, j'en ai vu des culs … et j'en ai baisé des culs ! Des culs de mecs et des culs de femmes … mais le tien, putain ! Et en plus, c'est la première fois que je baise un mec dans ce genre de tenue … en nuisette, avec un porte-jarretelles et des bas … et ben, c'est VACHEMENT bien, comme ça ! Jusqu'à présent, j'ai seulement baisé des mecs … tu vois … à poil, quoi … C'est bien aussi, hein, je dis pas … mais comme ça, avec cette lingerie, c'est … c'est encore plus … je sais pas … c'est plus … plus dépravé, plus vicelard, je trouve … j'adore ! Avec ta lingerie, je te trouve même plus excitant que si t'étais une femme … ta lingerie et ton p'tit cul de salope … et tes boules et ta bite qui ballottent entre tes cuisses … une sacrée petite pute !

- Merci.

- Ben, pas d'quoi, ma chérie …


Il glisse sa main entre mes fesses depuis mon coccyx et il s'arrête sur ma rondelle. Je le sens m'enfoncer un doigt … ou deux … et les bouger … hhhmmmm ! Je veux le voir se préparer à m'enculer … même si je suis obligé de me tordre le cou et le dos. Et sans avertissement, il ôte ses doigts et, sa main gauche sur ma fesse, il se remet à genoux entre mes mollets … il serre sa queue dans sa main droite, et avant que mon arrière-train la cache à ma vue, sa queue, j'ai le temps d'apercevoir son gland qui dépasse de son poing … son gland avec la fente de son méat … Oh putain, il va m'enfoncer ça dans le cul, et c'est par là que va jaillir sa semence et qu'elle va se répandre dans mes muqueuses ! J'ai tellement hâte qu'il m'insémine ! 


Il a les yeux braqués sur … sur ma rondelle … et il approche son gland … Ça y est, il vient de le plaquer contre ma fleur … je le sens … son gland caoutchouteux et brûlant ! Il va me pénétrer ! Je ferme les yeux et je me retourne face à Bernard que je n'ai pas arrêté de branler …


Ah putain, ça y est ! Jean-Pierre enfonce son sexe en moi ! C'est tellement … c'est tellement … ça me bouleverse ! Ce que ce mec … ce que ce mec est en train d'introduire en moi, c'est SON SEXE … SON SEXE, PUTAIN ! En l'espace de quelques mois, je me suis déjà fait baiser par … je sais pas … peut-être une cinquantaine de mecs … peut-être plus … mais je suis toujours aussi chamboulé … troublé … affolé par ÇA … un mâle qui introduit SON SEXE DANS MOI ! 


Qu'une personne … ou plutôt, qu'un être vivant comme … comme un animal, par exemple … qu'un être vivant, mâle, évidemment, introduise son sexe dans un autre être vivant, je ne peux pas imaginer de relation plus étroite, plus intime que ça … et ceci en faisant abstraction de toute relation affective ou sentimentale. Et je parle bien de l'introduction du SEXE d'un mâle, pas d'une autre partie de son corps, comme un doigt ou une langue … non, je parle du SEXE, je parle de l'appareil génital d'un mâle, je parle de l'organe reproducteur d'un mâle … Et quand je parle de relation étroite, intime, je parle de quelque chose de plus profond qu'un simple contact tactile entre deux peaux, entre deux chairs … je parle de quelque chose au-delà de la fornication, de la débauche, de la luxure … je parle d'une relation d'être à être, une relation de celui qui pénètre avec son sexe à celui qui est pénétré, une relation qui implique nécessairement une sorte de subordination, certes généralement consentie, mais tout de même une relation qui suppose un rapport de sujétion … parce que celui qui pénètre l'autre avec son sexe PREND … il prend possession du corps de l'autre ... en jouissant du corps de l'autre avec son sexe, il PREND l'autre, il POSSÈDE l'autre … il possède ENTIÈREMENT l'autre, TOTALEMENT … d'ailleurs, dans sa sagesse, le langage utilise ces mots, ces expressions … se donner, s'offrir à quelqu'un … « prends-moi » … posséder quelqu'un …


