Récits pornographiques

Samedi 24 novembre 2018 6 24 /11 /Nov /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Je suis absolument fasciné par les vidéos que Pierrot m'a envoyées. Scotché devant l'écran de mon ordinateur, dans le gite que je loue en Bretagne, je découvre mes ébats avec Gordo, le Mastiff de Pierrot, d'un point de vue extérieur, celui du témoin, celui du voyeur... et c'est ... ouaaaaahhhhh ! 

 

La BÊTE est littéralement en train de ... de me couvrir ! Son sexe, son énorme sexe est entièrement entré dans mon cul et il est gonflé ! C'est une saillie ... une VRAIE saillie, que le molosse m'administre ! Ce n'est pas un coup de bite vite fait bien fait, une simple histoire de baise ... non, le chien me fait ce qu'il a l'habitude de faire aux chiennes ... il me fait des petits ! 

 

C'est moi qui ai vécu ça, c'est moi qui ai senti la masse du bestiau sur mes reins, qui ai senti son vit s'introduire en moi, qui ai senti son knot enfler à l'intérieur de mon rectum, mais assister à la chose comme ça, à travers l'objectif du smartphone de Pierrot, c'est à la fois terriblement excitant et bouleversant ... La voix de Pierrot résonne:

- Rhôôô, putain ! Vous avez vu, Jean- Claude ? Ça y est, ils sont collés ! Rhôôô, puuutaiiiiiiiin !


Un silence, puis Jean-Claude:

- Attends, Marin, je vais glisser ça sous toi.


Il passe devant l'objectif de Pierrot, et me glisse un coussin sous le ventre. Imperturbable, l'éleveur continue de filmer.


- Tiens, Marin, tu veux aussi celui-là ?


Jean-Claude glisse un second pouf sous moi. Je croise mes bras dessus et j'y appuie ma joue.


- Hé, Jean-Claude ! Vous croyez que Gordo, il est en train … il est en train de le … de lui …

- … de lui juter dans le cul ? Ben oui, évidemment, que votre chien, il est en train de lui juter dans le cul ! 

- Rhôôô, putain ! Mes deux chiens ! Ils l'auront … ils l'auront baisé tous les deux !


Un mouvement brusque détourne l'objectif de Gordo et moi et j'entends la voix sourde de Jean-Claude:

- Fermez donc un peu votre gueule ! Vous voyez pas que Marin est en train de …


Et c'est la fin de cette vidéo. Je n'ai pas saisi pas la fin de la phrase de Jean-Claude … "Vous voyez pas que Marin est en train de … " …de quoi, exactement, selon Jean-Claude ? A part "de prendre son pied", je ne vois pas vraiment … On dirait que Jean-Claude a réalisé ce que le chien est en train de me faire et qu'il demande à Pierrot de nous foutre la paix pendant que la bête décharge sa semence dans mon ventre. Joignant le geste à la parole, il a dû pousser Pierrot ou le choper par le bras pour l'éloigner de nous et c'est ce qui a brusquement détourné l'objectif du smartphone … Dans l'écurie, je ne m'étais pas rendu compte de cette algarade. Il faut dire qu'à ce moment précis, j'étais totalement concentré sur ce que Gordo était en train de me faire ! 


Quand la vidéo suivante commence, Pierrot s'est reculé et il nous filme de loin. Putain, c'est terriblement troublant de me voir comme ça, à quatre pattes au milieu de cette écurie, jambes écartées, reins cambrés, et totalement abandonné à l'étreinte de ce molosse … et cette bête, tellement énorme, tellement … tellement chien … grimpée sur moi et qui est en train de me posséder, de me saillir … de me saillir en levrette !

 

Oh putain, la levrette ! Je ne sais pas combien de fois je me suis fait prendre en levrette par des mecs … j'adore ça, et pour des tas de raisons c'est sans doute ma position préférée ! Mais malgré le plaisir que j'ai pu prendre à me faire baiser comme ça par des mecs, je sais maintenant que ça n'a rien de comparable avec ce que m'a fait ce chien ! Ce qu'il m'a fait, c'est la VRAIE levrette … Chez les humains, la levrette est devenue un classique, que ce soit entre homme et femme ou seulement entre hommes, et on oublie un peu que l'expression vient justement de la manière dont les lévriers, et les chiens en général, s'accouplent ! D'ailleurs, pour cette position sexuelle, les anglo-saxons disent "doggy style", autrement dit "à la manière des chiens", autre formulation très parlante. Une position sexuelle devenue banale entre humains en général et pour moi en particulier … mais pour un homme, se faire prendre, VRAIMENT prendre en levrette par un chien, ça, c'est vraiment pas banal ! Moi, je me suis fait prendre par un chien velu et qui sentait le chien … par un chien qui me cramponnait et qui me griffait les flancs avec ses pattes avant … par un chien qui m'a rempli l'anus et qui s'est riveté dans mon rectum avec son knot ! Alors quand j'y pense, m'être fait prendre en levrette par ce molosse, c'est quand même un truc vraiment dingue ! Et en plus, pas uniquement par ce molosse … avant, il y avait eu les deux Dogues de Jean-Claude et le Cané corso de Pierrot ! 


Ce qui suit, sur cette vidéo, c'est une longue séquence silencieuse et pratiquement immobile. On voit seulement Gordo bouger de temps en temps pour garder son équilibre … à cheval sur mes fesses, ses pattes arrière ne touchant pas le sol, il oscille un peu de droite et de gauche et il doit régulièrement rectifier sa position … alors, forcément, à chaque fois, son … son énorme knot pivote un peu dans mon cul … je me rappelle la sensation de cette chose énorme qui tournait légèrement en moi … j'avais même la sensation que ce gros machin, en bougeant de cette manière, entraînait sa verge que je sentais aussi remuer au fond de mon ventre … 


Je me rappelle aussi cet extraordinaire sentiment de bien être. Le rectum entièrement rempli par le bulbe érectile du chien, je me sentais comblé … au sens propre … je sentais le knot brûlant du molosse me dilater l'anus, et c'était une sensation délicieuse … partant de mon rectum, un embrasement irradiait tout mon corps … et je sentais aussi que rien ne pourrait nous décoller l'un de l'autre tant que Gordo n'aurait pas fini de confier sa semence à mon ventre … mais l'extraordinaire, c'est que cet emboîtement de son appareil génital dans mes entrailles ne me procurait pas seulement un intense plaisir anal …  à la volupté physique s'ajoutait l'ivresse cérébrale de me trouver ainsi, on ne peut plus intimement collé, attaché, uni à ce chien par son énorme rivet de chair planté dans mon anus … exactement comme si j'étais, moi aussi, une bête, un animal … UNE CHIENNE ! Et ce qui amplifiait mon bonheur, c'était de savoir qu'au fond de moi, la nature était en train d'accomplir son office … le chien était en train de m'inséminer ! A l'extrémité de sa verge si étrange, si animale, jaillissaient de petits jets de sperme qui se répandaient dans mes muqueuses … à chaque jaillissement, je sentais tout son organe vibrer en moi … et même si j'étais anatomiquement, physiologiquement, tout autant un mâle que le molosse en train de me saillir, même si je n'étais pas de la même espèce que lui, même si c'est dans mon anus et pas dans mon vagin que le chien s'était installé, ça ne fait rien, à ce moment, le Mastiff était bel et bien en train de me faire une portée … 


En dépit de son caractère impudique, pornographique et bestial, la scène que je contemple sur mon écran a quelque chose de … de paisible … La bête et moi, si étroitement collés l'un à l'autre, si intimement imbriqués l'un dans l'autre, nous sommes comme seuls au monde, et si nous paraissons simplement jouir de la situation, on devine que nous attendons tous les deux quelque chose … sereinement, tranquillement … en effet, même sur cet écran d'ordinateur, malgré notre quasi immobilité on sent qu'il se passe quelque chose … quelque chose d'invisible, quelque chose d'imperceptible … quelque chose que seuls la bête et moi nous savons, que seuls la bête et moi nous sentons, parce que ce quelque chose se passe à l'intérieur de moi, insoupçonnable pour les autres  … à l'intérieur de moi, au plus profond, le molosse déverse son sperme … le molosse est en train de m'inséminer … 


Gordo est en train de me féconder !


Et à contempler cette scène, l'émotion que j'avais ressentie quand j'étais sous le chien m'étreint à nouveau. Oui, je me suis fait grimper, saillir, couvrir et féconder par un chien !


Gordo mon mâle !

Gordo mon amant !

Gordo mon extraordinaire amant ! 

Je vais venir me donner encore à toi !


Pierrot a dû apercevoir les oscillations de son chien, alors il zoome sur son arrière train … Fin de cette vidéo.


Sur la vidéo suivante, Pierrot nous a filmés de côté, son chien et moi, et de très près.


- Hé ! Ça vous … euh … ça te fait quoi, que mon chien, il te …


C'est encore sa voix. Malgré la remarque de Jean-Claude il y a quelques minutes, ça a été plus fort que lui, il s'est rapproché et il n'a pas pu s'empêcher de venir m'interroger.

- …

- Hein, ça te fait quoi, que mon chien, il te baise ?

- Fous lui donc la paix ! Ça te plairait que quelqu'un te pose des questions pendant que tu te fais niquer ?


La voix de Jean-Claude, maintenant. L'objectif du smartphone de Pierrot se relève par dessus le dos du chien, et on découvre le fermier … il est adossé à la cloison d'une stalle et … il se masturbe ! Ouvertement ! Il a sorti sa grosse queue par sa braguette et il se masturbe en regardant dans notre direction ! Et non seulement il se masturbe en nous regardant , le chien et moi, mais … lui aussi est en train de nous filmer ! La bite dans une main et son appareil dans l'autre ! Il doit bien voir que Pierrot le filme, mais ça n'a pas l'air de le gêner le moins du monde … lui qui était tellement coincé ... tranquillement, posément, il continue de se masturber en nous regardant ! C'est de me voir me faire sauter par le Mastiff qui doit l'exciter comme ça ! Jean-Claude qui se branle en nous matant, le chien et moi, en train de forniquer ! La scène est assez hallucinante ! C'est sexe, sexe, sexe … no limit … J'adore ! 


Pas gêné, lui non plus, Pierrot va jusqu'à zoomer sur le bas ventre de Jean-Claude ! Il doit bien s'en rendre compte, le Jean-Claude, au moins deviner quelles manips l'autre est en train de faire sur son smartphone … mais il a l'air de s'en foutre … ou alors, il est trop concentré sur le spectacle que nous lui offrons, Gordo et moi. Putain, la grosse bite de Jean-Claude ! Sa grosse bite et ses grosses couilles ! Et de revoir comme ça la grosse bite et les grosses couilles de ce mec sur mon ordi … je ne sais pas, ça me … ça me trouble … j'en ai été … amoureux, de cette bite et de ces couilles … et je me rends compte que j'en ai toujours envie ! Oui, j'ai encore envie que ce mec me baise … j'ai encore envie de toucher son sexe … j'ai encore envie de lui caresser les couilles, de les embrasser … j'ai encore envie de sentir son gland s'enfoncer dans mon cul … 


Et là, d'un seul coup, ça va très vite !


- Putain, il descend !


C'est encore Pierrot qui vient de s'exclamer. C'est le moment où son chien est descendu et a commencé à sortir de mon cul. Le maître a réagi, mais il a oublié d'arrêter son smartphone qui continue de filmer … alors l'image bouge dans tous les sens pendant qu'il se débat avec son chien … dans les mouvements incontrôlés de son appareil, on aperçoit vaguement Gordo qui se débat, et tout aussi rapidement la main de Pierrot qui le cramponne par le collier … et mon cul … mon cul avec ce gros truc rouge-violacé qui en dépasse … qui commence à en sortir … ça ne dure qu'une fraction de seconde, mais je reconnais bien le knot du chien qui commence à glisser hors de mon cul !


- Doucement, Gordo ! Doucement ! Merde, qu'est-ce qu'il veut faire ?


Encore quelques mouvements erratiques du smartphone dont l'objectif balaie toute la scène un coup dans un sens, un coup dans l'autre … et puis l'image se stabilise … on voit Gordo qui finit de descendre de mon dos … avec un drôle de bruit … comme un bruit de succion … ça doit être la bite du chien qui sort de mon cul qui fait ce bruit d'aspiration … et Pierrot cadre sur moi … sur mon cul … je suis toujours cambré, les cuisses écartées … et haletant … le molosse vient tout juste de sortir de moi … j'ai l'anus béant … tellement béant qu'on aperçoit le rose vif de l'intérieur de mon rectum  … l'anus béant et luisant … luisant de semence, luisant de sperme, luisant de foutre !


- Viens, mon chien … c'est bien … tu l'as bien baisé … Oh, la vache ! Vous avez vu sa bite, Jean-Claude, comme elle est grosse ? J'espère qu'il a pas mal à sa bite … 


Pierrot braque maintenant son objectif sur le ventre de son chien … ou plutôt sur son sexe … tout l'appareil génital du molosse pendouille sous son ventre … Putain, l'engin ! J'avais ÇA dans le cul ? ! ? ! Et encore, si le chien a pu sortir de moi, c'est que son knot avait commencé de dégonfler. D'un aspect toujours aussi tuméfié et congestionné, son bulbe érectile et sa verge sont également luisants de sécrétions sexuelles … comme mon trou du cul ... et sa verge laisse encore écouler un filet de liqueur visqueuse et translucide sur le sol de l'écurie …


- Vire-le de là, ton chien, bordel … et va l'attacher !


Encore la voix de Jean-Claude ! Pierrot relève l'objectif de son smartphone et je découvre le fermier qui s'approche de moi, la bite toujours à la main … et dans l'autre main, son smartphone toujours braqué sur moi … on aperçoit la lumière de son écran … il filme … du pied, il me touche le mollet:

- Toi, tu bouges pas !


Pierrot s'est un peu reculé, mais il continue de filmer … Et c'est clair, même si il a été surpris de voir Jean-Claude s'approcher de moi la bite à la main, il a visiblement tout de suite compris ce qui allait se passer. C'est tellement évident … le fermier a l'intention de me baiser … alors Pierrot n'a pas voulu manquer d'immortaliser ça ! Cette scène est vraiment hallucinante ! Une fois encore, j'ai vécu la chose, j'en ai été l'acteur principal, passif et docile, mais assister à ça, de cette manière, du point de vue de Pierrot, du point de vue du voyeur, c'est … whaoouuuuuuuu ! On sent tellement que c'est un truc imprévu … même si, juste avant, il était en train de se branler, on ne s'attend absolument pas à la réaction de Jean-Claude …  c'est tellement inopiné, déroutant … son smartphone toujours braqué sur moi, il s'escrime sur le bouton qui ferme son pantalon … il parvient à le défaire, et il commence  à descendre son pantalon sur ses cuisses … et moi … moi, on me voit tourner la tête et regarder Jean-Claude qui se prépare à prendre la place du chien, qui se prépare à me baiser ! Il ne se donne même pas la peine de me demander mon avis … il veut me baiser, alors il va me baiser. Sans quitter des yeux le fermier qui s'agenouille entre mes mollets, on me voit m'installer confortablement sur mes coussins, on me voit écarter les cuisses et me cambrer davantage, une lueur de satisfaction dans le regard. A visionner cette vidéo, ça paraît évident ! Je ne suis pas seulement docile, soumis ... je suis demandeur, je veux cet autre coït, ce nouvel accouplement, cette sodomie ... chien, homme, je suis prêt à toutes les saillies !


Ce qui se passe dans cette écurie est tellement … tellement … je viens à peine de me faire couvrir par un molosse, et ce type va me prendre à son tour … il va disposer de moi …  Et non seulement je ne proteste pas, mais visiblement, je suis ravi ! Comment qualifier ce qui est en train de se passer ? C'est impudique ? Obscène ? Dépravé ? Scandaleux ? Immoral ? C'est tout ça à la fois ! Et putain, c'est vraiment incroyable ! Cette vidéo a commencé il y a à peine … une minute ou une minute et demie, et dans le même plan-séquence, après la bestialité avec un animal, voici la luxure, la débauche avec un homme … Et c'est MOI qui ai fait ça … c'est MOI qui ai vécu ça ! Il n'y a pas à dire, le vivre, c'est une chose … on jouit de l'instant, on savoure les sensations … mais le voir, c'est autre chose … Je réalise quel point de vue, quelle opinion un spectateur, un témoin, peut avoir de moi. Comme ça, je me rends compte que je suis pas seulement une … une … une salope inter-espèces, je suis aussi et surtout une viande à bites … un vide-couilles … et pour Jean-Claude, à ce moment là, c'est sûr,  je ne suis rien d'autre qu'un morceau de barbaque, un trou dans de la chair dans lequel il va se soulager … et ce qui est dingue, c'est que cette image de moi, elle me plaît ! J'AIME ÇA !


Pierrot s'est déplacé … il est maintenant à côté de nous, juste au niveau de mon cul … au niveau de mon cul et du ventre de Jean-Claude … son objectif va et vient deux ou trois fois entre ma tronche et la grosse bite de Jean-Claude, et il finit par se fixer sur ça … sur la grosse bite de Jean-Claude … la grosse bite de Jean-Claude qui commence à s'enfoncer dans mon cul ! Putain, Pierrot, t'es un bon ! C'est exactement ça qu'il fallait que tu filmes … le moment où la grosse queue de Jean-Claude s'introduit en moi ! Sur le moment, obnubilé par le coït qui se préparait, je n'avais même pas remarqué que Pierrot nous filmait ! Court traveling jusqu'à ma tête … les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, je halète et je gémis sous l'effet de cette nouvelle pénétration … 


- Ça te plaît, hein … t'es fier de toi, hein … saaaalope !


Jean-Claude qui m'insulte ! Retour de l'objectif de Pierrot sur Jean-Claude … de sa main libre, il me tient au niveau de l'angle de mon ventre et de ma cuisse, et son smartphone à lui est maintenant braqué sur ma tronche … il filme ma réaction à la pénétration de son membre … Pierrot fait comme lui et filme ma tronche … la tête rejetée en arrière, la nuque cassée et les yeux clos, je passe ma langue sur mes lèvres, et je hoche la tête … Oui, ça me plaît ! Oui, je suis fière de moi ! Oui, je suis une salope ! L'image est parlante, on voit que je savoure ce nouvel accouplement, on voit que je suis au septième ciel … j'aime tellement me faire baiser ! Pierrot se concentre à nouveau sur Jean-Claude. 


Les dents serrées, Jean-Claude respire de plus en plus fort … le voilà avec le ventre contre mes fesses … et brusquement, il se met à haleter violemment et à grogner … c'est comme tout à l'heure avec le chien, ça se passe au fond de moi, on ne voit rien à l'image, mais c'est évident, Jean-Claude est en train de jouir, Jean-Claude est en train d'éjaculer lui aussi dans mon ventre ! J'ai arrêté de le regarder, j'ai tourné la tête et, moi aussi, reins cambrés, croupe tendue, je halète et je gémis … je me souviens … juste à ce moment-là,  j'imaginais le gland de mon amant en train de cracher son sperme au fond de mes entrailles … et Jean-Claude se met à aller et venir en faisant claquer son ventre contre mon cul … à chaque pénétration, il pousse un "han !" … il me bourre le cul ! 

IL ME FÉCONDE ! ! !


- T'aime ça, de t'faire enculer, hein …


Le voilà qui m'interpelle. Après une demie seconde de surprise, je réponds:

- Oui.

- Les mecs, les chiens … tu t'fais sauter par tout le monde …

- Oui.

- T'aimes la bite, hein …

- Oui, j'aime la bite … j'aime LES bites … toutes les bites !

- T'es une grosse salope … mais t'es vraiment bonne …


Le smartphone braqué sur sa queue, il se marre:

- Putain, ça fait d'la mousse !


Immédiatement, Pierrot s'approche et, à son tour, il filme la mousse qui bouillonne sur la verge de Jean-Claude et tout autour de ma rondelle. Et sans avertissement, Jean-Claude s'extrait de mon cul. Fin de cette vidéo.


La vidéo suivante commence presque aussitôt après. Je n'ai pas bougé de sur mes poufs, et Pierrot, installé juste derrière moi, me filme le cul en gros plan … ma rondelle est déjà presque complètement refermée, mais ce qui intéresse l'éleveur, c'est ce qui s'écoule de ma fleur en faisant des petites bulles … oui, Pierrot filme avec complaisance le sperme que ses deux chiens et Jean-Claude m'ont envoyé dans le cul …  et puis il promène l'objectif de son smartphone aux alentours de mon cul … du sperme, j'en ai plein les fesses, plein le périnée … jusqu'à l'intérieur des cuisses et sur les couilles !

- Oh putain, la dose que vous lui avez mis, Gordo et toi, Jean-Claude !

- Tu sais, tu peux aussi te l'faire …

- Hein ?

- Marin … tu peux te l'faire, si tu veux … tu peux le niquer …


Pierrot s'est relevé brusquement en entendant ce que Jean-Claude vient de lui dire. Fin de cette vidéo. C'est la dernière.


J'ai regardé tout ça fasciné. Putain, j'avais déjà beaucoup aimé être filmé pendant que je me faisais gangbanguer dans la ferme de Jean-Claude, mais là, pouvoir me regarder pendant que le Mastiff me possède ! C'est excitant et émouvant. Et, aussi bizarre que ça puisse paraître, ce qui me plaît aussi, c'est de penser que ces vidéos sont susceptibles d'être montrées à n'importe qui … quelque chose en moi me souffle pourtant que ça pourrait être dangereux, que ces vidéos pourraient tomber entre les mains de personnes mal intentionnées, que je pourrais être reconnu, poursuivi, condamné, mais je m'en fous … ou plutôt, je n'y crois pas … je me sens à l'abri, je ne sais pas exactement pourquoi. Mais surtout, je crois … je crois que si je suis amené à rencontrer des gens qui ont vu ces vidéos … non, c'est pas "si je suis amené à les rencontrer" … JE VAIS en rencontrer … JE VAIS rencontrer des gens qui auront vu ces vidéos … et oui, ceux que Pierrot veut inviter  à venir me voir dans son élevage, ils auront vu ces vidéos … et bien, je crois que quand je leur serai présenté – " tu vois, c'est lui que tu as vu sur mes vidéos, c'est lui qui s'est fait grimper par mes chiens " – et bien, ce sera vraiment jouissif … une fierté … 


Ce visionnage était tellement fort que je recommence depuis le début … en me tripotant … mais cette fois, je ne vais pas jusqu'au bout … arrivé à la séquence où Gordo me chevauche en équilibre instable sur mes fesses, je ne tiens plus … essoufflé, haletant, je jouis … 


Il faut que j'appelle Pierrot pour le remercier. Je m'apprête à composer son numéro quand je vois l'heure sur mon téléphone … 1 heure 45 ! Je n'ai pas vu le temps passer. Le téléchargement des vidéos a été long … Internet manque de débit, dans le coin. Je ne peux quand même pas le déranger au milieu de la nuit pour ça. Ça ne fait rien je l'appellerai demain.


Jeudi 14 décembre. 10h00

Je n'ai pas beaucoup dormi. J'ai eu du mal à trouver le sommeil et je me suis réveillé plusieurs fois, la bite raide … des images de saillies bestiales m'ont obsédé toute la nuit.


Ce matin, je compte aller voir où en est Gégé dans les travaux que je lui ai demandés. 


Quand j'arrive, la porte d'entrée est grande ouverte. Pas de Gégé. Si ce n'est l'air froid qui entre par cette porte, il fait bon dans la grande pièce. Les radiateurs sont chauds ! Putain, le chauffage central fonctionne, et il laisse la porte grande ouverte ! Bon, ici, le plafond a été repeint. Je parcours les autres pièces du rez-de-chaussée. Bureau et toilettes, plafonds repeints, dégagement en bas de l'escalier, plafond repeint. Cuisine … ah non. C'est vrai, ce n'est pas la même peinture que dans les autres pièces. Mais visiblement, ça a été lessivé. Il a pas mal bossé, le Gégé. Dans un coin de la cuisine, le petit réchaud de camping et la petite table que j'avais remarqués dans la cave … une casserole, une assiette sale et des couverts … une cagette avec des provisions ..


Je monte à l'étage. Personne dans les chambres. Quand j'ouvre la porte de la salle d'eau, il est là ! Il est là, complètement à poil … et mouillé. Apparemment, il sort de la douche et il est en train de s'essuyer les cheveux dans une serviette. Je ressors et je lui lance:

- Oh pardon ! Je ne savais pas que …


Je me sens tout con. Pourtant, j'en ai vu, des mecs à poil … et des bites ! Je me sens tout con … et troublé. Il me lance:

– C'est pas grave. Vous voulez quoi ?

– Je … je venais voir si ça allait … et où vous en étiez … et si vous n'aviez besoin de rien …

– Ah oui … faut que je vous dise … mais entrez … on va pas se parler comme ça d'une pièce à l'autre …

– Mais … vous êtes … 

– A poil ? Ça me gêne pas … Ça vous gêne ?

– N… non.

– Alors entrez.


J'hésite une seconde, et je me décide. Mon intrusion n'a pas l'air de le déranger. Il continue de se sécher les cheveux avec sa serviette et il n'esquisse pas le moindre geste pour dissimuler son … son anatomie. C'est plus fort que moi, je ne peux pas m'empêcher de … de jeter un coup d'œil à son sexe ! Il est plutôt petit et son gland dépasse à peine d'une épaisse touffe de poils crépus. Je m'empresse de relever les yeux, mais je crois que mon coup d'œil ne lui a pas échappé. Il sourit, s'essuie rapidement le reste du corps et, en étalant sa serviette sur ses épaules, il demande:

- Vous avez vu ? J'ai déjà pas mal avancé. 

- Oui.


Tout de même, il aurait pu … je sais pas … se nouer cette serviette autour de la taille … Bon, il est quand même beaucoup mieux comme ça, propre, que dans son accoutrement de clodo puant … il est même plutôt barraqué et musclé … je … si … il y a encore une dizaine de jours, ce mec là, je n'aurais pas hésité à … à le chauffer … et là, aujourd'hui encore, je … ça doit être d'avoir revu la grosse bite de Jean-Claude en vidéo qui m'a … qui a réveillé quelque chose en moi … mais, bizarrement, je suis gêné … Il se coiffe face au miroir …

- Ouais, j' voulais vous dire … je me suis installé ici. Ça vous dérange pas ?

- Ben … non. Vous avez bien fait …


Putain, maintenant il est de profil et je n'arrête pas de jeter de rapides coups d'œil à son gland …

- Ouais, c'est quand même plus confortable que mon blockhaus …

- Je me doute … mais … vous avez de quoi coucher ?

- De quoi coucher ?


Il s'est tourné vers moi et il me regarde, un sourire narquois sur la figure:

- Qu'est-ce que vous voulez dire par … "de quoi coucher " ?


Il se fout de ma gueule, il fait semblant de se méprendre sur ce que je lui demande, c'est évident. Je bafouille:

- Ben oui, vous ... vous avez un matelas ? Pour … pour dormir, quoi …

- Ah, pour dormir ? Je croyais que vous parliez de capotes … non, je déconne, j'avais compris … je vous charrie … ouais, j'ai ce qui faut … matelas et duvet, mais le duvet, je le mets pas, il fait chaud ici …


Du coup, je me sens tellement con que je n'ose pas lui faire une réflexion sur le chauffage qui marche et la porte ouverte. Et brusquement, il pivote et s'avance vers moi … je dois me retenir pour ne pas regarder à nouveau son sexe. Il me veut quoi ? 

- Pardon, je voudrais …


D'un coup de menton, il désigne la porte derrière moi. Ah, c'est ça, il veut seulement sortir de la salle de bain et je lui bouche le passage. Je m'efface et nous passons dans la chambre. Là, il n'y a qu'un tas de tissus dans un coin. Il se penche, ramasse une combinaison de bricolage et se tourne vers moi:

- Ouais, c'est pas dans cette chambre que je couche …


C'est une impression, ou il a insisté sur le "je couche" ? Il poursuit:

- Ici, je repeins le plafond aujourd'hui … alors … Je fais aussi ma tambouille ici, j'ai trouvé un truc pour chauffer mes gamelles …


Tout en parlant, il a entrepris d'enfiler la combinaison de travail … à même la peau … ni sous-vêtements, ni … rien ! En enfilant les manches, il me regarde encore d'un air ironique … et il remonte le zip depuis son entrejambe jusque sous son menton … cette combinaison, c'est une espèce de toile non tissée assez fine et très transparente … à travers, on voit nettement qu'il est à poil, avec, au niveau du bas ventre, la tache sombre de sa touffe de poils pubiens, et dépassant de la touffe, son gland couleur chair … Devant mon air ahuri, il explique, un sourire aux lèvres:

- Ouais, je reste à poil, sous ce machin … autrement, j'ai trop chaud … j'espère que ça vous gêne pas, parce que moi, ça me gêne pas …


C'est plus fort que moi, des images défilent dans ma tête … redescendre le zip de sa combinaison … écarter les pans … m'agenouiller … effleurer ce gland du bout des doigts … approcher mon visage … poser mes lèvres sur ce gland … le prendre … le prendre dans ma bouche, le nez enfoui dans cette touffe de poils …


- De toute façon, à part vous, personne ne vient ici …


Il me sort de mes pensées. Je déglutis et je bafouille:

- Oui, oui, bien sûr … vous avez raison … vous faites ce que vous voulez … ça m'est égal … Bon, ben … je vais vous laisser …

- Ouais, et je m'y remets …

- A plus tard …

- Salut.

 

J'avais décidé qu'après cette visite, j'irais faire un tour à Plouménez pour voir à quoi ressemble la propriété que mes parents avaient achetée. Tout le long de la route, je n'ai pas arrêté de penser … à des bites … surtout celle de Jean-Claude, la grosse bite de Jean-Claude … et aussi à celle de Gégé, la petite bite de Gégé. Ça m'a fait bander … et tout en conduisant, j'ai ouvert ma braguette, j'ai sorti ma queue et je me suis tripoté. Il y avait bien longtemps que je ne m'étais pas adonné à cet exercice solitaire … au moins six mois … à vrai dire, je n'en avais plus besoin … c'est donc sans doute depuis que j'ai franchi le pas avec les mecs … Putain oui, ça ne fait que six mois que j'ai franchi le pas avec les mecs ! Oh la vache, il m'en est passé dessus, des mecs, en six mois ! Et des bites dans le cul …


Evidemment, trouver Plouménez ne pose aucun problème. En revanche, Coat an Bleis … le GPS de la voiture de location m'a bien indiqué que j'étais bientôt arrivé à destination, mais il n'y a rien, aucune maison, aucun bâtiment aux alentours … on dirait qu'aucune route, aucun chemin n'y conduit. Je me retrouve devant une sorte de talus de plus d'un mètre de haut, couvert d'herbes et de broussailles… au-delà du talus, il y a une double rangée d'arbres … le GPS positionne le lieu-dit là-bas, à … peut-être 500 ou 800 mètres, mais pas d'accès … je descends de voiture et je monte sur le talus … derrière, je devine comme une allée entre les deux rangées d'arbres … une allée envahie de ronces et d'herbes …

 

Sur la route où je suis garé, un gros tracteur bleu débouche … instantanément, je pense à la première fois que j'ai rencontré Jean-Claude, quand il nous avait surpris, Philippe et moi, au bord du canal, en train de … 

Le conducteur du tracteur me regarde, ralentit et s'arrête. Il ouvre sa portière:

- Vous êtes perdu ?

- Un peu, oui. Je cherche un endroit qui s'appelle Coat an Bleis … mon GPS me dit que c'est par là, mais il n'y a pas de chemin, apparemment …

- Ah, Coat ar Bleis ?


Il a prononcé ça à la bretonne, pas à la parisienne, comme moi. Il descend de son engin et il poursuit:

- Oui, il a raison, votre GPS, c'est bien par là … mais il n'y a plus d'accès par ici. Le chemin d'entrée était là, juste entre les arbres, mais ça a été bouché à l'époque du dépôt d'ordures … et depuis, comme les gens qui avaient acheté ça sont morts, tout est retourné à la friche … Pourquoi vous cherchez cet endroit ?

- C'était mes parents qui avaient acheté. Et maintenant, c'est à moi.

- Ah bon ?

- Oui, mais en fait, je ne le savais même pas. Apparemment, le notaire a oublié de faire le nécessaire au moment de la succession. Je viens seulement de l'apprendre.

- Ah, je comprends … vous seriez le propriétaire, donc …

- Voilà.

- Ah oui … alors, faut que je vous dise … je suis votre voisin … mes terres touchent vos terres … et comme … comme on pensait qu'il n'y avait plus de propriétaire, je … je me suis permis … je me suis permis de défricher une de vos parcelles pour y mettre des bêtes …

- Ah bon ?

- Oui. Mais … si ça pose problème, je … on pourra s'arranger … 

- Oui, on verra.

- Vous comptez pas exploiter …

- Ah non, je ne suis pas agriculteur. Et je ne sais même pas à quoi ça ressemble, cet endroit …

- Ben, par chez moi, vous pouvez accéder … vous n'avez qu'à me suivre …


Il remonte dans son engin, attend que je sois remonté en voiture, et il démarre. Nous parcourons cinq cent mètres sur la route, et il s'engage sur la gauche, dans un chemin entre deux talus … vingt mètres plus loin, des bâtiments … un maison d'habitation, des hangars, et d'autres bâtiments. Tout ça est récent et en bon état. On doit être chez ce type. Il gare son tracteur et il s'approche de ma portière:

- Je monte avec vous et je vous guide.

- Entendu.


Une fois assis à la place du passager, il me fait signe de m'avancer le long de ses hangars. Puis nous empruntons une série de chemins de terre entre des haies. Ça tourne pas mal … une fois à gauche, puis à droite, et encore à gauche … nous traversons un bosquet, nous longeons des prairies où paissent des vaches … 


- Bon, vous pouvez vous arrêter là. Vous pourrez pas aller plus loin en voiture. Vous pouvez la laisser sur le chemin, il passe personne, ici … à part moi.


Nous descendons. Nous sommes devant une sorte de chemin creux plein d'herbes et de ronces. Il se tourne vers le pré qui se trouve de l'autre côté du chemin:

- Tenez, c'est cette parcelle qui est à vous … elle fait un peu plus d'un hectare …

- D'accord.

- Bon, pour aller jusqu'à vos bâtiments, il faut prendre ce chemin … il est retourné à la friche, mais c'est encore praticable.


Nous nous engageons dans les herbes et les ronces entre deux talus couverts de végétation. Il me précède et écrase avec ses bottes la végétation qui a colonisé le chemin. Il faut dire que je ne suis pas vraiment équipé pour ce genre de randonnée. Nous marchons comme ça dans l'herbe humide pendant … je ne sais pas combien de temps … ça me paraît long … au bout d'un moment, je me fais la réflexion: ce type qui marche devant moi, il ne m'inspire absolument rien … il y a une semaine ou deux, j'aurais essayé de deviner à quoi ressemblait sa queue … là, rien … Enfin, au-dessus de ce fouillis végétal, j'aperçois des toitures en ardoises et nous débouchons dans un espace un peu moins envahi de végétation. 

