Lundi 22 juillet 2019 1 22 /07 /Juil /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Samedi 23 décembre. 15h00


Aaaaaahhh ! C'est le pied ! Je me sens tellement bien … heureuse !


Ça y est, ils viennent de tirer leur coup … un dans ma gorge et l'autre dans mon ventre !


Le premier, c'est Bernard, le type à qui j'avais déjà taillé une pipe dimanche dernier, pendant ma balade en trav sur la côte. L'autre, c'est Jean-Pierre, un collègue à lui, qu'il m'a amené. Et celui-là, le Jean-Pierre, il vient de me baiser en levrette. Oh la laaaaaa ! Je me sens tellement femelle, quand des types se sont servis de ma bouche ou de mon cul pour se soulager !


Ils sont arrivés en début d'après-midi dans le gite où j'habite depuis quelques jours. Je les ai reçus en nuisette rouge, porte-jarretelles rouge, bas rouge et string rouge … toute en rouge "pute", donc. Et après leur avoir soulagé l'entrejambes, j'ai entrepris de leur montrer les vidéos de mon gangbang … J'ai très envie qu'ils m'en remettent un coup, tous les deux, et je suis sûr que de regarder ça, ça va les re-motiver.


Ils se sont installés, adossés à la tête du lit, face à la télé accrochée sur le mur d'en face, et je me suis assis entre eux … je tourne le dos à la télé … je les connais par cœur, ces vidéos, et je n'ai pas besoin de les regarder pour savoir ce qui se passe, rien qu'au son. J'ai démarré la première sans leur dire que c'est une vidéo de moi. Et j'ai pris leur bite entre mes doigts. Là, ils viennent tout juste de découvrir ma tronche. Ils sont sciés … surtout en découvrant le nombre de types qui nous entourent, celui qui me baise et moi … 


Jean-Pierre:

- Oh merde ! Ils sont combien, les mecs, autour ? C'est … une partouze entre mecs ?


Là, je crois bon de préciser:

- Ben … c'est pas exactement ce qu'on appelle une partouze …

- Comment ça … c'est quoi, alors ?


Je le laisse un peu mijoter. Alors il insiste:

- Hein, c'est quoi, si c'est pas une partouze ?

- Ben regarde bien … d'après toi, ça ressemble à une partouze ?

- Euuuuh … non, pas vraiment. Les mecs autour, ils baisent pas … ils regardent seulement … ils se tripotent, mais ils baisent pas … ils attendent quoi ?

- Leur tour.

- Hein ? Ils attendent quoi ?

- Ils attendent leur tour.

- ILS ATTENDENT LEUR TOUR ? ! ? ! Leur tour pour faire quoi ? 

- …

- Ah putain ! Ils attendent leur tour POUR TE BAISER ? ! ? !

- Voilà.

- Ah putain !

- …

- Mais … mais … ils sont combien, là ?


Je me tourne vers la télé pour voir où on en est, puis:

- Ben … à ce moment là, ils devaient être une douzaine ou une quinzaine …


Il s'en suit un long silence … Jean-Pierre et Bernard, fascinés, contemplent la scène … et je sens que ça cogite ferme dans leurs têtes. 


Ça cogite dans leurs têtes, mais pas que … ce qu'ils voient influe directement sur leur bas-ventre … sur celui de Jean-Pierre, du moins … sa bite s'est un peu remise à gonfler entre mes doigts … ce qu'il voit l'excite. Ça ne m'étonne pas de lui … pour le peu que j'ai pu comprendre de ce mec, il est très … "sexe", et même très amateur de sexe hors norme … je m'en suis rendu compte notamment avec son goût pour la lingerie … la lingerie sur un mec … Bernard, lui, est plus réservé, plus coincé et il manifeste moins son ressenti … sa bite, en revanche, manifeste plus nettement ce que ces images lui font … 


C'est encore Jean-Pierre qui rompt le silence:

- Mais … si ils attendent leur tour, tous ces mecs, tu veux dire qu'ils t'ont tous … qu'ils t'ont TOUS BAISÉ ?

- Oui. Ceux-là et d'autres …

- Ceux-là ET D'AUTRES ! ! ! 

- Oui … on a commencé vers les dix heures du matin et ça a duré toute la journée …

- Oh merde ! Et tu sais … combien … combien de mecs t'ont baisé, ce jour-là ? 

- Oui … une trentaine …

- UNE TRENTAINE ? ! ? ! ? ! 

- Ben oui, une TRENTAINE.


Les yeux ronds, la bouche béante, il me regarde:

- Putain, tu devais avoir le cul en fleur !

