Mercredi 20 septembre 2017 3 20 /09 /Sep /2017 01:00

Avertissement.


Dans ce "récit pornographique", je décris des pratiques zoophiles.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

La loi n°  2004-204 du 9 mars 2004 porte que le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de nature sexuelle ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. 

L'intention du présent récit, purement de fiction, n'est en aucune manière d'inciter qui que ce soit à s'adonner à des pratiques zoophiles.

 

 

C'est devenu obsessionnel, je revis en permanence cette partie de cul avec les deux molosses de Pierrot dans l'écurie de Jean-Claude. 

 

PUTAIN, JE ME SUIS ENCORE FAIT BAISER PAR DEUX CHIENS …

DEUX ÉNORMES CHIENS ! ! !

 

JE ME SUIS FAIT  . . . . . .  COUVRIR ! ! !

 

PUUUUUUUTAIIIIIIN ! ! !

 

Curieusement, il m'a fallu plusieurs jours avant de vraiment réaliser ce qui m'était arrivé ce jour là. Tout de suite après, je ressentais ça comme une partie cul parmi d'autres … une partie de cul … normale, habituelle, banale … enfin, je me comprends … ce que je veux dire, c'est que je trouvais que ça avait été pareil que de me faire baiser par des mecs, ce qui, pour moi, est vraiment devenu habituel … le fait que ça avait été des chiens, et pas des mecs, n'était somme toute qu'un détail … une partie de cul comme une autre, donc, ni plus, ni moins … Voilà, je m'étais fait grimper par deux molosses, ils m'avaient sailli et ils avaient éjaculé dans mon cul. Point ! Pas de quoi en faire un roman.

 

Et puis, petit à petit … je ne sais pas … je m'étais mis à … à analyser ce qui m'était arrivé … comme d'un point de vue extérieur, en quelque sorte … comme si un certain MOI, étranger à l'affaire, s'était mis à examiner ce qui était arrivé à l'autre MOI, celui qui s'était fait grimper et passer dessus par ces deux chiens … et une espèce de dialogue silencieux s'était peu à peu instauré entre ces deux MOI:

- Tu te rends compte de ce qui s'est passé ?

- Je me suis fait saillir par des chiens … et alors …

- Ben … PAR DES CHIENS, quand même …

- Oui, PAR DES CHIENS … je vois pas ce que ça a d'extraordinaire … surtout que c'était pas la première fois …

- Je sais bien que c'était pas la première fois. Mais tu ne vois vraiment pas en quoi ce n'est pas "ordinaire", pour un mec, de se faire saillir par deux chiens ? 

- Non.

- Tu as eu des relations sexuelles avec des animaux … avec des A … NI … MAUX ! Et pas n'importe quelles relations sexuelles … ces animaux t'ont EN … CU … LÉ ! Ils t'ont ENCULÉ et ils ont déchargé leur sperme dans ton ventre … ILS ONT … DÉCHARGÉ … LEUR SPERME … DANS TON VENTRE ! 

- Ben oui …

- Et tu vois pas ce que ça a de … tu trouves ça … NORMAL ! T'es un mec, tu te fais enculer et remplir de sperme par des animaux, et pour toi, c'est NORMAL ! 

- Ben … "NORMAL", je sais pas … c'est peut-être pas "NORMAL", mais …

- Ces deux clebs t'ont SAILLI … ils t'ont SAILLI comme si t'étais une CHIENNE … Une CHIENNE ! Tu réalises ? Eux, les chiens, ils n'ont pas enculé un homme, ni une tafiole, ils ont sailli UNE CHIENNE, UNE FEMELLE CHIEN ! 

- Oui … enfin, je sais pas … peut-être que c'est quand même un mec, qu'ils ont enculé …

- Non non ! Faut ouvrir les yeux ! Des clebs, ça n'a pas envie de se taper un mec … un homme … Pour des chiens, un homme c'est soit un dominant, comme leur maître, soit un intrus, une menace … des chiens, ils n'ont pas envie de s'accoupler avec leur maître ou avec quelqu'un qui représente une menace potentielle … Non non, ils t'ont sauté, parce que pour eux, t'étais bel et bien une CHIENNE ! Au début, ça les a peut-être un peu surpris, une chienne comme toi, mais sans doute pas plus que si on leur avait présenté une chienne d'une autre race à saillir … je sais pas … une femelle Saint-Bernard, par exemple … ou une femelle Lévrier … Tes deux clebs, là, on leur aurait présenté une femelle Saint-Bernard ou une femelle Lévrier à couvrir, ils l'auraient couverte pareil, tu peux être sûr ! 

- Peut-être, oui …

- Pas "peut-être". C'est sûr ! Alors, même si avec toi c'est pas des effluves de chienne en chaleurs qui les ont excités, ce qu'ils voulaient, les deux bestiaux, en cherchant à te grimper, c'est te faire des petits ! 

- Me faire des petits ? ! ? ! Ça va pas, non ?

- Oui, te faire des petits ! Evidemment, TE FAIRE DES PETITS ! Un chien, ça fantasme pas de se taper un bonhomme pour le seul plaisir de tirer un coup … un chien, ce qui provoque son rut, c'est son instinct de géniteur … son instinct de reproduction … Le seul truc, avec toi, c'est qu'ils le savaient pas, les deux chiens, qu'en te couvrant et en t'inséminant, ça ferait pas des petits.

- Bon, admettons … et c'est MAL, de se faire faire des petits par des chiens ?

- C'est MAL … pour certains, oui, c'est MAL … pour la société, avoir des relations sexuelles avec des animaux, c'est pervers, c'est tabou, c'est interdit, même … Moi, je dirais pas que c'est mal, parce que je vois pas en quoi c'est mal … tu les as pas battus, tu les as pas forcés non plus … ils en avaient envie, ils bandaient comme des ânes devant ton cul ! Pour moi, tout au plus, on pourrait te reprocher d'avoir abusé de la crédulité de ces deux bêtes … 

- " … d'avoir abusé de la crédulité de ces deux bêtes " ? ! ? !

- Ben oui, en usant de stratagèmes, t'as profité que ces deux chiens croyaient te faire des petits pour t'adonner à ce … à ce vice … 

- "… en usant de stratagèmes" ? ! ? ! Quels stratagèmes ?

- Oui, oui, des stratagèmes … comme leur tripoter la bite … comme leur SUCER la bite, même … ou tortiller du cul sous leur nez … ou leur présenter ton trou du cul à renifler et à lécher … et finir par te foutre à quatre pattes devant eux et leur montrer ton … ta … ta vulve, quoi … tout ça, c'était des stratagèmes pour les tromper, leur faire croire que t'était une femelle … Cela dit, sans vouloir te trouver des excuses, d'une certaine manière, toi aussi, tu t'es fait balader en beauté … pas par les chiens, évidemment … mais par leur maître !

- Je me suis fait balader ? ! ? ! 