- Voilà, on y est …


Plusieurs bâtiments en pierre et couverts d'ardoises forment une sorte de rectangle, presque entièrement fermé … par la disposition, ça me rappelle un peu la ferme de Jean-Claude … mais c'est moins grand, c'est plus ancien, et ici, la végétation a tout envahi … du lierre court sur les murs et jusque sur les toitures, des arbustes ont poussé au milieu de cette espèce de cour … il y a aussi des ronces, évidemment … devant les bâtiments en dur, j'aperçois le toit d'un hangar couvert de panneaux en ciment ondulé …


- Là, c'était l'habitation …


C'est une longère tout ce qu'il y a de traditionnel: murs en pierres, entourage des portes et des fenêtres en granit, portes et volets en bois, couverture en ardoises, une cheminée à chaque extrémité … deux des volets sont descellés et pendent lamentablement … la porte d'entrée est entrouverte … 


Le voisin continue:

- Ben le reste, c'est du classique … c'est comme ça que toutes les fermes étaient dans la région … dans ce bâtiment, on rangeait la charrette et le char à banc … et les instruments de culture … là, c'était la crèche … enfin, l'étable … et au bout, l'écurie … tout ce que vous voyez derrière, c'est plus récent … juste après la guerre, sans doute … c'est un hangar où ils stockaient la paille et peut-être où ils rangeaient le tracteur, si ils en avaient un …

- Vous avez connu les propriétaires avant mes parents ?

- Non, non … moi, je suis là seulement depuis huit ans … mais on m'a parlé d'eux, dans le village … c'était déjà comme ça quand je me suis installé … tiens, là, vous avez aussi un puits …


J'ai une drôle de sensation … une espèce d'euphorie. L'endroit me plaît beaucoup … surtout cette cour fermée … comme chez Jean-Claude … J'imagine assez, une fois défriché et retapé, un endroit où je pourrais faire venir des mecs pour me … Il y a du travail pour tout débroussailler, nettoyer et remettre en état, mais, ça pourrait faire un endroit vraiment sympa. Nous avons contourné tant bien que mal ce qu'il appelle la crèche … derrière, il y a un haut taillis inextricable.


- Ça, c'est un verger de pommiers … on ne les voit même plus, sous les ronces, mais à une époque, des gens du bourg venaient encore se servir … c'est de la pomme à cidre … ils défrichaient comme ils pouvaient … mais ça fait bien cinq ou six ans que plus personne n'est venu. C'est vraiment malheureux …


Nous regagnons la … la "cour".


- Vous voulez regarder comment c'est à l'intérieur ?

- Si on peut entrer, pourquoi pas …

- Oh ben sûrement, la porte est ouverte … il a dû y avoir des visiteurs ... vous pensez …


En effet, il suffit de pousser la porte. Derrière, un couloir avec un carrelage en terre cuite. De chaque côté, une cloison en planches peintes et une porte au milieu de chaque cloison … au bout du couloir, l'amorce d'un escalier en bois. Nous poussons la porte de droite. C'est une … une pièce qui devait servir à la fois de chambre et de … de remise … grâce au volet descellé qui laisse passer la lumière, il fait suffisamment clair … il y a encore des meubles … un lit contre un des murs, une espèce de commode, une petite armoire, un fauteuil, une chaise et des étagères remplies de … de bocaux, de bouteilles, d'ustensiles de toutes sortes … C'est sale, poussiéreux, plein de toiles d'araignées, et ça pue … ça pue la maison inoccupée, à l'abandon.


- Personne a récupéré les meubles, apparemment … 


L'autre pièce, de l'autre côté du couloir, est à l'avenant. Celle-ci devait servir de cuisine, de salle à manger et aussi de chambre … Elle est aussi encombrée de meubles et d'un tas de bazars … Il y a une cheminée au pignon … Malgré tout ce qui encombre cette pièce, elle semble assez grande. Nous ressortons. Le cultivateur essaye d'ouvrir la porte de la partie qui prolonge les deux pièces que nous venons de visiter. Elle est fermée et résiste. Il n'insiste pas. Nous traversons de nouveau la cour et nous poussons un des battants de la lourde porte du bâtiment censé abriter charrette et instruments de culture … en effet, il y a une carriole à cheval et une charrue … et aussi des caisses en bois, des outils à main … tout semble crasseux et bouffé aux vers.

- Ben mon vieux, c'est pas jeune, tout ça … dans le temps, c'est avec ça que les gens se déplaçaient … avant que tout le monde ait sa voiture …


Nous ressortons et nous contournons ce bâtiment. Plus loin, c'est le hangar couvert de tôle en ciment ondulé … en effet, même s'il est vétuste, il semble plus récent que le reste … dessous, il y a un monceau de … de paille, déjà colonisé par des ronces, et qui occupe la moitié de la surface, et à côté, un petit tracteur qui devait être rouge … ainsi qu'un véritable bric-à-brac de machines …


- Ah, ben dites donc … on n'en trouve plus beaucoup, des tracteurs comme ça ! Des collectionneurs en donneraient une petite fortune ! Et ça … c'est une moissonneuse … ils devaient la tirer avec le tracteur … mais avant, elle fonctionnait avec une paire de chevaux … ça se voit, elle a été adaptée … ça, c'est pour arracher les patates … et ça, c'est un semoir …


Il examine la charpente du hangar, tapote un des piliers, et:

- Il est pas en mauvais état … ça, c'est du chêne … et là-haut, on dirait du châtaignier … ça serait dommage de pas le garder, il peut encore être utile … il suffirait de remplacer la couverture …


Après avoir jeté un coup d'œil à l'intérieur du puits, nous repartons. Je ramène le cultivateur jusque chez lui. Il me propose de boire un verre. Tout en me servant une bolée de cidre, il demande:

- Bon, on fait quoi pour votre terrain où j'ai mis des bêtes ? Je suis prêt à vous l'acheter si vous êtes vendeur.

- Attendez. Je dois déjà régler cette affaire avec le notaire. On verra après. En attendant, vous pouvez y laisser vos bêtes.

- Bon, d'accord. Je peux vous contacter comment ?

- C'est moi qui vous contacterai. Donnez moi votre numéro de téléphone ...

- D'accord. 


Il griffonne son nom ... Cloarec ... et un numéro sur un post-it et me le tend.

 

Je repars et je rentre au gite. 

Au moment où je descends de voiture, mon téléphone se met à vibrer. C'est le numéro de Yolaine. Je décroche:

- Oui ?

- Coucou, c'est Yolaine. Ça va ?

- Ça va. Qu'est-ce qui se passe ?

- Dis, il viens d'y avoir du rodéo devant chez nous …

- Du rodéo ?

- Oui. Tu sais, le type qui était venu la semaine dernière et que tu ne voulais pas voir …

- Oui, le manouche …

- Voilà … et ben, il vient de se faire arrêter par les flics … dans notre cour …

- Ah bon ? ! ? !

- Ouais ! J'étais tout juste rentrée du travail et je le vois se pointer comme l'autre jour … mais seulement avec deux autres types, cette fois … ils se sont garés dans la cour, tranquillement, comme l'autre jour … ils sont descendus de voiture et ils sont allés jusqu'à ta porte … et d'un seul coup, il est arrivé quatre voitures qui se sont arrêtées juste à l'entrée de la cour … tu vois, pour … pour barrer l'entrée … et toute une bande de types sont descendus à fond des voitures … et ils ont braqué les trois manouches … avec des flingues, hein … Ça m'a foutu une de ces trouilles, j'te dis pas … on se serait cru au cinéma, sauf que c'était là, juste sous mes fenêtres … C'est seulement après que j'ai vu que ces mecs avaient un brassard … c'était des flics … Alors les trois, là, ils ont un peu résisté, mais les flics étaient trop nombreux, ils les ont plaqués au sol et ils leur ont mis les menottes …

- Et alors ?

- Ben, pendant que certains flics maîtrisaient les manouches, d'autres se sont pointés devant chez toi, le flingue à la main, et ils ont cogné à ta porte … j'ai cru qu'ils allaient la défoncer, alors j'ai mis le nez à la fenêtre et je leur ai dit que t'étais pas là …

- Et alors  ?

- Ben, ils m'ont demandé de sortir et pendant qu'ils faisaient monter les manouches dans leurs voitures, ils m'ont posé des questions sur toi …

- Qu'est-ce qu'ils voulaient savoir ?

- Ben … qui tu étais …  ce que tu fais dans la vie … où tu étais … ce genre de questions …

- Et qu'est-ce que tu leur as dit ?

- Ben ça … ton nom, ton métier, je leur ai dit que tu es en province pour régler des affaires personnelles … ils voulaient aussi savoir si j'avais déjà vu les manouches venir chez toi …

- Et tu leur as dit quoi ?

- Rien … que j'avais jamais vu ces types … je leur ai pas dit que l'un d'eux était déjà venu deux fois et pourquoi il était venu …

- Bon … et c'est tout ?

- Oui. Ils sont restés là une bonne heure … apparemment, ils interrogeaient les manouches dans les voitures … et ils téléphonaient … il est venu d'autres flics … enfin, des gendarmes, cette fois … deux voitures … et des civils … deux types en costume … ah oui, aussi, tout de suite après avoir arrêté les manouches, certains flics sont allés dans la ruelle en courant … je me demande si ils ne sont pas entrés chez toi, dans le jardin, en passant par le pré qui est derrière chez toi … voilà, c'est tout … ah non, ils m'ont aussi demandé si j'avais un numéro de téléphone où te joindre … je leur ai donné ton portable … j'aurais pas dû ?

- Si, si … t'as bien fait … 

- Ils t'ont appelé ?

- Non. Pas encore. Bon, c'est tout ?

- Oui. 

- Ben, merci du renseignement … je te tiendrai au courant si il y a une suite …

- D'ac. Ça se passe bien, tes affaires ?

- Oui, très bien, je te raconterai.

- Allez, bye !

- Bye.


Alors, Jo a été arrêté ? Putain, sur quels mecs je suis tombé ? Déjà le Jacky, proxénète, qui se retrouve en taule, et maintenant, celui-là ! Tant mieux si il est aussi en taule, ce mec. Et vu le déploiement de forces qui sont intervenues, ce n'est sûrement pas parce qu'il n'a pas payé ses contraventions. Je ne sais pas ce qu'il a fait, mais il va sûrement passer un bon moment derrière les barreaux. Décidément … j'ai des relations vraiment pas fréquentables … enfin, ces deux-là me foutront la paix quelques temps … je me demande ce que je vais raconter aux flics si ils m'interrogent … et ce que ces mecs vont leur avoir dit à mon sujet. On verra


Bon, mais ici, il faut tuer le temps en attendant mon rendez-vous chez le notaire. Je ne veux pas déranger Gégé. Je ne voudrais pas avoir l'air de le surveiller … ou d'essayer de le mater à poil dans sa combinaison transparente. J'irai le voir demain en fin d'après-midi.


Vendredi 15 décembre. 09h00

Aujourd'hui, j'avais prévu d'aller traîner sur une plage, mais au moment de me mettre en route, nouveau coup de fil.

- Marin ?

- Oui.

- Salut ma chérie, c'est Francis … 

- Francis ?


Je suis étonné, mais je sais très bien qui il est. C'est un des types qui m'ont baisé dans l'hôtel de Lionel et Carole. Ce qui me surprend, c'est qu'il me téléphone … et qu'il m'appelle "ma chérie". Il enchaîne:

- Oui, c'est moi. Alors, comment tu vas ? Qu'est-ce que tu deviens ?

- Ben … ça va … qu'est-ce que je deviens … rien de spécial …

- Allô ? Je t'entends pas … Allô ..

- Moi, je t'entends ... c'est peut-être l'endroit d'où je te parle … attends, je me déplace un peu … 

- Allô-allô … allô … putain, j'entends rien …


Qu'est-ce qu'il fait ? Je ne comprends pas, moi je l'entends parfaitement …

- Francis ? Tu m'entends, maintenant ?

- Allô-allô … hé Marin, essaie de m'appeler depuis un autre téléphone … là, je t'entends pas … essaie avec une ligne fixe … à tout de suite ! 


Touuut ... touuut ... touuut ... touuut … Il a raccroché. Bon. Heureusement, la gérante des gites est dans son bureau. Je lui explique que mon portable ne passe pas et je lui demande si je peux téléphoner avec son fixe. Elle est d'accord et, par discrétion, elle sort et me laisse son bureau.

- Francis ?

- Ouais. Je t'entendais, hein, mais il fallait qu'on te parle sur une autre ligne que ton portable. Je te passe Lionel, il va t'expliquer.


Lionel, maintenant ? Le patron de l'hôtel … ils me veulent quoi, tous les deux ?

- Marin ?

- Oui.

- Salut, c'est Lionel. Bon, on a appris que Jo, le copain de Jacky, s'est fait arrêter chez toi hier soir … 

- Oui, il ne s'est pas fait arrêter "chez moi", mais DEVANT CHEZ MOI. Je suis en province, mais je suis au courant, Yolaine m'a prévenu …

- Ah oui, Yolaine … bon, mais peu importe … il venait chez toi … alors tu vas intéresser les flics, ils voudront savoir pourquoi Jo, il venait chez toi … tu vas sûrement être sur écoute … si c'est pas déjà fait … et c'est pour ça qu'on t'appelle comme ça, avec Francis … 

- Ben, je vois pas pourquoi je serais sur écoute, je suis pas impliqué dans leurs histoires, à Jo et à ses copains …

- On le sait, mais les flics, ils le savent pas … mais c'est pas pour ce que Jo et ses copains ont fait qu'on t'appelle … on t'appelle parce que … il faut que personne sache que Jo il t'a sauté et qu'il venait là pour recommencer … parce que je suppose que c'est pour ça qu'il venait chez toi …

- Ben … oui. Mais … pourquoi il faut pas que …

- Parce que, dans la communauté de Jo, c'est très mal vu, les hommes qui se tapent des … des mecs comme toi … question d'honneur …

- Mais vous … toi et Jacky, vous le savez …

- Oui, mais nous, on n'est pas manouches … bon, de toute façon, c'est pas la question … Ce qu'il faut, si les flics t'interrogent, c'est leur dire que Jo, il voulait te faire chanter … 

- Me faire chanter ?

- Oui, qu'il menaçait de raconter ... je sais pas, dans ton village, là où tu bosses, ou à je ne sais qui, que tu te fais sauter par tout le monde … bon, enfin, tu arranges l'histoire à ta sauce, mais il faut que ça soit ça la version officielle … T'as compris ?


Putain, il est presque menaçant !


- Oui, j'ai compris. Mais … comment … comment vous êtes déjà au courant qu'il s'est fait arrêter ?

- Ça, c'est notre affaire. Et, évidemment, aux flics, tu ne leur parles pas de ce qui se passe dans mon hôtel … vu ?

- Ouais, vu.

- Bon. Tu nous appelles pas … si on a quelque chose à te dire, on te contactera …

- Et si moi je veux vous parler …

- Ben … t'auras qu'à passer par Yolaine … t'as confiance en elle ?

- Oui.

- Bon, ben voilà. C'est elle qui nous appelle, alors … elle sera pas sur écoute, elle.

- D'accord.

- Allez, bye !

- Salut.


Ça se met à carburer à fond sous mon crâne. Presque aussitôt, je pense à Pierrot. Si je suis vraiment sur écoute, il ne faudrait pas qu'il m'appelle et qu'il parle de mes ébats avec ses chiens. Puisque je suis dans le bureau de la gérante … j'entrouvre la porte … elle est à l'accueil en train de classer des prospectus:

- Dites … je peux passer un autre coup de fil ? Après, c'est tout …

- Bien sûr, allez-y ... autant que vous voulez, j'ai un forfait ... alors …


à suivre ...

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 17 octobre 2018 3 17 /10 /Oct /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Mardi 12 décembre.

A 13 heures, je suis devant cette maison … enfin, devant MA maison … j'ai un peu de mal à réaliser que c'est MA maison. Pas de Gégé. Si ça se trouve, aujourd'hui, pour lui, l'après-midi commençait vraiment à midi et, ne me trouvant pas là, il est reparti. J'ouvre fenêtres et persiennes pour aérer, et je visite de nouveau les lieux. Il y a une espèce de sous-sol que Gwen ne m'avait pas montrée. Chaudière et ballon d'eau chaude. La maison étant un peu humide, je mets le chauffage central en route. La chaudière démarre immédiatement. Et tant que j'y suis, je démarre aussi le ballon d'eau chaude. Ça peut toujours servir. Dans cette espèce de cave, les locataires ont laissé une petite table de camping en mauvais état et une étagère métallique. J'explore aussi le jardin. Tout près de la maison, il y a un coin barbecue. 

 

En attendant Gégé, pour m'occuper, je regarde ce qu'il y a dans le dossier que Gwen m'a donné. En effet, ce sont des archives dont certaines remontent à l'époque de mes parents. Il y a aussi une grosse enveloppe en papier kraft, assez lourde, et portant le cachet d'une étude de notaires. Dedans, deux épais cahiers … le premier c'est l'acte d'achat de cette maison par mes parents, et le deuxième … tiens, c'est bizarre … c'est aussi un acte d'achat par mes parents … c'est quoi, ça ? L'acte date de la même époque … et du même jour, d'ailleurs … il s'agit d'un ensemble comprenant une maison d'habitation et des dépendances … hangar, crèche – il me semble que c'est comme ça qu'on appelle une étable, ici -, écurie, grange, four à pain, soue à cochon, remise agricole … et des terres … prairie, bois, verger, potager … près de 15 hectares, quand même … une exploitation agricole, en somme … le tout situé dans la commune de … Plouménez, Finistère, lieu-dit Coat ar Bleiz … Je n'ai jamais entendu parler de ça, ni par mes parents, ni au moment du règlement de leur succession … mes parents l'auraient revendu entre temps ? C'est curieux … il faudrait que je recherche où ça se trouve exactement. Il me semble que j'ai déjà entendu ce nom, Plouménez … on verra sur Internet ce soir, quand je serai dans le gite … Ils ont acheté ça … voyons … 30.000 francs ! 30.000 francs ? ! ? ! C'est pas possible, ça représenterait … moins de 5.000 € ! Un ensemble immobilier de cette importance, avec autant de terres ? Je sais bien que les terres agricoles ne valent pas très cher, mais là, quand même ! Qu'est-ce que c'est que cette histoire ?

 

Une pétarade provenant de la rue détourne mon attention. Quand je sors, je vois quelqu'un s'arrêter devant la maison en Mobylette … à la silhouette de colosse, je reconnais Gégé. Ça existe encore, cet genre d'équipage ? C'est la totale: Mobylette orange avec sacoches en cuir, et, dessus, Gégé portant un casque à l'ancienne, comme une demie sphère blanche, et des lunettes qui ressemblent à des lunettes de soudeur … une parka en grosse toile brun-kaki …  on se croirait revenu trente ans en arrière. Je me demande où il a pu trouver un engin comme ça avec tout l'équipement qui va avec. Il met sa Mob sur béquille et il ôte son casque.

 

Je lui fait visiter la maison et je lui explique ce que j'attends de lui. Le chantier lui convient. Comme je lui demande de me faire la liste de ce qu'il lui faut, il me propose que nous allions tout de suite acheter le nécessaire dans le magasin de bricolage qui se trouve à 5 minutes. Nous montons en voiture … Putain, qu'est-ce qu'il pue ! J'espère que l'odeur ne va pas imprégner les sièges. Il n'a sans doute pas l'eau courante dans son blockhaus, mais il doit bien exister des douches publiques dans le coin … Apparemment, il est connu, le Gégé … dans le magasin, tous ceux que nous croisons lui disent bonjour, employés et clients … à bonne distance, mais en le tutoyant et en l'appelant Gégé …

 

Pinceaux, rouleaux, seau, balais, peinture, bâche, escabeau, etc … Gégé sait ce qu'il veut, on voit qu'il a l'habitude … il prend même une combinaison jetable et des gants ! 

 

De retour à la maison, après avoir tout déchargé et rangé, je lui donne un des jeux de clefs que Gwen m'a remis:

- Bon, je vous laisse des clefs … vous venez quand vous voulez … j'ai remis le chauffage central en route … et le ballon d'eau chaude … la maison est à vous …

- Ouais. Je commence demain. Déjà, les plafonds … je ferai les murs après …

- Vous voulez que je vous laisse un peu d'argent, au cas où il manquerait quelque chose ?

- Pas la peine … ils me connaissent, ils me feront crédit …

- Bon, comme vous voulez … à plus tard.

- Salut.

 

Je regagne mon gite et j'appelle l'agence immobilière. C'est évidemment Gwen qui répond:

- Oui ?

- Dites, avec le dossier que vous m'avez remis, il y a 2 titres de propriété dans une enveloppe d'un notaire … un titre de propriété pour la maison qui était en location, et un autre pour un sorte de … d'exploitation agricole à Plouménez … ça vous dit quelque chose ?

- A Plouménez ? Non. Mais, vous savez, je n'ai jamais regardé dans cette enveloppe … elle était là quand j'ai repris l'agence … ça date de mon prédécesseur … vous avez interrogé le notaire ?

- Non, pas encore. Je vais le faire … je me disais que vous seriez peut-être au courant …

- Non, désolée. Voyez aussi auprès des services du cadastre …

 

J'appelle l'étude notariale. La personne qui me répond me reçoit sèchement. Je lui demande de me passer son patron … elle m'explique que le notaire qui a réalisé la vente de la maison a cédé son office depuis longtemps, et que, maintenant, c'est deux nouveaux notaires qui l'ont repris … elle ne peut pas me les passer, il faut que je prenne rendez-vous … pas de disponibilité avant la semaine prochaine … je lui explique quand même l'objet de mon appel, de façon que, d'ici le rendez-vous, on ressorte le dossier des archives … 

 

Quand j'appelle le service du cadastre, il est déjà trop tard, les bureaux sont fermés. Tant pis, j'irai demain. Je n'ai que ça à faire. Alors je pars traîner sur le sentier qui longe la côte. Il fait un peu frais, mais c'est supportable … je me soûle d'air marin et de cris de mouettes … ça sent l'iode, les algues et un peu la vase par endroits … 

 

Je me sens tellement loin … il y a deux jours, je me cachais de quatre types débarqués chez moi à l'improviste pour … pour me baiser ! Quand je pense à ça, c'est comme si c'était la vie de quelqu'un d'autre qui me venait en mémoire … Ici, j'ai une vie … normale … JE SUIS normal … Là-bas, en Seine-et-Marne, quand je rencontrais un mec … n'importe quel mec, un commerçant, un passant, un jogger, un flic, je ne pouvais pas m'empêcher de l'examiner en dessous de la ceinture pour essayer de deviner l'aspect de son sexe sous son vêtement … c'était devenu un réflexe … et plus que ça, une part de moi-même me soufflait « celui-ci, il faudrait bien qu'il me baise aussi » ! Et ce, quel que soit le mec …  ou LES mecs … parce que, même quand je me trouvais en présence d'un groupe, j'imaginais les mecs en train de me prendre en levrette, les uns après les autres … presque à chaque fois, j'étais pris d'une sorte de spasme du côté de mon périnée et de mon anus …

 

Ici, rien du tout … à aucun moment je n'ai pensé à ça en croisant des hommes … Gégé, par exemple … je suis certain qu'avant, même son côté hirsute et crasseux, même sa puanteur ne m'auraient pas rebuté … là, non … il ne m'inspire strictement rien … les employés du magasin de bricolage ne m'ont rien inspiré non plus … ni les clients … J'ai la sensation que mon entrejambe est comme endormi, engourdi … et je me sens très bien comme ça !

 

J'en suis là de mes réflexions, quand mon téléphone portable se met à sonner. Je décroche par réflexe, ayant presque oublié que ce portable est aussi celui de mes affaires de cul. 

 

- Allô ? 

 

C'est Pierrot, l'éleveur de molosses. Je reconnais tout de suite sa voix, rien qu'à son "allô ?". Instantanément, me voilà confronté à deux tentations antagonistes: d'un côté rester dans cet état de calme sexuel et ne pas répondre, raccrocher ou l'envoyer balader … et en fait, c'est la première pensée qui me vient … mais elle ne fait que m'effleurer, parce que de l'autre côté … de l'autre côté, ben il s'agit de Pierrot, le maître de Falco et de Gordo, le maître de mes … le maître de mes deux extraordinaires amants, le maître des deux molosses qui m'ont si bien saillie, le maître de mes deux mâles ... et ça, c'est comme une vague qui me submerge, comme un tsunami, parce que Pierrot, c'est la tentation du sexe … pas avec lui, bien sûr, mais avec ses deux molosses … c'est même la tentation du sexe avec TOUT son élevage … et au-delà de Pierrot et de son élevage, c'est la tentation du réseau de ses collègues éleveurs et de leurs chiens … la tentation du sexe avec les chiens de ses collègues éleveurs … tout ça me tombe dessus d'un seul coup … et comment résister à ça ? Instantanément, je suis littéralement cueilli par cette espèce de délicieuse contraction de mon périnée et de mon anus … et il me suffit d'une fraction de seconde pour décider:

- Ouais … salut Pierrot.

- Tu m'as reconnu ?

- Oui.

- Ah bon … bon, dis donc, je t'avais dit que je te contacterais pour … pour … enfin, tu sais quoi … tu te rappelles ?

- Oui, je me rappelle parfaitement.

 

Ça a été plus fort que moi … Pierrot n'a pourtant fait qu'une allusion très anodine … "tu sais quoi" … et me voilà ferré comme un poisson au bout d'une ligne … oh oui, je me souviens pourquoi il devait me contacter ! Ce jour là, chez Jean-Claude, il avait dit qu'il me contacterait pour que j'aille me faire encore saillir et féconder par ses chiens, et même, si j'en avais envie, par tous les mâles de son élevage … Oh, putain ! Ce jour là, il avait été bien plus direct qu'un simple "tu sais quoi" … après m'avoir simplement offert de visiter son élevage, il avait fini par me proposer carrément, ouvertement, de venir chez lui pour me faire sauter par ses chiens … et par autant de chiens que je voudrais … et ça … ÇA !!!!!! Oh, putain, cette perspective me rend dingue ! Dès que j'ai reconnu sa voix, je me suis arrêté de marcher sur l'étroit sentier côtier. Maintenant, Pierrot marque un silence et toussote … comme s'il était gêné. Alors pour le mettre à l'aise, j'enchaîne:

- Tu devais m'appeler pour que je vienne me faire sauter par tes chiens … 

- Ouais … alors euh … justement, je voulais te dire …

 

Aïe ! A son ton, je le sens embêté … j'ai l'impression qu'il prend des gants, qu'il ne sait pas trop comment exprimer ce qu'il a à me dire … si ça avait été ce que j'imaginais, ce que j'espérais, il n'aurait pas employé ce ton hésitant, il aurait été plus direct … mon enthousiasme retombe brusquement … il toussote encore:

- heeemmm ! Je … ben, ce qu'on avait dit, ça va pas être pour tout de suite … tu comprends, il fait moche, il fait froid … je préférerais attendre qu'il fasse meilleur … tu vois, pour que tu puisses faire ça dehors … là, en ce moment, tu serais obligé de faire ça à l'intérieur, et j'ai pas d'endroit prévu pour ça, comme Jean-Claude, avec son écurie … moi, j'ai pas la place … je suis embêté, tu comprends …

 

Oui, je comprends. Mais si ce n'est que ça, ça va … j'ai eu peur qu'il ait changé d'avis, qu'il ait renoncé … Il reprend:

- J'espère que … j'espère que t'es pas trop déçu …

- Pierrot … t'as pas changé d'avis, quand même …

- Changé d'avis ? Oh non ! C'est seulement … tu sais, j'aurais voulu que ça se fasse rapidement, mais … je me rends compte que tout de suite, là, ça va pas être possible …

 

Je le sens sincère. Derrière moi, sur la portion de sentier que je viens de parcourir, un couple approche. Alors pour leur laisser le passage et pour pouvoir continuer cette discussion un peu spéciale en toute discrétion, je descends sur la grève de galets en contrebas. Et je rassure Pierrot:

- Bon, alors si c'est que ça, ça va … je peux attendre un peu …

- Ah bon … et toi … t'as … t'as pas changé d'avis non plus, alors …

- Oh que non ! Et t'as raison, ce sera mieux si on peut faire ça en extérieur avec tes chiens … me faire grimper en extérieur, j'adore ça ! Alors, me faire couvrir par tes chiens dans ton … dans ton élevage ou dans ton jardin, j'en rêve …

- Bon, ben … tant mieux … et … je me demandais … heeemmm … tu te rappelles, t'as dit que t'étais d'accord pour que je montre les photos et les vidéos que j'ai faites chez Jean-Claude à quelqu'un de sûr … hein, tu te rappelles ?

- Oui, je me rappelle … et tu les as montrées ?

- Oui, oui, je les ai montrées à un copain … et tu peux être tranquille, hein, il gardera ça pour lui … mais en fait … je me demandais … comme ça te dérange pas que quelqu'un d'autre voie des photos de toi en train de te faire … de te faire saillir par mon chien … est-ce que … est-ce que ça te gênerait si je … si j'invitais quelqu'un pour venir te voir … tu sais, pendant que tu … pendant que mes chiens ils te … pendant qu'ils te baiseraient … ça serait pareil, que quelqu'un te regarde en photos ou en direct … je veux dire .. ça changerait rien … Mais hein, si t'es pas d'accord, pas de problème, on fait ça seulement entre nous …

 

Oh la vache ! Ce mec ! Il voudrait faire venir quelqu'un pour me regarder me faire baiser par ses chiens ! Et il a bien préparé son argumentaire, l'animal ! Il a raison, ça ne changerait pas grand chose, que celui qu'il veut inviter ait regardé les photos et les vidéos ou qu'il me voie en chair et en os en train de me faire couvrir par les molosses de Pierrot. Au contraire, même, j'aime tellement me faire sauter devant du public ! De nouveau, dès que Pierrot a parlé d'inviter quelqu'un, un spasme m'a contracté le périnée et ma rondelle a frémi. Le Pierrot, même si il met les formes pour me demander la permission, à mon avis, ils sait déjà à quoi s'en tenir … ce mec a compris ce que j'aime ! Mais je ne dois pas trop lui montrer l'effet que ça me fait. Je demande:

- Ouais, donc, t'as envie d'inviter quelqu'un … Qui ça … "quelqu'un" ?

- Ben … un copain à moi … le même, hein, celui qu'a déjà vu les photos … j'te dis, il est vraiment sûr … t'as rien à craindre, je le connais bien, c'est pas le genre à … 

- Pierrot, tu connais les risques … il faut que tu sois sûr de lui à 200% …

- Alors là, pas de problème … avec ce mec, AUCUN problème … tu sais, j'ai bien vu, quand je lui ai montré les photos et les vidéos, il était comme fou ! Il donnerait n'importe quoi pour venir te voir te faire saillir en direct …

- Bon, si t'es sûr de lui, ça ne me dérange pas … au contraire … 

- Bon, bon … d'accord, alors … 

 

Il marque une pause, comme s'il hésitait … puis:

- Tu sais, le copain en question, lui aussi, c'est un éleveur … un éleveur de chiens, je veux dire …

 

De nouveau une pause. Là, c'est évident il a encore quelque chose à dire … ou à demander … je suis sûr qu'il voudrait que … Et d'un seul coup, il se lâche:

- Et ce copain, il aimerait bien venir avec un de ses chiens … tu sais, pour que … pour que son chien, il te fasse comme les miens !

 

Il a lancé ça à toute vitesse, et il me semble qu'après, il a poussé un bref soupir, comme soulagé d'avoir osé. Je le sentais … je sentais qu'il avait un truc dans ce genre à me demander … C'est dingue ! C'est vraiment dingue ! De nouveau, des frissons m'électrisent l'anus, la prostate et les couilles ! YESSSSSSS ! ! ! Cette fois, on y est ! J'avais déjà ressenti quelque chose comme ça quand j'ai réalisé que des mecs qui m'avaient baisé refilaient mes coordonnées à d'autres mecs … une espèce de jubilation et de … et de fierté … oui, être non seulement une "fille facile", mais aussi être un bon coup … un coup exceptionnel … un coup tellement exceptionnel que ceux qui m'ont essayée ne peuvent pas s'empêcher d'en faire profiter les autres … et jusque là, c'était des mecs, des hommes qui faisaient ça, mais maintenant, c'est des éleveurs de chiens ! Je jubile ! Des éleveurs de clebs … des éleveurs de clebs se donnent le mot pour … pour m'offrir à leurs chiens … Rhôôôô, putain ! D'un seul coup, une bouffée de chaleur me parcourt de la tête aux pieds, mon plexus se contracte violemment et j'ai les jambes qui flageolent … au point que je dois m'asseoir sur un gros rocher … Oh la la ! J'avais fantasmé ça … devenir … devenir … je ne sais même pas comment formuler ça … en tout cas, c'est en train de m'arriver ! Et ça m'arrive beaucoup plus vite que je l'avais imaginé ! Oh, pour le moment, c'est seulement UN mec, enfin, seulement UN éleveur, mais je suis sûr que ça fera comme ça a fait avec les mecs … le bouche à oreille … et puis, en plus des éleveurs, après, il pourrait y avoir des particuliers … enfin, des propriétaires de chien … des images défilent dans ma tête… des images d'accouplements, de saillies … de … 

 

- Marin ? Allô ? T'es toujours là ?

- Oui, oui … je suis là.

- T'as entendu ? 

- Oui, j'ai entendu.

- Et tu dis rien … je suppose … alors, je suppose que t'es pas d'accord … mais ça fait rien … si t'es pas d'accord pour son chien à lui, est-ce qu'il peut quand même …

- Non, mais attends … JE SUIS d'accord …

- Pour qu'il vienne regarder ?

- Oui, pour ça, pour regarder, je t'ai déjà dit que j'étais d'accord … mais je suis aussi d'accord pour qu'il vienne avec son chien … BIEN SÛR … EVIDEMMENT … 

- T'es d'accord pour qu'il vienne avec son chien ? Et pour que … t'as envie que son chien  … t'as envie que son chien aussi, il te …

- Oui, j'ai envie que son chien me saute aussi …

 

Un silence … ou plus exactement, ce qui ressemble à une déglutition … Pierrot est soulagé … troublé et soulagé … puis:

- Oh putain, Marin ! Putain ! Tu verras … oh la vache ! Ça va être … j'te dis pas ! Tu seras pas déçu, j'te promets … rhôôôô, putaiiiiiin, Marin !

 

Il en a la voix qui tremble. Un silence, puis:

- Ah Marin, t'es … t'es vraiment … t'es vraiment une …

 

Il réalise, je pense. Encore un long silence. Il n'a pas exprimé ouvertement ce que je suis pour lui, mais j'en ai une idée … pour lui, je suis vraiment une grosse salope … et ça me va. Je me demande si il digère seulement ce que je viens de lui dire ou si il prépare autre chose.

 

- Bon … dis Marin … tout à l'heure, quand je t'ai demandé si ça te dérangerait qu'un copain vienne pour regarder pendant que mes chiens te … pendant que mes chiens te baisent, t'as dit "non, au contraire" …

- J'ai dit ça ?

- Oui, t'as dit  "au contraire". Ça veut dire que t'aimes vraiment ça, qu'on te regarde pendant que tu te fais baiser ?

- Oui, j'aime vraiment ça … T'as bien vu, chez Jean-Claude …

- Ouais. Alors … si … si il y avait pas seulement UN copain, mais plusieurs … 

- Plusieurs ?