Bizarrement, étant devenu depuis quelques mois celui qui se donne à l'autre, étant devenu celui qui se fait pénétrer par le sexe de l'autre, quand cet autre est un inconnu, je ressens d'autant plus intensément ce rapport de sujétion au mâle à qui je m'offre … ce qui exprime le mieux ce que je ressens, c'est … "je veux que ce type me prenne, je veux que cet inconnu me possède " … oui, je veux qu'il me POSSÈDE, je veux être sa chose ! Je veux qu'il dispose de mon corps à son gré ! Plus curieux encore, et surtout beaucoup plus dépravé, beaucoup plus amoral selon les critères de la société, j'éprouve une ivresse, une exaltation, une jubilation d'autant plus intenses que je me soumets, que je m'abandonne ainsi aux désirs de plusieurs inconnus, que je m'offre à une meute de mâles pour qu'ils se partagent mon corps, pour qu'ils me prennent, pour qu'ils pénètrent mon corps avec leurs sexes ! Mais surtout, pour moi, une telle relation au mâle ne peut être complète que si elle est radicale, sans artifice, sans protection … le sexe du mâle à nu … à cru … à vif dans ma chair … sans capote, donc … pour moi, une telle relation au mâle ne peut être complète que si le mâle éjacule dans mes entrailles, parce que la semence du mâle, cette part de lui-même, qu'il répand au fond de mon ventre, qu'il confie à mon ventre, sublime cette relation charnelle …  


Ses mains à l'angle de mon ventre et de mes cuisses, Jean-Pierre s'enfonce en moi … lentement, doucement … je sens chaque millimètre de son sexe glisser dans mon anus parfaitement lubrifié … il me semble … il me semble que je sens son gland qui se fraie son chemin en moi en repoussant les parois de mon rectum … Ah la la, quel bonheur ! J'ai le sexe d'un mâle dans moi ! Le sexe d'un mâle inconnu ! Et ce mâle va prendre du plaisir dans moi ! Et il va JOUIR dans moi ! La tête me tourne un peu … les yeux fermés, concentré sur ce que ce type me fait, je me rends compte que, dans la main, j'ai toujours la bite de l'autre … la bite de Bernard … Bernard qui bande, mais que j'ai arrêté de masturber … il ne proteste pas, il ne cherche pas à remettre sa bite dans ma bouche … je crois … même s'il ne voit pas le sexe de son copain s'enfoncer en moi, je crois qu'il devine, qu'il sent ce qui se passe  … il doit voir son copain, les mains sur mes hanches, le regard braqué sur ma rondelle, qui progresse lentement … il doit voir et déchiffrer ses mimiques … sans doute fasciné par le spectacle de son copain qui est en train de s'introduire en moi … 


Voilà … le ventre de Jean-Pierre touche mes fesses … il est au fond … juste avant qu'il reparte en arrière, je l'arrête:

- Attends, Jean-Pierre ! Reste un peu comme ça.


Il s'immobilise. Alors, m'appuyant sur mon coude gauche, je lâche la bite de Bernard, et je passe ma main droite sous mon ventre … entre mes cuisses … et je cherche à tâtons les couilles de Jean-Pierre … les voilà ! Ah oui, putain ! Ses belles couilles … ses énormes couilles de taureau ! Elles pendent terriblement ! Comme tout à l'heure, quand je les ai déballées. Pourtant, en principe, quand un mec est excité, ses couilles ont tendance à remonter vers son périnée. Lui, non. Hhhhmmm, c'est trop bon … ça me plaît ! Du bout des doigts, j'effleure la longue bande de peau que le poids de ses boules étire sous son périnée … puis je frôle ses bourses … je les palpe doucement et, au contact de mes doigts, comme tout à l'heure, je sens ses couilles bouger toutes seules à l'intérieur de leurs bourses … elles sont vivantes … et elles aiment ce que je leur fais … je finis par les prendre au creux de ma paume … putain, qu'est-ce qu'elles sont lourdes !!! Oh la laaa, me faire tirer par … par un mâle équipé d'une telle paire, ça a quelque chose de … quelque chose de … j'ai soudain la même sensation que quand je m'étais mis à quatre pattes dans l'écurie de Jean-Claude, et que le Cané corso de Pierrot, l'énorme molosse de Pierrot, grimpé sur moi, s'apprêtait à me saillir … les grosses couilles de Jean-Pierre qui pendent comme ça, ça a quelque chose d'animal, de bestial … j'adore !


- Elles te plaisent, hein …

- Oh ouiiiii … elles sont tellement … elles sont tellement … je les aime, tes couilles !