- Non … je ne me suis pas fait fourrer pendant huit heures sans interruption … il y a eu des pauses … on a bu l'apéro, on a mangé …

- Ah bon !

- Ouais … ils avaient organisé un barbecue et ils avaient commandé chez un traiteur …

- Mais … tu les connaissais d'où, tous ces mecs ?

- Je les connaissais pas … enfin, à part Philippe, le mec qui a eu l'idée de ce gangbang et qui l'a organisé … je l'avais rencontré dix ou quinze jours avant … 

- T'avais rencontré ce mec dix ou quinze jours avant … donc, tu le connaissais pas non plus … 

- Non … je le connaissais pas plus que ça … il m'avait … un jour où je faisais un tour en vélo au bord d'un canal, il m'avait croisé et il avait flashé sur mon cul … comme Bernard, quoi … alors il m'avait chauffé en me montrant sa bite … j'avais fini par lui tailler une pipe … mais surtout, il avait envie qu'on se revoit, parce que c'est mon cul qu'il voulait … voilà, et puis à la fin, ça lui était venu … je sais plus pourquoi, mais il m'avait proposé de m'organiser un gangbang …

- Alors, ce mec, tu le connais pas … il te chauffe, tu lui tailles un pipe, il organise un gangbang, et tu y vas !

- Ben oui. Il a tout de suite vu que j'étais pas farouche et que j'aimais la bite, alors il m'a demandé si j'avais envie de ça … de me faire sauter par plusieurs mecs … et comme je lui ai dit que oui, ben il l'a fait. Regarde, Bernard, je le connaissais pas … j'ai aussi commencé par lui tailler une pipe ... après, il t'a proposé de venir chez moi avec lui pour me baiser, je te connais pas non plus, et pourtant vous êtes là tous les deux et vous venez de tirer un coup …

- Ouais, évidemment …


Il hausse les sourcils en hochant la tête. Je me rends compte qu'il a pris la télécommande et qu'il a mis la vidéo sur pause. Tantôt il me dévisage, tantôt, il regarde l'écran de télé, comme pour y trouver confirmation visuelle de ce que je lui dis. Il semble attendre que je lui en dise plus. Alors:

- Ah oui, je connaissais aussi Jean-Claude, l'agriculteur qui nous a accueilli dans sa ferme … lui aussi, j'avais fait sa connaissance en même temps que ce Philippe … mais tous les autres, non, je les connaissais pas …

- Et tu les as … tu les as tous laissés te baiser !

- Ben oui … ils étaient venus pour ça … et moi aussi.

- Mais … c'est toi qui les as choisis ? Comme ça s'est passé ?

- Non, non, je les ai pas choisis … c'est Philippe … il a commencé par rameuter quelques potes à lui … qui en ont parlé autour d'eux … après, c'est le bouche à oreille qui a fonctionné, quoi … et puis y'a eu aussi Internet … Philippe en a parlé sur un forum … et voilà … 

- Mais … c'est toi qu'as dit " je veux trente mecs " ?

- Non, au départ, j'avais aucune idée du nombre de mecs qu'il pourrait trouver … je me disais … cinq ou six mecs, ça serait déjà pas mal … moi, j'avais pas d'idée arrêtée sur un nombre, si tu veux … je savais pas … du moment qu'il trouvait plusieurs mecs pour me baiser, ça m'irait … mais quand il a commencé à chercher, Philippe, il s'est rapidement trouvé dépassé par le succès du truc … faut dire, je lui avais donné les coordonnées de mon  blog de cul, où il y a des photos et des vidéos de moi… 

- T'as un blog de cul ?

- Oui.

- Tu … tu nous diras où on le trouve ?

- Oui. Alors, Philippe, non seulement il l'a visité, mon blog, mais en plus, il en parlé à tous ceux qu'il a démarché … comme ça, ils pouvaient voir qui ils allaient baiser … bref, il m'a d'abord dit qu'il avait trouvé une quinzaine de volontaires … c'était bien plus que ce qu'il avait imaginé … moi aussi, d'ailleurs … mais il avait peur que je trouve qu'une quinzaine ça ferait trop … 

- Et toi, te faire baiser par une quinzaine de mecs, tu trouvais pas que c'était trop …

- Ben non … quand il m'a annoncé quinze, je m'attendais pas à ça, si tu veux  … mais, je sais pas, j'ai trouvé que c'était bien … pourquoi pas quinze, hein, plutôt que six ou sept … bon, ça m'étonnait bien qu'autant de mecs soient prêts à me baiser, alors qu'ils me connaissaient pas … mais bon, tant mieux, hein … alors, Philippe, je lui ai dit que quinze mecs, ça me faisait pas peur, et qu'il pouvait continuer à recruter … je lui ai dit "no limit".