- Oui, plusieurs copains à moi pour regarder pendant que tu te fais baiser par mes chiens et par celui de mon copain …

- Pareil … plus il y aura de monde pour me regarder, plus ça me plaira … si c'est des gens dont tu es sûr à 200%, évidemment … mais tu sais, dans ce genre de pratiques illégales, plus il y a de monde dans la confidence, plus il y a de risques que ça fuite … 

- Non, mais t'inquiète pas, j'ai compris … d'abord, y'aura que des gens que je connais bien et dont je suis sûr, et en plus, je sais ce qu'il faut faire pour être tranquille …

- Comme tu veux … tu sais que tu risques autant que moi …

- Justement, je sais. Du coup, je me demandais … combien … combien je peux en inviter, des gens ?

- Pourquoi ? T'en connais tant que ça, des gens intéressés par ce genre de spectacle ?

- Ben, disons … pas mal … 

- Tu en as déjà parlé à plein de monde ?

- Non, c'est pas ça, mais tu sais, dans le milieu de l'élevage, on en vient souvent à parler des saillies et des performances de nos mâles … et parfois, de fil en aiguille, ça dérape, on en vient à parler de sexe, plus ou moins ouvertement … pas seulement de sexe pour nos chiens, hein … de sexe pour les gens … on en parle entre éleveurs, mais aussi avec des clients, avec ceux qui nous achètent les petits … on a vite fait de se rendre compte de ceux qui aiment ça, parler de cul, de ceux qui sont portés sur la chose et de ceux qui ont les idées larges ou au contraire de ceux qui sont coincés du cul … tu vois ? Mais c'est vrai, depuis que je t'ai vu, chez Jean-Claude, j'en ai parlé autour de moi …

- Tu as parlé de moi et de ce qui s'est passé chez Jean-Claude ?

- Non, j'ai pas parlé de toi spécialement, ni de ce qui s'était passé chez Jean-Claude … mais avec certaines personnes, j'ai tâté le terrain, si tu veux… j'ai parlé de ce genre de choses EN GÉNÉRAL … de la zoophilie, de ce genre de trucs, quoi … pour voir comment les personnes réagissaient … et si ça réagissait bien, j'en ai dit un peu plus, ou au contraire, quand je sentais que les gens étaient gênés, j'ai pas insisté … 

 

Ça ne m'étonne pas. Quand je me rappelle comment il nous a manœuvrés, Jean-Claude et moi, pour arriver à ses fins, je ne suis pas surpris qu'il ait su "tâter le terrain", comme il dit. 


 

Il poursuit:

- Dans ceux qui ont bien réagi, y'en a qui m'ont dit qu'ils en avaient déjà vu sur Internet … des femmes qui se font monter par leur chien … et même, certaines qui se prennent une bite de cheval dans la chatte ! Et ceux-là, ils ont trouvé ça génial … tu sais, sur Internet, on tombe pas là-dessus par hasard … ça veut dire qu'ils ont cherché ce genre de vidéo …  y'en a même un qui m'a laissé entendre qu'il en avait déjà vu EN VRAI, hein ! Une femme avec un berger allemand. Bon, ceux-là, c'est sûr, ils ont rien contre, au contraire … ils pratiquent pas … enfin, je crois pas, mais ça les choque pas, et même, ils aiment ça … du coup, je leur ai parlé de ma propre expérience …

- De TA propre expérience ?

- Oui, de ce que j'avais vu dans le cadre de mon activité d'éleveur. Tu sais, déjà, c'est arrivé que des femmes qui venaient assister à des saillies dans mon élevage reconnaissent qu'elles étaient impressionnées par la taille de … de la bite de mes molosses … y'en a même qui ont reconnu plus ou moins ouvertement que leur bite, à mes molosses, ça les laissait rêveuses … c'était sur le ton de la plaisanterie, mais ça voulait bien dire ce que ça voulait dire … j'ai même eu deux acheteuses, à leur façon d'insister pour adopter un mâle plutôt qu'une femelle … c'était presque indécent … c'était évident qu'elles avaient l'intention de se faire grimper par le chien quand il serait devenu adulte … 

- Ah oui ?

 

Quand je pense que chez Jean-Claude, il nous l'a joué "j'ai entendu dire que…". Il en savait beaucoup plus qu'il ne voulait bien le dire. Mais ça faisait sûrement partie de sa stratégie … avoir l'air de pas savoir et d'être outré par l'idée ! Il poursuit:

- Oui. La première, je me rappelle, ça m'avait choqué … je m'attendais pas à ça … je me souviens de cette bonne femme… c'était pas la première à venir m'acheter un chiot, mais elle, c'était tellement évident … elle était tout le temps en train de lui regarder sa bite, au chiot… un petit dogue allemand … à lui regarder sa bite et à s'inquiéter si elle serait aussi grosse que celle de son père quand il serait adulte … j'ai failli refuser de lui vendre … c'est ma femme qui m'a convaincu que ça nous regardait pas et qu'il serait sans doute très bien traité … 

- Ta femme ?

- Ouais, ma femme. Elle, elle le fait pas, mais ça la dérange pas que d'autres femmes le fassent. Là, pour cette bonne femme, elle m'a fait remarquer que si cette salope avait été plus discrète, on lui aurait vendu le chien sans problème, et après, elle aurait fait exactement la même chose, sauf que nous, on l'aurait pas su.  J'ai aussi eu un couple, comme clients … et ben, j'ai tout de suite compris que le mari offrait le chien à sa femme POUR ÇA … pour que le chien, il saute sa femme … c'était un Cane corso, cette fois … le mari, il arrêtait pas de lui demander, à sa femme, "alors, il te plaît ?", et avec plein de sous-entendus, et ils se chuchotaient des trucs à l'oreille et ça les faisait rire … et des fois, il lui sortait carrément des trucs salaces … ils s'en cachaient à peine, tous les deux, que c'était pour que le chien saute la femme, qu'ils l'achetaient … et elle, visiblement, ça lui plaisait, elle en avait envie, du chien … je suis sûr, elle devait mouiller rien qu'à l'idée de se faire grimper par cette bête … elle était à peine gênée que ça se voit tant que ça … tu sais, j'en ai vu, hein …

- Bon, alors, tu envisages combien de spectateurs ?

- Ben, jusqu'à présent, j'en ai trois, en plus de l'éleveur dont je t'ai parlé … plus moi et ma femme … mais d'ici qu'on arrive aux beaux jours, j'en aurais sûrement trouvé d'autres …

- Bon, c'est toi qui vois … au fait, les photos que tu as faites chez Jean-Claude, je les ai toujours pas vues …

- Ah ben oui, c'est vrai … je vais te les envoyer …

- Tu as mon mail ?

- Oui, oui.

- Bon. J'attends de tes nouvelles …

- Pas de problème. Salut … et merci, hein, Marin …

- Pas de quoi. Salut.

 

Je reste un long moment sur cette grève à réfléchir à ce qui vient de se dire … à la fois troublé et excité. Depuis mon arrivée ici, j'avais eu l'impression d'avoir rompu avec mes frasques sexuelles, d'avoir trouvé ici une sorte de refuge à l'abri du sexe … je réalise que ce que j'avais fui, c'était mes relations avec les hommes … pas le sexe … et surtout pas le sexe avec des chiens … en trois mots, Pierrot m'a instantanément reconnecté avec le sexe bestial. 

 

JE VAIS ALLER CHEZ PIERROT ME FAIRE SAUTER PAR SES CHIENS

! ! ! ! !

 

 

ET AUSSI PAR LE CHIEN D'UN DE SES POTES ! ! ! ! ! ! !

 

 

Et en plus, je vais me faire sauter par des chiens

 DEVANT DES SPECTATEURS ! ! ! ! 

 

Je bande … j'ai une furieuse envie de me masturber, et ça ne va pas pouvoir attendre que je rentre au gite. Il ne circule pas grand monde sur le sentier côtier. A part le couple, tout à l'heure, personne. Et puis, assis sur mon rocher, je tourne le dos au sentier et à ceux qui passeraient là. J'ouvre ma braguette, je sors ma queue et je commence … 

 

Putain, ça y est ! J'ai un peu de mal à réaliser les implications de tout ça, mais c'est sûr, maintenant, je suis considéré par ce mec, ce Pierrot, comme … comme un jouet … un jouet sexuel qu'il peut … oui, qu'il peut OFFRIR à ses chiens ! Et c'est pas seulement Pierrot qui me voit comme ça … son collègue éleveur aussi ! D'ailleurs, je n'ai même pas demandé à Pierrot quelle race de chien il élève, son collègue ! Mais je m'en fous … je suis sûr que Pierrot a compris mes goûts, et ça m'étonnerait qu'il me recommande à un éleveur de Yorkshires ou de caniches. La vache ! Ça m'étourdit … j'ai une espèce de grosse boule à la fois brûlante et voluptueuse au niveau du plexus, qui irradie tout mon corps de décharges d'adrénaline … parce que, même si j'ai déjà expérimenté l'accouplement, la saillie par des chiens, ce qui va m'arriver, c'est quand même un grand saut dans l'inconnu ! Je vais devenir … pour Pierrot et les éleveurs de son réseau, je vais devenir une … une sorte de "femelle-jouet" qu'ils vont … qu'ils vont offrir à leurs chiens … et ce que je ne sais pas, c'est … combien il y a d'éleveurs dans le réseau de Pierrot … quatre, cinq, dix ? Plus ? Et si ça fait comme avec les mecs, après, il y aura le bouche à oreille … Et ils élèvent quelles races de chiens, ces types ? Je ne sais rien de tout ça … ça pourrait m'inquiéter, et pourtant, je suis absolument déterminé à le faire … oui, je vais me livrer à ces types et à leurs chiens … pour qu'ils disposent de moi, pour qu'ils s'amusent … parce que, dans l'esprit de ces mecs, Pierrot et son copain, c'est ça, ils veulent que leurs chiens s'amusent avec moi … pour eux, je suis une … une "chienne publique" - comme on dit une "fille publique"-  pour que leurs molosses baisent pour autre chose que pour se reproduire ! Et surtout, ces mecs, c'est pour leur plaisir à eux, qu'ils veulent m'offrir à leurs chiens … ça va les exciter de regarder leurs protégés me grimper dessus et me saillir … quand je me suis fait grimper chez Jean-Claude, le Pierrot, il se tripotait en regardant ses deux mâles me couvrir !

 

Putain, c'est complètement dingue … mais j'adore ça ! Oui, c'est ça … je vais être … U-TI-LI-SÉ … je vais être utilisé par ces mecs et par leurs chiens pour … pour qu'ils s'amusent avec moi, qu'ils se distraient et se vident les couilles … les hommes autant que les chiens, d'ailleurs. Je suis maintenant considéré comme une "femelle-jouet", comme une "chienne publique", comme une "salope à chiens" … je me répète ça plusieurs fois pour bien m'en imprégner … et c'est une délectation … Et puis, je vois une autre dimension à tout ça … ce Pierrot, si fier des molosses qu'il élève, si fier qu'ils représentent les standards de leur race, si fier que leurs saillies soient recherchées, si fier de leurs performances de reproducteurs, si fier d'eux qu'il leur donne du "fils" à tout bout de champ … et bien, ce mec voit en moi non seulement une "femelle" suffisamment crédible pour qu'il veuille bien l'offrir à ses mâles, mis surtout une "femelle" digne de se faire couvrir et inséminer par eux ! Quelque chose me dit que je devrais trouver ça dégradant, humiliant, avilissant … mais pas du tout … bien au contraire, j'en éprouve une espèce de … de fierté, d'orgueil … ça flatte mon amour-propre … Il ne doit pas y avoir tellement de mecs dans mon genre que des éleveurs ont envie d'offrir à leurs chiens ! Des types ou des femmes qui se font grimper par leur propre animal de compagnie, c'est certain, ça existe … la preuve, ce que Pierrot vient de me raconter … mais ça doit rester dans le secret de leur intimité … mais quelqu'un comme moi, que des éleveurs de chiens peuvent mettre à la disposition de leurs protégés … Oh, je sais bien que pour beaucoup ce n'est qu'une dépravation, un avilissement, mais pour moi, pas du tout … c'est même … une sorte d'accomplissement … il y a déjà eu les hommes pour me considérer comme de la viande à bites, et maintenant, c'est les chiens … enfin, leurs maîtres … je suis … je suis une salope polyvalente, une salope inter-espèces … de la viande à bites universelle ! 

 

Et ça va même encore plus loin, puisque, non content de me faire couvrir par ses mâles reproducteurs, Pierrot a l'intention d'inviter du monde à assister au spectacle ! Des gens vont être témoins de mes accouplements avec des … avec des Danois, avec des Mastiffs, avec des Cané corso ! Des images se bousculent dans ma tête, mêlant le souvenir des saillies des dogues de Jean-Claude et des molosses de Pierrot, avec des divagations de nouveaux accouplements avec des chiens inconnus … j'imagine … j'imagine des types … des éleveurs … des éleveurs qui tiennent leur chien en laisse … UNE FILE d'éleveurs qui … qui font la queue en attendant leur tour pour m'offrir à l'animal qu'ils tiennent en laisse … 

 

Ah, putain ! Je jouiiiiiiiiis !

 

Mercredi 13 décembre. 10h00 

L'employé du cadastre vient de me remettre le résultat de ma recherche. Tout ce que mes parents ont acheté à Plouménez il y a plus de 15 ans, bâtiments et terres, est encore à leurs noms. C'est donc qu'ils n'ont pas revendu jusqu'à leur décès. Mais ensuite, tout ça aurait dû passer à mon nom au moment du règlement de leur succession. J'explique mon cas. L'employé et son chef, qu'il a appelé en renfort, ne comprennent pas. Mais ils ne peuvent rien faire: je n'ai aucun document justifiant de ma situation et, de toute façon, seul un notaire pourrait faire procéder aux corrections. Tout de même, le chef de service s'étonne que je n'aie jamais rien reçu concernant les taxes foncières, soit à mon nom, soit à celui de mes parents. Il me demande de patienter et va vérifier quelque chose. Du guichet où je suis, je le vois discuter avec une collègue puis téléphoner. Quand il revient, au bout d'un bon quart d'heure:

- Si ces biens ne sont pas passés à votre nom, c'est forcément que le notaire n'a pas fait son travail. Mais pour ce qui concerne la taxe foncière pour laquelle vous n'avez rien reçu, j'ai peut-être un explication. Ma collègue, là-bas, elle était déjà ici à l'époque où vos parents ont acheté à Plouménez. Elle croit se rappeler … il y avait eu un projet de création d'un centre d'enfouissement d'ordures pour la moitié du département, et une bonne partie de la commune devait être touchée. A l'époque, ça avait fait du bruit … manifestations, blocages de routes, fumier devant la préfecture … enfin, comme d'habitude quand il y a un problème ici. Bref, tous les terrains concernés ne valaient plus rien, ou presque … alors les propriétaires avaient été exonérés d'impôts fonciers en attendant d'être expropriés … et finalement, le projet a été abandonné … Mais, en principe, les biens exonérés auraient dû être de nouveau imposés … De toute façon, il faut voir avec votre notaire …

 

Le notaire, je ne le verrai que mardi prochain, le 19. Je regagne mon gite. Je vérifie mes mails. Pierrot ne m'a pas encore envoyé ses photos et ses vidéos. 

 

Bon, il faut que je m'occupe de meubler la maison. Il y a bien des magasins de meubles dans le coin, mais il n'ont pas l'air d'être très bien achalandés … et ils sont chers. Comme j'ai du temps, je décide d'aller explorer le magasin de meubles suédois qui se trouve à Brest ... une bonne centaine de kilomètres. C'est un peu loin, mais d'après leur catalogue en ligne, ils ont de tout, en tout cas de quoi meubler une maison de la cave au grenier … enfin, de la cuisine au bureau, en passant par les chambres et le reste … et puis, je n'ai que ça à faire.

 

Un vendeur, en me voyant tourner dans les différents espaces du magasin, me demande ce que je cherche. Quand je lui dis que je veux meubler intégralement une maison, électro-ménager compris, il m'emmène voir une commerciale. Nous passons en revue toutes les pièces de la maison et, au fur et à mesure, nous notons ce qui sera nécessaire. Dans ses yeux, je lis qu'elle tient la bonne affaire. Elle m'interroge sur mes goûts pour ce qui concerne les styles d'ameublement, les matières et les couleurs, et nous faisons  ensemble le tour du magasin. C'est beaucoup plus facile comme ça. Elle est de bon conseil, cette femme, et elle sait me vendre un peu plus que nécessaire sans trop me forcer la main. Ça va des lits, des penderies, des bibliothèques et des meubles de salle à manger jusqu'aux frigo, plaque à induction et lave-linge, en passant par les draps, les oreillers, les assiettes et les couverts … Une fois que nous avons trouvé mon bonheur pour toutes les pièces, elle demande au directeur du magasin de me recevoir. Il faut dire que l'addition est salée. A mon grand étonnement, non seulement le directeur m'offre spontanément une grosse remise sur l'ensemble de ma commande, mais il me propose aussi de me la livrer en totalité et de faire monter les meubles par son personnel. Evidemment, ça me va. Autrement, j'aurais dû louer un camion avec un gros volume et peut-être faire plusieurs voyages. Le seul petit inconvénient, c'est que, pour tout recevoir en même temps, je vais devoir patienter au moins deux semaines. Qu'à cela ne tienne. J'ai le temps.

 

Mercredi 13 décembre. 19h00

De retour au gite, je démarre mon ordinateur et je jette un coup d'œil à mes mails. Yes ! Cette fois, Pierrot m'a communiqué un code pour accéder à son Cloud. 

 

Je découvre d'abord quelques photos ! Oh putain ! Me voir … me voir, à poil, dans l'écurie de Jean-Claude … avec Falco, le Cané corso … enfin, pas tout à fait à poil … le peignoir de Jean-Claude ouvert en grand sur mon ventre, et le chien visiblement en train de me lécher les couilles et le cul … mais ça, c'était tout à la fin, après m'être fait saillir par les deux chiens, au moment de nous séparer … je n'avais pas remarqué que Pierrot nous prenait en photos à ce moment … Putain, le bestiau ! Quand je pense … quand je pense que ce … ce BESTIAU … que ce BESTIAU m'est monté dessus … et qu'il m'a … qu'il m'a sailli !

 

Et puis, il y a des vidéos ! Chronologiquement, Pierrot les avait faites avant les photos. Dès les premières secondes de la toute première vidéo, c'est le choc ! J'apparais, cette fois complètement à poil, et tirant sur la laisse de Gordo, le Mastiff … je l'entraîne vers le tapis au centre de l'écurie … Rhôôôôô putain ! Me voir … me voir comme ça, complètement nu, avec la bite à moitié en érection qui ballotte de droite à gauche … me voir qui entraîne ce molosse vers le tapis au milieu de l'écurie de Jean-Claude pour qu'il me … pour qu'il me saute … c'est … troublant … non … pas seulement troublant … c'est bien plus fort que ça: la scène a quelque chose de fantastique, d'extraordinaire, presque de fabuleux au sens propre ! Oui, cet énorme chien et moi, ce couple, quoi, me fait penser à une scène de la mythologie grecque … ça me rappelle je ne sais plus quelle reine de Crète dont les amours avec un taureau ont donné naissance au Minautore … ce n'est pas un taureau que j'entraîne vers ce tapis pour … pour du SEXE, non c'est un énorme molosse, mais comme cette reine et son taureau, cette scène évoque la bestialité …  

 

l'homme, la BÊTE ... le SEXE !

 

Les images qui défilent sont tellement fortes, que j'en oublie presque que l'homme que je contemple sur l'écran de mon ordinateur, c'est moi ! La dissemblance entre le molosse et moi est tellement … tellement énorme ! L'homme et la BÊTE … l'homme, nu comme un ver … tellement nu qu'il en paraît fragile, vulnérable, face à cette BÊTE … et la BÊTE velue, énorme, puissante, presque sauvage … inconsciemment, j'en occulte l'air bonasse de Gordo pour ne voir que son apparence brutale … et malgré ça, c'est l'homme qui entraîne la BÊTE … l'homme qui entraîne la BÊTE pour s'accoupler avec elle … sur ces images, l'intention de l'homme est évidente … l'homme est en érection, l'homme est excité, l'homme désire la BÊTE … l'homme veut que la BÊTE le possède … 

 

Il s'agirait simplement d'un maître, nu, qui s'apprêterait à promener son chien, l'image serait déjà troublante, mais là, cette scène suinte littéralement le … le … le rut … le coït … la fornication … le SEXE … le SEXE entre l'homme et la BÊTE ! Quiconque regarderait cette vidéo pour la première fois devinerait immédiatement ce qui va se passer, devinerait que l'homme et la BÊTE vont s'accoupler sur ce tapis … que l'homme et la BÊTE vont copuler … que l'homme va faire monter la BÊTE sur lui, que la BÊTE va saillir l'homme, que la BÊTE, va laisser son sexe gonfler dans les entrailles de l'homme, et qu'une fois l'homme et la BÊTE ainsi rivetés l'un à l'autre, l'un DANS l'autre, la BÊTE va posséder l'homme, la BÊTE va féconder l'homme …

 

Cette scène à deux personnages, Gordo et moi, serait déjà suffisamment explicite en elle-même, mais ce qui accentue son caractère fabuleux, c'est qu'en arrière-plan, on distingue, attachés à l'entrée des stalles de cette écurie, les quatre autres molosses que Pierrot a amenés … les deux dogues allemands, le Cané corso et un autre Mastiff ! La première idée qu'induit cette vision, c'est évidemment que l'homme ne va pas avoir une relation sexuelle seulement avec le molosse qu'il tient en laisse, mais qu'il va forniquer avec celui-ci ET avec les quatre autres ! Oh, évidemment, au moment où Pierrot a commencé à nous filmer, le Cané corso m'a déjà saillie, et après Gordo, les trois autres chiens ne me passeront pas dessus, mais tout de même, tout ça évoque véritablement le début d'une scène de … sabbat sexuel entre un homme et cinq chiens ! Cette vision me bouleverse … mon cœur bat la chamade et des bouffées de chaleur me parcourent de la tête aux pieds. Et je suis excité … je bande et je suis obligé d'extraire ma bite de mon pantalon où elle n'arrive pas à s'épanouir à son aise. Ce ne sont que des images, mais tout me revient … j'ai même l'impression de sentir l'odeur du chien, mêlée aux odeurs de cette écurie, la paille, le cheval, la crasse … et mêlée au parfum … au parfum de la semence de Falco, le Cané corso, qui venait tout juste de m'inséminer, et dont les écoulements souillaient encore le haut de mes cuisses.

 

C'est fou … j'ai vécu tout cela … j'en ai été l'acteur principal … j'ai désiré, j'ai voulu que ce chien introduise son sexe en moi … j'ai voulu sentir son knot brûlant gonfler dans mes chairs …  nous riveter l'un à l'autre m'a rempli de bonheur … le sentir répandre sa semence au fond de mon ventre m'a enivré … mais me voir … NOUS voir, le chien et moi, sur cet écran d'ordinateur, c'est absolument … INOUÏ ! Je suis pris d'un vertige. Pourtant, les premières images de cette première vidéo ne montrent finalement pas grand chose … un homme nu et un énorme chien … mais pour moi, c'est d'un érotisme terriblement excitant … cet homme nu qui va se donner à cette BÊTE … c'est à la fois moi et quelqu'un d'autre … sur l'écran de cet ordinateur, je les vois … je NOUS vois avec le regard d'un autre, avec, d'une certaine manière, le point de vue de Pierrot …

 

Et sur l'écran, me voilà qui m'assois sur le tapis … le chien me bouscule … le chien me donne de grands coups de langue sur la figure, sur le torse … le chien cherche à me grimper dessus … et je finis par m'effondrer complètement sur le dos … dans cette position, le chien paraît encore plus gros, encore plus impressionnant au-dessus de moi … l'homme sous la BÊTE … l'homme à la merci de la BÊTE ! Dans un mouvement du smartphone avec lequel Pierrot nous filme, on aperçoit ma bite … et on voit nettement que je bande … on voit que je bande et aussi que le chien commence à bander … l'extrémité effilée de son vit pointe déjà hors de son étui pénien … et aussitôt après, le smartphone capte sur mon visage une expression de stupeur à la découverte de ce sexe si étrange, si animal ! Le smartphone capte ma stupeur et surtout … une expression de fascination …

 

- Pierrot … ou Jean-Claude … tenez le chien, je vais …

 

C'est ma voix qui vient de résonner ! On aperçoit une main - la main de Jean-Claude - saisir la laisse du chien , et, toujours sur le dos, je me glisse précipitamment jusque sous le ventre de la BÊTE … 

 

Oh putain, la tête me tourne, devant mon ordinateur … je sais ce qui va se passer après … je vais … je vais sucer ce sexe qui se secoue au rythme du halètement du chien … je vais … je vais tailler une pipe à la BÊTE ! Pierrot a encore approché son smartphone et il me filme en gros plan … il me filme en train de contempler avec gourmandise ce ... ce sexe hors normes … je le contemple et je le touche, je le caresse … et, repoussant du bout des doigts son étui pénien, je décalotte un peu plus la BÊTE … le bout fuselé de son vit est rouge vif et luisant … une goutte translucide perle à son extrémité … fasciné, je caresse aussi ses testicules … ses testicules toutes rondes et couvertes d'un poil noir et luisant … je les prends délicatement dans ma main, et je les soupèse avec envie … 

 

Et là, je me souviens qu'à ce moment précis, toute ma pensée était concentrée sur ces testicules, et que je me disais " dans quelques minutes, les magnifiques couilles de mon mâle vont déverser leur semence au fond de mon ventre "… Oui, à ce moment, c'était devenu une évidence: Gordo était mon mâle et j'étais sa femelle !

 

Sur l'écran, je me vois me soulever un peu, m'appuyer sur un coude, approcher ma bouche … et prendre le sexe de Gordo entre mes lèvres ! Oh putain, les yeux rivés sur cet écran, un flot de salive m'inonde encore la bouche à ce souvenir ! Il était tellement doux entre mes lèvres, ce sexe, il était brûlant et il palpitait sur ma langue … je l'enfonçais lentement dans ma bouche en repoussant délicatement son étui pénien … Je me souviens que son extrémité était parvenue jusqu'au fond de ma gorge sans me provoquer le moindre haut le cœur ! Je me souviens que j'avais gardé longuement et sans bouger ce sexe entre ma langue et mon palais … je le sentais vibrer, je le sentais gonfler … c'est sûr, Gordo prenait beaucoup de plaisir dans ma bouche … et moi, je prenais autant de plaisir à sucer Gordo qu'il en prenait à se laisser sucer la bite … le chien avait commencé à éjaculer à petits jets et ma bouche, ma gorge, s'étaient peu à peu remplies, m'obligeant à déglutir à plusieurs reprises et à avaler sa semence … hhhmmmm … après que Falco ait répandu son sperme dans mon ventre, c'était maintenant Gordo qui envoyait sa semence au fond de mon estomac !

 

Sur la vidéo, je me vois commencer à faire aller et venir ma bouche sur la verge du chien … sa verge est luisante et entièrement sillonnée d'une multitude de minuscules vaisseaux sanguins … et l'objectif inquisiteur de Pierrot de se braquer soudainement sur mon ventre … il me filme parce qu'il a remarqué que je suis en train de me masturber … et son appareil capte nettement le sourd gémissement de plaisir qui remonte de mon ventre et gronde dans ma gorge … et son appareil capte aussi son propre ricanement teinté d'incrédulité … Oui, c'est vrai, je me souviens que sucer ce chien m'a fait gémir de plaisir … 

 

Et brusquement, je sors le sexe de Gordo de ma bouche et je l'observe … il a changé d'apparence … sous l'effet de mes caresses buccales, il a gonflé, il s'est allongé, et son extrémité n'est plus aussi effilée, plus aussi pointue que tout à l'heure … maintenant, elle se termine par une sorte d'à-plat, comme tranchée net, avec, en dessous, un méat sous la forme d'une espèce de minuscule appendice qui continue de crachoter du sperme à petits jets brûlants qui se répandent sur mon menton et sur mon torse … tout comme ce jour là, ce sexe que je venais de sucer, ce sexe que je m'apprêtais à accueillir au plus intime de mes chairs, même sur l'écran de mon ordi, ce sexe me paraît si terriblement étrange, si terriblement inhumain, si terriblement bestial, que j'en ressens encore à la fois une violente excitation et une sorte de fierté … oui, oubliant toute morale, oubliant toute dignité, faisant fi de l'aspect si bizarre de cet appareil génital, je vais me faire pénétrer et féconder par le sexe de cet animal ! 

 

Non, je ne VAIS pas …

 

JE ME SUIS FAIT PÉNÉTRER ET FÉCONDER PAR LE SEXE DE CET ANIMAL !

 

Et soudain, je remonte vers la tête du chien en rampant sur le dos, je m'accroche à son cou, je me hisse et j'enfouis mon visage dans sa fourrure ... le smartphone de Pierrot capte un sorte de bourdonnement étouffé … je parle au chien, mais on ne comprend pas ce que je lui dis … et le chien … le chien abaisse son arrière-train et l'agite frénétiquement d'avant en arrière … oui, il essaie de trouver … ma vulve ! Il essaie de trouver ma vulve pour y enfoncer son sexe ! Et je me vois … comme mû par un réflexe, toujours accroché au cou du chien, je me vois soulever mon bassin pour mettre ma vulve à portée de son sexe ! Mon geste est tellement spontané que ça ne peut être qu'un automatisme, une réaction instinctive à la tentative du chien de me pénétrer ! Je mesure l'ampleur de la métamorphose qui s'est opérée en moi … c'est à la fois une véritable inversion sexuelle qui m'a fait muter en femelle, et un retour à mon animalité primitive ! Ce que je vois sur mon écran d'ordinateur, ce n'est pas un homme se livrant par vice à une dépravation bestiale … non, ce que je vois, c'est une femelle dont le corps obéit à une pulsion irrépressible, une femelle qui se soumet à l'injonction vitale de s'accoupler pour se reproduire …  

 

C'est moi qui l'ai fait, c'est moi qui l'ai vécu, mais le voir comme ça, d'un point de vue extérieur, à travers l'objectif du smartphone de Pierrot, ça me rappelle que, tout au long de mes ébats avec ce chien, deux hommes m'observaient … oui, sous leurs yeux, j'ai cédé sans retenue et sans pudeur à mes pulsions les plus amorales, les plus bestiales, je me suis abandonné fébrilement à l'ivresse de cette relation sexuelle contre-nature … j'ai laissé ces deux types me regarder sucer avec gourmandise le sexe du molosse, ils m'ont entendu gémir de plaisir, ils m'ont vu tendre mon entrejambe vers son vit … et non seulement leur présence ne m'a ni gêné ni inhibé, mais je l'ai voulue, je l'ai souhaitée, j'en avais besoin … j'avais besoin que ces types me voient forniquer avec le molosse … ces types ou d'autres, d'ailleurs. Les circonstances ont fait que c'est ces deux-là qui étaient là, mais ça aurait pu être n'importe qui … j'avais besoin que quelqu'un assiste à mon accouplement avec ce chien … Evidemment, je me serais donné de la même manière à ce chien sans la présence de ces deux types, mais là, des témoins ont assisté à cette saillie … des témoins ont vu le chien me monter dessus, des témoins l'ont vu enfoncer son sexe dans mon anus, ils l'ont vu se verrouiller en moi, ils l'ont vu m'inséminer … ils ont assisté à une saillie complète, parfaite, jusqu'à la fécondation, comme si j'étais une vraie chienne ! Et pour moi, le faire sous leurs yeux a été une volupté supplémentaire.

 

Voilà, ces deux hommes l'ont vu … ils pourront témoigner et dire "il l'a fait, il s'est vraiment fait couvrir par le Mastiff ! ". Et aujourd'hui encore, je suis heureux que Jean-Claude et Pierrot aient été là. Oh bien sûr, ils pourraient me dénoncer, ils pourraient se servir contre moi de ce qu'ils ont vu … d'autant que tous les deux nous ont filmés, les chiens et moi … ils en détiennent la preuve … mais ça ne m'inquiète pas le moins du monde, au contraire … ils peuvent même le raconter … d'ailleurs, c'est ce qu'avait fait Jean-Claude en racontant à Pierrot comment ses dogues allemands avaient été déniaisés … et c'est ce qu'a fait Pierrot en recrutant pour moi le chien de son copain éleveur … 

 

Pendant que je me livrais à ces réflexions, cette première vidéo a défilé jusqu'au bout et, machinalement, j'ai commencé à visionner la suivante … Apparemment, Pierrot ne nous avait pas filmés en continu. Il manque quelques secondes ou quelques minutes de cette séance. Dès le début de la deuxième vidéo, on me voit déjà allongé sur le dos, sur les espèces de poufs que Jean-Claude avait glissés sous moi … j'ai les jambes relevées, les cuisses repliées sur mon ventre, et le molosse est couché sur moi … nous sommes fac à face, dans la position du missionnaire … Je ne sais pas si c'est dû à notre position ou à la manière de nous filmer, mais le molosse paraît encore plus massif comme ça … il paraît même plus gros que moi … et il agite encore son bassin à la recherche de ma vulve … 

 

- Pierrot ! Aide-le, il ne trouve pas l'entrée de ma vulve ! Guide sa bite !

 

C'est encore ma voix qui vient de résonner ! Et aussitôt, la vidéo s'interrompt. Pierrot a arrêté de filmer pour aider son chien à me pénétrer. Quand il se remet à nous filmer, c'est en gros plan, et de côté, juste au niveau du ventre de son chien et de mon cul … on devine mes chevilles croisées sur le dos de la bête … oui, le maître a voulu filmer l'introduction du sexe de son protégé dans … dans moi … le molosse agite frénétiquement son bassin et … Oh putain, l'image est tellement … c'est très fugace, mais chaque fois que le chien recule son bassin, pendant une fraction de seconde, on aperçoit nettement sa verge … on aperçoit sa verge qui glisse hors de mon cul pour y rentrer aussitôt … Putain, oui, cette fois, le chien est bel et bien … DANS MOI ! SON SEXE EST EN MOI ! 

 

- Ça y est ! Il est dedans, là … Tu le sens ?

 

Cette fois, c'est la voix de Jean-Claude qu'on a entendue. Et dans un mouvement du smartphone de Pierrot, on aperçoit la main du fermier qui soulève la queue du chien pour regarder.

 

- Oui …

 

Encore ma voix … puis de nouveau celle de Jean-Claude, inquiète:

- Oh, putain … mais j'suis pas sûr qu'il va pouvoir te rentrer son … son machin, là … tu sais, le gros truc … la position est pas terrible.

 

Pierrot filme toujours et entre deux coups de reins de son chien, on voit nettement que, peu à peu, la verge du Mastiff grossit … sa verge luisante et toute veinée de rouge, comme une chair à vif, gonfle en moi … le molosse a senti que son sexe est dans la tiédeur humide de mes entrailles, et un réflexe atavique fait maintenant grossir son membre, un instinct commande à son corps de se verrouiller en moi pour assurer ma fécondation. Et je me rappelle en effet qu'à ce moment, mon corps à moi et mon esprit totalement concentrés sur ce qui était en train de m'arriver, j'avais nettement senti le sexe du chien grossir en moi ... Quelle volupté ça avait été ! Ce chien, ce mâle réagissait avec moi comme si j'étais vraiment une chienne ! Alors j'avais su ! J'avais su que, comme avec le Cané corso juste avant, cette deuxième saillie irait jusqu'au bout … ce chien allait, lui aussi, nous riveter l'un à l'autre … et ce chien allait, lui aussi, confier sa semence à la chaleur de mon ventre ! Puuuuutain ! Cette image que j'ai sous les yeux ! Devant mon écran d'ordinateur, je vois le chien me saillir ! Je vois son sexe aller et venir dans mon anus ! Je vois son sexe si bizarre qui va et vient DANS moi ! J'imagine son extrémité, tellement étrange, qui repousse mes chairs, qui se frotte et s'excite au contact soyeux de mes muqueuses … et là, devant mon ordinateur, j'en ai la souffle coupé, le cœur qui accélère, les oreilles qui bourdonnent … et je bande si fort que c'est presque douloureux !