- Hé hé hé !


Il est content de lui, le Jean-Pierre … il est fier, même ! Il peut être content et fier de lui ! Oh, ce n'est pas la première paire de couilles hors normes à qui j'aurai eu affaire … j'en ai eu d'autres en main … et d'autres au cul … j'en ai vidé d'autres, des paires de couilles énormes … mais à chaque fois, une grosse paire de couilles, ça me fait le même effet que le sexe d'un mâle qui me pénètre ... ça me … oui, ça me bouleverse. Qu'un mec aussi bien doté par la nature ait envie de me baiser, c'est tellement étonnant et tellement gratifiant … ça me fait me sentir tellement … femelle ! J'imagine qu'avant que la civilisation ait policé nos mœurs, quand l'espèce humaine venait tout juste de s'extirper de son animalité, l'instinct des femelles, pour garantir leur fécondation, devait leur faire choisir de préférence les mâles équipés des appareils génitaux les plus conséquents … tout comme les mâles qui, pour assurer leur descendance, devaient privilégier les femelles au physique le plus apte à porter leur progéniture. Et bien voilà, pour moi, il y a de ça … je me demande si dans l'envie de ce mec pour mon cul et dans ma fascination pour sa grosse paire de couilles … je me demande si il n'y aurait pas comme une réminiscence de ces instincts ataviques … instincts certes maintenant détournés de leur fonction initiale, la reproduction, mais toujours aussi puissants … 


J'aime tellement ça, lui peloter le paquet, à Jean-Pierre … et lui aussi, il aime ça ! Oh, évidemment, pour moi, il y a le plaisir lubrique, voluptueux, de tripoter les couilles du mec qui a enfoncé sa bite au fond de mon cul … mais il n'y a pas que ça … il y a plus que ça … à cet instant, je suis autre chose qu'une tapette … et ce mec est autre chose qu'un queutard … à cet instant, ce type est mon mâle … et je suis sa femelle ! Oui, à cet instant, je suis à lui ! Je suis à lui, et je veux qu'il me baise !


Et soudain, sans m'avertir, il affermit l'étreinte de ses mains sur mes hanches et il commence à s'écarter de moi, à reculer … lentement … Je sens sa verge coulisser dans mon anus … je retiens encore un peu ses boules au creux de ma main … et je les lâche … elles m'échappent … il extrait lentement son sexe … mais pas complètement … je sens … je sens son gland, juste là, tout près de la sortie … et il repart en avant … Oooooohhh ! Oooooh la laaaa ! De nouveau il s'enfonce en moi ! C'est si boooooooon, ce sexe qui plonge dans mes chairs … je m'entends gémir ! Et comme j'ai laissé ma main entre mes cuisses, voilà ses couilles qui reviennent et qui effleurent ma paume … qui effleurent ma paume avant de venir batte contre mon périnée … non, pas seulement contre mon périnée … contre mes couilles aussi ! Ses couilles pendent tellement qu'elles touchent aussi MES couilles ! Oh la laaaaa, la sensation ! Je gémis à nouveau … Je le sens qui plaque à nouveau son ventre contre mes fesses … et aussitôt, il repart en arrière … plus vite, maintenant … et il revient … et cette fois, son ventre claque et rebondit contre mes fesses … 


Ça y est … la mécanique est en marche ! Ses doigts se crispent sur mes hanches … il va et vient sans marquer d'arrêt … je l'entends respirer par la bouche … son excitation monte … monte …


- Suce-moi !


C'est Bernard. Je l'avais encore presque oublié, celui-là. Il a posé sa main sur l'arrière de mon crâne et il appuie pour que je descende ma tête vers sa bite. Mais il n'avait pas besoin d'appuyer … son injonction aurait suffi … aussitôt que j'ai entendu ce « suce-moi », une espèce de vague de … de … de je ne sais pas exactement quoi a déferlé sur moi … une furieuse envie de bite … un besoin de bite … une fringale de queue … brutale, irrépressible … il me FAUT cette bite dans la bouche ! 


