Récits pornographiques

Dimanche 24 mars 2019 7 24 /03 /Mars /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Dimanche 17 décembre. 


J'ai perdu la notion du temps. Je ne sais pas quelle heure il est … vers les dix heures … dix heures et demie ?


Je suis complètement … retourné … bouleversé … affolé …

 

JE SUIS EN TRAIN DE SUCER UNE BITE !!!

 

Oh la laaaaa, ce que j'aime ça ! Encore une fois, c'est la bite d'un type que je ne connais pas … il y a dix minutes ou un quart d'heure, il m'a surpris en train de me tripoter sur la terrasse d'une résidence secondaire où je m'étais introduit … en fait, c'est un voisin qui venait ouvrir la maison avant l'arrivée des propriétaires … sous l'effet de la surprise, j'ai commencé par me sauver, et lui, croyant que j'étais une fille, il m'a rattrapé, visiblement attiré par mon cul … oui, parce que, entre autres, je porte une micro robe ultra courte et ultra moulante qui met mes fesses particulièrement en valeur … quand il a réalisé que j'étais un mec, c'est lui qui a détalé … et puis, réflexion faite, il m'a attendu, soit disant pour discuter … mais à mon avis, ce n'était qu'un prétexte … il devait quand même avoir une idée derrière la tête … ou plutôt, une idée derrière la braguette … de fil en aiguille, je me suis retrouvé dans sa voiture, et sa braguette, je l'ai ouverte, je l'ai explorée et j'ai commencé à lui tripoter la bite … et maintenant … et bien maintenant, je suis en train de la lui sucer, sa bite … il y avait tellement longtemps … hhhhmmmm, ce que c'est booooooon !


Après quelques jours de doute, de questionnements et de fuite, il ne m'a pas fallu longtemps pour que mes démons reprennent le dessus … il faut dire, j'ai eu Pierrot au téléphone … Pierrot, c'est l'éleveur de ces magnifiques molosses qui m'ont grimpé … il m'a enfin envoyé les vidéos de son Gordo, le Mastiff, en train de me saillir et de me "féconder" dans l'écurie de Jean-Claude … vidéos que j'ai longuement regardées, évidemment … et Pierrot, il m'a confirmé qu'il va me faire venir chez lui, qu'il va me faire visiter son élevage et qu'il va me présenter ses autres chiens … enfin, je crois qu'il a surtout l'intention de me présenter À ses autres chiens … " regardez, les chiens, ce que votre papa vous a ramené … vous allez pouvoir vous amuser " – Pierrot, il n'arrête pas de parler à ses chiens en les appelant "fils", alors Pierrot, c'est un peu leur "papa" - … le papa, donc, il veut leur faire plaisir, à ses chiens, et pour ça, le papa, il a l'intention de ME LIVRER à eux, ses MOLOSSES ! Pas pour qu'ils me bouffent, les bestiaux, non, pour qu'ils aient du sexe avec moi ! Ce mec veut tout simplement M'UTILISER comme un jouet sexuel pour ses chiens ! Parce que pour lui, c'est ça, le but … me mettre sexuellement à la disposition de ses mâles, de ses énormes mâles, de ses superbes mâles … je pense qu'il veut m'amener à chacun d'eux, l'un après l'autre, il veut que chacun d'eux me monte dessus, il veut que chacun d'eux me saillisse, il veut que chacun d'eux me baise et me féconde ! 


Alors quand j'y pense, cette perspective me rend folle ! Je n'en reviens pas d'en être arrivé là ! Jamais je n'aurais imaginé qu'une chose pareille puisse m'arriver … oh, bien sûr, mon fantasme de me faire grimper et saillir par un chien - et même par un cheval - remonte déjà à loin … mais ce n'était qu'un fantasme, une divagation, un délire … c'était abstrait et ça me semblait tellement invraisemblable, tellement irréalisable … et puis voilà … il a suffi d'un enchaînement de circonstances, de ma rencontre avec un cultivateur, propriétaire de chiens, intéressé par ce genre d'expérience, de ma totale déshinibition vis-à-vis de la débauche la plus hors norme, d'une irrépressible pulsion et de l'absence totale de peur …

 

ET ÇA M'EST ARRIVÉ !

JE ME SUIS FAIT COUVRIR PAR DES CHIENS !


 

Alors, mon fantasme une fois assouvi, ça aurait pu, ou ça aurait dû s'arrêter là … mais non, bien au contraire … ça n'a fait qu'intensifier mon envie, ça n'a fait que renforcer ma détermination … non seulement c'était anatomiquement possible de se faire saillir par un chien, et même par un énorme chien, mais surtout, c'était un bonheur, une extase, une ivresse incroyables, non seulement au point de vue anal, maus aussi cérébral ! Ces amants extraordinaires, avec leurs énormes appareil génitaux, m'ont véritablement comblée … physiquement et mentalement ... c'était … vertigineux … c'était tellement bestial et en même temps tellement voluptueux … ils m'ont fait me sentir tellement … FEMELLE ! Ils m'ont fait me sentir tellement femelle qu'ils m'ont rendue accro et j'ai tout de suite eu une folle envie de recommencer. Comment, après avoir ressenti ça, après avoir senti ces bêtes se riveter dans moi, après les avoir senti me dispenser leur semence dans les entrailles pour … pour me faire des petits, comment j'aurais pu renoncer ? 


Ensuite, pour mon plus grand bonheur, le hasard - mais était-ce vraiment le hasard ? – le hasard, cette fois, a mis sur ma route un éleveur de molosses ... ce Pierrot … ce Pierrot qui, au premier abord, s'est montré menaçant et susceptible de me mettre en danger, et qui a fini par se révéler particulièrement tordu et surtout aussi dépravé et amoral que moi … Ce jour-là, chez Jean-Claude, pour ce Pierrot, cette séance sexuelle entre ses deux molosses et moi s'est muée en test de compatibilité … oui, ses chiens avaient envie de me saillir, oui, ils arrivaient à le faire, ils arrivaient à se verrouiller et à mener cette saillie à son terme ... mais il s'était aussi rendu compte que moi, j'aimais forniquer avec les chiens, et que je ne demandais qu'à recommencer …

 

Alors on va le refaire ! Certes, j'anticipe déjà l'ivresse que les multiples copulations bestiales qui m'attendent vont me procurer, j'imagine la volupté de ces accouplements soit-disant contre nature avec ses chiens, de ces coïts réprouvés par la morale publique … mais avant cela, autre chose me grise et m'exalte … finalement, Pierrot, ça reste un type que je ne le connais pas, puisque je ne l'ai rencontré qu'une fois, il y a moins d'un mois chez Jean-Claude, et pourtant, ce type me considère déjà comme un objet, comme une chose dont il peut disposer à son gré pour le plaisir sexuel de ses molosses - et accessoirement pour les chiens de ses copains !

 

Est-ce que je me sens rabaissé, avili, humilié ? La connaissance abstraite, théorique, que j'ai de la société, de ses règles, de sa morale, me souffle bien que oui, je devrais me sentir rabaissé, avili, humilié. Mais en fait, pas du tout … ni rabaissé, ni humilié, ni avili ! C'est même le contraire. Par une espèce d'inversion de valeurs, j'en éprouve une espèce de fierté … D'abord "fille facile" pour les hommes … et même "fille publique" pour les hommes … et maintenant "fille publique" pour les chiens … "chienne publique" en somme … vide-couilles inter-espèces, viande à bites universelle …


Mais ça, cette séance, ce "gangbang" avec les chiens de Pierrot, j'ai quand même du mal à imaginer comment ça va se passer … pas comment ça se passe de se faire saillir par un chien … non, ça je connais, puisque ça m'est déjà arrivé quatre fois … mais me faire couvrir À LA CHAÎNE par des clebs … Oh, je ne me demande pas si ils vont avoir envie de me grimper … j'ai bien vu, les deux dogues allemands de Jean-Claude, le Cané corso et le Mastif de Pierrot n'ont pas hésité une seconde, ils m'ont tout de suite prise pour une femelle … il n'y a pas de raison que les autres ne veuillent pas me sauter … je n'ai pas non plus de doute sur l'aptitude de mon rectum à accueillir en nombre des appareils génitaux aussi imposants et aussi étranges que ceux de ces chiens … non, c'est plus sur le déroulement de cette séance que je m'interroge, sur son organisation … surtout que, d'après ce que Pierrot m'a dit, ça devrait se passer en public … un public sélectionné et trié sur le volet, mais un public quand même … 


Et puis, j'ai eu aussi Philippe au téléphone … Philippe, c'est celui qui m'avait organisé un gangbang de mecs. Il aimerait bien recommencer. Et justement, j'ai fait visionner des vidéos de ce gangbang géant à ce connard de gendarme … Alors, forcément, à revoir, à revivre tout ça, mes envies de bite qui s'étaient mises en veilleuse après que j'aie retrouvé Christine, mon ex, se sont brusquement réveillées … alors quand je dis que mes démons ont repris le dessus … ces démons là, je les adore ! De nouveau, je me sens incapable de résister à la vue de la bite d'un homme …


La bite du mec que je suis en train de sucer n'a rien d'exceptionnel, d'ailleurs … mais c'est une bite ! Ah si, quand même … il a un prépuce d'une longueur hors du commun … je n'en ai jamais vu d'aussi long et, je ne sais pas pourquoi, ça m'excite … il est particulièrement agréable dans ma bouche, ce long étui de peau, chaud et doux … Là, tout de suite, son prépuce, je le sens qui s'appuie contre mes amygdales … Hhmmmm, tout à l'heure, c'est là, dans ma bouche et dans ma gorge que ce type va répandre sa crème ! J'ai hâte de sentir sa semence jaillir et s'écouler dans mon œsophage … et en même temps, j'ai envie qu'il se retienne le plus longtemps possible. 


Lentement, je remonte ma tête en serrant sa verge entre mes lèvres … jusque sous son gland … je le titille à nouveau un peu du bout de ma langue, et je finis par le sortir de ma bouche … dans le même mouvement, je descends ma langue sur la face avant de sa verge, contre son urètre … je soulève ses couilles dans le creux de ma main et, à leur tour, je les lèche, je les embrasse … Puis je me redresse et, tout en le masturbant:

- Elle me plaît beaucoup, ta bite … mais tu sais, si tu préfères, tu peux me baiser …

- Ah non … je t'ai dit ... ça, je fais pas …

- J'ai des capotes, tu sais … et j'ai le cul parfaitement clean … tu peux y aller tranquille …

- Non, non … je préfère que tu me suces … mais, j'aimerais mieux qu'on aille faire ça ailleurs … des fois, y'a des gens qui promènent leur chien, par ici … et je voudrais pas …

- Compris … alors, tu sais, ce qu'on pourrait faire ? On s'en va, et je te suce pendant que tu conduis … j'adore faire ça …

- Tu l'as déjà fait ?

- Oui … une fois ou deux … 

- Mais … c'est pas dangereux ?

- Faut que tu fasses attention, évidemment … tu te concentres sur ta conduite et, éventuellement, si tu sens que tu vas jouir et que tu peux pas maîtriser tes réactions, tu te gares vite fait et je te finis sur le bord de la route …

- Bon … d'accord …

- Ce qu'il y a, c'est que je voudrais faire durer ça le plus longtemps possible … 

- Bon, ben … OK …

- Allez, vas-y, roule !

- Je … je reste comme ça ?

- Oui. T'inquiète pas, les autres, dans leur voiture, ils te verront pas …


Sans un mot, il met le contact, il attache sa ceinture de sécurité et il enclenche la première.


- Mets aussi ta ceinture.


Je passe la sangle ventrale normalement, mais je glisse la sangle transversale derrière moi … je me rapproche de lui autant que je peux et je tends la main vers sa bite. Il m'arrête:

- Attends, on va passer dans le village où j'habite … il pourrait y avoir des gens que je connais …

- OK.


Je m'écarte et je me cale au fond de mon siège, cuisses écartées, robe retroussée et ma bite à la main. Au bout du chemin de terre où nous étions garés, une petite route et quelques maisons de chaque côté … nous traversons le hameau assez vite … je le vois regarder à droite et à gauche, légèrement inquiet … il faut dire, il a toujours le pantalon et le caleçon à mi-cuisses … et puis nous voilà de nouveau dans la campagne.


- Je peux toucher ta bite, maintenant ?

- Attends. On peut encore croiser des connaissances ... je te dirai …


Alors, j'écarte un peu la sangle ventrale de ma ceinture de sécurité et je commence à me tripoter.


- Au fait, comment tu t'appelles ?

- Moi ? Bernard. Et toi ?

- Marin.


Il roule à fond, mais, tout en conduisant, il n'arrête pas de jeter des coups d'œil vers moi … vers mes cuisses grandes ouvertes, vers ma bite …


- Hé, fais quand même gaffe, Bernard … va pas nous foutre au fossé … on n'est pas pressés à ce point … à moins que tu aies quelqu'un qui t'attend … t'es marié ?

- Euh … ben … je …

- T'es marié, ou t'es pas marié ? Tu peux me le dire, hein, t'as rien à craindre …

- Ben oui ... je suis marié … mais ma femme est pas là, en ce moment … hier, elle est partie chez sa sœur pour les fêtes …

- Alors, tu veux qu'on aille faire ça chez toi ?

- Non, non ! J'ai pas envie que mes voisins  …

- … que tes voisins te voient rentrer avec une fille ….

- Voilà.

- Remarque, moi, je préfère te sucer pendant que tu conduis . Et tu la trompes souvent, ta femme, quand elle part chez sa sœur ?

- Non … c'est la première fois … et si je le fais, aujourd'hui, c'est parce que, elle, elle aime pas me sucer …

- Ben tant mieux pour moi, alors … peut-être qu'elle n'aime pas non plus que tu l'encules …

- Non, mais ça … moi, j'en ai pas envie non plus …

- Tu as tort, tu sais pas ce que tu manques …


Il me regarde et me sourit … Quelques minutes s'écoulent … un soleil très lumineux éclaire la campagne ... nous roulons sur des petites routes au milieu de prés où paissent des vaches et de champs fraîchement labourés où des goélands cherchent des vers … et puis nous arrivons sur une départementale … je pense qu'on est assez loin de son village, maintenant, et je sens le type moins aux aguets … alors, sans lui demander la permission, je m'approche à nouveau de lui, je tends le bras et je prends sa bite entre mes doigts … cette fois, il se laisse faire … il a un peu débandé, mais il redurcit rapidement … je le masturbe doucement … de temps à autres, il jette un rapide coup d'œil sur ma main qui le branle … ça a l'air de beaucoup lui plaire … moi aussi, ça me plaît … tout en me tripotant la queue, je ne quitte pas la sienne des yeux … c'est fascinant … je joue avec son prépuce … je le fais bouger sur son gland en le pétrissant du bout des doigts … parfois je fais coulisser sa peau vers la base de sa verge, jusqu'à commencer à le décalotter … puis je la fais coulisser vers le haut, je pince l'extrémité de son prépuce et je l'étire autant que je peux … Quelle merveille ! Un jouet si doux sous mes doigts … un jouet si tiède au creux de ma main … un jouet vivant, sensible … un jouet qui réagit à mes caresses, à mes manipulations … un jouet qui, par moments, gonfle et durcit entre mes doigts … et puis qui se ramollit … C'est d'autant plus fascinant que nous sommes synchrones, lui et moi … oui, quand je sens, quand je vois sa queue gonfler entre mes doigts, ça me fait aussi bander davantage … et quand sa bite ramollit, la mienne aussi … c'est magique ! Et je le sens, c'est un jouet qui procure beaucoup de plaisir à ce mec … c'est aussi un régal pour ma main, pour mes doigts … j'aime beaucoup me tripoter, moi, mais tripoter un autre mec en même temps, c'est … waouhhhhhh !


- T'as l'air de vraiment aimer ça, de me tripoter la bite …


Je hoche la tête vigoureusement:

- Oh oui, j'aime ça !

- Tu le fais souvent ? Je veux dire avec d'autres hommes …

- Oui … pas depuis longtemps, mais depuis que j'ai commencé, j'en ai tripoté des tas …

- Ah bon ? Mais … comment ça …

- Oui, ça fait seulement six mois, ou à peu près, que j'ai commencé … avant, je n'osais pas … j'en avais envie, mais je n'osais pas … mais depuis, je rattrape le temps perdu … et je ne fais pas que les tripoter, les bites …

- C'est-à-dire …

- Ben, je taille des pipes et je me fais baiser … 

- Et ça aussi, t'aimes ça …

- Oh oui ! J'aime donner du plaisir aux mecs, j'aime qu'ils prennent du plaisir … dans moi … dans ma main, dans ma bouche, dans mon cul … et pour moi aussi, c'est du plaisir de branler une queue, de tailler une pipe ou de me faire baiser … 

- Excuse-moi, mais … c'est bizarre, quand même …

- Oui, je sais que ça peut sembler bizarre … mais, est-ce que ça te semblerait bizarre qu'une femme dise ça, qu'elle aime tailler une pipe et se faire baiser ?

- Ben … non …

- Ben voilà … moi, je suis un mec, mais j'ai des goûts, j'ai des envies, j'ai des pulsions de femelle … 


Pensif et silencieux, il hoche la tête.


- Bon. Cette fois, on est assez loin … maintenant, tu peux me sucer … si tu veux …

- Bien sûr, que je veux. N'oublie pas, tu te retiens autant que tu peux, hein … j'ai envie de te sucer pendant longtemps … alors, quand tu sens que ça vient, tu me le dis et j'arrête un peu … d'accord ?

- Ouais, d'accord …


Tout en lui expliquant, j'ai commencé à ôter ma doudoune pour être plus à mon aise. Je la lance sur la banquette arrière. Je me penche et, à moitié couché sur mon siège, je prends son sexe dans ma bouche et ses couilles dans ma main droite … oh la laaaa, y'a pas à dire, sucer une queue, c'est encore mieux comme ça, en roulant, plutôt que bêtement installé sur un canapé ou dans un lit ... je ne sais pas pourquoi, mais sucer un mec pendant qu'il conduit, je trouve ça beaucoup plus agréable et excitant … De nouveau, je joue avec son prépuce … je le titille avec ma langue, je le presse entre mes lèvres … tout en serrant sa verge dans ma main, je glisse le bout de ma langue dans l'étui que forme son prépuce …. Oh, ça aussi, c'est très agréable ! C'est déjà tout mouillé, là-dedans … pas de doute, c'est l'excitation qui le fait mouiller comme ça … Ça y est, le bout de ma langue touche son gland … je sens le sillon de son méat … hhhhmmmm, tout à l'heure, c'est par là que son sperme va jaillir et se répandre dans ma bouche, tout chaud et crémeux …


Un moment, voulant rétrograder en 3ème, comme je le gênais pour atteindre le levier de vitesse, en s'excusant, il m'a un peu effleuré le torse … alors, sans arrêter de le sucer, je me suis serré au maximum contre le dossier de mon siège … et quelques secondes plus tard, quand il est repassé en 4ème, cette fois, il a laissé sa main sur moi, comme ça, l'air de rien … et comme je le laissais faire, j'ai senti que sa main s'appesantissait de plus en plus … sans doute pour voir si il pouvait aller un peu plus loin … et il a commencé à me caresser la hanche … ou plutôt à me palper la hanche, à me la pétrir à travers le tissu de ma robe … alors j'ai abandonné ses couilles un moment, et, de la main, j'ai retroussé ma robe pour dégager mon cul … il a hésité un fraction de seconde, et puis il a posé sa main sur ma fesse, là où le collant est ouvert, et il a commencé à me peloter …


Moi, à sucer, à mâchouiller, à téter son sexe, je suis de plus en plus excité et je le pompe de plus en plus fiévreusement … là, dans ses testicules, à quelques centimètres de mes lèvres, de ma bouche, de ma gorge, il y a son sperme … son sperme qui doit commencer à bouillonner … son sperme qui jaillira sur ma langue dans une explosion, tout à l'heure … je ne sais pas où nous sommes, je ne sais pas où il nous emmène, ce mec, mais j'adore ça, lui sucer la bite comme ça, pendant qu'il conduit … je sens chaque virage, chaque accélération, chaque ralentissement … je sens les vibrations de la voiture sur le macadam … j'entends le bruit de l'air sur la carrosserie … j'entends le bruit des autres véhicules que nous croisons … je perçois aussi le bruissement de la campagne … un tracteur, des oiseaux, une vache qui meugle … par moments, il roule moins vite, et à la sonorité particulière de ce qui nous entoure, aux chaos de ralentisseurs, à des éclats de voix étouffés, je devine que nous traversons un village … nous traversons un village qui s'éveille et commence à s'animer, et moi, dans cette voiture que les gens croisent, je suce la bite du conducteur !


Alors ça vient tout seul, naturellement … tout en le suçant, je me mets à gémir de plaisir, tellement tout ça m'excite … il m'a entendu et aux contractions saccadées de son abdomen, je sens qu'il se marre … il y a quelques mois, je me serais retenu, et si ça m'avait échappé, je me serais senti un peu con de m'être laissé aller … mais maintenant, je m'en fous complètement … oui, je gémis … et alors ! La bite, ça me rend folle … et je veux que les mecs que je suce sachent à quel point elle me rend folle, leur bite … alors, pourquoi je me retiendrais …


Je le suce, et en même temps, je lui pétris les couilles … délicatement, bien sûr … je lui pétris les couilles et comme j'enserre leur base entre mon pouce et mon index réunis en anneau, peu à peu, la peau de ses bourses tire sur celle de sa verge, et je sens son gland se décalotter lentement dans ma bouche … whooooooo … le voilà qui pointe le nez à l'entrée de son prépuce … si sa verge est tiède, son gland paraît brûlant sur ma langue … le sang qui le remplit est juste là, sous cette peau tellement fine … en tournant ma langue autour de ce gland, et en le noyant de salive, je continue de le décalotter … Oh, ça y est ! D'un seul coup, il a jailli hors de son prépuce … et je le sens qui s'épanouit sur ma langue … Putain ! Tant qu'il était emprisonné dans cette enveloppe protectrice, il était comme comprimé, resserré, mais là, je le sens qui gonfle, qui s'étale, qui se dilate … il doit se sentir tellement bien dans le nid chaud et mouillé de ma bouche … Vas-y, le gland, tu es chez toi, prends tes aises, laisse-toi aller …


A un frémissement de son abdomen contre mon oreille, je me rends compte que Bernard a senti son gland s'épanouir dans ma bouche … et sa verge est soudain devenue un peu plus raide, un peu plus dure … hhhhmmmm, visiblement, il aime ça … et moi, le sentir réagir comme ça, le sentir bander davantage, le sentir prendre tellement de plaisir, ça m'excite … je gémis de plus belle … et c'est plus fort que moi, je le suce avec encore plus d'ardeur … oui, j'avais décidé de faire durer le plaisir, mais je ne peux pas résister … tant pis s'il jouit maintenant … 


Et soudain:

- Arrête ! Arrête ! Arrête !


Haletant, il a passé la main qui me pelotait le cul sous mon menton, et il soulève ma tête pour sortir sa trique de ma bouche … j'essaie de résister, mais il accentue sa pression:

- Arrête, j'te dis !


Voilà, j'ai cédé … et tandis que je me redresse, il freine en serrant sur la droite … 


Nous sommes … en ville ? Non, on dirait plutôt un village … il me semble que je suis déjà passé ici, au cours de mes pérégrinations dans le coin … 


Encore haletant, il plaque sa nuque contre son appuie-tête et serre la base de sa queue sous le niveau des couilles, sans doute pour se retenir d'éjaculer. Moi aussi, je suis essoufflé … je bande à mort et je me pétris machinalement le gland. Apparemment un peu calmé, il se tourne vers moi:

- Puuuutaiiiiiin ! Mais quelle … quelle bouche ! T'avais raison, tout à l'heure, quand tu m'as dit que t'étais une bonne suceuse … putain, mais qui est-ce qui t'as appris à faire ça ?

- J'ai appris tout seul … tu vois, je te l'avais dit que j'étais une bonne suceuse … 

- Putain … mais ma femme, elle m'a jamais sucé comme ça … et en plus, t'as vraiment l'air d'aimer ça …

- Oui, je t'ai dit, j'adore ça, sucer des bites … je me … je me régale … et surtout quand le mec se lâche dans ma bouche !


Il hoche la tête d'un air approbateur:

- Ouaaaaah ! Quand je pense que j'ai failli me barrer, quand tu m'as montré ta bite, tout à l'heure …


En fait, nous sommes à la sortie du village … je vois le panneau de fin d'agglomération à deux cent mètres devant nous … je jette un coup d'œil aux alentours … derrière nous, il y a une enseigne … on dirait une boulangerie … des deux côtés de la rue où nous sommes arrêtés, des maisons … pas de jardin devant … les façades donnent directement sur la rue … les fenêtres de la maison devant laquelle nous sommes garés sont tout au plus à deux ou trois mètres de nous … et nous sommes là, tous les deux avec la bite à l'air … lui, Bernard, avec son pantalon et son caleçon descendus à mi-cuisses, et moi avec ma robe retroussée … la première personne qui passe à côté, sur le trottoir, ne peut pas manquer le spectacle pour peu qu'elle jette un coup d'œil dans l'habitacle …


Bernard me regarde me tripoter la queue:

- C'est quoi qui te fait bander à ce point ?

- Ben tout ça … te sucer … te sucer pendant que tu conduis … te sucer pendant qu'on roule dans la campagne … te sucer quand on passe dans les villages … 

- Oh putain ! Y'a quelqu'un qui vient de sortir de la boulangerie !


Je me retourne. C'est deux mémères qui sortent de la boulangerie leur baguette à la main … soixante dix ou quatre vingt ans … l'une d'elles s'appuie sur une canne. Bernard les a repérées dans son rétroviseur. Il est déjà en train de passer la première. Je retiens sa main sur le levier de vitesses:

- Attends !

- Quoi !

- Attends … j'aime bien …

- T'es con ? ! ? ! Elles viennent vers nous !

- J'ai vu. Justement …

- Mais … on va se faire repérer …


Les deux femmes avancent lentement en bavardant … on entend leurs voix. Bernard essaie à nouveau de passer la première … je repousse sa main et je tire le frein à main:

- Attends un peu … elles vont peut-être pas nous voir …

- Rhôô, putain !


Il ne quitte pas son rétroviseur des yeux … subrepticement, il tire un peu sur la ceinture de son pantalon pour essayer de le remonter … il semble un peu inquiet, mais je crois que ça l'amuse quand même pas mal … De temps à autres, les deux grands-mères s'arrêtent et continuent de discuter sur place avant de redémarrer … Je détache ma ceinture de sécurité et je m'installe, bien calé au fond de mon siège … je relève un peu plus ma robe sur mon ventre et j'écarte les cuisses … Bernard me regarde en écarquillant les yeux … il n'en revient pas … mais il se marre:

- Putain, t'es con, hein …


J'ai abaissé ma vitre et maintenant, je vois les deux femmes dans le rétroviseur latéral de mon côté. Elles approchent lentement. On les entend de mieux en mieux par ma vitre ouverte. Je continue de me branler … Au rythme où elles avancent, elles vont se retrouver à côté de nous dans quelques secondes …


Voilà, ça y est … et elles s'arrêtent pile au niveau de ma portière ! Mais celle qui s'appuie sur une canne nous tourne le dos et nous masque à la vue de sa copine … elles ne nous ont pas vus … je les entends clairement, mais je ne comprends pas ce qu'elles disent … elles doivent parler en breton … Bernard ne les quitte pas des yeux, mais il s'est mis à faire comme moi … il se branle aussi … si ça se trouve, ça l'excite aussi, cette situation …


Et puis, les deux femmes redémarrent … la plus valide s'arrête devant la maison qui jouxte celle devant laquelle nous sommes garés … et elle entre … l'autre continue, s'appuyant toujours sur sa canne. Sans prévenir Bernard, je me penche de nouveau sur son ventre, j'écarte sa main avec laquelle il se branlait, et je reprends sa bite dans ma bouche … je n'en peux plus … cet épisode a ajouté à mon excitation, il faut que je le finisse ICI ! Il se laisse faire pendant quelques secondes … et il se met à respirer très fort par la bouche … il pose même sa main sur l'arrière de mon crâne … Oh, putain ! Sur la nuque, Bernard, SUR LA NUQUE, ta main ! Mais trop accaparé par ce que je lui fais, je ne prends pas le temps de sortir sa bite d'entre mes lèvres et de le lui dire … Je vais te faire jouir, Bernard ! Je vais te faire éjaculer ! Vas-y, envoie ton sperme !


Et soudain:

- Attends, pousse-toi un peu …


Je le sens qui cherche à atteindre le frein à main, juste sous moi … il me repousse vigoureusement, desserre le frein, enclenche une vitesse, et il démarre … Me tapotant doucement l'épaule, il demande:

- Vas-y doucement, hein … je connais un endroit … c'est pas loin …


Oh la laaaa ! Ça me rend vraiment dingue ! Mais je fais comme il veut … je garde son sexe dans ma bouche, mais j'arrête de le faire aller et venir … je me contente de glisser ma main entre ses cuisses et de reprendre ses couilles dans ma paume … immobile, je me concentre sur les sensations que son membre procure à ma langue … hhhmmmm, c'est tellement doux … et chaud … et vivant … je sens sa verge palpiter par moments … je la sens gonfler légèrement ... dégonfler … ramollir un peu … regonfler … et dans ma main, ses testicules bougent aussi toutes seules à l'intérieur de leurs bourses … ses couilles ... mes copines … mes copines qui vont me donner ma récompense, qui vont me l'injecter au fond de la gorge … Bernard a de nouveau posé sa main sur mon crâne et il s'est mis à me caresser:

- J'aime bien, être comme ça dans ta bouche … sans que tu suces … je suis bien … je me sens bien … mais … t'as vraiment envie que … que je jouisse dans ta bouche ?


Je me contente de hocher la tête. 


- Bon, alors d'accord, je vais le faire, je vais te juter dans la bouche … 


Instantanément, je sens sa bite se raidir. L'idée de pouvoir éjaculer dans ma bouche sans avoir besoin de se retirer, ça l'excite … et me le dire l'excite aussi. Sa bite reste comme ça pendant un moment … puis elle se ramollit un peu … 


- On y est bientôt.


J'ai l'impression qu'il s'est mis à rouler un peu plus vite. Et puis, il ralentit, il clignote …


- On y est …


Je sens qu'on tourne … j'entends les pneus crisser sur des graviers … il ralentit encore … et il s'arrête.


- Relève toi un peu … regarde.


