Dimanche 19 novembre 2017 7 19 /11 /Nov /2017 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

 

- Je pense que si vous restez, ta femme et toi, tu vas comprendre ce que c'est, le caudalisme …

 

Ça veut dire quoi, cette remarque que vient de me faire Jérôme, le compagnon d'une collègue de ma femme ?

Il aurait pu m'expliquer, quand même, mais trop tard, les voilà partis. Sur les huit que nous étions au départ dans cette boîte, il ne reste plus que Christine et moi. Tous les autres sont partis, à commencer par Patrick, l'amant de Christine, après que sa femme ait fait un esclandre parce que, ma femme et lui se donnaient en spectacle sans aucune retenue. 

 

Sur la piste, Christine continue de danser, entourée, cernée par des types qu'elle chauffe et qui sont de plus en plus pressants avec elle. Dans le court intervalle où je l'ai quittée des yeux, les choses ont évolué. Les types qui l'entourent ne l'effleurent plus, ne la frôlent plus … ils la pelotent carrément ! Elle, bras levés au-dessus de sa tête, ondule de plus belle … elle se laisse caresser, elle s'offre à leurs mains, tournant lentement sur elle-même, comme pour bien exposer toutes les parties de son corps à chacun d'eux … Bizarrement, mon impression de malaise se dissipe peu à peu … restent une certaine fierté et l'excitation … ma femme … ma femme et quatre types qui lui tournent autour et la pelotent … De drôles d'idées me traversent l'esprit, que je chasse aussitôt … mais elles reviennent obstinément … quatre types et ma femme … ma femme et quatre types … une image s'impose à mon esprit … je les imagine, ces mecs, pantalon baissé et ventre collé au ventre de ma femme … Non, je ne peux pas penser des trucs comme ça ! Mais l'image revient, de plus en plus forte … obsédante … ma femme … ma femme et quatre types … quatre types, le pantalon baissé et le ventre contre le ventre de ma femme … et leur BITE aussi … leur BITE dans … oh non, faut pas que je pense à des trucs comme ça, bordel ! Mais si … ça revient … image de plus en plus précise … ces mecs et LEUR BITE dans le ventre de ma femme ! Ils la … ils la baisent ! Ils la baisent chacun leur tour devant moi ! Ils la baisent devant moi, et ça me … Non, c'est pas possible ! Je déconne, ou quoi ? Je peux quand même pas … AVOIR ENVIE DE ÇA ! 

 

Et une autre pensée surgit, qui conforte, qui renforce la première ... l'autre enfoiré, le Patrick … s'il la voyait, en train d'allumer ces jeunes types … s'il constatait qu'il n'a plus l'exclusivité … il en ferait, une gueule ! Ah ça … ça me plairait ! Qu'elle le fasse chier avec ces mecs comme elle me fait chier avec lui ! Putain, si Anne-Marie avait réussi à l'empêcher de tourner autour de Christine, tout en restant là, et qu'il la voie se donner en spectacle avec d'autres types ! L'amant cocufié … le COCUFIEUR cocufié ! 

 

Ça, ce n'est qu'un fantasme, mais elle, elle est bel et bien là, sous mes yeux, bien réelle, en chair et en os … surtout en chair … sexy, sensuelle dans cette robe minimaliste … désirable … avec ces quatre types autour d'elle … ils me la masquent en partie, mais je les vois quand même la peloter … un, en particulier … trente-cinq ans, pas très grand, plus petit que moi, en tout cas, pas mal foutu, genre "latin lover" … j'ai l'impression que celui-ci est plus entreprenant que les autres … du moins, tout en pelotant Christine, il manœuvre pour l'isoler des trois autres … et progressivement, elle semble vouloir davantage se prêter à ce jeu avec lui qu'avec les autres … il faut dire qu'il n'y a pas photo, il est beaucoup mieux que les autres … dans son genre, il est bien plus sexy qu'eux … alors, de simples attouchements qu'elle a commencé par accepter, elle devient soudain plus active … beaucoup plus active … elle lui tourne le dos, recule et tend ses fesses, cherchant à coller son cul contre le ventre du type … elle ondule, elle se tortille … elle le provoque  … les trois autres ont compris: elle l'a choisi, lui … bons joueurs, ils s'écartent en riant, laissant le champ libre au "latin lover" … lui aussi a compris qu'elle le veut … il la prend par les hanches, tend son bassin en avant et, carrément, tous deux commencent à se frotter … c'est clair, ils miment la copulation … l'accouplement ! C'est de plus en plus chaud: maintenant qu'elle le sent collé à elle, elle passe ses mains derrière elle, prend à son tour le type par les hanches, elle se cambre, fesses en arrière, et lui, il remonte ses mains le long de ses flancs … jusqu'à sa poitrine … et il se met à lui effleurer les seins … 

 

Et moi … putain … moi, ça m'excite … ça me plaît ! Voir ma femme se livrer à … à quoi, au juste ? A des prémices de relation sexuelle avec un inconnu ? Ils n'en sont quand même pas encore là ! C'est juste de la drague, du flirt disons … très poussé … mais ce n'est qu'un jeu. Et ça me plaît ! Enfin, en fait, ce n'est pas de voir ce qui se passe là, tout de suite, sur cette piste de danse, cette … cour appuyée que cet inconnu est en train de faire à ma femme, qui me plaît, c'est … oui, c'est la suite ! Putain, je n'en reviens pas ! J'ai envie … j'ai envie qu'ils continuent, tous les deux … j'ai envie qu'ils aillent plus loin … j'ai envie d'assister à l'évolution de leurs rapports, à leur progression vers ... vers le sexe ... jusqu'au bout … j'ai envie qu'ils baisent … j'ai envie que ce type, que cet inconnu baise ma femme …

 

NON ! NON ! Je n'ai pas envie que ce type baise ma femme … je l'imagine, seulement… oui, oui, c'est ça … j'imagine … j'imagine que ce type … et Christine … ils se … Oh merde, je suis dingue … Je ne supporte pas que l'autre enfoiré de Patrick soit son amant, et là, ce mec, cet inconnu … j'en suis à fantasmer que ma femme baise avec lui ! Parce que, comme ça, elle cocufierait son amant ! Et je fantasme qu'il la voie le cocufier ! Mais, bon, il n'est pas là, son amant, et pour le moment, rien ne dit que Christine et ce type iront jusque là.

 

Elle m'a complètement oublié … Sur la piste, elle se donne en spectacle avec cet étranger. Elle se donne d'autant plus en spectacle que le DJ les a repérés et braque un projecteur sur eux … Du coup, ça attire l'attention de tout le monde … d'autres types et des couples font plus ou moins cercle autour d'eux … deux grands blacks notamment, qui dansent et parlent à l'oreille du "latin lover" tandis qu'il se frotte à Christine … il leur répond aussi à l'oreille et tous les trois se marrent. Ces deux blacks observent attentivement ma femme … non seulement ils semblent apprécier sa façon de bouger, mais ils la déshabillent littéralement du regard. Elle aussi, quand elle les découvre à côté d'elle, elle les regarde avec intérêt. Puis elle décolle ses fesses du ventre du "latin lover", se retourne, et toujours ondulante, elle pose ses avant-bras sur les épaules de son … de son … cavalier … et croise ses doigts derrière sa nuque … 

 

Comme si elle avait donné un signal au DJ, celui-ci baisse l'éclairage et lance une nouvelle séquence de slows.

 

Les yeux dans les yeux, le "latin lover" et Christine se regardent tendrement. Il se penche vers son oreille et lui parle. Elle secoue la tête … "non". Mais "non" à quoi ? Il a les mains de plus en plus baladeuses. Brusquement, il essaie de l'embrasser … sur la bouche, évidemment. Elle esquive en riant. Il lui parle encore … et il recommence. Elle esquive à nouveau. Il insiste, et, à la 3ème tentative, elle cède. Putain ! Elle ne connaît pas ce mec, et elle se laisse rouler une pelle ! Je n'en reviens pas ! Mais au fond, c'est dans l'ordre des choses … le type veut voir jusqu'où il peut aller … le jeu continue … et plus ça va, plus j'ai la conviction qu'il a l'intention d'aller très loin. Et ça me plaît ! Va-t-elle céder ?