Alors j'ai pris le sexe de Bernard dans ma bouche et je me suis mis à le pomper … fiévreusement … en gémissant sans retenue et sans pudeur … je me fous que ces deux mecs réalisent de cette façon que leurs queues me rendent dingue … au contraire, même, je veux qu'ils le sachent, que je suis accro à leurs bites, je veux que ça leur donne envie d'en profiter … il est vraiment très raide dans ma bouche, Bernard ! Je vais et je viens furieusement sur sa queue … je sens son gland gonflé, épanoui, qui glisse entre ma langue et mon palais … je le presse avec ma langue et je sens que ça lui fait beaucoup d'effet … lui aussi, s'est mis à respirer par la bouche, et maintenant, il halète … il a glissé sa main depuis l'arrière de mon crâne jusqu'à ma nuque et il me la serre doucement … j'adore ce geste de domination du mâle sur la femelle, à la fois ferme et affectueux … Oui, Bernard, je suis à toi ! Oui, Bernard, je suis aussi ta femelle ! Je suis votre femelle à tous les deux, les mecs !


Vous pouvez USER de moi !


Vous pouvez ABUSER de moi !


Deux biiites ! Deux biiites ! Deux biiiiiiiiiiiiiites !


J'AI DEUX BIIIIIIITES EN MOI ! ! !


J'AI DEUX MÂLES EN MOI ! ! ! ! 


Ah putain, me voilà pris par les deux bouts ! Une bite dans la bouche, une bite dans le cul ! Ah, ce que c'est bon, de se faire prendre par deux mecs en même temps ! Il n'y a pas à dire, je suis faite pour ça … les mecs … les mâles … la bite … LES bites ! L'autre, derrière moi, y va carrément. Sa queue, qui va et vient dans mon anus, m'envoie des vagues chaudes et voluptueuses dans tout le corps … ses couilles ballottent et frappent mes couilles … je bande … je bande et je crois que ma queue bave de la liqueur … Ah putain, c'est le bonheur !


- Aaaah ! Aaaaaaaaaaa l Aaaaaah puuuuutaiiiiiiiin !


C'est Bernard qui craque le premier. Il a dû sentir mon excitation de salope affamée de bite, et ça l'a achevé. C'est venu d'un seul coup … sans que rien ne l'annonce, je viens de recevoir un jet tiède dans la bouche … un jet tiède et abondant ! Hhhhhmmmmm, ce goût ! Le goût du sperme ! Le goût suave et légèrement salé du sperme ! Et les petits grumeaux caoutchouteux qui se collent à ma langue ! C'est tellement booooooooon ! Je gémis, je couine littéralement de plaisir … sous l'effet de son orgasme, puissant, violent, Bernard, comme l'autre jour dans sa voiture, s'est plié en deux au-dessus de ma tête et je l'entends gémir, lui aussi … et je sens son souffle entre mes omoplates … il continue d'éjaculer et j'avale sa crème au fur et à mesure … Je suis tellement excité que je suis au bord de l'éjaculation … sans même avoir touché ma queue … elle est tellement raide, ma queue, qu'elle en est presque douloureuse … 


Ça y est, Bernard a fini … il reprend son souffle avec difficulté … il doit avoir la joue appuyée entre mes omoplates … il presse ma tronche contre son bas-ventre … je suis obligé de résister pour ne pas avoir le nez écrasé sur son pubis … son ventre se soulève contre mon crâne au rythme de sa respiration … je sens ses mains sur mon dos … il me caresse les reins … les flancs … il n'est plus le mâle qui soumet sa femelle, il est le mâle reconnaissant … je pense que ce type n'en revient pas de ce qu'il est en train de vivre … un truc sans doute totalement improbable pour lui … alors que sa connasse de bonne femme ne lui autorise aucune fantaisie sexuelle, même la plus anodine, le voilà au lit, à poil dans cette chambre, et il vient de se faire tailler une pipe par un travelo qu'un collègue à lui est en train d'enculer ! Là, il vient de jouir sans hésitation et sans retenue dans la gorge du travelo qui ne demandait que ça, alors il se sent bien, Bernard, il est assouvi, apaisé … heureux …


Moi aussi, je suis heureux … ni rassasié de sperme, ni repu de sexe, mais heureux … je viens de sucer ce type, et en le laissant éjaculer dans ma bouche, en avalant sa crème avec gourmandise, j'ai fait quelque chose que sa propre femme lui refuse. Alors, si je suis heureux, c'est que, d'une certaine manière, j'ai le sentiment d'avoir fait mon devoir, d'avoir fait ce pour quoi je suis faite, d'avoir accompli ma mission … offrir mon corps à des mâles pour qu'ils y prennent du plaisir … 


Comme l'autre jour dans sa voiture, Bernard ne cherche pas à sortir sa queue da ma bouche … c'est un peu étonnant parce que la plupart du temps, une fois que les mecs ont tiré leur coup, ils n'ont qu'une hâte, qu'on arrête de leur toucher la bite … et le gland en particulier, généralement devenu hyper sensible. Bernard, non. Et c'est tant mieux, parce que, pour moi, c'est un vrai bonheur de garder son pénis dans ma bouche pendant qu'il débande, pendant qu'il ramollit … une vraie friandise !