Je sors sa bite d'entre mes lèvres et je me redresse. On est … sur une espèce d'aire de pique-nique … il y a trois grosses tables de bois, avec des bancs … ça ressemble à l'endroit où j'avais sucé Philippe, au bord du canal … mais là, on n'est pas au bord d'un canal, on est au bord d'une route … il y a seulement un petit talus qui nous en sépare, avec, de places en places, une haie pas très épaisse … un sourire de fierté sur le visage, Bernard m'observe:

- Ça te va, ici ? Je me suis dit que ça te plairait, comme ça, juste à côté de la route …


Je détache ma ceinture de sécurité, je tends le bras et je prends sa bite: 

- Ouais, ça me va … T'as tout compris, toi, hein …

- Ben ouais … j'ai bien vu, tout à l'heure, avec les deux vieilles à côté de nous … ça t'excitait. Moi, aussi, ça m'a excité. J'avais la trouille, mais ça m'a plu. J'ai jamais fait un truc comme ça avec ma femme … du sexe comme ça, près des gens ou des … ou des voitures … ma femme, elle veut même pas dans notre jardin … pourtant, chez nous, derrière la haie, personne peut nous voir …


Deux voitures se croisent sur la route à côté de nous … on voit parfaitement les conducteurs et les passagers, même à travers les arbustes de la haie qui ont perdu leur feuillage … donc eux aussi doivent nous voir. Je le masturbe doucement. Il regarde ma main aller et venir sur son sexe:

- J'aimerais bien que tu me finisses ici

- Ben oui, d'accord ... je vais te finir ... 

- T'es sûr ? Tu veux bien que je te jute dans la bouche ?

 

Il n'en revient toujours pas.

- Mais oui, je te l'ai dit ... 

- Ça te gêne pas ?

- Mais non, pas du tout ... au contraire ... j'adore ça, le sperme !

- Ah putain ! Je vais te … je vais te … répandre MON SPERME dans la bouche !

- Je vais même l'avaler, ton sperme ...


Je sens que ça l'excite de me dire ce genre de choses. Sa femme, comme beaucoup de femmes, ne doit pas aimer lui tailler une pipe … encore moins avaler … elle ne doit pas non plus aimer l'entendre parler crûment comme ça … alors pour lui, trouver quelqu'un qui prend plaisir à le sucer, qui accepte qu'il lui éjacule dans la bouche et qui va avaler, c'est vraiment le pied. 


- Pas la peine de te retenir, au moment d'éjaculer … j'ai l'habitude et j'aime ça … 


Il sourit, il est aux anges … notre aire de pique-nique se trouve à la sortie d'une  grande courbe … devant nous, la route fait une longue ligne droite et on voit les voitures arriver de loin … qu'elles arrivent d'en face de nous ou du virage derrière nous, elles ralentissent toutes pour négocier la courbe et elles passent lentement devant nous … Bernard regarde dans son rétroviseur latéral celles qu'on entend arriver par derrière … et chaque fois qu'une voiture passe devant nous, il la regarde … et je crois que, ça aussi, cette proximité avec la route et les autres usagers, alors que je suis en train de le branler, ça contribue à l'exciter … il regarde chaque voiture, son conducteur et ses passagers quand il y en a, et quand elle s'éloigne, il baisse les yeux sur son sexe et sur ma main qui le masturbe.


- Dis … ça te plaît, hein, les voitures qui passent à côté de nous pendant que je te branle …

- Ouais, ça me plaît.

- Tu sais … les gens qui passent sur la route, là, en voyant ta voiture garée ici, quand je vais être penché sur ta bite pour la sucer, ils vont sûrement se douter de ce qui se passe … soit que tu te branles, soit que tu te fais sucer …

- Je sais … et ça m'excite …


En effet, ça l'excite … il bande à mort … 


- Tu veux ouvrir ta portière, pour que les gens voient que je te suce ?

- Ma portière ?

- Oui, tu laisses ta portière ouverte, et ceux qui ne passent pas trop vite et qui regardent, ils pourront m'apercevoir …

- Toi, ça te gênerait pas ?

- Non, pas du tout …

- Non, non … quand même … faut pas pousser …

- Comme tu veux … dis, t'as pas un portable, Bernard ?

- Un portable ? Comment ça …

- Ben, un smartphone …

- Ah non … pourquoi ?

- Pour me filmer pendant que je te suce …

- T'aurais voulu que je te filme ? Pendant que tu me suces ?

- Oui. J'aime ça … et ça t'aurait fait un souvenir …

- T'es vraiment dingue … et toi, t'en as pas ?

- Non. J'ai un téléphone portable, mais c'est seulement un téléphone, il ne fait pas de photos ni de vidéos.


Soudain, il se penche en avant et il repousse son caleçon et son pantalon d'abord sur ses genoux, puis sur ses mollets et enfin sur ses chevilles … il se redresse, tend le bras, il me prend par le cou et il m'attire vers son ventre:

- Allez, vas-y, suce-moi, maintenant ! Et finis-moi !


Je me penche et je gobe à nouveau son sexe. Je le sens qui fouille de la main gauche sous son siège, et brusquement, d'une seule poussée sur ses pieds, il recule à fond … puis de la main droite, glissée contre son dossier, il l'incline légèrement, et il écarte largement les cuisses … maintenant, j'ai plus de place entre son ventre et le volant … j'ai aussi plus de place entre ses cuisses pour reprendre ses couilles dans ma main … cette fois, j'irai jusqu'au bout… il ouvre sa vitre et j'entends des voitures passer à côté de nous … je commence à le sucer plutôt doucement … je prends mon temps … son gland a commencé à crachouiller de la mouille … je la sens, un peu acide, sur ma langue … je déguste, je savoure littéralement son sexe … c'est une glace, une sucette, et elle me fait saliver abondamment … et je me remets à gémir doucement … voilà, cette fois, il a posé sa main sur ma nuque … oh la laaaa, c'est dingue … je me sens … à sucer ce type que je viens tout juste de rencontrer, dans sa voiture, sur le bord de cette route, je me sens … À MA PLACE ! Je suis faite pour ça, sucer des mâles ... me faire baiser par des mâles … leur donner du plaisir … être … être à leur disposition … leur offrir, leur DONNER ma bouche, mes lèvres, ma langue et mon cul pour qu'ils se soulagent et n'attendre, pour toute récompense, que le jaillissement de ce précieux nectar, leur semence … 


Les couilles de Bernard au creux de ma main gauche, je lui caresse le ventre de la main droite … Je l'entends qui respire à nouveau par la bouche, ne s'interrompant que pour déglutir bruyamment … par moments, il doit presser sa nuque contre son appuie-tête, sans doute avec les yeux fermés et la bouche grande ouverte, et à d'autres moments, il doit rouvrir les yeux et me regarder le sucer … penché sur son ventre, je ne le vois pas, évidemment, mais c'est aux sons qui me parviennent que je le devine … son sexe frémit dans ma bouche … j'adore ça … il n'est pas seulement chaud et doux sur ma langue, il palpite, il tressaille, il vibre … je le sens vivant, réactif à ma caresse buccale … ça m'excite et ça m'émeut … 


Je bande autant que lui et je sens une tache plus fraîche à l'intérieur de ma cuisse … ma bite, couchée là où mon collant est ouvert, bavouille d'excitation … tel que les choses évoluent, je sens que je vais sûrement jouir sans avoir besoin de me branler, ni même de simplement me toucher la queue … j'ai le gland, les couilles, le périnée et le trou du cul littéralement électrisés … et mon excitation continue de monter en flèche … je crois que, dès que je vais le sentir éjaculer, je vais jouir … par moments, je sors son sexe de ma bouche, je le prends dans ma main gauche, et, tout en le masturbant, je lui lèche les couilles … j'arrive même à les gober, chacune à leur tour et à les faire bouger dans leur bourse entre ma langue et mon palais … je les préférerais glabres, sans poils, mais telles qu'elles sont, ça me gêne à peine … hhhmmmm … c'est un tel plaisir d'avoir là, dans ma bouche, cette couille, cette fabrique de sperme … Bernard aussi se met à gémir … il s'agite sur son siège … il me serre la nuque de plus en plus fort … 


- Oooooooohhhh, attention, ça vient ! Oooh putaiiiin ! Oooh puuuuuuuuutaiiiiin !


Je m'empresse de reprendre son sexe dans ma bouche. Je le sens, lui, qui se redresse, qui se décolle de son dossier et qui se penche au-dessus de moi … j'ai son ventre contre mon oreille … son ventre soudain pris d'un spasme en même temps que sa bite se raidit dans ma bouche et que ses couilles viennent se plaquer contre son périnée …

 

ÇA Y EST, IL VA JOUIR … IL VA ÉJACULER !!! 


Sous ma langue, son urètre se gonfle brusquement … son sperme arrive ! OUIIIIIIIII ! Une vague brûlante jaillit dans ma bouche ! Aaaah, putaiiiiiin ! Je m'entends gémir … c'est tellement booooon ! Sa semence s'insinue sous ma langue, contre ma joue, jusque dans ma gorge … Bernard râle, crie … " Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! Aaaaaaah ! Putain ! Putain ! " … OH OUI ! DU SPERME ! DU SPERME ! DU SPERME ! DU SPERME ! Ce goût, cette saveur si particulière explose dans ma bouche ! Et, à mon tour, c'est mon ventre qui se contracte brusquement … 


je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis !


J'en ai le souffle coupé … ma respiration se bloque et je dois arrêter de pomper Bernard … mais je ne sors pas sa queue de ma bouche … je sens mon propre sperme, chaud, épais, se répandre sur ma cuisse … mon orgasme dure six ou sept secondes avant de se calmer petit à petit … je peux de nouveau respirer par le nez … et je savoure ce que Bernard vient de me lâcher dans la bouche … même si chaque sperme a son goût à lui, ils ont tous cette même base suave, douceâtre, organique, cette consistance visqueuse … hhhhmmm, ces millions de spermatozoïdes qui se répandent dans ma salive à la recherche d'un ovule à féconder, c'est … c'est son patrimoine génétique que ce mec vient de m'envoyer au fond de la gorge ! Normalement, il devrait aller se confondre avec le patrimoine génétique d'une femelle, dans le fond de son ventre, et lui faire un bébé … mais c'est au fond de mon estomac qu'il va se retrouver ! 


Il s'est affalé contre son dossier … je l'entends reprendre son souffle et déglutir bruyamment … il me caresse délicatement l'arrière du crâne:

- Aaaah, putaiiiin ! Le pied, que j'ai pris ! Ils ont raison, ceux qui disent que t'es une bonne suceuse … on m'avait jamais sucé comme ça …


Je lui tète consciencieusement la bite. Il ne débande pas encore. J'ai avalé le plus gros de sa crème, mais je lui presse l'urètre avec mes doigts pour finir de le vider. D'habitude, les mecs que je suce veulent que je sorte leur bite de ma bouche aussitôt qu'ils ont pris leur pied … leur gland, rendu hyper sensible, en devient presque douloureux … mais lui, non … il a l'air de beaucoup apprécier que je garde sa queue au chaud dans ma bouche. Tant mieux, ça me plaît. Et puis je sens sa main glisser de mon crâne vers ma joue … vers mon menton … vers ma bouche … il effleure mes lèvres … mes lèvres et sa verge … tel un aveugle qui explore les choses du bout des doigts, il veut sentir son sexe en érection qui plonge dans ma bouche … et ça lui plaît, parce que sa bite devient un peu plus raide …


- Putain … j'ai ma BITE … DANS TA BOUCHE !


Ben oui, mec … et ça fait même un moment, que t'as ta bite dans ma bouche … Je viens de lui tailler une pipe, il vient de me larguer sa semence dans la gorge, et il dit ça comme s'il réalisait seulement maintenant que sa bite est dans ma bouche ! Je le sens qui glisse maintenant son autre main sous ma figure … et ses autres doigts jusqu'à mes lèvres … il tâte, il palpe, il explore du bout des doigts … un peu mes lèvres, un peu sa verge humide de salive … il glisse même un doigt dans ma bouche, contre sa bite … alors je remonte doucement ma tête, faisant glisser sa verge entre mes lèvres … jusqu'à ce que j'aie son gland juste là, entre mes dents … je le sens&

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Lundi 4 mars 2019 1 04 /03 /Mars /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Dimanche 17 décembre. 9h20


Il fait vraiment frais sur cette plage. J'ai commencé ma balade depuis une vingtaine de minutes. Je porte la tenue que je me suis achetée hier: mini robe moulante, collant épais ouvert à l'entrejambe, guêtres en laine et ballerines … et en haut, une doudoune matelassée avec capuche bordée de fausse fourrure … une grande écharpe pour dissimuler mon visage en cas de rencontre … et dans une poche de ma doudoune, un micro string … ah oui, quelques capotes aussi … au cas où …


Le froid s'insinue jusque sous ma robe et me caresse les fesses … cette robe est déjà très courte, mais au fur et à mesure de ma balade, elle a glissé sur le collant et elle est remontée jusqu'à mes aines … et pour finir, comme le froid sur mon gland et mes couilles me fait bander, ma bite a fini par soulever le bas de la robe … j'adore ça … je me sens bien … 


Quand j'ai passé ces vêtements, ce matin, avant de me mettre en route, l'image de moi que m'a renvoyé le miroir de la salle d'eau m'a surpris … surpris et ravi … ces vêtements me font une allure, une ligne très … féminines … et une silhouette très jeune … alors là, sur cette plage, quand j'ai commencé ma balade, je me suis senti … FILLE ! C'est paradoxal, parce que, en même temps, avec le froid qui me picote un peu le prépuce, j'ai une conscience aiguë de mon sexe … 


Voilà … je me sens bien … je me sens FILLE … et j'ai une bite !


Alors tout ça … ces sensations physiques, ces impressions ... ça a fait remonter plein de choses … en particulier, allez savoir pourquoi, ma toute première expérience avec un mec … un copain … enfin, quand je dis "un mec" … à l'époque, il n'était encore qu'un grand ado … dix sept ans à tout casser … peut-être seulement seize, je ne me souviens plus … ce dont je suis sûr, c'est que j'avais quatre ans de moins que lui … douze ou treize ans, donc … Sous prétexte d'un jeu qui n'était déjà plus de notre âge, il m'avait mis sa bite sous le nez … Oh, j'avais tout de suite plus ou moins deviné où il voulait en venir … il devait vouloir que je le suce … mais j'avais quand même décidé de lui donner satisfaction, trop heureux de prendre son sexe dans ma bouche … et en plus, ému et fier qu'il m'ait choisi, moi, pour assouvir son envie. 

 

Je me souviens avoir pris son sexe dans ma bouche … directement ... et, dans un même mouvement, avoir pris ses couilles dans ma main … Quelle émotion et quelle sensation ! J'avais, pour la première fois de ma vie, le sexe d'un garçon dans ma bouche ! Une découverte bouleversante ! Le sexe de mon copain ! Mon copain, qui voulait que je le suce … mon copain qui voulait que je lui donne du plaisir avec mes lèvres, avec ma langue … Et quel plaisir pour moi ! Ce cylindre de chair … si doux … si tiède dans ma bouche … si vivant, aussi … Tout de suite, j'avais su que je le sucerais jusqu'au bout … je savais que j'allais lui donner tout le plaisir qu'il attendait de cette fellation … je savais que j'allais le faire jouir, le faire éjaculer, et je savais que je le laisserais éjaculer dans ma bouche … j'y étais prêt, j'en avais envie … Et à l'époque, le SIDA n'avait pas encore commencé ses ravages !

 

Sa main sur ma nuque ! Ça, c'était inattendu … je n'avais pas imaginé qu'il ferait ça, et ça m'avait fait un tel effet ! De la part de mon copain, ce geste instinctif était simplement destiné à m'inciter à le sucer, mais tout de suite, il prit pour moi une autre signification … je le ressentis tout à la fois comme un geste de domination, un geste de possession, un geste de gratitude et un geste de tendresse … étrangement, ça me plaisait beaucoup de me soumettre à son désir, d'être en quelque sorte sa chose ... docile, soumise ... et de sentir qu'il m'était reconnaissant de lui donner du plaisir … ça me plaisait et j'en ressentais de la fierté … c'est moi qu'il avait choisi pour lui tailler une pipe !


A posteriori, je pense que l'empreinte de sa main est restée à jamais inscrite sur ma nuque. Quand, plusieurs décennies plus tard, j'ai repris le sexe d'un homme dans ma bouche, j'ai eu envie de sentir à nouveau des doigts m'enserrer le cou.


Mais voilà, dérangés en pleine action, ce jour là, nous n'étions pas allés jusqu'au bout … nous avions dû sortir précipitamment de la maisonnette où nous étions, rouges, échevelés et honteux … et puis, justement à cause de la honte, de notre éducation et de la société d'alors, nous nous étions quittés et nous nous étions perdus de vue … 

 

 

Je sais bien que si ça s'était su, si quelqu'un avait appris ce qui s'était passé, c'est surtout lui qui aurait eu des ennuis … compte tenu de nos âges respectifs, on aurait considéré qu'étant mon aîné, il avait usé de son ascendant sur moi, abusé de ma candeur, on aurait pensé qu'il m'avait forcé, on aurait parlé de viol … pfffff, pas du tout … si je lui avais sucé la bite, ça n'était pas en raison d'un ascendant qu'il aurait eu sur moi ou parce qu'il m'aurait forcé … non, c'est en tout connaissance de cause et tout à fait volontairement que j'avais plongé sous ce drap et pris sa bite dans ma bouche … j'étais consentant et je savais très bien ce que je faisais … je lui avais sucé la bite parce que j'avais envie de lui sucer la bite … 


C'était donc ma toute première expérience avec un mec, et dès cette époque, s'étaient immédiatement manifestés mon goût pour la bite et mon envie de me mettre sexuellement à la disposition d'un mâle … Ce jour là, c'était ce copain là, mais je sais très bien que si ça avait été un autre copain ou n'importe quel mec qui m'avait demandé de le sucer, je l'aurais fait aussi. J'avais éprouvé une véritable ivresse à me montrer comme ça, totalement docile, totalement soumis aux pulsions sexuelles de ce copain … j'avais donc commencé à lui sucer la bite, bien décidé à lui donner tout le plaisir qu'il attendait de moi, bien décidé à lui procurer la jouissance avec mes lèvres et avec ma langue, bien décidé à le faire éjaculer dans ma bouche, et même, bien décidé à avaler sa semence. 


Pour moi, ça allait même au-delà de l'excitation, au-delà du plaisir de la soumission à ce mec … je me sentais HONORÉ ! J'étais sûr qu'il était puceau, comme moi … j'étais sûr que personne n'avait jamais touché son sexe avant moi … que personne ne l'avait caressé, ne l'avait masturbé, et, à plus forte raison, ne lui avait sucé la bite … Et c'était À MOI qu'il faisait l'honneur de le dépuceler, À MOI qu'il confiait la toute première introduction de son sexe dans quelqu'un, À MOI que, pour la première fois, il avait l'intention de confier sa semence ! Alors oui, je m'étais senti HONORÉ … HONORÉ qu'il m'ait fait confiance, HONORÉ qu'il m'ait jugé digne de prendre son sexe dans ma bouche, HONORÉ que ce soit moi qu'il ait choisi pour éjaculer dans quelqu'un pour la première fois … j'espérais me montrer à la hauteur, j'espérais ne pas le décevoir, j'espérais qu'il garderait un souvenir impérissable de cette première fois  …


Ça me plaisait aussi beaucoup de sentir qu'il m'était reconnaissant de lui donner ce plaisir là … ça me plaisait et j'en ressentais de la fierté … c'est MOI qu'il avait choisi pour son premier rapport sexuel ! D'une certaine manière, ce jour là, grâce à mon copain, confusément, je m'étais déjà senti FILLE … pour moi, à l'époque, ce qu'il me faisait faire, "normalement", c'était les filles qui faisaient ça aux garçons … donc, si c'est à moi qu'il faisait sucer sa bite, c'est sans doute parce qu'il me considérait un peu comme une fille … en principe, avec mon orgueil de petit mec, j'aurais dû m'en offusquer, être vexé …  et bien, au contraire … oui, s'il me voyait comme une fille, alors, pour lui, je serais une fille … une fille docile, une fille soumise … déjà une "fille facile" … une suceuse de bite …

 

 

Malheureusement, interrompus par les appels d'une adulte, nous n'étions pas allés jusqu'au bout et nous nous étions quittés, frustrés et honteux au point de ne plus nous voir pendant de longs mois.  


Et il avait fini par reprendre contact ... lui était maintenant un jeune adulte tout juste majeur et j'étais encore un grand adolescent… je devais avoir dix-sept ans et lui vingt et un … je me rappelle parfaitement cette froide journée d'hiver où, pour renouer, il m'avait proposé de l'accompagner au club de voile où il apprenait à naviguer … c'était sur la Marne, assez loin dans la campagne, plus d'une heure de route … c'est évidemment lui qui conduisait et nous restions silencieux, ne sachant ni l'un ni l'autre de quoi parler … en fait, je pensais à ce jour où j'avais commencé à lui sucer la bite … et je crois que lui aussi y pensait, mais je ne savais pas si il avait envie de recommencer ou si il regrettait que nous nous soyons laissés aller, quelques années plus tôt … moi, dans cette voiture, à côté de lui, j'avais une folle envie me pencher sur son ventre, d'ouvrir sa braguette, de sortir son sexe et de le prendre encore dans ma bouche … retrouver le plaisir de sentir sa verge, douce et chaude, sur ma langue … et cette fois, je lui donnerais du plaisir jusqu'au bout, je le ferais jouir et éjaculer dans ma bouche … mais voilà, je n'osais pas le lui dire, j'avais peur qu'il soit passé à autre chose et qu'il me jette … Quoi qu'il en soit, cette fois, il ne m'a rien demandé, ou il n'a pas osé non plus … quand nous sommes arrivés à son club de voile, il était fermé … ben oui, il ne fonctionnait que l'été … je me suis demandé si son invitation n'était pas seulement un prétexte … mais le charme était rompu … nous sommes rentrés … et nous avons commencé nos vies de mecs … de mecs à filles, je veux dire …


Quelques années ont passé ... lui et moi, nous nous fréquentions avec nos compagnes respectives … j'étais en ménage avec Christine et lui avec Christiane … je faisais comme si notre relation homosexuelle avortée était définitivement rangée au rayon des événements à oublier … et puis un jour, j'avais proposé à Christine, ma femme, que nous la baisions ensemble, mon copain et moi … faire une partouze à quatre avec ma femme, la sienne et lui, ça ne m'intéressait pas, mais l'idée de partager Christine avec lui m'excitait beaucoup … être tous les deux DANS Christine, un dans sa chatte et l'autre dans sa bouche … et surtout, le regarder, lui, la baiser … le regarder enfoncer son sexe au fond du vagin de ma femme … le regarder prendre du plaisir en elle … le regarder donner du plaisir à ma femme … les regarder tous les deux, tête bêche, dans un 69 torride, elle lui suçant goulûment la bite pendant qu'il lui fourrerait sa langue dans la chatte … enfin, le voir jouir et éjaculer en elle, au fond de son ventre ou dans sa gorge … lui offrir ma femme comme moi je m'étais donné à lui quelques années auparavant ... mais en fait, sans me l'avouer vraiment, ce qui me motivait, ce n'était pas seulement de lui offrir ma femme à baiser, c'était aussi de me retrouver au lit avec eux deux, et surtout avec lui … Christine, en fait, n'était qu'un moyen de l'attirer dans mon lit… et au fond, j'espérais bien que, dans le feu de l'action, nous ne nous limiterions pas à la baiser, elle, mais que nous en viendrions à nous toucher mutuellement, lui et moi, à nous caresser, à nous masturber réciproquement, à nous sucer, à nous enculer … mais ça n'est pas arrivé … à cette époque, Christine n'était pas prête à ça …


Parmi les signaux qui auraient dû me faire comprendre l'attraction que mon cul exerçait alors sur les mâles, il y avait aussi eu cet épisode apparemment anodin, sur les quais de Seine, un jour où, avec Christine et sa cousine, nous explorions les trésors d'un bouquiniste … à cette époque – nous avions une vingtaine d'années -, nous portions tous les trois des jeans très ajustés, très moulants – ce n'était pas le tissu stretch d'aujourd'hui, mais une toile épaisse et raide - les culs des deux filles étaient vraiment magnifiques, bandants à souhait, et dans la rue, ils attiraient les regards, les sifflets et les remarques graveleuses des mecs … en ce temps là, on était loin de "balance ton porc" et de "me too", et les deux filles appréciaient beaucoup ces démonstrations d'admiration et de désir brut de la part des mâles … moi, de mon côté, je n'étais pas peu fier de me balader avec deux filles aux culs aussi bandants, sur lesquels tous les mâles se retournaient … Bref. Quelle ne fut pas ma surprise – et celle de mes deux copines – quand c'est à moi, et non à elles, qu'un type, en passant derrière nous et profitant que nous lui tournions le dos, plongés dans le coffre du bouquiniste, qu'un type, donc, me mit sa main au cul ! Oui, bien que mon physique, même de dos, ne laisse aucun doute sur le fait que j'étais bel et bien un mec, c'est mon cul qui avait excité cet individu, plutôt que les deux superbes croupes féminines qui l'encadraient ! Sur le coup, j'avais été vexé, virilité oblige … et d'autant plus vexé que Christine et sa cousine, dépitées d'avoir été ainsi négligées par cet individu s'étaient bien foutu de moi. Toutefois, au fond de moi, une petite voix avait fini par me souffler de drôles de choses … des choses troublantes … comme un certain plaisir, comme une certaine fierté … des choses que j'avais soigneusement gardées pour moi …


Oui, si à vingt ans j'avais réalisé l'attrait que je pouvais exercer sur les mecs, si j'avais pu me libérer de mes préjugés de l'époque et franchir le pas comme je l'ai fait il y a seulement quelques mois … oh la la … sans morale et sans peur comme je le suis devenu, "fille facile" comme je le suis devenu, à vingt ans, je pense que j'aurais été une véritable … une véritable nymphomane, une Marie-couche-toi-là, une paillasse … j'aurais passé ma vie sur le dos ou à quatre pattes avec les cuisses écartées et le cul offert … et ce n'est pas par dizaines … et peut-être même pas par centaines, que des mecs m'auraient alors baisé, mais pourquoi pas par milliers ! Jour après jour, mois après mois, année après année, je me serais fait passer dessus par tous ceux qui auraient eu besoin ou envie de se vider les couilles ! Viande à bites en libre-service … ça aurait été vertigineux !


Les bites ! D'ailleurs, c'est vrai … une bite, j'en ai une … et en fait, j'en suis très heureux ! A ce jeu des "si" … "si j'avais fait ci", "si j'avais fait ça", "si j'avais osé" … jamais je ne me suis dit "et si je n'avais pas une bite", "si j'avais été une vraie fille". Non … me faire baiser en tant que mec, et même en tant que tafiolle, ça me va très bien … d'une certaine manière, c'est même un certain motif de fierté … me dire que j'attire les mâles autant, et peut-être plus, que si j'étais une vraie femelle …  et me dire que je les attire plus que certaines vraies femelles, pour moi, c'est très gratifiant … Cela dit, je dois reconnaître que, d'un certain point de vue, j'envie quand même les vraies femelles … elles sont dotées de trois orifices qui leur permettent d'accueillir simultanément trois sexes de mâles. Avoir trois bites en moi … trois sexes, raides de désir, qui prennent du plaisir dans la soyeuse tiédeur de mes chairs … trois sexes qui finissent par larguer leurs charges de semence au fond de moi … putain, quel fantasme ! 


Mais d'un autre côté, j'aime tellement que le type qui s'apprête à me posséder, le fasse en sachant que c'est bien un mec qu'il va baiser. C'est en partie pour ça que j'aime tellement me faire prendre en levrette à quatre pattes ou étendu sur le dos sur une table, cuisses grandes ouvertes … ma bite et mes couilles sont alors bien en évidence, et c'est sans ambiguïté un mec, un garçon, une tapette, que cet amant de l'instant va saillir … Et puis j'aime aussi beaucoup les jouissances que me procure ma propre bite … la masturbation, l'éjaculation … et même, simplement l'érection … et aussi sentir ma queue et mes couilles ballotter sous moi quand un mec me secoue à grands coups de reins … Le rêve, finalement, ce serait d'être hermaphrodite, un être mi-femme mi-homme, doté à la fois d'un vagin, d'un clitoris, et d'un appareil génital masculin en état de marche …


Pour le moment, sur cette plage, c'est entre mes cuisses que ma queue ballotte … perdu dans mes pensées, sans vraiment m'en rendre compte, j'ai adopté un rythme de marche assez rapide … j'ai parcouru près de la moitié de la plage … j'ai arrêté de me tripoter, mais je suis toujours en érection … la marche m'a réchauffé, et sous ma robe, je sens d'autant mieux le froid là où mon collant est ouvert … le haut de mes cuisses et mes fesses … petit à petit, sous l'effet de la marche, le bas de ma robe est encore remonté … il est maintenant arrivé au dessus de mes aines, et j'ai maintenant la bite et les couilles carrément à l'air … délicieuse sensation … je pense même que le haut de mes cuisses et mes fesses, non couverts par mon collant, sont déjà plus ou moins visibles … mais il n'y a toujours que moi sur cette plage … je pourrais tirer sur ma robe pour la faire redescendre, mais je vais la laisser comme ça … Putain, ce que j'aimerais pouvoir circuler comme ça partout … en ville, en faisant mes courses … partout … 


D'un seul coup, à une cinquantaine de mètres, sur le petit cordon de sable et de galets qui borde la plage, un couple surgit.  Ils sont tous les deux emmitouflés, mais, à leur allure, je leur donne quarante-cinq ou cinquante ans. Les voilà sur la plage … bras dessus, bras dessous, ils viennent dans ma direction … alors, par réflexe, je tire sur le bas de ma robe et je la redescends à mi cuisses … Je pense qu'ils n'ont pas remarqué mon geste … mais je continue de bander et ma bite fait maintenant une grosse bosse sous la toile de la robe … vu la trajectoire du couple et la mienne, nous allons nous croiser à quelques mètres de distance et ils ne pourront pas manquer de repérer ma bite qui tend le tissu. En d'autres circonstances, je serais resté comme ça, histoire de voir comment ces gens-là réagiraient, mais là, je ne sais pas pourquoi, me voilà pris d'une espèce de panique … et je n'ai rien pour dissimuler cette érection … ma doudoune est trop courte … ah si, mon cache-nez … il est peut-être assez long pour que je le laisse pendre jusque devant ma bite … rapidement, je l'enlève d'autour de mon cou et, gardant une extrémité plaquée devant ma bouche comme pour me protéger du froid, je laisse l'autre bout pendre devant mon ventre … oui, ça va, il descend suffisamment bas … ça va peut-être leur paraître bizarre, à ces gens, que je laisse pendre mon écharpe comme ça, mais je n'ai pas le choix … Voilà … ils ne sont plus qu'à dix mètres … sept mètres … cinq … trois …


Ouais, c'est ça … ils ont la cinquantaine … ils me regardent avec insistance … ma présence ici, si tôt un dimanche matin et en cette saison, doit les intriguer … 


- Bonjour …

- Bonjour …


Ils m'ont souri au moment où on s'est croisés … ils sont à peine à quelques mètres derrière moi, quand j'entends " T'as vu ? Qu'est-ce qu'elle est grande, cette fille ! ". J'ai même perçu une intonation d'admiration. Ouaaaaaaahhh ! Putain, ils me prennent vraiment pour une fille ! J'en ai le cœur qui bat. J'adore ! Alors, ça me confirme ma propre impression … je n'étais pas vraiment sûr, je me disais que j'étais subjectif … 


Je m'arrête et je me retourne. Ils ont fait pareil. Ils se sont arrêtés, ils se sont retournés … et ils me regardent … sans aucune gêne ! Instantanément, me voilà parti dans des délires ... j'ai brusquement envie de les rejoindre et de leur montrer ce que c'est, en réalité, cette fille … oui, ce couple, c'est peut-être … c'est peut-être un couple libertin … peut-être que … peut-être que si je leur propose de tailler un pipe à l'homme … Et puis la femme me fait un petit signe de la main et elle repart, entraînant son compagnon. Je les entends qui parlent, mais, à cette distance, je ne saisis pas ce qu'ils disent … Non, je ne vais pas faire ça … autant ça m'est arrivé d'y aller franchement avec certains mecs, autant, ce matin, je manque d'assurance … comme hier soir, à Pors-an-Enez, où je n'ai pas osé aborder les mecs dans ce café … l'autre connard de gendarme, si j'ai osé, c'est parce que je me disais qu'il était peut-être demandeur … mais là … je me contente de faire un peu glisser ma robe vers le haut, et je redémarre … Pendant ma rencontre avec ce couple, j'ai légèrement débandé, mais, la bite de nouveau exposée à l'air froid, ça ne tarde pas à revenir


Rapidement, je suis au bout de la plage … faire demi-tour ou m'engager sur le sentier côtier ? 