- No limit ?

- Ben ouais. Sur Internet, j'avais vu des vidéos de salopes qui se faisaient baiser dans des gangbangs de cinquante mecs … et même plus … et elles en mouraient pas … alors, pourquoi pas moi … si tu veux, une fois que t'as décidé de franchir le pas, le nombre … que ça soit six, sept, quinze ou trente … tu te dis "plus y'en aura, mieux ce sera " …

- Alors, quand il t'a annoncé qu'il y aurait trente mecs, t'as dit quoi ?

- Il m'a PAS annoncé trente mecs …

- Comment ça …

- Non. Je lui ai dit que je voulais pas savoir à l'avance combien ils seraient ... que je verrais bien une fois sur place …

- Ah ouais ! Alors, tu y as été sans savoir combien ils seraient …

- Exactement. Juste avant que je parte de chez moi, au téléphone, il m'a seulement dit qu'ils seraient bien plus que quinze … et c'est tout.

- Et t'as pas eu peur … t'as pas changé d'avis au dernier moment …

- Non. Au contraire … c'était … tu peux pas imaginer ce que ça fait … savoir que j'allais me faire passer dessus par … par autant de types … non seulement ça me foutait le feu au cul, mais je me sentais … tellement … fière !

- Fière ? ! ? ! ? !

- Ouais, fière ! Parce que, tous ces mecs, étant donné qu'ils avaient visité mon blog et qu'ils avaient vu qui on leur proposait de venir baiser, c'est vraiment de mon cul qu'ils avaient envie … faire bander autant de mecs avec mon cul, c'est … c'est ... génial ! Et une fierté.


Ça le laisse tout pensif. Quelques secondes de réflexion, puis:

- Ouais, alors, ça m'étonne plus quand tu dis que t'es déjà fait baiser par plus de deux mecs.


C'est bien. Au moins, lui ne met pas en doute ce que je viens de lui dire. Je pense que ce qui l'a convaincu que je suis une vraie grosse salope, capable de me faire passer dessus à la chaîne par trente types, c'est de lui avoir sauté au paf comme je l'ai fait dès son arrivée, et c'est aussi de lui avoir demandé de me tirer sans capote, alors que je ne l'avais encore jamais vu … et c'est aussi les vidéos qu'il est en train de regarder. Il se marre en secouant la tête. Encore quelques secondes, puis:

- Et là … les trente mecs, on va tous les voir te baiser ? 

- Pas tous, mais la plupart, oui. Vous verrez, à la fin, on a fait des photos de groupe avec les trente … et moi, au milieu, évidemment ..


Jean-Pierre me jette un rapide coup d'œil, il me sourit et pose sa main sur le haut de ma cuisse, tout près de mon aine:

- Putain, t'es un cas, toi … Quand Bernard m'a parlé de toi, il m'a pas dit que tu faisais … ÇA !

- Normal … je ne lui ai pas dit …


Il fixe de nouveau le téléviseur et remet la vidéo en route. Bernard ne tourne même pas la tête vers moi. Je leur caresse le sexe … délicatement … du bout des doigts … ils sont de plus en plus raides … Alors je les masturbe … lentement … doucement … Il s'écoule bien cinq minutes, et Jean-Pierre, en me regardant:

- Tu sais … si t'aimes vraiment ça, te faire enculer par plein de mecs, je sais où tu pourrais peut-être en trouver …


Tiens, il n'aurait pas l'intention de m'organiser aussi un gangbang ?

- Ah ouais ?

- Ouais, peut-être pas trente, mais je connais des endroits où les … où les mecs … les gays se retrouvent … déjà, y'a un bois, pas loin de chez Bernard … et autrement, c'est dans des dunes, sur une plage … ce qu'y a, c'est que c'est pas la saison …


Bernard:

- Ouais, le bois, c'est le bois des pédés ... tu sais, je t'en ai parlé …


Jean-Pierre:

- Ouais … le bois des pédés, j'y suis allé une fois, mais moi, j'aime pas … de toute façon, là ou dans les dunes, en ce moment, y'a personne, il fait trop froid … 

- Et ils vont où, alors, ces mecs-là, quand il fait froid ...

- Je sais pas … ils restent chez eux … ou ils se retrouvent chez l'un ou chez l'autre, je sais pas … Tu seras encore là, au printemps ?

- Je sais pas. Je ne vais pas tarder à repartir, mais je reviendrai … je sais pas quand. Pourquoi ?

