Samedi 13 avril 2019 6 13 /04 /Avr /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Dimanche 17 décembre. 

 

 

- Ça me fait drôle … de sentir ma bite dans ta bouche … Putain, JE ME SUIS FAIT SUCER PAR … PAR UN TRAVESTI !


Je viens tout juste de tailler une pipe à ce mec, il a joui dans ma gorge et maintenant, son doigt glissé entre mes lèvres et le long de sa verge, il est en train de vérifier tactilement que son sexe est bel et bien dans ma bouche ! 


Le mec en question, il s'appelle Bernard, et il y a à peine une heure que je l'ai rencontré. Nous sommes dans sa voiture, garée sur une aire de pique-nique le long d'une route, et donc, penché sur son ventre, la tête entre son abdomen et son volant, j'ai encore sa bite dans la bouche.


Il a tiré son coup, mais il ne débande pas … au contraire. Il n'en revient pas de s'être fait sucer pour la toute première fois par un mec, et ça l'excite. Et moi, il y avait tellement longtemps que je n'avais pas eu une queue dans la bouche que, moi aussi, j'ai joui au moment où il a éjaculé … comme ça, sans avoir besoin de me branler ni même de toucher ma bite.


Là, visiblement, il est tout content que je le garde au chaud entre ma langue et mon palais. Et moi, ça me plaît aussi beaucoup et j'ai bien envie de recommencer à le sucer. 


Comme j'ai la tête au-dessus de son bas-ventre, je dissimule sa bite à sa vue et ce n'est qu'à tâtons et du bout des doigts, comme un aveugle, qu'il constate la présence de sa queue dans ma bouche … mais je suis sûr que si il la voyait, sa bite qui dépasse de ma bouche, ça lui ferait encore plus d'effet.


Alors, en m'efforçant de ne pas laisser son sexe s'échapper d'entre mes lèvres, je commence à me retourner sur mon siège … pas facile, j'ai le cul contre la portière et mes jambes s'emmêlent dans la ceinture de sécurité … mais tant bien que mal et peu à peu, j'y arrive … les jambes repliées en chien de fusil contre le dossier de mon siège, me voilà étendu sur mon flanc droit … et face à lui … et sa queue toujours dans ma bouche, avec son gland qui doit me faire une grosse bosse sur la joue … je lève les yeux sur lui … il me regarde, la bouche grande ouverte, les yeux ronds comme des soucoupes, sa main gauche sur le haut de mon front, sa main droite sur mon cou …


- Oh, putain !


J'en étais sûr ! Il n'en revient pas … IL VOIT … IL VOIT SA BITE DANS MA BOUCHE ! Il ne débande toujours pas … cette vision l'excite et il se met à haleter. Tout en le masturbant doucement, je lui tète le gland … dans un même mouvement-réflexe, il se cambre et plaque sa nuque contre son appuie-tête … mais il ne me quitte pas des yeux:

- Oh putain ! C'est dingue ! Ouais, vas-y, suce-moi encore ! T'aimes vraiment ça, la bite, hein …


Je sors son gland et, le gardant plaqué contre mes lèvres, je l'asticote du bout de la langue … je ne sais pas ce qui lui fait le plus d'effet … SENTIR ce que je lui fais ou VOIR ce que je lui fais … les deux conjugués, je pense … toujours haletant, la tête un peu penchée sur le côté, il me regarde avec … avec une espèce de tendresse … je renfonce sa queue dans ma bouche et je recommence à le pomper … Je vais encore te faire jouir, mec ! Je vais encore te faire éjaculer ! Donne-moi encore ton sperme ! Cette fois, je n'ai pas envie de faire traîner les choses … je veux qu'il jouisse tout de suite !


Oh la laaaa ! LA BITE ! LA BITE ! LA BIIIIIIITE !