 

Est-ce que je ne devrais pas quand même intervenir … arrêter tout ça, justement, avant que ça n'aille trop loin ? Est-ce qu'on n'est pas DÉJÀ allé trop loin ? Et si j'interviens, comment ce type réagirait ? Est-ce que je ne risque pas de me faire casser la gueule ? Il est un peu plus petit que moi, mais il est plus jeune … et apparemment, il a des potes, ici … Et puis, elle, Christine, comment elle réagirait ? Je me ferais peut-être envoyer chier … sûrement, même … elle, je ne sais pas jusqu'où elle est prête à aller avec ce type … peut-être jusqu'au bout … jusqu'à … se faire baiser ! C'est très possible, d'ailleurs ! Elle n'est pas folle, elle doit bien se douter qu'à chauffer ce type comme ça, il n'acceptera jamais de remballer sa queue … Et puis, jusqu'à présent, lui et les autres, autour, ils ignorent jusqu'à mon existence … je l'espère, du moins … si j'interviens et que je me fais jeter, voire si je me fait virer de la boîte sans Christine, ça sera vraiment humiliant. Bon … je vais voir venir.

 

Sur la piste, autour d'eux, c'est de plus en plus débauché. Comme une contagion, l'ambiance libertine commence à gagner tout le monde. Une fille, entourée de 3 types, est presque complètement à poil: sa robe relevée jusque sous ses seins, ils la pelotent, ils l'embrassent à tour de rôle et, aux mouvements de ses mains, je me rends compte qu'elle leur tripote le sexe à tour de rôle. Et comme par contamination, c'est aussi de plus en plus chaud entre ma femme et le jeune type: tout en l'embrassant, il la pelote aussi. Et elle se laisse faire. 

 

Je la découvre, ma femme, ce soir. Je ne l'avais jamais vue aussi … aussi "sexe" … je ne l'avais jamais vue faire des trucs comme ça avec un inconnu … même avec des mecs qu'elle connaît, d'ailleurs … même avec son collègue Patrick, elle n'est pas vraiment allée aussi loin … ce soir, du moins. Le reste du temps, hors de ma présence, je ne sais pas … sans doute … se tripoter ou s'embrasser en public, c'est assez probable, vu le comportement de Jean-Paul, le directeur d'école … même coucher ensemble … mais pas en public, évidemment. 

 

D'autres mecs essaient de se coller à eux. De nouveau, le type les repousse. Et soudain, il soulève le bas de sa robe et glisse sa main dans sa culotte pour lui pétrir les fesses. Elle se laisse encore faire. Et maintenant, c'est elle qui cherche à l'embrasser sur la bouche. Toujours un jeu. Evidemment, il ne résiste pas. Baiser torride. Elle doit être terriblement excitée et elle doit mouiller à mort, avec la langue de ce type dans sa bouche et sa main qui lui explore la fesse … Ah non, ce n'est plus sa fesse qu'il explore, c'est sa RAIE des fesses … et de plus en plus bas … vers sa … vers sa chatte !

 

Et bizarrement, plutôt que de mettre en rogne, la situation commence à sérieusement m'exciter: je suis en train de regarder ma femme se faire plus que draguer … se faire tripoter par un inconnu et répondre à ses avances ouvertement libidineuses … et ça m'excite ! De nouveau, tout en lui malaxant les fesses, le type lui parle à l'oreille. Tête rejetée en arrière, elle rit … et lui répond … je ne sais pas ce qu'elle lui répond, mais aussitôt, le type ôte sa main des fesses de Christine, la passe devant, sur son ventre, et la glisse de nouveau dans sa culotte ! Et bien, comme ça, c'est clair … il a dû lui demander si il pouvait lui tripoter la chatte … et elle a dit oui ! Et maintenant, il lui fourre ses doigts entre les cuisses. Waouhhh ! Il lui touche la chatte ! Le jeu devient de plus en plus … poussé ! Ce mec est en train de fourrer ses doigts dans la chatte de ma femme ! Il doit commencer à lui écarter les petites lèvres et à lui titiller le clitoris. Et, tous deux surexcités par ce doigtage, ils recommencent à s'embrasser … et de plus en plus fiévreusement.

 

Je n'en reviens pas ! Un inconnu est en train de doigter ma femme au milieu d'une piste de danse et devant du public … et ma femme se laisse faire … devant moi … Je me demande ce qui se passe dans sa tête à ce moment-là. Je me doute bien qu'avec Patrick, elle est allée aussi loin que ça, et même plus loin, mais là, c'est autre chose ... ce type qu'elle laisse lui explorer l'intimité, elle ne le connaissait pas il y a seulement vingt minutes ! Est-ce qu'elle envisage déjà vraiment de coucher avec ce type ? Est-ce qu'elle compte arrêter avant d'en arriver là ? En tout cas, moi, ça m'excite à mort ! Elle est en train de me cocufier en public … ou du moins, elle est en passe de le faire … non, en fait, elle n'est pas EN PASSE de le faire … ELLE LE FAIT ! A ce stade, avec les doigts de ce type dans sa chatte, ce n'est plus du flirt innocent et sans conséquences, ce n'est plus seulement un jeu … c'est les préliminaires au sexe, ni plus ni moins … curieusement, je ne me sens ni jaloux, ni humilié … et pas seulement parce que les gens qui assistent à cette débauche ignorent que je suis le mari de celle qui se donne comme ça en spectacle … non, ça ne me dérangerait pas qu'ils le sachent … simplement, ça me plaît de voir ma femme s'apprêter à coucher avec un autre mec … avec un inconnu.

 

Parce que, maintenant, forcément, arrivé à ce stade, lui, il va vouloir la baiser ! Oh, oui, mais alors ici, devant moi ! Putain, j'en suis là ! A espérer qu'un inconnu baise ma femme devant moi et en public !

 

Et comme pour ajouter du piment à la situation, le DJ se met à commenter ce qui se passe sur la piste, en particulier entre ma femme et ce type. Il braque à nouveau un projecteur sur eux. Ça ne semble déranger ni le mec ni ma femme … au contraire, ils continuent de se tripoter et de se bouffer la langue d'une façon encore plus torride … comme si être mis comme ça en vedette les excitait. Le DJ félicite le type, qu'il appelle par son nom … Jo … Apparemment, ce Jo est un habitué de la boîte, et le DJ sous-entend que ce n'est pas la première fois qu'il se lève une fille ici. Il lui demande:

- Dis, Jo, sans vouloir te déranger … c'est une copine à toi, cette meuf ?

 

Sans cesser de doigter ma femme, Jo lève sa main libre au-dessus de sa tête et l'agite dans un signe qui veut clairement dire que non, c'est pas une copine à lui, cette meuf. Le DJ:

- Ah bon, tu la connais pas ?

 

De nouveau "non" de la main. Le DJ:

- Alors, bravo, Jo ! Ce soir encore, notre ami s'est levé une meuf ! Une de plus à son tableau de chasse ! On l'applaudit !

 

Coups de sifflets, applaudissements. Le DJ poursuit:

- En tout cas, moi, je n'avais encore jamais vu cette jolie … femme dans nos murs. Pour être venue, seule, dans un établissement comme le nôtre, dont la réputation de libertinage n'est plus à faire  … et dans une tenue aussi … sexy, c'est à coup sûr qu'elle cherche ce que notre ami Jo est en train de lui donner … du sexe, du sexe, du SEEEEEXE !

 

Nouveaux coups de sifflets et applaudissements du public. Le type sort sa main d'entre les cuisses de ma femme, prend la sienne et l'attire vers son bas ventre. Sans hésiter, elle se met à lui pétrir la queue à travers son pantalon. 

 

Et moi ... JE BANDE !

 

A son attitude, je sens que Christine se prend de plus en plus à ce jeu de plus en plus ouvertement sexuel, et se laisse gagner par l'excitation. Lui, bien que le poignet de Christine qui lui tripote la queue le gêne un peu dans son entreprise d'exploration, il a replongé sa main dans sa culotte et repris son doigtage. C'est vraiment … troublant de voir ce type, cet inconnu, fouiller sans vergogne le sexe de ma femme. Par moments, quand ils sont placés correctement, je peux voir sa main à lui bouger à l'intérieur de sa petite culotte à elle. Ce qui me trouble encore plus, c'est de voir sa main à elle s'activer sur le bas ventre de ce type. Elle y va gaillardement et il doit bander comme un âne. Je suis en train de regarder ma femme pétrir la queue d'un inconnu !

