Jeudi 23 mai 2019 4 23 /05 /Mai /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Mercredi 20 décembre. 11h30

 

A la vache ! Je suis sûr qu'il va le faire ... il va me tripoter le cul ! 


Pour la forme, il a un peu résisté, le Gégé, mais il s'est quand même laissé entraîner jusqu'au puits au milieu de la cour … Et maintenant, je lui tourne le dos, je me suis appuyé avec les avant bras à plat sur la margelle du puits, et je tends mon cul vers lui, je lui offre mon cul à tripoter …


Après mon entrevue avec le maire de Plouménez et ses adjoints, Gégé et moi, nous sommes revenus jeter un coup d'œil à la ferme … à MA ferme … parce que, maintenant, je sais que cette propriété va me rapporter une fortune, et je vois d'un autre œil ces bâtiments, cette cour et tout ce qui s'y trouve … et ça a fait naître en moi des images de baise, de gangbang … hhhmmmm … pendant que je refaisais mon tour du propriétaire, je me suis aperçu que, si Gégé me suivait pas à pas, ce n'était pas par curiosité professionnelle, c'était bel et bien pour mater mon cul … mon cul hyper moulé dans mon jean stretch … 


Finalement, il ne le laisse vraiment pas indifférent, mon cul … ça ne me surprend pas, je sais très bien quel effet il produit sur les mecs, mon cul ! Certains l'assument et d'autres non. Et là, le Gégé, avec un petit coup dans le nez, il est désinhibé et il vient de reconnaître qu'il le trouve pas mal, mon cul. Alors je lui ai proposé d'en profiter. Et là, je sens qu'il va le faire ! Il a un peu honte, mais je sens qu'il va le faire quand même parce qu'il vient de m'ordonner de ne pas le regarder !


Alors je tourne la tête et je regarde devant moi. Quelques secondes s'écoulent … imperceptiblement, j'accentue ma cambrure et je fait glisser mes pieds sur les pavés pour écarter un peu plus les jambes … et … je sens la main de Gégé se poser sur ma fesse droite. Yessssss !

- Ah putain ! Qu'est-ce tu m'fais faire, patron !

- C'est bien Gégé … c'est pas un crime, de faire ça ... vas-y, mets-la moi entre les fesses, ta main …


Et il me la glisse dans la raie. Hhhhmmmmmm ! Alors, la tête penchée vers l'avant au-dessus du puits, les yeux fermés, je me cambre davantage et j'écarte bien les jambes. Je sens ses doigts qui s'insinuent le long de la couture de mon jean et qui me caressent délicatement la cuisse gauche, tout en haut, juste au ras du pli de ma fesse, tout près de ma rondelle … ah putain, ce que c'est bon, la main d'un homme sur moi ! Je ne peux retenir un gémissement:

- Hhhhhmmmmm … ah oui, c'est bien, comme ça, Gégé … continue …

- Ah putain … c'est … c'est chaud, là, entre tes miches …


Je sens que ça lui plaît beaucoup ... il se laisse entraîner par ses pulsions et son excitation. Un peu hésitant quand il a posé la main sur moi, je sens que, maintenant, il y va plus franchement … il évite soigneusement d'approcher de mes couilles et de ma bite, mais il m'explore fébrilement l'entrejambe … les cuisses, les fesses, la raie … à plusieurs reprises, il me passe même nettement ses doigts sur la rondelle …


- Mets-moi tes deux mains, Gégé …


Aussitôt, sa main droite toujours dans ma raie, il me plaque la gauche sur la fesse et il commence à me la pétrir. Je l'entends respirer de plus en plus fort par la bouche. Son excitation grimpe en flèche … la mienne aussi, et je sens ma bite qui commence à gonfler dans mon string. La caresse de Gégé y est pour beaucoup, évidemment, mais le lieu aussi contribue à m'exciter … je suis en train de me faire tripoter par ce mec au milieu de la cour de ma ferme ! Le lieu m'excite, mais aussi le fait que le mec qui commence à me peloter le cul, c'est … mon employé ! Dans des flashs, des images s'imposent à moi … je m'imagine, courbé comme maintenant sur la margelle de ce puits, une minijupe retroussée sur mes reins et le cul à l'air, et Gégé, sa brouette et ses outils abandonnés à quelques mètres, le pantalon tombé en accordéon sur ses pieds, ses mains agrippées sur mes hanches, en train de me prendre en levrette à grands coups de reins ... et à côté, en train de regarder Gégé me baiser, son copain de beuverie de Pors-en-Enez – le mec qui a repéré mon cul l'autre soir, mais que je n'ai pas vu et dont je ne sais pas à quoi il peut bien ressembler ... mais ça ne fait rien, dans mon délire, j'imagine que ce mec est venu rendre visite à Gégé à la ferme ou lui donner un coup de main – son copain de beuverie, donc, la bite à la main, qui nous regarde et qui s'apprête à me prendre à son tour quand Gégé en aura fini avec moi … 