Et on se met tous les deux à gémir, nos excitations respectives s'alimentant l'une l'autre … ça va effectivement très vite ! C'est sûrement de me VOIR le sucer qui l'achève. Ça commence par un râle ... un long râle … en même temps qu'il décolle encore son dos de son dossier, sa bite se met à palpiter sur ma langue … et je reçois un premier jet brûlant dans la bouche … vite, je sors son gland et je le plaque contre mes dents … le deuxième jet s'étale sur ma lèvre supérieure et jusque dans mon nez … je renfourne sa queue dans ma bouche où elle crache un troisième jet … et un quatrième … je garde ce qu'il vient de cracher dans le creux de ma joue …


Voilà … il a fini … hhhhmmmmm, je savoure sa crème, je la fais aller et venir d'une joue à l'autre … il avait de la réserve, ce mec ! Il respire fort par la bouche en me regardant … je sens sa bite légèrement débander … je la sors et, de la langue, je repousse vers mes lèvres entrouvertes sa charge de sperme mêlée de salive … je trempe son gland dedans et, m'en servant comme d'un badigeon, je me barbouille ce mélange autour de la bouche, sur ma joue, sur mon menton … il approche sa main, hésite, puis il trempe ses doigts dans cette mixture, commence par me l'étaler un peu plus sur la figure … puis il en récupère le plus gros au bout de ses doigts et me les présente à lécher … hhhhmmmmm, j'adore ! Il me regarde lui sucer consciencieusement les doigts, et il me sourit:

- T'aimes la bite, mais t'aimes aussi vachement le sperme, hein …


Ce n'est pas une question … il constate seulement. Il a un sourire béat … je crois qu'il découvre des pratiques sexuelles hors normes pour lui, et ça le rend heureux. Il me caresse le haut du crâne:

- Après, tu me nettoieras bien la bite, hein …


Quand j'ai fini de lui débarbouiller les doigts, je me redresse, je m'agenouille sur mon siège et je me penche à nouveau sur son ventre. Cette fois, même si sa queue est encore un peu gonflée, il ne bande plus. De la langue je lui essuie consciencieusement la verge puis le gland. Quand c'est fait, délicatement, je lui remonte le prépuce sur son gland et je me redresse … il m'a regardé faire … il sourit:

- Tu sais vraiment y faire … t'es un vrai … un vrai …

- … une vraie salope … c'est ce que tu voulais dire ?

- Ouais, enfin … c'est l'idée, mais je l'aurais pas dit comme ça.

- Tu peux le dire … JE SUIS une vraie salope … j'assume … et même, j'en suis fier.

- Bon, alors OK … t'es une vraie salope.

- Merci.

- Bon. On fait quoi, maintenant ?

- On va s'en aller ... mais avant, t'aurais pas des mouchoirs en papier ? 

- Oui, dans la boîte à gants. Pour quoi faire ?

- Pour m'essuyer la cuisse. Moi aussi, j'ai pris mon pied.


J'ouvre la boîte à gants et je sors un paquet de mouchoirs.

- T'as pris ton pied ? ! ? !

- Oui.


Je commence à m'essuyer l'intérieur de la cuisse. Ça a déjà un peu séché. Il me regarde faire et insiste:

- Mais … je t'ai pas vu te …

- … me masturber ? Ça n'a pas été nécessaire … j'ai joui quand tu as éjaculé dans ma bouche la première fois ..

- Ah bon ? Comme ça … tout seul ?

- Oui … tout seul …


Je balance le mouchoir par ma vitre et, toujours à genoux sur mon siège, je me penche encore une fois sur son ventre et je pose des baisers tout le long de sa verge … jusque sur ses couilles, avant de remonter et de finir par un baiser sur son gland. Ça le fait rire:

- Tu vois, ma femme, elle me fait même pas ce genre de chose.


Je me redresse:

- Quel genre de chose ?


Tout en se penchant pour attraper la ceinture de son caleçon et le remonter sur ses cuisses, il poursuit: 

- Ben ça … m'embrasser la bite …

- C'est sûrement parce qu'elle aime pas la bite. Elle te suce, quand même ? 


Maintenant, il remonte son jean, il soulève ses fesses de son siège et il finit de remettre caleçon et pantalon:

- Ouais, mais il faut vraiment que j'insiste … et de toute façon, elle suce pas aussi bien que toi.


Je me rassieds à ma place et:

- C'est pareil, elle aime pas la bite et elle te suce seulement par devoir ... pour pas que t'ailles voir ailleurs. Bon, on y va ?

- Ouais.


Il redresse son dossier, il ravance son siège, il boucle sa ceinture de sécurité, et, la main sur sa clef de contact, il demande:

- On va où ?

- Tu me ramènes à ma voiture … elle est garée sur le parking de la grande plage, pas loin de chez toi … tu sais, il y a un hôtel …

- Ah oui, je connais. OK. C'est parti.


