Partager l'article ! Premières fois. Bernard et Jean-Pierre. Première partie: Avertissement. Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations ...
Le blog de Marin Cathare
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Mercredi 20 décembre. 15h00
Avec Gégé, après être sortis du restaurant, nous avons pris la route du retour et nous avons commencé à parler de cul. Il a tout compris … en particulier, il a deviné mon intention de faire de ma ferme de Coat-an-Bleiz un "baisodrôme". C'est lui qui a trouvé l'expression … un baisodrôme ! C'est exactement ça. Naturellement, il a voulu en savoir plus sur moi et le cul.
Alors je lui raconte Bernard, le type à qui j'ai taillé une pipe, dimanche dernier … je lui raconte tout, dans le détail … ma balade sur la plage, habillé en fille, mon incursion dans la propriété dont Bernard a les clefs, sa voiture, la pipe que je lui ai taillée … tout … Il semble quand même encore un peu sceptique. J'enchaîne:
- Tu sais, avec un peu de temps, ça peut se trouver, toute une équipe de mecs à faire venir à la ferme pour me baiser… il faut chercher, évidemment, et des fois ça marche, des fois, ça marche pas… samedi soir, par exemple, quand tu m'as vu, avec ton copain, je venais draguer …
- Ah bon ? Mais … comment ça …
- Ben, j'allais voir dans les bars sur le port, si je pourrais pas trouver des mecs … mais la plupart des cafés étaient fermés, et le seul où il y avait du monde, les mecs étaient en train de regarder un match de foot à la télé … alors j'ai fait chou blanc … Pour en revenir au mec de dimanche à qui j'ai taillé une pipe, si ça te dit, avant de te ramener, on passe à mon gite, et je te montre la tenue de fille que je portais quand je l'ai sucé, ce type … et je te montre aussi mes vidéos …
- Nan, nan … on passe pas à ton gite …
- Pourquoi, t'as peur ?
- Nan, c'est pas ça … mais on y passe pas … tu me déposes chez moi … enfin, chez TOI, et c'est tout.
- Bon, comme tu veux.
Sa curiosité doit être satisfaite … ou alors, il doit trouver qu'on est sur un terrain glissant, comme on dit, parce que la conversation s'arrête là … du moins pour ce qui concerne le cul … Je le dépose et je descends voir Gwen à son agence. Elle est en rendez-vous avec des clients, mais elle me fait signe d'attendre. Je m'assieds.
Quand elle en a terminé avec ses clients, elle me reçoit. Je lui explique ce qui se passe avec Coat-an-Bleiz … l'erreur des notaires, le rendez-vous avec l'équipe municipale de Plouménez et ses projets, la visite des lieux … tout … enfin, pas la séance avec son cousin Gégé, évidemment. Je lui demande si la mise en vente des terrains l'intéresse … évidemment oui. Selon elle, le mieux serait de les proposer à un promoteur immobilier et de le charger de s'occuper des lotissements. Elle semble bien maîtriser le sujet. Elle n'est pas surprise par la tentative des notaires de me faire vendre la propriété pour une poignée de cerises … comme je lui annonce que j'ai l'intention de leur rentrer dans le lard, elle m'en dissuade … selon elle, il vaut mieux attendre qu'ils aient régularisé la succession de mes parents … si je leur rentre dans la gueule avant, ils seraient capables de faire traîner les choses ou de me mettre des bâtons dans les roues … toujours selon elle, je devrais même les appâter en leur faisant croire que c'est eux qui seront chargés de la vente des terrains … comme ça, ils feront sûrement tout leur possible pour accélérer les choses, et peut-être aussi pour réduire mes frais sur la succession … Elle a raison … Je lui prête les photocopies de cadastre que le maire de Plouménez m'a données et on convient d'aller voir les lieux ensemble.
Je rentre au gite. Allongé sur mon lit, je me repasse en tête les événements de cette journée … en particulier la séance avec Gégé … Gégé qui me pelote … Gégé qui se branle … Gégé qui jute sur mon cul … et je me caresse … et je me refais un scénario avec Gégé qui me baise à Coat-an-Bleiz … Gégé qui me baise dans la maison … Gégé qui me baise dans le grenier … Gégé qui me baise dans la crèche … Gégé qui me baise dans la boue de la marre qu'on a trouvée au milieu des roseaux … je me branle … je me branle et je jouis … je me branle, je jouis et je m'endors …
Il est dans les dix sept heures quand mon téléphone me réveille. C'est la secrétaire des notaires qui m'appelle. ils voudraient bien me voir … dès demain matin, si je peux. Je peux. Nous prenons rendez-vous pour dix heures.
J'ai à peine terminé, que mon téléphone sonne encore. C'est un numéro que je ne connais pas, mais apparemment, c'est un indicatif du coin. Alors je réponds:
- Oui ?
- C'est Bernard … tu sais … on s'est vus dimanche …
- Ah oui … Bernard … je t'ai taillé une pipe …
- Oui. Là, je t'appelle du boulot. Tu m'avais dit que je t'appelle si … tu vois ?
- Oui, si t'avais encore envie que je te suce …
- Voilà … alors, je me demandais … on pourrait se revoir ?
- Ben sûr. Tu veux quand ?
- Ben, samedi … autrement je bosse, et …
- … et le soir, en semaine, il faut que ta femme te trouve à la maison si elle t'appelle …
C'est seulement à ce moment que je me dis que, si ça se trouve, mon portable est toujours sur écoute. Si c'est le cas, les flics vont encore se régaler. Bernard:
- Ouais, c'est ça.
- Bon, OK pour samedi … le matin ou l'après-midi ?