- T'as pris ton pied ?


C'est Jean-Pierre qui interroge Bernard. Lui n'a pas arrêté de me bourrer le cul … peut-être un peu moins vigoureusement depuis un moment … il a dû ralentir quand il s'est aperçu que son pote était en train de jouir dans ma bouche … Au ton avec lequel il a posé cette question, j'ai perçu son excitation. Bernard:

- Ah ouaiiiiis ! 

- Tu y'as … tu y'as joui dans la bouche ?

- Ouaiiis !

- Et il a avalé ?

- Ouais !

- Puuuuutaiiiiin !


Alors ça, ça ajoute à son excitation … et à l'accentuation de la pression de ses mains sur mes hanches, à l'accélération de ses coups de reins, je sens qu'il a brusquement l'intention d'en finir … je l'entends respirer de plus en plus fort … mâchoires serrées, il souffle et postillonne entre ses dents … Bernard s'est redressé et s'est adossé à la tête du lit … il continue de me caresser la nuque et les épaules … délicatement, presque tendrement … il doit être en train de regarder son pote se finir dans moi. Moi, j'ai toujours son sexe dans la bouche, de plus en plus mou … j'adore cette consistance … je l'ai recalotté et je joue de la langue avec son long prépuce … mais mon esprit reste attentif aux va et vient de Jean-Pierre qui me secoue et qui fait ballotter ma tête sur le ventre de Bernard … 


J'ai le cœur qui bat … et ce n'est pas dû à un quelconque effort physique … non, c'est l'émotion ! Dans un instant, le type qui me chevauche va jouir dans moi … il va … m'inséminer le ventre ! J'en ai tellement besoin et il y a si longtemps que ça ne m'est pas arrivé ! Je cherche à quand ça remonte, et soudain, je réalise que non, en fait … ça ne fait pas si longtemps que ça qu'un mec m'a baisé et fécondé … c'était … je ne sais plus exactement, mais sans doute vers fin novembre … oui, le dernier mec qui m'a baisé, c'est … c'est Jean-Claude, le fermier ! Il m'a baisé à quatre pattes au milieu de son écurie … il m'a prise … à la suite des deux molosses de Pierrot. Oui, c'est ça … tout de suite après que Pierrot m'ait fait couvrir par ses deux chiens, Jean-Claude, à son tour, m'a prise en levrette … comme les chiens ! Ouais, alors ça doit faire à peu près un mois ! Un mois … c'est tellement court dans l'absolu, et tellement long quand on a besoin de se faire tringler … Et puis, il faut dire, il s'en est passé des choses, en un mois ! Alors oui, on peut dire qu'il y avait longtemps que je ne m'étais pas fait baiser. 


Mais ce n'est pas que pour ça, l'émotion qui me fait battre le cœur … j'ai l'impression que plus le temps passe, plus me faire féconder par des mecs, ça me bouleverse ! Pourtant, j'en ai pris des coups de bites dans le cul, depuis que j'ai sauté le pas ! D'ailleurs, un de ces jours, il faudra que j'essaie le faire le compte … Quoi qu'il en soit, c'est vraiment ça … quand un mec s'apprête à éjaculer au fond de mon cul, ça m'émeut … et de plus en plus. Alors que ça devrait être le contraire, je devrais commencer à être blasé … mais non ! Oh, je sais bien que pour les mecs, me baiser, c'est seulement tirer un coup comme un autre, et souvent, pour eux, ça n'a pas plus d'importance qu'une bonne branlette … répandre leur sperme dans mon ventre ou dans la cuvette des chiottes, pour eux, c'est pareil … mais pour moi, pas du tout …


Evidemment, c'est Jean-Pierre qui me tire de mes réflexions … il a interrompu son va et vient mécanique, et maintenant, il me baise … avec élan ! Oui … il se recule jusqu'à avoir sa queue presque entièrement sortie de mon cul, et il me re-pénètre d'un grand coup de reins en tirant violemment sur ses mains toujours agrippées à mes hanches … à chaque fois, son ventre claque contre mes fesses et ses boules viennent battre contre mes couilles … les mâchoires toujours serrées, il accompagne chaque pénétration d'une espèce de grognement sourd … j'adore cette façon de me faire bourrer ! 


