Lundi 19 février 2018 1 19 /02 /Fév /2018 01:00

Avertissement.

Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations hétéro ou homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la vagin, dans la bouche et dans le cul.

Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.

Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux. 

 

Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.

 

Mon cœur qui cogne à se rompre, le sang qui bat contre mes tempes, le souffle qui me manque, tout ça n'est pas dû à la seule découverte de cette scène hallucinante … non, à la vue de cette scène, j'ai été submergé par une vague faite d'un mélange de peur et d'une espèce de vertige érotique … peur de tous ces types à poil que je viens de surprendre en train de baiser ma femme … et vertige de voir Christine forniquer encore avec … avec combien de types, au fait ? 

 

Comment expliquer ? Elle est … elle est à genoux devant ce canapé où elle dort depuis quelques semaines … elle est entièrement nue, comme tous ceux qui se trouvent dans le salon … devant elle, un type est affalé dans le canapé, cuisses écartées … un type aussi entièrement nu, évidemment, et qui bande … Christine appuie ses aisselles sur les cuisses de ce type … sa tête un peu penchée au-dessus du ventre du type, elle … elle est en train de … de … de sa main droite, elle masturbe lentement ce type … et, le visage à quelques centimètres de ce sexe en érection, elle semble contempler … amoureusement … comme fascinée, le gland turgescent et luisant de ce type … comme si elle s'apprêtait à l'engloutir …

 

C'est long à expliquer comme ça, mais en fait, une fois que j'ai eu repéré Christine, j'ai compris tout la scène en une fraction de seconde. Sur le canapé, un autre type, complètement nu, affalé à côté du premier, qui se masturbe en la regardant …

 

Ce n'est pas tout … à côté d'elle, à sa droite, un troisième type est accroupi contre les jambes des deux premiers … il s'appuie de l'avant-bras gauche sur le dos de Christine et lui fait je ne sais quoi de la main droite, sous … sous son buste … et vue sa position, je suppose qu'il est en train de lui tripoter la poitrine … 

 

De l'autre côté, sur sa gauche donc, un quatrième type, accroupi contre elle, ou à genoux, je ne vois pas bien, lui caresse les reins et les fesses en se masturbant, lui aussi … enfin, je devine qu'il se masturbe aux mouvements de son bras, parce que son bas ventre est masqué par le corps de Christine …

 

Enfin, derrière elle, agenouillé entre ses mollets, un cinquième type, un rouquin, le ventre bien collé à ses fesses, ses deux mains plaquées à l'angle de son bassin et de ses cuisses est, de toute évidence, en train de la baiser ! Il va et vient à petits coups de reins appliqués, séparés par des pauses d'une seconde … hon … hon … hon … hon … hon … hon … 

 

Et elle … nom de dieu ! Elle est l'image même du sexe … l'incarnation de la volupté charnelle ! Bien que les quatre types qui l'entourent, qui la serrent de si près, la masquent en grande partie à ma vue, je me rends compte qu'elle s'abandonne totalement aux explorations manuelles des uns mais surtout à l'étreinte, à la possession sexuelle de l'autre: genoux largement écartés, cuisses grandes ouvertes, telle une poulinière en chaleurs, elle creuse les reins pour mieux recevoir dans son sexe le sexe de l'étalon en rut en train de la saillir, pour mieux recevoir au fond de son ventre la semence avec laquelle elle veut qu'il la féconde … haletante et les yeux mi-clos, à chacun des coups de reins de ce mâle, son corps réagit en se cambrant un peu plus … la tête toujours un peu penchée, la voilà qui se met à parcourir fiévreusement de la langue et des lèvres la verge en érection et le gland du type vautré devant elle … elle s'abandonne totalement au désir de ces hommes, elle leur livre son corps, elle offre à leurs sexes son sexe et sa bouche … 

 

C'est à ce moment là que je remarque vraiment les autres sexes … en fait, je n'en vois vraiment que quatre … mais tous les quatre sont en érection … raides, tendus, dressés … gonflés de désir … presque agressifs … il y a le sexe du type qu'elle suce et celui du type qui se masturbe … et il y a aussi celui d'un autre, debout à côté du canapé, sur la gauche de Christine … et enfin celui d'un grand type baraqué, vautré dans le gros fauteuil en face du canapé, et qui se tripote tranquillement le gland, en contemplant l'amas de corps devant lui … Je ne vois pas les sexes des deux types agenouillés à côté de Christine … l'un parce qu'il me tourne le dos, l'autre parce que son bas ventre est masqué par Christine elle-même … et le dernier, enfin, parce qu'il est DANS Christine … Je le répète, mon œil a saisi tout cela en peut-être une seconde ou une seconde et demie … 

 

Le tableau qui s'offre à moi a quelque chose de … à la fois bestial et extrêmement sensuel … il me rappelle l'image de Christine dans ce club libertin, cernée par les trois frères sénégalais et leur copain beur, l'image d'une petite femelle, assaillie par quatre grands mâles s'apprêtant à s'accoupler avec elle … Là, devant moi, c'est la même petite femelle, mais cette fois, c'est avec SEPT mâles qu'elle fornique … SEPT grands mâles … SEPT grands mâles EN RUT … SEPT grands mâles qui n'en sont déjà plus aux manœuvres d'approche, qui n'en sont déjà plus à la parade sexuelle qui précède l'accouplement …  un des ces SEPT grands mâles EST accouplé avec elle … une petite femelle, mais pas une petite femelle qui subit … au contraire, c'est une petite femelle volontaire, une petite femelle heureuse de copuler avec ces mâles, une petite femelle qui, visiblement, réclame les sexes de ces mâles …  une petite femelle qui aime la bite … au milieu d'eux, elle paraît si petite, si menue, ainsi couverte de mains, de bras, de corps … Une évidence s'impose à moi: à cet instant, Christine, ma femme, est heureuse avec ce sexe enfoncé dans son ventre, et les six autres, en érection et prêts à se succéder en elle !

 

Sept mâles ! Elle baise avec sept mâles ! L'autre jour, quand elle est rentrée avec la lèvre amochée, elle m'a dit qu'elle n'avait pas compté combien de types l'avaient baisée, mais qu'ils étaient beaucoup … j'avais senti que ce n'était pas seulement de la provocation, mais je n'avais pas réussi à l'imaginer au centre d'une telle … partouse … ou d'une telle tournante … Quelques jours plus tard, les cinq jeunes que j'avais croisés dans cette Mini, sortant tout juste de chez moi … et sortant tout juste de Christine … je ne les avais pas vus en action, et je m'étais contenté de les imaginer en train de la sauter chacun leur tour sur notre pelouse … ceux là n'étaient pas plus nombreux que ceux qui l'avaient baisée au Huitième Ciel … Mais là, cette nuit, je vois ! Sept types ! Elle baise avec sept types … chez nous ! Et contrairement à la séance au Huitième Ciel, où il m'avait fallu du temps avant d'admettre que ça me plaisait, cette fois, je réalise immédiatement que ça me plaît ! 

 

Dans un premier temps, mon œil a seulement saisi l'image d'un amas de corps indistincts … maintenant, je me rends compte que les types qui sont là sont plus vieux que les cinq que j'ai croisés l'autre jour … plutôt entre trente cinq et quarante … il y a du poil sur les torses et les abdos … et même sur les épaules de celui qui baise Christine … il y a des crânes qui commencent à se dégarnir … il y a un peu de ventre chez certains …

 

Sept types en train de forniquer avec Christine, ma femme, chez moi, dans mon salon ! Tout de suite après la sidération, non seulement je sens mes battements de cœur se calmer et mon souffle s'apaiser, mais quelque chose frémit du côté de mon entrejambe et de mon périnée … 

 

D'un seul coup, je réalise … les deux voitures rangées sur la ruelle, en face de notre cour, c'est eux ! Christine a dû leur demander de laisser leurs voitures loin de la maison pour ne pas faire de bruit en entrant dans la cour … elle-même s'est garée en face pour la même raison … tous les huit ont dû entrer dans la maison et commencer leur séance de cul vraiment discrètement. 