- Ben, plutôt l'après-midi.
- OK, je te donne l'adresse …
- Ouais, attends ! Tu te rappelles ? Tu m'avais dit aussi … si jamais … si jamais je connaissais quelqu'un qu'avait envie …
- Oui, je me rappelle …
- Ben, mon collègue, là, il serait d'accord ... je t'ai parlé de lui …
- Ah, oui. Ben très bien !
- Ouais, il écoute, là, j'ai mis sur haut parleur … alors tu serais d'accord pour qu'il vienne aussi ?
- Ben oui, je te l'ai dit ... il voudrait quoi, ton collègue … que je lui taille une pipe, ou plutôt me baiser ?
- Attends … je te le passe …
- Allô !
- Oui, salut, je t'écoute.
- Ouais, salut … je suis un collègue à Bernard. Ben dis donc, t'es direct !
- Oui. Je ne vois pas pourquoi tourner autour du pot, hein …
- Ouais. C'est vrai ce qu'il m'a dit ? Que tu l'as sucé, dimanche …
- Oui, c'est vrai.
- Et … que tu l'as sucé à fond ? Je veux dire … il t'a juté dans la bouche et t'as avalé ?
- Oui, c'est vrai.
- Il dit aussi que t'es d'accord pour qu'il amène quelqu'un d'autre …
- Ben oui … t'as entendu, puisqu'il a mis sur haut parleur … Tu peux venir avec lui si tu veux … au contraire, même, tu connais l'adage … plus on est de fous …
- Oui, plus on rit. Et tu …
- Ben, je te taillerai aussi une pipe, si tu veux … ou si tu préfères, tu pourras me baiser … c'est toi qui vois.
- Ah putain … t'es vraiment direct, toi … et tu … tu te fais pas payer ?
- Non, non. Bernard, il a pas payé, il a dû te le dire. Et tu paieras pas non plus. Alors ? Qu'est-ce que tu préférerais, te faire sucer ou me baiser ?
- Ben je sais pas … faut voir … si t'es … si t'es comme il m'a expliqué, pourquoi pas te baiser …
- Il t'a expliqué quoi …
- Ben … il a dit que t'as un cul … un cul … terrible, quoi … un vrai cul de fille …
- Il t'a dit ça ? Un vrai cul de fille …
- Ouais, enfin, il a pas dit que ça … il a dit aussi "un vrai cul de salope" … je m'excuse, hein …
Derrière lui, j'entends Bernard qui proteste « T'es con, Jean-Pierre … lui dis pas ça ». Je les rassure:
- T'inquiète pas, c'est ce que je suis, une salope, alors ça me dérange pas …
- Bon, ben … on verra, alors … j'dis pas non … Attends, Bernard, il veut encore te parler, j'te le passe … à samedi.
- Ouais, à samedi.
- Ouais … c'est Bernard. Dis, tu pourrais remettre ta robe, là ... celle que t'avais, dimanche …
- Ben si tu veux … mais comme on sera à l'intérieur, je peux aussi me mettre en lingerie … j'en ai acheté …
J'entends le collègue, à côté de Bernard, qui approuve « Ah ouais … en lingerie ! Moi, je veux bien ! ». Bernard:
- T'as entendu ?
- Ouais.
- C'est quoi, comme lingerie ?
- Des porte-jarretelles et des bas, des petites culottes, des nuisettes …
- C'est quoi, des nuisettes ?
J'entends l'autre, à côté « Ah ouais, des nuisettes … je connais … c'est vachement bien ! J't'expliquerai, Bernard. »
- Bon, ben, comme tu veux, alors … va pour la lingerie. C'est où que t'habites, alors ?
Je lui donne l'adresse, et:
- C'est des gites. Il y a 8 chambres. Vous verrez, elles sont alignées, les unes à côté des autres, le long d'une galerie. La mienne, de chambre, c'est la dernière, tout au bout de la galerie. De toute façon, actuellement, il n'y a que moi, vous pouvez pas vous tromper. Vous vous garez au bout du parking … de là, il y a un escalier qui donne juste au bout de la galerie, à côté de ma chambre.
- Ça te dérange pas … vis à vis des gens du gite ?
- Non. Si ça se trouve, la gérante, samedi après-midi, elle ne sera même pas là. Et de toute façon, elle ne contrôle pas les allées et venues des visiteurs.
- Bon, ben … à samedi.
- Attends … donnez-moi une heure … même à peu près, que je me prépare …
- Ben … disons … deux heures et demie … ça irait ?
- Ouais, très bien … deux heures et demie. À samedi.
Yesss ! Le collègue, j'ai l'impression qu'il est moins coincé que Bernard. Lui, il se pourrait bien qu'il me saute. Evidemment, je me mets tout de suite à me faire un scénario de ces deux mecs avec moi dans ma chambre … Ça commence au moment où j'ouvre la porte de ma chambre et où je les accueille en petite tenue, nuisette, porte-jarretelles et bas … et là, je ne sais pas pourquoi, je ressens … je ne sais pas … une sorte de malaise … il manque quelque chose … Oui, je sais ! C'est cette petite tenue … ça ne va pas … non pas la petite tenue par elle-même, mais c'est d'accueillir ces deux mecs comme ça, tout de suite … c'est trop … trop brutal, trop direct … il faut que je trouve un moyen de … il faudrait … oui, il faudrait que je les accueille en robe de chambre, par exemple … Je me souviens, quand Jacky, le mac, était débarqué chez moi avec des potes à lui pour me baiser, je les avais reçus dans un déshabillé rose pâle … Oui, il me faudrait quelque chose dans ce genre par-dessus ma nuisette … quelque chose que je mettrais seulement pour les accueillir, et après, hop, je l'enlève … Bon, là, il est trop tard, mais demain, après les notaires, je retourne dans la zone commerciale ou en ville et je me trouve quelque chose de sexy.