- Ben, si tu reviens aux beaux jours, je t'emmène à cette plage, là … j'y vais souvent. Bon, ce qu'il y a, c'est que, dans les dunes, ça branle et ça suce, surtout … j'ai encore jamais vu de mecs baiser là, sur place … à mon avis, ceux qui veulent baiser, ils se donnent rendez-vous là, dans les dunes, mais après, ils vont finir ailleurs … parce que c'est quand même un peu chaud, dans les dunes, pour baiser … des fois y'a des touristes qui se baladent, ou des simples naturistes, mais surtout, les flics peuvent débarquer … c'est déjà arrivé.

- Mais, les mecs qui viennent là, dans les dunes pour branler ou pour sucer, tu les connais ? Tu pourrais les contacter ?

- Non … je peux pas les contacter. Je les connais comme ça, de vue, sans plus … on voit toujours les mêmes, on se dit bonjour … avec certains, on se tripote, on se branle, certains sucent les autres … moi, je suce pas, hein … des fois, je branle … en général, je me fais sucer, mais moi, je suce pas … je connais le prénom de certains, mais j'ai pas leur nom ou leur téléphone … peut-être qu'entre eux, certains se voient ailleurs que là, dans les dunes, mais moi, je …

- Mais … t'as dit que t'avais enculé pas mal de culs, tout à l'heure … pas dans les dunes, alors …

- Non, pas dans les dunes … quand je veux vraiment baiser, je vais aux putes … soit à Quimper, soit à Pors-an-Enez ... là, c'est que des nanas … et des fois, je monte à Brest ou je descends à Lorient … à Brest et à Lorient, y'a des mecs, aussi, qui se font enculer … pour du fric, mais quelques amateurs, aussi … Non, quand j'te parle de trouver des mecs, c'est des mecs dans le coin … du local, quoi …


Il se tait, semble réfléchir, puis il reprend:

- Souvent, dans les dunes, y'a un mec, il suce tous ceux qui ont envie de se faire sucer … tu lui montres ta bite, il te suce … direct … des fois, j'ai vu être jusqu'à cinq ou six à faire la queue … alors, je suis sûr, si toi, tu te pointes là-bas et que tu dis que toi, tu te veux te faire enculer, tu trouveras des mecs … après, faut trouver un endroit tranquille pour faire ça …

- Ça serait pas un problème …

- Ah bon ? Tu veux dire … ici ?

- Non, pas ici … je me vois mal faire venir cinq, six ou dix mecs ici, pour me baiser … mais j'aurais un endroit …

- Bon.


Maintenant, ils bandent vraiment, tous les deux … c'est sûrement dû à l'effet combiné de ce que je leur fais, de ce qu'ils voient sur la télé, et sans doute aussi de ce que je leur ai raconté … mon gangbang … ils sont vraiment excités … de temps en temps, à la vue de certaines scènes, l'un ou l'autre laisse échapper une sourde exclamation … et parfois je les entends déglutir bruyamment … je sens aussi leur excitation à leur façon de respirer … je le sens aux réactions de tout leur corps … et moi, leurs sexes qui se dressent comme ça, gonflés d'excitation … leurs sexes entre mes doigts … si doux, si chauds, si vivants … Je n'y tiens plus … lentement, je change de position … je m'allonge entre eux, la tête au niveau de leur bassin … j'appuie mon coude droit entre les cuisses de Jean-Pierre et je me penche sur son ventre … 


Oooooh, sa biiiiite ! Je commence par poser des baisers tout au long de sa verge, comme tout à l'heure … hhhhmmmm, elle sent … elle sent encore ce mélange de sperme, de fluide anal et de lubrifiant … j'adore ça ! Jean-Pierre pose sa main sur ma tête et me caresse. Je remonte mes lèvres jusqu'à son gland, et je le prends dans ma bouche … une onde de chaleur me parcourt le corps, depuis la tête jusqu'au bout des pieds … c'est tellement bon, d'avoir le sexe d'un homme dans sa bouche ! En le masturbant, il y a un instant, j'ai pris soin de ne pas le décalotter, alors je sens la forme de son gland à l'intérieur de son prépuce … Tout en savourant la queue de Jean-Pierre, je jette un coup d'œil vers Bernard … il me regarde sucer son copain et il se masturbe … alors, je tends la main gauche vers lui, je repousse la sienne, je saisis son sexe et je commence à le masturber … Je sens les abdos de Jean-Pierre se secouer … il se marre:

- Ah, t'aimes ça, hein … t'en as pas encore eu assez …


Sans sortir sa queue de ma bouche, je secoue la tête de droite à gauche … "non, je n'en ai pas encore eu assez ". 