 

Evidemment, mon apparition a jeté un froid … voilà les sept types littéralement statufiés … pas Christine, qui continue de lécher et d'embrasser fiévreusement la verge et le gland de ce type, soit qu'elle n'ait pas remarqué ma présence, soit qu'elle s'en foute. Certains de ces types ne m'ont pas vu tout de suite, concentrés qu'ils étaient sur ce que Christine leur faisait ou sur ce qu'ils faisaient à Christine … mais celui qui est debout à côté du canapé, le premier à m'avoir aperçu, en toussotant avec insistance, a attiré l'attention des autres … Les deux qui sont agenouillés ou accroupis de part et d'autre de Christine, se sont redressés et ont sorti leurs mains de sous elle … le baiseur s'est immobilisé, sa bite toujours dans le sexe de ma femme, le ventre toujours plaqué contre son cul, ses mains crispées sur ses hanches et la tête tournée vers moi … mais à voir ses yeux légèrement révulsés et vitreux et son souffle saccadé, j'ai la conviction que, tout en me regardant, le gland bien au chaud tout au fond de ma femme, il continue de se vider tranquillement les couilles … En voilà au moins un qui aura eu le temps de tirer son coup !

 

Sept paires d'yeux me regardent … des yeux écarquillés de surprise mais pas vraiment d'inquiétude … Moi-même, après le premier choc de la découverte, je me suis rapidement repris … comme si je m'étais attendu à découvrir un jour quelque chose de ce genre jusque chez moi… comme si je m'y étais préparé … comme si je l'avais espéré … Je réalise quel chemin j'ai parcouru mentalement depuis … depuis quand, au fait ? Pour avoir accepté aussi rapidement et aussi facilement que Christine se fasse sauter d'abord par ce Jo, ce "latin lover" ce soir de fin juin dans ce club libertin, il fallait qu'au fond de moi, j'aie déjà eu un fantasme de ce genre … Et ce soir … ou plutôt, ce matin, je suis heureux que Christine ait ramené ces sept types à la maison pour se faire sauter …

 

Après le choc de la découverte de cette orgie, je parcours à nouveau cette scène, plus posément, cette fois … et je me rends compte que le grand type assis dans le fauteuil en face du canapé tient dans sa main un … oui, c'est un smartphone ! Il essaie plus ou moins de le cacher entre sa cuisse et l'accoudoir du fauteuil … enfin, pas vraiment de le cacher … plutôt de ne pas l'exhiber ouvertement …  Je comprends tout de suite que ce n'est pas pour la fonction téléphone qu'il l'a en main … il devait être en train de faire des photos, voire des vidéos, quand je suis arrivé … ben oui … il veut garder des souvenirs de cette soirée … des souvenirs ou des preuves … des fois que ceux à qui il raconterait cette orgie ne voudraient pas le croire … Et je réalise que le type en face de lui, celui qui est assis sur le canapé et qui se fait masturber par Christine, cache aussi un smartphone contre sa cuisse … Tous les deux, ils devaient être en train de filmer Christine en train à la fois de se faire baiser et de tailler une pipe … 

 

Mon œil balaie le reste de la pièce … pour faire de la place, on a éloigné la table basse de sa place habituelle, devant le canapé, et, poussée sous la fenêtre, elle est encombrée de verres, de canettes de bière, d'une bouteille de whisky et de ma bouteille de vieux Cognac … non seulement ces mecs se tapent ma femme, mais il se tapent aussi mes alcools. Je descends deux marches …

 

- Hé Christine ! Y'a quelqu'un !

 

C'est le grand type dans le fauteuil, à peine inquiet, plutôt amusé, qui interpelle ma femme. Alors, elle se redresse, elle tourne la tête vers moi et:

 

- Ah oui … c'est mon mari !

 

Aucunement troublée. Je ne sais pas à quoi ils s'attendaient, ces mecs, mais le fait que ce soit le mari qui débarque au milieu de leurs ébats, et pas quelqu'un d'autre, ça semble les sidérer bien davantage que ma seule apparition. Le grand type:

- Ton mari ? Ah bon ? Mais … je … tu …

 

Elle hausse les épaules:

- T'inquiètes pas ! Il commence à avoir l'habitude … 

 

Appuyée d'une main sur la hanche du type qu'elle était en train de lécher, elle continue de le masturber mécaniquement de l'autre main … il n'a pas débandé si peu que ce soit, le type … il a commencé à se redresser dans le canapé, appuyé d'une main sur l'accoudoir et de l'autre sur le coussin où il est assis, comme prêt à se lever … mâchoire pendante, il me fixe … Christine me regarde avec un air de mépris dans les yeux et leur lance:

- On peut continuer, les garçons … faites comme si il était pas là … il vous fera rien … 

 

Ça semble les rassurer ... le baiseur, ragaillardi, me jette un coup d'œil ironique, sourit, ajuste ses mains sur les hanches de Christine et reprend son va et vient … celui-ci, ça n'a pas l'air de le gêner de baiser une femme devant son mari, au contraire … celui qui est agenouillé à droite de Christine hausse les épaules avec une mimique qui veut dire "je ne comprends pas, mais c'est pas grave", et il replonge sa main vers sa poitrine tout en me surveillant du coin de l'œil … le type vautré à coté de celui qu'elle suçait, tend la main vers celle de Christine et, tout en guettant ma réaction, il l'attire vers son sexe … il veut qu'elle le masturbe … après la surprise due à ma soudaine apparition, ces types se sont repris et n'ont visiblement pas l'intention de s'arrêter en si bon chemin … sans même me regarder, Christine en rajoute:

- Vous verrez, il va vous regarder me baiser et il va se branler … je suis sûre que là, il bande déjà … ça l'excite que je me fasse sauter devant lui …

 

Elle a raison, ça ne se voit pas parce que mon pantalon de pyjama est très large, mais je sens, en effet, que ma queue a commencé à gonfler … Maintenant, ceux qui ne sont pas franchement sur ou dans Christine m'observent … à leurs regards, je les sens à la fois dans l'expectative et dans le défi … ils se demandent comment je vais réagir, mais je les sens également prêts à … à m'affronter … physiquement … pas pour se défendre au cas où je les attaquerais … sept types ! Comment je pourrais m'attaquer à sept types ! Non, je les sens résolus à … à poursuivre cette partie de cul avec ma femme et à me … à me neutraliser si c'est nécessaire … 

 

Alors, je fais quoi ? Je ne vais quand même pas faire demi tour et remonter piteusement dans ma chambre pour les laisser la baiser tranquillement … je ne peux pas non plus rester planté là, en haut de cet escalier et les regarder continuer … d'un autre côté, je me dis que pour aller jusqu'à la cuisine boire un verre d'eau comme je l'avais prévu, je vais devoir passer au milieu de ces types … il ne faudrait pas qu'ils se méprennent sur mes intentions, qu'ils se sentent si peu que ce soit menacés … je n'ai pas du tout envie de me faire casser la gueule … je vais devoir faire très attention à tous mes gestes. Je ne dois pas non plus leur laisser croire qu'ils me font peur … Je finis de descendre tranquillement l'escalier … Le grand type, vautré dans le gros fauteuil me scrute, comme prêt à bondir … quand je passe devant lui, il lève les yeux sur moi avec un sourire ironique, et replie ses jambes pour me laisser passer … pendant que je me dirige vers la cuisine, j'entends encore Christine:

- Vous voyez, il vous fera rien … allez, les garçons, baisez-moi !