Allez, le sentier … il grimpe sur la pointe rocheuse qui limite la plage de ce côté.


Je ne tarde pas à regretter. C'est sûrement très agréable de se balader ici avec des chaussures de randonnée, mais pas avec mes ballerines … elles ne me tiennent évidemment pas la cheville, et sur ce chemin plein de trous, de bosses et de cailloux qui dépassent, je dois me concentrer sur chaque pas … de plus, la semelle de mes ballerines est lisse et, par endroits, je glisse … soit je vais me casser la gueule, soit je vais me faire une entorse … si je me blesse, j'imagine la tête des pompiers ou du médecin quand ils vont me prendre en charge … tant bien que mal, je progresse quand même et je finis par découvrir, au-delà de la pointe rocheuse, une large crique bordée d'une petite plage … plus loin, le sentier n'a pas l'air d'être en meilleur état … et au moment où je me décide à faire demi-tour, je découvre un autre sentier qui monte sur la droite … et là-haut, par-dessus une haie, on distingue les ardoises d'un toit … si il y a une maison, il doit y avoir une route d'accès sans doute plus praticable … je m'engage sur l'étroit sentier … putain, ce que la pente est raide !


En effet, c'est une maison isolée desservie par un simple chemin de terre gravillonné Ça doit être une résidence secondaire. Et elle semble inoccupée: les volets sont fermés, une chaîne avec cadenas enserre les deux battants du portail en PVC et de hautes herbes envahissent l'allée qui conduit à la porte du garage. Et si je …


Je jette un coup d'œil autour de moi …  pas d'autre maison aux alentours, pas âme qui vive à l'horizon … je m'approche du portail … il n'est pas très haut, à peine quatre vingt centimètres … j'entreprends de l'enjamber … et alors que je me trouve avec une jambe de chaque côté de cette barrière, ma bite effleure la traverse supérieure, couverte de rosée … hhhmmmmm … c'est froid, c'est mouillé … j'adore ! Alors, plutôt que de finir d'entrer dans cette propriété, je reste là, à cheval sur ce portail, et je commence à me frotter la bite, les couilles et la raie du cul sur le PVC froid et humide … c'est le genre de chose que je faisais régulièrement, avant … avant que toute ma sexualité soit entièrement vouée aux mecs … j'adorais m'adonner à ce genre de pratique solitaire. Je me frotte comme ça pendant quelques minutes, et je finis d'entrer dans la propriété, la bite raide.


Je contourne la maison et me voilà sur l'arrière. Il y a une grande terrasse surplombant la pente du coteau que je viens d'escalader par le chemin, de l'autre côté de la haie … ça fait comme un belvédère donnant sur la crique que j'ai aperçue depuis le sentier côtier… du côté qui donne sur la pente, la terrasse est bordée par un garde-corps … une double rangée de câble métallique supportée par des piliers en acier inox. Quelle vue on a d'ici ! La baie, la crique, la plage et plus loin la côte rocheuse avec des falaises … pas une maison, pas une route … seulement une lande de fougères, de ronces et d'ajoncs parsemée de bosquets de pins … la nature sauvage … la nature seulement perturbée par le sentier côtier que je parcourais tout à l'heure et que je devine zigzaguant au sommet de la falaise. 


Il m'est souvent arrivé de m'introduire clandestinement dans ce genre d'endroit pour des séances de shooting de photos "hot". C'est con, j'aurais dû emmener mon appareil photos et son trépied quand je suis parti de Seine-et-Marne, l'autre jour. Mais je n'étais pas dans de telles dispositions d'esprit, à ce moment là. 


De ce côté de la maison, les volets de deux fenêtres et d'une grande porte-fenêtre sont aussi fermés. Rangé contre le mur, sous une des fenêtres, un salon de jardin … une table et quelques chaises empilées, emboîtées les unes dans les autres. A défaut de faire des photos, j'ai bien envie de … Je dégage une des chaises et je l'amène à proximité du garde-corps. Je m'assieds face à la crique et je pose mes chevilles sur le filin d'acier du bas … la robe retroussée sur mon ventre et les cuisses écartées, je commence à me tripoter la bite … j'ai légèrement débandé, mais ça revient assez vite … hhhmmm, ça me plaît beaucoup de me masturber ici, dans cette fraîcheur matinale, face à la mer, face à la nature, devant ce spectacle grandiose … 


Et puis un mouvement attire mon attention … c'est pile entre mes genoux ... mais loin là-bas, au bout de la pointe rocheuse qui borde la crique, une tête apparaît … à cette distance … ah non … deux têtes … à cette distance, je ne vois pas s'il s'agit d'hommes ou de femmes, de vieux ou de jeunes … ces deux … "personnes" cheminent lentement dans ma direction sur le sentier côtier. Je ne sais pas d'où elles arrivent, mais elles sont aussi matinales que moi. Je ne pense pas que, de leur côté, elles me voient … elle voient sans doute la maison derrière moi, oui, puisqu'elle domine la crique, mais moi, je suis encore trop loin … si elles continuent de suivre le sentier, je vais les voir de mieux en mieux et, pour peu qu'elles lèvent les yeux vers cette terrasse, elles vont sans doute finir par me voir aussi …


Putain, c'est excitant ! Dans l'alignement de ma main droite, qui s'active sur ma bite, ces randonneurs qui approchent … Hé, les gens, regardez ! Levez les yeux ! Vous verrez une salope en train de se branler, avec les cuisses grandes ouvertes … Oh la la, ça m'excite ! Tout en me masturbant de la main droite, je me pétris doucement les couilles de la main gauche … je suis tellement excité que je suis rapidement au bord de l'éjaculation … je suis obligé de ralentir un peu … les gens, là, j'ai envie de les laisser approcher encore, avant de lâcher ma crème … 


- MAIS !!! QU'EST-CE QUE VOUS FAITES LÀ ?


Ça a éclaté derrière moi, immédiatement suivi d'un claquement sec ! Je descends précipitamment mes pieds du garde-corps, je rabats ma robe sur mes cuisses, et je tourne la tête … Il y a un type dans l'encadrement de la porte-fenêtre ! Et le claquement qui a suivi sa question, c'est celui du volet qu'il vient de flanquer contre le mur en l'ouvrant … Je me lève brusquement, envoyant valser la chaise sur laquelle j'étais assis … j'ai le cœur qui bat la chamade … Le type paraît aussi surpris que moi … la grosse quarantaine, pas très grand, cheveux courts poivre et sel, il porte une espèce de coupe-vent rouge … la main sur le deuxième volet à moitié ouvert, il ne sait pas quoi faire … je crois qu'il a un peu peur … il a été surpris, et maintenant que je suis debout, il doit se rendre compte que je fais une bonne tête de plus que lui et que, en dépit de mon apparence féminine, j'ai l'air d'être costaud … enfin … costaude.


- Hein ? Qu'est-ce que vous faites là ?


Je ne prends pas la peine de lui répondre … pour lui dire quoi, d'ailleurs … que j'étais en train de me branler ? Je fonce en direction du côté de la maison …


- Héééé ! Attendez !


Le petit portail est maintenant ouvert, et une voiture est garée devant, une vieille 205 blanche, pleine de taches de rouille … c'est donc que ce type n'était pas encore dans la maison quand je suis entré ... c'est ce que j'ai cru, tout d'abord ... mais il vient seulement d'arriver et je n'ai pas entendu le bruit de son moteur … je m'empresse de sortir du jardin … j'hésite … je repars par où je suis arrivé et je regagne le sentier côtier, ou je m'engage sur le chemin de terre qui dessert cette maison ? Allez, le chemin de terre … il est mieux entretenu, et pour courir si ça s'avérait nécessaire, c'est préférable. Je ralentis un peu … apparemment, le type ne m'a pas suivi. Ouuuufff, ça va mieux ! Il m'a fait peur ce con !


Le chemin descend plus ou moins en direction de l'extrémité de la grande plage où j'ai marché tout à l'heure. Il doit bien aboutir à une route goudronnée. De temps en temps, je jette un coup d'œil derrière moi, pour vérifier que le type ne me suit pas, mais avec les virages que fait ce chemin et les bouquets de prunelliers et d'ajoncs qui le bordent, je ne vois plus ni la maison ni la haie qui l'entoure. Finalement, maintenant, ça me fait plutôt marrer de m'être fait surprendre comme ça … Ça doit être le propriétaire qui arrivait pour les vacances de fin d'année. 


Ça fait trois ou quatre minutes que je marche quand j'entends, derrière moi, le crissements de pneus sur les graviers du chemin .. je me retourne … c'est la 205 du type … je jette un coup d'œil autour de moi … le chemin est bordé par des haies de pruneliers et de ronces, pas moyen de m'échapper … et puis, de toute façon, il m'a vu … alors je continue … Qu'est-ce qu'il peut faire ? Je n'ai rien cassé, je n'ai rien volé … il m'a surpris chez lui, c'est tout … il ne va pas appeler les flics pour ça. J'entends sa voiture qui approche au ralenti … il a l'intention de … je sais pas quoi … en tout cas, pas de me dépasser et de s'en aller … il a ralenti et il roule doucement derrière moi … il va bientôt me rattraper … je marche sur le côté gauche du chemin, à la limite de la bande gravillonnée et du bas-côté herbeux.


Voilà, il est à côté de moi … il roule à gauche sur chemin pour être le plus près de moi qu'il peut … j'ai enroulé mon écharpe autour de mon cou et caché mon visage … je jette un coup d'œil vers lui … il a baissé sa vitre …


- Attendez, mademoiselle … je vous veux pas de mal … j'ai été surpris, c'est tout … c'est normal, hein … je viens ouvrir la maison avant l'arrivée des propriétaires et je vous trouve là … j'ai bien vu … vous faisiez rien de mal …

- …


Ah oui, c'est pas le propriétaire. Ça doit être un voisin qui a les clefs. Ça change rien. Je continue de marcher … il roule tellement près de moi que je suis obligé de monter sur le bas-côté herbeux trempé de rosée … maintenant, il appuie son bras, replié, sur sa portière …


- J'espère que je vous fais pas peur, quand même … y'a pas de quoi, vous savez … j'ai jamais fait de mal à une femme … surtout à une jolie femme comme vous …


Aaaaah, OK ! Ça commence … il a un peu ralenti, il s'est laissé légèrement distancer, et maintenant j'ai l'aile avant de sa voiture juste à côté de moi … tout en avançant, je continue de jeter de rapides coups d'œil en arrière … D'accord ! Je comprends … il s'est laissé un peu distancer pour pouvoir mater mon cul !


- Vous savez … je vous trouve vraiment très mignonne … votre robe vous va comme un gant …

- …

- Vous voulez pas me répondre ? 

- … 

- Vous n'avez pas froid ? Vous pouvez monter avec moi … vous seriez mieux que dehors … j'ai du chauffage, vous savez …


Brusquement, je m'arrête et je me tourne vers lui. Il pile … juste à ma hauteur. Il lève les yeux sur moi … il est surpris que je me sois arrêté, mais il doit se dire que, si je m'arrête, c'est que c'est bon, que je vais monter avec lui ou je ne sais quoi. Avec un large sourire, il répète:

- Alors ? Vous voulez monter avec moi ?


De la main gauche je dégage mon écharpe de devant ma bouche, et de la droite, je soulève le bas de ma robe et je lui lance:

- C'est ça que tu veux ?


Sa mâchoire inférieure s'affaisse, ses yeux s'arrondissent. Il 'en revient pas … il draguait une fille, et il se retrouve avec une bite à hauteur des yeux. J'ai saisi ma bite et je la lui montre.


- Ah meeeerde ! T'es … t'es un homme ?


A ma gueule, à ma voix et à ma bite, il découvre que je ne suis pas exactement le genre de "demoiselle" qu'il pensait. La demoiselle, il la vouvoyait … le mec, le travelo, il le tutoie. Je lui agite ma bite sous le nez:

- Alors … c'est ça que tu veux ?


Il est interloqué … et puis il se reprend, et:

- Ah putain, ça va pas, non ? Ah, la vaaaaache !


Il enclenche la première et il démarre … moins de dix secondes plus tard, il a disparu dans un virage. Il aurait vu le diable, ça lui aurait fait le même effet. Au moins, il va me foutre la paix, maintenant. Je redémarre à mon tour. 


J'ai fait à peine deux cents mètres quand, après un virage, je découvre la 205, garée un peu plus loin, sur le bas-côté droit du chemin. Allons bon, qu'est-ce qu'il veut, maintenant ? Il a dû réfléchir. Je continue. Il me regarde approcher … je vois sa tronche dans son rétroviseur latéral. Maintenant, je n'ai plus besoin de dissimuler mon visage. Le coude toujours posé sur la portière, il m'attend. Marchant sur la gauche du chemin, je passe devant lui. 


- Dites … euh ... je peux vous demander quelque chose ?


Je m'arrête et je me tourne vers lui:

- Qu'est-ce que tu veux ?

- Ben … approchez … vous n'avez rien à craindre, hein …


Tiens, il a repris le vouvoiement. C'est vrai ... vu ses réactions, je pense que je n'ai rien à craindre, il a l'air d'être un peu trouillard. Alors autant que je prenne l'ascendant sur lui. J'approche. Il lève les yeux sur moi avec un sourire un peu con … je crois qu'il n'est pas vraiment rassuré … il évite soigneusement de poser les yeux sur le bas de ma robe … il doit avoir peur que je lui sorte encore ma bite.


- Alors ? Qu'est-ce que tu veux ?

- Ben … je voulais savoir … vous êtes pas obligé de me répondre, hein … 

- Bon, vas-y, accouche …

- Vous êtes un … un travesti ?

- On peut dire ça comme ça …

- Mais … vous faites ça … vous êtes tout le temps comme ça, en … en travesti ?

- Non. De temps en temps, seulement …

- Ah bon … et … et vous mettez pas de … vous mettez pas de culotte ?

- Ça se voit, non ?


Je me suis appuyé d'une main sur le toit de sa voiture et je me penche vers lui. Il a ôté son bras de la portière et il s'est un peu reculé sur son siège. Il a peur que je le touche. Et là, d'un seul coup, à voir ce type assis dans sa voiture, et moi au-dessus de lui … il suffirait que je tende le bras … je pourrais lui toucher la bite … je pourrais même le branler … c'est vrai que notre première prise de contact, là-haut, dans cette propriété, a été un peu chaotique, mais maintenant … si ça se trouve, ma bite ne lui fait pas si peur que ça … peut-être que je pourrais … peut-être que je pourrais m'occuper de la sienne, de bite … Pendant que je partais dans mon délire, il a poursuivi: 

- Et j'ai vu votre … votre collant, il est … il est ouvert … c'est pour faire quoi ?

- T'es vraiment curieux, toi …

- Ben … c'est la première fois que … que j'ai affaire à un travesti, alors ça m'intrigue. Mais, si ça vous gêne, vous êtes pas obligé de me répondre, hein …

- Ça me gêne pas … D'habitude, je ne mets pas de collant … et je ne mets pas de culotte non plus, d'ailleurs, mais là, il fait froid, alors il a bien fallu que je mette quelque chose un peu chaud … et c'est un collant ouvert parce que j'aime bien avoir le cul et la bite à l'air sous ma robe … 

- Ah, d'accord …

- Dis, tu m'as proposé de monter avec toi, tout à l'heure … ça tient toujours, ta proposition ?

- Euh …


Dilemme. Il n'est pas rassuré, mais c'est lui qui me l'a proposé, tout à l'heure, et c'est lui qui a ré-engagé la conversation. 


- Tu sais, t'as rien à craindre, je n'ai jamais fait de mal à un homme …


Je lui ressers ce qu'il m'a dit tout à l'heure, quand il croyait que j'étais une femme. Alors, un peu à regret, il opine du chef:

- Oui … bon … d'accord …


Il se penche vers sa portière de droite et il la déverrouille. Je fais le tour de la voiture, j'ouvre et je monte … Il s'est installé aussi loin de moi que possible, le dos dans l'angle que fait son dossier avec sa portière … il me regarde m'asseoir … je me rends tout de suite compte que, le temps que je prenne place, l'air de rien, il regarde surtout le bas de ma robe … il doit essayer de voir ma bite … dès que je suis assis, il relève les yeux à toute vitesse … de mon côté, je m'assieds comme lui, le dos dans l'angle de la portière et du dossier, et tourné vers lui … et je remonte ma jambe gauche à plat et repliée sur mon siège … tu veux voir ma bite ? Tiens, regarde ! Me voilà avec les cuisses largement écartées, alors, forcément, ma jupe remonte à l'angle de mon bas ventre, et je lui dévoile ma bite et mes couilles … j'adore faire ça … il n'ose pas regarder ce que je lui montre … il me dévisage et il déglutit bruyamment … j'enlève ma capuche et je soulève carrément le bas de ma robe:

- Regarde, c'est un collant du commerce, hein … il est vendu comme ça, ouvert … tu sais à quoi ça sert, qu'il soit ouvert ? A part pour avoir les fesses et la bite à l'air … 


Là, il ne peut pas faire autrement que jeter un rapide coup d'œil. Il déglutit encore:

- Oui, je me doute. C'est un collant exprès pour les … pour les travestis ?

- Ah non, pas du tout ! C'est un collant pour femme … pour celles qui veulent avoir le cul et la foufoune à l'air … et surtout, qui veulent pouvoir se faire sauter sans ôter leur collant … la robe aussi, d'ailleurs, c'est vraiment une robe pour femme … elle est bien, hein, la robe …


Je me caresse doucement les hanches.


- Ou … oui, elle est bien …

- Elle me fait un beau cul, je trouve …

- …

- T'es pas d'accord ?

- Si, si, je suis d'accord … mais … mais pourquoi vous … pourquoi vous vous habillez en femme ?

- J'aime bien … je me sens bien comme ça … je les envie, les femmes, de pouvoir se balader comme ça … on se sent mieux que dans des vêtements d'homme … en été, les femmes peuvent être carrément à poil sous leur robe ou sous leur jupe …

- Ah bon … c'est seulement pour ressembler à une femme, alors …

- Oui, il y a déjà ça … et c'est pas mal réussi, non ?

- Comment ça …

- Ben … tout à l'heure, tu m'as effectivement pris pour une femme, non ?

- Ah oui …

- Et je suis sûr que c'est mon cul qui t'a plu … exact ?

- …


Il sourit avec son air con et il pique un fard. Je poursuis:

- Mais j'ai pas seulement ENVIE de ressembler à une femme … ce que j'aime bien aussi, c'est FAIRE la femme …

- FAIRE la femme ?

- Oui, FAIRE la femme avec les hommes …


Il écarquille les yeux. Alors je précise:

- Faire ce que les femmes font avec les hommes … le SEXE !


Je commence à avoir chaud … sans doute les effets de la marche … je descends le zip de ma doudoune et j'écarte les deux pans. Il roule des yeux ronds.


- Ça te dirait ?

- Pardon ? ! ? !

- Le SEXE … avec moi … ça te dirait ?

- Mais … NON !

- Oh ! Arrête ! Tout à l'heure, mon cul, il t'intéressait … ne dis pas le contraire … c'est pour ça que tu t'es arrêté à côté de moi …

- Oui, mais je croyais que vous étiez une femme …

- Et alors … un cul, c'est un cul …

- Oui, mais je fais pas ça avec un … avec un … homme …

- J'ai des capotes, tu sais …

- Oui, mais même avec une capote, je …

- Et seulement te faire sucer, ça te dit ?

- … me … me faire sucer ?


Yesssss ! Pour ça, il hésite … Si vraiment ça le répugnait, il aurait dit non tout de suite … Il ne faut pas le laisser réfléchir, trouver des arguments, s'enferrer dans un refus sur lequel il n'oserait pas revenir … alors, sans le prévenir, je m'avance vers lui, je me penche, et je lui plaque la main sur l'entrejambe:

- Oui, te faire sucer … je suis une bonne suceuse, tu sais … tous ceux qui m'ont essayé le disent … tu regretteras pas …


Il voudrait bien reculer pour échapper à ma main, mais il est coincé contre sa portière … il pourrait repousser ma main, mais non … il écarte les bras, le gauche appuyé sur la portière, le droit sur le dossier de son siège … c'est qu'il veut bien que je le tripote … je commence à lui pétrir le paquet … je sens sa bite sous mes doigts …

- Laisse toi faire … une bouche de travesti ou une bouche de femme, c'est pareil … et moi, ma bouche, dans son domaine, c'est une experte …


Comme il ne réagit pas, je m'avance encore un peu, jusque à avoir mon genou sur son siège, et je soulève le bas de son coupe-vent … cette fois, c'est bon, il regarde ma main, et il me laisse faire … ce mec là, maintenant, c'est sûr, je vais le sucer … il a une ceinture … je la déboucle et j'entreprends de déboutonner son pantalon … mais il est trop serré, son ventre fait un bourrelet qui me gêne.


- Avance toi un peu, je n'y arrive pas comme ça …


Il respire fort ... il doit avoir le cœur qui bat ... docilement, il glisse un peu son bassin en avant … et, de lui-même, il descend le zip de son coupe-vent … pas de doute, il en a envie … dessous, il porte une chemise écossaise rouge à motifs jaune-orangé … comme ça, ça va … je détache le bouton, j'ouvre sa braguette, j'écarte les deux pans du pantalon, je soulève la ceinture de son caleçon et je glisse ma main à l'intérieur … oh, la laaaa, encore une bite dans ma main ! Je la sens sous mes doigts … elle est un peu repliée, la tête en bas … délicatement, je la redresse … elle est douce, elle est chaude, elle est un peu moite …

 

 

Quelle merveille, une bite ! C'est vraiment un truc incroyable ! C'est l'organe qui peut donner le plus de plaisir à un homme … les mecs sont prêts à tout pour pouvoir l'introduire dans quelqu'un ou simplement pour qu'on s'occupe de leur bite … ils peuvent enfreindre les lois, braver les règles sociales, la morale, la pudeur pour parvenir à leurs fins ... jouir et éjaculer … on dit " mener quelqu'un par le bout du nez ", mais on devrait dire " mener quelqu'un par le bout de la bite " … certains sont capables de forcer, de contraindre, de brutaliser quelqu'un pour y introduire leur bite … et moi, une bite, n'importe quelle bite, ça me trouble, ça m'émeut, ça m'attendrit, ça me fait fondre … une bite, j'ai envie de la câliner, de lui faire des bisous, de la cajoler … mais surtout, j'ai envie de lui procurer un orgasme, j'ai envie de la faire jouir …


Je le regarde … il a les yeux braqués sur ma main qu'il regarde bouger dans son caleçon … du bout des doigts, j'explore sa verge et son gland … il commence à bander … j'ai l'impression qu'il a un prépuce très long … je descends mes doigts vers ses couilles … elles sont coincées dans une touffe de poils apparemment pas très épaisse, au fond de son caleçon, entre ses cuisses … je sors ma main, et:

- Soulève tes fesses …


Il obtempère docilement. Je saisis les côtés de son pantalon, et j'essaie de le descendre sur ses cuisses. Mais ça résiste … alors, sans que j'aie besoin de lui demander, il s'en charge … voilà, il a le ventre à l'air …  j'aperçois ses couilles sous sa bite … je glisse mes doigts entre ses cuisses et je remonte délicatement ses boules … Je m'avance encore un peu … j'ai maintenant mon genou contre sa cuisse et mon épaule pratiquement contre lui … je lui caresse la verge et le gland en le regardant … il bande de plus en plus … il me regarde aussi … je lui souris … il me sourit …


- Je vais te tailler une pipe.

- Bon … d'accord.

- Je vais te faire jouir dans ma bouche …

- Ah bon ? Tu veux pas que …

- Non, je veux pas … je veux que tu jouisses dans ma bouche … laisse-toi faire …

- D'accord, alors …


Je change de position … je me mets à genoux sur mon siège et je me penche sur son ventre … je prends son sexe dans la main droite et je le soulève … en effet, son prépuce est très long … bien qu'il bande, au bout de son gland, il reste à peu près deux centimètres de ce manteau de peau, un peu flasque … je n'ai jamais vu un prépuce aussi long … ça doit être très agréable à sucer … ça me plaît beaucoup … je commence à saliver … un réflexe … comme quand je me trouve devant une sucrerie … je vais commencer à le sucer comme ça, sans le décalotter … je pose mes lèvres sur son ventre et je glisse ma main gauche sous sa chemise … tout en lui caressant les abdominaux, je pose des baisers sur son bas ventre … je le sens frissonner … hhhhmmmm, dans un instant, je vais avoir, une fois de plus, le sexe d'un homme dans ma bouche ... et une fois encore, le sexe d'un inconnu ! Ce sera ma première bite ici, en Bretagne ! 


Oh putain, j'en aurais sucé, des bites ! C'est tellement facile, finalement … je commence à être convaincu que tous les mecs sont prêts à se faire sucer, y compris par un autre mec, pour peu qu'on y mette un peu de conviction … oh, quelques uns font bien un peu des manières au début, mais ils finissent tous par y venir … Lui, par exemple, il ne m'aura pas fallu dix minutes pour avoir sa queue dans la bouche. J'approche mes lèvres de la base de sa bite, que je maintiens à la verticale … je sors ma langue au milieu de sa touffe de poils pubiens, et je lui lèche la verge depuis le bas jusque sous la bosse de son gland … et je tourne ma langue tout autour de son gland …

 

 

Oh la laaaa, ça me rend folle ! Ce type, je vais le sucer longuement … je veux faire durer le plaisir … le sien et le mien … il faut que je fasse attention de ne pas le faire jouir trop vite … je veux avoir sa bite longtemps dans ma bouche … j'aime tellement ça … voilà, je le prends dans ma bouche … il aspire une grande bouffée d'air … ça leur fait presque tous ça … son gland juste à l'entrée de ma bouche, je joue un peu avec lui du bout de ma langue … oh ce que c'est booooon ! Cette consistance caoutchouteuse, cette douceur, cette tiédeur sur ma langue, contre mon palais … pour moi, c'est devenu un plaisir du même ordre que … que la dégustation gourmande d'une nourriture … je salive de plus en plus … même le goût de cette bite me plaît … elle sent un peu le savon ou le gel douche … c'est légèrement sucré … miel ou vanille … elle sent aussi un tout petit peu l'urine, mais j'aime bien … alors, c'est pratiquement un réflexe … je l'enfonce dans ma bouche … hhhmmmm, son gland qui progresse, coincé entre ma langue et mon palais … jusque dans ma gorge ! Je sens … je sens son prépuce qui bute contre mes amygdales … j'aime d'autant plus ça que, maintenant, je sais que je suis à l'abri d'un haut-le-cœur … je sens ma salive qui déborde et s'écoule dans ses poils pubiens par la commissure de mes lèvres … 

 

à suivre

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mardi 12 février 2019 2 12 /02 /Fév /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans le vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


 

Samedi 16 décembre. 21h45


- Au fait, tu veux boire quelque chose ?

- Bah … pourquoi pas …

- Coca ? Jus de fruit ? Whisky ?

- Jus de fruit, alors.

- Bon. Je vais te chercher ça … c'est dans le frigo de la cuisine … Je te mets la vidéo suivante ?

- Si vous … si tu veux … mais tu sais, j'ai compris comment il faut faire.

- Ok. Ben vas-y, alors. Je reviens …


Ça y est ! Le capitaine de gendarmerie qui m'a interrogé ce matin à la brigade est là, dans ma chambre, depuis une bonne demie heure, et il a commencé à regarder les vidéos de mon gangbang chez Jean-Claude. Je me demande encore pourquoi il a voulu les voir. Il a prétendu que c'était à titre privé, mais j'ai encore un doute. Si ça se trouve, c'est en tant que gendarme qu'il a voulu vérifier si ce que je lui ai raconté ce matin est vrai … et pour m'amadouer, il a présenté ça comme une requête personnelle. 


Admettons. Mais je n'arrive pas à savoir si ça l'excite, de visionner mes vidéos de cul. Il ne manifeste rien … il pose des questions, mais à son comportement, je suis incapable de dire si ça lui plaît, si il bande, si ça lui donne des envies … peut-être qu'il n'ose pas … peut-être qu'il craint que je me serve de ça pour … je sais pas … en tirer un avantage …


Pourtant, j'essaie de le mettre à l'aise … ou plutôt, de le mettre dans l'ambiance … dans l'ambiance "sexe", et de lui faire comprendre qu'il n'a pas à se gêner. Pour commencer, j'ai mis le jean stretch hyper moulant que j'ai acheté ce matin … évidemment avec rien dessous, si ce n'est un cockring qui m'enserre le paquet sous les couilles et le met en évidence. Tout à l'heure, quand je lui ai ouvert la porte, j'ai bien vu que la bosse que fait mon paquet, moulé comme ça dans mon jean, ne lui a pas échappé, mais il n'a pas commenté. Ensuite, je me suis assis à sa droite, à la table où j'ai posé mon ordinateur … à côté de lui et tout près … tourné vers lui, de trois quarts, les jambes écartées, un pied sous sa chaise et l'autre sous la table, à quelques centimètres de ses pieds à lui … je suis vautré sur ma chaise, le bas ventre en avant, étalé sous ses yeux, avec mes couilles et ma bite dont on devine nettement les contours sous la toile de mon jean … et pour achever le tableau, comme le visionnage de mes vidéos me rappelle des sensations et m'excite, je bande … je bande et, à travers la toile de mon jean, je me tripote la queue sans vergogne juste sous ses yeux. Il l'a vu ! Il l'a vu, il a été surpris, mais il n'a pas détourné les yeux, il m'a regardé me malaxer le gland.


Maintenant, je vais nous chercher à boire dans la cuisine commune du gite. En me dirigeant vers la porte, je me dis qu'il va sûrement encore mater mes fesses moulées dans ce jean … il en a déjà eu un aperçu quand il est arrivé tout à l'heure … je lui ai tourné le dos le temps d'accrocher sa parka et quand je me suis retourné, il me matait … il est peut-être comme beaucoup de mecs qui sont fétichistes de la toile de jean, en particulier quand elle moule un beau cul … et mon cul, c'est ce qui les fait craquer, les mecs … alors, juste avant d'ouvrir la porte, je tourne brusquement la tête. Bingo ! La main sur la souris de l'ordi, il a en effet les yeux braqués sur mon cul … je me cambre, je me claque une fesse et je lui lance:

- Il est pas mal, hein ?