 

- Dis … je … je crois que son … bulbe … commence à gonfler … mais … il est pas dedans, son bulbe …

 

Cette fois, c'est la voix de Pierrot qui vient de résonner. Puis celle de Jean-Claude qui insiste:

- Ouais, il a raison. J'te l'avais dit … il pourra pas y arriver, comme ça … si tu veux qu'il te le foute dans le cul, son … son bulbe, tu devrais changer de position …

- …

- Dis, Marin, t'entends ? Une fois que son … que son bulbe sera gonflé en dehors de ton cul, ce sera foutu … il pourra plus te le foutre dans le cul …

- OK, je change. Tenez-le !

 

Fin de la deuxième vidéo. Pierrot a arrêté son smartphone pour tenir son molosse.

 

Quand la vidéo suivante commence, un plan large me montre maintenant à quatre pattes sur le tapis, cuisses écartées et reins cambrés … Oh putain, cette position ! Je fais vraiment … c'est vraiment la femelle qui cherche la meilleure position pour se faire prendre à fond ! Et Gordo est sur moi … il m'agrippe par les hanches avec ses pattes antérieures, et il agite frénétiquement son bassin d'avant en arrière … Là, au moment où cette vidéo commence, je suis sûr que son sexe a déjà retrouvé le chemin de ma vulve … il est EN moi ! Et un mouvement du smartphone de Pierrot me le confirme. L'éleveur s'est rapproché de l'arrière-train de son chien en même temps qu'il abaissait son appareil presque au ras du sol, et … et il filme … il filme notre coït en gros plan ! 

 

Juste avant, pendant une fraction de seconde, dans un mouvement de l'objectif, j'ai eu le temps d'apercevoir une main, sans doute encore celle de Jean-Claude, qui soulève la queue du chien pour dégager la vue ! Vraiment, rien n'arrêtait ces mecs pour parvenir à leurs fins et pouvoir mater notre coït à loisir … Pierrot avait déjà fait ça quand j'étais collé cul contre cul avec son autre chien, Falco … une fois le knot du Cané corso gonflé dans mon cul, une fois qu'il s'était senti solidement verrouillé en moi, le chien s'était retourné, comme il aurait fait avec une femelle de sa race … et son maître s'était installé au-dessus de moi, une jambe de part et d'autre de mes hanches, il avait soulevé la queue de son chien, et sans aucune gêne, il avait examiné et commenté notre coït ! Et bien, ça me plaît beaucoup que ces mecs se soient permis de nous examiner de cette manière … comme des … comme des chercheurs étudiant la reproduction des insectes … ils ne se sont pas plus sentis tenus de me demander la permission qu'à une mouche en train de copuler sous un microscope … Ça me plaît d'autant plus que moi aussi je peux maintenant contempler mon accouplement avec le chien en détail.

 

Et ce que je contemple maintenant sur mon ordinateur, c'est … au premier plan, les couilles velues e luisantes du chien … ses couilles qui ballottent légèrement à chaque coup de reins …  et au-delà de ses couilles … on aperçoit … on aperçoit, dépassant de son étui pénien poilu et complètement replié sur lui-même .. on aperçoit sa verge qui va et vient à toute vitesse dans mon anus ! Oh putain ! Le faire, le vivre, c'est une chose, mais le voir ! La tête me tourne ! Je vois le molosse en train de me saillir ! Je vois le molosse en train de m'enculer ! Comme dans la vidéo précédente, quand Pierrot nous filmait de côté, j'aperçois la verge humide du chien entrer et sortir de mon anus … c'est extrêmement fugace, tellement le chien va et vient rapidement, mais c'est très net … mon sphincter semble parfaitement lubrifié par les semences que m'ont injectées les deux chiens, et Gordo glisse en moi sans aucune difficulté … le molosse m'encule frénétiquement, mais à aucun moment son vit ne sort complètement de mon anus … en mâle reproducteur expérimenté, il sait parfaitement doser l'ampleur de son mouvement pour rester constamment en moi ! 

 

- Ouaiiiiiis, cette fois, ça va être bon comme ça …

- Ouais, il va pouvoir lui rentrer son gros truc …

 

Le smartphone de Pierrot a encore capté les commentaires des deux mecs qui nous regardent copuler, le chien et moi.

 

Et en effet, j'ai l'impression que … oui, c'est sûr … la partie de la verge du chien qu'on aperçoit allant et venant dans mon cul … elle est … elle est de plus en plus grosse … elle ouvre de plus en plus ma rondelle quand le chien recule son bassin ! Son bulbe érectile est en train de gonfler dans mon cul ! Il va … il va se verrouiller en moi ! Et là encore, l'avoir vécu, avoir senti le knot du chien se dilater dans mon anus, ça a vraiment été une sensation inouïe, mais le voir … assister de visu à cet événement … voir cette ... cette bizarrerie, ce prodige  se produire EN moi, c'est époustouflant ! Non seulement tout ce que j'ai ressenti dans mes chairs me revient en mémoire … cette chose énorme, brûlante, vivante, qui vibrait dans mon cul et jusque dans mon ventre ... cette présence imposante, obsédante dans mon intimité … non seulement tout me revient, mais maintenant, je vois la scène se produire d'un point de vue extérieur …

 

Et cette fois encore une réaction atavique commande au chien de ralentir son va et vient … jusqu'à l'arrêter complètement … Toujours agrippé à mes hanches, il sautille d'une patte arrière sur l'autre … Pierrot se recule … nous filme en plan large … et on me voit ... SOUS le chien ... SOUS le chien qui est en train de me ... de me COUVRIR, de me POSSÉDER … reins cambrés comme jamais, croupe offerte à ce coït de plus en plus bestial, la tête rejetée en arrière, la nuque cassée ... les yeux fermés, je gémis … un petit gémissement aigu, comme une plainte … c'est un gémissement de volupté, comme celui de la chatte qui feule sous le matou qui la couvre … Oh putain, quelle image ! C'est l'image de la jouissance, c'est l'image de l'extase ! C'est l'image de la femelle comblée ! Visiblement, je savoure sans pudeur et sans retenue cet accouplement contre nature et hors normes ! Oh, Pierrot, merci de m'avoir filmé à ce moment ! C'est tellement cru ... c'est tellement bestial ... tellement impudique ... tellement immoral ... tellement illicite et tabou … et c'est pourtant tellement beau, cette fusion la plus intime qu'on puisse imaginer entre deux corps … 

 

- Rhôôô, putain ! Vous avez vu, Jean- Claude ? Ça y est, ils sont collés ! Rhôôô, puuutaiiiiiiiin !

 

à suivre ... 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 19 septembre 2018 3 19 /09 /Sep /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.


Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

       

Yolaine  me suit dans la cuisine et, pendant que je prépare des cafés, elle enchaîne:

- Tu sais, c'est Christine qui m'a ramenée …

- Ah bon ?

- Oui. Je lui ai demandé si elle voulait te parler, mais elle préférait pas … 

- Ah bon.

- Oui. Elle et moi, on a beaucoup parlé, cette nuit. Quand … quand ça a été fini, avec les mecs, on a mangé, tous ensemble … avec presque tous les mecs. Lionel et Caro avaient prévu pour tout le monde … Oui, donc, on a parlé, avec Christine. Elle voulait … elle voulait savoir … pour toi … ben oui, tu sais, parmi les mecs qui étaient là, il y en avait deux qui … qui t'avaient … qui t'avaient baisé …

- Ah oui, Francis …

- Oui, Francis, et un autre, aussi … je sais pas son nom. Tu penses, quand ils ont su que Christine et toi vous aviez été mariés, ça les a … ça les a fait marrer, quoi … ils avaient baisé le mari et la femme ! Et forcément, ils s'en sont vantés devant Christine … ils lui ont raconté quand … quand toi t'étais venu te faire sauter dans cet hôtel … alors elle m'a posé plein de questions … 

- Et tu lui as raconté …

- Ben oui. Tu sais, les autres lui avaient déjà dit l'essentiel … Lionel aussi … il lui a dit comment il a fait ta connaissance … et grâce à qui … Et puis, tu sais … d'après plusieurs types qui étaient là, apparemment, tu es connu dans les milieux … disons libertins … tu le savais ?

- Ben non … enfin … je sais qu'un certain nombre de mecs me connaissent … ceux qui m'ont … ceux qui m'ont déjà baisé …

- Oui, d'accord, mais pas seulement ceux-là … enfin … ceux qui ne te connaissent pas personnellement ne savent pas exactement que c'est toi, ni ton nom, mais ils ont entendu parler d'un mec qui se fait sauter par tout le monde … il y aurait même une vidéo de ta tournante qui circulerait … 

- Ah bon ?

- T'étais pas au courant ? Pour la vidéo ?

- Euh, non, mais ça m'étonne pas …

 

Oui, c'est sûrement l'autre, là, celui qui a fait le montage et qui a flouté ma tronche sur les vidéos … il a dû faire circuler le montage … ou alors ceux des participants à mon gangbang à qui il en a donné une copie. Il fallait s'y attendre. Et dans le fond, maintenant, je m'en fous … Yolaine poursuit:

- Bref, Christine avait entendu parler de toi mais sans savoir que c'était toi …

- Ah bon ?

- Oui … tu sais, des mecs qui se font sauter à la chaine, comme toi, ça court pas les rues, alors ça fait parler … surtout dans ce milieu … tu vois, les libertins, les partouzeurs …

- Bon. Et Christine, elle en dit quoi ?

- Bah … pas grand chose … enfin, à moi, elle a pas dit grand chose à ce sujet … ça l'a étonnée d'apprendre que c'était toi, le mec en question, mais elle a pas fait vraiment de commentaires … enfin, dans le genre approuver ou désapprouver, tu vois ? Elle a seulement demandé si tu faisais attention …

- Attention ?

- Oui, pour pas te choper une saloperie … 

- Et tu lui as dis quoi ?

- Ben … que tu faisais pas spécialement attention … c'est vrai, non ? Tu te fais baiser sans capote par n'importe qui sans te demander si les mecs pourraient pas avoir … le SIDA, par exemple …

- Et alors ?

- Elle dit que tu devrais consulter un spécialiste pour qu'il te donne ce qu'il faut .

- C'est-à-dire …

- Il y a un produit, d'après elle … elle m'a dit le nom, mais j'ai oublié … ça ferait disparaître presque entièrement le virus quand on l'a et …

- Le virus ?

- Oui, le virus du SIDA … et ça empêcherait qu'on le refile à quelqu'un d'autre … Et quand on l'a pas, ça empêcherait qu'on l'attrape, même en se faisant baiser par quelqu'un qui l'a …

- Ah bon ? Mais, comment elle est au courant de ça ?

- Ben … elle le prend, ce traitement … elle m'a pas dit clairement si elle l'a chopé, le SIDA, mais j'ai l'impression que oui … tu sais, à force de se faire baiser par tout le monde et n'importe qui comme toi, sans capote, ça serait pas étonnant qu'elle ait fini par tomber sur un mec malade … Enfin, de toute façon, comme ça, elle est sûre de pas l'attraper et elle est sûre de contaminer personne … Elle m'a conseillé d'aller voir le toubib qui lui a prescrit ce traitement et elle dit que tu devrais y aller aussi … il donne le traitement à ceux qui baisent comme vous, sans capote … moi, je vais aller le voir … j'ai ses coordonnées … je te les donnerai, si tu veux …

- D'accord. Et alors, vous avez parlé jusqu'à maintenant, avec elle ?

- Non. On a aussi dormi un peu. Lionel nous avait laissé une chambre …

- Bon … alors toi, t'es contente de ta soirée …

- De ma soirée et de ma nuit. Oh oui, je suis contente. Tu sais, ce que j'ai préféré, c'est quand les mecs m'ont prise à la chaîne sur une table … je rêvais de ça depuis que j'ai vu ton grand noir te prendre sur la table, dans ton jardin … et ensuite quand j'ai vu ta vidéo où tu te fais baiser à la chaîne sur un table dans cette ferme, là … 

- Ah oui, et donc, ils t'ont baisée sur une table ?

- Oui. Un d'eux m'avait fait installer sur le dos sur une table du restaurant, et il m'a prise comme ça … tu sais, toi aussi tu m'avais baisée comme ça, dans la sacristie … le mec, je le regardais pendant qu'il me fourrait … je … je voyais ses expressions pendant qu'il prenait du plaisir, avec ses grosses mains qui me serraient les hanches … c'était … oh la laaa ..

- Oui, je connais. Moi aussi j'aime beaucoup me faire baiser comme ça …

- Et tu sais, d'autres mecs se sont regroupés autour de nous, pour regarder … je sais pas, sept ou huit … ça aussi, c'était super … tous ces types qui nous regardaient pendant qu'il me baisait … et je me doutais bien que, quand celui-là aurait fini, certains d'entre eux voudraient prendre sa place et me baiser aussi comme ça … Il a joui, le mec ! Dans une capote, mais j'ai vu sa tête quand il a joui. Ça m'a fait un effet terrible ! Le voir fermer les yeux et serrer les dents et sentir qu'il déchargeait     dans … dans ma chatte … ouaaahhh ! Et quand il s'est retiré, il y a eu comme une bousculade pour prendre la suite … Oh la la, la sensation, quand on voit des types faire la queue pour te baiser ! 

- Ils t'ont tous baisée là ? Les sept ou huit ?

- Ouais. Je les ai regardés, les uns après les autres … tous différents … ils baisent tous chacun à sa façon … plus ou moins vite, ça a duré plus ou moins longtemps, certains ont été … tendres … certains m'ont caressée … certains m'ont masturbée … d'autres ont été plus … brutaux … y'en a qui me parlaient, pendant qu'ils me baisaient … y'en a qui m'ont traitée de salope, de pute, de chienne … même ça, ça m'a plu … putain, c'était bieeeeeeen !

- Et ils t'ont tous baisée … ils ont tous joui ?

- Oui … ça, c'était à la fin … Y'en a qui avaient déjà tiré un coup, mais ils ont recommencé … alors certains ont joui dans une capote, comme le premier … mais les autres … les autres, ils ont joui dans ma chatte … quatre, je crois … j'avais ... j'avais le sperme de quatre types ... dans mon ventre ! Ça fait un effet ... c'est ... ouaaaahhh !

- Je connais ... moi aussi, ça me fait ça ...

 

Elle semble réfléchir, puis:

- Tu sais … entre Christine, l'autre femme et moi, je suis sûr qu'ils ont tous joui deux fois, ces mecs … on était trois grosses salopes à la disposition de tous les types qui étaient là, et c'était … waouuuuuhhh ! Au début, je me suis demandé si je me laisserais baiser par tous ceux qui étaient là …  j'avais un peu peur que certains me plaisent pas, qu'ils soient moches, ou crades, ou … je sais pas … que certains me dégoûtent, tu vois ? Et puis, dès que ça a commencé, je m'en suis foutue … pourtant, dans le lot, y'en avait qu'étaient vraiment pas terribles … un obèse … deux plutôt vieux et un autre vraiment très moche … des mecs avec qui j'aurais pas envie de sortir … et ben, me faire baiser par ceux-là, c'était aussi bien qu'avec les autres … d'un seul coup, ce qui comptait pour moi, c'était qu'ils bandent pour moi, qu'ils aient envie de me sauter …

 

Oui, je connais ça. Moi aussi, au début, je fantasmais surtout sur les beaux mecs bien montés … et puis, petit à petit … Elle ne me laisse pas le temps de commenter. On dirait qu'elle a besoin de débriefer sa nuit et le flot continue:

- Je me suis sentie tellement … tellement … salope … non, en fait, je me suis sentie vraiment FEMELLE … oui, c'est plutôt ça, pas seulement femme … FEMELLE … comme une femelle, je sais pas … une femelle chien … une chienne, je veux dire … oui, c'est ça, une femelle ANIMALE … avec des MÂLES animaux … c'est la première fois que je ressens ça … l'envie … non, le BESOIN de baiser avec tous les mâles qui sont là, les laisser tous me prendre, comme ferait une chienne en chaleurs … et surtout, les laisser me baiser devant les autres … ça ne me gênait pas de me faire … de me faire baiser comme ça devant tout le monde … moi qui était tellement coincée, avant … je … tu sais, mon mari, il m'a jamais vue complètement à poil … je trouvais ça tellement … impudique, de me montrer nue, même devant lui … et là, que les autres, des hommes que je ne connais même pas, me regardent pendant que l'un d'eux me … me fourre, c'était encore plus excitant … comme si … comme si y'avait plus de … plus de barrières, plus de morale … seulement nos envies, nos pulsions … c'était bizarre, mais j'ai adoré ça … merci, Marin …

 

Elle s'est approchée, elle m'enlace et elle m'embrasse sur la joue. Et au lieu de s'écarter, elle reste collée à moi, ses bras toujours sur mes épaules. Je sens son souffle dans mon cou. Elle semble encore réfléchir un moment, puis, la voilà qui descend son bras droit le long de mon torse, puis de mon ventre, et elle glisse sa main dans mon pantalon de pyjama … elle a déjà ma bite entre ses doigts … mais je n'ai vraiment pas envie de ça, alors je la repousse:

- Non. Laisse-moi. J'ai pas la tête à ça …

 

Surprise, elle n'insiste pas et ôte sa main … mais elle me souffle à l'oreille:

- Bon, comme tu veux. Mais moi, maintenant, j'aime tellement ça, la bite ! Sans toi, si tu m'avais pas … si tu m'avais pas … forcée, la première fois … j'aurais pas connu ça … 

- Je t'ai forcée ?

- Oui … un peu quand même … tu te rappelles pas ?

 

Elle s'écarte un peu de moi, plante ses yeux dans les miens, et:

- Je te fais pas bander, apparemment … tu préfères que je te suce ?

- Non. Je t'ai dit, j'ai pas la tête à ça.

- Ah bon ! Bon. Dis, tu accepterais de la revoir, Christine ?

- Je … je sais pas … C'est elle qui t'a demandé de …

- Non, non … enfin, elle n'a pas demandé, mais j'ai senti qu'elle …  qu'elle en a envie … il me semble, du moins … En tout cas, nous, on va se revoir … Christine et moi, je veux dire … chez Lionel et Caro, déjà… une fois par mois … mais elle a parlé de m'emmener ailleurs …

- Au Huitième Ciel ?

- Au Huitième Ciel ? C'est quoi, ça ?

- C'est un club libertin qu'elle fréquentait à l'époque où ça s'est dégradé entre nous … Elle s'y est fait gangbanguer, comme tu dis.

- Un club libertin ? Peut-être … elle ne m'a pas dit. Bon, de toute façon, on en reparlera. Tu réfléchis et tu me diras … pour la revoir … elle m'a laissé ses coordonnées.

 

Elle semble encore réfléchir, et avec un grand sourire:

- Dis … tu imagines ? Si on allait tous les trois se faire baiser en même temps … hein ? Ça te dirait ?

- Je … je sais pas … enfin, avec Christine, ça m'étonnerait …

- Ah bon ? Pourquoi ? Puisque vous le faites chacun de votre côté, ça pourrait être bien de le faire ensemble … tu crois pas ?

- Non, je crois pas …

- Bon … on verra … Là, je vais aller prendre un bain et dormir … A plus …

- A plus.

 

Elle m'embrasse encore et s'en va.

 

Je me sens … je suis dans le même état qu'un lendemain de fiesta … comme si j'avais beaucoup picolé hier soir. Pourtant, je n'ai rien bu. Ça doit être à cause de la mauvaise nuit que je viens de passer. J'ai la tronche qui bourdonne, je sens que j'ai les yeux gonflés et j'ai à moitié envie de dégueuler. Je prends une douche en espérant que ça ira mieux, mais ça ne change pas grand chose et je traîne toute la matinée. Les souvenirs continuent de revenir, mais ce n'est plus le flot impétueux de cette nuit. 

 

Et avec les souvenirs en rapport avec Christine, des interrogations sur mon propre compte. Je me suis engagé sur le même chemin qu'elle … ou à peu de choses près … est-ce que je ne vais pas finir comme elle ? Usé, fatigué, décrépi, réduit à me faire grimper par … par … par tous les paumés qui voudront me sauter faute de mieux … Parce que, ce que j'ai vu de Christine hier soir, c'est bel et bien ça: elle qui était encore si sexy, si appétissante, si bandante il y a encore quelques années, maintenant, elle est pâle, fripée, flétrie, avec des poches sous les yeux, avec le cheveu terne, avec un regard de junky … Est-ce qu'elle ne se piquerait pas ? Et pas seulement à coups de shoots de sperme … 

 

Putain, d'un seul coup, une vague d'angoisse me submerge. Jusqu'ici, même si, incontestablement, je suis un peu devenu accro à la bite et au foutre, même si je suis devenu incapable de résister à la vue d'une queue, il me semble quand même que j'ai réussi à garder presque totalement la maîtrise de … de mon cul … je … c'est par choix que je me donne à des mecs … enfin, il me semble … et même quand des mecs m'ont … m'ont offert à d'autres mecs, c'était avec … d'une certaine manière, c'était avec mon consentement … oui, quand Denis m'a emmené dans ce bar, chez Jeannot, pour m'offrir aux types qui étaient là, je me doutais bien de ce qui m'attendait, il m'amenait là pour que ces types me baisent … et ça me plaisait, et j'en avais envie … et même quand Jacky a débarqué à la maison avec ses potes pour me sauter, j'ai préféré me laisser baiser plutôt que de subir les conséquences d'un refus … j'aurais très bien pu refuser de les laisser entrer chez moi et en assumer les conséquences, j'aurais très bien pu refuser de les laisser me prendre l'un après l'autre et laisser Jacky mettre ses menaces, son chantage à exécution … mais au fond, ça me flattait, j'étais fier que ce mec ait eu encore envie de me fourrer sa grosse bite dans le cul et qu'en plus, il m'offre aux potes qu'il avait amenés avec lui. 

 

Oui, j'aime la bite, j'aime me faire baiser, mais au final, je ne me fais baiser que si je veux … et seulement par qui je veux … Et brutalement, en formulant ça, je réalise que c'est un peu ce que disent tous ceux qui sont addicts ne serait-ce qu'à la cigarette … "j'arrête quand je veux" …  en fait, même en étant conscients qu'ils nuisent à leur santé, la plupart sont incapables de s'arrêter … ben, on dirait bien que je suis pareil … merde !

 

Ouais, alors il faudrait tout de même que je fasse attention. Je ne veux pas finir comme Christine et je dois … je dois penser à moi, à ma santé, à mon avenir … il faudrait que je sois plus … prudent … plus sélectif, peut-être … que je réduise le nombre de mecs que je laisse me baiser, mais que je privilégie la qualité … Du coup, je me mets à passer en revue à la fois les mecs qui m'ont sauté et les circonstances … A quels mecs j'aurais peut-être dû dire non ? A quelles occasions j'ai manqué de discernement ? Les paumés à moitié clodos dans ce pavillon minable ? Non, je suis sûr que, jusque là, ces cinq types ne connaissaient pratiquement que la branlette, alors, à ma façon, j'ai fait œuvre charitable en les laissant me sauter … Mon gangbang géant dans la ferme de Jean-Claude ? Alors là, NON, sûrement pas ! Ça, c'était … justement, c'était tellement géant ! Qui peut avoir connu ça ? Etre l'objet … l'unique objet, l'unique jouet sexuel d'une trentaine de mâles en rut ! Des femmes bien salopes ont sans doute connu ce genre de séance, et encore, des hardeuses, des professionnelles du porno … mais des mecs, des non professionnels, comme moi … non, ça, c'était une occasion vraiment unique et il n'était pas envisageable que je la manque … En fait, tel que les choses se sont toujours passées avec les mecs, seuls ou en groupe, je ne vois pas vraiment ceux que j'aurais pu ou dû éviter …. 

 

Alors les chiens, peut-être … peut-être je n'aurais pas dû me faire … me faire saillir par des chiens … d'abord les deux dogues allemands de Jean-Claude … et ensuite le Cane Corso et le Masfiff de cet éleveur, de ce Pierrot … ces quatre molosses qui m'ont … oui, qui m'ont couverte ! Il n'y a pas de meilleure façon de le dire: ces chiens m'ont VRAIMENT COUVERTE ! Déjà, quand je pense à ce qui s'est passé entre ces chiens et moi, spontanément, c'est le féminin qui me vient pour parler de moi … le féminin et aussi cette expression … COUVERTE ! Parce qu'il n'y a pas d'autre mot … ces quatre molosses m'ont bel et bien COUVERTE ! "Couvrir", c'est une expression en principe réservée aux chiennes, mais c'est celle qui me paraît la plus appropriée. Tout simplement parce que, encore aujourd'hui, telles que les choses se sont passées, j'ai bel et bien été la femelle de ces quatre molosses … successivement la femelle des quatre, quand ils m'ont saillie.

 

Oh putain, chaque fois que je repense à ces accouplements, je suis submergé par des bouffées d'émotion ! Leur souvenir me bouleverse beaucoup plus celui de mes multiples coïts avec des hommes, dont certains, pourtant … Sur le coup, dans le feu de l'action, je n'avais pas saisi tout ce que ces coïts avec des animaux impliquaient. Je n'ai vraiment réalisé qu'un peu plus tard, en analysant, en cherchant à comprendre ce qui nous avait conduits à faire ça, les chiens et moi … Avec ces molosses, d'un certain point de vue, ça avait été à la fois tellement la même chose qu'avec des hommes, et en même temps tellement différent … tellement … bestial … tellement brut … pas brut dans le sens de violent, non, brut dans le sens de primaire, comme … comme une réaction instinctive et incoercible à un besoin primaire, à un besoin vital qui nous dépassait… ces chiens et moi, nous avons été confrontés, soumis à … à une nécessité impérieuse, irrépressible … pour les bêtes, la nécessité impérieuse de se reproduire … et pour moi, le besoin … le besoin irrépressible de me sentir perçue comme une femelle par ces mâles-là … me sentir perçue comme une femelle que ces mâles pouvaient saillir et féconder… oui, c'est ça, me sentir perçue par ces mâles-là comme une femelle, même si ils n'étaient pas de la même espèce que moi … j'avais besoin qu'en dépit de mon apparence, radicalement différente des femelles de leur race, ces chiens me voient quand même comme une femelle suffisamment plausible pour qu'ils la convoitent sexuellement. Pourquoi un tel besoin ? Je suis bien incapable de l'expliquer … ce besoin était là, c'est tout, obsédant, intense, irrésistible, au plus profond de moi … et si ces accouplements sont considérés comme "contre-nature" par la socité, moi, je les vois au contraire comme "naturels" ... parce que c'est la Nature qui nous a poussés à nous accoupler, les chiens et moi ... 

 

Pour certains mâles de mon espèce qui me sautent, à leur comportement, je sens sans ambiguïté que c'est quelqu'un du même sexe qu'eux qu'ils baisent, une tapette, une tarlouze, une tafiolle, et ça participe à leur plaisir …  avec d'autres hommes, il m'arrive de me sentir femelle … mais même si ceux-là me traitent effectivement comme une femelle, il subsiste toujours une espèce d'ambiguïté … ils restent conscients qu'ils se tapent un garçon … qu'en fait c'est une relation homosexuelle qu'ils ont avec moi, qu'ils l'assument ou non … et ça se sent toujours … plus ou moins. Les chiens, non. Les chiens ignorent l'homosexualité. Les chiens ne se tapent pas un garçon, ou un homme. Les chiens couvrent une femelle … toujours … Les chiens couvrent une femelle pour lui faire des petits … Pour les chiens, pas de vice, pas de débauche, pas de luxure … Seulement l'innocence … oui, c'est ça, les quatre molosses m'ont couverte en toute innocence !

 

Et bien moi aussi, d'une certaine manière, c'est en toute innocence que je me suis donnée à ces quatre molosses et que je me suis laissée saillir et féconder … quatre molosses … MES quatre molosses … mes quatre mâles … mes quatre … mes quatre amants … Oui, mes quatre extraordinaires amants ! Quatre mâles magnifiques … des mâles représentant les standards de leurs races respectives, si j'en crois leur éleveur … mais plus que ça, des mâles beaux et musclés, dégageant une telle impression de force, de puissance … quatre mâles énormes, et surtout dotés d'appareils génitaux énormes, même au repos ! Oh bien sûr, je sais pertinemment que pour la société, copuler avec des chiens, c'est une déviance, une perversion … je sais bien que se faire saillir par un animal c'est braver un interdit, c'est transgresser un tabou … mais au moment de nous accoupler, au moment de copuler avec ces animaux, je ne bravais pas la morale … pour moi, à cet instant, au moment où ces chiens montaient sur moi pour introduire leur sexe en érection dans ma vulve, il n'y avait pas de morale, il n'y avait que de l'instinct … je ne ressentais ni honte ni culpabilité … et je n'en ressens toujours pas, d'ailleurs … je ne ressentais qu'une nécessité. Oh, bien sûr, au moment de me faire saillir pour la toute première fois par Iago, le dogue de Jean-Claude, pendant un court instant, j'ai eu un peu peur que la taille de son sexe et surtout de son bulbe érectile ne dépasse les capacités de mon rectum … enfin, pas exactement peur, en fait … je savais que la pénétration de mon anus ne poserait pas de problème grâce à l'élasticité de mon sphincter, élasticité acquise au prix d'un ancien et très fréquent usage d'énormes godemichés … mais c'est le gonflement de son knot à l'intérieur de mon rectum qui me posait question … je n'avais pour référence que ce que j'avais lu à ce propos sur des sites spécialisés … 

 

Avec lui, Iago, mon tout premier amant canin, notre accouplement n'a pas été complet, faute d'expérience de notre part à tous les deux. Si Iago a bel et bien réussi à me pénétrer et à éjaculer dans mon rectum, il n'a pas réussi à y introduire son bulbe érectile et à le laisser s'y gonfler … en revanche, avec son frère, Into, nous avons eu un rapport sexuel parfait … introduction de son vit dans mon anus … puis de son knot … gonflement de son knot dans mon rectum … et pas la moindre douleur lorsque, une fois son appareil génital complètement en moi, il a réussi à verrouiller notre accouplement, en nous rivetant littéralement l'un à l'autre … éjaculation du chien au fond de mon ventre … jusqu'au retournement du chien pour qu'on se retrouve, lui et moi cul contre cul … Seule subsistait alors l'incroyable sensation d'être … d'être remplie par ce sexe énorme qui vibrait en moi au rythme de son éjaculation ! Cet accouplement réussi avec Into m'a immédiatement rassurée … et m'a comblée, au propre comme au figuré … Et dans le fond, heureusement que celui-ci m'a couverte aussitôt après son frère, et parfaitement couverte, parce que si j'étais restée sur l'impression mitigée de la saillie de son frère, je n'aurais sans doute pas eu autant envie de recommencer …

 

Oui, juste après ce deuxième accouplement avec un dogue allemand, mes craintes s'étant envolées, je n'avais plus qu'une idée en tête … recommencer … mais à ce moment précis, je n'envisageais de pouvoir recommencer un jour qu'avec ces deux-là, les dogues de Jean-Claude, Iago et Into. Rien ne m'aurait permis d'imaginer que l'occasion de recommencer avec deux autres molosses pourrait se présenter à moi … Et pourtant, quatre semaines plus tard …

 

Quatre semaines plus tard, quand j'ai compris où Pierrot, l'éleveur, voulait vraiment en venir avec son chantage, au fond de moi, j'ai su instantanément que je ne laisserai pas passer l'occasion qu'il m'offrait … même en ignorant complètement à quoi pouvait bien ressembler le chien qu'il me destinait … ou plutôt, le chien A QUI il me destinait. Alors quel choc quand il a ouvert les portes arrière de son fourgon ! Ce mec avait amené chez Jean-Claude cinq de ses chiens … enfin, il M'AVAIT amené CINQ chiens … ce type était venu chez Jean-Claude avec cinq de ses chiens spécialement pour qu'ils sautent une … avant de me découvrir et de s'apercevoir que c'était un mec que les dogues de Jean-Claude avaient sauté, Pierrot croyait que ses molosses allaient se taper une femme ! Après le premier moment de surprise, il s'était rapidement repris et le fait que je sois un mec n'avait changé ses plans en rien … qu'à cela ne tienne, ses chiens sauteraient un mec ! Et si il avait amené cinq chiens, c'est bien parce qu'il comptait que tous les cinq en profitent. C'était évident, même s'il ne devait le reconnaître ouvertement qu'un peu plus tard … Je pense que l'idée que ses protégés se tapent un mec l'avait même peut-être un peu plus excité que si j'avais été une femme … 

 

Il avait donc amené cinq chiens, et quels chiens ! Le choc de la découverte de ces bestiaux, à l'arrière du fourgon … tout d'abord seulement d'énormes formes indistinctes dans la pénombre de leurs cages, mais dégageant une telle impression de force, de puissance ! Je me souviens qu'à ce moment, mon cœur s'était emballé et qu'un frisson m'avait parcouru de la tête aux pieds … pas de peur … mais d'excitation … des chiens pour me saillir ! Comme si … comme si j'étais faite pour ça, comme si c'était mon essence profonde, ma nature, qui se révélaient à moi … me faire couvrir par des chiens ! Et surtout, l'odeur ! Cette odeur qui m'avait assaillie à l'ouverture des portes ... puissante ... animale ... sauvage ! Une odeur de chiens, évidemment, mais pas seulement … une odeur … une odeur de sexe … oui, une odeur de mâles … plus que ça encore … une odeur de bêtes en rut ! Oh putain ! cette puissante exhalaison m'avait littéralement submergée, activant au plus profond de moi je ne sais quels récepteurs … quelles réactions chimiques, quelles stimulations hormonales cette odeur avait-elle déclenché ? Oui, des hormones s'étaient brutalement réveillées en moi … des hormones féminines, à n'en pas douter, qui avaient pris les commandes de tout mon être … ce n'était plus un désir lubrique, un désir humain, qui me poussait vers ces bêtes, c'était autre chose … quelque chose de beaucoup plus puissant, de beaucoup plus primitif … un instinct … une nécessité … une exigence vitale … IL FALLAIT QUE JE  M'ACCOUPLE AVEC CES MÂLES-LÀ !

 

 

A cet instant, s'il m'était resté le moindre doute, la moindre hésitation après mes premières expériences avec Iago et Into, la puissante exhalaison de testostérones des cinq molosses de Pierrot en aurait eu raison … Et puis Pierrot les avait tellement vantés, ses chiens, comme géniteurs exceptionnels ! Alors, eux aussi, c'était des occasions uniques ! Parce que, si se faire saillir par des chiens c'est un tabou absolu pour notre société, pour moi, c'était un fantasme absolu … j'en ressentais l'envie, ou plutôt le besoin depuis longtemps, sans même imaginer que ça puisse m'arriver un jour … et l'occasion s'est offerte à moi … deux fois ! Et pas avec n'importe quels chiens …  avec des molosses ! Des animaux qui, par leur taille et leur apparence sauvage, sont l'image même de la force physique et de la puissance virile. Quatre mâles ! Quatre mâles reproducteurs magnifiques ! Comment j'aurais pu laisser passer ça ? 