Et d'un seul coup, il se plaque à moi et il s'immobilise … il ... oui, ça y est, il JOUIT ! 


Il JOUIT AU FOND DE MOI ! ! ! !


Ah, putaiiiiiiin ! Je sens les pulsations de sa queue qui répand sa semence dans mon cul … nettement ! A chaque jet, sa verge est secouée par une sorte de spasme, et j'ai l'impression de la sentir qui gonfle brusquement au passage du sperme, avant de légèrement déraidir et de recommencer … Ça aussi, ça a évolué … je sens de mieux en mieux les mecs éjaculer dans mon cul … les premières fois, c'était plutôt confus, de ce côté-là … j'étais tellement troublé, obnubilé par ce qui m'arrivait que le côté cérébral l'emportait sur le côté physique … mais depuis, avec l'expérience, j'ai inconsciemment appris à décoder les manifestations corporelles de la jouissance des mâles qui me montent … et maintenant, cette sensation corporelle est aussi intense que la volupté cérébrale … et elle l'alimente …


Jean-Pierre ne grogne plus, il éructe un râle impétueux … presque un rugissement ! Quel pied il doit prendre pour pousser une telle gueulante ! J'en frissonne … j'en frissonne de bonheur et de fierté. Et une pensée incongrue me vient … si la chambre voisine était occupée, sa beuglante aurait forcément attiré l'attention du ou des occupants … une beuglante sans ambiguïté … le râle d'un mâle qui jouit ! Dommage que nous soyons seuls dans ce gite aujourd'hui … ça m'aurait plu que les voisins entendent un mâle gueuler de plaisir en me baisant !


Et d'un seul coup, Jean-Pierre s'effondre littéralement sur moi. Sous son poids, je suis obligé de m'aplatir sur le matelas, à demi couché sur la jambe droite de Bernard … obligé de m'aplatir … et aussi de sortir sa bite de ma bouche … Sa queue toujours dans mon cul, Jean-Pierre a enfoui sa tronche dans l'oreiller, juste à côté de ma tête … j'ai le torse un peu tordu et l'oreille plaquée contre la fesse de Bernard. Jean-Pierre reprend son souffle par la bouche … bruyamment. Bernard essaie de dégager sa jambe:

- Hé, les mecs … vous m'écrasez la jambe, tous les deux … 


Dans un gros soupir, Jean-Pierre bascule sur le côté, entraînant sa bite hors de mon cul dans un chuintement mouillé … le voilà, sur le dos, haletant:

- Ah putain ! 


Je me soulève un peu pour que Bernard dégage sa cuisse de sous moi … il s'écarte pour nous laisser de la place. Je me tourne sur le côté, je m'appuie sur mon coude, je pose ma joue et mon menton sur ma main et je contemple le mâle qui vient de me saillir. J'ai l'impression que j'ai la rondelle légèrement béante … quelque chose de tiède s'écoule un peu sur ma fesse. La queue de Jean-Pierre, luisante de mes fluides intérieurs et de sa semence, repose sur son ventre ... encore pas mal gonflée. Je lui caresse doucement le torse du bout des doigts. Il a un peu repris son souffle … il redresse la tête et il me regarde en secouant la tête:

- Putain, mec … t'as un cul … 


Il laisse retomber sa tête sur l'oreiller et, en la secouant encore de droite à gauche:

- J'en ai déjà baisé pas mal, des culs, mais alors, le tien … ouaaaaahhhh !