Une fois que nous sommes sur la route, je tends le bras et je pose la main sur son paquet. Il me jette un coup d'œil:

- T'as déjà été dans le bois, en haut des dunes au-dessus de la plage ?

- Non. Il y a un bois en haut des dunes ?

- Ouais. Tu connais pas ?


Il a un petit sourire ironique. J'ai l'impression qu'il ne me croit pas.

- Ben non … je connais pas. Je ne suis pas d'ici, et je ne suis là que depuis quatre ou cinq jours. Pourquoi tu me demandes ça ? 

- Non, comme ça … c'est un bois où les … où les … où les homos de la région se retrouvent …

- Ben non, je n'en ai pas entendu parler. C'est où, exactement ?

- Au-dessus de la plage … tout en haut des dunes … y'a un bois … enfin, il paraît … j'y suis jamais allé … mais ça se sait dans la région … 


Il réfléchit quelques instants, puis il reprend:

- De toute façon, ça m'étonnerait qu'ils y viennent en ce moment … ça doit être plutôt l'été … T'habites pas dans le coin, alors …

- Non. Je suis seulement de passage. J'avais des affaires à régler.

- Tu repars quand ?

- Je sais pas encore … ça dépend pas de moi …

- On pourra peut-être se revoir, alors … avant que tu repartes …

- Tu veux me revoir ?

- Ben … oui.


En moi-même, je me dis que si on se revoit, cette fois, il faudra bien qu'il me baise. Je ne peux pas laisser passer l'occasion:

- Demain ?

- Ah non, demain c'est pas possible. C'est dimanche et je suis invité chez mon frangin …

- Avant … ou après …

- Ben non … j'y passe toute la journée … je dois l'aider à remettre le moteur de son quad en état …

- Alors le soir, chez toi … ta femme est pas là, tu m'as dit …

- Chez moi, j'aimerais mieux pas … à cause des voisins …

- Lundi, alors …

- Lundi, je bosse … samedi prochain … tu seras encore là, samedi ?

- Je ne sais pas … peut-être … t'as qu'à me donner ton téléphone, je t'appellerai.

- Ben … je t'ai dit, j'ai pas de portable

- T'as pas de ligne fixe, non plus ?

- Si, mais … j'aimerais mieux que tu m'appelles pas sur ma ligne fixe …

- T'inquiètes pas, si je tombe sur ta femme, je lui dirais pas que je t'ai taillé une pipe …


Il rit:

- T'es con … bon, OK. Tu notes ?


Je sors mon portable et j'enregistre son numéro. S'en suit un long silence, puis il demande:

- Si t'es pas d'ici, tu loges où ?

- Dans un gite. T'as qu'à venir … un soir de semaine, après le travail …

- C'est pareil, je peux pas … ma femme va m'appeler et si je suis pas à la maison, elle va se poser des questions …

- Alors, même quand elle est pas là, elle te tient en laisse …


Il hausse les épaules, fataliste. Nouveau silence, puis:

- C'est vrai ? Quand tu reviendras, tu m'appelleras ?

- Oui. Peut-être pas d'ici à ce que je reparte, mais de toute façon il faudra que je revienne … au printemps … ou cet été … je pense que je vais m'installer dans le coin … au moins en résidence secondaire …

- Ah OK.

- Mais … si je t'appelle, tu pourras te libérer facilement ? En semaine tu bosses, et le week-end, je suppose que ta femme est là …

- Ben, je … je sais pas …

- T'as pas … un hobby, un loisir, une occupation que tu pratiques seul ?

- Pour quoi faire ?

- Ben, pour pouvoir te barrer de chez toi sans que ta femme te colle … genre pêche à la ligne, club de pétanque, jogging …

- Ah d'accord … ben non. Je fais du modélisme … des maquettes … mais ça, c'est à la maison …

- Ouais … faudra que tu trouves quelque chose, alors …

- Ouais, je vais voir.