 

Ouaaafffff, la tension est palpable ! Mais on me laisse passer. Je sens leurs regards sur moi, à la fois ironiques et étonnés. Quand je traverse la salle à manger, je me rends compte qu'elle a servi de vestiaire. Sur la table, sur les chaises, et jusque par terre, des pantalons, des chemises, des T-shirts, des chaussettes, des chaussures, des caleçons … l'air chaud de la cour se répand dans la maison par la porte d'entrée restée ouverte … je devine pourquoi on ne l'a pas refermée … quand on l'ouvre, cette porte ne grince pas, mais quand on la ferme, elle fait un boucan terrible … un peu de graisse suffirait, mais la flemme ... Christine ne l'a pas fermée pour éviter de me réveiller … dans le rectangle de lumière qui se découpe sur les graviers de la cour, juste devant cette porte, je reconnais une jupe et un corsage de Christine, ainsi qu'une petite culotte et une paire de ballerines … comme si elle s'était foutue à poil là, devant notre porte d'entrée … aussitôt, j'ai la conviction que sa partie de cul avec ces types avait commencé dehors … sans doute dans une des voitures de ces types … 

 

Une fois dans la cuisine, je tire un grand verre d'eau au robinet et, en l'avalant, je réfléchis, les fesses appuyées à l'évier … je fais quoi, maintenant? Je fais comme elle a dit, c'est-à-dire RIEN … ou je réagis ? Mais réagir comment ? Affronter ces types, essayer de les virer ? Je ne me fais pas d'illusion, c'est la même situation qu'au Huitième Ciel … je ne ferais pas le poids face à ces sept types … sept types visiblement plus jeunes que moi et sportifs, apparemment … s'ils refusent de s'en aller, ils pourraient même me casser la gueule et baiser quand même Christine … on en serait au même point, mais en plus, j'en aurais pris plein la tronche pour rien … pour l'honneur ? Bof ! L'honneur, au point où on en est … Il aurait fallu que j'aie une arme … seulement, au mieux, ça me permettrait de leur faire peur et de les virer de chez moi, mais je suis sûr que Christine partirait avec eux … et puis au fond, maintenant, ça n'est plus tellement le fait que des inconnus la baisent, le problème … que ce soit à la maison ou ailleurs, de toute façon, des inconnus l'ont baisée, et que ce soit à la maison ou ailleurs, des inconnus la baiseront encore … Bon, mais … je remonte dans ma chambre, ou je reste en bas et j'assiste au spectacle ? Je ne suis pas sûr que ces types soient disposés à me laisser les regarder baiser ma femme.

 

Soudain, le grand type déboule dans la cuisine … évidemment toujours à poil ! Il est un peu plus grand que moi, assez baraqué, le torse et le ventre poilus, les cuisses et les bras aussi … 

 

Il me jette un coup d'œil, prend aussi un verre, le remplit au robinet et, sans un mot, il s'installe en face de moi, les reins appuyés à l'îlot central. Tout en vidant son verre, il m'observe et, dans cette confrontation muette, je sens de la provocation … Ce type ne se contente pas d'être simplement à poil devant moi avec son "petit oiseau" à l'air … non, en fait, il m'exhibe ostensiblement sa queue … et sa queue dans un état qui ne laisse aucun doute sur l'usage qu'il était en train d'en faire … ce qu'il me montre, ce n'est pas un zizi, une bistouquette qui sert à faire pipi, c'est bel et bien un appareil génital, un braquemard dont la fonction est de copuler, de forniquer, de baiser ! Je sens qu'en me collant sous le nez la bite avec la quelle il va fourrer ma femme, ou avec laquelle il l'a déjà baisée, il cherche à me faire chier ! Mon pauvre ami ! Si tu savais … je n'en suis plus là ! Au contraire … maintenant, ça me plaît, que ma femme se fasse sauter par des inconnus … par plusieurs inconnus en même temps … savoir que cinq, six, sept types lui passent dessus à la chaîne et la baisent vraiment, ça m'excite ! Quand je dis "la baisent vraiment", je veux dire qu'ils jouissent, qu'ils éjaculent dans son ventre … et contempler les sexes des types qui la baisent, savoir qu'ils se sont enfoncés ou qu'ils vont s'enfoncer dans son vagin pour y déverser leur semence, j'aime !

 

Oh, bien sûr, la sienne, de bite, n'est plus aussi raide et dressée qu'il y a un instant et elle baisse un peu le nez entre ses cuisses, mais elle est encore assez gonflée pour manifester clairement son excitation. Et puis, je réalise que … sa queue est … correcte, mais sans plus … on s'attendrait à ce qu'un type bâti comme lui soit mieux monté. Cliché ! Sa bite n'est pas aussi grosse qu'on pourrait s'y attendre, vu son physique, mais en revanche, il a une assez belle paire de couilles qui pendent un peu … il est décalotté et son gland est humide … une goutte de fluide d'excitation perle à la sortie de son méat … Et j'ai soudain une conviction: ce type a déjà baisé Christine. D'abord, vu l'état du salon au moment où j'ai débarqué, les verres sales, les bouteilles d'alcool presque vides et les canettes renversées, il est évident que Christine et ces sept types sont ici depuis un bon moment … et ils n'ont sans doute pas passé le temps en parlant littérature … ça a dû déjà pas mal baiser et je ne serais pas étonné que tous les sept lui soient déjà passés dessus une fois  … Alors lui, le grand type, je suis sûr qu'il l'a déjà baisée.

 

- Tu l'as déjà baisée ?

- Pardon ?

 

Il n'en revient pas que je lui pose cette question aussi directement et aussi crûment. Sidéré, les yeux ronds, il secoue la tête avec l'air de me prendre pour un dingue. J'insiste:

- Ma femme … ça y est, tu l'as déjà baisée ?

 

Il était venu dans cette cuisine pour … je ne sais pas quoi exactement … me provoquer, se foutre de moi, et c'est moi qui le cueille. Visiblement, il est déstabilisé. J'en remets une couche:

- Quoi ! T'es là, à poil devant moi, la bite encore en érection, un de tes potes est en train de fourrer ma femme, et je te choque en te demandant si toi tu l'as déjà baisée ?

- Je … ben … oui … enfin, je l'ai … j'ai pas encore joui, hein … mais .. oui, je l'ai déjà … disons que je l'ai déjà "fourrée", comme tu dis, mais pas jusqu'au bout … j'ai pas encore pris mon pied … 

 

Il a accompagné son expression "je l'ai déjà fourrée" d'un geste symbolisant des guillemets. 

- Et les autres …

- Quoi, les autres ?

- Oui, tes potes … ils l'ont aussi déjà "fourrée" ?

- Ben … oui …

- Tous ?

- Euh … oui … je crois …

- Ton copain le rouquin, lui, il était en train de jouir, quand je suis descendu …

- Ben … oui …

- Vous êtes là depuis longtemps ?

- Je … je sais pas … une heure, peut-être … mais … c'est tout ce que ça te fait, qu'on soit là à … à baiser ta femme ?

- T'occupes pas de ce que ça me fait … elle vous a trouvés où, toi et tes potes?

 

Le parfum de ce type arrive jusqu'à moi … after shave ou eau de toilette, je ne sais pas … autre chose aussi … une odeur indéfinissable … pourquoi ça me fait penser à l'odeur d'une ménagerie … ou d'une écurie … ou d'une fauverie ? Bien sûr en beaucoup moins puissant, mais … ce serait l'odeur du mâle ? L'odeur de la testostérone ? En tout cas, pas vraiment désagréable … un peu troublant, même … De l'autre côté, dans le salon, j'entends des voix qui murmurent … des voix d'hommes et la voix de Christine … ils doivent commenter mon apparition. 

 

Je reprends:

- Alors, toi et tes potes, elle vous a trouvés où ?

- Comment ça …

- Oui, vous l'avez rencontrée où ?

- Ah oui. Ben … dans un bar, à Paris … 

- Dans un bar ? Tous les sept ?

- Oui, on faisait une troisième mi-temps … on fait partie d'une équipe de foot … en amateurs, hein, on joue seulement pour se marrer … on fêtait le dernier match de la saison, et elle était aussi là, dans ce bar …

- Et je suppose qu'elle n'était pas toute seule, dans ce bar …

- Ben non, en effet ! Elle était avec un mec et ça avait l'air de mal se passer entre eux … ils s'engueulaient … j'ai même cru que c'était son mari, tellement on aurait dit un couple ordinaire … C'est pour ça, tout à l'heure, quand elle a dit que t'étais son mari, ça m'a surpris …

- Ça devait être son amant, dans ce bar … t'as pas entendu comment il s'appelle, ce type ?

- Si, elle nous a parlé de lui … attends … euh …

- Patrick ?

- Oui, c'est ça ! Patrick !

 

Tiens donc, alors qu'elle continue de se faire baiser par des inconnus, elle sort toujours avec lui ! Ben alors, cette fois, c'est d'abord lui qu'elle cocufie! 