Maintenant, Gégé me malaxe les deux fesses … une dans chaque main … et il commente:

- Ah putain … putaiiiiiiiin … 


Je l'entends déglutir bruyamment, puis:

- Ah puuuuutain … quel cul ! Non, mais QUEL CUL !


Même si, de toute évidence, ce n'est pas à moi qu'il s'adresse, le Gégé, il me fait très plaisir. Au ton de sa voix, je sens qu'il n'en revient pas de ce qu'il est en train de faire. Il n'a pas dû en tripoter souvent des culs comme le mien. Il n'y a rien à faire, mon cul, c'est vraiment un piège à mecs ... il n'y en a pas beaucoup qui résistent … alors il faut que je pense à l'entretenir, à le garder charnu mais pas trop gros, musclé, bien ferme, pour qu'il continue à attirer les mâles comme des mouches, pour que je continue à y recevoir des bites et des bites  … 


En plus, le Gégé, ce qui doit contribuer à l'exciter, c'est que ce soit le cul de son patron qu'il tripote. En tout cas, moi, cette situation, cette ébauche de sexe avec Gégé, ça me plaît d'autant plus qu'elle est … comment dire … paradoxale. Oui, socialement, c'est moi qui suis en situation "dominante" dans cette relation … je suis le patron et il est l'employé … et pourtant, c'est moi qui m'offre à lui pour qu'il se comporte avec moi en "homme" … en mâle, je veux dire … je ne le contrains pas, je ne le force pas, c'est le contraire d'un harcèlement sexuel dans le cadre du travail … Jusqu'ici, j'avais imaginé, j'avais fantasmé des séances de baise dans lesquelles un employeur "abuserait" de moi alors que je travaille chez lui … et là, c'est l'inverse, c'est moi qui suis demandeur pour que mon employé me baise !


- J'ai envie que tu me baises, Gégé ! J'ai envie que tu me baises là, au milieu de cette cour … 

- …

- S'il te plaît, Gégé, baise-moi …


Tout en disant ça, j'ai relevé le bas de mon sweat-shirt et j'ai glissé mes deux mains dans la ceinture de mon jean pour commencer à le baisser. Aussitôt, il ôte ses mains de mes fesses, et:

- Nan … arrête ! J'suis pas un pédé, j't'ai dit !

- Bon, bon … ça fait rien, Gégé, ça fait rien … continue de me peloter … s'il te plaît …


Il hésite un peu … puis il recommence. Avec ses réticences, il me fait penser à Jean-Claude, le fermier chez qui je me suis fait gangbanguer … Gégé, je suis sûr que je le fais bander, mais à cause d'une espèce de fierté machiste à la con, et parce que je suis un mec, il ne veut pas s'avouer qu'il a envie de me niquer.

- Ça te fait quand même bander, de me peloter ?


Un long silence, puis:

- Ouais, ça me fait bander.

- Alors, sors ta queue et branle-toi … branle-toi sur mon cul … s'il te plaît, Gégé … je le dirai à personne …


Il me pétrit encore un peu les fesses, puis il ôte de nouveau ses mains:

- Bouge pas, hein …


Derrière moi, j'entends le bruit caractéristique d'un zip qu'on descend … puis un bruissement de tissu froissé … il vient d'ouvrir sa braguette ! Et sans doute de sortir sa bite. Sa main, de nouveau sur ma fesse … je perçois le bruit presque imperceptible et saccadé d'une … d'une peau, d'une chair qu'on agite … le bruit de son sexe qu'il masturbe … et sa main sur ma fesse se secoue au rythme de sa branlette. Oh putain, ouiiiii, Gégé ! Vas-y, branle-toi ! Je bande de plus en plus … sentir que ce mec prend du plaisir à me tripoter, sentir qu'il va cracher sa semence, ça me … 


- Si tu veux, tu peux me carrer ta bite entre les fesses et te frotter, hein, Gégé …

- …


Non. Sans un mot, il continue de se branler … se frotter entre mes fesses, ça doit être trop pour lui … un contact trop intime avec un mec.


- Si ça te dit, je te finirai avec la bouche, Gégé …

- Nan !