D'un seul coup, je suis pris d'une fringale … mon estomac fait des bruits. Je réalise qu'à part une tasse de café, ce matin avant de partir, je n'ai rien avalé depuis vingt quatre heures … il y a bien eu le verre que j'ai pris avec le gendarme hier soir et les deux bières dans ce café de Pors-an-Enez … ah oui, et les deux éjaculations de Bernard ... mais ça ne suffit pas pour couper la faim. Alors:

- Tu ne connais pas un commerce ouvert ce matin, où je pourrais acheter à manger ? J'ai une fringale …

- Si, il y a un supermarché pas loin … il est ouvert le dimanche matin.

- Emmène-moi.

- OK.


Si c'est un libre-service, c'est bon … je n'aurais pas besoin de parler à la caissière et je pourrais garder mon écharpe sur le nez pour dissimuler mon visage. Dix minutes plus tard, nous y sommes. Il y a une dizaine de voitures sur le parking. Je récupère mon écharpe, ma doudoune, je l'enfile et, la main sur la poignée, je demande à Bernard:

- Tu m'accompagnes ?

- Oh non. Il y a peut-être des gens qui me connaissent … si ils me voient avec toi …

- Comme tu veux. 


Je descends, je rajuste ma robe, je mets ma capuche sur ma tête, j'enroule mon écharpe autour de mon cou et de mon menton, et en avant … 


Un peu de monde dans le magasin … des petits groupes de deux ou trois personnes, assez âgées, pour la plupart, discutent, agglutinées entre les rayons … Je ne passe pas inaperçu … à cause de ma taille, hors norme pour une fille, je pense … mais des hommes, des vieux et des jeunes, une lueur lubrique dans les yeux, me reluquent aussi pour une autre raison … de toute évidence, c'est mes formes, et en particulier mon cul, qui attirent leurs regards … délicieuse sensation … j'adore ces regards libidineux qui me déshabillent, qui me caressent, qui s'insinuent virtuellement sous ma robe et sans doute en moi … j'aimerais tellement pouvoir leur montrer qui je suis vraiment, et leur faire savoir qu'ils peuvent toucher s'ils en ont envie … et pourquoi pas, qu'ils peuvent me trousser là, au milieu de ce magasin, les jambes écartées, le torse vautré au milieu de cet étal de fruits et de légumes, et me prendre devant les autres clients … Ça y est, me voilà parti dans un nouveau délire … un frisson me parcourt le bas-ventre et l'anus … je me demande si je ne commence pas à bander un peu .. mais je n'ose pas regarder si ma queue fait une bosse sous ma robe …  


A défaut de me faire sauter en public dans ce supermarché, déjà, rien que me balader comme ça, au milieu des clients et des employés, avec mon cul et ma bite à l'air sous ma robe, c'est waouuuhhhh ! D'un seul coup, j'entends toussoter avec insistance juste derrière moi. Je me retourne … c'est Bernard. Finalement, il s'est décidé à me rejoindre. Il me sourit:

- Tu trouves ce qu'il te faut ?

- Plus ou moins …


En fait, tout à ma rêverie, je n'ai encore rien acheté. Lui, il a bien surmonté sa peur de rencontrer des gens qu'il connaît en ma compagnie, mais il n'arrête pas de regarder autour de nous avec un air inquiet. Saisi d'une soudaine inspiration, je lui prends le bras comme le ferait sa femme. Par réflexe, il tente de se dégager, mais je résiste. Mon pote, tu n'as qu'à assumer … Il cède, mais il baisse le nez, comme pour éviter le regard des autres clients … et nous voilà, déambulant, bras dessus, bras dessous, au milieu du magasin … je ne cherche pas vraiment ce dont j'ai besoin … nous flânons entre les rayons pour faire durer le plaisir …  et je guette les réactions des gens … beaucoup ne nous remarquent pas, mais certains nous fixent, un peu étonnés, un peu amusés … il faut dire, je fais presque une tête de plus que Bernard … ils doivent se dire que nous formons un drôle de couple … et puis, peu à peu, je sens Bernard se décontracter … il relève la tête … et lui aussi observe ceux que nous croisons … Mais … ma parole … il se redresse comme un coq ! 


- Hé, dis, t'as vu ? Eux aussi, ils te prennent pour une fille !


Ah, OK ! C'est ça ! Il ne voulait pas qu'on le voit avec un travelo … mais maintenant, on dirait qu'il se sent fier de traîner dans ce magasin au bras d'une " fille " qui attire comme ça les regards concupiscents des autres mâles …  il doit se dire qu'ils sont jaloux et qu'ils l'envient … il s'arrête, il approche de mon oreille, et me murmure:

- Ils ne se doutent sûrement pas que sous sa robe, la fille, elle a une bite !