- Oui. Si t'as fait tout ça … tous ces stratagèmes pour que les chiens te baisent, c'est bien parce que ce tordu de Pierrot t'a manœuvré pour t'amener à ce que ce soit toi qui offre ton cul à ses bestiaux …

- Mais enfin, il ne m'a pas obligé ... je lui ai démontré qu'il ne pouvait pas m'obliger … si je l'ai fait, c'est parce que je l'ai voulu … parce que j'en avais envie …

- Je sais, que t'étais pas obligé et que t'en avais envie … mais justement, il a senti que t'en avais envie et il a fait en sorte que tu te sentes obligé de prouver que t'étais cap de le refaire devant lui … Tu vois, ce type, il voulait pas seulement que tu lui démontres que c'était possible qu'un chien baise un mec … il voulait pas non plus simplement que tu recommences avec un des chiens de Jean-Claude … non, il voulait surtout que tu te fasses sauter par un de ses chiens à lui …

- … par DEUX de ses chiens …

- Oui, par DEUX de ses chiens … et peut-être même, il aurait bien voulu que ces cinq chiens te passent dessus l'un après l'autre … au départ, du moins … Et j'ai toujours pas compris pourquoi il a renoncé brusquement, soit disant parce que sa femme l'attendait … Bref, c'est clair que c'est SURTOUT LUI, qui avait envie de voir ses géniteurs te grimper et te baiser … plus que ses géniteurs eux-mêmes … et pour arriver à ses fins, il t'a roulé dans la farine et tu y as vu que du feu … Il a même réussi à ce qu'au bout du compte, ce soit toi qui demande à te faire saillir !

- Whooh ! Comment ça ?

- Ben oui, réfléchis à ce qui s'est passé … ce mec, pour obliger Jean-Claude et toi … surtout toi, à reconnaître que tu t'étais fait sauter par les Danois de ton pote, il commence par jouer la comédie du type qui croit que Jean-Claude a offert la première saille de ses danois à d'autres chiennes que les siennes … une fois que t'as avoué, il vous met la pression avec «la zoophilie c'est répréhensible et blablabla et blablabla … », avant de mettre en doute que ce soit possible qu'un chien encule un mec … et là, CRAC, tu tombes à pieds joints dans le panneau ! « Bien sûr que si, c'est possible ! D'ailleurs, je vais vous le prouver ! ». Il attendait que ça, le mec ! Dès le départ, il a senti que t'étais prêt à recommencer … à partir de là, c'était du billard, pour lui. Il t'a amené exactement là où il voulait t'amener … que ce soit toi qui demande à te faire encore sauter par un clebs … La preuve qu'il avait tout prémédité, c'est qu'il avait même amené des clebs à lui, pour te baiser ! 

- " pour ME baiser …" … il savait pas que ce serait un mec qui serait là … il savait pas que c'était un mec qui s'était fait baiser par les danois de Jean-Claude … il croyait que c'était une femme …

- Ça change quoi ? Admettons … il vient là pour faire baiser une femme par ses molosses, et il s'aperçoit que c'est pas une femme, mais c'est un mec … le moment de surprise passé, pour lui, c'est seulement un détail et il adapte tout de suite son scénario … c'est pas une femme ? Pas de problème, ils vont niquer ce mec, mes chiens … Pas plus compliqué que ça ! En tout cas, ce qu'il faut que tu réalises, c'est que tu t'es fait VRAIMENT COUVRIR par des chiens … hein … Et tu sais ce que ça veut dire "COUVRIR" !

 

Ben oui, "COUVRIR", je sais ce que ça veut dire. "COUVRIR", en principe, c'est le terme qu'on emploie pour parler de la fécondation d'une chienne par un chien. Et bien oui, je me suis fait COUVRIR par deux chiens … je me suis VRAIMENT fait COUVRIR par deux chiens … TOTALEMENT COUVRIR par deux chiens ! Ça n'a pas été seulement des petits coups de bites vite faits bien faits, histoire de dire que je me suis fait enculer par des chiens … Non, ça a été deux saillies complètes … des saillies exactement comme celles que les chiens font aux chiennes pour leur faire des petits: je me suis offert à ces deux molosses, et ils m'ont … enfin, non, ça ne n'est pas exactement passé comme ça … Mon MOI "extérieur" m'a aussi ouvert les yeux là-dessus: en fait ce n'est pas vraiment moi qui me suis offert à ces molosses … en réalité, si j'en suis arrivé là, c'est bien parce que c'est leur maître, leur éleveur, qui m'a littéralement offert à ses chiens … il leur a offert mon cul à fourrer, il leur a offert mon cul à enculer, il leur a offert mon cul à baiser ! Oui, c'est vraiment ça: ce type a offert mon cul à ses chiens pour qu'ils tirent un coup, il leur a offert mon cul pour qu'ils se vident les couilles ! Et moi … moi, je me suis laissé faire, incapable de résister à la vue des cinq superbes mâles qu'il avait amenés, incapable de résister à la perspective de me faire prendre par eux et trop heureux de cette nouvelle occasion de me faire grimper par des bestiaux comme ceux-là ! 

 

Oui, il ne faut pas se voiler la face: dès le départ, ce type savait ce qu'il voulait, et il a très bien manœuvré pour arriver à ses fins. Et moi, une fois que j'ai réalisé ce qu'il voulait vraiment, je me suis laissé manœuvrer, trop heureux d'être mis par ce type à la disposition de ses molosses. Au départ, sous la menace d'un procès à mon pote Jean-Claude pour rupture de contrat, il avait seulement prétexté vouloir vérifier que les Danois qu'il lui avait vendus avaient bien eu un rapport sexuel avec un être humain, et pas avec une vraie chienne. Pour Jean-Claude et moi … enfin, surtout pour moi, il s'agissait seulement de lui démontrer que c'était possible, qu'un chien pouvait baiser un homme. Oh, bien sûr, pour la forme, je lui ai démontré qu'en fait il ne pouvait rien contre Jean-Claude et moi, et que rien ne m'obligeait à me faire sauter par un chien pour lui donner satisfaction. Mais je n'ai pas pu résister … une nouvelle occasion de me faire sauter par un clebs s'offrait à moi ! Et puis, quand ce type a annoncé qu'il avait amené un de ses chiens pour me … pour me baiser, je  ... je ne sais pas … ça a ajouté je ne sais quoi à mon excitation, à l'irrépressible envie qui commençait à me tenailler le ventre … 


Ce type avait amené un des chiens de son élevage pour me sauter !


En plus, un chien d'une race que je ne connaissais pas, un chien dont je ne savais même pas à quoi il pouvait ressembler ! Et pour m'appâter, pour m'allécher, son maître, ayant visiblement deviné mes goûts, s'est mis à insister non seulement sur la taille du chien lui-même, mais surtout sur la taille de son sexe … SON SEXE … la taille du sexe de son chien ! Ce type, pour finir de me convaincre, me vantait les performances sexuelles de son molosse … Jean-Claude lui-même, qui disait connaître cette race de chiens, était impressionné par le gabarit de la bête à qui on me destinait … limite inquiet pour moi, le Jean-Claude ! Et il sait ce que c'est un gros chien ! A partir de là, j'étais cuit: à moi, tout ça était loin de me faire peur, loin de me faire reculer, bien au contraire … ça n'a fait que m'aiguillonner … ce que me suggérait ce type … ce gros chien … la grosse bite de ce gros chien … au fond de moi, je le savais déjà: cette bête, si bien montée, allait me sauter !