- Alors, jute sur mon jean, Gégé … s'il te plaît …

- Ferme donc un peu ta gueule !

 

Et rapidement, il se met à haleter … puis il pousse un long râle mêlé de gémissements … je crois qu'il jouit …


- Ah puuuuutain, quelle salope ! Quel CUL de saloooope !


Je n'entends plus le bruit de sa masturbation. Il a fini … il ôte sa main de ma fesse. De nouveau un bruit de tissu, puis celui du zip qu'il remonte. Je passe ma main derrière moi … oui, il a éjaculé sur ma fesse droite … sous mes doigts, son sperme encore tiède, étalé sur la toile de mon jean. Je me retourne:

- Alors, c'était bien ?


Il hausse les épaules et il se tient là, devant moi, l'air tout con, mais il ne répond pas. Maintenant qu'il s'est vidé les couilles, il a honte.


- Ça me fait plaisir, que tu te sois branlé sur mon cul. C'était bien, non ?

- Ouaiiiis … c'était bien.


Je le fais chier, avec mes questions, et il a répondu avec un air renfrogné.


- Tu pourras recommencer quand t'auras envie … me peloter, te branler sur moi … d'accord ?

- Ouais, ouais, d'accord …


Un silence, puis:

- Bon, je … je m'excuse, hein, pour ce que je t'ai dit …

- Ce que tu m'as dit ?

- Ouais … quand j't'ai dit de fermer ta gueule et quand j't'ai traité de salope …

- Ah ! Ça me dérange pas, tu sais … t'as bien vu, c'est ce que je suis … une salope qui aime la bite … 


Il hoche la tête. Oui, il a bien vu.

- Bon, on y va, Gégé ?

- Tu … tu t'essuies pas ? Ce que … ce que j'ai mis sur ton jean … tu l'essuies pas ?

- Non. Ça me dérange pas.

- Ah … OK.


Il écarquille les yeux. J'ai l'impression … j'ai l'impression que cette séance l'a un peu dessaoulé. Cette fois, sur le sentier pour regagner ma voiture, il marche à côté de moi. Comme le silence entre nous commence à devenir pesant, pour décontracter Gégé, j'insiste:

- T'as compris, hein ? A l'avenir, si t'as envie de me coller une main au cul, faudra pas hésiter, hein … pas besoin de me demander … d'accord ?

- Ouais, ouais, j'ai compris … j't'ai déjà dit, c'est d'accord …

- Sauf si il y a des gens, évidemment … 

- Ben ouais … évidemment.

- Et même, si t'as encore envie de te branler sur mon cul, c'est pareil, tu te gênes pas …

- Hmmmm.


Quelques secondes s'écoulent … et soudain, il me colle sa main au cul … Ouaiiiiiiis ! J'hésite … je commente ? Je le félicite ? Je l'encourage ? Je m'arrête pour qu'il me tripote tranquillement ? J'ai peur de l'emmerder si je fais ça … alors je continue d'avancer comme si de rien n'était, avec sa main glissée dans ma raie, et je me tourne un peu vers lui … il me sourit et il donne un coup de menton dans ma direction avec une mimique qui veut clairement dire "alors, tu vois, je le fais … t'es content ?".


- Merci, Gégé. C'est exactement ce qu'il faut faire …

- Hé hé hé ! Pas d'quoi … PATRON !

 

 

Hhhmmmm, j'aime beaucoup … marcher comme ça en pleine nature avec ce mec qui me tripote le cul … Je me dis qu'il finira bien par faire comme Jean-Claude … il finira bien par me baiser … il ne faut pas le brusquer, c'est tout … il ne faut pas qu'il se braque, il faut lui laisser le temps de se faire à l'idée.


Arrivés à la voiture, nous nous installons sans un mot. Il me regarde en coin avec un petit sourire énigmatique. Une fois sur la départementale:

- Gégé, t'as faim, maintenant ?

- Ben ouais.

- Bon. Le premier restau qu'on trouve, on s'arrête. Je t'invite.


Il me regarde … ça n'a pas l'air de l'enchanter. On n'a pas besoin d'aller bien loin, un panneau annonce "Auberge Gaillard. 500 mètres". Un chemin gravillonné entre deux haies d'arbres … une grande longère au toit de chaume … c'est du rustique luxueux … devant, sept ou huit voitures … un gros 4x4 et des grosses berlines … Gégé:

- Moi, je vais pas là-dedans !

- Pourquoi ?