 

J'en suis encore bouleversé. Oui, j'ai désiré ardemment des chiens … physiquement, sexuellement … oui, j'ai eu une folle envie d'avoir un rapport charnel avec ces animaux, j'ai eu envie qu'ils me prennent comme une femelle, j'ai eu envie qu'ils me possèdent, j'ai eu envie qu'ils m'inséminent … qu'ils me fassent des petits. Et pour mon plus grand bonheur, eux aussi m'ont désirée … tous les quatre. Enfin, je ne sais pas si on peut parler de désir chez un chien. Est-ce qu'un chien est réceptif à ce que, chez les humains, on appelle de l'érotisme ? Je ne sais pas. On ne peut peut-être pas parler de désir pour un chien au sens où on l'entend pour les êtres humains, alors parlons d'instinct. 

 

Mais instinct de quoi, exactement ? Quelle attirance, quelle envie, quelle pulsion a poussé chacun de ces molosses a vouloir s'accoupler avec moi, moi qui ne suis ni de leur espèce, ni une femelle ? Instinct de possession ou de domination ? Sans doute pas … selon moi, un animal ne s'accouple pas pour posséder ou pour dominer celle avec qui il veut copuler … Et surtout pas ces quatre là … avant, pendant et après nos ébats, ils sont demeurés docilement sous l'autorité de leurs maîtres qui assistaient à nos ébats … Donc, ni instinct de possession, ni instinct de domination … alors, quoi ? Qu'est-ce qui a pu pousser ces animaux à vouloir me saillir ? Selon moi, il ne reste qu'une hypothèse: ce qui les a poussés à me grimper, à me chevaucher, à me saillir, c'est nécessairement l'instinct de reproduction. Oui, l'instinct de reproduction ! Aussi fou que ça puisse paraître, en me couvrant, ces quatre molosses se sont soumis à l'impérieuse nécessité de se reproduire … chacun d'eux a voulu … me faire des petits … Je l'ai senti pendant qu'ils me montaient dessus, pendant qu'avec leur sexe ils s'efforçaient de trouver l'entrée de ma vulve … je l'ai senti quand, l'ayant trouvée, ils ont enfoncé en moi leur énorme vit qui commençait déjà à disperser leur semence … je l'ai senti quand ils se sont bloqués, bien calés contre moi, et qu'ils ont laissé leur bulbe érectile gonfler dans la tiédeur humide de mon anus afin de verrouiller notre coït et de garantir ma fécondation … j'ai senti tout cela plus ou moins confusément sur le moment, et, pour y avoir beaucoup réfléchi depuis, pour avoir analysé à froid ce qui s'était passé, je suis maintenant convaincu que ça ne peut être que ça … la force irrésistible qui a poussé ces quatre molosses à me saillir, c'est l'instinct de reproduction. 

 

Quant à moi, au moment de ce qu'on pourrait appeler les préliminaires, quand ces chiens ont commencé à me renifler, à me lécher, quand j'ai senti qu'ils commençaient à être sexuellement excités et qu'en dépit de mon apparence, ils avaient envie de me couvrir, rien n'aurait pu m'arrêter … ni morale, ni loi … ni souci de maintenir avec ces bêtes le rapport de domination qui régit en principe le rapport de l'homme avec l'animal. Au moment de nous accoupler, j'étais un animal comme eux, une bête tout autant qu'eux. Non, rien ni personne n'aurait pu m'arrêter … et pas seulement parce que, m'étant offerte à eux et les ayant excités, je ne me sentais pas le droit de les décevoir … rien ni personne n'aurait pu m'arrêter parce qu'un embrassement me dévorait le ventre … ces chiens, ces mâles, je les voulais … je les voulais en moi … je voulais sentir leur bulbe érectile grossir dans mon ventre et nous riveter l'un à l'autre le temps de ma fécondation … je voulais sentir leur membre vibrer au fond de moi pendant qu'ils déchargeaient leur semence dans mes muqueuses … je voulais être la femelle de ces molosses …

 

Morphologiquement, biologiquement, je ne suis pas de l'espèce canine et je ne suis pas une femelle. Mais voilà, à l'évidence, ces quatre chiens-là ont réagi à des stimuli émanant de moi, de mon corps, comme moi j'ai réagi aux exhalaisons qui émanaient d'eux … Mon apparence physique, peut-être … la vue de mes formes, de mes rondeurs, et en particulier celles de ma croupe, nue, ont pu leur inspirer le dessein de s'y accoupler. Mon comportement aussi, sans doute. M'agenouiller devant eux et leur présenter ma vulve, c'était les provoquer, c'était m'offrir à eux, c'était leur signifier que je voulais qu'ils me couvrent, que j'étais sexuellement réceptive … La chimie, les hormones ont fait le reste. Qui sait si, bien qu'étant en principe un mâle, je ne dégage pas les mêmes phéromones qu'une femelle … ou, tout au moins certaines effluves avertissant les autres mâles que je suis sexuellement disponible pour un coït avec eux. La réaction de certains mâles humains à ma seule présence m'a déjà amené à me poser cette question.

 

Pour ces chiens, en dépit de mon apparence humaine, j'étais bel et bien une chienne en chaleurs qui s'offrait à eux … et leur instinct leur commandait de me couvrir et de me faire des petits ! Et ils l'ont fait … ils m'ont fait des petits … tous les quatre … chacun leur tour … les deux dogues allemands de Jean-Claude, le Mastiff et le Cane corso de Pierrot ! Sensations uniques ! Et pas seulement en raison des dimensions hors normes des organes génitaux de ces molosses … non, sensations uniques surtout parce que je sentais que s'ils accomplissaient en toute innocence et en toute confiance leur fonction de mâles reproducteurs avec moi, c'est parce qu'ils voyaient en moi une femelle digne de recevoir leur semence et de porter leur descendance …  Et après coup, j'ai fini par réaliser qu'avec leur knot gonflé dans mon rectum, tandis qu'ils déchargeaient leur sperme au fond de mon ventre, la sensation de plénitude cérébrale que j'avais confusément ressentie sous leur étreinte mêlait en fait un sentiment de fierté et de reconnaissance pour ces mâles magnifiques qui avaient bien voulu m'honorer comme ils l'auraient fait de n'importe quelle femelle de leur race.

 

Voilà, j'ai été la femelle comblée de quatre molosses … Si ma rencontre inopinée avec Christine m'a amené à me poser des questions sur la poursuite de mes relations avec des hommes, me faire saillir par des chiens est tellement bouleversant que je sens que je ne pourrai pas renoncer à recommencer si l'occasion m'en est donnée. Tout bien considéré, je trouve ça beaucoup moins risqué qu'avec les hommes … Je ne désespère pas de me faire encore saillir par Iago et Into, les dogues de Jean-Claude … il finira bien par arrêter de me faire la gueule … peut-être quand lui-même aura de nouveau envie de me baiser … Iago et Into ont été ma première expérience sexuelle inter espèces … première expérience quelque peu improvisée, maladroite et précipitée … tous les trois, nous manquions d'expérience … mais une prochaine fois, nous ferons ça bien … maintenant que le plus dur est fait, maintenant qu'ils savent s'y prendre avec les femelles, ils me monteront tranquillement dessus, ils trouveront facilement l'entrée de ma vulve, quitte à ce que je guide leur sexe de la main, ils s'installeront et laisseront leur knot gonfler calmement dans mon rectum avant de délivrer au fond de mes entrailles leur charge de semence … d'abord l'un des deux dogues … puis l'autre … avant qu'à son tour, leur maître ne me reprenne et ne se soulage en moi  …

 

Et puis il y a Pierrot, le maître de Falco et de Gordo, l'éleveur … oui, l'éleveur ! Maintenant qu'il a vu deux de ses chiens me saillir, ce mec n'a plus qu'une envie, voir ses mâles recommencer … il me l'a dit assez ouvertement … ces deux-là ou d'autres … il n'élève pas que des Cané corso et des Mastiffs, il a aussi des dogues allemands comme ceux de Jean-Claude. Et bien sûr, il m'a proposé de me faire "visiter" son élevage … et je sais très bien ce que ça veut dire … si il veut que je vienne chez lui, c'est parce qu'il a l'intention de m'offrir à nouveau à ses mâles reproducteurs … les deux qui m'ont déjà couverte, et sans doute à TOUS ses mâles reproducteurs. Je n'arrête pas d'y penser et de me faire des films …  je m'imagine arriver chez lui, parcourir son … sa propriété, assailli par tous ses chiens qui viennent me renifler le cul et commencer à essayer de me grimper … je me vois finir par m'installer … je ne sais où et me faire … me faire couvrir successivement par tous les molosses mâles de son élevage … je ne sais même pas combien il en a, en tout, des chiens … j'aurais dû lui demander … et je ne sais pas non plus à quoi ressemble son élevage … dans mon fantasme, j'imagine un parc en pleine nature avec un enclos pour chacun de ses chiens … mais ça n'a peut-être rien à voir … et c'est frustrant de ne pas pouvoir fixer mes rêveries bestiales sur un lieu et sur des bêtes en particulier … 

 

En plus, il a dit qu'il connaissait d'autres éleveurs qui ont d'autres races de molosses … il a dit quelque chose comme " si ça vous intéresse, je connais des éleveurs qui élèvent d'autres races " … c'était  pas dit ouvertement, mais dans le contexte,  ça sous entendait clairement non seulement qu'il pouvait me mettre en relation, mais surtout me mettre en relation POUR que je me fasse aussi sauter par les chiens de ces autres éleveurs … Putain, si ça arrivait … si ça arrivait qu'il me présente à d'autres éleveurs pour … pour ça … putain, devenir le … la … une sorte de jouet sexuel pour … pour tous les … pour tous les mâles reproducteurs … les chiens mâles reproducteurs … de la même manière que je suis devenu une espèce de … de fille publique pour les mecs qui se refilent mes coordonnées … Putain, ça me plairait ! Me faire inviter par des éleveurs … passer d'un élevage à un autre … essayer … essayer toutes les races de clebs … me faire …

 

J'en suis là de mes rêveries et de mes réflexions quand un bruit étouffé de moteur et de pneus crissant sur les graviers de la cour attire mon attention … Je jette un coup d'œil par la fenêtre de la chambre, à l'étage. Dehors, il fait gris et froid. Normal, nous sommes le 10 décembre. C'est le début d'après-midi et on a l'impression que la nuit va bientôt tomber ! Une voiture, un break beige en mauvais état, vient de se garer de l'autre côté de la cour. Quatre types en descendent … et il y en a un que je reconnais immédiatement : Jo ! Jo, le type au look de gitan que Jacky avait amené ici, avec d'autres potes, il y a … il doit y avoir deux mois … Les types qui accompagnent Jo, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus … Je sais ce qu'ils viennent faire ici, tous les quatre … ils viennent me baiser ! Le Jo, ça lui avait plu, et il a envie de recommencer … et comme avait fait Jacky, il vient me sauter en amenant des potes ! Pas question ! L'autre fois, si Jo dénotait au milieu des copains de Jacky, avec son look de gitan, cette fois, ils sortent tous du même endroit … quatre manouches … mais des manouches qui sortent sans doute d'une réserve, parce qu'ils ne ressemblent pas aux manouches actuels, qui ont adopté les modes vestimentaires et les coiffures modernes et passent inaperçus au milieu des gadjos … non, mais de toute façon, il n'est pas question que ces mecs entrent ici. 

 

Je réalise qu'heureusement, bien qu'il fasse sombre, je n'ai pas encore allumé une seule lampe dans la maison … si je ne me montre pas, ils pourront croire que je ne suis pas là. Je me planque dans l'embrasure de la fenêtre. Voilà, le Jo est déjà à la porte d'entrée. Il frappe … je retiens ma respiration … réflexe idiot. Jo insiste et frappe de nouveau à la porte. Non, il n'y a rien à faire, je n'ai pas la moindre envie de me faire baiser par ces mecs … par ces mecs ou par d'autres d'ailleurs … Putain, il y a encore quelques jours, l'arrivée de ces mecs m'aurait excité … Les potes de Jo scrutent les fenêtres de la maison, lèvent le nez vers celles de l'étage … je les entends discuter … et soudain:

- MARIIIIIIIIIIN !!!!!! OUVRE, C'EST JOOOOOO !!!!!

 

Oh putain ! Il a reculé et se trouve maintenant à quelques mètres devant la maison. Il ne peut pas me voir, dans la pénombre de la chambre. Il sort un téléphone portable de sa poche et je le vois pianoter sur l'écran. Une demie seconde plus tard, c'est mon portable à moi qui se met à sonner dans le bureau. Heureusement, il y a longtemps que j'ai réglé le niveau de sa sonnerie au minimum. Il va tomber sur ma boîte vocale. Mais voilà le Jo qui revient au pied de la maison, le portable collé à l'oreille. Cette fois, il doit être devant le fenêtre du séjour, juste sous moi. Il tambourine à la fenêtre:

- OUVRE, BORDEL ! JE SAIS QUE T'ES LÀ !!!!

 

Puis j'entends vaguement des échanges avec les autres types … je saisis "salope" … "enculé" … "fiotte" … et "bagnole" …

- MAAAARIIIIIIIIN ! OUVRE NOUS ! T'ES LÀ …. Y'A TA BAGNOLE !

 

Putain, ils ne vont pas me lâcher ! Faut qu'ils se barrent. Il n'y a qu'un moyen pour les convaincre que je ne suis pas là. Discrètement, je file jusque dans le bureau et je ferme la porte. Je prends le combiné de ma ligne fixe et je compose le numéro de Yolaine. Ça sonne … trois fois … quatre fois … cinq fois … répondeur … Merde ! Elle doit dormir après sa nuit agitée. Je recommence … ça sonne encore … trois fois … quatre fois … cinq fois … répondeur … Merde ! Je recommence encore … il faut qu'elle réponde ! L'autre, en bas, s'est remis à tambouriner … il va finir par défoncer la fenêtre, ce con.  Ça sonne … trois fois … puis:

- Allô …

 

Au ton de sa voix, Yolaine est dans les vapes …

- C'est toi ? Qu'est-ce tu veux ?

- Oui, c'est moi. Il faut que tu m'aides …

- Qu'est-ce qui se passe ? C'est quoi, ce bordel, dehors ?

- Justement … c'est des mecs qui sont venus pour … pour me sauter, et j'ai pas envie … il faudrait que tu m'en débarrasses …

- Mais … co … comment …

- Je sais pas … dis leur que je suis pas là … 

- Bon … 

- Attends … dis-leur que tu sais pas où je suis, que tu peux pas me contacter et que tu sais pas quand je reviens …

- Bon, d'accord …

 

Je reste collé à mon combiné et je retourne me poster au coin de la fenêtre de ma chambre … elle n'a pas raccroché et je l'entends bouger dans sa maison … bruit d'une fenêtre qui s'ouvre …

- Hé ! Vous voulez quoi ?

 

Jo lève la tête … il s'approche de chez Yolaine:

- Il est pas là, Marin ?

 

C'est marrant, lui, je l'entends à travers la fenêtre de ma chambre, et elle à travers le combiné de mon téléphone:

- Ben non, il est pas là …

- Y'a sa bagnole …

- Oui … mais un taxi est venu le chercher …

 

Brave Yolaine, pas prise au dépourvu …

- Il est où ?

- Il est parti en province …

- Où ça ?

- Je sais pas … dans le Midi, je crois … je crois que sa mère habite dans le Midi …

- Il répond pas …

 

Il lui montre son portable.

- Ben, je peux pas vous dire … il a peut-être pas pris son portable … je sais pas …

- Vous avez un autre numéro, pour le joindre ?

- Non.

- Et il rentre quand ?

- Je sais pas, il ne m'a rien dit …

- Bon, vous pourrez lui dire que Jo, le pote à Jacky, il est venu le voir ?

- Euh, oui … Jo, le pote à Jacky …

- Ouais, il saura pourquoi …

- Bon, d'accord …

 

Je perçois encore des échanges entre Jo et ses copains et ils se dirigent vers leur voiture. Pffffff ! Dès que le break tourne au coin de la rue, j'entends la voix de Yolaine dans mon téléphone:

- T'as entendu ?

- Oui. Tu t'en es sortie comme une cheffe ! Merci.

- Pas de quoi. Ils avaient une drôle de gueule, ces mecs … le petit, là, sa tête me dit quelque chose …

- Il est déjà venu … il y a deux mois … avec d'autres …

- Ah oui, ça y est, je me souviens … une Mercédes …

- C'est ça … 

- Bon, dis, qu'est-ce que tu vas faire … je suis pas sûre qu'ils aient cru ce que je leur ai dit … à mon avis, ils vont revenir … 

- Je … je sais pas …

- Bon … tu m'as réveillée … je retourne au lit …

- Ouais … merci, hein …

- De rien. Bise.

 

Elle a peut-être raison, ils pourraient revenir … si ça se trouve, c'est Jacky qui les a envoyés, depuis sa cellule, pour garder un œil sur moi … Merde … je ne vais pas rester enfermé comme ça je ne sais combien de temps …

 

C'est au bout d'une vingtaine de minutes que la solution me vient. En fait, c'est Yolaine qui a eu l'idée … partir en province. Oui, pas dans le Midi, je n'y connais personne et je n'ai rien à y faire, contrairement à ce qu'elle leur a dit, mais en Bretagne. La Bretagne, je n'y connais pas grand monde, mais je peux avoir des choses à y faire … Là-bas, j'ai une maison … Je ne l'ai vue qu'une fois, il y a des années. A l'époque, elle appartenait encore à mes parents et ils la louaient à l'année à des locataires. J'étais passé dans le coin et j'étais allé voir à quoi elle ressemblait. A la mort de mes parents, j'ai hérité de cette maison et elle était toujours louée à des locataires. C'est une agence immobilière du coin qui s'occupe de l'encaissement des loyers et qui règle tous les problèmes de travaux, d'entretien, etc. 

 

Enfin, quand je dis qu'elle était toujours louée à des locataires … en principe ! Les derniers locataires, un officier de marine et sa famille, étaient partis au mois de juin pour cause de mutation, et depuis, la maison était inoccupée, l'agence immobilière ne trouvant pas d'autre locataire … Bon, je pourrais aller faire un séjour là-bas, ne serait-ce que pour voir à quoi ça ressemble maintenant … et rester le temps que les potes de Jacky se lassent … De toute façon, je peux m'absenter quelques semaines, il n'y a pas beaucoup de travail en ce moment, et dans le fond, je ne me sens aucune obligation vis-à-vis des gens qui m'emploient, au même titre qu'eux ne se sentent pas obligés de me faire travailler. Et puis s'ils ne sont pas contents, je trouverais sans problème de nouveaux patrons … Je me contenterai quand même de les prévenir, c'est tout.

 

Voilà, c'est décidé, dès demain je pars en Bretagne, au moins pour quelques temps …

 

Sitôt dit, sitôt en quête d'un endroit où loger. Il y a bien la maison, mais elle est vide … ni meubles ni électroménager. En quelques clics, je trouve un gite. A cette époque de l'année, ça ne manque pas. Ce qu'il y a, c'est que … comment je fais jusqu'à demain … je ne vais pas vivre dans le noir, mais si Jo et ses potes revenaient voir si je suis toujours absent … Yolaine a l'impression qu'il ne l'a pas crue … Je la rappelle, il faut qu'elle me dépanne … je pourrais rester chez elle jusqu'au moment de partir … Mais cette fois, elle a dû décrocher son téléphone, c'est toujours occupé … Tant pis, je tente le coup, je vais chez elle …

 

Je traverse presque en courant les quelques mètres qui séparent nos portes respectives. Ouf, elle n'a pas fermé la sienne à clef … j'entre … je monte à l'étage … sa chambre … après sa folle nuit, elle ronfle comme un sonneur …  En attendant qu'elle se réveille, je m'installe dans le petit salon sur le palier de l'étage, et je regarde la télé … Il est presque vingt heures quand elle émerge. A peine surprise de me trouver là. Je lui explique pourquoi et ce que je projette. Bien sûr, elle peut m'héberger jusqu'à demain matin. C'est quand je lui raconte que j'ai déjà réservé un gite en Bretagne et qu'il ne me restera qu'à faire le plein de carburant avant de prendre la route qu'elle réagit:

- Mais … tu ne vas pas y aller avec ta voiture … Je te rappelle que j'ai dit à ce type que tu es parti en taxi. Si il repasse et qu'il ne voit pas ta voiture …

- Ah oui, merde, t'as raison … Bon, c'est pas grave, je vais prendre le train. Tu pourrais me déposer à la gare ?

- Ça dépend à quelle heure. Je te rappelle que je travaille, demain …

- Ah oui. J'appellerai un taxi, alors …

 

Par Internet, je trouve sans difficulté un billet de TGV pour le lendemain. Il n'y a pas beaucoup de rames à cette époque de l'année, mais elles sont sans doute loin d'être remplies. C'est encore Yolaine qui me suggère de réserver une voiture de location sur place.

 

Lundi 11 décembre 2018. 18h30.

 

Me voilà au terminus de la ligne TGV. Finalement, Yolaine s'est débrouillée pour m'emmener à la gare du RER en fin de matinée. C'est curieux, une fois dans le train, j'ai eu une drôle de sensation … comme si … comme si je laissais mon passé récent derrière moi … comme si je changeais de vie … pourtant, je ne pars pas définitivement … je vais revenir … mais c'est comme si je me débarrassais de ... de choses désagréables … Et puis, comme un signe supplémentaire, une fois que le train a quitté la région parisienne, le ciel s'est dégagé … plus un nuage, mais soleil et ciel bleu … seuls les arbres dépourvus de feuilles rappellent qu'on est bientôt en hiver … et par endroits, dans la campagne, quelques traces de gelée … 

 

Et pour la première fois depuis longtemps, je ne regarde plus les hommes de la même manière … Que ce soit dans le RER qui m'a amené à la gare Montparnasse ou dans le TGV, je ne les vois plus que comme … des voyageurs ordinaires … oui, alors qu'avant, comme par réflexe, je ne pouvais pas m'empêcher de leur reluquer sans vergogne le bas ventre pour essayer de deviner la forme et la taille de leur sexe, maintenant, je … je ne leur jette plus qu'un rapide et discret coup d'œil général … je suis plus intéressé par leur look pour tenter d'imaginer ce qu'ils font dans la vie, que par ce qu'ils ont entre les jambes ! 

 

Je prends possession de la voiture de location et je file en direction du gite que j'ai réservé. Il fait étonnamment doux par rapport à la région parisienne. Le gite est assez spartiate, mais confortable. C'est surtout un point d'étape pour les randonneurs qui "font" le GR34. D'ailleurs, avec moi, il y a deux jeunes femmes, la vingtaine à tout casser, qui viennent d'arriver de la Pointe du Raz avec leurs énormes sacs à dos. Dans la salle à manger commune, nous partageons les pizzas que propose la gérante du gite.

 

Mardi 12 décembre. 10h30.

J'arrive devant l'agence immobilière en charge de la location de ma maison. La gérante m'attend. Elle s'appelle Gwen. Trente ou trente cinq ans, assez jolie, mais l'air sérieux, presque sévère, avec ses cheveux blonds tirés en arrière, son chignon, ses lunettes, et surtout son tailleur près du corps … joli petit cul, et jolies cuisses, d'ailleurs, dans sa jupe noire moulante. Jusqu'à présent, je n'avais eu affaire à elle que par mails. Je l'ai prévenue de mon arrivée par téléphone pendant que j'étais dans le train. Elle est désolée de ne pas avoir pu trouver un nouveau locataire. L'officier de marine qui louait la maison avec sa famille l'avait choisie parce qu'elle était à peu près à mi distance entre la base navale de Brest et celle de Lorient. Il effectuait des missions de plusieurs semaines, parfois plusieurs mois, tantôt sur des navires basés à Brest, tantôt sur des navires basés à Lorient. Il avait été muté à Toulon, et celui qui avait pris son poste avait préféré s'installer à Lorient. Et ici, trouver des locataires à l'année, c'était apparemment une galère. Il n'y a pas beaucoup de travail dans le coin et beaucoup de maisons inoccupées. Puisque ça risque de rester difficile de louer cette maison à l'année, la gérante … Gwen, me suggère de la louer comme résidence de vacances.

 

Comme nous en avions convenu, elle m'emmène voir la maison. Si ce n'est que le grand jardin semble ne pas avoir été entretenu depuis un moment, la maison en elle-même est mieux que dans mon souvenir. Gwen, tout en ouvrant la porte:

- Je vais appeler le jardinier. Il n'a pas dû venir depuis un moment. Pourtant, son contrat prévoit un passage par mois …

 

Elle ouvre toutes les fenêtres et toutes les persiennes. Ça fait un drôle d'effet, une maison complètement vide. Les peintures auraient besoin d'être rafraîchies. Tous les murs sont blancs, mais ils ont un peu jauni par endroits. A des traces plus claires, on devine l'emplacement des meubles et des cadres et tableaux qui étaient accrochés ici et là. Au rez de chaussée un grand séjour-salle à manger, une grande cuisine, un bureau, des toilettes et une salle d'eau, à l'étage trois chambres, une salle d'eau et des toilettes … un garage et une buanderie attenants à la maison. Curieusement, cette maison paraît plus grande vue de l'intérieur que de l'extérieur. Finalement, elle me plaît bien. Je me demande … je me demande si je ne vais pas la garder pour moi … comme résidence secondaire … ou pourquoi pas comme résidence principale … après tout, je pourrais aussi bien travailler ici …

 

Gwen:

- Vous voyez ? C'est dommage de ne pas trouver de locataire … elle est bien, cette maison.

- Oui. Je suis surpris. Je l'avais vue de l'extérieur il y a quelques années, à l'époque de mes parents, et elle ne m'avait pas paru si grande. 

- Alors, vous en penseriez quoi, de la louer comme résidence de vacances ? On trouverait facilement des locataires, vous savez … il y a de la demande … anglais, allemands, hollandais même …  on pourrait en tirer un bon prix. Ce qu'il y a, c'est qu'il faudrait la meubler et l'équiper … en électro-ménager, je veux dire …

- Je … je ne sais pas. En fait, maintenant que je l'ai vue, je me demande si je ne vais pas la garder pour moi ... comme résidence secondaire …

- Ah bon … mais … quand … les périodes où vous ne viendriez pas, vous pourriez la louer à des touristes …

- On verra … De toute façon, dans tous les cas, il faudrait refaire les peintures et la meubler … 

- Pour les peintures, je connais quelqu'un, si vous voulez … un cousin … mais il travaille au noir, c'est un marginal ... mais il est pas cher …

- Pourquoi pas … vous pouvez lui demander ?

- Ben, si vous voulez, si vous avez le temps, je vous emmène le voir … il n'a pas le téléphone …

- Je n'ai que ça à faire …

- Alors allons-y …

 

Nous fermons persiennes et fenêtres et nous voilà partis. En chemin, Gwen:

- Je vous préviens, il est spécial, le cousin … enfin, quand je dis cousin … en fait, c'est très éloigné, comme lien familial … je l'aide quand c'est possible … mais vous verrez, et si vous ne voulez pas l'employer, ce n'est pas grave, il ne se formalisera pas … En fait, il ne travaille que quand il n'a plus de sous … quand il en a assez pour tenir un mois, il arrête …  

 

Nous sommes maintenant tout près du littoral. Elle se gare en bordure d'un terrain couvert d'une maigre végétation … du sable, en fait … on entend le bruit des vagues et une odeur de goémon m'assaille les narines … Gwen ouvre le coffre de sa voiture et échange ses escarpins pour une paire de tennis … nous nous engageons sur le terrain et nous commençons à gravir une dune … Ça y est, on voit l'océan … une plage entre deux pointes rocheuses … nous nous dirigeons sur la droite où une touffe d'ajoncs, de genêts et de ronces dissimule une masse grise dont ne dépasse que le sommet … un blockhaus, probablement. En effet, c'est un vestige du mur de l'Atlantique… une trouée dans le fourré et une porte peinte d'une multitude de couleurs apparaît … elle n'est sans doute pas d'origine … c'est visiblement un bricolage … à côté de la porte, le long du mur du blockhaus, un banc fait de morceaux de palettes et une table assortie.

- Gégé ? ! ? ! C'est Gwen … T'es là ?

 

Elle tambourine à la porte qui, visiblement n'est pas fermée … pas la moindre serrure ou le moindre cadenas. Pas de réponse.

- Gégé ? ! ? ! Tu dors ? C'est Gwen !

 

Toujours pas de réponse. Je lui fais remarquer:

- La porte n'est pas fermée …

- Je sais … elle n'est jamais fermée, mais je n'entre pas … il ne vaut mieux pas … avec lui, on ne sait jamais comment il pourrait réagir ... ça ne fait rien … je reviendrai et je lui demanderai de vous contacter, soit au gite où vous êtes descendu, soit chez vous …

 

Au moment où nous faisons demi-tour …

- Qu'est-ce tu veux ? !

 

La voix vient de derrière le blockhaus, du côté de la plage, et un colosse hirsute, barbu apparaît. Gwen:

- Ah, salut, Gégé. Je voulais te voir …

- Salut. 

 

Ils s'embrassent … deux fois sur chaque joue. Non seulement il est hirsute et barbu, mais en plus, il est sale. Il porte une espèce de salopette bleue délavée, aux jambières roulées jusque au-dessous des genoux et couverte de traces de … de traces de … de crasse, sans doute … ce qu'on voit de ses mollets est à l'avenant, crasseux … comme ses bras, nus et sa tronche …. Ce type ne doit pas voir souvent le savon ... et il pue.

- Alors, qu'est-ce tu veux ?

- Je voulais te présenter monsieur, qui peut te donner du travail, si tu veux … des travaux de peinture …

 

Il me dévisage de la tête aux pieds:

- Mouais … il est pas d'ici, celui-là …

- Non, c'est un client de l'agence. Il aurait besoin de repeindre toute sa maison … l'intérieur … c'est dans tes cordes, ça …

- Ouais, c'est dans mes cordes, mais j'ai pas besoin de travailler, en ce moment …

- Oui, mais c'est un gros chantier, tu sais … ça te prendrait … je sais pas ... une quinzaine de jours … peut-être trois semaines … après, tu peux t'arrêter trois ou quatre mois … Ça me rendrait service, tu sais …

- Mouais … Faut que je voie la maison … 

- Bon, d'accord. Je t'explique où c'est.

 

Et la voilà partie dans des explications, rue par rue, avec des indications visuelles … "tu vois, la rue à Jean-Yves ?","avant la boulangerie", "au feu tricolore, sur ta gauche", "après la maison à la grille rouge" … et pour finir:

- Bon, tu peux venir quand ?

- Tout à l'heure …

- C'est-à-dire …

- Après midi …

- D'accord. Monsieur t'attendra devant la maison …

- D'accord.

 

Et nous partons. Une fois que nous nous sommes un peu éloignés, elle explique:

- Je ne lui ai pas donné l'adresse, il ne sait pas lire … enfin, il ne sait plus lire … alors je suis obligé de lui expliquer comme ça. Vous verrez, il est bourru, mais dans le fond, il est gentil…

 

Elle me ramène jusqu'à son agence et, au moment de nous quitter:

- Bon, il n'y a pas d'urgence, mais vous me direz rapidement si vous gardez la maison comme résidence secondaire ou si on continue de la louer ...

- Bah ... a priori, vous pouvez considérer que je la garde comme résidence secondaire. Si je change d'avis, je vous le dirais.

- D'accord. Alors entrez, je vais vous donner quelque chose.

 

Je la suis. Il n'y a pas à dire, elle a beau petit cul, la Gwen ! Elle fouille dans un rayonnage où sont suspendu des dossiers et me tend une chemise épaisse:

- Tenez. C'est votre dossier. Il y a le bail de location, les factures des entreprises qui ont travaillé sur votre maison ... chauffagiste, peintre pour le ravalement, électricien ...  le contrat du jardinier ... enfin, un tas de papiers ... je ne sais pas exatement, certains remontent à mon prédécesseur ...

- Merci.

- Dites, essayez d'être à votre maison assez tôt, cet après-midi. Gégé peut venir de bonne heure, comme il peut arriver en fin de journée. Pour lui, "après midi", ça va de midi à dix-huit ou dix-neuf heures … Et pour son tarif, vous voyez avec lui … Il n'est pas gourmand, alors je compte sur vous pour ne pas le rouler quand même …

 

à suivre.

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Samedi 18 août 2018 6 18 /08 /Août /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.


Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Il est bien évident aussi que je réprouve et condamne totalement toute violence ou toute contrainte exercée sur autrui.

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

 


Le lendemain je ne visionnerai pas non plus le DVD de mon enquêteur dans sa totalité. Comme j'ai pris des engagements professionnels, je dois aller travailler et, toute la journée, pensant à ce que j'ai vu dans cette vidéo, je balance entre une certaine excitation et un espèce de rage d'avoir été exclu par Christine de ses séances de baise. Et puis, elle a lancé la procédure de divorce et l'audience de conciliation approche, alors, il faut que je prenne une décision sur l'attitude à adopter à son égard … la guerre ou la paix ? Il vaut mieux que je réfléchisse froidement et que je laisse ce DVD de côté, du moins pendant quelques temps, pour ne pas me laisser influencer par les images de cette orgie de Christine au Huitième Ciel. 


Tout de même, j'ai bien envie d'en savoir un peu plus sur son séjour au Cap d'Agde au cours de son été de débauche, ne serait ce que par ce qu'en a raconté le "monsieur lyonnais" à mon détective. Et puis, ça pourrait me servir au cours de la procédure de divorce. Je me décide donc à regarder la discussion que mon enquêteur a eue avec ce type et qu'il a enregistrée sur ce DVD …


Je passe rapidement la longue séquence de … de tournante de Christine au Huitième Ciel … je n'ai pas vraiment envie de la revoir, du moins pas tout de suite … et j'arrive à cette "interview". Je découvre la tronche de ce "monsieur lyonnais" qui, selon la gérante du camping et le détective, a hébergé Christine quelques jours au Cap d'Agde, et qui, donc, l'a aussi sautée. C'est ce qu'on peut appeler un "vieux beau": entre soixante cinq et soixante dix ans, cheveux courts grisonnants avec des reflets bleutés, donc sans doute légèrement teints, et impeccablement coiffés.  Il apparaît à l'écran avec un foulard de soie noué autour du cou et aux extrémités rentrées dans sa chemise … une caricature ! Et ce qu'on aperçoit derrière lui de son intérieur est à l'avenant: un tableau dans un cadre chargé de dorures accroché au mur, l'extrémité d'une bibliothèque aux rayons remplis d'ouvrages de collection et la lourde tenture d'un double rideau. Ça sent le type friqué et quelque peu maniaque … A priori, cette image ne colle pas vraiment avec le fait qu'il loue un bungalow ou un mobil home dans un camping, même de luxe … C'est sans doute pour être au plus près du secteur "chaud" du Cap …


Le début de sa conversation avec mon détective apporte une explication: en effet, il dit être un habitué de ce camping depuis plusieurs années. Tous les ans, il y séjourne de mai à fin septembre, période où, selon lui, il se passe toujours des choses sur la fameuse "baie des cochons", très fréquentée par des étrangers en dehors des mois de juillet et août. Après quelques échanges convenus entre le détective et lui sur les séjours au Cap d'Agde, il explique qu'en fait, c'est la gérante du camping en personne qui lui a adressé Christine …  ce n'est pas la version qu'elle m'avait servi quand je l'avais appelée, me parlant d'annonces affichées à l'entrée du camping … en réalité, il semble qu'elle serve d'entremetteuse à ce genre de types et même de couples, venus là pour faire leur "marché de chair fraîche" le temps de leur séjour. Elle met en relation celles et ceux qui cherchent un hébergement et semblent en quête d'aventures avec ceux qui ont un bungalow ou un mobil home. Tout le monde y trouve son compte … et la gérante une petite commission. Le détective lui explique avoir passé quelques jours au Cap d'Agde cet été, mais ne pas avoir trouvé tellement d'occasions et avoir été assez déçu. Il aimerait bien avoir quelques conseils. L'autre, ravi de se mettre en valeur, détaille alors avec complaisance la liste des femmes qu'il a reçues cette saison et formule une appréciation sur le physique et les performances sexuelles de chacune d'elles. C'est quand il en arrive à en évoquer une qui n'est restée chez lui que quelques jours, et qui était une "vraie putain insatiable", que le détective devine qu'il est question de Christine. Il n'a aucun mal à lui faire dire comment elle s'appelait – Christine, en effet -, et en quoi c'était une "vraie putain insatiable".  