Il ne répond pas et détourne le regard. Je sors.


J'aimerais bien lui avoir donné envie de le toucher, mon cul … j'aimerais bien sentir ses mains sur mes fesses … j'aimerais bien qu'il glisse ses doigts tout au long de la couture centrale de mon jean, là, entre mes fesses, jusque sur ma rondelle … 


Quand je reviens, les yeux fixés sur l'écran de l'ordi, il ne tourne même pas la tête vers moi. Je pose les bouteilles sur la table … j'ai pris le jus d'orange, et deux gobelets … j'ai pris aussi le whisky … on ne sait jamais, il changera peut-être d'avis … je nous sers, et, en me rasseyant à côté de lui, je le fais sursauter en lui posant la main sur l'épaule:

- Alors, t'en es où ?


Il clique sur la souris pour arrêter la vidéo qu'il était en train de regarder, il prend le verre que je lui tends, jette un rapide coup d'œil à mon bas ventre, et il boit … puis il se tourne vers moi:

- Pendant que t'étais parti, j'ai regardé le … celui qui te … celui qui t'encule … j'ai regardé le moment où il sort son … sexe, et qu'il éjacule contre … 

- Ah oui, il éjacule contre ma rondelle …

- Oui, c'est ça. Et après, il remet son sexe … il remet son sexe … dans ton cul.

- Oui, et il finit de jouir DANS mon cul …

- Ah oui, c'est bien ça, alors … parce que … on voit … on voit son sexe … la base de son sexe qui … qui bouge … comme si …


Ben mon vieux, il l'a vraiment regardée et analysée, cette vidéo, pour avoir remarqué ce détail.


- Oui, c'est les spasmes de l'éjaculation et son urètre qui se gonfle au passage du sperme …


Visiblement, ça le laisse pantois … comme s'il réalisait seulement maintenant que les mecs qui me baisent éjaculent effectivement dans mon cul. Pourtant, il me semble lui avoir déjà dit clairement. C'était peut-être resté abstrait pour lui. Il a fallu que je lui mette les points sur les "i" et les barres aux "t" en lui décrivant presque cliniquement ce qui se passe pour qu'il en saisisse les implications. Il me dévisage silencieusement pendant quatre ou cinq secondes, puis:

- Oui, alors … ces types, ils te … ils te … ces types, ils te … 


Il ne trouve pas ses mots. Je viens à son aide:

- Ils me répandent leur sperme dans le cul … VRAIMENT ! T'avais compris quoi ? Tu pensais qu'ils éjaculaient CONTRE ma rondelle, mais pas à l'intérieur ? Mais SI, ils jouissent DANS MON CUL. Ils préfèrent ça, les mecs, pouvoir jouir dans celui ou dans celle qu'ils baisent, plutôt que d'être obligés de se retirer. Et moi aussi, j'adore ça ! Tu préfères pas ça, toi, jouir dans celui … ou dans celle que tu baises, plutôt que te retirer et éjaculer dans le vide ?

- Ben … si, évidemment … 

- Ben alors, tu vois … tous les mecs sont pareil … je vais pas les frustrer en leur disant de sortir juste au moment de prendre leur pied … moi aussi, ça me frustrerait …

- Ah bon ?

- Oui. Pour moi, c'est … c'est excitant, mais en plus, je trouve ça … gratifiant …

- Gratifiant ? ! ? !

- Oui. Je saurais pas t'expliquer pourquoi, mais c'est gratifiant … et alors, le summum, quand ils sont plusieurs, comme ça, c'est quand ils me prennent à la chaîne et qu'ils tirent leur coup dans mon cul les uns après les autres … 

- Tu veux dire que …

- Oui … ils se succèdent dans mon cul déjà plein de sperme, et ils ajoutent leur dose …

- Tu veux dire … ils attendent pas que tu … 

- … que je me lave le cul pour prendre la suite ? Non. Tu sais, quand ça commence, ce genre de séance, l'excitation de tout le monde monte en flèche, hein … aussi bien ceux qui me baisent que ceux qui regardent … ça fait tomber toutes les réticences, toutes les inhibitions … alors, tremper leurs queues dans le foutre des autres, non seulement ça les dégoûte pas, mais l'idée d'être comme ça, cinq, six, dix, à me remplir le cul de sperme, ça les excite …


Les yeux ronds, il me dévisage en hochant la tête. Je lui souris. Après quelques secondes de cette observation, il se tourne vers l'écran de l'ordinateur, et:

- Et là … dans cette autre vidéo, c'est un gros type qui te …

- Ah oui, c'est le gros, qui est en train de me baiser …


Sur l'image fixe, on voit l'énorme poussah vautré sur moi … son cul adipeux entre mes cuisses et ses gros mollets entre mes jambes … plus haut, sous son énorme ventre qui tend le tissu du T-shirt qu'il n'a pas pris la peine d'enlever, on me devine, écrasé, aplati par cette masse … et encore plus haut, on aperçoit ma tête, la joue posée sur mes avant-bras croisés … C'est filmé de derrière et d'un peu au-dessus, et on aperçoit, autour de nous, presque à nous toucher, quelques types, assis ou à genoux sur le matelas, et qui nous regardent en se masturbant … et au-delà, des jambes et des pieds … plein de jambes et de pieds. Le gendarme m'observe, la main sur la souris … il hésite, puis:

- Il est vraiment énorme, ce type …


Je sens que c'est plus une question qu'une remarque. Ça doit l'étonner que je me fasse baiser par un mec comme ça … Alors, pour satisfaire sa curiosité:

- Oh oui … ÉNOOOOORME ! C'était la première fois que je me faisais baiser par un type aussi gros, mais j'ai adoré ça ... ça m'a étonné, mais c'était vraiment bien. Déjà, rien que de me faire aplatir comme ça, sous lui, je sais que c'est bizarre, mais ça m'a plu … mais en plus, sa bite … sa bite, elle aussi, elle est ÉNOOOORME ! 


A l'évocation de ce que le gros m'a fait, c'est plus fort que moi … comme un réflexe … je me vautre au fond de ma chaise, le ventre en avant, j'écarte de nouveau les cuisses, je m'empoigne la bite … et je la serre, je la pétris sans pudeur à travers la toile de mon jean.

- Vas-y, remets en route …


Curieusement, alors que jusqu'à présent, ce genre de manifestation de ma part semblait le gêner, cette fois, le capitaine Blanchard ne détourne pas le regard … au contraire, les yeux posés sur mon bas-ventre, il me regarde me tripoter en souriant … 


- Allez … vas-y, remets en route …


Il fait redémarrer la vidéo. On voit le gros me secouer à grands coups de boutoir … Si je ne quitte pas l'écran des yeux, le gendarme Blanchard, lui, n'arrête pas de tourner la tête alternativement vers la vidéo et vers moi … ça me plaît … tranquillement, il me regarde me tripoter.


- Vous vous … pardon … tu te … tu te fais … baiser par n'importe qui, en fait … je veux dire … que le mec soit beau ou pas, tu t'en fous … celui d'avant, par exemple, celui qui te baisait sur le dos … celui-là, on peut dire que c'était un beau mec … mince et tout … mais l'autre, là, le gros … on peut pas dire qu'il soit beau, hein … mais apparemment, tu t'en fous …

- Oui. MAINTENANT, je m'en fous … au début, j'avais envie de me faire seulement des beaux mecs .. ou du moins, des mecs corrects … Mais ça a changé … maintenant, je m'en fous … Et je ne regrette pas parce que celui-là, le gros, par exemple, il m'a fait jouir ! Avec sa grosse bite, ce mec m'a fait jouir du cul !

- Comment ça …

- Ben … c'était tellement excitant, de sentir son gros … machin m'ouvrir le cul … m'ouvrir le cul et entrer et sortir … je le sentais glisser à la fois dans mon … dans mon anus, si tu veux … et aussi À L'INTÉRIEUR de moi, dans mon rectum … je le sentais aller et venir DANS moi ! C'était la première fois que je ressentais ça à ce point … Oui, c'est ça, il m'a tellement … il m'a tellement bien fourré, il m'a tellement bien limé, c'était tellement excitant que ça m'a provoqué … une sorte d'orgasme … sans éjaculer, si tu veux, mais un orgasme quand même …

- Ça se voit. Sur cette vidéo, ça se voit, que tu prends du plaisir … avec le brouhaha, on n'entend pas ce qui se dit, mais un moment, on dirait qu'un des … un des spectateurs … dit que le gros type te fait jouir et que tu gémis …

- Ben oui, c'est vrai … il m'a tellement rendu folle, avec sa grosse queue, qu'il m'a fait gémir … c'est pour ça … beau ou moche, athlétique ou obèse, ce qui compte, c'est que les mecs me baisent bien … même les petites bites, ça me va, du moment que le mec sait y faire …


En entendant "il m'a rendu folle", il a sourit. Il se reconcentre sur la vidéo. Ça commence vraiment à me tarauder. J'ai envie d'une bite … de plus en plus. Et cette situation, là, avec ce mec, tellement près de moi, à qui, à travers ces vidéos, je dévoile sans aucune retenue mon anatomie la plus intime … ce mec qui me regarde me livrer à des mâles de la manière la plus impudique, la plus dissolue, la plus obscène … dans des flashs, je me vois me glisser sous cette table, lui ouvrir sa braguette, au capitaine Blanchard, et lui tailler une pipe pendant qu'il mate mes vidéos de cul. J'adorerais ça ! J'adorerais le pomper jusqu'à ce que, parvenu au paroxysme de l'excitation par la combinaison de ce qu'il voit et de ce que je lui fais, il m'envoie sa purée au fond de la gorge ! Et avec mon excitation qui monte en flèche, mes inhibitions et le peu de pudeur qui me reste s'envolent. Alors je me décide:

- Dis, Michel … j'ai envie de te toucher …


Il sursaute et se tourne vers moi. Je bande de plus en plus et je me pétris la queue de plus en plus vigoureusement… le mouvement de mes doigts attire son regard, il baisse les yeux sur mon bas ventre … puis il les relève et me regarde avec des yeux ronds:

- Me toucher ?

- Oui … j'ai envie d'une bite … j'aimerais bien te toucher la bite … laisse-moi toucher ta bite …


Visiblement, il n'en revient pas. Que je manifeste d'une manière aussi directe et indécente mon addiction, ou bien que j'ose lui demander ça à lui ?

- Non, mais … ça va pas ?

- Ben quoi … ça m'excite de revoir ces vidéos … j'ai BESOIN d'une bite … alors, s'il te plaît, laisse-moi te toucher la bite … 

- Mais … t'es dingue ? Il est absolument pas … non, non, c'est hors de question ! D'abord, j'en ai pas envie …

- T'en as pas envie ? ! ? ! Ça t'excite pas de regarder ça ? Allez, s'il te plaît … je te touche la bite et c'est tout … rien d'autre … j'te promets … si t'as pas envie, je te branle pas, je te suce pas … je touche seulement ta bite …

- Ça suffit ! J't'ai dit … c'est non !

- Putain, mais c'est pas vrai ! Qu'est-ce que tu fous là, alors ? Si c'est comme capitaine de gendarmerie que t'es venu vérifier que je mentais pas … voilà, c'est fait, tu as vu ! Et si ça ne t'excite pas de regarder ce genre de vidéos de cul en tant que civil, je ne vois pas l'intérêt de te laisser regarder les suivantes …

- Héééé ! Du calme ! Puisque tu en parles, comme capitaine de gendarmerie, je te dirais que ce matin, tu t'es un peu vanté, hein …

- QUOI ? ! ? ! 

- Oui … tu as parlé d'une trentaine de types, qui t'auraient baisé dans ce gangbang … et là, je n'en ai vu que … disons trois … D'accord, il y a du monde autour de vous, mais rien ne prouve que les trente t'aient tous baisé …

- Ah, OK ! Mais ça change quoi ? Ce qui est sûr, ce que tu as pu vérifier, c'est que je me fais bien baiser par des mecs … exact ?

- Ben … oui, et alors …

- Alors ? Qu'ils soient trente ou seulement trois, peu importe … c'est pour ÇA … c'est parce que je me fais baiser par des mecs, que ce type, Jo, voulait me faire chanter … Et puis, pour te prouver qu'ils étaient bien trente, ce jour-là, je vais te montrer les photos qu'on a faites en fin de journée … 


Je lui prends la souris et, rageusement, je cherche les photos en question.

- Tiens, regarde … 


Je fais défiler la série … une douzaine de photos, en tout, dont neuf ou dix prises par je ne sais qui, et que j'avais reçues pas mal de temps après les vidéos. Sur les premières photos, on nous voit, ma trentaine de mâles et moi, devant l'espèce de scène en ballots de paille qu'ils avaient construite pour que je me fasse baiser à hauteur des yeux de ceux qui regardaient … nous sommes en train de nous mettre en place pour prendre la pose … c'est un peu la pagaille, mais en tout cas, non seulement les mecs ont presque tous la bite à l'air, mais on en voit distinctement certains me tripoter … puis il y a les trois dernières photos … je me souviens, c'est Jean-Claude qui les a faites, ces trois là … et là, on me voit, seulement vêtu de mon porte-jarretelles et de mes bas, allongé sur les bras de cinq types, eux aussi à poil ou la bite à l'air, qui me portent à hauteur de leurs poitrines. Je montre l'écran de l'ordi au gendarme::

- Tu n'as qu'à les compter, les mecs … alors, je sais, ça ne prouve pas qu'ils m'ont tous baisé, mais maintenant, je m'en fous, de te prouver quelque chose … t'en as vu assez … et si tu ne veux pas que je te touche la bite … tu te barres … j'ai pas de temps à perdre avec toi …


Je me lève et je me recule pour le laisser passer. Il hésite … il reste assis, à moitié tourné comme pour quitter sa chaise … il semble réfléchir. J'insiste:

- Allez, casse-toi …

- Tu as tort de le prendre comme ça …

- C'est ça …

- Tu sais, si je voulais …


Il laisse sa phrase en suspens … je sens une menace dans ces quelques mots.


- Si tu voulais, tu ferais quoi ? Hein ? Tu me ferais des emmerdes ? Il faudrait que je te fournisse un motif, pour ça … mais crois-moi, dans ce cas là, ce que je pourrais raconter à ta hiérarchie, ça l'intéresserait sûrement vachement …

- Il faudrait qu'elle te croie, ma hiérarchie …

- Je sais être convaincant … tu devrais être au courant, il me semble … allez, casse-toi …


Là, je sens qu'il commence à douter. Il se lève lentement, passe devant moi, va décrocher sa parka, l'enfile en me regardant … et il sort. Par réflexe, je donne un tour de clef … on ne sait jamais.


" Il faudrait qu'elle te croie, ma hiérarchie …". Dans un sens, il a raison. J'ai été con, j'aurais dû m'arranger pour avoir une preuve de son passage ici. J'aurais peut-être dû le prendre discrètement en photo ou en vidéo avec mon smartphone … mais, dans un espace aussi restreint, comment faire ça sans qu'il s'en aperçoive ? C'est en m'apprêtant à jeter nos gobelets vides, que l'idée me vient … je vais garder le sien. Dessus, il y a ses empreintes et les miennes. Si un jour il me faisait vraiment des emmerdes, je le ressortirais. Et puis, je me dis que je pousse un peu … ça frise la parano … on n'est quand même pas dans un épisode des "Experts à Las Végas" … mais avec un mec tordu comme lui …  et puis, ce gobelet, c'est tout ce que j'ai pour me défendre en cas de besoin … alors, je retourne à la cuisine commune, je prends un sachet de congélation et j'emballe soigneusement ce gobelet. Je trouverai bien un endroit pour le mettre en sécurité. Pour le moment, frigo.


Bon, il n'est pas tard … ces vidéos m'ont bien excité, et lui, il m'a bien énervé … de toute façon, je ne pourrais pas dormir, alors inutile que j'aille au lit maintenant …


Et si … si j'allais traîner quelque part … tiens, justement, dans cette tenue, avec mon jean stretch … ça ne devrait pas être désagréable … me balader dans les rues avec ma bite et mes couilles bien moulées dans ce jean … et mon cul, aussi … voir si les gens me remarquent … voir si les MECS repèrent mon cul … Alors, Quimper ? Pors-an-Enez ? Quimper, c'est quarante à quarante cinq minutes … Pors-an-Enez, c'est seulement vingt-cinq … allez, Pors-an-Enez ! 


Ouais … montrer mon cul, mais si ça marche ... si un mec le repère, mon cul, et qu'il a envie de se le faire … ça serait con de l'empêcher sous prétexte que j'aurais le cul sale. Bon, tout à l'heure, je me suis déjà fait quelques lavements avant que ce connard de gendarme arrive, mais il vaut mieux que je recommence … deux précautions valent mieux qu'une. Direction la salle d'eau.


Voilà, c'est fait, mais si je veux qu'on nous remarque, moi et mon cul, il faut qu'on voie comment je suis sous le niveau de la ceinture … et là, à cette heure de la nuit, il va faire froid et je ne peux pas me balader simplement en sweat-shirt. Il faut que je mette quelque chose d'autre en haut … le problème, c'est que, dans le genre, je n'ai que mon blouson, et il est un peu long … je ne peux quand même pas mettre la doudoune que j'ai achetée cet après-midi … trop féminine pour aller avec ce jean, même si c'est un jean de nana … 


Voyons ce que ça donne avec mon blouson … je l'enfile et je me regarde dans le miroir de la salle d'eau. C'est quand même pas mal ! En fait, mon blouson me descend à peu près à mi-fesses … et peut-être même un peu plus haut que ça … ce qui fait qu'on voit le bas de mes fesses, bien moulées dans cette toile, et surtout, on voit bien que la couture me rentre bien profond dans la raie … plus bas, c'est encore plus net … mes cuisses et mes mollets sont parfaitement galbés par le tissu … je pense qu'au premier coup d'œil, quiconque me verra de dos imaginera que c'est un vrai cul de fille et des vraies jambes de fille … 


Et devant ? Ah ouais … fermé, mon blouson arrive juste au-dessus de mon paquet … si je le porte naturellement, comme il est un peu large, on aperçoit donc un peu ma bite et mes couilles moulées … mais si je le plaque contre moi, ou si je le laisse ouvert, là, on voit parfaitement ma bite et mes couilles … Vendu !


Avant de quitter ma chambre, je débranche mon disque dur externe et je le fourre dans ma poche … sans doute une nouvelle bouffée de paranoïa … mais je ne voudrais pas que l'autre connard profite de mon absence pour revenir fouiller les lieux … je ne sais pas comment il pourrait entrer, mais je préfère prendre trop de précautions plutôt que pas assez … En route.


Pors-an-Enez. Je me gare dans l'ombre, à l'entrée du port, pas loin des entrepôts et du dépôt de carburants pour les chalutiers. Des odeurs puissantes de poissons et de fuel m'assaillent les narines … les bruissements de la nuit se mêlent et s'entremêlent, tels des mirages auditifs … cris de goélands noctambules, clapotis le longs des quais, ronron des compresseurs de chambres froides, chuintements et murmures de toutes sortes … peut-être même des voix étouffées. Bien qu'on ne soit qu'à quelques dizaines de mètres des premiers cafés et restaurants du grand quai, ici, les réverbères sont déjà éteints. Là-bas, seules quelques enseignes sont encore allumées. Sur la route, j'ai pris ma décision … le premier mec qui me remarque, ou qui me fait une réflexion, ou qui me … je le chauffe et je lui propose de lui tailler une pipe … complètement envolées, mes réticences, mes questionnements … là, j'en peux plus … il me faut de la bite ! 


Je descends de voiture et j'enfile mon blouson. Putain, il fait froid ! J'hésite … je ferme mon blouson, ou je le laisse ouvert ? Je le laisse ouvert … on ne sait jamais, je pourrais rencontrer quelqu'un qui sort d'un troquet … autant que je sois "présentable" … et qu'il puisse voir tout de suite ma bite … En fait, le tout premier restau sur le quai a laissé ses néons allumés, mais il est fermé. Le café juste à côté est aussi fermé … le restau suivant est ouvert et il reste deux tablées de clients qui finissent de dîner sur la terrasse couverte. Inutile d'entrer là, ça ne fait que restau … je n'ai pas l'intention de manger et, de toute façon, à cette heure, ils ne me serviraient pas. Deux boutiques de je ne sais pas quoi … puis un café ! Mais au moment où je m'apprête à entrer, un client sort, accompagné du patron qui entreprend de baisser son rideau de fer:

- On ferme. Désolé.


Je poursuis ma route. Je croise deux couples de jeunes qui discutent en riant et ne font pas attention à moi. Enfin, un café-brasserie … ouvert … avec du monde à l'intérieur. J'entre. Personne ne semble remarquer mon arrivée, même pas le patron, derrière son comptoir. Tout le monde regarde un immense écran de télé, au fond de l'établissement … c'est une chaîne de sport et il y a un match de foot entre deux équipes anglaises. Je m'accoude au bar. Au bout d'une minute, le patron finit par remarquer ma présence:

- Bonsoir. Je vous sers quoi ?

- Bonsoir. Une bière.


Je commence à siroter mon verre. Il n'y a que des amateurs de foot, là-dedans, les yeux rivés sur cet écran et qui commentent et s'exclament comme s'ils étaient dans les gradins d'un stade ! Ils sont une bonne vingtaine, mais pas un d'entre eux ne fait attention à moi. Je regrette presque d'être entré là eu lieu d'aller voir plus loin … il y avait encore quelques néons éclairés vers l'autre bout du quai. Et puis, au bout d'un moment, la chaîne de télé arrête la diffusion du match pour passer un tunnel publicitaire. Aussitôt, la vingtaine de spectateurs se lève comme un seul homme … trois ou quatre se dirigent vers les toilettes en se marrant, et les autres rappliquent vers le comptoir, leur verre à la main, sans doute pour renouveler leurs consommations … 


Aaaaaahhh ! Enfin ! Je reste bien calé face au comptoir et j'attends … j'ai maintenant des types à ma droite et à ma gauche, groupés par trois ou quatre, ou plus … ils commentent, ils critiquent, ils refont la première mi-temps … comme le comptoir n'est pas très long, et que tout le monde ne peut pas tenir contre le zinc, ils se regroupent naturellement par paquets dans l'espace devant le comptoir … certains, à ma droite et à ma gauche, me frôlent en posant leur bock vide ou en prenant celui que vient de remplir le patron … mais derrière moi aussi, je sens des corps m'effleurer par mégarde en passant d'un groupe à l'autre ou en se penchant pour attraper un verre sur le zinc … 


J'ai tous mes sens en alerte … je sens la chaleur de tous ces corps qui sont brusquement venus m'entourer … je perçois même sur mes mains le léger souffle de leurs mouvements autour de moi … l'air de rien j'écoute leurs conversations entremêlées, guettant une éventuelle allusion qui me concernerait … tout ce que j'en tire, c'est que le match n'en est pas à la mi-temps, mais au milieu de la deuxième période … je sens leurs haleines, la plupart chargées de bière … des haleines auxquelles se mêlent des effluves d'eaux de toilette et des relents de transpiration … mais surtout, ces odeurs me confirment que c'est bien une vingtaine de mecs que j'ai maintenant autour de moi … une vingtaine de mâles ! Et moi, il n'y a pas à dire, l'odeur des mâles, ça m'affole … je ne sais pas ce qui me provoque ça, je ne sais pas quel récepteur olfactif me bouleverse les hormones … là, je ne peux pas dire que je perçois des effluves de testostérone, mais les odeurs de ces mecs me font quand même frissonner … et je me suis remis à bander … sans même avoir eu besoin de me tripoter la queue, je bande … et comme tout à l'heure, en présence de Michel Blanchard, pour faire un peu de place à ma queue qui enfle, me voilà obligé de soulever discrètement la toile de mon jean sous le zinc du bar. Oui, tout ça, c'est des mâles … des mâles qui ont un peu bu … des mâles qui sont venus ici se délasser après leur semaine de boulot … des mâles qui ont sans doute besoin de se défouler, d'évacuer les tensions, les frustrations accumulées au travail ou à la maison … pour le moment, ceux-là n'ont trouvé comme dérivatifs qu'un match de foot à la télé et un peu d'alcool dans ce bar … pourtant, les mecs, il existe un bien meilleur moyen pour évacuer son stress … tirer un coup ! Et si vous avez besoin de tirer un coup, je suis là ! Finalement, j'ai peut-être bien fait d'entrer ici.


Ce qu'il y a, c'est que je ne peux quand même pas leur dire qu'ils peuvent me baiser si ils en ont envie ! Je ne sais pas comment ils pourraient réagir. Je dois les laisser y venir d'eux-mêmes … ou du moins, je ne peux que m'efforcer de leur en donner l'idée. Putain, y'en a pas un qui va me mettre une main au cul, même discrètement ? Promis, le premier qui me glisse sa main entre les fesses, je me cambre et j'écarte les jambes ! Ici, je n'ose pas ôter mon blouson pour qu'ils le voient mieux, mon cul … ça, ça ne serait vraiment pas discret … ce serait même de la provocation … et ici, je ne le sens pas, de faire de la provoc comme ça. Bon, le seul truc que je peux faire … je regarde à droite, puis à gauche, et je me retourne … je me retourne et je m'adosse au comptoir, les deux pans de mon blouson bien écartés pour offrir, l'air de rien, mon bas ventre à leurs regards … mon paquet moulé comme ça dans ce jean de nana, et ma bite qui bande, c'est assez explicite, il me semble … voilà, il suffit maintenant que l'un d'eux m'examine un peu en détail et découvre ma tenue … Je les observe un à un … j'essaie d'imaginer ces mecs … ces mecs SUR moi, et ces mecs DANS moi … il me vient des images … quelques uns de ces types, là, une poignée d'entre eux … et moi … et moi, allongé sur le dos sur le capot de ma voiture, là-bas, dans l'ombre à côté des entrepôts ... allongé sur le dos, mon jean roulé en boule sous ma nuque, avec les jambes écartées, et un de ces mecs en train de se soulager entre mes cuisses … et autour de nous, les autres, quatre ou cinq, la bite à la main, qui regardent leur pote me baiser et qui attendent leur tour …


- Ça y est, ça reprend, les mecs !


Ça a fusé de je ne sais où … la séquence de pubs est terminée, et, comme une vague, tous les types qui m'entourent retournent s'asseoir devant l'écran de télé. La retransmission du match de foot a repris … je me retrouve seul, adossé au comptoir. Merde ! Je me tâte … je reste ou je me barre ? Me barrer pour aller où ? Je ne suis pas sûr que ce soit mieux ailleurs … ici, au moins, il y a une vingtaine de types … et puis, le match devrait finir dans un bon quart d'heure, alors ça va, je peux attendre jusque là … peut-être que tout à l'heure, quand le match sera terminé, ces types reviendront boire un verre au comptoir … je me déciderai peut-être à engager la conversation … 


Je me tourne vers le patron … les yeux sur l'écran, il ne fait pas plus attention à moi que les autres.


- S'il vous plaît … vous me remettez une bière ?


Il me sert avant de retourner au match. Accoudé au comptoir, ignoré par tous ces mecs, pourquoi me gêner ? Je pose mes doigts sur ma bite et je commence à la caresser … hhhhmmmm, j'adore ! Je me parcours la verge du bout des doigts ... sensation terrible, à travers ce tissu tendu … je bande de plus en plus … c'est très excitant de faire ça, alors qu'il y a devant moi cette bande de types qui me tournent le dos, et le patron du bar derrière son comptoir … ils sont tous loin d'imaginer que je suis en train de me donner du plaisir … avant, avant que toute ma sexualité soit consacrée aux mecs, c'était le genre de chose que je faisais souvent, me tripoter en douce dans des lieux publics … entre deux rayons dans les commerces, sous la table dans les restaurants, sur un banc dans les jardins publics, dans les trains, dans les salles de spectacle … partout … et chaque fois que c'était possible, j'allais même jusqu'à jouir sur place et laisser un souvenir de mon passage … là, j'ai une furieuse envie de sortir ma bite pendant qu'ils sont tous hypnotisés par ce match … je saisis mon gland entre mon pouce et mon index et je le pétris … ça monte … ça monte … ça vient … sous mes doigts, je sens que la toile du jean commence à être mouillée … ma bite a commencé à baver d'excitation … je regarde … oui, ça fait une tache sombre au niveau de mon gland … rapidement, je sens que je suis au bord de l'éjaculation … alors j'arrête … je sais que si je jouis, si j'éjacule dans mon jean, mon excitation va retomber et je laisserai tomber l'idée de chauffer des mecs de ce troquet … je laisse retomber la pression.


Je finis de siroter lentement ma bière. Sur l'écran de la télé, un compteur égrène à l'envers le temps qui reste avant la fin du match … seulement quelques minutes. Les types qui regardent vont bientôt se lever et refluer vers le comptoir … il faut que je sois prêt … qu'est-ce que je fais ? J'attaque ouvertement ? J'ai quand même un peu peur de me faire jeter … peut-être même de me faire casser la gueule … Tout à l'heure, ils n'ont pas fait attention à moi si peu que ce soit … aucun d'entre eux … C'est bizarre, depuis quelques temps, en Seine-et-Marne, c'était comme si les mecs sentaient que je ne demandais qu'à me faire baiser et qu'ils pouvaient tenter leur chance … comme si … je sais pas … comme si il émanait de moi des effluves dont les effets leur tombaient directement dans le calcif en leur susurrant "tiens, voilà une femelle en chaleurs, tu peux lui proposer de la couvrir, elle acceptera". Mais ici, ça ne fonctionne pas … l'autre, là … le capitaine … non seulement il regardait des vidéos de cul qui auraient dû l'exciter, mais je lui ai envoyé des signaux assez explicites … et RIEN ! Et maintenant ces types, qui ne sont obnubilés que par un match de foot !


ATTENTION ! Le match est terminé ! Cette fois, ils ne se précipitent pas. A la pause précédente, ils savaient que le tunnel publicitaire leur laisserait assez peu de temps pour renouveler leur consommation, mais maintenant, ils ont tout leur temps …


- Bon, les gars ! Je voudrais bien fermer, maintenant !


C'est le patron qui les presse. Certains voudraient bien boire encore un verre, mais:

- Non, non, non ! Vous avez assez bu. Je veux pas avoir des ennuis si vous avez un accident. Rentrez chez vous !


Quelques types protestent mollement, mais je sens que c'est sans conviction, histoire d'emmerder un peu le patron. Ils commencent à enfiler leurs blousons et à progresser en direction de la sortie. Quelques uns, en passant devant moi, semblent découvrir ma présence et me font un signe de la tête, comme pour me dire à la fois bonjour et au revoir. Mais aucun ne semble remarquer ni mon jean moulant, ni ma bite et mes couilles pourtant bien visibles, ni la petite tache plus sombre et mouillée au niveau de mon gland. J'en laisse passer la moitié et, à mon tour, je sors.  