 

C'était comme de m'être fait offrir par Denis et Dominique à des types que je ne connaissais pas dans le bar de Jeannot … à part que, quand j'ai compris que Denis et Dominique mettaient ma bouche et mon cul à la disposition de ces types, je les avais devant moi … ils demeuraient de parfaits inconnus qui allaient me baiser, mais au moins, je voyais à quoi ils ressemblaient. Là, ce clebs, j'avais d'ores et déjà intégré qu'il allait me baiser alors que je ne l'avais pas encore vu. Plus ou moins consciemment, en acceptant de livrer mon cul à un animal totalement inconnu, simplement parce que son maître me disait qu'il était particulièrement bien monté, je sentais que j'étais en train de franchir un degré de plus dans la débauche … et ça m'excitait beaucoup. Alors, quand, en plus, je me suis rendu compte que l'éleveur s'était pointé chez le fermier non pas avec un seul chien, mais avec cinq, dans l'espoir évident que plusieurs d'entre eux sautent à leur tour celui (ou celle) qui avait "déniaisé" les danois de Jean-Claude, ça a été LE choc ! Découvrir ces cinq mastards dans son camion … cinq énormes clebs amenés là exprès pour … pour avoir du sexe avec moi … je ne pouvais pas passer à côté de ça … ma tête avait envie de ces mâles, mon cul voulait leurs bites, mon ventre réclamait leurs semences ! Je ne pouvais pas les laisser repartir sans qu'au moins un d'entre eux m'ait baisé et inséminé ! Et cet enfoiré d'éleveur l'avait tout de suite senti … tout comme certains mecs ont senti qu'il leur suffisait de claquer des doigts pour que j'écarte les cuisses devant leur queue.

 

Alors leur maître en a choisi deux … un Cane corso et un Mastiff … oh, putain, les bestiaux ! Et … et oui, c'est vraiment ça, il m'a littéralement livré à ses deux chiens ! Et vous savez quoi ? Ça m'a plu, bordel ! Pas seulement de me fait sauter par ses chiens … non, ce qui m'a plu aussi, c'est qu'un type, un type que je ne connaissais même pas, AIT DÉCIDÉ qu'il allait me faire baiser par ses chiens ... que, sous prétexte que je m'étais déjà fait sauter par les Dogues allemands de Jean-Claude, il était en droit de me faire grimper aussi par ses chiens à lui … même pas comme un droit de cuissage, non, pire que ça … comme si j'étais … je sais pas … l'image qui me semble le mieux s'approcher de ce que je ressens, c'est les poubelles de rue, vous savez, ces corbeilles mises à la disposition du public pour qu'il y jette ses vieux chewing-gums, ses mouchoirs sales et ses canettes vides … tout le monde, moi inclus, se débarrasse de ce qui le gêne dans ces poubelles sans leur porter la moindre attention … elles sont là pour ça … c'est leur rôle, leur fonction … et bien je pense que ce mec m'a vu, non pas comme une des ces poubelles de rue, mais comme son équivalent sexuel, une viande à bites publique, à la disposition de quiconque a besoin de se soulager de ce qui lui engorge les couilles … lui, c'est les couilles de ses molosses qu'il voulait faire dégorger …

 

Et ça me plaît: ne plus être seulement considéré par des mecs comme un jouet sexuel dont ils peuvent disposer à leur guise, mais être aussi considéré comme un jouet sexuel pour chiens ! Et bizarrement, plutôt que d'en éprouver de l'humiliation, ou de voir ça comme un avilissement, j'en ressens de la satisfaction … et même plus que de la satisfaction, une espèce de fierté ! Oh, évidemment, ce type ne m'a pas forcé, contraint, ni même menacé personnellement … il n'en a pas eu besoin … non, la menace, au départ, elle était sur mon pote Jean-Claude … mais j'ai senti que du point de vue de ce mec, c'était évident: « puisque tu t'es fait sauter par les Danois de Jean-Claude, puisque tu aimes ça, te faire monter par des chiens, puisque t'es là pour ça, mes chiens aussi vont te fourrer ! ». Bon, j'étais d'accord, mais si je n'avais pas été d'accord, c'était la même chose ! Et donc, il m'a traité comme … comme il traite les chiennes que des clients lui amènent pour les faire couvrir par ses mâles. Les chiennes, on ne leur demande pas leur avis: elles sont là pour se faire sauter … elles se font sauter ! Pour la forme, j'ai bien fait mine de résister … un peu par réflexe, parce que nous nous étions rencontrés à cause d'un conflit, mais l'affaire était entendue, ses chiens allaient me sauter … et ce type le savait. 

 

Et j'ai aimé ça ! J'ai aimé qu'il m'offre à ses molosses, j'ai aimé m'accoupler avec eux, j'ai aimé qu'ils me sautent sous les yeux de leur maître … et j'ai aussi beaucoup aimé que ce mec me traite sans plus d'égards qu'il n'en a pour les chiennes que ses molosses couvrent … allant jusqu'à vérifier avec les yeux, et pratiquement avec les mains, le verrouillage du knot de ses chiens dans mon rectum ! Ah ça, par contre, il ne s'y attendait pas, ce mec. Que ses chiens se verrouillent en moi et que nous restions collés jusqu'à ce qu'ils aient fini de me féconder, il ne l'avait même pas imaginé. Ça l'a bluffé, d'ailleurs, je l'ai senti. Que les saillies de ses chiens soient si … si complètes … avec verrouillage et insémination, sur le coup, ça l'a paniqué. Mais quand il a réalisé que c'était possible, que ses chiens me couvraient effectivement comme une vraie chienne, et que moi, c'est ce que je le voulais, que ça me plaisait, d'un seul coup, il a trouvé ça encore plus excitant. Je réalise que si ses deux chiens m'ont immédiatement considéré comme une chienne et s'ils m'ont monté comme une femelle à qui ils devaient faire des petits, leur maître à aussi fini par me voir comme une femelle qui devait accueillir ses deux géniteurs et recevoir leurs éjaculats. Pour ce type comme pour ses chiens, ce matin là, j'ai vraiment été une femelle !

 

Oh la la, quelle sensation enivrante, vertigineuse, quand je me suis installé à quatre pattes au milieu de cette écurie, cuisses écartées, reins cambrés, vulve offerte en sachant que c'est le sexe d'animaux qui allaient me pénétrer, investir mon anus, remplir mon rectum et y déverser leur semence ! Et en effet, l'un après l'autre, ils m'ont monté dessus, l'un après l'autre, ils ont … ils ont introduit leur sexe dans mon anus, l'un après l'autre, ils ont gonflé leur bulbe érectile  à l'intérieur de mon rectum pour me maintenir prisonnier de leur étreinte … oh, putain, ces sexes énormes bloqués dans mon anus … ils se sont alors verrouillés en moi … et ils m'ont … IN – SÉ – MI - NÉ, l'un après l'autre ! Oui, ils ont … ils ont éjaculé leur sperme au fond de moi … tous les deux, l'un après l'autre … Oh, putain ! J'en suis encore sidéré !

 

JE L'AI FAIT ! ! !     JE L'AI ENCORE FAIT ! ! !   

 

JE ME SUIS ENCORE FAIT REMPLIR LE VENTRE DE SPERME

PAR DES ANIMAUX ! ! ! !

 

JE ME SUIS DE NOUVEAU FAIT BAISER  PAR DES CHIENS ! ! ! ! !