 

Venant du salon, un sourd gémissement nous parvient … long et fort, mais comme étouffé. La fête continue à côté, et Christine est en train de prendre son pied  … la bouche occupée, apparemment. Je me demande ce qui l'a fait jouir, cette fois. Clitoris ? Vagin ? Bouche ? Le grand type tourne la tête vers le salon en souriant … il a entendu, lui aussi, et il a compris ce qui se passe à côté … ça l'amuse … et il a une réaction incontrôlable … ou plutôt, SON CORPS a une réaction incontrôlable qui attire mon regard: sa bite se met à gonfler et à s'allonger … son imagination travaille … la mienne aussi, d'ailleurs … je sens que je me mets aussi à bander … mais comme c'est dans mon pantalon de pyjama, lui ne peut pas s'en rendre compte … Par contre, il a remarqué que son érection ne m'a pas échappé … il baisse les yeux sur son sexe, relève la tête et me regarde, un sourire ironique sur le visage … pas gêné du tout que sa bite trahisse son excitation …   

 

- Ce Patrick, c'est son amant.

- Ah, tu le connais ?

- Oui. Et alors, ensuite … dans ce bar …

- Pourquoi tu veux savoir tout ça ? Ça t'excite ?

- T'occupes pas … raconte. Mais raconte tout, hein … si c'est vous qui l'avez abordée ou si c'est elle … mais je suppose que c'est elle … comment elle s'y est prise, ce qu'elle vous a dit, comment elle vous a attirés ici … enfin, tout … et n'hésite pas à entrer dans les détails, hein … même les détails les plus hards …

 

Il hésite, me dévisage, visiblement décontenancé, puis il se lance:

- Bon, ben … pendant qu'on buvait un coup, avec mes potes, tout en s'engueulant avec ce type, elle arrêtait pas de me regarder … je sentais que je lui déplaisais pas, quoi … même mes potes, ils m'ont fait remarquer que j'avais une ouverture … mais, bon, sur le coup, je comptais pas en profiter … y'avait son mari … enfin, je CROYAIS que c'était son mari … et puis un moment donné, je suis descendu aux toilettes … la bière, ça me fait … bref …  elle est descendue aussi … dans les toilettes des hommes, hein … y'a des toilettes pour femmes, dans ce café, mais elle est entrée dans celles des hommes, hein … j'étais en train de … de pisser et elle est venue se planter derrière moi … au début, je me suis demandé ce qu'elle voulait, je savais pas quoi lui dire … et quand elle a vu que j'avais fini de pisser, elle m'a chopé par le bras et elle m'a obligé à me retourner … avant que j'aie eu le temps de remballer ma bite dans mon pantalon, quoi … "la range pas !" qu'elle m'a dit ! Et aussitôt, elle était à genoux à mes pieds, et elle … elle … elle a pris ma bite dans sa bouche …

 

C'est ça, mec, prends moi pour un con … une femme, petite et menue comme Christine, capable de forcer un gaillard bâti comme toi à se retourner … oh, mon dieu, ça a dû être terrible ! Au secours, au secours, cette femme veut me sucer la bite ! Ça, qu'elle t'ait suivi dans les chiottes, je veux bien le croire, mais après, t'as compris ce qu'elle voulait et t'as seulement vu une occasion de te faire sucer la tige … c'est humain. Il laisse un long silence, puis:

- Qu'est-ce que tu veux … elle suce vachement bien, ta femme … alors je me suis laissé faire … et puis, il y avait son mari … enfin, j'te dis, je CROYAIS que c'était son mari, là-haut …

- Et c'est excitant, hein, de se faire sucer par une femme quand le mari n'est pas loin …

- Ben oui … 

- Et ensuite …

- Ben … ensuite … y'a un de mes potes, Yann, qu'est aussi descendu pisser … et il nous a trouvés là, dans les chiottes … elle, ça l'a même pas fait sursauter .. elle a continué à me sucer comme si … comme si y'avait personne … alors …

- Alors elle a aussi sucé ton pote Yann …

 

Il écarquille les yeux, étonné que j'aie deviné:

- Ben oui … elle l'a aussi sucé …

 

Il se bidonne et je sens que c'est autant de se remémorer cette séance dans les chiottes du café que de réaliser que si j'ai deviné, c'est que Christine n'en était sans doute pas à son coup d'essai:

- Ça n'a pas l'air de t'étonner … elle avait déjà fait ça …

- Ça précisément, je ne sais pas … elle ne me dit pas tout … mais des choses dans ce genre, oui …

- Ah, OK ! Je vois … 

- Pourquoi … tu croyais que vous étiez les premiers mecs qu'elle racolait ?

- Ben … plus ou moins, oui … 

 

Il réfléchit, puis:

- En fait, on s'est pas vraiment posé la question … on a cru qu'elle voulait surtout se … je sais pas … se venger de son … de son mec, ce … ce Patrick …

- Bon … et ensuite … elle vous a sucés, ton pote Yann et toi … et puis …

- Ben en fait, sur le coup, elle est pas allée jusqu'au bout … je veux dire … elle a arrêté avant que … avant qu'on jouisse, quoi … elle s'est relevée, et elle nous a dit "si vous voulez que je vous finisse, on peut aller chez moi … et vous pourrez même me baiser". On n'en revenait pas, avec Yann … c'était … on n'avait jamais … on nous avait jamais … proposé un truc pareil …

 

Du salon nous parvient le bruit d'une discussion et de rires. J'ai reconnu la voix de Christine, mêlée à celles des types qui sont avec elle … l'atmosphère a l'air de se détendre, par là … je me demande ce qui les fait rire comme ça … Un autre type entre dans la cuisine. C'est celui qui était debout à côté du canapé et qui m'a vu le premier. Ça doit être le plus vieux de la bande … quarante-cinq ans bien sonnés, à mon avis. Il est assez gras du bide et des hanches … il a même un peu de poitrine et son crâne commence à sérieusement se dégarnir. Il s'appuie au montant de la porte, mais il ne dit rien. Il doit venir aux nouvelles. Je regarde aussi sa bite, au nouveau venu … vraiment pas grosse, même si, de toute évidence, et bien qu'elle baisse le nez, elle soit en érection … lui aussi est décalotté et son gland rouge vif est luisant d'humidité … il mouille d'excitation, ou il sort juste de la chatte de Christine ? Je lui lance:

- C'est toi qui a fait jouir ma femme, il y a un instant ?

 

Il est interloqué. Il regarde le grand type, cherche une aide. Le grand type hausse les épaules et insiste, un sourire aux lèvres:

- C'est toi ou c'est Yann ?

- Ben … oui … c'est Yann …

 

Je me tourne de nouveau vers le grand type:

- Oui, alors, tu me disais … elle vous a proposé de vous finir ici …

- Ouais, ben, elle nous avait vraiment chauffés, Yann et moi, alors on avait une urgence … au début, on a cru qu'elle nous voulait tous les deux … enfin, seulement nous deux, Yann et moi … Quand elle nous a demandé "alors, les garçons, ça vous dit ?", ben forcément, on lui a dit oui … on était prêts à planter nos autres potes et la fin de la troisième mi-temps pour aller la baiser … Alors elle a dit "on remonte " ... et pendant qu'on remontait des chiottes, elle a dit "on va aussi demander à vos copains si ils veulent venir" … On s'est regardés, avec Yann … on n'en revenait pas … on a même cru qu'elle déconnait, qu'elle oserait pas … Mais si, elle est venue au milieu du reste de la bande, et là, elle leur a carrément dit qu'elle avait commencé à nous sucer dans les chiottes, Yann et moi, et qu'elle allait nous emmener chez elle pour qu'on la baise … et que si les autres en avaient envie, ils pouvaient venir aussi … J'vous cache pas, on était tous sciés … Y'en a un qui lui a fait remarquer qu'on était quinze et il lui a demandé si elle était sûre qu'on pouvait tous venir pour la baiser …

- … et elle a dit oui.

- Ouais … elle a dit oui !