Alors le lyonnais se lance et il raconte au détective que Christine n'arrivait pas à se satisfaire sexuellement de lui seul. Il l'emmène à plusieurs reprises sur la plage libertine du Cap d'Agde et, si elle n'hésite pas à le masturber et à le sucer devant les autres estivants, elle manifeste aussi ouvertement son attirance pour les autres hommes, et même pour des groupes mixtes … elle lui dit ouvertement qu'elle est venue là pour se faire baiser par plusieurs hommes à la fois, et il la sent prête à en rejoindre certains … alors il essaie bien de la faire rester avec lui en invitant pour elle deux types dans son bungalow … mais même ça ne sera pas suffisant et, un jour, elle finira par le plaquer sur la plage pour aller se faire sauter au milieu d'un groupe de voyeurs … le soir même, elle viendra chez lui, accompagnée de trois types, des allemands, pour récupérer ses affaires. 


Quelques jours plus tard, intrigué par un gros attroupement sur la plage, comme ça arrive parfois, il ira voir ce qui s'y passe et il s'apercevra que c'est Christine qui est au centre de cette assemblée … elle est entourée des types avec qui elle était venue récupérer ses affaires chez lui et de leurs femmes … mais en fait, elle n'est pas en train de baiser avec eux … ils semblent n'être là plus ou moins que comme gardes du corps ou comme organisateurs d'un gangbang … certains des voyeurs agglutinés autour du groupe expliquent au lyonnais qu'en fait, Christine offre ses mains, sa bouche et sa chatte, au choix, à tous ceux qui passent par là et qui en ont envie … certains veulent seulement se faire branler ou sucer, mais elle livre aussi son cul à ceux qui veulent la baiser … c'est pour ça qu'il y a tant de monde autour … en fait, il n'y a pas seulement des voyeurs, mais aussi des types qui attendent leur tour … ce n'est pas si souvent que les mecs qui hantent la plage à la recherche d'une partie de cul à mater ou d'une salope à tripoter tombent sur une occasion pareille … d'après des types qui observent la scène, au moment où le lyonnais arrive, Christine se serait déjà fait passer dessus par au moins sept ou huit types et en aurait branlé et sucé à peu près autant … le lyonnais dit avoir assisté lui-même à la suite de la séance … il l'aurait vue soulager un type à la main puis se faire longuement chevaucher par un grand black … il serait parti avant que celui-ci termine son affaire.


C'est à peu près tout ce que cette interview du lyonnais m'apprend, mais à la fin de sa discussion avec mon enquêteur, il lui suggère de visiter les sites Internet spécialisés dans les vidéos de libertinage. Selon lui, certains de ces sites mettent en ligne presque exclusivement des vidéos tournées sur les plages libertines en Espagne, en France ou ailleurs, et on pourrait y retrouver les prestations de Christine filmées en douce … Par acquis de conscience, je suis le conseil du lyonnais. En effet, les sites Internet spécialisés ne manquent pas. Après quelques recherches, j'en trouve un qui héberge presque exclusivement des vidéos sur le Cap d'Agde et sa Baie des Cochons … des vidéos qui semblent avoir été faites en caméra cachée … c'est vraiment une plage naturiste, tout le monde s'y balade complètement à poil …  un vrai festival de bites et de chattes … en fait, ce n'est pas seulement une plage naturiste, c'est une plage libertine, on y voit beaucoup de couples se tripoter, se masturber, se sucer ou baiser ouvertement sur le sable … des couples de toutes sortes … des jeunes, des mûrs et même des vieux, et sous les yeux des voisins de serviette … mais tout se passe comme si il était tout à fait naturel de se livrer à ces pratiques sexuelles en public …  personne autour ne semble y faire attention … Je dois dire que c'est assez troublant et excitant … ces gens là se comportent sans plus de pudeur que … que des animaux … et bizarrement, tout cela ne me semble ni immoral, ni indécent, ni obscène, ni scandaleux … j'avais déjà ressenti quelque chose de ce genre en regardant Christine se faire baiser par les triplés sénégalais … Mais certaines vidéos paraissent beaucoup moins innocentes … ce sont celles qui montrent des groupes de voyeurs rassemblés autour d'un spectacle … ici, une femme se donne toute seule du plaisir, cuisses écartées face aux spectateurs, là, deux couples semblent se mélanger à qui mieux mieux … mais j'ai beau parcourir plusieurs dizaines de vidéos, à aucun moment je ne reconnais Christine … et puis je réalise que ces vidéos ont toutes été mises en ligne les années précédentes … Je change de site, mais c'est à peu de choses près pareil. Alors j'abandonne l'espoir de trouver  Christine comme ça.

 

Notre divorce se passe très mal. Je suis confronté à la fois aux mensonges éhontés et à des prétentions financières hallucinantes de Christine, ainsi qu'à l'agressivité hystérique de son avocate. Mais ça faisait partie des scénarios que j'avais envisagés. Aussi, par précaution, j'avais préparé une "arme de dissuasion nucléaire" sous la forme d'une clé USB contenant des extraits soigneusement sélectionnés de la vidéo de mon enquêteur. Face à l'absolue incompétence de mon propre avocat, je finis par remettre cette clé USB à l'avocate de Christine en lui précisant que ce n'est qu'un échantillon. Christine, sidérée que je sois en possession d'une telle vidéo, se demande par quel canal je me la suis procurée. Mais son avocate et elle comprennent que, si ces images arrivent sur le bureau de la juge, Christine est "cramée" comme avait justement dit mon enquêteur. Nous finissons donc par convenir d'un divorce par consentement mutuel et il est décidé que je garde la maison que nous avons achetée ensemble et que je verserai à Christine la moitié de sa valeur. Alors, ça va assez vite et je vois Christine pour la dernière fois une quinzaine de jours après le prononcé du divorce, quand nous passons chez le notaire pour régler cette question immobilière. Je ne la reverrai plus qu'après tant d'années, dans l'hôtel de Lionel et Caroline, venue là pour se faire sauter par une bande de mecs, sans doute comme tous les mois …


Par une espèce de contrecoup, ce divorce m'affecte profondément psychologiquement. Non pas que je regrette notre séparation, loin de là. Mais, d'un seul coup, de façon assez inexplicable, tout ce qui m'avait plu et excité dans les séances de baise de Christine avec tous ces inconnus, tout ça me procure maintenant une sensation de malaise … dégoût, écœurement, honte … pas tellement de ce qu'elle avait fait, non … surtout vis-à-vis de moi. Je me dégoûte d'avoir accepté ça … j'ai honte d'y avoir pris du plaisir et de ne pas avoir tenté de l'empêcher … Finalement, je ne revisionnerai jamais ce fameux DVD, et je ferai tout mon possible pour ne jamais repenser à tout ça, m'efforçant d'enfouir ces souvenirs au plus profond de mon esprit.


Mais si je ne revois pas Christine après notre divorce, peu à peu, des nouvelles me parviennent. Quelques âmes charitables se feront un plaisir de me rapporter avec délectation ce qui lui arrive, la fin de sa descente aux enfers. D'autres, anciens collègues à elle, anciens amis, le feront par compassion. J'apprends qu'elle commencera par se mettre en ménage avec son collègue Patrick. Pas très longtemps, selon ce qu'on m'en dira. Il retournera vivre avec sa femme. Pourquoi ? Mystère. Il n'aura sans doute pas supporté ses escapades nocturnes ou ses parties de cul au Huitième Ciel … 


Quelques mois plus tard, elle créera le scandale dans son école et dans la commune où elle travaille en allumant ouvertement en public tout ce qui porte une bite et une paire de couilles … collègues, pères d'élèves, employés communaux, commerçants … elle s'affiche en ville avec ceux qui cèdent à ses avances, et parfois se donne en spectacle avec eux en leur roulant des pelles en public, voire en leur tripotant le bas ventre … jusque dans la cour de son école ... des parents commencent à enlever leurs gamins de sa classe et même des autres classes …  Le bruit autour de tout ça déborde largement les limites de la commune où elle exerce: un jour, une connaissance habitant mon village me parle d'une maîtresse d'école d'un village voisin, qui a le feu au cul, en ignorant visiblement qu'il s'agit de mon ex. Plus tard, une rumeur circule selon laquelle des gamins auraient raconté à leurs parents qu'allant faire pipi aux toilettes pendant une récréation, ils auraient surpris "la maîtresse" en train de "sucer le zizi d'un monsieur" dans les cabinets ! Cette fois, une pétition aurait circulé parmi les parents d'élèves pour demander son exclusion, et sa hiérarchie, face au scandale, se serait décidée à la muter dans une école en ville.


Il faut croire que ça ne l'aura pas calmée, parce que, de là aussi, elle se fera virer. Jean-Claude, le directeur de son ancienne école, rencontré par hasard, m'expliquera que sa hiérarchie a fini par la muter dans un service administratif de l'Education Nationale dans le département voisin. 


Je finirai par apprendre que c'est là qu'elle aura touché le fond. En effet, quelques mois plus tard, on sonne à ma porte … c'est deux gendarmes:

- Bonjour monsieur … gendarmerie nationale … maréchal des logis Petit.

- Bonjour.


Le maréchal des logis Petit me colle une feuille de papier sous le nez … c'est une photocopie de la carte d'identité de Christine:

- Vous connaissez cette personne ?

- Ben oui, c'est ma femme … enfin, mon EX femme …

- Votre EX femme ?

- Oui, on est divorcés …

- Elle réside toujours ici ?

- Ben non … je vous dis qu'on est divorcés … ça fait … à peu près dix huit mois …

- Pourtant, c'est toujours cette adresse qui figure sur sa carte d'identité …


Il me montre la photocopie du verso de la carte … je remarque surtout qu'il y a des traces de sang de ce côté:

- Ben oui, je n'y peux rien, elle aura oublié de faire le changement … maintenant, je crois qu'elle habite dans le Val de Marne … qu'est-ce qui se passe ? Il y a du sang, on dirait. Elle a eu un accident ?

- Elle est hospitalisée ..

- Ah bon ? C'est grave ? Elle est blessée ?

- On peut entrer ?

- Oui, oui … excusez moi …


Je les fais entrer dans le séjour. Nous nous asseyons de part et d'autre de la table basse.

- Alors ? Elle est blessée ?

- Blessée … ça dépend ce qu'on appelle blessée … Disons qu'elle est en état de choc …

- Mais … qu'est-ce qui lui est arrivé ?

- Vous êtes toujours en relation, avec votre femme ?

- Ben non. On ne s'est pas revus depuis le divorce. On ne s'est pas séparés en très bons termes … Dites-moi ce qui se passe …


Il regarde son collègue, comme pour lui demander son avis … l'autre est un peu plus âgé et un peu plus gradé si j'en crois le nombre de barrettes sur son écusson de poitrine … il hoche la tête d'un air de dire "vas-y". Le premier reprend:

- Nos collègues du Val de Marne ont été appelés dans un squat à cause d'une bagarre générale … c'est une ancienne clinique désaffectée où il n'y a que des migrants … des soudanais, des afghans, des syriens et des irakiens … quand nos collègues sont arrivés, la plupart s'étaient sauvés ... il restait des blessés et d'autres qui disaient ne pas être impliqués dans la bagarre ... nos collègues en ont arrêté quelques uns, et après, ils ont inspecté les pièces qui servent de dortoirs pour voir s'il ne restait pas des blessés … et là, dans un des dortoirs, ils ont trouvé votre femme … elle était prostrée dans un coin … elle était … elle était nue, en sang, et apparemment, elle avait été rouée de coups … 


Oh putain ! Ce qu'il me raconte a évidemment quelque chose de dramatique, mais immédiatement, une idée tordue me vient sur ce qui avait pu conduire Christine dans un squat de migrants … D'une certaine manière ça serait une suite logique à tout ce que nous avons traversé dans les derniers mois de notre vie commune … comme si son comportement passé devait nécessairement la conduire à ça ! Alors je ne suis qu'à moitié surpris.


Le gendarme a dû voir ma tête. Il marque un temps avant de reprendre:

- Nos collègues n'ont retrouvé qu'un chemisier avec sa pièce d'identité dans une poche … rien d'autre … comme vêtement ou sous-vêtement, je veux dire … ni jupe ou pantalon, ni culotte … pas de sac à main non plus … rien ! Pourtant, ils ont fouillé tout le bâtiment … alors, soit on lui a volé, soit elle est arrivée comme ça dans ce squat … on ne sait pas, elle ne parle pas … alors on se demande si elle n'aurait pas été … enlevée ailleurs, amenée là et séquestrée pour … 


 Il s'interrompt et regarde son collègue. C'est le collègue qui poursuit:

- Oui, on est désolés de vous dire ça, mais on se demande si elle n'aurait pas été enlevée et amenée là de force pour servir de … d'objet sexuel à ceux qui vivent dans ce squat … Il n'y a que des hommes, dans ce squat … des jeunes, pour la plupart, et ils n'ont sûrement pas touché une femme depuis des mois … alors on pense qu'ils l'ont violée, votre femme … collectivement … elle avait des traces de … des traces de sperme … sur les cuisses et sur les fesses … beaucoup ! Et c'est peut-être pour elle qu'une bagarre a éclaté entre eux …


Et oui, bien sûr … du sperme sur les cuisses et sur les fesses … je m'attendais plus ou moins à ça … oh, pas par rapport à cette "raclée" dont ce sperme serait la suite ou la conséquence … non, c'est parce que, pour moi, si Christine s'est retrouvée dans un endroit où il n'y a que des hommes, et surtout des hommes en manque de sexe, il était inévitable qu'elle se fasse baiser … les gendarmes ne parlent que de ses cuisses et de ses fesses, mais à mon avis, du sperme, elle doit en avoir aussi dans le vagin, voire dans l'estomac …


Il observe mes réactions et c'est l'autre qui reprend:

- Vu son état et ses réactions, on se demande aussi si elle n'aurait pas été droguée … des examens sanguins pourraient nous le dire … Le problème … c'est que … elle refuse qu'on lui fasse une prise de sang ou des prélèvements gynécologiques … Ça permettrait pourtant de relever des traces ADN et de chercher qui l'a violée, mais elle s'est enveloppée dans un drap de l'hôpital pour empêcher l'infirmière et le médecin de lui faire le moindre prélèvement … On comprend pas pourquoi elle refuse … Vous pourriez peut-être essayer de la convaincre … 


Qu'est-ce que je peux leur dire, aux gendarmes ? L'idée qui m'était tout de suite venue s'est confirmée au fur et à mesure qu'ils m'expliquaient, et malgré ce qu'ils m'expliquaient. Vue la pente toujours plus dangereuse dans laquelle elle s'était engagée alors que nous étions encore mariés, j'ai la conviction que si elle s'est retrouvée dans ce squat de migrants "où il n'y a que des hommes, jeunes pour la plupart", ce n'est pas amenée de force … c'est sûrement à son initiative et pour y faire … " son marché ". Des mâles en manque de femme depuis des mois, regroupés au même endroit … quoi de mieux, quand on a envie de se faire passer dessus à la chaîne ? Alors, à mon avis, elle n'a pas été violée … au début, du moins … après, ça a peut-être tourné au vinaigre si il y a eu des histoires de partage ou de priorité entre les différentes communautés … Je peux leur faire part de mon point de vue, aux gendarmes ? Et si elle refuse qu'on lui fasse des prélèvements, c'est peut-être parce que n'ayant pas été violée, elle ne veut pas que ces types aient des emmerdements … le viol, c'est les assises ! Et le fait qu'il soit collectif, c'est une circonstance aggravante. Malgré tout le reste, et l'abandon de toute morale sexuelle, je pense que Christine a quand même gardé un certain sens de … de l'équité, de la justice. Et puis, elle doit se douter que si ceux qui l'ont baisée et qui lui ont laissé des traces se font choper, ils pourront expliquer qu'elle est venue là de son plein gré et que c'est elle qui les a chauffés … 


Je réalise qu'il y a eu un long silence. Les deux gendarmes m'ont laissé le temps de réfléchir, et ils attendent que je leur réponde. 

- Ecoutez, je … ça va peut-être vous paraître … euh … bizarre, ou je ne sais quoi, mais … je veux bien aller lui parler, histoire d'en avoir le cœur net, hein, c'est pas la question … mais je ne crois pas que je pourrais la convaincre de se laisser prélever quoi que ce soit … ni moi ni personne, d'ailleurs …

- Ah bon ? Mais pourquoi ?


Ils ont réagi en chœur, les deux gendarmes. Ils me regardent, les yeux ronds. Je reprends:

- Je vais sûrement vous choquer, hein … mais je répète, si vous voulez que j'aille lui parler, j'y vais … c'est pas le problème …

- C'est quoi le problème, alors ?


Comment ils vont prendre ça ? Ils ne vont sûrement pas me croire. Tant pis, je me lance:

- Ben … le problème, à mon avis, c'est qu'elle n'a pas été enlevée, ou emmenée de force dans ce squat et qu'elle n'a été ni séquestrée et violée … 


Ils ont tous les deux la mâchoire qui tombe d'étonnement. J'enchaîne:

- Elle s'est sûrement fait … enfin, elle a sûrement eu des rapports sexuels avec des … des résidents de ce squat … mais à mon avis, elle y a été tout à fait volontairement … et elle y a été exprès pour ça … pour se faire … pour avoir des rapports sexuels avec ces … ces migrants !


Ils sont stupéfaits:

- Vous … vous vous rendez compte de ce que vous nous dites ?

- Oui, oui, je me rends compte … parfaitement. Vous savez, si on a divorcé, c'est parce que, soudainement, elle s'est mise à avoir des … comment vous dire … des aventures avec des hommes … mais pas des aventures successives avec un homme différent à chaque fois … non … c'était plutôt des … des expériences de groupe, si vous voulez … c'est-à-dire elle avec plusieurs partenaires en même temps … cinq, six, dix hommes … parfois plus ...


Je ne peux quand même pas leur dire " plusieurs dizaines 

- En ... en même temps ? Vous voulez dire qu'ils étaient plusieurs avec elle et que …

- … et qu'ils couchaient avec elle l'un après l'autre …

- Oui.

- Comme une … comme une tournante, en somme …

- On peut dire ça comme ça … 

- Vous déconnez … pardon … excusez-moi …

- Je vous en prie, je comprends que ça vous étonne, mais je déconne pas … ça se passait même ici, parfois … sur le canapé où vous êtes assis, notamment …


Dans un ensemble parfait, il regardent le canapé … Je poursuis:

- Mais elle fréquentait aussi un club libertin, pour ça … Je peux vous montrer une vidéo, si vous voulez …

- Vous … vous avez une vidéo ? Vous la … vous la filmiez pendant qu'elle …

- Non, pas moi. Un détective privé que j'avais mandaté pour recueillir des preuves … il l'a filmée en action dans ce club libertin. Elle avait pris goût à ça après une première expérience dans ce club … et elle n'arrivait plus à s'en passer … jamais rassasiée … elle était devenue nymphomane, quoi …

- C'est un peu gros, ce que vous nous dites !

- Oui, je sais que ça peut paraître gros … mais il n'y a pas que cette vidéo … vous pouvez vérifier autrement … en interrogeant la mairie de l'école où elle travaillait quand nous étions mariés … et ses collègues … et son inspecteur … ils ont été obligés de la muter puis de la virer, tellement elle se comportait … comme ça, publiquement … C'est pour ça qu'elle a dû déménager dans le Val de Marne … Vous voulez voir un peu de cette fameuse vidéo ?


Ils se regardent, et le plus gradé prend l'initiative:

- Ben … on veut pas non plus vous … si ça vous embête de nous montrer ça …

- Ah, ça ne m'embête pas du tout … je vous montre un petit bout … vous verrez, c'est édifiant …

- Bon … on veut bien alors … c'est pour notre enquête, hein …

- Oui, oui. Bougez pas …


Je monte dans mon bureau pour prendre mon ordinateur. Je retrouve le DVD, toujours coincé entre deux bouquins dans la bibliothèque. J'entends les gendarmes parler à voix basse en bas. Je redescends, je pose l'engin sur la table basse devant eux et je le mets en route. Pendant qu'il démarre, je les avertis:

- Je vous préviens, c'est du hard, hein …


Le yeux braqués sur l'écran, ils attendent … je ne dirais pas patiemment … au contraire. Voilà, l'engin est prêt. J'installe le DVD et je le lance … avance rapide … il y a longtemps que je l'ai regardée, cette vidéo, mais je me rappelle à peu près à quel moment elle devient vraiment "intéressante". Voilà … musique, cris, applaudissements … Les deux pandores ont la mâchoire qui tombe … le plus jeune déglutit, et:

- Ah oui, en effet ! C'est votre femme, là ?

- Oui … à l'époque c'était encore ma femme. 


Il jette un coup d'œil à la photocopie de sa carte d'identité:

- On a du mal à la reconnaître. Nous, on n'avait vu que les photos que nos collègues nous ont envoyées … et elle est amochée, dessus … vous voulez les voir ?

- Je n'y tiens pas, merci.


Le plus gradé hoche la tête. J'ai l'impression qu'il commence à voir clair. Je reprends:

- Alors, selon moi, elle était sans doute allée dans ce squat de migrants dans la même intention que dans ce club … et c'est pour ça qu'elle ne veut pas qu'on lui fasse des prélèvements … elle n'a pas été violée et elle ne veut pas que les types qui l'ont baisée aient des ennuis …

- Mais elle a pris des coups, quand même … comment vous expliquez ça ?

- Ça, je ne sais pas … une bagarre a pu commencer parce que certains ne voulaient pas la partager avec les autres … Vous me dites qu'il y a des migrants de plusieurs origines dans ce squat … d'après ce qu'on entend dans la presse, il y a souvent des heurts entre les différentes communautés … alors elle s'est peut-être trouvée prise dans la mêlée … ou elle a voulu les séparer … ou prendre parti pour les uns contre les autres … encore que ça, ça m'étonnerait … 

- Pourquoi, ça vous étonnerait ?

- Ben … telle que je la connais, je la vois mal avoir une préférence pour certains plus que pour d'autres … elle prend tout le monde … je vous choque sûrement en parlant comme ça, mais à l'époque, c'était vraiment ça … elle prenait vraiment tout le monde … les blancs, les noirs, les arabes … pour dire les choses crûment, du moment qu'un mec avait une bite en état de marche, elle le voulait … alors, soudanais, irakiens, syriens, afghans … à mon avis, aucune préférence, pour elle … 

- Bon … on va vérifier ce que vous nous dites …

- Oui, oui, vérifiez … Allez à la mairie de N., à celle de M. … demandez à sa hiérarchie … vous verrez. Mais je vous répète, si vous voulez que j'essaie de la convaincre, j'y vais …

- On verra … autrement, vous lui connaissez de la famille ? Parce que ... il faudrait quand même que quelqu'un s'occupe d'elle …

- Elle a des frères et sœurs, mais déjà, avant qu'on divorce, elle n'avait plus beaucoup de rapports avec eux … je ne sais même pas où ils habitent, maintenant … elle vous le dira peut-être … encore que ça m'étonnerait qu'elle veuille leur raconter ce qui lui est arrivé ...

- Bon …

- Par contre, ce que vous pouvez faire, c'est prévenir son avocate … elles étaient assez proches l'une de l'autre au moment de notre divorce … je vais vous donner ses coordonnées …


L'autre gendarme n'a pas quitté l'écran des yeux, comme fasciné. Le gradé reprend:

- Bon, nous, on va faire notre rapport … Euh, pour nourrir notre dossier, ce serait possible d'avoir une copie de votre vidéo ? 

- Non. 

- Ah bon ! C'est net, au moins.

- Vous pouvez faire un rapport sur ce que je vous ai montré, mais vous donner une copie, c'est non. Je vous répète, vos pouvez enquêter auprès de ceux qui ont travaillé avec elle … vous verrez … il me semble qu'ils sont encore tous dans la même école …

- Très bien … on va y aller … hein, Petit … on y va !


Petit détache enfin son regard de l'ordinateur. Je les raccompagne à la porte. En leur serrant la main, je leur dis:

- Je vous ai dit, hein … si c'est nécessaire, je me déplace … faites le moi savoir …

- D'accord.


Ils s'en vont. Je n'aurais plus de nouvelles des gendarmes. Seule l'avocate de Christine m'enverra un mail pour me remercier de l'avoir fait prévenir et me donner des nouvelles … Christine n'avait rien de cassé, seulement des contusions … elle va aussi bien que possible … la justice a classé cette affaire.


Voilà … voilà où elle en est … chercher des mecs dans un squat de migrants ! Elle a vraiment touché le fond. 


La visite des gendarmes et la mésaventure de Christine me rappellent autre chose … son séjour au Cap d'Agde au cours de son été de débauche. Et si, maintenant, après des mois, une vidéo d'elle avait enfin été mise en ligne sur Internet … Je retourne explorer le Web et les sites que j'avais déjà visités à l'époque … Tout d'abord, je retrouve essentiellement des vidéos que j'avais déjà regardées, mais il y a aussi quelques nouveautés … mais toujours pas de Christine … il y a aussi de nouveaux sites qui reprennent les mêmes anciennes vidéos … Mais surtout, sur ces nouveaux sites, il y a des vidéos mises en ligne plus récemment … je dois dire que je ressens la même chose que quand j'avais parcouru ces sites la première fois, il y a quelques années … même si tout le monde est à poil, si on voit une multitude de quéquettes et de foufounes, toutes aussi imberbes les unes que les autres, ce n'est pas seulement ce naturisme "classique" qui est troublant … c'est surtout que ces couples qui lézardent sans pudeur, à poil au soleil sur une plage bondée, se laissent tout naturellement aller à leurs envies … comme cette femme qui somnole à moitié, étendue sur le dos, la tête appuyée sur le ventre de son compagnon et qui lui tripote machinalement la bite en érection … ou ce couple, tous deux allongés côte à côte sur le ventre et qu'on pourrait croire endormis, si ce n'est que l'homme, la paume de sa main entre les fesses de sa compagne, est en train de jouer avec ses petites lèvres et son clitoris … ou encore cette femme qui administre une fellation à son homme … et tout ça au milieu des autres "estivants" qui n'y font pas plus attention que cela … ça doit être vraiment agréable de vivre comme ça, et de pouvoir laisser libre cours à ses envies, à ses pulsions sans craindre le jugement ou la réprobations des autres … 


Certains sites et certains auteurs de ces vidéos ont nettement une préférence pour ce genre de scènes, certes libertines mais pas vraiment scandaleuses ou dépravées … en revanche, d'autres sites rassemblent des vidéos nettement plus hard … des vidéos où on n'est plus dans du naturisme "ordinaire", ni même dans des pratiques sexuelles "classiques" et plus ou moins banales ou innocentes bien qu'elles se déroulent en public … là, on est ouvertement dans la débauche sexuelle … là, des femmes, principalement des femmes, pratiquent du sexe hard et se donnent en spectacle sous les yeux de bandes de voyeurs, la queue à la main, qui se branlent sans vergogne en regardant … et la pluralité sexuelle est quasiment de règle … cela va de la femme qui se masturbe face à une demie douzaine de branleurs qui finissent par lui éjaculer sur la poitrine et la figure, jusqu'à celle qui s'accouple successivement avec plusieurs inconnus sous les yeux de son compagnon, en passant par celle qui taille des pipes à tous ceux qui lui présentent leur bite. Voilà donc qui est tout à fait dans les goûts de Christine, et je me dis que, cette fois, je pourrais bien tomber sur une vidéo d'une de ses "prestations".


Et en effet, parmi les vidéos mises en ligne depuis cette fameuse année de débauche, je finis par en trouver une où je reconnais Christine … pas immédiatement, je dois dire … sa tête n'apparaît pas tout de suite … la vidéo commence sur un attroupement de types … vingt ou vingt cinq … tous la bite à la main, en train de regarder quelque chose à leurs pieds … puis on découvre que ce quelque chose, c'est le dos d'un autre type visiblement en train de besogner une femme sur qui il est allongé … on voit d'abord son dos, à ce type, puis son crâne rasé surmontant une sorte de cou de taureau … de la femme, enfin, de Christine, on ne voit tout d'abord que les cuisses, repliées dans la position du lotus, de part et d'autre du torse du type qu'elle enlace fiévreusement …  et puis, celui qui filme se déplace, et vraisemblablement s'accroupit pour filmer la femme … et la femme ... c'est CHRISTINE ! ! ! !


Je la reconnais immédiatement. Ce plan dans lequel on voit sa tête ne dure que quelques secondes, mais c'est bien elle … elle jette un regard vers l'objectif de celui qui filme … puis un travelling balaie les deux corps jusqu'au niveau de leurs bassins … le type … le type qui baise Christine, en effet, est un costaud … gros bras, torse épais, fesses musclées, cuisses puissantes … ce mec fait sûrement de la gonflette … entièrement bronzé, sans aucune marque de slip ou de maillot de bain … et le corps luisant de sueur ou d'huile solaire … celui qui filme - je me demande si il exhibe ouvertement sa caméra ou son camescope, ou s'il filme avec une micro caméra intégrée à des lunettes de soleil, comme avait fait mon détective au Huitième Ciel … en tout cas, la vidéo est de très bonne qualité - celui qui filme braque maintenant son objectif sur … sur le coït du costaud et de Christine … il les filme de côté et on voit parfaitement la bite du type qui va et vient entre les cuisses de Christine … on voit nettement le pubis du type venir frapper la vulve de Christine … si jusque là on pouvait encore avoir un doute sur ce qui se passait – ce mec aurait pu être simplement en train de se frotter la verge sur la vulve de Christine, sans la pénétrer -, maintenant, c'est très net: ce mec a bel et bien sa queue DANS Christine et il est bel et bien en train de la baiser … oui, donc, celui qui filme le fait ouvertement, caméra en main et au vu et au su de tout le monde, parce que là, il filme pratiquement au ras du sol … et si il filmait avec une micro caméra intégrée à une paire de lunettes, comme mon détective l'avait fait au Huitième Ciel, il faudrait qu'il ait la tronche au ras du sol … 


Soudain, on entend une voix… quelqu'un a posé une question … en l'allemand ou dans une langue dans ce genre – c'est le cameraman, apparemment -… et quelqu'un d'autre lui répond brièvement " Ya ! " – sans doute le costaud qui baise Christine - la caméra se déplace alors pour venir s'installer derrière le costaud, entre ses jambes et toujours au ras du sol … alors maintenant, on voit … en premier plan, on voit les couilles du type … une grosse paire de couilles … une grosse paire de couilles totalement imberbes et luisantes … des grosses couilles qui ne pendent pas, qui ne ballottent pas … au contraire, ses grosses couilles paraissent  trapues, denses, ramassées, compactes … elles donnent une impression de … de force, de puissance, comme le mec lui-même … et au-delà ses grosses couilles, on aperçoit la bite du type qui entre et qui sort de la chatte de Christine … une bite large … pareil, une bite qui donne une impression de puissance … et une bite elle aussi luisante, dont on voit nettement qu'elle ne porte pas de capote … le mec la baise comme ça, sans capote …


Oh putain, quel spectacle ! Ça m'excite terriblement ! Oui, parce que je ne peux pas m'empêcher d'imaginer la … la QUEUE, la PINE de ce mec qui va et vient dans le sexe de Christine … et le gland de ce mec … son gland turgescent, gonflé de sang et de désir qui se frotte contre les muqueuses vaginales de Christine, qui lui fouille littéralement la chatte … son gland est décalotté, nu, et c'est chair dans chair, viande dans viande … et telle que je connais Christine, ce mec doit savoir qu'il peut la baiser VRAIMENT … ce mec doit savoir qu'il n'a pas besoin de se retirer pour jouir, qu'il peut laisser sa BITE dans sa chatte jusqu'au bout de son orgasme et, le moment venu, lui envoyer sa semence au fond de l'utérus … Arc-bouté sur ses doigts de pieds plantés dans le sable, qu'est-ce qu'il lui met, le taureau, à Christine ! Mais, à la manière dont il la tronche, il est évident que ce mec se préoccupe uniquement de son plaisir à lui … il ne cherche pas à la faire jouir, il n'a qu'un but, tirer son coup, se vider les couilles … A mon avis, et toujours telle que je la connais, c'est sûrement Christine qui lui a fait savoir, ainsi qu'à tous ceux qui regardent, que son plaisir à elle, c'est de se faire passer dessus … de se faire baiser à la chaîne … 


Ah oui, c'est terriblement excitant ! Elle se fait sauter par un inconnu … oui, parce que je suis sûr qu'avant que ce type ne commence à l'entreprendre, elle ne le connaissait pas … ça doit être un mec qui traînait sur cette plage en quête d'une salope à tringler, et il a dû venir voir ce qui provoquait cet attroupement, Christine étant sans doute déjà occupée avec un autre mec … il aura attendu son tour en la regardant sucer ou se faire baiser, et une fois son gros engin en érection, il lui aura mis sous le nez … 


J'arrête la vidéo et je la remets au début … je ne me lasse pas de regarder ce type baiser ma femme … MA femme ? ! ? ! Ben oui, je réalise qu'à ce moment là, au moment où elle se faisait baiser par ce … par cette espèce de taureau, sur cette plage du Cap d'Agde, Christine, était encore ma femme … aux yeux de la loi, du moins … et ça contribue à mon excitation, que ce soit MA femme que ce mec baise comme ça … et le fait que ce type soit … cette espèce de … cette espèce de taureau puissant, vigoureux, et doté d'un tel appareil génital … ce mec est l'image du mâle dominant, du mâle reproducteur, et ça ne m'est pas indifférent … au contraire, ça me plaît … rétrospectivement, je me sens flatté qu'un tel … qu'un tel étalon, ait eu envie de couvrir, d'honorer … et de féconder ma femelle … 


Et curieusement, cette fois, la contemplation de ce spectacle ne m'inspire pas la moindre honte, pas le moindre sentiment de culpabilité … oui, là, contrairement aux scènes de baise de Christine avec d'autres mecs auxquelles j'ai assisté en personne, là, il n'y a aucune complaisance de ma part, aucun "laissé-faire"… alors ce spectacle me procure seulement une intense excitation … évidemment une excitation naturelle comme pourrait en produire n'importe quelle scène de sexe, mais surtout une excitation due au fait que c'est Christine, ma femme, que je regarde se faire baiser en public par ce … par cet étalon … putain, comme j'aurais aimé assister à ça … et faire savoir aux mecs qui regardent que c'est ma femme qui se fait baiser …

 

Et sans aucune transition, la scène change radicalement … c'est toujours Christine qui en est le centre, mais elle est maintenant à genoux aux pieds d'un type … un autre type … plus maigre, plus quelconque que le costaud qui la baisait … plus maigre et moins bronzé … et … et elle est maintenant en train de sucer la bite de ce type, toujours sous les yeux d'une bande de branleurs … Je ne sais pas si le costaud qui la baisait est allé jusqu'au bout, s'il a tiré son coup, s'il l'a … s'il l'a "fécondée" … j'espère qu'il l'a "fécondée" … Ah non, elle n'est pas seulement en train de tailler une pipe à un ce type … la cameraman a un peu bougé, et maintenant, on voit que, tout en suçant celui-là, elle en masturbe machinalement un autre … Je me demande … je me demande si c'est à cette scène qu'a assisté le lyonnais et dont il a parlé à mon enquêteur … en tout cas, ça ressemble à ce qu'il a expliqué au détective …


Et brusquement, de nouveau, on change de configuration … cette fois, Christine, à quatre pattes sur une espèce de natte tressée, est prise en levrette par un autre type …  encore un autre type … à genoux entre ses mollets, les mains plaquées sur ses hanches, il la baise vigoureusement … Christine, cambrée, le menton appuyé sur ses avant bras croisés à plat sur sa natte, paraît beaucoup apprécier ce que ce mec lui fait. Rhôôôô, putain, déjà prise par deux types différents sur cette plage … et apparemment au cours d'une même séance, parce que, pour le peu qu'on en voit, autour, ce sont les mêmes voyeurs qu'avec les deux types précédents … celui qui filme braque son objectif sur le cul de Christine, et on voit bien, cette fois encore, le sexe du type qui va et vient en elle … on entend de nouveau la voix du cameraman " langsam bitte " (" lentement, s'il te plaît ")… et il zoome … il zoome sur le sexe du type qui, comme s'il obéissait à ce que le cameraman vient de lui demander, ralentit son va et vient … alors, on voit en gros plan la bite du type qui s'enfonce dans la chatte de Christine et qui en ressort lentement … qui en ressort luisante, elle aussi, et sans capote … putain, lui aussi, il la baise sans capote … encore deux ou trois allers et retours comme ça et un nouvel ordre du cameraman " jetzt, Deinen Schwanz raus " (" maintenant, ta bite sortie ")… le type sort lentement sa queue et il la pose sur le haut des fesses de Christine … Oh putain ! Son gland … un gland énorme, disproportionné par rapport au diamètre de sa verge … un gland rouge, gonflé de sang et tout luisant de sécrétions … c'est ce gland qui fouille les chairs de Christine, c'est ce gland qui va et vient dans ses muqueuses, jusqu'au fond de son vagin … et qui, sans doute va finir par y répandre du sperme ! 