Bon. Les choses se présentent plutôt bien. J'espère seulement que le collègue de Bernard va avoir envie de me sauter.
Mercredi 20 décembre 16h00
Voilà, mon rendez-vous chez les notaires s'est bien passé. Ils voulaient me tenir informé de l'avancement du dossier: ils ont fait le nécessaire pour régulariser la situation auprès des impôts et du cadastre. Tout fiers d'eux, ils m'annoncent avoir obtenu que je ne paie aucune pénalité de retard. Et ils me font cadeau des frais d'acte. De toute façon, c'est le moins qu'ils peuvent faire. De mon côté, je leur parle de ma visite des lieux et de mon entrevue avec le maire de Plouménez et son équipe. Evidemment, je ne fais aucune allusion aux révélations qu'ils m'ont faites sur eux, les notaires. Je leur annonce mon intention de vendre des terrains petit à petit, dès que tout sera en ordre et que leur classement en terrains à bâtir aura été validé. Bien sûr, ils sont à ma disposition pour s'occuper des actes de vente … bien sûr, bien sûr, hé hé hé … Ils sont ferrés, j'en suis sûr.
Là, je suis en ville et je sors de la boutique de lingerie où j'avais acheté des porte-jarretelles, lundi. La vendeuse m'a reconnu et m'a demandé si les porte-jarretelles avaient plu. J'ai failli lui dire qu'ils m'avaient plu puisque je me les étais offerts, mais je me suis abstenu. On verra … si j'y retourne régulièrement, peut-être qu'un jour, je lui dirais que c'est pour moi, la lingerie que j'achète. Elle m'a présenté plusieurs modèles de "déshabillés", et elle m'a aidé à choisir … je me suis décidé pour un "déshabillé" en satin blanc cassé … très doux au toucher … il m'arrive un peu au-dessus du genou – oui, pendant que la vendeuse allait chercher un autre modèle dans l'arrière-boutique, j'ai plaqué le déshabillé devant moi pour voir ce que ça donnait – et il ne tient fermé que par une ceinture également en satin … il suffit de la dénouer pour que le déshabillé s'ouvre et dévoile ce qui est dessous … C'est un peu cher, dans cette boutique, mais la vendeuse est sympathique, discrète et de bon conseil … apparemment, elle a bien intégré que l'essentiel de ce qu'elle vend, c'est pour le sexe, ou du moins pour les préliminaires.
Avant, j'étais allé dans la zone commerciale Je suis retourné dans le magasin où j'ai acheté ma lingerie samedi dernier. J'ai encore jeté un coup d'œil dans ce rayon, mais il n'y avait rien de nouveau. Par contre, en fouillant bien, j'ai trouvé un nouveau jean pour femme, en toile stretch. Il faut que je nettoie le premier … je ne peux pas garder la tache de sperme de Gégé indéfiniment. Je le laverai ce soir, dans le lave-linge du gite. Par ailleurs, dans un magasin de produits cosmétiques et d'accessoires, j'ai trouvé et acheté deux perruques. Oui, je me suis dit que ça aiderait peut-être Bernard et son collègue si j'ai une tête qui me fait davantage ressembler à une fille … de dos, du moins … ou plus exactement, de derrière … j'ai donc choisi une perruque châtain et une blonde, toutes les deux aux cheveux mi-longs … il ne faut quand même pas que les cheveux me gênent pendant que je suce. Je crois que maintenant, je suis paré.
Jeudi 21 décembre.
Je passe la journée dans ma chambre à essayer mes emplettes. C'est pas si mal, avec une perruque. Il faudrait que j'apprenne à me maquiller pour atténuer mes traits masculins. Mais c'est pas pour maintenant.
En début d'après-midi, Yolaine, ma voisine de Seine-et-Marne, m'appelle pour prendre des nouvelles. Je lui explique où j'en suis et je lui raconte Bernard – et ma balade en "fille" sur la plage et le sentier côtier – . Mais je m'abstiens de lui parler de la séance avec Gégé … comme il se pourrait que je sois encore sur écoute, il ne faudrait pas que, d'une manière ou d'une autre, cette histoire arrive aux oreilles du capitaine Blanchard et qu'il s'en serve contre Gégé. Je lui raconterai de vive voix, à Yolaine, quand je serai rentré. Elle a remis de l'ordre chez moi, après le bordel que les flics avaient fait en perquisitionnant. Quand je pense qu'il y a seulement quelques mois, c'était encore la guerre froide entre elle et moi !
Un peu plus tard, je reçois un coup de fil du magasin de meubles de Brest, où j'ai commandé de quoi équiper ma maison. Ils proposent de me livrer mercredi prochain, le 27 décembre, tôt dans la matinée. Ce sont les livreurs qui monteront les meubles. Comme il y en a pas mal, ça devrait prendre deux ou trois jours. Ça marche. J'y serai. Il faut que je prévienne Gégé. C'est con qu'il n'ait pas de téléphone. Je passerai le voir demain.
Vendredi 22 décembre. 10 heures.
J'arrive chez Gégé … enfin, non … chez moi. Je le trouve dans la cuisine … il vient juste de revenir de faire des courses. Il m'examine de la tête aux pieds … il faut dire, j'ai mis mon nouveau jean moule-bite et moule-cul. Il sourit:
- Salut, patron. Ça va ?