Ça discute et ça rigole en commentant le match. La plupart prennent la même direction que moi. Le quai est encore bien éclairé et j'espère que l'un d'entre eux finira quand même par remarquer mes formes, gainées, moulées dans ce jean … Certains, deux ou trois, plus pressés que les autres, marchent d'un bon pas devant moi et distancent le reste du groupe. Je règle mon pas sur le pas de certains qui sont sortis juste avant moi. Quelques autres, une fois dehors, se sont massés devant le bar et continuent de discuter sur place tandis qu'on entend le patron boucler son établissement. Et puis, ceux qui marchent à côté de moi, pris dans le feu de leurs conversations, ralentissent, s'arrêtent, redémarrent … je n'ai pas de raison de faire comme eux et je finis par prendre, à mon tour, un peu d'avance … mais au moins, comme ça, en marchant quelques mètres devant eux, j'ai peut-être plus de chances que l'un ou l'autre repère mon cul … je ne peux plus compter que sur ça …


Mais toujours rien … et, au son de leurs voix, je me rends compte que l'écart entre eux et moi ne fait qu'augmenter … Je ne vais quand même pas m'arrêter et leur proposer une pipe ! Putain, c'est foutu !


- Hé ! Toi, là-bas ! Attends nous un peu !


Ça vient de derrière, et, en même temps, le bruit d'une cavalcade résonne sur le bitume ! Aaaaah, enfin ! Je me retourne, le cœur battant … ils approchent en courant … ils sont trois … 


… et ils passent à côté de moi, toujours en courant, comme si je n'existais pas ! Ils poursuivent leur course et j'aperçois, sous la lumière du dernier réverbère éclairé, là-bas, au bout du quai, la silhouette d'un de ceux qui nous avait devancés et qui les attend …


- T'as ta bagnole ?

- …

- Tu peux nous emmener ?

- …


Ça y est, ils l'ont rejoint et le groupe disparaît dans l'ombre.


Voilà, je me retrouve comme un con … ce n'est pas ce soir que je me ferai baiser ! Pourtant … qu'est-ce que j'aimerais sentir une bite me rentrer dedans … sentir un mec prendre son plaisir dans mon cul … et sentir un mec larguer sa charge de semence au fond de mon ventre … 


Je monte dans la voiture et je reste là à me demander ce que je pourrais bien faire, maintenant … j'aurais dû me renseigner … dans le coin, il doit bien y avoir des lieux de drague pour les mecs … je détache le bouton de mon jean, je fais glisser son zip et, en me tortillant, je le descends sur mes cuisses … je suis raide ! Je recommence à me tripoter … au loin, j'aperçois le reste de la bande de mecs qui étaient restés à discuter devant le bar … ils sont cinq … ils se sont mis en route et ils viennent dans ma direction … ils doivent aussi être garés dans le coin … alors je descends mon jean encore plus bas … sous les genoux … si ça se trouve, en passant à côté de ma voiture, l'un d'eux va me repérer, avec la bite à l'air, en train de me branler … il va … il va se foutre de ma gueule … ou le dire à ses potes … peu importe, du moment que ça me donne un prétexte pour m'adresser à eux … je trouverai bien un moyen de leur faire comprendre que je suis "open" … J'entrouvre ma vitre … je les entends qui discutent et qui rient … Ça y est, ils entrent dans la zone obscure où je suis garé et ils se détachent en ombres chinoises sur le fond des lumières du quai … les voilà au niveau de l'avant de mon capot … et ils passent … sans un regard vers moi … j'aurais dû … j'aurais dû allumer le plafonnier ! Quel con !


Bon. Cette fois, c'est bel et bien terminé pour ce soir. Je reste comme ça quelques minutes, à me malaxer le gland. 


Et ça me prend d'un seul coup ! Maintenant, le quai est désert … alors je descends de la voiture, et, les fesses appuyées à la portière, j'ôte mes tennis et je finis d'ôter mon jean … je remets mes tennis et je me dirige vers les entrepôts, mon jean sous le bras … me voilà le cul et la bite à l'air … là-bas, au delà des hangars, il y a le port de pêche et ses bateaux amarrés le long des quais … sur le môle qui protège le grand bassin, des réverbères diffusent une lumière blafarde de place en place … Ouaaahhh, j'adore ! Il fait froid, mais c'est supportable et même plutôt agréable … Ça pue ! Ça pue le vieux poisson, ça pue le gas-oil, ça pue la crasse … et, de temps en temps, des odeurs d'algues et d'eau salée m'arrivent par bouffées … J'avance au milieu d'empilements de casiers à homards, de bacs de stockage de filets, de caisses de mareyeurs et d'engins de manutention. La plupart du temps dans l'ombre, je ne suis dans la lumière que sur quelques mètres quand je passe sous les réverbères … et ce sont ces moments là que je préfère … être dans la lumière avec le cul et la bite à l'air … je sais bien que le port est aussi désert que le reste, mais sait-on jamais … peut-être un noctambule m'apercevra-t-il …


Un panneau  marque l'entrée de la zone réservée aux professionnels … j'y vais quand même ... voilà, je commence à longer le quai où sont amarrés, sur ma droite, les chalutiers et les caséyeurs … à ma gauche, les entrepôts et la criée. Je me foutrais bien complètement à poil, mais il fait vraiment trop froid pour ça. Je me sens bien et de plus en plus excité … c'est ici que je vais me finir … la plupart des bateaux sont amarrés à des anneaux scellés dans le quai, mais, de distance en distance, il y a d'énormes bites d'amarrage … tout un symbole pour moi … à défaut d'avoir trouvé une vraie bite à me foutre dans le cul, je crois que c'est assis sur une de ces bites en métal que je vais me finir … Tiens, en voilà justement une, presque au bout de ce quai, face au grand bassin … une à laquelle aucun bateau n'est amarré … je m'assieds … putain, c'est froid … jambes écartées, je me masturbe  au son du petit clapot qui frappe le quai … ça va très vite, et, haletant, je lâche ma crème à mes pieds … puis je reste là un long moment … apaisé, calmé … et je me remets en route vers ma voiture, toujours le cul et la bite à l'air.


Je conduis cul nu … je n'ai pas remis mon jean pour rentrer … pas plus, d'ailleurs, une fois arrivé, pour regagner ma chambre … je fais le pari qu'à cette heure, je ne rencontrerai personne … 


Dix minutes plus tard, je suis au lit.


Dimanche 17 décembre. 9h00


Ça y est, je suis en route pour ma balade, habillé en trav.

Je n'ai pas beaucoup dormi, mais ça va. Toilette rapide mais complète … rasage intégral, crème hydratante, lavements … et j'ai mis mon collant ouvert et ma robe. Par dessus, j'ai enfilé un pantalon un peu large et mon blouson. Je ne peux quand même pas circuler en trav entre ma chambre et le parking du gite. J'ôte mon blouson avant de monter en voiture et j'ôterai le reste de mes vêtements masculins en route, ou une fois arrivé sur la plage où j'ai l'intention de me balader. Evidemment, j'ai aussi emmené ma doudoune et les autres accessoires. Il fait encore froid, mais il va faire beau. Le soleil ne va pas tarder à se lever.


Je vais sur la plage où j'ai rencontré un chien et son maître, l'autre jour. Elle est à une trentaine de kilomètres. Alors, une fois que je me suis un peu éloigné du gite, je m'engage dans un petit chemin qui dessert une ferme, je m'arrête et j'ôte mon pantalon. Me voilà seulement en robe et en collant … en collant ouvert ! Je n'ai même pas mis le string que je me suis acheté … je l'ai fourré dans une poche de la doudoune avec une poignée de capotes ... on ne sait jamais. Hhhhhmmmm, j'adore conduire comme ça ! Je redémarre … Une fois que je suis assis, ma robe, qui est déjà plutôt courte, remonte encore sur mes cuisses … juste au ras de ma bite … il suffit que je la retrousse un tout petit peu pour que j'aie tout le paquet à l'air ! C'est le pied … rouler comme ça dans la campagne … traverser les villages qui se réveillent … je commence à bander … je me tripote doucement … je pourrais faire des kilomètres et des kilomètres, comme ça.


Me voilà arrivé. Pas une voiture sur le petit parking juste au bord de la plage. J'en profite pour échanger mes chaussures avec mes ballerines et pour enfiler mes guêtres, Je descends de voiture et je prends ma doudoune, mon écharpe et mon bonnet sur le siège arrière. Pour le moment, je vais mettre la capuche de la doudoune et l'écharpe autour de mon cou … pour le bonnet, on verra plus tard … Me voilà équipé. En route.


La mer est basse. Elle s'est retirée très très loin. La plage, très plate, paraît immense. Apparemment, je suis seul. Comme l'autre jour, il y a quelques bandes de mouettes qui cherchent leur pitance au bord de l'eau. Hhhhmmmm, je sens la bise froide qui s'insinue sous le bas de ma robe … et ce froid exacerbe mes sensations … la bise, je la sens particulièrement bien là où l'intérieur de mes cuisse n'est pas couverte par mon collant ... et aussi sur mes fesses … et sur ma bite et mes couilles … ma queue pendouille un peu, mais comme je suis en semi érection, en redressant un peu la tête, elle soulève un peu le bas de ma robe … je sens aussi mes couilles … malgré ce froid qui devrait les faire remonter vers mon périnée, elles pendent aussi et ballottent entre mes cuisses au rythme de mes pas … j'adore cette sensation … de la main je soulève un peu le bas de ma robe, et je m'effleure le sexe … hhhhmmmm, ce que c'est bon ! J'ai maintenant le gland qui pointe le nez sous l'ourlet de ma robe … le froid vif me picote le prépuce et ajoute un peu à mon excitation … alors je bande de plus en plus, et maintenant, ma bite soulève carrément le bas de ma robe … j'adore ça ! J'ai vraiment bien fait de m'équiper comme ça, hier, dans ce magasin, et de venir ici ce matin.


C'est curieux … avec ce froid et le contact de ma main, j'ai une conscience intense de mon sexe … je veux dire de mon appareil génital dans son ensemble, ma bite et mes couilles … et en même temps, ici, dans ces vêtements, je me sens vraiment ... fille ! Oui, FILLE ! Absolument FILLE, pleinement FILLE ! Sensation étrange et délicieuse. C'est sans doute dû à l'image de moi-même que j'ai vue dans le grand miroir de la salle d'eau de mon gite. L'ensemble des vêtements que je porte aujourd'hui me donne une silhouette qui ne me ressemble pas. Je suis conscient que, sans être massif, j'ai un physique qui trahit ma masculinité … ma taille, déjà, un mètre quatre vingt cinq … ma carrure d'épaules … l'épaisseur des attaches de mes membres, poignets, genoux, chevilles … la taille de mes mains et de mes pieds … bref, une multitude de détails qui font que, même intégralement habillé en femme, je peux difficilement faire illusion. Mais hier, dans ce magasin, sans avoir recherché cet effet, j'ai choisi des vêtements qui transforment ma silhouette, qui maquillent, qui voilent, justement, ces traits trop masculins, ou qui attirent l'attention sur ce que mon corps a de féminin … c'est d'abord cette doudoune, d'apparence gonflée et moelleuse, qui donne l'illusion que c'est elle qui me fait des épaules aussi larges … et sa ceinture élastique et resserrée qui affine ma taille … c'est aussi cette robe moulante qui met en valeur ma chute de reins, mes fesses et mes cuisses galbées … et ce sont ces guêtres qui dissimulent mes chevilles et semblent raccourcir mes pieds … au total, ça me fait une ligne qui paraît plus fine, ou plutôt une silhouette mieux proportionnée … Et avec tout cela, je n'ai même pas l'allure d'une femme de mon âge … je crois qu'on me donnerait seulement vingt ou vingt cinq ans … allez, trente ans maxi ...


Ah, putain, je rêve d'être né avec un physique androgyne … un physique androgyne, mais avec ce qui fait maintenant mes atouts, avec ce qui attire les mâles … mes hanches, mes reins, mon cul, mes cuisses … tout ce qui fait que les mâles ont envie de s'accoupler avec moi, d'introduire leur sexe à l'intérieur de moi ! Ah, si seulement, quand j'avais vingt ans, j'avais pris conscience à la fois de mon goût pour la bite et de l'attraction que j'exerçais déjà sur les mâles. Au lieu de ça, j'ai joué au mec … je me suis habillé en mec … j'ai accentué, souligné mes traits de mec, barbe, moustache, cheveux courts … 


En fait, dès mon adolescence, j'aurais dû prêter plus d'attention aux quelques signaux qui suggéraient que j'attirais les mâles … déjà, ce copain, un peu plus âgé que moi … il devait avoir seize ou dix-sept ans et moi douze ou treize ans, je ne sais plus exatement … il avait sûrement deviné, même avant moi, mon attirance pour la bite … il avait aussi senti que je serais certainement une "fille facile" et qu'il pouvait tenter sa chance … oui, déjà à l'époque ! Déjà à l'époque, quelque chose devait émaner de moi qui, non seulement avait sexuellement motivé ce copain, mais qui lui avait aussi soufflé que je ne le repousserais pas … sans doute le même quelque chose qui fait qu'aujourd'hui, beaucoup de mâles me devinent sexuellement accessible … et ce phénomène s'est considérablement exacerbé depuis que j'ai admis, dans ma tête, que j'aime la bite, depuis que j'ai fait mon "coming out" intérieur, en quelque sorte … En même temps que ça faisait tomber des réticences, des barrières psychologiques, ça m'a libéré des comportements masculins stéréotypés, d'attitudes, de gestuelles de mec, et ça a révélé au grand jour ma féminité …  et même ma "femellité".


Bref, un jour donc, le copain en question m'avait entraîné dans une sorte de jeu … le genre de jeu auquel s'adonnent les enfants que leur entrejambe commence à chatouiller … "on joue au papa et à la maman ?" … A cette époque, mon copain et moi, nous nous retrouvions régulièrement dans une sorte de maisonnette au fond du jardin de mon grand-père … là, nous nous livrions en toute innocence à des passe-temps d'adolescents. Cette espèce de bicoque était sommairement meublée, notamment d'un vieux sommier protégé de la poussière par un drap … Pourquoi je n'avais pas été surpris que, par jeu, mon copain décide de s'allonger sur ce sommier et de se couvrir avec ce drap ? Pourquoi je n'avais pas été surpris qu'il me demande de le rejoindre ? Jouer au papa et à la maman à nos âges ! N'importe quoi ! Mais je m'étais aussi allongé sur le dos à côté de lui, bien sagement, sous le drap, attendant de savoir ce qui allait se passer ensuite. Je n'avais pas plus été surpris de le sentir commencer à s'affairer sous le drap … à sa façon de s'agiter, je commençais à soupçonner ce qu'il était en train de faire … et rapidement, il m'avait demandé:

- Tu sais ce que je fais ?

- Non.

- Alors va voir …


Sans hésiter, le cœur battant, j'avais soulevé le drap, et je m'étais glissé vers ses hanches … dans la clarté qui filtrait à travers le drap, j'avais découvert son ventre … son ventre nu … si il s'était agité, il y a un instant, c'était pour descendre son pantalon et son slip sur ses genoux … sous mes yeux, à quelques centimètres de moi, son ventre nu et sa bite … sa bite en érection … sa bite que, de sa main gauche, il tenait un peu relevée au-dessus de son ventre … je savais que c'est cela que j'allais découvrir en me glissant sous ce drap … par contre, je n'étais pas tout à fait sûr de ce qu'il attendait de moi … c'était peut-être seulement de voir sa bite, pas plus ... mais si il avait envie de la même chose que moi, je savais que je le ferais … ça me faisait un peu peur, mais j'avais une folle envie de le faire … comment être sûr ... si je touchais sa bite et qu'il n'en avait pas envie ... j'avais peur, en prenant l'initiative, de rompre le charme ... et soudain, il posa sa main droite sur ma nuque et il poussa ma tête vers son sexe ! Ouf, lui aussi, il avait envie que je le suce !

 

à suivre ...


Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Dimanche 13 janvier 2019 7 13 /01 /Jan /2019 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.


Samedi 16 décembre. 11h00

 

Je sors de la gendarmerie où je viens de répondre aux questions d'un capitaine. Je viens de lui expliquer, à lui et à sa secrétaire, que je me fais baiser par des types en bande ! Putain ! Jamais je n'aurais imaginé pouvoir faire ça un jour !


Du coup, je me sens d'humeur … comment dire … folâtre. Tout ça … ma conversation avec Pierrot puis le visionnage de ses vidéos … ma conversation avec Philippe, puis le re-visionnage des vidéos de mon gangbang chez Jean-Claude … et à l'instant, cet interrogatoire par les gendarmes … toutes ces évocations de sexe, ça a éveillé mes sens … ou plutôt, ça a RÉVEILLÉ mes sens … et je repense à l'envie qui m'a pris hier, quand je parcourais le sentier côtier … me balader les miches à l'air. Pourquoi je n'irais pas acheter de quoi … de quoi m'habiller en femelle … Et il me reste pas mal de temps à tuer avant que je regagne la région parisienne … autant en profiter. Il y a bien longtemps que je ne me suis pas livré à ce genre d'escapade dans la nature … en fait, c'est depuis que j'ai commencé à me vouer aux mâles. Avant, il ne se passait pas une semaine sans que j'aille traîner dans les bois ou dans les champs avec, pour tout vêtement, un porte-jarretelles et des bas … Là, la météo ne se prête pas à un nudisme aussi poussé, mais avec une jupe ou une robe un peu courte, ça pourrait être très agréable … et pour le reste, bas et porte-jarretelles ou grosses chaussettes, gros pull ou blouson, c'est à voir à l'inspiration. Allez, aujourd'hui, j'ai le temps, il est encore tôt, je vais aller faire des emplettes.

 

Le jour où je suis arrivé à Quimper, en quittant la gare pour gagner le gite que j'ai loué, je suis passé dans une zone commerciale où il y a je ne sais combien de boutiques de fringues … si je ne trouve pas mon bonheur là-dedans … C'est parti ! Hhhmmm, re-voilà le délicieux fourmillement que je ressens à chaque fois que je m'apprête à acheter lingerie et vêtements féminins … il faut croire que, de ce point de vue aussi, je suis bel et bien une femelle.


Quarante cinq minutes plus tard, j'y suis. Putain, il y a du monde ! Il faut dire qu'on est à une semaine de Noël et les gens font des achats pour préparer le réveillon. Les boutiques de prêt à porter ont sorti les tenues de fête. Dans le premier magasin que j'explore, rien d'intéressant pour moi. Trop "bon chic" et classieux. Dans le deuxième, c'est un peu plus fun, mais pas vraiment convaincant. Enfin, j'entre dans un de ces commerces qui vend un peu de tout à pas cher, depuis la vaisselle en plastique jusqu'au petit mobilier en passant par la déco, les jouets et les chaussures, mais surtout en passant par les fringues et la lingerie féminines. En Seine-et-Marne, c'est dans un magasin de cette chaîne que j'avais l'habitude de faire mes courses un peu "spéciales". J'y ai trouvé presque toute ma garde-robe et toute ma lingerie. En plus, question lingerie, ce qu'ils proposent est toujours très sexy, et même plutôt … "sexe": dentelles, couleurs vives, voire flashy, nuisettes vaporeuses, micro strings, petites culottes suggestives, parures complètes pour soirées coquines … et même tenues en latex ... et les collections sont renouvelées assez souvent, ce qui permet de toujours trouver des nouveautés. 


Dès que je passe les portes du magasin, je retrouve l'ambiance et les sensations que j'aimais dans celui de Seine-et-Marne. Quand j'ai commencé à m'acheter de la lingerie féminine, j'étais un peu complexé de rentrer dans ce rayon, mais avec le temps, la gêne a fini par disparaître pour faire place à une véritable jouissance. Non seulement pour le plaisir de fouiller dans ces dentelles, d'examiner ces tulles, de caresser ces voiles légers, de manipuler ces petites culottes de femme, mais aussi pour le plaisir d'y côtoyer les vendeuses ou d'autres clientes, toujours un peu surprises d'y trouver un homme explorant tous ces trésors avec autant de conviction … oui, je dis bien "d'autres clientes", parce que, dans ces moments là, je ne me considérais pas comme un client, mais comme une "cliente" … dans le fond, ce que je cherchais et ce que j'achetais, c'était pour moi, donc en quelque sorte pour une femme … et aller m'acheter de la lingerie coquine avait fini par faire intégralement partie de mon plaisir.


Ici, je retrouve la même disposition des différents rayons que dans le magasin de Seine-et-Marne où j'ai mes habitudes, et, apparemment, les mêmes produits. Dès l'entrée du rayon des vêtements pour femme, on a installé des mannequins en tenues de soirée … et là, on sent qu'il s'agit de faire la fête … tout ce qui est exposé est moulant, est échancré, est décolleté … bref, c'est sexy … immédiatement, je repère un modèle de robe assez courte, et qui épouse les formes généreuses d'un des ces mannequins de plastique … d'un peu loin, on dirait une robe de lainage, mais de plus près, je me rends compte qu'il s'agit d'un imprimé d'une matière extrêmement souple et douce au toucher. Non seulement sa coupe me plaît, mais la matière dans laquelle elle est taillée aussi. Elle doit être particulièrement agréable à porter. Il n'y a que sa couleur ... une sorte de brun chiné de beige, qui ne m'enthousiasme pas vraiment ... c'est un peu austère ... mais il faut reconnaître, ça cadre avec la saison … Bras tendu, je suis en train de l'examiner et de tâter la douceur du tissu, quand une vendeuse, les bras chargés de vêtements, passe à côté de moi:

 

- Je peux vous renseigner, monsieur ?

- Oui. C'est quoi, cette matière ?

- Ah oui. C'est étonnant, hein ? On dirait presque de la laine … un tricot … mais c'est tissé et c'est une nouvelle matière synthétique. Ça ne gratte pas et d'après les clientes, c'est chaud à porter … c'est de saison, en fait …


"Chaud à porter" ! L'expression est doublement juste. Dans l'esprit de la vendeuse, il est évidemment question de température, mais c'est vrai aussi du point de vue "sexe" … rien que sur ce mannequin, c'est assez … "hot".


- Et elle existe en quelles tailles ?

- Ah. Alors, pour ça aussi, elle est spéciale. Elle n'existe qu'en deux tailles … enfin, si vous voulez, il y a le petit modèle qui couvre en fait les tailles S et M … et le grand modèle qui couvre aussi les tailles L et XL … parce que, vous voyez, c'est un tissu très extensible … alors, bien sûr, après, pour les femmes un peu grandes, la robe est plus courte, naturellement … elle s'habille en quelle taille, habituellement, votre dame ?


Tout en m'expliquant, la vendeuse a déposé sa brassée de vêtements sur un portant et elle a décroché deux cintres avec des robes du modèle en question, une petite et une grande. En vêtements masculins, je m'habille en XL, mais vu ma taille, en vêtements féminins, en principe, il me faudrait du XXL et même du XXXL … mais en général, je n'achète jamais au-delà du XL, et parfois, je descends au L, voire au M, si j'arrive à rentrer dedans … surtout pour les vêtements et la lingerie en matières extensibles … plus c'est moulant, plus c'est court et plus j'aime ça ! Comme elle le dit, la vendeuse, avec un modèle qui couvre deux tailles, plus la femme est grande, plus la robe paraîtra courte. C'est exactement ce qu'il me faut. Ça me démange de lui dire que c'est pour moi, cette robe … je crois que je vais l'acheter … non, je ne crois pas, je suis sûr ! La vendeuse, tient les deux robes devant elle, et:

- Hein, monsieur … elle s'habille en quelle taille, votre femme ?

- Ce n'est pas pour ma femme. Montrez moi la grande …


Sans malice, elle me la tend. Je plaque la robe contre moi, le cintre sous mon menton, je lisse le tissu du plat de la main sur moi, depuis mon épaule jusqu'à ma cuisse, et je me tourne vers un miroir sur pied qui se trouve juste là. Comme ça, le bas de la robe m'arrive à mi-cuisses, et j'imagine qu'une fois sur moi, elle remontera encore plus haut … Je lance:

- C'est bon, ça devrait aller … je la prends.


Cette fois, la vendeuse est interloquée, elle roule des yeux tout ronds. Ça tourne à fond dans sa tête. Elle doit se demander si elle comprend bien ce qui se passe mais elle n'ose pas commenter. Je lui fait un grand sourire:

- Merci. Le rayon lingerie, c'est par là ?


Je sais pertinemment où il est, le rayon lingerie, je le vois d'ici. La vendeuse se retourne et esquisse un geste en direction du rayon des slips et caleçons pour homme … puis elle se ravise, et me regarde d'un air interrogatif: 

- Le rayon lingerie ?

- Oui, le rayon lingerie pour femmes.


De nouveau, elle roule des yeux tout ronds et elle tend le bras dans la bonne direction:

- Ben c'est tout de suite là.

- Ah oui. Je n'avais pas vu. Merci.


Je la plante là et je m'engage entre une gondole de soutiens-gorge et de petites culottes et une autre de chemises de nuit et de nuisettes. Je suis en train d'examiner un micro string en tulle lycra rose fuchsia quand la vendeuse, les bras toujours chargés d'une brassée de vêtements, passe devant le rayon et me jette un coup d'œil effaré. Vu ce que j'ai l'intention de faire, je ne suis pas sûr d'avoir besoin d'un string, mais ça ne fait rien, ça n'est pas ce que ça coûte … à vue de nez, je devrais pouvoir rentrer dans du L et y loger ma bite et mes couilles … je prends le string fuchsia.


J'ai l'intention d'aller traîner les miches à l'air sous ma robe sur une plage ou sur le sentier côtier, mais je ne tiens quand même pas à prendre froid aux jambes. Alors je passe au rayon bas et collants. Pas de porte-jarretelles … enfin, il y a bien un modèle de guêpière avec des jarretelles, et même un "slip porte-jarretelles", mais, ces trucs là ne sont vraiment pas pratiques … si on veut se retrouver les fesses à l'air sous sa robe, on est obligé d'ôter la guêpière ou le slip et les bas qui vont avec … non, non, rien ne vaut le véritable porte-jarretelles … mais pas de bol, il n'y en a pas. Alors, je jette un coup d'œil aux collants … à la limite j'en trouverai bien un dont je pourrais découper le superflu pour en faire un collant ouvert. Maintenant, la plupart des collants sont indémaillables … et puis, en fouillant bien, coup de chance, je trouve justement une série de collants ouverts … il y en a des noirs, mais j'opte pour un brun qui sera parfaitement assorti à la robe …


Il va aussi me falloir des chaussures un peu féminines. Avec mon 45, ça m'étonnerait que je trouve ici des escarpins ou des chaussures de femme à ma taille … pareil dans le reste de la zone commerciale. Ce genre d'article pour travesti ne se trouve que dans des commerces spécialisés ou sur commande par Internet. Mais je n'ai pas le temps d'attendre une livraison. Alors, peut-être des ballerines de sport … ça existe pour homme. S'il 'y en a pas dans ce magasin, j'irais dans une boutique de sport. Bon, juste à côté des collants, il y a un rayon chaussettes … bingo ! Ils vendent aussi des guêtres en laine … oui, avec ça par dessus mon collant, en retombant sur des ballerines, ça cachera un peu la taille de mes pieds … en plus de ma tronche, la taille de mes pieds et de mes mains, c'est mon problème pour passer pour une femme … ma taille, bien que supérieure à la moyenne, ça va, ça ne choque pas … il y a de plus en plus de filles grandes, voire très grandes … mais elles ont quand même des pieds et des mains plus fines que moi. Donc … pas grand choix de couleurs pour les guêtres … celles-ci, en laine chinée beige, ça rappelle un peu les touches plus claires de la robe … ça ira.


Voyons, ensuite … il me faudrait quelque chose pour me tenir chaud en haut … un pull, non … ça n'irait pas avec la robe … je retourne dans le rayon des vêtements pour femme … des manteaux, des parkas, des doudounes … mouais, c'est pas terrible, tout ça … bien trop long … plus long que ma robe, même … ah si … voilà ! Ça, ça devrait le faire … ce sont des espèces de doudounes, mais très courtes, un peu matelassées, avec une capuche bordée de fausse fourrure … à vue de nez, elles ne descendent pas plus bas que la taille … le truc, c'est que ça doit être pour les filles … et même les JEUNES filles … alors je ne sais pas si je vais trouver ma taille en largeur … si je vais pouvoir y loger ma carrure. Voyons … ah oui, il y a des modèles plus grands … heureusement, maintenant, dans le prêt-à-porter, on pense aux filles un peu rondes … celle-ci devrait m'aller … je pose ce que j'ai choisi sur le portant, j'ôte mon blouson et j'enfile cette doudoune … Yessss, elle me va ! Il ne faudra pas que je mette quelque chose en-dessous, mais si la robe est assez chaude, comme me m'a dit la vendeuse, ça ne sera pas nécessaire … Vendue ! Et puis, comme je suis dans le rayon, j'en profite pour prendre aussi une écharpe … elle me permettra de dissimuler un peu mon visage … on ne sait jamais, si je rencontrais des gens au cours de ma balade, sans ça, à ma tronche, ils verraient tout de suite que je suis un mec … tiens, ils vendent un ensemble assorti, écharpe ET bonnet …


Je passe ensuite au rayon chaussures … mais pas la moindre paire de ballerines de sport … et rien dans les chaussures pour homme qui pourrait faire l'affaire … en sortant, je verrais si il n'y a pas un magasin de sport dans le coin … 


J'allais me diriger vers les caisses quand je me ravise … et si j'en profitais pour prendre aussi un jean … un jean stretch, évidemment … Je trouverai bien une occasion de mettre ça. J'adore ! Les fesses et les cuisses moulées, serrées dans un de ces jeans … rien dessous, ni slip ni petite culotte ... pas même un string ... avec la couture centrale qui me rentre à fond dans la raie du cul et qui me titille la rondelle … le paquet, bite et couilles bien serrés dans une jambière et bien mis en évidence … Allez hop, demi-tour … Là, il y a le choix ! Des slim, des skinny … Putain, c'est le pied ! On est revenu aux jeans hyper moulants, comme dans les années 70-80. Mais, à l'époque, la toile était raide, alors que maintenant, elle est souple, extensible, douce … Vive la mode ! J'en décroche deux de leur portant et je teste leur élasticité. Oh yessss ! Ça va le faire ! Là, je peux me permettre de prendre du L, même en taille pour femme ! Je vais me régaler !


Bon, cette fois, direction les caisses. Quand j'arrive, les deux caisses sont ouvertes et il y a la queue aux deux ! La vendeuse qui m'a renseigné tout à l'heure est là. Je me mets au bout de la file qui va passer à sa caisse. J'aime bien ce moment, aussi, quand je dépose ostensiblement sur le tapis de caisse les vêtements féminins et la lingerie que j'achète. Au début, il y a deux ou trois ans, je m'efforçais de cacher la lingerie sous le reste, de façon qu'il n'y ait que la caissière pour voir ce que j'achetais … maintenant, au contraire … je mets toujours la lingerie la plus sexy au dessus … au vu et au su de tout le monde, employés comme clients … ça aussi, ça fait partie du plaisir … Là, c'est deux petites jeunes dans la file d'à côté – dix-huit ou peut-être vingt ans - qui remarquent le string fuchsia étalé sur le sachet du collant plus sombre, que je porte sur mon bras … elles se regardent et, sans un mot, elles se sourient … elle doivent se dire "tiens, voilà un mec qui achète de la lingerie pour sa femme" … La vendeuse qui m'a renseigné tout à l'heure vient de me repérer … et sans la moindre hésitation, elle interpelle sa collègue et me désigne du menton … d'où je suis, je n'entends pas ce qu'elle lui dit, mais ça doit être quelque chose du genre "regarde, c'est le type dont je t'ai parlé … celui qui s'achète une robe et de la lingerie". Sa collègue me regarde … et la cliente dont elle est en train de s'occuper se retourne, intriguée. Elle a dû entendre ce que l'autre disait. Je leur souris. Si vous croyez que ça me gêne, mesdames ! Au contraire !