 

Il lui parle à l'oreille et amorce un geste vers la ceinture de son pantalon, comme pour se déboutonner. C'est ça, il doit bander et commencer à être mal à l'aise dans son pantalon, où sa queue ne peut pas s'épanouir comme il faut. Mais avant qu'il ait pu déboutonner lui-même son pantalon, Christine saisit son poignet, le repousse, et c'est elle qui, tant bien que mal, le déboutonne, lui descend son zip, et fourre sa main dans son pantalon. Cette fois, elle lui touche directement la bite … sans la barrière symbolique de la toile de son pantalon ! Ses doigts sur sa verge … ses doigts sur son prépuce … ses doigts sur son gland … épiderme contre épiderme …

 

Commentaire du DJ, et projecteur sur eux. De nouveau sifflets et applaudissements.

 

Je ne peux m'empêcher d'imaginer que le gland de ce mec a sans doute commencé à baver d'excitation, et que son fluide pré-éjaculatoire est en train de mouiller le poignet de ma femme. Ils se sont recollés bouche contre bouche et continuent de plus ou moins danser en se tripotant mutuellement. Ça dure comme ça un bon moment, et quand ils sont tournés comme il faut, je vois la main de ma femme monter et descendre dans le pantalon de ce mec. Elle le masturbe ! Sa main … la main de ma femme enserre la verge de ce type et lui donne du plaisir. Ma femme branle un type qu'elle vient tout juste de rencontrer ... et ça me plaît ! Non seulement qu'elle masturbe un autre homme que moi, mais que ce soit un parfait inconnu ! Oui, donne lui du plaisir, à ce type … et j'espère que tu vas finir par te la prendre dans la chatte, sa queue !

 

Soudain, elle décolle sa bouche de celle du type, se recule, sort sa main de son pantalon, le repousse un peu et, d'elle-même, elle relève sa jupe et tout en se cramponnant au bras de son cavalier pour ne pas perdre l'équilibre, elle ôte sa petite culotte ! Aussitôt, le DJ, qui, apparemment, garde constamment un œil sur eux, rallume son projecteur, le braque sur le couple et lance:

- Voilà voilà VOILÀÀÀÀÀ ! Comme vous voyez, ça y est, madame est chaude … madame est même bouillante ! Notre ami Jo l'a travaillée au corps, comme il faut ... notre ami Jo a bien préparé le terrain et madame est prête à recevoir l'estocade finale ! Alors, regardez ! Elle vient d'enlever sa petite culotte ! 

 

Putain, c'est de ma femme, qu'il parle comme ça, ce mec, en gueulant dans son micro ! Putain, oui, elle vient d'enlever sa culotte qu'elle agite au-dessus de sa tête ! La voilà cul nu … et chatte à l'air ! Alors, elle est vraiment décidée à aller jusqu'au bout ? Et comme si on n'avait pas compris, le DJ en rajoute:

- Plus de petite culotte donc plus d'obstacle ! La voie est libre … et notre ami Jo va bientôt pouvoir lui planter sa banderille ! Préparez-vous à assister à la mise AMOUR ! Oui, je dis bien "à la mise AMOUR" parce que, ici, au Huitième Ciel, pas d'épée, pas de sang, pas de mise à mort … Ici, on ne plante que du sexe … du sexe dans du sexe ! Du sexe ! Du sexe ! Du SEEEEEXE !

 

Oui, c'est vraiment ça, en quelques mots, le DJ a clairement décrit la situation, et surtout annoncé la suite: en ôtant sa petite culotte, ce que Christine vient de supprimer, ce n'était déjà plus un obstacle entre les doigts de ce Jo et sa chatte, puisqu'il lui avait fourré sa main DANS sa petite culotte ... non, ce qu'elle vient d'éliminer d'elle-même, c'est le seul obstacle qui subsistait entre la BITE de ce mec et sa CHATTE ! Le DJ est bel et bien en train d'annoncer à tout le monde que ma femme va se faire … va se faire baiser par ce mec ! Le DJ reprend:

- Et alors … comment elle s'appelle, la petite veinarde qui va se faire planter?

- …

- Comment ? J'entends pas …

- … 

- Christine ? C'est ça ? 

- …

- Oui, Christine, c'est bien ça ! Christine ! Alors, bravo Christine et félicitations ! Christine, elle sera bientôt au Huitième Ciel … pour ça, on peut compter sur notre Jo !

 

Elle rit, hésite, et finit par lancer sa petite culotte au DJ avant de recoller sa bouche à celle du type, de lui empoigner de nouveau la queue et de recommencer à le masturber. Le DJ, hilare, ravi, se colle la petite culotte contre le nez, la renifle et s'exclame:

- Ouahhhhh merci, Christine ! Hhmmmmm ! Quel parfum ! Hhhmmmmm ! Et … ah oui, dis donc, ma belle, elle est toute mouillée ta petite culotte ! Bravo, mon Jo ! Tu l'as vraiment bien préparée ! ÇA VA GLISSER ! Hhmmmm … aaahhhhh … quelle odeur, les amis ! J'adore ! 

 

Eclats de rire, sifflets, commentaires salaces du public. 


Après ça, c'est encore plus chaud entre Christine et Jo … c'est même ardent, fiévreux, frénétique … autant avec leurs bouches qu'avec leurs mains … Evidemment, lui a compris qu'il est parvenu à ses fins ... la cougar qu'il a levée, en ôtant sa petite culotte, vient de lui signifier clairement qu'elle a envie de se faire baiser. Maintenant qu'elle n'a plus de culotte, il lui fouille littéralement la chatte, la main coincée entre ses cuisses ! Elle n'est pas en reste, et elle le masturbe consciencieusement. Aucun doute, elle compte aller plus loin, elle veut vraiment se faire baiser ! Elle ne peut pas chauffer ce type à ce point et ne pas finir par lui donner ce qu'il veut … et maintenant, je suis sûr que ce n'est pas par peur de se faire casser la gueule qu'elle lui cède … elle s'est peu à peu laissée emporter par la montée du désir, et maintenant, elle en a envie.

 

Ils ne dansent plus, ils font quasiment du sur-place, collés l'un à l'autre, bouches soudées, chacun s'activant sur le sexe de l'autre. La bite en érection d'un inconnu dans la main de ma femme … et les doigts de cet inconnu dans le sexe de ma femme ! Ils font l'amour … ils n'en sont encore qu'aux préliminaires, mais ils font déjà l'amour ! Et ils font le spectacle. Si d'autres couples, ou trios, s'amusent comme eux, c'est eux, ma femme et cet inconnu, qui ont capté l'attention de tout le monde. Tout en dansant, d'autres couples font cercle autour d'eux pour les regarder, les masquant la plupart du temps à ma vue.

 

Quand ils réapparaissent, je m'aperçois que maintenant, la bite de Jo est sortie de son pantalon … sa bite et ses couilles … et ma femme continue de le masturber lascivement … il la serre contre lui, et elle, de sa main libre, retient le pantalon du type pour l'empêcher de tomber sur ses genoux … un moment, grâce à la lumière d'un spot qui vient se poser sur eux, je distingue nettement la forme du gland du type … elle l'a décalotté … 

 

Et moi, je bande de plus en plus. Vautré sur cette banquette, je profite de l'obscurité pour me tripoter à travers la toile de mon pantalon. Putain, je ne peux pas m'empêcher de trouver qu'il est beau, ce couple qui en est aux préliminaires de l'amour, sans pudeur, debout au milieu des autres danseurs … même si ce couple c'est ma femme avec un inconnu !

 

Il se penche un peu, glisse sa main jusque sous un genou de Christine, et il lui soulève la cuisse à l'horizontale. Docile, elle cale l'arrière de son genou sur la hanche de son amant, et lui passe son mollet derrière la cuisse. Je saisis immédiatement l'intérêt de cette gymnastique pour Jo: de cette façon, en lui écartant cette cuisse, il ouvre Christine … il fait béer son entrejambe pour mieux l'explorer avec ses doigts … il l'ouvre sans doute aussi pour pouvoir la pénétrer avec son sexe dans la même position ! Sur trois pieds, ils tournent lentement sur eux-mêmes, l'homme soutenant la femme … MA femme … MA femme, accrochée langoureusement au cou de son amant … et je vois son avant-bras … l'avant-bras de ma femme bouger … elle continue de le masturber … ils ne s'embrassent plus, elle a reculé sa tête et ils se regardent, les yeux dans les yeux … elle a un drôle d'air … j'ai l'impression qu'elle lui parle … elle lui dit quoi ? Elle lui demande quoi ? S'il veut la baiser ?