- Salut Gégé. Ça va. Et toi ?
- Impec. T'as remis ton jean ?
- C'en est un autre que je viens d'acheter. Il te plaît ?
Il ne répond pas, il sourit. Après la séance de mardi, quand il m'a tripoté le cul, qu'il s'est branlé et qu'il s'est répandu sur mon jean, je m'attendais à ce qu'il soit un peu gêné. Mais pas du tout, il a l'air très à l'aise. Tant mieux. Ce mec est simple. J'insiste:
- Tu trouves pas qu'il me fait aussi un beau cul ?
- Si, si …
Mouais, pas vraiment convaincu, mais il ne veut pas me contrarier … ou alors il a peur que je lui demande encore de me tripoter.
- Je suis venu te dire … mercredi prochain, on me livre des meubles.
- Ici ?
- Oui. On m'a dit en début de matinée, mais je ne sais pas exactement à quelle heure.
- C'est pas grave, je serai debout.
- Je serai aussi là … pour dire aux livreurs dans quelles pièces vont le meubles. C'est eux qui vont les monter … tu sais, les meubles arrivent en pièces détachées, dans des cartons, et …
- Ouais, je sais comment ça se passe, je suis pas débile. J'en ai déjà monté pour des gens.
- Ah, très bien. Comme il y en a beaucoup, ça va prendre du temps … peut-être deux ou trois jours …
- Faudra que je parte, après ?
- Ben non … faudra pas que tu partes … tu peux rester si tu veux. Tu te choisiras une chambre … et moi une autre …
- Parce que … tu vas habiter là ?
- Oui. Maintenant que la maison sera meublée et équipée, je vais pas rester dans mon gite, hein …
- Ah ben ouais …
- Ça te gêne ?
- Nan, je … je sais pas …
- Bon. Faut que j'aille jeter encore un coup d'œil dans les chambres …
Je m'engage dans l'escalier. En amorçant le virage du palier intermédiaire, je m'aperçois que Gégé est sorti de la cuisine, et qu'il me regarde monter. Il doit encore mater mon cul.
Je pense que je vais prendre la chambre de gauche, sur le palier. Elle est un peu plus grande que celle de droite. Gégé pourra prendre celle de droite. Je ferai mettre le lit ici … les tables de chevet de part et d'autre … en face, l'armoire-penderie … contre ce mur, la commode … Je retourne sur le palier:
- Gégé ! Tu peux venir ?
Il monte lentement en me regardant, l'œil froncé.
- Je vais prendre cette chambre-là, et toi l'autre, en face. Ça te va ?
C'est en lui disant ça que je réalise vraiment ce qui se passe, ce que je suis en train de faire … je me mets en ménage avec Gégé ! Oh, bien sûr, nous ne sommes pas un couple, loin de là, mais tel que les choses se passent, ça y ressemble. Il secoue la tête:
- Je … je sais pas, hein … si … si on habite là tous les deux … les gens, ils vont croire … ils vont croire qu'on est tous les deux des pédés … et moi, je suis pas un pédé …
- Ah, c'est ça !
- Ben ouais … toi, tu t'en fous que les gens te prennent pour un pédé, mais pas moi … j'ai pas envie … Ici, tout le monde me connaît … et ça se saura, si j'habite avec toi …
- Ah OK. Mais ici, jusqu'à présent, à part toi, personne ne sait que je suis un pédé …
- Bah … si tu continues à te balader avec tes jeans de gonzesse … et puis, y'a l'autre enfoiré de Blanchard, qui sait que t'es un pédé …
- Ah ouais, t'as raison … ben, je sais pas quoi te dire, alors …Si ... ce que je peux faire, c'est arrêter de porter ce genre de jean … pour le moment, il n'y a que toi qui m'as vu comme ça …
Je ne lui dis pas que je suis passé voir sa cousine Gwen dans cette tenue, l'autre jour … mais ça doit pas être le genre à faire des commérages, Gwen. Il réfléchit intensément. Puis:
- Bon. Pour le moment, disons que je prendrai cette chambre. D'ailleurs, c'est déjà là que je dors. Après, quand les meubles seront là, on verra.
- Bon, très bien.
Il reste sur le palier, immobile, pendant que je jette un coup d'œil dans la soupente, à l'arrière des chambres. Ouais, là, avec un lit de chaque côté et un canapé-lit au milieu, ça sera pas mal. Quand je reviens sur le palier, Gégé s'écarte un peu. Je me dis qu'il va peut-être encore me coller sa main au cul quand je vais passer devant lui pour redescendre. Mais non. Il se contente de me suivre dans l'escalier. Je ne suis même pas sûr qu'il mate encore mon cul. Arrivé dans le salon, je me retourne:
- Bon, salut Gégé … à mercredi.
- Ouais, salut patron.
Apparemment, ça l'amuse, de me donner du "patron" à tout bout de champ. En sortant, je regarde autour de moi. C'est vrai, depuis que je suis arrivé, je n'ai pas fait attention aux voisins. Je ne sais même pas qui habite juste à côté. Gégé doit les connaître, il connaît tout le monde ici.
Je rentre au gite et, comme l'autre jour, je passe mes derniers achats au lave-linge après les avoir un peu imprégnés de parfum. Tandis que j'attends que la machine ait terminé son cycle, la gérante des gites se pointe dans la buanderie:
- Bonjour.
- Bonjour. Dites … demain, ne vous étonnez pas, je ne viendrai pas … je n'ai pas de réservations pour ce week-end.
- Même pas demain matin ?