" Danke ! ". C'est le cameraman qui remercie le type et qui tourne maintenant son objectif vers Christine … on a tout juste le temps de voir le type replacer sa bite entre les fesses de Christine … elle, souriante, maintenant appuyée des deux mains sur sa natte, tourne la tête pour regarder ce qui se passe derrière elle …


- Tu aimes comme il te baise ? 


Le cameraman s'est adressé à Christine avec un fort accent germanique. Elle lève les yeux sur lui, fixe l'objectif de la camera et:

- Oui, j'aime ça …

- Quand il a fini, tu veux encore des hommes ? Il y a encore des hommes qui te veulent … plusieurs …


Il balaie l'assistance avec sa caméra. Il y a toujours un tas de types autour d'eux … à vue de nez, plus d'une vingtaine… et ils sont encore plus près de Christine et de son amant qu'au début de la vidéo … deux spectateurs sont assis à même le sable, presque au contact de Christine, et ils se masturbent en regardant … 


- Alors, tu veux encore des hommes, quand il a fini ?

- Oui.

- Lesquels hommes ? Tu choisis quels hommes ?

- Non, je choisis pas … ceux qui veulent …


Aussitôt, autour, on entend des commentaires, des rires et quelques applaudissements …


- Ceux qui veulent ? Et toi, tu veux quoi ? Baiser ? Sucer leur bite ?

- Comme ils veulent … 

- Mais toi, tu préfères baiser, non ?

- Oui, mais si ils préfèrent que je les suce, je les suce …

- Du bist wirklich eine große Schlampe !

- Ça veut dire quoi ?

- Ça veut dire "Tu es vraiment une grosse salope".

- Ah, oui … merci.

- Pas de quoi …


Curieuse atmosphère … des rayons de soleil passent entre les spectateurs et caressent les deux corps accouplés … et au gré des mouvements de la camera de celui qui filme, on devine, au-delà des deux rangs de ces spectateurs, des estivants … enfin, des naturistes, qui bronzent sur leur serviette, d'autres qui circulent ou qui discutent en petits groupes … comme si de rien n'était  … et apparemment, ce n'est pas parce qu'ils ignorent ce qui se passe sur cette natte de paille et autour … non, mais, sans doute parce que ce genre de scène est courant sur cette plage, ils n'y prêtent pas plus attention que cela …  comme si il était tout à fait naturel qu'une femme se donne en public à tous les mecs qui passent par là …


Et brusquement, la vidéo s'arrête … oui, elle est finie … seul apparaît sur l'écran " Mehr auf der Website Französische-Schlampen.com/de ". C'est visiblement l'adresse d'un site Internet allemand. Je n'ai que de vagues notions d'allemand, mais je n'ai pas de mal à trouver ce que ça veut dire … " plus sur le site Salopes Françaises.com ". Cette vidéo ne devait donc être qu'un teaser, destiné à attirer les amateurs vers un autre site, où, probablement, se trouve la vidéo complète … Alors j'y vais … mais impossible de me connecter … apparemment ce site n'existe pas … ou n'existe plus. Et j'ai beau chercher sur Internet, pas moyen de trouver trace de cet autre site pas plus d'une autre vidéo de Christine … et celle-ci, qui fait un peu plus de 6 minutes, impossible de l'enregistrer … Merde ! Quelle frustration ! 


Voilà, cet épisode aussi m'est revenu en mémoire dans le flot de souvenirs qu'a déclenché ma rencontre inattendue avec Christine dans l'hôtel de Lionel et Caro.


En ce qui me concerne, après notre divorce, je décline deux ou trois sollicitations féminines. Devenu méfiant, je n'ai pas envie de tenter tout de suite une nouvelle expérience avec une femme. Je trouve dans des pratiques solitaires des substituts au sexe. Je peux maintenant laisser libre court à mon goût pour la lingerie féminine, et j'explore de nouveaux chemins vers le plaisir … introductions anales, naturisme sauvage en extérieur, exhibitionnisme … au bord des autoroutes et sur Internet … 


Et on connaît la suite … de plus en plus intéressé par les hommes, mes semblables, je finirai par avoir ma première expérience homosexuelle, suivie de plusieurs autres.  Tout cela me conduira dans un premier hôtel où six blacks me prendront de force et me révéleront mon addiction à la bite. Puis ce sera un gangbang géant  au cours duquel une trentaine de mâles me passeront dessus … Quels souvenirs ! Puis des amants me livreront à des inconnus dont l'un voudra me mettre au tapin … puis ce sera une première expérience avec des chiens … une deuxième expérience avec des chiens … et des types, des types et encore des types …


Curieusement, à aucun moment, je n'établirai un rapport entre mon goût, mon addiction pour la bite et ce que Christine avait fait,  et ce que Christine était devenue … comme si mon esprit y mettait un obstacle … Et ce, donc, jusqu'à hier … jusqu'à ce que je me retrouve face à elle dans cet hôtel et que tout remonte d'un seul coup. J'ai commencé à réaliser sur le parking de l'hôtel, assis à mon volant … je ne sais pas combien de temps je suis resté là à laisser les souvenirs se déverser … et ça a continué chez moi, mais je ne me souviens absolument pas avoir fait le trajet de retour … et une fois à la maison, incapable de faire quoi que ce soit d'autre, j'ai laissé les souvenirs défiler. C'était un flot ininterrompu, incontrôlable, et pourtant tellement net et précis … malgré les années, rien ne s'était effacé ou atténué, ni les images, ni les noms, ni les lieux, pas même les conversations … je revivais tout cela comme si ça s'était passé la veille …


Et là, devant l'évidence, j'ai réalisé … ce que je suis devenu, cet … objet sexuel … ce jouet sexuel à la disposition des mâles, de tous les mâles - humains et animaux -, c'est … c'est la reproduction, l'imitation de ce que Christine avait fait … et pour moi, même si, sur le coup, je n'en avais pas conscience, tout est parti de là … d'abord de cette soirée dans ce club libertin, le Huitième Ciel … c'est parti de cette première partie de cul entre Christine et ces cinq types … il y avait tout, ou presque, dans cette partie de cul … tout ce que j'aime maintenant et dont je ne peux plus me passer … elle s'est offerte à des inconnus, et j'aime m'offrir à des inconnus … elle s'est fait baiser par plusieurs hommes en même temps, et j'aime me faire baiser par plusieurs hommes en même temps … elle s'est fait baiser en public, et j'aime me faire baiser en public … elle s'est fait baiser par des blacks, et j'aime me faire baiser par des blacks … elle s'est fait baiser sans capote et elle s'est fait remplir le ventre de sperme, et j'aime me faire baiser sans capote et me faire remplir le ventre de sperme …


Je réalise qu'inconsciemment, le plaisir que j'avais pris à regarder ma femme se faire baiser par d'autres hommes n'était pas uniquement un plaisir de voyeur … obscurément, tout au fond de moi, sans me l'avouer, je l'avais enviée … j'avais eu envie d'être à sa place … j'avais eu envie de me faire prendre par ce beur et par ces trois sénégalais sous les yeux des couples libertins dans ce club … puis je l'avais enviée de s'être fait sauter dans notre jardin par cinq jeunes mecs, un chaud après-midi d'été, je l'avais enviée de se faire sauter par sept "footeux" là, dans notre séjour puis dans notre jardin, une nuit d'été … inconsciemment, je l'avais enviée d'être ainsi désirée par les inconnus … je l'avais enviée de les exciter, de les faire bander, de leur donner envie de s'accoupler avec elle … je l'avais enviée de toucher, de caresser des sexes d'hommes … je l'avais enviée d'avoir pris des bites en érection dans sa bouche, d'avoir senti sur sa langue la chaleur et la douceur de la peau de glands gonflés de sang et d'excitation … je l'avais enviée d'avoir ouvert son intimité à des sexes de mâles en rut, de les avoir laissés la pénétrer et prendre du plaisir en elle … je l'avais enviée d'avoir reçu leur semence au fond de son ventre … j'avais refoulé toutes ces envies, mais ces désirs inavoués s'étaient implantés en douce dans ma libido comme des petites graines attendant, comme en sommeil, que des conditions favorables leur permettent de germer. 


J'ai enfin réalisé tout ça et j'ai fini par m'endormir. Sommeil agité.

 

Dimanche 10 décembre. 9 heures.

 

C'est Yolaine qui me réveille en sonnant à ma porte. Elle rentre seulement de l'hôtel où je l'ai déposée hier. Elle paraît fatiguée, mais elle est radieuse et elle me saute au cou:

- Bonjour … Ah la la … ce que c'était bien ! Franchement, je regrette pas …

- T'es contente, alors … ça s'est bien passé ? 

- Oh la la, oui ! 

- Tu t'es bien fait sauter ? Tu t'es tapé combien de mecs ?

- Ils étaient une quinzaine … et ils m'ont tous baisée … enfin … oui, c'est ça … ils m'ont tous … fourrée … mais pas tous jusqu'au bout … la plupart avec une capote, mais ça fait rien, c'était … oh la la ! Et à la fin, il y en a que cinq qui m'ont … qui ont … qui ont joui dans ma chatte … En fait, on était trois … trois femmes, je veux dire … il y avait Christine, évidemment, et une autre … c'est son mari qui l'avait amenée, celle-là … et il est resté là, à la regarder se faire baiser par d'autres hommes et à se tripoter … 


Oui, j'ai connu ça … du moins ce que ça procure comme sensations de voir sa femme se faire baiser

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mardi 17 juillet 2018 2 17 /07 /Juil /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.


Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

Il est bien évident aussi que je réprouve et condamne totalement toute violence ou toute contrainte exercée sur autrui.

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

 

Je suis sidéré. L'échantillon de vidéos que mon détective privé vient de me montrer dépasse tout ce que j'avais imaginé jusqu'ici: Christine, au club le Huitième Ciel, se fait baiser au milieu de la piste de danse par … ben par tous les mecs qui sont là ! Pas par quelques uns, non, par tous ceux qui le veulent … Plus ou moins inconsciemment, j'avais commencé à compter les premiers types qui la baisent … j'étais rapidement arrivé à douze, mais fasciné par le spectacle, j'ai perdu le fil …  


C'est dans ce club que tout a commencé, un soir de fin juin … par provocation, elle avait commencé à se donner en spectacle et à chauffer des mecs sur la piste de danse, et de fil en aiguille, prise au jeu, elle en était arrivée à se laisser tripoter, puis à se faire baiser … d'abord par un premier type, là, sur la piste de danse, au milieu des autres clients, et surtout devant moi … puis par quatre autres mecs … et j'avais laissé faire !

 

Oh, je m'étais bien trouvé des excuses pour ne pas intervenir … nous étions entrés dans ce club libertin plus ou moins en connaissance de cause … la peur de me faire casser la gueule si j'essayais d'empêcher ça … mais en fait, oui, j'avais aimé voir ça … ma femme se faisant baiser par des inconnus ! J'avais d'abord été un peu partagé entre le choc de ce qui se passait sous mes yeux et la découverte, en réel, de cette pratique sexuelle que je ne connaissais jusque là que par ouï-dire … le candaulisme ... une femme, se donnant à des inconnus devant son mari, et en public … et je m'étais rapidement laissé gagner à la fois par l'excitation et par une espèce de fierté que ce soit ma  femme … oui, MA FEMME … qui se livre ainsi à cette débauche en public avec cinq jeunes beaux mâles … et ce soir là, ce tout premier soir de débauche absolue, elle était allée jusqu'au bout … baisée sans préservatif successivement par un "latin lover", puis par trois frères sénégalais et par un beur, elle les avait laissé jouir tous les cinq en elle et répandre leurs semences au fond de son ventre … 


Et j'ai maintenant la conviction que c'est cette première séance de débordements libertins qui a tout déclenché … oui, ce soir-là, Christine a pris goût à la pluralité sexuelle, à se donner à plusieurs hommes en même temps… et peut-être même à se donner à plusieurs INCONNUS en même temps … parce que, une autre évidence s'est peu à peu imposée à moi … ce qui lui  plaît, je dirais même ce qu'il lui faut, c'est toujours de nouveaux hommes … elle aurait pu, elle pourrait encore se "contenter" de quelques amants réguliers, toujours les mêmes, comme une "sex team", mais non … elle en cherche constamment de nouveaux … comme si un homme ou un groupe d'hommes ne l'intéressait plus une fois qu'ils l'ont baisée … ce soir-là, dans ce club libertin, elle est donc devenue accro à la pluralité sexuelle, mais aussi et SURTOUT … à l'éjaculation de ses amants au fond de son ventre … maintenant, c'est apparemment ce qui la fait jouir, ce qui déclenche ses orgasmes … bien sûr, elle se chauffe, elle s'excite avec les préliminaires … caresses, masturbations, fellations … mais ce qui la fait vraiment grimper aux rideaux, c'est de sentir les types jouir au fond de son vagin … c'est de sentir qu'ils déchargent leur sperme jusque dans son utérus … c'est comme une réaction chimique ou organique … la semence de ses amants, en entrant en contact avec ses muqueuses, en se mêlant à ses propres sécrétions, provoque une véritable décharge de plaisir … c'est puissant, violent, spectaculaire … Et son addiction au sperme est devenue si intense qu'elle rejette toute précaution, refusant dorénavant que ses amants mettent un préservatif et exigeant d'eux qu'ils ne jouissent que dans son ventre et à la rigueur dans sa bouche !


Et moi … et bien, je dois dire que je suis aussi devenu accro à tout ça … à la voir se livrer à cette débauche … oui, la voir se donner sans retenue à des inconnus, ça me plaît, ça m'excite … j'aime voir ces types la prendre, introduire leurs sexes dans son sexe, j'aime les voir la posséder totalement … leurs langues qui explorent sa vulve et s'introduisent en elle, leurs mains qui pétrissent ses seins, leurs doigts qui s'enfoncent dans le gras de ses hanches quand ils la prennent en levrette, leur bite que je vois aller et venir dans sa chatte luisante de désir, et surtout cet instant où, arrivés au bout de leur résistance, ils se lâchent en elle … j'aime surtout le moment où, à une soudaine raideur de tout leur corps, je devine qu'ils commencent à éjaculer et déclenchent instantanément l'orgasme de Christine … je pense alors à leurs glands, gonflés de sang, rouges, turgescents, et à leurs méats béants qui vomissent leur sperme dans les chairs de ma femme … à chaque fois que j'ai assisté à ça, j'ai moi-même été au bord de l'éjaculation … et j'aime aussi quand, soulagés et repus, ils sortent leur bite de Christine … leur bite luisante et maculée de sperme … certains encore très raides et d'autres déjà tout mous … et j'aime aussi, après qu'elle se soit fait féconder par plusieurs mâles, voir leurs semences s'écouler de son vagin et lui souiller les petites lèvres, le pubis, le haut des cuisses, les fesses … 


Alors ce que je vois là, dans la vidéo du détective, c'est quelque chose … putain oui, c'est quelque chose que je rêvais de voir … ou plutôt quelque chose à quoi je rêvais d'assister en personne … Christine se faisant baiser par … par des dizaines de types … d'ailleurs, quelque chose frissonne dans mon bas ventre. Alors que les séquences se succèdent, le détective confirme:

- Je vous avais prévenu, hein … Je peux même pas vous dire avec combien de types elle a couché … enfin, quand je dis "couché", je sais pas si on peut encore parler de coucher, hein …  ces mecs, votre femme, ils la … ils la prenaient à la queue leu leu, ils la … ils la baisaient, hein, excusez l'expression … ils se servaient d'elle comme … comme de je sais pas quoi … mais ce qui m'a paru le plus dingue, et à ma femme aussi, c'est qu'on avait l'impression qu'elle en voulait toujours plus … les types défilaient et elle en voulait encore …

 

Il marque une pause avant de reprendre:

- Bon, de toute façon, vous verrez, j'ai tout filmé, d'un bout à l'autre … enfin, du moins jusqu'à ce qu'on sen aille, avec ma femme … mais à ce moment là, c'était des types qui l'avaient déjà baisée au moins une fois, qui recommençaient … alors ça aurait servi à rien de rester plus longtemps … bon, j'en ai fait un CD que je vais vous donner … alors, si ça vous amuse, vous pourrez compter combien de types se la sont faite, ce soir là … 


Il arrête sa tablette et:

- Bon, mais c'est pas tout. Le Cap d'Agde, maintenant. Je vous raconte ?

- Oui, allez-y, racontez.

- Bon déjà, je suis descendu par l'autoroute … le même trajet qu'elle … je voulais m'arrêter sur l'aire de repos où elle a mangé au restaurant … vous voyez où ? C'est vous qui m'avez indiqué l'endroit …

- Oui, oui, je vois …

- Bon, les gens du restaurant, ils ne se souvenaient pas … je leur ai montré les photos que vous m'aviez données, mais ils ne l'ont pas reconnue … faut dire, il y avait pas mal de monde qui circulait ces jours là, et le personnel ne fait pas attention … donc, au restaurant, je n'ai rien appris … par contre, à l'autre aire de repos où elle s'était arrêtée, là, ils se sont souvenus …

- Ah bon ?

- Oui. Elle a effectivement pris une chambre simple, votre femme … enfin, elle et un type … vous vous en doutiez, hein … vous savez ce que c'est, une femme et un homme qui veulent une chambre en pleine journée, ce n'est pas exceptionnel, alors la réceptionniste et le reste du personnel n'y auraient pas fait attention plus que ça, mais c'est ce qui s'est passé après qui fait que les gérants se sont rappelés d'elle … enfin, d'elle et de ceux qui l'accompagnaient …

- De CEUX qui l'accompagnaient ?

- Oui, oui, de CEUX qui l'accompagnaient … TROIS types, en fait … et, soit dit en passant, ça explique le montant de l'addition au restaurant ... Bref, comme je vous ai dit, à l'hôtel, quand elle a demandé une chambre, votre femme était avec un type … un seul type, hein, et ça, la gérante en est sûre … de toute façon, si ils s'étaient présentés pour prendre une chambre à quatre, trois hommes et une femme, ils leur auraient pas donnée … donc, ils étaient seulement deux quand ils ont demandé cette chambre et comme je vous dis, la gérante n'y aurait pas fait plus attention que ça si il n'y avait pas eu un incident ensuite …

- Un incident ? C'est-à-dire …

- Ben, votre femme et ce type sont allés dans la chambre, et au bout d'une vingtaine de minute, il y a d'autres clients qui sont venus se plaindre à l'accueil … un couple avec des enfants qui occupaient la chambre voisine … ça faisait beaucoup de bruit, dans la chambre de votre femme … VRAIMENT beaucoup de bruit … et des bruits, disons … explicites, si vous voyez ce que je veux dire … des cris, ges gémissements ... alors le gérant et sa femme sont allés pour voir ce qui se passait et pour demander de faire moins de bruit … c'est un type qui leur a ouvert la porte … mais pas celui avec qui votre femme avait demandé la chambre … un autre … à poil avec seulement une serviette autour de la taille … et par l'entrebâillement de la porte, les gérants se sont aperçus que des types, il y en avait deux autres dans la chambre … enfin, quand je dis "dans la chambre", je devrais plutôt dire "au lit", et avec votre femme … et tous à poil, votre femme et les deux types … mais ils dormaient pas, tous les trois … ils étaient en train de … et celui qui était venu ouvrir la porte aux gérants, il devait pas être là seulement pour tenir la chandelle … il avait dû s'arrêter seulement pour voir ce qu'on leur voulait … et d'après les gérants, votre femme et les deux types qui étaient avec elle sur le lit ont continué de baiser comme si de rien n'était … visiblement, ils se foutaient d'avoir été surpris en plein action …


Voilà. En effet, je m'en doutais. Je me doutais bien que si Christine s'était arrêtée dans cet hôtel en descendant dans le Midi, ce n'était pas pour dormir … Le détective m'observe, attendant que je commente. Alors je commente:

- Oui, je me doutais qu'elle s'était arrêtée là pour du sexe … et vu le montant qu'elle avait payé au restau juste avant, je me doutais aussi qu'elle était accompagnée par plus d'une personne … Alors, ensuite ?

- Ben ensuite, les gérants voulaient pas de ça chez eux … encore, un couple qui prend une chambre à l'hôtel et qui s'envoie en l'air, ça n'a rien de scandaleux … et même deux couples qui prennent chacun une chambre et qui se retrouvent ensuite à quatre dans la même … ça, c'est pas pareil … mais là, c'était une partouze euh … trois hommes avec une seule femme … bon, ça les a choqués … ils ont pas les idées aussi larges que vous … ils leur ont demandé de foutre le camp … les types ont bien essayé de discuter, de négocier, mais y'a rien eu à faire … le patron de l'hôtel les a menacés de faire venir son personnel pour les virer par la force, alors ils ont fini par se rhabiller et par quitter l'hôtel … 

- Mais … les gérants de l'hôtel, ils vous ont raconté tout ça sans problème ?

- Oh non, aucun problème ! En fait, ils m'ont pris pour le mari, alors ils étaient pas fâchés de raconter au cocu ce que sa femme avait fait avec trois types dans leur hôtel… Vous savez, dans mon métier, c'est un classique, les gens se régalent à déballer au mari comment sa femme le fait cocu … Mais à l'hôtel, c'est pas tout … vous savez quoi ?

- Ben non …

- Et ben, votre femme et les trois types, ils sont pas allés loin, en fait … ils ont un peu discuté devant l'hôtel … ils regardaient autour d'eux, comme si ils cherchaient quelque chose, et puis votre femme et un des types sont montés en voiture et ils sont allés vers le parking des poids lourds, un peu plus loin … et les deux autres types les ont suivis à pieds … le gérant de l'hôtel les a vus faire, alors ça l'a intrigué … il est allé voir, discrètement … ils s'étaient garés entre deux semi-remorques, et là, ils ont … ils ont continué … à baiser, je veux dire … dans la voiture, sur le parking … pas tous les quatre ensemble, évidemment, mais apparemment, pendant qu'un des types la … la baisait, les autres attendaient leur tour à côté de la voiture … et … ça a même fini par faire un petit attroupement …

- Comment ça …

- Ben, comme ils s'étaient garés entre deux poids lourds, au bout d'un moment, leur manège a fini par attirer l'attention des routiers … ils ont commencé par mettre le nez à leur portière, et puis ils sont carrément descendus de leurs cabines pour regarder … et en regardant, ils discutaient avec les deux types qui attendaient leur tour … et y'en a un qui est allé chercher d'autres routiers sur le parking … ils en ont rameuté quatre ou cinq, comme ça … et alors …

- Attendez, me dites pas … je parie qu'elle s'est aussi tapé des routiers quand les trois types ont eu fini  …

- Ah ben … non … vu que ça commençait à faire un attroupement, le patron de l'hôtel est allé leur dire qu'il avait appelé les flics … alors ça s'est arrêté là … peut-être que … peut-être que, autrement, elle se serait aussi tapé les routiers, mais ça s'est pas fait … Elle et ses trois … ses trois types, ils sont tous remontés en voiture et ils sont partis …

- Et ils ressemblaient à quoi, ces trois types …

- Ah ben, d'après la patronne de l'hôtel, ils étaient plutôt jeunes … dans les … vingt ou vingt cinq ans à tout casser … et, à leur allure, elle pense que c'était des types qui descendaient dans le Midi en stop … sac à dos et tout ... votre femme, elle avait dû les trouver sur une aire de repos ou dans une station-service à faire du stop. Bon, je vous raconte la suite ? Au Cap d'Agde ?

- Allez-y … 


Lors de notre prise de contact, il avait tout de suite proposé d'aller enquêter jusqu'au Cap d'Agde. Bien que la saison "chaude" soit terminée, il se faisait fort d'en ramener au moins des témoignages de la part du personnel du camping. Et il était donc parti pour quelques jours. Par la gérante du camping, il a obtenu le nom et les coordonnées du "monsieur lyonnais" du chalet 32 qui avait hébergé Christine. Il refuse de m'expliquer comment il a fait. Mais il a l'air d'avoir de la tchache et il n'hésite pas à sortir des billets … comme au final, c'est moi qui paie … Quoi qu'il en soit, il obtient le nom et l'adresse du lyonnais et il le contacte … en se faisant passer pour un autre ancien résident du camping, il arrive à lui faire parler de son séjour par Skype … Re-re-bingo ! Très fier de lui, le type fait la liste des "salopes" qu'il a attirées et tirées dans son chalet, et il raconte avec complaisance ses exploits sexuels avec elles. Christine y figure en assez bonne place, même si elle n'est restée chez lui qu'une petite semaine, avant de se joindre, selon lui, à une équipe de partouzeurs. Le lyonnais ajoute qu'il l'a revue sur la plage libertine en train de baiser au milieu d'une bande. Tout de même, il finit par ajouter qu'il ne serait pas étonné qu'on puisse la voir en photos et même en vidéos sur certains sites Internet spécialisés. D'après lui, certaines séances de baise en public sur la plage libertine sont prises en photos et même filmées, soit parce que les participants sont d'accord, soit parce que certains voyeurs les filment en douce … et tout ça finit sur Internet, que ce soit des couples qui baisent, des échangistes, des femmes qui se donnent du plaisir sous les yeux d'une vingtaine de bonshommes en train de se branler ou d'autres qui se font baiser en public par des inconnus …


Mais en ce qui le concerne, le lyonnais n'a pas plus de photos que de vidéos avec Christine … Ça ne fait rien, son témoignage est bien suffisant. Mon détective précise:

- Lui, j'ai mis la vidéo de notre conversation par Skype après les vidéos au Huitième Ciel. Vous étonnez pas, j'ai flouté ma tête sur la vidéo de Skype. Vous savez, il a raison, le lyonnais, si vous cherchez sur Internet, votre femme, vous la verrez peut-être en action sur cette plage … vous pouvez toujours essayer … qu'est-ce que ça coûte, hein ? Et puis, si vous ne la trouvez pas, vous verrez ce qui s'y passe … ça peut être très instructif …

- Bon, je verrai … mais comment vous avez fait pour faire parler la gérante du camping et ce type ?

- Ah, ça, c'est des trucs de pro. Bon, la gérante, ça a pas été difficile, c'est une bavarde qui ne demande qu'à parler. 


Je m'en étais rendu compte. Il poursuit:

- Mais, autrement, j'ai fait une licence de psychologie et on m'a appris à manipuler les gens. Bon, maintenant, vous en savez autant que moi. Je continue d'enquêter ? Maintenant, je peux trouver où elle habite et avec qui, si vous voulez.

- Non, avec tout ça, ce n'est pas la peine. Vous pouvez vous arrêter là.

- Ouais, avec ce que vous avez là, devant un juge, elle est cramée, votre femme.

- Oui, ça devrait aller.

- Bon, alors, on fait les comptes ?


Il me donne le CD et on fait les comptes. Wouuuufff ! Heureusement que j'ai des économies ! Mais avec ce qu'il me ramène, ça vaut le coup. Au moment de prendre congé, il ajoute:

- Bon … à mon avis, pour votre divorce, ça devrait suffire, ce que je vous donne. J'aimerais mieux pas que votre juge me convoque pour témoigner, mais sil il le faut, vous m'appelez.

- Entendu. Et merci.


Je le raccompagne à la porte. Je n'attends pas qu'il ait démarré pour monter dans mon bureau et regarder son CD. La courte pause que je viens de faire dans le visionnage des images de l'enquêteur a calmé mes palpitations. Sur ce CD, il n'y a pas seulement des échantillons, mais tout ce qu'il a filmé, en continu, dès son entrée au Huitième Ciel. Je me rends compte que les premières images des "échantillons" qu'il m'a montrés ne sont pas vraiment les toutes premières qu'il avait enregistrées. Ce qu'il a filmé à son arrivée n'est pas aussi "croustillant" que la suite et c'est pour ça qu'il ne l'a pas intégré dans les "échantillons". Sur la vidéo complète, on commence par découvrir Christine en train de danser, comme en transe, sur fond d'une puissante musique techno … en train de danser et déjà de chauffer des mecs. Plusieurs, qui viennent sans doute d'arriver, en commençant à lui tourner autour, lui font la bise pour lui dire bonjour. Elle semble déjà les connaître, c'est évident … Des filles aussi lui font la bise. Oui, il y a aussi des filles, à cette soirée ! Je me rends compte que la micro robe de Christine ne lui est pas remonté toute seule sur le ventre et sur les fesses … c'est elle qui, délibérément, pose ses mains sur son ourlet et la roule lentement en ondulant sous le nez des types … pour leur dévoiler sa chatte … pour leur montrer qu'elle ne porte pas de culotte ! C'est une invitation à la tripoter ! Malgré la musique, omniprésente, on entend des cris et des coups de sifflet … ça les excite ! Oh putain … bassin tendu vers les types, cuisses écartées, elle les provoque … " vas-y, touche ma chatte … tripote-moi ! ". 


Putain, elle doit être là depuis quoi … une demie heure et elle exhibe déjà ouvertement sa chatte au milieu de tout ce monde ! Pour le moment, les types se contentent de regarder … à part pour lui faire la bise, ils ne la touchent pas … mais certains, tout en dansant, bassin en avant, genoux à demi fléchis, se contentent de lui présenter leur bas ventre dans des postures lascives et obscènes … elle rit, et les yeux rivés sur leurs entrejambes, elle se caresse le haut des cuisses dans un geste d'invitation lubrique … On devine déjà à quoi ces sollicitations sexuelles réciproques vont aboutir, mais on dirait qu'elle comme eux attendent je ne sais quoi pour passer à l'acte, comme un signal …


Et brusquement, après une dizaine de minutes de ce manège, la voix tonitruante du DJ retentit, couvrant la musique:

« Et bien voilà, nous y sommes ! La soirée spéciale CHRISTIIIINE va pouvoir COMMENCEEEEEEEEER ! ! ! ! »

 

Musique syncopée … à fond ! Ma parole, en dehors du Huitième Ciel, ce type doit animer un manège de fête foraine ! Il a braqué un projecteur sur elle. Elle lève les bras au-dessus de sa tête et danse en tournant sur elle-même au rythme d'un morceau endiablé, tandis qu'éclatent des cris, des rires et des sifflets … Aucun doute, c'est vraiment elle la vedette ! Le DJ reprend: 

« Merci, Messieurs, d'être venus aussi nombreux au Huitième Ciel pour cette soirée entièrement consacrée à CHRISTIIIIIIIIINE, notre nouvelle REINE DU SEEEXE ! ! ! ! » 


Les cris et les sifflets redoublent. Putain, alors, c'est vraiment ça ! Ici, Christine est la "reine du sexe" ? Quelques secondes de musique à fond, puis:


« Et merci aussi aux demoiselles ici présentes … qui vont prêter leur homme à notre REINE DU SEEEEEEEXE ! ! ! ! ».


En effet, s'il y a une majorité d'hommes autour de Christine, il y a aussi quelques femmes … enfin, surtout des filles … assez jeunes pour la plupart … Je remonte un peu en arrière sur la vidéo … oui , obnubilé par les types qui tournent autour de Christine, je n'y avais pas fait attention, mais il doit y avoir trois ou quatre fois plus d'hommes que de femmes … je reviens au moment où le DJ intervient.


«… aux demoiselles ici présentes qui vont prêter leur homme à notre REINE DU SEEEEEEEXE ! ! ! ! ».