Alors je me glisse vers son ventre … prenant appui sur mes mains, de part et d'autre de ses hanches, je pose mes lèvres sur ses abdominaux … surpris, il redresse encore la tête, il me regarde, il me sourit et il laisse retomber sa tête … je pose des baisers sur son ventre … j'approche mes lèvres de son sexe … hhhhmmmm, c'est cette merveille qu'il a enfoncée en moi ! Je pose un baiser sur son gland, puis je continue tout au long de sa verge … je sens … je sens l'odeur de son sperme … et un peu de l'odeur vanillée de mon lubrifiant … je me mets à saliver … voilà ses couilles … elles sont tombées entre ses cuisses ... je les remonte délicatement avec mes doigts et je les embrasse à leur tour … ça le fait rire … alors, de nouveau, il se redresse et s'appuie sur ses coudes:

- Ben dis donc … j'avais déjà vu une fille folle de bite faire ça …  pour me remercier de l'avoir baisée … et ben ... tu fais pareil !

- C'est parce que JE SUIS AUSSI une folle de bite … alors je te remercie de m'avoir baisée … merci … merci … merci …


J'accompagne mes remerciements de bisous sur sa queue … et je remonte vers son gland en donnant de petits coups de langue tout au long de son urètre … hhhhmmmm, je vais prendre son gland dans la bouche, et je vais le sucer … voilà … j'ouvre la bouche, et … oh la laaaaa, ce que c'est bon ! Le goût de sa semence, sur ma langue … hhhhmmmm ! 


- Non, non ! Arrête ! Arrête ! J'ai le gland hyper sensible, maintenant ! Tu me fais mal !


Il repousse ma tête et, en se tortillant, il s'assied, adossé à la tête du lit à côté de Bernard. Il tire sur la peau de sa verge et se re-calotte le gland. Je me remets sur le ventre, accoudé à hauteur de ses mollets, le menton appuyé sur mes mains et je regarde mes deux amants … Sous mes yeux, j'ai mes deux mâles, leur bite maintenant mollement étendue au coin de leur cuisse et de leur ventre … je suis fière de moi … je leur ai vidé les couilles à tous les deux … de nouveau, je ressens cette impression d'avoir accompli une sorte de mission, d'avoir fait ce pour quoi je suis faite. Ils se regardent et se marrent. Jean-Pierre:

- Dis … tu … tu fais ça souvent ?

- Je fais quoi, souvent …

- Ben ça … te faire baiser par deux mecs …

- Par deux mecs, je dirais pas que c'est souvent …

- Comment ça … je comprends pas … pourquoi t'insistes en disant "par deux mecs " … 

- Ben parce que, par deux mecs, c'est pas si souvent, mais par plus que deux mecs, ça m'arrive …

- PAR PLUS QUE DEUX MECS ? ! ? ! 

- Oui. 

- Tu t'es déjà fait baiser PAR PLUS QUE DEUX MECS ? ! ? !

- Oui.

- EN MÊME TEMPS ?

- Oui.


Ils sont sidérés. Jean-Pierre, visiblement excité:

- Raconte …


Je les observe. Je crois que le moment est venu de leur montrer … Je m'assieds sur le lit:

- Attendez. Avant … vous voulez boire quelque chose ?

- Ah ben oui.

- Alors, bougez pas … je reviens.

- Où tu vas ?

- Chercher à boire.

- C'est où ?

- Dans la cuisine commune …

- Tu veux que je vienne ?

- Euh … non, c'est pas la peine …


Je descends du lit … le dos tourné à mes deux queutards, je rajuste mon porte-jarretelles qui est un peu descendu sur mes hanches, puis je remonte mes bas et je les lisse du plat de la main … quand je me retourne, les deux mecs me regardent, un drôle de sourire sur la tronche … Jean-Pierre:

- C'est dingue, hein … même simplement quand tu fais ça … remettre ton porte-jarretelles et remonter tes bas … tu fais vraiment ça comme une gonzesse … et de dos, comme ça, si on voyait pas ta bite et tes couilles qui pendent entre tes fesses, on dirait vraiment une gonzesse … un peu taillée, comme gonzesse, mais quand même …


Je leur souris, je récupère mon déshabillé et je le mets. Il me regardent toujours, étonnés, souriants. Je sors.