 

 

Par moments, je me dis que ce n'est pas possible, que c'est irréel, que j'ai fantasmé ces deux saillies … et puis non, tout est encore tellement présent, comme gravé dans mes chairs, imprimé à la fois dans mon corps et dans mon esprit … ces sensations physiques, bien réelles … le contact de leurs corps ... chauds, lourds, puissants, bestiaux, avec mon corps … leur odeur de mâles, forte, musquée, virile … la caresse de leurs pelages sur ma peau … leur masse, sur mon dos … le relief et la fermeté de leurs muscles dans mes mains … leurs griffes qui éraflent l'intérieur de mes cuisses … la chaleur mouillée de leurs sexes quand ils commencent à pénétrer mon anus … ce vertige quand je sens leur énorme sexe gonfler et s'enfoncer en moi … le souffle de leur halètement sur ma nuque pendant qu'ils me bourrent de coups de reins frénétiques … leur soudaine inertie quand ils se mettent à décharger consciencieusement leur semence au fond de mon ventre … cette ivresse qui me saisit en réalisant qu'un animal est en train de déverser son sperme dans mes entrailles, que des milliers, des millions de spermatozoïdes se répandent dans mes chairs, s'insinuent dans  les replis de mes muqueuses … et cette présence énorme, frémissante, vivante, de leurs organes sexuels hors normes à l'intérieur de moi … cette sensation d'arrachement, d'aspiration de mes entrailles, quand, une fois leur devoir de géniteurs accompli et le contenu de leurs testicules répandu dans mon ventre, ils se sont retirés… et ce flot, tiède, qui s'est alors écoulé sur mon périnée ...

 

Toutes les sensations sont là … toutes les images … toutes les odeurs – hhmmmm, l'exhalaison suave, poivrée de leur semence qui s'écoule de ma vulve quand ils se retirent de moi - … je revis tout … chaque seconde de ces accouplements bestiaux et, à chaque fois, une vague me submerge, mêlant poussée d'adrénaline, bouffée de chaleur, volupté physique, plénitude cérébrale … et gratitude …

 

Parfois, je repense à la séance dans son ensemble … à ce choc, quand j'ai découvert, à l'arrière de son fourgon, les cinq bestiaux que l'éleveur avait amenés chez Jean-Claude pour me niquer … et a posteriori, je réalise qu'immédiatement, à ce moment là, j'avais su que je ne me ferais pas seulement baiser par le seul Cané corso … puis tout le déroulé des deux coïts avec les chiens … et enfin, tout de suite après qu'ils m'aient fécondé, l'injonction de Jean-Claude de ne pas bouger pour qu'à son tour, il me prenne en levrette, et se vide les couilles en moi … En d'autres circonstances, son coup de bite à lui, Jean-Claude, aurait pu être un vrai bonheur, physiquement et sexuellement ! Mais après ce que les deux molosses venaient de me faire, de ce point de vue ce n'était rien de plus qu'une péripétie anecdotique … Restait surtout l'intense volupté d'être traité par lui et par l'éleveur comme une femelle en libre-service, à la disposition de tous les mâles, et surtout comme une femelle inter-espèces … restait la jubilation et la fierté d'être le réceptacle des désirs de tous les mâles, de tous les trop-pleins testiculaires, de tous les épanchements éjaculatoires ! Extase cérébrale !

 

Et c'est maintenant, après coup, donc (je pourrais même dire "après coups", puisque ce jour-là, j'en ai pris trois, des "coups"), que je réalise combien les saillies de Falco et Gordo ont été différentes … combien elles ont été fortes, chacune à sa façon, et combien elles m'ont procuré des sensations, des plaisirs différents … Falco, le Cane Corso, par son aspect brutal, sauvage, effrayant au premier abord, c'est la force, la puissance et cette bestialité de mâle dominant qu'il dégageait, qui m'ont bouleversé, qui ont aiguillonné mon désir de me donner à ce … à ce monstre … Avec Gordo, le Mastiff à l'air bonasse, c'était une copulation … comment dire … sereine, apaisante, tranquille … certes "volumineuse", mais si douce …

 

Les saillies des deux danois de Jean-Claude, un mois auparavant – la première fois que je me faisais couvrir par des chiens -, je ne les avais pas vécues vraiment sereinement, je ne m'étais pas totalement lâché, certes déterminé à aller jusqu'au bout, mais quand même un peu inquiet quant à leur déroulement, et surtout encore un peu inhibé par un reste de culpabilité. Mais celles des deux molosses de Pierrot, ça a été tout autre chose ! Cette fois, je me suis donné aux deux chiens sans arrière pensée, je me suis abandonné à leurs étreintes en toute quiétude, j'ai joui sans réserve de ces accouplements, j'ai pleinement vécu ces inséminations … Oh, ces énormes sexes gorgés de sang en moi, déchargeant leur semence au fond de mon ventre ! Ça, c'est sans doute ce qui me bouleverse le plus: qu'un mâle d'une autre espèce décharge, répande sa liqueur séminale au fond de mes entrailles !

 

Je réalise que, par la grâce de ces accouplements avec les deux molosses de Pierrot, il vient de m'arriver exactement ce qui m'était arrivé après que je me sois fait prendre de force par une équipe de blacks dans un hôtel … Me faire passer dessus par ces huit blacks, en me révélant la volupté d'être traité comme un objet sexuel soumis au désir des mâles, ça avait débloqué quelque chose en moi. J'avais pris conscience de mon amour pour la bite, de mon addiction à la bite, je l'avais acceptée et j'avais su que, dorénavant, je me ferais sauter par tous les mecs qui en auraient envie. Et bien, les merveilleux amants qu'ont été ce Cane corso et ce Mastiff m'ont aussi fait basculer: maintenant je le sais, je suis accro … je suis addict au sexe avec les chiens … je le sais et je l'assume: dorénavant, chaque fois que j'en aurais l'occasion, je me ferai sauter par un chien !

 

Oui, parce que ces deux saillies ont eu raison de mes dernières craintes. Se faire baiser par un chien n'a rien de dangereux, ni même de douloureux. Son appareil génital a beau être si radicalement différent, tellement … bestial, il n'en est pas moins compatible avec mon anatomie. Le gonflement de son knot dans mon rectum et son verrouillage pendant la durée de la fécondation, loin d'être des causes de risques ou même de simples inconvénients sont, au contraire, des atouts … comment dire … techniques et érotiques dont ne dispose aucun mâle humain. Cette sensation incroyable quand, si intimement emboîtés l'un dans l'autre, nous restons assemblés, collés, maintenus par ce rivet de chair, et que nous ne faisons plus qu'un seul être, uniquement et entièrement consacré à cette fonction vitale d'insémination, de fécondation, de reproduction … 

 

Avec le Cané corso, j'ai eu surtout l'impression que le molosse avait un urgent besoin de tirer un coup, de se vider les couilles. C'était évidemment très agréable de me faire prendre comme ça, comme un vide-couilles à chiens, pareil que quand je me fais prendre par des hommes comme vide-couilles à mecs. Mais avec Gordo, le Mastiff, je sais bien que ça peut paraître dingue, mais avec lui, j'ai eu nettement, intensément l'impression que … que justement, le chien était en train de me faire une portée. Certes, je savais, moi, que cette insémination demeurerait stérile, mais le chien … Gordo l'ignorait, lui, que son insémination serait stérile … le chien, lui, il remplissait son rôle de géniteur avec conviction … son maître voulait qu'il couvre cette femelle, alors il la couvrait … elle était bien un peu étrange, cette femelle, tellement elle ressemblait à son maître … certes, elle ne dégageait pas les mêmes effluves que les autres femelles qu'il avait couvertes jusque là, mais elle lui avait touché le sexe, cette femelle … elle lui avait même sucé le sexe ! Et il avait beaucoup aimé ça, le chien, de se faire sucer le sexe par cette femelle ! Et puis, quand elle s'était mise en position, à quatre pattes devant lui, qu'elle avait offert à son regard sa vulve déjà luisante de désir, il ne sait pas pourquoi, le chien, mais cette peau nue et ces rondeurs qu'il n'avait encore jamais vues chez une femelle de sa race, ça lui avait donné encore plus envie de les investir avec son sexe … alors, il lui était monté dessus, il l'avait saisie par la taille, et avec son gland hypersensible, il avait cherché cet orifice tiède et humide où il savait qu'il devait s'introduire, il l'avait trouvé et il s'y était enfoncé … une fois dedans, il s'était trouvé aussi bien que dans les femelles Mastiff qu'il avait saillies jusqu'à présent … celle-ci était peut-être un peu moins chaude, mais qu'importe, il avait senti son sexe se dilater en elle tout en commençant à y crachoter sa semence … alors, en reproducteur expérimenté, pour éviter que son sexe ne ressorte de sa femelle, il s'était immobilisé le temps que son bulbe érectile gonfle et envahisse tout l'espace du vagin de sa femelle – de mon rectum - , et une fois bien collé à sa femelle, sa prise bien assurée, il avait répandu son sperme en elle … 