- C'est trop … ça pue le fric … regarde les bagnoles … ils vont pas me laisser entrer … j'suis pas habillé pour …

- Moi non plus, je suis pas habillé pour … mais on s'en fout. On verra bien. Allez, amène-toi.


Je descends de voiture et, après une hésitation, il fait comme moi.


En effet, c'est plutôt bourge, là-dedans. Mais on est très bien accueilli par un maître d'hôtel qui prend nos blousons et les accroche sur un portant. Nos tenues, à Gégé et à moi, n'ont pas l'air de le déranger. Quand il nous fait entrer dans la salle de restaurant, je comprends un peu pourquoi: elle est à moitié vide, alors deux clients de plus, ça doit l'arranger. Notre entrée ne passe pas inaperçue. On nous dévisage, on examine les fringues élimées de Gégé et mon jean moule-bite. Il n'y a pratiquement que des couples de vieux endimanchés, là-dedans. Il faut dire, en semaine, comme ça, il n'y a que des retraités pour se payer un restau … des retraités et NOUS. Le loufiat nous installe près d'une fenêtre. Gégé n'est vraiment pas à l'aise. Quand on nous donne la carte, Gégé n'ouvre même pas la sienne et ça me rappelle qu'il ne sait pas lire … alors, discrètement, je commence à lui détailler les menus. Du coup, il ouvre sa carte et il fait semblant de la parcourir. Il me demande ce que je vais prendre et il décide de prendre la même chose. Ce qui finit par le détendre, c'est l'apéritif que le maître d'hôtel nous amène. Sans surprise, Gégé a demandé une bière. Il attaque gaillardement les amuse-bouche et, en se penchant vers moi, il murmure:

- Putain, c'est vachement cher ici !


Devant mon air surpris, il explique:

- J'arrivais pas à lire le menu, j'ai pas … mes lunettes … mais quand même, j'ai vu les prix, devant les plats …


Ah ouais, les lunettes ! Il ne veut pas avouer qu'il ne sait pas lire ! Je ne relève pas, mais je le rassure:

- Ouais, c'est cher, mais on s'en fout … non ?

- Ouais, c'est toi qui paie.


La bière aidant, il se décontracte. Il jette un coup d'œil autour de nous, il se penche encore au-dessus de la table et:

- Hé, je voulais te dire … on voit ma … sur ton jean, tu sais ? On voit ce que j'ai … ça fait une tache, quoi …

- Ah bon ? Ton sperme ? Ça fait une tache sur mon jean ?

- Chuuut !


Affolé, il regarde autour de nous. Je fais comme lui. Apparemment, personne n'a entendu. Il est un peu rassuré:

- T'es con, parle pas si fort … ils vont entendre, les autres pingouins …

- Je m'en fous qu'ils nous entendent, ça me dérange pas … Il avait pas séché, ton sperme ?

- Chhhht ! Arrête ! Oui, il avait un peu séché, mais ça se voit encore un peu …

- Et ça te gêne, que les gens voient ton sperme sur mon jean ? Qu'est-ce que ça peut foutre ? Ils savent pas que c'est du sperme, cette tache … Toi tu le sais, moi aussi, et ça me plaît de me balader comme ça au milieu des gens avec ton sperme étalé sur mon jean …


Ça le sidère, mais ça le fait cogiter, le Gégé. Après quelques secondes de réflexion, il sourit. Tout bien considéré, finalement, l'idée doit l'amuser. Il jette un nouveau coup d'œil autour de nous, il se penche encore vers moi, et, en murmurant:

- Dis … tout à l'heure, à la ferme … ce genre de … chose … tu le fais souvent, avec les mecs ?

- Je fais quoi …

- Ben … ça … comme tu m'as fait à moi … me chauffer … me faire tripoter ton cul


Il baissé la voix. J'ai parfaitement entendu, mais je le fais répéter:

- … te faire quoi ?


Nouveau coup d'œil circulaire:

- … me faire tripoter ton cul.

- Ah ça … oui, je le fais souvent. J'aime bien. C'est toi qui me l'as dit, en venant ce matin, je suis une tapette.


Il roule des yeux tout ronds. Il est sidéré que je lance ça en plein restaurant. Je n'ai pas élevé la voix, mais je pense que le couple à la table la plus proche a entendu la fin de ma phrase … la femme, du moins … je la vois susurrer quelque chose à son mari en me regardant … le type se retourne et il me dévisage … Gégé, qui leur tourne le dos, ne s'est aperçu de rien:

- Mais … tu fais ça avec n'importe qui ?