- Et ben vas-y, profite …


J'explore sa queue avec ma langue, avec mes lèvres … hhhhmmm, c'est un sexe … c'est une bite … c'est une queue, que j'ai dans ma bouche … Oh la laaaa, ça me rend folle ! Je vais la sucer jusqu'à la faire jouir ! Je vais la sucer jusqu'à la faire éjaculer dans ma bouche ! Je veux … je veux sentir son sperme gicler sur ma langue, chaud, suave … je veux le sentir glisser dans ma gorge … je veux le sentir s'écouler dans mon œsophage … mais avant … Je sors sa queue de ma bouche, et:

- Bernard, j'ai envie que tu me baises …


Il me regarde avec un air effaré. J'insiste:

- Allez, s'il te plaît, Bernard, baise-moi … pendant que je suce Jean-Pierre …

- …

-  S'il te plaît, quoi … prends-moi en levrette … comme lui, tout à l'heure …

- Allez, Bernard, fais lui plaisir … baise-le … tu verras, il est … enfin, non, pas IL … ELLE … ELLE est vraiment bonne à baiser, j't'assure !


Jean-Pierre a encre mis la vidéo sur pause. Bernard réfléchit intensément. Je suis sûr qu'il a peur … il en a très envie, mais ça lui fait peur … Jean-Pierre aussi l'a senti:

- De quoi t'as peur, mec ? Il a le cul super clean, tu sais … bon, à part ce que moi, je lui ai mis … mais si tu veux, il se lave le cul, et tu mets une capote … il en a, des capotes … alors l'enculer, c'est pas plus risqué que de se faire sucer …

- Ouais, je me lave le cul, si tu veux pas tremper ta queue dans le sperme de Jean-Pierre … et si tu préfères, tu peux mettre une capote … j'aimerais mieux pas, mais si tu y tiens …


Jean-Pierre:

- Tu sais … d'accord, avec capote, c'est la sécurité, mais c'est loin d'être aussi bien que sans capote … je te dis pas, le pied, quand tu lui tires ton coup directement dans la viande !

- Bon OK … j'vais l'baiser !

- Voilà ! C'est bien, mon Bernard ! Tu veux qu'il se lave le cul ?

- Nan. Tant pis, j'm'en fous !

- Tu veux mettre une capote, alors ?

- Nan. Tant pis, j'te dis …

- Bon, alors … en piste … fous-toi à quatre pattes, toi !


Jean-Pierre m'a donné une petite tape sur la tête pour m'inciter à me mettre en position. Non seulement je suis content que Bernard se décide enfin, mais en plus, j'aime bien la manière dont les choses ont tourné … pratiquement, c'est Jean-Pierre qui a pris les choses en main.


Alors je change de position … je m'installe à genoux entre les jambes de Jean-Pierre, et je m'appuie des deux mains sur le matelas, de part et d'autre de ses hanches. Lentement, Bernard se décolle de la tête de lit, et, une main posée sur mes reins, il se glisse à genoux vers mon arrière-train. J'écarte mes jambes et je me cambre. Ah putain, cet instant où je me mets en position pour me faire saillir par un mec … quelle émotion !


Voilà, je le regarde s'installer derrière moi, une main sur ma fesse … 

- Et t'occupes pas de moi, hein … donne-toi du plaisir, prends ton pied, tire ton coup, mais ne cherche pas à me faire jouir …


Une main sur ma hanche, les yeux braqués sur ma rondelle, il serre sa queue dans son poing et la guide vers l'entrée de mon fourreau … je sens ma fleur béer par réflexe … voilà, je sens qu'il pose son gland à l'entrée de mon rectum … oh la laaaaa … je vais avoir encore un sexe d'homme dans mon cul ! Je détourne la tête et je ferme les yeux. Dès qu'il commence à pénétrer en moi, un gémissement me remonte du fond du ventre … un gémissement aigu, plaintif … mais un gémissement de plaisir, un gémissement de bonheur … Jean-Pierre ne s'y trompe pas ... il pousse un "Oooooooh !" de stupéfaction … et il se marre … 


Maintenant que son gland est calé en moi, Bernard lâche sa bite, pose ses deux mains sur ma taille et commence à s'enfoncer lentement:

- Putain, ça rentre comme dans du beurre !

 

Ça y est, il commence à aller et venir … et il y prend beaucoup de plaisir … je le sais, je le sens, parce que j'entends sa respiration .. saccadée … par sa bouche grande ouverte … je le sens, parce qu'il se met à me caresser tendrement les flancs, les reins, les fesses … je le sens, parce que, lui aussi, se met à gémir … je le sens, parce que, brusquement …

- Rhôôôô putaiiiiiin ! Rhôôôô puuuuuuutaiiiiiin ! 