Voilà, c'est mon tour. Je dépose mes achats sur le tapis. Dans les yeux de ma vendeuse-caissière, je lis … du mépris ? Par ses mimiques, elle manifeste clairement sa réprobation. Elle scanne les articles en les manipulant du bout des doigts … comme si ils étaient sales, comme si je les avais portés… beurk, un type dégoûtant qui se tripote dans la lingerie … quand elle a terminé, je lui tends ma carte bancaire. Elle me montre la machine d'un air hautain. Toi, ma cocotte, attends ! Je pianote mon code, et je lui lance:

- La robe, là, si elle ne me va pas, je peux la changer ?


Elle est muette, estomaquée … j'ai osé ! Autour de nous, c'est le silence … tout le monde nous regarde. J'en rajoute une couche:

- Hein, dites, si des fois cette robe ne m'allait pas, est-ce que je peux la changer ?

- En tout cas, si vous voulez la changer, je vous l'ai dit tout à l'heure, il n'y a pas plus grand …

- Ah oui, vous avez raison … en tout cas, je vous remercie, vous m'avez très bien conseillé.


D'un coup, la voilà impliquée dans ma … perversion … elle pique un fard et regarde tout le monde d'un air désespéré. Sa collègue et les clientes à qui l'échange n'a pas échappé se marrent discrètement. Je demande:

- Je peux avoir un sac ?  


Elle fouille sous sa caisse et balance un grand sac sur le tapis de caisse. Posément, je range mes articles un à un et je lance: 

- Au revoir. Et encore merci.


Je sors. Je regagne ma voiture. J'ouvre la portière arrière, et je dépose mes emplettes sur la banquette. Quand je me retourne, les deux petites jeunes qui faisaient la queue à côté de moi, sortent à leur tour du magasin, bras dessus, bras dessous, en riant. Elles me voient et la plus grande tape doucement dans ses mains à mon intention. Elle a apprécié le spectacle et elle m'applaudit. Je la remercie d'une signe de la main. Alors, entraînant sa copine, elle bifurque et s'approche:

- Vous lui avez mis la honte, à la caissière …

- Elle m'a cherché.

- Et quand vous êtes sorti, cette salope, elle a répété à tout le monde que vous étiez un sale vicieux parce que vous mettez des robes et des petites culottes de femme … c'est vraiment dégueulasse de dire des trucs comme ça …

- Bof … en même temps, c'est vrai …

- …


Les deux gamines écarquillent les yeux, suffoquées. Elles se demandent si je suis sérieux ou si je plaisante. Alors:

- Ben oui, elle a raison, c'est pour moi que j'ai acheté tout ça …

- Vous êtes … vous êtes un …

- Un travesti … oui …


La plus grande marque le coup, reste silencieuse une seconde ou deux … et elle éclate de rire … puis elle se reprend:

- C'est vrai ? Non, je … je croyais que vous plaisantiez …

- Pas du tout … vous avez quand même entendu dire que ça existe, non ?

- Ben oui, mais …

- Et bien voilà, vous pourrez dire que vous en avez rencontré un … pas en tenue, mais quand même …

- D'accord … 

- Dites, les filles, vous êtes du coin ?

- Euh oui.

- Vous savez où je peux trouver un magasin de sport ?

- Ben oui, un peu plus haut, entre le magasin de jouets et celui d'électro-ménager.

- Ah, je ne l'ai pas vu. Bon … merci et au revoir.

- Au revoir.


Et, toujours bras dessus, bras dessous, elles s'éloignent en commentant et en riant. Quand je les dépasse en voiture, un peu plus loin, elles me font des grands signes de la main. En effet, je n'avais pas fait attention à ce magasin de sport. Comme je m'y attendais, il y a effectivement des ballerines de sport pour homme. Me voilà équipé. 


Maintenant, je me dépêche de rentrer au gite. Ça me fait la même chose à chaque fois que je m'achète de la lingerie ou des vêtements sexy. J'ai hâte de les essayer … passer cette robe, sentir ce tissu sur ma peau, me regarder dans un miroir, me caresser … et mettre ce string … y loger ma bite et mes couilles … enfiler ces collants … hhhmmmm … et ce jean … je me sens tout émoustillé … et je sens que je bande déjà un peu …


Et ce soir, je vais avoir la visite de ce capitaine de gendarmerie ! Je me demande quand même ce qu'il veut vraiment, celui-là ! Seulement regarder les vidéos de mon gangbang ? Il n'aurait pas une idée derrière la tête … comme me sauter, par exemple ? Il faut dire, je lui ai tellement fait comprendre clairement que je suis une "fille facile" que ça ne serait pas étonnant. On verra bien. Je fais quoi, si il veut me sauter ? Je ne vois pas trop en quoi ça pourrait être embêtant … au contraire, ça pourrait servir. Ce qu'il y a, c'est qu'il faudrait que je prenne des dispositions pour les photos et les vidéos. Elles sont toutes sur mon disque dur externe … aussi bien celles du gangbang chez Jean-Claude, que celles avec Denis et ses potes, quand ils m'avaient emmené dans ce bar, chez Jeanneau, et qu'après, ils m'avaient traîné un peu partout en ville … mais ce n'est pas celles-ci qui pourraient poser problème … c'est celles de Pierrot. Celles-là, il ne faut pas que la capitaine tombe dessus. On est dans l'illégal, avec ces photos et ces vidéos, dans le délictueux. Le mieux, c'est de transférer les photos et les vidéos de Pierrot ailleurs … il y a bien le Cloud, mais je n'ai pas confiance. Il faut que je passe dans une grande surface pour acheter un deuxième disque dur externe.


Samedi 16 décembre. 15h00

 

Me voilà enfin de retour au gite. Je n'ai même pas eu le temps de déjeuner. C'est pas grave, j'ai l'habitude. Je peux sauter un repas. J'ai balancé le sac avec mes achats sur le lit, j'ai mis en route mon ordinateur, et pendant qu'il démarre, je suis en train de déballer le disque dur externe que j'ai acheté tout à l'heure. Voilà, les deux sont branchés et je peux commencer à transférer les vidéos de Pierrot. 


Pendant que ça tourne, je sors mes achats … Ouaaaaahhh, cette robe, ce qu'elle est douce à manipuler ! Vite, je me déshabille et je la mets. Hhhhhmmmm ! Rien qu'à l'enfiler, c'est un régal … j'ai l'impression de mettre ... une seconde peau. Elle épouse mes formes en glissant sur moi, elle me colle, elle me moule … j'adore ! Il n'y a qu'au niveau des emmanchures qu'elle est un peu juste … au niveau des épaules, j'ai l'attache des bras un peu grosse … mais ça va, ça passe … je la lisse du plat de la main depuis la poitrine jusqu'au milieu de mes cuisses … même au niveau des cuisses, elle est très moulante … hhmmmm … vite, j'ouvre la porte de la salle d'eau sur laquelle est fixé un grand miroir. Putain … quelles formes elle me fait, cette robe ! Elle souligne ma taille … elle accentue la cambrure de mes reins … elle fait ressortir la courbe de mes fesses … elle galbe mes cuisses … Oh la laaaa, quel cul ça me fait ! C'est un véritable appel au pelotage … Je me caresse longuement le cul et les cuisses devant ce miroir … J'ai acheté cette robe – et le reste - uniquement pour pouvoir me balader les miches à l'air, mais maintenant que je l'ai essayée, je suis convaincu que ce serait surtout un sacré piège à mâles !


Voyons … et avec le collant et les guêtres, ça donne quoi ? Hhhhmmmm, ça aussi, enfiler les jambières du collant, les étirer pour les remonter sur mes cuisses … relever le bas de ma robe jusque sur mes reins pour placer la ceinture du collant autour de ma taille … ouaaahhh, le cul et la bite à l'air ! Je rabats la robe sur mes cuisses … ouaiiiiiis … dans le miroir, c'est pas mal aussi comme ça … et on ne voit absolument pas qu'en dessous, j'ai les miches à l'air … seule la bosse que fait ma bite sous le tissu put révéler ce que je suis … et il suffirait de laisser le bas de la robe remonter légèrement pour que ma queue pointe le nez en dessous … je suis sûr qu'un peu de marche serait suffisant pour que ça se fasse tout seul, sans que j'aie besoin d'intervenir. 


Par acquit de conscience, je mets toute la tenue, doudoune et écharpe comprises … ouais, ça ira … comme ça, pour peu qu'on n'y regarde pas de trop près, je peux passer pour une femme … une femme un peu taillée comme une nageuse de compétition, mais une femme … J'ôte tout et j'essaie le string … Ouais, il est vraiment mini-mini. Je ne sais pas si je le mettrai … je pourrais toujours le fourrer dans une poche, il ne tiendra pas de place … Là, je me rends compte que, depuis que je suis ici, je me suis un peu négligé … ma pilosité en a profité pour se lâcher … on dirait presque un mec. Il va falloir remédier à ça et mettre un bon coup de rasoir dans cette savane.


Enfin, j'essaie le jean … là aussi, quel régal … je dois faire un véritable effort pour l'enfiler, tellement il est étroit … mais heureusement, sa toile est si souple et extensible qu'elle se prête docilement à mes efforts et se coule autour de mes formes … finalement, il me moule autant que le collant … mais en plus, dedans, je me sens serré, contraint, tenu, parfaitement moulé … j'adore ! Je glisse consciencieusement sa couture centrale dans la raie de mon cul, et je la tends autant que possible … il faut que je la sente se presser contre ma rondelle … puis j'installe mes fesses, chacune dans le haut d'une jambière … et enfin, je me cale le paquet à gauche de l'extrémité de la couture centrale et de l'amorce du zip … enfin, je remonte celui-ci et je ferme le bouton métallique de la ceinture … Voyons, dans le miroir … Oh les courbes,  le CUL que ça me fait ! Rebondi, charnu, ferme … avec ces deux poches plaquées qui mettent en valeur la chute de mes reins ! Et les CUISSES ! Fuselées, galbées … Et devant ? Putain, il me moule le paquet … faut voir ! On distingue parfaitement la forme de ma bite … et même celle de mon gland ! Et mes couilles, aussi … alors, cette fois encore, je passe longuement mes mains sur cette toile … sur mes fesses, sur mes cuisses, sur ma bite, sur mes couilles … et je glisse le bout de mes doigts tout le long de la couture centrale du jean.


D'un seul coup, il me vient une idée … ce soir, quand le gendarme va venir, je mettrais ce jean … il est très indécent avec mon paquet moulé, mis en évidence comme ça, mais je m'en fous … me montrer à lui dans cette tenue, c'est très anodin après ce que je lui ai raconté ce matin … et ce que je vais lui montrer … Je me demande … je me demande si ça va l'exciter, de regarder mes vidéos … de me voir me faire fourrer par tous ces mecs … si il bande, est-ce qu'il va le montrer ou essayer de le cacher ? Si il est très excité, est-ce qu'il va vouloir que je lui fasse quelque chose ? Ou que lui me fasse quelque chose ? C'est curieux, c'est seulement maintenant que je pense à lui comme ça … ce matin, à aucun moment, je ne l'ai vu comme un mec … comme un mâle, je veux dire, un mec avec une bite et des couilles, un mec susceptible de me baiser … à cause de l'uniforme ? Ou alors c'est parce que je m'efforçais de rester très concentré sur ce que je devais lui raconter … Bon, de toute façon, c'est décidé, je le reçois avec ce jean sur le cul … on verra ce que ça lui fait … Non, il n'y a rien à faire, je n'arrive pas à imaginer qu'il puisse me baiser ou que je puisse lui tailler une pipe …


Bon, c'est pas tout ça, il faut que je m'occupe de mon corps … demain matin, dès que je suis levé, je file me balader les miches à l'air sur une plage ou sur un sentier … alors je vais me préparer autant que possible dès aujourd'hui, et je fignolerais demain matin, si c'est nécessaire …


Je viens de me raser la bite et les couilles et je m'attaque à ma rondelle quand je me dis que, peut-être, je ferais bien de me préparer pour ce soir … pour le cas ou le gendarme voudrait me baiser … il faudrait que je sois clean … alors, j'essaie d'ôter le pommeau de douche de son flexible pour voir si je peux me faire un lavement … mais non, impossible, il est vraiment bloqué et je n'arrive pas à le desserrer à la main … comment faire ? J'ai un peu de temps, je vais aller acheter une pince … et j'en profiterai pour faire deux ou trois courses.


Samedi 16 décembre. 18h00

 

Je rentre au gite. Ça y est, j'ai ma pince. Au supermarché, j'ai aussi acheté du jus de fruit, du Coca et du whisky … le capitaine voudra peut-être boire quelque chose … j'ai tout mis au frais dans la cuisine collective du gite. Ah oui, j'ai aussi acheté un paquet de capotes. Si le gendarme a envie de me baiser, il ne faudrait pas qu'il renonce parce que je n'ai pas de capote. Bon, je crois que je suis prêt. Le transfert des vidéos de Pierrot sur mon deuxième disque dur est terminé, et je l'ai planqué dans le frigo de la cuisine. Je vais me faire un premier lavement maintenant … et je m'en ferai un autre juste avant que le capitaine arrive.


Samedi 16 décembre. 20h30

Je suis prêt. C'est bizarre, je me sens comme une pucelle le jour de son premier rendez-vous avec le "loup". Pourtant, le "loup", ça fait un moment que je l'ai vu … et j'en ai vu, des "loups", en quelques mois ... toute une meute, même ! Bon, peut-être qu'il n'a pas l'intention de me sauter, le gendarme, mais ça ne fait rien, au moins, je vais déjà me régaler à lui montrer mes vidéos. J'ai mis mon nouveau jean hyper moulant … sans rien dessous, évidemment …  et je le sens qui me moule étroitement les fesses et les cuisses … et je sens aussi la couture du milieu parfaitement plaquée au fond de ma raie. J'adore ces sensations. J'ai aussi mis un cockring … juste sous mes couilles … un cockring que j'ai improvisé à partir d'un élastique à cheveux que j'ai acheté tout à l'heure avec le reste. J'ai vérifié dans le miroir … sous la toile de mon jean, on devine parfaitement la silhouette de mon paquet, tellement il est étroitement moulé … là, ma bite, légèrement en érection, et là mes couilles … je passe le bout de mes doigts dessus … hhhmmmm … on reconnaît même la forme de mon gland … Il ne peut pas ne pas remarquer tout ça, mon gendarme … surtout que j'ai soigneusement choisi ce que je porte en haut … j'avais commencé par un pull, mais il est trop long et ils masquait presque tout mon bas ventre … alors j'ai préféré mon sweat-shirt rouge … il ne me descend pas en dessous de la ceinture … effet garanti !


Bon, j'espère qu'il ne va pas trop tarder … et même, tout simplement, qu'il va venir … je jette régulièrement un coup d'œil par la fenêtre de mon gite, qui donne sur le parking en contrebas.


21h00.

Putain, qu'est-ce qu'il fout ? A mon avis, il ne viendra pas …


21h05

Ouais, c'est sûr, c'est foutu. Merde ! Je ne vais quand même pas m'être préparé comme ça pour rien ! J'attends encore dix minutes et je me barre … je vais aller … je sais pas … sur le port, à Pors-an-Enez. Là, je pense qu'il y aura de l'animation … je pourrais mettre mon cul et le reste sous le nez de la faune qui traîne là-bas … ça devrait en intéresser certains …


21h10

On frappe … deux coups à la porte . Ffffffffffffff ! Ça y est, le voilà ! J'ouvre.


C'est bien lui. Je suis surpris parce qu'il est en civil. Je ne sais pas pourquoi, je l'imaginais venir en uniforme. Il me regarde, interrogatif:

- Bonsoir …


Oui, je reste là, comme un con, à tenir la porte …

- Oui, bonsoir … entrez.


Il porte une parka bleu marine, un jean et des tennis … et une eau de toilette très agréable. Ce n'est plus le même homme. Ou plutôt, maintenant C'EST un homme, alors que ce matin, c'était seulement un uniforme. C'est un homme avec qui je peux envisager de … J'ai eu juste le temps de saisir le bref regard qu'il a posé sur moi … en un clin d'œil, il m'a scanné de la tête aux pieds, mais, c'est sûr, il m'a surtout reluqué sous la ceinture … ça me plaît, de me montrer à lui comme ça … dans un jean aussi moulant, qui me met le paquet tellement en évidence, je suis presque plus indécent que si j'étais carrément à poil … c'est une façon d'annoncer la couleur, "regarde … tu peux même toucher, si ça te dit … c'est à ta disposition" … en moi-même, je me dis que maintenant, il faut que je trouve le moyen de lui montrer mon cul … j'ai capté un étonnement amusé dans son regard … mais il ne manifeste rien … rien qu'un sourire poli:

- Excusez-moi, je suis un peu en retard … en venant, j'ai croisé Gégé.

- Ah bon ?

- Oui. Gégé et sa mobylette … On s'est arrêtés tous les deux et on a bavardé cinq minutes. Il partait en bordée.

- En bordée ?

- Oui. Il partait faire la tournée des bars, à Pors an Enez. Il fait ça tous les samedi et tous les dimanche. Souvent, comme il n'est pas en état de rentrer, c'est une de nos voitures de patrouille qui le ramène.

- Ah oui ?

- Oui. On a l'habitude. On sait où le trouver. On préfère le ramener plutôt que de le laisser prendre la route sur son engin. Il finit la nuit chez nous, en cellule de dégrisement. Nos cellules, il les connaît bien, le Gégé ... même à jeun ...

- A ce point ?

- Oui. On l'a arrêté je ne sais pas combien de fois. La nuit, il cambriolait les commerces et les résidences secondaires, il vidait les casiers des pêcheurs pour revendre les homards et les langoustes, il siphonait le réservoir des poids lourds ... et je passe sur le reste. 

- Il fait encore ce genre de choses ?

- Non. Maintenant, il travaille ... au noir ... vous êtes bien placé pour le savoir ... mais puisque la justice ferme les yeux ...

 

Je sens de la rancœur dans sa dernière remarque.

- Pourquoi elle ferme les yeux ?

- Ben ... on a des juges qui se prennent pour des assistances sociales. Ils préfèrent qu'il travaille au noir plutôt que de continuer ses méfaits.

- Ils 'ont peut-être pas tort ...

- Mouais ... mais nous, on passe pour des ..

 

Il laisse sa phrase en suspens. 

- Ah ... Bon, vous voulez ôter votre parka ?

- Oui, merci.


Il me la tend et je vais l'accrocher à la patère. La voilà, l'occasion ! Pendant que je lui tourne le dos, j'espère qu'il mate mes fesses. Quand je me retourne, je le surprends, les yeux effectivement fixés sur mon cul. Yessss ! Reste plus qu'à espérer que mon cul lui fera le même effet qu'aux autres mecs. Même si il n'ose pas le toucher et essayer de se le payer, ça le fera peut-être rêver et fantasmer. Il relève la tête, un peu gêné.  J'ose, ou j'ose pas ? J'ai une furieuse envie de lui demander ce qu'il pense du jean que je viens d'acheter … évidemment en tournant sur moi-même, pour qu'il puisse apprécier à la fois le côté pile et le côté face … mais non, tout de même … je n'ose pas … pas tout de suite …


- Bon … alors, je vous les montre, ces vidéos ?

- Ben … oui … si … si ça vous gêne pas … parce que, vous savez, si ça vous embête …

- Non, non, ça ne me gêne pas … ce qui est dit est dit … quand je décide quelque chose, je m'y tiens … tenez, asseyez-vous là …

- Vous savez, vous m'étonnez quand même, hein … 

- Ah bon ?

- Oui. Déjà, avouer à un officier de police judiciaire que vous vous faites …

- Attendez ! Je n'avoue rien … On avoue … je sais pas … un crime ou un délit … moi, en me faisant sauter par des hommes, je ne me commets ni un crime ni un délit … alors je n'avoue pas, je RECONNAIS …

- Si vous voulez … donc, reconnaître ça devant un officier de police judiciaire, c'est déjà une chose, mais ensuite, accepter de lui montrer des photos et des vidéos de … de vos gangbangs … de quelque chose de tellement … intime …

- D'abord … oui, ce matin, j'ai reconnu devant un officier de police judiciaire me faire sauter dans des gangbangs … mais ce soir, c'est pas à l'officier de police judiciaire que je vais montrer mes vidéos, c'est à un particulier, à un civil … on est bien d'accord, tous les deux ? Vous n'êtes pas ici comme gendarme …

- Non, non ! Vous avez raison. Là, c'est pas le gendarme qui est là. C'est Michel Blanchard, simple civil, et à titre strictement privé.

- Bon. Comme ça, ça va.


Je lui désigne la table collée contre la cloison, où j'ai posé mon équipement informatique, et je tire pour lui une des deux chaises qui sont glissées dessous. Mon ordi est resté allumé et, pendant qu'il prend place, je manipule la souris à la recherche du fichier de mes vidéos:

- Je vous préviens … ce que je vais vous montrer, c'est vraiment du hard, hein …

- Ah bon ... à ce point ?

- Oui. Alors, pour commencer, je vous montre les vidéos de mon plus gros gangbang …

- Là où vous … enfin … le gangbang d'une trentaine d'hommes ?

- C'est ça.


Je m'assieds à côté de lui, à sa droite, un peu tourné vers lui, et je démarre la première vidéo. C'est celle où je me fais tringler sur la pelouse par ce type, là, celui qui était tellement velu qu'il me faisait penser à un ours. A côté de moi, mon gendarme sursaute sous le choc des toutes premières images. Il faut dire, ça commence très fort … immédiatement, on voit deux corps, l'un derrière l'autre, en gros entre le nombril et le haut des cuisses … Celui qui filme a commencé par un gros plan sur un coït. Moi, je sais que le corps du dessous, allongé plus ou moins sur le dos, c'est "l'ours". Je sais aussi que celui qu'il est en train de prendre "en cuiller", c'est moi. Mais, évidemment, sur ce premier plan, on ne voit pas ma tête et on ne me reconnaît pas. Et dès les premières images, il est clair que c'est un accouplement entre deux hommes: on voit le sexe de "l'ours" qui va et vient dans mon cul et au-dessus, on voit le mien, de sexe, qui ballotte de droite à gauche. Ce qu'on voit aussi, c'est ma minijupe rouge, retroussée sur ma taille, et, dépassant un peu en dessous, le porte-jarretelles en dentelle noire que j'avais mis pour l'occasion et les bas assortis à ma jupe  … J'explique à mon gendarme:

- En fait, c'est la toute première vidéo qui a été faite ce jour là avec mon accord … jusque là personne n'avait osé sortir ouvertement son smartphone. 


On voit que j'ai les cuisses largement écartées … et on devine que je bouge mon bassin pour accompagner les coups de bite de "l'ours" … notre posture est absolument indécente … surtout la mienne, d'ailleurs … un mec en porte-jarretelles et en bas, qui se fait enculer … les bites de deux mecs sur la même image, mais une qui va et vient dans le cul de l'autre …

 

J'observe le gendarme … il semble impassible … et puis celui qui filme se recule et fait un plan plus large … on  vois d'abord mon T-shirt, rouge lui aussi, puis on découvre ma tronche et celle de "l'ours", derrière moi … l'ours qui, d'une main, me tient la jambe droite au niveau du genou pour maintenir mes cuisses bien écartées … je guette la réaction du gendarme au moment où il va réaliser que c'est bien moi qu'on voit se faire enculer. Et en effet:

- Mais … c'est … c'est vous ? ! ? !

- Ben oui. Qu'est-ce que vous imaginiez ? Je vous ai dit … dans mes gangbangs, il n'y a que moi qui me fais baiser …

- Ben je … je sais pas … je m'attendais pas … à ça … j'ai cru que c'était quelqu'un d'autre, sur cette première vidéo, avec cette … cette tenue … c'est tellement … en effet, c'est vraiment très hard !

- Je vous ai prévenu, hein.  Vous voyez ? C'est bien moi … on me reconnaît bien, non ?

- Ou … oui. Le type, là, derrière vous, il vous … il vous …

- Il m'encule … vous pouvez le dire.

- Oui, il vous ... il vous sodomise ... enfin, il vous encule, c'est vrai


Tiens, il me rappelle Yolaine, quand elle a commencé à user de ce genre de vocabulaire. Il a prononcé "il vous encule" lentement et du bout des lèvres … Je sens que les questions se bousculent dans sa tête, mais soit il n'ose pas les poser, soit il ne sait pas par laquelle commencer. Il reprend:

- Alors, vous … pour vos … pour vos gangbangs, vous vous … vous vous travestissez ?


Il a posé la question sans même se tourner vers moi. 


- Ah oui, j'aime beaucoup. Comme ça, je trouve que je fais encore plus … femelle et encore plus salope que carrément à poil …  et ceux qui me baisent, ils aiment aussi beaucoup ! C'est bien plus excitant … pour eux comme pour moi …


Maintenant, le vidéaste fait un plan encore plus large et balaie l'assistance avec son objectif … on découvre, debout autour de nous, une quinzaine de types, certains complètement à poil, d'autres avec seulement une chemise ou un T-shirt, mais tous avec la bite à la main … Putain, c'est moi qui me trouvais au centre de cette scène, c'est moi qui ai vécu ça, mais la revoir comme ça, sur mon ordi, en présence de ce mec … un frisson me parcourt de la tête aux pieds … j'ai eu beau regarder ces vidéos je ne sais combien de fois, je ne suis toujours pas blasé si peu que ce soit … c'est toujours aussi excitant. Je suis sûr que ça va aussi finir par l'exciter, mon gendarme.


D'ailleurs, il a cillé, en découvrant les mecs qui nous entouraient, l'ours et moi … il faut dire que, si on ne s'y attend pas, ça a de quoi troubler … je me fais baiser sous le regard de spectateurs … qui plus est, des spectateurs à poil, qui bandent et qui se tripotent … évidemment, n'importe qui, en voyant ça, ne peut pas s'empêcher de penser que les spectateurs vont certainement devenir acteurs et qu'ils vont aussi me baiser.


- Vous voyez ? Il y avait du monde, hein ?

- Ah oui, en effet. Et ça se passe où ? On dirait …

- C'est dans la cour d'une ferme, où un ami cultivateur nous a accueillis.

- Et tous ceux qui sont là … ils vous ont … ils vous ont tous … 

- Enculé ? Oui.


Je sens que là, vis-à-vis du gendarme, j'ai gagné en crédibilité. Si il lui restait des doutes sur ce que je lui ai raconté ce matin, il doivent commencer à se dissiper.

- Et encore, ils ne sont pas tous là. Là, ils sont à peu près une quinzaine. Vous allez en voir d'autres sur les vidéos suivantes …

- Ah, d'accord …

- En fait, ça, ce n'est même pas le début du gangbang. Là, quand ce type me baise et qu'on commence à nous filmer, j'ai déjà commencé depuis un moment avec d'autres mecs, mais jusque là, personne n'avait pensé à filmer …  à ce moment là, je pense que je me suis déjà fait baiser par trois ou quatre autres types … je me souviens plus exactement … et j'en ai déjà aussi sucé plusieurs. Quand je dis "sucé", c'est "sucé jusqu'au bout", hein, "sucé jusqu'à ce qu'ils jouissent" ... aussi trois ou quatre, il me semble, ça non plus, je ne me souviens plus. J'avais commencé par ça … les sucer un peu tous … du moins, ceux qui étaient là quand je suis arrivé. Ça a démarré pratiquement tout de suite. A peine dix minutes après être descendu de voiture, j'avais déjà une bite dans la bouche et une autre dans chaque main.

- C'est-à-dire … si je vous comprends bien, quand vous arrivez dans cette … dans cette ferme, il y a là quelques hommes … 

- Oui, une douzaine, à peu près …

- … une douzaine d'hommes que vous ne connaissez pas, hein … et presque aussitôt, vous les … vous les sucez …

- Oui, c'est ça.

- … 

- Tenez, vous voyez ? 


J'ai arrêté la vidéo.

- Vous voyez ? Sur ce plan là, on voit que je me suis déjà fait baiser avant ce type, là … regardez, là, ce qui brille … on dirait que c'est mouillé, hein … et ben c'est du sperme …  j'ai déjà du sperme plein le cul et même sur le haut des cuisses.

- Parce que … parce que … ils ne … ils ne mettaient pas de préservatif ?

- Non … à part l'un d'eux, aucun n'a mis de préservatif. Il y en avait, hein, des préservatifs, mais c'est moi qui leur ai demandé de ne pas en mettre.

- Ah bon ? ! ? ! Et … et ils ne se retiraient pas … au moment de … ils ne se retiraient pas ?

- Au moment de jouir ? Non … ça aussi, c'est moi qui leur ai demandé … sentir les hommes jouir en moi, ça me rend … ça fait partie de mon plaisir … 


J'ai failli lui dire "ça me rend folle"! Je redémarre la vidéo.

- Mais … vous … vous n'avez pas peur d'attraper une maladie ?

- Non. En principe, tous ces types sont sains …


La vidéo se termine. Mon gendarme reste à regarder fixement l'écran de mon ordi. Comme s'il digérait ce qu'il vient de voir. La main sur la souris, je lui demande:

- Alors ? Vous êtes convaincu, maintenant ?

- Je suis convaincu de quoi ?

- Ben, que je vous disais la vérité, ce matin … j'ai senti que vous doutiez de ce que je vous disais …

- Ben, avouez qu'il y avait de quoi … mais j'avais quand même senti qu'il y avait une part de vérité … les collègues de la PJ de Seine-et-Marne aussi, d'ailleurs …

- Ouais, je sais bien que ça pouvait sembler du baratin … et vous en pensez quoi, maintenant ?

- Comment ça …

- Ben … je sais pas … vous devez bien en penser quelque chose, de ce que vous venez de voir … Vous condamnez ce genre de pratique ? Vous trouvez ça immoral ? Ou bien ça vous est indifférent ? Ou alors vous approuvez, vous appréciez … ça vous fait envie ?

- Me faire envie … non. Je … condamner … non plus. Vu que vous faites ça volontairement, je … si ça vous plaît et que ça ne dérange personne, je vois pas pourquoi je condamnerais … 

- Bon, ça, c'est l'aspect ... disons l'aspect moral … mais autrement, ça vous fait quel effet, de voir ça ?

- Comment ça …

- Ben … ça vous déplaît, de regarder ça ? Ça vous répugne ? Ça vous dégoûte ?

- Non, non … je peux pas dire que ça me répugne ou que je trouve ça dégoûtant … c'est pas le genre de choses que je ferais, mais … non … ni répugnance, ni dégoût …

- Ça vous excite ?

- …


Il me regarde, choqué. Je le sens troublé par ma question … comme si j'avais mis le doigt sur un point sensible.