 

Il jette un coup d'œil à son pote, toujours appuyé au montant de la porte et tous les deux se marrent. Il marque un temps, et il reprend:

- Quinze ! Bon, finalement, on est pas venus à quinze parce que y'en a qui ont pas voulu … mais je me demande … si on était tous venus …

- … elle se serait fait baiser par les quinze …

- Ah bon ? Tu crois ?

- Oui. Je pense qu'elle en est capable …

- Bon, enfin … elle a dit "réfléchissez, je reviens", et elle est allée parler à ce mec, là, Patrick … sûrement pour lui dire qu'elle s'en allait avec nous … ils se sont encore bien engueulés, il a essayé de l'entraîner dehors, de force, mais elle s'est débattue en nous montrant, et il a dû avoir peur qu'on intervienne … alors il s'est barré en la traitant de tous les noms … alors elle est revenue vers nous … en se marrant … et elle s'est mise à chauffer nos autres potes, en leur demandant "tu veux venir, toi ?" … elle les a chauffés … pas en les suçant, hein … non, elle leur a tripoté la bite à tous … comme ça … à travers leur pantalon … et elle leur demandait "alors, ça te dit, de venir aussi me baiser ?" … alors, forcément … à part un ou deux, ils étaient tous d'accord … 

- Mais … tu me dis que vous étiez quinze et qu'il y en a un ou deux qui n'ont pas été d'accord … vous n'êtes pas treize ou quatorze …

 

Il avale encore un peu d'eau, puis:

- Ben non. C'est parce que, un moment, elle a dit que si on venait, il faudrait qu'on la baise tous sans capote … là aussi, on s'est demandé si elle déconnait ou pas … mais bon, elle nous a expliqué qu'on risquait rien et que elle, ça lui faisait pas peur … là, quand même, y'en a qui … qui étaient plus d'accord, quoi … ils voulaient bien la baiser, mais en mettant une capote … Finalement, voilà, on s'est retrouvés seulement à sept … enfin, quand le dis "seulement à sept", c'est par rapport aux quinze qu'on était au départ … J'crois qu'on était pas mal bourrés et bien excités, alors on a pas réfléchi … pour pas de capote, j'veux dire … et puis, je pense qu'on s'est tous dit que c'était une occasion euh … se faire à sept une nana qui en a envie, ça se présente pas deux fois dans une vie … 

 

Tout en m'observant, il semble réfléchir, et, de lui-même, il reprend:

- On lui a même demandé si il faudrait qu'on paie, hein … Franchement, on se demandait si c'était pas une pute … mais elle nous a dit que non … Y'en a aussi qui se sont demandé si c'était pas un piège, un traquenard … mais, vu qu'on était sept, on s'est dit qu'on pourrait faire face … bref, on a laissé nos autres potes dans le bar et on s'est mis en route … Elle a voulu … elle a dit qu'elle voulait monter avec nous dans une voiture pour qu'on … pour commencer en chemin, quoi … alors, elle a donné ses clefs à un de nous pour qu'il conduise sa voiture, et elle lui a dit qu'il cherche "maison" dans son GPS, et que ça le ramènerait chez elle et que les autres n'auraient qu'à suivre … et elle est montée avec nous dans la voiture à Christophe …  

 

Il est intarissable, ce mec. Je n'ai même plus besoin de le relancer. Il se délecte … il m'explique tout ça dans le détail comme il confierait une histoire de cul à un copain, mais en plus, je sens que raconter ça au mari de la femme que ses potes et lui sont en tain de baiser, ça ajoute à son plaisir … De nouveau, il s'est arrêté et il me regarde. Maintenant, ce qui arrive du salon, c'est le bruit mat d'une chair qui frappe une autre chair avec la régularité d'un métronome … un ventre qui tape conte des fesses ? Il y a aussi le bruit … pas exactement le bruit d'un halètement … plutôt le bruit mouillé de quelqu'un qui aspire et souffle l'air entre ses dents serrées … Putain, ça doit y aller, par là ! Je voudrais bien savoir ce qu'ils lui font … Visiblement, le grand type a aussi entendu et ça l'amuse. Il sourit, et:

- On était quatre avec elle, dans la voiture à Christophe, et en chemin, elle nous a encore euh … elle nous a tous un peu … branlés et même sucés … même Christophe, pendant qu'il conduisait … et …

- Pendant qu'il conduisait ? Elle l'a branlé et sucé PENDANT qu'il conduisait ?

- Oui, branlé … Christophe, elle l'a branlé … elle était monté derrière, entre moi et Gérard, mais en se penchant entre les deux sièges de devant, elle lui a sorti sa bite et elle l'a branlé … pareil pour Max qui était assis à l'avant à côté de Christophe … mais nous, à l'arrière, elle nous a branlés ET sucés … et là, on a senti qu'elle aimait vraiment ça … sucer et branler des bites … Elle aime VRAIMENT ça, la bite, ta femme !

 

Il s'interrompt. Les bruits et les gémissements qui nous parviennent du salon, de plus en plus forts, accaparent son attention … la mienne aussi … D'un haussement de sourcils et d'une moue expressive, il manifeste un étonnement amusé et admiratif… Il aimerait bien savoir ce qui se passe à côté … et voir … moi aussi, d'ailleurs …  Et bien qu'il ne voie pas, ce qu'il entend agit de nouveau sur le grand type, comme tout à l'heure … il se met de nouveau à bander … dans un geste machinal, il empoigne sa bite et se met à la pétrir … il écoute pendant quelques instants, puis, très naturellement, tout en se tripotant la queue, il reprend son récit: 

- Pendant qu'elle nous branlait, on a discuté … on voulait comprendre … ça nous étonnait qu'elle ait plaqué son mar… enfin ce … ce mec … pour venir avec nous … et là, elle nous a expliqué qu'elle l'avait entraîné là, ce … Patrick, dans un cinéma pas très loin du bar où on était … c'est un cinéma porno, le Beverly … ils passent des films de cul, mais surtout, y'a des mecs qui viennent là pour se branler entre eux, et des fois, y'a des femmes qui y vont pour se faire sauter par tous ceux qui veulent … elle avait entraîné ce … Patrick là-dedans pour ça … parce qu'elle avait entendu dire que là, dans ce cinéma, elle pouvait se faire … se faire sauter, quoi … mais lui, quand il a compris pourquoi elle l'avait amené là, et que des types ont commencé à leur tourner autour, il a pas supporté et il l'a forcée à sortir … et ils se sont retrouvés dans le café où on était … c'est pour ça qu'ils s'engueulaient … Nous, sur le coup, on a cru qu'en fait, c'était la première fois qu'elle essayait un truc comme ça … avec plusieurs mecs, je veux dire … En fait, on s'est pas posé plus de questions … c'était une occasion tellement … incroyable … une sal… une femme qui demande à se faire baiser par plusieurs mecs … en plus, c'était pas comme si c'était avec des types qu'on connaît pas … on est tous copains, on se connaît tous depuis des lustres …

 

Pas de doute, ce mec est en train de se justifier vis-à-vis de moi ! Il a déboulé dans la cuisine comme pour me provoquer, et maintenant, il veut que je le comprenne ! Il enchaîne:

- Donc, voilà … on est venus jusqu'ici … ça nous a paru vachement loin … loin de Paris, j'veux dire … on se demandait si on allait bientôt arriver ou pas … mais comme ça avait l'air de valoir le coup … on n'avait rien à perdre à faire tout ce chemin …

 

Il semble réfléchir encore, et il reprend:

- Alors, c'est pour ça … avec mes potes, on veut … on veut continuer, quoi … enfin, on veut finir … elle nous a bien chauffés et on n'a pas envie de repartir comme ça … sans avoir … euh … 

 

Il toussote … je n'en reviens pas, il est presque gêné, maintenant ! C'est moi qui enchaîne:

- Vous n'avez pas envie de repartir sans avoir tiré votre coup …

- Ben oui …

- Vous n'avez pas encore tiré votre coup ?

- Ben non … enfin, pas tous …

- Ah bon ? Vous ne l'avez pas déjà baisée en chemin … dans votre voiture ?