Et aussitôt:

- Oooh, meeeeeeeerde !


Il m'a empoigné à l'angle de mon ventre et de mes cuisses et il me fout de violents coups de boutoir … 


Il jouit ! Il éjacule ! 


Et sa queue, qui entre et qui sort violemment de mon cul, produit un bruit mouillé, visqueux ! Il gémit de plus belle, et mêle en haletant un râle à son gémissement … 


Quelle volupté, quel vertige, de sentir ce type déverser sa semence dans mon ventre ! Un homme de plus vient de m'honorer … un homme de plus vient de me féconder ! Je suis émue … et fière … une fois encore, j'ai accompli ma mission !


Subitement, il se colle à moi, plaque son ventre contre mes fesses, me cramponne fermement au niveau des aines … je sens son sexe qui frémit, qui vibre dans mon anus … Il reste comme ça une dizaine de secondes, puis il se retire lentement, et, d'un seul mouvement, il bascule et revient s'asseoir à côté de Jean-Pierre, le dos contre la tête du lit.


Là, je réalise que Jean-Pierre ne m'a pas incité à le sucer pendant que Bernard me baisait … c'est sans doute pour me laisser savourer le plaisir de cette sodomie. Je relève la tête. Bernard est en train de se recalotter le gland. Jean-Pierre le regarde en souriant:

- Alors ?


Bernard sourit à son tour:

- Ouais, ben … t'avais raison … elle est vraiment bonne !


Il me regarde et il éclate de rire:

- Putain, ça y est, j'suis devenu pédé ! Tu m'as fait devenir pédé, avec ton cul de … ton cul de salope !


Ben il se lâche, le Bernard, lui qui est si coincé d'habitude. Je regarde Jean-Pierre, et, en prenant sa queue dans la main:

- Du coup, toi, je t'ai pas sucé …


Je me penche, sur son ventre, mais il m'arrête:

- Attends ! Avant … t'aurais pas quelque chose à manger ? J'ai les crocs, j'ai pas mangé, à midi …

- Ben … si, je dois avoir quelque chose … mais c'est dans la cuisine … je vais aller te chercher ça …

- Non, attends … te dérange pas, je vais avec toi …


Je me relève et je descends du lit. Jean-Pierre se tourne vers son pote:

- Tu viens, ou tu préfères qu'on te ramène quelque chose ?

- Non, je viens.


A leur tour, ils descendent du lit et ils entreprennent de récupérer leurs vêtements. Je rajuste mon porte-jarretelles et je retends mes bas … je sens … ça me coule du cul sur le haut de la cuisse. J'hésite … j'aime bien garder en moi ce que les mâles m'ont injecté, mais là, pour aller jusqu'à la cuisine commune du gite, je vais sans doute en répandre en chemin … bof, en principe, il n'y a que nous ici, aujourd'hui … alors j'attrape mon déshabillé et je l'enfile pendant que mes deux amants se rhabillent. Bernard:

- Dis … euh … tu vas pas te …


D'un coup de menton, il me montre la porte de la salle d'eau. Je lui souris:

- … me laver le cul ?

- Ouais, te laver le cul … je t'en ai mis une dose, quand même …

- Ouais, il devait même en rester de Jean-Pierre. Ben non, je vais pas me laver le cul. Ça me plaît de garder votre jute dans le cul …


Il ouvre des yeux tout ronds. Jean-Pierre se marre. 


- Bon, vous y êtes, les garçons ?

- Ouais. Allons-y.


Je sors, suivi de mes deux mecs. Hhhmm, alors ça, ça me plaît … c'est encore mieux que tout à l'heure, quand je suis allé leur chercher à boire … parce que là, ils sont avec moi … c'est un échantillon de ce que j'aimerais vivre au quotidien … déambuler dans un lieu public, comme cette galerie, habillé en salope, accompagné des deux mecs qui viennent de me sauter … je sens mes fesses glisser l'une sur l'autre, lubrifiées par leur semence qui suinte de ma rondelle … 


D'un seul coup, une main sur mon cul … c'est Jean-Pierre, évidemment. Sans m'arrêter, je tourne la tête vers lui. Il arbore un large sourire:

- Ça va, ma chérie ?

- Ça va. Et toi ?

- Impec ! T'es sûr qu'il n'y a personne, hein …

- En principe, oui ..