- Hein, ça vous excite pas un peu ?


Il déglutit et regarde fixement l'écran de l'ordi. Je sens qu'un malaise pourrait s'installer. Alors:

- Moi, revoir ces vidéos, ça m'excite. Bon, on continue ? Je vous montre la suite ?


Il se contente de hocher la tête. On continue. Je clique sur la vidéo suivante. Le même vidéaste a recommencé à filmer presque immédiatement. Il faut dire que c'est à ce moment qu'un autre vidéaste, celui que j'avais surnommé "le comptable", s'était approché de l'ours et de moi et qu'il m'avait demandé de le sucer. Quand cette deuxième vidéo commence, on voit "le comptable" juste à côté de moi … il brandit son propre smartphone et visiblement, il filme en gros plan mon coït avec "l'ours" … et il bande ! On aperçoit sa bite qui soulève son T-shirt … une petite bite, mais très raide et dressée à la verticale … après avoir filmé notre coït en gros plan, on le voit qui relève son smartphone, et qui nous filme … ou plutôt qui ME filme, depuis mon entrejambe, où la bite de "l'ours" va et vient, jusqu'à ma tête … puis il s'agenouille tout près de moi, presque à me toucher … d'une main, il soulève le bas de son T-shirt, de l'autre, bras tendu, il nous filme, lui et moi, comme pour faire un selfie, il tend son ventre vers moi et me lance "Suce-moi, salope !". 


C'est plus fort que moi, ça me fait bander, de revoir tout ça. Depuis un moment, je sens ma bite qui grossit dans mon jean, mais elle a un peu de mal à s'épanouir, coincée, serrée comme ça dans cette toile. En gonflant, elle s'allonge en se repliant un peu sur elle-même. Je me demande si il s'en aperçoit, que je bande, mon gendarme, quand il tourne la tête vers moi. Jusque là, je me suis contenté d'étendre mes jambes … l'une sous la chaise du gendarme, l'autre sous la table, mon pied tout près de son pied … j'ai étendu mes jambes, et je me vautre un peu plus sur ma chaise, mais je n'ai pas osé tirer sur la toile de mon jean pour faire un peu de place à ma queue, mais ça me démange. Oh, et puis merde ! Il est en train de me regarder me faire baiser, alors quelle importance s'il me voit me toucher la queue à côté de lui … je pince un peu du tissu de mon jean, et je le soulève … voilà, ma bite peut s'étaler tranquillement. Je crois qu'il n'a rien vu, le gendarme Blanchard. Tant que j'y suis, je laisse ma main gauche sur la bosse de ma bite et je me caresse doucement. 


J'adore cette situation. Je suis là, assis à … vingt centimètres de ce type … tourné vers lui, les jambes écartées … le ventre offert à sa vue, avec ma bite en érection qui fait une longue bosse sous la toile de mon jean, ma main gauche sur ma queue et la droite sur la souris …


Je l'observe toujours, le gendarme Blanchard. Cette fois encore, il a tressailli en voyant le "comptable" me présenter sa bite à sucer. Le smartphone du premier vidéaste a parfaitement capté son ordre … " Suce-moi, salope ! ". Et on me voit me pencher et prendre son sexe dans ma bouche. Mon gendarme est scotché ! Il tourne la tête, s'apprêtant à me dire quelque chose, et il découvre ma position … mes jambes écartées qui encerclent sa chaise, mon bas ventre étalé vers l'avant et ma main qui me caresse la bite. Il doit se sentir un peu coincé, comme ça, entre moi, à sa droite, et la cloison de la salle d'eau à sa gauche … il la regarde, ma main … pendant trois ou quatre secondes, puis il me regarde, moi … on dirait qu'il a oublié ce qu'il voulait dire, tellement il est surpris et troublé … et puis:

- Vous … il y en a un qui … il y en a un qui vous BAISE … et en même temps,  vous en sucez un autre ? ! ? !

- Oui. Mais, regardez jusqu'au bout … ça ne dure pas longtemps … ce type est très excité …


A ce moment, le premier vidéaste a eu l'idée de zoomer sur moi … ou, plus exactement sur la pipe que je commençais à tailler au "comptable" … le "comptable" qui se trouve alors de profil … et rapidement, on voit nettement ses couilles remonter vers son périnée et son urètre, sous sa verge, se gonfler brusquement … "le comptable" éjacule, c'est très net … "le comptable" éjacule dans ma bouche …


Le gendarme n'a rien perdu de la séquence … il a compris ce qui se passe … sidéré, il ne peut retenir une exclamation de stupéfaction:

- Mais … il vous … il est en train de …

- Oui, il jouit … et il éjacule dans ma bouche … mais attendez …


On voit le ventre du "comptable" secoué de spasmes violents … on l'entend haleter … mais il garde son smartphone braqué sur sa bite et sur moi … et puis on me voit sortir sa bite de ma bouche et bailler … j'ouvre ma bouche en grand face au smartphone du "comptable" … et je déglutis, j'avale.


- Vous … vous … vous avez AVALÉ ! ? ! ?


Fin de la deuxième vidéo.

- Oui, j'ai avalé. Ça aussi, j'aime beaucoup … le sperme, j'adore ça ! Le goût du sperme, la texture du sperme … j'y ai pris goût et maintenant, j'adore ça ! J'aime beaucoup sucer des bites, mais pour moi, le top, c'est quand les mecs jouissent dans ma bouche … Et eux aussi, ça leur plaît … la plupart des mecs n'ont pas souvent l'occasion de se finir comme ça … en général, celles ou ceux qui les sucent refusent … alors, quand ils tombent sur quelqu'un comme moi, vous pensez, ils se lâchent. Ce qui fait que, non seulement la plupart de ceux que j'ai sucés disent que je suis une bonne suceuse, mais en plus, ils apprécient de pouvoir éjaculer en restant bien au chaud dans ma bouche … 

- Ils disent que vous êtes "UNE BONNE SUCEUSE" ? Et ça vous choque pas qu'ils parlent de vous comme ça ... au féminin ?

- Que je sois une bonne suceuse … au féminin ? Non. En général, ils finissent tous par me parler comme ça. Et ça ne me gêne pas … au contraire. Oui, de l'avis de la plupart, il paraît que je suce vraiment bien. Tu sais, si tu veux essayer, c'est pas un problème … 


Il roule des yeux ronds en me regardant:

- Mais … non … non … et on … on se tutoie, maintenant ?

- Oh, hé ! T'es en train de me regarder me faire baiser et sucer une queue, alors, arrivés à un tel degré d'intimité, on peut bien se tutoyer, tu crois pas ?

- Ben, je … admettons, mais … en tout cas … en … en présence de mes adjoints, faudra me vouvoyer …


Je trouve ça marrant. Ce matin, c'est lui qui menait l'interrogatoire. Il était en position de force par rapport à moi. Maintenant, ça s'est un peu inversé, je trouve. J'ai l'impression que, à la fois du fait même de sa présence ici, "chez moi", d'une certaine manière, et du motif de sa présence, il culpabilise et il se sent en position de faiblesse. Alors, il n'ose pas trop la ramener. De plus, je pense qu'il ne s'attendait pas à voir du sexe aussi hard … et surtout, voir du sexe aussi hard dans une telle proximité avec celui-là même qu'il est en train de regarder se faire baiser, ça le met mal à l'aise … c'est que là, lui et moi, nous sommes presque à touche-touche … et peut-être même que ça le trouble un peu. Il insiste:

- Hein … si jamais on se retrouve en présence des personnels de la brigade, il faudra me vouvoyer … d'accord ?

- Ah d'accord, si y'a que ça … alors, t'as envie que je te suce ?

- Mais … non, voyons !

- Bon, comme tu veux … Ça t'excite pas, ce que je te montre ?

- Non … je suis pas … je suis pas homo … alors, ça ne m'excite pas … si j'étais homo, peut-être …

- Oh la la ! Homo, pas homo … y'a pas besoin d'être homo pour être excité par ce genre de scène ! Moi aussi, j'étais exclusivement hétéro quand j'ai commencé à y prendre goût. Tu sais y'a quelques hétéros qui m'ont baisé … il suffit d'avoir le courage de s'avouer qu'on en a envie …

- Ouais, ben c'est pas mon cas …

- Dommage. Bon. On continue quand même ?

- Ben oui.

- Ah oui, il faut que je te dise … le type que j'ai sucé, là … t'as vu, il filmait, lui aussi …

- Oui …

- Et ben, il a filmé toute la séquence … depuis la bite du type velu allant et venant dans mon cul, jusqu'à ce que j'avale sa crème à lui … et ben, sa vidéo, je l'ai, il me l'a envoyée … tu verras, vu de son smartphone, c'est encore mieux … Au fait, tu veux boire quelque chose ?

- Bah … pourquoi pas …

- Coca ? Jus de fruit ? Whisky ?

- Jus de fruit, alors.

- Bon. Je vais te chercher ça … c'est dans le frigo de la cuisine … Je te mets la vidéo suivante ?

- Si vous … si tu veux … mais tu sais, j'ai compris comment il faut faire.

- Ok. Ben vas-y, alors. Je reviens …

 

En me dirigeant vers la porte, je me dis qu'il va sûrement mater mes fesses moulées dans ce jean … alors, juste avant d'ouvrir, je tourne brusquement la tête. Bingo ! La main sur la souris, il a en effet les yeux braqués sur mon cul … je me cambre, je me claque une fesse et je lui lance:

- Pas mal, hein ?


Il ne répond pas et détourne le regard. Je sors.

 

à suivre.

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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Mercredi 19 décembre 2018 3 19 /12 /Déc /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.  

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.


De la même manière, je décris des actes zoophiles et je rappelle qu'il s'agit d'actes délictueux sanctionnés par la loi que je ne saurais approuver ou promouvoir.

 

Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

 

Vendredi 15 décembre. 09h20

Lionel, le patron de l'hôtel où je me suis fait sauter vient de me prévenir que je risque d'être mis sur écoute, après que Jo, le manouche, a été arrêté par les flics alors qu'il venait chez moi. Il faut donc que j'appelle Pierrot, l'éleveur de molosses pour qu'il évite de parler de ce qu'on fait avec ses chiens si jamais il devait me téléphoner.

 

Ça sonne longtemps avant de décrocher:

- Oui ?

- Salut, c'est Marin.

- Marin ? C'est quoi, ce numéro ?

- Ben, je n'appelle pas de chez moi, je suis en province … Voilà, je suis indirectement concerné par une affaire de voyoux … ils se sont fait arrêter par les flics au moment où ils venaient chez moi. Alors, la ligne de mon portable pourrait être mise sur écoute … c'est pour ça que je t'appelle pas de chez moi … donc, si tu m'appelles, évites de parler de ce qu'on fait avec les chiens, hein … 

- Ouais … ben je t'appelle pas, alors …

- Si, si, tu peux m'appeler, mais tu ne parles pas de ce qu'on a fait chez Jean-Claude, ni de ce qu'on prépare … éventuellement, c'est moi qui te rappelles d'une autre ligne …

- Bon, d'accord.

- Autre chose … si tu peux passer le mot à Jean-Claude …

- A Jean-Claude ? Ah ben ouais, évidemment. D'accord.

- Merci. Allez salut.

- Salut.

  

Et puis, tant que j'y suis, autant prévenir aussi Yolaine. A cette heure là, elle est sûrement au travail. Heureusement, j'ai le numéro de l'association où elle bosse:

- Yolaine ?

- Oui.

- C'est moi … Marin.

- Qu'est-ce … c'est pas ton numéro, ça …

- Non, je t'appelle de la ligne fixe du gite où je suis. Ecoute, je viens d'avoir un coup de fil de Lionel … tu sais …

- Oui … Lionel …

- Il est déjà au courant de l'arrestation des manouches devant chez nous … 

- Ah bon ? Ben justement, ça tombe bien que tu m'appelles …

- Pourquoi ?

- Ben, ce matin, les flics sont revenus … il était à peine 7 heures … ils ont perquisitionné chez toi.

- Ah bon ? ! ? ! Mais … pourquoi tu m'as pas prévenu ?

- Ils m'ont interdit … je savais pas comment faire, ils m'ont foutu la trouille, ils m'ont dit que si je t'appelais, ils le sauraient et que j'aurais des ennuis … 

- Alors ? Cette perquisition ?

- Ben j'ouvrais mes volets quand ils sont arrivés … deux voitures de flics en civil et deux voitures de gendarmes … et aussi une fourgonnette avec un serrurier … les flics et les gendarmes, ils étaient une dizaine en tout. Quand ils m'ont vue à ma fenêtre, un des flics m'a demandé si je n'avais pas les clefs de chez toi … alors je leur ai dit oui, que je les avais … alors ils m'ont dit d'ouvrir … et ils ont dit que je servirai de témoin … ils m'ont fait signer un papier … le serrurier aussi a servi de témoin …

- Alors ? Ils t'ont dit ce qu'ils cherchaient ?

- Non. Ils m'ont posé des questions mais ils m'ont rien dit … ils ont fouillé partout, ils ont mis un de ces  bazars … 

- Quel genre de questions ils t'ont posé ?

- Ben, comme hier, ce que tu fais comme travail, qui tu reçois … ce genre de questions … ah si, ils ont demandé si tu es marié …

 

Un silence gêné. Je la relance:

- Et alors ?

- Ben, je leur ai dit que t'es divorcé … ils ont redemandé ça quand ils ont fouillé ton dressing … j'étais avec eux à ce moment là …

 

Aïe ! Ben oui, ils ont dû trouver ma lingerie, mes vêtements féminins … et mes jouets, godemichés et autres … Yolaine poursuit:

- Ouais, ils ont redemandé quand ils ont trouvé … tes tenues, tes strings, tes porte-jarretelles … tout, quoi … ils ont demandé si c'était à ton ex ou à quelqu'un d'autre.

- Et tu leur as dit quoi ?

- Que je savais pas. J'ai fait l'étonnée, évidemment … mais y'en a un qui a regardé les tailles sur les étiquettes de la lingerie et des vêtements … et celle de tes ballerines … alors je crois qu'ils ont deviné que c'est à toi, tout ça … 

 

Tu m'étonnes ! Rien que les ballerines, c'est du 45 ! Et le reste est à l'avenant … Je demande:

- Et comment ils ont réagi ?

- Ben … ils se sont marrés … ils ont même appelé les autres, ceux qui fouillaient dans les autres pièces … pour leur montrer … ils ont aussi trouvé … un DVD … sur Christine, apparemment …

 

Ah, mais oui. Il était rangé dans la bibliothèque, entre deux bouquins. Mais, comment …

 

- Comment tu sais que c'est un DVD sur Christine ?

 

Oui, je ne lui en ai jamais parlé, à Yolaine, du DVD du détective.  Silence gêné, puis:

- Ils l'ont regardé sur place … 

- Ah bon ?

- Oui. Quand ils l'ont trouvé, celui qui dirigeait la fouille, il a envoyé un des flics chercher un ordi dans leur voiture … 

- Et ils t'ont montré ?

- Non, ils ne m'ont pas MONTRÉ … mais là aussi, ceux qui regardaient ont appelé les autres … et comme ils ne faisaient plus attention à moi, je me suis approchée … et j'ai un peu vu, par dessus leurs épaules …

- Et là, ils ont dit quoi ?

- Ben … ils se sont encore marrés … et ils ont fait des commentaires sur Christine …

 

J'imagine assez le genre de commentaires. Yolaine reprend:

- Mais … y'a un des gendarmes qui a dit qu'il avait déjà vu ce DVD … 

 

Ah oui, le gendarme Petit, si je me souviens bien … il était venu avec un collègue quand Christine s'était fait tabasser dans un squat de migrants.

- Et alors ?

- Ben, il a expliqué que c'était Christine … enfin, il a dit "ton ex" …

- Et ? Ils en ont fait quoi, du DVD ?

- Ben, c'est le gendarme en question qui l'a gardé.

- Ah bon ?

- Oui. Mais, si j'ai bien compris, je crois qu'il va en faire une copie pour les autres flics, ceux en civil …

 

Ouais, il me l'avait demandé, l'autre fois, et j'avais refusé de lui donner … il n'y avait pas de raison … ben maintenant, il l'a, le DVD. Et à mon avis, c'est pas comme pièce à conviction qu'il a fait main basse dessus … ça va sûrement circuler chez les gendarmes et chez les flics … bof, je m'en fous, maintenant, c'est de notoriété publique que Christine se fait passer dessus par n'importe qui ! Si ça leur fait du bien, aux flics et aux gendarmes, de se branler en la regardant se faire gangbanguer, moi, ça ne me fait pas de mal … mais il faudra quand même que je le récupère, ce DVD, quand ils l'auront copié. 

 

- C'est pas grave. Bon, et quoi d'autre ?

- Ben rien … apparemment, ils n'ont rien trouvé d'autre … ils m'ont demandé de refermer ta porte et ils sont partis …

- C'est pas étonnant, y'avait rien à trouver … à part ça, mes tenues de travesti, et ce DVD … mais ça n'a rien à voir avec les manouches … Bon, ben merci …

- Pas de quoi. Ce soir, en rentrant, j'irai ranger le bazar qu'ils ont mis.

- T'es pas obligée …

- Ça me dérange pas …

- Alors merci. Ah oui, pour en revenir à Lionel, il pense que les flics pourraient mettre ma ligne sur écoute … en fait, c'est pour ça que je t'appelle d'une ligne fixe … bon, simplement pour que tu fasses attention à ce que tu dis si tu m'appelles sur mon portable …

- Ben, je t'appelle pas sur ton portable, alors …

- Si, si. Faut faire comme si de rien n'était. Si il se passe encore des choses et que tu ne me tiens pas au courant, ça pourrait leur paraître suspect, aux flics … alors tu m'appelles si il se passe quelque chose, mais tu fais attention à ce que tu racontes …

- Ah OK. J'ai compris … Bon, ça va, là bas ?

- Ouais, ça va. Je te raconterai. Ils t'ont pas demandé où je suis, les flics ?

- Si. Déjà hier. Je leur ai dit que je crois que t'es en Bretagne, mais comme je sais pas où exactement …

- Ah, OK.

- Faut que je te laisse, là, j'ai du boulot. Bise.

- Ouais. Bise.

 

Du coup, je ne sais plus trop quoi faire, j'hésite. Oh, et puis basta ! J'avais prévu de faire un tour sur une plage … j'y vais ! Je passerai voir Gégé ce soir.

 

Me voilà sur l'immense plage que j'ai repérée l'autre jour. Il fait un peu frais, mais le soleil arrive à percer à travers une sorte de brume vaporeuse. C'est très agréable. C'est marée basse et comme la plage est vraiment très plate, l'eau s'est retirée très loin des dunes herbeuses qui bordent le rivage. Sous mes pieds, le sable humide est dur. La plage doit bien faire dans les 2 kilomètres de large, et j'y suis pratiquement seul. Il y a seulement, au loin, un homme avec son chien qui court et aboie après des bandes de mouettes qu'il fait envoler ... et un cavalier fait courir son cheval dans les vaguelettes qui viennent mourir sur le sable. 

 

Evidemment, les événements de ces deux jours se rappellent à moi. Dans le fond, ça n'est pas plus mal que les flics qui ont perquisitionné chez moi aient trouvé mes accessoires de travelo. Ça accréditera l'idée que Lionel m'a suggérée: Jo voulait me faire chanter et c'est pour ça qu'il était venu chez moi. Il faudra quand même la jouer fine avec les flics. Je marche tout près de la zone où les vagues finissent de s'étaler. Parfois, une d'entre elles essaie de venir me lécher les pieds. Je me sens bien … serein. Je vais sûrement être débarrassé du manouche et de ses potes, et j'ai la conviction que je n'ai pas grand chose à redouter des interrogatoires des flics. 

 

Je n'ai pas fait attention, mais le chien et son maître se sont rapprochés de moi. Et je vois l'animal marquer l'arrêt, dresser la tête et les oreilles en me regardant. Ça y est, il m'a repéré. Le voilà qui fonce vers moi. C'est un assez grand chien, au long pelage noir et blanc. Son maître l'appelle … " Jules ! Jules ! " il me semble … il le siffle, mais rien à faire, Jules accourt vers moi. Arrivé à trois mètres, il s'arrête brusquement et, à demi tapi dans le sable, il aboie dans ma direction … on dirait à la fois qu'il a envie de jouer avec moi et qu'il se demande s'il peut approcher encore. Je tends la main vers lui et je m'accroupis … " viens ".  Rassuré, il se relève et se précipite … il commence par me lécher la main, puis il se met à sautiller autour de moi … j'ai l'impression qu'il voudrait que je lui lance quelque chose, une balle, un bout de bois … mais je n'ai rien … alors il change de tactique et commence à me tourner autour à fond, s'approchant, s'éloignant brusquement, s'arrêtant à un mètre ou deux de moi, pour redémarrer aussitôt … compris, il joue à " essaie de m'attraper " … son maître approche en lui criant dessus … alors le chien le rejoint et tous deux parcourent les quelques mètres qui nous séparent.

- Excusez-le, il ne pense qu'à jouer.

- Y'a pas de mal. J'ai bien compris.

- Il est fatiguant. Il faut que je le promène trois fois par jour, sinon, il est intenable.

 

Pendant ce bref échange, le chien m'a contourné et brusquement, il me fourre sa truffe entre les fesses. Putain ! Ça n'a duré qu'une fraction de seconde, mais instantanément, ce n'est plus un chien en promenade avec son maître qui me tourne autour, c'est … c'est … un mâle … un mâle qui veut … L'idée ne m'avait même pas effleuré en les apercevant sur cette plage, et je sais bien que ce qu'il vient de me faire, c'est la manière habituelle pour les chiens de faire connaissance avec un inconnu, mais pour moi, c'est bien autre chose … Le maître attrape son chien par le collier et s'excuse … puis tous deux s'éloignent … Jules aperçoit une autre bande de mouettes et il lui fonce dessus … il m'a déjà oublié … mais moi, ça a réveillé quelque chose en moi … des envies … 

 

Pour finir de tuer cette journée, je décide de continuer à visiter les alentours. D'autres plages, toutes différentes … nous sommes à la mi décembre et il y a encore des mecs qui font du surf ! Pourtant, l'eau est froide. Mais ils sont tous en combinaison néoprène. Je fais aussi un peu du sentier côtier … par endroits, il surplombe la mer du haut de falaises impressionnantes. Je ne sais pas pourquoi, peut être à cause de la solitude des lieux et de la fraîcheur de l'air que je sens à travers la toile de mon pantalon, j'en viens à me dire que ce serait sûrement très agréable de me balader ici le cul à l'air … enfin, le cul à l'air sous une minijupe, par exemple. C'est con, en faisant mon bagage, quand je me suis sauvé de chez moi en région parisienne, je n'ai même pas pensé à y glisser un peu de lingerie et de vêtements de trav. Je pourrais peut être aller en acheter … On verra.

 

En début d'après-midi, je fais aussi un tour à Pors-an-Enez. Pors-an-Enez, c'est le grand port de la région … port de pêche, essentiellement, avec des conserveries de poisson. "Grand port" … pas vraiment en fait, mais il est plus grand que celui où se trouve mon gite. Et surtout, il est très animé … et il y a une faune étonnante: évidemment des marins pêcheurs, mais aussi des punks à chien, des beatniks, des rastas, des artistes et pas mal de poivrots … ça grouille … et ça picole ... sur le quai du vieux port, les bistrots côtoient les restaux de poissons et de fruits de mer … et du monde partout, sur les terrasses, couvertes à cette époque, à l'intérieur, au comptoir … Très bonne ambiance. Je me demande même si il n'y aurait pas deux ou trois putes, dont le quartier général serait un de ces troquets. Quand j'y suis entré, il y avait deux femmes, assez jeune, avec un look vulgaire, assises à une table à l'intérieur, et en train de siroter une bière … un type est entré, leur a parlé, et une des deux s'est levée et a disparu avec lui par une porte donnant sur une ruelle derrière le bistrot … elle est revenue une vingtaine de minutes plus tard, toute seule … J'ai aussi noté qu'une brasserie organise une fête pour le réveillon du jour de l'an. J'irai peut-être si je suis encore dans le coin à cette date

 

En fin de journée, je passe voir où en est Gégé. Il a bien avancé. Quand j'arrive, il est rhabillé et il s'apprête à retourner à son blockhaus chercher des affaires. Il me prévient qu'il ne travaillera pas samedi et dimanche. Je lui paie les journées travaillées et je lui parle de la ferme de Plouménez. Je lui demande si ça l'intéresse de la défricher. Il veut la voir avant de décider. Nous irons ensemble mercredi.

 

Une fois rentré au gite où je loge, la gérante m'annonce que des gendarmes sont passés et ont laissé une convocation pour moi. Elle me regarde bizarrement. En effet, je suis convoqué le plus tôt possible à la brigade du secteur. C'est en rapport avec l'arrestation du manouche, c'est évident. Je ne vois pas d'autre raison. Comment les gendarmes m'ont trouvé ? Je n'ai donné mes coordonnées à personne … même pas à Yolaine. Ce soir, il est trop tard, j'irai demain matin.

 

Il est presque minuit quand mon téléphone se met à vibrer. C'est Philippe … ah, putain, Philippe, Philippe !

 

Philippe, c'est cet inconnu qui avait repéré mon cul, un jour où je me baladais en vélo au bord d'un canal, et qui m'avait chauffé … il m'avait même si bien chauffé, que, très rapidement, j'avais accepté de lui tripoter la queue … y compris sous les yeux d'un couple de randonneurs qui passait par là ! Philippe, c'est cet inconnu à qui j'avais fini par tailler une pipe au bord de ce canal … et surtout Philippe, c'est ce même inconnu qui, une heure à peine après notre rencontre, avait proposé de m'organiser un gangbang dans la ferme Jean-Claude ! Putain, pourquoi ce mec, que je venais tout juste de rencontrer, avait-il tout obtenu de moi comme ça ? Pourquoi je lui avais fait confiance au point de me soumettre à lui à ce point ? Comment j'avais pu accepter que ce mec, que je n'avais encore jamais vu, me livre à … à une véritable horde de types en rut ? Pourtant, on l'avait fait … tous les deux ! Non seulement il avait bel et bien organisé ce gangbang, mais il y avait mis autant de soin que s'il s'était agi de préparer le mariage d'un ami … il avait aussi bel et bien rameuté une trentaine de mâles POUR ME BAISER ! UNE TRENTAINE DE MÂLES … RIEN QUE POUR MOI ! Et moi aussi, je l'avais fait ! Une fois sa proposition acceptée, je n'avais pas hésité le moins du monde … ni reculé le jour venu … je n'y étais pas allé, j'y avais couru ! Et je m'étais fait baiser … et baiser ... et encore baiser ... toute la journée … pratiquement sans interruption. J'avais vidé les couilles à tous ces types ... à deux reprises pour certains … 

 

Mais depuis, Philippe, je n'avais plus eu de ses nouvelles … Alors, en repensant à cette journée chez Jean-Claude, à cette journée pendant laquelle ces trente types m'étaient passés dessus les uns après les autres, à cette journée où j'avais vécu une expérience inouïe, à cette journée où je m'étais littéralement fait remplir l'estomac et le ventre de leurs semences, comment je pourrais ne pas être reconnaissant à ce mec ? 

 

Dès que je vois que c'est lui qui m'appelle, une bouffée de chaleur explose au niveau de ma queue, de mes couilles et de mon anus, irradie mon bas ventre et remonte jusqu'à mon plexus ... 

 

- Marin ?

- Oui. Salut Philippe.

- Salut. Comment ça va ?

- Ça va. Et toi ?

- Pareil. Enfin … je … depuis quelques temps, je pense sans arrêt à toi.

- Ah bon ?

- Ouais. Je pense à toi, et surtout à ton cul …

 

Et là, je réalise que si ma ligne est effectivement sur écoute, les flics ne vont rien louper de cet échange. Pendant une fraction de seconde, j'ai la tentation de couper court à cette conversation, de raccrocher et de le rappeler depuis la ligne de la gérante du gite. Et puis, aussitôt, je me dis deux choses. D'une part, je n'ai pas du tout envie de raccrocher au nez de Philippe. Et d'autre part, telle que la discussion se présente, elle ne peut qu'accréditer auprès des flics la version "tentative de chantage du manouche".

- C'est vrai ? Tu penses à mon cul ? Ça me fait plaisir …

- Ouais. J'ai … j'ai de nouveau une furieuse envie de te baiser … c'est ton cul, hein … t'as le cul le plus … le plus bandant que je connaisse … j'ai même du mal à baiser ma femme, maintenant … quand je la baise, je pense à ton cul et … à chaque fois, sa chatte … sa chatte me déçoit … elle me fait plus bander … 

- Encule-la !

- Elle ne veut pas. J'ai essayé, mais ça lui plaît pas … Alors, comme j'ai du mal à bander avec elle, elle croit que c'est parce que j'ai une maîtresse … Mais hein, j'ai pas de maîtresse, c'est toi que j'ai envie de baiser …

- Et ben, t'auras qu'à me baiser … tu sais bien, toi, t'as qu'à me demander …

- Alors, on peut se voir ?

- Je suis pas chez moi, en ce moment … je suis en Bretagne …

- Pour longtemps ?

- Je ne sais pas … j'ai des affaires à régler. Mais dès que je rentre, je te préviens …

- Bon, OK. Mais, tu sais, y'a pas que moi qui pense à ton cul …

- Ah bon ?

- Ouais. Y'a des participants à la séance chez Jean-Claude qui y pensent aussi … ils m'ont téléphoné … ils voudraient bien recommencer … ils voudraient bien que j'organise un nouveau gangbang avec toi … 

- Qui ça …

- Ben déjà Hamid, tu sais, le marocain …

- Ah oui …

- Euh … Thierry … tu te rappelles, il est assez costaud et il est particulièrement bien membré …

- Ah oui, je vois …

- Et puis deux ou trois autres … et toi, tu serais d'accord pour recommencer ?

- Ben, évidemment, je suis d'accord pour recommencer … mais en hiver, on peut pas refaire ça dans la cour de la ferme de Jean-Claude …

- Ouais, je vais réfléchir … ça dépendra si on est nombreux ou pas … si on est seulement quelques uns, on peut faire ça chez l'un d'entre nous … mais si on est nombreux, il faudrait louer une salle …

- A toi de voir … mais en effet, louer une salle, ça serait bien …

- Ouais, je me doute que tu préférerais ça … ça voudrait dire qu'on serait nombreux … tu sais, moi aussi, je préférerais qu'on soit nombreux, parce que ton cul me fait bander, mais je crois que ce qui m'excite le plus, c'est de te voir te faire sauter par autant de mecs à la fois … 

- Ben alors, dans ce cas là, il faudrait essayer d'en faire venir plus que chez Jean-Claude … et cette fois, on pourrait même le faire façon … abattage … 

- Comment ça, "façon abattage" ?