- Non, non … j'te dis, elle nous a tous plus ou moins sucés ou branlés pendant le trajet, mais elle s'est arrêtée avant qu'on … avant qu'on jouisse, quoi … elle disait qu'elle voulait nous garder en forme pour ici … et même une fois arrivés devant chez vous, elle …

 

Il hésite, me regarde par en dessous, sourit … Je le relance:

- Quoi … vas-y, raconte …

- Ben … quand on est arrivés, on est tous descendus de voiture … elle nous avait dit qu'il fallait pas faire de bruit, pas claquer les portières, tout ça, quoi … on s'est dit qu'elle voulait pas réveiller les voisins … à ce moment là, on pensait qu'il y avait personne chez elle … enfin, chez vous … et là, elle a recommencé … elle nous a tripoté la bite à tous … là, dans la rue … et … et y'en a qui ont sorti leur bite … alors elle a recommencé à nous sucer … les uns après les autres … alors, ça a commencé à vraiment nous exciter, forcément … et en plus, se faire sucer comme ça, dehors … c'était super excitant … pendant quelle suçait, certains ont commencé à … la tripoter, tu vois … sous sa jupe … dans son corsage … et elle s'est laissée faire, ça avait l'air de lui plaire … on a commencé à lui déboutonner son corsage, et là, c'est elle qui l'a carrément enlevé … après, elle a aussi enlevé sa jupe et son slip … elle était complètement à poil dans la rue …  ça avait pas l'air de la gêner … au contraire, ça avait l'air de l'exciter … nous, au début, on se demandait … on avait peur de se faire surprendre … mais c'est un petit village, apparemment, c'était le milieu de la nuit et on a fini par se dire qu'il ne devait pas circuler beaucoup de monde … 

 

Ça y est, il est reparti, pris par l'excitation de son récit et prêt à tout raconter … je n'ai plus besoin de le pousser:

- … c'était vachement chaud, hein … on n'avait jamais fait un truc comme ça … aucun de nous … du sexe, comme ça, en pleine rue … à plusieurs sur une seule femme … bon, dans un bled paumé et de nuit, mais c'était quand même un peu risqué … alors c'était encore plus excitant … En plus, y'avait la pleine lune … on voyait comme en plein jour … Christophe, il dit que la pleine lune, ça excite … qu'il y a des gens qui tuent, les nuits de pleine lune … et qu'il y a des gens qui baisent comme des bêtes à cause de la pleine lune … et un moment donné, y'a quelqu'un … je sais plus qui … y'a quelqu'un qui a … qui a dit qu'il avait envie de la prendre là, tout de suite, sur le capot de la voiture à Christophe … on n'a même pas eu besoin de lui demander … dès qu'on a parlé de ça, elle s'est installée toute seule … d'abord en levrette … elle s'est penchée, elle s'est appuyée avec les mains sur le capot, elle a écarté les jambes et elle nous a demandé de la baiser là … pas vrai, Gérard ?

- Si, si, c'est vrai …

 

Emporté par son récit, il revit tout… et il le revit tellement, que je vois sa bite qui gonfle et qui redresse un peu le nez entre ses cuisses …

 

- Cette fois, c'était sûr, on allait tous pouvoir se la faire … C'était vraiment dingue, on n'en revenait pas … aucun de nous … j'te dis, c'était la première fois qu'il nous arrivait un truc comme ça ! C'est là qu'on l'a déjà tous un peu … baisée … sur le capot de la voiture …  mais même à ce moment là, on n'est pas allés jusqu'au bout, on n'a pas joui ! Elle voulait pas .. elle disait "retiens-toi, hein … tu tireras ton coup tout à l'heure" . C'était vachement difficile de se retenir … d'abord, on était tous vachement excités, mais en plus … 

 

Il hésite, me regarde, se mord la lèvre, comme quelqu'un qui réalise qu'il en a trop dit. Je le relance:

- Quoi … "en plus" quoi …

- Ben … je m'excuse, hein, mais ta femme, elle est vachement serrée …

- Ah, c'est pour ça ? Ben oui, je sais qu'elle est vachement serrée … 

- Ouais, on a l'impression de fourrer une … pucelle … enfin, j'veux dire une gamine … rien qu'à lui rentrer sa bite, c'est … vachement bon. Et y'en a qui ont commencé à faire comme elle … à se déshabiller … enfin, à ôter leur pantalon … Après, c'est elle qui a voulu faire autrement … elle a voulu continuer, mais sur le dos … elle voulait nous regarder pendant qu'on la baisait … toujours sur le capot, hein … alors, on l'a encore tous niquée comme ça … et elle insistait pour qu'on n'aille pas jusqu'au bout … "pas tout de suite", elle disait … elle voulait que ça dure … qu'on passe tous plusieurs fois … un moment, y'a Alain … c'est notre pote rouquin … y'a Alain qu'est monté sur le capot, au-dessus d'elle, et qui lui a donné sa bite à sucer … et ben, elle l'a sucé … direct ! Et nous on a continué … putain, c'est VRAIMENT chaud, hein … à deux sur elle ! Y'en a même qui ont arrêté parce que … ils étaient prêts à jouir … et qu'elle avait dit "plus tard" … et puis alors … y'a une voiture qu'est passée dans la rue …

- Dans la ruelle ? Là où vous êtes garés ?

- Non, dans l'autre rue … mais c'était quand même assez près … on s'est demandé si ils nous avaient pas vus … mais non, apparemment … enfin, Alain, il est quand même redescendu vite fait … ta femme, ça l'a fait rire … et comme nous, ça nous avait pas mal refroidis et qu'on s'est mis à baliser, elle a décidé que c'était le moment de rentrer dans la maison pour continuer … Là, elle nous a seulement dit "faites pas de bruit, y'a quelqu'un qui dort à l'étage" … on a cru que c'était … je sais pas, une copine, un gamin … mais pas son mari … nous, son mari, on l'avait laissé dans le bar, à Paris … Mais, j'te répète, hein, à ce moment là, aucun de nous n'avait encore joui …

- … et depuis, vous n'avez pas encore tous tiré votre coup ….

- Ben non … elle nous a dit qu'on pouvait prendre notre temps … profiter, quoi … Avant que t'arrives, y'a que Christophe, qui a joui …

- Et l'autre, là, celui qui la baisait quand je suis descendu …

- Alain ?

- Je sais pas, le rouquin … celui qui était en train de la baiser quand je suis descendu …

- Ouais, c'est ça, le rouquin, c'est Alain … ouais, lui aussi … il était en train de … il prenait son pied juste au moment où t'es arrivé …

- Et pendant qu'on discutait ici, tous les deux,  je l'ai entendue prendre son pied, ma femme … 

 

Je me tourne vers l'autre, toujours appuyé de l'épaule contre l'encadrement de la porte:

- T'as dit que c'était qui, déjà, qui la faisait jouir ?

- Ouais … c'était Yann …

- Il a aussi pris son pied, celui-là ?

- Ben … ouais … 

 

Le grand type intervient:

- C'est pour ça … nos trois potes, là, ils ont … ils ont pris leur pied, mais pas nous … alors on voudrait bien …

 

J'ai nettement l'impression qu'il demande mon autorisation. C'est marrant, il n'est plus aussi assuré que tout à l'heure … tout à l'heure, il ne l'a pas formulé ouvertement, mais à son attitude, c'était plutôt "ta femme, on va la baiser, que tu sois d'accord ou pas" … et maintenant, c'est "on voudrait bien" … Je le laisse mijoter quelques instants, puis:

- Au fait, tu faisais quoi, avec ton smartphone, tout à l'heure ?

 

Il ne s'attendait pas à ça. Il hésite, réfléchit:

- Avec … mon smartphone ?

- Oui, tu l'avais en main … t'essayais plus ou moins de le cacher, mais je l'ai bien vu … tu filmais tes potes en train de baiser ma femme ?

- Ben … c'est-à-dire … je …

- Tu filmais ! ? !

- Ou… oui.

- Ben dis-le, alors. Je m'en fous, ça ne me dérange pas plus que le reste …

- Oui, oui, je filmais …

- Tu vas montrer ça à d'autres potes … à ceux qui ne sont pas venus … 

- Ou… oui. Sinon, ils nous croiront pas …

- Et ton pote, celui qui est assis dans le canapé … lui aussi, il filme …

- Heeemmm, ben oui …

- Vous lui avez demandé si elle était d'accord ?