- Et si quelqu'un débarque …

- On verra bien …


Il sourit. Nous arrivons à la cuisine:

- Tenez, vous n'avez qu'à prendre des assiettes et des couverts … c'est dans ce meuble, là …


Pendant qu'ils  prennent le nécessaire, je récupère des restes de charcuterie, du fromage et des canettes dans le frigo. Jean-Pierre:

- On se met où ?

- Dans la salle à manger … la porte vitrée, à droite … tenez, prenez ça, aussi … j'arrive … je décongèle du pain …


Bernard récupère ce que j'ai sorti du frigo et ils disparaissent par la porte vitrée. 


Quand j'arrive à mon tour dans la salle à manger, Bernard est déjà installé à une table contre la baie vitrée, et Jean-Pierre est à l'autre bout, en train de visiter. Le soleil filtre à travers les arbres dépourvus de feuilles, il inonde la pièce par les grandes baies vitrées et il fait de grandes taches de lumière mouvante sur les tables … De loin, Jean-Pierre me lance:

- C'est vachement grand, dis donc … Y'a de quoi faire des sacrées fiestas … et en plus, y'a une cheminée … on peut faire une flambée …

- Ouais. D'après la gérante, quand le gite est complet et que le camping est ouvert, des fois, la salle est pleine …

- Ah, ça fait aussi camping ?


Pendant que je déballe la bouffe, Jean-Pierre approche, il tire une chaise de sous la table et il s'assied. Puis il me prend la main, me faisant lâcher la terrine que j'étais en train d'ouvrir, il m'attire vers lui et, en tapotant sur sa cuisse:

- Assieds-toi là !


Ça a été si surprenant et si vigoureux que je n'ai pas eu l'occasion de résister. Je m'assieds en prenant soin de ne pas poser l'entrée de mon fourreau, souillé de sperme, sur sa cuisse, et:

- Hé, j'te préviens, j'ai le cul encore plein de foutre … je vous l'ai dit tout à l'heure …

- Je sais … je m'en fous … c'est NOTRE foutre …


Et pour me montrer que ça ne le dérange pas, il glisse sa main sous ma fesse et il passe ses doigts sur ma fleur toute poisseuse de sperme … waouhhhhh, j'ai la rondelle encore toute chamboulée et sensibilisée par leurs saillies, alors ça me fait un effet terrible ! Je laisse échapper un halètement et je ferme les yeux. Ma réaction le fait rire et ça le décide à en faire plus … je sens qu'il m'enfonce un doigt ... oh la laaaaa … je passe mon bras sur ses épaules et je cale ma tête dans son cou … je ronronne … 


- Putain, tu démarres au quart de tour, toi !


Je le sens qui introduit un deuxième doigt dans mon cul … il les bouge … je gémis … c'est tellement bon, de se faire doigter ! D'autant qu'avec le cul plein de sperme, ses doigts glissent en douceur … Je sens aussi qu'il a posé son autre main sur ma cuisse et qu'il la remonte lentement vers mon ventre … je bande ! Il va quand même pas … Si, il vient de prendre mon sexe dans sa main !


- Non, arrête, Jean-Pierre ! Me touche pas là !

- Pourquoi … tu bandes … je vais te branler ..

- Non … laisse-moi !


Je repousse sa main:

- Plus tard … peut-être …

- Bon … comme tu veux …


Il sort ses doigts de mon cul et je le sens qui remonte sa main le long de mon dos ... derrière mon cou … le long de mon menton, et:

- Tiens, lèche mes doigts …


Sans hésiter, je tourne la tête, j'ouvre la bouche … et je suce se doigts … hhhmmmm, ce goût de sperme ! Le goût de leurs deux spermes mélangés dans moi … avec des restes de lubrifiant et un peu de mes propres sécrétions anales … j'adore ça ! Je sens Jean-Pierre pouffer contre moi, pendant que Bernard me regarde, effaré. Brusquement:

- Lève-toi !


Jean-Pierre m'a presque viré de son genou. Il se dresse et:

- Je mangerai après … viens là !


Il me prend par le coude et il me pousse vers le bout de la table:

- Enlève ça et fous-toi là, sur le dos !


Il va me prendre sur la table ! Je dénoue fébrilement la ceinture de mon déshabillé, je l'enlève et je le laisse tomber à mes pieds. Tandis que je pose mes fesses sur le bord de la table, tout en enlevant ses chaussures, Jean-Pierre ouvre sa braguette et il ôte son pantalon … il bande et sa queue se dresse déjà à la verticale !  


Le voilà contre moi, entre mes genoux … il plante ses yeux dans les miens et il me sourit:

- J'vais t'baiser là !