 

Ils tournent encore … très lentement … et je finis par ne plus voir de Christine que sa nuque, son dos, ses fesses et ses … et soudain, dans le faisceau d'un spot, durant quelques secondes, j'ai une vue directe sur ses fesses, mais plus encore sur son entrejambe … et surtout … SURTOUT, je m'aperçois que … qu'alors que ma femme serre la bite de ce mec à pleine main, ça y est, il est déjà prêt à la pénétrer … ou plus exactement, que le gland de ce type est déjà pratiquement enfoui DANS ma femme, et que … que c'est ELLE qui guide le sexe de ce type en elle ! Et puis, au mouvement de son poignet, je réalise qu'en fait, il ne la pénètre pas encore … pas vraiment … mais qu'elle … ma femme … est en train de … de frotter le gland de ce type CONTRE sa chatte … 

 

14159101

 

CHRISTINE … MA FEMME … EST EN TRAIN DE …

DE FROTTER CONTRE SA CHATTE … 

LE GLAND D'UN TYPE

QU'ELLE A RENCONTRÉ IL Y A … À PEINE VINGT MINUTES !!!

 

Cette vision n'a duré que l'espace de trois ou quatre secondes, mais elle était on ne peut plus nette: c'est Christine elle-même qui, d'un imperceptible mouvement de sa main, presse entre ses petites lèvres le gland de ce type et le fait glisser contre son clitoris ! Ça devrait me paraître graveleux, obscène, pornographique ... mais je trouve ça ... beau ... d'une sensualité et d'un érotisme absolus ! Un homme et une femme qui ne se connaissent pas manifestent de la manière la plus intime qui soit leur envie de copuler.

 

Pressant d'un bras Christine contre lui, et lui maintenant de son autre main la cuisse relevée, ce mec fait lentement tourner sur place leurs deux corps enlacés. Et elle, retenant le pantalon de son amant avec sa main gauche, de la droite, et dans un même mouvement, elle est en train de lui donner du plaisir et s'en donner à elle-même !

 

Voilà … le gland turgescent de ce type n'est pas encore VRAIMENT en elle, mais il est déjà en train d'aller et venir en glissant entre les deux pétales roses et humides des petites lèvres de Christine ! Il  n'est donc plus qu'à quelques millimètres de l'entrée de son vagin … à quelques millimètres du coït ... et c'est Christine qui, en quelque sorte, tient les commandes en serrant cette verge dans sa main … c'est à elle qu'il appartient de décider d'introduire, ou non, ce sexe dans son vagin … elle n'a qu'un tout petit mouvement à faire pour que … pour que ce sexe s'enfonce en elle et que ce type la possède … Qu'est-ce qu'elle ressent, à cet instant ? Elle tient dans sa main le sexe en érection d'un inconnu, et c'est à elle de décider si et quand elle introduira ce sexe en elle et se donnera à cet étranger ! Et je n'ai pas le moindre doute: elle VA introduire en elle le sexe en érection de cet inconnu !

 

Je suis fasciné et je suis pris d'une sorte de vertige … trop de choses inouïes, incroyables, tellement insensées, se déroulent devant moi … il est désormais évident que ce couple, cette femme … MA FEMME … et cet homme, à présent parvenus à une telle proximité physique, sont maintenant avant tout … une femelle et un mâle … une femelle et un mâle brûlant tous deux de s'accoupler … il est désormais évident qu'incessamment, cette femelle et ce mâle vont se souder encore plus étroitement … réaliser l'ultime fusion entre deux êtres … l'intimité absolue … l'union sexuelle …

 

… et cette femme, C'EST MA FEMME ! Ma femme et un inconnu, debout au centre d'une piste de danse, au milieu de spectateurs et devant moi, ont commencé à faire l'amour …  dans un instant, à n'en pas douter, c'est ma femme qui décidera d'introduire le sexe de cet inconnu en elle … et ils copuleront … et cet inconnu, après avoir joui de ma femme, après lui avoir donné du plaisir … finira par déverser sa semence en elle … il fécondera ma femme … IL FÉCONDERA MA FEMME !

 

A ce stade, il n'est pas possible que ça finisse autrement, qu'au dernier moment, elle refuse qu'il la pénètre et qu'il la baise … alors c'est sûr, il va la baiser !

 

Une nouvelle intervention tonitruante du DJ m'arrache à ces pensées: il les éclaire et commente la progression des événements sur le ton des batteleurs de fête foraine. Ça ne perturbe pas les deux amants, au contraire, ça les amuse et ils continuent de plus belle … 

 

Je suis d'autant plus excité que ce type n'a pas mis de capote, et qu'il va queuter ma femme en direct, son gland turgescent à lui directement dans ses chairs humides à elle … sans protection, sans intermédiaire entre la fine peau de son organe génital à lui et ses muqueuses vaginales à elle ! En frottant son gland contre sa chatte, ma femme a déjà commencé de mêler la liqueur lubrifiante de leurs excitations respectives et de l'étaler sur ses grandes lèvres et ses petites lèvres et jusque sur son clitoris … et dans un petit moment, quand il l'aura pénétrée, qu'il aura enfoncé son pénis au fond d'elle, il va jouir et décharger son sperme dans son ventre ! De ça non plus, je n'ai pas le moindre doute: ce type ne va pas se retirer au dernier moment ... pas de coïtus interruptus ... il va éjaculer dans son ventre ! Du moins, je l'espère !

 

Je réalise que ce qui me plaît par-dessus tout, c'est que ... c'est par un inconnu que ma femme va se faire baiser. Autant ça me faisait chier qu'elle fricote avec son collègue et qu'ils baisent, autant ça m'excite qu'elle se fasse baiser et inséminer par un inconnu ! Et de fait, à cet instant, Christine cocufie autant son Patrick que moi !

 

Je ne vois plus ce qui se passe, mais soudain, toutes les lumières s'éteignent, à l'exception d'un projecteur, juste au-dessus de la piste de danse, qui déverse sa lumière chaude à la verticale sur quoi … sur ma femme et son amant ? Aux murmures et aux rires des spectateurs, je suis sûr que, cette fois, il la baise ! Il faut que j'aille voir … Mais au moment où je me lève de cette banquette, les couples qui les masquaient s'écartent, et, aux positions respectives du type et de ma femme, c'est sûr, cette fois, il est en train de la fourrer … cette fois, il a sa bite dans sa chatte … ça y est, elle a pris sa décision et elle l'a laissé introduire son sexe en elle … c'est même peut-être elle qui a voulu qu'il la pénètre … ils copulent !  Elle devait en brûler de désir … avoir ce sexe dans son vagin et le sentir aller et venir… Lui, ses bras passés sous ceux de ma femme, il remue lascivement son bassin … il va et vient en elle … il la baise ! Elle, ses deux bras passés autour du cou de son amant, la tête sur son épaule, se laisse aller … J'imagine la bite de ce type DANS ma femme … son gland qui s'enfonce en elle en repoussant ses chairs humides de désir et d'excitation … son gland gonflé de sang, tendu, qui doit continuer de baver en elle son fluide pré-éjaculatoire … 

 

Oh, putain, je suis obligé de suspendre ma masturbation, tellement je suis excité, sinon, je jouis dans mon caleçon … pas déjà … pas encore … Quelle étrange perversion me fait aimer à ce point le spectacle de ma femme honorée, possédée en public par un étranger ?

 

Peu à peu, les mouvements du type s'amplifient, comme s'il sentait sa jouissance monter … il va éjaculer ! Il va éjaculer dans le ventre de ma femme ! Allez, vas-y, mec, jouis ! Ce type va inséminer ma femme ! Si elle ne s'était pas fait poser un stérilet, il la féconderait ... il lui ferait un enfant !

 

Je me trompe, ou elle est en train de regarder vers moi ? Elle ne peut sûrement pas me voir dans la pénombre où je suis, mais elle doit se demander si moi, je la vois, ou si je roupille, affalé sur cette banquette. Elle espère peut-être que je la voie baiser avec ce type ... elle l'espère sans doute ..

 

Soudain, le type saisit l'autre cuisse de Christine, et la soulève aussi. Solidement accrochée à son cou, elle croise ses chevilles derrière les fesses du type. Et, d'un coup de reins, il se propulse en elle. Les bras croisés sur ses reins à elle, il semble la presser sur sa queue … C'est sûr, maintenant, il jouit ! Ça y est, ce mec éjacule dans ma femme ! Son sperme est en train de se déverser en elle … des millions de spermatozoïdes se précipitent dans ses muqueuses à la recherche d'un ovule à féconder ...