- On … on lui a pas demandé, mais elle nous a vus et elle a rien dit … ça l'a fait rire, même … elle s'en fout, je crois …

- Ça m'étonne pas …

- Alors ? Tu … t'en dis quoi ?

- A quel sujet ?

- Ben … pour ça .. pour qu'on … pour qu'on finisse, nous aussi …

- Ah, pour ça ? Mais … elle vous l'a dit, tout à l'heure … vous pouvez continuer …

- Ah bon ? Et toi, tu … tu t'en fous ?

- Tu l'as entendue ? Quand je suis descendu, tout à l'heure, elle vous a dit aussi que je commence à avoir l'habitude … et même si j'étais pas d'accord, je pourrais faire quoi ? Essayer de vous virer ? Vous êtes sept … et de toute façon, elle partirait avec vous pour que vous la sautiez ailleurs … alors autant que ça se fasse ici …

- Bon, alors … on peut …

- … continuer ? Oui.

- Et tu vas faire quoi, pendant ce temps là ? Tu vas regarder ?

- Ça te gênerait, que je regarde ?

- Ben oui, quand même … 

 

Il m'observe, comme s'il essayait d'imaginer ce que ça lui ferait de sauter Christine en ma présence, puis:

- … enfin, je sais pas …

- Tout à l'heure, tu m'as dit que tu trouvais ça excitant de te faire sucer par une femme quand le mari n'est pas loin …

- Ouais, mais … si t'es là … si tu regardes … c'est pas pareil … Et toi … t'as ENVIE de regarder ? T'as ENVIE de nous voir en train de … de baiser avec ta femme ?

- Et pourquoi pas ! Puisque tu veux tout savoir, ça me plaît de la voir se faire baiser par plusieurs mecs en même temps … autant ça me faisait chier de savoir qu'elle baisait avec son amant, ce Patrick, autant la voir se faire passer dessus par plusieurs types, ça m'excite …

 

Il hausse les sourcils en me dévisageant … il semble perplexe. J'essaie de le convaincre:

- Apparemment, ça te dérange pas de la sauter devant tes copains … je me trompe ?

- Ben non.

- Alors, t'as qu'à faire comme si j'étais un de tes potes …

- Mouais …

 

Je me tourne vers l'autre, toujours appuyé au montant de la porte:

- Et toi … ça te gênerait de baiser ma femme devant moi ?

- Moi ? Ben … non …

 

Il se marre, regarde le grand et hausse les épaules:

- J'm'en fous, moi … ça me gêne pas …

 

Je saute sur l'occasion. Je décolle mes fesses du bord de l'évier et je fais signe à ce mec:

- Bon alors, on retourne dans le salon ?

- Ouais.

 

Visiblement pas  fâché que je lui fournisse un prétexte pour revenir dans le salon où les choses se passent, il me précède. Le grand type nous suit. Quand nous entrons, d'un coup d'œil, je saisis l'ensemble de la scène: Christine est maintenant couchée sur le canapé, mais elle n'est plus en train de baiser. Allongée sur le dos, la tête calée sur un accoudoir, son avant-bras droit sous la nuque, cuisses largement écartées, elle se caresse machinalement le sexe. Je remarque que sa chatte est toujours glabre, intégralement épilée et c'est très … appétissant. Ça donne envie d'y plaquer sa bouche et d'y enfouir sa langue, et aussi d'y introduire sa queue … Un type est assis contre elle, au niveau de son épaule … c'est le type qui lui pelotait déjà la poitrine tout à l'heure … penché au-dessus d'elle et se tenant d'une main au dossier, il lui tripote encore les seins … Il bande, et sa bite, raide, décalottée et aux veines saillantes, se dresse gaillardement devant son ventre … A l'autre bout du divan, un autre type est assis, de biais, entre les mollets de Christine qui lui a posé son pied sur la cuisse … c'est celui qui était déjà assis à cet endroit tout à l'heure et qui voulait qu'elle le masturbe … maintenant, il lui caresse l'intérieur des cuisses d'une main et de l'autre, il braque son smartphone sur son entrejambe … Notre arrivée semble interrompre une conversation entre eux … ils se tournent vers nous … en me voyant, son œil à elle s'assombrit, tandis que le type, pas troublé le moins du monde, sourit et continue de lui effleurer la cuisse … celui qui lui tripote la poitrine tourne tout juste la tête vers nous avant de reprendre son pétrissage … Visiblement, ces mecs on intégré ma présence comme une chose normale … Ceux là, ça ne les dérange visiblement pas que je les voie tripoter ma femme … Très bien, moi, ça me va … 

 

Christine se tourne de nouveau vers celui qui lui caresse la cuisse et, ostensiblement, du bout des doigts, elle écarte ses petites lèvres … exactement comme elle l'avait fait au Huitième Ciel, quand un des étalons sénégalais se préparait à lui fourrer son long sexe noir … encore une fois, elle ouvre son sexe à la pénétration d'un inconnu, elle lui offre son ventre … mais en plus, elle s'ouvre avec tellement d'indécence à l'objectif du type qui la pelote, qu'il est évident que ça lui plaît beaucoup qu'il la filme comme ça … Quand je pense qu'elle a toujours refusé que je la prenne en photo lorsqu'elle était quelque peu dénudée ! Y compris sur la plage, quand elle avait seulement les seins à l'air … Je me rappelle sa réaction outrée quand je lui avais proposé de la photographier nue, allongée sur notre lit … elle trouvait ça malsain ! Et là, elle s'offre avec une telle impudeur aux objectifs de ces types ! Je regrette de ne pas avoir, moi aussi, un smartphone. Oui, mais de toute façon, je suis persuadé qu'elle refuserait que je la filme, moi aussi … ces inconnus, oui … moi, sûrement pas !

 

Quoi qu'il en soit, le spectacle qu'elle nous offre est vraiment … bouleversant ! Elle dégage son avant bras de sous sa nuque et elle saisit le poignet du type pour l'attirer vers son entrejambe … De nouveau, elle me jette un coup d'œil: " regarde, ce type va me baiser ! ". Bien sûr, qu'il va te baiser … évidemment, qu'il va te baiser … J'ESPÈRE BIEN qu'il va te baiser … Même si je n'avais pas été là, elle se serait donnée à ce type, mais sa provocation à mon égard est évidente … Lui, ma présence ne le perturbe absolument pas … au contraire, même … tout en laissant Christine attirer sa main vers son sexe, il me jette des coups d'œil en coin et sourit … cette situation lui plaît … il va baiser ma femme sous mes yeux … 

 

Je regarde autour de moi … tous les autres, fascinés, contemplent Christine et leur pote qu'elle est en train d'inviter à la baiser … Il faut dire que le spectacle est torride et hallucinant … elle, les cuisses ouvertes avec cette impudeur, qui écarte ses petites lèvres si lubriquement et qui s'offre à ce type d'une manière aussi indécente … et lui qui bande comme un âne … Et là, je me rends compte qu'en fait, tous ces mecs bandent comme des ânes en rut … TOUS … y compris, donc, ceux qui ont déjà tiré un coup … Putain, quel spectacle ! Sept bites en érection ! Plus ou moins dressées, mais toutes vraiment très raides ! Les deux qui tripotent Christine, évidemment … et parmi les spectateurs, trois se masturbent ouvertement, un autre, la bite à l'horizontale, se tire sur la peau des couilles, et le dernier, le grand type, a récupéré son smartphone et il filme ce qui se passe sur le canapé … lui, sa queue se dresse toute seule à la verticale !  Je crois qu'en fin de compte, il n'aura pas de mal à baiser ma femme en ma présence. De toute manière, il ne fait plus attention à moi. 