Bien sûr, oui, baise-moi là ! Non seulement ça me plaît que tu veuilles me baiser ici, sur cette table, mais ça me plaît que tu décides ça sans me demander si j'en ai envie, ça me plaît que tu disposes de moi … D'une main, il me pousse en arrière tout en me retenant de son autre main … me voilà allongé sur la table … il saisit alors mes jambes, sous les genoux, et il les relève … de moi-même, j'écarte les cuisses … Ses yeux toujours plantés dans les miens, il bouge son bassin et, sans qu'il ait besoin de guider sa queue de la main, son gland trouve tout seul l'entrée de mon fourreau … Oh putain … ce que j'aime ça ! Je me cambre, les omoplates et la nuque plaquées sur le bois de la table et les reins en arc de cercle. Il va me prendre là, sur cette table, dans cette salle à manger … en pleine lumière … sous les yeux de l'autre … et je vais le regarder me baiser … 


Et soudain, je réalise que c'est précisément sur cette table que j'ai partagé des pizzas avec deux jeunes randonneuses, le soir de mon arrivée en Bretagne ! Je ne pensais vraiment pas au cul, à ce moment-là ! Mais là, oui, je pense au cul … je pense même tellement au cul qu'il me vient spontanément des images en tête … un fantasme … nous trois, Jean-Pierre, Bernard et moi, exactement dans la même situation, en train de faire la même chose, mais avec cette salle à manger pleine de monde … des touristes, des randonneurs, des familles attablées, en train de manger ... et Jean-Pierre qui me prend, qui me baise devant eux ! Et … et … et les gens qui interrompent leur repas et qui viennent regarder … des hommes, des femmes, des enfants, même … des vieux, des jeunes qui s'attroupent autour de nous et qui matent, et qui commentent … et des hommes qui demandent à Jean-Pierre si ils pourront aussi me baiser quand il aura fini … et une femme qui incite son mari à prendre son tour …


Pendant que je partais dans mes divagations, Jean-Pierre a commencé à aller et venir en moi, ses mains à l'arrière de mes genoux … lentement … très lentement … je sens son sexe glisser dans ma rondelle … Je croise mes mains sous ma nuque et je redresse la tête … je veux voir son ventre entre mes cuisses … son ventre qui approche et qui s'éloigne en rythme … Tout en allant en venant en moi, Jean-Pierre me regarde … ou plutôt, il m'examine … de la tête aux pieds … enfin, plutôt de la tête au ventre … comme une curiosité … à une certaine crispation de sa mâchoire, à une certaine façon de respirer par la bouche, je sens que son excitation monte … Etalée comme ça sur cette table, offerte, à disposition, je me fais l'impression d'être une sorte de … une sorte de bout de barbaque inerte dans lequel ce mec va se soulager … sensation étrange et délicieuse !


Un bruit, à côté de moi, attire mon attention … je tourne la tête … Bernard s'est levé … il a sorti sa queue, et, les yeux exorbités, il se branle en regardant son pote me baiser ! 


Un contact, sur mon ventre … je regarde … Jean-Pierre a écarté les pans de ma nuisette et il a posé sa main à plat, là, entre mon nombril et mon pubis … il regarde fixement cet endroit, comme fasciné …


- Ma bite vient jusque là …


Ce n'est pas à moi qu'il a parlé … ni à Bernard … c'est à lui-même qu'il a parlé … il appuie sur mon ventre tout en continuant d'aller et venir … il appuie sur mon ventre comme pour essayer de sentir, sous ma peau, sous mes abdominaux, sa queue qui va et vient … ça dure comme ça un moment ... il déplace un peu sa main, il tâte, il palpe mon ventre … et il regarde aussi ma bite … ma bite qui a légèrement débandé et qui ballotte un peu sur mon ventre, secouée par ses va et vient … il la regarde et, sans un mot, il la prend entre ses doigts … il me jette un rapide coup d'œil, et, comme je ne proteste pas, il affermit sa prise … il y a je ne sais quoi, dans son regard … c'est comme si, en prenant ma bite dans sa main, il réalisait vraiment que c'est un mec qu'il est en train de troncher … il commence à me masturber … et cette fois, ça me plaît … il me baise et il me branle ! 


C'est comme un signal qu'il aurait attendu … sans lâcher ma bite, il se met à me bourrer à grands coups de reins … et je vois, je sens qu'il va jouir rapidement … alors, de sentir que je vais encore me faire inséminer, mon excitation à moi grimpe aussi en flèche … Brusquement, Jean-Pierre se bloque le ventre contre moi, et la tête rejetée en arrière, la bouche grande ouverte, les yeux fermés, il jouit !

- Rhââââââââââââââââ … puuuuuuuuuutaiiiiiiiiin !

 

à suivre


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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