 

Putain ! Me trouver à quatre pattes, riveté à ce mâle par cet énorme boule qui me remplissait le cul, et savoir qu'au fond de mon ventre sa grosse bite de chien était en train de répandre sa semence de chien ! Je me souviens, tellement la sensation était intense, tellement j'étais heureux sous ce mâle en train de me faire une portée, que j'ai eu un instant de vertige, comme si j'allais tomber dans les pommes … A cet instant précis, le Mastiff et moi, nous étions … oui, nous étions … comme un couple … lui le mâle et moi la femelle … nous étions un couple par delà nos espèces respectives, par delà nos différences anatomiques, et malgré que nous étions du même sexe, nous étions un couple en train de faire des petits … Oui, je le ressens comme ça: Gordo, l'énorme Mastiff, était en train de me faire des petits Mastiffs … et j'en éprouve une espèce de fierté !

 

Restent la morale et le droit. Je sais ! Pour la société, avoir des relations sexuelles avec un animal, c'est non seulement contre-nature, immoral, pervers et scandaleux, mais c'est aussi tabou, interdit, et donc répréhensible. Tout ça, je le sais. Mais ça ne me retient pas. Ceux qui légifèrent ont fait de la zoophilie un délit équivalant à la maltraitance, mais je ne me sens ni honteux ni coupable. Maltraitance ? Absence de consentement ? Les deux molosses n'ont été ni battus ni contraints. Leur maître leur a présenté une nouvelle femelle à saillir, une femelle certes assez différente de celles qu'ils avaient l'habitude de couvrir, mais ils n'ont ni hésité ni rechigné, et ils l'ont couverte … et ils l'ont fécondée. Et si j'en crois la taille et la vigueur de leurs sexes dans mon anus, ils étaient très contents de ce qu'on leur faisait faire, les deux chiens.

 

Alors oui, je recommencerai, et d'ailleurs, j'ai hâte qu'il m'appelle, le Pierrot … j'ai hâte qu'il me fasse "visiter" son élevage. Quand je ne revis pas en pensée ces accouplements avec ses chiens dans l'écurie de Jean-Claude, je fantasme sur le jour où l'éleveur m'invitera chez lui … et je me fais des scénario … je m'imagine, déambulant à poil dans une grande propriété aux côtés de l'éleveur, et parmi une bande de molosses en liberté … un éleveur à la fois fier de me présenter ses protégés, les robustes mâles de son élevage, et excité de leur montrer la femelle qu'il leur destine …  Je me vois, les miches à l'air, assailli par cette bande de chiens en rut que leur maître peine à canaliser … je me vois, me faisant renifler et lécher le cul à qui mieux-mieux, offrant ma rondelle enflammée à leur langues, me faisant bousculer par des clebs survoltés qui cherchent à grimper cette femelle qu'ils sentent réceptive … je m'imagine excité, affolé par cette promiscuité avec tant de mâles, avec tant d'amants à satisfaire, avide de tous ces sexes pressés de me saillir … je rêve que certains se battent pour me conquérir, pour être les premiers à me couvrir, je rêve qu'à coup de griffes et de crocs le plus gros, le plus costaud d'entre eux impose sa force aux autres … qu'après qu'il ait eu le dessus et établi sa domination sur la meute, je me laisse tomber à quatre pattes devant lui … lui, le mâle dominant, lui, le mâle alpha … je rêve que, cuisses écartées, reins cambrés, ventre goulu, je lui offre ma vulve pour qu'il me prenne et qu'il me féconde là, devant les autres qui attendent leur tour… je me vois, une fois le mâle dominant soulagé, quand il en aurait terminé avec moi, quand il aurait fini de confier son patrimoine génétique à mes entrailles, je me vois me faire couvrir successivement par tous les autres … 

 

Mais ce qui me frustre, c'est que je n'ai aucune idée de ce à quoi ressemble son élevage … je ne sais pas non plus combien il a de mâles au total, le Pierrot. Alors j'ai du mal à rendre mes rêveries assez … concrètes. C'est con, je ne lui ai demandé ni son nom, ni celui de son élevage … J'ai bien cherché sur Internet s'il avait un site, mais sans nom et sans adresse, je n'ai rien trouvé … Ravalant ma rancœur, j'ai même appelé Jean-Claude pour lui demander. Il n'était pas là et j'ai laissé un premier message sur son répondeur … il ne me rappelle pas. Et quand je téléphone aux heures où il devrait être chez lui, comme le soir, il ne décroche pas. Alors je laisse message sur message. Il me fait toujours la gueule … sans doute parce que je lui ai annoncé que j'irai chez Pierrot. Putain, il est gonflé ! C'est lui qui nous a mis en relation … et il était bien content que j'accepte de me faire sauter par un molosse de l'éleveur pour le sortir d'affaire ! Alors, pour revoir Pierrot et ses molosses, j'en suis réduit à attendre que ce soit lui qui m'appelle. Et il a dit que ça prendrait peut-être un moment … Tout de même, un matin, j'ai la surprise de recevoir un mail de Jean-Claude, sans un mot d'explication, mais me donnant un code pour accéder à son Cloud. Ce sont les vidéos qu'il a faites de moi et des chiens dans son écurie. Je m'empresse de les télécharger et je commence à les visionner. 

 

Oh, putain, le choc !