Justement, une "demoiselle" qui dansait à côté de Christine se manifeste, agitant les mains au-dessus de sa tête, elle cherche visiblement à attirer l'attention du DJ … cette fille doit avoir une vingtaine d'années, pas plus … elle porte une micro jupe moulante noire et un "petit haut" clair sans manches, très léger et tellement échancré aux emmanchures qu'on aperçoit ses petits seins quand elle lève les bras … Le DJ la remarque, écarquille les yeux, hausse les épaules dans une mimique qui signifie qu'il ne comprend pas … il baisse le niveau de la musique … la fille lui crie quelque chose … il hoche la tête … il a compris … 


« Mais, bien sûr, mesdemoiselles, vous pouvez participer et avoir aussi du SEEEEEEEXE avec la REINE CHRISTIIIIIIIIIIINE ! ! ! »


Et comme pour illustrer ce que le DJ vient de lancer, la demoiselle en question, tout en dansant, vient se planter face à Christine … Christine qui la regarde, visiblement intéressée … la fille lui pose les mains sur les hanches et la dévisage, semblant lui dire quelque chose … alors Christine la prend à deux mains par le cou, l'attire à elle et plaque sa bouche sur la sienne … Cris, applaudissements, sifflets … D'après le point de vue d'où la scène est filmée, je devine que le détective se déplace et contourne ceux qui lui masquent le spectacle, pour ne rien manquer de ce qui se passe. Voilà Christine et cette fille … cette gamine … enlacées … et qui se roulent une pelle ! Je n'en reviens pas ! Jusque là, Christine n'a jamais manifesté la moindre attirance physique pour les filles ! Et toutes deux ne se contentent pas de s'embrasser … elles se caressent, elles se pelotent … c'est torride ! Cette fois, je crois qu'en effet, la soirée a vraiment commencé ! La fille glisse une main entre les cuisses de Christine ! Oh putain, c'est chaud ! C'est évident, elle lui tripote la chatte, elle la doigte ! Et vue la posture de Christine, bassin tendu vers l'avant, jambes écartées, elle semble y prendre beaucoup de plaisir ! Ça dure … je ne sais pas … la scène est tellement fascinante que je ne me rends pas compte du temps qui s'écoule … A leur gestuelle de plus en plus fiévreuse, on sent leur excitation monter … Et soudain, la gamine se décolle, se laisse tomber à genoux, prend Christine par les hanches, et elle avance sa tête vers son ventre ! Aussitôt, Christine se tourne vers un type en train de vaguement danser à côté d'elle, lui prend le bras et l'attire contre elle en lui disant quelque chose à l'oreille … le type hoche la tête, se place derrière elle … collé à elle … et Christine s'adosse contre son torse … bien calée, elle écarte les pieds, plie un peu les genoux et soulève le bas de sa robe … elle offre sa vulve à la gamine qui s'empresse d'enfouir sa tête entre ses cuisses ! 


Evidemment … cris, applaudissements, sifflets ! Le regard - et donc l'objectif - du détective passent alternativement de la nuque de cette fille au visage de Christine. La bouche béante, la nuque appuyée sur l'épaule du type qui la soutient, de toute évidence, elle apprécie ce que la jeune fille est en train de lui faire … non seulement elle lui broute le minou, mais, une main passée entre ses cuisses, elle doit aussi être en train de lui fourrer ses doigts dans la chatte ! Le type qui soutient Christine profite de la situation … il a glissé ses mains dans sa robe, par les emmanchures, et il lui tripote les seins …  on voit les bosses de ses doigts bouger sous le tissu … il avance même sa bouche vers celle de Christine … qui le sent … et qui lui offre ses lèvres … Une main sur la tête de la gamine qui lui explore la vulve avec sa langue, elle serre fougueusement par le cou le type qui lui roule une pelle ! Putain, elle se livre, elle se donne à tous ceux qui ont envie d'elle, homme ou femme ! Je suis scié ! Elle se comporte vraiment comme une fille publique ! Quel démon s'est emparé d'elle pour en être arrivée à ça en quelques mois ?


Tout ça, ça ne figurait pas dans les "échantillons" que m'a montré le détective … La gamine poursuit son broutage de minou, et Christine, pour lui faciliter la chose, a soulevé sa cuisse droite, lui a posé l'arrière de son genou sur l'épaule et lui a passé son mollet dans le dos … le détective baisse les yeux – et du même coup la micro caméra intégrée à ses lunettes – sur le cul de la fille … elle a remonté sa jupe sur ses fesses et, de sa main libre, elle est en train de sortir la ficelle de son string de sa raie … puis elle repasse sa main devant elle, la glisse entre ses cuisses, et, de toute évidence, elle commence à se masturber ! Putain, quel spectacle ! Christine, la bouche toujours collée à celle du type, ôte sa main du cou de celui-ci et la glisse derrière elle, entre ses fesses et le ventre du type … elle va … oui, elle va lui tripoter la queue ! Je sens … à la fébrilité de son geste, je sens qu'elle VEUT une bite, je sens qu'il lui FAUT une bite ! Oh oui, vas-y, caresse lui sa queue, branle lui sa queue, à ce mec ! 


Voilà, ça y est, elle l'a trouvée ! Elle palpe cette bosse à travers la toile du pantalon du type, elle la … elle la jauge … elle la parcourt du plat de sa main pour en apprécier l'épaisseur et la longueur … même à travers cette vidéo, je sens que cette bite dans sa main, ça l'excite … elle a serré ses doigts sur la forme enfermée dans ce tissu et elle commence à faire aller et venir sa main … elle branle ce mec … un mec qu'elle ne connaît sans doute pas plus que ça … un client de la boîte, peut-être un habitué, mais maintenant, je sais que c'est ce qui lui plaît, les bites d'inconnus … là, elle doit déjà imaginer ce qui va se passer ensuite … elle doit imaginer ce sexe, qu'elle tient dans sa main, en train de s'enfoncer dans son sexe à elle … oh oui, branle-le, fais-le bander, fais-le durcir … sors-le de ce pantalon et tripote-le directement … et suce-le, excite-le bien et invite-le à venir se fourrer dans ton ventre … putain, je réalise que, sans même m'en rendre compte, tout en regardant cette vidéo, j'ai descendu ma fermeture Eclair, j'ai sorti ma queue par ma braguette … et je suis en train de me pétrir le gland …


J'ai hâte de voir Christine se faire mettre par tous ces types … je pourrais faire défiler cette vidéo en accéléré pour en arriver au moment où elle commence à se faire baiser, mais j'ai envie de voir la situation évoluer petit à petit, sentir l'excitation monter dans ce club, jusqu'à ce qu'un premier mec fourre sa queue dans la chatte de Christine … je suis déjà dur, raide … oh, putain, comme j'aurais aimé être au Huitième Ciel avec Christine pour la voir en direct se faire tirer par tous ces mecs !


C'est très soudain … dans un même mouvement, Christine décolle sa bouche de celle du type et repose au sol le pied qu'elle avait passé dans le dos de la gamine qui lui bouffe la chatte … elle repousse assez brutalement la gamine et se tourne face au type qu'elle masturbait … elle tombe à genoux et entreprend aussitôt de lui déboutonner sa ceinture … je la sens fébrile, et pourtant, elle maîtrise parfaitement son geste … en un rien de temps, elle ouvre la braguette du type, glisse sa main dans le pantalon et en extrait sa bite … Oh, putain, elle n'a rien d'exceptionnel, cette bite, mais de la voir surgir, ça me … wowwwww …  de savoir que ce sexe, ce membre, cette queue va bientôt s'enfoncer dans le sexe de Christine, ça me … un frisson me parcourt de la tête aux pieds et je bande encore plus fort ! Ça me fait beaucoup plus d'effet que les "échantillons" pourtant nettement plus crus que le détective m'a montrés tout à l'heure … 


Je m'attendais plus ou moins à ce que Christine prenne immédiatement cette bite dans sa bouche, mais non … elle la tient dressée contre le ventre du type et elle la regarde … ou plutôt, elle la contemple … elle la contemple comme en extase … presque avec dévotion … j'ai l'impression de suivre le cheminement de sa pensée … voilà avec quoi, dans un instant, ce type va la prendre, va la pénétrer, va la posséder … cette bite, qu'elle voit certainement pour la première fois, elle en est déjà comme … amoureuse ! 


Et moi, putain, ce mec … ce mec, avec sa bite … ce mec qui va posséder, qui va baiser Christine avec cette bite, je … je n'en reviens pas … moi aussi, je … moi aussi j'aime cette bite ! Merde, qu'est-ce qui m'arrive ? Voilà que j'envie Christine d'être à genoux aux pieds de ce mec, avec sa bite dans la main … Il faut dire, ça doit être quelque chose, de découvrir pour la première fois le sexe d'un homme, le sexe d'un inconnu qui va … qui va s'introduire en soi … qui va prendre du plaisir en soi jusqu'à …jusqu'à l'orgasme, jusqu'à ce qu'il éjacule  … jusqu'à ce qu'il répande sa semence dans son corps, dans son ventre, dans ses chairs … Et là, moi, à la place de Christine, je …


Oh putain, c'est exactement ça ! Elle avance sa tête et pose ses lèvres à la base de la verge du type ! C'est exactement ce que j'aurais fait si j'avais été à la place de Christine ! Putain, je … je fantasme … je fantasme de toucher la bite de ce type avec ma bouche ! Je fantasme se sentir la chaleur du sexe de ce type contre mes lèvres .. je … je fantasme de prendre ce gland entre mes lèvres et de l'enfoncer dans ma bouche ! Et sous mes yeux, sur l'écran de mon ordinateur, je vois Christine … embrasser ce sexe … je la vois passer ses lèvres tout au long de sa verge, de bas en haut … je la vois redescendre ses lèvres, lentement, amoureusement … je la vois … je la vois maintenant poser ses lèvres sur les couilles du types … oh, putain, oui, embrasse-les, ses couilles, lèche-les, suce-les, prends-les dans ta bouche … 


Et c'est exactement ce qu'elle fait ! Elle caresse fiévreusement avec son visage le sexe de ce type … elle le frôle, elle l'effleure de ses joues, de ses lèvres, de son nez, de son menton, de son front … alternant de petits coups de langue et des séries de petits baisers sur ses testicules et sur sa verge … elle est … comme en extase, en adoration devant ce sexe en érection qui se dresse devant elle … c'est absolument … bouleversant … et bien sûr, sans doute tout aussi excité par les caresses que Christine prodigue à son sexe que troublé par la ferveur qu'elle manifeste pour sa queue, le type bande de plus en plus … bassin tendu vers l'avant, genoux à demi ployés, il caresse le crâne de Christine de ses deux mains …


Curieusement, parmi toutes les images de Christine en train de baiser qui, plus tard, me reviendront de façon obsessionnelle, c'est celle-ci qui dominera, et de loin … la ferveur, la passion avec lesquelles elle aura manifesté une véritable dévotion, presque une vénération pour … pour le sexe, pour … pour tout l'appareil génital de ce type, un inconnu, j'en suis persuadé … plus que bien d'autres images pourtant beaucoup plus crues de pénétration, d'accouplement, de copulation, cette image symbolisera pour moi l'addiction de Christine au sexe … je veux dire son addiction à la bite, à la queue, au zob, à la pine des hommes, plus qu'à la baise proprement dite …


Pendant ce temps, la jeunette qui avait entrepris Christine ne s'est pas découragée … pendant que Christine s'en prenait à la bite du type, elle lui a passé une main entre les fesses et elle s'est probablement mise à la doigter … puis, elle s'est approchée de Christine, jusqu'à être collée à elle, et elle a commencé à l'embrasser dans le cou et sur la nuque avec passion. Et soudainement, la scène bascule: je vois Christine s'écarter légèrement du type, celui-ci se redresser, ôter précipitamment ses chaussures, son pantalon et son T-shirt, et s'allonger au sol sur le dos … à même le sol de la piste de danse – à ce moment, on n'a pas encore amené le matelas -, je le vois étendre ses jambes de part et d'autre de Christine, toujours agenouillée … je vois Christine saisir à deux mains le bas de sa micro robe et l'enlever en la passant par-dessus sa tête … les voilà tous les deux complètement nus … Christine et cet inconnu … je la vois se pencher sur le ventre du type … et prendre son sexe dans la bouche …  aussitôt, une espèce de décharge m'étreint le paquet, bite et couilles … jusqu'à la prostate … je sens … je sens que je vais jouir … et tandis que Christine commence à tailler une pipe à ce mec, je vois la gamine qui, à son tour, s'allonge sur le dos derrière Christine et, après l'avoir incitée à soulever un peu son bassin, se glisse sous elle … glisse sa tête sous le ventre de Christine … sous le cul de Christine … elle va … elle va recommencer à lui brouter la chatte !


Oh, putain, cette scène ! En un rapide traveling, le détective balaie avec l'objectif de sa micro caméra ces trois corps qui commencent à baiser … depuis le ventre de la gamine qui, jupe retroussée sur son ventre, se triture le clitoris en bouffant la chatte de Christine ... en passant par Christine, dont le bassin oscille sous l'effet des coups de langue de la gamine ... et jusqu'au type, les mains toujours plaquées sur les oreilles de Christine, et qui soulève un peu sa tête et son torse pour regarder Christine lui sucer la queue ! Oh, avec quelle passion, avec quelle frénésie, elle lui suce sa bite, à ce mec ! Brusquement, le type repose sa tête au sol et arque ses reins … je suis sûr qu'il va jouir ! Il ne peut pas résister plus longtemps à ce que Christine est en train de lui faire ! Oh putain, moi aussi, je vais jouir ! 


Oh oui, c'est ça ! A la manière appliquée, concentrée, avec laquelle Christine se met soudain à lui pomper la bite, je suis sûr qu'il est en train de jouir, de lui éjaculer dans la bouche … et … oui … elle gémit ! Oh putain, elle jouit aussi ! Le sperme de ce mec, qui jaillit jusque dans sa gorge et que, sans doute, elle avale, lui a déclenché un orgasme …


AAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh !

Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !


Je jouis aussi et instinctivement, j'ai mis la vidéo sur pause au moment où j'ai lâché un premier jet de sperme. Oh, putain, quel pied ! Je ne peux détacher mon regard de l'image fixe sur l'écran de mon ordinateur … Essoufflé, je contemple cette scène … hallucinante ! Christine, ma femme, baisant avec une gamine, une môme en âge d'être sa fille, et un type, un inconnu au physique assez quelconque … le tout sous le regard d'une … d'une petite foule … autour d'eux, tout près d'eux, presque à les toucher, on ne voit que des jambes et des pieds, au moins sur deux rangs … des gens qui se pressent pour les regarder se livrer tous les trois à cette scène de sexe … jusque là, ce ne sont que des pratiques buccales, fellation et cunnilingus … mais c'est Christine, c'est MA FEMME qui est au centre de cette … de cette partie de cul à trois ! C'est elle qui a suscité les désirs charnels de cette jeune fille et de ce type … c'est elle qui se livre à eux, qui se donne à eux, qui les laisse assouvir sans retenue sur elle leurs pulsions les plus … les plus lubriques … 


Et au delà de ça, au delà de cette partie de cul à trois, c'est elle, Christine, MA FEMME, qui est au centre de toute cette soirée d'orgie sexuelle … comment en est-elle arrivée là ? Parce que c'est bien elle qui est l'objet des désirs, des envies de tous ceux qui sont là … oui, c'est pour elle que tous ces gens sont là ce soir … ces hommes, surtout … jusque là simples spectateurs, mais dont je sais, pour avoir vu les échantillons que mon détective m'a montrés tout à l'heure, que, dans très peu de temps, ces hommes seront aussi acteurs dans cette partie de cul géante … pour le moment, sur mon écran, on ne voit que deux corps entièrement nus … ceux de Christine et de ce type … et un autre corps à demi-nu … celui de la gamine, dont la micro jupe, maintenant roulée autour de sa taille, est réduite à la largeur d'une ceinture … et tout autour, tous ces gens qui, pour le moment, se contentent de regarder le trio en train de se donner du plaisir, tous ces gens sont habillés … mais je sais, encore une fois, pour avoir vu les échantillons que mon détective m'a montrés, que, dans peu de temps, la plupart de ces hommes seront aussi complètement à poil …  et alors, ils ne se contenteront plus de regarder … ils … ils toucheront Christine … ils la caresseront, ils la tripoteront, ils … ils exploreront ses parties les plus intimes avec leurs doigts, avec leurs mains, avec leurs langues … et surtout avec leurs … avec leurs bites, avec leurs queues, avec leurs sexes ! 


Combien … combien d'hommes sont venus au Huitième Ciel pour cette "soirée spécial Christine" ? Combien d'hommes sont venus au Huitième Ciel dans l'espoir de baiser Christine ? Non, pas "dans l'espoir" ! Ils sont venus ici POUR LA BAISER ! Ils SAVAIENT qu'en venant ici ce soir, ils la baiseraient ! Je n'en reviens pas qu'il puisse y avoir autant de types pour … pour participer à un truc comme ça … tous autant qu'ils sont, se … se taper une seule et même … une seule et même salope ! C'est ni plus ni moins un gangbang géant dont le seul objet sexuel, et le seul … réceptacle de toutes ces bites, c'est Christine ! Et bien, malgré tout ce qui nous sépare maintenant, Christine et moi, malgré tout ce qui nous oppose, malgré la jalousie et la haine que, normalement, je devrais ressentir pour elle, malgré tout ça, je … je suis … content … et fier … de ce que tous ces hommes vont la posséder, vont la baiser … à la chaîne … Combien de femmes font ça, se donner à autant d'hommes à la fois ? Combien de femmes ordinaires, non professionnelles ? Des actrices pornos le font sans doute, mais des femmes ordinaires comme Christine …


Sur l'écran de mon ordi, l'image sur laquelle j'ai arrêté la vidéo est absolument … cette scène a quelque chose d'animal, de bestial … trois personnes s'abandonnant sans retenue à une espèce de frénésie sexuelle sous le regard de spectateurs, de voyeurs … trois personnes, ou plutôt deux femelles et un mâle, tellement tous trois sont réduits à cet instant à cette seule sexualité … deux femelles et un mâle se livrent en public et sans aucune pudeur à des pratiques bucco-génitales à même le sol … elles le font sous les yeux de cette assistance avec autant de naturel et sans plus de gêne que n'en auraient des animaux en train de s'accoupler … mieux que cela, elles ne laissent pas seulement les autres assister à leur orgie, non, elles se donnent en spectacle, la présence même de spectateurs alimentant leur frénésie lubrique …


Et dans ce trio dépravé et impudique, Christine ! AU CENTRE de ce trio, même, puisqu'en offrant en même temps sa vulve aux lèvres et à la langue de cette gamine et sa bouche au sexe de cet inconnu, pour le moment, elle est la seule des trois à pratiquer la pluralité sexuelle !


Christine est au centre de ce trio, mais surtout Christine est au centre … ou plutôt est LE centre de cette soirée de stupre libertin qui lui est consacrée … elle en est arrivée là ! Christine, reine d'une soirée de sexe ! Christine, maintenant entièrement vouée au SEXE … au sexe avec mâle et femelle ! Mais Christine plus particulièrement vouée aux sexes masculins, comme d'autres se consacrent entièrement à un dieu ou à une cause … il suffit de voir quelle dévotion elle a manifesté à la bite, et même à tout l'appareil génital de celui qu'elle est en train de sucer … Qu'éprouve-t-elle exactement pour l'organe sexuel masculin ? Et que peut-elle bien éprouver à l'idée que tous les mâles qui sont là ce soir, vont sans doute tous la pénétrer, tous la posséder et … et … et tous l'inséminer avec leur semence ? Sans doute une espèce d'aboutissement, de plénitude, d'euphorie … 


Sur l'image fixe de mon écran d'ordinateur, ces types, qui regardent Christine en train de forniquer avec les deux autres, je ne vois d'eux que des jambes et des pieds … comme une forêt de jambes et de pieds … mais … en fait, non … d'abord, il n'y a pas que des hommes … je vois aussi des jambes nues de femmes ou de filles, dépassant de jupes ou de robes, toutes très courtes … donc, il n'y a pas que des mâles à avoir été attirés par cette "soirée spéciale Christine" … ces autres femelles ont-elles l'intention d'user de Christine comme le fait actuellement la gamine qui lui broute la chatte, ou bien ont-elles seulement accompagné leur homme pour le regarder la baiser, ou bien encore comptent-elles faire aussi partie de cette orgie ? Non, sûrement pas, ce ne serait plus une "soirée spéciale Christine" si tout le monde baisait avec tout le monde. D'ailleurs, dans les échantillons que le détective m'a montrés, je n'ai pas vu d'autres filles baiser avec Christine ou avec des hommes … mais il y en aura peut-être dans la vidéo complète … quoi qu'il en soit, tous ces hommes qui sont là, autour du trio, je ne les vois plus ou moins que jusqu'au niveau de la taille … et alors, je me dis que … oui, là, à l'intérieur de ces pantalons, il y a … il y a les bites de ces mecs … des bites qui doivent commencer à … à frémir devant le spectacle que leur offre le trio … peut être certaines de ces bites commencent déjà à gonfler, à … à crachouiller un peu de fluide d'excitation … 


Tiens, d'ailleurs, maintenant que j'y fais attention, je m'aperçois qu'un des spectateurs du premier rang, la main au niveau de son bassin, serre entre ses doigts une espèce de bosse, une forme allongée au niveau de sa braguette … il bande dans son pantalon et il se tripote la bite à travers le tissu … du coup, en faisant avancer la vidéo pas à pas, je m'aperçois que d'autres mecs font plus ou moins comme lui … l'un d'eux, au deuxième rang, et qu'on aperçoit fugacement entre deux autres spectateurs, a même déjà sorti sa queue … il bande et semble s'astiquer le manche !


Voilà, après avoir joui, j'ai fini de retrouver plus ou moins mon souffle et mon calme … Faisant glisser le curseur du lecteur vidéo, je reviens au début de la scène entre Christine et le type qu'elle suce … je veux … je veux la revoir se frotter le visage contre … contre ce sexe … contre … contre ce pénis, et surtout contre ces testicules … Oh, la la ! C'est fou ! Ces baisers qu'elle dépose du bout des lèvres sur les bourses poilues de ce mec … et ces petits coups de langue … et ces caresses de ses joues sur cette verge … oui, ce sont les gestes qu'une femme passionnée, exaltée, fervente … presque amoureuse … oh, sans doute pas amoureuse de ce type, non … mais certainement amoureuse de sa queue, de son sexe, de tout son organe … elle aime cette bite … elle aime LA BITE … elle aime toutes les bites, en fait …


Alors, je me repasse cette séquence, comptant laisser ensuite la vidéo se dérouler jusqu'au bout … mais c'est vraiment trop troublant, trop excitant, et je reviens plusieurs fois à l'instant où Christine découvre cette bite en la sortant du pantalon et je la regarde manifester cet … cet émerveillement gourmand … Si cette courte séquence a eu sur les spectateurs mâles le même impact qu'elle a eu sur moi, je comprends qu'ils soient excités et qu'ils bandent … je laisse enfin défiler la vidéo … et elle produit sur moi le même effet que tout à l'heure … je bande à nouveau comme un âne et, au moment où le type éjacule dans la bouche de Christine et lui déclenche un orgasme, je jouis à nouveau !


Ah putain ! Ce que c'est bon ! Je me sens totalement pervers ! Je me régale à regarder ma femme donner du plaisir à un autre homme … à lui donner CE plaisir-là, lui sucer la bite jusqu'à l'orgasme, le laisser éjaculer dans sa bouche et avaler son sperme ! Et plutôt que me faire culpabiliser, ma perversité me réjouit et m'excite ! Essoufflé, je laisse cette fois la vidéo se dérouler … 


Ensuite, le type, soulagé, se relève, Christine se redresse, toujours à califourchon au-dessus de la tronche de la gamine, et elle regarde cette môme lui bouffer la chatte, elle lui caresse la tête en lui parlant – mais dans le brouhaha, la micro caméra du détective n'a pas capté ce qu'elle dit -, et un autre type, la bite en érection dans une main et retenant son pantalon de l'autre, vient se placer devant Christine … elle s'empresse de prendre cette autre queue en bouche et de commencer une nouvelle fellation … et ça continue comme ça … longtemps … les types se succèdent … au bout d'un moment, la gamine, sans doute rassasiée, s'extrait de sous Christine … c'est à ce moment que quelqu'un pense à amener à Christine un épais coussin de cuir qu'elle glisse sous ses genoux avant de reprendre ses fellations …  les types font la queue pour se faire sucer … parmi les autres, je vois passer … comment ils s'appellent … Mamadou, Moussa … et … je ne sais plus … enfin, les trois frères sénégalais, mais je ne sais pas qui est qui, tant les trois frères se ressemblent … deux de ceux-là, avant de présenter leur long sexe noir à Christine, lui roulent une pelle … longuement … passionnément …


Les types qui passent sont de moins en moins vêtus … et ça tourne sans arrêt … ils finissent par être constamment trois ou quatre autour de Christine, qui les suce alternativement … ils la masquent en grande partie à l'objectif de la caméra du détective, mais celui-ci s'arrange toujours pour reprendre une position stratégique … et on devine toujours parfaitement ce qui se passe … la plupart des mecs se font un peu sucer et cèdent la place à d'autres avant de jouir, mais plusieurs vont jusqu'au bout … ceux-là maintiennent la tête de Christine à deux mains au moment où elle s'apprête à se tourner vers une autre queue … alors, elle comprend que celui-ci est prêt à jouir, et, ravie de bientôt recevoir une nouvelle dose de sperme sur la langue, elle le finit. 


Evidemment, après avoir joui deux fois, il m'a fallu un petit moment avant de bander à nouveau … mais la scène que j'ai sous les yeux est tellement excitante que je suis encore raide … je n'arrête pas de me pétrir le gland et la verge … 


Et puis, après une bonne demi-heure de pipes - Combien de mecs elle a sucés ? Et combien d'entre eux lui ont craché leur semence au fond de la gorge ? – après une bonne demi-heure, un type s'approche d'elle, par derrière, se penche et lui parle à l'oreille … il est à poil, comme les autres, pas très grand, pas tout jeune, un peu rond et bedonnant, avec une bite plutôt conséquente … une bite qui se tient fièrement à la verticale, tellement il bande dur … je l'ai déjà vu, ce type … Christine l'a sucé un peu plus tôt … et là, une bite toujours dans la bouche, elle l'écoute, hoche la tête et sort la queue qu'elle suçait d'entre ses lèvres … elle parle au type qu'elle suçait … qui hoche la tête à son tour et se recule un peu en serrant sa queue dans sa main … aussitôt, Christine se laisse tomber en avant, pose ses avant bras à plat sur le sol et, dans le même mouvement, elle écarte les genoux … La voilà le cul en l'air, cambrée, prête à se faire mettre … C'est limpide, le type bedonnant lui a demandé de se mettre en position pour la prendre en levrette … Oui, le voilà déjà à genoux derrière elle, entre ses mollets … je vois l'autre, celui qu'elle était en train de sucer s'agiter, le bras levé en direction de la cabine du disk-jokey et je l'entends brailler " … matelas ! ! ! " …


Quand la caméra se pose à nouveau sur le couple au sol, le type bedonnant est déjà accouplé avec Christine … il la tient par les hanches et il va et vient, les yeux braqués sur sa queue qui entre et qui sort de sa chatte … Voilà, ça y est, un premier mec est en train de baiser Christine … et il la baise à cru … je veux dire sans capote: j'ai bien vu, quand il s'est approché d'elle, il n'avait pas de capote … j'espère … j'espère qu'il ne va pas se retirer au moment de jouir … telle que je connais Christine … enfin, telle que je l'ai vue agir au cours des semaines passées, elle a dû accepter … ou plutôt, non, elle a dû EXIGER que les mecs la baisent sans capote et lui éjaculent dans la chatte … Le type bedonnant prend son temps … il se … il se régale … les doigts enfoncés dans le gras des hanches de Christine, il la bourre avec application, savourant le lent va et vient de sa queue dans le vagin de ma femme … 


Et puis voilà que, fendant le groupe amassé à côté du couple en train de copuler, apparaît le grand matelas que j'avais déjà vu, cette nuit de fin juin, quand Christine s'est fait baiser dessus par les triplés sénégalais et leur copain beur … C'est encore le DJ qui l'amène, comme l'autre jour … je reconnais sa tête qui dépasse du grand  rectangle de mousse qu'il tient dressé devant lui:

- Attention ! ! ! ! Faites place ! ! ! !


Il s'apprête à poser le matelas par terre pour que Christine et son baiseur s'y installent, mais le type bedonnant, d'un signe de la main, lui fait comprendre que ce n'est pas le moment … A mon avis, il veut finir là, par terre, ce qu'il a commencé … il continue de prendre son temps, mais à je ne sais quels subtils changements, je sens que son queutage commence à lui faire beaucoup d'effet … il me semble que ses doigts se crispent sur les hanches de Christine … il me semble que sa mâchoire se contracte … les yeux mi-clos, il renverse un peu la tête en arrière … l'autre, celui que Christine avait commencé de sucer, s'est agenouillé devant elle, les fesses appuyées sur ses talons … sa bite serrée dans sa main, il voudrait bien qu'elle recommence à le sucer pendant que le type bedonnant la besogne … mais Christine ne le voit pas … elle a posé son front sur ses avant bras croisés au sol … La caméra du détective balaie l'assistance … maintenant, au premier rang, que des mecs à poil ! Derrière eux, quelques uns ont gardé soit le haut, soit leur pantalon … mais surtout, ils ont tous la bite à l'air, y compris ceux qui ont encore leur pantalon … et ils sont tous plus ou moins en érection ! Oh putain ! Toutes ces bites ! 


TOUTES CES BITES ! ! ! !


Tous ces mecs bandent pour Christine ! C'est sans doute à la fois l'excitation de contempler le couple qui baise à même le sol, la perspective pour chacun d'eux de se la faire aussi, cette … salope, cette femelle en chaleurs, et l'idée que tous les mâles présents vont la sauter … Oui, je crois que, pour des hommes normaux, dans des conditions normales, l'idée de passer à plusieurs sur une même femme a sans doute quelque chose d'immoral, de scandaleux et d'écœurant, mais pour des types habitués au libertinage ou à l'échangisme, l'idée même d'être aussi nombreux à se faire une telle … une telle salope, doit être un puissant stimulant … d'autant plus stimulant qu'ils sont nombreux … Ils sont combien, d'ailleurs ? J'aimerais bien le savoir. A vue de nez, ils doivent être – j'arrête la vidéo et je compte les jambes que je vois … les spectateurs ne forment pas vraiment un cercle … plutôt une sorte d'ellipse allongée – déjà, ceux qui sont en face de moi au premier rang … enfin, en face de la caméra du détective, ils sont sept … un peu plus au deuxième rang … disons neuf ou dix … il doit y en avoir autant de mon côté … du côté du détective … et deux ou trois à chaque bout … et par moments, j'ai pu apercevoir du monde, derrière les spectateurs qui entourent le centre de la piste, du monde dispersé un peu partout dans le club … je dirais qu'il y a au moins cinquante personnes … peut-être soixante, ce soir, dans ce club … dont peut-être une dizaine de femmes ou de filles …  Ça veut dire au moins quarante mecs ! Je ne sais pas s'ils ont tous l'intention de se taper Christine, mais je l'espère ! Oh putain ! Quarante mecs ! Oh, comme j'aurais voulu être là et voir ça … une quarantaine de types qui baisent Christine !


Ah, je crois que ça y est … le type bedonnant est en train de prendre son pied. Il continue d'aller et venir, mais une fois qu'il est enfoncé dans Christine, il se bloque une seconde ou deux, le ventre bien plaqué contre son cul, avant de repartir en arrière … il est en train de lui envoyer la purée au fond du ventre … Oh oui, vas-y, baise-la, baise-la ! Baisez-la tous, les mecs, c'est ce qu'elle veut !


J'ai beau m'astiquer vigoureusement en regardant ce type fourrer et féconder Christine, je ne peux plus jouir … j'ai même la queue un peu douloureuse, tellement je me masturbe depuis longtemps …


Voilà, il a fini, il a déposé sa semence au fond du vagin de Christine et, le ventre toujours collé à son cul, il reprend son souffle en lui caressant l'arrière des cuisses … puis, lentement, il s'extrait et il se relève péniblement … Aussitôt, un mouvement se fait parmi les types du premier rang … ils sont plusieurs à vouloir prendre sa place. Mais:

- Whooo ! Attendez, les mecs !


C'est le DJ qui a gueulé. D'un geste il écarte les deux ou trois qui s'étaient déjà rapprochés, il fait reculer les autres et il balance le matelas de mousse au sol, à côté de Christine … le drap qui le recouvre est maculé de traces douteuses … j'ai l'impression qu'il a beaucoup servi et qu'on n'a pas pris la peine de le passer à la machine … peut-être des traces laissées par Christine et ses amants, un soir précédent … décidément, ce n'est vraiment pas la classe, ce club !


Le matelas n'est pas sitôt au sol que trois types sont déjà dessus, la queue raide … Christine, elle, s'est lentement redressée ... au fait, je ne me suis même pas rendu compte si elle prenait son pied quand le type bedonnant a joui … elle balaie l'assistance du regard et sourit, visiblement ravie de voir toutes ces queues au garde-à-vous autour d'elle … le type qu'elle avait commencé à sucer se manifeste, il se redresse aussi … Christine se penche, tend la main et lui saisit la bite … et doucement, lentement, elle se glisse à genoux sur le matelas en entraînant le mec … il suit, radieux … il va l'avoir, sa turlute … les trois autres types s'écartent un peu … tenant toujours l'autre par la queue, elle leur fait signe d'approcher aussi … ils ne se le font pas dire deux fois … alors, elle contemple leurs trois sexes en érection, elle les caresse, elle les masturbe un peu l'un après l'autre tout en branlant le premier type à l'aveugle … puis elle les suce un peu, l'un après l'autre … et elle leur parle … mais on n'entend pas ce qu'elle leur dit … j'ai l'impression qu'ils se concertent … deux d'entre eux se reculent un peu … 


Alors Christine se tourne vers le premier type, celui qu'elle avait commencé de sucer, et lui montre la partie du matelas qui se trouve juste devant elle … aussitôt, il s'installe, assis, cuisses écartées face à elle, et il se laisse aller en arrière … le voilà à moitié allongé sur le dos, simplement appuyé sur les coudes … pendant que Christine se met à quatre pattes entre les jambes de celui-ci, l'autre, celui des trois qui est resté sur le matelas, se laisse tomber à genoux … entre les mollets de Christine … il va la prendre à son tour en levrette pendant qu'elle suce le premier … comme vient de faire le type bedonnant … Oh, putain, oui ! 


C'est exactement ça … voilà Christine avec leurs deux bites en elle … une dans la chatte et une dans la bouche … 


La suite ? Oh, la suite, c'est la répétition des scènes précédentes, mais avec d'autres types … ils se succèdent, non seulement derrière elle pour la prendre en levrette, mais aussi devant pour se faire tailler une pipe … si il est sûr que certains tirent leur coup, beaucoup se retirent avant … j'en reconnais certains qui, après s'être fait sucer, prennent leur tour pour la fourrer … elle se laisse baiser comme ça, sans même jeter un coup d'œil derrière elle pour voir qui est en train de la tringler … je la vois prendre son pied, je ne sais pas, peut-être huit, neuf ou dix fois … 


Il y a aussi des variantes … au bout d'un moment, c'est en "missionnaire" que certains la baisent … il y a aussi comme une pause, un moment pendant lequel les types laissent Christine un peu tranquille, assise en tailleur au centre du matelas … quand le DJ lui amène à boire, elle semble lui expliquer quelque chose, et il s'éloigne …  mais pendant qu'elle boit, certains ne peuvent s'empêcher de la tripoter, de lui palper les seins, de lui caresser les cuisses et les fesses … elle se laisse faire, elle leur sourit, elle leur parle … quand le DJ revient, il lui tend un gros rouleau de papier absorbant … elle lui rend son verre, se met à genoux et après avoir découpé une bonne longueur de papier, elle s'essuie rapidement l'entrejambe, puis frotte la grosse tache humide qui macule le centre du matelas, là où elle était assise … et c'est elle qui reprend l'orgie en se mettant à quatre pattes face à un des types vautré à côté d'elle sur le matelas … C'est reparti, elle le suce … et un autre en profite pour la prendre en levrette … 


C'est tellement … répétitif, qu'au bout d'un moment, mon excitation retombe … et puis j'ai la queue tellement douloureuse, à force de la manipuler … mon excitation n'est plus essentiellement physique, elle est surtout cérébrale … Ce soir là, je ne vais même pas jusqu'au bout de la séquence filmée par le détective … on verra demain.

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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