- Et que tout à l'heure, la fille, elle t'a sucé la tienne, de bite …


Il est content de lui, le Bernard … moi aussi … cette situation, cette complicité avec ce mec, hhhhmmmm, j'aime ! 


A tourner entre les rayons, nous finissons par nous retrouver au bout du magasin, entre les eaux en bouteille et les jus de fruit … il n'y a personne … alors je stoppe Bernard, je lui fais face, je soulève le bas de ma robe et je lui lance:

- Tu veux la voir, ma bite ? Regarde !

- Rhôô ! T'es con ! Tu vas nous faire repérer !

- Mais non …


Je le fixe, les yeux dans les yeux et je plaque ma main sur son bas-ventre:

- Tu veux que je te suce ici ?

- T'es dingue, hein …


A moitié inquiet, à moitié amusé, il regarde, derrière moi, l'angle du rayon d'où quelqu'un peut surgir à tout moment … je lui pétris le paquet à travers la toile de son pantalon … et il se laisse faire …


- Allez, sors ta bite … je te suce …

- Non, non …


Il me chope par le coude, il me fait pivoter et il me pousse devant lui vers l'extrémité du rayon … au moment où nous nous apprêtons à en sortir, une petite grand-mère arrive, poussant son chariot de courses devant elle:

- Pardon, messieurs-dames … vous voulez être gentils et m'attraper un paquet d'eau gazeuse, là-haut ? Je suis trop petite, et ils mettent toujours ça tout en haut.


Bernard me lâche le coude, et fait demi-tour:

- Bien sûr, madame … laquelle vous voulez ?

- Celle-ci, là …


En une fraction de seconde, je comprends comment exploiter la situation … je me précipite, je bouscule Bernard et j'attrape un paquet de six bouteilles en haut du rayon … bien sûr, comme je lève les bras, ma robe remonte et je sens l'air frais me caresser les fesses … le pack de bouteilles dans la main, je soulève le rabat en toile du chariot de la grand-mère:

- Je vous le mets dedans ?

- S'il vous plaît … ah, vous avez de la chance d'être grande comme ça … merci, mademoiselle …


Et puis, avec un sourire malicieux:

- Si vous voulez écouter le conseil d'une grand-mère … vous devriez mettre une petite culotte, mademoiselle … avec ce froid, vous pourriez attraper un rhume … encore merci !


Et elle s'éloigne. Bernard:

- T'es con, hein … elle a vu ton cul !

- Non … tu crois ?


Et je me marre.


- Merde, tu l'as fait exprès ? Bon, allez, on se barre …

- Attends, j'ai pas fini mes courses …

- Ouais, ben arrête tes conneries … j'ai pas envie qu'on se fasse repérer …

- Cool, cool, mec … ça l'a fait rire, la grand-mère …


Il s'éloigne en bougonnant … Alors je prends quelques bricoles au rayon salades et sandwichs, au rayon charcuterie, au rayon viennoiseries, aux fruits, à la boulangerie et je me dirige vers une caisse. 


Quand je rejoins Bernard, il est déjà installé dans sa voiture, avec l'air renfrogné. Je pose mes courses sur la banquette arrière et je m'assieds:

- Allons-y.


Il démarre tandis que j'attache ma ceinture de sécurité et que je descends le zip de ma doudoune. Je l'observe. Il fait la gueule et il évite de me regarder. Alors je m'approche et je pose ma main sur son paquet, à l'angle de ses cuisses.


- Laisse-moi.


Mais il ne fait pas un geste pour repousser ma main. J'enfonce mes doigts entre ses cuisses serrées, et:

- Arrête de faire la gueule … c'est pas grave …

- Ouais … c'est facile pour toi, personne te connaît, ici … Imagine, si on était tombé sur un voisin à moi …

- Bon, OK … mais on n'est pas tombé sur un voisin à toi …

- Mmmmmm …


Il reste ombrageux comme ça pendant un moment, et puis, comme je bouge mes doigts avec difficulté contre ses couilles, il finit par écarter les cuisses et il sourit. Je détache ma ceinture de sécurité, je m'approche encore un peu de lui et j'entreprends de déboucler la ceinture qui retient son pantalon … il se laisse faire … j'ouvre sa braguette et je glisse ma main dans son caleçon … sa bite est toute recroquevillée, la tête en bas … délicatement, je la redresse et je rabats la ceinture de son caleçon jusque sous ses couilles … voilà, il se remet à bander … je le caresse un peu du bout des doigts … hhhhmmmm, ce long prépuce … 


- Je vais encore te sucer, Bernard …


Il me regarde et secoue la tête d'un air blasé:

- T'en as jamais assez, toi … 

- Non. Je suis en manque.