 

Revivre ces deux saillies en pensée, c'est déjà quelque chose, mais les voir … ME voir … c'est terriblement et instantanément excitant ! Déjà, rien que ME voir me balader dans cette écurie, sans aucune pudeur, tortillant du cul, à poil devant ces deux mecs, tout en sachant ce qui se passe dans ma tête à ce moment là, femelle en manque de sexes et brûlant du désir de se faire prendre par des chiens … – je ne m'en étais pas aperçu, mais Jean-Claude m'a filmé, ainsi que l'éleveur, dès le début -, ME voir passer d'une stalle à l'autre la queue à la main, pour … pour "tester" les chiens qui me baiseront … puis ME voir tripoter la bite du Cane corso, ME voir enfourcher un des Dogues et le masturber tout en me frottant le bas ventre sur son dos … ME voir tellement indécent, tellement débauché, sur ces courtes vidéos … Et c'est criant, évident sur l'écran de mon ordinateur: on VOIT nettement mon excitation monter au contact de ces chiens ! Je n'en reviens pas de m'être montré aussi … salope lubrique à ces deux types, le fermier et l'éleveur, m'abandonnant sans pudeur et sans retenue aux pulsions bestiales les plus obscènes et les plus débridées ! Je n'en reviens pas et, en même temps, j'en éprouve une fierté certaine: devant les deux types qui me regardent, je suis vraiment sans pudeur, sans honte, sans limites … salope parfaite, viande à bites. Ce spectacle de moi-même m'excite … d'autant que j'anticipe ce qui va suivre … mes accouplements avec les deux chiens … mais je savoure la progression, la montée en puissance érotique, pornographique de ce que je me vois faire dans cette écurie … et je bande de plus en plus à me regarder me dépraver de cette façon … 

 

Bien que concentré sur ces scènes d'une telle débauche, je remarque quand même qu'on voit nettement l'éleveur m'accompagner près de ses chiens et me regarder les masturber. Avec ces vidéos, le voilà aussi impliqué que moi … ou presque. Enfin, voici une vidéo où on me voit me mettre à genoux devant le Cané corso … Putain, je n'en reviens pas ! Je m'offre, je me donne à ce chien ! Il va me baiser ! Il tire sur sa laisse, que son maître a du mal à retenir … la bête s'excite, me bouscule, essaie de me grimper … je me mets à quatre pattes … Je ME vois me mettre à quatre pattes pour me faire baiser par un chien … ce serait déjà terrible, extraordinaire si c'était un autre mec que je voyais se donner à ce chien, mais C'EST MOI ! C'EST MOI QUI ME DONNE A CE CHIEN ! C'EST MOI QUI VAIS ME FAIRE ENCULER, BAISER, INSÉMINER PAR UNE BÊTE ! A la vue de cette scène, à cette idée, un frisson m'électrise le bas ventre, l'anus, la prostate, et ma bite sursaute et se dresse. 

 

Je vois maintenant le maître entraîner l'animal vers mon cul … « Allez, Falco ! Grimpe-le, mon chien ! BAISE-LE ! ». La voix de Pierrot a résonné, forte et claire, ne laissant planer aucun doute sur sa volonté de me faire couvrir par son animal ! Nouveau frisson de plaisir: ce type m'offre à son chien ! Visiblement, l'animal obéit plus à son instinct, à son désir, qu'à l'injonction de son maître. Le voilà sur moi … il me saisit par les flancs … il agite son bassin … il cherche ma vulve … et IL LA TROUVE ! ! ! Oh, putain, ça y est, LE CHIEN M'ENCULE ! J'entends ma voix, d'abord indistinctement, puis « … Vas-y, le chien, continue, BAISE-MOI ! ». J'ai fini en criant ! Tandis que Falco danse d'une patte sur l'autre en me pilonnant fiévreusement le cul, je me vois me cambrer davantage et rejeter ma tête en arrière … réflexe de la femelle adoptant la meilleure posture pour assurer sa fécondation ! A cet instant, je ne suis plus un homme … je ne suis plus non plus la tapette qui se fait baiser par tous les hommes … non, sous ce chien, JE SUIS une chienne … une femelle heureuse de se faire couvrir par un mâle ! Oh, putain, ce que c'est beau ! Ce que nous sommes beaux, le molosse et moi, en train de nous livrer à cet accouplement ! Ma raison a beau me dire que mon insémination par ce chien ne peut qu'être stérile, je ne peux m'empêcher de voir dans ce coït l'image même de la fonction vitale de procréation entre deux êtres !

 

CE CHIEN, CE MÂLE … MON MÂLE EST EN TRAIN

DE ME FAIRE DES PETITS ! ! ! !

 

JE JOUIS ! ! ! !

 

 

Sans même avoir touché ma bite, je jouis, tellement le spectacle que je vois sur mon ordinateur me bouleverse et m'excite ! Tremblant, haletant, j'interromps la vidéo et je reprends mon souffle pendant que ma crème gicle sur mes genoux. Putain, ce que nous sommes beaux, le molosse et moi, en train de copuler, en train de procréer ! Comment … comment des gens pourraient-ils trouver là quelque chose de malsain ou de pervers ? Si mon entrejambe a bien perçu le caractère éminemment pornographique de cette scène, ma tête y voit une certaine innocence: deux êtres qui éprouvent un violent désir sexuel l'un pour l'autre s'accouplent sans considération de leur différence ou d'une quelconque morale. Aucune violence, aucune contrainte … seulement un désir sexuel … puissant, irrépressible, de part et d'autre … 

 

Je reprends le visionnage des vidéos, et bien que venant tout juste de jouir, je me remets aussitôt à bander. Mais cette fois, je me masturbe tout au long des ces vidéos. Seule manque à la série de Jean-Claude celle qu'il a faite de sa queue allant et venant dans mon cul pendant qu'il me baisait. Je doute qu'il veuille me l'envoyer. Pierrot a filmé cette scène finale et j'espère que lui me donnera sa vidéo …

 

Ces vidéos, je les regarde pendant plusieurs jours … et chaque fois en me masturbant … et parfois plusieurs fois par jour. Fasciné, excité par ces scènes, je n'envisage même pas de téléphoner à des mecs pour me faire sauter par des mâles humains … 

 

Et puis, voilà qu'un soir, Yolaine reparaît. Je ne l'ai pas revue depuis que nous avons baisé après notre randonnée. Et ça, c'était il y a bien quinze jours. Ça m'étonnait qu'elle ne soit pas venue me demander comment s'était passé mon "essai" dans l'hôtel de Lionel. J'avais remarqué que, depuis un moment, sa voiture ne bougeait pas de devant chez elle, et j'en avais conclu qu'elle devait être en vacances, peut-être descendue dans le Midi voir sa mère … Je me demandais si je devrais lui dire que je m'étais fait sauter par les chiens de Pierrot … je ne lui avais pas dit pour ceux de Jean-Claude … Même si elle est décoincée, point de vue sexe, je me disais que, quand même, des chiens, ça serait déviant trop pour elle. On verrait, et j'attendrais qu'une conversation glisse sur la zoophilie. 

 

La voilà donc qui sonne à ma porte. Quand je lui ouvre, elle se précipite sur moi, hésite et finit par m'embrasser sur les joues. Je la sens radieuse, épanouie. Je l'invite à s'asseoir. En effet, elle était partie voir sa mère dans le Midi. A son attitude, à l'étincelle qui brille dans son œil, je devine qu'elle a des choses à raconter … mais pas seulement … des choses à me demander, aussi … Je la laisse y venir toute seule. Ça ne manque pas … après avoir pris des nouvelles de ma santé, elle enchaîne:

- Alors … tu devais pas aller te faire enculer dans un hôtel ?

 

"… tu devais pas aller te faire enculer ? " Directe, la Yolaine ! Ce n'est pas vraiment nouveau, mais je ne suis pas encore habitué. Malgré son changement de look et de comportement, je ne peux pas m'empêcher de toujours voir en elle la Yolaine d'avant. 

 

- Si, et j'y suis allé.

- Alors … raconte !

 

Alors, je raconte. Je raconte et, au fur et à mesure, elle ne cesse de réclamer des précisions … qui étaient ces types … comment ils étaient, eux et leur bite … ce qu'ils m'ont fait … comment ils ont joui … ce que ça m'a fait … etc. Elle veut les détails les plus scabreux … ses yeux brillent ... elle se délecte. Quand je conclus en lui expliquant qu'au final l'expérience m'a déçu et même déplu, elle ne comprend pas vraiment pourquoi. Elle paraît réfléchir quelques secondes en m'observant et semble soudain se décider:

- Dis … tu … tu crois qu'ils voudraient de moi, chez ton … chez ce type, à l'hôtel ?