 

Cela dit, moi aussi, je bande ! Et bizarrement, pas parce que j'ai aussi envie de baiser … ma femme ! Oh, je la trouve franchement bandante et désirable, mais d'abord, je sais pertinemment que ce n'est pas la peine que j'envisage de participer à la fête … elle se refuserait à moi, c'est sûr … Non, ce qui m'excite à ce point, c'est vraiment l'idée que ces sept types, sept inconnus, vont la baiser l'un après l'autre … La vache ! Sept types qui bandent comme ça pour cette … femelle en chaleurs ! Oui … cette "femelle en chaleurs" ! A cet instant, je réalise que quelque chose a radicalement et brutalement changé en moi: celle qui est étendue sur ce canapé et qui réclame de … de se faire couvrir par les sept mâles qui l'entourent, ce n'est plus MA femme. Ça n'est pas que je la renie par colère ou par jalousie à cause de son infidélité … non, je ne ressens ni jalousie ni colère … au contraire … ça me plaît de la voir se faire passer dessus par d'autres hommes … ce n'est plus MA femme parce que notre lien conjugal n'existe tout simplement plus … pour moi, cette nuit, Christine, c'est simplement une femelle à l'appétit sexuel exacerbé, une femelle qui veut du sexe … une femelle qui a besoin de sexe … une femelle qui a besoin de se faire saillir et féconder par autant de mâles que possible … une femelle nymphomane ! Il me paraît évident que les sept mâles qui sont là vont tous la saillir … ils vont tous s'accoupler avec elle l'un après l'autre … et la féconder … même les trois qui ont déjà forniqué avec elle et qui l'ont déjà inséminée … 

 

En moi, nul dégoût, nul jugement, nulle condamnation … Quelque chose me souffle que ce qui se passe ici devrait me paraître absolument obscène, immoral, scandaleux … parce que, aux yeux de la loi et de la société, c'est encore ma "femme" qui se livre à une telle débauche avec des inconnus et parce que c'est radicalement contraire à la morale et aux mœurs de notre société ainsi qu'à ma propre éducation …  mais en fait, pour moi, tout ça est maintenant tout à fait … normal … ou plus exactement "naturel" … au sens de "ce qui relève de la nature": ici, la morale n'a pas sa place… ici, la fidélité, la vertu, la décence ou la pudeur n'ont aucun sens … si leur relation a débuté par le libertinage et la luxure, maintenant, cette femelle et ces sept mâles, ne sont animés que par un désir brut, par une puissante pulsion sexuelle, par un instinct vital, primitif et violent … A cet instant, ces huit êtres sont submergés par leur animalité. J'avais déjà ressenti quelque chose de cet ordre ce soir de juin, dans ce club libertin, quand Christine s'était fait baiser successivement par cinq inconnus …  

 

Alors, une évidence s'impose à moi: cette … femelle avec sa vulve béante, avec ce sexe tout rose et ses deux pétales humides de désir qu'elle écarte du bout des doigts … avec, à leur jonction, le bouton de son clitoris que son excitation gorge de sang, et, entre ses petites lèvres l'étroite entrée de son vagin, lui aussi d'un rose tendre et luisant … cette femelle est vouée au SEXE … cette femelle est vouée à la FORNICATION … cette femelle est vouée à la BAISE … oui, sa vulve, son sexe, son vagin, tout cela est destiné à recevoir … non pas UN sexe d'homme, mais DES sexes d'hommes … ou plus exactement LE SEXE DES HOMMES … pas seulement le sexe des sept types présents cette nuit, mais le sexe de tous les hommes qui, demain, auront envie de s'y inviter pour s'y donner du plaisir et jouir … Il est tellement … beau, ce sexe ! Il est tellement … joli, appétissant … comment un mâle normalement constitué pourrait-il ne pas avoir envie de s'y introduire ? Et non seulement il est beau et désirable, ce sexe, mais en plus, avec ses deux pétales ainsi écartés du bout des doigts et l'entrée de son vagin déjà lubrifiée, il appelle la pénétration, il cherche la pénétration des sexes d'hommes, il réclame l'accouplement ! 

 

Quand Christine était jeune, elle attirait déjà les hommes, à commencer par moi, essentiellement grâce à un atout physique … son petit cul. Enfin, pas seulement son petit cul … ça commençait par sa chute de reins … une cambrure exceptionnelle avec un ventre plat … et puis il y avait ses fesses … rebondies … pas grosses, mais parfaitement proportionnées au reste, à ses hanches, à sa taille … et fermes … rien qu'à les regarder, on devinait leur fermeté … et pour finir, il y avait ses cuisses, idéalement galbées, fuselées … l'ensemble était … waouhhhh ! Des courbes parfaites, que ce soit de profil ou de dos ... Nous n'avions pas vingt ans et j'ai immédiatement flashé sur elle et sur son petit cul ! Il faut dire qu'elle savait qu'elle avait un cul exceptionnel et elle savait en jouer … d'autant plus qu'elle savait aussi le mettre en valeur, son petit cul … jeans hyper moulants et mini jupes au ras des fesses … Je pense que, d'une manière générale, les hommes sont très sensibles à certaines formes, à certaines courbes du corps féminin, en particulier à celles là … la chute de reins, les fesses, les cuisses … sans doute aussi les seins … je suis aussi convaincu que se trouver en présence de telles formes, de telles courbes suscite instinctivement chez les mâles des désirs sexuels … C'est une sorte de programmation que la nature a implanté dans le cerveau masculin et qui lui souffle "cette femelle a les formes idéales pour la reproduction et il faut que tu t'accouples avec elle". Selon moi, c'est un vestige de notre animalité primitive.  

 

Bref, pour en revenir à Christine, je n'étais évidemment pas le seul à flasher sur son cul … presque tous les mecs du lycée bavaient dessus … certains profs inclus … mais c'est moi qui l'ai eue, la Christine … et son petit cul avec elle ! Et même après que nous nous soyons mis en couple, j'en ai vu des mecs la mater … y compris parmi nos copains … certains en douce, sournoisement, et d'autres plus ouvertement, allant parfois jusqu'à me manifester explicitement l'impression que son cul produisait sur eux, soit par une mimique expressive, soit en esquissant le geste de lui coller une main aux fesses … mais toujours sans toucher. J'en étais très fier de voir tous ces mecs avec les yeux exorbités et la langue pendante … Christine, elle était A MOI ! Et son petit cul aussi, était A MOI !  

 

Mais ça, c'était il y a bien  plus de vingt ans ! Et le temps a produit ses effets sur elle comme sur moi. Elle a gardé quelque chose de la magnificence passée de son postérieur … sa cambrure, bien qu'un peu moins marquée … ses fesses, encore assez charnues, mais que l'on devine moins fermes … ses cuisses, un peu moins galbées … et son ventre et ses hanches se sont légèrement empâtées. Alors si, comme on dit, elle est encore pas mal pour son âge, elle n'est tout de même plus la jeune pouliche fringante qu'elle était et qui excitait les étalons par sa seule apparition. Alors, puisque ça n'est plus cet exceptionnel atout physique qu'était son cul qui explique son succès actuel auprès des hommes, y compris des hommes beaucoup plus jeunes qu'elle, il doit bien y avoir autre chose qui la rend aussi … irrésistible … bien sûr, il y a sa façon directe et crue d'allumer les mâles, de leur faire savoir qu'elle est demandeuse de coït, réceptive … mais ça pourrait avoir l'effet inverse … les effrayer … et quand bien même, est-ce vraiment suffisant pour décider des mâles, y compris des jeunes mâles à passer à l'acte ? Je pressens autre chose … comme si il émanait d'elle un je ne sais quoi qui annihile les défenses des mâles qu'elle sollicite, qui leur fait renoncer à toute morale, qui leur fait aveuglément négliger les risques, notamment celui d'une contamination vénérienne, qui les soumet aux seules pulsions de leur organe génital, bref, qui les réduit à l'état d'animaux en rut …

 

Alors oui, je sais que ces sept types vont tous la baiser ! Eux aussi le savent ... ils en ont envie et elle le leur demande ! Et certains vont sans doute la baiser pour la deuxième fois … et ceux qui ne l'ont pas encore baisée recommenceront peut-être, eux aussi … Ils vont lui donner ce qu'elle veut … ils vont lui donner de la bite … ils vont lui donner leur semence … elle l'a demandé, elle l'a exigé … 

 

à suivre ...

 

 

Par Solosexe - Publié dans : Récits pornographiques
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