- Oui, tu sais, vraiment à la chaîne … comme une pute dans un bordel … sans fioritures … chez Jean-Claude, à certains moments, certains d'entre vous m'ont baisé à la chaîne, mais le reste du temps, si vous vouliez prendre votre temps, faire durer le plaisir, vous pouviez prendre votre temps … j'ai bien aimé ça, mais là, ça me plairait bien que vous me baisiez vraiment à la chaîne … seulement histoire que vous tiriez votre coup vite fait bien fait… de l'abattage, quoi … j'aimerais bien essayer ça au moins une fois … 

- Ouais, je sais pas … mais alors … comme ça, ça durerait pas toute une journée …

- Ça dépend … si y'a vraiment beaucoup de mecs qui viennent …

- Ouais … je ne sais pas si je pourrais réunir autant de monde que chez Jean-Claude …

- Ben … déjà, si tu appelles tous ceux qui sont venus chez Jean-Claude, et si tu demandes à chacun d'amener un copain, ça fait déjà soixante bonshommes … 

- Soixante bonshommes … tu te sens de taille à te faire baiser par soixante bonshommes ?

- Oui. Déjà une trentaine chez Jean-Claude, c'est passé sans problème … et je te rappelle que beaucoup d'entre vous m'ont même baisé deux fois … moi, j'étais prêt à continuer, mais c'est vous qui n'avez pas tenu la distance …

- Bon, peut-être … je vais voir … mais avant ça, je voudrais bien …

- Avant ça, si tu veux me baiser, pas de problème … tu viens à la maison … ou on fait ça ailleurs … où tu veux, quand tu veux … et puisque tu me dis que ça t'excite de me voir me faire baiser par d'autres types, on peut même le faire en petit comité, avec trois ou quatre autres mecs … c'est toi qui vois …

- Bon. Je réfléchis et je te tiens au courant … et toi, tu m'appelles quand tu rentres …

- Sans problème.

- Bye.

- Bye.

 

Ah putain ! Mes bonnes résolutions de ne plus me faire sauter par tout le monde et n'importe qui n'auront pas tenu bien longtemps ! Il aura suffi que Philippe m'appelle ! Comment résister à ce que ce mec représente ? Ça m'a fait exactement la même chose que quand Pierrot m'a téléphoné ! Avec Philippe, non seulement j'ai tout de suite su que j'accepterais tout ce qu'il me demanderait, mais j'ai aussi eu envie d'aller encore plus loin. Au fond de moi, je sais qu'à lui, je peux tout demander et je sais qu'il fera son possible pour me satisfaire. Je réalise que, dès qu'il a parlé de mon cul, j'ai commencé à me tripoter. Ah, Philippe ! Je veux que tu me baises ! Je veux que tu me sautes ! Je veux que tu me livres encore à une bande de queutards !

 

Dès que nous avons raccroché, je connecte mon disque dur externe à mon ordi, j'ouvre le fichier qui contient les vidéos de mon gangbang chez Jean-Claude, et je les visionne encore une fois en me masturbant.

 

Samedi 16 décembre. 9h30

J'ai très peu dormi. Je me suis tripoté une bonne partie de la nuit en regardant mes vidéos. Putain, qu'est-ce qu'ils m'ont mis dans le cul, tous ces mecs !

 

Je sonne à l'interphone de la gendarmerie. Une voix me demande ce que je veux. Dès que je me présente, un déclic ouvre la grille. Le gendarme qui me reçoit me demande de lui présenter une pièce d'identité, puis il me fait asseoir à l'accueil et s'engage dans le couloir qui dessert une enfilade de bureaux. Il frappe à la deuxième porte, l'ouvre et je l'entends annoncer " Il est là ". 

 

Il est là " ! Le gendarme n'a pas eu besoin de préciser qui est là ! Ça veut dire que j'étais vraiment attendu. 

 

Une voix répond " Bon. J'appelle la PJ. Je te dirai de me l'amener. Ferme la porte ! ". Le gendarme revient et me lance:

- Le capitaine va vous recevoir dans un instant.

 

Quelques minutes passent. J'ai beau me dire que je n'ai rien à redouter de cette convocation, je n'en mène quand même pas large. Mais bizarrement, en même temps, je suis légèrement excité. Un téléphone sonne derrière le guichet de l'accueil. Le gendarme décroche:

- Oui ?

- …

- Bien.

 

Il raccroche, se lève et m'invite à le suivre. Nous voilà devant la porte du second bureau. Il y est écrit " CAPTAINE MICHEL BLANCHARD "

 

- Entrez !

 

Le gendarme s'efface et j'entre. Ils sont deux là-dedans. Derrière un grand bureau, un gradé, la quarantaine … vu les insignes qui décorent l'écusson sur son pull, c'est sans doute le capitaine. Derrière un plus petit bureau, une femme également en uniforme … sur son écusson, des galons en chevron … ça doit être un sous-officier … et ça doit être la secrétaire du capitaine. Celui-ci, qui s'est levé,  me fait signe de m'asseoir:

- Bonjour. Je dois vous entendre dans le cadre d'une procédure pénale menée par une antenne de la police judiciaire de Seine-et-Marne. Ce n'est pas un interrogatoire … seulement une audition. 

 

Il me montre une webcam fixée sur le haut de l'écran de son ordinateur:

- Cette audition sera filmée et nous sommes en vidéo conférence avec l'antenne de police judiciaire en charge de cette affaire. Ils vous voient et ils vous entendent en direct.

 

Moi, je ne vois que l'arrière de son écran et je ne peux pas savoir qui est de l'autre côté de cette vidéo conférence. Y a-t-il un seul flic ou plusieurs ? Je remarque alors seulement que le capitaine porte une minuscule oreillette reliée par un fil blanc à son ordinateur. 

 

- Vous avez compris ce que je viens de vous expliquer ?

- Oui. C'est en rapport avec l'arrestation des gens devant chez moi avant hier ?

 

Il marque un temps d'hésitation … il est surpris par ma question. Puis:

- Vous êtes au courant de cette arrestation ?

- Oui. Ma voisine y a assisté et elle m'a téléphoné pour me raconter.

- Ah bon.

 

Mon explication a l'air de le satisfaire. Je me dépêche d'enchaîner:

- Je ne sais pas pourquoi ces personnes ont été arrêtées, mais en tout cas, je n'ai rien à voir avec ce qu'ils ont pu faire.

- Pour le moment, on ne vous accuse de rien. On veut seulement des explications. Déjà, procédons par ordre …

 

De l'armoire métallique qui se trouve derrière lui, il sort un classeur qu'il pose sur son bureau devant moi, et qu'il ouvre:

- Vous allez regarder ces photos et me dire si vous reconnaissez quelqu'un.

 

C'est un classeur à anneaux avec des photos anthropométriques dans des pochettes transparentes … quatre photos par pochette. J'avais imaginé ça … qu'on me demande de reconnaître Jo et ses copains … et après mûre réflexion, j'avais pris ma décision ... si je le reconnaissais, je le dirais immédiatement … inutile de tourner autour du pot … de toute façon, les flics savent déjà que je le connais … alors … Dans les pochettes transparentes, des gueules de voyous, mais pas seulement … des tronches de gens apparemment ordinaires, aussi. Sur les quatre premières photos, pas de tête connue … je sens que le capitaine m'observe … sur les quatre photos suivantes pas de tête connue non plus … mais sur la page suivante, Jo, le manouche … ça ne fait pas le moindre doute … je le pointe du doigt:

- Lui, je le connais.

- Montrez …

 

Je relève le classeur. Le capitaine arrache un Post-it d'une pile et le colle sur la photo de Jo.

 

- Continuez.

 

Je tourne les pages … mais c'est tout, je ne reconnais personne d'autre. C'est curieux, je m'attendais à voir la tronche de certains des types qui accompagnaient Jo l'autre jour … je n'avais fait que les apercevoir par ma fenêtre quand ils approchaient de ma porte … mais je pense que si leur photo avait été là, je les aurais reconnus … mais non. Ceux qui étaient avec Jo quand ils se sont fait pincer avant hier, ça devait en être d'autres encore … Je referme le classeur:

- C'est tout.

 

Le capitaine paraît surpris:

- C'est tout ? Vous ne reconnaissez personne d'autre ?

- Non.

- Vous êtes sûr ?

- Oui.

 

Il reprend le classeur, l'ouvre à la page où se trouve la photo de Jo et me la montre:

- Donc, vous connaissez cet individu ?

- Oui. Il m'a dit s'appeler Jo.

- Comment le connaissez-vous ?

- Ben … j'ai déjà eu affaire à lui …

- Comment ? Où ? Dans quelles circonstances ?

- Ben … c'est pas très … c'est assez gênant … 

- Allez-y, je vous écoute … Dites vous que c'est dans votre intérêt de vous expliquer.

- Ah bon ?

- Oui. Nous devons déterminer si vous êtes impliqué de près ou de loin dans ce qui est reproché à cet individu.

- Bon, ben … ce type voulait m'extorquer de l'argent ..

- Vous extorquer de l'argent ? Expliquez.

- Oui … si je lui en donnais pas, il menaçait de révéler certaines choses … à mon entourage …

- Quel genre de choses ?

- Ben … des choses dont j'ai pas envie que mon entourage soit au courant …

- Vous avez fait des choses illégales ? Vous avez commis des délits ?

- Non, non ! Rien d'illégal … seulement des choses dont je suis pas fier …

- Précisez … Si ce n'est pas illégal, vous n'avez rien à craindre à nous dire de quoi il s'agit.

- Ben, c'est des choses disons … personnelles … TRÈS personnelles … intimes, même … 

- C'est du domaine sexuel ?

 

Direct ! Soit le gendarme a deviné, soit Jo les a déjà orientés sur cette piste. Ou alors, je suis effectivement sur écoute, et les flics ont entendu ma conversation de cette nuit avec Philippe. Je remarque que, depuis qu'il m'a tendu son classeur, tout en m'interrogeant et en m'observant, de temps en temps, il semble comme … absent … il doit écouter ce qu'on lui dit, de l'autre côté de son écran d'ordinateur … quant à la gendarmette-secrétaire, au fur et à mesure de mes réponses, elle pianote sur le clavier de son ordinateur à elle … j'imagine qu'elle transcrit ce que je dis. 

 

Jusque là, je trouve que je me débrouille plutôt bien … j'hésite, je bafouille presque, je me tortille sur mon siège comme si j'étais mal à l'aise … je crois que j'arrive même à piquer un fard …  mais au fond de moi, je jubile … je jubile parce que, dans un instant, je vais expliquer à un capitaine de gendarmerie, à sa gendarmette … et à ceux qui me regardent et qui m'écoutent à travers cette webcam … je vais leur expliquer comment Jo prétendait me faire chanter, et je vais leur raconter que je me fais baiser à la chaîne par des mecs ! Si ils nous ont écoutés cette nuit, Philippe et moi, ils le savent déjà, mais je me régale déjà à l'idée de tout leur déballer. J'adore ! Et j'espère bien qu'ils vont me demander des précisions ! Ça me fait un peu le même effet que quand j'avais décidé de montrer à Yolaine les photos de mon gangbang chez Jean-Claude, alors qu'à ce moment là, elle et moi, nous n'étions encore que des voisins plus que distants. C'est aussi la même sensation que de savoir que Pierrot a montré à des inconnus les vidéos de son chien en train de me sauter. J'éprouve un intense plaisir cérébral à ce que des gens apprennent que je suis une viande à bites … à étaler en public mes vices, mes débauches … un plaisir comparable à me faire baiser sous le regard de spectateurs ! Et là, en plus, c'est avec des gendarmes et des flics ! Ça ne sera pas des images, seulement des paroles, mais ça m'excite. C'est … c'est de l'exhibitionnisme verbal. Comme je baisse le nez et que je ne réponds pas, le capitaine insiste:

- C'est bien ça ? C'est du domaine sexuel, ce que cet individu vous menaçait de révéler à votre entourage ?

 

Je déglutis bruyamment et je hoche la tête …" oui, c'est du domaine sexuel ". Le capitaine s'efforce de rester impassible, professionnel, mais à je ne sais quoi dans son regard, je sens que ça l'intrigue, je sens qu'il ne va pas se contenter de cet acquiescement, je sens qu'il va vouloir en savoir plus. Yessss ! Il semble réfléchir une fraction de seconde, puis:

- Vous savez, on n'est pas là pour juger ce que vous faites ou pour vous faire de la morale. On cherche uniquement à établir des faits. Vous n'avez rien à craindre. Vous pouvez nous dire clairement de quoi il s'agit. Ça permettra de confirmer ce que vous nous dites … que vous n'avez rien à voir avec les faits qui sont reprochés à cet individu. Et n'ayez pas peur de nous choquer … on a l'habitude.

 

T'inquiètes pas, mec, je n'attends que ça, te dire clairement ce pour quoi Jo aurait pu vouloir me faire chanter … et je n'ai sûrement pas peur de te choquer puisque c'est toi qui demande … 

 

Je le laisse mijoter une bonne demie minute en prenant l'air du mec vraiment très embêté … le nez baissé, je contemple le bout de mes chaussures … Là, le capitaine, il doit se dire " il va parler … pour le moment, il ne sait pas comment avouer ce qui lui fait honte … ne le brusquons pas ". Je redresse la tête, je les regarde tour à tour, le capitaine et sa gendarmette, et:

- Ben … c'est parce que … j'ai des rapports avec des hommes …

 

Ça y est, je raconte … son visage s'éclaire:

- Des rapports avec des hommes … vous voulez dire des rapports homosexuels ?

- Oui.

- Et alors … vous n'assumez pas ? Maintenant, ça n'a plus rien de honteux, d'avoir des rapports avec un homme … ce … ce Jo voulait vous faire chanter avec ça ?

- C'est-à-dire … vous ne comprenez pas … ce n'est pas avec UN homme que j'ai des rapports … c'est avec PLUSIEURS hommes …

- Oui, ben d'accord, vous avez plusieurs partenaires … je ne vois toujours pas ce que …

- Oui, PLUSIEURS partenaires, mais pas UN partenaire à la fois … PLUSIEURS PARTENAIRES … EN MÊME TEMPS …

 

Là, il lui faut bien trois ou quatre secondes avant de réagir, comme s'il était sidéré … je me demande ce qui le sidère le plus: le fait que j'aie plusieurs partenaires en même temps, ou le fait que je l'avoue ouvertement … il écarquille les yeux, puis il fronce les sourcils:

- Plusieurs partenaires … vous voulez dire … vous voulez dire que vous participez à … à ce qu'on appelle vulgairement des partouzes … ça non plus, ce n'est pas illégal …

 

Il jette un coup d'œil gêné vers sa secrétaire, qui continue de taper, imperturbable.

 

- Ben non … c'est pas exactement des partouzes …

- Comment ça … je comprends pas … 

- Ben, dans une partouze, tout le monde euhhhh … tous les participants … tous les participants ont des rapports entre eux … moi, c'est pas pareil … mes partenaires, ils ne … ils n'ont pas de rapports entre eux … ils ont des rapports … SEULEMENT avec moi … vous voyez ce que je veux dire ?

 

Le capitaine paraît abasourdi. L'air effaré, il jette encore un coup d'œil à sa secrétaire, comme pour lui demander si elle a compris la même chose que lui. J'insiste:

- Hein ? Vous voyez ce que je veux dire ?

 

Je pense qu'il commence à voir ce que je veux dire. Et d'un coup, j'ai peur qu'il se contente de cette simple allusion et qu'il me prive du plaisir de lui expliquer en détail. Alors sans attendre sa réponse, je m'empresse d'enchaîner en baissant encore les yeux et en prenant un air honteux:

- C'est pour ça qu'il voulait me faire chanter, ce … Jo ! Parce que … je rencontre des hommes … ou plutôt, je rencontre DES GROUPES D'HOMMES … et ces hommes … BEN CES HOMMES, ILS ME BAISENT … ILS ME BAISENT TOUS … L'UN APRÈS L'AUTRE … voilà, VOUS ÊTES CONTENT ? ! ? !

 

Feignant d'être en colère pour avoir été contraint d'avouer, j'ai presque fini en criant. La secrétaire a arrêté de taper sur son clavier, et elle me regarde … le capitaine, les yeux ronds, la bouche entrouverte, me dévisage, interloqué … Et il se reprend:

- Vous êtes … vous vous prostituez ?

- NON, NON ! PAS DU TOUT ! Je ne me fais pas payer … jamais de la vie !

- Ben alors, pourquoi vous faites ça ?

 

C'est sorti tout seul, comme par réflexe, et je me rends compte qu'il regrette tout de suite de m'avoir demandé ça. En posant la question, il a deviné la réponse. Alors, avant qu'il fasse marche arrière, j'enfonce le clou:

- Pourquoi je fais ça ? Mais parce que J'AIME ÇA ! Qu'est-ce que vous croyez ?

 

Ouais, allez, regardez-moi, tous les deux … ça vous scie, hein ? Le capitaine ne sait plus quoi dire. Il se redresse sur son fauteuil, arrange quelques feuilles de papier sur son bureau, toussote, et:

- Bon … bien … hemmm hemmm … et vous faites ça … chez vous ? 

- Ça dépend … chez moi, c'est arrivé … mais c'est plutôt ailleurs … quand un de ces hommes décide de me … il réunit des amis ou des connaissances à lui et il me fait venir chez lui.

 

Je vais pas lui dire que je l'ai fait chez Lionel et Caro, ils pourraient avoir des ennuis … proxénétisme hôtelier, je me demande si ça existe encore, comme délit … Là, il faut que je brode un peu, que j'invente … qu'il y ait toujours une part de vérité, mais un peu d'improvisation aussi. Apparemment, le capitaine s'est repris:

- Vous dites " un de ces hommes" … vous voulez dire un homme en particulier, toujours le même, chez qui ça se passe ?

- Ah non, pas spécialement … ça change … c'est pas toujours le même homme qui organise ça … j'ai pas … j'ai pas un … régulier, si c'est ce que vous voulez dire … non, ça peut être quelqu'un qui a participé à une tournante comme invité et qui décide d'en organiser une à son tour … comme ça peut être quelqu'un qui a seulement entendu parler de moi et qui veut … m'essayer.

- Vous appelez ça "une tournante" ?

- Oui, "une tournante" … j'appelle ça comme ça parce que, maintenant, tout le monde sait ce que c'est, une tournante. Mais c'est vrai, c'est pas exactement des tournantes où je vais … moi, j'y vais volontairement, alors que les vraies tournantes, dans les cités, en général, c'est des viols collectifs … moi, on ne me viole pas, on ne me force pas … disons que le terme exact, c'est gangbang … mais tout le monde ne sait pas ce que c'est, un gangbang …

- D'accord, comme ça, c'est plus clair … ni une partouze, ni une tournante, mais un gangbang … vous savez, je … je connais le terme gangbang … et je crois comprendre aussi que … non seulement l'organisateur d'un de ces gangbangs peut être quelqu'un que vous ne connaissez pas, mais … ceux que vous appelez "ses invités" non plus …

 

Là, c'est évident, on n'est plus dans ce que l'interrogatoire policier pourrait justifier. On a lentement glissé dans autre chose. Et ce n'est pas seulement la nature des questions qui a changé. Le capitaine lui-même, à de subtils changements dans son comportement, dans ses mimiques, je le sens plutôt intrigué, amusé, curieux, au-delà d'une enquête strictement professionnelle. Maintenant, je sens que de la part de ce capitaine, c'est seulement de la curiosité personnelle. D'ailleurs, la gendarmette a arrêté de taper sur son clavier depuis un certain temps. Mais ça me plaît … ça me plaît beaucoup. Depuis un petit moment, j'ai la bite, les couilles, le périnée et le trou du cul tout émoustillés. Je ne bande pas, mais je sens que j'ai le gland qui bavouille dans mon slip. Je hausse les épaules, et:

- Ben oui. C'est ça. La plupart, je ne les connais pas … 

- C'est-à-dire … pour nous résumer … quelqu'un que vous ne connaissez pas peut organiser pour vous un … un gangbang, avec des  amis à lui, que vous ne connaissez pas non plus … vous savez ce qui vous attend … ils vont … ils vont vous …

- Ils vont me baiser …

- Oui … ils vont vous baiser, comme vous dites … j'emploie votre expression, hein … c'est vous qui l'avez employée … ils vont vous baiser, vous le savez, et vous y allez quand même …

- Oui. Je vous ai dit … on ne m'oblige pas à y aller … j'y vais parce que ça me plaît, parce que j'aime ça …

- Vous aimez … vous aimez vous faire ... vous faire baiser par plusieurs hommes en même temps …

- Oui.

- Et … ils peuvent être nombreux, vos … vos partenaires, dans ces gangbangs ?

- Ça dépend.

- Mais encore …

- Mais encore … en général, ils sont autour de quatre ou cinq … des fois plus …

- Plus ? C'est-à-dire ? Le plus que vous ayez eu de "partenaires" dans un même gangbang, c'est combien ?

- Pfffff ! Si je vous le dis, vous n'allez pas me croire.

- Allez-y quand même … on verra.

 

Je les regarde tout à tour, la gendarmette et lui, je baisse encore le nez et je murmure:

- Une trentaine.

- Pardon ? J'ai pas entendu.

- UNE TRENTAINE ! ! ! 

- Une trentaine ? ! ? ! Avouez que c'est un peu … il y a de quoi être étonné …

- Ben, peut-être, mais c'est comme ça. Vous ne me croyez pas ?

- Je dis pas ça. Je dis que c'est la première fois que j'ai affaire à quelqu'un qui fait ce genre de chose … premièrement … et deuxièmement c'est la première fois que j'ai affaire à quelqu'un qui reconnaît ouvertement ce genre de … de pratique … et franchement, TRENTE, c'est …

 

Il hausse les sourcils. Je hausse les épaules:

- J'avais le choix ? De reconnaître tout ça, de vous expliquer tout ça … j'avais le choix ? C'était ça ou apparemment, vous me soupçonniez d'être … je ne sais quoi … le complice de ce … de ce JO ! Je n'ai rien fait de condamnable, alors si il faut en passer par là, je préfère tout vous dire … je ne veux pas d'emmerdes avec la justice.

- Justement, pour en revenir à lui, à ce Jo … selon vous, comment il est au courant que vous faites ça …

- Ben , je ne sais pas … quelqu'un a dû le lui dire …

- Il n'a jamais participé à un de ces … de ces gangbangs ?

- Non.

- Mais … pour vous faire chanter, il fallait bien … il devait détenir quelque chose, une preuve … non ?

- Si. Il avait des photos … enfin, il M'A DIT qu'il avait des photos, mais il ne m'en a montré qu'une.

- Ah bon ? Parce que … vous faites des photos … pendant que …

- Pas moi … les participants … ils font des photos et aussi des vidéos … 

- Et vous les laissez faire ? Vous laissez les hommes qui vous … qui vous baisent … vous les laissez vous prendre en photos …

- Oui, ça me dérange pas … et puis, comment je pourrais les empêcher ? De toute façon, j'ai pas envie de les empêcher, ça fait plus ou moins partie du jeu … eux, ça leur plaît, et moi aussi.

- Mais … vous n'avez pas peur qu'on se serve de ces photos et de ces vidéos pour … justement, pour vous faire chanter ?

- Jusqu'à présent, personne ne l'avait fait … les hommes qui me baisent, ils sont aussi sur les photos et les vidéos … mais surtout, c'est pas à ça que ça nous sert, les photos et les vidéos …

- Pourquoi ... "elles vous servent", les photos et les vidéos ? Elles vous servent à quoi ?

- Ben eux, les types qui me baisent, ils peuvent les montrer à leurs copains pour se marrer et se vanter … et aussi … et aussi, après, ils peuvent se … se donner du plaisir en les regardant … c'est eux qui me l'ont dit … et à moi, ça me sert parce que, comme ça, ça me … ça me fait connaître …

- Parce que ÇA VOUS FAIT CONNAÎTRE ? ! ? !

 

Il est sidéré. Il enchaîne:

-  Ça vous fait de la publicité, en somme …

- Oui … si vous voulez … il y a le bouche à oreille, mais il y a aussi les photos et les vidéos que les hommes montrent à leurs connaissances … 

- Vous en avez, de ces photos et de ces vidéos ?

- Oui, évidemment … ils me les envoient, en général.

- Donc, vous pourriez nous les montrer …

- Ben … je … je vois pas … je vois pas ce que ça viendrait faire dans votre enquête … ça n'a rien à voir …

 

Il réfléchit. Il ne doit pas être tout à fait sûr qu'exiger que je les montre cadrerait avec la procédure. Alors il doit se demander comment faire pour les voir quand même, ces photos et ces vidéos.

- Votre femme est au courant de tout ça ? Elle en pense quoi ?

 

Tiens, il saute du coq à l'âne … il a dû renoncer à cette idée de voir les photos et les vidéos … ou alors, c'est les flics qui assistent à cette audition via la webcam qui lui ont soufflé de laisser tomber. Dans le fond, je regrette un peu qu'il n'insiste pas. Ça ne m'aurait pas déplu de montrer ça à des gendarmes.

 

- Elle n'en pense rien, nous sommes divorcés depuis longtemps … alors ça ne la regarde pas, et de toute façon, elle faisait la même chose.

- Ah oui ? Votre femme faisait comme vous ?

- Oui. Elle se faisait aussi sauter dans des gangbangs.

 

Je me demande si ceux qui ont perquisitionné chez moi et qui ont trouvé le DVD de mon détective, je me demande s'ils lui en ont parlé, au capitaine. Il sourit en hochant la tête:

- Bon. Vous lui avez donné de l'argent, à ce Jo ?

- A Jo ? Non. Ça doit être pour ça qu'il venait chez moi avant hier … pour me faire peur …

- Il vous demandait combien ?

- Au début, il m'a demandé 2.000 … 2.000 €uros. Et comme je n'ai pas voulu lui donner, après, il a demandé 5.000. 

- Et comment il a pris contact avec vous ? Il vous a téléphoné, il est venu chez vous ?

 

Ça, j'y ai pensé. Je ne peux pas leur dire qu'il m'a téléphoné … ils peuvent vérifier les appels que j'ai reçus. Alors:

- Non, un jour, il m'a abordé pendant que je faisais mes courses dans un supermarché … il voulait que je lui apporte l'argent le lendemain au même endroit. Comme je n'y suis pas allé, la deuxième fois, il est venu chez une cliente chez qui je travaillais … il avait dû me suivre.

- Qu'est-ce que vous faites comme travail ?

- Services à domicile … chez des particuliers … entretien de jardin, petits travaux de toutes sortes …

- Bien … vous avez l'intention de déposer plainte contre cet individu ? Vous pourriez, vous savez … le chantage, c'est un délit.

- Ben … je … est-ce que … est-ce qu'il risque de sortir rapidement de prison ? Il a fait quoi, en fait ?

- Ça … on ne peut pas vous le dire. C'est le secret de l'instruction. Mais, compte tenu des charges qui seront certainement retenues contre lui, il devrait rester longtemps en prison.

- Bon, ben non, alors. Ça ne sert à rien de porter plainte. Du moment qu'il ne peut plus me … m'emmerder …

- Alors, on va vous faire signer votre déposition. A moins que l'antenne de police judiciaire ait d'autres questions … 

 

Il regarde son écran d'ordinateur. Je ne vois pas ses interlocuteurs, mais visiblement, il est en train d'écouter ce qu'on lui dit dans son oreillette. Il hoche la tête, et:

- D'accord … 

- …

- Oui … 

- …

- Oui, on vous l'envoie tout de suite … 

- … 

- Entendu. Bon, au revoir, commandant.

 

Il tend le bras, appuie sur un bouton sous l'écran de son ordinateur et ôte son oreillette. La vidéo conférence doit être terminée. Puis il se tourne vers sa secrétaire:

- Vous pouvez terminer.

 

Elle tape encore pendant quelques secondes, puis se lève et sort du bureau. Le capitaine:

- Elle va chercher votre déposition qui est en train de s'imprimer.

 

Il me regarde par en-dessous avec un drôle de petit sourire. J'ai l'impression qu'il a encore quelque chose à me dire. Il tapote sur son bureau avec un stylo, se mord l'intérieur de la joue, et:

- Dites … euh … ça serait en dehors de toute procédure, hein … et à titre strictement personnel … si je vous demandais de me les montrer, vos photos et vos vidéos … en toute confidentialité, hein …

 

D'un coup de menton en direction de la porte de son bureau, il me signifie que le reste de sa brigade serait en dehors du coup. 

- Mais … pourquoi …

- Par pure curiosité … ce n'est pas le genre de chose qu'on a souvent l'occasion de voir … mais si vous n'êtes pas d'accord, pas de problème, hein … vous les avez ici, ces photos et ces vidéos ?

- Pas sur moi …

- Je me doute .. mais … vous avez une tablette, un ordinateur ?

- Oui, un ordinateur et elles sont sur un disque externe. Je l'ai toujours avec moi.

- Ici, en Bretagne ?

- Oui.

- Alors ? Si je viens vous voir, vous me les montrez ?

- Je … je sais pas … vous ne les prendrez pas ?

- Non, non … pas du tout … je les regarde et je m'en vais …

- Bon … comme ça, d'accord.

- Ce soir ? Vers 20 heures trente ou 21 heures ?

- Ben … oui. 

- Et ça reste entre nous, évidemment.

- Evidemment. Dites … moi, j'aurais voulu savoir … comment vous m'avez trouvé ? En Seine-et-Marne, je n'ai dit à personne où j'étais …

 

Il sourit:

- Ça, je peux vous le dire. Maintenant, la police judiciaire a accès à plein de fichiers. L'antenne locale a pensé que si vous étiez en Bretagne pour affaires, c'était sans doute parce que vous y aviez un bien immobilier … résidence secondaire, bien locatif … il ont cherché dans les impôts fonciers, ils ont trouvé l'adresse d'une maison, ils nous ont demandé d'aller voir … ce qu'on a fait … là, on a trouvé un ouvrier qui faisait des travaux, il nous a orientés sur votre agence immobilière et la gérante nous a donné votre point de chute …

- D'accord … mais, l'ouvrier ... il ne m'a rien dit …

- En effet. On lui a demandé de ne pas vous prévenir. Vous le faites travailler au noir, cet ouvrier …

- Je …

- Ne vous inquiétez pas, on ne vous fera pas d'ennuis pour ça. On le connaît bien, le Gégé …

- Ah bon ?

- Oui. Tout le monde le connaît. C'est un marginal. On sait pertinemment qu'il travaille au noir. Il n'accepte de travailler que comme ça, d'ailleurs. Si on faisait des ennuis à ses employeurs, il ne trouverait plus de travail, et alors là …

- Et alors là ?

- La justice préfère qu'il travaille, quitte à ce que ça soit au noir …

 

La gendarmette revient, dépose deux documents devant moi, ainsi qu'un stylo:

- Relisez et signez en bas …

 

Je relis. En effet, elle n'a pas transcrit toute la discussion. Elle s'est arrêtée au moment où je reconnais avoir des rapports avec des hommes. Je signe, et:

- Bon. C'est tout ?

- Oui. Vous pouvez y aller.

 

Pendant que la secrétaire ramasse les papiers et retourne à son bureau, le capitaine se lève et me reconduit à la porte de son bureau. Pas le moindre commentaire.

 

En remontant dans ma voiture, garée sur le parking de la brigade, je me sens plein d'ardeur, euphorique. Je viens d'expliquer à un capitaine de gendarmerie et à sa secrétaire que je me fais baiser dans des gangbangs ! Putain ! Jamais je n'aurais imaginé pouvoir faire ça un jour !

 

à suivre

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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