- Non. Alors ça ne servirait à rein que je vienne. Et puis, je vais en profiter pour aller faire mes courses pour le réveillon. La maison sera entièrement à vous pour le week-end.
- Vous ne venez pas non plus dimanche matin ?
- Non. Pour une fois, grasse matinée avec mon mari.
- Bon week-end, alors.
- Merci. Pour le téléphone, j'ai fait le transfert d'appel vers mon numéro personnel, au cas où … Je vous le donne aussi, pour le cas où il se passerait quelque chose …
- D'accord.
Elle me tend un post-it avec un numéro, elle me serre la main et elle s'en va.
Samedi 23 décembre.
En début de matinée, je fais un saut au supermarché pour acheter quelque chose à manger et à boire … pour moi, mais aussi pour les deux lascars qui doivent venir cet après-midi. J'en profite pour prendre un flacon de lubrifiant. Je me dis que, mercredi, pendant que j'étais en ville, j'aurais dû chercher un sex-shop … il doit bien y en avoir un … je me serais acheté un cock-ring … et peut-être un ou deux godemichés … tant pis, en guise de cock-ring, l'élastique à cheveux dont je me suis servi dimanche fera encore l'affaire. Mais il faudra que j'y pense la prochaine fois que je retourne en ville. Et puis, en passant devant le petit rayon informatique et connectique, il me vient une idée: et si j'achetais de quoi relier mon ordi à la télé … Dans mon gite, la télé qui est fixée au mur, juste en face du lit, est plutôt grande pour un gite. Ça me permettrait de passer mes vidéos de cul sur ce grand écran avant et pendant mes ébats avec mes ... "invités".
Une fois rentré et mes courses rangées dans la cuisine commune des gites, je m'occupe de brancher mon ordi sur la télé. Il me faut quelques minutes pour comprendre les explications figurant sur l'emballage du câble que je viens d'acheter, et pour trouver la touche de la télécommande qui va bien, mais je finis par y arriver. Yesss ! Ça marche ! Oh, putain, c'est quand même mieux comme ça ! La définition des images sur cette télé est tellement bonne que j'ai l'impression de redécouvrir mes vidéos.
Et puis j'entreprends de me préparer pour recevoir Bernard et son collègue. Comme à chaque fois dans ces circonstances, je commence par une première série de lavements avec l'embout du flexible de douche. Il n'est pas question que celui qui m'enculera se retrouve avec la queue souillée de merde. Hhhmmm … c'est non seulement très agréable de se remplir le ventre avec de l'eau tiède, mais ça commence à me détendre, à me dilater le sphincter anal …
Puis c'est le rasage … intégral. Non seulement la bite, les couilles, le périnée et le cul, mais aussi les fesses, les reins, le torse, les aisselles, les jambes … tout ! Evidemment, la barbe et la moustache aussi. Au total, ça me prend presque une heure. Il faudrait bien que je me décide pour une épilation totale qui dure et qui évite ces repousses trop agressives. Mais enfin, là, c'est déjà pas mal … avec une bonne couche de crème hydratante partout, me voilà avec la peau lisse, douce et soyeuse … une vraie peau de jeune fille … dommage que ça ne dure pas … mais pour les quelques heures qui viennent, ça ira. Je m'injecte aussi une dose de lubrifiant dans le cul … il va commencer à m'imprégner les muqueuses …
Ensuite, j'essaie différentes options de lingerie … et finalement, j'opte pour ce qui me semble le plus efficace au point de vue apparence … ce sera tout en rouge … porte-jarretelles rouge, bas rouges et nuisette rouge … j'essaie aussi le string rouge, mais ce n'est pas sûr que je le mette … on verra … un coup d'œil dans le grand miroir de la salle d'eau … hhhmmmm, cette nuisette transparente avec ces trois petits rubans de satin qui se nouent au niveau de la poitrine … c'est tout ce qui la tient fermée … plus bas, au niveau de l'abdomen, elle s'ouvre et flotte librement … ce n'est même pas la peine de dénouer les petits rubans de satin pour accéder à ce qui est en dessous … je fais vraiment très salope, comme ça … le petit chaperon rouge qui s'apprête à faire la pute … je n'ai plus qu'à attendre le loup … et le chasseur, évidemment … ensuite, j'essaie les perruques … c'est pas mal, mais je le sens pas, avec une perruque ... on verra, peut-être que je n'en mettrais pas … Non seulement mon apparence me plaît dans cette tenue, mais je m'y sens physiquement bien … confortable … ma nuisette est tellement légère, tellement douce et aérienne … je sens … partout sur mon corps, je sens l'air tiède de la chambre qui passe à travers le fin voile et qui me caresse … c'est sensuel et jouissif.
Bon, voilà, je crois que je suis prête … il n'y a rien à faire, dans ces circonstances, je ne peux pas m'empêcher de ne considérer comme … comme une fille … jusqu'à employer le féminin en pensant à moi. Ça m'a fait la même chose dimanche matin, quand j'ai commencé à me balader sur la plage en robe et en collant ouvert … là, c'est ce que je porte, cette lingerie, et ce sont mes préparatifs pour recevoir ces deux types … oui, je me prépare vraiment comme une fille qui va recevoir ses amants … Justement, reste plus qu'à les attendre, les deux mecs … les deux queutards … MES deux queutards ! J'ôte la perruque, elle me tient trop chaud … je ne la remettrai que quand ils arriveront. Mais j'enfile quand même mon string … il arrive tout juste à contenir mon paquet … je sens que, si je commence à bander là-dedans, ma queue va déborder.