Il fait beau mais il fait frais. Pieds nus sur le bois de la galerie qui dessert les chambres, je me dirige sans hâte vers la cuisine. Je me sens bien … je viens de faire tirer leur coup à deux mecs et ils m'attendent dans ma chambre … et puis c'est tellement agréable de me balader dans les parties communes de ce gite, comme ça, les fesses à l'air sous mon déshabillé. Je suis un peu baigné d'adrénaline, parce que même si, en principe, aujourd'hui, il n'y a que nous trois ici, on ne sait jamais, la gérante pourrait être revenue … ou un client inattendu pourrait débarquer … Je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre, lubrifiées par ce qui s'écoule de mon cul, mélange de sperme, de lubrifiant et de sécrétions anales. Je récupère dans le frigo les boissons que j'ai achetées, ainsi que des dosettes de café, et je les fourre avec des verres dans un sac … au passage, j'emprunte la bouilloire électrique et je regagne ma chambre.


Je pose tout sur la table et, tout en allumant mon ordi:

- Vous voulez boire quoi, les garçons ? Whisky … jus de fruit … bière … je peux même vous faire un café … c'est des dosettes, mais y'a que ça …

- Alors bière.

- Pareil. Mais, tu fais quoi avec ton ordi ?


Jean-Pierre semble un peu inquiet. Il doit avoir peur que je les filme avec ma webcam. Je le rassure:

- T'inquiète, mec … ça vous dit de regarder des vidéos ?

- Des vidéos ... de cul ?

- Oui, on peut appeler ça des vidéos de cul. Alors, ça vous dit ?


Ils sont intrigués.

- Ben ouais.

- Alors bougez pas, je prépare ça et je vous donne vos bières.


Je pianote sur mon clavier d'ordi à la recherche du dossier où sont les vidéos de mon gangbang … je sélectionne la première vidéo, je la fais démarrer et je la mets immédiatement sur pause. C'est bon … les toutes premières images de cette vidéo, c'est le gros plan sur mon coït avec le type que j'avais surnommé l'ours, quand il me prenait en cuiller … l'image fixe sur laquelle j'ai arrêté la vidéo est explicite … on voit mon bas-ventre avec ma queue en semi-érection, le haut de mes cuisses largement écartées, avec, entre elles, la bite de l'ours enfoncée dans mon cul, ses couilles et ses cuisses à lui, et sur mon ventre, on voit un tout petit peu du porte-jarretelles que je portais … on aperçoit aussi le haut d'un de mes bas … on voit bien qu'il y a un mec qui encule un autre mec, mais on ne voit pas ma tronche … pas encore. Tel que mon ordi est placé, Bernard et Jean-Pierre ne peuvent pas voir son écran … c'est prêt, il ne me restera plus qu'à allumer la télé.


J'ôte mon déshabillé, je prends deux canettes dans une main, la télécommande du téléviseur dans l'autre, et je m'approche du lit. Je tends les canettes aux deux mecs, je me tourne vers la télé et, avec la télécommande, je l'allume … en moins de deux secondes, l'écran s'éclaire et l'image fixe de la vidéo apparaît. Mes deux lascars, tout en avalant une première gorgée de bière, ouvrent de grands yeux. Jean-Pierre:

- Ah ouais ! C'est quoi, ce film ?

- Tu vas voir …

- C'est filmé au smartphone, non ?

- Exact.


Je démarre la vidéo, je passe par dessus les jambes de Jean-Pierre et je leur fais signe de s'écarter pour me laisser de la place entre eux … je m'assieds en tailleur à hauteur de leurs cuisses et face à eux, donc en tournant le dos à la télé … et sans un mot, je prends leur bite entre mes doigts … chacun d'eux jette un rapide coup d'œil à ma main avant de reporter son regard sur la télé … hhhhmmmm … ils ont débandé et je trouve très agréable d'avoir leur sexe un peu mou dans mes mains … je n'ai pas besoin de voir l'écran pour savoir ce qui se passe derrière moi … j'ai regardé ces vidéos si souvent que, rien qu'aux sons, je sais exactement où on en est …


Soudain, dans une synchronisation parfaite, je vois la mâchoire de mes deux lascars s'abaisser et leurs yeux s'agrandir encore …

- Putain, mais … c'est toi, là ! T'es en train … de t'faire enculer !


Ça y est, le vidéaste de mon gangbang a fait un plan plus large, et maintenant on doit voir ma tronche. C'est Jean-Pierre qui a commenté, Bernard s'est contenté d'une exclamation sourde. Je n'ai pas besoin de confirmer, je sais qu'on me reconnaît parfaitement. Jean-Pierre enchaîne:

- Oh meeeeeerde ! Ils sont combien, les mecs, autour ? Putain, c'est … c'est une partouze entre mecs ?


 

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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