- De toi ?

- Oui … pour me … pour que des hommes me … me fassent comme à toi …

- Tu veux aller te faire baiser par des hommes dans cet hôtel ? 

- Ben oui. Tu m'as dit qu'ils le font souvent avec des femmes mariées qui ont envie de se faire baiser … Je suis plus mariée, mais j'ai envie de me faire baiser … par plusieurs hommes, je veux dire …

- Ben … je sais pas … ils voudront sûrement de toi … pourquoi pas …  mais, t'es sûre de vouloir faire ça ?

- Oui, oui … je suis sûre ! Mais je … je peux pas me présenter comme ça à ce type … le patron de l'hôtel, et lui dire que … que j'ai envie de ça …

- Pourquoi, t'es trop timide ?

- Non, c'est pas ça, mais il va se demander ce que c'est que cette bonne femme qui se pointe toute seule chez lui pour faire ça … j'ai réfléchi … il pourrait se demander si je suis pas … je sais pas … une indic, une flic ou je ne sais quoi … Si c'est toi qui me présente, il sera tranquille …

 

En effet, elle a réfléchi … et elle a raison. C'est le genre de milieu où on ne doit pouvoir pénétrer que par connaissance. Elle insiste:

- Alors, t'en dis quoi … tu voudras bien me présenter à ce type ?

- Ben si tu veux …

- Ah, merci. Ils .. ils font ça souvent ? Je veux dire … c'est toutes les semaines, une fois par mois ? Tu vas appeler quand ?

 

Elle s'est soudain rapprochée de moi, sur le canapé, et elle a posé sa main sur mon genou.

- Hé ! Dis ! Attends ! Je ne sais pas tous les combien ils font ça. Je vais appeler, t'inquiète …

- Ce soir ? Maintenant ? Tu peux l'appeler maintenant ?

- Oh, dis donc, ça urge ! Il est tard, je sais pas si il répondra …

- Ben si, il répondra … il est pas tard, il est pas huit heures … 

- Qu'est-ce que tu en sais ?

- C'est un hôtel … à huit heures du soir, ils répondent … pour prendre des réservations, par exemple .. et puis il y a toujours quelqu'un, dans un hôtel …

- OK, OK, je vais appeler … mais avant … raconte … à part aller voir ta mère, tu as fait quoi pendant des trois semaines ?

- J'ai couché avec deux types …

 

Direct ! Elle me sort ça avec un air gourmand, jubilatoire. En fait, ce n'est pas ça que je lui demandais … je pensais à du tourisme, à des achats, à des balades … 

- Avec deux types … en même temps ?

- Non … oh non ! Remarque, ça m'aurait pas déplu, mais c'était pas possible …

- Et ben, raconte …

 

Elle raconte. Le premier, c'était un ancien de son lycée, là-bas dans le Midi. Elle l'a rencontré par hasard, en faisant des courses. Il ne l'avait pas reconnue. Pas étonnant. Elle m'explique que, comme à l'époque, elle était très catho coincée, le type avait gardé cette image d'elle et qu'il n'en est pas revenu quand elle l'a abordé et qu'elle lui a dit qui elle était. De fil en aiguille, ils sont allés boire un verre, et il lui a fait part de son étonnement à propos de son nouveau look. Immédiatement, elle s'est lancée pour lui faire savoir qu'au point de vue comportement, elle avait aussi radicalement changé:

- Je lui ai sorti de ces trucs ! Presque tout de suite, je lui ai parlé sexe … et plutôt crûment. T'as pas idée ce que ça m'a fait du bien … Je lui ai dit que, maintenant, je baisais comme une folle. Je te dis pas … il était scié ! Et j'ai tout de suite senti qu'il était … intéressé, mais quand même un peu sceptique … alors je l'ai chauffé … un moment, je lui ai dit "tu me crois pas ?". Comme il avait toujours l'air de douter de ce que je lui disais, je lui ai dit "tu connais un hôtel, dans le coin ? Si tu veux, on y va et tu me baises ". Scié, le type ! Il se demandait si ça cachait pas quelque chose, alors il a hésité un moment, et puis il a fini par appeler sa femme devant moi pour lui dire qu'il rentrerait pas, qu'il aller manger avec un collègue … On a fini à l'hôtel. Je l'ai sucé … et après, il m'a baisée. J'ai vraiment aimé ça, baiser avec quelqu'un que j'ai connu dans ma jeunesse et qui me voyait comme … comme une bourge coincée du cul … j'ai aimé ça même si il était un peu maladroit. 

- Et il t'a baisée !

- Oui ! Et sans capote ! Il en avait pas et il a pas osé passer à la pharmacie … j'aurais pu y aller moi, mais je m'en suis bien gardée … j'avais trop envie qui me … qu'il éjacule dans mon ventre …

- Et l'autre …

- L'autre, c'est Laure, ma copine, qui me l'a présenté. Laure, c'est ma copine d'enfance et on est toujours restées très proches, toutes les deux. C'est … ma confidente, et je lui ai toujours TOUT raconté … le plus souvent au téléphone … même à l'époque de mon mari …

- Y compris ce que tu as fait avec moi ?

- Oui, surtout ça ! Je lui avais même raconté quand je t'avais surpris dans ton jardin avec ton grand black … le soir même, je lui avais raconté … et ce que ça m'avait fait … que je m'étais doigté la chatte … et la suite, avec toi … tout … je lui dis tout … depuis toujours. Elle voudrais bien te connaître ... Bref, comme je lui ai dit que maintenant j'aime le sexe et que j'ai tout le temps le … le ...

- … tout le temps le feu au cul …

- Oui, tout le temps le feu au cul … elle m'a demandé si je voulais qu'elle me mette en relation avec les hommes de sa connaissance qui sont aussi portés sur le cul, et … 

 

Elle s'interrompt brusquement, ouvre de grands yeux, et:

- Rhôô, comment je parle, maintenant ! Faut que je fasse attention, parce que je pourrais aussi bien sortir des trucs comme ça à n'importe qui …

- Ben oui, il y a longtemps que j'ai remarqué que tu te lâches, au point de vue langage …

- Oui, je sais, mais je trouvais ça tellement vulgaire, avant, de parler comme ça … alors je me suis retenue pendant tellement longtemps que ça me fait du bien de pouvoir parler comme un charretier … Bon enfin, ma copine Laure, elle a pas dit les choses comme ça, évidemment, mais c'était l'idée … me présenter des chauds lapins qui pourraient me … qui pourraient s'occuper de moi, quoi … me sauter … 

- … et elle en connaissait ..

- Oui, elle en connaît … mais seulement de réputation, parce que, elle, le sexe, ça ne l'intéresse pas plus que ça. Elle en connaît notamment un qui tire sur tout ce qui passe à sa portée, comme femmes … Elle l'a appelé et il était d'accord pour me rencontrer … elle m'a donné son adresse et j'y suis allée … le jour même …

- Et ..