 

Et moi … et moi … je suis au bord de jouir aussi … rapidement, je dois glisser ma main dans mon caleçon et serrer à mort la base de ma verge pour ne pas éjaculer aussi ! Putain, ce que j'aime ça, voir ma femme se faire baiser !

 

Voilà  … un type inconnu, debout au centre d'une piste de danse, et sous les yeux d'un public, est en train de répandre sa semence dans le ventre de ma femme. Elle, les yeux fermés, la bouche grande ouverte, rejette sa tête en arrière, et se met à la secouer de droite à gauche … haletante,  comme si elle aussi, était en train de jouir … oui, c'est ça ! Elle a senti son amant éjaculer et ça déclenche son propre orgasme ... elle aussi, elle jouit … elle prend son pied … en public ! Sifflets, applaudissements, et musique à fond !

 

Je vois le type s'affaisser peu à peu, plier lentement les genoux, commencer à desserrer son étreinte autour des reins de ma femme … jusqu'à ce qu'elle commence à glisser, à dénouer ses chevilles et finisse par poser ses pieds au sol. J'ai tout juste le temps d'apercevoir la queue du type retomber mollement entre ses cuisses … cette queue … cette queue luisante qui débande, elle vient de sortir du ventre de ma femme après y avoir répandu son sperme ! Tous deux se redressent et, sous les applaudissements des spectateurs, se recollent bouche contre bouche en un long et fougueux baiser. A la manière dont elle embrasse et caresse fébrilement celui qui vient de la baiser et de lui donner du plaisir, je la sens encore excitée et … reconnaissante. Lui, en lui caressant fébrilement le dos et les reins, il fait remonter sa robe sur ses fesses. Elle a le cul à l'air ! Et le ventre plein de sperme !

 

Puis ils se décollent et le type, froidement, remet sa bite dans son pantalon, remonte son zip et tourne les talons, plantant ma femme là, au milieu de la piste de danse. Il s'est amusé avec ma femme, il s'est soulagé, il s'est vidé les couilles et il la plaque, cet enfoiré !

 

De nouveau musique speed et lumières violentes.

 

Christine, un instant désemparée, regarde s'éloigner sans réagir le type qui vient de la baiser, puis amorce un mouvement en direction de notre box. Elle n'a pas le temps de faire deux pas. Elle est aussitôt entourée et littéralement assiégée par deux … trois … quatre types, comme sortis de nulle part, et qui se mettent aussitôt et directement … à la tripoter ! On dirait un vol de vautours s'abattant sur une bête blessée … une scène de curée … Il y a un mec typé méditerranéen, basané et assez râblé … trente, trente cinq ans … sans doute arabe … et trois blacks … Il me semble que deux d'entre eux ont déjà tourné autour d'elle tout à l'heure … Ce sont trois grands blacks … trois grands blacks minces et musclés … sans doute moins de la trentaine … trois BEAUX blacks … on dirait trois clones noirs, tellement ils se ressemblent physiquement, mais aussi tellement ils sont habillés de la même façon:  jeans moulants et Marcels très échancrés … seule la couleur de leurs Marcels les différencie … un rouge, un vert et un bleu … des Marcels qui mettent en valeur la musculature de leurs épaules, de leurs torses et de leurs bras … ils sont tous les trois d'un brun très foncé, très dense, presque noir … les traits assez fins, mais sans doute plutôt africains qu'antillais … je ne sais pas pourquoi, le terme qui me vient à l'esprit, c'est "nègres" … ce sont des "nègres", tant ils me semblent représentatifs de la négritude physique et des traits que l'on attribue généralement aux noirs d'Afrique … et dans mon esprit, ce terme "nègres" n'a pas la moindre connotation raciste ou péjorative … au contraire, même … ils sont beaux, ils sont même magnifiques, et ils peuvent être fiers de leur négritude … et de leurs corps qui luisent de sueur. Fascinant spectacle que ces "nègres" et cet arabe qui tripotent sans vergogne une femme blanche … MA femme !

 

Je pense … je suis presque sûr que c'est la première fois qu'elle se fait draguer comme ça par des noirs ou un arabe. Le DJ, voyant les "affaires" reprendre sur la piste, réduit le son, remet un morceau de musique adapté et baisse les lumières.

 

L'un des blacks a directement plaqué une main entre les cuisses de ma femme, sur sa chatte … sa chatte souillée de sperme ! Et un autre lui pétrit les fesses à deux mains ! Avec ces quatre là, contrairement au "latin lover", pas la moindre cour, pas la moindre tentative de séduction ou de conquête. Pas la peine, pas de temps à perdre. Tels des prédateurs en compétition entre eux, ils se sont attaqués sans détour à leur victime, chacun cherchant à s'en réserver le morceau le plus appétissant. Ceux-là, leurs intentions sont limpides, leur but évident: ce qu'ils veulent, c'est du sexe, du sexe et du sexe ! Et ils  y vont carrément.

 

D'abord surprise par cet assaut inattendu, ma femme a mis deux ou trois secondes avant de réagir … puis, réalisant ce que veulent ces mecs, elle lève lentement les bras au-dessus de sa tête, et reprend en tournant sur elle-même l'espèce de danse érotique qui lui avait servi d'approche avec l'autre type … elle manifeste son consentement aux quatre types qui la pressent, qui la harcèlent … allez-y, tripotez moi ! La victime s'offre à ses prédateurs ... consentante. De toute façon, c'est évident, même si elle n'avait pas été d'accord, ils se seraient passés de son autorisation. Mais là, ravis que leur proie s'abandonne à eux, ils se déchaînent … ses fesses, ses cuisses, ses seins, son ventre, sa chatte … tout y passe … jusque ses lèvres – les lèvres de sa bouche -, entre lesquelles un des blacks glisse un pouce inquisiteur … quatre paires de mains l'explorent, la palpent, la pétrissent, la caressent, l'investissent, la fouillent … en prennent possession.

 

La scène est absolument torride … quatre grands mâles cernent une petite … une petite femelle – les blacks la dominent tous les trois d'au moins une tête, et le beur, lui aussi, est plus grand qu'elle – quatre mâles qui, d'évidence, veulent avoir du sexe avec elle … et elle, toute petite femelle aux mains de ces quatre grands mâles, consentante, qui s'abandonne, qui s'offre à eux … femelle en chaleurs, femelle réceptive ... la scène paraît d'autant plus torride que la différence de leurs tailles, à elle et à eux, amplifie l'impression de puissance et de virilité de ces quatre grands mâles et de vulnérabilité de cette petite femelle ...

 

La scène n'est pas seulement torride ... elle a quelque chose de … de bestial … sans plus de gêne et de pudeur que des animaux, cette petite femelle et ces quatre grands mâles ont entamé véritable une parade sexuelle en public, dont l'aboutissement est d'ores et déjà évident ... ces quatre grands mâles vont finir par s'accoupler avec cette petite femelle  … comme des animaux … devant tout le monde !

 

Comment quatre mâles peuvent avoir envie de partager une seule et même femelle ? Et de passer après un premier mâle qui vient de l'inséminer … Pour eux, cette femelle n'est qu'un objet sexuel … un jouet dont ils comptent user comme ils l'entendent pour assouvir leurs pulsions ! Elle est venue dans cette boîte pour avoir du sexe … le DJ l'a dit … elle s'est habillée en conséquence … elle a envoyé des signaux à tous les mâles présents et elle vient de se faire baiser par l'un d'entre eux … alors, pourquoi pas se la taper aussi … tous les quatre …

 

Et comment une femelle peut-elle avoir envie de se donner à quatre autres mâles après qu'un premier l'ait possédée, si ce n'est en cédant à ses pulsions les plus lubriques, les plus animales … Je ne reconnais plus Christine. Qu'emportée par l'excitation d'un flirt de plus en plus poussé avec ce Jo l'ait amenée à se donner immédiatement à lui, c'était déjà une chose inimaginable, renversante ... mais qu'elle soit sur le point de se laisser ... de se laisser passer dessus par ces quatre inconnus ... Qu'est-ce qui a bien pu se passer dans sa tête et dans son corps ? Est-ce que ces envies lui sont venues ce soir, dans cette boîte, ou bien lui taraudaient-elles déjà le ventre depuis longtemps ?