Depuis que je les ai eus au téléphone, mes deux queutards, je n'arrête pas de penser à eux … enfin, pas constamment, mais à chaque fois que je n'ai pas à penser à autre chose … et quand je pense à eux, quand je pense à ce qui va se passer samedi après-midi, à ce que ces deux mecs vont me faire, et je … je mouille comme une folle … c'est une image, évidemment … je ne mouille pas vraiment, mais je me sens tellement excitée, le bas-ventre et la chatte tellement émoustillés … Tiens, c'est la première fois que je pense à mon trou du cul comme à une chatte ! Jusqu'à présent, je m'interdisais ce genre d'assimilation … quand je voyais sur Internet d'autres travelos parler comme ça de leur trou de balle, je trouvais ça ridicule. Il faut croire que mon inconscient prend le dessus. Quoi qu'il en soit, j'ai vraiment le bas-ventre et la chatte enflammés, frémissants … j'ai tellement hâte de me faire tirer … j'ai tellement hâte de me prendre mes deux cartouches … Ah putain, encore deux bites ! Deux bites DANS moi ! Deux bites qui jouissent … deux bites qui déchargent leur jouissance DANS moi ! Le désir monte en moi, qui m'étreint le cul et les reins.
Histoire de patienter, je fais défiler mes vidéos sur la télé … et ça, pour le coup, ça me fait vraiment mouiller … je bande, et ma queue qui commence à tendre la ceinture élastique de mon string, se met à bavouiller un peu de liqueur. J'espère qu'elles seront à l'heure, les deux bites … par acquis de conscience, je me refais quelques lavements … ça va, l'eau qui ressort de mon cul est toujours impeccable … je remets un peu de gel lubrifiant …
C'est le bruit d'un moteur et celui de graviers qui crissent, qui attirent mon attention. Je me lève d'un bond, et je regarde par la fenêtre. C'est eux ! Je reconnais la 205 de Bernard en train de se garer ! J'aperçois une silhouette assise à la place du passager. Son collègue est venu ! Vu d'ici, à travers le pare-brise, il paraît plus grand que Bernard. Mais je ne les regarde pas descendre de voiture … je préfère ne pas voir à quoi le collègue ressemble avant qu'il n'entre dans ma chambre … de toute façon, qu'il soit beau ou moche, je le veux … jeune ou vieux, gros ou maigre, black, blanc ou beur, je le veux … Rapidement, pendant qu'ils descendent de voiture et montent l'escalier, je m'empresse de mettre ma perruque et d'enfiler mon déshabillé. Juste au niveau de ma rondelle, je sens mes fesses qui glissent un peu l'une sur l'autre ... la chaleur de mon rectum a sans doute fait un peu fondre le lubrifiant que je me suis injecté, et il a dû un peu suinter. Mais ça va, ça n'a pas trop coulé … et c'est une sensation très agréable. Un coup d'œil dans le miroir … pour le reste, je suis impeccable ! J'éteins la télé et mon ordi. Je les mettrais en route plus tard … cadeau surprise pour mes invités.
Maintenant, mes invités, je les entends marcher sur le plancher en bois de la galerie … ils discutent sur un ton enjoué … on dirait deux potes qui viennent regarder un match de foot à la télé chez un copain … J'ai le cœur qui bat.
Toc toc toc !
Putain, l'image qui s'impose instantanément à mon esprit, c'est que, derrière cette porte, il n'y a pas seulement deux mecs, deux mâles … là, derrière cette porte, à peu près à hauteur de la poignée, il y a deux BITES … deux BITES que je vais faire grossir, deux BITES que je vais faire durcir … deux BITES qui vont me …
J'ouvre. Ils sont là … Bernard devant, et son collègue un peu en retrait … en me découvrant, tous les deux ont la mâchoire qui tombe et les yeux qui s'écarquillent. Le collègue:
- Ah ouaiiiiiis ! CARRÉMENT !
- Salut, les garçons. Vous n'êtes que deux ? Dommage … entrez quand même …
Ça m'est venu tout seul, sans réfléchir. Ben oui, tant qu'à venir entre collègues, ils auraient pu en amener d'autres. Ils sourient, mais je ne suis pas sûr qu'ils aient fait attention à l'allusion. Je les laisse passer devant moi en tenant la porte … Bernard avance jusqu'au milieu de la pièce, un peu gêné … il examine alternativement la chambre et moi … son collègue, par contre, paraît beaucoup plus à l'aise … il est en effet plus grand que Bernard … aussi grand que moi, en fait … environ quarante ans … cheveux bruns, courts et un peu en bataille … les yeux marrons … costaud mais sans plus … la gueule assez quelconque mais avec je ne sais quoi d'agréable … je dirais … un mec franc, ouvert, direct … lui, les yeux pétillants, m'examine ouvertement de la tête aux pieds … à part la description que lui avait fait Bernard, il devait se demander à quoi pouvait bien ressembler celui qu'il allait baiser … il paraît satisfait de son examen … il sourit …
C'est quand même un peu dingue … lui comme moi, sans nous être vus auparavant ne serait-ce que quelques secondes, pas même en photo, nous avons décidé que l'un allait baiser l'autre. Et en effet, maintenant que nous voilà face à face, il n'y a pas l'ombre d'un doute, ce mec va bel et bien me baiser ! Je suis déjà amoureuse de lui … de lui et de Bernard. Comme il me sourit, le collègue, je lui souris aussi:
- Alors ? Satisfait ?
- Satisfait … pas encore, hein … c'est quand j'aurais tiré un coup, que je serai satisfait …
Au moins, il est sans détour et sans filtre … cash ! Ça me plaît. Il poursuit:
- Mais autrement, pour un premier coup d'œil … ouais, c'est très bien … on peut en voir plus ?
Je referme la porte:
- Ben oui, évidemment …
Je dénoue la ceinture de mon déshabillé, je l'enlève et je le lance sur le lit. Me voilà en nuisette rouge transparente au ras des fesses, en string et en porte-jarretelles … Le collègue siffle doucement entre ses dents:
- Ah ouaiiiiiiis ! CARRÉMENT !
Il est un peu limité pour manifester son ressenti, ce mec … mais ça me va. Alors, comme je l'ai déjà fait à d'autres occasions devant des mecs qui allaient me baiser, je lève un peu les bras et je tourne lentement sur moi-même, pour le laisser découvrir le côté pile.
- Ah ouaiiis ! Puuutaiiiiin ! Je sens qu'on va se régaler, hein, Bernard …
- Bah ouais ! Tu vois ? J'te l'avais dit, hein …
Me voilà de nouveau face au collègue:
- Enlevez vos blousons, les garçons … donnez-les moi, je vais les accrocher … et mettez-vous à l'aise.
Ils ôtent leurs blousons et me les tendent. Je leur tourne le dos et, en ondulant un peu du cul, je vais pendre leurs vêtements aux patères. Quand je me retourne, ils sont là, tous les deux, qui me regardent … ou plutôt qui me déshabillent du regard - pour le peu qu'il leur reste à déshabiller - … ce que je lis dans leurs yeux, c'est … du sexe … du sexe … et encore du sexe ! Même dans les yeux de Bernard … j'ai l'impression que, cette fois, il n'a pas l'intention de se contenter d'une pipe … il a envie de me baiser, et ça se voit ! C'est marrant, ils me font penser au loup de Tex Avery découvrant le petit chaperon rouge sexy … leurs yeux ne leur sortent pas de la tête, mais c'est tout comme … Et ça me … hhhmmm, j'en frissonne ! Mentalement, ils sont déjà en train de me peloter, de me tripoter, de me mettre leurs mains partout … et leurs doigts … et leurs bouches … et leurs langues … et leurs bites ! Oh, putain, qu'est-ce que je vais me prendre dans le cul ! Ils ne sont que deux, mais je suis tellement en manque qu'ils me font le même effet que la douzaine de types que j'avais découverts à mon arrivée dans la cour de Jean-Claude, le jour de mon gangbang !
Alors, inutile de tergiverser … je n'ai pas l'intention de leur proposer un café avant de passer à la casserole ! Je veux qu'ils me baisent TOUT DE SUITE ! Directement, je m'approche du collègue … à quelques centimètres, presque à le toucher, mon visage tout près de son visage, mes yeux dans ses yeux … il sent je ne sais quel après-rasage ou je ne sais quel déodorant, et il sent aussi … le mâle … ce n'est peut-être qu'un effet de mon imagination, mais je perçois une odeur de mâle … je lui plaque la main sur la braguette et je palpe:
- Qu'est-ce que tu attends pour te mettre à l'aise ?
- Ah putain, t'es une chaude, toi !
Il pose ses mains sur mes hanches, et:
- Mets ta main dans mon caleçon.
A tâtons, je cherche la languette métallique de sa fermeture Eclair … la voilà … je la descends … je glisse ma main dans sa braguette … hhhmmm, c'est chaud, là-dedans … il porte … c'est un caleçon en coton … avec une poche devant … et sous mes doigts, je sens … la bosse que fait sa bite … Oh, putain ! La tête rejetée en arrière, je ferme les yeux … Je crois … je crois que sa bite baisse le nez … oui, c'est ça … elle n'a pas l'air très grosse … pour le moment, du moins … je serre un peu mes doigts sur ce cylindre de chair et de sang … tout à l'heure, ce truc-là, tout gonflé, tout raide, il sera … il sera DANS moi !
Et soudain, je sens deux mains se poser sur ma taille … deux AUTRES mains … Bernard ! Il s'est approché en silence, et il est maintenant derrière moi … me voilà déjà pris en sandwich entre les deux mecs … Bernard se plaque le ventre contre ma croupe … je le sens un peu osciller du bassin … il est … en train de loger sa bite entre mes fesses … putain, il doit déjà bander ! Il appuie sa tête entre mes omoplates … je sens la chaleur de son haleine sur mon épaule, et:
- Alors, Jean-Pierre … qu'est-ce que je t'avais dit, hein … c'est pas une grosse salope, ça ?
- Ah ouais … putain !
Ah oui, c'est vrai, il s'appelle Jean-Pierre. J'ai remonté ma main et j'ai commencé à la glisser dans la ceinture de son caleçon, contre la peau de son ventre … premier contact direct de ma peau avec sa peau … ah, voilà sa bite … hhhhmmm … elle est poilue, mais, sous mes doigts, je sens la peau de sa verge … elle est tellement douce … et là, un peu plus bas, son gland … son prépuce est aussi tellement doux … je presse son gland entre mes doigts et je le sens réagir … comme pulser … délicatement je le saisis et je le redresse … ah oui, comme ça, je peux prendre sa verge dans ma main … c'est ça qu'il va enfoncer dans moi … c'est avec ça qu'il va me féconder … je commence à faire aller et venir doucement ma main sur son sexe … Je commence à bander. Derrière moi, Bernard se frotte le bas-ventre contre mon cul … il a remonté ses mains jusque sur ma poitrine et il me pétrit les seins … je sens son souffle de plus en plus fort sur mon épaule …
Je veux … je veux voir comment sont les couilles de Jean-Pierre … je lâche sa queue, je descends ma main plus bas, vers le fond de son caleçon, et je la glisse … sous ses couilles … Oh putaiiiin … elles sont … elles sont tellement GROSSES ! Je les tâte, je les soupèse ... elles me semblent vraiment lourdes ... et j'ai l'impression que, contrairement à son sexe, elles sont totalement glabres … là, elles sont serrées, coincées au fond du caleçon, mais j'ai l'impression qu'elles sont dans des bourses … comment dire … dans des bourses amples, spacieuses … oh oui, qu'est-ce qu'elles sont lourdes ! Quand elles sont en liberté, elles doivent pendre comme les couilles d'un taureau … oh putain, je les aime, ces couilles ! Je devine leur forme … de grosses olives … de TRÈS grosses olives … un peu allongées … hhhhmmmm … des couilles comme ça, c'est … la force, c'est la puissance sexuelle, c'est la virilité !
Brusquement:
- Attends !
Jean-Pierre s'est un peu écarté de moi et il entreprend d'ôter son pull en le passant par-dessus sa tête … non, en fait, il ôte son pull ET son T-shirt d'un seul et même mouvement … je n'ai pas sorti ma main de son caleçon … le voilà torse nu … pas mal, d'ailleurs, son torse … musclé et encore bronzé, en plein mois de décembre ! Ce mec s'entretient, ça se voit. Et maintenant, il passe ses mains devant lui, entre mon ventre et la ceinture de son pantalon … il détache son bouton … et il commence à descendre son pantalon et son caleçon sur ses cuisses … il a le paquet à l'air … je baisse les yeux … je la vois, maintenant, sa bite … Oh la laaaaa, quelle merveille ! Ce n'est pas qu'elle soit exceptionnelle, mais j'en ai tellement besoin ! Il commence à bander, Jean-Pierre ? A l'œil, sa verge me paraît plus grosse qu'au toucher … pourtant, elle est encore molle entre mes doigts, flaccide … j'adore ! Je trouve ça attendrissant, une bite qui ne bande pas … ça me donne envie de lui faire des câlins, de lui faire des papouilles, de la couvrir de bisous … de la mettre au chaud dans ma bouche … je bande de plus en plus et ma queue commence à avoir du mal à s'épanouir dans mon minuscule string …
C'est comme un réflexe incontrôlé ! Mes jambes se mettent d'elles-mêmes à fléchir … et tout en commençant à me baisser, je pose des baisers sur le torse de Jean-Pierre, puis sur son abdomen, puis … me voilà à genoux à ses pieds … j'ai maintenant son sexe à hauteur des yeux … je le regarde … en effet, il dépasse d'une touffe de poils pas très épaisse … délicatement, du bout des doigts, je dresse sa verge à la verticale … Oh la vache, les couilles ! En effet, elles pendent beaucoup ! Oh la laaaaa ! Elles sont totalement imberbes … mais … imberbes naturellement, on dirait … ni rasées, ni épilées, parce que je ne vois pas la moindre trace de racine ou de bulbe … et la peau de ses bourses, lisse et brillante, est aussi bronzée que son torse … d'ailleurs, tout son bas-ventre et ses hanches sont bronzés … pas la moindre trace plus pâle d'un maillot de bain ou d'un slip … ce mec doit faire du bronzage intégral … Oh, ce que c'est beau, cet appareil génital ! Tout en maintenant sa verge à la verticale du bout des doigts, je prends ses bourses au creux de la paume de mon autre main … elles me remplissent la main ... et elles sont si lourdes ! J'approche mon visage et je commence à poser des bisous sur cette superbe paire de boules …
Ça le fait rire. Tout en bisouillant ses boules, je lève les yeux sur lui … la tête penchée en avant, il me regarde, ébahi:
- Ah ben dis donc, t'aimes ça, hein … vas-y, ma chérie, moi aussi, j'aime ça !
Et il prend délicatement ma tête entre ses mains … « ma chérie » ! Il m'a appelé « ma chérie » ! Et tandis que je me frotte la joue sur ses boules, je sens … je sens Bernard qui se met à m'explorer délicatement le cul … je l'avais presque oublié, celui-là. C'est vrai, quand je me suis agenouillé, je l'ai laissé comme un con, avec sa queue en bannière … je jette un rapide coup d'œil derrière moi … il s'est aussi agenouillé … il a sorti sa queue et il se tripote en me pelotant le cul … alors, pour lui faciliter son exploration, j'écarte un peu mes genoux, je me cambre, et je me remets à frotter mon visage sur les boules de Jean-Pierre … hhhhmmm, c'est le bonheur ! Mes lèvres … mon nez … mes joues … mes paupières … mon front… tout y passe … je sens ses couilles bouger toutes seules, à l'intérieur de leurs bourses … elles sont vivantes, réactives … elles aiment ce que je leur fais … et moi, j'ai tellement hâte que Jean-Pïerre me plante son sexe au fond du ventre, j'ai tellement hâte qu'il y déverse le contenu de ses testicules ! Je bande tellement que j'ai l'impression que mon gland est passé par-dessus la ceinture de mon string … toute ma bite ne va pas tarder à sortir !
Après avoir bien embrassé les couilles de Jean-Pierre, je commence à les lécher, à aspirer la peau de leurs bourses pour la rouler entre mes lèvres … la verge de Jean-Pierre est de plus en plus ferme entre mes doigts … de plus en plus ferme et de plus en plus grosse … il bande. Je soulève ses couilles et j'essaie de lui lécher périnée … il comprend ce que je veux faire, alors il écarte les jambes et il se dresse sur la pointe des pieds … tout en le léchant, je commence à faire aller et venir ma main sur sa verge …
à suivre.