- Et … lui aussi, je l'ai sucé. C'est lui qui a voulu, d'abord. Mais lui, il avait des capotes. Je lui ai dit que c'était pas la peine, mais il n'y a rien eu à faire. Ça fait rien, c'était pas mal quand même. Elle m'en aurait bien présenté un ou deux autres, mais j'avais pas assez de temps … je me suis occupée de ma mère … on a visité la famille, on est allée à droite, à gauche, où elle avait envie d'aller … je la vois qu'une ou deux fois par an … mais, la prochaine fois, je resterais plus longtemps et je m'arrangerais pour avoir plus de temps pour moi … surtout, je chercherai les anciens du lycée. Je vais essayer de me taper tous ceux qui étaient en classe avec moi. Bon, alors, tu l'appelles, le patron de l'hôtel ?

 

Elle a serré sa main sur mon genou. Je vais chercher mon téléphone et j'appelle. Quand sa sonne, elle demande:

- Tu peux mettre sur haut parleur ?

 

Ça décroche. Voix d'homme:

- Allô ?

- Lionel ?

- Oui.

- C'est Marin … tu te souviens ? Le travesti … je suis venu chez toi me faire …

- Oui, oui, je sais qui tu es. Tu veux quelque chose ?

- Oui, mais … pas pour moi ..

- Ah bon.

- J'ai une amie … à qui j'ai parlé de vos soirées … avec des femmes mariées … tu vois ?

- Oui, évidemment. Et ?

- Et ça l'intéresse.

- Ah bon.

- Elle aimerait en faire partie.

- Bon. Très bien. Tu la connais bien ?

- Oh oui … intimement même ...

- Ah bon ? Tu … je croyais que tu donnais que dans les mecs …

- Non, non … je suis bi, mais surtout homo …

- Bon, ça te regarde. Et ton amie … elle est comment ?

- A quel point de vue ?

- Physique … elle est bien?

- Ben oui … sexy, très sexy, même, pour une femme de son âge …

 

Elle me tape le genou tout en souriant. Lionel:

- Quel âge ?

- Quarante six !

 

C'est elle qui vient de crier ça à l'intention de Lionel. Je lui explique:

- Elle écoute, là. Je suis sur haut parleur.

- Et … au point de vue sexe … elle est chaude ?

- Oh oui … elle a tout le temps le feu au cul … on en parlait, justement, il y a un instant …

- Bon bon bon … tu lui as expliqué comment ça se passe ? Vous … bonjour, madame …

- Bonjour monsieur.

 

"Bonjour madame ", "bonjour monsieur" ! Elle parle à Lionel qui va se charger de recruter des hommes pour la baiser !

- Oui, vous savez comment ça se passe, nos soirées ?

- Oui, en gros … Marin m'a expliqué … mais je voulais savoir … 

 

Je lui passe l'appareil:

- Oui, je voulais savoir … vous faites ça souvent ? Ce genre de … de réunion …

- C'est variable, mais une fois par mois, à peu près … Vous êtes au courant qu'il y a plusieurs hommes … des fois BEAUCOUP d'hommes, et seulement une femme ou deux … des fois trois … pour tous les hommes qui sont là … 

- Oui, oui, je sais ..

- … et que les femmes n'ont pas vraiment le choix … je veux dire … elles peuvent pas se refuser … et se limiter à un ou deux hommes …

- Oui, j'imagine …

- La seule chose, c'est qu'avant de commencer, elles peuvent dire ce qu'elles veulent ou ne veulent pas … la sodomie, par exemple … ou le sado-maso … ou … je sais pas … des capotes ou pas de capotes … on a des clients pour ça … après, pour le reste, elles n'ont pas le choix des hommes … alors certaines femmes demandent à être masquées … pour ne pas voir qui les saute …

- Et ben … ça me convient …

- Tu as déjà fait ce genre de chose ?

- Non, ce sera la première fois.

- Bon, OK … et tu t'appelles comment ?

- Euh …

 

Elle me regarde, interrogative. J'ai compris, elle se demande si elle peut lui révéler son identité. Il faut dire qu'elle a un prénom si peu courant. Des yeux, je lui fais signe qu'elle peut y aller:

- Je … c'est Yolaine, mon prénom …

- Yolaine. Très bien. Autre chose?

- Oui. C'est quand, la prochaine … séance ?

- T'es pressée ?

- Oui. 

 

Je l'entends rire, le Lionel.

- C'est le 9 … samedi 9 … pas ce samedi … le suivant … dans 9 jours, donc … le soir … Ça te va ?

- Oui.

- Bon, il y aura une autre femme … une habituée … elle pourra te driver si t'as besoin … Celle-là, c'est un cas … c'est une des deux ou trois plus grosses salopes qui participent à nos soirées. Elle en a jamais assez, de la bite ! Bon, alors, Yolaine, sans faute, hein … tu nous poses pas un lapin … 

- Non non !

- Hein, Marin … t'entends ? Je vais appeler d'autres mecs spécialement pour ta copine, alors il faut qu'elle soit là sans faute !

- T'inquiète pas, Lionel, elle y sera.

- OK, je compte sur toi. Remarque, l'autre, l'habituée, elle épongerait sûrement le surplus si jamais ta copine venait pas, mais sauf cas exceptionnel, la plupart de mes clients, ils apprécient pas de se retrouver trop nombreux sur la même salope.

- Elle sera là, Lionel, t'inquiète pas … et moi aussi, je serai là.

- Bon, ben … à samedi, alors. Salut.

- Salut.

- Salut.

 

Elle me rend le téléphone, radieuse. Les yeux pétillants, elle demande:

- Tu crois qu'ils seront combien …

- T'as vraiment envie de savoir ?

- Ben oui … à peu près, au moins …

- J'en sais rien. Et, pour moi, ne pas savoir combien il y aura de mecs pour me sauter, ça ajoute du piment à la chose …

 

Elle réfléchit:

- Ouais. T'as peut-être raison …

- T'es sûre de toi, hein … ça te fait vraiment pas peur …

- Oui, je suis sûre …

- Tu te rends bien compte, hein … tu vas te faire passer dessus … et baiser … par plusieurs types que tu connais pas …

- Oui, oui, je me rends compte. T'inquiète pas pour moi … J'ai hâte.

 

Elle me regarde en coin, hésite, puis:

- Dis … tu veux pas, là, maintenant ? J'ai envie …

 

Ah merde! Moi, j'ai pas trop envie … ça ne m'a même pas un peu émoustillé, ce qu'elle m'a raconté … ni de savoir que, dans une dizaine de jours, elle va y passer …

- Ben … excuse-moi, mais moi, j'ai pas trop envie …

- Ah bon ? Comment ça se fait ?

- Je me suis beaucoup masturbé, ces jours-ci … en regardant des vidéos, et là, je … j'ai même pas envie d'un mec …

- Oh, allez … fais un effort …

- Ecoute, je veux bien aussi te masturber, ou te bouffer la chatte, mais te baiser … ça le fera pas … si j'essaie quand même, tu sera frustrée et ça va t'énerver …

 

Elle m'observe, les lèvres pincées, et elle se lève:

- Bon. Tant pis. Si c'est pour me masturber, je peux le faire aussi bien que toi … mieux que toi, même … Ça fait rien.

- Ben, et puis si tu fais abstinence, tu arriveras chez Lionel d'autant plus motivée que tu auras jeûné dix jours …

- Si tu crois que je vais jeûner dix jours … 

- Tu vas faire quoi, alors ?

- Je vais me masturber … et t'inquiète pas, je serai quand même motivée dans dix jours …

 

Elle s'en va.

 

à suivre ...

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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