- Ouais … tout ce qui a une bite entre les jambes, ça m'intéresse … et tu sais, il y a beaucoup plus de mecs qu'on pense qu'un cul comme le mien intéresse aussi … la preuve, toi t'étais réticent, mais tu l'as quand même fait …


Incroyable ! Il pique un fard, le Gégé ! Enfin, sous son teint hâlé, difficile de voir si il rougit, mais il baisse le nez avec un air gêné. Je poursuis:

- Tu sais, y'a pas de honte … t'y peux rien, tous les mecs sont faits comme ça … leur queue et leur cerveau réagissent à ce qu'on leur met sous le nez … après, selon leur éducation et selon qu'ils sont en manque de cul ou pas, ils franchissent le pas ou non …

- Comment ça … leur queue et leur cerveau réagissent …

- Ouais. Moi, je pense que la nature a programmé le cerveau des mecs pour qu'ils se mettent à bander et que ça leur donne envie de s'accoupler quand ils voient certaines choses. Ça doit remonter à la préhistoire … à l'époque, il fallait assurer la survie de l'espèce et il fallait que les hommes aient envie de niquer les femmes à la moindre occasion … alors la nature a fait en sorte que quand ils voient certaines choses, ils aient envie de s'accoupler …

- Mais … quel genre de choses ?

- Ben … certaines formes … les culs, par exemple … la poitrine des femmes …

- Ouais, mais … pas les culs de mecs, quand même …

- Ben, au départ, c'était sans doute pas prévu comme ça par la nature, mais ça a évolué … Toi, tu en es la preuve … tu sais, le cerveau d'un mec, sur le coup, il analyse pas si c'est le cul d'une femme ou le cul d'un mec qu'il voit … il voit un cul et ça lui donne des envies … Toi, t'as hésité, t'as résisté, parce que tu SAIS que je suis un mec, et ton éducation fait que c'est contraire à ce que tes parents, ou le curé, ou je sais pas qui t'ont mis en tête … mais comme … excuse-moi, hein, mais comme t'étais en manque de cul, ton envie a été plus forte que ton éducation … tu vois ? Et y'a pas de quoi en faire une affaire, c'est pas un crime.


Ça carbure dans sa tête, à Gégé. Tout en parlant à son mari, la bonne femme de la table d'à côté ne me quitte pas des yeux. Elle en oublierait presque de manger. Je lui souris. Elle baisse le nez sur son assiette. J'enchaîne:

- Tu sais, y'a pas que les formes, qui font réagir les mecs de cette façon … si je porte des jeans moule-bite, c'est parce que je sais que plein de mecs aiment ça … ça les excite, la toile de jean … 

- Ouais, moi c'est pas le côté moule-bite qui m'a … c'est le côté moule-cul … je sais pas comment tu fais pour porter un truc pareil … avec la couture qui te rentre comme ça dans la raie … moi, je pourrais pas supporter ça …

- J'aime ça … je trouve ça agréable … les fesses et les cuisses bien moulées dans la toile, la couture qui se plaque contre ma rondelle et qui me titille … j'adore ! Et plein de mecs sont sensibles à ça … à regarder, je veux dire … c'est du fétichisme …

- Du fétichisme ?

- Oui … c'est quand un certain type d'objet ou de vêtement excite quelqu'un … la lingerie pour femme, par exemple … ou les minijupes … ou les robes moulantes … y'a des mecs, c'est les escarpins … tu sais, les chaussures avec des talons de dix centimètres …


Le maître d'hôtel est à la table d'à côté, sans doute venu demander si tout va bien. Penché vers la femme, il est en train d'écouter ce qu'elle lui dit en nous regardant et en nous désignant d'un coup de menton. Le mari se retourne et nous regarde à son tour. Le maître d'hôtel se redresse, nous regarde et répond je ne sais quoi à la femme avant de s'éloigner vers les cuisines. Gégé ne s'est aperçu de rien:

- Mais … toi, t'es … t'es comme ça ? Ces trucs, là, la lingerie, tout ça, ça te fait ça ?

- Si ça m'excite, la lingerie … les minijupes … les robes moulantes ?

- Ouais …

- Ouais, ça m'excite … mais pas à les regarder sur une femme … enfin, des fois, sur certaines femmes, mais rarement … Moi, ce qui me fait de l'effet, c'est d'en porter.

- D'en porter ? ! ? ! De … de ça ? De la lingerie ?

- Ouais. J'en porte. Je porte de la lingerie féminine, je porte aussi des minijupes, je porte des robes. J'adore ça ! Et y'a des mecs, si je me pointe devant eux comme ça, ils peuvent pas résister … à tous les coups, ils ont envie de me sauter …


La bouche béante, les yeux ronds comme des billes, Gégé me regarde. Puis:

- Tu … tu PORTES des TRUCS comme ÇA ? ! ? ! 