 

Et comment moi, le mari de cette petite femelle, je peux trouver naturel qu'elle accepte les avances ouvertement sexuelles de ces quatre mâles, qu'elle les encourage, qu'elle leur manifeste aussi impudiquement son envie de se donner à eux … A n'en pas douter, l'orgasme qui l'a submergée il y a un instant ne l'a pas assouvie, n'a pas éteint ce feu qui lui dévorait le ventre … comment pourrait-elle résister à ces superbes mâles qui attisent les braises de son désir ? 

 

Qu'est-ce qu'elle ressent, de se faire tripoter comme ça par des noirs et un beur ? Est-ce leur … leur "exotisme" qui la fascine ? A-t-elle envie "d'essayer" un beur et des blacks ? Ou bien n'importe quel type, aussi blanc qu'elle, aurait-il fait l'affaire ? Quoi qu'il en soit, pour le moment, c'est ces quatre là qui s'occupent d'elle, et à moi, leur "exotisme" ne m'est pas indifférent. Je ne peux m'empêcher de penser aux sexes de ces quatre types … en particulier aux longs sexes noirs des trois blacks (pourquoi des "longs" sexes ? Sans doute parce que, dans mon imaginaire, trois grands blacks ne peuvent avoir que des longs sexes noirs) … de longs sexes très noirs, dépassant de buissons de poils noirs, crépus et denses … de longs sexes très noirs aux glands eux-mêmes très noirs, aux couilles pendantes très noires … trois longs sexes de "nègres" qui veulent s'introduire dans le sexe de ma femme pour y prendre du plaisir et pour y décharger leur semence … et ça m'excite ! Oui, j'ai très envie que ces superbes "nègres" et cet arabe se tapent ma femme, qu'ils la prennent tour à tour et qu'ils jouissent en elle et la fécondent. 

 

Le DJ qui, maintenant, ne quitte plus ma femme des yeux, se déchaîne ! Mais pour lui, ça ne fait aucun doute, elle va encore y passer ! Lui aussi, cette scène et ce qui se prépare l'excitent.

 

Mon excitation à moi, qui était pas mal retombée après que je me sois étranglé la queue, remonte en flèche. Je rebande … et de plus en plus dur !

 

Ces quatre types, je n'ai pas le moindre doute qu'ils vont vraiment essayer de la baiser ! Pour eux, c'est une salope, une femme facile qui vient de se faire tirer par un mec qu'elle ne connaissait pas, et qui, de toute évidence, veut encore de la bite … alors pourquoi pas leurs bites à eux ! Putain, s'ils arrivent à leurs fins, j'espère qu'ils la baiseront là, sur cette piste de danse, devant moi … j'espère qu'ils ne l'entraîneront pas dans je ne sais quel coin sombre, dans je ne sais quel baisodrôme discret où je ne serais pas sûr de pouvoir assister à leurs ébats … 

 

Mais … qu'est-ce qu'elle fout ? Elle repousse leurs mains tant bien que mal ... leurs mains qui reviennent inlassablement à la charge sur son corps … et elle leur explique quelque chose en riant … elle insiste parce qu'ils continuent de la peloter … ils rient aussi… alors elle lève la main comme quelqu'un qui jure … et elle crache ! Ils rient de plus belle, finissent par ôter leurs mains de son corps et s'écartent ! Merde, elle fait quoi ?

 

Aussitôt, elle se dirige vers notre box, plissant les yeux, comme pour percer la pénombre … mais elle se dirige un peu trop sur sa droite, vers le box voisin du nôtre … malgré la musique de nouveau assourdissante, j'entends une voix masculine « si si, ça fait rien, viens avec nous … assieds-toi » suivie d'un rire gras … Ben oui, une occasion comme ça … une salope comme ça, le type du box d'à côté voudrait bien la garder pour lui … et la voilà devant moi, qui se détache en ombre chinoise sur le fond des lumières de la piste de danse.

 

- Vous êtes là ?

Elle scrute l'obscurité, mais le temps que ses yeux s'y accoutument, elle ne distingue apparemment rien ni personne. Elle ne sait pas que l'autre couple est déjà parti et qu'il ne reste plus qu'elle et moi dans cette boîte.

- Je suis là ! 

- Ah ! Où sont les autres ?

- Partis.

- Ah bon. Et toi, t'es pas parti ?

- Non, comme tu vois. Je t'attends. Si je pars, t'as plus de voiture pour rentrer.

 

Je sais, c'est un prétexte minable. Elle ne relève pas et demande:

- Tu fais quoi ?

- Je regarde.

- Ah bon. Je … j'ai soif. Il y a encore à boire ?

- Oui. 

 

Elle reste debout, de l'autre côté de la table, répendant jusqu'à moi les effluves de son parfum. L'éclairage de la piste découpe les formes de son corps à travers le fin voile de sa robe … comme si elle était nue. Non, pas "comme si elle était nue" … en fait, elle EST nue … nue sous cette robe tellement légère et fine qu'elle n'est plus qu'un symbole. Les lumières derrière elle révèlent à travers le tissu transparent, tout en haut de ses cuisses, ce triangle parfait que j'aime tant … ce creux de ses aines entre son sexe et l'endroit où ses cuisses se touchent. Et ces lumières font luire le haut de ses cuisses … peut-être un peu de sueur, mais surtout, j'en suis sûr, un peu de sperme et de fluide d'excitation ! Ce que le "latin lover" a déposé dans son ventre à commencé à s'écouler … Je lui tends un verre. Elle boit. Elle ne doit pas vraiment me distinguer dans l'obscurité. Je demande:

- Tu veux qu'on s'en aille, maintenant ?

 

Tout en lui disant ça, je pense que si nous faisions mine de nous en aller, les quatre mâles en rut qu'elle vient de chauffer ne nous laisseraient pas partir … et ils la prendraient de force … les témoins interviendraient ? Sans doute pas. Elle a trop chauffé tout le monde pour pouvoir se défiler. Elle a cherché des coups de bites, elle va les avoir, ses coups de bites. Derrière elle, les quatre types discutent au bord de la piste et se marrent. Et j'ai bien l'impression que, justement, ils la surveillent.

 

- … qu'on s'en aille maintenant ? Ça va pas, non ? J'y retourne. Les quatre types, là-bas, ils m'attendent. Je leur ai promis de revenir. Tu peux t'en aller, je leur demanderai de me ramener, quand on ... 

 

Elle laisse sa phrase en suspens. « … je leur demanderai de me ramener quand on … » "Quand on" quoi ? Quand on aura fini de baiser ? Elle reprend:

- Bon, enfin, tu vois ... mais tu peux y aller, si tu veux.

- Non, je t'attends.

- Ah bon. Très bien. Et tu … tu vas faire quoi en m'attendant ?

- Je vais regarder.

- Ah oui … tu vas regarder …

- Oui.

 

C'est sans doute sous prétexte de venir boire qu'elle a abandonné momentanément ces quatre types, mais je soupçonne qu'elle soit surtout venue voir si j'étais encore là, et si je la regardais se livrer à cette débauche sexuelle. Pour moi, ça ne faisait pas beaucoup de doute, mais elle vient de le confirmer, elle va continuer avec ces quatre types. Et comme ça ne pourra pas s'arrêter à des préliminaires, c'est sûr, ils vont la baiser. A son ton, quand je lui ai proposé de partir, j'ai nettement perçu sa détermination à rester, à continuer, à aller jusqu'au bout avec ces types. Mais quand je lui ai dit que je restais pour regarder, le long silence qui a suivi témoigne de son désarroi devant ma réaction … elle est étonnée, elle ne comprend pas: elle vient de se faire baiser devant moi par un inconnu, elle s'est fait tripoter par quatre autres types, elle va retourner vers eux, continuer et, de toute évidence se faire baiser par les quatre … et je la laisse faire, je ne l'entraîne pas de force hors de cette boîte, je n'essaie même pas de la dissuader … Je suis aussi surpris qu'elle de ma propre réaction. Qui aurait dit qu'un jour j'assisterais sans rien dire à un libertinage aussi débridé, aussi poussé de ma femme ? Déjà j'étais loin d'imaginer qu'elle puisse se livrer à de tels débordements sexuels. Rien que de la soupçonner de coucher avec son collègue, ça me rendait dingue … Mais là, je ne suis même pas jaloux ! C'est autre chose, une sensation nouvelle, inconnue, bizarre … et ça me plaît, ça m'excite. Sans doute parce que ce sont des inconnus …  et que c'est finalement assez flatteur pour moi, que des mâles aussi beaux et aussi … mâles ... s'en prennent à ma femme … Enfin, elle reprend:

- Bon. Comme tu voudras.