- Bon, vas-y, alors … mais je te préviens, cette fois, je pourrai sûrement pas jouir …

- T'as pas un copain, à qui je pourrais tailler une pipe ?

- Un copain ?

- Oui … quelqu'un qui aime bien se faire sucer … tu m'as parlé de ton frère, tout à l'heure …

- Ah non … sûrement pas mon frère !

- Ben quelqu'un d'autre, alors … tu m'emmènes à lui, et je le suce …

- Non, je connais personne à qui je pourrais t'emmener …

- Dommage.


Et il soulève son bras droit, comme pour me laisser la place de me pencher sur son ventre … je prends son sexe dans ma bouche … hhhhhmmm, c'est tellement bon ! Il pose sa main sur mon cou et il me caresse doucement … j'ai eu beau lui nettoyer la bite à fond tout à l'heure avec ma langue, elle sent encore un peu le sperme … c'est un régal, et je salive abondamment … je le suce longuement comme ça, avec son gland encore enveloppé dans son prépuce … ça m'excite de plus en plus et je le pompe de plus en plus fébrilement … et je finis par le décalotter … il bande fort et il est vraiment très raide … oh la la, j'espère que je vais quand même arriver à le faire jouir une troisième fois … je me branle tout en le suçant … 


- Faut que t'arrêtes, on est bientôt arrivés …

- … 

- T'entends ? On est bientôt à la plage.


Il clignote, il ralentit et je sens qu'il déporte sa voiture sur la droite … je ressens les chaos du bas côté …


- Allez, arrête, maintenant.


Il passe sa main sous mon menton et il me repousse. Je me relève. On est stationnés sur le bas côté, à mi pente de la route qui aboutit au parking où j'ai garé ma voiture. Je l'aperçois, d'ailleurs, derrière d'autres voitures. Il y a du monde, maintenant. D'autres voitures nous dépassent, qui descendent vers le parking. Bernard remballe sa bite et ses couilles, referme sa braguette et reboucle sa ceinture. Il me regarde en souriant:

- Finalement, je vais quand même essayer de me débrouiller pour venir chez toi un de ces soirs … ça te dérange pas ?

- Non … mais … et si ta femme t'appelle …

- Je m'arrangerai …

- Ben d'accord, OK. Je vais te donner mon numéro pour que tu m'appelles quand tu peux venir … t'as un papier et un crayon ?

- Ouais … stylo dans la boîte à gants … et doit bien y avoir un papier … 


Je fouille, je trouve un stylo et une facture de contrôle technique. Je note mon numéro dans un coin, et en remettant le tout en place:

- Tu m'appelles et je te dirai où il est, mon gite ..

- Ça te … ça te gêne pas, que je vienne te voir … vis-à-vis de gens qui te logent ?

- Non. C'est un gite, mais ça ressemble plus à un motel … tu sais, un peu comme ceux qu'on voit dans les films américains … l'entrée de chaque chambre est indépendante, et le soir, la gérante ferme son bureau et elle rentre chez elle … 

- Bon, très bien …

- Tu sais, si tu viens, je veux bien encore te tailler une pipe, mais j'aimerais bien que tu me baises, cette fois …

- Ah non ! Je t'ai dit … ça, je pourrais pas …

- Attends ! J'aurai le cul hyper clean … je me fais toujours plusieurs lavements … moi non plus, j'aime pas que les mecs trempent leur queue dans la merde … et même, si tu veux, tu pourras mettre une capote …

- Pfffffff ! Bon, on verra … mais je te promets rien …

- OK.

- Dis … tout à l'heure, tu parlais … tu m'as dit que … si je connaissais quelqu'un … tu serais prêt à le sucer …

- Oui.

- Ben … si je viens à ton gite … si … si j'amène quelqu'un … ça te … ça serait possible, que tu nous suces tous les deux ?

- OUI, OUI, OUI ! ! ! Tu connais quelqu'un ?

- Je … je suis pas sûr, mais peut-être … un collègue … il parle tout le temps de cul, et je crois qu'il baise avec des mecs ...

- Ben oui, alors ... viens avec ton collègue … 

- Mais … tu me dis oui, et tu le connais même pas …

- Toi non plus, je te connais pas … et je t'ai sucé, non ?

- Oui, c'est vrai.

- Bon, allez, descends jusqu'à ma voiture.


Il redémarre. Au moment où on arrive sur le parking, le break qui était garé juste à côté de ma voiture amorce une marche arrière pour s'en aller. Bernard attend qu'il s'éloigne, et il prend sa place, à droite de ma voiture. Je me retourne, je récupère mon écharpe et mes courses sur la banquette arrière et, avant de descendre, je fouille dans la poche de la doudoune, je sors mon string et je le tends à Bernard:

- Tiens … cadeau …


Il ouvre des yeux ronds:

- C'est à toi, ça ?

- Oui. Et maintenant, c'est à toi.


Il hésite, il prend ma petite culotte et me tend la main, visiblement pour que je la lui serre. Alors, je m'approche et je lui pose un baiser sur la joue. Et je descends. L'air frais sur mes fesses me rappelle que ma robe est remontée à l'angle de mes cuisses et de mon ventre … et j'ai le cul à l'air … Bernard, mi souriant, mi inquiet, vérifie aux alentours si quelqu'un peut me voir. Mais je suis entre nos deux voitures. J'ouvre ma portière, je balance mes effets sur le siège passager et je m'installe. Bernard manœuvre et s'éloigne pour faire demi-tour au bout du parking. Je fais comme lui et je prends la route de mon gite.


Hhhhhhmmmm, ça y est, je me suis de nouveau tapé une queue ! Et puis, c'est décidé, je rentre à mon gite dans cette tenue ... je ne me change pas. Ce matin, pour sortir, j'avais enfilé un pantalon par dessus ma robe et mon collant pour le cas où je rencontrerais la gérante ou un autre client, mais maintenant, je m'en fous … en principe, le dimanche, la gérante est dans son bureau jusqu'à midi, mais tant pis si elle me voit comme ça … à la limite, je me garerais à l'extrémité du parking … comme ça, je ne serai pas obligé de passer devant son bureau pour gagner ma chambre …


Dimanche 17 décembre. 18h30

Je viens tous juste de me réveiller. Quand je suis rentré, ce matin, vers les onze heures et demie, je n'ai rencontré personne devant le gite. J'avais tellement la dalle que j'ai mangé tout de suite … et je me suis allongé sur le lit, histoire de récupérer un peu, mais je me suis endormi … sans doute l'effet du grand air sur la plage et le sentier côtier, et aussi d'avoir sucé ce mec et d'avoir pris mon pied.


J'avais plus ou moins prévu de ressortir cet après-midi et d'aller traîner en ville, habillé en fille comme ce matin … Tant pis. Et puis là, il pleut. Pourtant, ce matin, il faisait plutôt beau …


Lundi 18 décembre. 9h00

Il pleut encore. Et il faut que je tue cette journée. 


Ça y est, la mécanique s'est vraiment remise en route … je suis de nouveau taraudé par des envies de queues. Mais avec ce temps, cette pluie et ce froid, c'est pas aujourd'hui que je vais pouvoir aller draguer des mâles. 


Lundi 18 décembre. 19h00

Je viens de rentrer et j'ai commencé à essayer mes emplettes du jour. 


Ce matin, je suis passé voir où en est Gégé de ses travaux de peinture. Il a quasiment fini. Il a entrepris de ranger et de nettoyer. Je lui ai dit qu'il pouvait rester dans la maison pour le moment, et qu'il y serait mieux que dans son blockhaus sans eau et sans électricité. Il n'a dit ni oui ni non, mais j'ai l'impression qu'il va rester.


Après, je suis retourné dans la zone commerciale. D'habitude, les boutiques sont fermées le lundi, mais comme nous sommes à quelques jours de Noël, elles étaient exceptionnellement ouvertes. J'avais envie de m'acheter un peu de lingerie. Si Bernard vient me voir au gite, il faut que je lui donne envie de me baiser. Ma robe, mon collant ouvert et ma doudoune, c'était très bien pour l'extérieur, mais je ne peux pas le recevoir comme ça dans ma chambre. J'ai de nouveau fouillé dans les rayons du magasin où samedi j'ai acheté ma robe et le reste … la connasse de vendeuse n'y était pas … dommage, ça m'aurait bien plu de lui mettre sous le nez des trucs encore plus " sexe " qu'une robe, un collant et un string.

 

Cette fois, j'ai trouvé trois nuisettes … une en voile de tulle noir transparent, très courte, avec une bordure en dentelle jaune au niveau de la poitrine – j'ai pratiquement la même chez moi, en Seine-et-Marne -, une en lycra beige, très douce au toucher et très moulante, et une rouge, également transparente, ouverte devant, avec des petits nœuds … j'ai aussi trouvé quelques strings, certains plus ou moins assortis à mes nuisettes, c'est-à-dire deux noirs et deux beiges, ainsi qu'un rose fluo – ceux-là, je les adore - et un rouge vif … et j'ai pris trois paires de bas … une paire de noirs, une paire de rouge vif et une paire de jaune moutarde … mais il n'y avait pas de porte-jarretelles qui me plaise ... Quand je suis passé à la caisse, la collègue de la connasse m'a reconnu, il me semble, mais elle n'a pas commenté, elle est restée impassible. Dans les autres commerces de la zone, je n'ai pas trouvé non plus de porte-jarretelles sympa. 


J'en ai trouvé un en ville, dans une boutique de lingerie … la commerçante est charmante ... elle a cru que j'achetais des cadeaux pour ma femme ! Oui, là aussi les commerces sont ouverts … j'ai pris un porte-jarretelles en dentelle noire et un en lycra rouge … Ça devrait le faire, avec Bernard … je sais l'effet que je fais aux mecs quand je leur mets mon cul sous le nez dans ce genre de tenue … j'ai un peu hésité, mais je suis aussi entré dans une parfumerie et je me suis offert un flacon d'Opium … ce parfum, je l'associe instinctivement au sexe … ça date de l'époque où j'ai commencé à fourrer mon nez - et ma bite - dans la lingerie de Marie-Claire, ma patronne … pratiquement toutes ses petites culottes, ses nuisettes, ses bas et sa lingerie en sont imprégnés, même après être passés au lave-linge … il doit y avoir je ne sais quoi là-dedans, qui agit comme des phéromones et qui me déclenche automatiquement des envies de sexe … à mon avis, ce n'est pas un hasard si la lingerie "hot" de Marie-Claire embaume ce parfum … elle doit en mettre quand elle baise … j'espère qu'il agira sur Bernard comme il agit sur moi … sur Bernard et sur son collègue, si il amène son collègue … 


Voilà, j'ai fini d'essayer ma lingerie. Putain, l'image que m'a renvoyé le miroir de la salle d'eau dans mes différentes tenues … si Bernard résiste à ça … même moi, mon image m'excite et me fait bander ! Déjà, simplement essayer de la lingerie neuve, ça m'a toujours excité. Là, je bande et ma queue a commencé à baver un peu de fluide. Le seul truc, c'est que toute cette lingerie sent le neuf … littéralement … non seulement les matières sont encore un peu raides, mais elles sentent vraiment le tissu neuf … Il y a un lave-linge dans la cuisine commune du gite. Alors, je commence par tremper le tout dans mon lavabo … nuisettes, bas, strings, porte-jarretelles … avec un peu de gel douche et quelques gouttes d'Opium … on verra bien ce que ça donne … puis je porte tout ça à la cuisine et je fais tourner une machine avec un programme court et pas trop de lessive … je reste à côté jusqu'au bout … il ne faudrait pas que quelqu'un d'autre vienne faire une lessive et tombe sur ma lingerie en ouvrant le tambour … quand c'est fini et que j'ouvre le hublot, je reconnais les effluves du parfum … ouaiiiiiiis, c'est exactement ce que je voulais … l'odeur est là, mais pas trop forte, pas trop puissante … j'adore ! Presque immédiatement, quand cette senteur atteint mes récepteurs olfactifs, une petite décharge électrique me parcourt le sexe … hhhmmmm !

 

 

 

à suivre

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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