 

Involontairement, il a élevé la voix.

- Oui. Je porte des trucs comme ça.

- T'es pas seulement une tapette, alors … t'es une … t'es une …

- Un travesti … on peut dire ça … ou un travelo … Je te montrerai, si tu veux ..

- Ah nan, nan !

- Ben pourquoi ? Tu sais, la plupart des mecs me trouvent super sexy en petite culotte ou en porte-jarretelles … ou en mini jupe. Me regarder, c'est pas dangereux, tu sais … Tu serais pas obligé de toucher … tu pourrais te contenter de mater … éventuellement te branler sur moi si ça t'excite …

- Nan mais … te voir en … en petite culotte … ça m'exciterait pas, hein … t'es un mec, quand même …

- Ben on essaiera, alors … si t'es sûr de toi, t'as rien à craindre …


Il se marre. Et le maître d'hôtel arrive, suivi d'un serveur qui porte nos plats:

- Tout va bien, messieurs ?

- Très bien. 

- Vos plats.


Le serveur dépose nos assiettes et s'éloigne. Le maître d'hôtel:

- On me dit que … votre conversation n'échappe pas à la table voisine …

- Ah bon ? C'est cette dame qui s'est plainte ?


Gégé se retourne et dévisage la dame en question … qui se met à fixer le fond de son assiette. Le maître d'hôtel:

- Elle se dit choquée.

- Et donc, vous … vous êtes chargé de … de quoi, exactement ? 

- Oh, elle voulait que l'on vous expulse … il n'en est évidemment pas question … elle a reconnu que si cette conversation avait lieu entre un homme et une femme, elle ne serait pas aussi choquée … 

- Et vous, vous voulez quoi ?

- Rien du tout, monsieur … elle m'a demandé de vous faire part de sa gêne … je le fais … mais si votre conversation est bien ce qu'elle me dit, ça ne me choque absolument pas … à notre époque, n'est-ce pas … Voilà. Je vous souhaite le bon appétit.


Et il tourne les talons. Quand il passe à côté d'elle, la femme l'arrête et l'interroge. Il hausse les épaules, lui dit je ne sais quoi et s'éloigne. La femme parle à son mari sur un ton véhément, et se lève. Elle nous fusille du regard. Je lui souris et j'attaque mon filet de canard. Le mari se lève aussi, visiblement à contrecœur et tous deux se dirigent vers le petit comptoir où se trouve la caisse. Là, pendant que l'homme sort son portefeuille, sa mégère invective visiblement la maître d'hôtel qui reste impassible. Du coup, d'autres clients qui entendent ou qui comprennent que nous sommes en cause, nous regardent. Certains semblent commenter … plusieurs nous sourient. Ceux-là, je les sens amusés, solidaires …

- Regarde, Gégé … les deux, là, qui se barrent, ils ont entendu notre discussion et ça les choque. C'est pour ça qu'ils se barrent … mais les autres … ils ont entendu la vieille expliquer ce qu'on disait, et ils s'en foutent … ça les faire rire, c'est tout … le maître d'hôtel, c'est pareil, il s'en fout aussi … maintenant, le cul, ça choque plus grand monde … même entre mecs …

- Mouais, mais quand même … t'avais pas besoin de parler si fort …


Et puis, sans transition, il se met à me parler du travail qui l'attend à Coat-an-Bleis, de l'outillage dont il aura besoin, du voisin, Cloarec … au passage, il me confirme plus ou moins mon impression … quand je les avais vus, tous les deux, discuter en me regardant, c'est bien de moi qu'ils parlaient … et Cloarec avait effectivement remarqué mon jean moulant … J'ai commandé une bouteille de vin et Gégé lui fait largement honneur. Comme je me limite à un verre pour éviter de me faire choper en cas de contrôle d'alcoolémie, il se tape le reste à lui seul. 


Le repas terminé, nous reprenons la route. Gégé est euphorique. Moins bourré que je l'aurais cru. Après des banalités sur le restaurant, c'est lui qui ramène la conversation sur le cul:

- Alors comme ça, PATRON, des fois, tu t'habilles en gonzesse …

- Oui.

- Mais … tu fais ça chez toi ?

- Chez moi … ou chez les mecs qui me baisent … ça m'est même arrivé d'aller dans un bar, habillé comme ça … avec une minijupe au ras du cul et rien en dessous, ou seulement un string … je sais plus ...