 

" Comme tu voudras" … la même expression que tout à l'heure … toute aussi pleine de menace, de défi, de provocation. Elle repose son verre, tourne les talons, regagne la piste et se glisse au milieu du quator qui était resté groupé en attendant son retour. Je me rends compte qu'ils n'étaient pas les seuls à attendre qu'elle revienne. Des couples, des femmes et des hommes apparemment seuls l'accueillent en applaudissant. La femelle en chaleurs est de retour, le spectacle va reprendre ! De nouveau, le Dj remet une musique d'ambiance. Elle se retrouve alors plus ou moins masquée par les lascars qui l'entourent et par ces spectateurs … mais je la vois quand même qui reprend sa danse lascive, ondulante … Je remarque que si un ou deux couples, chaudement enlacés, continuent de danser, beaucoup de spectateurs ne s'en donnent même plus la peine … maintenant, ils ne sont sur cette piste que pour regarder ce qui se passe … ils veulent assister à la partouze de cette femme avec quatre types ! 

 

C'est elle, maintenant, qui cherche leurs mains et qui les attire sur elle, offrant son corps aux attouchements de ces mâles. Elle leur parle et ils rient. Je me trompe, ou ils jettent tous des coups d'œil dans ma direction ? Qu'est-ce qu'elle leur dit ? Que son cocu de mari est en train de la regarder se faire tripoter ? La voilà adossée au torse de l'un des trois blacks, ondulant du bassin pour frotter ses fesses contre le bas-ventre du mec. Il n'y a pas de doute, elle cherche encore à les chauffer, ces types … Celui-là en particulier. Il glisse ses mains par-dessus ses épaules jusque dans son décolleté, déboutonné jusqu'au milieu du torse, et commence à lui peloter la poitrine, tandis que les autres lui caressent les cuisses, les fesses et le ventre … elle lève les bras vers le black contre lequel elle s'appuie, lui enserre le cou et l'attire vers elle, vers sa bouche. Il se penche et plaque sa bouche sur la sienne … Les autres, dans leur fébrilité, ont remonté sa robe légère jusque sur son torse … la voilà pratiquement à poil … collée bouche à bouche au grand black qui lui pelote les seins, elle tend son bassin en avant et écarte les cuisses, offrant sa vulve à l'exploration d'un autre black … Elle est encore pleine du sperme du premier mec qui l'a baisée, mais ça n'a pas l'air de gêner le moins du monde celui qui lui fouille la chatte avec ses doigts … A mon avis, ça ne les dérangera pas non plus de fourrer leur queue dans son vagin encore plein de sperme !

 

La même question me revient, obsédante … à quoi elle pense, ma femme, à ce moment précis ? Qu'est-ce qu'elle ressent ? J'aimerais bien savoir, être dans sa tête … ça doit être torride … ça doit être tellement excitant !

 

Des types, des femmes, des couples se massent maintenant autour de cette scène de sexe et je ne vois plus suffisamment ce qui se passe. Alors, je me lève et je m'approche. Je veux être aux premières loges … après tout, c'est ma femme qui fait la salope et qui se donne en spectacle. Je me glisse entre deux couples. Il y a bien vingt cinq ou trente personnes qui font cercle autour de Christine et de ses quatre amants, et qui regardent, commentent et rient … certains, excités par ce qu'ils voient, s'embrassent, se pelotent, se masturbent mutuellement sans vergogne … Un type, à côté de moi, le bras passé sur les épaules d'une jolie beurette, me regarde et commente:

- Ben putain, celle-là, elle est chaude ! C'est une vraie salope ! C'est sûr, elle veut se les faite tous les quatre. Tu crois pas ?

- Si, t'as sûrement raison ...

- Et je sais pas si t'as vu, mais elle s'est déjà fait sauter par Jo, le baiseur de service! Il l'a baisée là, tout debout au milieu de la piste !

- Je sais, j'ai vu. Ce Jo, c'est le baiseur de service ?

- Ouais. Chaque fois qu'il vient, il s'en tape une … à tous les coups, ça marche !

 

Je lui souris, et désignant Christine d'un coup de menton:

- C'est ma femme.

 

Interloqué, il me dévisage silencieusement, les yeux ronds, puis:

- Hein ? Sans déconner … c'est ta femme ? ! ? ! 

- Oui.

 

Il me tend la main, visiblement pour serrer la mienne:

- Ben félicitations, mec … moi, c'est Kevin.

 

On se serre la main. Sa compagne a entendu … elle tend le cou et me regarde avec un drôle d'air. Elle se penche vers sa voisine, lui touche le bras, et lui lance:

- Le type là, à côté, c'est son mec !

- Quoi ?

 

Elle répète:

- Le mec, là, il dit que c'est sa femme, qui est en train de se faire tripoter par les quatre lascars !

 

Aussitôt, l'information fuse, passe de bouche à oreille, fait le tour de l'arène … dans le brouhaha, je saisis des " c'est son mec ", " son mari ", " le mari de la salope " … on me dévisage, on se marre, on se donne des coups de coude, on me sourit ... Je sens que, d'un seul coup, le fait que le mari soit là, qu'il assiste aux ébats de sa femme avec ces quatre types, ça ajoute du piment au spectacle. C'était déjà bien qu'elle se laisse tripoter par ces mecs après s'être fait baiser par le "latin lover", mais si, en plus, c'est sous les yeux du cocu, c'est encore plus excitant ! Maintenant, c'est un vrai show ! Plus personne ne danse, et si quelques uns continuent de se tripoter, c'est toujours en contemplant le spectacle. C'est dingue ! Comment j'aurais pu imaginer que cette soirée évolue en partouze entre Christine et des inconnus ? Comment j'aurais pu imaginer qu'elle s'adonne à … à ÇA ? ! ? !

 

Au milieu du cercle, indifférents à ce qui les entoure, ma femme et ses quatre amants poursuivent leur orgie. Maintenant, ils sont … comment dire … ils sont comme descendus d'un étage … le black, derrière elle, qui lui tripotait les seins, est maintenant courbé au-dessus d'elle, et, ses bras passés sous ses aisselles, il la soutient en continuant de lui rouler une pelle torride. Elle, à moitié effondrée, le cou tordu dans ce fougueux baiser qui n'en finit pas, enserre le cou de son amant et s'appuie des épaules sur les genoux de ce type … le torse et le bassin pratiquement à l'horizontale, les jambes pliées, elle repose sur ses pieds largement écartés. Le black qui lui explorait la vulve avec les doigts il y a un instant, est maintenant accroupi entre ses mollets, et poursuit son investigation gynécologique … ses doigts enfoncés dans son vagin, il la fouille consciencieusement ! Le contraste de ses doigts, si noirs, sur cette peau si claire, est saisissant.

 

Pour celui-ci, les choses ont bien progressé … ça y est, il a sorti sa queue par sa braguette, il bande et il se masturbe ! Putain, j'avais vu juste ! Il a une longue bite … une bite assez fine, mais longue … et effectivement noire foncée … avec un gland tout noir … c'est fascinant ! Je vois … je vois un des sexes qui vont s'introduire dans le ventre de ma femme ! Il va … il va enfoncer ce long sexe noir dans sa chatte ! Un sexe tellement noir et tellement long ! En face de moi, le troisième black a aussi sorti sa queue ! Lui est à genoux sur la piste de danse, et d'une main, il caresse l'intérieur de la cuisse de ma femme et de l'autre, il se masturbe aussi. Exactement la même bite que l'autre … très noire … et longue ! Quelles belles bites ! Ça, c'est des mâles ! Le beur me tourne le dos, mais je vois sa main gauche qui pétrit une fesse de ma femme. Il a sorti sa queue, celui-là ? Je ne peux pas voir. Je bande et ma queue, repliée dans mon caleçon, commence à me faire mal … j'ai une furieuse envie de la sortir … d'ailleurs, plusieurs spectateurs mâles ne se gênent pas et se tripotent ouvertement aux côtés de leur nana, en regardant … moi, tout ce qui me retient, c'est que, par rapport à celle des deux blacks, ma bite va paraître ridiculement petite … et ça serait beaucoup plus humiliant pour moi que de regarder ma femme se faire tripoter par ces mecs … N'y tenant plus, je glisse ma main dans mon pantalon et je redresse ma queue … Ouf, je me sens mieux. Mon geste n'a pas échappé à un type, en face de moi .. il hoche la tête en souriant à mon intention …

 

- Et … ça te dérange pas de voir ta femme se faire tripoter comme ça par ces quatre mecs ?