- Ah ouais ? Et les mecs, dans le bar, ils ont en ont dit quoi ?

- Ça leur a plu et ils m'ont baisé …

- Whooo … arrête !


Tourné vers moi, il m'examine de haut en bas, comme s'il essayait de m'imaginer entre les mains de ces mecs.

- Je t'assure, c'est pas des conneries ! C'est des types avec qui j'avais passé la soirée … une fois qu'ils m'ont eu baisé, ils m'ont emmené dans ce bar justement pour ça … pour que les mecs du bar, ils me baisent aussi …

- Non ! Des mecs qui t'avaient baisé T'EMMÈNENT DANS UN BAR POUR QUE LES MECS DU BAR, ILS TE BAISENT ! ? ! ? Tu déconnes !

- Non, je déconne pas.

- Et tu t'es laissé faire ?

- Ben oui. Je savais ce qui allait se passer … et ça me plaisait …

- Ben putain ! Mais … les mecs du bar … ils t'ont tous baisé ?

- Oui. 

- Et … ils étaient combien ?

- Si je me souviens bien, ils étaient cinq ou six …

- CINQ ou SIX ? ! ? ! Tu t'es fait … tu t'es fait BAISER par CINQ ou SIX MECS en même temps ?

- Oui.

- Et … les mecs qui t'avaient emmené là … tu dis qu'ils t'avaient baisé avant ?

- Oui.

- Et ceux-là, ils étaient combien ?

- Ils étaient quatre.

- Donc … déjà QUATRE ! Et ensuite CINQ ou SIX ?

- Oui.


Pensif et silencieux, il remue la tête de droite à gauche, essayant visiblement d'imaginer la scène. Je ne suis pas tout à fait sûr qu'il me croie. 

- Tu me crois pas ?

- Ben … je sais pas. J'ai jamais eu affaire quelqu'un qui fait des trucs comme ça … même … même une gonzesse … j'en connais pas qui fasse ça … alors je … je sais pas …

- Ben écoute, t'as déjà eu affaire à un mec qui te propose de lui peloter le cul ?

- Nan.

- … et qui te propose de te branler sur son cul ?

- Nan, nan …

- Ben tu vois … 

- Ouais, t'as raison … vu que t'es capable de faire ça … neuf ou dix mecs, c'est peut-être possible …

- Ecoute … j'ai des vidéos … alors, je te les montrerai …

- T'AS DES VIDÉOS ?

- Oui.


Ça me démange de lui raconter mon gangbang. Mais je me retiens … il n'est pas encore mûr pour ça. Mais ça viendra et je trouverai bien l'occasion de lui montrer mes vidéos. En fait, j'aimerais bien … j'aimerais bien arriver à lui instiller l'idée qu'il peut se servir de moi pour se soulager quand il en a envie … n'importe où, n'importe quand … Inconsciemment, c'est sans doute pour ça que je l'ai autorisé à emménager chez moi … pour l'avoir sous la main … il a fini les travaux de peinture que je lui ai demandés, et j'aurais très bien pu le laisser retourner dans son blockhaus … mais à l'avenir, si nous cohabitons quand je suis là, j'aimerais bien qu'il sente qu'il peut … je sais pas … comme tout à l'heure dans le petit chemin en repartant de la ferme, me coller une main au cul quand je passe à sa portée … ou me choper et me prendre comme ça, debout contre un mur ou sur une table … ou me rejoindre la nuit dans mon lit pour me baiser … bref, que je sois à sa disposition … que mon cul soit à sa disposition, mais en même temps qu'il soit à ma disposition avec ses mains et sa bite … 


Mais c'est surtout à Coat-an-Bleiz que j'aimerais bien qu'il lui prenne l'envie de me choper … y'a pas à dire, à la maison ou ailleurs à l'intérieur, c'est bien, mais me faire peloter et même me faire sauter en extérieur, c'est vraiment top … Dès qu'il sera installé là-bas, à Plouménez, il faudra que j'aille voir l'avancement de ses travaux … C'est pour ça aussi qu'il faut que je l'habitue à l'idée de me voir me balader en jupe ou en robe … ou même seulement en lingerie … qu'en sa présence, je puisse vaquer avec le cul à l'air, et lui foutre mes miches sous le nez … je me vois bien déambuler en minijupe et en porte-jarretelles devant lui dans le verger de pommiers pendant qu'il fauche l'herbe ou qu'il taille les arbres … passer devant lui avec l'air de rien, le voir me reluquer … le voir arrêter sa débroussailleuse et la poser … le voir s'approcher de moi en ouvrant sa braguette et en sortant sa bite … me faire mettre à quatre pattes dans l'herbe, là, sous les pommiers ... le sentir poser ses grosses pattes sur mes hanches … et me laisser prendre docilement, me laisser baiser en peine nature … hhhhmmmmm ! 


Là, tout de suite, ça me démange de tendre la main et de lui toucher la bite … mais j'ai peur qu'il réagisse mal … alors patience … Nous restons perdus chacun dans nos pensées pendant quelques kilomètres. Et soudain il demande:

- Mais … tu comptes en faire quoi, de cette ferme ? Tu veux devenir paysan ?

- Non, non … déjà, je vais vendre les terres …

- Y'en a beaucoup ?

- Oui, pas mal.

- Et après ?

- Après, je vais faire restaurer les bâtiments et en faire ma résidence secondaire … et peut-être ma résidence principale.

- Ben … si tu veux, je pourrais peut-être te faire certains travaux, quand j'aurais fini de défricher .


Yesssss ! Il y vient de lui-même … il n'aurait pas une idée derrière la tête ? J'en profite:

- Ben oui, pourquoi pas … ça me ferait plaisir que tu continues de travailler pour moi là-bas …

- Ben oui … mais … tu voudrais y habiter, là-bas ? C'est vachement grand pour un mec tout seul … et c'est paumé … le premier voisin, c'est Cloarec, et sa ferme, elle est loin, quand même … 

- Ouais, mais justement, ça me convient que ça soit isolé … et la place, ça permet d'inviter du monde …


Je le regarde. Il m'observe, l'œil froncé. Je voudrais bien savoir ce qu'il pense en ce moment. Si ça se trouve, lui aussi, il aimerait bien avoir encore l'occasion de me tripoter. Je ne tarde pas à être renseigné. Avec un sourire entendu, il lance:

- Ouais, c'est ça … comme ça, tu pourrais inviter des mecs pour te baiser …

- T'as tout compris, Gégé.


Il hoche la tête:

- J'en reviens pas, quand même … quand je t'ai vu la première fois, avec Gwen, j'aurais jamais pensé ça de toi … j'ai bien senti que t'étais un mec bizarre, mais pas à ce point …

- Ah ? Tu trouvais que j'étais bizarre ?

- Ouais … je sais pas … peut-être que t'avais déjà des manières de tapette … nan, en fait, je sais pas … en tout cas, ta ferme, j'ai bien deviné, hein … t'as l'intention d'en faire un baisodrôme !


Putain, sous des dehors plutôt frustres et brut de décoffrage, le Gégé il est assez fin psychologue.

 

- C'est exactement ça, Gégé, un baisodrôme ! J'aurais pas employé cette expression, mais c'est exactement ça ! Tu vois, avant de la voir, cette ferme, la maison, les bâtiments autour, j'avais aucune idée de comment c'était … et si je l'avais pas vue, j'aurais été capable de tout bazarder … et puis, en la voyant, en imaginant comment elle serait une fois remise en état, je me suis dit …

- Tu t'es dit … ici, je vais pouvoir me faire baiser par un tas de mecs …

- Exactement … j'aurai de quoi les loger … entre la maison d'habitation, le cellier, la crèche, le bâtiment des charrettes, y'a de la place pour … je sais pas … dix, douze mecs … plus, même … je ferai creuser une piscine au milieu de la cour … y'a la place …  baiser dans une piscine, ou au bord … et sous le grand hangar, je vois bien … comme un salon … avec … avec un lit immense au centre et des canapés tout autour …

- Pour faire des partouzes ..

- Ouais, enfin … pas exactement des partouzes …

- Comment ça …

- Non, des gangbangs, plutôt …

- Des quoi ?

- Des gangbangs … je t'expliquerai.

- Mais … des mecs … t'en connais, ici ?

- Des mecs qui me baiseraient ?

- Ouais.

- Oui, mais pour le moment, j'en connais seulement un …

- Tu veux parler de moi ? J'ai pas dit que ...

- Non, je parle pas de toi, je parle d'un autre mec.

- Ah bon ? Mais … je croyais que c'était la première fois que tu venais dans le coin …

- C'est vrai, mais depuis que je suis arrivé, j'ai fait la connaissance d'un mec.

- Un mec … tu veux dire un mec qui t'a … baisé ?

- Baisé, pas encore, il a pas voulu … mais je lui ai déjà taillé une pipe.

- T'as déjà taillé une pipe à un mec ? Raconte !

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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