 

Le type de tout à l'heure, Kevin,  s'est encore penché vers moi, et il me parle à voix basse. Il ne veut pas déranger les baiseurs.

- Non, ça me dérange pas.

- Ah bon ? Vous avez l'habitude de faire ça, avec ta femme ?

- Non, c'est la première fois.

- Ah ouais ? Et c'est toi qui as voulu qu'elle se fasse … euh … qu'elle se fasse baiser ?

- Non. Ça vient d'elle.

- Et que ça soit des renois … enfin, des noirs … et un rebeu qui la tripotent, ça te dérange pas non plus ?

- Non. Toi, ça te dérangerait ?

- Avec des types que je connais pas, oui, ça me dérangerait. Mais avec des potes à moi, pas de problème …

 

Sa compagne, elle aussi penchée vers moi, a entendu et lui fout un coup de coude. Il se marre et reprend:

- Mais, euh … en tout cas, elle est drôlement chaudasse, ta femme. Et ça te fait vraiment pas chier que le rebeu et les trois frangins, là, ils la baisent à la chaîne  ! ? ! ? 

- Les trois frangins ?

- Ouais, les trois blackos, là, c'est des frangins … des jumeaux, même …

 

Ah ! C'est pour ça qu'ils se ressemblent tellement ! Des triplés ! Ma femme va se faire baiser par des triplés blacks !

 

- Des triplés, je t'ai déjà dit !

 

C'est la compagne de Kevin qui rectifie.

- Ouais, des triplés ... si tu veux ! Lui, là, qui roule une pelle à ta femme, c'est Mamadou … l'autre, en face de nous, c'est Moussa … et lui, là, qui lui fourre un doigt, c'est Daouda … c'est des sénégalais. 

 

Pour une première, Christine ne pouvait pas trouver plus … typique. Mamadou, Moussa et Daouda ! Des sénégalais ! Je me le fais confirmer par mon voisin:

- Ah bon ? Des sénégalais ?

- Ouais. Ils viennent tout le temps ici pour baiser … comme Jo, qui a baisé ta femme tout à l'heure … mais eux, souvent, quand ils lèvent une meuf, ils la baisent tous les trois … trois mecs d'un coup … une bite dans chaque trou … et des fois deux bites dans le même trou … et elles aiment ça, les salopes … surtout les blanches … parce que eux, c'est pas seulement des renois … c'est des sénégalais, en plus ! Tu vas voir, ta femme, comment elle va aimer ça … surtout si c'est sa première fois ! Alors, ça te fait vraiment pas chier ?

- Non. Au contraire …

- Ah bon ! ? ! ? "au contraire" ? ! ? !

- Ben, tous ces mecs, c'est … c'est des beaux mecs … le fameux Jo, il est pas mal, aussi … et si j'ai bien compris ce qu'a dit le DJ, ce Jo, il a du succès avec les femmes …

- Ouais … chaque fois qu'il vient ici, il s'en tape une … et le rebeu, là … t'en penses quoi ?

- Il est bien foutu, lui aussi … il est costaud … 

- Et qu'un rebeu se tape ta femme devant toi, tu t'en fous aussi …

- Pareil.

- C'est Morad, le frère à ma meuf. 

 

Décidément, ça se passe en famille, au Huitième Ciel ! La meuf en question se penche de nouveau vers moi et hoche la tête pour confirmer:

- Ouais, c'est mon frère, Morad. Il fait de la muscu. C'est pour ça, ses épaules …

 

Je perçois de la fierté dans le ton et la mimique de le petite beure. Mon voisin reprend:

- Alors, les trois blackos, ça te fait vraiment pas chier ? C'est des sénégalais, quand même … t'as vu ? Ils ont des gros zobs, les sénégalais …

- Ben tant mieux pour elle, si ils ont des gros zobs … mais non, ça me fait pas chier … c'est plutôt flatteur que des beaux mâles, bien montés comme eux aient envie de se taper ma femme …

- Mouais … on peut voir ça comme ça …

 

D'un seul coup, la situation évolue. Le black accroupi entre les mollets de ma femme … Daouda, donc … tout en faisant sauter le bouton de ceinture de son jean, Daouda s'avance brusquement entre les cuisses de Christine. Il écarte les pans de son pantalon et finit d'en sortir sa queue … et surtout ses couilles ! Ah putain, quel organe ! Magnifique ! Son appareil génital émerge d'une épaisse touffe de poils noirs. Sans qu'il ait besoin d'y toucher, sa bite, légèrement courbe, se dresse gaillardement à la verticale. Je suis fasciné ! Il va la baiser avec ça ! Elle a dû le sentir s'approcher d'elle … elle interrompt la pelle qu'elle roulait à Mamadou, dénoue ses bras d'autour de son cou … et, bouché bée, elle regarde Daouda, agenouillé entre ses cuisses, visiblement fascinée par le long sexe dressé qu'elle voit dépasser au-dessus de son ventre. Les deux autres, Mamadou et Moussa, ont compris que le moment est venu pour leur frangin de la fourrer. D'ailleurs, aux murmures que j'entends autour de nous, tout le monde a compris. Dans une parfait synchronisation, Mamadou et Moussa lancent à Daouda une formule incompréhensible pour moi – sans doute du sénégalais -  mais dont le ton atteste qu'ils encouragent leur frère. Curieusement une question me vient à l'esprit: ma femme sait-elle que ces trois blacks sont frères ? Sait-elle qu'elle va se faire baiser par des triplés ? Lui ont-ils dit ? 

 

Mamadou glisse de nouveau une main dans le décolleté de ma femme, et se remet à lui tripoter les seins. 

 

Evidemment, elle aussi a compris que l'autre, là, entre ses cuisses, va la prendre … maintenant ! Moi qui la connais bien, je reconnais son expression … étonnement … plaisir … gratitude … la même expression que quand je lui avais offert ce voyage en Polynésie, dont elle avait tant rêvé. Mais là, c'est cette queue noire qui l'enchante comme ça … cette longue queue noire la fascine ! C'est évident, elle la veut ! Elle la veut en elle ! Elle la veut dans sa chatte, elle la veut dans son ventre … C'est la première fois qu'elle … qu'elle a une aventure avec … des blacks … du moins, je crois … alors, ce sera la première fois qu'une bite noire s'introduira dans son sexe. Elle tend les mains vers son ventre et les glisse vers son entrejambe, d'abord à plat sur le haut de ses cuisses … puis, délicatement, du bout des doigts, elle écarte ses petites lèvres … elle s'ouvre, elle s'offre … elle offre sa vulve, elle offre son ventre à ce long sexe noir ! L'image de ces doigts aux ongles rouge qui écartent ces pétales roses et humides, c'est ... superbe !

 

petites-levres-b.jpg

 

 

Son impudeur, son indécence à réclamer ce sexe sous les yeux d'une trentaine de spectateurs, c'est absolument lubrique et obscène … mais si beau et tellement excitant ! Elle balaie l'assistance du regard, heureuse et fière d'être le centre de toutes les attentions … elle prend les spectateurs à témoin … "regardez, ce mec va me baiser ! ". Elle croise mon regard … me sourit … je lui rends son sourire … elle sourit à ce Daouda qui va la pénétrer d'un instant à l'autre … quand leurs regards se croisent, d'un léger coup de menton,  elle se tourne vers moi comme pour inviter son amant à regarder ce qu'elle lui désigne ainsi: "tu vois, c'est mon mari, là … et tu vas me baiser devant lui" … alors Daouda me regarde à son tour, sourit et, me désignant à son tour d'un coup de menton, il lance quelque chose en sénégalais à ses frères … Il leur signale ma présence. A leur tour, les deux autres me dévisagent, se marrent et Mamadou me lance:

- Hé, mec ! Mon frangin, il va la baiser, ta femme !

- …

- Tu t'en fous ? Hé, remarque, nous aussi, on va la baiser !

 

à suivre ...

 

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Profil

  • Solosexe
  • homme hétéro, amateur, aimant les plaisirs solitaires, porter de la lingerie féminine et les introductions anales

Recherche

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés